Sarraute, Guyotat et l’entretien que nous sommes
Chez la plupart des écrivains, il y a l’œuvre proprement dite, et que nul ne s’avise de prendre ce « proprement » en mauvaise part, et les à-côtés, essentiellement le Journal et la correspondance, qui souvent la complètent et parfois la surpassent. Quand ils cessent d’écrire, ils n’en continuent pas moins à parler. Le livre-entretien est même devenu un genre en soi. Dans le pire des cas, une interview étirée destinée à pallier la paresse ou la sécheresse d’un auteur. A son meilleur, une confession qui ne dit pas son nom. Entre les deux, ce qu’on peut attendre de mieux de ce type d’exercice : une conversation qui n’abdique pas l’esprit critique dû à ceux que l’on admire. Si l’interlocuteur est de qualité, oreille attentive et regard plein de délicatesse, le résultat est de nature à enrichir notre intelligence de l’œuvre.
Conversations avec Nathalie Sarraute (176 pages, 17 euros, Seuil), le titre choisi par Rolande Causse, ne doit pas induire en erreur. S’il s’agit bien de cela, la forme dépasse le stade du dialogue. Récit de ses rencontres avec l’écrivain de 1985, année de la mort de son mari, à sa propre mort en 1999, le livre a la force du témoignage car il est véritablement écrit et ne se contente pas de rapporter des propos. Les choses vues y côtoient sans cesse les choses entendues. Au début, amenée là par un ami commun, on la sent embarrassée, intimidée, comme le serait un jeune auteur venu chercher l’adoubement d’un maître avant de frapper à la porte de la république des lettres. Sauf que ce n’est pas cela, pas du tout. Rolande Causse ne sollicite par l’auteur de Tropismes, elle ne la brusque pas dans ses 94 ans. Elle a juste envie de l’écouter.
De quoi se parlent-elles ? De peinture, de la guerre, des éditeurs, de la vieillesse, de la luminosité du silence, « cette forme qui se dessine vaguement » évoquée dans Ici (1995). Et puis de l’écriture, bien sûr. Cette conviction qu’il n’y a pas de lien entre le moi privé et le moi qui écrit, puisqu’elle ne cherche pas au plus profond de ses souvenirs personnels mais uniquement à partir de sensations. Parfois, l’échange est directif, comme si les deux femmes avaient mis un sujet au programme de leur après-midi. Parfois, cela part sur une phrase ou un détail. Le fameux « Ich Sterbe » prononcé par Tchekhov sur son lit de mort les entrainent dans une réflexion à deux voix sur l’intemporalité de ses pièces. Ou une déconcertante « trouée d’irréel ou de trop réel » dans l’Ulysse de Joyce. Ou encore des questions toujours posées mais jamais résolues, Watteau n’en ayant pas livré la clé : les amoureux du Pèlerinage à l’île de Cythère s’embarquent-ils ou reviennent-ils ?
Son œuvre est là, partout, le plus souvent en filigrane. Enfance se taille la part du lion. Dommage que ce soit aux dépens du reste, notamment L’Ere du soupçon, si décisif et si éclairant pour toute une génération de lecteurs et d’écrivains (Jean Rouaud lui a consacré de belles pages). Ce n’est pas que les analyses sur le Nouveau roman nous manquent tant on a glosé sur la disparition de l’intrigue et la désintégration du personnage ; mais comment n’être pas frustré lorsqu’elle s’interrompt pour dire ce que la défense de cet essai par Alain Robbe-Grillet a eu pour conséquence :
« Cela m’a aidée et m’a permis de sortir de la solitude ».
Qu’importe puisqu’elles se parlent comme on lit, à sauts et gambades., passant de la Woolf de Mrs Dalloway à l’œuvre d’Ivy Compton-Burnett rencontrée en 1959. Et soudain, au détour d’une analyse sur la sous-conversation dans les dialogues de celle-ci, un aveu qui ne serait peut-être pas venu autrement:
« A l’époque, je pensais que tout écrivain se devait de rechercher une forme qui perce l’invisible, l’impalpable, cette idée me poursuivait… Ces romancières anglaises m’ont montré la voie… »
Même si on ne sait pas toujours qui parle, les tirets étant confusants, un livre pareil, il ne faut pas en attendre des informations, et encore moins des « infos ». Plutôt un frémissement à la nuit tombée, un battement d’ailes dans la rosée, un bouquet d’impressions. Bref, une sensation du monde. On s’y sent « en compagnie », sa voix ne nous lâche pas une fois le livre lu « à pas de loup », comme on chuchote à l’oreille, et c’est rare. On sent bien alors que Nathalie Sarraute n’aura vécu que pour une idée fixe selon laquelle les mots sont des choses vivantes. M’est revenu alors in fine un souvenir…
Un soir d’octobre 1999, alors que ma matinale du lendemain sur France Culture était bouclée, tomba la nouvelle de la disparition de Nathalie Sarraute. Il fallut tout chambouler. Trouver un autre invité. Le convaincre de se lever si tôt. Isabelle Huppert eut été l’idéal. Je tentais vers 23h. Elle décrocha et n’hésita pas un instant : « Vous pouvez compter sur moi. » Le lendemain, quelques minutes avant sept heures, elle débarqua dans le studio quasiment en pyjama et baskets sous son grand manteau. Claustrophobe, elle ne supportait pas l’ascenseur. Ayant donc gravi les huit étages doubles de la maison de la radio, donc les seize étages, il lui fallut reprendre son souffle avant de témoigner de la grande dame qu’était Sarraute, livrant une analyse pointue de son univers. Elle n’avait pas joué ses pièces mais elle en était une lectrice assidue, s’estimant reliée à elle par son habitude de la lire à haute voix pour elle seule. Puis, sans même s’en faire prier, elle sortit sa Pléiade de sa poche et lut des extraits. Comme je la raccompagnais à l’escalier pour la remercier vivement, elle me dit simplement : « Elle m’a tant donné, je lui devais bien ça ».
C’est à un autre type d’entretien que se sont livrés l’essayiste Donatien Grau et l’écrivain Pierre Guyotat dans Humains par hasard (240 pages, 21 euros, Arcades/Gallimard). Quelque chose d’à la fois familier et tenu, proche et respectueux, exercice rendu possible par l’admiration critique que le premier voue au second. Nous sommes pourtant bien dans le jeu classique des questions/réponses, mais l’osmose est telle entre les deux esprits que nous nous retrouvons rapidement auditeurs d’une conversation. L’œuvre de Guyotat, révélée au Seuil par Jean Cayrol, y est bien sûr centrale, à commencer par les piliers, les subversifs Tombeau pour cinq cent mille soldats (1967) et Eden, Eden, Eden (1970, adoubé en préface par le trio infernal Leiris, Barthes, Soles), où la confrontation radicale de la guerre et du sexe ne pouvaient éviter de déclencher le scandale et la censure.
Ses engagements politiques ne sont évidemment pas absents. Quoique trop jeune pour avoir participé à la seconde guerre mondiale (il est né en janvier 1940), il a été marqué par le rôle de ses oncles résistants dans la création du mouvement Défense de la France. Rebelle dans la guerre d’Algérie après avoir servi l’armée et la nation là-bas dans la douleur de 1960 à 1962 jusqu’à son inculpation pour atteinte au moral de l’armée, complicité de désertion et possession de livres et de journaux interdits (après trois mois de cachot « au secret », il fut transféré dans une unité disciplinaire), ce fut un moment de sa vie dont il a gardé une conception très réaliste du corps à corps dans la guerre, des usages de l’arme blanche, de l’égorgement. Adhérent distrait du PCF dans les années 60 en raison de son aura parmi les intellectuels, et dans l’espoir d’« être utile », activiste dans les années 70 (comité de soldats, soutien aux immigrés et aux prostituées etc), pétitionnaire à l’occasion, de quoi se faire une idée forte et pas seulement théorique d’un sentiment qui le bouleverse encore : la solidarité, mais dont on sent bien, à l’entendre l’évoquer, qu’elle n’existe plus ou qu’elle est devenue introuvable.
Jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il lui était impossible d’assumer la fonction classique de l’écrivain en représentation tant politiquement que socialement. Impossible pour celui qui veut marcher sur le fil instable entre dignité et indignité, accordant une même noblesse aux putains et au Christ, ne cessant de payer sa dette aux prêtres « camusiens » qui l’ont élevé au pensionnat. Elevé, éduqué, instruit « autant que ma mère », il a conservé de ce temps-là une considération intacte pour tous les prêtres. L’empreinte, esthétique mais pas seulement, est évidente sur son œuvre sans même qu’on ait besoin de trop creuser tant elle regorge de supplices, portements de croix et calvaires.
Mais le vrai sujet, ou plutôt leur préoccupation principale, le commun souci de Guyotat et Grau, c’est bien la langue française, son rayonnement, sa puissance, ses formes successives, des plus poétiques (la conférence des oiseaux) aux plus crochues (le langage mathématique), bref : ses aventures et métamorphoses. Son monde est peuplé de figures inquiétantes fécondées par son observation permanente de gens ordinaires dont seule la vie intérieure l’intéresse :
« C’est comme le feu dans la caverne. C’est la vie qui rassure ».
Bonne chance à l’artiste qui aura à illustrer Tombeau ou Eden ! Quant à la pureté, c’est chez Poussin et Fra Angelico qu’il la trouvera, le premier surtout dont il ne peut voir les tableaux sans se sentir comme enveloppé dans un rêve. L’entretien entre les deux hommes est si riche qu’il engage dans l’instant à se reporter aux tableaux évoquées ou lire des textes qu’il cite tel celui de Pascal sur les grandeurs d’établissement. Son personnage, celui qui traverse tous ses livres, c’est lui : un non-étant, ainsi qu’il le définit, désaliéné de tout. Et ne vivant que dans et par l’écriture. Ca lui est venu très tôt, très jeune, à la lecture non des livres de Sade mais de la biographie de Sade par le poète et éditeur de ses œuvres Gilbert Lély, parue en plusieurs tomes à partir de 1952. Sade, le non-étant absolu. Guyotat à ses débuts était scandaleux, lui aussi, par sa volonté de transgresser les normes alors que seul lui importait de « fournir un élément de l’abjection généralisée ». Il convainc là davantage que lorsque, au reproche d’abstraction qui lui est souvent adressé à juste titre, il répond en excipant de son approche au contraire très « concrète » du réel car tout ce qu’il écrit est bâti sur le tronc de sa « vie réelle » et non de sa vie rêvée.
Sur les photos, Pierre Guyotat arbore presque toujours un large ou un léger sourire. Il n’est pas d’un homme comblé par les choses d’ici-bas mais de celui qui a toujours fait de l’espérance sa vertu cardinale. Non pour ceci ou cela, mais tout le temps et pour tous, une espérance générale. On comprend qu’il soit du genre à s’émerveiller chaque jour un peu plus du spectacle du monde. Autant il récuse la « stupidité » de tout roman national, autant il se révèle dans ces pages d’une extrême sensibilité au paysage national, avec une attention renouvelée à la beauté des vallées, l’imagination des tracés, l’équilibre des édifices. Si l’on imagine bien l’adolescent Guyotat se réfugiant avec bonheur dans la lecture de Molière au pensionnat, on conçoit encore mieux que l’adulte n’ait cessé de se royaumer en Michelet.
Si tous les livres d’entretiens étaient de l’encre de ces deux-là, on en redemanderait… Car il y a là de quoi honorer indirectement le mot de Hölderlin : « l’entretien que nous sommes », manière de rappeler la part mystérieuse occupée par les autres dans nos réflexions les plus solitaires. On n’a jamais raison tout seul.
(« Donatien Grau poussant Pierre Guyotat dans ses derniers retranchements » photo Elliott Erwitt ; « Nathalie Sarraute » photo D.R.; « Pierre Guyotat » photo Passou)
1 241 Réponses pour Sarraute, Guyotat et l’entretien que nous sommes
« Pendant mon enfance et adolescence, Castro a décidé de tout, depuis ce que je mangeais jusqu’au contenu des livres scolaires »
Il est plaisant de voir les chefs d’Etat de la planète — à commencer par l’ectoplasme qui nous sert, pour quelques mois encore, de président –se fendre d’hommages à cette incarnation achevée du despotisme que fut le Castro. Quel dommage que la maladie ne soit pas, dans des cas comme le sien, plus expéditive.
Les gauchos dingos de chez nous ont apprécié chez cette crapule tyrannique de Fidel le Rebelle, qui par bonheur vient de crever, l’abcès cubain, son aspect « révolutionnaire ».
Même mansuétude débile pour Chavez le Fou, qui a ruiné le Venezuela, et Maduro le Gros Nul, qui finit le travail…
Pour en finir avec les insinuations de Delaporte sur Fillon et l’IVG (source: Le Monde):
» Le 26 novembre 2014, il a fait partie des 27 députés de l’UMP qui ont voté favorablement à une proposition de résolution socialiste « visant à réaffirmer le droit fondamental à l’Interruption Volontaire de Grossesse en France », alors même que la majorité des députés n’a pas pris part au vote (151 votants sur 577 députés). Les parlementaires qui ont voté aux côtés de François Fillon ce jour-là ont été vivement sermonnés par un contributeur de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon, évoquant « des noms que devraient retenir les électeurs catholiques lors des prochaines élections législatives, afin d’empêcher leur réélection. »
François Fillon ne s’est par ailleurs pas opposé au projet de loi « pour l’égalité entre les hommes et les femmes », présenté le 28 janvier 2014, qui a renforcé le droit à l’avortement, en créant notamment un délit d’entrave à l’IVG. Délit qui vise explicitement des « commandos » intégristes catholiques, et qui concerne aussi bien l’entrave « matérielle » que « psychologique ».
Etre mère, c’est l’enfer
Etre père, c’est la fuite
Etre de gauche, c’est la cuite …
Plus précisément Le Monde des Religions (même boutique que le journal quotidien):
François Fillon : catholique, vraiment ?
Par Martin Brésis – publié le 24/11/2016
En bon disciple de Daniel Arasse, Jean-Philippe Postel propose une nouvelle interprétation du tableau de Van Eyck, les époux Arnolfini, au terme d’une passionnante enquête à la C. Doyle. En racontant un pacte secret indéchiffrable, il aurait ainsi baladé les historiens de l’art depuis cinq siècles. Voici l’interprétation de Postel : le peintre, veuf avant d’avoir épousé Margaret, aurait représenté sa première épouse, morte en couches, qui lui serait apparue en majesté un jour de juin 1434, alors qu’il allait être père. La revenante lui aurait fait jurer de prier pour le salut de son âme.
C’est tout simple, dit comme ça, mais on doit bien s’accrocher pour parvenir à cette hypothèse pleine d’intelligence. On passe ainsi une fort belle après-midi (L’affaire Arnolfini, enquête sur un tableau de Van Eyck, Actes Sud, 2016).
En observant les yeux fuyants du visage d’Arnolfini et son sourire coincé des zygomatiques, difficile de ne pas penser à ceux de Poutine, cocu de l’Histoire. Peut-être n’a-t-on pas assez observé sa face de belette chafouine, s’apprêtant à nous endormir pour mieux reconquérir la grande et sainte Russie perdue. Le mystère de la revenante du tableau demeure, la « vérité reste au fond du puits », peut-être n’y a-t-il pas d’œil tout à fait infaillible.
A la remontée des derniers relevés du blog aux épices erdéliennes, on acte l’existence d’instituteurs à Loudéac ; un phénomène de reconstitution de ligues dissoutes entre d’un côté, Ch-P75 et de l’autre, Wgg-Delap. ; comment faire de l’huile vierge de première pression « en pensées des autres en bols » ; et on ajoute Castro à l’égrenage de la liste du mois : Mariner, ueda, Balandier, Tchernia, Didier, MDB, Marcus, Cohen, Chebel, Popeye et Sarkozy, Hollande, Juppé. Il faudrait s’en aller faire les courses et affronter le froid, alors on s’attarde encore un peu, bien au chaud.
9:53
Etre con, c’est JC
Qu’est-ce que vous racontez, renato ? Les saumons ne mangent pas de noisettes.
Etre gras, c’est Bouledegras
JJJ, il me semble qu’en parlant de « pacte secret indéchiffrable, il aurait ainsi baladé les historiens de l’art depuis cinq siècles », c’est Postel qui nous balade, non ?
@closer dit: 27 novembre 2016 à 9 h 53 min
correction !
« Pour en finir avec les insinuations de la mère Ernaux et affidées sur Fillon et l’IVG (source: Le Monde): », le reste inchangé.
closer ton pote-et délinquant notoire, et auquel tu te réfères souvent, hein-, zemmour est farouchement opposé à l’IVG.
ton pote-et délinquant notoire
Je savais que Zemmour était un salaud notoire, mais délinquant ?
@ ceux qui ne jouent pas aux cartes quand il fait gris :
10.10, non, non… c’est bien van Eyck qui balade Postel, pour le plus grand plaisir de ce dernier. Et il sait aujourd’hui nous faire partager ses frissons pour résoudre l’énigme du fascinant tableau. Je vous l’assure, ce petit bouquin venu de nulle part est une vraie merveille !
JB, votre lexique recoupe parfois- rarement- celui des lois de la République.
Foulard bleu, casquette anti-chauve, lunettes par dessus, regard rebelle-nature…. c’est trop beau !
…Tesson nous !….
Zemmour n’est pas plus salaud que n’importe quel curé, n’importe quel rabbin, n’importe quel imam, n’importe quel syndicaliste, n’importe quel politicien … n’importe quel homme*, quoi !
(*et je ne parle pas des saloopes !)
Le playmobil va bien finir par pourrir par la queue. Patience.
à propos de Tesson… quand JC ne comprend rien alors il ricane… le problème est qu’il ricane tout le temps !
On peut comprendre et ne pas approuver ?
Ou bien, il faut obligatoirement approuver ?
La gueule à Tesson me fait rigoler, grave, tant le ridicule ne tue plus.
bon, mais céline minard n’a pas réussi son ascèse hightech, vu qu’elle a été perturbée par cette chamane soule venue d’Asie centrale, qui l’a empêchée de communiquer avec les pierres, plutôt qu’elle ne l’y aurait aidée. « Le grand Jeu », c’était ce à quoi jouaient entre eux les services d’espionnage soviétiques et américains durant la guerre froide. Je n’arrive pas à savoir si Minard en avait conscience, et si oui, ce serait quoi sa guerre froide ? la romancière d’Amérique en lutte asymétrique contre les nouvelles forces du mal salafistes du moyen-orient ? Peu crédible.
Je vois mal par ailleurs le rapport de Minard avec le bellâtre et fils de son père, S. Tesson. Au demeurant, c’est un dialogue de sourds qui ne se noue pas, comme on les aime tant au figaromagdame, pour le simple plaisir d’associer des gens en mal de pub qui n’ont strictement rien de commun à se foutre.
bon, mais céline mina.rd n’a pas réussi son ascèse hightech, vu qu’elle a été perturbée par cette chamane soule venue d’Asie centrale, qui l’a empêchée de communiquer avec les pierres, plutôt qu’elle ne l’y aurait aidée. « Le grand Jeu », c’était ce à quoi jouaient entre eux les services d’espionn.age soviétiques et américains durant la guerre froide. Je n’arrive pas à savoir si Mina.rd en avait conscience, et si oui, ce serait quoi sa guerre froide ? la romancière d’Amérique en lutte asymétrique contre les nouvelles forces du mal salafistes du moyen-orient ? Peu crédible.
Je vois mal par ailleurs le rapport de Mina.rd avec le bellâtre et fils de son père, S. Tess.on. Au demeurant, c’est un dialogue de sourds qui ne se noue pas, comme on les aime tant au fi.garoma.gdame, pour le simple plaisir d’associer des gens en mal de pub qui n’ont strictement rien de commun à se fo.utre.
@10 h 44 min
« Le playmobil va bien finir par pourrir par la queue. Patience. »
Ce viit dans les doigts que tu tiens comme un trophée de chialsse, ma belle, ce n’est pas le mien. Ainsi, tout risque de pou;rriture par contamination est à probabilité quasi nulle…
Tant le ridicule ne tue plus, écrit JC… ‘tain, oui, il en sait quelque chose, lui
bien à vous
Pardonnez-moi, mes chers amis, mais ce Tesson a une véritable gueule de bran.leur infantile !
Certes, je peux me tromper*, mais ce type n’inspire pas confiance. Il fait enfant gâté. Gâté, sans avoir mûri !
(* »Se tromper, c’est un luxe, » dirait ce faux pauvre de Sylvain le Petit !…)
@ Bloom
« l’apport à la pensée universelle de Barthes, Levi Strauss, Foucault, Deleuze, Derrida & Lacan, »
Laissons de côté Lévi-Strauss, qui était un type sérieux. Les autres, que tu as lu bien moins que moi (quand j’étais à la fac ils étaient à la mode), c’étaient des fumistes sans aucun sens du ridicule et leurs livres sont pleins de con.neries dont on a du mal aujourd’hui à comprendre l’engouement qu’elles ont produit il y a 40 ans. Lis les analyses faites par Sokal et Bricmont des textes de Lacan et tu verras à quel point il se fou.tait de la gueu.le de ses admirateurs, aussi naïfs que snobs.
@ Janssen J-J
Tu ne m’as pas dit si tu es un homme ou une femme.
Malgré ton déguisement en homme, moi je crois que tu es une femme. Je me trompe?
J’arrive ce matin de la messe en l’Eglise Sainte-Anne, place d’Armes à Porquerolles où une bagarre a éclaté. Quel régal…
Je me suis fritté avec quelques affidés du curé pour une question (classique pour un consommateur de ce siècle) sur la présence ou non de Dieu dans l’hostie !
J’ai exigé une preuve que le divin l’habitait !
La traçabilité dans tout ce qu’on avale, c’est le minimum, non ? Heureusement, les intellectuels voileux et haltérophiles de l’Institut ont rapidement découragé la horde des fillonistes insulaires, ambitieux par bêtise, de vous priver d’une âme bien nécessaire, en ces temps de disparitions … !
Bien vu, Pablo !
Pour les freudiens dont je suis, reconnaissant avec respect le travail novateur de Siggy, ce taré de Lacan les amuse encore avec ses contorsions de clown de cirque, habillé comme un cacadémicien …
Sylvain Tesson est un type sympathique mais un mauvais aphoriste.
Tellement sympa, que je ne lui filerai même pas l’annexe de mon esquif à garder !…
Ce qui est drôle c’est quand un fumiste se fou.t d’un autre fumiste. Heidegger sur Lacan: « Le psychiatre a besoin d’un psychiatre ».
Lacan !
Un gourou adulé par des endulés !
Génial auteur de calembours psychanalytiques, qui n’a jamais aidé un patient, un souffrant, contrairement aux soutiers freudiens de la grande époque.
Quittons sur un souhait chevillardesque : en finir ! Bonne fin de journée, les ami(e)s…
Soyez juste avec Sylvain Tesson: il est sorti très amoché d’une terrible accident.
Dernier vœu ! Pourquoi voter Fillon ? Parce qu’il vaudra toujours mieux subir YHWH ou Dieu, on connaît les issues de secours, que se soumettre au monstre du Chamelier fou !
Le « Grand Jeu », à l’origine,
ne venait-il pas plutôt
du colonialisme impérial
de nos amis brexiteurs contrariés ?
Rudyardemment.
Le psychanalyste Jean Allouch sur Lacan (prière de ne pas rire):
« Il traitait ses patients comme des excréments : une petite serviette toujours propre attendait, sur l’oreiller, la tête de chacun, tant et si bien qu’à la fin de la journée, dans sa corbeille, figuraient autant de serviettes sales que de patients reçus. Véritables tranches de papier hygiénique, ces serviettes indiquaient qu’il s’essuyait au lieu de ses patients, donc pris comme excréments. S’étonnera-t-on si j’ajoute que la communauté psychiatrique lui attribua un prix envié ? Comment une pensée-caca pourrait-elle être en mesure d’opérer une castration anale? »
Voilà la question fondamentale dont on attend la réponse de Widergänger, grand spécialiste du thème: « Comment une pensée-caca pourrait-elle être en mesure d’opérer une castration anale? »
Gontrand ! Comment voulez vous être juste lorsque vous êtes superficiel.
rectificatif :
« Gontrand ! Comment voulez vous être juste lorsque l’on est superficiel ? »
@il est sorti très amoché d’une terrible accident.
« Bien fait pour ta g…, sylvain, lui aurait dit son père, je t’avais pourtant défendu de monter sur les toits, les tessons sont pas des chats de bouteille, quand même ! »
De Lacan, j’ai lu sa thèse de médecine, éditée en octobre 1932 : « De la psychose paranoïaque dans ses rapports avec la personnalité » (Points n° 115)
Et surtout le témoignage de Pierre Rey, « Une saison chez Lacan » qui démonte bien le mécanisme de l’Horloger bavard, exploiteur de niais …
Miguel Grinberg, qui a connu et fréquenté Gombrowicz en Argentine, évoque ici sa personne et son œuvre :
http://www.muzeumgombrowicza.pl/es/filmy/film/55/encuentro-con-miguel-grinberg-parte-1
Miguel Grinberg est l’auteur d’un ouvrage sur Gombrowicz : Evocando a Gombrowicz, Buenos Aires, Galerna, 2004.
@12.09, Oui, vous avez raison sur l’origine
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Jeu_(g%C3%A9ostrat%C3%A9gie)
Cela dit, voyez-vous un lien quelconque avec le titre de C. Minard ?
il est sorti très amoché d’une terrible accident.
Pierre Assouline, vous ne censurez pas M. A. quand il chie sur tout le monde. Allez voir le fil de votre chouchou Reinhardt, c’est édifiant. Ni JC quand il traite Taubira de tous les noms. Mais Chaloux qui bouscule les bibelots, autre traitement. Vous êtes chez vous, je le sais bien.
Parler de Lacan de cette manière est absolument immonde. D’autant quand on sait ce qu’il en était en réalité. Qousque abutere, Pablo75, patientia nostra ?
Sur Lacan, je me souviens d’avoir entendu le témoignage d’un fidèle qui admettait que souvent il ne comprenait rien à ce que racontait le maître mais qu’il ne l’aurait jamais avoué sur le moment.
@ Widergänger
Au lieu de faire la vierge effarouchée, répond à la très sérieuse question d’Allouch à propos de Lacan: « Comment une pensée-caca pourrait-elle être en mesure d’opérer une castration anale? »
@ Chaloux
C’est quoi qui t’a été censuré?
Je suis tout à fait d’accord avec toi, Pablo, à propos des intellectuels que tu cites. Il y aurait vraiment un tri à faire. J’en ai lu certains, Foucault, Deleuze (même Deleuze, aujourd’hui sanctifié) mais force est de constater qu’ils ne comptent plus beaucoup dans mon paysage. Il y avait beaucoup d’illusion et d’artifice dans tout cela.
Quelques messages, trois fois rien.
@ Widergänger dit: 27 novembre 2016 à 12 h 33 min
« Parler de Lacan de cette manière est absolument immonde. D’autant QUAND ON SAIT ce qu’il en était en réalité. »
Puisque tu nous dis que tu connais la pensée de Lacan, soit altruiste et explique-nous « comment une pensée-caca pourrait-elle être en mesure d’opérer une castration anale ».
@ Chaloux
Mais sur quel thème?
Effarant, tant de sottises etd e prétention !
Tu n’est pas généreux, Widergänger. Quand a compris Lacan (chose que seulement quelques cerveaux privilégiés ont réussi à faire dans le monde depuis 50 ans) il ne faut pas garder pour soi un savoir aussi essentiel à l’avenir de l’être humain, mais le partager avec tous les amis et les admirateurs que tu as sur ce site.
Vas-y, sois charitable, fais un petit effort et explique-nous comment la « pensée-caca » de Lacan peut « être en
mesure d’opérer une castration anale ».
J’écoute ce qui se dit sur les primaires, et ke me dis que Hollande a été certainement meilleur qu’on ne le dit et que je ne pensais : il a précisé l’identité véritable du parti socialiste. Je pense qu’on le jugera plus positivement après quelques temps. C’est sa chance, d’ailleurs (pour répondre sérieusement à JB).
Sokal & Bricmont sont très controversés. 10 roupies que personne ne se souviendra d’eux dans 10 ans, alors que Foucault & Barthes seront encore & toujours lus. Rien de plus brillant que La Chambre claire n’a été écrit sur la photographie; s’il existe une meilleure histoire du domptage des corps & des âmes que Surveiller & punir, je suis preneur.
Gombrowicz, à Berlin, à partir d’avril 1963, est très entouré par Peter Weiss et Ingeborg Bachmann.
Il est aussi approché par un agent du contre-espionnage polonais, Barbara Witek-Swinarska, journaliste, traductrice et épouse du metteur en scène polonais Konrad Swinarski, et envoyée à Berlin par le gouvernement communiste de Pologne pour espionner Gombrowicz sous le nom de code « Krystyna ». Elle publie, le 22 septembre 1963, dans un journal de Cracovie, une interview falsifiée de Gombrowicz qui le présente comme égotiste, mégalomane, antipolonais et le compare à Malaparte. L’interview déchaîne en Pologne une véritable campagne de lynchage médiatique de Gombrowicz dans la presse polonaise de l’époque avec une vingtaine d’articles violents parus dans les journaux communistes en Pologne mais aussi dans ceux de l’émigration à Londres. Seule la revue Kultura résista à cette vague d’opprobre qui s’abbatit sur Gombrowicz et prit sa défense.
Pratique immonde d’un État comme la Pologne communiste de l’époque. On peut imaginer ce que ça donnerait si on donnait le pouvoir à un affreux comme Pablo75.
Pablo, j’avais répondu à Bloom ce que je t’ai dit à toi, qu’il y avait vraiment du tri à faire.
Hallucinant. J’écoute BFMTV en épluchant des rattes, et les journalistes qui occupent le studio n’ont pas l’air de savoir qui est Jean-Claude Guillebaud, auteur d’une chronique sur Juppé dans Sud-Ouest, et présenté comme un simple « éditorialiste » du journal. Décidément, on n’est jamais au bout de ses surprises.
Mais bien sûr, Bloom. Mais ne perds donc pas ton temps à répliquer à l’affreux Pablo75. C’est accorder trop d’importance à ses immondices d’imbécile patenté et fier de l’être. Immondices qui polluent ce blog.
S’il faut remercier la RDL, c’est aussi pour ce privilège de voir dans les commentaires, le boursouflé et sa conseillère en com’- avec mes remerciements à miss Lancelin pour cet emprunt-:
« Lorsqu’ils s’exprimaient sur ce qu’ils pensaient être un site de rencontres, l’électricité entre eux était perceptible. Leur corps eux-mêmes se repoussaient comme sous l’emprise d’une espèce de danse nuptiale inversée assez remarquable; les deux explorant frénétiquement en quoi leur thérapie sexuelle avait échoué »
____________________
Polé, le grand jeu, c’est une expérience.
Peu commune.
Renvoyer à Daumal, et puis aussi à un spécialiste des sciences cognitives, auquel il me plaît de (re)penser, en ce jour de rencontres littéraires.
« Le bureau de vote de l’hôtel de ville d’Angoulême s’est un peu vidé vers 11 heures après une grosse affluence matinale. Il faut dire qu’il y a concurrence avec les Gastronomades, foire culinaire qui draine du monde en centre ville ».
(Le Monde)
On ne se refait pas. En période de disette, ça donne des laideurs comme le marché noir & des chefs d’oeuvres comme La Traversée de Paris.
De la démocratie à l’estomac à la démocratie de l’estomac…Barthes et ses mythologies, le glaireux du steak & son irrésistible appel auprès des polymusclés intermittents..
Fidèle Gastro…
Je pense qu’il ne restera pas grand-chose de Barthes, si ce n’est l’image d’un homme touchant. Quant à Foucault, il en fallait un. Cela dit, je peux comprendre qu’on leur soit sentimentalement attaché. Mais c’est un autre registre.
Touchant et touché, Chaloux, fauché en pleine santé par une camionnette de blanchisserie, alors qu’il se rendait au Collège de France. Mort de l’auteur.
Le roman de Laurent Binet, La Septième fonction du langage, est un Tombeau de tout premier ordre.
Au sortir d’un déjeuner avec Tonton, dont la fréquentation pouvait être mortelle, comme on le sait)…
closet n’est sous l’emprise absolue de rien ni personneet il nous apprend toujours des tas de choses trop instructives
Bloom 13 h 42 min
et il traversait dans les clous!
Chaloux dit: 27 novembre 2016 à 12 h 32 min
il ne doit pas les lire il tient à sa santé
L’écrivain britannique Piers Paul Read a publié en 1976 un roman dont le héros s’inspire de Gombrowicz, qu’il a connu à Berlin : Polonaise. Bloom le connaît-il ?
J’ai jamais aimé les camionnettes/fourgonnettes. Un camion, ça en jette, une voiture, ça se fait plus ou moins volumineux, mais la camionnette/fourgonnette, c’est un hybride sans classe. J’en ai conduite pour Allo Courses (l’arnaque); en panne rue de Crimée, sans de frein à main, le jour du 2e concert de Bob Marley à Paris; heureusement, pas de Barthes à l’horizon…
J’aime pas les blanchisserie non plus, sauf dans Luky Luke.
Non, ML. Je ne connais pas cet auteur. En revanche, j’ai lu quelques poèmes de son père, Herbert Read. Pas de souvenir précis…
le député de saint-germain des près si cher à klo zette au programme si différent de celui de droit dans ses bottes …ya de quoi rêver !
Blabla: » On peut imaginer ce que ça donnerait si on donnait le pouvoir à un affreux comme Pablo75. »
On ne peut pas imaginer ce que ça donnerait si on donnait le pouvoir à un lourd.ingue comme Blabla.
Fillon va faire autour de 80% contre Juppé. Ça va être un ras de marée pour Fillon. Juppé a été très mauvais contre Fillon, comme s’il n’avait plus envie de l’emporter. Il est politiquement fini, le Juppé. Il n’a même plus la foi, ça se sent dans sa voix, les bourdes qu’il fait, etc.
Prochaine élections : Valls contre Fillon. Du moins dans le scenario le moins trouble.
Décidément ce pauvre diable de Widergänger il est totalement incapable de penser tout seul. Il a besoin toujours de plagier tout le monde, y compris le type qu’il hait le plus ici, c’est-dà-dire moi.
Le 1 novembre je me suis mis ici à faire l’éloge de Gombrowicz en général et de son « Journal » en particulier, et, comme par hasard, quelques jours après Blabla a commencé à lire son « Journal » et à nous le commenter ici comme s’il était un expert gombrowiczien – alors qu’il ignorait même ses cours de philosophie.
Il y a un peu plus d’une semaine, je lui ai écrit:
« Un type comme toi sous Staline aurait fait une carrière extraordinaire (et moi je serai au Goulag grâce à toi depuis longtemps). »
(Pablo75 dit: 19 novembre 2016 à 21 h 42)
Et lui il me plagie aujourd’hui:
« Pratique immonde d’un État comme la Pologne communiste de l’époque. On peut imaginer ce que ça donnerait si on donnait le pouvoir à un affreux comme Pablo75. »
(Widergänger dit: 27 novembre 2016 à 13 h 14 min)
Entre temps il a oublié Heidegger et Blanchot, dont il a dû enfin comprendre le ridicule achevé à force de lire de vraies citations d’eux (sur lesquels il n’a lu que des commentaires de commentaires).
Et bientôt il va commencer à nous parler de Maître Eckhart, à nous dire qu’on a rien compris de sa pensée, nous ses chéris, qu’il faut le lire pour comprendre l’effondrement de l’Occident et la pensée de Spinoza, sans oublier la guerre mondiale en 2030 (euh…ou ça c’est At.ta.li?).
@ Chaloux
« On ne peut pas imaginer ce que ça donnerait si on donnait le pouvoir à un lourd.ingue comme Blabla. »
On peut se faire une idée en voyant le coréen Kim Jong-un.
En tout cas, toi et moi serions les premiers fusillés (après de longues séances de torture: la lecture des Oeuvres Complètes de Heidegger, Blanchot et Lacan à haute voix).
« Sokal & Bricmont sont très controversés. »
Forcément, ils ont mis en danger tellement d’intérêts…Mais on attend toujours une véritable réponse qui désamorce leur génial canular.
« Le roman de Laurent Binet, La Septième fonction du langage, est un Tombeau de tout premier ordre. »
Il y a eu un net reflux de ces auteurs à partir des années 80, notamment dans l’esprit du public. Leurs travaux ont désormais été dirigés vers le petit monde fermé de l’université, sauf exception. Je crois que néanmoins le meilleur de Derrida, par exemple, date de ces années-là, des livres plus simples (parfois), moins illisibles. Derrida se posait la question d’écrire pour tous les citoyens, tous les hommes. Et donc, plus globalement et pour finir, un grand dommage : le confinement de la pensée (de la French Theory) sur un pré carré universitaire.
Chaloux dit: 27 novembre 2016 à 13 h 29 min
Je pense qu’il ne restera pas grand-chose de Barthes, si ce n’est l’image d’un homme touchant. Quant à Foucault, il en fallait un. Cela dit, je peux comprendre qu’on leur soit sentimentalement attaché.
Ma foi, ce genre de prédictions à la mords-moi-le-noeud, pourquoi pas ? On peut prédire le contraire de façon tout aussi crédible. En revanche, on peut prédire à coup sûr que, de Chaloux, il ne restera rien. Sur quelques uns des apports de Barthes et de Foucault, je conseille la lecture de « Styles/Critique de nos formes de vie », par Marielle Macé (Gallimùard).
Chaloux dit: 27 novembre 2016 à 13 h 29 min
Je pense qu’il ne restera pas grand-chose de Barthes, si ce n’est l’image d’un homme touchant. Quant à Foucault, il en fallait un. Cela dit, je peux comprendre qu’on leur soit sentimentalement attaché.
Ma foi, ce genre de prédictions à la mords-moi-le-noeud, pourquoi pas ? On peut prédire le contraire de façon tout aussi crédible. En revanche, on peut prédire à coup sûr que, de Chaloux, il ne restera rien. Sur quelques uns des apports de Barthes et de Foucault, je conseille la lecture de « Styles/Critique de nos formes de vie », par Marielle Macé (Gallimard).
C’est curieux, je ne suis encore pas de l’avis de Blabla. J’aurais plutôt l’impression qu’on a fabriqué un gros soufflé, Fillon, pour éjecter Sarkozy, qui va se dégonfler en une journée. Et que le candidat sera Juppé. Je peux me tromper, et certainement je me trompe.
Cette photo de Pierre Guyotat, devant la statue de Racine, elle a été prise où, Passou ? A la Comédie française ?
Jeannot, je ne suis pas encore sous morphine, et je parle de deux œuvres que j’ai lues.
Pablo, ensuite il épouserait un esclave et accoucherait d’un crapaud, comme Néron.
« En tout cas, toi et moi serions les premiers fusillés (après de longues séances de torture: la lecture des Oeuvres Complètes de Heidegger, Blanchot et Lacan à haute voix). »
Trop doux, Pablo. Souviens-toi que Kim Jong-un a fait dévorer vivant, par des chiens enragés, son propre oncle !
Sans parler des exécutions au canon.
J’ai toujours eu moins de plaisir à lire Barthes que Genette, sans parler de Blanchot qui est un cas à part. Les « Fragments d’un discours amoureux » par exemple m’ont toujours barbé. Que c’est prétentieux et vide ! Marguerite Duras, qui avait le bon oeil, n’aimait pas Barthes.
Ce qui est touchant chez Kim-Jung-un, c’est qu’il aime l’emmental.
« J’en ai conduite pour Allo Courses (l’arnaque); en panne rue de Crimée, sans frein à main, le jour du 2e concert de Bob Marley à Paris »
Tu fais aussi fonction de régisseur, Bloom ?
Le discours amoureux, c’est ce que Barthes a écrit de pire.
A propos de Duras, un grand livre de critique littéraire, vraiment grandiose, c’est « La communauté inavouable » de Blanchot. Un livre difficilement surpassable, et qui a donné lieu à plein de commentaires.
La question de la réception de la philo est intéressante. Ne jamais oublier que Derrida a fondé, avec JL Nancy & Ph. Lacou-Labarthe, le GREPH, le groupe de recherche sur l’enseignement de la philo, qui militait pour qu’elle soit enseignée dès le collège & qu’il a présidé à la création du Collège international de philosophie.
Difficile de désenclaver la philo de l’espace universitaire ou du Bassin aux Ernest, mais Derrida a tenté de le faire.
Bien trop jeune, Baroz. Je suis certainement une des rares personnes à avoir vu Bob Marley 3 fois… la dernière, au Bourget, alors que je revenais d’une année passée à enseigner le français dans les brumes écossaises, était peut-être celle de trop…
Qui a peur de la philosophie? GREPH, Champs Flammarion, 1977.
Ha ben non, Lacan à haute voix, c’est le mec qui lit, qu’est torturé ! Passeque même s’il se met du persil dans les horeilles, il entend quand même… Ca fait laryngophone, quoi ! C’est comme Sega c’est plus fort que toi…
Dimanche, Madame Verniglia nous informe :attroupement devant le deux pièces-cuisine de JC au Camp à Nella, intervention des pompiers à cause de la fumée épaisse sortant par ses deux fenêtres : début d’incendie dû à un court-circuit d’ordinateur non éteint pendant qu’il est parti faire son temps de garde de flic municipal armé, les gens rigolent, ya d’la joie
A tous les coups Nixon il lui répond pas il est en train de se dire que son lacet est défait… Ca va chauffer ! C’est du cuir soviétique des ferrures soviétiques c’est cent fois plus coriace que l’american steel…
William Legrand dit: 27 novembre 2016 à 16 h 00 min
début d’incendie dû à un court-circuit
Cela arrivait sur certaines cinq cent quatre (berline) à un moment… le gars filait au boulot à pied pour en racheter une !
Lorsque les quelques vers de terre de ce blog et des médias éructent le nom de Fidel Castro, je sors ma kalachnikov. Comme disait l’autre, les assassins sont parmi nous. Lisez dans Le Monde d’hier l’article de François Bougun : « Les 638 fois où la CIA a voulu se débarrasser de Fidel Castro ». Moi, je me souviens de » se acabó la diversión / llegó el Comandante y mandó a parar ». Aujourd’hui, chez nous, on dit : « l’identité heureuse ». Cherchez l’erreur.
Plus forte participation que la semaine dernière…
Buena Vista Social Club ‘Chan Chan’ (du film de Wim Wenders ) –
https://www.youtube.com/watch?v=UXwLBS3yUkA
Combien de temps avant que Cuba ne redevienne le bordel de l’Amérique?
Lire ou relire Alejo Carpentier, qui fut ambassadeur de Cuba en France. Après avoir lu son « Siècle des Lumières », Marques remania complètement son Cent ans de solitude. On est sur les sommets.
Mon impression est que dans le geste suicidaire d’un président déchu qui n’a plus rien à perdre en salopant les siens, son idée fixe est de vouloir y naufrager définitivement avec lui-même le PS et une social démocratie qu’il hait depuis longtemps. Il préfère ne laisser aucune trace de leur passage dans l’histoire du pays, en dehors de la sienne, en un geste d’une profondeur érostratique savamment calculée de fort longue date. Quitte à laisser ramasser le flambeau durant des plombes par la droite la plus conn.e et fasciée du monde, vu qu’il a réussi son équation personnelle à plusieurs inconnues moins une : liquider une bonne fois pour toute la sark.ocratie, éjectée dans l’espace par les siens, dont il s’est justement fait détester jusqu’au bout, pour l’aider à leur insu dans son entreprise d’autodestruction.
« Tchao les gars, vous allez pouvoir morfler maintenant », s’est-il dit, satisfait de lui-même.
Jibé dit: 27 novembre 2016 à 17 h 38 min
Plus forte participation que la semaine dernière…
–
J’ai intégré cette nouvelle donnée dans mon calcul et ça ne change presque rien au résultat de mai 2017 : Marine Le Pen élue au second tour avec 1,5 à 3,5 millions de voix d’avance sur Fillon.
Bloom de la Poutre dans l’Œil,
Cuba a tout à gagner s’il redevient le bordel de l’Amérique après avoir été le bordel castriste. Car le bordel de Castro, c’était des p.utes, … et pas de clients !
On peut tout acheter à Cuba. je connais un type qui a enregistré un disque en ayant fait composer la musique par un cubain (en le payant des clopinettes)et en se l’appropriant. Je pense qu’il est aussi possible d’acheter des manuscrits, et toutes les sortes de créations possibles.C’est une société insensée.
Les cubains de Cuba sont les nègres des cubains du monde libre.
Fillon va l’emporter entre 75 et 80%.
Fillon va y aller à coups de serpe dans le clan Juppé. Exil, bannissement, la revanche de l’humilié, ça va faire mal !
Notre Fidèle Cas.tré a toujours fait dans la nuance…
Il faut avoir un peu pitié du peuple cubain, qui n’en peut mais après une dictature épouvantable et qui continue. Quand va-t-on juger Raoul Castro au TPI ? C’est trop tard pour Fidel.
Il va maintenant falloir avoir pitié du peuple français.
Le porc queue rot laid est un triste sire. J’ai autrefois autorisé l’union cycliste et pédestre londaise à traverser mes terres pour une de leurs compétition. Il est prévu que nous viendront bientôt, mon ami photographe cubain A. Arias et moi-même, prendre quelques clichés de ces beaux arpents et en sus immortaliser un spécimen en voie de disparition, un Varois non lepénisé, pour un vaste projet inspiré de la WPA. Franchement, l’ami Arias n’a pas à rougir.
« qu’il est aussi possible d’acheter des manuscrits »
Lire Padura (auteur de romans policiers, je sais c’est nul)
Oui, c’est possible.
Fillon a gagné, chouette, Hollande retrouve une chance et, sans rire, le prochain président de la RF aura moins de 40 ans.
Rien que pour faire plaisir à JC.
viendronSSSSSSSS
Pado : Oui, c’est possible.
Quand Cuba sera vraiment libéré et qu’il faudra rendre à César, il risque d’y avoir de grosses surprises. J’attends ce moment avec une certaine impatience.
Les Corgi font de la lèche:
Fidèle Juppé, Fidèle Sarko,Q bas libérés, hasta la victoria siempre!
Le vaudeville politique continue. Deuxième acte, les primaires de gauche…On purge Bébé!
Clopine, définitivement un cas à part… dit: 26 novembre 2016 à 15 h 26 min
« Nobel qui chante le mieux de sa voix de schrepnel
c’est une petite bille qui associée à des centaines d’autres petites billes était le contenant d’obus allemand et lorsque cela pétait c’était tragique.
c’était mortel clopine
https://todayinsci.com/S/Shrapnel_Henry/ShrapnelShell300px.jpg
« La primaire, déjà une excellente opération financière pour le futur candidat de la droite
Ce sont au moins 7,5 millions d’euros qui iront directement sur le compte de campagne du candidat de la droite, ce qui facilitera grandement les négociations avec les banques….
‘Merci aux électeurs de Gauche qui participent à nos #Primaires: aucun impact sur le résultat mais leur 2€ financeront nos présidentielles’ » (’Thierry Mariani)
(Lemonde.fr )
D’un autre côté ces deux euros ne sont rien au regard de ce que cette élection leur coutera après. Il faut être philosophe.
« ANALITÉ
-C’est ce mouvement qui, si je puis dire, légitime le besoin comme don à la mère.
-Ce que le sujet peut donner est exactement lié à ce qu’il peut retenir.
-Remarquez-en la conséquence – la marge de la place qui reste au sujet, autrement dit le désir, vient dans cette situation à être symbolisée par ce qui est emporté dans l’opération. Le désir, littéralement, s’en va aux chiottes. La symbolisation du sujet comme ce qui s’en va dans le pot ou dans le trou, nous la rencontrons dans l’expérience, comme liée le plus profondément à la position du désir anal.
-Fantasme fondamental de l’obsessionnel – C’est sur le fondement [c’est le caca de le dire] de sa propre élimination qu’il fonde tout ce fantasme.
-C’est dans la relation anale que l’autre comme tel prend pleinement dominance. Et c’est justement ce qui fait que le sexuel se manifeste dans le registre propre à ce stade. Nous pouvons l’entrevoir, à rappeler son antécédent, qualifié de sadique-oral. Parler de stade sadique-oral, en effet, c’est rappeler en somme que la vie est en son fond assimilation dévoratrice comme telle.
-Il y a, au stade anal, comme un reflet de ce fantasme. L’autre étant posé comme le second terme doit apparaître comme existence offerte à cette béance. Irons-nous jusqu’à dire que la souffrance s’y implique ? C’est une souffrance bien particulière. – je dirai qu’il s’agit d’une souffrance attendue par l’autre. La suspension de l’autre imaginaire au-dessus du gouffre de la souffrance, est ce qui forme la pointe et l’axe de l’érotisation sado-masochiste. [D’accord, mais de quelle béance/souffrance s’agit-il in concreto, si j’ose dire : est-ce de traiter l’autre « comme une merde » ? ou bien de « lui envoyer sa merde à la figure » (« figure » initialement « explosive » de toute VIOLENCE !) ? et sans doute de se prendre soi même pour un étron…] C’est dans cette relation que s’institue au stade anal ce qui n’est plus seulement le pôle sexuel, mais va être le partenaire sexuel. – [c’est que] dans le premier mode de son aperception, l’autre doit être, comme tel, livré à un tiers pour se constituer comme sexuel – le sexuel reste indéterminé entre ce tiers et cet autre. – le témoin sujet à ce point pivot du stade anal, est (…) la mère [il semble bien qu’elle occupe plus exactement les deux rôles, de l’autre et du tiers, du fait qu’elle soit une demande]. »
(Lacan)
Il faut également dire merci dignement ce soir aux responsables politique hollandiens, et puis à l’utra-gauche dont le lider a récupéré à l’insu de son plein gré l’électorat communiste, qui nous donne un spectacle, au-delà du pathétique.
Façon tontons flingueurs:
« Non mais t’as déjà vu ça ? En pleine paix ! Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance, et une sévère… Je vais lui montrer qui c’est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu’on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi, quand on m’en fait trop, je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile ! »
Et Cohn-bandit, porte parole allemand, lançant à Mélanchon qui lui interdit de le tutoyer en public- à la télé, en direct-, en substance: va te faire voir, retourne chez Castro.
« TROU
S’il y a quelque chose qui pour nous supporte l’intuition du tore, c’est cela : un macaroni qui se rejoint, qui se mord la queue ; c’est ce qu’il y a de plus exemplaire dans la fonction du trou. Il y en a un au milieu du macaroni et il y en a un courant d’air (…) ce trou courant d’air irréductible, et si nous le cernons d’une coupure, c’est proprement là que se tient, dans les effets de la fonction signifiante, « a », l’objet en tant que tel. Ceci veut dire que l’objet est raté, puisqu’il ne saurait en aucun cas y avoir là que le contour de l’objet, dans tous les sens que nous pouvons donner au mot contour. [cf. cross-cap] – [la place du trou] Cette surface ainsi structurée est particulièrement propice à faire fonctionner devant nous cet élément le plus insaisissable qui s’appelle le désir en tant que tel, autrement dit le manque. »
(Lacan)
Lacan habillé pour l’hiver, par l’un des papes de la psychanalyste française:
« Lacan et lacannerie »
Daniel Sibony: « Fascination pour Lacan »
Daniel Sibony: « Que reste-t-il encore de Lacan ? »
Macron, le bon fils de la » famille » hollandienne, fait maintenant une contre-offre » économique ». L’assassinat politique du père.
Après les cars Macron, le voilà à la tête d’une entreprise de récup’, faisant dans les ordures ménagères. Il recycle tout.
la vie dans les bois dit: 27 novembre 2016 à 21 h 48 min
Et Cohn-bandit, porte parole allemand,
Le suppot du Génie des Alpages va de mal en pis.
La vieillesse est une bien triste fin pour celle qui était déjà agonisante à vingt ans
Du calme fournier, le pire arrive pour les hollandiens: leur candidate sera au second tour, comme le confirme philippot son parte-parole qui-plaît-aux-hommes.
Ma Chère « Mourir seule dans le désert » votre homophobie congénitale s’exprime toujours avec un tel accent de sincérité que j’en suis toujours aussi émerveillé.
Merci
@22h41, serre les fesses, ça va bien se passer.
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https://www.youtube.com/watch?v=w0UPcdYAMqg
très bonne nuit.
C’est sûr que dans le désert si on attend qu’il y ait un type qui passe avec de la ciguë…
Jubé, La photo a été prise au foyer du théâtre de l’Odéon
Sur quelque 34 millions d’électeurs en France, seuls 3 millions se sont portés sur Fillon. Et c’est à partir de là qu’on spécule sur les réussites de Fillon en main prochain !
De qui se moque-t-on ? Est-ce que la politique en France est décidée par 3 millions de votants ?
Ces 3 millions de votants montrent au contraire combien ceux qui veulent notre perte sont minoritaires en France. Il devrait être facile de les écraser à plate couture si la gauche était moins bête, et unie contre la barbarie du néolibéralisme.
La seule chose à se demander à ce stade, c’est si Fillon fera le poids au second tour de la présidentielle. Contre un candidat de gauche, sans doute. Mais contre la candidate d’extrême droite, ce serait plus partagé. Tout va dépendre maintenant de sa campagne, et ce n’est certes pas joué d’avance. Le suspens est grand.
…
…des primaires de » droite « ,!…fidèles à cols blancs, des affaires lobbyings des élites du poils sur internet,!…
…plus près du cochonnet du capital!…
…
…bon, le chiffre de moins de 5 millions de droites,!…
…
…ajoutons,?…des primaires aux Le Pen Clans C° Trusts Familles,…les cléricaux et militaires avec l’administration et transparents aux liens d’enseignants, d’héritiers en connivences,!…
…
…faite l’addition académique,!…
…
…bon, aux primaires de gauches, nous aurons le même chiffre de 5 millions de gauches,!…
…
…il nous reste,!…50.000 millions de français,…victimes, manipulés à tours de bras et de mains,!…
…
…un French-xit,…le peuple innocent, qui existe, manipulé par ces élites de la grande-gueule,!…
…c’est idem, dans les autres pays d’Europe,!…mais, si,…mais Si,!…etc,!…
…en passant,!…
…
…Ah,!…le vote obligatoire, ou sanctions de taxes,!…
…
…çà va rapporter gros,…au final,!…
…
…ou est la gauche,!…un directoire de banquiers,!…
…
…un livre,…la République des Banquiers, J.-L. Chastanet,…1928,…(député de l’Isère),…les Editions Georges-Anquetil Paris.
…de quoi rire, la démocratie à Pétain,…
…etc,…
34 millions d’électeurs en France
Non, 44,6 millions.
Elections, piège à … ce qui en fait beaucoup, moi y compris. Allez, au lit.
Gauche morte, où ne subsiste que quelques fleurs jaunies, et disparates, sans boutons, sans espoir …
Droite présentable, sérieuse, conservatrice et réactive, qui marque des points avec cette unité de façade …
Peuple français, éclaté culturellement, religieusement, politiquement, économiquement entre privilégiés et oubliés …
Folie syndicale de la CGT dévoyée, entreprise de démolition bien connue, qui parle de 3eme tour de la Présidentielle, les pauvres glands !
Jusqu’ici, tout va bien ! mais comme on n’échappe pas aux réalités du monde … attention, ça va, ça doit péter !
Conclave à Châtel-Guyon « Sauvons la rente » – la lecture de Balzac, La maison Nucingen et César Birotteau par préférence, seront des viatiques appropriés.
Grande satisfaction que la Vioque de Cuba ait fini par crever !
Politiquement, le retour de Pépé Juppé à la Maison de retraite bordelaise m’enchante : il y a toute sa place…
Notre chère Walkyrie à la blondeur affriolante a du souci à se faire !
Le libéral dégoupillé, catholique, austère, François Fillon est plus à droite qu’elle. L’ambition nationale et socialiste du FN fait, du coup, un peu ringarde, un peu vieillotte ….
Autour, la mer des Ego charrie encore de curieuses candidatures qui ne pèsent que leur poids de nostalgie. AUBRY, TAUBIRA, HIDALGO : les trois Moustiquaires. Pathétiques !
Si François Fillon ne se montre pas fin politique, càd s’il n’abandonne pas rapidement ses promesses de candidat aux primaires de la droite, le prochain président du pédalo hexagonal s’appellera Marine Le Pen.
Ce serait un comble : un vote-refuge FN, pour des Français angoissés par le libéral cruel FF !
«Va te faire voir», a lâché Daniel Cohn-Bendit à Jean-Luc Mélenchon sur France 2.
Vœu pieux ! Soyons honnêtes ! Qui a envie d’aller voir la Mélenche à poil, politiquement ou autre… !
« La rivalité Valls-Hollande pour la présidentielle serait presque burlesque si les deux protagonistes n’étaient à la tête d’un pays en grande difficulté. » (Le Point)
Exact … pour une fois qu’une journaliste va à l’essentiel ! Saluons Coignard !
Le jour se lève : jogging en fauteuil roulant et survêtement castriste …uhuhu !…
Dans On purge Bébé de Feydeau, Chatel-Guyon est le pôle opposé de Plombières:on y soigne la consptipation, alors que la seconde est recommandée aux troubles du transit relâché.
Huile de ricin, bouillon de onze heures, une potion bien amère dans tous les cas.
@D,
pour saumon et noisettes voir « Le Pot d’Or » de James Stephens.
Widergänger dit: 27 novembre 2016 à 23 h 43 min
De qui se moque-t-on ?
faut bien que les journalistes gagnent leur pain au chocolat
les MEILLEURS journalistes
On purge Bébé, de Feydeau,
On purge Pépé, de Fillon !
Substituer la raison à la croyance (aussi qu’aux croyances parallèles), c’est facile à dire, pas à faire car la connaissance du monde nous amène à la dissolution des formes connues, ces cocons où les pantouflards aiment trouver refuge : « Que vivent donc les formes connues ! », disent-ils ; et se refusent à les abandonner jusqu’au moment où ils comprennent que l’on n’échappe au caractère concret des choses seulement parce que l’on en a adopté les noms, mais c’est toujours trop tard et aucun subterfuge ne pourra éviter les inconvénients d’un choix de confort ; ainsi ils s’obligent d’admirer tout ce qui est désavantageux pour les arts… Le moyen le plus court de se convaincre ? l’artiste doit être génial et en même temps leur ressembler ; produire la plus fine analyse psychologique et la plus pertinente observation sociale en les entremêlant de sentimentalisme bon marché ; faire dans le masscult tout en leur donnant l’illusion de participer de la culture haute ; etc. Certes, si leur imagination se réveille, un moment de surprise est possible, mais il ne faudrait surtout pas y compter. Löwith à propos du nietzschéen éternel retour : « la tentative de reconnecter l’existence excentrique de l’homme moderne à la totalité naturelle du monde »… évidemment, à force de lambiner, de traînasser ils tournent à vide et c’est la nature qui intervient, qui agit : évolution biologique et évolution culturelle, à chaque idée neuve répond l’exigence de trouver une meilleure interaction avec l’environnement, comme les mutations génétiques d’ailleurs, et grâce à la « sélection naturelle » seulement survivent les hypothèses plus adéquates à la solution d’un problème qui se pose à un moment donné, et voilà que inspirés par leur traditionnelle prudence, les amateurs de formes connues commencent à tisser des cocons en adéquation avec la situation nouvelle… « Singin’ in the Rain », parce que une belle journée on ne peut la nier à personne.
le provoc varois perpetuellement coincé dans son pot de chambre
Passionnant ce petit week end, la Revolucion est en marche ! Nan j’déconne. https://youtu.be/IN-g2GMmPH0
Belle journée
Billy pop n’aime pas Portabales, cet algorithme à des goûts de chiottes. À mon humble avis Passou tout cela n’est pas très sérieux.
Ah ! cette « attente de modération » !
Etudiant en lettres ? un véritable billet d’accès à Polemploi !… et mal indemnisé … uhuhu !
…
…le même mélange de viande hachée tout les matins,!…
…
…la solidarité des gauches données à bouffer,!…
…
…la classe empiffrée, unie,!…etc,!…
…
…le bordel français, sous l’égérie britannique,!…
…
…l’union, sous la nouvelle paix de cent-ans,!…
…
…la politique à profondeur de champs,!….un flou, au macro,!…etc,!…
…
…Ah,!Ah,!…à ménager son Ménanchon,!…
…la France d’en bas , en haut à ses couleurs de vivre ensemble les participations privés et publiques,!…aux citoyens french-look,…etc,!…Go,!…
…
le pot de chambre varois est en manque de pq
Les extraits de Lacan donnés par Pablo sont grandioses. On dirait un canular de Sokal et Bricmont. Peut-être est-ce un canular de Pablo?
Il est exact que les juifs ont connu les souffrances de la guerre, de l’internement, de la déportation, des camps de rétention, des camps de concentration, des camps de travail forcé, des ghettos, des épidémies, des exécutions sommaires pour toutes sortes de raisons; ils ont aussi souffert de représailles ou même de massacres car il n’est pas de guerre sans massacres.
Mais il est également vrai que toutes ces souffrances ont été aussi le lot de bien d’autres nations ou communautés pendant la guerre et, en particulier, des Allemands et de leurs alliés (les souffrances des ghettos mises à part, car le ghetto est d’abord et avant tout une création spécifique des juifs eux-mêmes ; il est surtout vraisemblable, pour qui n’est pas affligé d’une mémoire hémiplégique et pour qui s’efforce de connaître les deux faces de l’histoire de la seconde guerre mondiale (la face toujours montrée et la face presque toujours cachée), que les souffrances des vaincus pendant la guerre et après la guerre ont été, en nombre et en qualité, pires que celles des juifs et des vainqueurs, surtout pour ce qui est des déportations.
Lacan était un c.on qui prenait les c.ons pour ce qu’ils n’étaient pas : des c.ons. Et il en vivait …
Nicolas, lorsqu’on est vainqueur et qu’on écrit l’histoire, on s’arrange ! Dame, c’est le moment ou jamais !
« L’œil était dans le pot et regardait l’étudiant … penser » (Totor, poète)
Personne ne le dit mais Clovis était pd.
…
…n’importe quoi du profit, a se justifier,!…
…
…en attente des ghettos, sur piloris,…sa foi aux dieux Baal, des profits,!…
…
…glousse mon dindon, avec ta dinde,!…
…
…l’avenir à poêle,!…,Ah,!Ah,!…se jaser,…d’esprits,…etc,!…
…
Vexé, le jcpq
Va tutoyer Castro.
…
…nos Hamilton,…de la suisse des cuistres,!…j’adoube,!…
…
…vous poser, ou vous changer de pièce et mouvement,!…
…
…vous perdez, par dépassement du temps sur l’échiquier,!…
…
…trop tergiverser plus ultra, conforme à un splendide » échec et mat,!…suivant,!…
…etc,!…
Mélenchon, pur bourgeois caviar et privilèges divers, représentera les cocos qui végètent encore dans les bobos universitaires planqués, et ceux du Paf hexagonal rebellisés !
Combien peut il espérer en 2017 ? Quelques pourcent, au mieux… !
Il s’en fout, ça lui permet de causer dans le poste, de sortir des énormités politico-économiques, s’il est invité sur la chaine sans audience RUINES de GAUCHE.TV !
…
…rectification ,!…of course,!…
…
…nos Hamilton, de la cuisse des cuistres,..
…etc,!….
Je comprends que, pour le duo JC-Pablo, soutenu par le caporal Delaporte, les extraits de Lacan cités par le réactionnaire jésuitique du blog soient regardés comme ridicules. Pour les autres, en revanche, ce sont des textes pleins de sens et de beaux morceaux littéraires.
Mais il est vrai que Pablo considère Foucault et Deleuze comme des nullités. Il y a donc de la cohérence dans son propos. Idem pour JC, dont le mentor en matière de politique culturelle est, je crois, Nadine Morano.
Un poste à pourvoir dans l’état-major filloniste : responsable de la cochonnaille pour andouille haineuse: JC, FAVORI
Lacenaire, je serai enchanté de travailler, comme andouille, avec un Ministre de la Culture de ton niveau…
Quand on songe à Belkacem à l’EN, tout est possible…. même le « plus pire ».
Enthousiasmé par les éléments de guerre civile qui se mettent en place, (brrrr, la moustache et la force morale de Martinez me fascinent), je viens de faire cadeau* à François Birut -le Centre en mouvement- pour 2017 … de mon fauteuil roulant R&R.
(* ce n’est pas tout à fait vrai, puisque j’ai reçu de l’argent des différents diacres des différentes chapelles centristes…)
Vous allez arrêter de refourguer votre propagande, le troll du FHaine?
SERVICES NEWS
En cas de victoire de François Hollande, candidat en 2017 :
– Hidalgo à l’aménagement de la Ville et du territoire
– Ségolène à la Famille
– Julie Gayet à la Culture
– Valérie Rottweiler à l’Intérieur
– Hélène B. au pucier…
….sous toutes réserves…. nos sources étant fortement polluées par l’aquavit…
Fillon avait l’air stressé du derche lors de son discours, on n’aurait dit que c’était sa première communion. Le plus émouvant étant son auditoire d’enfant de coeur osant à peine élever la voix, j’en suis tout retourné.
« Vous allez arrêter de refourguer votre propagande, le troll du FHaine? » (un crétin)
Non…
« responsable de la cochonnaille pour andouille haineuse: JC, FAVORI »
ce n’est que justice car quart de neurone le vaut bien, pour lui c’est honorifique
Tant pis. Racisme, sexisme, xénophobie, il y a suffisamment de quoi faire.
C’te tuerie https://youtu.be/DNbn2Ca935I
Toujours des surprises.
Ce matin, on apprend par l’auteur d’un dictionnaire amoureux de Tintin, chez Plon, que Milou est une chienne.
Les arguments avancés par son auteur sont très audacieux, Milou ne « renifle » pas. Les os à ronger d’A. Algout canin sont en ruban rose…
Il affirme par ailleurs que la Castafiore est un trans, selon l’équation suivante, accrochez-vous les tympans:
Castafiotre= castrafiore= castré = castrat, la diva est un castr, heu, un divo.
En l’honneur de Castro le libertin la métaphore du toast grillé, personnellement je l’aime badigeonné de crème fraîche, comme ça jeux peux lécher la crème et en remettre, lécher, badigeonner, lècher, badigeonner… jusqu’à ce que le pain fonde sur la langue… https://lesfessesdelacremiere.wordpress.com/2016/08/24/sacralisation-du-sexe-vs-proselytisme-bdsm/
Ton lien, Petit Nicolas, montre bien que tu as redoublé beaucoup de classes préparatoires….
Pas compris.
Maintenant qu’on s’est pris Fillon ,que slimazi Juppé rentre à Bordeaux il va falloir se montrer vigilant ! Din(la loi ) du score pas toujours la meilleure .Beau billet d’Annelise sur une jeune réalisatrice afghane : Mme Le Pen risque d’avoir zéro voix venant d’elle…
Nechama(âme) pure!
Sur RDC Annelise nous apprend que les portugais sont gays .Et les Espagnols alors ?
Bin moi j’voudrai une interviou direct live de JuJu; qu’est ce qu’il va faire maintenant? Si Ali est née à Bordeaux elle a peut être un tuyau?
Wgg est demandé sur RDC par Ericsen pour débat à la Sorbonne.
Je rigole mais Ali-R,c la grande classe.
les portugais sont gays .Et les Espagnols alors ?
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Il sont gnols, tout simplement
la vie dans les bois dit: 28 novembre 2016 à 12 h 27 min
Milou est une chienne.
Faudrait voir comment B&bert voit le problème ; si c’est : « il (Bébert) veut le dérouiller tout de suite », Milou serait quand même un chien.
Sinon, il peut y avoir des chances…
Et puis Milou est plutôt au whisky qu’au porto…
BEbert, Trommelfeuer !
Nicolas de 9.34, Pouvez-vous nous préciser à quels « vaincus » vous faites allusion ?
Je ne fais allusion à rien du tout cher Passou je recopie des arguments de négationniste, Faurrisson je crois, juste pour montrer que Billy pop est stupide voir contre productif ou à minima paramétré à la mort moi le nœud.
Passou voit Nicolas faire des allusions là où il n’en fait pas, le petit Nico … Mystère et moule de clone !
voire
Eh bien si Passou est là faut regarder il doit y avoir des coms libérés.
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