
Servitudes et grandeurs d’un éditeur de combat
A quoi reconnait-on un éditeur qui n’édite plus ? Toujours un grand lecteur à ceci près qu’il ne tient plus un crayon entre les doigts, ne corne plus les pages et rumine avec délice le vieux dicton : « Les manuscrits on les reçoit, les livres on les choisit ». Le cas d’Éric Vigne (1953) qui vient de quitter Gallimard après y avoir passé trente-six années à la tête de la prestigieuse collection, pardon de « l’espace de publication », labellisée « nrf essais » en lettres bleues sur une couverture grise légèrement gaufrée. C’est peu dire qu’il y aura grandement contribué à la restauration d’un genre. Le dernier livre dont il eut à s’occuper est un rapport d’étape en guise d’adieu à la profession, qu’il a préféré à un dispendieux cocktail médiatique. Sous un titre qui fleure bon son Vigny, Servitudes et grandeurs des disciplines (232 pages, 22 euros, Gallimard) paru en janvier est celui qui lui ressemble le plus tant il reflète sa priorité absolue accordée au collectif. Pas de signature au-dessus du titre mais quatorze noms d’historiens, de philosophes, de sociologues, de spécialistes de la littérature à l’intérieur en page de titre, comme s’il s’agissait de « Mélanges », usage académique d’anciens étudiants en hommage à leur professeur vénéré. Sauf que l’éditeur n’étant pas un maitre il n’a pas eu de disciples et que l’amitié a présidé à ses rapports avec ses auteurs. Pour autant, il n’oublie pas que le titre originel de ce livre en hommage à sa carrière s’intitulait sur un ton plus balzacien « Splendeurs et misères des disciplines… »
Ce livre aussi riche que dense résonne comme un manifeste au cœur d’un paradoxe. Il est vrai que la pluridisciplinarité, clef des financements de la recherche à l’échelle internationale, s’inscrit à rebours des critères d’évaluation de l’université en France qui privilégie les disciplines et la spécialisation. Encore faut-il déterminer à partir de quelle discipline penser l’interdisciplinarité : la philosophie ou l’histoire ? Ce rapport au groupe conçu comme une famille d’esprit le constitue. L’éditeur s’est donc retiré, conscient de la nécessité de passer le relais à une génération qui ne fut pas marquée exclusivement par l’imprimé. Entre son arrivée et son départ, il aura donné naissance à 1130 livres collections de poches comprises (nrf essais, Folio Histoire, Folio Essais (« qui ronronnait entre Camus et Cioran », Folio Actuel, Tel) et il lui aura aussi fallu vaincre les réticences et résistances d’auteurs qui ne voulaient pas publier d’inédits en format de poche. Le relevé a été effectué par le patron en personne. Rare privilège, Antoine Gallimard lui avait accordé la délégation de signature pour les contrats de sa collection. En une trentaine d’années, ils ne déjeunèrent qu’à trois reprises en tête à tête, pas davantage : « On n’en a pas eu besoin ».
Son éducation s’est bâtie sur deux principes : les valeurs de la Résistance et des services de renseignement transmis par sa mère selon laquelle la valeur d’un individu ne se mesure qu’à son rôle dans la communauté ; et l’idée que toute institution est à son meilleur lorsqu’elle considère un individu comme autonome et capable d’avancer lorsqu’il est libre de juger des rapports de force, principe qu’il doit à son père, médecin militaire dans les rangs de la Légion étrangère. Ce fut son éthique même si l’on se doute qu’avec un tel surmoi, ce n’est pas la fête tous les jours. N’empêche qu’il ne l’a pas volé, le surnom que lui donnèrent les gazettes lorsqu’elles publiaient son portrait : « soldat de l’édition », éditeur de combat »… On ne nait pas impunément dans un camp militaire. D’où la nécessité de filtrer le monde à travers un humour qui peut paraitre acide, illogique, insolent mais se révèle irrésistible d’autant qu’il permet d’être sérieux sans avoir l’esprit de sérieux. Il ne fallait pas beaucoup pousser Éric Vigne pour qu’il désamorce un débat professionnel particulièrement plombant en fredonnant le refrain revisité d’un chant qui berça son adolescence :
« Il n’est pas d’éditeur suprême/ Ni Dieu ni César ni académicien/ Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes ! »…
A l’écouter évoquer chaleureusement les auteurs des livres qui ont fait sa fierté, les Steiner, Baczko, Habermas, Hilberg, Yerushalmi et tant d’autres (avec un regret éternel de n’avoir pas pu compter parmi eux le spécialiste de l’histoire romaine et de l’Antiquité tardive Peter Brown), on comprend soudain que les grands éditeurs de sciences humaines sont dotés des plus grandes qualités humaines. Ils n’ont de cesse de pousser les chercheurs à aller jusqu’au bord de leur discipline. Opposé au cumul des mandats jusqu’à refuser des postes de direction pour mieux se consacrer aux textes, il est de ceux qui s’enrichiront toujours des questions davantage que des réponses, de l’énoncé du problème plutôt que de sa solution. Cet esprit l’anima chez Gallimard où il fit entrer l’économie, le droit, les sciences cognitives dans le catalogue des sciences humaines, et avant durant les quelques années passées du côté de Maspéro devenu La Découverte puis de Fayard. Son ardente volonté d’abolition des frontières s’y forgeait déjà.
A l’origine, au lendemain d’un « stage » à la Gauche prolétarienne et d’une double de licence d’histoire et de philosophie à la Sorbonne, Michel Chodkiewicz, patron du Seuil, lui avait mis le pied à l’étrier en le présentant à l’historien et éditeur Michel Winock qui l’engagea en 1977 comme journaliste à L’Histoire qu’il venait de fonder. Eric Vigne y passa quatre ans. Un jour, il nous prit d’aller longuement interviewer François Furet à son bureau de nouveau président de l’EHESS sur ses perspectives sept ans avant le bicentenaire annoncé de la Révolution. Ce fut si dense et intense que nous résolûmes dès le début de l’enregistrer afin de ne pas en perdre une miette. A notre retour à la rédaction, l’écoute fut un choc : un étrange ronflement couvrait totalement la voix de l’historien le magnétophone ayant été posé sur le conduit de climatisation. Il arrive que la mémoire supplée l’Histoire…
La langue anglaise, bénie soit-elle, a deux mots pour désigner ce que nous nommons du seul mot d’éditeur : publisher, le propriétaire ou patron d’une maison d’édition, d’un journal, d’une revue ; et editor, autrement dit le directeur littéraire, ce qu’a été Eric Vigne pour tant d’auteurs de sciences humaines, se forgeant une réputation d’interventionniste sur les manuscrits, n’hésitant pas à corriger sinon réécrire des textes ou des traductions s’agissant notamment de thèses universitaires promises à un destin en librairie, ambitionnant de passer de livre de savoir à livre de connaissance. Il y a une forme d’ascétisme dans sa conception du métier, en tout cas un dévouement dont les auteurs lui ont toujours su gré ne lui marchandant pas leur confiance. L’éditeur ne s’autorise que de lui-même. Il est un metteur en scène du savoir doté d’une orgueilleuse humilité qu’il s’agisse de publier Darnton ou Bouretz, Schnapper ou Laqueur. pour ne rien dire de ceux qui furent publiés à plusieurs reprises, Honneth et Andler, Luzatto et Boltanski ou Diamond. C’est peu dire que ces chercheurs, leurs travaux et les livres qu’ils en ont tiré ont fait avancer le débat d’idées.
Outre son autoportrait dessiné par ses auteurs en contribuant à Servitudes et grandeurs des disciplines, Eric Vigne est l’auteur d’un seul livre, un essai plein de colère : Le livre et l’éditeur paru chez Klincksieck en 2008. Malgré lé sérieux de la démonstration, le ton en est plutôt pamphlétaire et ne dédaigne pas les formules : « Editeur n’est plus une profession mais une activité sociale caritative pour faire plaisir à ses amis« . Il y relève le basculement dans les années 80 de la commercialisation à la marchandisation des livres. Celle-ci a été marquée par le lancement à succès du Pari français (1984) du commissaire au Plan Michel Albert. Selon Eric Vigne, cette nouvelle ère de la diffusion du livre célébrant « les noces de l’essai et de la télé », signait l’arrêt de mort de la péréquation dans l’édition; autrement dit la publication d’ouvrage au succès annoncé permettant celle de livres intellectuellement plus exigeants au tirage confidentiel. Le livre n’est plus une fin mais un moyen, notamment pour les hommes politiques désireux de faire parler d’eux ailleurs que dans les pages politiques des journaux. Vigne, lui, n’a jamais cessé de publier des livres qui ne soient à la remorque que d’eux-mêmes.
(« Oeuvres d’Anselm Kiefer » photos Passou)
597 Réponses pour Servitudes et grandeurs d’un éditeur de combat
Rions un peu
Israël s’en prend à Macron, Le Pen s’en prend à Bayrou, les fumeurs s’en prennent plein la tronche…
Christiane
Je suis allée voir Anselm Kiefer.
Mais hors ses toiles, il me semble qu’il occupe un espace de sculpture monumental (l’espace) dans le lieu qu’il occupe/où il vit en France. Me trompé-je ?
Et alii
Pas vu les lettres au-dessus de ses toiles de AK.
Rose,
regardez bien la première « image » avant tout: et faites vous aider si vous n’y voyez pas bien;
bonne journée à vous et autour de vous a vos personnes chères et aidantes:
précision:
ces lettres se lisent sur le KIEFER en dessous de poésie, et histoire littéraire DE LA PAGE DE PRESENTATION de la RDL
@ les experts en « shoah » que se présentent les herrdélyens, /// pourquoi vous en exclure de la sorte, alors que…. hein ?, et votre annonce de sortie définitive de sortie avec HC, où en est-elle ?
Je rappelle à l’herdélie de ne pas mélanger un commissariat de police à une gendarmerie, comme pour la plupart de nos concitoyens un brin demeurés en instructions civiques. Mon conseil : il faudra vous adresser à la Gendarmerie qui ressort de ma circo. Lcé, je peux vous fournir leurs coordonnées, place Cochon-Dupuy. Appelez-les de la part de JJJ, ils me connaissent bien sur cette chaine littéraire, d’autant que l’un des brigadiers est toujours passionné par vos échanges de mélomanes qu’il estime un brin présomptueux, mais instructifs quand même, m’at-il expliqué l’autre jour en recherchant où j’avais enterré la vioque…
https://www.google.com/search?q=Gendarmerie+Nationale%2C+Place+Cochon+Dupuy%2C+Rochefort&sca_esv=95469f0abbc18290&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&ei=AvE6aPbxCpSykdUPhbHX0As&oq=gendarmerie+rochefort+place+cochon+dupuy&gs_lp=Egxnd3Mtd2l6LXNlcnAiKGdlbmRhcm1lcmllIHJvY2hlZm9ydCBwbGFjZSBjb2Nob24gZHVwdXkqAggAMgIQJjIIEAAYgAQYogQyBRAAGO8FMggQABiiBBiJBTIIEAAYgAQYogRI1UNQmQJY5x5wAXgAkAEAmAF5oAGCCqoBBDE4LjK4AQHIAQD4AQGYAhSgAoMKwgIKEAAYsAMY1gQYR8ICFhAuGIAEGLADGEMYxwEYigUYjgUYrwHCAg0QABiABBiwAxhDGIoFwgIcEC4YgAQYsAMYQxjHARjIAxiKBRiOBRivAdgBAcICGRAuGIAEGLADGEMYxwEYyAMYigUYrwHYAQHCAg4QABiwAxjkAhjWBNgBAcICBRAAGIAEwgIOEC4YgAQYxwEYjgUYrwHCAgsQLhiABBjHARivAcICChAAGIAEGEMYigXCAgYQABgWGB6YAwCIBgGQBhC6BgYIARABGAiSBwQxOS4xoAfPerIHBDE4LjG4B_cJwgcGMi0xNy4zyAdk&sclient=gws-wiz-serp
Bonne suite et bonne pêche ! Revenez-nous à la prochaine remontée du carrelet. Bàv,
« les experts en « shoah » que se présentent les herrdélyens »(sic)
Qui a jamais prétendu ça ici, et alii ?
Dans vos fantasmes !
NO.AH ?
Cette toile daterait de 1983, sans doute ?
RG mène l’enquête
https://www.youtube.com/watch?v=EgztpayLJyY&pp=0gcJCdgAo7VqN5tD
@ »Israël s’en prend à Macron »
pas qu’Israël : Brigitte aussi elle s’y met façon Cassius Clay…
le blogapassou c’est cool, mais vous savez pas ce que vous loupez à passer à côté des milieux conspirationnistes et complotistes.
perso depuis que j’ai découvert que j’étais un complotiste conspirationniste ça a complètement changé ma vision des choses.
exemple au hasard : rencontre Brigitte / Emmanuel : il a 14 ans (et non pas 15 comme les médias veulent nous le faire croire) et elle 40 (et pas 39).
imaginons le contraire : Matzneff 40 ans et Yvette 14 ans : le mec il se fait démonter par la bien pensance médiatico-intellectuelle.
maintenant si comme nous le disons dans les milieux conspirationniste (prouvée par notre maitre à penser la brillante Candice Owen) Brigitte s’appelle en vérité Jean-Michel, on en arrive à :
Emmanuel 14 ans / Jean-Michel 40 ans : ça c’est ce qu’on appelle de la pédophilie c’est minimum la perpétuité.
du coup on voit que le conspirationnisme change complètement notre vision du monde…
Merci et elii, je vois très bien.
Sur la toile, pas trouvé de toile de A-K avec des lettres.
Celle-ci, ici, avec NO.AH, je suis surtout marqué par la minéralité du bloc. Bauxite ou rouille ?
Mont avec strates sur lequel repose le reste d’une arche de Noé ?
et alii
Il faut que je me penche sur la raison pour laquelle Sade était en prison. Il semblerait qu’il est déplu à Maximilien Robespierre. Robespierre était déiste, Sade était athée. Robespierre l’a très mal pris.
Il voulait quand même le décapiter!
Les gens sont excessifs.
* Il semblerait qu’il ait déplu
LE FAIT QUE DES PEINTRES INSCRIVENT DANS LEUR TABLEAU DES LETTRES N ‘EST PAS UNE INVENTION DE MA PART, et c’est la raison pour laquelle toute interprétation de A.K. DEVRAIT LA PRENDRE EN CONSIDERATION SI si ledit interprète espère de la considération poue son travail!
Pensez-vous que votre épouse soit sous l’emprise de votre perversion narcissique ? Et qu’elle essaie, en vain depuis des plombes, de se sortir de vos griffes, comme l’imagine aisément la communauté RDL ?
J J-J
Je suis en train de vous répondre, un début de phrase de FL m’a bien aidée,avec les guerres mémorielles, mais ne sais pas trop comment m’y prendre.
Q.1, en préservant sa vie privée.
Enfant Dys. dans différents domaines.
Élève sûrement harcelée, avant l’époque, et maltraitée par les autres élèves.
Puis, déscolarisée, mais étudiant toujours avec divers précepteurs.
Plusieurs années sans retourner à l’école.
Ai été mendiée, j’aime cela, et ai finalement accepté de lui donner des cours particuliers l’année du bac de français. Avons commencé tardivement, style octobre, voire novembre et avons bossé comme des dingues. Moi, je, puis elle s’est laissée entraîner. Avec le CNED, en soutien, et moi en répétitrice. Et aide constante.
Elle s’est fait saquer*, à l’écrit, alors que son travail était bon. Minimum 12** j’aurais mis. Elle a peut-être eu 8.
L’Oral, un peu mieux.
* Je soupçonne un prof correcteur aigri et rigide avoir baisse la note à cause de l’orthographe phonétique. Il lui a enlevé au moins trois points, scandalisé que l’on en soit là l’année du bac.
J’avais déjà inventé une méthode de progression géniale et voulu déposer un dossier à l’INPI, que j’ai toujours dans le tiroir de mon bureau. Elle n’a pas souhaité y souscrire ni en bénéficier, mais elle partait de trop loin.
** La seule année où j’ai corrigé des copies de bac, à Gap, et fait passer des oraux, j’avais eu une copie d’enfer. Ayant questionné une bonne amie professeur de Lettres qui s’est avérée ultérieurement être là plus parfaite des salopes, elle m’a encouragée à.
J’ai mis 15 ou 16.
Et attendu l’oral, impatiente.
La petite ne s’est pas présentée à l’oral.
L’élève que j’ai soutenue m’a exténuée. L’énorme boulot que j’ai fait avec elle mixant la culture, la littérature et la reprise de la confiance en soi m’a bouffé mon énergie qui n’a pas été du temps perdu.
En effet, l’année suivante, ses parents ont embauché une jeune femme douée et patiente pour les cours particuliers.
L’élève a eu son bac. Et à l’épreuve du Grand Oral, elle a obtenu un 16/20 dont je suis encore à ce jour très fière, convaincue d’y avoir contribué beaucoup.
La jeune fille pleurait et lorsque je rentrais chez moi, je souffrais.
Deux ans, j’aurais pas pu.
Enfin, elle est bachelière. Ses parents l’ont énormément accompagnée et soutenue.
L’épouse de qui, JJ-J ?
le conspirationnisme nait essentiellement des paradoxes observables dans une société.
exemple au hasard : la France est un pays où l’anti fascisme et l’anti nazisme ne sont plus à démontrer.
nous avons débaptisé des rues, même des universités, nous avons condamné Mitterrand parce qu’il était pote avec Bousquet, nous avons manifesté des centaines de fois pour dire notre détestation du nazisme.
en Ukraine, ils viennent de ré-ouvrir à Llov le musée construit en hommage au bandérisme, ce musée porte le nom du type qui a commandé les brigades qui perpétré les massacres de polonais en Volhynie et aussi des russes et des juifs, au total on dépasse les 2 millions de victimes.
les polonais voient d’un assez mauvais oeil que ce musée porte le nom de ce type : pour eux c’est un peu comme en France on ouvrait un musée Pierre Laval.
d’ailleurs quand ce musée avait été explosé par un missile russe les polonais n’ont pas trop râlé.
à partir de cette situation paradoxale soit on l’explique en disant qu’on aime pas les nazis mais qu’aime encore moins les russes, ce qui n’est pas très choquant dans la mesure où c’est ce que les anglo amércians pensaient en 1945.
soit, ce que nous disons dans les milieux conspirationnistes c’est parce qu’il existe une résurgence qui ne dit pas son nom d’un esprit réactionnaire identique à celui de la collaboration sous Vichy.
d’où par exemple l’intervention de Macron pour annuler les élections démocratiques en Roumanie, d’avoir remplacer les électeurs par un juge pour écarter un opposant politique en France où d’alimenter la guerre et la violence que ce soit en Ukraine ou dans son couple.
« Il faut que je me penche sur la raison pour laquelle Sade était en prison. Il semblerait qu’il est déplu à Maximilien Robespierre. Robespierre était déiste, Sade était athée. Robespierre l’a très mal pris. »
les livres d’histoire sont truffés de mensonges.
exemple au hasard : on veut faire croire croire que la révolution de 89 était une révolution « bourgeoise » ou récupérée par la bourgeoisie c’est faux.
au exemple : la commune : on dit que les communards ont brulé ou détruit un grand nombre de bâtiments dans Paris : c’est faux ! ce sont les propriétaires de ces immeubles pour la plupart vétustes qui ont profité de cette révolution pour détruire leurs immeubles pour les faire construire en faisant payer les assurances alors qu’ils auraient dû aller en prison.
en dehors des milieux complotistes les gens ne sont pas au courant de ces vérités.
merci,rose
Janssen J-J
Qu’ai-je appris ?
Que certains élèves souffrent à l’école.
Que la dyslexie, dysorthographie, etc représentent un handicap sérieux. Et je me demande s’il est pris au sérieux.
Ai sérieusement fabulé -je souffrais atrocement à chaque fois qu’elle pleurait-, à l’époque ici, j’écrivais « agnou, agnou » mais elle pleurait de vraies larmes, et moi, imperturbable, je gardais mon cap, je rentrais chez moi dans un état de désolation inimaginable, fabulé que sa maman haïssait l’école, et/ou, mais plutôt et, qu’elle gardait ainsi le cordon ombilical non coupé.
Aujourd’hui, je crois m’être trompée, je n’en sais rien, et je m’en fous.
Bilan : je ne suis pas une prof.exemplaire, mais passionnée, oui.
Crénom. Quel bonheur d’enseigner cette discipline !
d’ailleurs dans le premier chapitre de mon excellent ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste » ça démarre sur la destruction de ces immeubles parisiens mise sur le dos des communards.
comme les vainqueurs écrivent l’histoire…
après cet épisode je passe au rôle de la gauche française dans la colonisation.
dans le chapitre 2 de mon super ouvrage « comment je suis devenu complotiste » consacré à la loi de 1905 et la séparation de l’église et l’état j’explique pourquoi il était plus facile pour la gauche française de s’en prendre aux curés plutôt qu’aux milieux financiers : ce qui est passé pour une victoire était en vérité » une défaite.
bon, je vais pas trop vous donner d’exemples sinon après vous n’allez pas acheté mon « comment je suis devenu conspirationniste » quand il sortira chez Gallimard…
Crénom de crénom !
Ma vie est remplie de bons moments.
Avec tous ces/mes pitchouns 🙇🙋💁🙆🙅🤷🤦🙍🙎🧍🤸🧎🧑🦼🤼🤹🏊🧛🧟🦸🦹🥷👼🫅🤵👰👷🧑⚕️🧑🚒🧑🌾🧑🎓🧑💼🧑🎨👳🧕🧒🧑🧑🦰👱🧑🦱🧑🦲 qui me badaient, moi :💃
Allez, je vais chercher du compost pour Pierre de Ronsard. Ce matin, furieusement, j’ai exterminé quinze pucerons en leur gueulant « mais vous ne croyez pas que vous allez attaquer mon pierre de Ronsard, bande de salopards ». Ils m’ont déjà niqué la pâquerette blanche. Assez.
Dans la collection Blanche
(De Castille).
Et que tu t’achèteras une Harley Davidson.
Avec les rotules rouillées.
je sais que certains parmi vous voudraient mais n’osent me poser la question de savoir comment la vie de tous les jours d’un conspirationniste ?
ma foi, je répondrais que la vie de tous les jours d’un conspirationniste n’est guère différente des autres, je veux dire le matin on se lève, on prend une douche, on se lave les dents et on prend son petit déjeuner.
et là certains se diront « mais alors qu’est-ce qui change ? ».
là je répondrais que, ma foi, pas grand chose ne change, hormis l’essentiel.
Eh bien merci pour avoir reconstitué les morceaux d’un puzzle qui m’avait tenu en haleine et laissé sur ma faim, à l’époque. J’avais ressenti votre passion pour aider cette ado difficile, et j’en avais gardé le souvenir d’une extraordinaire exemplarité. Mieux pour moi que les critères habituels d’une « bonne enseignante » aux yeux de l’EN. Sans vous, la bonne enseignante ultérieure n’aurait pas pu ‘récupérer’ grand chose…
Bon, cela dit, pour 12.49, pas d’inquiétude… Il s’est très bien reconnu dans la question.
A pluss. Bàv,
exemple au hasard : la littérature : qu’estce que représente la littérature pour un complotiste ?
pour un complotiste, la culture en général et la littérature en particulier représente ce uqe l’on nomme en anglais un « soft power ».
exemple au hasard : Flaubert et Stendhal : ces 2 écrivains ont écrit des livres pendant que la France était à donf dans la colonisation.
la colonisation : bad trip : mauvaise image, mauvais karma, crime de guerre, crime contre l »humanité, on finit en efner etc…
la littérature : good trip, belle image, bienfait pour l’humanité, on finit au paradis etc…
donc le rôle de l’Histoire va consister à utiliser la culture française pour montrer que la France c’est cool.
trucs bad trip on gomme, on oublie, on s’excuse etc… et trucs good trip on met ça en avant…
donc culture = soft power pour montrer image cool d’un pays colonisateur.
d’où le rôle du critique littéraire.
un critique littéraire ne commencera jamais une critique d’un livre genre « le rouge et le noir » de Stendhal en disant que ce livre a été écrit l’année où la France a commencé à coloniser l’Algérie (1830).
en tout cas pas à ma connaissance, alors que c’est la première chose qui devrait être dite sur ce livre avant de passer au livre lui-même.
voilà le genre de truc qu’on apprend dans les écoles de conspirationnisme.
en fait tous les lecteurs de ce livre de Stendhal devraient absolument savoir que ce livre a été écrit quand la France a démarré la colonisation de l’Algérie.
d’autant plus que le livre lui-même n’en parle pas !
ce qui montre que l’auteur s’en battait l’oeil complet de savoir que son pays était en train de coloniser un autre pays.
alors je sais on me rétorquera que 1830 est l’année de la parution du livre, sauf que ce n’est pas une excuse, même au dernier moment l’auteur peut ajouter une note de début de page du genre « je signale que ce livre parait au moment où mon pays colonise un pays africain » ou un truc du même genre.
parce que vivre dans un pays qui décide de coloniser un pauys africain c’est pas le genre de truc qui arrive tous les jours et passe inaperçu.
je veux dire même si Stendhal na pas inventé l’eau chaude il devait quand même le savoir.
je sais on me dira « ouai mais c’est juste un détail de l’Histoire ».
sauf que le travail du conspirationniste consiste justement de mettre bout à bout l’ensemble de tous ces détails pour montrer qu’une fois assemblé cela n’arrive pas par hasard, mais cela entre dans un système conscient ou non conscient visant à produire et à exploiter du « soft power ».
Ce gros c… conseille de frapper un petit chien mais le pervers ce n’est pas lui.
ce qui montre que l’auteur s’en battait l’oeil complet dit puck
he bien non, ce serait trop facilequ’on puisse conclure comme ça;
c’est possible, mais surement pas certain;
on vous aime bien, puck avec vos cabrioles, sérieux, mais là, mon canard, tu cherres,
Voyez r^z, vous avez votre réponse (14.09).
Au hasard, Balthazar. Suffisait d’attendre juste 20′ et quelques, pour qu’HC se mette à mordre. Rien n’indiquait pourtant qu’elle se sentît concernée.
Quelle éducation canine déplorab’lurck !… Comme un choc de simplifixation. A la nichte, Elton !
MALTRAITANCE ANIMALE A NOS AMIES LES BETES,
Attendons les résultats de l’enquête menaçante à la Gendarmerie nationale du coin… Ne sauraient tarder, à moins d’une énième et célèbre reculade du roquet qui aboie de loin comme…
CONSTIPATIONNISME
« cela entre dans un système conscient ou non conscient visant à produire et à exploiter du soft power » (14.05).
C’est ce qu’on appelle en général un « effet de composition de basse intensité ». Bàv.
Santa Barbara, Largo dei Librarai, Roma
https://catalogo.beniculturali.it/detail/ArchitecturalOrLandscapeHeritage/1200480692#lg=1&slide=0
Pardon, S. Barnaba !
quelques conseils pour fabriquer des têtes de cons
https://fr.pinterest.com/blscak2538/gnome-%C3%A0-fabriquer-soi-m%C3%AAme/
Comment peut-on voter pour lui ?
A la télé, Mélenchon, dont je ne partage pas les opinions, aurait dit ceci: « Une écologie qui n’est pas anticapitaliste, pour moi, c’est du jardinage.» Cette phrase m’incite à faire quelques remarques.
Je dois tout d’abord être franc: Je ne suis pas écologiste et donc n’ai nulle envie de parler ici pour défendre l’écologie. Ce qui retient essentiellement mon attention est l’adjectif «anticapitaliste», qui mérite, si l’on en croit Mélenchon, tous les éloges.
Je le conteste. Quel est le contraire du capitalisme ? Le communisme. Mélenchon veut-il en France du communisme ?
Qu’il nous le dise clairement! On connaît le parcours de cet homme politique. Il fut d’abord trotskiste. Je le dis à qui ne le saurait pas. Le trotskisme à la française est une variante gauchiste et groupusculaire du communisme. On connaît en France en 2023, quelques trotskistes, MM. Besancenot, Poutou…Mais d’autres que Mélenchon furent d’abord trotskistes : Edwy Plenel, Lionel Jospin…
Après son trotskisme initial, Mélenchon est devenu socialiste : Il fut ministre, puis sénateur. Reprochant au PS de ne pas être être assez à gauche à son goût, il créa un parti concurrent.
L’ennui, c’est qu’à gauche du PS, il y avait déjà le PCF. Qu’à cela ne tienne. Mélenchon a tenté des années durant de faire une OPA sur le Parti communiste. Il a réussi, au point que le PCF a fondu comme neige au soleil. On a cru le PCF mort. Avec son leader actuel Fabien Roussel , le PCF tente de reprendre du poil de la bête, au grand regret de Mélenchon qui croyait avoir avalé le PCF.
Avaler l’écologie
L’autre grande idée du « communiste » -allez disons le mot- Mélenchon est d’avaler l’écologisme. Il fait tout pour prendre des voix aux écologistes. Plus écologiste que lui, tu meurs. Est-ce un écologisme sincère? Je ne le crois nullement. Il s’agit de ratisser large. Et quand il veut être un « écologiste anticapitaliste », il nous rappelle certes son trotskisme originel, mais il veut surtout attirer parmi les électeurs écolos actuels les plus à gauche d’entre eux.
Au total, homme politique vraiment peu enthousiasmant. Comment peut-on voter pour lui ?
« il veut être un « écologiste anticapitaliste »
Comment peut-on voter pour lui ? »
Faudrait poser la question à Clopine, Patrice Charoulet !
@Je ne suis pas écologiste et donc n’ai nulle envie de parler ici pour défendre l’écologie.
Heu ! Non, rien …
A propos
31 mai 1943 – Mort de Berty Albrecht, résistante et féministe.
Issue de la bourgeoisie, Berty Albrecht (née Wild) a placé sa vie sous le signe de l’engagement. D’abord comme ambulancière en 1915 puis, au début des années trente, elle rejoint la Ligue des Droits de l’Homme et fonde en 1933 la revue « Le Problème sexuel », dans laquelle elle défend avec le droit à l’avortement libre et la liberté des femmes à disposer de leur corps.
Devenue assistante sociale, elle défend la condition ouvrière et, comme antifasciste, elle héberge des antinazis allemands et des Républicains espagnols. Après l’armistice elle organise dès l’été 1940 le passage de prisonniers évadés vers la zone sud. Puis, avec Henri Frenay, elle cofonde le mouvement Combat, dont elle dirige le service social.
Mise au secret en avril 1942, elle obtient d’être jugée et est condamnée à la prison. Internée, elle simule la folie et parvient à s’évader, mais elle est arrêtée de nouveau en mai 1943. Le 31 mai, elle se pend dans sa cellule de Fresnes dès son arrivée pour ne pas parler.
Elle est l’une des six femmes Compagnon de la Libération. Elle est inhumée dans la crypte du mémorial de la France combattante au Mont-Valérien.
Source : Ordre de la Libération
« Comment peut-on voter pour lui ? »
comment peut-on poser une question aussi débile ?
un exemple au hasard :
en Europe il y a 50 millions de femme qui ne peuvent même pas se payer des serviettes hygiéniques.
et en France elles sont plus de 2 millions
en 2025 en Europe 50 millions et en France plus de 2 millions !
ces femmes sont obligées de trouver des astuces pour remplacer, résultat : elles chopent des infections bactériennes qui peuvent souvent mal se terminer.
la question à se poser c’est :
comment dans des pays comme les pays européens en est-on arrivés à avoir des millions de personnes qui sont capables de tout foutre en l’air parce qu’elles n’ont absolument rien à perdre !
essayez de reprendre votre réflexion en partant de ce présupposé : PLUS RIEN A PERDRE
et j’imagine que vous réussirez à comprendre des choses qui hélas vous échappent simplement parce que vous avez une vision qq peu borgne de la réalité !!
la révolution c’est juste une affaire de statistiques : dès que le nombre de personnes qui n’ont plus rien à perdre dépasse un certain seuil alors tout devient possible et elle commence à étudier les plans genre ikea pour apprendre à construire des guillotines.
ça c’est ce qu’on appelle un invariant ou une constante ou un autre mot qui m’échappe (3j aide-moi !!!) anthropologique.
le problème est que la littérature ne rend pas compte de cette réalité parce que, comme le dit passou, ce monde des écrivains et des éditeurs est un petit entre-soi où les mecs viennent tous du même milieu social, ont tous suivi le même cursus pédagogique, la même éducation etc… du coup eux aussi ils ont vision « borgne » de la réalité.
disons qu’entre Proust, Flaubert et Dostoïevski la littérature française est un conglomérat de Proust et de Flaubert : des petits bourgeois avec un petit esprit qui sont complets à côté de la plaque.
3è tour du tennis féminin à Roland Garros :
Andreeva
Kudermetova
Vondroussova
Jacquemot
Putinseva
Bouzkova
Alexandrova.
petit jeu : cherchez l’intruse
Macron a convoqué tous les responsables des réseaux sociaux qui ont parlé de la baffe de Brigitte dans l’avion.
avec présence de la police…
Je connais des personnes qui ont parlé de cette affaire ici même, je ne donnerai pas de nom, par contre, dans la mesure où le blogapassou est un rézo social comme les autres je peux très bien dénoncer ces personnes et donner leur nom à la police !
je veux menacer personne, mais j’ai eu vent de certaines personnes qui allaient même jusqu’à faire l’éloge du complotisme et du conspirationnisme ici même ! sur un lieu qui est normalement consacré à la lecture de Stendhal et de le Clezio !
qui plus est il y a aussi des ennemis de la France qui osent prendre la défense d’un pauys représente une menace existentielle pour la France !
du coup ne me gonflez pas parce que je peux tous vous faire coffrer par les flics !
3j, Jacky, etalli, Mr Charoulet, Mr Court, pedro, tous ! et quand vous verrez les flics armés jusqu’aux dents débarquer chez vous à 5h du mat en fracassant votre porte d’entrée, parce qu’en général ils ne sonnent pas avant d’entrer, croyez moi vous ferez moins les malins !
là je répondrais que, ma foi, pas grand chose ne change, hormis l’essentiel.
C’est pareil que quand tu t’achètes une Harley Davidson.
Pas grand chose ne change, sauf que tu roules en Harley Davidson.
Janssen J-J
Il vous manque un détail.
Elle n’est pas une ado.difficile : plus adorable qu’elle, tu meurs.
Mais elle est une élève en difficulté.
petit jeu : cherchez l’intruse
Baklava.
le problème quand tu t’achètes une Harley Davidson c’est qu’après tu connais plus personne, tu appuies sur le starter et tu quittes la terre, en chemin, quand tu sens les trépidations de la machine tu sens monter le désir dans le creux de tes reins, tu peux aller au paradis, mais sur un rythme d’enfer, tu me diras qu’importe de mourir quand tu vas à plus de cent tu te sens à feu et à sang, qu’importe alors de mourir les cheveux dans le vent ?
je devrais faire l’émission télé ou les gens chantent sur des chansons prises au hasard et quand ils connaissent toutes paroles boum ! ils gagnent un week end à Palavas les flots !
« Baklava »
tu sais les faire ? parce que moi c’est pas pour frimer mais je suis le roi des baklavas !
houmous, feuilles de vignes (dolmas), kashlama, salades d’olives etc… : quand on a grandi à Saint Antoine Marseille (15è) c’est la règle !
autre détail qui permet de reconnaitre un mec qu’a grandi à Saint Antoine : il fait partie de ceux qui porteront un maillot de l’Inter de Milan ce soir.
moi j’ai acheté le mien…
C’est 6h, Puck. Pas 5h.
Mon prochain chien, que j’aurai dans 22 ans, ce sera un maltipoo*. Je lui apprendrai immédiatement à nager. Le chien dit tout de son maître.
https://www.elmut.fr/blog/articles/maltipoo–caractere-sante-education-prix-et-alimen
Puck,
Je ne sais rien faire.
Dslée, cela m’aurait plu ce programme.
Je suis un cinéaste raté
https://pauledelblog.fr/2025/05/31/je-suis-un-cineaste-rate/
On ne peut rien contre la détermination d’un paresseux, surtout s’il veut faire un petit effort pour tuer quelqu’un.
Il paraît, selon les rapports de police, que les tueurs en série sont de grands paresseux. Ils ne sortent de leur torpeur que pour aller tuer.
Bon match Puck.
Pour Milan, moi aussi.
quand on a grandi
à Marseille
« C’est fascinant que Banksy ait choisi une ville comme Marseille qui a beaucoup d’arts, d’étrangers, de vie », a estimé Esteban Roldan, artisan menuisier de 42 ans vivant à Marseille qui s’est déplacé pour venir voir l’œuvre située dans une petite rue proche de la plage des Catalans, non loin du centre-ville.
le monde
« Je suis un cinéaste raté »
Trop drôle, Paul.
Autofiction ou imaginaire ?
Bous devriez aller vous repiser, Rose.
Je ne sais plus qui écrivait autrefois ici que PE écrivait en écrivain . Est-ce si faux , Jazzi?
S’être vu offrir une caméra (+ un projecteur?) c’est une chance. Mais la suite coûtait aussi très cher, films, développements…c’était aussi la famille qui finançait tout ça ?
Le pape Léon XIV célébrera une messe à Chicago le même jour que le défilé militaire pour l’anniversaire de Trump, qui a coûté plusieurs millions de dollars aux contribuables.
Ne peut-on pas être écrivain en écrivant des textes d’autofiction, MC ?
« c’était aussi la famille qui finançait tout ça ? »
Mais oui, D., elle en avait les moyens.
@Le pape Léon XIV célébrera une messe à Chicago le même jour que le défilé militaire pour l’anniversaire de Trump, qui a coûté plusieurs millions de dollars aux contribuables.
Triste cirque
C’est pour ça que ça énerve Clopine la mélenchonienne, alors ?
Écrivains ratés, cinéastes ratés, journalistes ratés … qui s’est essayé à l’aquarelle, histoire de parfaire la panoplie ?
«Rose aux cheveux legers, fleur de Sainte Gudule, As-tu trouvé ta voix , dans le désert des Cieux? ». C’est de Nerval, et point méprisable. Encore faudrait-il s’en apercevoir….
En tout cas, dans son genre Jeannot est réussi.
Je suis très étonné qu’à ce stade de la compétition et avec un club de la qualité de Milan, on obtienne 5-0.
Je n’irai pas chercher.
Juste, écraser quelqu’un d’autre, ce n’ est jamais bon pour celui qui écrase l’autre.
Que ces cinq là le sachent, Achraf Hakimi, Désiré Doué, Khvicha Kvaratskhelia et Senny Mayulu, ceux qui ont marqué les buts parisiens, et qu’en leurs cœurs, ils gardent l’humilité.
Forza Italia mia !
Les derniers seront les premiers.
Je crains fort, au vu de ce qui se passe dès maintenant, que les forces de l’ordre soient très bite débordées et que l’on se retrouve avec plusieurs morts au petit matin.
A cause d’une multitude de voyous qui génèrent des troubles sévères, comme d’habitude avec le football. Beaucoup de gens attaqués et détroussés par des petits groupes organisés, apprends-je par exemple. Quand je dis beaucoup, c’est assez probablement des centaines. N’y allez surtout pas et si vous avez des grands enfants, ne les laissez surtout pas y aller et et devenir victime de cette racaille.
Chez moi à Chaville, tout est tranquille. Je vais faire un bisou à mes poules et me coucher.
Si cette victoire n’est pas celle de la diversité ! ? !
autre détail qui permet de reconnaitre un mec qu’a grandi à Saint Antoine : il fait partie de ceux qui porteront un maillot de l’Inter de Milan ce soir.
moi j’ai acheté le mien…
puck dit: 31 mai 2025 à 18h06
Le « flair » prophétique de PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine): toujours pour les perdants (le Parti Communiste, Poutine, le Hamas, Trump, l’Inter de Milan…).
Quel loser ce mec !!
Puck
Si tes parents t’avaient appelé Lazare, tu aurais pu ressusciter. ❤️
« A Marseille, une nuit très calme après le sacre du PSG : « On ne va quand même pas fêter la victoire de Paris » »
https://www.leparisien.fr/sports/football/ligue-des-champions/a-marseille-une-nuit-tres-calme-apres-le-sacre-du-psg-on-ne-va-quand-meme-pas-feter-la-victoire-de-paris-01-06-2025-AGJGAP7UBVHJBJKYMRG256DEXI.php
C’est mesquin de la part des Marseillais, qui devraient se réjouir de la France qui gagne !
Homme excessivement doué, un winner sûrement
» L’Elysée a salué « une étape historique pour le football français sur la scène européenne […] » Assorti d’un « Champion mon frère ».
Des héros de dix neuf ans, la route toute tracée, carrière jusqu’à trente cinq, français, ivoirien, congolais et toute l’Afrique noire, marocains, portugais, espagnols, brésiliens, etc., financés par le Qatar.
Et des millions d’euros de dégâts pour fêter le succès. Les jeux du cirque.
Claude Askolovitch, qui a une parole sensée, et que j’ai lu cette nuit fait deux remarques intelligentes, hors moule.
Une sur Johan Sfar, en lui donnant tort sur une prise de position, alors qu’il l’apprécie beaucoup.
L’autre sur les médias, et la concurrence faite, dans le cadre du football, entre Paris et Marseille.
Nous, nos métèques, on les aime et on les intègre. On en est d’ailleurs.
Encore faut-il en être capable.
Et quel bonheur de lire des gens qui pensent.
De plus, et je me barre de ce cul de basse fosse,
La finale est jouée au Stade olympique de Munich le 26 mai 1993 entre l’Olympique de Marseille et le Milan AC et voit la victoire des Phocéens sur le score de 1 à 0. C’est la première fois qu’un club français remporte la Ligue des champions.,
nous nous avons, en un, l’intelligence de la victoire modeste face à de grands joueurs voisins, et en deux, trente deux ans d’avance sur les parisiens.
Une paille.
On va les laisser fanfaronner.
La grande époque.
Âge moyen 27,8 ans.
Pas des petits poussins sortant de l’œuf.
Bernard Tapie président
Fabien Barthes gardien de but
Zinedine Zidane
Basile Boli
Marcel Desailly
Etc.
Le poids des choses
La diversité et le football, milieu seulement viril et pour le moins argenté, capable de générer régulièrement violence, mort et coûtant très cher à nos finances publiques. Disons que c’est une ligne budgétaire de plus à inscrire à toutes celles déjà inscrites pour la « diversité ». Et des mentions de décès à inscrire dans les registres municipaux. Comment défendre ça ? C’est indéfendable.
Claude Askolovitch, qui a une parole sensée
–
…dé plous en plous fort… tellement sensée que j’ai fini par passer sur France Culture juste avant que ce soit son tour.
Jazzi, je n’ai rien inventé . Je voulais devenir cinéaste. Ce n’est pas de l’autofiction, ce sont des souvenirs de jeunesse. J’ai vraiment préparé l’Idhec, pendant un an, avec des manuels sur l’optique, me trimballant partout avec la somme de Jean Mitry deux épais volumes qui s’intitulaient « Esthetique et psychologique du cinéma ». Très technique . On y parlait avec de la « narrativité filmique », du rôle de l’ellipse, ou bien de « l ‘incidence angulaire de la prise de vue ». J’étais ébloui et je soulignais chaque ligne . C’était passionnant sur le montage, sur le rôle de la bande son,mais également des développement sur la psychologie des foules. j’avais aussi trouvé un livre en anglais sur la manière de construire un scénario. J’avais découvert que le travelling latéral, était électrisant. Les meilleurs exemples sont dans l’œuvre du jeune Jerzy Skolimowski, notamment « la barrière » et « Le sursis » . Ça venait de l’École de Lodz, en Pologne. Remarquable. Pas étonnant que Jerzy Skolimowski et Roman Polanski, à la fin de leurs études, tournèrent « Le couteau dans l’eau » (1962) ,ce film tourné sur un voilier sur un lac des Mazuries se révèle, aujourd’hui encore un modèle de plans réussis, d’émotions purement visuelles, de montage parfait dans la simplicité, de cadrages d’une inventivité visuelle sidérante. C’est aussi à cette époque que je me suis pris d’une passion totale pour Ingmar Bergman .
J’ai très mal vécu l’interdiction de mes parents de prendre le train pour Paris afin de me présenter au concours de l’Idhec. C’est après cette déception que j’ai acheté une machine à écrire et que j’écrivis au mois de Juillet « Le congé »,1965construit en séquences visuelles. En 1967, j’avais demandé n à François Truffaut l’autorisation de lui dédier mon second récit « Elisabeth Skerla ».Il m’a répondu par une lettre charmante que , bien sûr, il acceptait cet hommage. Et d’où venait ce nom « Elisabeth Skerla » ? De la comédienne Lena Skerla, qui joue le rôle de Lydia dans « Le feu follet » de Louis Malle, adapté du récit de Drieu La Rochelle. La comédienne apparaît dans la première séquence du film : elle est au lit dans la pénombre avec Maurice Ronet. Ce film m’avait tellement impressionné par la qualité de sa photo que j’avais contacté le directeur de la photo.
Oui oui, Rose, Askolovitch est issue par ses ascendants d’une immigration parfaitement intégrée et capable de gratitude. Et il est tellement « sensé » qu’il pense que ça va s’appliquer à la majorité des immigrés. Décidément vous me faites rire ce matin, c’est déjà ça.
Quant à Macron, il n’a d’autres possibilité que de parler en une telle circonstances. Et ce qu’il a dit était tout-à-fait conforme à mes prévisions. Je n’en attendais pas moins.
Rien n’est encore perdu Paul Edel, vous pouvez filmer avec un smartphone depuis la fenêtre du train désormais. J’ai filmé des éoliennes qui tournent sans fin au loin pendant que des vaches broutent dans un pré gras en avant plan en branchant la radio de ma voiture j’ai obtenu quelque chose d’un peu baré. Le résultat n’est pas du grand art mais j’ai pris plaisir à le tourner.
A chacun ses blessures d’enfance, je voulais devenir journaliste, j’ai même fait le mur pour assister à la journée portes ouvertes de l’Université Libre de Bruxelles. Refus total d’inscription, tu n’iras pas étudier chez les francs maçon, on va t’inscrire à Saint Louis comme çà tu fera le droit et tu te trouveras un bon mari. Gloup.
Lena Skerla une façon de parler un peu particulière …
https://www.youtube.com/watch?v=nin1sOtWP7E
@ »C’est mesquin de la part des Marseillais, qui devraient se réjouir de la France qui gagne ! »
je sais pas si tu es courant des embrouilles entre la maire de Paris et la Qatar : elle n’était pas présente au stade : elle n’était pas invitée. Elle non plus n’a pas dû trop fêter cette victoire.
Victoire qui est, rappelons-le, d’abord une victoire du Qatar : pays ami du Hamas et des russes !
une intéressante généalogie dans le monde nravo!
» La princesse Mélita Cholokashvili, dite Babou, n’avait pas fui la Géorgie en 1922. C’était mon arrière-grand-mère. Les bolcheviques avaient envahi le pays l’année précédente. Sa sœur est partie très vite pour Constantinople, et Babou a décidé de la suivre. Elle a obtenu un passeport pour elle et sa fille, et a attendu à Constantinople un an que son mari, un célèbre avocat russo-ukrainien appelé Konstantin Zelensky, soit autorisé à les rejoindre. Elle mourait de faim. Sa fille, ma grand-mère, âgée de 6 ans, était un peu mieux lotie, car un monastère de Constantinople construit par un aïeul l’avait recueillie.in
Guillaume Gallienne : « Ma mère continue à m’appeler “ma chérie” »
C’est bien ce qui m’avait semblé, Paul.
Mais j’étais intrigué par le fait que dans ce récit, qui peut se lire aussi comme une histoire du cinéma, le narrateur, qui te ressemble, fasse l’impasse sur Antonioni et Bergman.
« Nous, nos métèques, on les aime et on les intègre. »
Dans les Quartiers Nord, rose ?
Moi pas tant que cela, j’ai beaucoup ri mais pas méchamment sur la fin quand il avoue sa jalousie en voyant les films de Nanni Moretti, c’est tellement sincère !
Pire que le patriotisme ou le communautarisme, le régionalisme étroit et chauvin !
Rien à voir avec l’universalisme d’un Giono.
@ 17.50, OK., mais avait-elle un « physique, euh… difficile » (c’est cela, ouiiiiiiiiiiii !) ou était-elle juste une « petite au physique en difficulté » (comme Z.z.ette) ?
@ échevelé en Hardley, il est, le « conspiro » blacklisté du célèbre blog littéraire. Brigitte entre Le Clezio & Stendhal, sûr qu’elle avait de l’allure 🙂 Peux pas l’aider sur ce coup-là… j’ai mal aux dents ce matin avec mes « invariants invariables », suisj pas bin réveillé faut dire après une belle cuite au champagne jusqu’à trois heures du mat pour fêter les 70 ans du cousin N.
Du coup, je sais toujours pas qui a gagné. Chez lui, sur ses 67 invités fêtards, personne n’a regardé ce match, et même pas visionné leurs smarts…, ils détestent tous le foute, n’en ont que pour le rugbi et la pétanque, tu wois le genre… Bon, moi ça m’arrange.
Ce matin, me suis replonger dans mon EU et l’histoire de la guerre de Corée de 1950 à 1953 pour mieux comprendre les enjeux du roman de Han Kang, « Impossibles adieux », difficile, déconcertant mais passionnant, au total… Car pour le raconter aux autres et les inciter à s’y plonger du début à la fin, faut t’accrocher un brin, hein. Mais ça vaut le coup d’essayer, si tu y mets les repères historiques et contextuels qu’il faut. C’est pas toujours « écartable » mais un peu « variable » quand même.
Bon, à pluss, j’ai pas encore lu tous les messages de la nuit, et notamment le grand débat sur le destin de cinéaste contrarié de Paul E. On pressent qu’il veut faire des confidences à l’RDL. Il est des nôô^^oôtres, l’a bu son verre comme…., etc. Euh, non rien…
Je suis des quartiers nord, à côté de Saint Antoine.
Mais bien dûr.
Quant à Giono, plus provençal due lui, tu meurs. Chantre de la vie et des paysages de Haute Provence et de l’Italie.
On va dire de Ramuz* régionaliste ?
Ce matin, je m’égara.
Dans les jardins d’Hamilcar.
Deux mille ans d’avance, nous avons, avec notre cité antique fondée par les grecs.
*Avec sa montagne qui s’écroula, Ramuz précurseur du glacier, sur Blatten.
Mais bien sûr !
Vous avez du connaître Henri Agel, Paul…
« On va dire de Ramuz* régionaliste »
Oui, mais ni étroit ni chauvin…
Paul
Votre texte, magnifique, je suis un cinéaste raté, c’est une autobiographie.
Mais, Paul, après ne pas avoir passé le concours de l’Idhec, comment avez-vous bifurqué ?
@ Pauledel – viensj de lire aussi votre beau texte, très peu assoulinien, tout compte fait. Ai cruj défaillir à la première occurrence, j’avais luj : « je suis un cinéaste taré ». Non !… l’aurait pas écrit ça, quand même, hein ?
(euh, non, rien… JL) – Bàv,
Chantal,
Moi aussi, j’ai voulu être journaliste. Après petit rat a l’opéra, hôtesse de l’air. Mon père a dit « c’est un métier d’homme » et ce fut enterré, sans couronnes. Je suis plus jeune que Anne Sinclair et Christine Okhrent. Mon père était un homme sans ambition. Il a tout donné, pour lui-même, se hisser hors de son milieu. Il a réussi et s’en est contenté. Il est devenu ingénieur, issu d’une famille d’ouvriers, mais sur nous, il n’a projeté aucune forme d’espérance. Avec la fortune qu’il a thésaurisée sur le dos de ma mère, et de ses capacités, fortune dont j’ai été dépouillée de ma part, dans les cinq mois précédant sa mort, mon père est resté pauvre. Un peu comme Jazzi. Borné et mesquin.
Pourtant, contrairement à Jazzi, qu’elle intelligence vive ! Quelle compréhension des problèmes et manière intelligente de les résoudre !
Mon petit papa, qui a tout perdu en quittant ma mère, qui était son vrai atout dans sa vie !
Quelle intelligence vive avait mon papa ! Un homme brillant !
Il a réussi son concours de la P.O second. Il était déjà marié et papa de deux enfants. Ma mère gérait tout. Il travaillait tard le soir.
Physique euh…difficile ?
Absolument pas.
Un physique à la Jane Eyre romantique et délié, mince et jolie.
Mais l’orthographe J J-J ? L’or-tho-gra- phe ?
Moi aussi j’ai beaucoup ri en lisant Paul.
Le chat Caton.
Sa sœur qui se fâche, et la détestation des Vosges !
Je lui ai fait un long commentaire qui n’est pas passé parce que j’avais oublié mon mot de passe sur WordPress.
Moi j’aime le ton de ce qu’écrit Paul.
Le numéro de L »Histoire de juin est sur la colonisation de L’Algérie. Le tritre « La première GUERRE D’ALGéRIE », sous titre « Bugeaud en procès/Conquête et colonisation (1830-1871) »
Tout sur l’horreur : un million de morts sur 3 millions d’habitants.
* Le numéro de « L’Histoire » de juin
* Le titre
* sous-titre
« Ici, un soldat amputait, en plaisantant, le sein d’une pauvre femme qui demandait comme une grâce d’être achevée et et expirait quelques instants après dans les souffrances ; là un autre soldat prenait par les jambes un petit enfant et lui brisait la cervelle contre une muraille. » Louis de Baudicour, journaliste présent en 1849 lors de l’assaut de Zaatcha.
Une intéressante photographie d’un couple de juifs algériens vers 1855 p. 41. Vous allez être surpris.
« Les Juifs algériens deviennent alors [les Français les prennent en grippe] source de mépris et de répugnance dans les discours de l’état-major : des boucs émissaire. En échange de sa signature pour le traité de la Tafna, Bugeaud reçoit une grande somme d’argent de la part de l’émir, ce qui fit scandale. Le général en fit porter le chapeau à ses émissaires juifs, qui furent accusés de trahison. »
les héritages c’est toujours compliqué à gérer, je suis en plein dedans, ma petite soeur juriste a pris le mandat avec mon frère et me fait passer par toutes les couleurs de l’arc en ciel, je ne suis pas vraiment déshéritée mais je n’ai pas envie d’être ligotée à vie, chacun ayant des idées plus ou moins fantasques et cherchant à ce que les autres signent. Comme je suis l’aînée je prends cher sur moi pour ne pas exploser de temps en temps, j’aimerais tant être celle du milieu qui n’en fout pas une et se permet de tout critiquer systématiquement. Nouvelles réglementations sur tout, j’ai l’impression de vivre dans la salle d’attente d’un notaire.
@FL@FL
Ce que vous ne dites pas, c’est que l’armée des colonisateurs a eu un grand besoin des juifs , car elle n’avait pas d’interprètes d’arabe maghrébin ,l a langue que parlait la population de la terre a occuper
Or la population juive qui y vivait comptait beaucoup commerçants et de négociants ,qui avaient eu depuis toujours des relations d’affaires avec la France et qui pouvaient s’exprimer en français (les hommes bien sûr ,pas les femmes)
C’’est dans ce milieu de juifs plutôt nantis que l’armée a recruté pendant longtemps ses interprètes, les y intégrant souvent avec le grade d’officier .Tel fut l’arrière-grand-père de mon mari, dont la fille sa grand’mère ,lorsqu’elle était enfant vers 1875 ,était toujours conduite à l’école par l’ordonnance de son père.
Une doctorante française a consacré sa thèse à ces « interprètes juifs de l’armée française »; i ls sont même présents dans une fiction « Fort Sagane ,dont un des personnages est un interprète juif amoureux de la fille d’un général a particule ,dont il sait qu’il ne peut que lui refuser la main de sa fille
Comme illustration de l’ancienneté des rapports commerciaux entre les juifs d’Algérie et la France, je possède une photo de mon arrière-grand-père en costume dit «indigène » e celui qu’il portait comme tous les hommes à l’époque «en Algérie , prise vers 1860 en France , par un photographe de Rouen
Cette ignorance totale de la spécificité du dialecte arabe maghrébin avait joué un sale tour au duc d’Aumale , pour le voyage au Maroc qu’il fit accompagné entre autres par Delacroix ;L’interprète qu’ils avaient recruté , arabisant reconnu ,n’entendait rien a ctte langue ,et il a été remplacé sur place au pied levé par un négociant juif nommé Benchimol
Rose, après l’interdiction parentale d’aller tenter le concours de l’Idhec en juin j’ai acheté une machine à écrire et, au cours de l’été , j’ai écrit mon premier récit « Le congé ». J’avais beaucoup moins de plaisir en écrivant (plutôt la rage) qu’en filmant du dernier wagon du train qui allait de Caen à Cherbourg. Aujourd’hui encore il m’arrive de filmer avec mon téléphone quand le train ralentit
en approchant des quais de gare ou bien quand le train surplombe des fleuves notamment l’arrivée en gare de Bordeaux. Un de mes romans préférés reste bien sûr « La modification » de Michel Butor. Jamais vu et lu d’aussi beaux aiguillages ferroviaires et de télescopages du Temps. S’y ajoute les souvenirs du Palatino.
La civilisation n’est absolument pas dans le football. Voilà ce qu’il faut penser et dire.
Alors s’il vous plaît, dites-le !
« Ce que vous ne dites pas, c’est que l’armée des colonisateurs a eu un grand besoin des juifs , car elle n’avait pas d’interprètes d’arabe maghrébin ,l a langue que parlait la population de la terre a occuper »
Ce que l’on nommerait aujourd’hui des collabos, Rosanette !?
Comme les harkis…
Tu es devenu écrivain par la faute de tes parents, Paul !?
D,
Les joueurs de foot sont peut-être c.o.n.s mais ils sont jeunes et riches, roulent en BMW et sortent avec les plus jolies gonzesses.
C’est cela la civilisation.
Et toi D, t’es presque vieux, t’es pauvre, t’as pas d’gonzesse et tu prends le métro !!!
T’es un barbare, un pauvre barbare.
Ah, moi je suis celle du milieu et bien je suis celle qui s’en prend plein la gueule.
avec les plus jolies gonzesses.
C’est vrai.
Je regarde Karim Benzema qui embellit tout le temps. Quatre gosses avec trois nanas successives. La dernière une jolie poupée sur les marches du festival de Cannes. On dirait, tellement qu’il est heureux qu’il mange un mikado. Ce bonbon au caramel entouré de chocolat. En fait, l’objet de la sex tape, c’est lui, et non pas son compagnon du ballon rond. N’a pas besoin de commettre des actes terroristes pour avoir les soixante dix mille vierges puisqu’il les a sur place… Le ballon rond, que c’est le mien et pas le tien.
Sautons les commentaires chiants comme la lune! 🙂
Je suis celle du milieu. L’autre jour, très récemment, après le petit déjeuner avec mon papa, ai eu un immense moment de gratitude envers mes parents. Ils m’ont appris à être courageuse et travailleuse. Et à bosser tout le temps. Je les ai remerciés avec tendresse l’autre matin, les deux.
Eux, ils ont mené la grande vie et n’ont pas été malheureux de plus.
Moi, j’ai échappé aux Maldives, les doigts de pied en éventail dans le sable blanc et j’en suis encore à marner comme une esclave pendant que les autres se sont encaissé les royalties.
Bah, ils récolter ont ce qu’ils ont semé, des prunes.
Paul,
Vos parents, c’est le concours de l’Idhec qu’ils vous ont interdit ou bien le fait de partir à Paris ?
* Ils m’ont appris à être courageuse et travailleuse.
Une bonne vache brouteuse en quelque sorte?
Paul,
Dans la modification de Michel Butor j’ai retenu beaucoup d descriptions de sols de rainures lorsqu’il est dans le wagon.
« Sur les rails ; de Victor Hugo à Jacques Roubaud
Anne Reverseau
IMPRESSIONS NOUVELLES Traverses 23 Août 2018
Littérature > Œuvres classiques »
moi, je déraille, mais ce n’est pas plus facile!
Rose en m’interdisant de participer au concours de l’Idhec, ils visaient surtout à m’ empêcher de m’installer à Paris, pour eux, une ville de perdition .
@ rose, comme quoi chaque cas est différent …
Chez nous la 3 ème n’a aucun sens pratique, refuse de travailler tout l’épuise … par contre pour recevoir des enveloppes elle sait rouler des yeux doux et faire des mines de cocker malade. Toutes ses histoires sont tragiques, des heures au téléphone pour parler de ses malheurs, avec une partition bien rodée, c’est tjours elle la victime à la fin …
Les vies de Paul Edel…
Tous ces textes fictionnels mêlés aux souvenirs réels sont en résonnance avec le roman de Paul Auster que présente Ed sur son blog. C’est Bloom qui l’avait évoqué ici un jour avant de disparaître de l’espace-commentaires.
Dès que Paul parle du réel ça devient une fiction qui ressemble au réel.
Rosso Fiorentino, Ange musicien
« c’est tjours elle la victime à la fin … »
Elle me rappelle quelqu’une, Chantal…
Rose, le Droit français n’interdit-il pas de desheriter un enfant d’une fratrie, jamais trop compris votre situation et la correction m’interdit de vous questionner sur les raisons qui ont motivé ce partage inégal. J’ai rencontré un homme à présent disparu ( sans prévenir) qui malgré sa bonhomie en voulait à son unique soeur d’avoir quelque peu pioché dans le magot familial, ce problème d’argent pour ainsi dire volé avait réussi à briser le lien entre le frère et la soeur. Maudit fric!
Un ange passe…
Un ange passe…
C’est cricri! 🙂
@jazzi
dans ce contexte « collabo »‘est un concept anachronique .
Pour ces juifs vivre en dimmi sous domination turque ,ou sous une lointaine autorité française c’’était indifférent et surtout pour eux cela ne changeait rien.
Mais ils ont vu dans cette présence française et son environnement républicain une chance .ils se sont progressivement assimilés en une génération ou deux, pour leur plus grande satisfaction, ;jusqu’a ce moment crucial que fut le décret Crémieux qui en fit des français à part entière, totalement et victorieusement déculturés, ravis d’avoir rejeté leur langue et leurs mœurs , et dotés par l’école d’ancêtres gaulois
B, êtes-vous artiste peintre?
Tout chez vous le laisse à croire.
Vu le dernier Wes Anderson, Zaza m’a semblé etre un mix de Trump et Musk. Brutalité, sens des affaires, projets pharaoniques, famille nombreuse… Le film est drole, les cadrages fidèles à l’obsession pour la symetrie bien connue chez WA, si foutraque que le scénario s’apparente à une oeuvre concoctée par une bande d’enfants déchainés, de sales gosses que l’outrance, l’exagération n’effraieraient pas. Sur un versant sérieux, on peut y lire une critique de l’exploitation sans scrupule des richesses, des pauvres dans les pays pauvres.
Jazzi, auriez vous vu « Le répondeur » ?
le laisse croire, pardon.
I WANT TO BE WHAT YOU SAW IN ME.
Œuvre d’art dégradée :
La personne parle anglais.
Elle répond au message.
Elle voit en ce phare un phallus.
Y rajoute une paire de couilles poilues.
Rosanette
Vous présentez le décret Crémieux sous un autre angle.
C’est la première fois !
Blue night,
Paul Klee.
« auriez vous vu « Le répondeur » ? »
Il sort prochainement, B.
Oui, on peut penser à Trump, mais Zaza est beaucoup plus sympa.
Et le film n’est pas vraiment une critique du capitalisme mondial.
Plus un prétexte à déconnade qu’une dénonciation en bonne et due forme…
B.
Je répondrai à l’oral à qui me le demandera.
En vérité, chacun fait ce qu’il veut.
Mon papa, lui a signé de plein gré toit ce qui lui a été proposé y compris l’interdiction de venir à ses obsèques et un faux témoignage quinze jours avant de mourir.
Non seulement les arnaques sont nombreuses, mais elles sont communes.
Le passage par une assurance vie en est une. Vous la donnez avant de mourir à votre jardinier et elle disparaît.
Manque de chance, mon papa m’avait tout expliqué, très clairement, et durant les cinq mois, j’ai vu tous leurs comptes, mes parents étaient meures en communauté de biens, se vider subrepticement. Lorsque le 16 novembre 2018, ma maman a dit à mon père « tu le sais que tous nos comptes sont vidés ? » mon père n’était pas au courant.
Cela va jusqu’à la part de ma maman de l’héritage de mon père 25%, distribuée aux trois enfants de ma sœur aînée et aux trois du frère cadet.
Hors Belmondo, Delon, etc. c’est très classique.
J’ai eu la chance avant de vivre cet épisode, devenu folklorique, avec des gens qui m’ont montré comment cela se passe. Donc, d’une certaine manière, la seule surprise que j’ai eu, c’est de constater que cela arrivait aussi chez moi.
Le cadet chez moi, vingt ans logé, nourri, jamais blanchi, une fois chez lui, pas un café, pas une douche, je dormais à l’hôpital au côté du lit de ma mère, il m’a dit « toi, tu es riche ».
Je lui ai répondu, « je ne suis pas riche, je suis fortunée. »
Et je suis partie.
Dans mon cœur, l’amour pour ma mère, et me revient, sérieusement, l’amour pour mon père.
Ne vous imaginez pas que l’on ne peut pas déshériter ses enfants : on fait semblant de ne pas, et on s’empoche le gros magot.
Les raisons sont la jalousie maladive de l’aînée envers moi, un frère malade dans un autre domaine, que je pourrai dire à l’oral, et mon excellente retraite directement liée à mon statut de fonctionnaire.
Non, pas maudit fric.
Le fric évite de manière radicale l’angoisse existentielle.
Le vice est lorsque l’argent devient une obsession.
Mais effectivement, les choix faits dans sa jeunesse, élever ses enfants pendant huit ans, ce qui est honorable, les gros branleurs, commencer à travailler à vingt cinq ans et arrêter à 55, etc.impliquent directos des taux de retraite archi-variables.
Grosso modo, on récolte ce qu’on a semé. Et ceux qui n’ont rien semé, ils récoltent des clous alors papa maman viennent à leur secours.
mariés mes parents.
L’aînée me l’a fait le coup de la victime. Elle, du vivant de mon père elle tapait déjà dans l’héritage de mes parents pour subvenir aux besoins de trésorerie d’untel, perpétuel fauche.
Je m’en tape.
La vraie victime, c’est l’agresseur pas l’agressé.
La seule qui a beaucoup de peine est ma maman qui voudrait voir ses trois enfants d’être unis comme les doigts de la main. Que je sois pillée par ma fratrie, elle s’en tape complet. La seule chose qui compte a ses yeux, est que nous soyons ses trois enfants.
Cela me fait beaucoup de peine pour elle qu’elle vive cela.
C’est dimanche avec Ménie Grégoire, les routiers sont sympas.
???
Paul Edel dit: 1 juin 2025 à 12h48
Rose en m’interdisant de participer au concours de l’Idhec, ils visaient surtout à m’ empêcher de m’installer à Paris, pour eux, une ville de perdition.
Et aujourd’hui que vous avez quitté Paris, qu’en pensez-vous ?
Ben oui, confessions sur canapé, Puck.
Paul et JJJ ont quitté Paris mais c’est pourtant là qu’ils se sont trouvés et sont devenus ce qu’ils sont aujourd’hui, rose…
On pourrait parler d’Auster pendant des jours, surtout du dernier, tant il semble inépuisable.
« Que je sois pillée par ma fratrie, elle s’en tape complet. »
C’est pas très sympa !
@ »Oui, on peut penser à Trump, mais Zaza est beaucoup plus sympa. »
je crois qu’il faut faire la différence entre, d’un côté, et ce que sont les choses telles qu’elles sont représentées par les médias.
exemple au hasard : le Parisien : c’est un journal appartenant à l’oligarque Bernard Arnault qui donne à voir un monde tel qu’il est vu par cet oligarque.
à partir de là reprednre la vision du journal c’est aussi reprendre celle de l’oligarque qui le possède.
c’est pas un peu le thème du film de Wes Anderson ?
« surtout du dernier, tant il semble inépuisable. »
Mais est-il testamentaire, Ed ?
Mais y a t-il seulement un thème dans le film de Wes Anderson, closer !
d’ailleurs en ce moment le débat qui fait fureur aux US est celui de Jake Tapper « original sin » sur la sénilité de Biden.
juste »ment parce qu’il pose la question de la représentation du monde donnée par les médias.
Tapper essaie d’échapper à sa responsabilité de journaliste, en disant j’y suis pour rien c’est la faute à l’administration Biden qui nous a caché le fait que Biden pataugeait dans la semoule.
du coup, comme tout le monde sait que c’est tout du flan, il se fait matraquer.
« Mais y a t-il seulement un thème dans le film de Wes Anderson, closer ! »
il y a toujours un ou des thèmes dans les films de Wes Anderson.
ce n’est pas parce que tu les vois pas qu’il n’y n’a pas.
lke fait est que tu passes souvent à côté des thèmes, t’as une vision plutôt « picturale » du cinéma.
sauf quand Almodovar parle de sa mère où là tu le remarques.
Jazzman en fait le truc qui t’a piégé dans le films de Wes Anderson c’est qu’il parle de la relation d’un père et sa fille.
c’aurait été une mère et son fils…
du coup tous les trucs autour de la colonisation et du capitalisme t’es passé complet à côté.
« du coup tous les trucs autour de la colonisation et du capitalisme t’es passé complet à côté. »
Tout à fait, puck.
Rien ne faisait sens, pas plus que dans les albums de Tintin.
Que du tintouin, chez Wes Anderson.
Et la relation père fille (une nonne) ne dépasse pas le seuil de l’anecdote…
« t’as une vision plutôt « picturale » du cinéma. »
Le cinéma n’est-il pas de l’image en mouvement, puck ?
Petit x me reprochait de ne pas parler de cet aspect là dans mes compte-rendus, et de ne m’en tenir qu’à l’histoire.
Faudrait savoir ?
Maurice revient… dit: 31 mai 2025 à 19h07
On ne peut rien contre la détermination d’un paresseux, surtout s’il veut faire un petit effort pour tuer quelqu’un.
Il paraît, selon les rapports de police, que les tueurs en série sont de grands paresseux. Ils ne sortent de leur torpeur que pour aller tuer.
.j’aurais remplacé paresseux par introvertis.
Mais ce n’est pas la même chose.
La mère a fait son boulot de mère, Jazzi.
Elle dit « c’est dégueulasse », mais elle ne veut pas le savoir.
Cela s’appelle le déni.
Suite du nouveau feuilleton de l’été du léZard…
« Le cinéma n’est-il pas de l’image en mouvement, puck ? »
j’en sais rien je ne regarde pas les films je ne fais que lire ou écouter les critiques, comme pour les bouquins, le seul truc qui m’intéresse c’est la critique, j’adore la critique, limite il n’y aurait pas les oeuvres et il n’y aurait que les critiques que ça me suffirait, qui plus est le comble pour la critique ce sont les oeuvres qui vont avec.
cela dit j’ai vu le dernier film de Clint Eastwood hé ben dans la toute dernière scène il y a effectivement un tableau un mouvement qui montre un échange entre 2 regards sauf qu’on pourrait écrire 50 bouquins sur cet échange de regards.
il y a toujours un thème.
« Petit x me reprochait de ne pas parler de cet aspect là dans mes compte-rendus, et de ne m’en tenir qu’à l’histoire. »
je crois que tu confonds l’histoire et le thème.
je ne sais pas pour quel film mr x te disait ça, mais se cantonner à l’histoire ne dit absolument rien d’un film si ce dernier dit plus que l’histoire qu’il raconte.
exemple au hasard : si je te raconte l’histoire d’Adam et Eve et de la pomme et du jardin d’Eden tu comprends quoi ? que c’est l’histoire d’un mec et d’une meuf qui bouffe une pomme parce qu’il ont la fringale ?
on en revient une fois de plus à l’histoire du fond et de la forme.
raconter l’histoire c’est se limiter à la forme.
le fond c’est dire le SENS de cette histoire.
si cette histoire est simplement jolie sans avoir de sens on appelle ça le kitch.
en fait Jazzman c’est ça ton truc : t’es hyper kitsch.
Retrouvé la patelle.
Description réaliste
4 cm de long sur 3 de large et un et demi de profondeur en cône.
Dedans sont collés douze coquillages ou morceaux de. Tous très petits, voire minuscules.
Je l’ai cachée dans un étui à lunettes
J’ai retrouvé l’étui à lunettes.
Je dois trouver une boîte plus petite pour l’emmener avec moi. Quand on me dira « montre-moi ta patelle, je la montrerai ».
Elle ramènera la joie et la paix, dans le cœur des gens désespérés.
En 2013, Widerganger faisait un portrait émouvant de D. et de tout ce que icelui pouvait apporter au groupe.
C’est dans nos différences que nous nous apportons. Pas dans nos ressemblances. Ahouf.
Cette patelle, elle a quatre coquillages qui sont exactement les mêmes. Sinon, ils sont tous différents.
Qui a conçu et exécuté cette merveille ?
@ et quand vous verrez les flics armés jusqu’aux dents débarquer chez vous à 5h du mat en fracassant votre porte d’entrée,
Cela a-t-il été une épreuve si douloureuse pour vous, chez qui ils ont découvert 2,7 kg de coke en stock ?
Sûr qu’ils auraient dû frapper à votre porte à 6 heures moins cinq. Parfois, ils sont un brin limite avec le CPP, c’est ce que j’ai toujours dit aux étudiants des écoles de police à qui j’ai dû l’enseigner. Heureusement, ils comprenaient la différence entre le droit normatif et prescriptif (ce qui devrait être) et la sociologie de sa mise en pratique empirique (ce qui est), … dont notre mission pédagogique consistait à toujours essayer de réduire les écarts dans notre « état de droit ».
Bàv,
(j’ignorj quel sera votre biais de perception aux principes de votre vision complotiste du monde, à ce sujet. J’espèrj surtout que vous vous relèverez de votre mésaventure, et saurez expliquer à l’RDL que ce n’était pas de la cocaïne qu’ils ont découvert, qu’ils se seraient juste trompés de porte à fracasser… Mais que dans les deux versions (capitaliste ultra néo libérale ou proto-communiste écologiste), c’est toujours la même chose : revendre de la cocaïne ou la consommer, c’est un « mala in se », bien plus qu’un « mala prohibita ». Toutes les polices de ces mondes là ont besoin de s’en emparer pour faire vivre et se reproduire voire fructifier leur système respectif de « défense ». Ben quoi, p-hurk… ?, c’est pourtant simple à comprendre, non ?
Bàv au BHV !
Les aventures du léZard …
1er épisode : comment j’ai shampouiné ma chienne !
2ème épisode : pourquoi je me suis offert une pédicure !?!
Non mais allo qwa ! … Les Birkenstock en daim vert pomme et le peignoir gris cendré en polar, l’été s’rachaud !
Du fond de mon coeur je préfère quand même Maurice Ronnet et ses chandails.
Moi j’aimerais bien voir votre patelle en vrai. Elle doit être si précieuse et si belle avec ses 4 coquillages. Quelle chance vous avez de l’avoir enfin retrouvée, à 15.35. Non, vous n’êtes pas celle du milieu. Non, car toujours un brin au-dessus de la mêlée, vous dij. Oui.
@jazzi
Non, je ne pense pas
Je sens que l’RDL va se passionner tout l’été pour le feuilleton du Lézard… Enfin, une entrée dans l’intimité d’un internaute dévoué : ça va nous changer de tutes cette actu littéraire efflanquée qui n’intéresse plus grand monde…
Espérons qu’il va faire des émules avec Patrice C., qui pour l’instant, sauf erreur, n’a pas encore osé se dévêtir à Dieppe devant son dernier dictionnaire des chats et des chiens. Bàv, Wouarf et Miaou.
Douze coquillages dont quatre identiques.
Elle est prête sur mon sac à main, je dois trouver une boîte à la dimension.
@ Rose : je vous fais un petit coucou avec un corail blanc neigeux comme un choux fleur assis sur son carré de marbre de Grèce.
« @ et quand vous verrez les flics armés jusqu’aux dents débarquer chez vous à 5h du mat en fracassant votre porte d’entrée,
Cela a-t-il été une épreuve si douloureuse pour vous, chez qui ils ont découvert 2,7 kg de coke en stock ?
Sûr qu’ils auraient dû frapper à votre porte à 6 heures moins cinq. Parfois, ils sont un brin limite avec le CPP, c’est ce que j’ai toujours dit aux étudiants des écoles de police à qui j’ai dû l’enseigner. »
3j ? j’y crois pas ! c’est qui leur a appris à fracasser les portes ?
du genre que même si tu oublies de fermer ta porte d’entrée, que tu laisses la porte grande ouverte, ils la referment pour la fracasser ?
c’est toi ?
tu faisais quoi dans la vie exactement ?
essaie d’être plus précis : c’est quoi tes fonctions de petit fonctionnaire servile ?
pour les manifs tu leur apprenais aussi à taper sur les gamins ?
en fait tu te la joues cool mais si ça se trouve t’es un vrai serial killer ! un putain de taré qui a passé sa vie à apprendre aux flics à taper sur les gamins pour te venger de la vie ?
J’adore le commentarium de ce blog, c une source d’inspiration et de rire toujours renouvelée… une grande joie permanente, surtout quand tu tombes sur, genre …
Q / c’est quoi tes fonctions de petit fonctionnaire servile ?
R / Bin… euh ?… d’être un petit fonctionnaire servile, tè, gros ballot.
—-
Le plus drôle, c’est que t’éprouves jamais le besoin de te lui poser la même question, tellement tu t’en tapes de savoir qui il est, ton gros naze. Un trafiquant de drogue pédophile ou un mythomane à tabasser ou à conchier sur la porte. So what ?
Al’droit d’vivre comme toulmonde, li tou. Essaie surtout pas d’être plus précis, hein… Ma biche.
et le peignoir gris cendré en polar,
La fausse fourrure du peignoir, ça fait vraiment » la cage aux folles », non?
Un commentarium qui commence à « prendre » chez TTLT… Tout le monde sur les rangs pour le dernier round à passoul, qwoi. Faire dans l’événementiel de qualité.
Bravo pour l’austère 4 3 2 Hein ! 🙂
Tu wois,…, t’as pas fini d’en baver avec maurice ronet ou jean poire/michel serrault. Te décourage pas, surtout. Hein ? toi aussi, t’es au-dessus de la mêlée.
Ils ont fait 5 à O à Paris ?
@bolibongo, oui et non on dirait surtout qu’il est rangé des voitures malgré son canapé cuir à clous, il semble très focus sur sa nouvelle petite Vita. J’espère qu’il n’est pas vexé, sait-on jamais, le bonheur est paisible.
J’ai invité des amis, la table est prête 😉
(17.24)
Moi itou, et j’ai ouvert les huîtres.
Il semblerait qu’un nouveau Janké soit apparu entre temps sur la RDL. Bon app’, Chantal. A +
Chantal dit: 1 juin 2025 à 16h04
@ Rose : je vous fais un petit coucou avec un corail blanc neigeux comme un choux fleur assis sur son carré de marbre de Grèce.
Ce doit être superbe. Bonne soirée Chantal,
Ce peignoir, qui est un cadeau d’amis, est très kitch, mais à l’usage très confortable, Bolibongo…
Pas de pb, Chantal, je suis le premier à en rire !
Jazzi, je dis ça, mais mon ami « bagnino » italien s’est désormais lui-aussi entiché d’un toutou.
Jazzi, je n’ai rien contre votre peignoir, il nous a été recommandé de porter des cols roulés pour faire des économies d’énergie, mauvaises langues que ceux qui se moquent de votre tenue d’intérieur. J’avouerais que mes pyjamas ne seduiraient personne si une personne, au moins une osait me visiter. Pour la Catalogne, j’y retourne dès vendredi, petite terrasse avec vue sur la mer au couchant, plage au pied des pistes, paysages alentours magnifiques, je vais m’en mettre plein les yeux et sortir mon canoë de course pour explorer cette côte rocheuse encore sauvage et je l’espère pas trop visitée en ce début de juin. Il me faudrait faire un détour en remontant chez Dali Cadaqués. Je projette quand mes finances seront suffisantes un road trip vers les Asturies, la Galice, l’an prochain probablement.
Empuries vaut également le détour, si je décroche du paysage, je pense pouvoir visiter ces vestiges qui ne sont pas très éloignés du lieu où je vais séjourner une courte semaine.
ED, les derniers écrits de Paul Auster sont-ils empreints de ses malheurs familiaux, fils toxico, petite fille décédée après absorption de drogues oubliées sur une table. Quel poids à porter que celui du parent qui échoue à amener ses enfants à bon port.
B.
Empuries
La statue d’Esculape, et le phallus monumental sur un mur extérieur, signature des architectes.
Figueras le théâtre musée* et Port Lligat, sa maison.
*avec la galerie de bijoux créés par lui, son tombeau au sous-sol. Etc.
Cadaquès pour la beauté de sa vieille église et le charme de ce village.
Et pas loin de tout cela, Besalù pour son miqvé redécouvert.
Bonnes vacances à vous !
Vamos a la playa…
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