La Grande Terreur nous regarde
On dira que c’est une étrange idée que d’en parler au cœur de l’été, mais il n’y a pas de saison pour cela. Ces photos, ces visages, ces regards, attrapent le lecteur et ne le lâchent pas. Autant dire que ce livre nous regarde. Enfin, un livre… : un album très grand format qui doit bien peser deux kgs mais qui n’a rien du beau-livre. Il ne viendrait d’ailleurs à personne l’envie d’en faire un coffee table book. Vu le contenu, ce serait obscène.
La Grande Terreur en URSS 1937-1938 (traduit du polonais et du russe par Véronique Patte et Agnès Wisniewski, 412 pages, 40 euros, Editions Noir sur Blanc) a bénéficié du concours d’un certain nombre de soutiens et d’auteurs, mais il a un maître d’œuvre, ou plutôt deux : le photographe polonais Tomasz Kizny, à qui l’on doit déjà le projet photographique Goulag (2003), et la journaliste et directrice artistique Dominique Roynette. Ils en ont eu l’idée fixe et en ont été hanté jusqu’à l’achèvement du projet.
La terreur stalinienne ? Il ne s’agit pas là de la traiter dans son ensemble, en y incluant les purges, déportations massives, dékoulakisations, mais uniquement ce que les Russes appelaient la « iejovchtchina » et que les historiens ont baptisé « la Grande Terreur » avec force majuscules, à savoir les purges politiques opérées par le NKVD en 1937-1938. 1,7 million de personnes arrêtées sur l’ensemble du territoire de l’Union soviétique pour « crimes contre l’Etat » dont 750 000 exécutées clandestinement, soit un millier par jour pendant deux ans, enterrées en secret dans des fosses communes. Cela a suscité toute une bibliothèque. On se souvient surtout des livres d’Arthur Koestler et de Robert Conquest, mais peu se sont donnés comme but de la restituer par le regard et le visage.
Au premier abord, c’est un recueil de photos de l’identité judiciaire prises par les fonctionnaires de la police politique (NKVD) quelques jours avant l’exécution. A l’examen, c’est bien plus que cela car Tomasz Kizny a enquêté avec l’association moscovite Memorial ; il a réalisé une véritable topographie de la barbarie moderne en photographiant les lieux d’exécution et d’enterrement, les objets des condamnés, les familles des proches … Ils sont l’autre face indispensable de cette histoire ; car pour eux, ce fut l’attente et le doute des années durant puisque leur parent, interné « sans droit de correspondance », était officiellement membre de l’innombrable tribu des disparus.
Ce massacre systématique à l’échelle d’un pays-continent se voulait entreprise de nettoyage, d’épuration, de prophylaxie sociale. Les coupables sont connus : Staline, Iagoda, Iejov, Beria, Vychinski, Khroutchev, car une postérité de réformateur n’exonère personne d’un passé de bourreau. Sans oublier les complicités internationales, des apparatchiks purs et durs aux idiots utiles en passant par les militants et les compagnons de route. Ceux qui ont couvert, excusé, justifié. Ils ne savaient pas ? Mais au même moment d’autres savaient et le faisaient savoir.
Le parti pris du recueil saute aux yeux dès la couverture. Ni titre, ni auteur, ni éditeur. Juste un portrait, un regard qui nous hante dès lors qu’on le croise et le fixe et cette mention : « Alekseï Grigorievitch Jeltikov. Exécuté à Moscou en 1937 ». Un coup de poing, un choc, une réflexion. Il faut aller voir la tranche du livre pour savoir. Aucun souci d’esthétisation, rien de morbide. Les images sont souvent de qualité (piqué, contraste) car ce sont des clichés 6x9cm tirés d’après des négatifs 13×18 ou 18x24cm. Tout est très précis : nom, origine, fonction, adresse, dates, études… Certains n’ont pas vingt ans, d’autres sont à la fin de leur vie, ils n’ont tous que quelques jours, parfois quelques heures à vivre. Ce J’accuse est d’autant plus terrible que le texte s’y fait modeste par rapport à l’image. Même s’il y en aura toujours, on les entend déjà, pour soupirer d’un « A quoi bon encore ? » face à toute tentative de documenter le crime de masse. Les artisans de la Terreur ont réalisé ces portraits pour identification, tout en activant l’entreprise d’oubli des condamnés. Raté. Avis aux fonctionnaires du massacre : n’archivez jamais !
Dans sa critique du livre, le grand slavisant Georges Nivat a comparé ces portraits soit à des gisants étrusques soit à « des masques d’outre-tombe, sculptés dans une éternité de douleur et d’étonnement », semblables aux milliers de masques tous blancs mais tous différents que l’on peut découvrir à Tokyo en visitant le musée des masques Nô. On ne saurait mieux dire à quel point la terreur stalinienne ne regarde pas que les Russes mais l’humanité.
Ces photos sont à ranger dans une anthologie de la terreur entre les gravures de Goya et les dessins de Music. J’ignore si cela aide à concevoir l’inconcevable. Des documents d’archives sont reproduits, notamment l’administration de l’assassinat et les procédures d’exécution : fusillade dans une « cellule de la mort ». Comprend-on mieux désormais cette volonté d’anéantissement des « ennemis du peuple » dont la logique, une fois mise à nu, fait froid dans le dos si l’on songe qu’elle a fait école, au Kampuchéa notamment ? Dans sa contribution sur « le silence assourdissant des images », Christian Caujolle n’hésite d’ailleurs pas à mettre cet inventaire visuel en parallèle avec celui réalisé par un seul auteur à S-21, le centre de détention et de torture des Khmers rouges. Les clés d’explication sont là, et les historiens (Nicolas Werth notamment invite à « repenser » la Grande Terreur), convoqués à donner des textes autour de ces images, sont souvent convaincants, notamment lorsqu’ils disent l’impuissance des Russes aujourd’hui à circonscrire le Mal dans leur mémoire de la Terreur, comme l’explique l’historien Arseni Roguinski :
« A la différence des nazis qui tuaient essentiellement les « étrangers »- les Juifs, les Polonais, les Russes-, en Russie on tuait essentiellement les Russes, ce que la conscience refuse d’accepter. Dans notre mémoire de la Terreur, nous sommes incapables de répartir les rôles principaux, nous sommes incapables de mettre à leur place les pronoms « nous » et « eux ». »
Mais encore ? Peut-être que la phrase du philosophe Georges Didi-Huberman, spécialiste de l’image, placée en épigraphe de l’album, qui me parut si déroutante de prime abord est, à la réflexion, éclairante :
« Pour savoir, il faut s’imaginer »
630 Réponses pour La Grande Terreur nous regarde
Mais quelle burne.
moi aussi ça m’aurait véxé l’idée même d’ête pris pour lui..on a sa fierté merde
..c’est qut’es pas tout lmonte rénato..
Je ne comprends pas votre post, Giovanni.
Mais non, Jacques, cela ne fait rien. Je remarquais seulement qu’il était « normal » que Gambardella cite (et pas seulement des Français), mais que c’était très discret et à des moments justes. Il n’y a en revanche pas de nom prononcé lorsque l’écrivaine (engagée et citoyenne) aux onze romans en prend plein la figure. Or…
ton instincte est bon
Un instincte traité au gode-ceinture ?
Comment ça, je ne suis pas tout le monde ! c’est insultant à la fin… Bon, c’est vrai que sot comme toi ce n’est pas donné à tout le monde…
mon pauvre D.!
non, D. est un type bien, contrairement à moi, avec les femmes il a l’arrogance de ceux qui ne connaissent pas la violence du désir des hommes.
il a l’arrogance de ceux qui ne connaissent pas la violence du désir des hommes
keupu comme toute les gouapes l’a l’meulon face au pti..lâche et méchant
Il y avait un gars, C.P., qui s’appelait Vaghetti (un nom qui est un programme). Après une scolarité brillante (Normale sup) il s’était retrouvé à travailler aux PTT. Un jour il a tout lâché et le voilà à vivre de la charité des habitués de quelques bars milanais. La quantité d’auteurs qu’il pouvait citer reste impressionnant, compte tenu qu’il pouvait rectifier les dates approximativement citées par un « grand intellectuel » (pas de noms, on risque la peine de mort), et rectifiées sur 2500 ans ce qui n’est pas rien… Je me rappelle qu’un après-midi assez ennuyeux (c’était l’été, la chaleur, etc.) il entra au bistrot (le bar Giamaica) … et commença à reciter sa comptine : « T’as pas 500 lire de trop ? ».
Sur quoi, Feltrinelli lui dit :
« Pourquoi ne fais-tu pas quelque chose de tes connaissances ? ».
Et lui :
« Te priver du plaisir de me rappeler mon passé, ce serait inhumain ».
…
…@,…renato,…à…15 h 09 mn,…et suite de 14 h 33mn,…
…
…pourquoi laisser le lien d’une de mes photos avec Webcam et retouchée en 2013,…qui date d’avant 2010,…
…
…qu’est ce çà peut vous foutre,…je n’ai pas demander de publicité – piraté,…etc,…
…
…réponse de GSA à 15 h 07,…etc,…
…je doit m’éclipser , j’ai autre chose à m’enquérir que ces libertés – renseignements sur mon dos,…
…en maillot de bain à Naples et au club-med c’est plus affriolant au soleil,…
…et encore mes photos de » nu » auto-déclenchées,…automatiques,…à voir et apercevoir,…
…çà serra pas demain la veille,…plus d’intimité,…je plein les vedettes les fesses en l’air,…etc,…
…
greubou aussi est un type bien, parfois il me rappelle MàC. j’éprouve pour greubou une sincère sympathie car il ne se lasse pas de demander à keupu de fermer sa gueule.
je ne sais pas qui est keupu mais greubou et moi partageons ce même désir de voir ce keupu, et tous les keupu de la terre, fermer sa gueule une bonne fois pour toute.
je sais que si je mettais dans la main de greubou une lame assez dure et profonde, il m’aiderait, par amitié, à réduire keupu au silence.
mon pauvre keupu. je l’ai connu autrefois, c’était un type drôle et intelligent.
sur les livres qui représentent les lois monstrueuses de la nature humaine il ne restera de toi que la photo de ton crâne desséché.
le rideau se referme.
fin de la scène 1 – acte 1.
Une photo de vous retouchée ça, Giovanni ?! https://lh4.googleusercontent.com/-ePD_GWxnjts/UhNfN0JjBRI/AAAAAAAAVb4/UZTKK2Bd0GM/w640-h368-no/13+-+1
acte 1 – scène 2
hamlet et greubou se retrouvent dans le jardin.
h : je t’ai apporté la lame. regarde greubou elle est assez profonde pour transpercer le coeur de keupu.
g : arghh!!! arghhh!!!!
h : bien dit greubou! keupu passera par là dans cinq minutes, auras-tu la force d’enfoncer ce couteau dans sa chair?
g : arghhh! arghhhh !!!
h : je savais que je pouvais te faire confiance.
qui va là ? greubou, j’entends des pas, keupu s’avance vers son destin.
g : arghhh !! arghhh!!!!
fin de la scène 2 – acte 1
acte 2 – scène 1
h : non greubou ! ne bouge pas une oreille ! ne reconnais-tu pas celui qui vient vers nous ?
g : arghhh! arghhhh!!!
h : oui greubou, toi aussi tu l’as reconnu, c’est le spectre de MàC, si ce n’est pas lui il lui ressemble comme deux cuillères à café
g : arghhh ! arghhh!
h : non greubou nous n’allons pas boire un café maintent. il faudrait que tu restes un minimum concentré sur l’action.
g : arghhh! arghhh!
h : comment ça ? que dis tu Chewbacca? tu n’as pas eu le temps d’apprendre ton rôle ?
g : arghh !
h : pourtant tu sais bien que le théâtre est le seul endroit au monde où chacun connait par coeur le rôle qu’il doit interpréter.
g : arghh argh!!!
fin de la scène
fin de la scène.
…
…une chance,…ce n’ai que les liens Google,…
…passons outre,…nos paparazzi’s, de fouineurs,…etc,…
…
« … nos paparazzi’s, de fouineurs »
Donc, si j’ai bien compris Giovanni, vous êtes une femme, vous avez des problèmes d’eau, et les Nation Unie en informent le public !
renato, bon, il fallait bien aussi rendre un peu vraisemblable Gambardella, parce que comme journaliste et interviewer de gens à la mode, on n’en voit pas grand-chose.
Cela m’a amusé que l’on puisse penser par contre à quelques noms pour la dame-aux-onze-romans. Au choix ? Ou bien quelqu’une est-elle plus précisément épinglée ?
Non, hamlet, auteur dramatique c’est pas pour vous !
« la dame-aux-onze-romans », C.P., est donnée pour nymphomane, gauche caviar, très caviar, ayant écrit une biographie de complaisance du PCI. Sinon, pour la correspondance, je vois pas ?
« parce que comme journaliste et interviewer de gens à la mode, on n’en voit pas grand-chose. »
Comment il exécute la performeuse !
A part ça, son boulot alimentaire lui rapporte un max, vu son appartement-terrasse avec vue sur le Colisée et sa garde-robe impeccable, malgré qu’il ne connaisse pas le meilleur tailleur de la ville, comme son voisin !
Sinon, pour la correspondance
vous vous êtes trompé de plan ? vprenez bien les plans du metro russe
« vous faites toujours monter les salauds en ballon »
c’est la marque des génies supérieurs
« ces gens si civilisés et raffinés qui publient des anthologies sans avoir le background requis »
Rassurez-moi, renato, vous faites de l’humour là ?
J’ai quelques noms C.P., dont deux amies.
Bon, in « La posta in gioco », un film que Welles n’a pas fait (j’ai le scénario sous la main), il y a un magnifique portrait de journaliste : Celia Brandini… Chercher toutes les correspondances avec Oriana Fallaci, ce serait indélicat, mais on sait que c’est elle…
Jacques, oui pour la performeuse (ou son agente ?) ; j’avais dit bien plus haut que c’était une des premières choses qui m’avait fait rire, avec le « Shakespeare d’au moins trois heures », et jusqu’aux recettes du Cardinal. Certains personnages comiques ont leur face plus triste ou plus « sérieuse », pour l’équilibre, comme le poète ou la sainte Soeur Maria.
Bien sûr, je plaisantais, Jacques.
keupu.
ta gueule
Votre naufragé, Jacques, a toutes les apparences d’un faune vicelard. Il ne lui manque que les sabots.
on dit souvent que la tradition antisémite est restée forte en Pologne. C’est possible. En tout cas, quand on lit une phrase comme ça : « A la différence des nazis qui tuaient essentiellement les étrangers – les Juifs, les Polonais, les Russes-, en Russie on tuait essentiellement les Russes », on ne se fait plus beaucoup d’illusions, comme si les juifs allemands n’étaient pas des allemands
ta gueule D
Et puis il y a Ramona, stripteaseuse quarantenaire qui s’accroche à sa bouée comme à la vie, et la relation quasi incestueuse que Jep entretient sur le tard avec elle, C.P. !
Tadi Koi? dit: 20 août 2013 à 10 h 00 min
con menteur et lache c’est keupu
Bon puisque c’est comme ça je m’en vais.
Vous resterez entre vous à méditer vos petites idées étroites et mesquines.
les faune vicelard avec sabots..c’est dur de leur faire des beaux culs dédé
Ramona, c’est épouvantable comme prénom.
Jamais je ne pourrais présenter à mes parents une vierge nommée Ramona.
AVEC WIKI
Le NKVD (НКВД, abréviation du russe : Народный комиссариат внутренних дел, Narodnii komissariat vnoutrennikh diél, en français « Commissariat du peuple aux Affaires intérieures ») est la police politique1 de l’Union des républiques socialistes soviétiques créée en 1934 par absorption de la Guépéou, avant d’être elle-même progressivement dissoute et absorbée par le MVD à partir de 1946, puis de disparaître totalement en 1954, date de création du KGB.
en tout cas baroz, pas de booteleuse au xixéme dans les campagne..et dailleurs y’a un lézard, booteler c’était un boulot de femme « lors que les homme fauchaient »..à bonne distance s’il sont cul nu
« Ramona, c’est épouvantable comme prénom. »
C’est ce que dit Jep à son père, D., et vous le savez très bien si vous avez vu le film, sans vous endormir ou partir avant la fin.
Le Naufragé du parc Montsouris cherche à sauver son jeune camarade, et Antoine Etex, quoiqu’en dise renato, est un grand sculpteur avec background…
Jamais je ne pourrais présenter à mes parents une vierge nommée Ramona
pas mal comme idée « étroite » dédé..j’espère quelle est pas chiche et mesquine
avec backroom ça suffit baroz
« le Petit Père des Peuples, guide incontesté du communisme international »
Au contraire, il a étouffé, trahi, écrasé les mouvements (communistes) internationaux, qui risquaient de menacer son pouvoir, sa caste bureaucratique
« les conspirationnistes new look nous affirment que tous ces morts, ce n’est que de la propagande et désinformation américaine! »
Oncle sam est parfait (sinon on s’en apercevrait..)
Jacques Barozzi dit: 20 août 2013 à 16 h 56 min
Pensez aux jeunes enfants, Jacques. Il demandent à leur mère pourquoi ces gens sont tous nus.
« avec backroom ça suffit baroz »
Pas pour renato, il exige le background, tu l’as pour le gode ceinture ?
Les blogs se prêtent peu moins aux discussions sérieuses qu’aux propos simplistes et aux échanges d’ivrognes
y’a des fils de pauvre avec backdoor qui sont allé loin en sculpture..tout de suite les parcs avec jeux d’eaux..on voit que t’as été élevé avec une grosse cuillère d’argent dans la bouche
bon ben moi je vais remonter la marne .. on ne sait jamais dans un bled perdu, quelqu’un pourrait me tendre un cigare ..
Mais non, D., les enfants se demandent plutôt pourquoi on est tout habillé !
Il demandent à leur mère pourquoi ces gens sont tous nus
et leur mère leur sourit comme les statues dans les parcs..pas la tienne dédé?
D., puisque vous faites vos courses, essayez la recette du lapin à la ligurienne « a modo mio ». Elle est dans Google.
Le Christ sur la croix n’est guère plus habillé, D., et cela ne vous choque pas ?
CIA documents acknowledge its role in Iran’s 1953 coup http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-23762970
..des ragots de pravda édité par une ville d’eau
Enfin, ce qui compte c’est que les bourreaux de la Grande Terreur soviétique aient eut leur background es tortures et exécutions sommaires !
on connait celui de katyn..un sac a vodka vétu de cuir jusqu’aux oreilles pour les éclats de cervelles
Les blogs se prêtent peu moins aux discussions sérieuses qu’aux propos simplistes et aux échanges d’ivrognes
allez jusqu’au bout de votre penséeSelon Lee Child, ce n’est pas le pinard, qui devrait être obligatoire, mais bien le pétard. Dans un entretien accord au Daily Mail, le romancier vient de livrer quelques-unes de ses ficelles d’écrivain. Pour transformer son écriture, qu’il qualifiait de rasoir, l’homme s’est mis au tétrahydrocannabinol, ou THC, la molécule active que l’on trouve dans l’herbe…
« http://www.actualitte.com/international/lee-child-amateur-de-marijuana-j-ai-fume-de-l-herbe-durant-44-ans-44479.htm
anniversaire:
20 août 1940. Le tueur du NKVD Ramón Mercader fiche un pic à glace dans le crâne de Trotski.
http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/20-aout-1940-le-crane-de-trotski-se-montre-moins-solide-qu-un-pic-a-glace-19-08-2012-1497267_494.php
De l’herbe, un pic à glace, qu’est-ce qui manque encore dans votre panoplie, tentative…, pour que le coktail soit explosif ?
Titre-Livre de 16.45, Vous avez juste oublié les guillemets à « étrangers », ce qui change tout.
Aujourd’hui, les Juifs de France ne sont pas tous Israéliens, ce qui n’est pas pareil !
http://www.nonfiction.fr/article-5878-les_camps_sovietiques_du_bon_cote_de_la_barriere.htm
Résumé : La vie quotidienne d’un gardien de l’un des camps du Goulag en Extrême-Orient à l’apogée de la terreur stalinienne.
(au printemps prochain (on tiendra bon – d’ici là , hein -) tenez-vous bien : GOTLIB, dans un musée du Marais ! enjoy !
personne ne l’ayant signalé, ça m’a-a-ga-cé, J’suis d’jà dans une bulle)
Il semble que 50 après rien n’est changé…
« Aujourd’hui, les Juifs de France ne sont pas tous Israéliens, ce qui n’est pas pareil ! »
Le niveau de nullité de Barozzi est toujours difficile à prévoir, à chaque instant il peut battre son record.
ferme ta sale gueule raclure de keupu
…
…@,…renato,…à,…16 h OO mn,…
…
…Giovanni n’est pas une femme,…Non,…ni d’Eve , ni d’Adam,…et on est ce qu’on est,…mais c’est n’importe quoi,…
…
…et est ce que, ma façon de parler,…peut suggérer que je sois une femme,…allons allons,…
…toujours en manque mes gaillards,…
…
…j’ai pas de confiture pour attraper les mouches,…et des illusions à ce point désespérer,…pour ramener la conversation au niveau de » macho « ,…grand guignol,…etc,…
…
…tout bien réfléchit,…vaut mieux être marier en cachette,…avec tout le monde,…pour mener son monde,…au ballet » rose « ,…
…çà !,…y avait longtemps qu’on l’a pas sortis,…etc,…comme terreur en déconfiture,…les voyages exotique en famille,…mondialiste,…
…offshore passe encore,…etc,…
…des pays, des frontières pourquoi faire,…Stalag 13 les finances à poils,…
…etc,…la classe en coupole,…etc,…
…
Vous avez juste oublié les guillemets à « étrangers », ce qui change tout
à mendelchtam aussi raclure de keupu..pour les nazi, juif et russe étaient parfaitment synonyme..toute l’énergie de goebbels etoye là..là. il jugeait la performance de sa propagande à ça
Mardi Gras :
http://libmma.contentdm.oclc.org/cdm/ref/collection/p15324coll12/id/2936
qu’est-ce qui manque encore dans votre panoplie, tentative…, pour que le coktail soit explosif ?
un artic de la pravda
https://www.youtube.com/watch?v=dxk3c_SbWMg
j’écris une version française de la Grande Bellezza pour le proposer aux studios canal+.
pour le rôle de Jep j’ai pris Beigbeder à 65 ans.
Jacques Barozzi vous pourriez m’aider pour choisir la personne qui sort de son gâteau d’anniversaire à la chantilly.
pour le moment j’hésite entre Houellebecq, Pierre Assouline et Greubou.
vous prendriez lequel des trois?
Jacques Barozzi vous pouvez me donner un coup de main pour ma version française de la Grande Bellezza.
question beauté des paysages pas besoin d’aller à Decize : Paris devrait faire l’affaire.
par contre pour les fêtes je pense que nous sommes obligés d’aller vous savez où : dans le Lubéron !
le Lubéron on ne peut pas y couper.
vu que dans le film italien il nous gave avec des écrivains français : Céline, Flaubert, Proust et André Breton je pense que par représailles on pourrait juste prendre des écrivains italiens : Pavese, Malaparte, Moravia…
il faut bien rendre aux italiens la monnaie de leur pièce : ils nous ont pourri nos écrivains on ne va quand même pas se laisser faire.
Jacques Barozzi, vous qui connaissez bien le milieu culturel national, dans le casting pour les fêtes vous verriez qui ?
j’ai commencé un petit casting :
Monsieur Assouline obligé.
Quignard obligé aussi.
Houellebecq, Onfray et BHL obligé.
pour le représentant communiste blindé de tunes et imposé à l’isf j’aurais bien vu Alain Badiou, vous en pensez quoi?
je reste ouvert à toutes vos propositions.
l’important c’est de se marrer.
« bouguereau dit: 20 août 2013 à 20 h 27 min
ferme ta sale gueule raclure de keupu »
moi aussi je t’aime mon greubou adoré.
je me demande ce que je deviendrais sans toi mon petit chouchou en sucre d’orge.
Jacques Barozzi pour notre adaptation française de la Grande Bellezza, si vous n’y voyez pas inconvénients, je pense qu’il faudrait demander un coup de main à C.P.
c’est le mieux placé pour nous aider.
j’espère qu’il connait Teresa Cremisi vu qu’elle devrait jouer un rôle pivot dans notre adaptation.
Je vous remercie, C.P.
Je ne déteste pas le lapin, mais le lapin vivant est si mignon que je n’ai pas suffisamment d’inclination à en consommer.
Je suis profondément affecté par la médiatisation d’une arrestation effectuée soit-disant avec violence. Affecté et dégoûté.
Je suis entièrement avec les policiers qui sont intervenus sur de graves infractions au code de la route et ont été pris à parti et blessés par morsure.
L’usage de la matraque et du gaz lacrymogène est dans ce cas la moindre des choses.
Les gens qui s’amusent à ça mériteraient 5 ans ferme de camp de travail et je vous promet qu’ils ne s’y risqueraient pas deux fois. Nos lois sont mal faites et notre système répressif très insuffisant. Tout le monde le sait mais peu ont le courage de l’écrire, comme moi.
J’ai l’habitude de souvent plaisanter mais là je ne plaisante pas. Le jour où les milices seront autorisées par la Loi pour faire régner l’ordre, je fais ici le serment d’entrer dans ces milices, si elles veulent bien de moi, et de concourir ainsi à remettre la Nation debout.
Et j’aimerais que ceux qui pensent comme moi aient le courage de l’écrire, ici, maintenant, et de faire le même serment que moi.
Je pense que j’ai eu tort de trop plaisanter ces derniers mois, et surtout de trop sympathiser. Beaucoup ici sont en définitive des dégénérés et des petites lopettes.
Jacky vous voyez bien que vous vous trompez : perso le mot « lopette » ne fait pas partie de mon vocabulaire.
Il n’y a pas ici une seule personne qui écrive et dont la pensée de soit pas profondément corrompue. Si pardon : une seule fait exception : Philippe Régniez, et je regrette de ne pas le lire plus souvent.
Je ne veux plus être vos amis. Considérez-moi maintenant comme un ennemi, vous me ferez un immense plaisir.
en 67 en finale (de foot) de la coupe Gambardella avec mon club de St Antoine nous avions battu l’OM 2 à 1.
Les Russes depuis quelque temps ont pris un bon chemin et j’espère ardemment que les Français, les vrais, feront de même bientôt.
« D. dit: 20 août 2013 à 21 h 39 min
Je ne veux plus être vos amis. »
non si vous êtes plusieurs il faut dire : nous ne voulons plus être vos ennemis.
Ferme ta sale gueule, Hamlet, qui rime avec Femmelette, soit dit en passant. Ou je te fais bouffer ton string jusqu’à ce que tu me demandes pardon à genoux.
« C.P. dit: 20 août 2013 à 16 h 03 min
renato, bon, il fallait bien aussi rendre un peu vraisemblable Gambardella, parce que comme journaliste et interviewer de gens à la mode, on n’en voit pas grand-chose.
Cela m’a amusé que l’on puisse penser par contre à quelques noms pour la dame-aux-onze-romans. Au choix ? Ou bien quelqu’une est-elle plus précisément épinglée ? »
C.P. vous êtes d’accord pour une adaptation réelle? sauf qu’on le ferait avec des vrais acteurs de notre culture.
pour Jep Gambardella on prendrait un journaliste autant nombriliste, un type qui n’imagine pas une seconde qu’il existe d’autres individus en dehors de lui, on ne devrait pas avoir de mal à trouver.
Tu n’es qu’une petite ordure vaguement gauchiste.
la Grande Bellezza n’est-ce pas un eu la version italienne de Tree of Life ?
Des coups de pieds au cul jusqu’à ce que tu dégages, toi et toute ta clique de dépravés, Baroz, Bouguereau et tutti-quanti.
Bon je vais me coucher.
Je leur ai fais peur, mine de rien, à tous ces couards.
D. je vais te dire un truc : tu peux t’attaquer à qui tu veux sur ce blog mais mon ami Greubou tu n’y touches pas, sinon c’est moi qui vais te faire bouffer ton clavier!
C.P. pour la dame aux onze romans je pensais soit à Ernaux, soit Angot, soit Alain Badiou.
Monsieur Assouline ce livre il faudrait l’offrir à Badiou.
encore que maintenant qu’il travaille à Hollywood le stalinisme il s’en tape comme de l’an 37.
Ils en ont eu l’idée fixe et en ont été hanté jusqu’à l’achèvement du projet.
mais une chose la réalisation, une autre qu’ils cessent d’être hantés par la question !ils difficile de croire qu’ils s’arrêteront là.
il est difficile de croire qu’ils ne pousseront pas leurs investigations
Les histoires de ηλικία (ήλιος) et de ελιξ sont et a la fois ne sont-ils pas des badineries de calembours ? C’est sur quoi il me reste des doutes, et je ne puis me suffire à moi-même pour approfondir ce que c’est que la science.
En fait je voulais signer Sagrate mais avec la vacherie de clavier d’ailleurs D n’a pas besoin de nous forcer pour qu’on ait envié de le bouffer.
hamlet, pour le cadeau sortant tout nu du gâteau, je ne vois que moi, dans le rôle. Oui pour les écrivains italiens, mais il faut rajouter Luigi Pirandello. Non, pas le Lubéron, respectons l’unité de lieu : le pavillon due la Croix Catelan, dans le bois de Boulogne conviendrait parfaitement. Pour le casting on peut encore étendre on a que l’embarras du choix, aux éminents représentants des arts et spectacles et des médias, il faut mêler des financiers, des couturies, des politiques et des grands chefs de la gastronomie française. Donner aussi une touche cosmopolite aux personnages contribuant à la renommée mondiale de Paris, des Américains, quelques Russes et des Africains. Monsieur U. serait parfait pour la touche asiatique. CELINE Pouillon pourrait nous donner un coup de main pour le scénario ? Mais que fait-on de renato ?
Sinon, pour La Grande Bellezza, voici mes dernières réflexions, ainsi que je vous l’ai écrit chez Sophie Avon : c’est Fellinien par le thème, viscontien dans la forme, et Antonionesque pour l’incommunicabilité existentielle des personnages et même un peu pasolinien avec l’aspect sacré apporté par la sainte mangeuse de racines…
C’est plus un film, mais une anthologie du cinéma italien !
Retour sur « pseudonyme » :
Mais qu’est-ce que j’ai fait au bon dieu pour qu’il m’ait laissé dire, après un petit signe à u. et à Bloom sur Depardieu dans « Uranus », que j’avais vu un film italien avec plaisir ? Mais qu’est-ce que j’ai fait là ! Enfin, ça fait des commentaires…
you’ve fucked aside it seems
C’est un peu ma faute, C.P., je n’aurais pas dû évoquer le plaisir des formes connues.
(Bon, il faudrait se tenir à « j’aime », si on a aimé ; et « j’y étais pas et si j’y étais je dormais », si on n’a pas aimé…)
renato, tant qu’il n’y a pas de plaintes auprès de l’hôtelier, ça va. Et comme il a aimé le film…
« es ragots de pravda édité par une ville d’eau »
la BBC = pravda?
JC, vous quand vous signez « observatoire de l’helvète », vous devenez D. en plus con.
Non, pas le Lubéron (Jacques Barozzi)
Luberon.
Parigot tête de veau.
« Mais qu’est-ce que j’ai fait là ! »
Faut assumer, C.P., et n’hésitez pas à nous reparler de vos prochains coups de coeur, surtout avant la déferlante de la rentrée littéraire !
Luberon, Esterel, Clemenceau, Perec…
à recopier combien de fois, maître JB ?
Luberon, Esterel, Clemenceau, Perec…
à recopier combien de fois, maître JB ? (Jacques Barozzi)
Quarante douze
la déferlante de la rentrée littéraire !
—
Que d’eau, que d’eau…
Eau forte? Eau tiède? Eau zone?
On prend pas de grands risques à parier que le marronnier automnal comportera encore une fois bien peu de « FitzGer eau » (1 doigt d’O, 9 doigts de Bourbon)…So we beat on, boats against the current, borne back ceaselessly into the past.
C.P. pourquoi? au contraire c’est bien d’en parler, de savoir que vous avez aimé ce film.
c’est bien de pouvoir échanger nos avis.
essayer de creuser, ne pas en rester à un avis superficiel : « ce film est bien » mais d’aller jusqu’au fond, comprendre, le sens, la signification, comprendre ce qui fait que film puisse paraitre tout à fait insupportable pour certains.
ce film incarne ce que notre époque porte en elle de plus détestable, non pas dans ce qu’elle montre de la vulgarité de cette société italienne : se dire au bout de 40 ans de vie à Rome que cette ville est insupportable alors que n’importe quel type sensé s’en rend compte au bout de 2 jours.
la métaphysique a l’italienne c’est, je le sais bien, en soi tout un poème.
quand on nourrit certaines ambitions, comme mettre d’entrée de jeu une citation du voyage de Céline, en rajouter une couche en nous tartinant du Proust en veux tu en voilà, avec Flaubert et Breton comme 2 cerises sur ce bavarois à la fraise, quand on nourrit cette ambition, quand met la barre à ce niveau il faut soit être très bon (c’est pas le cas), soit manquer de modestie (c’est le cas) soit être très niais (ce qui est aussi le cas).
c’est bien le genre de film que pourra nous faire un jour, en France, Frédérique Beigbeder, sans doute son film sera-t-il meilleur.
le nombrilisme des artistes n’est une chose dérangeante, mais il existe parfois, des sujets devant lesquels il faut savoir s’effacer, s’oublier.
je sais que demander à un italien de s’oublier 2 secondes est un combat foutu d’avance.
mais Dieu qu’on aimerait, en découvrant le sujet de ce film, avoir à faire à un type qui s’oublie, juste une minute, on a envie de lui dire : « essaie de penser à autre chose que ta petite personne débile et niaise juste une petite minute ».
cela m’a rappelé la fois où j’étais allé écouté Rollin et Enard parler de leurs voyages : absolument toutes leurs phrases commençaient par « je ».
Sorrentino c’est kifkif, sa conjugaison s’arrête à la première personne.
C.P. je ne suis pas un type aussi cultivé que vous ou que Barozzi. Le seul petit plus que j’ai en plus c’est peut-être comme j’ai passé un peu moins de temps à lire que vous cela m’a donné un peu plus de temps pour réfléchir.
prenez le « petit » film de W. Allen sur Rome, le moment où découvrant un chanteur qui ne sait bien chanter que sosu sa douche il décide de le produire sur les plus grandes scènes italiennes sous sa douche.
c’est rien, c’est potache, et pourtant ça en dit sur l’Italie mille fois plus que ce o.tain de film de Sorrentino.
Le seul petit plus que j’ai en plus c’est peut-être comme j’ai passé un peu moins de temps à lire que vous cela m’a donné un peu plus de temps pour réfléchir
la connerie atomique !
JC, vous quand vous signez « observatoire de l’helvète »
il est avec ses poteaux..ils s’enculent..il ne peut pas signer..ou sous la menace?
Cultivé, moi, c’est de l’humour à la renato, là !
hamlet, vous ne parlez du film de Sorrentino que sur le fond en oubliant la forme, en quoi il est remarquable et qu’un Beigbeder serait bien incapable d’atteindre. Même si la Grande Bellezza fait la part belle à la littérature, c’est avant tout du cinéma de cinéaste et du bon ! Pas nouveau, certes, renato, pour qui aucune forme n’est inconnue, mais du renouvelé du moins, comme le suggérait C.P., qui a parlé de renouveau du cinéma italien…
D., les vrais Français, vous voulez parler de qui ? Les aryens de souche francilienne ? Vous, vous êtes un franchouillard petit-blanc, du genre bouseux perdu en milieu urbain. Que ferait une jeune-fille, pas encore ramonée, avec un puceau de 53 ans ? Comme vous chiez de timidité dans votre pantalon, vous ne seriez même pas capable de la regarder droit dans les yeux. Vous ne partirez jamais de la RdL, en dehors de votre chat et de vos légumes bio, de Deschiens, des tubes des années 70/80, qu’avez vous pour remplir votre vie ? Les saintes-écritures, Philippe Régniez (même lui ne veut pas de vous), le FN, la nostalgie de la milice, la haine au ventre et la tête farcie de messe en latin de cuisine ? Vous finirez au paradis, vous serez la 81ème vierge.
pour le cadeau sortant tout nu du gâteau, je ne vois que moi, dans le rôle
tu sais qu’a vienne il font des visites naturiss dans les musées baroz?..pas mixte c’est bien l’autriche tien
Comme vous chiez de timidité dans votre pantalon, vous ne seriez même pas capable de la regarder droit dans les yeux
vontraube tu devrais moins lire et plus réfléchir merde
Il serait intéressant que Sophie Avon vienne nous dire ici ce qu’elle a pensé de La Grande Bellezza !
beaucoup ont comparé ce Sorrentino à Fellini, la preuve de la confusion actuelle.
pour cette raison qu’on peut s’interroger sur le but, l’intérêt de livres comme celui dont parle Monsieur Assouline.
quel sens faut-il donner à cette mascarade ?
« Pour savoir, il faut s’imaginer »
pour savoir quoi ?
imaginer quoi ?
c’est quoi ces c.nneries.
quelqu’un peut m’expliquer le sens qu’il faut donner à tout cette comédie, à ce cirque débile.
C’est un peu ma faute, C.P., je n’aurais pas dû évoquer le plaisir des formes connues.
une saucisse volante..ha mais..mais oui : c’est une forme connue
ces gens n’ont-ils pas assez souffert.
j’imagine la scène dans la Grande Bellezza : les copains de Jep qui feuillettent ensemble ce livre, j’imagine leurs discours.
c’est pathétique.
a-to-mique!
« j’imagine la scène »
Faut absolument la mettre dans la version française, hamlet. Passou saisissant le livre, indigné, sur une table basse d’un salon des beaux quartiers et le feuilletant avec de beaux messieurs et de belles dames parmi lesquels on reconnaitra Daaphnée…
tien chtement rgarde baroz ça srait pas la grande béléza..mais « le grand fritz »..mit wurst et rénato..hénaurme épicétou
D.goûtantD.g..lasse, vous êtes né trop tard, ah si vous aviez eu 20 ans sous Vichy et, que vous auriez pu devenir un Lacombe Lucien… On imagine le team de vous et JC, sur un scooter de la milice. Lui au guidon et vous dans un side-car.
la haine au ventre et la tête farcie de messe en latin de cuisine ?
..tu lis trop vontraube..tu devrais plutôt te mettre nu au métropopo et nous faire des rapports
Mais il n’est pas représentatif de l’Italie, hamlet. Il n’est même pas représentatif de Rome, mais simplement de ce « contexte ». Vous allez à Turin à Milan à Florence, et vous trouvez un « contexte » analogue mais pas semblable — autres tics, autres idiosyncrasies. C’est d’ailleurs pour ça que je conseille la lecture de « Fratelli d’Italia » car il bâti sur un fond mercuriale et poignant, ironiquement caché dans la prolifération des intrigues… Et ce n’est pas un hasard si je parle de « contexte » : se rappeler que Sciascia a écrit « Il contesto. Una parodia »…
Cela dit, ni le Juri de Cannes ni les Cahier du cinéma ne se sont trompé. Pour ma part, c’est un film agréable, pas plus. Certes, il est bien fait, mais produire un objet bien fait c’est le minimum requis.
Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, hamlet ? Vous aurez toujours raison, puisque vous être un réflexif, un penseur, un philosophe, quoi ! Ou un filousophe, comme le dit Hugo du Thénardier ? Mais vous ne discutez pas, vous jugez de haut une société, romaine ou non. Et un film que vous ne comparez même pas aux productions ordinaires. renato argumente, lui, sur les bases de construction de la machine sensible. Laissez donc tranquille la métaphysique, qui est très ordinaire en effet dans ce film. Elle l’est aussi bien chez Woody Allen, sauf qu’il s’en moque un peu plus.
Que vient faire ici Beigbeder ? FrédériquE ??? Jusqu’à preuve du contraire, c’est un homme.
Et qu’avez-vous lu d’Olivier Rolin ? Vous vous êtes mis en tête qu’il y avait une bande Rolin-Enard-Claro. Ce n’est vrai que parce qu’ils se connaissent bien.Et alors ? Ils vous déplaisent fort ? Soit ! Mais vous vous répétez sans les distinguer (comme d’ailleurs sont différents leurs éditeurs).
Bah ! accordez du moins à Rome (ville insupportable ? première nouvelle !) et aux acteurs -pas seulement Servillo- le boulot fait. Y compris à celui qui joue le Cardinal : c’est un excellent comédien que j’ai vu, en 1999 je crois, au Piccolo dans le Shylock du « Marchand de Venise », cela m’a fait plaisir de le retrouver en comique.
Je n’étais pas bien sûr que vous ayez vu ce film. J’incline maintenant à croire que oui. Excusez-moi donc et bonne journée !
Tiens ! bouguereau s’est réveillé avec un brin d’aérophagie…
TKT dit: 21 août 2013 à 8 h 43 min
JC, vous quand vous signez « observatoire de l’helvète », vous devenez D. en plus con.
JC ne revient que jeudi.
Toujours aussi burne l’helvète.
TKT dit: 21 août 2013 à 10 h 03
Vous, vous êtes un franchouillard petit-blanc,
« je sais que demander à un italien de s’oublier 2 secondes est un combat foutu d’avance.
mais Dieu qu’on aimerait, en découvrant le sujet de ce film, avoir à faire à un type qui s’oublie, juste une minute, on a envie de lui dire : « essaie de penser à autre chose que ta petite personne débile et niaise juste une petite minute ». » Hamlet.
je sais que demander à un italien de s’oublier 2 secondes est un combat foutu d’avance.
mais Dieu qu’on aimerait, en découvrant le sujet de ce film, avoir à faire à un type qui s’oublie, juste une minute, on a envie de lui dire : « essaie de penser à autre chose que ta petite personne débile et niaise juste une petite minute ».
TKT dit: 21 août 2013 à 10 h 21 min
vous auriez pu devenir un Lacombe Lucien
Renato est rassuré, le jury de Cannes et les Cahiers du cinéma, qui ont le background, sont de son avis.
Voilà un film agréable qui aura fait parler de lui ici.
Je pense que TKT va nous en reparler très prochainement.
Le boug, c’est pas du jeu, le personnel du musée n’est pas tout nu ! En tout cas, on voit la différence entre la réalité filoutées et les représentations artistiques idéales et idéalisées…
Ah ! la journée commence bien, et ça promet, avec hamlet qui reufleuchit ! Ou qui jabote dans de la ciguë avant dix heures du matin ?
Mondieumondieu, qu’est-ce que Mathias Enard a bien pu lui faire ? Qu’il le trouve emmerdant, c’est son droit, mais c’est de la haine insondable, ça, hamlet ! Je m’en vais lui dire, à Mathias, qu’il a ici le pire ennemi qu’il ait pu imaginer. Il s’en foutra, il est en famille et en province.
Floutee, la réalité
Pas de majuscule à Dieu sans « x », C.P. ?
C.P. dit: 21 août 2013 à 10 h 50 min
Il s’en foutra, il est en famille et en province.
Mais c’est nous qui nous en foutons CP que vous connaissiez Enard et que vous sachiez où il passe ses vacances.
Telles filles, tel père.
Que des minuscules, nomdedieu ! La religion est un poison.
Est-ce moi qui ai parlé d’Enard ? Ou hamlet pour la centième fois ?
En dépit de ses aspects déplaisants, l’action du pouvoir soviétique et de la NKVD contre les éléments jugés indésirables suggère des solutions efficaces pour éradiquer la criminalité à Marseille et dans le reste de la France. Une réforme de la démocratie ( par exemple, on réserverait le droit de vote aux seuls citoyens utiles), du droit ( les prétendus « droits de l’homme » seraient fortement limités, les droits de la défense ne pourraient s’exercer qu’à certaines conditions), la formation d’une police secrète chargée des interventions préventives (liquidation des individus ou des groupes suspects de menacer l’ordre public), pourraient faire partie de l’arsenal (au sens propre) des mesures envisageables, que d’autres pays d’Europe pourraient d’ailleurs prendre. Ainsi, en Italie, des « comités d’accueil » pourraient être chargés de la gestion de l’afflux de migrants venus d’on ne sait où, débarquant sur les plages de la péninsule.
En dépit de ses aspects déplaisants, l’action du pouvoir soviétique… (mézigue)
Il s’agit ici évidemment d’une « expérience de pensée », procédure usuelle dans les sciences dites « dures ».
baroz, tu pourrais expliquer à ton pote TKT que D. est un personnage fictif ? (Juste pour qu’il arrête de nous pomper l’air avec ses d.biles, ducornaud et autres « connentaires » à longueur de fil.) Dis-lui aussi que D. = Dexter, Puck, hamlet et bien d’autres. Peut-être que, toi, il te croira. Et ça nous fera des vacances.
10h22…et nous faire des rapports… Des rapports sexuels? pour nous divertir du grand eMMMdement? Je ne comprends rien mais alors rien à ce qui se passe ici depuis 48 heures entre les nostalgies du genre milice pour arrêter quoi ou qui? et ce film qui n’est distribué qu’à Paris dont on peut deviner la sauce aigre-douce, la critique portée à ce livre des martyres pour délit d’obscénité.
Cela dit, il m’arrive de me demander si, comme John Brown, je ne suis pas moi-même un personnage fictif. Hamlet appellerait cela un doute existentiel.
« D. = Dexter, Puck, hamlet et bien d’autres. Peut-être que, toi, il te croira. »
Je le lui ai déjà dit, sans succès, apparemment, supplique à… Mais je crois que D. l’a harcelé directement sur son blog et je ne connais pas tous les dessous de leur antagonisme personnel ?
De même pour renato : quand il traite C.P. d’abruti parce que celui-ci aime un film que lui, il n’aime pas, c’est du second degré. Il joue un rôle.
D’ailleurs, je pense être la seule personne sincère de ce blog.
Il faut acheter ce livre, regarder avec tendresse ces visages, écouter ce qu’ils nous disent. Sans réserve. Pour qu’ils ne soient pas oubliés totalement, eux, et les causes de La Grande Terreur Communiste, avec eux.
« La Grande Terreur Communiste, »
Staline n’était pas communiste.
Staline était le nectar, le fruit parfait du communisme, car le communisme conduit à la dictature. Partout. Toujours.
X….. est le nectar, le fruit parfait du crétinisme, car le crétinisme conduit au confusionnisme. Partout. Toujours.
mais bien sûr jc…(ce qui est drôle et poignant au sujet de cette vieille branche de vieil hibou de PQ, c’est que, quel que soit le sujet, il lâche ses refrains de vieil ivrogne gaga maniaque convaincu d’édicter des vérités universelles, d’avoir tout vécu, de tout connaître, d »énoncer un savoir et une expérience dont il est totalement dépourvu).
Tout ça c’est parce que TKT a un bichon, ça prend la tête un bichon.
J’avoue. Mais vous ne pouvez m’accuser de rien, car je signe X. Mes commentaires sont anonymes.
laurent dit: 21 août 2013 à 12 h 01 min
mais bien sûr jc…
On jurerait mon maître avec D.
darlier, vous êtes sot.
Cela dit, il m’arrive de me demander si, comme John Brown, je ne suis pas moi-même un personnage fictif. (D.)
Fictif, réel… : ces concepts sont à manier avec la plus grande circonspection. Consulter à ce sujet Chevillard, qui s’y connaît incomparablement mieux que moi.
laurent vous l’êtes aussi.
Et je m’y connais en sottise.
darlier, vous êtes sans doute beaucoup plus instruit que moi, mais j’ai des principes. Tout ce qui est à gauche de Jean-François Copé est mal.
« Staline n’était pas communiste. »
c’était un opportuniste manipulateur prêt à tout pour rester au pouvoir
CP
il me semble que filousophe chez Hugo vise aussi très légitimement Pierre Leroux.Lequel aura comme oraison funèbre du meme Totor: « Pierre Leroux est mort, c’est la meilleure chose qu’il ait pu faire! »
je passe gentiment sur le dernier Enard.
Bonne journée
M;Court
Evidemment, je n’ai pas votre intelligence, darlier. Evidemment, je ne sais pas ce qu’est le communisme car, pour le savoir, il faudrait que j’aie lu des livres difficiles, comme u. Mais mes certitudes me suffisent. Et u. m’approuve, de toute façon, quoi que je dise.
Consulter à ce sujet Chevillard,
Jambrun
On jurerait ma maîtresse
X impossible d’être moins que personne, un individu sans nom dans ce monde équipée tel qu’il l’est sera toujours quelqu’un s’il est lu écouté recherché regardé et pourtant les communismes excepté en Corée du nord ont passé l’arme à gauche, comme quoi on peut encore discuter des méthodes de surveillance en démocratie libérale.
oui, non mais là ça ne va plus du tout, n’importe qui peut signer X, par définition, même moi, alors bien sûr on ne s’en sort plus.
« La religion est un poison. »
L’opium du peuple, disait Lénine.
Et, pour en revenir au sujet du jour, C.P., parlons du contre-poison imaginé par Staline !
A ce sujet, je vous conseille l’excellente relation de son voyage andalous faite chez Paul Edel par ML. Notamment sa visite à Tolède du musée de l’Inquisition : il a pu toucher la poire avec laquelle ces saints hommes défonçaient l’anus des sodomites, histoire de le remettre à l’endroit !
ça vaut le détour…
La monarchie stalinienne
devrait inciter à une prudence certaine
envers toute forme de pouvoir personnel.
Cultissimement.
acques Barozzi dit: 21 août 2013 à 12 h 17 min
« La religion est un poison. »
L’opium du peuple, disait Lénine.
Non.
« La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, comme elle est l’esprit des sociétés d’où l’esprit est exclu. Elle est l’opium du peuple. » Marx-Engels (Critique de la Philosophie du droit de Hegel).
Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 12 h 17 min
« La religion est un poison. »
L’opium du peuple, disait Lénine.
Whouarf !!!!!!!!!
Quand le pipilet veut jouer au cultureux.
Fais comme d’habitude baroz, un copier/coller, abandonne la mémoire.
Mais qu’il est con.
…
…la grande » terreur « ,…de l’égoïsme planétaire,…
…ou çà,…laisse nous bronzer,…toucher pas à nos couronnes du capitalisme pieux en partage,…
…
…grand concours dans l’univers et sur terre,…qui sera le plus riche et le plus heureux des hommes et en excellente santé,…
…
…à tantôt dans 1 siècle,…etc,…
…
…Dallas Junior,…Oui, comment faire,…
…mon fils,…avec Contrex éliminer,…la terreur pour vivre,…et éliminé partout,…par la terreur de Contrex,…etc,…
…
Pardon, non pas à Tolède mais à Cordoue. Extrait :
« Je reprends la parole juste pour dire que le plus spectaculaire à Cordoue, c’est une exposition sur les instruments de torture de l’Inquisition, instruments authentiques qu’on voit, qu’on peut toucher, de la chaise à clous ou du sarcophage qui referme ses pointes sur le/la pauvre diable qui s’y trouve enfermé(e) à la poire pour vous défoncer l’anus si vous étiez un homosexuel, tout y est. C’est totalement effrayant, on ne ressort pas indemne de là. Le NKVD était plus expéditif avec une balle dans la tête. Les Maures ont brûlé à Cordoue quelques fanatiques chrétiens qui blasphémaient volontairement le nom du prophète en place publique. Mais ces horreurs n’ont rien à voir avec ce raffinement de l’Inquisition dans l’art de faire souffrir lentement jusqu’à l’agonie. On comprend, pire on sent ce que c’est que le diable quand il est devenu une politique d’Etat. »
Marx-Engels l’ont théorisé, mais Lénine l’a mis en pratique, non ?
Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 12 h 31 min
On croirait LML se rattrapant aux branches.
Minable.
« on ne ressort pas indemne de là. »
Après Auschwitz, Cordoue, déjà que ML était bien atteint au départ, dans quel état va t-on le retrouver à la rentrée !?
Jacques Barozzi,
merci de ne pas nous imposer La Mauvaise Langue là où elle n’est pas.
Pour se rattraper il faut déjà oser se jeter, Con-firmation, mais vous préférez rester prudent et sous couvert d’anonymat. Comment dites-vous…
minable ?
Le pipilet croit qu’afficher son nom donne une valeur à ses propos.
L’insignifiance ne porte pas forcément un nom.
Aux noms de quels contresens
les complices de la fabrique de fantômes
n’ont-ils pas commis leur crimes impunément ?
Croisadiquement.
Con-firmation
baroz est bien du même moule que traube.
Marc Court, la description de Thénardier est aussi forte, en moins énorme, que celle de son épouse. Et son dernier mot : « filousophe » fait de l’effet.
Bien sûr que vous avez raison pour le dernier Enard. Chez hamlet, c’est sa fucking target qui m’agace. Il pourrait changer de cible.
« L’insignifiance ne porte pas forcément un nom. »
Vous en êtes la confirmation, Confirmation.
» ce qui est à gauche de Jean-François Copé est mal. »
c’est péché
Un jour, peut-être, vous réussirez, hamlet, à exprimer des idées à vous, ce n’est pas sûr mais tout est possible… pour l’instant tâchez, au moins, de ne pas faire dans le jugement pré fait — ces choses stupides que vous dites à propos des autres et qui ne sont que l’image de vous même que vous refusez d’accepter… chauvin, va…
@ Miroir, bon beau miroir alias D. ou JC dit: 21 août 2013 à 10 h 41 min »TKT dit: 21 août 2013 à 10 h 21 min
vous auriez pu devenir un Lacombe Lucien »:
Pas vraiment, pas le même milieu social de naissance*, et puis je vois mal un Juif engagé dans la milice, sauf avec une fausse identité. Non, D. et vous JC, vous êtes les seuls commentateurs de ce blog, pour bander pour la milice. Enfin, pour ce qui est de bander, D. est impuissant, mais bon tout se passe dans la tête, n’est-ce pas ?
@ D., personnage de fiction ? Non, je l’ai aperçu en 2006 au Centre Culturel Suisse de Paris, un type que l’on ne remarquerais pas, sauf qu’il semblait chercher quelqu’un et que arrivé à ma hauteur, il baissait les yeux vers ses chaussures comme un « weirdo ». Bien entendu, dans la vraie vie, D. ne peut paraitre autre que personnage de BD, du genre de mec à enfermer dans un asile psychiatrique, avec comme psychanalyste, HR, qui elle ou lui a au moins a deux genders.
Cessez de renvoyer les balles, un peu d’imagination trouDuc.
* Lacombe Lucien est au départ un jeune agriculteur, qui passe par hasard dans la milice. Famille de paysans du terroir, il aurait aussi pu devenir Résistant. Cela me rappelle « Match-Point ».
N’oubliez pas, JC, vous ne signerez JC que demain jeudi…
« ce raffinement de l’Inquisition dans l’art de faire souffrir lentement jusqu’à l’agonie. »
ils faisaient qu’obéir aux ordres du Très-Très-Très-Haut pour gagner le paradis
@ Firmin dit:21 août 2013 à 12 h 51 min
Con-firmation
baroz est bien du même moule que traube. »
JC, je prends ceci comme un compliment.
Votre moule (la Muschi maternelle) est le même que celui de Fiat Lux Pathos D. etc…
Peut-être en fait, êtes vous D. ? Difficile d’imaginer sur un seul Blog, deux personnes aussi débiles
« dans la vraie vie, D. ne peut paraitre autre que personnage de BD, du genre de mec à enfermer dans un asile psychiatrique, »
idem pour le tordu de PQ
Quoi, on enferme les onanistes maintenant ?
ils faisaient qu’obéir aux ordres du Très-Très-Très-Haut pour gagner le paradis
..mais non..l’était au service de l’état espagniol..qu’il a horriblement efficacement servi..le maitre fumier machiavel ne s’y ait pas trompé vu qu’c’est là qu’il a pécho son modèle..aprés on accuse dieu et le pape..hop et hop..vdqs et dsk
Marc Court, j’ai voulu dire par « dernier mot » le résumé du portrait de Thénardier PENSEUR. Il est bien connu, mais je ne résiste pas à taper :
« Il y avait des noms qu’il prononçait souvent, pour appuyer les choses quelconques qu’il disait, Voltaire, Raynal, Parny, et, chose bizarre, saint Augustin. Il affirmait avoir « un système ». Du reste, fort escroc. Un filousophe. Cette nuance existe… »
Et quant au portrait de la Thénardier, cette espèce de clausule, peut-être pour faire sourire ici : « Au repos, il lui sortait de la bouche une dent. »
L’opium du peuple, disait Lénine
..et dieu fume des havanes etc..
c’est toi jicé?..tes potes sont si chiants?
Marx-Engels l’ont théorisé, mais Lénine l’a mis en pratique, non ?
hach..en tout cas choumpétère dit lui même qu’au finiche le kapitalisme tel qu’on le connait mourrira..il le regrette mais que c’est pas popo que ça dure..la machine baroz, la machine qui va t’entreprende, et pas que par le cul
Quoi, on enferme les onanistes maintenant ?
..c’est d’l’intérieur que les chiottes sont fermé rénato..tourne la chevillettechérra
« .l’était au service de l’état espagniol »
lui-même inspiré par le Très-Haut- c’est clair comme de l’eau de roche
On a beau dire que l’Histoire ne se répète pas, il n’en reste pas moins que l’Humanité a accumulé, au fil des âges, un stock de protocoles expérimentaux politiques, sociaux, religieux (terreur stalinienne, kampuchea démocratique, apartheid, saint-barthélémy, j’en passe et des meilleurs pour ne faire de peine à personne, dans lesquels il lui est loisible de puiser à sa guise, à titre de modèles opératoires : pour reprendre l’exemple de la lutte contre la délinquance à Marseille, il n’est pas radicalement exclu qu’un régime d’apartheid soit appliqué un jour plus ou moins prochain aux quartiers sensibles et aux populations qu’on aura préalablement qualifiées de « populations à risques », sinon de « populations indésirables ».
Ces « quartiers nords » de Marseille, dont nous abreuvent les média, c’est pas déjà un peu le ghetto, JB ?
630
commentaires