Prière de ne pas distraire la musique de son secret
Vous est-il jamais arrivé de lire en stéréo ? Ou plus précisément : deux livres en même temps ? Non pas l’un après l’autre et réciproquement mais bien l’un avec l’autre dans la mesure où ils s’éclairent mutuellement ? L’expérience vaut d’être tentée, ne fût-ce que pour voir comment ils entrent en résonance. Dans la main gauche Portrait de l’Artiste en Glenn Gould (212 pages, 22,90 euros, Pierre-Guillaume de Roux), titre joycien dont il faut bien respecter la majuscule dans le A, de l’écrivain Maxence Caron ; dans la main droite, L’Abécédaire d’un pianiste (A bis Z eines Pianisten. Ein Lesebuch für Klavierliebende, traduit de l’allemand par Olivier Mannoni, 150 pages, 15 euros, Christian Bourgois éditeur) du pianiste Alfred Brendel.
J’ai lu le premier en continu, comme il se doit pour ce qui se présente comme un « Tractatus de Musica » tout en m’interrompant pour piocher dans le second chaque fois que nécessaire, comme il sied à un dictionnaire très personnel aussi didactique, aphoristique, fragmentaire, anecdotique que technique, tout en assurant que la littérature est son second métier ( !). Un point commun : on a parfois l’impression d’écouter l’une de ses anciennes émissions de France-Musique qui ressemblait fort à un « Les pianistes parlent aux pianistes ». C’est dire que dans certaines pages, on se sent légèrement exclu si l’on n’est pas l’un des plus grands interprètes de son temps (Brendel) ou un philosophe, spécialiste de Bach. Ce n’est pas qu’un question de lexique mais de présupposé, leurs lecteurs étant manifestement censés être des familiers du clavier ou, à tout le moins, musiciens croyants et pratiquants. Ce n’est pas grave, la passion du piano étant la plus forte.
Passons sur l’exaspération provoquée par le premier quart de l’essai de Maxence Caron, non pour son contenu à l’unisson avec le reste, mais pour sa forme, ses phrases amphigouriques, ses formules boursoufflées, où l’auteur, qui se fait pamphlétaire, s’enivre de ses adjectifs et se grise de ses obscurités. Après, ça s’arrange, le fond restant le même. Le fait est que l’auteur s’identifie tellement à son héros qu’il n’en retient parfois que la radicalité, dans laquelle il se drape. Il semble partager ses inimitiés, ses haines, ses obsessions, ses choix sans la moindre distance. Et pourtant, malgré cela, ou peut-être grâce à cela, le courant passe. Quant à Brendel, il se contente d’être lui-même sans jouer à l’écrivain qu’il croit être. Voyons voir.
Pour Glenn Gould interprété par Maxence Caron, la solitude n’est pas une fin mais le moyen d’atteindre la sagesse par la contemplation. Elle s’acquiert et s’entretient, non comme un muscle mais comme une grâce. S’il avait vécu plus longtemps, qui sait si Gould, poussant sa logique jusqu’au bout, n’aurait pas renoncé également à l’enregistrement pour atteindre la sonorité la plus pure dans l’ascèse de l’isolement. La musique n’aurait plus alors besoin de l’épaisseur de la sonorité pour se manifester à l’esprit. De cette écoute intérieure de la musique enfin vécue comme un absolu tendu vers l’intemporel, il aurait fait un livre, qu’il semble d’ailleurs avoir commencé. Son art poétique eut révélé la sagesse de l’excentrique.
BAROQUEUX Difficile de dire si Maxence Caron tient de Gould le mépris qu’il leur porte. Il les tient pour des bibliothécaires, des archivistes, des antiquaires que la technologie effraie, et gêne dans l’exploitation de leur filon. A ses yeux, le souci d’authenticité au cœur de la question baroqueuse, polémique récurrente, est devenue « le pique-nique préféré des impuissants et autres esclaves ». Bien entendu, Gould ne clavecinise pas son piano car ce serait un contre-sens que de tenter de jouer une fugue de Bach dans un esprit d’époque.
Alfred Brendel : « Dans l’après-guerre, lorsqu’on livra les œuvres pour piano de Bach aux seuls clavecin et clavicorde- et cela dura des décennies- on priva le jeune pianiste de la source principale du jeu polyphonique. Que Bach ne convienne pas au piano à queue moderne est aujourd’hui, pour la plupart d’entre nous, un point de vue dépassé. Sur les instruments actuels, on peut individualiser chacune des voix et donner de la plasticité au déroulement contrapuntique d’une fugue. On peut jouer de manière orchestrale, atmosphérique, colorée et chantée. Vouloir limiter ainsi un compositeur qui fut lui-même l’adaptateur le plus résolu de ses propres œuvres et de celles des autres peut paraître trompeur, même pour certains praticiens de l’historicisme musical »
BEETHOVEN Le compositeur le plus joué par Glenn Gould après Bach.
Alfred Brendel : « Il est des préjugés tenaces contre lesquels nous devons toujours agir : par exemple l’idée d’un Beethoven constamment héroïque et titanesque, ou encore l’image d’un Beethoven dont le style tardif se serait totalement échappé vers l’ésotérique. N’oublions pas qu’à sa manière fort personnelle, il pouvait être gracieux et que son intériorité chaleureuse, sa tendresse, son dolce, le caractérisent tout autant que sa véhémence et son exubérance ».
TECHNIQUE Gould s’en sert sans y être asservi. L’art est tout sauf une technique. Il faut l’absorber pour mieux l’oublier, la technologie permettant de dissocier l’art de la technique.
CONSERVATOIRES Maxence Caron, ancien premier prix de piano à 14 ans, les désigne comme des lieux où règnent « carriérisme et gras esprit d’émulation sèche ». On y croise des « profounettes de Conservaboire ».
TRANSCRIPTION Synonyme : désorchestration.
Alfred Brendel : « Je ne suis ni un adversaire de toutes les adaptations ni un partisan de l’adaptation permanente. Mais je suis contrarié lorsque des interprètes considèrent des chefs d’œuvre comme un simple matériau brut pour leurs digressions personnelles et lorsqu’on manie la musique comme le font certains metteurs en scène contemporains avec des pièces de théâtre (…) Parmi les œuvres musicales importantes, on en trouve sans doute peu, après le baroque, qui ne produisent pas un effet plus convaincant dans leur version originale (…) Quel que soit le plaisir que l’on peut éprouver du fait de transcrire pour orchestre la Wanderer Fantasie de Schubert, pour moi le texte original continue toujours –et surtout dans ce cas-là- à triompher ; et c’est d’autant plus vrai depuis que nous disposons du piano à queue moderne qui permet, sous des mains imaginatives, de se substituer à un orchestre. »
TECHNOLOGIE Le geste de Gould tirant définitivement un trait en 1964 sur le public et sur la scène nécessairement bourgeoise par ses rituels, n’est pas seulement une dénonciation de la marchandisation de l’artiste, de la machinerie des concerts que Caron dénonce comme « un système gladiatoresque », mais la preuve de sa capacité à maîtriser la technologie contre la machine, à absorber la technologie dans l’art.
HUMOUR Chez Gould, il est aussi cruel que détaché, surtout lorsqu’il vitupère contre ses contemporains. Dans un texte de 1974 intitulé « Epître aux Parisiens » (entendez les Pharisiens, les mondains de concert) destiné à préfacer une émission, il fait preuve d’un humour que son portraitiste analyse comme un mélange de non-sens anglais et de cynisme français. Un exploit pour un Canadien.
Alfred Brendel : « L’un des grands mérites de Haydn est d’avoir introduit l’humour dans la musique absolue. Tandis que Mozart donnait libre cours à son humour dans l’opéra, Haydn et Beethoven en disposaient sous forme de transgressions à l’ordre classique. Ensuite, pour les romantiques, l’ordre ne fut plus quelque chose de donné. Ils devaient le découvrir ou le créer en eux-mêmes. La musique du XXème siècle eut en Ligeti ou en Kagel des comiques grotesques de haut niveau. (_…) On concède le soupir à la musique, on ne lui accorde pas le rire. L’ordre ancien de l’esthétique, qui plaçait la tragédie tout en haut et la comédie tout en bas, continue à produire ses effets (…) La musique impose l’ordre face au chaos et à l’absurdité de la vie ; Quand elle intègre le non-sens, par exemple dans la finale de la sonate tardive de Haydn Hob. XVI/50, elle va à l’encontre de cet ordre et le sape. On appelle cela l’humour »
BACH Le patron et le saint-patron pour l’un comme pour l’autre. Mais pour Gould, entendez-le comme synonyme de fugue, donc comme écriture contrapuntique. Hors du contrepoint, point de salut.
FUGUE Plus qu’une forme musicale, un art de vivre grâce au génie de Bach. La fugue marqua la rencontre la raison et la transcendance. Ne jamais oublier la signature SDG sous la dernière fugue du Clavier bien tempéré : « Soli Deo Gloria »
CONTREPOINT Jusque dans le montage des bandes magnétiques, dont Caron loue son grand art, Gould fait du contrepoint. On aura compris qu’il ne fait pas de la spontanéité un gage de perfection dans l’exécution.
SCHUBERT Son œuvre pléthorique, incapable de développer et d’éclore, souffrira d’avoir été étrangère à l’esprit de la fugue. Le contrepoint lui eût permis de ne pas ressasser le XVIIIème siècle et de parvenir plus rapidement à exprimer son génie.
Alfred Brendel : « Schubert est peut-être le phénomène le plus étonnant de l’histoire de la musique. L’abondance de ce qu’il a accompli dans une vie de trente et une années seulement échappe à toute comparaison (…) Qu’un compositeur n’étant pas lui-même un virtuose du piano ait eu un tel instinct pour les possibilités nouvelles, et mêmes futures, du son et de l’écriture pianistiques, voilà qui touche au miracle (…) Le style pianistique de Schubert dément l’opinion selon laquelle il n’a rien ajouté de nouveau à la composition pour piano. Il a une aura pianistique très personnelle – qui ne peut toutefois agir de façon efficace que si la pédale est utilisée à bon escient. La manière qu’a Schubert de noter les œuvres pour piano est souvent prise de manière trop littérale, et donc mal comprise ».
MUSIQUE Nombre de mélomanes lui demeure totalement étrangers faute de savoir y participer et s’y convertir. C’est possible ? On aurait aimer savoir comment. Mais il n’y a pas que les mélomanes :
Alfred Brendel : « Existe-t-il des musiciens qui n’aiment pas la musique ? Je crains que oui. Existe-t-il des musiciens qui n’aiment pas le compositeur ? mais certainement. (…) Existe-t-il des pianistes qui n’aiment pas le piano ? (…) J’aime le piano en tant qu’idée platonicienne- et j’aime les pianos qui s’en rapprochent »
INTERPRETATION Surtout ne jamais perdre de vue qu’elle consiste à mettre à nu sa propre singularité en la confrontant à la singularité de l’œuvre. Mais on ne saura pas ce que Caron désigne, et à qui il pense, lorsqu’il évoque avec élégance « des interprètes porcins »
MOZART Gould, et donc Caron, ont en horreur « le divin Mozart » car sa musique serait déductive. Loin de toute compromission avec la mondanité, la musique doit être une nuit transfigurée mais surtout pas « eine kleine Nachtmusik ». L’auteur a son idée sur la raison de l’inachèvement de la Grande Messe en ut et du Requiem. Rien à voir avec les explications romantiques. Pour la première œuvre, c’est le choc de la découverte de l’œuvre de Bach ; pour la seconde, la fugue. Au passage, il expédie en une formule qui est bien de lui le film de Milos Forman Amadeus sans citer le nom ni le titre : « Le très-mauvais film d’un mouvimaque tchèque égaré dans le sans-odeur des monnaies californiennes ».
Alfred Brendel : « Ses sonates pour piano me paraissent sous estimées, à quelques exceptions près (…) Mozart n’est ni en porcelaine, ni en marbre, ni en sucre. On doit soigneusement éviter le Mozart mignon, le Mozart parfumé, le Mozart extasié, le Mozart Noli me tangere, le Mozart enflé de sensiblerie et le Mozart incessamment poétique. Une clef importante pour jouer Mozart est le chant d’opéra. »
MUGISSEMENTS Ce que d’autres appelleraient les fredonnements de Gould. Caron assure qu’ils relèvent de « la glossolalie au sens mystique ». Juste des paroles inconnues que certains de ses producteurs voulurent gommer de ses disques. Les pauvres n’avaient pas compris. « Ne connaîtront que ceux qui en sont » dit-il à propos, mais on peut imaginer que tout son essai peut se ranger sous cet élitisme désignant les happy few du gouldisme canal historique.
CONCERT In fine, Caron évoque deux grandes figures par rapport à son héros : Menuhin et Rubinstein. Deux bêtes de scène. Tout ce que Gould n’était pas. Tout ce qu’il détestait. Pourtant il admirait le violoniste pour sa capacité à habiter son intériorité, à garder intacte son humanité (générosité, égalité d’humeur, ouverture aux autres) en dépit de tout ce qui fait le gâchis des concerts. Quant à Rubinstein, ce n’est pas seulement qu’il méprise en lui le bourgeois enflé, narcissique, cabotin, salonnard : il le définit avec un certain détachement comme un homme de grands hôtels quand lui se veut un homme de petits motels. Il n’est pas interdit de voir une critique de la société du spectacle derrière le ricanement que provoquent en Gould les représentations que donne Rubinstein, comme on le dirait de pièces de théâtre. Mais avant la rupture de 1964, n’en était-il pas lui-même, et pleinement si l’on songe à ses rituels ?
« Alfred Brendel : Le pianiste monte sur scène, s’assoit, bouge à droite et à gauche sur son tabouret, le règle, ouvre et ferme les yeux, pose à plusieurs reprises les doigts sur le clavier, touche ses genoux, prend un élan et commence. Peut-être vaudrait-il mieux qu’il essaie le tabouret (et le piano) avant le concert, afin de pouvoir commencer à jouer sans trop d’histoires ? »
PUBLIC : ennemi public No 1
CONCENTRATION : Excentrique par excès de concentration, on disait Gould obsédé alors qu’il n’avait au fond que de la suite dans les idées. Il était à la recherche de l’unité invisible de l’œuvre interprétée, laquelle, même s’il s’agissait d’une Fugue de Bach, ne laissait pas prévoir son déroulement et encore moins sa fin quand on en était encore qu’à l’attaquer. La révélation ne vient qu’en cours de route, à force de réorientations, ce qui est impossible en public.
Alfred Brendel : « Outre la richesse sans borne du contrepoint chez Bach, n’oublions pas le Bach audacieux et évoluant librement, celui des fantaisies et des toccatas : dans la fabuleuse Fantaisie en la mineur (Prélude) BWV 922, aucune mesure ne révèle où va mener la suivante ».
GOÛT Gould alias Caron identifie explique l’exécrable niveau des concerts par « l’effarant » mauvais goût du public, sa sensibilité stupide à la virtuosité et son pouvoir dictatorial sur les programmes – sans songer que la faute en revient à la faiblesse démagogique des producteurs et directeurs de salle qui ne cherche qu’à lui complaire en ne lui donnant à écouter que ce qu’il connaît déjà afin qu’il reconnaisse aussitôt. Or le public ne saurait par définition ni lire ni vivre une partition
Alfred Brendel : « Il est assurément inadmissible de maltraiter la dernière sonate de Beethoven, qui clôt la série de ses trente-deux sonates pour piano et mène irrévocablement au silence, en en faisant une pièce de début de programme. Pareil choix montre que l’interprète n’a pas compris la valeur psychologique de l’œuvre ».
Fin de l’expérience. On pourrait la prolonger encore en décryptant plus avant les clins d’œil de Brendel qui ne nomme pas toujours ceux qu’il désigne, surtout lorsqu’il les critique. Ainsi quand il déplore haut et fort les pianistes qui séparent artificiellement les accords finaux de ce qui les précède, n’hésitant pas à défigurer une fin énergique par un diminuendo. Cette expérience de double lecture aura été aussi le théâtre d’un moment unique de la musique pour piano : l’exécution virtuelle par Glenn Gould et Alfred Brendel d’une œuvre pour piano à quatre mains qu’ils n’ont jamais interprétée, et pour cause. Ils ne parlaient pas la même langue, bien que la musique fut leur langue commune. Dans son Abécédaire, Alfred Brendel cite nombre de grands pianistes en exemple, mais pas une seule fois Glenn Gould. Dolce, Brendel l’entendait comme « intime » après l’avoir fait passer par toutes les nuances de l’allemand süss. Gould, qui sait… Mais comme y invite Maxence Caron en une formule cette fois inspirée, gardons-nous de trop faire parler la musique, de la surinterpréter car on risquerait de « la distraire de son secret ».
Au fond, ce petit dialogue indirect entre ces deux grands pianistes trouverait à s’accorder surtout sur un point de désaccord plus fondamental que la fidélité aux instruments anciens ou la fidélité à la partition : leur rapport au silence. Chez Gould, il est l’absolu de la musique, le point de non-retour vers lequel il s’apprêtait à basculer, prêt à renoncer à l’enregistrement après avoir effacé le public, avant de se tourner exclusivement vers la grâce de sa musique intérieure, sans instrument. Chez Brendel, le silence est partout dans la musique, il la tient, comme il devrait soutenir tout concert puisqu’en anglais, l’anagramme de listen est silent, ramenant le silence à l’écoute.
(« Glenn Gould et Alfred Brendel » photos D.r;)
1 082 Réponses pour Prière de ne pas distraire la musique de son secret
MàC est revenu une fois sous un pseudo ferroviaire…et puis plus rien.
Depuis, il joue la bête humaine
Aidons Chachal à sourire dit: 21 octobre 2014 à 14 h 23 min
Non, ce n’est pas moi. Autre chose à foutre.
Chaloux se rêve multiple, il n’est qu’aigri solitaire.
Un tout petit moins que les vieux morveux qui sont pendus (!) ici toute la semaine… Tout de même.
La vrai point commun entre bouguereau et montaigne, c’est leur incapacité à supporter le talent des autres.
Ce qui est embêtant, lorsque l’on se grise des obscurités, c’est que le gris, celui de la palette à Passou, sinon le petit gris, ou encore celui de toul, eh bien il ne reste plus qu’à s’en noircir…
Leur vraie pathologie à l’un comme à l’autre. Tellement développée qu’on aurait peine à croire qu’il ne s’agisse pas du même.
Et tellement en adéquation avec l’écrasement de la personnalité du fils par celle du père.
Le silence comme objet d’art
« Le silence musical chez Cage a sa correspondance matérielle dans l’espace vide de certaines toiles de Rauschenberg, dans les partitions spatiales de Terry Riley ou dans les recherches cinématographiques de Paik. Toutes ces recherches trouvent leur similitude en ce qu’elles opèrent sur un matériau conceptuel qui se veut être lui-même un langage d’art : le concept devient oeuvre d’Art. Il y a ainsi négation de la dualité forme/sens au profit de son assimilation totale en tant qu’oeuvre d’art. Ce concept qui tend à rassembler en une seule entité le signifié et le signifiant a été mis en marche dans les recherches artistiques en correspondances avec les idées philosophiques et linguistiques de Saussure, Lacan, Derrida, Foucault, Barthes, Sollers et Kristeva. L’idée suivante, exprimée par Derrida, rejoint les deux attitudes nommées et montre la concordance des théories qui innervent la littérature et la musique en particulier dans les années soixante. Derrida admet, en effet, que l’écriture ne peut être l’imitation, le double de la parole, mais l’oeuvre elle-même. Il y a dans cette conception de l’écriture, un refus de la référence et de la fonction traditionnelle de la représentation.
La notion cagienne de silence participe de cette nouvelle conception de la création. Elle est en effet le résultat – avant d’être le révélateur – d’une évolution d’un changement de conception dans l’appréciation et la téléologie de la notion de création. Elle participe de deux démarches: la mise en importance des moyens comme suppléance de l’oeuvre et le refus d’une référence quelconque. La première attitude, originale, détermine la finalité de la création contemporaine des années 60-70, mais, surtout, elle la distingue soudain de toutes les manifestations antérieures de l’art: » C’est donc la concentration de l’attention sur l’acte même de peindre ou de sculpter, c’est-à-dire un déplacement de l’intérêt qui écarte toute référence à l’objet ou à la personnalité, pour insister sur autre chose » (4). La notion cagienne du silence participe donc de cette attitude, notamment à travers la lecture de Silence et de son silence, » The outcome of which cannot be foreseen »; ce sera donc une redéfinition de la musique qui veut éliminer toute filiation historique de la musique en reconsidérant totalement la définition classique de la musique afin de la faire renaître sous l’aspect d’une musique « without reference to the sound ».
La deuxième attitude, en corrélation avec la première, concerne la mutation du signifiant et du signifié; il n’y a pas de scission de plus en plus large entre eux, mais la démarche opposée: une osmose totale, le signifiant devenant le signifié. Le travail de John Cage sur le silence se rapproche de cette démarche; en niant le caractère sémiologique habituel du silence en musique, le silence devient argument; il s’institue comme signification intrinsèque (dans le sens que lui donne J.J. Nattiez (5) ) n’ayant d’autre référence que lui-même. Toute dispersion auditive est ainsi abolie; le vide musical, l’absence de son réduisant la composition auditive au vide acoustique fait alors participer &emdash;d’une autre façon &emdash; l’auditeur; il s’adresse uniquement au travail perceptif de ce dernier et ne s’attache plus &emdash; ou beaucoup moins &emdash; à l’émotif ou au sensoriel telles que ces désignations ont été définies dans la musique tonale. Non seulement dans «4′ 33″», le silence devient forme &emdash; prend forme &emdash; mais se conçoit également comme une oeuvre d’art: sans signification autre qu’elle-même, celle de ce silence qui est musique.
Le travail de l’oeuvre repose donc uniquement sur lui-même; il ne s’agit donc plus de considérer ce que l’oeuvre exprime, mais ce qu’elle constitue et ce qui la constitue. Cage, en s’appropriant le silence « comme il est », va encore plus loin, me semble-t-il, lorsqu’il se défait d’un quelconque lien théorique sinon celui de retrouver l’identité la plus fondamentale du silence avec la vie proprement dite: « En musique, nous devrions nous contenter d’ouvrir nos oreilles. Par la musique, la vie prendra de plus en plus de sens » (6).
Le silence comme l’éthique de l’instant
La notion de silence chez Cage participe de cette grande valeur post-moderne qui revalorise le présent &emdash; le Carpe Diem antique &emdash; ce quelque chose qui renvoie au moment même de l’instant tel qu’il est vécu : saisir ce qui se présente. Le silence chez John Cage est ce moment qui marque le présent, l’instant, niant définitivement sa fonction classique de pause musicale, arrêt momentané d’une linéarité.
Le silence de «4′ 33″» s’accommode (en terme d’optique) du silence comme acceptation du présent: il se donne à entendre. La revalorisation du silence dans la pensée de notre compositeur &emdash;parallèlement à la pensée post-moderniste &emdash; institue ainsi un autre rapport compositionnel et donc un autre rapport au monde. Cage ne compose plus au sens habituel du terme, il « laisse être » le monde. En règle générale, les musiques « plient les sons à ce qu’ont voulu les compositeurs. Mais pour que les sons obéissent, encore faut-il qu’il en ait. Ils sont là. Je m’intéresse au fait qu’ils soient là, plutôt qu’à la volonté des compositeurs » (7).
La revalorisation du silence s’accompagne chez Cage de son esthétisation dans le sens d’un « ré-enchantement » (8) du monde. En cela, Cage retrouve les vieilles idées archétypales, celles qui célèbrent l’identité fondamentale entre l’homme, le son et le cosmos. L’écoute du silence renvoie à la reconfirmation de l’appartenance de l’homme, à ce à quoi son être est accordé: l’essence de l’être, la voix des origines. Enfin, le « silence selon John Cage » nous relie à un autre silence: celui de la poésie et de la musique confondu à l’origine en une musique totale, infinie et mutique; cette musique des origines qui, comme l’oeuvre de J. Cage, nous redit sa finalité suprême: le silence. »
On comprend mieux comme ça :
Le vrai point commun entre bouguereau et Montaigne, c’est leur incapacité à supporter le talent des autres.
Leur vraie pathologie à l’un comme à l’autre. Tellement développée qu’on aurait peine à croire qu’il ne s’agisse pas du même.
Et tellement en adéquation avec l’écrasement de la personnalité du fils par celle du père.
John Cage: 4’33 » for piano (1952)
Et aussi, l’incapacité à s’arrêter.
J’ai proposé plusieurs fois à boumou de mettre fin à cet affrontement qui me pompe l’air, il a toujours fait la sourde oreille. Du pur montaignesursonbidet.
« Existe-t-il des pianistes qui n’aiment pas le piano ? » : on peut parfaitement être malade en avion… au manche !
John Cage
In a landscape (1948)
Chaloux et bouguereau c’est un peu radio nostalgie Benny Hill…
John Cage
In a landscape (1948)
Débussy-ravel-Scriabine.
keith Jarett doit bien connaître…
John Cage, c’est franchement n’importe quoi.
Cela m’étonne de vous, Daaphnée, qui avez un brin de sensibilité artisitique.
Marcel Duchamp, Erratum musical…
John Cage, c’est bon pour renato.
Par contre, Debussy, là, on est dans la cour des grands.
4’33 » dit: 21 octobre 2014 à 15 h 58 min
John Cage: 4’33 » for piano (1952)
Du petit lait pour les concours internationaux…
Anton Webern, op. 21 :
Un petit coup de Scarlatti par Michelangeli.
Webern / Gould, op. 27:
D. dit: 21 octobre 2014 à 16 h 06 min
John Cage, c’est franchement n’importe quoi.
Cela m’étonne de vous, Daaphnée
La cloche, D.
La cloche de l’église, ne nous en éloignons jamais.
L’organiste est un fripon.
En voilà un effronté avec sa métaphysique des tubes.
Il n’y a jamais eu de silence entre les battements des cloches.
Celui qui passe devant une église en disant comme c’est calme je n’entends rien, celui-là n’est pas sensible à l’infime et éternelle vibration.
éternelle vibration
Ouais.. euh.. ça fait un peu rente de situation par ici..
Chaloux dit: 21 octobre 2014 à 15 h 59 min
J’ai proposé plusieurs fois à boumou de mettre fin à cet affrontement qui me pompe l’air
bouguereau c’est comme le tabac ou la gnole.
Ah, ça demande un effort, c’est sûr.
Un sevré de bouguereau, c’est un type qui compense et prend du poids.
De toutes les manières, Pour D., spécialiste de l’auto-cuiseur,
il y a ceci,
Water Walk
(pas Jesus marchant sur les eaux, non)
John Cage performing Water Walk
LA NOTION DE SILENCE CHEZ JOHN CAGE dit: 21 octobre 2014 à 15 h 53 min
C’est fou comme la « théorie » vieillit mal.
Les commentaires superfétatoires sont à brûler comme on le fait dans les jardins lorsqu’arrive l’automne.
» La revalorisation du silence s’accompagne chez Cage de son esthétisation dans le sens d’un « ré-enchantement » (8) du monde. En cela, Cage retrouve les vieilles idées archétypales, celles qui célèbrent l’identité fondamentale entre l’homme, le son et le cosmos. L’écoute du silence renvoie à la reconfirmation de l’appartenance de l’homme, à ce à quoi son être est accordé: l’essence de l’être, la voix des origines. Enfin, le « silence selon John Cage » nous relie à un autre silence: celui de la poésie et de la musique confondu à l’origine en une musique totale, infinie et mutique; cette musique des origines qui, comme l’œuvre de J. Cage, nous redit sa finalité suprême: le silence. »
Entre les morceaux musicaux qu’ oncques s’ envoient à la figure comme un concours de pets et cette analyse de » essence de l’ être » musical ( une vesse conceptuelle ) on se berce sur ce blog!
cet affrontement qui me pompe l’air
Débranchez la machine à la source, comme pour le plug!
@ueda
Avons pensé presque en même temps la même chose…
..jpg..pas jpg..pépèpe! moi je dis avoir une identité de larbin c’est mieux que d’être un crétin défacé comme keupu..on corrige la position mon cheuloux! de la tnue sinon t’en prends une..voir deux
LA NOTION DE SILENCE CHEZ JOHN CAGE …
Mieux vaut avoir affaire à dieu qu’à ses saints.
C’est fou comme la « théorie » vieillit mal.
plus pire que le hardrock..et pourtant c’est souvent pas terribe
…
…sauvons le pianiste,!…
…qu’est ce qu’il dit,!… » boules Quies Sire « ,!…
…
…Oui,!…c’est Archibald qui tire le lapin,!…
…c’est plus un bureau,…l’esprit de chasse,!…à Diane de Poitiers,!…
…allez, allez,!…encore du copier/coller,!…of course,!…
…l’Empire au cerveau,!…un nouveau James Bond,!…sans cacauètes le Magnum à jeun,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
bouguereau c’est un peu radio nostalgie Benny Hill…
quand j’ai su qu’il était mort seul comme un geux dvant sa télé ça m’a filé un trés vieux coup..
on peut parfaitement être malade en avion… au manche !
herman jamais!
…on corrige la position mon cheuloux! de la tnue sinon t’en prends une..voir deux
Que ce soit « mieux », c’est à voir. exactement la même chose…Tout aussi minable.
Pour le reste, viens y voir, j’te bafferais bien, j’avoue, (doucement, rapport à tes ennuis cardiaques, mais quand même, comme il faut, en cadence… Gould dans les suites anglaises)…
Ce qui est un peu frustrant avec Water Walk, c’est que malgré tout ce travail à la cuisine, on n’a toujours rien à béqueter.
Il est des préjugés tenaces contre lesquels nous devons toujours agir : par exemple l’idée d’un Beethoven constamment héroïque et titanesque
sarko lui..immer!
comme quoi y’a des mecs qui décoivent
j’te bafferais bien, j’avoue
..jcrois pas mon cheulou..dans lfond t’es prisonnier de ton personnage de larbin..sirus a raison tu doutes..si tu ne doutais pas..t’irais..au flic..hurkurkurkurk..
ha c’est sur que ça fait maigrir mon cheuloux..mais bon j’ai pas de mérite..tu fais tout le boulot..sauf celui davoir du courage évidemment..larbin quoi
Le mauvais amant
Il monte sur scène, s’assoit, bouge à droite et à gauche sur son tabouret, le règle, ouvre et ferme les yeux, pose à plusieurs reprises les doigts sur le clavier, touche ses genoux, prend un élan et commence. Peut-être vaudrait-il mieux qu’il essaie le tabouret avant le concert, afin de pouvoir commencer à jouer sans trop d’histoires ?
(Quand on a commencer un parallélisme, on doit aller jusqu’au bout, fût-ce sous les sifflets)
rien à béqueter.
Faut voir!
Que si en même temps tu reste assis sur 1 oeuf à
3 mn, il est coque
à 5 mn, il est mollet
à 10 mn, il est dur
mort seul comme un geux dvant sa télé ça m’a filé un trés vieux coup..
Il en avait peut-être marre des petits vieux qui réclamaient leur tapette…
c’est que malgré tout ce travail à la cuisine, on n’a toujours rien à béqueter.
avec du hardrock c’est des baked beans avec saucisse..
A « Court », Tant que vous ne changerez pas de pseudonyme, celui-ci étant comme vous le savez déjà pris de longue date par un patronyme du forum de la RDL, j’effacerais systématiquement vos commentaires.
t’as aussi l’option vieille tache au pantalon
Il en avait peut-être marre des petits vieux qui réclamaient leur tapette…
..à l’époque il était en plein boum sur le cable américain..les djeunes làbas ils l’ont découvert presque mort..tzzz
Quel que soit le plaisir que l’on peut éprouver du fait de transcrire pour orchestre la Wanderer Fantasie de Schubert, pour moi le texte original continue toujours –et surtout dans ce cas-là- à triompher ; et c’est d’autant plus vrai depuis que nous disposons du piano à queue moderne qui permet, sous des mains imaginatives, de se substituer à un orchestre. »
Mmouais… Je rêve pour ma part d’une adaptation de la fantaisie op.17 de Schumann pour bandonéon, et d’une autre de l’Art de la fugue pour flûte à bec seule ( Caron devrait apprécier). Une adaptation de la symphonie fantastique pour orgue Hammond me plairait bien aussi. Et l’Ascension, d’Olivier Messiaen, dans une réduction pour l’harmonica, quelle merveille ce serait.
on peut parfaitement être malade en avion… au manche !
t’as vu sergio y’a un pilote dans l’avion..et jamais malade comme herman !évidemment sur la piste il peut y avoir un pompier alcolisé..faut faire gaffe!
bouguereau dit: 21 octobre 2014 à 16 h 55 min
Viens donc, boumou, tu verras si je manque de courage. Ce sera comme ici, je lâcherai pas. T’as pas réfléchi la première fois, essaie de réfléchir -avant- la seconde. D’après mon fils, d’ailleurs, auquel j’ai montré ta photo -piquée chez Alba en d’autres temps-, tu y étais il n’y a pas si longtemps. Fais pas celui qui sait pas. Reviens, on s’expliquera…Arrête de faire ton « courageux » à trois balles…
Quant à tes histoires de « larbinat », c’est la monnaie de singe avec laquelle tu te paies… Il faut bien qu’un pauvre type comme toi se paie d’une manière ou d’une autre… On a l’habitude, Jean-Philippe, on voit même plus.
est ce que quelqu’un sait si ce tartarin connait la domiciliation de ce jean philippe ?
…
…sauvons Benny Hill,!…de la crise à l’€uro,!…
…
…l’esprit comptable » + encore « ,!…dans le bidet,!…d’éléphants,!…
…un crash,!…la musique aux parfums,…le parfum des cramés TOTAL un Must, comme il se doigt à l’étiquette,!…etc,!…
…givrer au frigo avant de tourner » moteur « ,…
…le plein S.V.P.,…les huiles of course,!…
…Assurances touristes,!…grèves papale au Bol-Show,!…un monument sur piste,!…
…Arrête,!…le rire soulage la compagnie aux anges,!…Psst,!…la piste en trompe-l’oeil,!…
…
…la concorde aux huiles-raffinées un Delta-plane plus lourd que l’air, action,!…de trop à l’infini,…les humours aux Pères-LaChaise,!…
…etc,!…
S’il avait vécu plus longtemps, qui sait si Gould, poussant sa logique jusqu’au bout, n’aurait pas renoncé également à l’enregistrement pour atteindre la sonorité la plus pure dans l’ascèse de l’isolement.
C’était dans la logique même de son parcours. Après le concert, Gould aurait été bien inspiré de renoncer à enregistrer : qu’y a-t-il de commun en effet entre l’ersatz de musique, produit de la technologie du studio d’enregistrement, le produit « fini » qu’est la bande magnétique, le disque etc., et la musique vécue par l’interprète au moment où il la fait naître de son instrument ? L’ultime étape, évidemment, aurait été de supprimer le piano. Au fond, la musique est une insulte au silence, seul propice à la méditation. A la réflexion, je trouve très raisonnables nos djihadistes qui la proscrivent absolument.
Le succès du livre de Zemmour montre de manière éclatante l’abîme qui s’est creusé entre les élites françaises (maîtres à ne plus penser, journalistes aux ordres, cadres du parti socialiste, membres du gouvernement, députés de tout bord, institutions européennes). C’est un vrai phénomène de société qui dit que de très nombreux Français en ont plus que marre de la langue de bois socialiste et de la dénégation du réel qui l’accompagne dans tous les domaines. On ne peut plus ne pas en tenir compte. Comme le dit Attali, c’est le signe avant-coureur d’une révolution en France et dans toute l’Europe, y compris à Londres, où la casse des salaires par le capitalisme financier est de plus en plus contesté dans des manifestations.
… pour revenir à Gould :
tu vas tout droit jusqu’à l’arbe
après tu prends la rue à gauche
après quand tu vois le vélo du mimi, tu montes la côte
après quand tu vois « chat méchant » sur la porte, c’est là.
Tu peux sonner, ou attende.
bouguereau dit: 21 octobre 2014 à 17 h 03 min
évidemment sur la piste il peut y avoir un pompier alcolisé..faut faire gaffe!
Houi ben bon nous ici à Nancy on la ferme des demi-journées entières pour ramasser les feuilles mortes !
le vélo du mimi,
ma mère de ma mère ils sont voisins!..et mimi y’a que baroz qui connait son adresse?
dis donc salaud de dracul est ce que cheuloux sait ou jpg crèche ? je tiens a sa tranquilité
Et l’autre connard de Chaloux qui continue de croire que l’autre crétin de bouguereau est Jean-Philippe Goldschmidt ! Non, quelle merde c’est devenu cette Rdl ! Avec ce genre d’abrutis, jamais vu une telle collection d’abrutis !
Le succès du livre de Zemmour montre de manière éclatante
A se demander si notre Wiwi, depuis qu’il s’est fait piquer son vélo, ne cherche pas un filon …
Toto et son Gouldgotha…
Mais le silence, bande d’abrutis, il est dans la musique même ! Ecoutez Mozart au lieu de déblatérer sur John Cage, tas de nullités !
réponds à la question dracul..je suis pour la paix dans les ménages..c’est ton pote non? alors ?!
Pour saluer le romancier Claude Ollier, disparu à 91 ans, immortalisé par la photo iconique du « nouveau roman »
Peut-être ses livres mériteraient-ils une relecture. Quand je l’ai lu, je l’ai trouvé un peu chiant. C’était pour moi, comme Ricardou, un second couteau du nouveau roman (au sens large); c’était très en-dessous, pour moi, de Claude Simon ou de Pinget. Qui lisait encore Ollier ? Pourtant son dernier livre a été publié en 2013.
est ce qu’il sait où il perche ! oui non je te croirais dracul, ça m’importe
Cache ton cul, eh, vieille salope !
T’ en fait pas WG, elle performe ce soir avec McCarthy et je suis de la partie, yeah!
Mais le silence, bande d’abrutis, il est dans la musique même ! (Widegänger)
Et dans la musique du silence
Une fille qui tangue et vient mourir… ( Léo Ferré)
Vous savez quoi, le Boug’, non seulement le mimi a perdu son vélo mais, en plus, il avait dans la sacoche tout le brouillon de son ROMAN.
Si.
TOUT, 3 FEUILLES.
En vrai papier.
Ecrit avec ses petites mains congelées, sous la tente, à la chandelle !
Le drame de sa vie.
Que dis-je , une tragédie !
Bon, il peut toujours en faire une nouvelle, me direz-vous ?
Oui.
Sur le THEME de la perte.
SOUS-THEME, le vélo.
SOUS-SOUS-THEME, sur les jantes on the road again.
Bon, presque un road movie,
en définitive.
Très dans le vent le cheveu fou.
.
Artémise dit: 21 octobre 2014 à 17 h 29 min
Quand je l’ai lu, je l’ai trouvé un peu chiant. C’était pour moi, comme Ricardou, un second couteau du nouveau roman
Bien commode à pomper pour les dissert’, le Ricardou.
Certains en profitaient pour de pas lire les romans.
…
…tient,!…je suis effrayer,!…Si,!…Si,!…
…
…je fait de l’humour anglais du troisième type,!…tenir la chandelle, le chandelier,!…ombres et lumières,!…les reliefs d’histoires,!…
…regarder ou l’on pose les pieds,!…la caverne d’Ali Baba,!…Zemmour ouvre-toi,!…encore un Magnum,!…de Vichy,!…etc,!…de l’Ô perlée,!…
…etc,!…
…
Widergänger dit: 21 octobre 2014 à 17 h 18 min
Comme le dit Attali,
Rien sur la nouvelle ou la petite culotte chez le pandit Attali?
Avant d’avancer des jugements un peu hâtifs sur Maxence Caron, il faudrait un peu vous renseigner, par exemple en allant sur son blog :
l’humour anglais du troisième type
tu te la joues autant lourdingue et glacé que lui en tout cas..
Bien commode à pomper pour les dissert’, le Ricardou.
Certains en profitaient pour de pas lire les romans.
Plus facile à lire que Genette ou Bachelard ..
Il faudra demander à Mimi de poster qqs pages de ces abrégés dont il a le secret ..
…
…si çà me chante,!…de tenir se rôle,!…en ce moment,!…légitimité d’ouvrir aux performances,!…les au(t)res,!…brillants aux charbons,!…au Pôle-Emploi,!…merci,!…franglais,!…du prince au noir,!…Ah,!Oh,!…etc,!…
…
…
« Le très-mauvais film d’un mouvimaque tchèque égaré dans le sans-odeur des monnaies californiennes »
N’a-t-il pas raison de parler ainsi du désastreux film de Forman ? Moi qui aime Mozart, je suis bien d’accord avec lui.
Et dans la musique du silence
Une fille qui tangue et vient mourir…
Comme j’avais un doute sur le second vers, je suis allé vérifier le texte de la chanson dans l’article de Wikipedia, qui donne effectivement : « Une fille qui tangue et vient mourir » . Je me suis demandé ce ue venait faire ici ce « mourir ». J’ai bien l’impression qu’il s’agit là d’une édulcoration pudibonde du vers qu’a réellement écrit Léo Ferré et qui m’est d’ailleurs revenu. Cela donne :
Et dans la musique du silence
Une fille qui tangue et vient mouiller
Ce qui est beaucoup plus cohérent du point de vue de la métaphore et autrement plus suggestif et savoureux dans ce poème dédié à l’amour sensuel. Mais peut-être peut-on mourir de trop mouiller… Ah ! tu me fais mou mou ah! tu me fais mourir… Tou mé tou Tou mé fé dou bien !
bouguereau dit: 21 octobre 2014 à 17 h 24 min
dis donc salaud de dracul est ce que cheuloux sait ou jpg crèche ? je tiens a sa tranquilité
Ps de souci, boumou. a l’église tu prends la rue Victor Hugo et c’est sur la gauche. Il y a même un commissariat dans la rue. Si tu veux le tel, je peux te le donner.
Bonne soirée,
Bien commode à pomper pour les dissert’, le Ricardou.
Certains en profitaient pour de pas lire les romans. (ueda)
C’est vrai que son petit bouquin n’était pas mal fait du tout.
je tiens a sa tranquilité
Voici : il parle à moitié comme jules César.
– Que fait-on, Ô Cesar?
– On lève le camp, Ô imbécile!
C’est des blagues de normaliens tarés, ce que dit ueda des disserts avec Ricardou. C’est n’importe quoi ! Comme si une dissert était une mécanique préfabriquée ! Faut vraiment être con pour penser des trucs pareils !
Les pages de Ricardou, comme celles de tout critique pouvaient être exploitées mais avec intelligence pour les adapter à une pensée qui était celle d’une dissertation qui est chaque fois bien particulière et non pas standard. Mais Ricardou n’est pas à mettre dans n’importe quelles mains de potaches. Ce n’est pas si facile que ça à exploiter quand on est un jeune petit con comme ueda l’était. Déjà qu’il en est pas sorti de sa connerie de potache ! Alors à l’époque qu’est-ce que ça devait être ! Pour produire un crétin pareil, on voit bien que Normal sup est une institution frelatée.
Widergänger dit: 21 octobre 2014 à 17 h 18 min
Le succès du livre de Zemmour
WG fan de négationnismes et de rumeurs, un vrai virage l’extrême-droite.
Les textes de Léo Ferré en soi ne valent pas grand chose. Ils valent par l’harmonie extraordinaire qui les fait fusionner avec la musique et la voix surtout de Léo, chevrotante à merveille. Mais dire que Léo Ferré est un grand poète, c’est n’importe quoi !
C’est comme tous les gros connards d’Artémise qui prétendent que le gouvernement israélien est d’extrême droite alors qu’il a été élu par une majorité d’Israéliens (y compris des Arabes israéliens !) et qu’il n’y a pas en Israël sept millions de fascistes. Les préjugés de tous ces abrutis de Français franchouillards est quelque chose d’assez sidérant. Heureusement il y a de plus en plus de Français qui commencent à se désolidariser de cette pensée unique. 15000/jour, ça va finir par en faire un paquet !
Je suis loin de partager tout ce que dit Zemmour, mais je me réjouir de voir que les Français de base sont moins abrutis que nos élites ou prétendues telles…
…
…profitons de la toute fraîche clientèle adroite-abrutis,!…la Marine j’aime,!…à poils lourdauds, en rang serrés & que çà saute sur ma poêle à frittes,!…
…Allé,!…Patates des volontaires,! l’Amort à faim de nouilles à Vichy collabos aux perles,!…
…Oh,!…mon château du Gay-clin’s aux prunes-glacés,!…aux marrons-chauds, le coulis par couche,!…fin pâtissier,!…la rose au coeur,!…
…etc,!…
En fait, Zemmour flatte l’abrutissement des masses, dont vous faites partie, W !
« les journalistes aux ordres » WGG
C’est particulièrement vrai pour France Inter, radio nationale d’ Etat!
C’est le nom que tu portes, gros con, qui est frelaté ! Isaïe, le vrai, c’était autre chose ! C’était un Zemmour ! Il aurait cassé la baraque, lui !
oh ya pas que France Inter ! Toute la presse est pourrie ! Complètement pourrie !
Zemmour a compris que le populisme à outrance pouvait rapporter gros, du moins pour un moment donné. Cette idéologie de la facilité plaie évidemment aux crétins dans votre genre, surtout quand ils ont la prétention de penser avec leurs pieds !
Lorsque l’on constate les pratiques totalitaires de la finance internationale en matière d’art et l’ acquiescement béat d’une certaine gauche ravie de la crèche,il y a de quoi se faire du souci…
Se réaliser p
! Isaïe, le vrai, c’était autre chose ! C’était un Zemmour !
Mes bien chers frères, mes bien chères soeurs
répétons tous en choeur
Zemmour est notre étoile
et Wouiwoui notre berger
Et oui, ca ne nous rajeunit pas.
De quoi être consterné même !!!.
Se réaliser par l’art qu’il nous dit l’ ATTALI, mais lequel?
Celui qui nous est imposé par les financiers internationaux et les politiques qui y trouvent leur intérêt financier et symbolique?
Encore un ravi du Tree/Plug!
Bergé est le bâton ready pour vous faire battre…lisez le dernier article de Pierre Jourde à propos du prix Nobel et sa critique dans le Monde par Eric Chevillard..
http://pierre-jourde.blogs.nouvelobs.com/
La réaction en matière de culture n’ est pas « seulement » du côté que l’ on croit.
Un autre gogo avec W que je vois bien souscrire au discours populiste de droite de Zemmour, c’est le dénommé D. Statistiquement, il n’est pas étonnant de trouver ici de prochains partisans du FN, qui se seront abreuvés de Zemmour plutôt que du prophète Isaïe !
Pour saluer Claude Ollier, les pages que je lui avais consacré dans « Le goût du cinéma » :
CLAUDE OLLIER
Au commencement était l’image
Né en 1922 à Paris, Claude Ollier appartient à ces premières générations d’écrivains pour lesquels la découverte du cinéma a précédé celle de la littérature. Cet art naissant, encore balbutiant, associé au cirque et au music-hall, et que Georges Duhamel qualifiait de « divertissement d’ilotes », marquera néanmoins, durablement, l’imaginaire de tout futur romancier. Même les plus exigeants. En introduction de son recueil de notes et de critiques de films, écrits entre 1958 et 1968, Claude Ollier, qui fut un temps lié au Nouveau Roman, évoque, dans son style concis et sans fioritures, l’évènement considérable que représentait alors, surtout pour un enfant, le simple fait d’aller au cinéma. Tout un cérémonial, familial et dominical, qui remplissait ces nouveaux temples de spectacle et vidait les églises, inimaginable de nos jours ! Témoignage.
« C’est dans les années 30. On a loué, bien entendu. La salle a six mille places, mais on n’est jamais certain d’entrer en se présentant à la caisse un dimanche après-midi, au dernier moment. Le Palace a été refait, complètement transformé, la façade est une pagode en béton, panneau-affiche énorme, échafaudage, les héros du drame ont vingt mètres de haut. Quatorze heures. Les familles se pressent, tout le quartier est là, escaliers à n’en plus finir, ascenseurs. On a une loge au deuxième balcon, tous les quatre, comme chaque dimanche ou presque, mon père nous fait tirer au sort, quatre papiers dans son chapeau : « cinéma », « promenade à pied », « promenade en voiture », « musée ». Il suffit de mettre quatre papiers « cinéma », ça a marché plusieurs semaines. Il fait très chaud, la nef est immense, c’est une manifestation de masse, on est là pour l’après-midi entière. Première partie, music-hall : danseurs, jongleurs, clowns, chanteurs, prestidigitateurs, animaux savants, trapézistes. Entracte pour le goûter, à n’en plus finir. Puis concert d’orgue électrique : le bonhomme surgit lentement des profondeurs, soudé à son instrument – comme dans un rêve, smoking bleu ciel, pleins feux multicolores, musique douce, l’extase. Vers dix-sept heures, le film. On sortait de là fourbus, pour le dîner. Même chose, en moins luxueux, dans les autres salles du quartier, bondées. Les Misérables en famille, un mois durant, ces fins de semaines qu’on n’appelait pas week-ends. Toute une éducation.
Me demandant récemment pourquoi, au fond, j’avais écrit pendant dix ans sur les films, comme ça, au hasard des sorties en salle et des rétrospectives de la Cinémathèque – de courtes notes au début, puis des articles plus importants, certains très longs en fin de compte –, je me suis aperçu, relisant ces « papiers », que les deux derniers donnaient réponse exacte à la question : l’enfance, et l’écriture – l’écriture de fiction. Liées de toujours étroitement, il faut croire.
Le cinéma fut ainsi donné d’enfance, familiale, et apprentissage des récits chez l’enfant, avant les livres assurément : tous les mélos, les romans populaires, les drames sévères en noir et blanc, croisières jaunes, épopées, l’idylle aux colonies, la guerre… […]
Fascination des films, jeux d’écriture et d’enfance : si ces « critiques » – publiées assez régulièrement, principalement dans la Nouvelle Revue Française, le Mercure de France et les Cahiers du Cinéma – ont un intérêt, c’est de montrer peut-être comment la vision des films a pu se lier très tôt, se rattacher à un travail d’écrivain, par repérage de convergences dans la pratique de la fiction, ou d’interférences dans le traitement des textes et des mythes, voire d’un certain « objet » commun – à une époque qui fut de renouvellement sans doute, et d’ouverture : on le mesure mieux aujourd’hui. »
Souvenirs écran
Editions Gallimard, 1981
Et Claude Ollier, de préciser, en ouverture du livre : « De toutes les évocations personnelles, celles des souvenirs d’enfance ont encore le plus de chances de recueillir indulgence et compréhension, surtout si le propos qui les mobilise entend souligner le rôle primordial de l’élément cinématographique dans la formation culturelle actuelle – rôle quotidiennement vérifiable chez les nouvelles générations, mais que les « maîtres » traditionnels, s’ils n’osent le nier, minimisent toujours en pratique, tant par une méconnaissance vertigineuse du sujet que par leur refus de réviser des hiérarchies désuètes (combien encore, poussés à bout, n’accordent point qu’un film ait jamais atteint, ou puisse jamais atteindre à la beauté, à l’envergure, au rayonnement d’une musique ou d’un écrit : quel lot d’objections offusquées pour qui soutient que Nosferatu est à estimer sur le même plan que Le Château !). »
@ citoyen de base dit:21 octobre 2014 à 18 h 57:
En principe les citoyens de base, sont en matière d’art toujours en retard d’au moins 80 ans. Faites votre travail de base, vivez votre vie, crachez sur les grands collectionneurs et la gauche-éclairée. Tout ce monde là s’en fout.
Une question quand même, c’est quoi un citoyen de base ?
Un comptable, un logisticien ?
N’oublions pas qu’à sa manière fort personnelle, il pouvait être gracieux et que son intériorité chaleureuse, sa tendresse, son dolce, le caractérisent tout autant que sa véhémence et son exubérance ».
C’est joliment dit, et il suffit d’écouter les sonates pour violon et piano, par exemple, pour s’en convaincre. Je ne suis pas sûre que Brendel les ait enregistrées.
mais je me réjouir de voir que les Français de base sont moins abrutis que nos élites ou prétendues telles…
zemmours dieudonnés sorals sont plutôt drolatique je te l’accorde..et trier dans la gamelle c’est ça qui te fait malpropre dracul
Encore un ravi du Tree/Plug!
et c’est le mainstream planétaire..évidemment on peut m’envoyer comme vontraube au musée érotique pour cacher sa misère
Ps de souci, boumou. a l’église tu prends la rue Victor Hugo et c’est sur la gauche
et tu lui fouts la paix ok?..pour la gendarmerie..là je te fais confiance, on ne se refait pas mon larbin
En fait, Zemmour flatte l’abrutissement des masses, dont vous faites partie, W !
faut pas se distinguer des masses si facilement isai..c’est une faiblesse..dracul à faire le bouquetin finit enculé sur la cime
Célébrons notre ami Pierre Jourde :
« l’inévitable Josyane Savigneau, qui accourt dès qu’elle a l’occasion d’écrire une bêtise doublée d’une perfidie ».
Et plein de bonnes choses à Chevillard
Malheureusement, je vais être obligé d’aller le voir, enfin…te voir… pour vuider d’affaire, comme dirait Molière… C’est fatal.
Bon, c’est pas pour ce soir. Prends tes cachets et couche-toi de bonne heure, mon boumou. Et puis t’inquiète pas trop, la punition sera adaptée à ton état. Je ne suis pas Staline.
MORASSE dit: 21 octobre 2014 à 11 h 36 min
Lire et écouter Brendel m’épargnera de perdre mon temps dans Caronron qui peut se mettre le « plug anal » où je pense.
bouguereau dit: 21 octobre 2014 à 11 h 39 min
le « plug anal » où je pense
ha je vois que l’art conceptuel t’es famillier jean marron..si t’avais des myards ten aurais plein autour de ton chalet..
pour vuider d’affaire, comme dirait Molière… C’est fatal
comporte toi mal..et je compte sur dracul pour m’en parler par le menu ici même..
bouguereau dit: 21 octobre 2014 à 19 h 41 min
je vais me comporter très mal, tu peux en être sûr. Et puis, Jean-Philippe, arrête de te dédoubler comme ça. Pense à la suite. Tu vas être d’un ridicule…
…
…qu’est que c’est un citoyen de base,!…un suisse qui tient à ses vaches,!…
…français,!…au suivant,!…un lait de base,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…la traite des francophone,!…
…Arrête,!…Giovanni,!…
…Oh,!…il faut plus que çà pour ignorer Benny Hill,!…Oh,!…le rapport,!…
…
En revanche, n’aie crainte, boumou, je vais très bien te compoter.
Il n’y a que Widergänger pour arriver à faire le grand écart entre Zemmour et Attali sans se déchirer l’entre-jambes. Car vraiment j’ai beau chercher, je ne vois aucun point commun entre eux… en dehors de leur francité, bien sûr.
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(m’sieur Marmande serait, presque, demandé ici ; Sati n’en parlons même pas !
douleurs musicales dans l’ensemble de mes os et mes cervicales ; c’est dire si je suis atteint … écouter, entendre, sentir (un trip, finalement à la « juju » gracq, des chemins, des sentiers, accompagnés, tiens, d’un météologue (et pas d’un métronome, tic-tac, vitesse choisie, etc, chaloux …) –> alors plutôt que vos trucs-à-la-con-sur-de-la-musique-que-vous-n’écoutez-JAMAIS, HEIN, dîtes-nous, l’Olivier, l’a des chances pour le Gong’Ding’Dong ? (perso, ça serait sensass, la biblio municipale, l’achèterait, et j’pourrais le lire – j’n’suis pas pingre, mon budget se rape-pe-ti-tisse (déjà que j’étais à la bourre, je vais avoir ??? de retard)
(je relirai, tomorrow morning, le billet d’assouline, malicieux, griffeux (tel un félin), y cause d’un mec que j’n’connais pas, et que je n’ai nullement envie de connaître, si j’ai pigé skidi-même-pas-envie-d’y-aller-par-moi-même ?
j’n’m’r’lis pas ! envoyer, laisser, au lasso, ho^
« … faire le grand écart… » Oui, c’est un spécialiste du grand écart et des contorsions. A la fois « femme à barbe du blog » et… contorsionniste. En général il se plante (exemple : soutien à Zemmour et son « Pétain a sauvé les juifs français »)et après il s’enferre et se livre à toutes sortes de contorsions pour se justifier.
(skil est beau, au piano, le gould
le bill evans, too
m’ont transcendé ces pianistes (d’autres aussi, hein, fo pas déc ! le preum fut JSB ! le plus grand, magistral, ultime, orgasmique … j »m »calme il est perruqué – Gould, ses « borborygmes » (sic, j’suis vache là ! reprendre le terme du billet assoulinien
j’aurais bien aimé qu’il paraisse deux livres en « stéréo » sur Sviatoslav Richter et Arturo
Benedetti Michelangeli
(skil est beau, au piano, le gould
le bill evans, too
m’ont transcendé ces pianistes (d’autres aussi, hein, fo pas déc ! le preum fut JSB ! le plus grand, magistral, ultime, orgasmique … j »m »calme il est perruqué – Gould, ses « borborygmes » (sic, j’suis vache là ! reprendre le terme du billet assoulinien
– ça merde, le début ci-dessus publié, point n’avait terminé : perturbed, j’étais, VGE sur 28 ‘ Arte (zabeth, carpet ?)
Well ! l’IMMENSE Bill Evans – je signale qu’il connaissait JSB comme sa poche, hein ! –
ya que Marmande qui peut écrire … j’absorbe, yep, cette musique, dans tout ce qu’elle a de mirifique – je stoppe d’écrire, le 28 ‘ m’interpelle gravement
Le vrai Court est déjà taré et insupportable. Mais son clone/clown est un sinistre con.
dubitatif dit: 21 octobre 2014 à 19 h 52 min
_________
Les tarés dans ton genre ne risquent pas de faire le grand écart, y ont pas de couilles ! Pauv’ couilles moles de mes deux !
Un citoyen de base, TKT, c’est un taré dans ton genre !
Les abrutis comme isaïe pensent que 15000 lecteurs de Zemmour par jour, ils sont tous abrutis et d’extrême droite. C’est dire la connerie du pauvre isaïe qui a un pois chiche à la place du cerveau, et son mépris pour les gens ordinaires. Il est pourtant très ordinaire, la pensée unique, la doxa des abrutis qui pourrissent le pays.
Jourde, j’adore ! Depuis qu’il a foutu une raclée aux deux pecnos qui le faisaient chier, c’est mon écrivain d’élection. Et lui, la doxa des trous du cul de jeanbrun, il se la met au cul allègrement ! Un écrivain courageux en plus. C’est suffisamment rare pour être signalé, comme dirait Popaul, qui s’y connaît en courage, lui !
Bravo, Widergänger, vous voilà majoritaires dans le pays ! Bientôt on va désigner votre nouveau roi !
Zemmour comme Attali disent tous les deux à leur manière que la France est bel et bien en train de se suicider. Un point commun maus costaud, abruti !
Majoritaire, zêtes trop optimiste ! Mais ça viendra. Faut l’espérer du moins.
La Rdl est aussi en train de se suicider. À voir le nombre d’abrutis qui augmente comme les rats dans un navire qui prend l’eau. Et on ne peut rien y faire.
Le seul qui saurait y faire pour bouger les manettes dans le bon sens contre le peuple d’abrutis qui est en train de se suicider, c’est Attali. Lui, il serait un bon capitaine pour nous éviter le naufrage du Titanic qui est notre destin sinon.
Il faut bénir D.ieu d’avoir en France un type comme Attali. C’est un type absolument admirable non seulement par son intelligence hors pair mais par sa grande lucidité, son dévouement à son pays, son abnégation même. Il le tient de son père, qui était aussi un homme extraordinaire.
Attali est un type qui dort trois heures par nuit depuis toujours ! C’est ce qui lui permet de faire mille choses en même temps. C’est très rare. C’est vraiment un homme remarquable. Il lui manque encore le courage de se présenter à la présidentielle pour devenir le grand homme qu’il est potentiellement. Un authentique grand homme.
(souvenir’s – Sfar, le greffier de Charlie Hebdo, face à un procès in-ter-na-tio’nal – meme si ça n’était pas dit … le petit supplément de Sfar, de son carnet, est ma-gis-tral ; le bené 16ème du nom appelle au carnage ; le François (sic), jésuite, pour rappel, son synode et les résultats de 2 semaines de masturbations de … euh !!! tôt, ce matin, ai entendu des défenseurs de cette sainte église respectueusetc … je fantasme, grâve ? même pas ! fin des années ’70 ma moitié BCBG,RPR (un peu plus, horloge, tiens) PLOUF ! tonton (et SA moeuf ectoplasmique) a adopté : le binz familiale, quand les 2 filles ont appris, après bien sûr mariage arrangé, bizinezabituel; well ! l’ont appris, déjà mariées, mères … quel branle-bas familial(je lisais déjà des quotidiens et des hebdo qui étaient, euh …
Point n’ai courage de foncer dans ma bibli, souvenir, souvenir, était-ce ici, MàC nous avait filé un livre de Sati – dare-dare, je me le suis procuré, et, il est TORDANT ! demain, inch allah, je vous balance les coordonnées.
tchao ? NON, hugh ! book génial : pieds nus sur la terre sacrée (photos de curtis, svp ; les yeux me brûlent)
Vrai de vrai, tkt est un inculte de première, même et surtout en art où il croit ici nous faire la leçon.
On connait très bien le monde qu’il fréquente et duquel il se croit reconnu. Pauvre type qui n’ arrivera jamais à leur cheville en ce qui concerne le niveau fric. Il restera toujours un vendeur de vins et de tableaux, à sa place, comme un brave chien à sa niche.
Représentant de commerce, courtier que les vrais riches méprisent.
Attali est bien, mais c’est facile pour lui. Il n’a aucun mérite à cela.
Les goûts de TKT en art, c’est vrai, sont des goûts de chiottes. Je lui ai toujours dit. Mais il est bien trop con pour s’en rendre compte. C’est un pauvre snob.
C’est un peu comme Bérénice. Elle n’est pas responsable de sa splendeur, telle une fleur des champs à la fin de l’été, ondulant sous la brise pendant que le soleil décline lentement.
Si, au contraire, beaucoup de mérite. Il a fondé une banque qui investit dans le monde entier de la micro-finance pour permettre aux pauvres du monde entier de ne plus l’être. Il innove, il invente le monde de demain. C’est un des hommes les plus importants de notre pays. Le pays lui devra énormément.
A une époque TKT mettait en ligne des photos de son appartement en Suisse, qui me permettait d’admirer de réels chefs d’œuvres disposés aux murs avec un goût sûre.
Il n’ est même pas question de ses goûts, mais de sa servilité à ce qui plaît aux parvenus et nouveaux riches à qui il va fournir la camelote qu’ils attendent de lui.
L’ idiot utile de l’ art financier international.
Je regrette Michel, mais Attali n’a aucun mérite.
Vous non plus d’ailleurs.
Je vous annonce un secret : Debussy a été Grand Maître de l’ordre du prieuré de Sion.
Et toi, D de merde, t’as un seul mérite, c’est d’incarner la lie de l’humanité.
Il va même vendre du financial art défiscalisé ( non imposé, c’ est officiel depuis quelques jours ) à nos bons riches de gauche.
Il faut qu’ils gardent leur amour propre, comprenez-vous?
Oui, c’est ce qu’on a compris depuis longtemps.
D, vous devriez aller faire les brocantes dans le Cantal avec Pierre Jourde, au-moins vous apprendriez quelque chose.
Chez Gould, il est l’absolu de la musique, le point de non-retour vers lequel il s’apprêtait à basculer, prêt à renoncer à l’enregistrement après avoir effacé le public, avant de se tourner exclusivement vers la grâce de sa musique intérieure, sans instrument.
Assouline dit très bien ici la cohérence du parcours de Gould, dont la dernière étape ne pouvait intéresser que Gould lui-même, au plus secret de son âme. Heureusement pour les mélomanes que la vie ne lui aura pas donné le loisir de franchir cette dernière étape. D’aucuns (j’en suis) considèrent cette démarche comme la négation même de la nature de la pratique musicale et des plaisirs qu’elle dispense. C’est peut-être là une pathologie réservée aux solistes qui ne pratiquent pas assez la musique de chambre, favorable aux échanges et aux compromis. Au fond, Gould était de la race de ces sublimes cinglés dont un Borges aurait pu faire le personnage d’une de ses nouvelles. A moins qu’avec l’aide d’un Bioy Casares, il n’eût choisi de traiter le sujet sur le mode burlesque. Quand on voit la photo du haut, où Gould s’escrime sur son piano comme le ferait un macaque en rut ou un mystique au sommet de l’extase, on se rend bien compte que le tragi-comique était son élément naturel. Les fredons et les couinements dont il agrémentait ses interprétations incitaient aussi bien ses admirateurs inconditionnels aux démonstrations d’enthousiasme les plus échevelées que ses auditeurs plus réservés à des accès de franche rigolade.
Ollier, disparu en même temps que Margerie ? Diable, merci baroz pour le rappel de l’hippodrome de clichy, aujourd’hui immonde hôtel pour touristes massifiés. Urbanistes criminels. Wgg en pleine forme à flanquer des coups de trique à la cantonade. Sapré Attali, bien la tête à refiler du microcrédit. Gould à déconseiller aux asthmatiques.
pré
…
…@,…ah dit,…à,…21 h 25 mn,…
…
…Papa,…un verre de lait,…citoyen de vache de base,!…
…je prend,!…la bourse,!…Monopoly,!…aux dés à six truqués,!…vous jouer seul,!…le point à la côte,!…du Bordeaux petit-lait,!…Ah,!Ah,!…
…
…le bal-da-quin est chaud,!…votre cire,!…c’est pour un cachet Anonyme,!…
…etc,!…Ah,!…Ah,!…
…
Gould s’escrime sur son piano comme le ferait un macaque en rut ou un mystique au sommet de l’extase,
Sûrement qu’il jouit grâce à ses doigts…
( Comme McCarty, en fait.)
Le connard de faux Court continue de nous inonder de ses âneries. Je propose à Passou de l’éliminer. Il est inadmissible que ce sale type ne respecte pas les règles des pseudos. C’est la porte ouverte à n’importe quoi. Il détruit les principes mêmes de la communication ici, ce taré.
dans la fabuleuse Fantaisie en la mineur (Prélude) BWV 922, aucune mesure ne révèle où va mener la suivante ».
J’ai entendu Serkin en concert nous faire ce coup-là, mais avec Beethoven (Variations Diabelli et dernier mouvement de la sonate opus 106). L’auditeur avait le sentiment d’être embarqué par le pianiste dans une aventure absolument imprévisible. Impression d’écouter Beethoven lui-même chercher le prochain accord sans savoir ce q’il serait avant d’avoir posé les doigts sur les touches. C’était plutôt fascinant.
Wgg en pleine forme à flanquer des coups de trique à la cantonade.
Je demande à Passou de mettre bon ordre à la communication sur ce blog ; ce connard s’en prend maintenant à moi ! Faut lui interdire le blog sinon il n’est plus possible de communiquer, passou !
M. Court, le vrai, ne connait pas la Virginie.
Le faux connait la variété.
http://www.youtube.com/watch?v=DIrOvocLSss
Il n’y a que Widergänger pour arriver à faire le grand écart entre Zemmour et Attali sans se déchirer l’entre-jambes.
Widergänger n’a pas d’entre-jambes, c’est un homme-tronc.
C’est le quota de débiles dans toute entreprise, Wgg. Très bon pour échapper au fisc. Passou est un malin, l’aurait dû faire microcrédit.
Dans cette entreprise-ci, le quota a largement été dépassé depuis longtemps… La matière grise se fait rare de plus en plus…
…
…encore,…
…dans la série les brindilles et les poutres,!…
…les besoins d’argent des étudiantes, en escort-girls,!…
…grande-prêtresse,!…synonyme grande – maquerelle,!…au Z Ô Ô Ô,!…
…
…Alors, ce diplôme çà vient,!…pauvre con démocrate,!…à ma raie géante, sur ta tête,!…
…qu’est ce qu’elle dit,!…
…pilonnés aux pilules,!…les saintes ratatouilles,!…quel ordre,!…Ah,!Ah,!…
…
J’aime bien ce Schubert là aussi.
http://www.youtube.com/watch?v=3kuFzjkUcLw
…
…à notre future Mme Sant’Angelo,…grande pute tout azimut d’€urope,!…
…j’ai failli attendre,!…la formation,!…
…
…de Claude en Claude,…en passant par l’African-Corps,!…toute spécialités même sans » Balles da King « ,!…
…châteaux aux pieux,!…logés, nourrie, blanchie, exploitations assurés, par » chevaliers aux dards mous « ,!…
…
…pas mal,!…les lolitas,!…livrés par deux,!…en malles,!…aux 30 cachets, hôtels,!…
…Ah,!Ah,!…un mariage pur se reposer enfin,!…
…des pilules,!…encore du jus de poires,!…
…Arrête, Giovanni,!…tu rêve dans ta niche,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…
Pardon, Vie dans les Bois, mais j’ai quelques motifs de connaitre la Virginie et d’en garder un bon souvenir.
MC
Giovanni, je ne sais à quoi vous carburez, je me souviens avoir lu à bon escient que vous étiez sorti du monde humain.
Comme dit la chanson, un peu d’élégance, nous sommes tout de même en France.
http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2014/10/20/03015-20141020ARTFIG00176-fondation-louis-vuitton-un-vaisseau-de-verre-dedie-a-l-art.php
Je vous présente mes excuses M. Court. Ce que ne fera pas votre usurpateur. La Virginie, quel beau pays, aussi ( je ne connais que par ouïe dire)
« Pouvoir commencer a en finir dis moi », c’est à moi
Vous faites comme si c’était à vous, seulement mon bien devient « Mais il va la fermer sa gueule celui là »
Chaque jour je passe récupérer ce qui m’appartient en vous lisant
vous allez voir l’effet est très net, il s’agit de l’application d’une technique, donc, de récupération qui n’appartient qu’à moi, je m’en fous de gould ou disons modiano. Opération x50 jours. Très particulier… Or celle là qui vous donne envie d’arrêter (relisez c’était mon bien) « Pouvoir commencer a en finir dis moi », hé bien il fallait – sinon c’est silencieux – que je vous montre comment je procédure.
Disons le ça sous tend un univers au sens de Pascal Négre, c’est bien tu as ton univers, sauf que c’est le mien.
Sinon, ça marche, je suis pas débile non plus, pas du même monde (ah ah pascal), c’est facile à comprendre maintenant (en plus je vous aide)(oui c’est un récup 2 ça)
Et une fois que j’aurais tout aspiré, vous me direz, ah ah, ça, je vais pas ouvrir un livre (non)
… et avec ça le ciel vous tombera sur la tête :
http://hyperallergic.com/157143/french-president-pledges-support-of-paul-mccarthys-butt-plug/
Plutôt avoir la main verte et la tête sur les épaules, Renato…
Avez-vous le plug comme tête de Président en image?
( Des rires et des plugs.)
BAROQUEUX ? tout le monde sait que le baroque a été inventé par les baroquins…tout comme le tagine au poulet et raisins secs et la b’stilla au blanc de pigeon et a la canelle…
Je vous recommande Williamsburg, ou les capitaux de Rockfeller ont réussi à recréer une ville Dix-Huitième prévue pour etre la capitale de sa Gracieuse Majesté, et qui ne le fut jamais, ce qui ne l’empeche pas de vivre en costumes Dix-Huitième. Voir les soldats du Roi Georges téléphoner par portables est un souvenir qu’on oublie pas…
Dans les années 1920, lorsque vRockfeller commença à racheter les maisons, il le faisait en toute discrétion, en s’abritant derrière le Pasteur local. On s’étonnait bien un peu de voir le digne écclésiastique accumuler les maisons…Jusqu’à ce que le masque tombe.
Bien à vous.
MCourt
PS
Pour diverses raisons que CP comprendra très bien, je fréquente plus les Etats-Unis que la France!
renato dit: 22 octobre 2014 à 0 h 05 min
… et avec ça le ciel vous tombera sur la tête
Hélas, c’est déjà fait :
http://www.les-crises.fr/wp-content/uploads/2014/10/pmc-149.jpg
…
…@,…la vie dans le bois,…à 23 h 47 mn,…
…
…je carbure au service à la même enseigne,!…
…
…un vaisseau de verre,…ressemble à la gare de Liège,!…
…payez pour çà,!…en plus,!…en faire un musée,!…quelle dérision,!…
…
…l’art fauve de G.Braque,!…c’est un art caché porno,!…avant la lettre,!…Matisse pas loin,!…
…
…la suggestion projetée,!…invisible,!…
…Ah,!Ah,!…par hasard,!…etc,!…
…un dessin,!…
Un chef-d’œuvre de Ligeti mais toute la musique de Ligeti est fabuleuse (je rêve d’écrire un texte comme il écrit fde la musique) :
Dimension of Time and Silence de Penderecki, autre chef-d’œuvre :
https://www.youtube.com/watch?v=5UqQl0CNNCY
Et le Requiem pour Auschwitz de Penderecki, une œuvre immense :
https://www.youtube.com/watch?v=DDn0L6ZXmkk
j’ai lu dans le Daily Telegraph ce matin que les chanteurs de l’opéra La Traviatta a Paris avaient refusé de chanter en présence d’une spectatrice voilée…cette dernière s’est ensuite faite éjecter de l’opéra… ceci ouvre des perspectives assez intéressantes…les acteurs qui décident qui devrait être autorisé a assister à leur performance… les lunatiques qui prennent en main l’asile, en fait…sinon, je rentre du Old Vic ou je viens de voir l’excellente Kristin Scott-Thomas dans Elektra…il y’avait beaucoup d’élèves de 5eme dans la salle et une ou deux femmes enfoulardees…et personne n’a songé a les mettre dehors pour autant…c’est pourquoi je me sens a l’aise a Londres…ainsi que 500,000 français, d’ailleurs…ce qui a fait dire au maire de Londres récemment qu’il était aussi le maire de la sixième ville de France…
C’est là :
https://www.youtube.com/watch?v=w_jvgdAFJlM
Mort à la peste verte islamique !
Oui, et je me suis toujours demandé ce que tous ces Français pouvait bien fabriquer à Londres.
Abdelkaka n’a pas encore enregistré que deslois en France voulaient nous protéger contre la peste verte ! Toujours aussi peud e neurones, le pauvre bougre d’Abdelkaka !
En tous cas je connais des femmes de maris mutés à Londres qui ont vite sombré dans la dépression tellement la ville et le climat leur ont semblé infects.
Ils sont en train de déchanter les londoniens ! Les voilà qui défilent dans les rues pour demander des augmentations de salaires, les saligauds ! Quelle bande de mal élevés quand même !
En définitive on en revient toujours au même principe auquel on ferait bien de se tenir : chacun chez soi et tout irait mieux dans le meilleur des mondes.
La peste verte?
Mais c’est bien sûr, le plug !
…
…abdelkader,!…le foulard,!…c’est comme les gangsters cow-boys,!…tu le met pour faire un coup à la banque de ton choix en group’yre,!…
…
…pas, pour voir du théâtre d’enfants pour les femmes-voilés,!…ou est le vol de suggestions projetées,!…Oh,!…là, là,!…les mario-net’s,!…le voile je vois rouge,!…
…donc,!…c’est déjà fait à l’enclume,!…
…quels Cinéma de burnes,!…vraiment,!…
…pas de quoi rire,!…l’écart d’esprit au compas,!…de quoi les ramener les branches à pointes,!…etc,!…
…
Auschwitz oratorium, c’est son titre exact, du très grand Penderecki, la musique est capable de nous réconcilier avec la Pologne quand elle atteint ces hauteurs spirituelles :
Déjà la gare de Liège n’est pas à jeter. Puis, où voyez-vous une ressemble ce ? Un minimum de sens de l’observation, enfin !
Auschwitz oratorium de Penderecki :
https://www.youtube.com/watch?v=cL-bd1N9KpM
Le seul chef-d’œuvre de Vuiton, c’est le bâtiment que ce connard inculte aux goûts de chiottes en art aura fait naître. Un monument absolument génial et d’une beauté à vous couper le souffle mais abriter des œuvres de connards !
Entendu ce soir par une femme d’un age certain :
« Si je vais au bistrot,
c’est pour voir le ciel »…
C’est un peintre,
ceci explique cela …
… mais pour y abriter des œuvres de merde !
Alba, c’est clair que vous ne comprenez rien a la musique , au roman, a la nouvelle, et a Gould encore moins…mais bon…vous devriez aussi réfléchir un moment: la France perd son âme à s’immiscer ainsi dans des histoires futiles et a y perdre ainsi son énergie…live and let live…sinon vous finirez tous comme des clones, en vélo, béret basque et avec la baguette de pain, a vous chamailler encore a propos de Céline…en l’an 2245…
Autre chef-d’œuvre en hommage au grand Benjamin Britten et à son Requiem avec les poèmes de Wilfried Owen, une œuvre totalement bouleversante :
https://www.youtube.com/watch?v=sp2oxWdRMuk
T’es infantile, mon pauvre Abdelkaka. T’as plus aucune légitimité à dire quoi que ce soit. Tu as scié la branche sur laquelle tu avais assis ton trou du cul ! Ce que tu dis ou rien c’est idem, même tendem…
Oui, parfaitement qu’on va se chamiller à cause de la Shoah et de cette ordure de Céline en l’an 2245 ! Parfaitement ! Et c’est l’honneur de ceux qui le feront, trou du cul emmerdé !
…
…@,…à 1 h 00mn,!…
…un minimum de sens de l’observation,!…Oui,!…
…
…des tonnes d’acier, de béton, de verre,…sans fonctions,!…totalement des travaux inutiles,!…
…
…prendre les services des gens,…pour des sculpture-privé égocentriques gratuites & obsolètes,!…à imposé à forcé au public,!…
…
…dispendieux de tonnes de matériaux sans fonctions sur les têtes des gens en otages,!…totalement ridicule,!…les matériaux pour faire cirque de crise constant,!…
…totalement absurde & con de première,!…etc,!…
…musée ou gare,!…le sens de l’observation,!…
…une autre couche,!…etc,!…
…
Let us sleep now in paradies du très grand Benjamin Britten :
https://www.youtube.com/watch?v=spySN85wLIo
D. dit: 22 octobre 2014 à 0 h 50 min
En tous cas je connais des femmes de maris mutés à Londres qui ont vite sombré dans la dépression tellement la ville et le climat leur ont semblé infects.
Celles de mon quartier n’ont pas l’air trop déprimées…et beaucoup se sont mutées d’elles-mêmes ici…les plus récentes arrivées sont celles d’exilés fiscaux qui investissent dans la propriété a Londres…bref, perso, je m’en tâte si ce n’était qu’ils importent aussi avec eux leur constipation chronique et leurs valeurs de Neuilly a la con… je suis sur que ce sont les mêmes qui pestent, en France, a propos de l’immigration et qui votent Bleu Marine… résultat des courses : mon quartier est devenu beige…
Et toi t’es marron, mon pauvre con !
C’est pas la peine de sortir du Benjamin Britten pour vous donner un air de mélomane…musicalement, intellectuellement, z’etes sourd comme un pot…sinon, ma crédibilité, vous pouvez vous la mettre… perso, j’en ai rien a tâter…vous pensez que j’ai quelque chose a vendre ici ? mais vous etes encore plus con que je ne le pensais…
T’as un pois chiche à la place des neurones, mon pauvre Abdelkaka ! T’es aussi intelligent qu’un gardon qui frétille au bout de ma ligne…
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