
Tchang comme s’il n’y en eût qu’un
Il s’appelait Tchang Tchong-Jen (1907-1998) mais il était universellement connu sous le nom de Tchang comme s’il n’y en eut jamais qu’un. Cette notoriété exceptionnelle, il ne la devait pas seulement à sa présence au sein de la famille de papier constituée par Hergé au fil des 24 albums des aventures de Tintin. Elle s’expliquait aussi par sa singularité : de tous les personnages sortis de son crayon, il était le seul à avoir vraiment existé dans la vraie vie sous le même nom que dans deux albums.
Issu d’une famille d’artistes de Shanghai, père sculpteur sur bois et mère brodeuse sur soie, il achève ses études à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles lorsqu’en 1934, l’abbé Gosset, aumônier de l’association des étudiants chinois de Belgique, lui fit rencontrer Georges Remi dit Hergé, à la demande celui-ci. L’auteur à succès des aventures de Tintin chez les Soviets, au Congo et en Amérique souhaitait expédier son reporter en Chine, pays dont il ignorait tout à l’exception de sa situation de victime de l’impérialisme nippon qui cherche alors à l’écraser sous sa botte en Mandchourie et à Shanghai. De cette rencontre naquit aussitôt une amitié indéfectible entre ces deux hommes de 27 ans ainsi que l’apprentissage de l’écriture chinoise (« le vent et l’os”, le vent de l’inspiration et l’os de la fermeté graphique) et deux albums : Le Lotus bleu en 1936 (aujourd’hui réédité par Moulinsart/Casterman, colorisation de l’original noir et blanc, 23 euros), où Tintin sauvait héroïquement son jeune guide en lui évitant la noyade dans le Yang Tsé Kiang, et Tintin au Tibet en 1958, aux couvertures mythiques dans l’œuvre : un monochrome rouge et un monochrome blanc unis par un même éloge de l’amitié.
A la fin du premier, Tchang, Tintin et Milou pleuraient à l’heure de se séparer alors que les sirènes du paquebot se font entendre. Pendant trente ans, Tchang anima l’école de peinture et de sculpture qu’il avait créé à Shanghai jusqu’à ce qu’en 1966 la Révolution culturelle l’envoie dans un camp se faire rééduquer tandis qu’à Bruxelles Hergé se mettait en quête de retrouver son ami disparu. Grâce à l’intercession du journaliste belge Gérard Valet et de la romancière sino-belge Han Suyin, les retrouvailles des deux amis eurent lieu en 1981 à l’aérogare de Bruxelles-Zaventem. Le moment, très médiatisé, était émouvant mais moins chaleureux que prévu, impression qui se confirma durant son séjour le temps ayant fait son oeuvre et les deux hommes ayant évolué différemment. Si Tchang, devenu directeur de l’académie des Beaux-Arts de Shanghai, avait conservé sa vivacité, Hergé, lui, était déjà affaibli par la maladie ; de plus, la question tibétaine les séparait et le tropisme du dessinateur pour l’art contemporain n’était pas du goût du sculpteur demeuré très classique. En 1985, convaincu par Danièle Mitterrand et Régis Debray de venir s’installer en France, le sculpteur chinois était naturalisé tandis que Jack Lang, ministre de la Culture, lui procurait un atelier au Hameau des artistes en contrebas du parc de Nogent-sur-Marne. Grâce à a commande publique, il réalisa des bustes d’Hergé, Mitterrand, Debussy, Poulenc, Ravel…
En travaillant à ma biographie d’Hergé dans les années 1990, j’avais lié amitié avec ce petit homme des plus attachants. De nos rencontres, j’ai notamment conservé le souvenir du jour où il me demanda de l’emmener au vernissage de l’exposition Giacometti au Musée d’Art Moderne, de son émerveillement et de ses commentaires devant les œuvres. Puis, comme convenu, il vint chez moi, sympathisa avec deux jeunes enfants et sans se faire prier leur dessina méticuleusement la réplique du dragon figurant sur la couverture du Lotus bleu. Apprenant qu’il avait calligraphié les inscriptions chinoises sur les banderoles des manifestants dans la version originale de l’album, elles lui en demandèrent la signification : « Des slogans contre l’impérialisme japonais… ». Puis, dans un sourire malicieux, il ajouta : «… et aussi : « Vive Tchang ! » ». Alors que nous allions attaquer le repas, il demanda discrètement « Vous permettez ? » puis dit à voix basse le bénédicité.
Tchang, à qui un album vient d’être consacré autour de ses tribulations dans l’Europe des années 30 (Tchang Tchong Jen artiste voyageur, Moulinsart/Casterman, 25 euros) est présent (et comment en serait-il autrement ?) dans Hergé et le carnet oublié (430 pages, 21 euros, L’Equinoxe/georg éditeur) de Jacques Langlois, un nouvel essai qui est des rares à renouveler et enrichir le domaine bien encombré de la tintinologie (650 livres en langue française ont été consacrés à ce jour au créateur et à sa créature). Sa richesse et sa densité sont à la mesure de son originalité. Son défi est de raconter l’invention de Tintin et son inventeur à travers son dernier répertoire, inconnu des lecteurs car inédit. Il s’agit d’un simple carnet d’adresses épais de 200 pages, comportant 360 entrées rangées par ordre alphabétique, de marque Exacompta, de modèle Bradel, sous étiquette « Papeterie générale » mais dépourvu de nom de propriétaire et de date précise même si tout concorde pour la fixer à 1978, cinq ans avant la mort d’Hergé. De quoi exhaler déjà un parfum de milieu de l’autre siècle. La précieuse archive a voyagé : des mains de Germaine Kieckens, première épouse du dessinateur, qui se débarrassa peu avant de mourir de tout ce qu’elle avait conservé de son ex, elle passa dans celles de George Remi Jr, le neveu, qui la transmit à Philippe Goddin, ancien secrétaire général de la Fondation Hergé, lequel en fit don à Jacques Langlois, collectionneur tintinophile, exégète et vice-président de l’Association des amis de Hergé (ou d’Hergé, cette grave question y suscita des débats sans fin). On croirait le sparadrap du capitaine Haddock ; ce n’est pourtant pas le genre de choses dont on se débarrasserait !
A l’intérieur, c’est le balagan. La chronologie est sans cesse bousculée, tout se télescope, les noms et les lieux, les rajouts et les ratures, les notes en tous genres et les rendez-vous, mais c’est bourré de pépites. Il est révélateur de l’importance qu’Hergé accorde à un événement. Sur un ton et dans une démarche très factuels, il reprend à nouveaux frais les mystères, énigmes et controverses : la nature des relations avec la famille royale, le statut de sa première femme dans son travail, l’origine du prophète Philippulus dans l’Etoile mystérieuse (un ami de scoutisme nommé Philippe avec qui il venait de se fâcher, celui-ci reprochant en 1941 au dessinateur sa fascination pour « l’ordre nouveau »), l’admiration pour Félicien Marceau, l’amitié qui le liait à des fans tels que Gabriel Matzneff ou Michel Serres, les relations avec son éditeur Casterman, la rivalité avec Bob Morane et l’inimitié tenace de son créateur Henri Vernes pour Hergé etc Un nom dans le calepin suffit à ouvrir les fenêtres de la recherche et à dérouler un chapitre creusant un point de détail. Jacques Langlois figure lui-même dans le carnet : nom, adresse, téléphone. Il est vrai que depuis l’âge de 10 ans, il a entretenu durant une vingtaine d’années une correspondance régulière avec le maitre.
Langlois est du genre méticuleux, précis, sinon maniaque comme le sont souvent les collectionneurs et les archivistes, et plus encore lorsqu’ils sont tintinolâtres et hergéologues. L’esprit d’une secte mais la dimension d’une Internationale. Pas une affirmation qui n’ait sa source dûment consignée. En fait, l’étude de ce fameux « carnet oublié » est une forme originale de « Ma vie avec mon idole » puisque, outre les lettres et les rencontres, l’auteur vit de tous temps avec lui, immergé dans son œuvre comme peu d’autres, courant les ventes aux enchères, guettant les colloques, débusquant les témoins, fouillant les bibliothèques sans cesser d’être animé par une ferveur critique. Mais n’allez pas imaginer un chasseur frénétique car il est d’un calme olympien. Je dirais même plus : tout ce qu’il y a d’olympien. Ce dispositif original avait été inauguré par Brigitte Benkemoun avec Je suis le carnet de Dora Maar (Stock, 2019)
Tchang est partout entre les lignes de ce carnet mais étrangement absent à la lettre « T ». Ni nom, ni adresse, ni téléphone. « Un oubli que peut prêter à bien des interprétations… ». Mais il est bien présent dans le livre de Jacques Langlois sur le calepin, tout un chapitre lui est même consacré. Une autre absence dont l’omniprésence saute aux yeux et à l’esprit à l’issue de la lecture de ces 432 grandes pages lasérisant 200 pages de calepin : le dessin. On ne connait guère de contemporains qui n’en truffent pas leur carnet d’adresses à la diable ici ou là. Tant sont constellés de crobards plus ou moins achevés, vérifiez autour de vous. Tous ou presque sauf un : Hergé.
(« Hergé et Tchang le jour de leurs retrouvailles le 18 mars 1981 à l’aéroport de Zaventem près de Bruxelles » ; « Dessin de Philipe Geluck »; « Hergé et Tchang lorsqu’ils firent connaissance à Bruxelles en 1934 » photo D.R.)
642 Réponses pour Tchang comme s’il n’y en eût qu’un
très bel article !
maintenant que la guerre commerciale est déclarée entre Trump et l’Europe il est grand temps de retisser des liens avec la Chine…
C cui-ci.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Yangts%C3%A9
Bleu.
Le jaune est plus au nord. L’est réellement jaune, vu de mes yeux vu, avril 2007.
Tchang fut à la BD ce que Bruce Lee fut au cinéma : Un merveilleux petit dragon !
je veux dire des liens d’amitiés sino européens.
d’ailleurs c’est une excellente idée d’insister sur l’impérialisme nippon et de passer sous silence les autres impérialismes qui se partageaient Shanghai.
tout mettre sur le dos des japonais ça c’est de la géo stratégie de haut vol…
comme ce journaliste indien qui traitait le premier ministre de petit fils de dealer.
le premier ministre anglais of course
Passou
Je ne suis pas sûre qu’il y ait 47 ans de différence entre les deux photos. Ils portent tous deux le même costume. Sur la première, la délicatesse d’R-G qui se positionne une marche plus bas.
Vu. La première est celle avec la BD derrière. Désolée de ma remarque ci-dessus, obsolète.
Triste les amitiés qui se refroidissent. L’amitié n’est pas un plat qui se mange froid.
Moi je n’ai pas d’amis, Chaloux.
Alors j’avais pensé à vous, éventuellement.
J’ai découvert ce qu’est le balagan, merci Passou !
Récemment, en lisant Pavese, j’ai appris ce qu’était une comporte.
On apprend tous les jours !
Cher D, Julien Gracq a écrit qu’on ne se fait plus d’amis après quarante ans.
Peut-être ne faut-il être Tchang que dans l’imagination des lecteurs d’ Hergé. Après, c’est trop tard…. MC
J’ai 51 ans et mes deux amis intimes – le premier d’enfance et le second de jeunesse – sont morts depuis quelques années.
Si j’étais croyant, j’essaierai peut-être d’avoir Dieu comme ami, mais étant athée, cela m’est tout simplement impossible.
Il me reste d’apprendre à être ami avec moi-même.
C’est déjà un beau programme, Baron perche!
Je signale à qui de droit la sortie d’un livre de Carlo Ginzburg.
Par Carlo Ginzburg, la traduction de : Il filo e le tracce. Vero, falso, finto ?
Le benedicité ? Effet waou garanti.
Après les versaillais, nous voilà chez les rexistes, maintenant…
Moi je serais plutôt amie avec le Yeti, lol. Pas de risque qu’il soit à genoux devant l’abbé.
Les belges ont tenté de colonisé la Chine ?
Deux écrivains français sur les traces de Pavese
https://pauledelblog.fr/2025/02/12/deux-ecrivains-francais-sur-les-traces-de-pavese/
Une fois que l’on a compris que, faire l’amour, c’est faire la guerre, et aussi que, lorsque la femme donne tout, l’homme ne donne rien, alors Pavese prend tout son sens :
devrait laisser tranquille toutes les femmes.
Tranquille.
Toutes.
Deux mondes à part.
Mais il a perdu la tête, peut-être qu’il était un homme démodé, peut-être qu’il était juste timide… et… peut-être prisonnier du « sentiment de possession qui était pré-alexandrin » :
Fini le tome 3.
464 pages à pleurer.
Me reste l’arbre généalogique, les notes de l’auteur, les remerciements.
Je savais que cela allait être là Berezina.
Cela le fut dans les grandes largeurs.
Me suis même demandé, traversant toutes ces catastrophes, si Stefania Auci ne nous aurait pas pondu les deux premiers tomes, pour pouvoir se déchaîner dans le troisième.
Enfin, elle ne le dit pas, alors que c’est prégnant, tout débute par l’infidélité de Ignazio Florio de la troisième génération : maîtrise zéro de ses pulsions. On voit le résultat.
Comme quoi, un homme, s’il est incapable de transmettre, il a raté sa vie : là, dans ce cas précis, il entraîne dans sa déchéance quasiment toute sa famille, sauf ses filles et son frère qui s’en sortent bien/mieux, parce qu’ils ont connu l’amour. ♥️🌞🤗🐎🐚
L’amour ♥️.
Hier soir Raphael Enthoven débitait mécaniquement sur LCI un couplet sur le thème de la « fierté d’être français ». Je ne serais pas surpris qu’il ait demandé à Chat Gpt de lui pondre son édito 5 minutes avant de venir sur le plateau…
« Une fois que l’on a compris que, faire l’amour, c’est faire la guerre, et aussi que, lorsque la femme donne tout, l’homme ne donne rien… »
C’est avouer que vous n’avez rien compris, rose !
« … alors Pavese prend tout son sens :
devrait laisser tranquille toutes les femmes.
Tranquille. »
Vous réduisez Pavese à un propagandiste de l’homosexualité, rose ?
Correction
Les belges ont tenté de coloniser la Chine ?
Non. Il n’y eu des concessions.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Concessions_%C3%A9trang%C3%A8res_de_Tientsin
Il n’y eut
MC dit: 11 février 2025 à 23h12
Peut-être ne faut-il être Tchang que dans l’imagination des lecteurs d’ Hergé. Après, c’est trop tard…. MC
Cette pensée est lumineuse qui replace les rêves dans leur matrice de fiction. Le réel est âpre…
MORTS JEUNES
Nietzsche est mort à 56 ans, Tocqueville à 54 ans, Jules Vallès à 53 ans, Verlaine à 52 ans,
La Bruyère, Molière, Villiers de l’Isle-Adame à 51 ans , Scarron à 50 ans, Voiture et Alphonse Allais à 49 , Marot, Rivarol et Drieu La Rochelle à 48 ans, Camus, Nerval et Musset à 47 ans, Baudelaire et Maurice Donnay à 46 ans, Saint-Exupéry, Julie de Lespinasse, Georges Perec, Jules Renard à
44, Maupassant et Jules Lagneau à 43, Péguy et Rotrou à 41, Erasme et Mathurin Régnier à 40,
Pascal à 39, Du Bellay, Apollinaire à 38, Rimbaud et Roger Nimier à 37, Byron, Brasillach, Frantz
Fanon et Théophile de Viau à 36, Nizan à 35 , la philosophe Simone Weil et Jarry à 34. La Boétie à 33 , Villon, André Chénier et Vauvenargues à 32, Albertine Sarrazin et Tristan Corbière à 30 ,
Maurice de Guérin à 29, Alain-Fournier à 28 , Lautréamont à 26, et Radiguet à 20 ans.
Pour François Villon on ne connait pas la date de sa mort, monsieur Charoulet.
On pourrait avoir la suite, avec les
MORTS VIEUX ?
Je ne savais pas même que Pavese était homosexuel et pas même non plus s’il est juif. Réduire l’universel au minimalisme.
Par contre, qui biche a fond ce matin sous la pluie, c’est moi.
https://www.instagram.com/reel/DF2FFbfu4Xv/?igsh=OHc2eTI1dmM2djFy
Rose, Pavese homosexuel? Non.
Je ne suis pas Tintinophile et, au grand scandale de certains amis, je trouve le dessin ennuyeux et les histoires insipides.
Ah, que je suis heureux!
Et moi donc!
🙂
https://www.youtube.com/watch?v=rjsNNcsUNzE
Paul, il y a un passage de Pavese qui a mis le public de tous genres en émoi : « Un jeune homme qui entre dans la vie en quête systématique de compagnie féminine, non pour faire l’amour mais pour se faire modèle, est un homosexuel qui s’ignore. »
Cependant, selon une de mes profs (Pivano) qui avait été son élève, les références de CP à l’homosexualité n’étaient pas autobiographiques… attendons de nouvelles découvertes…
Paul Edel dit: 12 février 2025 à 9h03
Rose, Pavese homosexuel? Non.
Et ben voilà Jazzi.
Et toc.
S’exprimer, ce n’est pas subir des jugements à l’emporte-pièce.
Je considère renato comme un bon ami, même si on ne se connaît pas. Depuis le temps, comment pourrait-il en être autrement ?
La liste des morts vieux
https://www.instagram.com/reel/C_DJ4N9O60F/?igsh=MXVlZDJrZHI5aXAxYw==
Sauf celle du Festin de Babette.
Avec ma part de gâteux. 🙂
Non Rose, c’est l’homme qui donne tout pour 10 secondes de plaisir alors que la femme a encore des frissons deux heures plus tard…
C’est comme ça.
Je ne dis évidemment pas que c’est toujours comme ça. Mais le contraire est impossible.
« Après environ 30 heures de garde à vue, le suspect a fini par avouer. Owen L. 23 ans, a reconnu dans les locaux de la DCOS 78 (Division de la criminalité organisée), ancienne police judiciaire de Versailles, avoir tué la petite Louise à Longjumeau (Essonne), indique le parquet d’Évry »
Les flics sont quand même heureusement souvent efficaces.
« INFO LE FIGARO – Dans un courrier interne adressé aux adhérents, le ministre de l’Intérieur dit vouloir «donner une incarnation» à la droite pour la faire «gagner». (candidature à la présidence des Républicains en attendant mieux)
Chercher le lien avec l’information ci dessus.
Lors de mon voyage dans des contrées du pacifique et de l’Asie du sud-est, la 5G passait absolument partout à fond, y compris au plus profond des immeubles. A Chaville, je n’ai pas de souci.
Par contre quand je vais dans le centre de Paris, le débit est extrêmement diminué et parfois plus rien ne passe.
On est toujours très fort en France, la preuve.
Les flics sont quand même heureusement souvent efficaces.
Les gendarmes aussi.
Ce n’est pas une raison.
Closer
La femme a encore des frissons deux heures plus tard…
Non. Dix sept ans plus tard, elle a encore eu.
Enfin, maintenant, l’a perdu la tête, l’a décanillé, l’est sous la dalle. Aura plus les frissons.
Irai mettre la rose rouge.
en hypokhagne, mon amie lisait surtout de l’histoire, et moi, de la litérature;un jour au troquet où nous prenions notre café après notre sandwich dans le square, ele me parla de son amour pour un chinois qui vint nous rejoindre l’été en Bretagne faire du bateau; ele était tres chrétienne, et j’ignore si le sanscrit qu’elle comença d’étudier eut raison de son amour alors que mon mariage eut raison de notre amitié; nos rencontres s’espacèrent, puis ce fut la fin; après mon fils naquit;j’aimais toujours les soieries chinoises.MAIS je n’avais encore jamais lu un tintin! mais il n’était pas trop tard
toujours l’ordi:
elle commença littérature
Pour les jugements à l’emporte-pièce vous n’avez pas votre pareil(le), rose !
Paul, sait-on pourquoi Pasolini n’aimait pas Pavese ?
Aujourd’hui, ils sont côte à côte sur les rayons des librairies et des bibliothèques.
Les réunions alphabétiques sont imprévisibles !
come si il n’y en eut qu’un:
Jacques Dutronc « Et moi, et moi, et moi » | Archive INA – YouTube
https://www.google.com/search?q=milions+de+chinois+chanson&sca_esv=807191b88df686a0&sxsrf=AHTn8zqFMTmUvttqPY1H8OeW8eJS9U5EMw%3A1739354441441&ei=SXGsZ7fLGtWbkdUPtIXBQQ&ved=0ahUKEwj3k_uc8L2LAxXVTaQEHbRCMAgQ4dUDCBA&uact=5&oq=milions+de+chinois+chanson&gs_lp=Egxnd3Mtd2l6LXNlcnAiGm1pbGlvbnMgZGUgY2hpbm9pcyBjaGFuc29uMggQABgIGA0YHjIIEAAYCBgNGB4yCBAAGIAEGKIEMggQABiiBBiJBTIIEAAYgAQYogQyBRAAGO8FSKoaUOcHWOcHcAF4AZABAJgBdaABdaoBAzAuMbgBA8gBAPgBAZgCAqACjgHCAgoQABiwAxjWBBhHmAMA4gMFEgExIECIBgGQBgiSBwMxLjGgB4cF&sclient=gws-wiz-serp
Le meurtrier de la petite Louise ne semble pas être issu de l’immigration.
Son patronyme est à consonnance parfaitement française.
Quelle bande dessinée vous plaît, renato, s’il en est une ?
« j’aimais toujours les soieries chinoises »
Vous qui avez fait hypokhâgne et lisiez de la littérature, parlez-nous donc de votre perversion pour la soie !
« Le Cri de la soie est un drame français, réalisé par Yvon Marciano et sorti le 28 août 1996.
Premier long métrage du réalisateur, le film s’inspire de la vie et de l’œuvre de Gaëtan Gatian de Clérambault1, psychiatre, ethnographe et photographe du début du xxe siècle, et aborde le sujet du fétichisme considéré comme une perversion dans la société française de la fin de la Belle Époque. »
« Quelle bande dessinée vous plaît, renato, s’il en est une ? »
Dans les librairies les rayons parlent de moins en moins de « bandes dessinées » mais de « romans graphiques », D. !
Cela se veut-il plus chic ?
… devenu directeur de l’académie des Beaux-Arts de Shanghai, […] l’art contemporain n’était pas du goût du sculpteur demeuré très classique…
Voyons un peu :
https://www.mutualart.com/Artwork/Still-Life/64F6A3DB086F4F5D
No Other Land
« Présenté à Berlin, réalisé par un collectif israélo-palestinien et désormais nominé aux Oscars, le documentaire raconte l’histoire des habitants arabes d’un village de Cisjordanie constamment détruit par les bulldozers puis reconstruit par les familles qui y vivent. »
https://www.vanityfair.it/article/daria-bignardi-no-other-land-donald-trump
(il faudra le traduire)
Quand on évoque la soie chinoise, l’image d’un tissu magnifique, brillant, et aux couleurs incroyables vient immédiatement à l’esprit. D’origine chinoise, la découverte de la soie est liée à une très jolie légende : en l’an 2700 avant JC, alors qu’une princesse chinoise buvait son thé à l’ombre d’un mûrier blanc, un cocon de ver à soie tomba dans son breuvage. En l’ôtant de sa tasse, le fil se mit à se dérouler sous ses doigts. Elle eut alors l’idée de le tisser : la soie était née.
https://www.chine-sur-mesure.com/conseils-voyage/culture/soie-chinoise
C’est bien beau tout ça, mais Passou ne nous dit pas qui de Tchang ou de Hergé enc… l’autre ?!
Une bande dessinée peut être un roman graphique et le contraire non.
Effectivement dans une bande dessinée on s’attend à trouver pricipalement des bandes contenant des vignettes.
Dans plusieurs Tintin, un dessin sans bulle couvre une page entière, crois-je me souvenir.
caligraphie chinoise sur soie:
Echarpe 140 Calligraphie Chinoise
https://shop.brochiersoieries.com/produit/calligraphie-chinoise/
Le patronyme du meurtrier est tellement répandu qu’en ce moment le visage de plusieurs Owen L., parfaitement innocents quant à eux, s’affichent à l’issue d’une recherche sur Internet…
Rude semaine cinématographique, à commencer par celui-là, « The Brutalist », 12 février 2025 | 3h 34min !
拉屎
Lā shǐ
calligraphie
à l’issue ou à l’insu, D. ?
Jazzi, Pasolini vs Pavese
Pavese, selon Pasolini, était un écrivain italien moyen. Dans une interview avec Franco Fortini, il parle de « moyen » et même de « médiocre ». De l’engagement politique de Pavese, il dit qu’il était « correct », qu’en tant qu’écrivain il ne soulève pas de problèmes majeurs, ni littéraires ni politiques. Il reconnaît cependant sa rigueur et sa moralité littéraire. En ce qui concerne la popularité, elle serait particulièrement pertinente en province, parmi l’élite culturelle des provinces italiennes.
A l’issue, évidemment. (au sortir de…)
Tchang commeTchang Kaï-chek, ou Chiang Kaï-shek, ou Chang Kaï-chek ou Jiang Jieshi (chinois traditionnel : 蔣介石 ; chinois simplifié
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tchang_Ka%C3%AF-chek:
J’ai beaucoup aimé « La Lune et les Feux », Paul.
Livre étrange, ni récit ni roman, que Pavese considérait comme sa petite « Divine Comédie ».
J’avoue ne pas bien avoir compris en quoi ?
Sur tes recommandations, je vaispoursuivre avec les « Dialogues avec Leuco »…
« En ce qui concerne la popularité, elle serait particulièrement pertinente en province, parmi l’élite culturelle des provinces italiennes. »
Tout faux, elle est internationale !
La preuve, le Quarto Gallimard consacré à l’oeuvre de Pavese, que j’ai emprunté à lamédiahèque de mon quartier : un pavé quasi impossible à prendre en main !
C’est l’opinion de Pasolini en 1972, Jazzi.
Donc Tchang parlait Français.
Où l’avait-il appris ?
Pavese, selon Pasolini, était un écrivain italien moyen.
‘
C’est le moins que l’on puisse dire. J’aurais plutôt dit médiocre.
ou même : insignifiant.
A propos des liens amicaux qu’il avait tissés avec Tchang , une anecdote que Passou avait livrée un jour dans Répliques et qui aurait pu trouver place dans ce billet.
Ses enfants avaient un jour rencontré Tchang, le vrai, le modèle en chair et en os du personnage des albums , venu déjeuner dans la famille de notre hôte ,
A la suite de cette visite l’un des enfants sur d’épater ses camarade de classes tintinophiles en se prévalant de cette rencontre exceptionnelle, s’était heurté à leur incrédulité ; ces jeunes connaisseurs de l’œuvre ont fait valoir à juste titre que tous les personnages de Tintin sont totalement imaginaires et donc qu’une telle rencontre était impossible.
Ils ignoraient évidemment cette unique exception à la règle
Pasolini avait-il besoin de tuer le pair pour mieux affirmer, renato ?
Moi j’ai beaucoup apprécié « Hôtel Roma » de Pierre Adrian, Paul.
Un roman impressionniste, subjectif plutôt que biographique.
Comme je les aime.
Je lirai sa « Piste Pasolini », preuve que l’on peut aimer les deux écrivains poètes…
Pour mieux S’affirmer
Renato. Pavese passa la plus grande partie de la guerre sans s’engager dans la Résistance,mais bien à l ‘abri dans une institution religieuse.Il prit, sous l’influence de sa famille, sa carte du parti fasciste en juillet 1933 et le regretta immédiatement.Il le dit bien dans une lettre à sa sœur Maria le 29 juillet, »J’ai déjà fait,l’imbécile une fois, j’en ai assez. A vouloir suivre vos conseils.. » Il adhéra au Parti communiste ,dans l’immédiat après-guerre . Opportunisme ou pas ? Cependant les militants, et les dirigeants du PCI ne le tinrent jamais en grande estime . Ils le considéraient comme un » camarade » resté profondément bourgeois. Même son récit « Le camarade « ,publié en 1947 -gage donné au Parti- ne désarme pas la méfiance qu’il inspirait au Parti, même si on publie dans « L’Unità » ses articles sur la Culture .
Jazzi. J’ai aimé le début de « Hotel Roma » mais la suite est pauvre, superficielle, et l’auteur n’a aucune familiarité profonde avec l’œuvre. Il décrit des lieux à la va vite, et « sentimentalise » son lien avec Pavese de manière narcissique Aucune distance critique, aucune idée personnelle , aucune analyse sérieuse des objectifs et des réussites littéraires de Pavese et de son univers si singulier. se borne à faire la paraphrase ou répète quelques clichés .Bref, vraie déception,
Pierre Assouline en août dernier avait parfaitement raison de souligner les faiblesses du travail de Pierre Adrian.
Jazzi.Un conseil. Lis en priorité « le bel été », c’est là le meilleur Pavese Les premières phrases résument tout « A cette époque là, c’était toujours fête.. »
Pavese décrit les folles nuits blanches, les virées entre garçons et filles en voiture, les bals de campagne, les baignades dans le Pô , les chants, le vin, les flirts, les camaraderies, les amours , les confidences, une manière de se jeter sur un lit, à l’aube, retour à Turin. Calvino qui fut son ami a raison de déclarer « On parle trop de Pavese à la lumière de son dernier geste.. »
Il m’a cependant donné l’envie de retourner lire Pavese, dont j’avais découvert la poésie en cours d’italien au lycée et lu par la suite « Le Bel été » et « Le Métier de vivre », Paul.
Ainsi que les films d’Antonioni…
Paul, il a même été condamné au confinement par erreur, car Tina Pizzardo utilisa son adresse pour communiquer avec d’autres résistants. Au retour du confinement il dit « en confinement à cause d’elle », puis « en confinement pour la sauver ».
Mon ami Alec m’avait offert une belle édition numérotée du « Bel été » à l’occasion de mes 25ans, Paul.
Je m’en suis souvenu par la suite, pour mon « Goût de l’été », où tu figures toi-même et dont tu as reçu un exemplaire…
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CESARE PAVESE
Folies d’été
En 1940, Cesare Pavese achevait la première des trois longues nouvelles qui composent son recueil Le bel été et lui donne son titre générique. Une chronique désenchantée dans laquelle, durant l’été de ses dix-sept ans, son héroïne, Ginia, une apprentie couturière, découvre les méandres de la passion amoureuse dans les bras d’un jeune artiste peintre, Guido, de trois ans son ainé. Aimant les femmes, indistinctement, à l’égal des collines, celui-ci lui prendra sa virginité et lui ôtera toutes ses illusions. Si tout avait commencé comme une fête, une fois l’hiver venu, Ginia, après bien des larmes, se souviendra néanmoins que des amours d’été seule perdure et se renouvelle… l’été ! Sage leçon que, dix ans plus tard, l’auteur, qui s’est suicidé le 27 août 1950 à Turin, à l’âge de quarante-et-un ans, ne semble pas avoir retenue ?
« A cette époque-là, c’était toujours fête. Il suffisait de sortir et de traverser la rue pour devenir comme folle, et tout était si beau, spécialement la nuit, que, lorsqu’on rentrait, mortes de fatigue, on espérait encore que quelque chose allait se passer, qu’un incendie allait éclater, qu’un enfant allait naître dans la maison ou, même, que le jour allait venir soudain et que tout le monde sortirait dans la rue et que l’on pourrait marcher, marcher, jusqu’aux champs et jusque de l’autre côté des collines. « Bien sûr, disaient les gens, vous êtes en bonne santé, vous êtes jeunes, vous n’êtes pas mariées, vous n’avez pas de soucis… » Et même l’une d’entre elles, Tina, qui était sortie boiteuse de l’hôpital et qui n’avait pas de quoi manger chez elle, riait, elle aussi, pour un rien et, un soir où elle clopinait derrière les autres, elle s’était arrêtée et mise à pleurer parce que dormir était idiot et que c’était du temps volé à la rigolade.
Ginia, quand une de ses crises la prenait, n’en laissait rien paraître, mais, raccompagnant chez elle l’une des autres, elle parlait, parlait jusqu’au moment où elles ne savaient plus que dire. De la sorte, lorsque arrivait l’instant de se quitter, il y avait déjà un bon moment qu’elles étaient chacune comme seules, et Ginia rentrait chez elle calmée et sans regretter de n’avoir plus de compagnie. Les nuits les plus belles, bien entendu, c’était le samedi, quand elles allaient danser et que le lendemain on pouvait dormir. Mais il leur en fallait moins encore, et, certains matins, Ginia sortait pour aller travailler, heureuse à la seule idée du bout de chemin qu’elle avait à faire. (…)
Une fois, en se déshabillant pour se coucher, elle eut un frisson qui était comme une caresse, et alors se mettant devant sa glace, elle se regarda sans peur et leva les bras au-dessus de sa tête, pivotant lentement, la gorge serrée. « Et si Guido entrait maintenant, que dirait-il ? » se demandait-elle, et elle savait très bien que Guido ne pensait même pas à elle. « Nous ne sous sommes même pas dit adieu », balbutia-t-elle, et elle courut se coucher pour ne pas pleurer nue.
A certains moments, dans la rue, Ginia s’immobilisait parce que, soudain, elle sentait le parfum des soirs d’été, devinant dans l’air les couleurs et les bruits de l’été et l’ombre des platanes. Elle pensait à cela dans la boue et la neige, et elle s’arrêtait à un coin de rue, la gorge serrée par le désir. « Il viendra sûrement, il y a toujours les saisons », mais cela lui semblait invraisemblable à présent où elle était seule. « Je suis une vieille, voilà ce que c’est. Tout ce qui était bon est fini. » »
(« Le bel été », traduit de l’italien par Michel Arnaud, L’Imaginaire, Gallimard, 1978 et 1999)
@ 8.50, Parmi les MORTS JEUNES, signalons en outre Philippe HENRIOT, entomologiste, mort à 55 ans des suites d’une grave erreur de trajectoire historique.
Tout ce qui est bon est fini.
Pensée d’une héroïne sans doute bien immature et superficielle.
Et une famille, des enfants, puis être grand-mère, ce n’est pas bon ?
Cette Ginia nous est décrite comme seulement capable de prendre, de profiter. Tout un programme.
Quant aux morts-vivants, la liste est innombrable
la liste est infinie
Tu as oublié une bonne salade d’endives dans ton énumération, D. !
les archivistes, et plus encore lorsqu’ils sont tintinolâtres et hergéologues. L’esprit d’une secte »
voilà t-y-pas qu’il est question de géologie!je n’y conais rien
connais !
des frissons deux heures plus tard…
Pas vécu cette expérience. Ou alors c’est l’âme qui frissonnerait de bonheur, plaisir partagés. Comme si l’homme ne devait accéder au plaisir que par son seul corps. La femme en récipient?
Mieux vaut pour un être humain que son âme ne viennent jamais à frissonner pour une telle raison.
Je te dirais bien des choses sur les endives qui font la salade, Jazzi, mais ma retenue m’en empêche…
Mon ami renato a certainement vécu de folles années à Turin.
Toto pas tintin en tout cas!
On en fera pas tout un tintouin.
« Mon ami renato a certainement vécu de folles années à Turin. »
Oui, mais sa retenue, fruit d’une bonne éducation, l’en empêche de nous en faire la narration, D.
Lui qui dansait nu avec le living theater…
Faute d’être performant en calcul mental, les calculatrices sont désormais à la portée de tous, même sous forme d’applications sur smartphones ! Bref, un homme politique a proposé une allocation mensuelle de 150 € par mois pour tous les Français. La multiplication est simple… si on tient compte de l’état des finances !
Il est concevable qu’il ait proposé de soutenir les personnes les plus vulnérables, mais 68,17 millions ?! La perception du monde réel semble s’être évaporée.
st simple… si on tient compte de l’état des finances !
corrigé
st simple… ET si on tient compte de l’état des finances !
selon la toile tchang :(Boisson) Boisson alcoolisée traditionnelle tibétaine, sorte de bière, brassée à partir le plus souvent d’orge mais aussi parfois de millet, d’éleusine, d’avoine, de blé noir ou de riz.
En vérité, ce n’était pas la mort qui m’angoissait, c’était la peur de perdre ce que j’avais amassé en une vie, mes turquoises, ma vaisselle, mes soieries, mon satin, mon or, mes grains, mes domaines, mon petit verre de tchang. — (Éric-Emmanuel Schmitt, Milarepa, 1997, page 52)
bonne conversation
Milliards, pas millions.
patronyme TCHANG peu répandu
Vous avez raison de le relever, Monsieur Dé. Pourtant les calculatrices sont à la portée de tous. Même sur smartphone.
« Des groupes de pression et d’oppression », « partout des voix autorisées. »
Roland Barthes 1977.
La petite phrase sur « le fascisme de la langue » est à la sixième minute.
68,17 millions de Français !
68,17 millions, source wiki
Il cite « Robinson Crusoë ».
D, renato danse toujours !
https://www.facebook.com/reel/2096437330827294
Pour les plus jeunes de la liste, voici comment ils sont morts :
Radiguet est mort à 20 ans d’une fièvre typhoïde. Laugtréamont à 26 ans de phtisie. Alain-Fournier
à 28 ans à la guerre. Tristan Corbière à 30 ans de tuberculose. Albertine Sarrazinà 30 ansd’une opération chirurgiclae qui a mal tourné. Villon à 32 ans pendu. André Chénier guillotiné à 32 ans. La Boétie à 33 ans du choléra. Alfred Jarry à 34 ans de tuberculose. La philosophe Simone Weil à 34 ans de tuberculose et de sous-alimentation. Paul Nizan est mort à la guerre à 35 ans. Frantz Fanon est mort à 36 ans de leucémie. Brasillach a été fusillé à 36 ans. Théophile de Viau a été brûlé vif à 36 ans.
Rimbaud est mort à 37 ans d’un cancer. Roger Nimier est mort à 37 dans un accident de voiture.
Du Bellay est mort d’apoplexie à 38 ans. Apollinaire est mort à 38 ans de la grippe. Pascal est mort à 39 ans d’un cancer et/ou de tuberculose. Péguy est mort à la guerre à 41 ans.
Pas de dance avec le Living, mais jeu, Jazzi.
« Villon à 32 ans pendu »
Pas du tout !
« De nouveau arrêté lors d’une rixe, il est condamné à la pendaison. Après appel, le Parlement casse le jugement mais le bannit pour dix ans ; il a 31 ans. Ensuite, on perd totalement sa trace. »
desnos est mort à 44ans
Ah, moi et Monsieur Dé. pensions que c’était le résultat du calcul de ce que ça eut coûté. Avouez que ce n’est pas clair, ce que vous racontez.
Mozart est mort à 35ans
À mourir pour mourir, je choisis l’âge tendre
Et partir pour partir, je ne veux pas attendre
Je ne veux pas attendre
J’aime mieux m’en aller du temps que je suis belle
Qu’on ne me voit jamais fanée sous ma dentelle
Fanée sous ma dentelle
Et ne venez pas me dire
Qu’il est trop tôt pour mourir
Avec vos aubes plus claires
Vous pouvez vous faire lanlaire
barbara
Sérieusement, Jazzi, qui est le type en tutu sur la photo de Facebook ?
Aimerais bien savoir aussi qui danse en tutu à cet âge avec une barbe. C’est permis mais avouez que ce n’est pas banal.
tutus pointes
Les TROCKS ne sont pas les seuls danseurs masculins à faire de la pointe un outil de pastiche. Il existe d’autres compagnies de danseurs travestis en ballerines, par exemple les Ballets Grandiva. Dans le spectacle Tutu des Chicos Mambo, chorégraphié par Philippe Lafeuille (en représentation à Paris du 5 mars au 30 juin 2016), les six danseurs passent en revue avec humour tous les styles de danse : classique, danses de salon, Tanztheater de Pina Bausch… Et pour parodier le ballet, la maîtrise des pointes est de rigueur ! Par-delà le rire et la parodie, une grande beauté se dégage de cette joie prise par les danseurs à jouer avec les codes de genre du ballet classique.
Moins connues peut-être sont les apparitions sur pointes, toujours dans des rôles féminins, de grands danseurs étoiles comme Manuel Legris ou José Martinez. Ce-dernier s’illustre particulièrement dans sa relecture de l’adage à la rose !
Les rôles d’hommes sur pointes dans le ballet classique
Le travestissement est assez répandu au sein du ballet lui-même. Aux hommes sont réservés les rôles de belles-mères acariâtres mais touchantes dans leur « bonhomie »… des femmes trop masculines pour être interprétées par des danseuses, selon les codes du ballet classique ! Le principe est le même que dans les ballets des TROCKS : susciter le rire par le travestissement, c’est-à-dire par la superposition très apparente et surjouée des genres masculin et féminin. La plupart de ces rôles travestis sont des rôles de pantomime et sont dansés sur demi-pointes. Certains chorégraphes cependant ont créé de tels rôles sur pointes. C’est le cas des deux sœurs de Cendrillon dans le ballet de Thierry Malandain, ou dans celui de Frederick Ashton. Ce-dernier affectionne particulièrement les rôles masculins dansés sur pointes.
Mais quand il ne s’agit pas de les travestir en mégères, Frederick Ashton utilise la pointe pour transformer l’homme en animal, par exemple en âne dans Le rêve ou en cochon dans Les contes de Beatrix Potter. Dans ces cas, la pointe ne joue pas un rôle comique mais sert à représenter les pattes des animaux, pour l’âne ses sabots. Il n’y a dans de tels rôles aucune imitation de la technique et de l’esthétique féminines des pointes, mais au contraire le pied est « en fer à repasser », au plus près de la démarche d’un âne.
avec videos
https://www.dansesaveclaplume.com/42596/en-coulisse/42596-quand-les-hommes-chaussent-les-pointes/
Mikhaïl Baryshnikov
https://www.dansesaveclaplume.com/42596/en-coulisse/42596-quand-les-hommes-chaussent-les-pointes/
En parler autrement : dialogue entre et avec Delphine Horvilleur et Kamel Daoud
Renato
Je ne vous vois pas en tutu.
Rainer Maria Rilke
Donne une nuit qui à l’homme permette de recevoir ce qui jamais encore n’atteignit profondeurs humaines.
Puck ?
Tu as fini ta journée ? Ça C’est bien passé ?
J’ai vesoin de tes commentaires, tu sais. Je les aime veaucoup. Est-ce que tu veux vien être mon ami, par ailleurs, avec Chaloux et renato. Je n’en ai aucun, personne ne m’aime en dehors de la dame du grangeon. Alors bon. Quoi.
Vous avez cru que c’était, renato, Rose ? N’importe quoi. Faut pas pousser quand même.
Je cuide
DH est lumineuse. Entre 12′ et 12’12, j’ai compris pourquoi « je exècre » ce jeune couple juif. Pour leur manque d’empathie et pour véhiculer à des milliers de kilomètres ce refus de donner droit à l’existence à l’autre, ce qu’elle définit comme base du dialogue.
D.
Je n’ai pas facebook.
Je dis à Renato que je ne le vois pas ainsi.
C vrai.
Je suis la dame du grangeon.
En effet les roses, nous n’étions pas en tutus, mais comme ça… et pas toujours nus…
https://lesempio.blogspot.com/2011/07/the-living-theatre.html?q=living
tutus > tutu !
‘le drame du dragon’, une pièce hélas trop méconnue du living Thaeter 🙂
Kamel et Delphine. Il se passe souvent des choses intéressantes à science po, ça vaut le coup de tout écouter sans toujours bien comprendre ce que les gens ont dans le cœur. Aussi, cela nous sort de chez nous, de notre zone de réconfort. Merci pour ce lien.
Sérieusement, Jazzi, qui est le type en tutu sur la photo de Facebook ? D
Encore un vieux légume?
Je viens de m’apercevoir que, sans le connaître, je n’étais pas atteint du syndrome FOMO. Ouf ! Mais que peut-être certain.es d’icite, l’étaient certainement…
https://www.la-clinique-e-sante.com/blog/stress/syndrome-fomo
***Trouvé dans le roman de Richard Powers, Un jeu sans fin, p. 236.
Un vieux céleri rave.
Moi non plus pas atteinte par Fomo.
Vais essayer de ne pas rater Mulholland drive, cependant.
On ne peut pas parler avec quelqu’un qui nie votre droit à l’existence.
Delphine Horvilleur
(Dans la catégorie des « On se contente plus de pisser dans la piscine, on pisse du plongeoir », le fils Klarsfeld dans le JDD ; merci Donald de permettre la mise au jour de ces archaïsmes habitués à une existence catilinaire … Quant à renato, en tutu ou pas, il est désormais le meilleur poseur de ce cul de basse fosse : point barre)
@On ne peut pas parler avec quelqu’un qui nie votre droit à l’existence.
Delphine Horvilleur
+1
Ce qui est une manière de dire qu’il le faudra bien, « parler avec quelqu’un qui nie votre droit à l’existence » ; le commencement de toute diplomatie, un signe de civilisation face à la barbarie
@On ne peut pas parler avec quelqu’un qui nie votre droit à l’existence.
Delphine Horvilleur
Incidemment, 146 pays membres de l’ONU reconnaissent l’Etat palestinien
Le Vatican, qui n’est pas membre de l’ONU, a également reconnu l’Etat de Palestine en 2015.
Il ne peut pas revendiquer d’être traître .
Pourtant, il dit « on ne peut pas hiérarchiser les morts, un mort c’est un mort et c’est un scandale ».
Il est bien ce Daoud avant son prix Goncourt.
( Vous avez entendu plan de départs « volontaires » ? Bien sûr qu’il existe des précédents et pas seulement en Europe, Arno – https://youtu.be/7b_7IgNHClg?si=1GrDRx0ilG9NSBkz&t=316 )
quand Tchang dis à Tintin « j’ai souvent pensé à toi » ce serait malhonnête d’imaginer qu’il s’agissait de pensées… comment dire… qui ferait dire que cette amitié entre ces deux garçons serait « ambiguë », je veux dire d’un point de vue sexuel.
cela dit ce serait aussi une vision homophobe de penser qu’il serait malvenu d’aborder l’ambigüité de cette relation.
en fait il faut décontextualiser les choses et partir du principe que, par exemple, Disney avait pris, il y a peu, la décision d’avoir dans ses dessins animés, au moins la moitié de ses personnages homos.
et Disney l’a fait ! ils ne l’ont pas fait très longtemps parce que les parents avaient décider de demander à leurs gamins de regarder les dessins animés Disney, mais c’est juste parce que nous avions à faire à des parents « rétrogrades ».
il faut se souvenir l’affaire Budweiser, la bière considées comme celle des mecs hétéros.
hé ben pour élargir leurs parts de marché Budweiser avait demandé à un influenceur devenue influenceuse, donc un teansgenre, de faire une pub, allant même jusqu’à créer une bière spéciale à son effigie.
le calcul de cette bière était simple : cette influenceuse avait 20 millions de follower, à raison d’un pack de bières par follower on va exploser nos ventes.
en fait ils se sont plantés : déjà les transgenres ont boudé Budweiser mais en plus les hétéros les ont boycottés du coup ils ont fait machine arrière.
une autre affaire concerne les tampons et la société Tampax, cette dernière avait fait appel à cette même influence trandgenre pour faire la pub pour les Tampax parce que les transgenres femmes considèrent comme une « micro agression » (c’est la désignation dans le langage woke) le fait de faire de la pub de trucs utilisés par des femmes différentes d’elles.
bon là, dans ce cas, Tampax n’a pas augmenté ses ventes, parce qu’une transgenre reste une transgenre, mais n’a pas non plus de clientes, contrairement à Disney ou à Budweiser.
par contre une nouvelle société de tampon hygiénique arrivant sur le marché a utilisé la pub de Tampax avec la transgenre pour en faire une sur le thème « non tampons sont pour les vraies femmes » et hop ! ils ont raflés une part de marché improtante dès leur entrée sur le marché !
tout ça pour bien montrer que le lien entre wokisme et marketing c’est pas un truc évident à gérer.
mais bon, pour en revenir à la relation entre Tintin et son ami qui, pour reprendre ses mots, pense à lui toutes les nuits, des pensées accompagnées de pratiques condamnées par la Sainte Eglise parce que, parait-il, elles rendent sourd, donc pour en revenir à ça je vois plus trop ce que je voulais dire, oui ça me revient, il est bon de constater que si les ventes d’albums Tintin n’ont pas connus les soubresauts de celles de Disney ou de Tampax c’est simplement parce qu’à l’époque le wokisme n’existait pas encore, sinon nul doute que nier l’ambiguité de la relation entre ces deux eût été (moi aussi je sais parler la France qaudn je veux) considérée comme une « micro agression » !!!
et voilà.
quand Tchang dis à Tintin
wow se planter au 3è mot c’est hyper fortiche.
C’est vraiment scandaleux de dire que la mort est un scandale alors qu’il y a des centaines de millions de gens qui vivent scandaleusement dans ce monde et ne souhaitent que mourir loin de tout scandale.
Curieusement, qu’il s’agisse de la Palestine ou de l’Ukraine, la rafale de décrets et de vociférations trumpiennes précipitées ont un point commun : l’obsession du « long terme » … Sont-ce des manifestions de peur ?
Enfin, une fois encore, je préférais entendre la rabbine m’enseigner et commenter les textes du Judaïsme.
Le spectacle de l’arbitraire
merci de m »avoir permis de poster cete conversation
D.Horvilleur, et K/Daoud:cela m’a soulagée ,il y en a d’autres sur la toile;
bonne soirée
Plus d’amis après 40 ans, je ne sais pas. Plus d’amies, non!
« Curieusement, qu’il s’agisse de la Palestine ou de l’Ukraine, la rafale de décrets et de vociférations trumpiennes précipitées ont un point commun : l’obsession du « long terme » … Sont-ce des manifestions de peur ? »
Jeannot ce qui est curieux c’est cette haine contre un type juste parce qu’il essaie d’arrêter les massacres.
je pense que cela vient d’une espèce de fascination des journalistes européens en particuler et de la population européenne en général pour les massacres.
c’est comme si un type venait leur arrêter la télé pendant qu’ils regardent un match de foot.
à tel point que le mot « paix » a été interdit à Bruxelles : toute personne qui ose prononcer ce mot est immédiatement excommunié.
d’ailleurs le truc très drôle c’est d’entendre les journaleux dire qsue les européens sont mis sur la touche alors qu’il est logique de mettre sur la touche des gens qui veulent la guerre quand on veut faire la paix.
bon, après même les européens n’arriveront pas à empêcher Trump d’avoir le prix Nobel de la Paix s’il parvient à en finir avec ces 2 conflits.
pour le coup ce sera amplement mérité, ce sera même le Nobel de la Paix le plus mérité de toute l’histoire de ce truc.
Que pense keupu de la proposition iranienne de déplacer la population israélienne au Groenland, y compris les plus de deux millions d’arabes ? 10 millions d’habitants, soit moins que l’agglomération parisienne, sur un si vaste territoire, où est le problème ?
Que les chinois aient inventé l’imprimerie serait l’occasion de mêler la Chine à ces pourparlers d’expulsion et un levier pour appuyer cette orientation auprès des demeurés qui confondent le livre avec les maisons d’édition et les tirages papier
rose:eurèka !
Archimède de Syracuse (en grec ancien : Ἀρχιμήδης / Arkhimếdês), né à Syracuse vers 287 av. J.-C. et mort en cette même ville en 212 av. J.-C., est un grand scientifique grec de Sicile (Grande-Grèce) de l’Antiquité : physicien, astronome, mathématicien et ingénieur.
Ils apprennent quelque part
renato dit: 12 février 2025 à 21h45
Ils apprennent quelque part.
Oui.
En ce qui concerne la mort de Mozart, une des hypothèses est qu’une chute dans son enfance ait été la cause d’un épanchement de sang dans le cerveau, épanchement qui se serait infecté trente ans plus tard.
Je voulais dire à l’Assasseure qu’il est désormais possible en Angleterre, à toute personne, de se déclarer lama. N’est-ce pas une grande nouvelle pour elle? Avec cette transition, il est possible de lui assurer avec une infime marge d’erreur, qu’elle ne penserait plus jamais ni à Versailles, ni à Louis XIV , ni à l’hostie consacrée, bref à aucune de ces horribles choses qui peuplent ses pires cauchemars et contribuent à détériorer un cerveau déjà assez mal en point. À sa place, non pas cette année, non pas le mois prochain, j’irai dès demain matin, à l’heure où blanchit la campagne m’installer dans le Kent ou le Derbyshire.
mort jeune
Pouchkine 10 février 1837 (à 37 ans)
Saint-Pétersbourg
J’avoue tout. Pavese m’impatiente et je trouve que les provocations de Pasolini ont bien mal vieillies.
L’ultra-génial Fellini, dans un tout autre genre Comencini, Dino Risi et d’autres , gardent toute mon admiration et ma reconnaissance. Gadda en littérature etc.
Le correcteur de mon Iphone est comme Macron: il se croit tout permis.
Tout autre chose. J’ai été très heureux de constater que les gens qui fréquentent le blog de Paul Edel sont des lettrés qui connaissent et ont lu José Cabanis.
Pouchkine a été tué en duel par le français d’Anthès. Un des derniers romans publiés de Troyat, haletant et qui compte parmi ses réussites, La traque, est consacrée à la mort de Pouchkine et à ses suites. Trop vite corrigé mais d’une puissance certaine .
« Parfois, tout en vous pleure, sauf vos yeux »
Plus je vais, plus j’aime Hugo, homme et oeuvre. (J’aurais dû commencer par l’œuvre mais ça sonne moins bien). La porte s’ouvre presque malgré soi. Il est irrésistible.
Azertyuiop
« Parfois, tout en vous pleure, sauf vos yeux »
Plus je vais, plus j’aime Hugo, homme et oeuvre. (J’aurais dû commencer par l’œuvre mais ça sonne moins bien). La porte s’ouvre presque malgré soi. Il est irrésistible.
L AIR CHINOIS
Guillaume Erner : « Il y a une forme de jouissance à être antisémite »
https://www.youtube.com/watch?v=DLOG9qHB_U8
Trisha Brown, Watermotor, 1978
@T-chin T-chin
Et si par dessus le marché on ravivait l’antique querelle sino-japonaise «Tchin-tchin» signifiant au Pays du Soleil Levant «pénis» ; c’est écrit
@langoncet
チンチン(電車) = tramway. Car celui-ci fait un bruit lorsqu’il s’arrête et repart que les japonais ont choisi de décrire par l’onomatopée chinchin.
D’origine onomatopéique itou : faire tintin
je pense que cela vient d’une espèce de fascination des journalistes européens en particuler et de la population européenne en général pour les massacres.
personnellement les propositions émanant des USA concernant l’avenir des palestiniens et l’absolue connivence entre Trump et les aspirations d’Israël restées jusqu’à présent tues ou silencieuses me laissent interdite.
La tige de jade.
En ce qui concerne la mort de Mozart
https://www.resmusica.com/2021/12/05/la-mort-choquante-et-dedaignee-de-mozart/
L’expression « abominable homme des neiges » apparaît en 1921, année au cours de laquelle le lieutenant-colonel Charles Howard-Bury conduit une expédition conjointe entre le Club alpin et la Royal Geographical Society pour l’exploration de l’Everest13,14, dont il relate les péripéties dans Mount Everest The Reconnaissance, 1921.
Wiki
Se méfier de certains « syllogismes » comme « les amiches de mes amiches sont mes amiches »
Avec le papa de Tintin, vous vous retrouveriez assez vite copain avec un pedocriminel ou un abbé rexiste de la messe belge en latin, et à genoux.
No way !
Je retourne avec les yetis…
Inoxydable esprit tintin dear Passou, bravo, malgré l’absence féminoïde, la Castafiore boxant dans la catégorie trans, dame Clopine en faisait une jaunisse. avez-vous causé du yéti avec l’ami Tchang ?
@ des pensées accompagnées de pratiques condamnées par la Sainte Eglise parce que, parait-il, elles rendent sourd,
Une épidémie de surdités ou de capture de voix célestes dans la grotte de Bétharam.
Ils ont dit que la paix après la guerre n’était pas une dialectique pertinente durant les périodes où vécurent les grands stratégistes (BD et OW)
@ QUID (merci de m »avoir permis de poster cete conversation D.Horvilleur, et K/Daoud,)
on l’a écoutée tout simplement, et retenu quelque chose… Hélas, il ne s’enclenche avec vous aucune discussion possible comme avec J.L ou autres sur le contenu. Du genre…, même s’il obtient quelque chose à laquelle il s’était engagé avec Poutine pour en « finir » avec la « guerre en Ukraine », reste qu’avec Trump ou Netanhyaou, ne sera jamais la « paix ». Bon, mais on s’en serait un peu douté. Faut pas être bien fute-fute pour imaginer la fin des incertitudes avec Macron l’euh-ropéen ou Martine LP l’euro’païenne ?
***Hier soir, un merveilleux concert de la « jeune » Clara Ysé à la Sirène (LR). Elle a donné de la joie et de l’espoir, en dépit du caractère assez sombre de ses textes sur la « nature humaine », chez les filles autant que chez les mecs. A la fin, elle a rendu un hommage émouvant à sa maman, A. D.
Pour celzéceux qui ne la connaîtraient pas trop, faute de l’avoir écoutée aux Francofolies l’été dernier, il y a ce joli clip qui circule encore a fil de l’eau
https://www.youtube.com/watch?v=atBYPluuSoQ
Une chanson écrite pour notre « amie » Sasseur… qui sait ?
https://www.youtube.com/watch?v=XDRNluWAnGE&list=RDEMGt_gT38cNVGIKd-3uLXxVg&start_radio=1&rv=h3RqwcQEXIY
« The Brutalist » c’est brutal !
Owen L., ça l’est tout autant, brutal. Hélas pour D.D., l’avait pas trop le profil ni le nom à consonance adéquates. A qui se fier, si les faits divers les plus sordides se mettent à mentir, à c-t’heure ?
Je pense que vous sur-interprétez, jzmn, vous voyez trop de films… Reposez-vous un brin pour aujourd’hui. Relisez du René Char, par exemple.
Si tu savais la haine qui coule dans mes veines,
tu aurais peu, tu aurais peur
Si tu savais la chienne que je cache à l’intérieur,
tu aurais peur, tu aurais peur.
J’AI PEUR,
7.37, -> ne pas confondre CT avec MS. L’une chante, l’autre pas, qui fait juste chanter.
« Relisez du René Char »
Non, merci !
Un p’tit coup de vernis sur une ancienne fiche
https://soleilgreen.blogspot.com/2023/05/le-jardin-des-mots-effaces.html
bien aimé la grande librairie d’hier avec ses invités philosophes. D’habitude je rencontre quelques difficultés à tenir devant plus d’un quart d’heure et là j’ai suivi le débat avec intérêt. R Pol-Droit, A comte- Sponville, Salome Saqué.
Jazzi, la critique encense ce film, plus de trois heures, j’hésite à aller à une projection.
Plusieurs détenus dans les prisons françaises ont été transportés d’urgence à l’infirmerie après la lecture de plusieurs poèmes de René Char.
Sois toi-même te disent les imbéciles pour t’encourager et te remonter le moral.
C’est mille fois plus facile d’être un autre que d’essayer d’être soi.
Et c’est encore plus difficile d’être. Être tout court.
Hélas, il ne s’enclenche avec vous aucune discussion possible comme avec J.L ou autres sur le contenu.
EN VOUS SIGNALANT d’autres videos sur la toile, je suggérais d’éviter des « conversations prématurées »;
tres bonne journée,tres fécondes conversations
Il y a quelques années, une pseudonymisée « Lavande » était outrée que j’appelle la ville de Grenoble « La petite Chicago des Alpes ».
Depuis, de nombreux faits criminels ont continué de survenir, en grande majorité liés au grandbanditisme et au trafic de drogue.
Hier soir, une grenade lancée dans un bar de Grenoble à fait 12 blessés font 6 « en urgence absolue:.
Al Capone se contentait de fusils mitrailleur, je crois.
On a trouvé déplacés mes propos sur l’état de la ville de Grenoble. Cela s’appelle dénier et cacher la poussière sous le tapis.
Cf. Tintin en Amérique. Une partie de l’album aurait pu se dérouler à Grenoble. Pas vrai mon vieux Milou ?
3 h 35, avec un entracte de 15′, B !
Mais on ne s’ennuie pas, malgré quelques longueurs.
Le film est bien foutu, efficace, dense, intense.
Un peu trop et partant dans tous les sens.
Un peu surjoué par les deux acteurs principaux.
Imaginez « Le Parain » de Coppola, mais sans les Italiens et la mafia, remplacés ici par les Juifs d’Amérique et qui pourrait être titré « Les Parias » .
Oui, l’accueil de la critique est dingue et les oscars vont pleuvoir à Hollywood.
Venise, plus mesurée, a donné seulement le Lion d’Argent pour la mise en scène…
Ce qui est bien vu.
Le Parrain
tchin tchin:combien de coups de menton
Avec son numéro de duettiste avec Kamel Daoud a Sciences Po, Delphine Horvilleur m’a une nouvelle fois décue .
J’avais beaucoup d’admiration pour cette femme intelligente, d’une immense culture à la plume brillante et qui publiait des essais intéressants .Mais désormais je suis consternée devant une dérive qui l’a métamorphosée en diva bavarde et minaudant , a la faveur d’un éclairage médiatique auquel elle semble se complaire .
Et j’ai trouvé consternant le spectacle que nous a offert Sciences PO avec ce dialogue mis en lien ,cet échange de banalités entre deux monstres sacrés , chacun y allant de ses platitudes et idées reçues , en les noyant dans un verbiage pseudo-profond ,destiné à donner a ce qui ne fut qu’enfoncement de portes ouvertes, un air de pensées neuves ,fruit de l’expérience et de la réflexion originale de deux ’esprits puissants
suis je la seule ici de cet avis ?ou d’autres aussi qui n’ont pas voulu dire que « le roi est nu »
Article après corrections
https://www.lelezarddeparis.fr/schizophrenie-hollywoodienne
Être tout court
Cela consiste en quoi selon vous?
À être au monde.
Plusieurs hypothèses sont énoncées au sujet de l’étymologie du terme ping-pong. Néanmoins, l’explication la plus probable de ce mot composé serait une onomatopée dérivée du son de la balle apparue en 1884 en Extrême-Orient6, de « ping », bruit du choc de la balle contre la raquette, et « pong », bruit du rebond sur la table7. Le terme est devenu une marque déposée par John Jacques de Croydon en 1900 suivant certaines sources7 ou vers 1891 pour d’autres8. En chinois, le caractère utilisés, ping (乒 pīng) et le caractère pang (乓 pāng), sont classés dans les onomatopées, le premier utilisé pour le tir d’arme à feu, le second pour un claquement violent.
D, classé en attentat pour le moment ( pas règlement de compte) , pas encore revendiqué. Je pensais que le règlement de la question israélo-palestinienne selon les voeux de Trump ouvrirait probablement sur une nouvelle phase de terrorisme international.
sc po;
il me semble surtout que les « stars » jouent le jeu qu’elles imaginent attendu d’elles
À propos des amis. Quand je suis entrée à l’internat, j’avais 5 ans et demi. C’est là que j’ai noué mes premières amitiés, dont trois durent encore. De l’adolescence, il ne me reste plus grand-chose : souvenirs des personnes que j’ai rencontrées, puis perdues de vue, surtout en raison de divergences d’opinions. Finalement, ce sont certains de mes collègues qui sont devenus mes amis. À mesure qu’on vieillit, on « perd des segments » et on cherche des prétextes pour éviter les funérailles : si je dois être triste, je regarde Autant en emporte le vent. En résumé, j’ai encore quelques amis sur Terre, mais, comme l’aurait dit l’un d’eux, « Les gens m’aiment car ils ne me voient pas souvent. »
cinq ans et demi? Il existait des internats, des pensions pour les enfants en age d’etre encore en école maternelle?! Ou est-ce que vous étiez en avance, ceci dit, meme pour le CP, il me semble qu’aucun internat n’est ouvert actuellement pour de si jeunes enfants, en Suisse peut-être pour les enfants de célébrités?
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