Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse
Pourquoi parle-t-on tout le temps de Camus et pas de Roth depuis quelques semaines ? Trop injuste alors que lui aussi, après tant d’autres il est vrai, a raconté les ravages d’une épidémie. J’y repense alors que l’on peut voir actuellement sur OCS et sur un tout autre sujet (ce que c’est que l’esprit de l’escalier…) l’adaptation en série de son Complot contre l’Amérique (The Plot against America). C’est aussi désespérant que rassurant : on n’invente jamais rien. Ou si peu. En prendre conscience permet de garder la tête froide et de relativiser notre génie. Le cas échéant, Internet se charge de rafraîchir la mémoire des oublieux.
Némésis (traduit de l’anglais étatsunien par Marie-Claire Pasquier, Gallimard et Folio), le trente et unième et dernier roman de Philip Roth paru il y a dix ans en anglais, et deux ans plus tard en France, raconte les tragiques conséquences de la poliomyélite sur une communauté de Newark (New Jersey) au cours de l’été 1944 ; l’espoir, la panique, l’angoisse, la douleur, la souffrance, celles des enfants plus encore que celles des adultes, sont évoquées à travers le dévouement du jeune responsable d’une aire de jeux, ses dilemmes entre désir et devoir, ses cas de conscience face à cette tragédie qui le mène à faire front contre le Mal au moment où une autre guerre décime des hommes (ici on peut lire un extrait). Une guerre dont ce Bucky Cantor est l’absent résigné et coupable ayant été réformé. Il n’en mêne pas moins « sa » guerre sur place à Newark contre l’ennemi invisible (air connu, depuis…). Non seulement une épidémie mais sa menace. Il en fait son affaire personnelle.
Un temps, impuissant car désarmé, il croit se soustraire au spectacle de l’hécatombe à venir, annoncée par des morts parmi les enfants, en rejoignant sa fiancée au bord d’un lac mais revient vite à sa base et ses compagnons d’infortune. D’autant que, aussi loin qu’il ait cru fuir, il a emporté le virus avec lui en lui, à son insu. Infesté, lui qui a voulu faire le bien se retrouve être l’instrument du Mal. Tel Job en son fumier à l’entrée du village, il accable le ciel et son principal locataire : qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? L’absence de réponse à son exigence d’explication le ronge. Cet innocent au coeur immense, homme de devoir s’il en est, n’admet pas que ses pourquoi restent sans écho. Dans son monde rationnel, pour un homme comme lui, ni scientifique ni religieux, l’absurde n’a pas de place non plus que l’aléatoire. C’est peu dire que dans ce roman, Philip Roth s’en remet plus au hasard et à la chance, qu’à l’inconscient ou à la providence. Némésis dans la pensée grecque était la messagère de la justice qui châtiait ceux qui devaient l’être, sévère mais juste. Elle sanctionnait la démesure, et son coup était perçu comme une vengeance. A Newark, si l’épidémie de polio est déjà cruelle, sa seule menace sur chacun était déjà perçue comme perverse tant elle torturait les esprits.
Une épidémie dans une cité portuaire sur fond de seconde guerre mondiale, cela vous rappelle quelque chose ? La Peste d’Albert Camus et les effets du fléau sur la population d’Oran. De l’histoire ancienne pour Philip Roth. A ses débuts en 1957, il avait soumis à Saul Bellow le premier jet d’une nouvelle marquée par sa lecture éblouie de cette oeuvre ; son maître et ami, qui ne partageait pas son admiration pour Camus, l’avait mis en garde contre la tendance à réduire un roman à une idée et à s’y tenir. N’empêche que cette inspiration inavouée n’aurait pas été remarquée si des blogueurs américains ne l’avaient remarquée. Nemesis n’en est pas moins un roman parfaitement made in Roth.
Et comme les nouvelles vont de plus en plus vite, avant que quiconque ne se risque à exiger de l’Américain qu’il paie clairement sa dette au Français, le romancier J.M. Coetzee, qui consacrait un long article à son livre dans The New York Review of Books, rappelle celle contractée par le Camus de La Peste (1947) à l’égard du Daniel Defoe du Journal de l’année de la peste (1722)… Tout se ligue pour nous faire comprendre qu’en littérature, dès lors qu’une idée et non une forme gouverne la naissance d’un roman, on n’invente jamais rien. Et même une forme, parfois… Savez-vous pourquoi Montaigne est soudainement revenu dans l’air du temps il y a une quinzaine d’années aux Etats-Unis ? Parce qu’on a voulu voir dans les Essais (1580), exploration à sauts et à gambades d’un moi face au monde, la géniale préfiguration des blogs, sites personnels, affichages au Mur et autres journaux intimes en ligne, ainsi que l’écrit Sarah Bakewell un peu partout sur la Toile après l’avoir exposé dans son livre How to live or A life of Montaigne in one question and twenty attempts of an answer (400 pages !) encensé par les meilleurs journaux.
A quoi tient un regain de popularité littéraire ! à une récupération abusive au profit d’une conception assez extensive du simple narcissisme dans tous ses étals (Montaigne en saint-patron de Facebook, on aura tout lu…). Ce n’est d’ailleurs pas la première tentative puisque Twitter a fait de Félix Fénéon (1861-1944) son pionnier au motif que ce grand critique absolu (livres, art, théâtre) est également l’auteur de nouvelles en trois lignes qu’il publia dans une rubrique à elles dédiée en 1906 dans Le Matin ; réunies en volumes (Le petit Mercure), ces brèves bien dans sa manière, issues de simples dépêches relatant des faits divers, demeurent un classique du haïku à la française :
« Rattrapé par un tramway qui venait de le lancer à dix mètres, l’herboriste Jean Désille, de Vannes, a été coupé en deux[] ». Ou encore : «Allumé par son fils, 5 ans, un pétard à signaux de train éclata sous les jupes de Mme Roger, à Clichy : le ravage y fut considérable. »
Las ! S’étant aperçu qu’elles étaient longues chacune de cent à cent trente signes, un éditeur américain avisé les fit traduire, les publia et les lança, devinez comment ? En créant un compte Twitter Novelsin3lines qui expédie chaque jour à ses correspondants un fragment de Fénéon.
(« Philip Roth in 1968 visiting his home town of Newark, New Jersey ; Philip Roth, at rear of table, at his Weequahic High School prom. » photos D.R.)
2 031 Réponses pour Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse
« À la première personne, Amélie Nothomb raconte de l’intérieur la Passion du Christ : le procès, le chemin de croix, la crucifixion, la mort, la résurrection. Et par un audacieux transfert, le revisite, s’autorise quelques écarts et ajustements. Pas pour jouer avec les Écritures, elle est plus intense et ambitieuse que cela, mais pour nous sauver, qui sait ? Ceci n’est pas un traité de théologie, mais sans doute son roman le plus fou, le plus « impossible » et le plus vital. »
Elle
J’ai appris récemment qu’Amelie avait perdu son père, par ailleurs amateur de masques, ou plus précisément, du Nô.
Ouais oser écrire en disant je pour ke christ, faut être passablement allumée.
Autant que pour filmer des pandas qui copulent.
Moi, quand j’ai vu des panthères noires copuler au zoo de la Tête d’Or à Lyon, je suis sortie duscrètelent sur la pointe des pieds.
discrètement.
Je je ne les ai pas matées.
Je lis encore Elsa Morante, Jacques. Cigarette bien à part, Moravia jamais vraiment aimé. Lu quelques pages de son autobiographie — écrite en collaboration avec Alain Elkann —, plutôt fatiguante. Je suppose que dans quelques cercles de la gauche italienne on lit encore Moravia.
On est quelqu’un de meilleur quand on a eu du plaisir.
https://www.onlalu.com/livres/roman-francais/amelie-nothomb-soif-47166/
un beau crapaud:
https://www.bing.com/images/search?view=detailV2&insightstoken=bcid_RDfso5osMy8B6Q*ccid_N%2Byjmiwz&form=SBIWFC&idpp=sbiwfc&iss=SBIUPLOADGET&selectedindex=0&id=-849187449&ccid=N%2Byjmiwz&exph=720&expw=1080&vt=2&sim=11
bonsoir
Pour D qui s’ intéresse à ces choses. Je tente de terminer la lecture de l’article sans attendre d’y comprendre quoiquecesoit .
une date
Le dogme de l’Immaculée Conception ne sera établi que le 8 décembre 1854 par la bulle pontificale Ineffabilis Deus de Pie IX [4] :
la vierge que j’aime:
http://www.pileface.com/sollers/IMG/jpg/vinci-sainte-anne-600.jpg
on dirait qu’elle glousse de le choper pour le mettre a rotir renfield..t’en as marre des blattes..daccord mais molo
sans attendre d’y comprendre quoiquecesoit
dis lui simplement que t’aimes ête dominée béré..tu sais c’est pus hune honte..
tu dois en chier du barbelé la babouin..mais dis le qut’aimes ça..ça tfra du bien..pour commencer
Christiane, auriez vous lu le dernier de Saul Bellow, Le coeur à bout de souffle. C’est un peu moins mélancolique que Moravia , peut etre moins définitif. J’y suis pour un moment , courant porteur.
un souvenir:
Alors, si vous voulez savoir pourquoi l’ange qui annonce à Marie qu’elle allait enfanter le Messie ne pouvait que s’appeler Gabriel, si vous voulez comprendre pourquoi, d’un point de vue midrashique, Miriam, la soeur d’Aaron; Rebecca, la femme d’Isaac; et Marie, la mère de Jésus, sont une seule et même personne («Dans la Torah, dit le Talmud, il n’y a pas d’avant ni d’après» – autrement dit, notre temporalité n’y a pas cours) et pourquoi cette dernière, en dépit de toutes les arguties développées par ailleurs, devait être vierge, «la vierge d’Israël», il faut lire le livre de Sandrick Le Maguer, petit chef-d’oeuvre de gai savoir, qui ouvre à l’exégèse chrétienne des perspectives proprement vertigineuses.
https://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20080730.BIB1780/jesus-marie-quel-livre.html
vous retrouvez tout cela chez SOLLERS,etc
Ouais oser écrire en disant je pour ke christ, faut être passablement allumée.
Autant que pour filmer des pandas qui copulent
..tfaçon yavé lui doit des coups dpied au cul au kilo à pédro..un peu dplus un peu dmoins..y fait son malin quoi
Bouguereau, je fais partie de la minorité composee de personnes qui ne ressentent aucune frustration à ne pas avoir à endurer la vie sexuelle normale ou déviante. La domination intellectuelle est partout où nous nous attardons sinon pourquoi mais elle revêt d’autres formes, c’est une invitation.
ils sont les seuls monothéistes qui ne lisent pas leurs livres saints
..jusqu’à y’a peu ils étaient a l’indesque renfield..je crois que tu sais pas bien cqu’est un chrétien et leur sale hestoire..c’est mieux dparler dson biznèce renfield..halors comme ça yavé..?
La domination intellectuelle est partout où nous nous attardons sinon pourquoi mais elle revêt d’autres formes, c’est une invitation
c’est un peu hindécidabe béré..fait comme si j’étais trés bête..tu verras c’est pas hincompatibe
ils sont les seuls monothéistes qui ne lisent pas leurs livres saints/ EN V.O!!!
ça c’est lui qui le dit!
bien connu qu’un psy aujourd’hui hébraïsant a appris ce que c’était qu’un midrash chez Lacan!
Bouguereau, oui c’est encore Moravia, Moi et lui. Je l’ai lu. Le c’est une invitation concernait le progrès, l’enrichissement spirituel, il y a d’un côté le sachant de l’autre l’ignorant ou celui qui n’a rien trouvé à faire que grandir afin d’embrasser un horizon aussi large que celui permis par les meilleurs appareils photos.
Bérénice je ne vois pas en quoi un appareil photo serait bon parce qu’il embrasse un large paysage. Une lentille divergente en plastique d’une valeur de 10 centimes d’euros y parvient sans aucun problème.
Quand Blanche Gardin déclarait, il y a un an tout juste, que, je cite : « le futur ne me fait pas rire du tout »…
On se demande à quoi elle pouvait bien faire allusion…
Encore une connerie d’ écologauchiasse planquée derrière son succès…
…samedi 11 avril 2020 à 0 h 06 min.
…
…la bible c’est un jeux de dupes et commerçants, pour se faire mettre par la société, toute les quatre saisons, et les jours fériés.
…
…c’est de la politique sociale, avant la lettre,!…
…dans d’autres isthmes, on dit; logées nourries et baisées, déjà rendues soumises à toutes sortes de servitudes,…
…
…qui font de votre naissance et existence, un don d’esclave ignorante et perverse,!…
…la religion pour en être dominer, par la bourgeoisie et l’ état-major en amont,!…
…
…cinéma enseignement syndicats et la religion pour éviter la guerre sociale, ou une quelconque morale de justice corrompue,!…
…etc,!…tout existe,!…
…à des proportions et pourcentages variables,…le merdier des privilèges du politique-correct au dessus de tout soupçons,!…à ses profits,!…
…la population abusée,!…
…entre services concurrents,!…Ollé,!…
…etc,!…
…quelle autre discipline mondialiste?!…
…tout est à faire et défaire,…
…à avaler son métier à tisser!…etc,…
…écrire, son humilité à ses vis à vis,!…
…etc, Dallas,!…à ses J.R.!…
Écoutez D, il faut tout de même laisser une place aux images et les utiliser pour dire n’importe quoi du moment que ça mousse. Il faut un bon appareil , un objectif adapté pour les paysages , néanmoins.
Les petits vous promettent monts et merveilles , en réalité la focale, enfin le bidule ne vous autorise qu’à prendre une mouette à l’arrêt pour non respect du confinement ou trois charbons avec deux sillons du champ en arrière plan. C’est pas tout à fait le livre des possibilités.
Chardons, pardon.
Une lentille à 10 cents ! Je suis sûre qu’en plus D est propriétaire d’un Leica .
Et voilà. J’espère que certains internautes s’évaderont autant à la lecture que je me suis évadée dans le passée à l’écriture.
https://rockandvolk.blogspot.com/2020/03/premiere-fois-au-pays-du-sourire.html
Week end de Pâques.
Lundi nous n’irons pas travailler.
Bon week end à tous si vous pouvez joyeux
Jacques Drillon à vous aussi
Un jeune couple modèle pour vous.
Eh, Jacques Drillon, y’a 600 commentaires.
Voilà : j’ai sauté le pas, hier en fin de journée : j’ai fait des chocolats de Pâques avec du chocolat tempéré.
Oui.des Noeufs. Petits petits mais pleins.
Deux mini poules.
De la friture.
Un demi oeuf creux avec deux lapins qui s’embrassent.
Bonjour B.,
mon ordinateur et moi avons observé quelques heures d’éloignement bienvenues.
Non, je n’ai pas lu « Le cœur à bout de Souffle ».
De Saul Bellow, je connaissais « Herzog », Paul Edel par un billet fouillé m’a donné envie de lire « La planète de MR. Sammler ».
Je me suis prise d’affection pour ce Vieux Mr. Sammler qui arpente avec son parapluie les rues encombrées de New-York. Années soixante. La ville indifférente croule sous la consommation effrénée. « Manhattan se déversait à flots par les ouvertures et les brèches de son corps. Comme s’il eût été sculpté par Henry Moore. Plein de trous, de manques. »
Lui se souvient de la déportation, des morts, de sa survie due au hasard, pense que « la banalité n’était qu’un camouflage, un moyen de dépouiller le crime de son abomination. Qu’elle est le masque derrière lequel se dissimule une puissante volonté voulant abolir la conscience. » C’est amer, très fort.
Et puis, il y a Shula-Slava, cette jeune fille, sa fille, si prévenante pour lui, qu’elle va voler pour lui un carnet manuscrit, « L’avenir de la lune », au docteur Lal. Carnet qu’il doit restituer à son propriétaire… Margotte, sa nièce veut l’aider.
Et encore en arrière-fond de cette vie brouillonne, les lectures érudites de Sammler « portant sur le XIIIe spirituel, platonicien, augustinien »…
Sammler envisageait ayant vu « une fois le monde s’écrouler, la possibilité qu’il puisse s’écrouler une deuxième fois. »
Et encore un pickpocket observé par Sammler dans le bus. Ça, c’est une étrange histoire dans l’histoire.
Enfin, je ne me souviens plus très bien. Je le feuillette pour vos copier quelques phrases mais le récit est flou. Une sorte de kaléidoscope. Il faudrait que je le relise.
Bonne journée
@ RDL/11.4.20 – Bonjour,
Bien dormi ?… et ce matin, il y a encore du grand soleil. René Char nous aidera toujours pour sortir des épreuves nocturnes difficiles. « L’état du soleil levant est allégresse malgré le jour cruel et le souvenir de la nuit… »
https://www.erudit.org/fr/revues/etudfr/1972-v8-n2-etudfr1709/036514ar/
Certes, les chiffres sont inexorables et on pense chaque jour à tous ces proches des victimes et au travail des soignants, même si les nouvelles du monde ne sont pas rassurantes (Hong-Kong ou Singapour semblent rechuter d’avoir été déconfinées trop vite) – Qu’en pense Dr Didier Chouètzer ?.
Et pendant ce temps d’autres crapules ne perdent pas le nord.
https://www.aefinfo.fr/depeche/625607
Quand je pense que l’autre erdélien voulait faire écouter du Bach à tout le monde pour commencer à changer la « nature humaine ». Non, l’esthétisme à la portée de tous, c’est décidément pas comme ça qui faut s’y prendre ! Désolé. Il faut rester humble, me demander : »en dehors de lire Michelet, qu’as-tu fais de bien concrètement, hier, toi le mécréant, pour tes frères humains ou les bêtes, vu que tu t’es pas mis à nous prêcher la Pâque juive et un rassemblement en pensée par visioconférence du côté de la sortie d’Egypte ? –
Oui, tu as bien essayé de faire quelque chose d’utile pour les trois gamins qui s’ennuiyaient dans le village désertique. Des gens commencer à ressortir à pied dans la rue, en peuvent plus. Des paysans continuent leurs travaux dans les champs avec leurs gros tracteurs et épandeurs à azote et fumier… L’un d’entre eux, un jeune qui « reprend l’exploitation », a pourtant décidé d’arrêter tout ça. Reconnait que sa reconversion en tout bio sera longue et semée d’embûches. Il observe que la plupart des gens, dans les supermarchés d’â côté où il a pu écouler une part de ses produits (merci Leclerc, dit-il) sont plus proches et compréhensifs de son travail. Il les estime moins arrogants qu’autrefois avec son père le bouseux. Ils discutent plus volontiers de nouvelles solutions de proximité avec lui pour « réduire la chaîne ».
Je perçois mieux certains de ces signes encourageants, mais je les connaissais déjà dans ma banlieue depuis des plombes car je n’en fut jamais déconnecté, en Charentes ou en Bray. Je plains le jeune couple qui, cherchant à agrandir son périmètre de vie, va s’installer dans notre ex-appart, plus grand que le leur, dès qu’il sera définitivement vendu, mais ast’heure tout est bloqué, les notaires sont furieux… Ont pu de rentrées… Ces djeunes qui pensent avoir « la vie devant eux » (comme romain G., naguère) avec celle de leurs futurs enfants, car ils n’hésiteront pas une seule seconde à nous en pondre au moins trois.
Et c’est la « nature humaine » comme dirait le candide hamlet (que m’at-t-il gonflé hier çui-là ; je lui présente mes excuses, ce matin). Comment peut-il vouloir nous changer la nature humaine quand ce genre de pulsion d’engendrement de la vie est aussi enraciné dans l’espèce ?… alors que nous savons pouvoir périr en masse pour que les bêtes apprennent à retrouver la place que nous leur avons enlevée.
Célébrons donc joyeusement la Résurrection (des rorquals), quel que soit le sens matérialiste ou religieux qu’on voudra bien donner à cette métaphore, si elle peut nous donner un peu d’espoir.
Bien cordialement à tous.tes,
J J-J
@ Ch., « Et encore un pickpocket observé par Sammler dans le bus. Ça, c’est une étrange histoire dans l’histoire ».
Oui et c’est le « noeud » du roman. Un black exhibitionniste qui se masturbe et cela hante Mr Stammler qui a entrevu sa grosse queue l’espace d’ne seconde. Ce roman doit être lu à partir de cet étrange phénomène, comme dirait l’boug, spécialiste.
Bonjour Christiane, ravi de votre retour, vous n’avez pas été très longue, tout de même. Bon WE.
Christiane, j’ai découvert ces deux là l’hiver dernier et celui ci m’a paru, je ne sais pourquoi, dans un premier temps bavard comme certains auteurs américains savent , puis je l’ai repris et là eurêka, j’y entrai avec joie. J’aime beaucoup son humour qui vient comme une pluie de confettis divertir sa grande érudition. Je note quelques unes de ses pistes, elles sont nombreuses. Son rapport aux femmes est amusant et ce qu’il en a fait plus drôle que du Woody Allen.
J’avais mis ce matin un long commentaire avec deux links. Il a sauté, à cause de cette règle implicite du robot que j’oublie souvent. Il ne prend pas 2 liens dans le même post.
Pourriez-vous pas le « faire » remettre, ce message, PA ? Il s’adressait surtout au ruralisme de CT, aux confinés et à quelques autres erdéliens, suite à mes remerciements… sur le post antérieur.
________
Cette nuit, encore un rêve d’examen de français au BEPC. Je devais ab solument passer cette UV à 58 ans, mais ma demande n’avait pas été enregistrée, et l’examinatrice, très snob, -qui aurait pu être ma fille-, me dit avec tout le mépris dont elle était capable face à un tel paysan que je n’étais pas sur sa liste, et que je pouvais rentre tout de suite chez moi pour aller « tirer » mes vaches. Mais que si si je voulais revenir l’an prochain, elle pourrait m’accueillir à la rigueur à condition qe j’eusse entre temps fait beaucoup de progrès en littérature.
Je crois être (inconsciemment ?) toujours fort impressionné par Christiane. Les erdéliens peuplent mes rêves en ce moment… Ils ont parfaitement réussi leur travail mental de confinement intellectuel. Incroyab ‘ !
chocolat tempéré. qu’est ce que c’est? C’est en écoutant Bach? On va avoir encore des recettes? pas à la Trinité
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/42/Chromo_Louit.jpg/440px-Chromo_Louit.jpg
Ed, feuilleté avec plaisir votre album thaïlandais. (un détail, crois bien qu’il faille écrire « rebattre »..pour les oreilles).
jjj, yes, Christiane impressionnante dans ses lectures à larges azimuts. vous, votre rectification à propos du black onaniste rappelle le style de « Diagonal ».
sur WIKI
La Romance chantée par Chérubin dans la scène 4 de l’acte II de la pièce de théâtre Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, est sur l’air de Malbrough s’en va-t-en guerre.
Victor Hugo précise que son poème « Le Sacre », dans Les Châtiments doit être lu sur l’air de Malbrough s’en va-t-en guerre.
Charles Péguy consacre dans Cliode longues pages à la fortune littéraire de cette chanson.
Dans l’épisode de la série télévisée Les Simpson intitulé Un atome de bon sens, Bart chante cette chanson parce qu’il a été trop bruyant.
@ Phil, merci…
Combien de temps me faudra-t-il pour vous persuader que JJJ est l’ex-Diagonal, mais qu’il a changé de ce pseudo que PA avait à jamais dévoyé dans ses BDB !
Bàv,
Phil, oui, Diagonal et 3J ne sont qu’un. 3J l’a confirmé . On se souvient encore de sa liste de plus de 80 bouquins année 2018 ou 2019? explorant divers domaines.
le style, dear JJJ, rien que le style. l’autre jour virtuel, le considérable Paul Edel disait à sa collectivité que certains écrivains changent de style à chaque livre. bizarre
bougros a écrit : « fait comme si j’étais très bête »,
t’as raison Gaga tu le fais tous jours… attention ya ta combinaison qui dépasse
signé Keupu, Renfield, la mère de ma mère et Goering
ED, je vous lirai. La piété féline , prix de la photo. C’est à mes yeux la plus belle de la collection exposée.
Même pas besoin de lentille, B., une boîte à chaussures avec un trou suffit largement :
Pinhole #1, le principe :
https://blogfigures.blogspot.com/2011/05/pinhole-camera_16.html?q=Pinhole
Pinhole #2
Catharine Willis, Haunting Echoes :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/04/catharine-willis-haunting-echoes_10.html?q=Pinhole
Pinhole #3
Alyson Belcher, Pinhole Self-Portrait :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/01/alyson-belcher-pinhole-self-portrait_10.html?q=Pinhole
Pinole #4
Leslie Robertson, pinhole landscape :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/03/leslie-robertson-pinhole-landscape_22.html?q=Pinhole
Vous pouvez chercher d’autres exemples sans peine sur le net
TRADUCTION
Une amélioration considérable par rapport aux systèmes d’IA existants est la capacité du système d’analyser les sentiments, d’examiner ce qu’une personne dit ou écrit et comprendre ce qu’elle tente réellement de communiquer et quel est le contexte. Par exemple, le système peut désormais comprendre la véritable signification lorsqu’une personne dit qu’elle a « la tête dans les nuages », c’est-à-dire qu’elle est distraite, au lieu de prendre cette expression au pied de la lettre.
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/04/la-traduction-automatique-surpassera-t-elle-la-ma%C3%AEtrise-dune-langue-%C3%A9trang%C3%A8re-jessica-bown-journaliste-affaires-et-tec.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29
lettre de Books
C’est l’un des exemples les plus frappants que donne Gigerenzer dans Risk Savvy pour illustrer le fait que nous prenons de mauvaises décisions parce que nous comprenons mal le risque. Ce spécialiste allemand de la communication sur les risques vise principalement les médecins, mais il épingle bien d’autres professions, dont les banquiers et les journalistes. Il est impitoyable envers ceux qui induisent en erreur leurs patients, leurs clients ou le grand public en suscitant chez eux des craintes ou des espoirs démesurés.
Lire la suite de l’article de Clive Cookson
Découvrir notre dossier sur l’art de la décision
Vous faites de la confiserie un vendredi saint, rose ?! Permettez-moi d’être surpris.
« Petits petits », comme des œufs de caille ?
tout sur le corona
Clive Cookson
https://www.ft.com/clive-cookson
pour clopine
Le ménage a des vertus. Si je peux me permettre de m’auto-citer: «Faire le ménage, ranger, nettoyer, astiquer, organiser, c’est devenir Dieu. Peut-être Dieu avec un balai de chiottes à la main dans un F2 de banlieue parisienne, mais Dieu quand même. Dans Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir a cette phrase terrible: “Elle se mit à faire de l’ordre comme d’autres se mettent à boire.” […] On tire du ménage une sensation de contrôle et de pouvoir rarement égalée, dans la mesure où il est aussi un défi au temps. Une lutte acharnée contre la peur du vieillissement, de la mort, de la dégradation. Il y a une dimension psychanalytique et existentielle du plaisir ménager. Nettoyer, polir, astiquer, faire briller, c’est un combat physique, comme si on gagnait quelque chose sur la matière, qu’on faisait revenir le monde à un état antérieur en inversant la courbe naturelle du temps. Le ménage est une activité physique qui provoque un état mental paradoxal fait à la fois d’hyper-concentration, où les mains prennent les commandes, et de gambade de l’esprit. Le ménage, en tant qu’activité manuelle, a donc des vertus –mais ce qui pose question, c’est la tendance des femmes à chercher la sensation de contrôle à l’intérieur de la maison, alors que les hommes partiront s’emparer du monde extérieur.»
http://www.slate.fr/story/189462/titiou-confinement-coronavirus-menage-taches-menageres-egalites-femmes-hommes-impuissance-controle?utm_source=ownpage&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily_20200411&_ope=eyJndWlkIjoiM2Y2MTQ1MGI0Y2YwOGU5ZDQ0Y2NmNmMyZjY0OWU3NzYifQ%3D%3D
pour clopine
Découverte d’une abeille qui a une moitié du corps mâle et l’autre femelle
Il s’agit d’une spécificité n’ayant été que rarement observée chez des spécimens vivants
https://dailygeekshow.com/abeille-gynandromorphisme/?utm_source=newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=Newsletter_Journaliere_2020-04-10
Non je n’ai pas de Leica, j’ai « juste » un « vieux » Canon 70D équipé de 2 excellentes optiques. un objectif Canon 85 mm série L ouvrant à 1.2 spécial portrait, que j’utilisais déjà sur un boitier Canon argentique. Du coup sur le 70D sa focale est devenue 135, ce qui en fait un télé, moins pratique d’utilisation pour le portrait, sauf s’il faut se faire discret et se tenir à distance. Un sacré caillou ou plus exactement un pavé ; je l’avais eu d’occasion absolument intact en 2000. Depuis il n’a pas eu une éraflure ni la moindre trace de piquetage sur les traitements optiques.
C’est une merveille, je ne vous dis pas la lumière qui arrive sur le capteur, sa force, sa douceur, son rendu des détails. Impressionnant.
La série L de Canon c’est quand même très balaise.
J’ai également un 20 mm Sigma HSM Art, au très bon piqué, mais au rendu un peu froid qui m’oblige à corriger la balance de couleur.
Et un vieux zoom 28-135 Canon grand public qui accompagnait un boitier argentique. (135-215 une fois monté sur le 70D). Ce genre d’optique bouffe beaucoup de lumière et de piqué, sans grand intérêt.
J’ai un vieux compact Rollei 35 LED (24×36) qui fonctionne toujours parfaitement. Excellente optique non démontable dessus, c’est à peu près tout ce qui est excellent sur cet appareil. On les trouve aujourd’hui pour moins de 100 euros en parfait état. Le format de pile n’existe plus, il faut les faire fabriquer sur mesure…
La question de la decision est sous-jacente dans la peinture de de Kooning et dans certaines experiences musicales des années 50. Le problème de la vitesse de decision, reste fondamentale encore aujourd’hui — en combient de temps je decide une action et quelle est sa pertinence dans l’environnement donné —. Enfin, qui peut s’interesser à ces trucs de boutiques ?
Phil et JJJ,
Oui, le black pickpocket bien membré, exhibitionniste coince Sammler dans le hall de l’immeuble, après l’avoir suivi, « Il déboutonna son pantalon. Sammler entendit ensuite le bruit de la fermeture éclair. L’homme lui ôta ses lunettes teintées et les laissa choir sur la table, puis l’obligea, en silence, à baisser les yeux. le Noir avait ouvert sa braguette et sorti son sexe, déployé là, sous le regard de Sammler, avec ses gros testicules ovales, une chose non circoncise, imposante, brune et violacée […]
L’intermède dura longtemps. L’expression de l’homme n’était pas menaçante mais étrangement sereine et empreinte d’une autorité naturelle. Il montrait son outil avec une assurance stupéfiante. Avec majesté. Après quoi, l’organe réintégra le pantalon. Quod erat demonstrandum. Sammler recouvra la liberté. La fermeture éclair fut remontée, le manteau reboutonné, la splendide cravate de soie saumon cascadante lissée d’une main puissante sur le torse puissant. Les yeux noirs brillant d’un éclat de candeur inouïe se levèrent doucement afin de conclure la séance, la leçon, l’avertissement, la rencontre, la transmission. Le pickpocket récupéra les lunettes noires de Mr. Sammler et les lui replaça sur le nez. Puis il déplia et chaussa les siennes, circulaires, d’un bleu gentiane discrètement cerclé du magnifique or de chez Dior.
Et il s’en alla. »
Cette scène est étrange, magnifique : finesse de la description, tempo lent, douceur insolite dans cette « démonstration » de brutalité virile retenue…
D’autres auraient proférer des propos menaçants. Lui, montre, par cette exhibition « select » et ordurière, à Sammler qu’il pourrait lui nuire.
Le pendant tragique de cette scène se retrouve à la fin du livre quand cet agresseur est lynché par la foule et que Sammler trouve cette violence horrible.
« De fait, Sammler était malade de rage. Le Noir, Le Noir était un mégalomane. N’empêche qu’il avait un certain – un certain côté princier. Les vêtements, les lunettes, les couleurs somptueuses, les manières d’un roi barbare. C’était sans doute un fou. Mais un fou avec une idée de noblesse. Comme Sammler avait pitié de lui – que n’aurait-il pas fait pour lui épargner ces coups atroces ? »
Je ne dirais pas JJJ, que cette scène est le pivot du roman. C’est une histoire dans l’histoire. La violence, la brutalité, il les a vécues avant, là-bas dans ces camps d’extermination.
Là, un homme, bizarre, un « prince » voleur et exhibitionniste que Sammler ne peut s’empêcher d’admirer tout en le condamnant pour ces vols. Le reste est obscur pour moi. Deux hommes sans un mot, dans un corps à corps mémorable ont fait connaissance… (reconnaissance ?)
Qui a engendré ce fou ? Qui l’a corrompu ?
« Nous sommes amassés, entassés, et les hommes doivent sentir qu’il existe un moyen de s’évader, que le talent et le pouvoir intellectuel de l’espèce permettent de trouver une porte de sortie. L’invitation au voyage, l’envie baudelairienne de s’échapper – d’échapper à la condition humaine -, le désir d’être un bateau ivre ou de posséder une âme aspirant à briser les parois d’un univers clos sont toujours présents […] » (p.283)
Ce roman est magnifique. Il est pour moi un essai philosophique.
pour clopine le care
Derrière la féminisation des professions, elles ont aussi distingué les situations des unes et des autres et commencé à évoquer les zones de non-dits.
Quand nous aurons passé cette terrible épreuve, elles seront là pour nous dire de ne pas nous contenter d’une admiration, très sincère, liée à l’urgence. La fiction sera là pour ne pas oublier la réalité.
https://theconversation.com/infirmieres-et-docteures-hero-nes-en-series-134627
Pas besoin de lentille…hum. Pour des poses très longues c’est en théorie vrai. on ne peut pas photographier grand chose avec des poses très longues. Même pas un arbre. Même pas un ciel.
La ville, vue de loin, peut-être.
Pour que ce soit bien net, il faut un trou très petit. Et si le trou est très petit il laisse passer la lumière que laisse passer un petit trou : très très très peu, il faut donc une très très longue pose. C’est moins vrai avec les capteurs numériques ultrasensibles d’aujourd’hui.
Je ne sais pas s’il existe des objectifs sténopé adaptables sur monture Canon ?
Le soir j’ai un sténopé éphémère dans mon salon : un luminaire de réverbère qui se projette à l’envers et très déformé sur le plafond. La lumière passe par la fente entre deux rideaux.
des zips pour Christiane
https://media.sandhills.com/img.axd?id=5120903363&wid=&p=&ext=&w=0&h=0&t=&lp=&c=True&wt=False&sz=Max&rt=0&checksum=wiooLtqQ45TqM5jCwSJtmq%2FtW0%2Fd%2BypR
Eh ben si ça existe :
www.http://www.idealo.fr/prix/2273249/loreo-fixfokus-lens-canon.html
Lors de sa première année au lycée, Newman se cherche un deuxième prénom qui devient Benedict qui est un dérivé de son prénom hébreu Baruch. Plus tard, on l’appellera « Barney » puis « B.B ». Newman utilisera un « B » supplémentaire dans sa signature qu’il utilisera jusqu’à la fin de sa vie sur tous ses documents officiels.
Pile-Poil vient de tuer un écureuil.
UNE écureuil, en plus, qui portait des petits.
Assassin !!!
J’en suis toute découragée.
C’est vrai, quoi, zut.
On nous l’avait décrit, chiot, comme un « bâtard border collie ». Tu parles : c’est un gros bâtard beauceron, oui !!! Ce n’est pas parce qu’il a trois poils blancs qui se battent en duel sur son poitrail qu’il peut dissimuler sa vraie nature…
Les beaucerons ont été sélectionnés depuis des générations pour être des gardiens, prêts à sauter à la gorge de l’intrus. Souvent requis par les flics, les agents de sécurité, ces chiens s’épanouissent le plus sous la férule de maîtres « à poigne », qui établissent un lien d’autorité avec le chien, et le beauceron va ainsi adorer un maître jeune, sportif, autoritaire… Qui lui donnera des ordres bien clairs et lui définira rigoureusement sa place…
Tout mon portrait, quoi ! Tu parles !!!
Je suis incapable de me transformer en ce qu’il faudrait pour ce clébard. Comme lui-même est incapable de se transformer en gros toutou à câlins, yeux de veau et gentillesse, semblable en ce sens à tous ses prédécesseurs…
Sans compter qu’avec le passage qu’il y a à Beaubec, enfin je veux dire qu’il y AVAIT à Beaubec, n’est-ce pas, plus le fait que la barrière d’accès n’est jamais fermée et tombe d’ailleurs en morceaux, que j’ai une tendance irrépressible à ouvrir toutes les portes et ne jamais les refermer, avoir un chien de garde est particulièrement inadapté à notre mode de vie…
Mais bon, on est humanistes, idéalistes, ou on ne l’est pas. Nous avons décidé, quand nous avons commencé à nous attacher à ce chien, à notre chien, que c’était finalement une bonne occasion de constater les poids réciproques de l’inné et de l’acquis.
En pariant sur ce dernier, bien entendu.
J’ai donc suivi ma pente naturelle et ai prodigué à ce chien des caresses, pour l’habituer à la douceur, une attention bienveillante, pour qu’il ne se sente pas trop frustré du jeune maître qu’il lui aurait fallu, et je veille au grain quand les potes se pointent, pour tenter de calmer ses ardeurs. Je ne crois pas qu’il chercherait à les bouffer, non, m’enfin une bête de trente kilos qui déboule à toute berzingue pour vous sauter dessus dès que vous sortez de la bagnole, ce n’est pas le top pour donner envie aux copains de revenir vous voir !
J’ai même été voir un « éducateur canin ».
Monsieur Chien a bien entendu obtenu d’office ce pour quoi je ramais depuis des semaines et des semaines : une obéissance immédiate du toutou.
Il est très sympa, Monsieur Chien, et utilise une méthode bien particulière pour « redresser » les comportements des clébards : il tente de changer les maîtres, puisque, bien entendu, c’est là que gît le problème.
IL a bien compris que le problème, entre Pile-Poil et moi, c’est l’autorité.
Ce n’est pas que le chien en avait trop, c’est que je n’en avais pas assez… Je reconnais, j’avoue, je meaculpe : non seulement je n’ai pas assez d’autorité, mais encore je n’ai pas ENVIE d’en avoir !!!
Bref on a bricolé là autour, en guettant les signes de l’adoucissement du comportement…
Et voilà qu’il bute les écureuils, ce con !
Pourquoi pas les hirondelles, tant qu’il y est ? Elles sont revenues depuis trois jours (avec trois semaines d’avance), font des loopings, entrent et sortent de la grange à toute vitesse, bref, nous enchantent presqu’ autant que les petits écureuils roux qui hantent toutes les haies, et qu’en ce moment on peut observer à loisir, vu que les feuilles sont encore toutes petites.
Vu que Pile-Poil est un sacré voltigeur (c’est vrai, c’est un athlète du saut, je n’ai jamais vu un chien sauter aussi haut, avec si peu d’appui, si soudainement aussi…), il pourrait sans doute les choper avec un peu de chance….
Assassin, va !!!
On va donc dire que l’inné = 1, et que l’acquis = 0.
Au moins pour aujourd’hui.
…samedi 11 avril 2020 à 11 h 17 min.
…
…les appareil-photo » Lumix « , sont équipés d’un objectif » Leica « , il y a déjà, plus de dix ans,…tous avec le » zoom » intégré,!…
…
…avec le » Nikon » » Coolpix » » Projector « , vous pouvez projeter vos prises de vues, sur le plafond, et lire des textes,!…etc
…
…là, ou çà coince, c’est la photo avec rendu en relief par imprimante,…
…il y a bien , les rendus d’objets en 3D, mais c’est très long, et la qualité y est encore absente,!…
…
…( applications en médecine ) dents ou divers cartilages à remplacer, etc,…
…
…une forme de bijouterie, avec des matériaux composites,…sans diamants ni pierres précieuses ?!…
…
…l’homme ordinateur, peut-être bientôt,!…
…et adieu nos épidémies et nos perversions,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…
…
faut pas pousser beaucoup lécologochiaçe pour botter en touche sur la génétique..
clopine:est-ce que pile poil a eu une correction et compris que c’était mal, son exploit?
Le soir j’ai un sténopé éphémère dans mon salon
le cul dta voisine ça srait dlart..ha t’as vraiment le profil du tueur en série dédé..heureusement quavec l’afrenchézado dpédro on agit a distance pour désavonner ta pente
Analyse bourdieusienne du royal canin à dame Clopine. la police n’a pu employer les beaucerons, plus vaillants que les bergers allemands, à cause de leurs oreilles rabattues qu’il eût fallu couper en pointe, ce qui dénature le caractère de l’animal. Comme les énarques fils d’ouvrier.
à jéruzalème c’est pour une dent toute la gueule havec renfield ça misdrate et pilpoul avec du plomb
D., vous prenez une boîte à chaussures, un plan film ilford hp5 plus 400 iso et vous essayez, naturellement il vous faut un posemètre — je crois qu’avec un brin d’approximation vous povez employers celui de votre canon. Pour l’approximation vous évaluez le diamètre du trou de votre pinhole à l’ouverture du diaphragme de votre camera.
Newman
Barnett Newman, vue intérieure de l’exposition,
salle avec la série « The Stations of the Cross », 1958-1964
© ARS, NY et DACS, Londres, 2002
http://www.exporevue.com/magazine/fr/newman_sr.html
« UNE écureuil, en plus, qui portait des petits. »
Tu as pratiqué une autopsie sur la victime, Clopine ?
Il ne faudrait pas faire confiance aux contes merveilleux, Clopine : un chien c’est un chien — souvenez-vous, A rose is a rose is a rose is a rose.
JiCé a disparu. Faut-il lancer un avis de recherche ?
Tu as pratiqué une autopsie sur la victime, Clopine ?
baroz s’il était pas pédé ça srait un genre de landru..le monde est bien fait au finiche qu’il dirait dirphiloo
un seul être lui manque et y s’sent comme un chien perdu sans collier lbaroz..
Oubli, D. Le plan film ilford hp5 plus 400 iso, format 8×10 inch.
un chien c’est un chien — souvenez-vous, A rose is a rose is a rose is a rose
..c’est méchamment tirer sur les cheveux rénateau
la rose comme le chien sont largement des créations de l’homme rénateau
@ PA. Merci à votre robot d’avoir remis mon message matinal avec les deux liens. J’ai déduit juste … Il n’avait pas de malveillance, s’est juste comporté comme une baïonnette peu intelligente.
@ Ch. / Je ne dirais pas JJJ, que cette scène est le pivot du roman.
Je n’ai pas dit pivot, Bernard, j’ai dit : noeud avec des guillements. Chez les populaires, un noeud, c’est une queue non circoncise, en général. Or pour le juif de Bellow, cet épisode est « nodal », car il annonce presque explicitement que les blacks US, aussi esclavagisés soient-ils, risquent bien un jour, de vouloir prendre leur revanche (ce roman annonce le mvt des Black Panthers à travesr l’ambivalence pacifique de ce type, ce dont veut se persuader Sammler)… Ils sont dotés de la force virile qui pourrait bien triompher, à l’épreuve de la violence future, laissant sur le carreau les juifs assimilés par le commerce, la ruse et l’intellect, tandis que le traumatisme de la Shoah, très inhibiteur dans la culture US, pourrait à l’avenir passer au second plan. C’est l’angoisse de Bellow, que le traumatisme des afro-américains réclamant leur dû à l’Amérique fasse oublier celui de la communauté juive aux States… Et voilà pourquoi il conjure cette angoisse par l’épisode du lynchage du personnage, comme vous l’avez bien vu. L’histoire redevient conventionnelle et des plus logiques, à cette aune.
Or, pour moi, tout le reste n’était qu’enrobage.
Je sais très bien que cette explication n’a aucune orthodoxie, car elle n’a jamais été donnée par la glose prétendue érudite de ce grand roman. Mais moi, je l’ai immédiatement lue avec cette interprétation spontanée qui ne m’a jamais quitté.
Voilà pourquoi je me suis permis de vous le donner, chère Ch., avec mon « style » d’humour bien lourdingue, je ne le sais que trop. Évidemment, rien ne vous oblige à adhérer à cette version…
Je vais vous dire une chose plus générale, histoire de « monter en généralité », comme on dit dans mon milieu : les exégètes officiels des grands romans revisités, s’ils s’appellent Paul Edel, sont là pour nous dire qu’un écrivain écrit toujours un livre dans un style différent, eh ben, on va dire… que cet homme n’est pas très convaincant. Apparemment il n’a jamais lu Proust, ce garçon.
Et cela me suffit à me mesurer sans scrupule à pareille opinion, moi qui ai toujours eu tant d’inhibitions à ce sujet, comme CT…
Bon, je me sens regonflé à block ce matin, mes plumes éployées, presque aussi lumineuses que celles de Boy Georges.
@ CT : Faites moi piquer ce chien ! Ce qu’il a fait est affreux ! Tuer une femme enceinte !… Et vous lui pardonnez cette offense, Marie (Dubois) entre toutes, non mais ça va bien, voui ?
pour le billet:Montaigne en anglais
the essai, in Montaigne’s conception, was the antidote to self-isolation, a recurring conference in the midst of quarantine, perhaps even a kind of textual necromancy—his best friend and intellectual sparring partner, the poet Étienne de La Boétie, had died of plague in 1563.
“Of Experience” is about how to live when life itself comes under attack. Because life as we’ve known it is on hold at the moment, because sickness and confusion are everywhere, and because one of the things books are good for is reminding us that we aren’t alone in history or consciousness, reading “Of Experience” right now feels like an analogue to experience; not a cold study of a distant artist’s late style so much as wisdom lit for wary souls unresigned, as of yet, to world-weariness.
Given the subject matter, “Of Experience” has about it a remarkably buoyant magnitude. Take, for instance, the following passage, as translated by Donald Frame in The Complete Essays of Montaigne:
It takes management to enjoy life. I enjoy it twice as much as others, for the measure of enjoyment depends on the greater or lesser attention that we lend it. Especially at this moment, when I perceive that mine is so brief in time, I try to increase it in weight; I try to arrest the speed of its flight by the speed with which I grasp it, and to compensate for the haste of its ebb by my vigor in using it. The shorter my possession of life, the deeper and fuller I must make it. the essai, in Montaigne’s conception, was the antidote to self-isolation, a recurring conference in the midst of quarantine, perhaps even a kind of textual necromancy—his best friend and intellectual sparring partner, the poet Étienne de La Boétie, had died of plague in 1563.
“Of Experience” is about how to live when life itself comes under attack. Because life as we’ve known it is on hold at the moment, because sickness and confusion are everywhere, and because one of the things books are good for is reminding us that we aren’t alone in history or consciousness, reading “Of Experience” right now feels like an analogue to experience; not a cold study of a distant artist’s late style so much as wisdom lit for wary souls unresigned, as of yet, to world-weariness.
Given the subject matter, “Of Experience” has about it a remarkably buoyant magnitude. Take, for instance, the following passage, as translated by Donald Frame in The Complete Essays of Montaigne:
It takes management to enjoy life. I enjoy it twice as much as others, for the measure of enjoyment depends on the greater or lesser attention that we lend it. Especially at this moment, when I perceive that mine is so brief in time, I try to increase it in weight; I try to arrest the speed of its flight by the speed with which I grasp it, and to compensate for the haste of its ebb by my vigor in using it. The shorter my possession of life, the deeper and fuller I must make it. the essai, in Montaigne’s conception, was the antidote to self-isolation, a recurring conference in the midst of quarantine, perhaps even a kind of textual necromancy—his best friend and intellectual sparring partner, the poet Étienne de La Boétie, had died of plague in 1563.
“Of Experience” is about how to live when life itself comes under attack. Because life as we’ve known it is on hold at the moment, because sickness and confusion are everywhere, and because one of the things books are good for is reminding us that we aren’t alone in history or consciousness, reading “Of Experience” right now feels like an analogue to experience; not a cold study of a distant artist’s late style so much as wisdom lit for wary souls unresigned, as of yet, to world-weariness.
Given the subject matter, “Of Experience” has about it a remarkably buoyant magnitude. Take, for instance, the following passage, as translated by Donald Frame in The Complete Essays of Montaigne:
It takes management to enjoy life. I enjoy it twice as much as others, for the measure of enjoyment depends on the greater or lesser attention that we lend it. Especially at this moment, when I perceive that mine is so brief in time, I try to increase it in weight; I try to arrest the speed of its flight by the speed with which I grasp it, and to compensate for the haste of its ebb by my vigor in using it. The shorter my possession of life, the deeper and fuller I must make it.
https://www.theparisreview.org/blog/2020/04/07/sheltering-in-place-with-montaigne/?utm_source=The+Paris+Review+Newsletter&utm_campaign=4acd0fce99-EMAIL_CAMPAIGN_Weekly_12072018_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_35491ea532-4acd0fce99-56115177&mc_cid=4acd0fce99&mc_eid=b1205f98e4
« un chien c’est un chien »
A mauvais chien mauvais maître ! Tu as raison de meaculper, Clopine. Mais Clopin n’a-t-il pas sa part de responsabilité ?
Mais Clopin n’a-t-il pas sa part de responsabilité ?
c’est lui qui faut amner au véto baroz..ça lui aprendra dvoir l’avnir en rose
Vous avez vu le reportage de Ed, JJJ ? Georges a son temple en Thaïlande ! Faudrait l’amener en pélerinage…
clopine, connaissez vous ça:comportementaliste animalier
https://www.cerfpa.com/formation/correspondance/comportementaliste.htm?gclid=CjwKCAjw1cX0BRBmEiwAy9tKHlb7UOeGKBgrc5ctzXNqu3c17BllEmB-AO2qry6hBFxPolPtMttUixoCmqkQAvD_BwE
« au finiche » s’agissant d’une affaire de chien, ça s’imposait ! Bravo, bouguereau, qui n’en manque pas.
« Georges a son temple en Thaïlande »
Oui, à Bancoq.
Un Black pickpocket montre sa grosse queue non circoncise à un vieux Juif.
Comment faut-il décoder ce geste, qui ravit l’un et perturbe l’autre ?
et alii : les plus vielles peintures rupestres ont plus de 35.000 ans et les plus récentes 3.000 ans, parfois on les trouve dans les mêmes cavernes, les hommes ont vécu là, dans ces cavernes pendant plus de 30.000 ans.
N’ayant pas l’indulgence pascale de JJJ, je trouve que ce blog sans hamlet est nettement plus respirable.
Ce sont largement des créations de l’homme, bouguereau, certes, mais la rose reste épineuse et le chien a conservé ses dents.
Déguerpissons, le furieux vient de se pointer.
« Alexia Neuhoff dit: à
N’ayant pas l’indulgence pascale de JJJ, je trouve que ce blog sans hamlet est nettement plus respirable.
»
vous avez juste oublié d’ajouter à la fin : « parole de nazie »
« un détail, crois bien qu’il faille écrire « rebattre »..pour les oreilles »
Merci beaucoup, je viens de corriger. Quel oeil de lynx.
Quel Georges ?
« un seul être lui manque et y s’sent comme un chien perdu sans collier »
Tu es comme et alii, le boug, dépourvu de toute empathie !
Selon l’état actuel des connaissances, hamlet, les plus anciennes peintures rupestres du monde se trouvent en Espagne et sont l’œuvre des Néandertaliens, qui les ont réalisées il y a au moins 64 000 ans, soit 20 000 ans avant l’Homo sapiens.
D’ailleurs, pour les plus récentes il faut voir comment on date : on tient en compte l’âge de la patine ou pas ?
Faut voir, il y a peut-être des roses édentées…
@AN : cela dit j’attends qu’une demande générale des personnes présentes ici soit adressée à Pierre Assouline pour demander mon éradication de ce blog.
ce serait une première, je ne sais pas encore comment procéder pour y parvenir, mais je vais trouver, je me fixe comme objectif la fin de cette journée pascale.
voilà le deal : ce soir à 19H vous tous présents sur ce blog, vous vous regrouperez pour demander à passou de me virer de ce blog !
hamlet ,vérifiez vos dates parce que c’est passionnant, cette histoire de nos ancêtres et de leurs talents :
Les plus anciennes peintures rupestres seraient l’œuvre de Néandertaliens
De récentes découvertes suggèrent que les Néandertaliens avaient les mêmes capacités cognitives que les Hommes modernes.
https://www.nationalgeographic.fr/histoire/les-plus-anciennes-peintures-rupestres-seraient-loeuvre-de-neandertaliens
renato : je parlais de notre famille : les sapiens.
parfois on trouve ces dates extrêmes sur le même mur, un même mur utilisé pendant 30.000 ans, il faut dater ces peintures pour le savoir, parce qu’on ne trouve même pas de trace de progrès dans ces peintures elles-mêmes.
et alii, je sais bien que c’est passionnant, tout ce que j’ai écrit sur ce blog est passionnant, c’est même pour cette raison qu’AN demande mon éradication.
il ne faut pas prendre en compte les Néandertaliens qui appartiennent à une autre histoire, mais juste les Sapiens.
Clopine, d’anciennes voisines avait rėussi à éduquer leur chien, un labrador noir, de façon à ce qu’il n’aboit pas. apprentissage accepté. Pour l’instinct de prédation je ne sais pas s’ il est possible de le modifier. Ma chatte capture tout ce qui bouge, insectes, petits animaux, rongeurs, lézards.
et si AN m’en veut c’est juste parce que je lui ai montré que celui qu’elle considérait comme un expert était en vérité un fumiste.
c’est ça qui est intéressant : voir votre réaction quand on vous montre la fausseté de vos idées.
à priori elle l’a très mal pris, au point d’exiger mon départ, mais qu’est-ce que j’y peux si elle pense avec ses pieds ? est-ce ma faute ?
Les singes thaïlandais ne se sont pas remis du départ de Ed !
https://www.bing.com/videos/search?q=singes+affamés+thailande+youtube&&view=detail&mid=9BFAFD96AB3AB6105A269BFAFD96AB3AB6105A26&rvsmid=CEA55A4A4C304AF9567CCEA55A4A4C304AF9567C&FORM=VDQVAP
« Ma chatte capture tout ce qui bouge, insectes, petits animaux, rongeurs, lézards. »
je crois bien que c’est le cas de tous les chats ?
étonnant de vouloir que nos animaux domestiques soient domestiqués au point de se conformer à notre morale et non plus de leur nature.
et alli ! comment peut-on l’expliquer ?
Bon je vous donne l’adresse du radar :
RN145
Bellac vers Gueret
St Sornin Leulac 87290
Si vous êtes à 62 km/h vous l’avez dans le coccyx à 10h08 à l’aller. Z’avez rien vu pck la veille au soir, zavez dormi trois heures dans la bagnole sous un duvet en plumes, le froid glacial vous a réveillée, l’hôtel à 20 heures avait des lits, à une heure du mat. était complet.
Et au retour à 17h31 le 13/02 2020 à 17h31 re -bis.
90 euros à l’aller plus 90 euros au retour : 180 euros.
Plus 300 euros essence + autoroute.
Pas grave.
Au retour, j’avais ma maman à côté de moi, qui étais un cheval fougeux retournant vers son écurie.
Et puis, j’arrive déjà pas à me faire rembourser les 25 euros de la visite chez le médecin de famille de ma maman par la curatrice, en demandant deux fois, alors pensez, les frais d’essence…
Au retour je l’ai vu le radar, j’attendais la prune.
À l’aller je n’ai rien vu, je volais vers ma mère qui pleurait, pleurait, pleurait, pleurait m’avait dit cette formidable infirmière du CHU de Poitiers. Quatre fois.
Notez :
RN145
Bellac vers Gueret
St Sornin Leulac 87290
Radars. Un à chaque entrée.
Avis aux suisses :
rose, fortunée pck dans son coeur elle a sa maman.
non, hamlet, il y a des polémiques sévères sur néandertaliens ou pas;prenons en de la graine, au lieu de nous obséder sur l’effet mammouth ou dinosauresde l’EN
le premier chien domestique date de premières peintures rupestres : environ 35.000 ans.
les chiens vivaient dans ces cavernes avec un ou plusieurs chiens, une seule race de chien assez proche du loup.
ce chien domestique est à peu près resté le même.
les HOMMES, femmes, enfants, vivaient dans ces cavernes avec un ou plusieurs chiens, une seule race de chien assez proche du loup.
Depuis 3 à 4 joirs je savais que je devais vous informer mais de quoi, saperlipotte, cela m’est revenu.
Je veux travailler.
Je veux sortir.
J.M. Coetzee, qui consacrait un long article à son livre dans The New York Review of Books,
==
« [ dans son ‘Journal de l’année de la peste’], Defoe décrit les réactions typiques des populations frappées par la peste: une attention superstitieuse aux signes et aux symptômes ; une vulnérabilité aux rumeurs ; la stigmatisation et l’isolation (la mise en quarantaine) des familles et des groupes suspects ; la bouc-émissarisation des pauvres et des exclus; l’extermination de catégories entières d’animaux subitement abhorrés (chiens, chats, cochons) ; la fragmentations des villes en zones saines et infectées, contrôlées de façon agressive; la fuite loin des foyers de contamination, facteur d’ extension de l’épidémie; et la défiance généralisée de tous à l’égard de tous, synonyme de destruction du lien social. »
John Coetzee, On the moral brink, ‘Nemesis’ by Philip Roth, The New York Review of Books, October 28,2010
Vous n’avez nulle part dit que vous parliez des sapiens, hamlet — en tout cas c’est :
1 — une discrimination stupide, car les deux sont des humains et il est fort probable que les deuxièmes aient appris des premiers (c’est à dire que l’invention de la créativité serait à attribuer aux Néandertaliens ;
2 — pour dater les peintures il faudrait tenir en compte l’âge des patines, ce qui pourrait donner aux Néandertaliens des œuvres aujourd’hui attribuées aux sapiens (il y a un étude publié par Nature à ce propos).
Pour ce qui est de la progression et de l’interprétation, pour ne faire qu’un exemple, la fameuse licorne de Lascaux serait une panthère gravide à laquelle la ligne droite interprétée comme corne aurait été ajoutée des années ou de siècles après — observation d’une archéologue française dont le nom me fuit, citée par Leroi-Gourhan.
« De récentes découvertes suggèrent que les Néandertaliens avaient les mêmes capacités cognitives que les Hommes modernes. »
c’est pour cette raison qu’ils n’appartiennent pas à notre temporalité.
probable, compte tenu de ces capacités, que les néandertaliens ne seraient restés vivre 30 mille ans dans des cavernes, probable aussi que leur monde aurait été meilleur que le nôtre.
probable qu’un néandertalien n’aurait pas désigné un individu en lui disant : cet endroit est plus respirable sans toi.
ce désir de rendre les lieux de vie plus respirable en éradiquant une partie de la population (cf camps nazis les divers génocides etc…) est une spécificité du sapiens.
et comme pour les chats le sapiens est une espèce difficile à domestiquer.
renato, le néandertalien appartient à une autre espèce, et donc à une autre temporalité, son historie aurait été différente de celle de notre famille.
L’impact écologique de la Grotescoclopine et de son clebs de merde… Ces pauvres gens, ces pauvres gens…
Comment cette femme sans éducation pourrait-elle éduquer un chien?
Dégoût.
Les chats qui sortent, on leur met une clochette au cou pour limiter les dégâts.
J’étais au Rewe ce matin, ca resemblait un peu à ca, jazzi-
Cette vidéo est effrayante en tout cas.
Christiane, je n’ai pas perçu la scène comme une réelle menacé, plus comme une insolente démonstration de force à l’état brut.
« Alexia Neuhoff dit: à
(…) je trouve que ce blog sans hamlet est nettement plus respirable.
»
ça c’est une réflexion de sapiens.
vouloir s’accaparer un lieu, en exclure les « indésirables », en utilisant pour les désigner ce vocabulaire utilisé par les eugénistes nazis : pou, tique, insecte etc… toute l’histoire des hommes est faite de ce genre de catastrophes.
le niveau de tolérance vis à vis de l’autre diffère en fonctions des individus, celui d’AN semble assez bas, elle aurait été enrôlé assez rapidement, et plus haut chez d’autres.
nous saurons ce soir à 19H quel est votre niveau de tolérance !
« voilà le deal : ce soir à 19H vous tous présents sur ce blog, vous vous regrouperez pour demander à Passou de me virer de ce blog ! » (hamlet)
Un tracking permettra de retrouver les déviants : hamlet fait partie des gloires de ce blog de prestige. Espèce rare. A protéger !
PS :19h15. J’ai une réunion
« Les chats qui sortent, on leur met une clochette au cou pour limiter les dégâts. »
exact ! les lézards et les souris repèrent facilement le son de cette clochette, à condition que cette clochette soit assez grosse.
j’ai mis à mon chat la même clochette que celles que portent les vaches : il ne nous a jamais ramené un lézard.
il ne nous a jamais ramené un lézard.
quelle ingratitude! aucune reconnaissance! notre chatte en ramenait plein, et sans cloche
Homo, hamlet, est un genre de primates de la famille des hominidés, comprenant de nombreuses espèces éteintes et une seule existante sans sous-espèce: Homo sapiens, c’est-à-dire l’homme moderne.
On parle de clochettes au cou des animaux domestiques ? Une rumeur laisse croire qu’un Président occidental aurait au cou une clochette, sa Brigitte, qui nuirait à sa connaissance du monde.
Fake news, maman !
Menace. Je me souviens que nos approches du pianiste dans The greenbook differaient également. Un détail drolatique me revient à chaque fois que j’epluche des légumes, dans ce roman la fille du professeur Sammler épluche les siens avec un grand couteau.
renato, oui le néandertalien appartenait à une de ces espèces disparues, la seule espèce que nous connaissions est celle qui a survécu.
Comment Harvard, Oxford ou le Collège de France ont-ils pu passer à côté d’un mec qui cumule la puissance intellectuelle d’Archimède, Bacon, Einstein, Lavoisier, Becquerel, Ptolémée, Planck, Darwin, Newton, Mauss et Leroi-Gourhan ? Mystèèèèère….
JC, mon frère, si notre jeune président n’était pas gérontophile et n’avait pas épousé une vieille il serait moins enclin à se démener contre le c19, le hasard fait parfois bien les choses.
@AN
et comment les tribunaux de Nuremberg et de la Haye sont passés à côté d’une foldingo qui nous pond des trucs du genre : « je trouve que ce blog sans hamlet est nettement plus respirable »
Et comment AN n’obtenez vous que si peu de suffrages, c’est à n’y rien comprendre
« Tout se passe comme si une partie importante des classes dirigeantes (ce qu’on appelle aujourd’hui de façon trop vague « les élites ») était arrivée à la conclusion qu’il n’y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants ». Bruno Latour
Lire le brillant, lucide et excellent essai de Bruno Latour « Où atterrir ? Comment s’orienter en politique ».
« Lire le brillant, lucide et excellent essai de Bruno Latour »
Ozy, svp vous n’allez pas encore nous gonfler avec vos trucs d’intellectuels !
on a déjà et alii vous n’allez pas encore ajouter votre science !
encore et toujours de la loudeur, vous n’avez donc jamais appris à faire preuve de légèreté ?
@AN
et comment les tribunaux de Nuremberg et de la Haye sont passés à côté d’une foldingo qui nous pond des trucs du genre : « je trouve que ce blog sans hamlet est nettement plus respirable »
Argumentation très faible. Candidat éliminé.
« Tout se passe comme si une partie importante des classes dirigeantes (ce qu’on appelle aujourd’hui de façon trop vague « les élites ») était arrivée à la conclusion qu’il n’y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants »
à moins bien sûr que vous ne disiez ça pour notre amie Alexia ?
auquel cas c’est sacrément bien trouvé ! bravo !
AN : « Candidat éliminé. »
encore et toujours le même vocabulaire : élimination, éradication, purge, génocide… pour rendre mon air plus respirable…
Renato, je croyais qu’on était des « sapiens sapiens ».
Au carré, quoi.
De toute façon, en ce moment, sur la planète, les sapiens, ça pionce.
C’est pas leurs voisins qui s’en plaindraient. Quand le sapiens est bien réveillé, il pue, il fait un potin épouvantable, il fourre son nez partout, il pique tout à tout le monde, il laisse ses ordures derrière lui… Et il se reproduit, mon dieu, mon dieu, tous les jours, il y en a de nouveaux qui naissent, pire que les lapins…
Les voisins ont beau rédiger des pétitions, lui montrer que son intérêt serait peut-être de modérer son appétit, rien n’y fait. Seul le sapiens en uniforme avec un gros bâton et un carnet d’amendes arrive un peu à se faire obéir, dans la cacophonie générale…
Etonnez-vous que les voisins, sournoisement, lui refilent de minuscules bêbêtes pour lui pourrir la vie…
Sapiens sapiens, dénomination aujourd’hui abandonnée, Clopine.
« Alexia Neuhoff dit: à
Comment Harvard, Oxford ou le Collège de France ont-ils pu passer à côté d’un mec qui… »
qu’est-ce que vous en savez ?
@JC : tu trouves pas que c’est marrant ces gens qui parlent sans savoir les métiers que nous avons exercés.
si contrairement à certains, je n’ai besoin d’aucune reconnaissance de la part des gens présents ici c’est juste parce que j’ai apporté bien plus que la somme de tous, vous incluse !
@ hamlet
Tu sais hamlet, tu peux te reposer un peu. T’es pas obligé de faire le taré tout le temps.
Retourne dans ta fosse à ignares et laisse ta cervelle d’oiseau mort se reposer un peu, elle aussi, elle te remerciera, crois-moi.
En Italie le confinement continue jusqu’au 4 mai, sauf pour les libraires, dont la réouverture est prevue pour le 14 avril, car elle sont reconnues
comme lieux incontournables du tissu culturel du pays.
Hamlet, la neige tombé sans faire de bruit
de plus une importante question fut déposée. Où va le blanc quand elle fond. Que chacun s’ y attèle, vous avez 4 heures.
Jouer à qui pisse plus loin ce n’est vraiment pas élégant, hamlet ; sans comter que vous révélez par ce jeu stupide une faiblesse et un certain manque de confirnce en vous même.
@ l’AMS. Je crois me souvenir que vous vouliez savoir ce que la Mission Droit et Justice avait produit ces derniers temps en matière de recherches. Voilà un lien qui pourra sans doute répondre à vos attentes. Bien à vous. Et Joyeux Noël.
http://www.gip-recherche-justice.fr/wp-content/uploads/2020/04/RAPA-2019-HD.pdf
La Ritalie à ranatoto, juste le temps d’aller faire pisser ses chiens à Colmar Center! 😉
…
« le hasard fait parfois bien les choses. »
Ne nous avais-tu pas dit que le hasard n’existait pas, hamlet ?
B dit: « Christiane, je n’ai pas perçu la scène comme une réelle menace, plus comme une insolente démonstration de force à l’état brut. »
Ben, oui, il me semble que nous sommes d’accord. Relisez ma réponse à JJJ et Phil.
Je ne suis pas du tout dans le sillage de JJJ quant à l’importance qu’il donne à cette scène et à la signification qu’il lui donne.
Enfin, à qui avons-nous à faire ? qui est ce Mr. Sammler ? un intellectuel, de milieu bourgeois, juif mais non pratiquant, rescapé du génocide, borgne suite au coup de crosse qu’il a reçu d’un SS avant, qu’accompagné d’autres malheureux, on lui fasse creuser une fosse commune puis se déshabiller… avant que tous soient mitraillés et tombent les uns sur les autres, morts, sauf lui. Il évoque ce terrible souvenir, les nombreux cadavres qu’il a dû repousser avant de s’échapper nu de cette forêt, en Pologne, où a eu lieu ce massacre.
C’est un revenant qui n’est pas certain d’être encore vivant, déambulant au milieu des habitants de Manhattan.
Le monde est devenu pour lui, une « planète » inconnue. Il s’est déjà senti mort. Il a donné la mort dans sa fuite, tuant un jeune soldat allemand qui implorait sa pitié.
Il sait que l’homme est aussi un tueur. Il sait qu’on peut être « dispensé de pitié ». Il ne sait plus ce que veut dire « être normal ». Il est définitivement brisé.
Après la guerre, il a dû à nouveau fuir et se cacher dans un cimetière pour échapper aux partisans polonais qui faisaient la chasse aux Juifs, protégé par le gardien du cimetière – qui se dévoilera pourtant antisémite.
Après ces deux massacres, il retrouve sa fille dans un camp de réfugiés en Autriche. Âgée de quatorze ans, elle a dû sa survie à la protection d’un couvent (d’où son double prénom Shula/ Slawa). Aidés par un riche neveu américain, ils regagneront tous deux l’Amérique.
Sammler pense beaucoup à l’animalité, aux pulsions quand il pense aux femmes. Certains passages m’ont plus heurtée que cette rencontre avec le grand Black pickpocket. C’est pour lui, une force primitive, un arrogant. Sammler qui ne peut résister à son instinct du mal le poursuit de bus en bus jusqu’à cette intimidation (la scène du hall).
C’est l’ensemble de la misère humaine qui l’incite parfois à rêver d’un ailleurs. Enfin, il faut reconstituer tout cela dans un récit éclaté, un monologue où passé et présent se disputent tour à tour ses pensées.
Être humain devient un choix… dans toute cette folie destructrice et plongé dans ce monde américain où le corps s’étale, s’exhibe. Il ne croit plus au progrès. Sa planète est devenue détestable… sauf quand il regarde les photos de la Terre prises par les astronautes.
Dans les dernières lignes du roman, Sammler, près de son ami mort, prononce ces paroles : « Nous te confions, Seigneur, l’âme d’Elya Gruner qui, avec autant de bonne volonté que possible, du mieux qu’il en était capable, à la limite du tolérable, au bord de la suffocation, et jusqu’au seuil de la mort, s’est efforcé, peut-être puérilement, peut-être avec une certaine servilité, de faire ce qu’on attendait de lui. Au meilleur de lui-même, cet homme était beaucoup plus gentil qu’au tout meilleur de moi-même je ne l’ai été et ne le serai jamais. Il savait qu’il devait honorer, et il a honoré – au sein de la confusion et de la comédie vulgaire de cette vie que nous traversons si vite – les termes de son contrat. Des termes que, dans le plus profond de son cœur, chaque homme connaît. Tout comme je connais les miens. et comme chacun les connaît. Car c’est toute la vérité – que nous connaissons tous, Seigneur, que nous les connaissons, connaissons, connaissons, connaissons. »
Ainsi ce termine ce beau roman.
OZYMANDIAS dit: à
@ hamlet
« Tu sais hamlet, tu peux te reposer un peu. T’es pas obligé de faire le taré tout le temps. »
Faire le taré n’est pas fatiguant pour ceux qui ont douté…. c’est bon de douter !!!
Bon, on a retrouvé JC, diminué et pas au meilleur de sa forme !
@ voilà le deal : ce soir à 19H vous tous présents sur ce blog, vous vous regrouperez pour demander à passou de me virer de ce blog !
Cette invitation est-elle toujours d’actualité ? Quoiqu’il en soit, je serais prêt à voter l’exclusion temporaire, en principe. Couick !NB / J’aime beaucoup AN. Quoique de droite, c’est une femme très intelligente comme beaucoup le sont, icite. Intelligentes, veux-je dire, même à gauche.
Christiane, j’ai lu et relu vos precedents envois. Il est possible de démontrer, montrer sa force sans menacer. Le lien que je donne emploie aussi ce terme. La menace dans ce passage en dehors du symbolisme, serait incongrue.
3J, vous me surprenez. Ainsi vous aimez les emmerdeuses utilisatrice de l’impératif. Il va se produire un schisme. En cette veille de Pâque, nous ne pouvons nous le permettre.
Se hausser du col.
(Pour les rénatophones.)
Renato
Collet monté
Renato
Illustré
https://fr.m.wiktionary.org/wiki/collet_mont%C3%A9#/media/Fichier%3AFrancesco_Hayez_043.jpg
Renato
Illustre, eh, à Enghien les bains et à poils (longs).
Prochaines courses. Haut de forme souhaité.
j’aime bien « Traduit de l’Anglais etatsunien »…
MC
L’éditeur Sellerio et la famille Camilleri ont décidé de faire don de la lecture d’une des histoires de l’écrivain par lui-même afin que ses lecteur puissent retrouver sa voix unique.
Ici :
https://sellerio.it/it/
Christiane
En passant et très parcellaire (entendu dans un Strip tease)
« … sauf quand il regarde les photos de la Terre prises par les astronautes. »
Vous savez quel est le comble pour un astronaute ?
Soulever les jupes de sa femme pour voir la lune.
Nota bene :
Remarquer le pluriel de jupes. Ou bien sa femme est Mormon, ou nous sommes au XVIIIème, ce qui rend dans les deux cas l’astronaute caduque.
renato dit: à
…
Renato
Je ne fais pas de compliments aux parents de cette fillette :
-tirer la langue c’est la moindre des choses à son père qui l’emm..de.
-faire un doigt d’honneur, qqu’un lui a appris. Le même sans doute.
– se réjouir que sa fille fasse cela et éclater de rire, ben c’est le summum.
Nous sommes dans une périodebd’augmentés, IA etc. et JiCé serait diminué. Recale’toi baby…
Jazzi dit: à
« Bon, on a retrouvé JC, diminué et pas au meilleur de sa forme ! »
Certes, et nous en connaissons les raisons : vivre en province entouré de femmes aimantes … c’est l’enfer !
On ne fait pas d’hamlet sans casser des oeufs.
Je ne participerai pas à l’entreprise de la mère Poulard.
Pkoi rose ? Demanda Jazzi.
Pck lorsqu’on ne casse pas les œufs restent les petits zoiseaux 🐣🐦🐤🐧🐣🐥🕊🐣🦅🐣🦢🦉🐣🦩🐣🦜🐣
De femmes collantes sic.
Ne dit on pas un aimant deux aimantes?
L’aimantation :
https://www.futura-sciences.com/sciences/definitions/chimie-kevlar-2883/
Avant les libraires, je voudrai bien les coiffeurs pck il y a péril en la demeure.
3j : « je serais prêt à voter l’exclusion temporaire, en principe. Couick !NB / J’aime beaucoup AN(…) »
c’est une des choses les plus amusantes à observer sur ce blog : les alliances qui vont et viennent en fonction des intérêts.
« Je ne fais pas de compliments aux parents de cette fillette »
C’est pourtant ce que certains ici meritent.
Pour la langue vous préférez peut-être lui ?
Hamlet ne vous laissez pas avoir au jeu de la psychologie. Je me souviens avoir travaillé auprès d’un homme dont un autre dit qu’il était irrespirable. Physiquement il serait le bienvenu pour faire respecter la distanciation. Une horreur. Il portait le nom d’un cirque qui peut être a périclité , c’était il y a fort longtemps.
3j : je vais être un peu petit rappel pour 19h.
vous qui êtes un grand juriste pour pourriez m’aider à créer une coalition autour de votre personne, avec une plaidoirie à la Hugo, pour exiger mon exclusion ?
un discours du genre :
« Je ne suis pas, messieurs, de ceux qui croient qu’on peut supprimer ce type en ce monde ; mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu’on peut exclure, au moins temporairement hamlet !
Remarquez-le bien, messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis exclure ! Les participants à ce blog doivent y songer sans cesse ; car, en pareille matière, tant que le possible n’est pas fait, le devoir n’est pas rempli.
Ce sale type, messieurs, et j’aborde ici le vif de la question, voulez-vous savoir jusqu’où il est capable d’aller ? Voulez-vous savoir où il va, je ne dis pas en Irlande, je ne dis pas au Moyen Âge, je dis en France, je dis ici ! sur ce blog ! et au temps où nous vivons ? Voulez-vous des faits ? »
et là hop vous balancez toutes les conneries que j’ai pu accumuler !
si vous vous y prenez comme il faut, vous pouvez réussir à soulever la foule ! et d’ici 19h vous ferez céder passou qui acceptera vos propositions d’exclusion temporaire sans contre parte partie !
3j, je ne vous ai jamais trop rien demandé, vous pouvez faire ça pour moi ! me faire gagner ce pari ! comportez-vous en bon chrétien et acceptez !
« je vais être un peu petit rappel pour 19h. »
désolé : je vais être un peu court pour 19h
« Avant les libraires, je voudrai bien les coiffeurs »
Moi j’ai réglé le problème, rose, Chedly m’a rasé la boule à zéro !
« une plaidoirie à la Hugo, pour exiger mon exclusion ? »
Oui, mais avec Pablo75 comme avocat de la défense, ça va être dur pour le procureur JJJ, hamlet !
Jazzi : tu penses que pedro va voter contre l’exclusion ?
et toi Jazzi tu votes pour ou contre mon exclusion ?
Il n’y a que toi qui désire ton exclusion, hamlet.
B.,
Juger des intentions du personnage d’une fiction sans avoir lu le livre, uniquement en en lisant une scène et des commentaires de cette scène, ici, me parait un exercice périlleux.
A vous de voir.
ça fait depuis le début du confinement que je vous gonfle ! faites en sorte que je n’aurais pas perdu tout ce temps pour rien !!!
à chaque fois que vous dites un truc je me fouts de votre gueule, il faut y mettre fin !
alors qui est pour mon exclusion
3j : pour
Alexia : pour
pedro : pour
greubou : pour
Mr Court : pour
Edel : pour
D. : pour
Jazzi : pour
Clopine : pour
B: pour
dhh : pour
il ne reste qu’une petite minorité à convaincre, car je vous rappelle que les exclsions décidées par les participants à ce blog doivent l’être à la majorité moins un :
christiane : ?
et alii : ?
renato : ?
allez ! décidez-vous saperlipopette !
et ensuite je vous écrirai la lettre àenvoyer à passou et à 19h l’affaire est réglé et on en parle plus !!!
« Jazzi dit: à
Il n’y a que toi qui désire ton exclusion, hamlet.
»
tu as encore rien compris : moi je ne la désire pas, je veux juste être votre martyre ! votre victime innocente !
je veux être cette décision que vous regretterez jusqu’à la fin de vos jours !
parce que c’est Pâques ! si on était à la Noël je désirerais être plutôt désigné comme le père Noël.
Christiane, je l’ai lu ainsi qu’Herzog , mon attention n’était peut être pas encore au top , je le relirais avec plaisir. Beaucoup de lectures sont pour moi des déchiffrages avant de devenir des objets de compréhension. Sans toute votre culture forcement l’analyse n’est pas du même niveau mais j’ai beaucoup aimé et j’ai témoigné ici de ma sympathie pour ce littérateur. Un emprunt de bibliothèque et cet autre , ce dernier vient du même endroit.
Jazzi :
pas que moi:
« 3j : « je serais prêt à voter l’exclusion temporaire, en principe. Couick !NB / J’aime beaucoup AN(…) » »
Hamlet je vote contre mais nous passons trop de temps ici. Addicts.
Herzog de Bellow ? celui qui dit « ni les russes ni les américains ne peuvent diriger le monde, ils ne sont même pas capables d’organiser une kermesse » ?
« B dit: à
Hamlet je vote contre mais nous passons trop de temps ici. Addicts.
»
si ça vous arrange je peux organiser votre exclusion ça vous permettra de faire autre chose.
Les mots « Pâque » ou « Pâques » viennent du latin pascha emprunté au grec πάσχα, lui-même, par l’intermédiaire de l’araméen pasḥa, issu de l’hébreu biblique pesaḥ dérivé du verbe pasaḣ qui signifie « passer au-dessus »
https://www.israelvalley.com/2020/04/paque-juive-et-paques-chretienne/
Herzog de Bellow ? celui qui dit « mais que peuvent faire les humanistes et les penseurs sinon s’efforcer de trouver les termes appropriés? Prends mon cas, par exemple. J’ai écrit pêle-mêle des lettres partout. Encore des mots. Je cherche à saisir la réalité par le langage. Peut-être que j’aimerais changer tout en langage, contraindre (mes proches) à avoir une Conscience. Voilà un terme pour toi. Je m’évertue sans doute à maintenir toutes les tensions sans lesquelles les humains ne peuvent plus être appelés des humains. S’ils ne souffrent pas, ils m’échappent. Et j’ai inondé le monde de lettres afin d’empêcher leur fuite. Je les veux sous leur forme humaine, si bien que je crée tout un environnement dans lequel je les enferme. Je mets tout mon cœur dans ces constructions. Mais ce ne sont que des constructions. »
Herzog de Bellow ? celui qui dit « Faire le pitre (…), personne n’en avait donc envie. Je le rangeai dans la catégorie Juif d’Europe centrale. Il vit sans doute en moi un Juif américain instable et immature, humainement ignorant et d’une gentillesse sans discernement : dans l’histoire de la civilisation, ce type d’homme était nouveau et peut-être pas aussi mauvais qu’il n’y paraissait au premier abord. »
Herzog de Bellow ? celui qui dit :
« Dieu serait parfaitement heureux en France parce qu’il ne serait pas dérangé par les prières, rites, bénédictions et demandes d’interprétation de délicates questions diététiques. Environné d’incroyants, Lui aussi pourrait se détendre le soir venu, comme des milliers de Parisiens dans leur café préféré. Peu de choses sont plus agréables, plus civilisées qu’une terrasse tranquille au crépuscule. »
oupss : la dernière c’est dans Augie March.
Suis zappée maintenant sur ce blog.
Jazzi
Chedly est coiffeur ???
🥺
Parfois JJJ m’étonne et cette fois je me demande : mais les conneries ne les mettent jamais en quarantaine ?
Pour la langue vous préférez peut-être lui ?
Je li connais.
C’est missié Einstein.
E=mc² mon namoure.
Petits petits comme les oeufs de caille ?
Renato
Plus petits et bleus comme les oeufs de les mésanges charbonnières. Avec trois charbons.
H- 3 avant exclusion : sarabande 1011 sur un violoncelle d’un luthier vénitien de 1730 accordé à 415hz en do sol ré sol (Bach – Gödel – Escher) :
Tels que ceux -ci
Patrice Charoulet
1 min ·
SUR LE PROFESSEUR RAOULT
» Le professeur Raoult est un géant, un génie. » (Le professeur Jacques Marescaux,* membre de l’Académie de médecine, sur LCI, le samedi 11 avril 2020, 15h35)
* qui avait cosigné l’excellent appel de Philippe Douste-Blazy
Eh j’ai trouvé le secret du PQ in le monde.fr
2031
commentaires