Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse
Pourquoi parle-t-on tout le temps de Camus et pas de Roth depuis quelques semaines ? Trop injuste alors que lui aussi, après tant d’autres il est vrai, a raconté les ravages d’une épidémie. J’y repense alors que l’on peut voir actuellement sur OCS et sur un tout autre sujet (ce que c’est que l’esprit de l’escalier…) l’adaptation en série de son Complot contre l’Amérique (The Plot against America). C’est aussi désespérant que rassurant : on n’invente jamais rien. Ou si peu. En prendre conscience permet de garder la tête froide et de relativiser notre génie. Le cas échéant, Internet se charge de rafraîchir la mémoire des oublieux.
Némésis (traduit de l’anglais étatsunien par Marie-Claire Pasquier, Gallimard et Folio), le trente et unième et dernier roman de Philip Roth paru il y a dix ans en anglais, et deux ans plus tard en France, raconte les tragiques conséquences de la poliomyélite sur une communauté de Newark (New Jersey) au cours de l’été 1944 ; l’espoir, la panique, l’angoisse, la douleur, la souffrance, celles des enfants plus encore que celles des adultes, sont évoquées à travers le dévouement du jeune responsable d’une aire de jeux, ses dilemmes entre désir et devoir, ses cas de conscience face à cette tragédie qui le mène à faire front contre le Mal au moment où une autre guerre décime des hommes (ici on peut lire un extrait). Une guerre dont ce Bucky Cantor est l’absent résigné et coupable ayant été réformé. Il n’en mêne pas moins « sa » guerre sur place à Newark contre l’ennemi invisible (air connu, depuis…). Non seulement une épidémie mais sa menace. Il en fait son affaire personnelle.
Un temps, impuissant car désarmé, il croit se soustraire au spectacle de l’hécatombe à venir, annoncée par des morts parmi les enfants, en rejoignant sa fiancée au bord d’un lac mais revient vite à sa base et ses compagnons d’infortune. D’autant que, aussi loin qu’il ait cru fuir, il a emporté le virus avec lui en lui, à son insu. Infesté, lui qui a voulu faire le bien se retrouve être l’instrument du Mal. Tel Job en son fumier à l’entrée du village, il accable le ciel et son principal locataire : qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? L’absence de réponse à son exigence d’explication le ronge. Cet innocent au coeur immense, homme de devoir s’il en est, n’admet pas que ses pourquoi restent sans écho. Dans son monde rationnel, pour un homme comme lui, ni scientifique ni religieux, l’absurde n’a pas de place non plus que l’aléatoire. C’est peu dire que dans ce roman, Philip Roth s’en remet plus au hasard et à la chance, qu’à l’inconscient ou à la providence. Némésis dans la pensée grecque était la messagère de la justice qui châtiait ceux qui devaient l’être, sévère mais juste. Elle sanctionnait la démesure, et son coup était perçu comme une vengeance. A Newark, si l’épidémie de polio est déjà cruelle, sa seule menace sur chacun était déjà perçue comme perverse tant elle torturait les esprits.
Une épidémie dans une cité portuaire sur fond de seconde guerre mondiale, cela vous rappelle quelque chose ? La Peste d’Albert Camus et les effets du fléau sur la population d’Oran. De l’histoire ancienne pour Philip Roth. A ses débuts en 1957, il avait soumis à Saul Bellow le premier jet d’une nouvelle marquée par sa lecture éblouie de cette oeuvre ; son maître et ami, qui ne partageait pas son admiration pour Camus, l’avait mis en garde contre la tendance à réduire un roman à une idée et à s’y tenir. N’empêche que cette inspiration inavouée n’aurait pas été remarquée si des blogueurs américains ne l’avaient remarquée. Nemesis n’en est pas moins un roman parfaitement made in Roth.
Et comme les nouvelles vont de plus en plus vite, avant que quiconque ne se risque à exiger de l’Américain qu’il paie clairement sa dette au Français, le romancier J.M. Coetzee, qui consacrait un long article à son livre dans The New York Review of Books, rappelle celle contractée par le Camus de La Peste (1947) à l’égard du Daniel Defoe du Journal de l’année de la peste (1722)… Tout se ligue pour nous faire comprendre qu’en littérature, dès lors qu’une idée et non une forme gouverne la naissance d’un roman, on n’invente jamais rien. Et même une forme, parfois… Savez-vous pourquoi Montaigne est soudainement revenu dans l’air du temps il y a une quinzaine d’années aux Etats-Unis ? Parce qu’on a voulu voir dans les Essais (1580), exploration à sauts et à gambades d’un moi face au monde, la géniale préfiguration des blogs, sites personnels, affichages au Mur et autres journaux intimes en ligne, ainsi que l’écrit Sarah Bakewell un peu partout sur la Toile après l’avoir exposé dans son livre How to live or A life of Montaigne in one question and twenty attempts of an answer (400 pages !) encensé par les meilleurs journaux.
A quoi tient un regain de popularité littéraire ! à une récupération abusive au profit d’une conception assez extensive du simple narcissisme dans tous ses étals (Montaigne en saint-patron de Facebook, on aura tout lu…). Ce n’est d’ailleurs pas la première tentative puisque Twitter a fait de Félix Fénéon (1861-1944) son pionnier au motif que ce grand critique absolu (livres, art, théâtre) est également l’auteur de nouvelles en trois lignes qu’il publia dans une rubrique à elles dédiée en 1906 dans Le Matin ; réunies en volumes (Le petit Mercure), ces brèves bien dans sa manière, issues de simples dépêches relatant des faits divers, demeurent un classique du haïku à la française :
« Rattrapé par un tramway qui venait de le lancer à dix mètres, l’herboriste Jean Désille, de Vannes, a été coupé en deux[] ». Ou encore : «Allumé par son fils, 5 ans, un pétard à signaux de train éclata sous les jupes de Mme Roger, à Clichy : le ravage y fut considérable. »
Las ! S’étant aperçu qu’elles étaient longues chacune de cent à cent trente signes, un éditeur américain avisé les fit traduire, les publia et les lança, devinez comment ? En créant un compte Twitter Novelsin3lines qui expédie chaque jour à ses correspondants un fragment de Fénéon.
(« Philip Roth in 1968 visiting his home town of Newark, New Jersey ; Philip Roth, at rear of table, at his Weequahic High School prom. » photos D.R.)
2 031 Réponses pour Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse
quand elle parle de lavement des pieds à djizeus la babouin se rappelle soudin qu’elle a les panards qui fouettent de rond..et la hon entend meussieu courte pener trés fort ‘yaé a voulu dans sa sagesse que chje fusse chauve’
Cette nuit, rediffusion de l’Heure bleue du 27 décembre 2018 de Laure Adler avec face à face le père et le fils : Philippe et Sylvain Tesson.
https://www.franceinter.fr/emissions/l-heure-bleue/l-heure-bleue-09-avril-2020
« Il est tous les soirs au théâtre, immobile dans le noir. Il voyage par les livres et est le propriétaire de la maison d’édition L’avant – scène théâtre et du Théâtre de Poche à Montparnasse ; cet intellectuel, ce critique hors pair, c’est Philippe Tesson.
Il a transmis sa plume et son goût de l’écriture à son fils Sylvain Tesson, moins la sédentarité. Grand aventurier et écrivain voyageur, le fils Tesson parcourt le monde, écrit des récits de voyage comme le célèbre « Dans les forêts de Sibérie » et plus récemment en 2019 « La Panthère des neiges » qui relate son voyage au Tibet à la recherche de cet animal. »
Le babouin ducon me voue une passion suspecte.
Il me prend pour sa nemesis.
ne dites pas je ne prise pas le coitusse interuptusse
mais dites « je souffre affreusement du retrait »
c’est une fuite dun prochain opus à meussieu courte
on msure la panique a la babouin au rouge de son cul
Aspects de la langue française à l’époque des Essais [article]
Françoise Argot-Dutard
https://www.persee.fr/doc/igram_0222-9838_2002_num_95_1_2649
De la nécessité du Pari. Au hasard page 93, édition livre de poche 823 – LGF , 1972. Pascal
211]…Cette négligence en une affaire où il s’agit d’eux-mêmes, de leur éternité, de leur tout, m’irrite plus qu’elle ne m’attendrit; elle m’étonne et m’épouvante, c’est un monstre pour moi. Je ne dis pas ceci par le zèle pieux d’une dévotion spirituelle. J’entends au contraire qu’on doit avoir ce sentiment par un principe d’intérêt humain et par un intérêt d’amour-propre: il ne faut pas pour cela que voir ce que vouent les personnes les moins éclairées.
Il n faut pas avoir l’âme fort élevée pour comprendre qu’il n’y a point ici de satisfaction véritable et solide, que tous nos plaisirs ne sont que vanité, que nos maux sont infinis, et qu’enfin la mort, qui nous menace à chaque instant, doit infailliblement nous mettre dans peu d’années dans l’horrible nécessité d’être éternellement ou anéantis ou malheureux.
Dimanche soir pour ceux qui comme moi ne l’aurait pas vu, Barry Lindon sur Arte. Entièrement éclairé aux bougies, candélabres, chandeliers, feux d’âtre.
« je glisse un doigt sous le masque, comme ça, sans me faire voir… »
Et quand ça gratouille dans la culotte, avec ou sans gant le doigt ?
Auraient, mes excuses et crottes de bique!!!!!
Jazzi!!!!!
verbiage continuel auquel on assiste entre 2 pelés et 3 tondus à la ramasse
On est d’accord, Vanel!
10/04/2020 10 h 25
J’ai entendu parler de ce film, ça parle de quoi ?
est-ce correct ?
J’ai appris à me méfier de ce qui passe sur Arte.
Je me suis fabriqué un masque alternatif en tissu et je le mets maintenant à chaque fois que je sors. Si je sais que ça ne me protège que partiellement, je sais en revanche que je ne contamine personne de façon certaine.
Ça tient un peu chaud mais c’est très supportable. Il faut le laver en principe après chaque port, comme les slips. Masque et slip sont très proches dans l’esprit.
Salut la RDL,
J’espère que tout le monde va bien en ces temps difficiles. J’espère surtout que ça bouquine fort. Pour ma part, énormément de travail. Heureusement que le long weekend me permettra de terminer mon article sur la Thailande et ma lecture de La ville noire, roman méconnu de George Sand. Bonne lecture à tous.
SELJA SEPPÄLÄ
LA TRADUCTION DES ONOMATOPÉESDANS LA BANDE DESSINÉE
Étude fondée sur la traduction de
Garfield
d’AnthéaShackleton
https://www.academia.edu/1462231/La_traduction_des_onomatop%C3%A9es_dans_la_bande_dessin%C3%A9e_%C3%A9tude_fond%C3%A9e_sur_la_traduction_de_Garfield_dAnth%C3%A9a_Shackleton
Je me souviens de ces mots, dans une chronique de Vialatte. « Je viens de relire Michelet. C’est le plus grand poète du XIXe siècle ».
Chanter les onomatopées :
Cela étant donné :
Confinement.
La vieille pit — 16 printemps — a pris la chose avec philosophie : elle dort.
Ce n’est pas de même avec le petit havanais — 2 années et ½ —, qui privé de toutes se habitudes — 4 sorties par jour dont 2 de minimum 1 heure, ce qui se traduit par de long parcours et une vie sociale bien remplie —, il comlence à stresser.
Drillon aurait tort de ne pas faire son auto promotion !
: ce type d’onomatopées devait êtreclassé dans une catégorie regroupant les sons produits par le corps humain,qui ne prendrait pas en compte des sons articulés par l’appareil phonatoire.C’est donc, ce que j’ai appelé les sons humains corporels (Hc), les autresétant les sons humains vocaux (Hv). La catégorie H demandait donc à êtredivisée en deux sous-catégories Hv et Hc.Nous constatons donc, que la définition et la catégorisation desonomatopées est relativement difficile et éminemment subjective, toutcomme l’est la transcription des onomatopées. Je conçois bien, dès lors, queles choix que j’ai opérés sont pas les seuls possibles et qu’on pourrait trèsbien procéder à une étude partant d’autres critères de classement, etmême de dépouillement.
« Masque et slip sont très proches dans l’esprit. »
Pourquoi alors ne pas mettre directement ton slip sur le visage, D. ?
Un petit « coup » de marcel Moreau
» Une race de toute évidence, a décidé de vivre en parasite sur les œuvres, sur l’histoire et la connaissance. Cette race, qui commande aux hommes, porte en elle la part morte des formes. Impuissante à imaginer, mais gorgée de science, elle se rabat avec des loucheries de refoulée sur les activités inférieures de l’esprit, comme l’encyclopédantisme, ce brillant des salons descendu dans la rue. Loin de révéler à ceux qui se cherchent le feu fondateur, elle prétend injecter dans leur être immature des quantités, des quantités surtout, d’information superflues, exacerbées par la dialectique et rendues crétinisantes par la mémoire. Le malheur est que ce qui devrait n’être qu’une manie parmi d’autres prend dans l’organisation de notre société telle qu’elle est, force de loi. »
Marcel Moreau in Dubuffet hors la loi, Cahier de l’ Herne Dubbuffet page 108.
Vendredi, 11 avril 2020, 11h15
Masque et slip sont très proches dans l’esprit.
D. dit:
La preuve:
https://www.youtube.com/watch?v=BiC56E9t0r8
Pourquoi alors ne pas mettre directement ton slip sur le visage, D. ?
Jazzi dit:
Parce qu’il ne savait pas comment faire. Maintenant, il sait.
à André Gide: une petite crapette ?
Mais le prix des écoles de commerce va devoir augmenter, M. Drillon.
exponentiel comme l’épidémie.
pour apprendre à tous les suffisants à vendre la soupe que l’Etat leur servait avant le fléau (pas celui de Léautaud).
Car les pandas sont difficiles. « La saison des amours n’a lieu qu’une seule fois par an, entre le 15 février et le 30 mars, période durant laquelle la femelle panda est féconde pendant 48h »explique le zoo de Beauval. […] Les pandas sont des animaux pudiques et discrets.
rose dit:
La preuve:
marcel moreau : hors la loi … paix à son âme libérée !
on sent que ça va plus être ben possib, je me suis fait contrôler hier, montré la facture de mes courses de première utilité, mais ils ont enregistré ma plaque: statistiques, statistiques.
Bon je retourne à mon fourbi, une semaine pour pondre sur le virus, désolée passou c’est pas moi qui décide. Aaaatchoum, où est ma cétirizine ? virus+pollen, la totale.
Très beau et étrange temps de recueillement en ce vendredi saint, retransmis par LCI, dans la cathédrale Notre Dame de Paris encore en travaux, ouverte à quelques personnes. L’archevêque prononce des paroles discrètes et fortes en ce jour particulier. Renaud Capuçon, en combinaison protectrice joue des sonates de Bach et de Teleman, Judith Chemla lit du Claudel, Philippe Torreton du Francis Jammes et une lettre de mère Teresa. Ils sont autour de la couronne d’épines du Christ, sauvée de l’incendie par les pompiers. Trois chaises, trois pupitres et l’immense .
La preuve:
bonne clopine c’est youporn et lafrenchézado d’pédro c’est le sneuf zoophile des zétas..bon c’est mieux qule figaro qu’elle dirait alesquia
« Le Requiem de Mozart dirigé par Jean-Claude Malgoire : c’était d’une inimitable cocasserie. On pensait donc la chose non reproductible. Mais le voilà dépassé par Riccardo Chailly, dirigeant la Passion selon Saint Matthieu de Bach à une vitesse telle que l’envie vous prend de danser une valse viennoise endiablée. »
(J.Drillon)
La preuve:
Bach St Matthew Passion Chailly, Gewandhausorchester, Thomanerchor
https://www.youtube.com/watch?v=hhlhfEB2hes
C’est un « vendredi saint », comme aujourd’hui (grâce à J.D. je viens de m’en rendre compte), il y a 291 ou 293 ans (on ne sait pas avec certitude), que Bach a dirigé pour la première fois sa Passion, à Leipzig.
(Tous les vendredis saints mon père, pour qui Bach était vraiment « le 5ème évangéliste », s’enfermait dans le salon et écoutait avec le volume à fond cette passion -dans la version de Klemperer- en entier, pendant presque 4 heures, au grand désespoir de ma mère qui n’aimait pas du tout Bach, et de nous, les enfants, qui ne pouvions rentrer dans le salon pour voir la TV, par exemple. Dans toute la maison on entendait toute l’après-midi cette musique. Je me rappelle encore le jour où, à 13-14 ans, pour la première fois le choeur final, entendu de loin, m’a fait de l’effet).
Chailly fait le coeur introductif, « Kommt, Ihr Töchter, Helft Mir Klagen », en 5min43.
Klemperer, en 11min45
Bach – Matthäus-Passion BWV 244 + Presentation (recording of the Century : Otto Klemperer)
Mais le prix des écoles de commerce va devoir augmenter
tout sur le lohobihing..jme dmande si havec un bon site tendanceur ruaouaï tu les frais pas aux pattes dirfiloo..
Et Karl Richter en 11 min
Voyons Clopine,; qu’est-ce qui peut me faire sourire plus que votre portrait en douteuse? Mhhhh?
Cela dit, je vous rejoins étant entré depuis deux jours dans la tribu des masqués , sur la difficile compatibilité d’n masque et d’une paire de lunettes….
Bien à vous.
MC
elle se rabat avec des loucheries de refoulée sur les activités inférieures de l’esprit, comme l’encyclopédantisme
dubuf il l’a pris pour lui.. »moi j’ai ptête hune tête de marchand dpinard mais toi t’as hune de gros con de belge halors camembert » est resté célèbe
la difficile compatibilité d’n masque et d’une paire de lunettes….
pas bzoin d’ête un second de eltchapo pour savoir qu’a rien dplus bandant pour un hétéro un vrai..si que c’est une google hen plus..c’est la totale qu’il dirait dirfiloo
On peut dire ce qu’on veut de l’interprétation de Klemperer, difficile d’aller plus loin dans le grandiose, sans perdre l’émotion en plus.
Le choeur final (l’un des plus beaux moments de la musique occidentale) dans la version de Klemperer:
St. Matthew Passion, BWV 244, Pt. 2: No. 68, Chorus « Wir setzen uns mit Tränen nieder »
https://www.youtube.com/watch?v=Jn6hKinnZKM
Le finale, dans la version de Klemperer, fait 8 min; dans celle de Chailly, ridiculement rapide, (le début donne envie de rire et la fin laisse de marbre), 5 min:
Pour ma part, énormément de travail
c’est la çanté dédède..ein zwei polizei! funf sex halte hex
Ambroise Paré, né vers 1510 (ou 1509 selon les sources) au Bourg-Hersent, près de Laval, et mort le 20 décembre 1590 à Paris,
a attrapé la peste et en guérit;
il a connu les guerres de religion, et il y a polémique sur sa persistance dans la religion réformée;(il n’évoque pas la vierge)
il a écrit un traité sur la peste :en français! -il n’avait pas été bien instruit en latin, mais l’appui du roi compensa ce « déficit linguistique) »
c’est lui qui aurait dit « je la pansay, Dieu le guérit »
Bonjour ED, je pensais à vous hier soir vers minuit et me demandais à quoi tenait une si grande discrétion de votre part au temps du confinement. Je pense sincèrement que les intellectuels en souffrent moins que les autres habitués qu’ils sont aux travaux de l’esprit. Je suis plus une marcheuse flaneuse glandeuse qu’intello, tout le monde l’aura remarqué. Pas de quoi pavoiser. Je vais dépoussiérer ma bibliothèque qui malheureusement n’en est pas vraiment une et n’offre qu’un mauvais abri à mes bouquins. Mon ménage de printemps sera achevé et il me permettra de remettre la main sur les livres auxquels je pense en ce moment.
Ils sont autour de la couronne d’épines du Christ, sauvée de l’incendie par les pompiers.
Tout ceci s’accorde à la note humoristique du billet de Pierre Assouline. On dirait un gag des Monty Python. Ce serait bien que la tv nous en serve un peu, je n’ai vu qu’un film de ces célèbres.
c’est un topos de l’enseignement sur MONTAIGNE PARE et l’époque comme on le vérifie sur internet et cette fiche notamment:
Fiche sur la lecture analytique croisée Ambroise Paré et Montaigne
Est ce qu’un grand grammairien pourrait me renseigner sur l’usage des temps au temps du confinement. Doit on écrire, je me demandai ou je me demandais? Greu greu.
et la conversation entre les deux hommes a été pensée
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à propos de cette référence
Valin, Marc
L’AVERSE OU LA CONVERSATION D’AMBROISE PARE ET DE MICHEL DE MONTAIGNE
Paris, Siloë, 1990.
montaigne:
ſans nul meſtier ni office, qui & eſté fille juſques en l’aage de 22 ans, veüe & connuë par tous les habitans de la ville, & remarquée d’autant qu’elle avoit un peu plus de poil autour du menton que les autres filles ; & l’appelloit-on Marie la barbue. Un jour faiſant un effort à un fault, pses utils virils ſe produipsirent, & le cardinal de Lenoncourt, éveſque pour lors de Chalons, lui donna nom Germain[1]. Il ne s’eſt pas marié pourtant ; il a une grand’barbe fort efpoiſſe. Nous ne le ſceumes voir, parce qu’il eſtoit au vilage. Il y a encore en cette ville une chanſon ordinaire en la bouche des filles, où elles s’entr’advertiſſent de ne faire plus de grandes enjambées, de peur de devenir maſles, comme Marie Germain. Ils diſent qu’Ambroiſe Paré a mis ce conte dans ſon livre
excuse:citation de Montaigne Eſſais de Montaigne, liv. I, ch. 20.
ENCORE UNE QUESTION , DOCTEUR WARGON
Le monde est petit. Il y a quelques jours, j’avais scribouillé sur Facebook (pour un millier d’amis) et sur divers blogs quelques lignes titrées « Une assertion, deux questions ». L’assertion était celle de Patrick Pelloux, président depuis 1997 de l’Association des médecins urgentistes. qui compte environ 2000 membres. On peut penser qu’il a de très nombreux contacts avec des médecins. Plus que vous et moi, en tout cas. A l’en croire, les médecins atteints du coronavirus prenaient les DEUX médicaments recommandés par le Professeur Raoult. A ma connaissance, au moins trois ministres français ont chopé ce virus : M. Riesler et Mmes Poirson et Wargon. Mme Wargon étant mariée à un médecin urgentiste, avait chopé comme son mari ledit virus. Dans le débat actuel « Raoult ou pas Raoult » , je me demandais si ce ministre et son mari avaient pris ou non ces deux médicaments et, dans l’affirmative, s’ils en avaient fait part au ministre de la Santé, au Premier ministre et au chef de l’Etat.
Mon encre était à peine sèche, que je tombe jeudi matin sur RTL, vers 7h45 , en petit-déjeunant, sur un entretien entre Alba Ventura et……………..le docteur Wargon ! Il venait pour un tout autre sujet : il avait écrit un papier pour demander un salaire plus élevé pour les médecins hospitaliers étrangers. Libre à lui ! Vers la fin, Mme Ventura lui demanda, presque incidemment , comme il avait eu le virus, s’il allait bien. La réponse fut positive. Elle ne posa pas la question que je lui aurais posée et qu’on a vue ci-dessus. Dommage !
Mais jeudi après-midi le président de la République est allé à Canossa, pardon , à Marseille. Il aurait parlé…trois heures avec le professeur Raoult. C’est mieux que de savoir si Mme Wargon a pris les deux médicaments du professeur Raoult. J’avais signé ,le premier jour, l’appel de Philippe Douste-Blazy. J’ai dénoncé sur Facebook et divers blogs le décret scélérat interdisant aux généralistes de prescrire ces deux médicaments donnés à un milliard de patients avant l’épidémie depuis 70 ans en France et dans le monde. Ce camouflet à Karine Lacombe, Marcel Ichou ( « Raoult est un charlot »), Cohn-Bendit (« Que Raoult ferme sa gueule ! » ) et quelques médecins jaloux et grimaçants sera-t-il suivi d’un changement de politique sanitaire et de politique tout court ? L’avenir le dira. Je croise les doigts. TTU ( : Très très urgent), comme écrit parfois dans les télégrammes diplomatiques.
1727 ! parce qu’il y a 2 églises à Leipzig : Saint Thomas et Saint Nicolas, elles se se relaient : une année l’une, l’autre année l’autre, en 1726 c’était Saint Nicolas et donc 1727 ce sera lae tour de Saint Thomas.
La différence entre ces deux églises : Saint Thomas est plus grand, ce qui permet à JSB de prévoir 2 choeurs avec 2 ensemble chacun aynt un orgue.
d’où la disposition de cette Passion : si elle avait été composée pour l’autre église elle aurait été différente, l’histoire de la musique tient à des petits détails anecdotiques.
merci P75 pour la version proposée du final de la BWV 244. Elle est en effet sublime !
Je l’ai mise à donf., et Georges apprioché d la fenetre, n’arrête plus de cocoriquer de bonne humeur ou d’envie de rivaliser (?). Incroyable ce Boy, aurais jamais imaginé qu’il eut été sensible à jean-sebastien. On sous-estime toujours les bêtes. Bonnes Pâques.
et maintenant tu regardes le temsp de chaque vidéo pour déduire le tempo ?
c’est bien ! merci qui ?
: « Pratique du dialogue de la dispute dans les textes médicaux »
il n’y avait pas encore le covid ;donc à propos de Paré
– 14h-16h : Guylaine Pineau (Université de Pau) :
« Ambroise Paré, lecteur cirtique de ses confrères ».
Analyse de deux enquêtes menées par Ambroise Paré pour tenter de résoudre deux controverses : la question de la nature des « dragonneaux » et celle de l’existence des « licornes ».
« deux controverses : la question de la nature des « dragonneaux » et celle de l’existence des « licornes ». »
cette question est toujours d’actualité, elle fait toujours débet et elle n’a pas encore été résolue avec les moyens techniques dont nous disposons.
Il est également l’auteur d’Ambroise Paré – La Main savante (Gallimard), portrait littéraire du père de la chirurgie moderne.
Le mardi 13 juin 1564, le jeune roi Charles IX accompagné de sa mère Catherine de Médicis fit son entrée à Lyon que la peste ravageait. On mourait partout, dans les rues comme chez soi. Les cimetières étaient pleins de morts et d’agonisants entassés ensemble. Les fossoyeurs, habillés en jaune, jetaient les cadavres dans le Rhône. D’après l’historien Claude de Rubys (1533-1613), la peste à Lyon causa 60.000 morts. Chiffre
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https://www.lefigaro.fr/vox/societe/jean-michel-delacomptee-la-peste-a-lyon-decrite-par-ambroise-pare-ou-le-rappel-d-un-autre-monde-que-le-notre-20200330
concernant les drogonnaux tous les spécialistes connaissent leur lieux de vie et leur écosystème, et pourant ils restent très difficile à piéger. un scientifique dont j’oublie le nom, avait avec l’aide d’un moine syldave inventer un système pour les attraper, ils sont partis dans cette région des Carpates où l’on pense qu’ils vivent, on ne sait pas si leur dispositif a marché dans la mesure où ils ne sont jamais revenus.
concernant les licornes, le problème est plus simple, tout le monde sait où elles vivent, la période de leur accouplement, un photographe danois avait réussi en 1949 à les photogrpahier, le problème est qu’au retour il s’est fait bouffer par un dragonnau.
et alii A. Paré est très connu à Lyon : c’est le fondateur de l’ordre des médecins lyonnais, il a travaillé à l’Hotel Dieu de Lyon, un des plus vieux hôpitaux de France qui maintenant a été transformé en hôtel 5 étoiles avec à l’intérieur un centre commercial hype classieux !
Pollens et virus :
13 h 31 le 10 du mois.
moi(s) de Montaigne
MONTAIGNEet les médecins et éducateurs:
Dominique Brancher et Ariane Bayle – Le siècle des vérolés
https://www.youtube.com/watch?v=YSPsaGRVBzk
et maintenant tu regardes le temsp de chaque vidéo pour déduire le tempo ?
(Wikipédio)
Mais non, pour cela je regarde l’espace qu’il y a entre les instruments dans l’orchestre, Connard !
les drogonnaux / pourant / avait (…) inventer /les photogrpahier / un dragonnau
sauf que tu ne le faisais pas avant que je te donne cette info.
B commentant : « Ils sont autour de la couronne d’épines du Christ, sauvée de l’incendie par les pompiers. », écrit :
« Tout ceci s’accorde à la note humoristique du billet de Pierre Assouline. On dirait un gag des Monty Python. »
Ah, vraiment ? Moi, pas.
C’était un moment grave et beau, ce temps de méditation à huis clos dans la cathédrale à demi-détruite. Ne pas oublier que l’archevêque de Paris, Michel Aupetit, a été médecin… Judith Chemla chantant a capela l’Ave Maria, c’était très beau.
Philippe Torreton a dit : « C’est la première fois que je vais lire un texte avec un casque de chantier sur la tête et ces combinaisons de cosmonaute. Je pense que visuellement, ça va être étrange. Ce sont les conditions de sécurité et je pense qu’il faut évidemment les respecter ».
Je suis sensible à ces rencontres spontanées, sans le rituel lourd des cérémonies religieuses habituelles.
Comme j’ai trouvé, émouvant, le Pape seul, sans fidèles, sous la pluie, sur le parvis désert de la basilique Saint-Pierre, évoquant des personnes ordinaires, souvent oubliées : médecins, infirmiers, employés de supermarchés, agents d’entretien, ceux qui donnent des soins à domicile, les transporteurs, les volontaires…
et maintenant si on te pose la question tu sauras que s’il y a autant de musiciens dans cette passion c’est juste parce qu’elle a été composée pour l’église Saint Thomas, et si elle avait été composée pour l’église Saint Nicolas le dispositif serait différent : Nicolas – Thomas, Thomas – Nicolas…. tu me suis ?
question : c’est quoi ce Jacques Drillon dont tout le monde parle ?
B commentant : « Ils sont autour de la couronne d’épines du Christ, sauvée de l’incendie par les pompiers. », écrit :
« Tout ceci s’accorde à la note humoristique du billet de Pierre Assouline. On dirait un gag des Monty Python. »
si des types aussi intelligents que JSB et Pascal croyaient en Dieu ça veut dire que Dieu existe !
si ça marche pour l’astrologie y’a pas de raison que ça marche pas pour Dieu, non ?
définition de l’athée ?
le croyant aime chez Bach la musique et les paroles.
l’athée aime la musique mais pas les paroles.
Bach permet aux athées de participer au Vendredi Saint en écoutant la Passion selon Saint Matthieu.
c’est une demi participation, mais c’est mieux que rien.
Desborels, tu as quel âge? Je commence à croire que tes conneries et tes radotages incessants sont plus un problème de cerveau en compote que de personnalité.
Si on sait que tu dois approcher les 80 ans, tout s’explique…
Avant que quelqu’un la cite mal (c’est rarissime de la voir bien citée), citons la fameuse phrase de Cioran sur Bach dans « Syllogismes de l’amertume »:
« Sans Bach, la théologie serait dépourvue d’objet, la Création fictive, le néant péremptoire. S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu. »
la seule chose que je sais c’est que tu ne réponds pas à mes questions.
pourquoi ce qui marche pour l’astrologie ne marche pas pas pour Dieu ?
réponds d’abord à ma question avant de m’insulter.
@ c’est une demi participation, mais c’est mieux que rien.
Participer à quoi, au juste ? à la joyeuse crucifiction ?… ou à l’écoute d’une Passion sublime dont l’auidteur inculte n’a nul besoin d’imaginer l’existence d’un 5e Evangéliste, pour être transporté d’allégresse à la manière un coq…
Rappelons-nous d’où est extraite cette métaphore de JS comme 5e Evangéliste…
ah bon ? de quoi parle-t-on ? vous connaissez le livret ?
Venez, les filles, aidez-moi à me lamenter,
Regardez – Qui ? – le fiancé,
Regardez-le – Comment ? – comme un agneau !
Ô agneau de Dieu, innocent
Massacré sur le bois de la croix,
Regardez – Quoi ? – sa patience,
Toujours patient,
Regardez – Où ? – notre faute ;
Tous les péchés tu les a portés
Sinon nous aurions dû désespérer.
Regardez-le, hors d’amour et de grâce
Porter le bois de la croix lui-même.
Aie pitié de nous, ô Jésus
Jésus, très cher à mon cœur, qu’as-tu fait de mal
etc etc etc etc
vous voulez la suite ?
c’est ça que vous écoutez !
« Bach c’est Bach comme Dieu c’est Dieu », disait Berlioz dans la partie des Mémoires sur le Voyage en Allemagne. Il n’est pas dit qu’il le prenait au sérieux…
On dirait un gag des Monty Python
manque les incendaires de Notre Dame pendus au bourdon par les testicules pour un faire un bon film bis du vendredi
merci pour la traduction, dextérimenté. !..
Je me disais bien que j’ouissais de l’allemand brandebourgeois… Je comprends toujours pas pourquoi il avait pas mis directement les paroles en français. Dieu et so fils auraient peut-être réagi plus vite à la mort de leur 5e témoin de Géo, non ?
Et le Capuchon toujours dans les bons coups !
quelle guignolade… Et ce matin, les déclarations sur le confinement de Lourdes, avec la journaliste qui relançait le gars sur france Inter : « mais quand même, la chaine du service public ne va pas retransmettre la cérémonie ». Le mec en était tout décontenancé ! On attend les déclarations du grand mufti de france sur Kto.
« Sans Bach, la théologie serait dépourvue d’objet, la Création fictive, le néant péremptoire. S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu. »
C’est pas chronologique mais on peut l’entendre.
Petit Rappel : si je me souviens bien vous-même avez dit que pour Shakespeare l’astrologie portait sur la mimesis de ses personnages etc….
mais là n’est pas la question, ce que je demande à Pablo c’est quand il répond à Clopine :
« que tu es donc, beaucoup plus intelligente, lucide, cultivé et informé sur le thème, non seulement que moi, mais aussi que Pythagore, Platon, Aristote, Ptolemée, Herodote, O. Khayyam, St. Thomas d’Aquin, Hildegarde de Bingen, Dante, Durer, Rabelais, Copernic, J. Cardan, Tycho-Brahe, Miguel Servet, Giordano Bruno, Luther, Shakespeare, F. Bacon, Kepler, Velázquez, Galilée, Newton, Goethe, Balzac, Pasteur, Yeats, Pessoa, Jung, Max Jacob, Huidobro, J. Green, Junger, Raymond Abellio ou Cortázar (entre beaucoup d’autres) qui étaient ou des pratiquants ou des admirateurs de l’astrologie »
sans compter que la plupart dans cette liste étaient croyants, est-ce que le même raisonnement marche pour Dieu ?
d’autant qu’à le lire je vois qu’il parle de cette Passion avec une surprenante religiosité.
voilà, c’est juste une question posée sur une façon de raisonner, rien de plus !
j’aimerai juste savoir comment ça fonctionne.
@ réponds d’abord à ma question avant de m’insulter.
Vous vous y prenez trop mal pour vous faire aimer, alors que vous auriez le potentiel. Ce sont vos impérieux tutoiements comminatoires que je trouve un brin toujours gênants. Essayez d’être moins brusque, h., surtout par ces temps de Pessah qui exigent de l’indulgence compassionnelle… Non ?
Merci d’en prendre bonne note. Amicalmement.
B. non on peut rien entendre, dire « Dieu doit tout à Bach » c’est juste un trait d’humour absurde et désespéré, c’est la spécialité de Cioran.
mais dans les faits c’est faux : Dieu ne doit rien à Bach, par contre la majuere partie de l’oeuvre de Bach doit tout à Dieu, tout comme celle de Schubert et de très nombreux compositeurs.
voilà ! alors comment tout ça fonctionne chez un athée ? c’est ma question !
et il faut y répondre, sinon, si on pousse le raisonnement à l’extrême on pourrait qu’il suffirait de mettre Mein Kampf sur une belle musique pour trouver cette oeuvre géniale ! vous comprenez ?
d’où l’importance de donner des réponses au lieu d’insulter les gens parce que justement on a pas de réponse à donner !
Christiane, ouais c’est très beau. Ma colère inutile se fraye un chemin sur la voix du seigneur. Concernant l’incendie je reste persuadée que c’est le résultat d’actes malveillants. Surement ai je tort, on pourra toujours fouiller les cendres pour y lire un Oracle.
VoiE.
« Merci d’en prendre bonne note. Amicalmement. »
tes bonnes notes je t’ai déjà dit où tu pouvais te les mettre 3j.
première leçon de Gombrowicz : quand on ne sait pas répondre sur le fond il ne faut jamais se réfugier sur la forme !
Si Cioran a de l’humour il faudra que je le découvre.
s’attacher à la forme quand on ne peut pas donner de réponse sur le fond ça figure aussi dans « l’art d’avoir toujours raison » de Schopenhauer.
Dieu et Bach se doivent mutuellement, mais force est de constater qu’au bout du compte Bach doit moins à Dieu que Dieu ne doit à Bach.
B. non on peut rien entendre,
Si quand même. Musique céleste, divine, transport vers où ? Je ne saurai le dire mais le peu que j’en connais m’évapore.
B dit: à
Si Cioran a de l’humour il faudra que je le découvre.
»
ça c’est facile à faire : il suffit de lire.
« Dieu doit tout à Bach » : vous ne trouvez pas ça drôle ?
pourtant c’est juste de l’humour à la Cioran.
Les athées n’auraient aucune idée de Dieu si Bach n’existait pas.
(Quoi de plus vain que ces petits exercices de rhétorique?).
« Bach doit moins à Dieu que Dieu ne doit à Bach. »
comment pouvez-vous dire ça ?
qu’est-ce qui vous permet de le dire ?
Bach c’est comme Schubert : tous les malheurs de sa vie, il s’est réfugié auprès de Dieu pour y trouver une consolation.
comme pour Schubert : il suffit de relier les compositions à sa vie !
Hamlet je l’ai pas dans ma poussière et je n’investis pour le moment dans aucun .
vous vivez dans un anachronisme complet : nous sommes dans des sociétés tellement séculière que vous n’arrivez même plus à imaginer le poids de la religion jusqu’à il y a à peine 60 ans !
table rase : c’était tous des athées ! bien sûr ! comment pourrait-il en être autrement ? nous sommes aujourd’hui tellement forts et intelligents qu’il est impossible d’imaginer que Bach soit assez crétin pour croire en Dieu et dans la résurrection des corps et de l’esprit sain…
Pietro Lorenzetti, Déposition — Histoires de la Passion du Christ dans le transept gauche de la basilique inférieure de San Francesco, Assise, vers 1310-1319.
http://www.encyclopedie.bseditions.fr/image/article/image/ITPEIPRILORENZP024.jpg
Ce que je veux dire, Hamlet, c’est que depuis la massive déchristianisation de la France qui commence -si je ne me trompe- au début du XIXe siècle, la seule chance de se faire une idée sensible de Dieu pour ceux qui n’avaient pas reçu d’éducation religieuse, ne suivaient pas les offices, n’avaient pas accès à la littérature chrétienne ni à la théologie, c’était l’orgue, principalement celui de Bach.
Dieu doit tout à Bach » : vous ne trouvez pas ça drôle ?
ça prouve qu’en effet qula musique est l’art le plus henflé..y’a pas fallu attende bob dilane..ça se dit depuis des sièk..qules mélomanes percolent beaucoup dans l’siphonné gastrique..c’est raccord
Ces gens qui, trop orgueilleux pour vous admirer, préfèrent vous haïr.
Il y a des gens qui ne manquent pas de toupet. Flaubert aurait adoré.
Hurkhurkhurk!
‘il a les bras telment poilu que pour voir l’heure il doit souffler’..c’est du cioran béré
Avec la contemplation de la nature, évidemment.
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🍅 Salut Edwige!!!🍅
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Des chercheurs de l’université de Melbourne, en Australie, ont récemment découvert que l’ivermectine, un antiparasitaire très largement utilisé et considéré comme un médicament sûr, pouvait inhiber la réplication du SRAS-CoV-2, virus responsable du Covid-19. « Nous devons maintenant déterminer si le dosage actuellement utilisé pour l’homme se révèlera efficace, c’est la prochaine étape », a déclaré le Dr Kylie Wagstaff, ayant supervisé cette nouvelle étude publiée dans la revue Antiviral Research.
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Employée depuis les années 1980 pour traiter les poux, la gale et plusieurs autres infections causées par des parasites, l’ivermectine est également utilisée pour traiter la rosacée, une affection chronique de la peau.
« Nous avons découvert qu’une seule dose pouvait essentiellement éliminer tout l’ARN viral en 48 heures et qu’après 24 heures, il y avait une réduction vraiment significative de celui-ci », ont déclaré les auteurs de l’étude. Bien que la voie exacte permettant au médicament de tuer le virus ne soit pas encore connue, les chercheurs australiens pensent que l’ivermectine atténue probablement la capacité des cellules hôtes à l’éliminer.
Je le refais
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🍅 Salut Edwige!!! 🍅
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Je le rerefais
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🍅 Salut Edwige!!!!!! 🍅
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Je le rererefais.
Encire un petit coup et on est bon.
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🍅 Salut Edwige!!!!!!!! 🍅
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roth y tourne son blaz..la hauteur des bars c’est tout un toposse..en deutchland il raffinent selon comment que le gars avec son tablier de cuir peut y poser son bide..hou ses points façon silverback..a espalier..le voir évoluer derrière..et s’y arréter selon des académiques stations..ça vaut ta chapelle rénateau
La vanité crispée, suintante, malodorante, des punais qui s’imaginent à tort qu’il y a en eux quelque chose à admirer.
le gars a des appuis olympiens roth tout roth qu’il est ceux d’un client
bar à bières, bars à vins, dear Bouguereau. faut rester debout avec la bière sinon décollage difficile. Zweig remarquait les villes à vins plus spirituelles, à son goût à la baroz. certes, écrivain le plus traduit de son temps, fallait garder l’esprit vif pour étriller les gars limards. Baroz pourrait s’inspirer.
Flaubert aurait adoré.
Hurkhurkhurk!
jle vois pas avec tes seaux a merde tes tinettes et tes wassingues mon larbin..mais bon les larbins doivent des gnons à yavé
Chaloux et cette religiosité, ce besoin de transcendance, cet « esprit sain » se perpétue, il continue d’exister, il prend juste d’autres formes, d’autres formes d’expression.
le besoin de transcendance, le désir de croire en quelque qui nous dépasse n’a pas disparu et il ne disparaitra jamais !
on peut se moquer de ces gens qui croyaient en la résurrection des corps, dans la virginité de Marie, dans le fait de croire au Paradis, à l’Enfer au Purgatoire etc….
sauf qu’aujourd’hui nous ne sommes pas plus futés.
le seul problème est que nous n’avons pas plus conscience que nos croyances sont des « fausses » croyances que ces gens l’avaient à leur époque, parce que c’est impossible de voir quand a trop le nez dans le guidon.
mais de grâce arrêtons de croire en notre intelligence et dans la puissance de notre sainte raison, il suffit d’ouvrir un journal aujourd’hui pour se rendre compte que nous ne sommes pas moi cons que nos aïeuls ! nous le sommes sans doute bien plus.
et je ne sais pas qui a remis cette messe sur le plat, mais c’est sauf un hasard qu’elle ressorte la vieille du Vendredi Saint dans ce temps d’épidémie mondiale.
qu’importe si nous trouvons une source de réconfort dans la musique ou dans les paroles, l’imprtant est d’avoir conscience que notre fragilité fait en sorte que nous aurons toujours besoin de trouver une consolation à nos malheurs, et si aujourd’hui c’est Bach alors ayons au moins la décence de respecter sa croyance !
d’autant que même si cette croyance nous n’y croyons plus c’est bien ce même amour que nous trouvons dans cette musique dont nous avons le plus besoin aujourd’hui, c’est bien des mêmes injustices et des mêmes péchés des hommes dont nous souffrons encore aujourd’hui.
tien dirfiloo le francais je crois est le seul pays où tout prend plus de pitorex en angliche..
https://www.youtube.com/watch?v=vIG99qPEuy0
Si tu remonte le vertigineux curant des commentaires, bouguereau, tu verras que j’avais déjà pondu quelques mots à propos de la première photo.
dear Bouguereau, de la réserve dans votre boite à outils. Rendons à césar: Flaubert enturbanné dans les bains d’Egypte mais syphilis au Liban. youtube, comme facebook, ignorasse géolocalisation de la fesse antique.
@ et il faut y répondre, sinon, si on pousse le raisonnement à l’extrême on pourrait qu’il suffirait de mettre Mein Kampf sur une belle musique pour trouver cette oeuvre géniale ! vous comprenez ?
NON , pas de etout…. c’est clair comme du jus d’boudine. Quelle oeuvre faut-il trouver géniale : mein kampf ou la musique ?
Vous êtes vraiment le spécialiste des analogies les plus spécieuses et malfumées. Moi, j’ai fait écouter une lecture de Mein Kampf enregistrée sur un morceau de Mireille Mathieu à Georges, il a tourné le dos et chié une petite crotte pour démontrer qu’il n’aimait pas qu’on se foute de sa gueule. Et dieux sait qu’il connait son Cioran sur le bout des ergots. Il l’a même réfuté : non, m’a-t-il afirmé en chantant : « il n’y a aucun inconvénient à être né, bien au contraire ».
Comme quoi… Vous comprenez où je veux en venir, je pense. Répondez-moi, connard au lieu de tourner autour du pot. Vous discutaillez à perdre la raison, faites semblant de passer pour l’idiot du village ou du très profond Jacob dans son puisard, mais c’est que vous seriez pas fin non plus quand on chercher à vous en extraire… Pourquoi répondrait-on sérieusement aux sophismes délirants d’un fou furieux et violent ?
On n’est pas en HP ici, jusqu’à preuve du contraire, hein, quoiqu’avec txfl on se le demande parfois.
Vous commencez à me courir grave avec votre tempérament à la con, d’hamlet, keupu, gordon, puck ou marchenoire, etc. Si vous voulez la guerre des 6 jours, vous allez l’avoir et y’aura pas de trêve pascale, je vous en réponds…
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🍅 Salut Dédé!!!!!! 🍅
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Ces gens qui, trop orgueilleux pour vous admirer, préfèrent vous haïr.
Ils n’ont pas le choix. Cela s’appelle jalousie, il en est de morbides, elle est stupide quand elle n’est pas amoureuse et amoureuse je pense qu’il est mieux de la taire. Je n’ai jamais , je crois, éprouvé ce sentiment qui va jusqu’à dépouiller le sujet jalousé de ses qualités. J’éprouve une jalousie amoureuse, cela m’est arrivé, mais elle n’ôte pas les médailles méritées en revanche elle accentue les défauts et le tableau n’est plus,qu’une vieille croute que personne n’acheterait.
il faut être un peu fou, ou un peu con sur les bords, pour croire qu’ici vous êtes entre amis;sauf à avoir une définition d’amis trouvée dans des archives secrètes non divulguées et interdites aux intellockerdéliens de première heure
3J, Si c’est une suite, êtes vous sûr de votre réponse? 1/4 d’espace ? Ou si ce n’est pas possible il vous faut poser trois propositions.
à dépouiller le sujet jalousé de ses qualités.
mais je présume qu’il y a des gens admirés pour leur cruauté, leur perversité, leur malfaisance exceptionnelles
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🍅 pomodori 🍅
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L’amitié se consomme. Boire manger rire courir partager se rencontrer. Ici on se présente, on raconte ce que l’on veut, ce que l’on peut aussi.
Quel est le con qui a encore laissé ouvert le couvercle du seau où pourrit le Boutmol?
. Ajoutons que jusqu’au siècle des Lumières, avant le déclin de la croyance religieuse, la solitude absolue n’existait pour ainsi dire pas : chacun pouvait, en permanence, jouir de la compagnie de Dieu. Ce n’est qu’après la révolution industrielle et l’avènement de l’individu moderne que la solitude, désormais associée à un sentiment d’abandon, prit une connotation négative.
Mais la solitude, vécue comme une souffrance dont de plus en plus de nos contemporains se plaignent, est largement le résultat de décisions politiques, estime l’historienne. Et elle ne fait pas référence aux mesures de confinement imposées actuellement dans presque tous les pays du globe, mais bien aux effets pervers de l’idéologie capitaliste : « Bound Alberti a raison de politiser la solitude, contrairement aux neuroscientifiques qui se tirent la bourre pour développer une pilule supposée la guérir. On ne peut pas séparer le sentiment d’être déconnecté et inutile de l’histoire de l’individualisme possessif […].
lettre de Books
A Biography of Loneliness: The History of an Emotion de Fay Bound Alberti, Oxford University Press, 2019.
« S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu. »
Dans l’histoire des théories sur l’esthétisme musicale, il y a un ouvrage dont je ne me rappelle plus l’auteur, qui critiquait la notion de religiosité dans la musique.
…à condition qu’il existe
« la notion de religiosité dans la musique. »
Même chose pour la peinture : un choix imposé, s’agissant d’oeuvre de commande. Ce qui compte c’est ce que l’artiste en fait.
« Ce n’est qu’après la révolution industrielle et l’avènement de l’individu moderne que la solitude, désormais associée à un sentiment d’abandon, prit une connotation négative. »
On peut aussi l’associer à un sentiment de liberté et lui donner une connotation positive !
le soir de Pessah(c’est écrit dans le monde!)c’est le Boug qui joue le rôle de l’enfant idiot, parce qu’il n’a pas à se forcer ;il lui suffit presque d’être lui-même;alors comme ça se sait, il y en a qui le louent (à l’heure) pour ça ;
l’idit: celui des 4fils qu’on dit le simplet
ceci indique que « la Torah parle de quatre fils », c’est-à-dire de quatre types d’enfants:
un Sage, un Méchant, un Simplet, et un autre qui ne sait pas questionner (c’est à dire trop jeune pour le faire). Il faut expliquer à chacun d’eux, selon son niveau et de la meilleur façon possible, la signification de Pessa’h. »
»
Janssen J-J dit: à
@ et il faut y répondre, sinon, si on pousse le raisonnement à l’extrême on pourrait qu’il suffirait de mettre Mein Kampf sur une belle musique pour trouver cette oeuvre géniale ! vous comprenez ?
NON , pas de etout…. c’est clair comme du jus d’boudine. Quelle oeuvre faut-il trouver géniale : mein kampf ou la musique ?
Vous êtes vraiment le spécialiste des analogies les plus spécieuses et malfumées. Moi, j’ai fait écouter une lecture de Mein Kampf enregistrée sur un morceau de Mireille Mathieu à Georges, il a tourné le dos et chié une petite crotte pour démontrer qu’il n’aimait pas qu’on se foute de sa gueule. Et dieux sait qu’il connait son Cioran sur le bout des ergots. Il l’a même réfuté : non, m’a-t-il afirmé en chantant : « il n’y a aucun inconvénient à être né, bien au contraire ».
Comme quoi… Vous comprenez où je veux en venir, je pense. Répondez-moi, connard au lieu de tourner autour du pot. Vous discutaillez à perdre la raison, faites semblant de passer pour l’idiot du village ou du très profond Jacob dans son puisard, mais c’est que vous seriez pas fin non plus quand on chercher à vous en extraire… Pourquoi répondrait-on sérieusement aux sophismes délirants d’un fou furieux et violent ?
On n’est pas en HP ici, jusqu’à preuve du contraire, hein, quoiqu’avec txfl on se le demande parfois.
Vous commencez à me courir grave avec votre tempérament à la con, d’hamlet, keupu, gordon, puck ou marchenoire, etc. Si vous voulez la guerre des 6 jours, vous allez l’avoir et y’aura pas de trêve pascale, je vous en réponds…
»
????
ça va 3j ?
vous le supportez bien le confinement ?
sinon vous pouvez toujours prendre prendre de l’euphytose.
Flaubert enturbanné dans les bains d’Egypte mais syphilis au Liban
l’a peu prés va jusqu’a un portrait de dickens récurent qui passe pour celui de flaubert dans la narration..qu’himporte! le ton enjoué..les belles illustrations font des pédophiles des gens aimables au finiche qu’elle dirait la baboune ta copine
3j : ou de la tisane des 2 marmottes
« il a les bras telment poilu que pour voir l’heure il doit souffler »
Mais le barman n’a pas de montre !
Même chose pour la peinture : un choix imposé, s’agissant d’oeuvre de commande. Ce qui compte c’est ce que l’artiste en fait.
Jazzi, tout l’art ( occidental) est un affranchissement progressif et tumultueux de la religion catholique.
Et puis lorsque le commanditaire devient le sujet caché puis officiel du tableau sans pour autant dénuer ce même tableau de tout sentiment religieux.
Il existe des histoires pour nous expliquer tout cela!
10 04 2020 vers 17 h 33.
c’est le Boug qui joue le rôle de l’enfant idiot
..renfield veut me faire cuire..ce n’est donc pas hun bouteillon
lire :
à ce même tableau tout sentiment religieux.
Merci.
Jazzi, tout l’art ( occidental) est un affranchissement progressif et tumultueux de la religion catholique
la vérité..la vérité c’est qule vatican n’a pus l’sous..quand qu’on veut tuyer son chien hon dit qu’il a l’covid..qu’on est un héro etc
Des cellules « casques bleus » contre le Covid-19 ?
Une nouvelle catégorie de globules blancs récemment découverte, des macrophages « pacificateurs », réduit l’inflammation dans les poumons chez
pour la science
Mais le barman n’a pas de montre !
sans fistfeuque on peut pas l’sentir baroz
elle accentue les défauts et le tableau n’est plus,qu’une vieille croute que personne n’acheterait
..hum ça voudrait dire que baroz devrait écrire le bon gout du marché..mais haprés y pourrait pus surenchérir
3j que vous dire, mon analogie n’était peut-être pas très bien trouvée je vous l’accorde, encore, toujours la question de la forme et du fond, Dieu a créé l’homme à son image : l’oeuvre de Dieu est imparfaite, alors que celle de Bach est parfaite, on aimerait s’y mirer dans son miroir, on aimerait y trouver l’image de l’homme, mais hélas non, c’est juste l’oeuvre d’un homme, lui-même peut-être pas parfait, mais capable doté d’un cerveau capable de composer une musique parfaite, cette perfection nous ne pouvons que l’admirer, mais même en l’admirant elle ne nous rendra pas meilleurs.
elle ne nous rendra pas meilleurs, mais elle pourra calmer vos excès belliqueux, votre envie de guerroyer, de repartir pour une guerre de cent ans.
mon pauvre vieux, comme si cette guerre actuelle contre ce virus ne vous suffisait vous voulez encore partir en guerre contre des moulins à vent, comme si l’impuissance à combattre nos ennemis invisibles décuplait votre puissance immanente d’individu à l’^me de guerrier.
que vous dire 3j, qu’avec des gens tels que vous sur notre planète nous sommes très mal barrés ? alors oui, va falloir en bouffer du Bach avant de changer cette misérable nature humaine.
GAGA bougros babafouille de + en + que dirait litlère
signé keupu, pèrezoune et renfield ad lib
Ce n’est qu’après la révolution industrielle et l’avènement de l’individu moderne que la solitude, désormais associée à un sentiment d’abandon, prit une connotation négative
c’était pus snob du tout baroz..prends la solitude de mon larbin en cuisine devant son piano..ça connote négatif ou pas négatif baroz?
Telemmann a composé aussi des passions, 46 même, dont on ne connaît que la moitié.
Sa « Brockes-Passion » (1716) dans la très belle version de René Jacobs:
https://www.youtube.com/watch?v=RY1a4p4Dtjg
(pour les pressés, 3 très beaux ostinatos à 14 min 45, 26 min et 29 min).
Ou le même ostinato qui revient trois fois…
On peut aussi l’associer à un sentiment de liberté et lui donner une connotation positive !
t’es trop roquénerolle qu’il aurait dit jean sébastien..tatatataaaa épicétou qu’il dit lafrenchézado dpédro
« Ou le même ostinato qui revient trois fois… »
intéressant : c’est dans quel livre ?
GAGA bougros a besoin de son larbin… même pour « comnenter » parce que là : plus RIEN
pus qu’y couine pus qu’y prend des pains l’ouyam..c’est mathématique
« Jazzi : tout l’art ( occidental) est un affranchissement progressif et tumultueux de la religion catholique »
faut ajouter : « en occident ».
ouai, et aussi un affranchissement progressif et tumultueux de la politique…. en occident.
heureusement pour les chinois ils ont Conficius.
c’est pas pasque confucius c’était un sacré paroissien qu’il était catholique..t’as prié trop prés du mur ouyam
« Ce n’est qu’après la révolution industrielle et l’avènement de l’individu moderne que la solitude, désormais associée à un sentiment d’abandon, prit une connotation négative »
connotation négative qui s’amplifia avec l’absence de masque lui permettant de se promener dans la rue.
comme quoi on pense que la révolution industrielle c’est fini alors qu’elle nous attend encore au tournant dès qu’un virus pointe le bout de son nez.
rappel:
Gödel, Escher, Bach : Les Brins d’une Guirlande Éternelle (1979),Douglas Richard Hofstadter,
greubou désolé mais Bach n’a jamais composé de Passion selon Confucius.
ou alors on a pas encore retrouver le manuscrit.
ou alors on a pas encore retrouv(é)
Le jésus est un format français de papier défini par l’AFNOR avec plusieurs variantes dont la marque portait le monogramme du Christ I.H.S..
Petit Jésus, ou Jésus de musique : 55 × 70 cm
Jésus : 56 × 72 cm
Grand Jésus : 56 × 76 cm ;
pour J.Drillon
« Petit Jésus, ou Jésus de musique : 55 × 70 cm
Jésus : 56 × 72 cm
Grand Jésus : 56 × 76 cm »
et alii vous ne confondez pas plutôt avec ça :
http://www.chretiensaujourdhui.com/les-recettes/le-jesus-de-lyon-saucisson-lyonnais/
NON MONSIEUR? JE NE CONFONDSPAS/ voyez aussi ça
Papier à Musique – 24 portées – Format Jésus
Papier à Musique
https://www.di-arezzo.fr/musique/4716056/papier-a-musique-papier-a-musique-24-portees-format-jesus-.html
cessez de penser au diner, hamlet;
https://fr.wikipedia.org/wiki/J%C3%A9sus_(format_de_papier)
sur le christogramme:
https://fr.wikipedia.org/wiki/IHS_(religion)
hamlet dit: « cette religiosité, ce besoin de transcendance, se perpétue, il continue d’exister, il prend juste d’autres formes, d’autres formes d’expression. le besoin de transcendance, le désir de croire en quelque qui nous dépasse n’a pas disparu et il ne disparaîtra jamais ! sauf qu’aujourd’hui nous ne sommes pas plus futés. le seul problème est que nous n’avons pas plus conscience que nos croyances sont des « fausses » croyances que ces gens l’avaient à leur époque, parce que c’est impossible de voir quand a trop le nez dans le guidon. »
C’est épatant, hamlet, vous écrivez comme Gilbert Keith Chesterton (Les Enquêtes du Père Brown) (omnibus). Traduction d’Émile Cammaerts.
Dans celle intitulée « l’oracle du chien », les protagonistes sur-interprètent les aboiements et le comportement d’un chien, pensant à tort qu’il désigne « le coupable ». Brown, avec son intuition et son flair habituels, observant le chien et les hommes et se faisant raconter son comportement sur la plage et dans le jardin, trouve bien sûr, le véritable meurtrier.
Dans la fin de cette enquête, il interroge, comme vous, le charlatanisme, la superstition. (p.535)
« – Le chien aurait presque pu vous la raconter, l’histoire, dit-il, si seulement il pouvait parler. Ce qui m’ennuie, c’est que sous prétexte qu’il ne sait pas parler, vous avez inventé l’histoire à sa place en le faisant s’exprimer dans la langue des hommes et des anges. C’est lié à quelque chose que j’observe de plus en plus souvent dans le monde moderne, qu’on trouve dans toutes sortes de rumeurs journalistiques et d’expressions toutes faites. Quelque chose d’arbitraire, sans aucun fondement sérieux. Les gens sont prêts à gober des affirmations sur ceci et cela, sans aucune preuve à l’appui. Quelque chose qui vient engloutir le bon vieux rationalisme et le scepticisme, comme un raz-de-marée. Ce quelque chose s’appelle la superstition. On perd son bon sens, et on ne peut plus voir les choses telles qu’elles sont. Il suffit que n’importe qui parle de n’importe quoi en disant qu’il y a bien des choses cachées derrière, et voilà que cela ouvre les perspectives infinies, comme une vision de cauchemar. Et le chien devient un présage, le chat un mystère et le cochon une mascotte, ouvrant la porte à toute la ménagerie du polythéisme de l’ancienne Egypte et de l’Inde : Anubis le chien, et Bastet aux grands yeux verts, et toute la meute hurlante des taureaux de Bashan. On se retrouve chancelant au milieu du bestiaire des dieux des premiers temps, des éléphants, des serpents et des crocodiles. »
Books a sorti plein d’articles sur les fausses croyances en essayant de retrouver books, je tombe sur cette citation plus à l’ordre du jour intellockerdélien
. Gombrowicz disait : « J’évite autant que possible de me lier aux devises du jour, aussitôt remplacées. »
https://www.franceculture.fr/emissions/le-tour-du-monde-des-idees/le-tour-du-monde-des-idees-du-jeudi-22-novembre-2018
ce que ne savait pas Roth en se mariant avec sa « criminelle »
L’histoire de nos vies et l’histoire tout court l’illustrent à l’évidence. Heureusement, nous sommes ainsi faits que nous savons à merveille nous donner après coup d’excellentes raisons d’avoir agi comme nous l’avons fait. Puisse ce dossier vous aider malgré tout à mieux décider – comme Darwin quand il choisit de se marier.
Dans ce dossier :
Comment faire le bon choix ?, par Joshua Rothman (The New Yorker)
Décider : la méconnaissance du risque, par Clive Cookson (Financial Times)
Notre cerveau, ce tyran pétri de biais, par Jim Holt (The New York Times)
Le biais d’optimisme, une erreur salutaire, par Tali Sharot (The Observer)
Pourquoi les experts se trompent si souvent ?,
L’histoire de nos vies et l’histoire tout court l’illustrent à l’évidence. Heureusement, nous sommes ainsi faits que nous savons à merveille nous donner après coup d’excellentes raisons d’avoir agi comme nous l’avons fait. Puisse ce dossier vous aider malgré tout à mieux décider – comme Darwin quand il choisit de se marier.
Dans ce dossier :
Comment faire le bon choix ?, par Joshua Rothman (The New Yorker)
L’histoire de nos vies et l’histoire tout court l’illustrent à l’évidence. Heureusement, nous sommes ainsi faits que nous savons à merveille nous donner après coup d’excellentes raisons d’avoir agi comme nous l’avons fait. Puisse ce dossier vous aider malgré tout à mieux décider – comme Darwin quand il choisit de se marier. Dans ce dossier : Comment faire le bon choix ?, par Joshua Rothman (The New Yorker) Décider : la méconnaissance du risque, par Clive Cookson (Financial Times) Notre cerveau, ce tyran pétri de biais, par Jim Holt (The New York Times) Le biais d’optimisme, une erreur salutaire, par Tali Sharot (The Observer) Pourquoi les experts se trompent si souvent ?, par
– Moi, ce que j’aurais aimé dire à la vierge Marie c’est : « alors, quand est-ce que tu viens au groupe femmes ? »
– La notation de Drillon sur le caractère BOURGEOIS de la réprobation sociale qui s’exprime sur les couples « un barbon, une gamine ». Euh…
Dans les usines, quand les contremaîtres de plus de 50 ans se choisissent une « compagne » (provisoire…) parmi les plus jeunes et les plus démunies des ouvrières, la réprobation existe et gronde au fond des ateliers. Elle n’est pas « bourgeoise ». Elle est juste « morale ».
A se demander, d’ailleurs, si le sieur Drillon a déjà foutu les pieds ailleurs que dans sa classe sociale : la majorité de ses opinions sur les rapports entre les sexes (et sur les luttes féministe) est marquée du sceau de la tranquille domination masculine, telle que pratiquée dans le seizième arrondissement de Paris.
A savoir avec des gants, sans doute, mais cependant et surtout, avec les mains bien réelles du machisme ordinaire, dedans !
« la solitude, vécue comme une souffrance » ?
Pas toujours… La solitude, pourvu qu’elle ne soit pas subie, permet de penser en toute liberté, de lire, de créer, d’écrire. Il est bon de l’expérimenter. C’est un espace d’introspection.
On est parfois plus seuls au milieu des autres :
«Il faudrait de nouveau évoquer ces éternels soirs dorés et poussiéreux, qui tombaient sur la cité sans arbres, pendant qu’hommes et femmes se déversaient dans toutes les rues. Car, étrangement, ce qui montait alors vers les terrasses encore ensoleillées, en l’absence des bruits de véhicules et de machines qui font d’ordinaire tout le langage des villes, ce n’était qu’une énorme rumeur de pas et de voix sourdes, le douloureux glissement de milliers de semelles rythmé par le sifflement du fléau dans le ciel alourdi, un piétinement interminable et étouffant, enfin, qui remplissait peu à peu toute la ville et qui, soir après soir, donnait sa voix la plus fidèle et la plus morne à l’obstination aveugle qui, dans nos cœurs, remplaçait alors l’amour.»
(La Peste – Camus – page 170).
méfiez vous, clopine de vos « connaissances »de vos conclusions et de vos « croyances » ,
:LE FIGARO.- Dans L’Empire des croyances (PUF), vous pointez du doigt «l’invariance du croire» dans nos sociétés qui sont pourtant des sociétés de la connaissance. La science n’a donc pas eu raison de la croyance?
Gérald BRONNER. – L’erreur est effectivement de penser que ce que la connaissance gagne, la croyance le perd. En fait, les rapports entre croyances et connaissance sont beaucoup plus complexes. La croyance est la façon la plus commune que nous avons de négocier intellectuellement avec notre environnement. Elle est constitutive de l’esprit humain en raison des limites anthropologiques qui pèsent sur notre rationalité. La superstition par exemple, qui est la plus déraisonnable des croyances, est une tentation qui pèse sur chacun d’entre nous, même si nous n’y croyons pas vraiment. Dès lors que nous sommes confrontés à une situation d’incertitude, elle est une façon de tenter de maîtriser notre environnement par la pensée. Les progrès de la connaissance ont affaibli certaines formes
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https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/09/20/31003-20180920ARTFIG00275-bronner-certaines-croyances-prosperent-grace-aux-progres-de-la-connaissance.php
« Gombrowicz disait : « J’évite autant que possible de me lier aux devises du jour, aussitôt remplacées. » »
= La mode c’est ce qui se démode.
question âge, je crois qu’un italien avait dit que notre président avait épousé sa maman
Introduction
Gérald Bronner
Dans L’empire des croyances (
https://www.cairn.info/l-empire-des-croyances–9782130540397-page-1.htm
« La superstition par exemple, qui est la plus déraisonnable des croyances, est une tentation qui pèse sur chacun d’entre nous, même si nous n’y croyons pas vraiment. »
Je confirme et contresigne.
Clopine, on note une certaine condescendance dans (l’anti)féminisme de JD….
les croyances à l’heure d’internet
http://sites.uclouvain.be/rec/index.php/rec/article/viewFile/6944/7153
@ prendre prendre de l’euphytose. C’est quoi ? Pourquoi deux fois ? Ça fait quoi, Ph.D Dr Didoux Ragoust ?
@3J, Si c’est une suite, êtes vous sûr de votre réponse? 1/4 d’espace ? Ou si ce n’est pas possible il vous faut poser trois propositions.
Non là je n’ai pas suivi, B. Désolé… C’est la fin de la journée, la tonte a pris deux heures, le soleil a tapé dru, et il va falloir aller donner de nouveaux soins à Georges car il a un début de gale aux pattes. Et il est très lord à porter, le bougre.
NB / Philippe m’apprend qu’à 650 km de là, vers Crécy-la-Chapelle, sa grand-mère paternelle (101 ans) vient de mourir du C19 à l’ehpad, le médecin de les avait averti qu’il ne leur restait plus que deux jours pour se préparer. Je me souviens de cette femme, elle était joviale et connaissait son Vidal mieux que tous les toubibs de la contrée, elle leur expliquait toutes les contre-indications qu’ils avaient oublié dans leurs prescriptions pour ses maux en partie imaginaires. Toute sa vie, elle avait triomphé de toutes les maladies possibles dont elle dressait la symptomatologie avec une assurance stupéfiante. Sa science leur/nous faisait peur. Hélas, elle n’a pas trouvé le remède contre la mort, voilà ce qu’il m’a dit, mon ami Philippe. Il n’a pas osé avouer que son paternel et lui étaient tristes, bien sûr, mais néanmoins délivrés du poids d’une femme devenue vraiment encombrante qui avait écrasé sa nombreuse famille comme c’est à peu près inimaginable. Je sais, c’est pas bien de dire cela des autres, mais il faut bien que quelqu’un se dévour pour dire la vérité, car la pudeur familiale est parfois de mauvais conseil.
@ H. /// « va falloir en bouffer du Bach avant de changer cette misérable nature humaine ».
Avez-vous déjà commencé à changer la vôtre, mon bon ? Si oui, quand, oû, comment et pourquoi ? Bach vous a-t-il aidé ? Mais surtout pourquoi vouloir la changer, pourquoi la qualifier de misérable ? N’est-ce pas un lieu commun ? Ne faut-il pas plutôt composer avec, voyons ! à supposer qu’on soit capable de la définir.. A moins de faire comme votre cher Pol Pot le Rouge qui aimait tellement Bach ! et ne supportait guère la mauvaise nature de ses compatriotes : couic par centaines de milliers (l’historiographie donne 800 000 , près du million), d’un seul coup ! Il fallait produire une « nature humaine » régénérée… Voilà ce que l’on ressent toujours un brin à vous lire, h…. D’autres ont porté un jugement plus sévère encore à votre encontre. Je me demande s’ils n’ont pas parfois raison. A moinsss qu’ils aient une « nature » méchante, hostile, guerrière, belligérante, irrédentiste, vindicatoire et spumescente, etc… bien sûr. Ne m’agressez pas à nouveau avec vos tutoiements. Ce n’est plus permis dans le code de déontologie de la PN et de la GN en vigueur depuis le 1er janvier 2014.
Voyez ce que j’veux dire ?
« Dans les usines, quand les contremaîtres de plus de 50 ans se choisissent une « compagne » (provisoire…) parmi les plus jeunes et les plus démunies des ouvrières, la réprobation existe et gronde au fond des ateliers. Elle n’est pas « bourgeoise ». Elle est juste « morale ». »
Des cégétistes, à coup sûr, Clopine !
On croirait du Zola ?
« La mode c’est ce qui se démode. »
Lichtenberg aussi a dit un truc du même genre qu’il faut jamais être de son époque.
ils appartiennent à la même famille d’écrivains.
Jazzi t’avais remarqué que les écrivains ça marche comme la mafia par famille ?
en principe chaque famille n’aime pas trop l’autre famille, pour ça que Gombro devait pas le Clezio et Bellow n’aimait Camus, ils étaient pas de la même famille.
chaque lecteur a une prédilection pour une famille donnée, par exemple Edel n’aime ni Chevillard ni Gailly parce qu’ils sont de la même famille.
en fait ça marche à peu près comme ça, c’est bête comme chou ces histoires.
« il a un début de gale aux pattes (et) il est très lourd à porter »
C’est un vrai coq en pâte ce Georges !
Seulement deux femelles pour lui, est-ce assez ?
3j « misérable nature humaine » en référence à votre dernier commentaire, tous ces insultes, ce ton hautain, méprisant, cette envie de guerre, si vous saviez comme tout ça me gave grave.
et tout ça pendant que des gens meurent dans des conditions inhumaines, sans que leurs proches puissent venir les accompagner…
du coup si vous voulez faire la guerre faites -la sans moi, j’en ai absolument rien à cirer de vos guerres !
« une femme devenue vraiment encombrante qui avait écrasé sa nombreuse famille comme c’est à peu près inimaginable. »
Combien de membres de sa propre descendance avait-elle enterrés, JJJ ?
« qu’une énorme rumeur de pas et de voix sourdes, le douloureux glissement de milliers de semelles rythmé par le sifflement du fléau dans le ciel alourdi, un piétinement interminable et étouffant, enfin, qui remplissait peu à peu toute la ville et qui, soir après soir, donnait sa voix la plus fidèle et la plus morne à l’obstination aveugle qui, dans nos cœurs, remplaçait alors l’amour » (Camus – la Peste)
c’est vrai qu’on la sent bien l’allégorie avec l’occupation, on la sent tellement bien qu’on se demande si encore de l’allégorie.
et après on a le personnage du résistant, celui du collabo, celui qui s’en lave les mains, celui qui oublie de laver les mains, celui aimerait bien se laver les mains mais il n’y a plus de savon etc…
quelles leçons avons-nous tiré de toutes ces histoires ?
l’allégorie DE l’occupation
« en principe chaque famille n’aime pas trop l’autre famille »
On peut aussi jouer au jeu des sept familles, hamlet ?
« la solitude, pourvu qu’elle ne soit pas subie, permet de penser en toute liberté »
prends la solitude de mon larbin en cuisine devant son piano..ça connote négatif ou pas négatif ki dirait le deargreubou
« On peut aussi jouer au jeu des sept familles, hamlet ? »
justement j’y pensais, parce que justement il existe 7 familles d’écrivains !
et aussi 7 familles de philosophes.
comme les 7 jours de la semaine et les 7 mercenaires que Dieu a créé.
« la solitude, pourvu qu’elle ne soit pas subie, permet de penser en toute liberté »
L’enfer, c’est les autres, qu’il disait l’autre !
« La croyance est la façon la plus commune que nous avons de négocier intellectuellement avec notre environnement. »
tout à fait et alii !
c’est ce que je disais pour Bach qui lui ne croyait qu’en Dieu.
alors que nous croyons en des multitudes de choses diverses et avariées.
et alii comme dirait James’s brother la plupart de nos affirmations sont des croyances.
et plus un type pond d’affirmation et plus il pond des croyances.
et ça je peux vous l’affirmer croix de bois crois de fer si je meurs je vais en enfer !!!
« L’enfer, c’est les autres » : il l’a dit qu’une seule fois après avoir passer la soirée avec Camus.
après avoir passé
le paradoxe de James : quand William James dit « toutes nos vérités sont des croyances » affirme-t-il une vérité, une croyance, ou les deux ?
paradoxe de Montaigne : quand Montaigne dit « il faut douter de tout » doute-t-il lui-même de cette affirmation ?
et alii : comment savoir si celui qui affirme douter de tout doute de cette affirmation ?
ce paradoxe est résolu par Bach – Gödel – Escher, au MIT de jeunes mathématiciens travaille sur la musique de Bach pour tenter de réécrire le premier théorème de Gödel sur l’ensemble des ensembles qui ne se contiennent pas eux-mêmes.
@ du coup si vous voulez faire la guerre faites -la sans moi, j’en ai absolument rien à cirer de vos guerres !
Tu vois bin qu’il est complètement zarbi ce type… C’est lui qui vient te chercher, et pi qui se rétracte comme un koir à la moindre réaction réprobatoire qui prétend prendre au sérieux ses élucubrations. Il seen est téatnisée, alhors, il repart avec ses conneries pour donner le change et se faire oublier. C’est quoi ce syndrome déjà ?… du baron Munchhausen qui s’extirpait de la boue en se tirant pas les cheveux ?… Comme si on n’avait pas conscience de la grvité de la situation C19. Pouwah. La « nature humaine »… voyez ce qu’elle donne sur la RDL, pas jolie, jolie…
Et boutmol dans son seau est-il plus libre que quand sa vieille putain le transvase dans une bassine?
« toutes nos vérités sont des croyances »
Mes toutes nos croyances ne sont pas forcément des vérités, hamlet…
« « il faut douter de tout » doute-t-il lui-même de cette affirmation ? »
Là, j’ai comme un doute, hamlet ?
Il m’arrive de me souvenir d’une d’anecdote drôle. Un médecin européen visitait les villages d’un pays d’Afrique afin d’apprendre à la population comment éviter la prolifération des moustiques. Dans ce but ils passaient un film où l’on voyait divers personnages éliminer ici une flaque d’eau, la une boîte à conserve abandonnée dans rue et ainsi de suite. Le médecin était plutôt mécontent de la qualité du film parce que le public lui semblait ennuyé par les événements jusqu’à un moment où toute l’assistance s’excitait et montrait un coin de l’écran où lui ne voyait rien. À un moment il demanda à son public la raison de tant d’excitation et il où comme réponse : « Une poule ». Il regarda attentivement le film et il vit que le temps de quelque photogramme une poule apparaissait et disparaissait dans le coin inférieur gauche de l’écran, et renonça à comprendre ; le mystère n’était pourtant pas un mystère : en apprenant par un mauvais pédagogue ils s’ennuyaient, mais lorsque, finalement, une forme connue entra dans leur champ visuel ils s’excitèrent.
Cela dit, puisque je marche peu, j’ai mal au jambes, et ça ce n’est pas une croyance.
20 h – Bravo les soignants !!!!!!!
Et honte éternelle a ceux qui ont fuit.
« A se demander, d’ailleurs, si le sieur Drillon a déjà foutu les pieds ailleurs que dans sa classe sociale : la majorité de ses opinions sur les rapports entre les sexes (et sur les luttes féministe) est marquée du sceau de la tranquille domination masculine, telle que pratiquée dans le seizième arrondissement de Paris.
A savoir avec des gants, sans doute, mais cependant et surtout, avec les mains bien réelles du machisme ordinaire, dedans ! »
Clopine
Je ne connais pas la classe sociale de Jacques Drillon, mais machiste et sans gants.
Totalement dépassé. Sauf si on revient à l’homme des cavernes.
hamlet dit : « quelles leçons avons-nous tiré de toutes ces histoires ? »
« Le travail de l’intelligence naît d’une insatisfaction profonde devant le monde, mais il s’avère incapable d’y porter remède, si ce n’est de manière temporaire et aléatoire. Il existe donc chez le personnage – et pourrait-on ajouter chez le romancier – un hiatus profond entre les exigences de la conscience, sa recherche d’un ordre, son besoin de plénitude et de transparence, et les aptitudes de l’esprit à y répondre.
Ce décalage entre le désir profond et le faible pouvoir fondateur de la raison sépare nettement le romancier d’autres analyses du fascisme. […] la raison ou l’intelligence instituent l’homme en « voyeur » et le conduisent logiquement vers un regard attentif mais désenchanté sur le monde. |…] nostalgie d’une innocence inactive devant le cours des choses. »
PP. 37/39 de la préface au roman de Moravia Le Conformiste (GF – Flammarion) par Gilles de Van.
Dans un texte de Moravia un personnage allume une cigarette dans une bibliothèque publique. Or, rapelle Mario Praz, déjà avant-guerre dans les bibliothèques italienne fumer était défendu.
Lit-on encore Moravia, en Italie, renato ? « Le Conformiste », sans doute…
Oui, Hamlet, j’ai écrit que l’astrologie pouvait faire partie de la mimésis des personnages de Shakespeare, mais, en ces temps elizabethains, la croyance est alors générale. Voyez Madame Yates. Et je ne suis pas sur qu’on puisse donner des leçons de rationalisme à nos voisins d’Outre-Manche, nous qui avaons à la meme époque Nostradamus.
Merci Closer de citer Bronner. C’est un homme dont les essais déçoivent rarement.
Bien à vous.
MC
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