de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Thomas Mann écartelé entre l’intime et l’épopée

Thomas Mann écartelé entre l’intime et l’épopée

Cela parait à peine croyable mais il n’existe pas de biographie en français de Thomas Mann (1875-1955), malgré le statut de l’écrivain et le rayonnement de son œuvre, alors qu’on ne compte plus celles consacrées à des seconds couteaux, des demi-soldes et des personnages du second rayon du XXème siècle littéraire. On trouve en traduction des essais sur son oeuvre ou des enquêtes sur l’ensemble de la famille Mann mais pas de biographie alors qu’elles ne manquent pas en allemand (en 1996, il en parut trois dans la même semaine). Serait-ce que les Français le considèrent comme trop daté ? Qu’ils tiennent ses romans pour trop sérieux, trop pesants ? A moins qu’ils ne le considèrent pas, tout simplement, son Nobel remontant tout de même à 1929. Gardons-nous d’en tirer des conclusions trop définitives. Il suffit de se souvenir qu’il y a une dizaine d’années d’encore, on trouvait difficilement des rééditions de Bernanos en librairie. Vaste et peuplé est notre purgatoire.

Avec le Magicien (The Magician, traduit de l’anglais (Irlande) par Anna Gibson, 608 pages, 26 euros, Grasset), livre hybride à mi-chemin entre le roman et la biographie, Colm Toibin (1955) lui rend justice. Du moins comble-t-il une lacune. Ce n’est pas la première fois qu’il se livre à genre d’exercice. Il y a une quinzaine d’années déjà, l’Irlandais, qui enseigne le Ulysses de Joyce à Columbia University (NY), avait essuyé les plâtres de ce genre hybride à mi-chemin entre roman et biographie en revisitant la vie et l’œuvre de Henry James à travers le prisme de six années considérées comme une période-clé ; le résultat était assez convaincant sinon éblouissant (The Master).  

Le procédé est donc par lui éprouvé qui consiste à pousser l’empathie jusqu’à restituer une vie à travers le regard du héros. Il revendique d’imaginer ce que Thomas Mann pense lorsqu’il regarde par la fenêtre de manière à ce que lecteur voie le monde par le regard du héros. Ce qui ramène son livre davantage sur les rives du roman que sur celles de la biographie. Le séjour à Davos qui déclenchera la Montagne magique ? Vite expédié. Celui à l’hôtel des Bains au Lido ? Plus largement traité, mais il est vrai qu’il est le cadre de Mort à Venise… L’œuvre est si peu analysée qu’on en oublierait parfois que c’est d’un écrivain qu’il s’agit.

 Son Journal lui est évidemment très précieux. On a souvent dit que Mann était écartelé dans une zone grise d’incertitude entre l’intime et l’épopée, Mort à Venise et les Buddenbrook, toujours en tension entre ces deux pôles. Colm Toibin réussit très bien à brosser le portrait d’un personnage qui abritait deux hommes en lui en permanence, l’un prenant le dessus sur l’autre en fonction des circonstances : d’un côté un démocrate calme et mesuré, maitre de son art, passionné de musique de chambre et de poésie lyrique, solitaire comptant peu d’amis, qui aurait pu s’accommoder de la nouvelle Allemagne en choisissant comme tant d’autres l’exil intérieur ; de l’autre côté, un imprudent, un flamboyant à la sexualité débridée, qui détruisait son entourage et se laissait ronger par ses démons.

La musique, dont l’écoute le déstabilisait tant, contenait en germe sa propre destruction. Rien ne le plongeait dans le doute comme de penser que les dirigeants nazis et lui aimaient le même Wagner. Un homme sans qualités ni conviction ? Le jugement est un peu rapide même s’il a souvent l’air de flotter autant entre ses engagements qu’entre ses préférences sexuelles. Un homme plein d’incertitudes. Imprévisible, gris, froid, dépourvu d’affects, incertain, nerveux. Un homme ordinaire au fond qui aura arpenté l’Europe et le monde pour prononcer des conférences, répondre aux interviews, faire plaisir à sa femme, aider ses enfants et son frère, fuir le nazisme, mais qui ne rêvait que d’une chose : s’éloigner du bruit et de la fureur pour s’isoler du monde afin d’écrire en paix. Bourgeois conformiste et rêveur ambigu, cet ambivalent était rongé par le sentiment de son imposture.

Naïf au point de ne pouvoir imaginer que des gens aussi grossiers et vulgaires que les nazis soient capables de parvenir au pouvoir, de l’exercer et de le garder, il ne doutait pas de leur défaite alors que ses enfants Klaus et Erika prenaient tous les risques à travers leurs articles et leurs conférences pour informer les européens de ce qui se tramait et de ce qui les attendait, et que son frère Heinrich le pressait de s’engager. En ce temps-là, au début des années 30, il vivait pourtant à Munich mais passait le plus clair de son temps à écrire. Il aura assez de lucidité par la suite pour reconnaitre que, pour n’avoir pas vu ou pas voulu voir les signes avant-coureurs de la barbarie, il avait échoué à comprendre l’Allemagne. Toutes choses bien rendues par Colm Toibin qui n’a pas son pareil pour s’insinuer dans les pointillés d’une vie afin d’en débusquer le côté sombre.

Dépourvu de culture politique, Mann n’y entendait rien au fond et manquait de sens politique. Katia était plus subtile, plus fine, plus intelligente que son mari, lequel est parfois déroutant, ainsi lorsqu’il soutient mordicus lors d’une conversation avec ses enfants qu’il est en train de « lire Dante dans le texte, en anglais ». A table c’est un fantôme. Il ne participe pas. Un spectre qui est là sans l’être. Sa femme est du côté de la vie ; lui, du côté de l’absence. Contrairement à lui, d’un naturel austère, elle ne manque pas d’humour : « Si seulement tu te levais de bonne heure, tu pourrais écrire un livre qui intéressera le monde entier » lançait-elle à son fils Klaus alors âgé de 40 ans… On la voit se battre aux frontières en excipant de la qualité de prix Nobel de son mari, ce qui laisse les douaniers anglais aussi indifférents que les réceptionnistes suédois. Il aurait voulu s’installer définitivement en Suisse pendant la guerre car les montagnes lui rappelaient son pays et au moins, dans une bonne partie du territoire, il jouissait d’entendre parler allemand. Las ! Il n’obtint pour lui et sa famille qu’un permis de séjour provisoire. Plutôt qu’un sanctuaire, c’était une forteresse.

« Papa est un magicien ! » : c’était la plaisanterie de ses enfants pour le désigner tant il se plaisait à leur faire des tours de passe-passe mais le sobriquet lui restera. Ils étaient petits alors. Avec le temps, ça s’est gâté entre eux. L’auteur fait état d’une lettre terrible, signé de Michael, le plus équilibré de leur descendance, où tout est dit du couple Mann tel que leurs enfants les voyait. Elle date de 1949, année du suicide de leur fils Klaus. Ils se trouvaient alors en Europe et n’avaient pas daigné se déplacer jusqu’au cimetière du Grand Jas à Cannes :

« Je suis sûr que le monde t’est reconnaissant de l’attention que tu accordes à tes livres. Mais nous, tes enfants, nous n’éprouvons aucune gratitude pour toi, ni d’ailleurs pour notre mère, qui était toujours de ton côté.. Il est difficile de penser que vous êtes restés dans votre hôtel de luxe tous les deux pendant qu’on enterrait mon frère. Je n’ai dit à personne à Cannes que vous étiez en Europe. Les gens ne m’auraient pas cru. Tu es un grand homme. Ton humanité est universellement appréciée et applaudie. Je suis sûr que tu es couvert d’éloges en ce moment même en Scandinavie. Cela ne te dérange probablement pas que ce sentiment d’adulation ne soit partagé par aucun de tes enfants. En m’éloignant de la tombe de mon frère, je voulais que tu saches l’immense tristesse que je ressens en pensant à lui »

Son hésitation à retourner en Allemagne était à la mesure de l’immense ressentiment de la population dont ses amis lui assuraient qu’il se retournerait contre lui, l’exilé, le néo-californien. D’autant que c’est en Allemagne de l’Est qu’il voulait se rendre, ce qui le mettait au ban de la bonne société politique et mondaine de Washington qu’il avait courtisée. Mais sa véritable angoisse se situait ailleurs. Thomas Mann, qui avait a dû abandonner le manuscrit de son précieux Journal derrière lui en quittant l’Allemagne, craignait que, une fois découvert par la Gestapo, il ne soit l’objet d’un chantage eu égard aux confessions intimes qui y étaient consignées. L’idée que ses fameux cahiers soient remis un jour à Goebbels, le ministre de la Propagande, le hantait. Outre l’attirance pour tel ou tel jeune homme croisé au gré des voyages, on y trouvait consignées des pages troublantes sur la séduction qu’exerçait sur lui la beauté du corps de son fils Klaus alors adolescent.

Colm Toibin y accorde une grande importance. Il a ceci de commun avec Dominique Fernandez dans nombre de ses livres ou avec Jean-Luc Barré lorsque celui-ci a consacré trois tomes à la vie de François Mauriac : s’emparant de Thomas Mann découvert dans ses jeunes années, s’empoignant à nouveau avec son œuvre en miroir avec sa vie, il les revisite à travers le prisme dominant de son homosexualité refoulée. Que Mort à Venise soit relu sous cet angle, cela parait évident (encore qu’il s’agisse plutôt en l’espèce de pédérastie) ; mais les autres ? Avant même d’ouvrir son Magicien, il suffit de lire ses interviews pour deviner le sens légèrement orienté de sa démarche. Il revendique toujours sa qualité de gay quel que soit le sujet- et plus encore lorsque le-grand-écrivain-allemand est son centre d’intérêt. Le fait est que depuis une vingtaine d’années, le cas Thomas Mann est un sujet pour les études queer dans nombre d’universités. Lorsque Libération demande à Colm Toibin pourquoi, après Henry James et Thomas Mann il ne consacre pas un livre de ce genre à James Joyce, il répond :

« Parce que sa sexualité est totalement certaine. Il n’y a donc rien à explorer. Il n’y a pas de drame. Et aussi, peu importe ce que vous faites avec Joyce, vous devez faire face au sexe et essayer de décrire son esprit alors qu’il travaille sur Ulysse et Finnegans Wake. Cela demanderait beaucoup de travail littéraire. Mais en Joyce, il n’y a aucun secret. Il n’y a rien d’inconnu. Je ne peux pas travailler avec ça ».

On sait que tout écrivain écrit par rapport à son secret. Mais que Joyce n’en ait pas eu, est-ce si sûr ? L’exactitude n’est pas son propos. « Parfois moins j’en sais mieux c’est » reconnait Toibin. Mais est-ce vraiment un compliment quand un blurb de l’écrivain Richard Ford souligne que le Magicien est « une réussite remarquable de l’imagination » ? Ca se discute.

Mann était père de six enfants. Ah, ses enfants… : deux homosexuels, une bisexuelle et deux filles qui n’aimaient coucher qu’avec des vieux (Erika était la maitresse du chef d’orchestre Bruno Walter). Voilà le tableau tel qu’il se dresse. Mais le plus important, c’était son mariage. Plus encore que le portrait d’un mariage à la Nigel Nicolson, le Magicien est celui d’une famille de la haute bourgeoisie bohème dominée par la figure de Katia Pringsheim. L’auteur imagine ce qu’elle savait des démons qui agitait son mari, lequel avouait juste une relation à 15 ans avec un camarade de lycée. Parfois, elle en fut témoin : à 75 ans, il était tombé amoureux d’un jeune serveur à Zurich, au point d’écrire dans son journal qu’il pourrait échanger sa renommée contre l’attention de cet homme. Erika et Katia avaient même organisé des rendez-vous, du moins selon l’auteur. Alors qu’il travaillait à l’écriture des Confessions du chevalier d’industrie Félix Krull (le roman demeurera inachevé), il fut en effet envahi par un coup de foudre pour un certain Franzl, serveur au Grand hôtel Dolder, près de Zurich ; l’auteur nous apprend solennellement en isolant sa révélation, que non seulement sa présence dans les mêmes murs que lui mais pas au même étage le troublait infiniment, mais que « Chaque matin, il se réveillait avec une érection ». Certes… Dans ses carnets intimes, il l’appelait « mon envoûteur ». N’empêche que de son homosexualité active, on ne sait strictement rien et c’est pour ca que cela intéresse tant Toibin. Il imagine… Mais cette insistance à faire de ce secret-là la clef de son sa vie et de son oeuvre devient de en plus pesante et de moins en moins convaincante à la longue.

Au vrai, il semble que l’incertitude que l’auteur ne cesse d’explorer au cœur de la vie de Mann l’a si bien envahi qu’il en a tiré un livre au statut des plus incertains. Brillant, surprenant, d’une lecture incontestablement passionnante même si on aurait aimé en savoir plus par exemple sur la transformation du militariste pangermaniste en démocrate, d’autant qu’il n’est pas tombé dans le piège classique qui l’aurait entrainé à imiter le style de son héros. L’ensemble souffre d’être parfois nourri d’informations, comment dire, incertaines. La loi du genre élu par l’auteur. C’est à se demander si par instants, Toibin ne se trouve pas dans la même situation que le procureur anglais au proçès de Nuremberg : celui-ci croyait citer Goethe alors qu’en réalité, il citait le Goethe und Tolstoï (1932) de Thomas Mann.

Colm Toibin s’est rendu sur les lieux de mémoire de l’écrvain, à Lübeck bien sûr, le berceau de la famille qui a inspiré les Buddenbrook, mais aussi à Pacific Palisades (Californie), au Brésil d’où venait sa mère, sur la Baltique où il s’était fait construire une maison grâce à l’argent du Nobel. Ses sources ? Outre les œuvres de Thomas Mann et celles de ses enfants, les principales biographies consacrées à l’écrivain et traduites en anglais ainsi que quelques livres sur des musiciens, sur le IIIème Reich ainsi que le précieux Weimar en exil de Jean-Michel Palmier. Il n’a évidemment pas été voir du côté des archives.

Après avoir lu son Magicien, et passé d’excellents moments en sa compagnie, on est pris d’une soudaine curiosité qui nous pousse à aller chercher ailleurs ce qu’il en est de l’exactitude de tout ce qu’il a raconté sur le grand écrivain. Pour le reste, pour l’intime vérité d’un homme, Toibin c’est encore ce qu’il y a de mieux en français. D’autant qu’il n’y a rien d’autre. Rendre passionnante la vie de cet austère qui ne se marrait pas relevait du miracle. Au fond, le vrai magicien, c’est lui.

(« Thomas Mann et sa famille sur la plage de Nidden (Nida) en 1930 » photo D.R.; « Thomas Mann » photo D.R.:;  « Klaus et Erika Mann », Photographie de Lotte Jacobi ; « Thomas et Katia Mann » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

938

commentaires

938 Réponses pour Thomas Mann écartelé entre l’intime et l’épopée

B dit: à

Rose, remarquons que les mendiants ici ne sont pas lépreux mais de plus en plus nombreux. Un paradoxe alors qu’il se produit plus de richesse le taux de pauvreté augmente de façon inédite dans le pays qui ne sont pas en voie de développement.

Bloom dit: à

Moij.écrirais bien les parsi, quand même.

On donne des leçons dinde?

Bloom dit: à

et alii, il faut parfois sortir de la trifonctionnalié dumézilienne.

Ci-dessous un site de mariage en ligne pour ‘kshatriyas’, Shaadi.com (Shaadi veut dire ‘mariage’) Kshatriya Matrimony

https://www.shaadi.com/matrimony/kshatriya-matrimony?amp=1&gclid=CjwKCAjw79iaBhAJEiwAPYwoCP4Y4rY1yAzP5UVERWlK-g8-U407fLVA74I7fyBcxY7zScPhidLFvRoCBaUQAvD_BwE&st=y

On y trouve par exemple le ‘profile’ suivant:
Age / Height: 31, 5′ 2″
Religion / Caste : Hindu, Kshatriya
Mother Tongue: Hindi
Profession: Not Specified
Location: Lucknow, India

(31 ans, c’est considéré comme un peu tard…)

et alii dit: à

IL Y A DES CIRCONSTANCES POUR LESQUELLES ON PEUT penser
« ce dont on ne peut parler, il faut… »

et alii dit: à

merci, Bloom, tranquillisez vous, je ne vous confonds pas avec « un seigneur coloré », et je n’ai jamais appris les mots des « courtisanes » de Dumézil; mon passage dans ce monde ne relève pas du peep-show , tout juste une incartade!
bonne suite!

Janssen J-J dit: à

je suis la première à vous avoir révélé que,
mon passage dans ce monde ne relève pas du peep-show, tout juste d’une incartade inutile et sacrificielle
greta tunberg a publié un livre formidable avec des dizaines de spécialistes sur anita etkberg
nous avons un nouveau premier ministre désireux de transformer la livre sterling en roupie de sansonnet dans un pays en voie de sous-développement, mais notre monarchie coloniale semble sauvée, comme son train de luxe
une nouvelle variante très meurtrière est apparue sur le font national du covid91, et j’en ai été la première à vous en avertir,
mon amie finlandaise est également très inquiète,
intrinsèque…, elle confondait le complément d’objet direct avec le C02, était toute mêlée,
capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
Wittg. aurait mieux fait de se taire, plutôt que de ne pas avoir quoi en dire,
La grande Anni Hernaux et le petit peuple libanais, Carlos bien à l’étroit,
Seul à Berlin, mourir à Berlin, Berlin Alexanderplatz, aller.
Isak Sterne, violoniste juif, mon héros
https://www.youtube.com/watch?v=drtEw7kll94
le néo-capitalisme au dégueuloir, go!…
Bàv Gs’A (25.X.22_9.26)

renato dit: à

MD bien à part, le nec plus ultra de l’impudence, les criminels rouge-brun du Kremlin qui disent : « Nous considérerons la bombe sale comme un acte de terrorisme nucléaire ».

et alii dit: à

je lis sur l’obs que Rishi Sunak a prêté serment sur
la Bhagavad-Gita, texte considéré comme l’un des écrits fondamentaux de l’hindouisme;
j’ai donc des circonstances atténuantes, (même pour BLOOM j’espère)

DHH dit: à

@et alii

Quels sont les mots associés aux courtisanes dana la vocabulaire du systeme tripartite de Dumezil ?

et alii dit: à

désolée, chère DHH, je ne suis pas chez moi et ne peux donc prendre le livre DUMEZIL; vous voyez bien que je suis aussi idiote que vous le pensez et le donnez à « partager » ! mais vous n’aurez aucune peine à obtenir de vos ami-e-s toutes les réponses qui vous donneront à penser et rêver
salutations chère MADAME DHH

et alii dit: à

Je ne suis pas de si tôt chez moi, à PARIS

DHH dit: à

@et alii ecrit
Rishi Sunak a prêté serment sur
« la Bhagavad-Gita, texte considéré comme l’un des écrits fondamentaux de l’hindouisme »
Un tel événement, dans un grand pays européen de vieille civilisation, montre a contrario a quel ^point notre laïcité a la française est un bien rare , et l’urgence de le protéger contre les assauts du multiculturalisme a composante religieuse qui nous menace.
Des avant 1905 cette aspiration française à la laïcité s’exprimait dans la suppression du serment more judaico demandé aux juifs qui témoignaient devant les tribunaux

Jazzi dit: à

Vous avez encore un « chez moi » à Paris, et alii ?

et alii dit: à

CHER Mr Jazzy
je suis dans des histoires trop différentes des vôtres dont vos amis sont avides;je vous en prie, adressez vous à vos friends ;
salutations longue durée SLD

et alii dit: à

INFORMATION ECLIPSE
Un phénomène d’éclipse solaire partielle va parcourir le ciel français ce mardi 25 octobre en fin de matinée.

et alii dit: à

L’UN DE MES « AMUSEMENTS » reste d’observer la femmes qui manipulent,notamment la jalousie par jalousie!

et alii dit: à

des femmes! et baste

Bloom dit: à

Personnellement, je ne vois pas de problème au multiculturalisme.

Le statut de la religion est tout à fait différent outre Manche: 26 évêques anglicans siègent à la Chambre des Lords où ils contribuent à élaborer la loi et portent les revendications des autres communautés religieuses en termes d’égalité devant la loi, l’emploi etc.

On peut avec profit regarder la prestation de serment en 2011 de Humza Youssaf, député du Parlement écossais, en anglais & en ourdou, vêtu d’une veste du Pendjab (‘sherwani’), d’un kilt et portant le traditionnel « sporran » des Highlands.

https://www.youtube.com/watch?v=AI3cz07hF8s

Une autre approche du vivre ensemble.

Et il n’y a pas plus ni moins de ghettos ethniques en GB qu’en France, ni plus d’antisémtisme en Angleterre que chez nous.

Chaque pays a sa façon d’aborder les défis que posent la diversité, en lien avec son histoire.

L’important est que ça marche. A cet égard, il faut se gardder d’oublier que ce ce sont en majorité des « enfants de la République » qui ont commis les attentats terroristes islamistes les plus meurtriers au cours de la dernière décennie.

Je reviendrai sur Sunak & les minorités ethniques visibles en GB, car il y a beaucoup à dire.

DHH dit: à

@et alii
je ne comprends pas votre response à ma question sur Dumezil.
Quelle interpretation de cette question peut vous donner ce sentiment d’etre agressée, qui s’exprime apparemment dans cette réponse ?

et alii dit: à

excusez moi, DHH, mais j’ai d’autres occupations que de « fonctionner » au service de votre passion médiatique; bon taboulé!

Marie Sasseur dit: à

Je ne lirai aucun des 4 finalistes Goncourt 2022.

25/10/2022, 13h16, heure de Paris.

Marie Sasseur dit: à

2 livres identitaires, 1 livre géopolitique, 1 livre thérapeutique.
Voilà, on en est là.

Soleil vert dit: à

« L’Académie Goncourt se délocalise pour la première fois par solidarité avec la grande ville francophone qu’est Beyrouth, durement éprouvée par l’explosion dans son port en août 2020 d’un silo rempli de nitrate d’ammonium. C’est dans le cadre du festival Beyrouth Livres, pour sa première édition, que le jury du prestigieux prix littéraire doit révéler sa troisième sélection de romans, à 11 heures GMT. Le prix doit être décerné le 3 novembre à Paris.

La programmation de ce festival organisé par l’Institut français n’a pas été du goût du ministre libanais de la Culture Mohammad Mourtada, proche du mouvement chiite Amal, un allié du puissant groupe pro-iranien Hezbollah. Dans un communiqué qu’il avait brièvement publié le 8 octobre, puis retiré, il avait annoncé qu’il « ne permettrai[t] pas à des sionistes de venir parmi nous et de répandre le venin du sionisme au Liban ». Il ne précisait pas qui il visait. »

Source Le Point

Pauvre Liban

et alii dit: à

3Nathacha Appanah reçoit, pour l’ensemble de son œuvre, le Prix de la langue française remis à la Foire du livre de Brive (du 4 au 6 novembre). L’an dernier, à la même saison, Le Point et les libraires de Nancy récompensaient son dernier roman, Rien ne t’appartient (Gallimard). L’écrivaine, native de l’île Maurice en 1973, dans une famille d’ascendance indienne, a raconté dans son premier roman, Les Rochers de poudre d’or (Gallimard, 2003), ces Indiens venus remplacer les esclaves émancipés dans les champs de canne, ses ancêtres.

À 17 ans, elle remporte un concours de nouvelles et, tout en suivant de sérieuses études de maths-physiques, cultive son jardin secret. Le journalisme lui permettra d’allier son insatiable appétit d’autrui et l’écriture, et quand en 1998, elle obtient une bourse pour travailler au Dauphiné libéré, elle s’installe en France qu’elle ne quittera plus, ce pays dont la langue est celle de son écriture.

Curiosité pour l’humain

et alii dit: à

LE JURY DU PRIX /
un jury composé de journalistes et d’écrivains : Laure Adler, Tahar Ben Jelloun, Éric Fottorino, Franz-Olivier Giesbert, Paula Jacques, Dany Laferrière, Alain Mabanckou, Éric Neuhoff, Jean-Noël Pancrazi et

Jazzi dit: à

« salutations longue durée SLD »

Jolie formule, et alii !
Il existe aussi des salutations courte durée SCD ?

Jazzi dit: à

« Je ne lirai aucun des 4 finalistes Goncourt 2022. »

Mais qui sont-ils (elles) ?

Marie Sasseur dit: à

Les finalistes Goncourt sont
Le mage du Kremlin
Vivre vite
Les presque sœurs
Une somme humaine

et alii dit: à

Il existe aussi des salutations courte durée SCD ?
BIEN SÜRon peut en découvrir plein!hier j’ai essayé des barbares!

Phil dit: à

bon taboulé !

excellent, digne d’une entrée dans le Journal de Gide plutôt que celui de Mann.

rose dit: à

Pas lu un des quatre finalistes du Goncourt annoncés à Beyrouth.

rose dit: à

et alii dit: à
L’UN DE MES « AMUSEMENTS » reste d’observer des femmes qui manipulent,notamment la jalousie par jalousie !

Dans Accattone, les femmes sont des salopes de première catégorie.
Dans Londres aussi.

Et sur le trottoir.
Double peine.

DHH dit: à

@PHil
Ce « bon taboulé », apostrophe excédée en fin de post, s’adressait à moi, mais et je n’avais pas compris ce qu’elle voulait me dire, peut etre me renvoyait-elle aux « choses du menage » mon monde veritable.Ce n’etait pas evident.
IL semble que vous ayez mieux compris avec vos references à Mann et Gide
Expliquez-moi SVP
merci »

DHH dit: à

@Bloom
Vous avez probablement raison et vous êtes évidemment dans la logique d »une évolution corollaire de la mondialisation
Mais cette modalité du vivre ensemble que vous appréciez tant (magnifique scene,en lien) heurte ma sensibilité de rejetonne d’une lignée qui a reçu la nationalité française comme un cadeau et aspiré à l’assimilation comme à un graal, sans même mesurer que cette conquête se faisait au prix d’une deculturation radicale

bouguereau dit: à

digne d’une entrée dans le Journal de Gide plutôt que celui de Mann

mann c’est 100 patates

bouguereau dit: à

A cet égard, il faut se gardder d’oublier que ce ce sont en majorité des « enfants de la République » qui ont commis les attentats terroristes islamistes les plus meurtriers au cours de la dernière décennie

qu’on fasse kabloom cochon violet avec une mitre dans les meileur délais..en henfant dla prépublique y va nous faire du vilain

bouguereau dit: à

Quelle interpretation de cette question peut vous donner ce sentiment d’etre agressée, qui s’exprime apparemment dans cette réponse ?

..jespère que cest pas multiculturel..seule la republique ne ment pas

bouguereau dit: à

Pas lu un des quatre finalistes du Goncourt annoncés à Beyrouth.

faire honte à la république c’est la dernière façon à la mode de montrer qu’on en est qu’il dirait dirfilou

bouguereau dit: à

mon passage dans ce monde ne relève pas du peep-show, tout juste d’une incartade inutile et sacrificielle

jiji est scientologue..et halors..c’est multiculturel quil dit tom

J J-J dit: à

mais tom (tomlatomath’) n’aime pas les croisières depuis qu’elle a viré témoin de géo, éhé !

Paul Edel dit: à

Supprimer Bouiller et Sabolo de la liste Goncourt ? J y crois pas…

et alii dit: à

alors, pas de vraie badass en vue?
BONSOIR ET SUPPERCUT IE

Marie Sasseur dit: à

Depuis 2001 au Liban, la journée nationale du taboulé est célébrée le premier samedi du mois de juillet.
Wikipedia

rose dit: à

Dirfilou, l’aurait mieux fait d’épouser sur le fil Anne Lise qui jamais, dès l’or, n’aurait fermé son blog.
Et, tellement occupé à la séduire, l’aurait arrêté de nous faire chier.

rose dit: à

Dirfilou par ci, Dear filou par là.
Mais qu’est ce qu’il a de particulier ce Dirfilou ?

Janssen J-J dit: à

SOn particularisme ? Tout le monde aime son chareme. Il est équanime, appelle chacun.e par « dear… (quelqu’un.e) »… (d’où dear-phil, puis dirfil, etc.), il est discret et intelligent, a beaucoup lu profondément sans se la péter, reste plutôt de gauche depuis longtemps, mais préfère les écrivains de droite, fait montre d’un poil d’ironie sans acerberie à l’égard des intempérant.es, se montre volontiers homophile et philosémite sans être engoncé, aime surtout les correspondances littéraires, a bien plus d’à propos léger que son homologue italien, lourd dans ses antipoutinismes exacerbés. Ne tient pas trop rigueur aux pétroleuses haineuses, comme aux sots-l’y-laisse.
Voilà ce que j’dirais de sa personnalité élégiaque et controuvée. Autrefois et jadis, fut l’un des pionniers des erdéliens de la chaine, il arborait un autre pseudo flamboyant, il en a vu d’autres, et il préféra un jour s’échouer dans les ergs, se ternir un peu, il devint plus cursif.
Il est grand temps de le saluer, plutôt que de le jalouzer, je pense.

Janssen J-J dit: à

@ Supprimer Bouiller et Sabolo de la liste Goncourt ?
Très sage décision : c’étaient deux romans invendables, pour le lectorat élargi et exigeant du prix congourt !

rose dit: à

Moi, jalouser ai laissé.
C’était Diagonal ?

Janssen J-J dit: à

@ je suis dans des histoires trop différentes des vôtres,… vu que j’ai le sexe et les froids,

rose dit: à

C bcp vous alors Dirfilou ?

J J-J dit: à

ces derniers temps, on manque de critiques de cinéma… Depuis qu’Anne-Lise est partie faire du ski dans le Var, les jardins parisiens ne sont plus aussi désenherbés qu’ils l’étaient sous le règne des Tybéries… Toufoulk !

Jazzi dit: à

Merci pour la liste Goncourt, MS.

Il est évident, DHH, que ce « bon taboulé » vous renvoyait à la cuisine.
Et alii vous prend pour la bonniche de la RDL !
Avez-vous vu « Harkis » de Philippe Faucon ?
Moi, oui…

Phil dit: à

Que pasa dear Rosi, irritation dans la semoule quotidienne ? Allons bon, nous lisons volontiers vos comptes rendus célino et sénilo-épadiques à l’orthographe reboutonnée.
Danke pour le spitting portrait dear jjj, du muppet chaud qui mousse.
Manquait pas de sel le taboulé sefarad Etali-é, avec du persil là-dessus Deashh atterrissait chez nos amis libanais.
Mendelsohn, Peter, a dirigé en France l’édition du Journal de Mann, l’œuvre de sa vie, il en est mort, à Munich, le volume des notes dépasse celui du texte, ein Genuss, un délice. Misère pour le journal de notre Léautaud gratifié d’aucun notuleur. Quelle buse ici peut savoir qui fut l’écrivain Aurel

Jazzi dit: à

Je suis un peu en retard sur le cinéma, JJJ.
Mais je m’y remets aussitôt !
(J’ai oublié de chroniquer le film migrantophile des frères Dardenne, vu avant mon départ en vacances dans le Var avec Anne-Lise…)

Jean Langoncet dit: à

@Les doudounes jaunes
Incidemment, pourquoi ne pas verbaliser d’office ces fous du volant que sont les gros et les dodues ? Surtout ceux portant djellaba, burka et babouches … qu’il dirait Charoulet, avec D. et closer à bord de son oignon, sa R16
https://www.youtube.com/watch?v=Mj144y9bpeo

et alii dit: à

CHER MONSIEUR JAZZI?au regret de vous dire que j’ai de la mémoire, et que non seulement je ne cherche pas un directeur d’études (mémoire thèse)comme s’est d’abord imaginée madame DHH, avant de m’attribuer ses « stratégies » d’intervention pour votre service et peut-être inspirées par vos interprétations et suggestions,en complément à ses convictions ; elle a imaginé que je serai sa domestique à dresser ; ce qui était mal pensé; comme ses interprétations bourdivines! je préfère m’en tenir là de mes remarques sur l’expression de son féminisme et de sa « psychologie » au nom de la France, -et peut-être de la synagogue-; j’ai proposé du taboulé comme écho à la scène libanaise, -c’était facile, mais depuis quand la facilité serait-elle interdite, condamnable?
bien entendu, je ne recherche ni votre amitié,ni votre estime, et vous laisse à vos ami-e-s que j’éviterai au moins autant que vous, en erdélie comme ailleurs!

et alii dit: à

il m’a semblé avoir lu des jugements fermentés dans votre « groupe d’amis » d’un tel ressentiment que je les ai retenus comme les témoignages de vos crispations par exemple tel philosophe était « mondain », tel autre n’était apprécié que par « snobisme »,et je n’oublierai pas vos attentes de retombées matérielles, les plus concrètes (vos finances) vous vous êtes révélés, tels qu’ en vous -mêmes,internet vous « fixa »;
c’est assez ,maintenant! j’ai autre chose à faire!

Jean Langoncet dit: à

(des jurés Goncourt possibles victimes du Hezbollah et du terrorisme islamiste ? … la clôture de l’événement autour d’un bon gueuleton sur le sol national nécessitera-t-elle de mobiliser toutes les forces de l’antiterrorisme ? Voire de celles de l’antigang ? C’est à n’y plus tenir … Passou et Ben jelloun sont en première ligne ; c’est une certitude

B dit: à

Allez-y donc, Langoncet, sans oublier d’épingler l’étoile jaune à votre veste et de faire guiguili au monsieur qui vous hait et ou ne respecte pas pour des motifs idéologiques votre ethnie.

et alii dit: à

autre exigence: celle de produire la traduction d’un texte sur la toile dans une autre langue que le français: alors que les publications bilingues sont tres nombreuses: pour un blog qui ne cesse de se dire « prestigieux », ça laisse pensif!
Deux virus respiratoires communs peuvent fusionner pour former un virus hybride capable d’échapper au système immunitaire humain et d’infecter les cellules pulmonaires – la première fois qu’une telle coopération virale est jamais observée. »
Nature

Jean Langoncet dit: à

@faire guiguili

Le danger réside surtout dans les cellules dormantes ,B, bonne nuit … Cette affaire d’annonce Goncourt est d’un parfait ennui

B dit: à

Closer ne roule pas en R16. Je crois même qu’il lui est arrivé de louer une Porsche noire. Audi , Mercedes, bref que des casseroles bon marché. Ici en dehors de some unhappy fews que des super caisses. On vous a pas encore dégonflé vos pneus?

et alii dit: à

Dylan !
Par Seth Rogovoy
25 octobre 2022
La philosophie de la chanson moderne
par Bob Dylan
Simon & Schuster, 352 pages, 45 $
Mais au moment où l’on termine le livre délirant à lire, qui est également magnifiquement conçu et comprend de superbes illustrations et photographies, l’impact cumulatif des pensées et des réflexions de Dylan sur les chansons elles-mêmes, les interprètes et les enregistrements, les histoires et les émotions que ces chansons expriment, et les tangentes et les anecdotes qui s’étendent sur les chansons comme autant de commentaires talmudiques, c’est de s’être immergé dans la philosophie, en effet, de l’un des plus grands praticiens de l’écriture de chansons de la seconde moitié du XXe siècle et du premier quart du 21e.

Le fait que l’auteur fasse fréquemment référence aux écritures, aux histoires et aux personnages juifs tout au long du livre révèle davantage comment son esprit fonctionne, vers quoi il se tourne lorsqu’il cherche des concepts fondamentaux pour explorer et expliquer ses idées, et tout simplement ce que pense Bob Dylan.
sur FORWARD!

rose dit: à

SOn particularisme ? Tout le monde aime son chareme. Il est équanime, appelle chacun.e par « dear… (quelqu’un.e) »… (d’où dear-phil, puis dirfil, etc.), il est discret et intelligent, a beaucoup lu profondément sans se la péter, reste plutôt de gauche depuis longtemps, mais préfère les écrivains de droite, fait montre d’un poil d’ironie sans acerberie à l’égard des intempérant.es, se montre volontiers homophile et philosémite sans être engoncé, aime surtout les correspondances littéraires, a bien plus d’à propos léger que son homologue italien, lourd dans ses antipoutinismes exacerbés. Ne tient pas trop rigueur aux pétroleuses haineuses, comme aux sots-l’y-laisse.
Voilà ce que j’dirais de sa personnalité élégiaque et controuvée. Autrefois et jadis, fut l’un des pionniers des erdéliens de la chaine, il arborait un autre pseudo flamboyant, il en a vu d’autres, et il préféra un jour s’échouer dans les ergs, se ternir un peu, il devint plus cursif.

Mais puisque c quelqu’un d’aussi formidable, pourquoi est-ce que Marie Sasseur ne lui laisse pas la place ?

Enfin, moi je, ne lui arrive pas à la cheville et comme je déteste marcher les yeux en l’air, je lui laisse l’entièreté de sa préeminence à Son Éminence.

rose dit: à

45 dollars.

C’est que Dylan, ce génie sur pattes, etc. je me passerai de commentaires, n’ayant jamais écouté ses comptines folkloriques.

rose dit: à

« c’est une certitude. »
J’en étais hier convaincue.
Avec deux qui font bloc.
Ce qui mène à quatre.
Et bien bravo !

rose dit: à

: pour un blog qui ne cesse de se dire « prestigieux

C’est un, et un seul qui scande cela comme un mantra. Sûrement à cause de ses nombreuses contributions. Qu’en est-il de l’opinion des autres.

rose dit: à

Renvoyer une femme à la cuisine, chère DHH, à mes yeux, non seulement ce n’est pas l’humilier, mais c’est la rendre à un univers extraordinaire, où le nourrissage, pétri d’affects, est intimement lié au grand art.
La, dernièrement, vision répétée du Festin de Babette m’a également convaincue qu’autour de la nourriture se noue la pacification. C’est ce qui se joue avec ces protestants demeurés engoncés dans leurs croyances antiques.

Et puis, DHH, à peu vous connaître, ai cru constater que l’aubergine et l’orange sont deux de vos ingrédients choisis/chéris pour la complexité des plats que vous confectionnez. Et non pas la taboulé, si généralement galvaudé, qu’à part une élite certaines, peu savent ce qu’est un taboulé.

Bien amicalement à vous, DHH.

Marie Sasseur dit: à

 » C’est Beyrouth, ici ! »

Cette expression passée dans le langage populaire, retrouve de la vigueur grâce à T. Ben Jelloun, notre ambassadeur des lettres à Paris, France.

« Cette expression tire ses origines de la guerre civile qui a ravagé le Liban entre les années 1975 et 1990. La capitale, détruite par les bombardements, offrait un triste spectacle, et au fil des ans, «c’est Beyrouth» a continué d’être synonyme de ruines et de désolation »

https://www.journaldemontreal.com/2021/08/03/cest-beyrouth

Marie Sasseur dit: à

Faut-il y voir une heureuse conséquence de ce geste diplomatique de T. Ben Jelloun ? toujours est-il que le gouvernement libanais , héritier d’une longue tradition d’incompétence et de corruption, est à la veille d’un remaniement.

Même s’il va falloir du temps pour changer le président actuel, -longtemps exilé en France,
comme Khomeiny-

Ça se passe maintenant, et vous ne le saviez pas.

https://www.boursedirect.fr/fr/actualites/categorie/guerres-et-conflits/michel-aoun-le-general-qui-ne-s-avoue-jamais-vaincu-afp-a06ff51d5b9a992865323a105a58caad04ccda4a

Marie Sasseur dit: à

Ne confondez plus Beyrouth et Bayreuth.

Dans un cas, la teuf au Goncourt, ça veut dire puits, dans l’autre,  » la teuf à Richard  » ( copyright) ça veut dire forêt qui a été defrichée.

Marie Sasseur dit: à

26/10/2022, 7h45

Alexia Neuhoff dit: à

« Bon taboulé ! ».
DHH, j’admire que vous puissiez encore tenter de trouver du sens aux rebuffades d’et alii. Je consens à essayer d’analyser cette nouvelle saillie à votre encontre avec l’aide de MM. Freud, Lacan et Derrida réunis en bouquet de persil et tous ceux dont elle assaisonne copieusement ses commentaires. Vous lui posâtes une question qui l’importuna et la fit pédaler dans la semoule. La « mortada » -du nom de ce ministre libanais de la culture tendance Hezbollah – lui vint au nez. Et elle abattit le hachoir pour briser-là votre tentative de communication, probablement inspirée par la première syllabe de « mortada » dont la funeste préméditation ne vous échappera pas.

et alii dit: à

les premières femmes qui composèrent en orient le plat connu aujourd’hui dans le monde entier et en France sous le nom de « taboulé » n’avaient peut-être pas de kitchenette, mais leur taboulé est un « patrimoine de l’humanité »,
https://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=https%3A%2F%2Fwww.slate.fr%2Fstory%2F107889%2Fvraie-recette-taboule#federation=archive.wikiwix.com&tab=url
on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie, demandez donc à Marx : (TH
Thierry Marx grandit dans le quartier de Ménilmontant dans la cité de Marceau Parola et d’Elise Sery du « 140 Ménilmontant »1. Son grand-père, Marcel Marx, était un artisan plombier2 réfugié juif polonais, communiste durant la Seconde Guerre mondiale3. Il se dit lui-même né entre Belleville et Ménilmontant de parents immigrés juifs polonais4. Sa mère était laborantine et son père travaillait dans le bâtiment2. Il rêve de devenir boulanger en traînant devant la boulangerie de Bernard Ganachaud, inventeur de la flûte Gana. « 

et alii dit: à

Marx Th
sur wiki:
Thierry Marx s’engage dans l’armée comme parachutiste dans l’infanterie de marine. Il se retrouve casque bleu, en 1980 durant la guerre du Liban3 avant de rejoindre les phalanges libanaises8.

rose dit: à

Très mauvaise nouvelle à vous annoncer : sitting down, Sitting bull pour amortir le choc.

Aux deux tiers de Londres, ai ayant lu Guerre, je vous le dis Angèle est nymphomane grave. Autant Purcell a.trouvé les masques à gaz et s’d
est calmé, autant elle creuse, creuse.

rose dit: à

Pas mal la recette. Supprimer tous les épices et c’est tout.

et alii dit: à

peu m’importe que DHH soit une autorité dans vos enfers!je n’envie pas vos paradis;
si ça vous offense, j’en suis désolée; il faut être sourd et aveugle pour vous obséder sur moi!

maestri dit: à

Incroyable mais vrai, Moscou intime à Kiev d’arrêter les actions qui menant à la catastrophe nucléaire ! Est-ce une perversion de la pensée produite par l’éducation orthodoxe-communiste ?

Janssen J-J dit: à

@ pourquoi est-ce que Marie Sasseur ne lui laisse pas la place ?

C’est ce qu’aucun.e erdélien.ne ne parvient à comprendre et à s’esspliquer, même Alesquia, pourtant excellente décripteuse des rebuffades au traboulé à la sauce marxiss !…

@ l’entièreté de sa préeminence à Son Éminence.
Ca tombe trop bien, c’est justement la marque de Ses Slips habituels.

@Je n’avais pas su pour le voyage varois Jacques-Anne.Lise qui avait nourri un un temps nos inquiétudes… Où était-ce noté ?… Enchanté d’apprendre le futur raffermissement de nos rubriques cinématoprafiques.

Bàv à tous les gentils, et merdraux aut’ non concernés, hein ! (26 X 22, 8.41 **nb/qnràv => aij dormi 7.24′ après une journée mardie d’harassante, sans passoul-th.mann)

Janssen J-J dit: à

merci maestri pour cette nouvelle effrayante de renato. L’heure est grave apparemment pour changer ainsi de pseudo…! mais le propos reste semblable à lui-même, obsédé par son enfer personnel. Rassurons’nous : la bombe nucléaire ne fera qu’un seul dégât, finira bin par total éradiquer l’éducation orthodoxe communiste russe pour laisser avantageusement la place à la chinoise.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ il faut être sourd et aveugle pour vous obséder sur moi!

Juste un « surmoi »! au féminin-j (sourde et aveugle…, ça tient pas trop la route chez LDF)

renato dit: à

Donc, si j’ai bien compris ce passage « lourd dans ses antipoutinismes exacerbés », l’écrivant aurait dit de même pour l’antihitlerisme… ou pas ? ou le fait que ce dictateur soit ancien communiste et Russe nous contraindrait à suspendre notre jugement ?

Janssen J-J dit: à

cette Angèle nympho grave, faut-il comprendre que c’est un personnage du récent roman de Céline ? Si c’est la cas, on en tomberait sur le UK par terre à Londres ! (+ émoticône)

Janssen J-J dit: à

Mais non, renato, tout le monde a le droit de penser ce qu’il veut sans tenter de poursuivre une pseudo polémique bien inutile. Restons zen et joyeux comme chaque matin du monde qui nous retrouve encore vivants sur cette chaine. Laissons le sentiment tragique de la vie aux chiens hispanisants que nous ne sommes pas et ne serons jamais. Voyons… Bàv, c l’heure de l’apéro (mojito ou kaïpi ?) Tchin’z !

renato dit: à

“nouvelle effrayante”

Quelques jours de là une star de la télé Russe parlait de noyer et bruler les enfants Ukrainiens ; que l’Ukraine ne devrait pas exister ; que les Ukrainiens qui résistent à la Russie devraient être fusillés. Ai entendu qu’il est cocaïnomane : In cocaini veritas ?

renato dit: à

Quoi Janssen J-J, vos sortez le déodorant maintenant ?

renato dit: à

Si j’avais un sou pour tous ceux qui ont dit comprendre les motivations (prétextes !) de Poutine, mon Compte courant serait à son pic annuel.

bouguereau dit: à

DHH, j’admire que vous puissiez encore tenter de trouver du sens aux rebuffades d’et alii

menteuse

Jazzi dit: à

L’ancienne Bibliothèque nationale de France s’est offerte un grand lifting et un superbe nouveau musée, que le léZard vous invite à visiter !

bouguereau dit: à

SOn particularisme ? Tout le monde aime son chareme. Il est équanime, appelle chacun.e par « dear… (quelqu’un.e) »… (d’où dear-phil, puis dirfil, etc.), il est discret et intelligent, a beaucoup lu profondément sans se la péter, reste plutôt de gauche depuis longtemps, mais préfère les écrivains de droite, fait montre d’un poil d’ironie sans acerberie à l’égard des intempérant.es, se montre volontiers homophile et philosémite sans être engoncé, aime surtout les correspondances littéraires, a bien plus d’à propos léger que son homologue italien, lourd dans ses antipoutinismes exacerbés. Ne tient pas trop rigueur aux pétroleuses haineuses, comme aux sots-l’y-laisse.

jolie statue équestre de dirfilou..en bronze toute fraichment coulée..tiens tu veux que je te dise: on dirait qu’il va parler

renato dit: à

Bonne nouvelle, Penséepourrie me méprise — le contraire serait dégradant.

et alii dit: à

permettez moi de vous rappeler de ne pas oublier de préparer votre super « boudin de porte  » !
DHH et ses ami-et-s vous conseilleront forcément!

et alii dit: à

sur obsle réalisateur suédois d’origine égyptienne est de retour au cinéma, avec « la Conspiration du Caire », prix du scénario lors du Festival de Cannes 2022, en salle ce mercredi 26 octobre.
il explique UE Marine le Pen explique l’Islam!

DHH dit: à

J’ouvre mon ordi et je vois qu’on y parle du couple « moi et Et alii »
Que tout le monde se rassure, je reste Zen
S’il y a rebuffade, elle ne m’emeut guère ;elle a glissé. Macron avait eu une formule très virile pour caracteriser ce type d’indifference ; Tout est tellement infondé imaginaire et ridicule que cela m’amuse plutôt.
Merci Rose et Alexia de vos propos bienveillants
A Alexia je dis bravo pour les acrobaties verbales oulipesques de son post,
Et a vous Rose,je dis: Merci de ce clin d’oeil à ma caponata et à mes artichauts aux oranges. Et sachez aussi que, viscéralement, féministe , je ne crais pourtant pas de considerer comme un dévoiement simpliste du féminisme la posture de celles qui voient un signe de l’alienation d’une femme dans la part que tiennent dans sa vie les activités traditionnellement « féminines », en l’occurence la cuisine
Et pour vous montrer que je n’ai pas honte de ma vie de ménagère, ma recette personnelle de taboulé tirée de mon recueil
Ingrédients
Couscous moyen ou ,de préférence, blé concassé (Bulgur)
OignonsHuile d’olive, jus de citron, sel, coulis de tomates, un bouquet de menthe (fraîche ou congelée ) un bouquet de coriandre (fraîche ou congelée)
Les proportions n’ont pas grande importance. L’essentiel est d’observer un ratio solide / liquide qui ne rende pas le produit définitif aqueux.
Préparation
Mettre dans le bol du mixer une briquette ou plus de coulis de tomates, ; des oignons déjà émincés (éventuellement pris dans le congélateur et dégelés au moins partiellement) un jus de citron, deux ou trois cuillers à soupe d’huile d’olive, les herbes (la menthe doit être débarrassée des grosse tiges).
Ajouter de l’eau chaude en sorte que le produit à provenir du mixage représente un peu plus de la moitié de la place occupée dans le saladier par la matière sèche. (De toutes manières il vaut mieux voir petit pour le liquide, quitte à ajouter ultérieurement un peu d’eau chaude.l
Mixer ;Verser la sauce obtenue sur la céréale ;Mélangez ; Laisser reposer au moins 2 heures à température ambiante.
A ce moment les graines auront ramolli en absorbant tout le liquide. Goûter
Si les graines paraissent un peu trop dures rajouter un peu d’eau chaude. Rectifier éventuellement, si nécessaire, l’assaisonnement, en jouant sur une adjonction modulée de citron, sel et huile. Attendre que tous ces liquides soient absorbés et mettre au frais avant de consommer consommer.
Présentation
Ce plat d’origine libanaise se mange froid ;on le sert dans un plat creux
Son effet visuel est un peu terne si on s’en tient à la recette brute ; On peut chercher à en améliorer l’aspect en parsemant le dessus du plat de quelques feuilles ciselées de coriandre ou de menthe, ou en ajoutant sur le dessus quelques olives noires dénoyautées, ou y en mélangeant au moment de la préparation des petits cubes de tomate et/ou de concombre qui créeront quelques taches de couleur dans la masse beige (attention dans ce cas tenir compte du fait que ces légumes lâcheront un peu d’eau) On peut évidemment aussi ourler le plat avec des demi-tranches de citron cannelées, au centre desquelles on aura posé un éclat d’olive noire.
Pour des tapas, le taboulé peut s’utiliser pour réaliser la farce de bouchées à base de légumes (socle en courgette, endive ou en carotte). C’est une idée que j’ai prise dans un cocktail de BERCY )

Janssen J-J dit: à

on croyait que vous aviez autre chose à f… que du boudin de porte… Apparemment non, Lacan est de retour éternel mais n’a jamais su analyser comme nitch la jalousie séfarade d’une juive mal dans sa persée-peau-lisse askhé-naze. Ci-joint Purcell, dirigé par william et paul, la fairy Q, calme les nerfs le matin, en général.
https://www.youtube.com/watch?v=8m_PB-PyqoQ
nb / Il n’y a pas vraiment de pensée pourrie. Uniquement des pourritures qui ne savent pas penser, je pense…Bàv

Janssen J-J dit: à

ça donne envie d’aller à la new bnf si on a rien d’autre à faire à paris… oui. Et puis, c’est apparemment aménagé pour les personnes à mobilité réduite qui ont bien le droit de s’y cultiver comme christiane.
*Remplacer les coquilles (délestées et a retrouvée), sinon tout va bien : apparemment, la grande capitale n’a pas que de rats tibérisés à nous proposer.

Janssen J-J dit: à

https://www.youtube.com/watch?v=8m_PB-PyqoQ
On ne l’espère pas en future modèle d’épouse d’un Ophtalmologue, le p’tit poutine syrthlérien…
Cela dit, on a raison de consacrer au pouvoir les milliardaires de couleur pour demander des sacrifices aux petits blancs du breixit à la peine.

et alii dit: à

PERSONNELLEMENT? JE ME REPROCHE ENCORE D’AVOIR OUBLIe LES « Bulles » de SLOTERDIJK qui nous apprit que Derrida était « Egyptien »n,et j’ai tenté de réévoquer ces questions d’identité, parfois difficiles pour les personnes qui ne connaissent que les pommes dans le boudin aux pommes bien français, d’où que soient tombées les premières pommes, et si c’était de chez CLOPINE
BONNE JOURNEE

closer dit: à

Si vous suiviez JJJ au lieu de rêvasser, vous sauriez qu’Angèle est l’ancienne femme de Cascade dans « Guerre », qu’elle a dénoncé ledit Cascade (qui du coup s’est fait fusiller pour désertion) et est partie à Londres avec un anglais du nom de Purcell qui s’est lié d’amitié avec Ferdine, lequel a traversé la Manche, lui aussi…

C’est clair?

et alii dit: à

mais je n’ai pas oublié Mannoni!

closer dit: à

J’oublie le principal: Ferdine éprouve une sorte d’amour pour Angèle et réciproquement.

renato dit: à

La dernière de Kadyrov, la guerre sainte : « C’est un djihad contre l’Ukraine, Kiev est à nous, nous les brûlerons tous » et encore « Les ennemis sont des satanistes. Nous ne nous arrêterons nulle part. Notre territoire n’est pas Zaporijjia, ce n’est pas Kherson. Notre territoire est Odessa, Kiev, Kharkiv ».
Toujours si prêtes à justifier ?

Janssen J-J dit: à

merci pour votre décryptage closer, qui concerne les autres. Comme je vous l’ai dit, si vous saviez ce que je pense des romans à l’eau de rose d’un céline ! mais si aviez bien lu ma correspondance à rôz, vous auriez compris ce qu’elle a parfaitement compris, faisant preuve d’infiniment plus d’intelligence que vous-même. Elle est une lectrice exigeante, vous n’êtes qu’un lecteur bien conformiste pour classes de phase terminale…
Je ne suis pas là pour encenser destouches, j’ai assez craché sur sa tombe aux longs réages durant mes années passées à meudon, à côté de chez lui. Traumatisé à vie, fus-je. Je ne vais pas me mettre à bêler avec les ânes. Philippe, mon meilleur ami, idolâtre tjs cet écrivain. Je l’ai toléré depuis des années, et désormais j’ai dû prendre mes distances… Je ne veux plus que ferdine entache mes futures amitiés, je préfère choisir à quoi j’ai de l’affordance… Voilàj.

MC dit: à

La nouvelle BNF a la philosophie d’une bibliothèque de quartier , mante arque les chercheurs sont expulsés de la Salle Ovale pour être remplacés par une tourbe sans nom de Familles Fenouillard. On passe de « Tte la Mémoire du Monde «  à on ne sait quelle fête à Neu-Neu vaguement cuturelle, et on joue le sort d’une magnifique collection au poker comme d’habitude.

J J-J dit: à

et surtout, laissez-moi rêvasser mon saoul, le seul plaisir qu’un homme puisse encore revendiquer en ce bas monde… merci pour votre « compréhension », dont par ailleurs, j’essaie de ne point douter, voyez !

Janssen J-J dit: à

j’aime bcp les nouvelles bibli parisiennes, ces « tourbes sans nom de Familles Fenouillard »… Elles constituent toujours un sublime objet répulsif attendu sous la courte plume curarisée de notre ami marc (assin).
corrélats : voy. mustélidés & marsupiaux

rose dit: à

closer dit: à
J’oublie le principal: Ferdine éprouve une sorte d’amour pour Angèle et réciproquement.

Closer.

Euhhh…
Je reporte ma réponse à plus tard.

Pas sûre. Pas même sûre pour Lucette.

Phil dit: à

Mann ne peut tout de même pas finir dans la taboulé comme jadis la discussion Bergson échoua dans la quiche aux lardons. Pas d’entrée « taboulé » dans le formidable index composé par Mendelsohn. L’homme a pourtant le goût de l’oriental, sa trilogie des Joseph tombait des mains de Gide, mais pour l’intime les gènes brésiliens croisés de ceux de sa belle-famille ont saturé la pente savonneuse exotique. Le prestigieux passou, indeed Rosi qui pique, a sans doute tiré le maximum pour le minus Toibin javelisé par son biais gendré. La clé se trouve dans ces liens comparatifs Musil Martin du Gard Mann donnés par les Sasseur Etaliées etc..again, I confess

Jazzi dit: à

Le léZard retourne au cinéma avec un film éprouvant sur un épisode douloureux de notre histoire contemporaine !

closer dit: à

Je vous ai donné une information factuelle sur Angèle, JJJ. Rien de plus.

Quant à la « sorte d’amour » que je lui prête pour Ferdine et réciproquement, je crois que « sorte » affecte l' »amour » d’un coefficient d’imprécision suffisant pour coller avec la réalité.

Jazzi dit: à

Merci pour les corrections, JJJ

Jacques dit: à

J’aime beaucoup monsieur Adolf Hitler, lui au moins n’a pas du tout raté sa vie.

renato dit: à

Poutine : « Kiev a perdu sa souveraineté ». C’est-à-dire que si l’Ukraine n’est pas une colonie Russe ce n’est pas un état souverain ? toujours plus out of courge.

Patrice Charoulet dit: à

LUCHINI , L’ARGENT

Provincial, je suis allé deux fois à Paris en douze ans…pour une raison privée.
Quant à aller à Paris assister à un spectacle, je n’y ai jamais songé. Il faudrait payer le spectacle, le voyage, le restaurant et
l’hôtel.
J’ai toujours admiré Fabrice Luchini et rêvé de voir son spectacle La Fontaine, son spectacle Philippe Muray , son spectacle consacré aux écrivains qui ont (bien) parlé d’argent. Je n’ai rien pu voir.

Or, grande nouvelle, on pourra voir le spectacle de Luchini consacré aux écrivains ayant parlé d’argent le lundi 31 octobre
sur TMC à 21h15.

A ne pas rater.

renato dit: à

Par ailleurs ces flèches extraordinairement civilisées nous disent que les troupes américaines en Roumanie sont un danger… parce que les leur en Ukraine sont en train de porter le bienêtre et le bonheur à la population ?

Jazzi dit: à

Il ne faut jamais dire La Fontaine je ne verrai pas ton spectacle, Char à roulettes !

renato dit: à

« J’ai toujours admiré Fabrice Luchini et rêvé de voir son spectacle La Fontaine »

Tout le monde peut acceder à Youtube, c’est gratuit.

MC dit: à

Pardon, mais j’ai connu le temps où la BN n’était qu’un oasis pour chercheurs. Et j’ai le droit de me lamenter sur ce qu’en a fait l’inculture montante. Un lieu pour touristes , anti-élitiste, un monument de plus,avec sacrifice du grand escalier sur l’autel d’ une modernité imbecile. On ira voir la BN comme on va à Beaubourg, et sans doute y volera-t-on autant. Mais ceci ne peut être jugé au mieux que comme regret rétrograde; il faut s’adapter avec son tempe, faire de l’Hidalgo dans le texte, s’accommoder de la nouveauté au sens superficiel et parisien. J’ ai des nausées devant ces poses là, a supposer que la part de comédie qui les inspire sincère, ce dont je ne jurerais pas. MC

rose dit: à

Quant à la « sorte d’amour » que je lui prête pour Ferdine et réciproquement, je crois que « sorte » affecte l’ »amour » d’un coefficient d’imprécision suffisant pour coller avec la réalité.

Puisqu’il s’agit d’envisager la réciprocité, je réserve ma réponse à plus tard. À ce point là si livre, deux tiers, c’est encore moins, proche de zéro de la part d’Angèle envers Ferdinand. Quasiment très en dessous de Stella envers Accattone, déjà fort bas positionnée.
Hey : à un moment donné, regarder la réalité en face.

rose dit: à

Jazzi

On préfère (le on pour un nous).

La photo que vous montrez : Camus en parle dans un de ses livres et lorsque je l’avais raconté à mon père il m’avait répondu que un de ses camarades avait subi le même sort. Français et pas harki.
Sinon, les français aussi gardaient le silence.

Jazzi dit: à

Sur ce coup, MC, Hidalgo n’y est pour rien.
Pour les plaintes adressez vous directement à la ministre de la Culture.
Richelieu n’est plus un bibliothèque nationale, depuis Mitterrand.
Et ses trésors, qui étaient présentés sur 280 m2 se déploient désormais sur 1 200 m2, en toute majesté.
Le bâtiment a été entièrement rénové, modernisé, sobrement, tout en respectant les fresques, les tableaux et le style des lieux.
C’est aujourd’hui un musée aussi beau que Carnavalet.
Avec beaucoup de personnel de surveillance et d’entretien et l’entrée est payante.
Moi, en tant que journaliste, j’ai eu droit à une visite gratuite…

Jazzi dit: à

« Sinon, les français aussi gardaient le silence. »

Oui, rose, Paul Edel, qui y a été (en Algérie), ne nous en parle jamais…

rose dit: à

Jamais.
Mon père non plus.
Paul n’a pas fait la guerre, lui.

Alexia Neuhoff dit: à

M. Charoulet : « Il faudrait payer le spectacle, le voyage, le restaurant et l’hôtel. »

Comme c’est mon jour de bonté, à la suite de recherches, je vous offre quelques suggestions afin de jouir de Luchini sans vous ruiner :
Le voyage : Dieppe / Paris, 196 km. Vous faites de l’auto-stop au péage de l’A13. Bien rasé, chapeauté, dans votre costume/cravate, vous inspirerez confiance et ne moisirez pas le pouce en l’air. Et pour pas un rond ! A défaut, le trajet via Blablacar démarre à 9 €.
L’hôtel : vu le nombre de campements dans les quartiers nord de la capitale, aucun doute qu’un migrant vous offrira une place dans sa tente quechua. Gratuitement ! Comme il fait encore beau, un banc pourrait faire office de couche – certes point molle – mais songez au succès que le récit de vos aventures vous procurera de retour dans votre bonne ville.
Le restaurant : d’abord il existe des distributions de repas pour les nécessiteux type Restos du coeur, Emmaüs , etc. Par ailleurs, un peu de grivèlerie de temps en temps n’est pas péché, surtout dans les restaurants étoilés.
Le spectacle : les prix varient, en fonction des catégories, de 22 à 69 €. Avec tout ce que vous avez économisé, la 3ème catégorie (22€) devrait être à votre portée. Solution ultime : vous faites la queue, avisez une gentille vieille dame brandissant son ticket d’entrée, vous l’approchez, lui piquez son précieux sésame et vous fondez aussitôt dans la file d’attente. C’est un peu sportif, assez peu honnête, mais… mais… Luchini, ça le vaut bien, « c’est énorme » !

Bloom dit: à

Le Petit Palais est grand et très laid & encore davantage quand les croûtes de l’infâme Sickert pendent aux cimaises de ses salles glaciales…
Incroyable: pas une seule référence à la controverse Jack The Ripper…la vile (auto-)censure se porte bien, merci. Pourtant ce ne sont pas les indices qui manquent dans ces minables daubes, accréditant la thèse que le peintre d’Ennui (seule et unique toile à sauver) est bien le serial killer qui mit jadis Whitechapel en émoi.
Plus sinistre que cette expo, tu meurs. J’oubliais, il y est beaucoup question de Dieppe.

closer dit: à

Apparemment vous n’êtes pas allé assez loin pour être témoin de l' »évolution » d’Angèle, Rose. Je ne vous dis rien…

closer dit: à

« Aujourd’hui, nous apprenons qu’au Royaume-Uni, Rashi Sanouk est désormais Premier ministre », a-t-il déclaré lors d’une intervention filmée, »

Impayable ce Biden!…sans compter le qualificatif de « Première Dame » donné à sa vice-présidente Kamala Harris en mars dernier…Madame Biden a dû être contente.

rose dit: à

Merci, Closer.

Alexia Neuhoff dit: à

Un crêpe noir pour honorer Pierre Soulages.

MC dit: à

D’accord, J’ai pris Hidalgo comme Bouc Emissaire d’une Inculture d’Etat. Remonter à Lang prenait trop de temps. Pour le reste, si le sort de la BN est de devenir un Carnavalet Bis (comparaison mal choisie, d’ailleurs; à moins qu’on ne veuille insister sur le moins d’oeuvres disponibles du second, l’escalier de la Salle des Enseignes, pareillement détruit, et la Collection Roxelane Dubuisson refusée, je n’y peux rien, mais telle n’etait pas la fonction de la BN.
Si on parle de Tolbiac, qu’il me soit permis de noter que certains livres sont toujours inaccessibles, faute d’échelles pour les atteindre. Comme disait une Conservatrice qui n’est plus tenue par le devoir de réserve: « Gilles P… a raté l’Accueil, les Livres, et le Batiment. » Mais à part ca tout va tres bien. Jamais été convaincu par la thèse de Miss Cornwell assimilant l’Eventreur à Sickert. Et sans doute que le musée non plus…

rose dit: à

Chui au chap 19.
Pas intelligence hors norme mais je l’avais compris oui, qu’elle filait un coton plus tragique qu’eux tous.
Seulement si personne ne dit rien jamais, ou est complice, cela ne fait qu’empirer.
M’enfin, je me pause un peu.

rose dit: à

Une crêpe blanche pour moi, virtuelle, pour Pierre.

Jacques dit: à

Pierre Soulages, le grand imposteur est mort. Enfin. Ses noires croûtes avec.

et alii dit: à

pour SOULAGES/QU’AURAIT DIT Artaud?

Patrice Charoulet dit: à

@Alexia Neuhoff

Le texte que vous me destinez est très amusant.

Alexia Neuhoff dit: à

« Le texte que vous me destinez est très amusant. »

M. Charoulet, il n’avait pas d’autre prétention. Bonne soirée.

Alexia Neuhoff dit: à

Jacques dit: à
« Pierre Soulages, le grand imposteur est mort. Enfin. Ses noires croûtes avec. »

Hum… Est-ce ce même Jacques qui, plus haut, ne tarit pas d’éloges sur certain peintre autrichien (dévoyé en politique) ?

Patrice Charoulet dit: à

@Alexia Neuhoff

Je compte diffuser très largement votre texte plein d’esprit.
Est-ce votre vrai nom ? Etes-vous une femme ou un homme ?

renato dit: à

sans une

renato dit: à

La comprenette des Allemands contemporains ne semble pas à l’hâteur de leurs philosophes. Voyons : vendue à la Chine une tranche du port de Hambourg…

MC dit: à

Pour revenir à Mann, il est etonnant qu’une aventure pareille ne soit pas arrivée au fantôme de Goethe, peut-être moins ou pas de documents exploitables….

Alexia Neuhoff dit: à

Patrice Charoulet dit: à

@Alexia Neuhoff

Je compte diffuser très largement votre texte plein d’esprit.
Est-ce votre vrai nom ? Etes-vous une femme ou un homme ?

Cher Monsieur, nous entrons dans l’intime. Sachez que mon prénom est celui de mon état civil. Je vous laisse déduire le reste.

Bloom dit: à

Le petit peintre viennois, c’était quand même autre chose, nicht wahr, Obersturmführer Jacques.
La calligraphie sur peau d’enfant juif, de la vraie dentelle.

Clopine dit: à

Merci à Alexia Neuhoff de ne pas se prêter au jeu de la séduction (flatte un homme, il en restera toujours quelque chose). Maintenant je peux l’affirmer : les petites filles se racontent des histoires, les garçons les vivent. Mais nous devrions tous pouvoir grandir un peu, non ?

rose dit: à

Oui, nous devrions pouvoir, Clopine.

renato dit: à

Pas toutes les petites filles se racontent des histoires, il y en a aussi d’intelligentes et pour le peu que dans mon enfance j’ai fréquenté le monde il me semble qu’elles étaient largement majoritaires.

et alii dit: à

« les petites filles » QUEL ÄGE?
tout à l’heure une dame un peu âgée et qui « a bien vécu » -en « engagements militants- à laquelle je disait que P.S. était mort pe dit que « les ados aujourd’hui disaient « faire le white » »
Je lui ai demandé quel âge les ados?
REPONSE précise-elle parlait de son fils-36 ANS
J’AI REGARDE UN PEU VITE SUR INTERNET où j’ai trouvé « fair and white »
bonne soirée

et alii dit: à

me dit
à la réflexion, cette dame a des intermittences « petite fille » peut-être

Jazzi dit: à

« les petites filles se racontent des histoires, les garçons les vivent. »

C’est de l’essentialisation sexiste et gratuite, Clopine !

rose dit: à

Pour se raconter des histoires, il ne s’agit pas d’être bête.
Ferdine dit d’Angèle « elle a été ma première lectrice et là, ds ce type de relation là, c’est lui qui lui racontait les histoires.

rose dit: à

lectrice « 

rose dit: à

C’est sûr qu’il ne s’agit pas de « faire le Wight » ? En référence à l’île de Wight. Wight is Wight Dylan is Dylan.
Wight is Wight viva Donovan.
C’est comme un soleil,
Dans le gris du ciel
Wight is Wight it, hip Hip hip hip hip.

rose dit: à

Trouvé
La formule entière est « faire le white knight ».

Cela signifie faire le chevalier blanc.
C lié aux jeux vidéos.

Ciao

et alii dit: à

un tout nouvel horizon:
Les plongeurs en haute mer ont découvert un tout nouvel écosystème à 500 mètres sous la surface de l’eau dans l’océan Indien, et il est rempli de requins affamés.

Les scientifiques ont décrit la région – nommée la «zone de piégeage» et située près du volcan en eau profonde des Maldives Satho Rahaa – comme une «oasis de vie» dans un «très grand désert océanique» où des essaims de poissons et de requins descendent pour se gaver . un nuage de minuscules créatures marines.
https://www.livescience.com/oasis-of-ravenous-sharks-beneath-ocean?utm_campaign=368B3745-DDE0-4A69-A2E8-62503D85375D

et alii dit: à

« horizon »ENCORE
« Nous sommes huit milliards… Et après ?
Officiellement, la population mondiale franchit le seuil de 8 milliards d’habitants ce 15 novembre. Il y a moins de 100 ans, en 1927, nous n’étions que deux milliards. Et demain ? Si on en croit le scénario central des Nations unies, nous devrions compter 9,7 milliards d’habitants en 2050 puis 10,4 en 2075 avant de voir la population se stabiliser et même diminuer légèrement à l’horizon de 2100. L’avenir est-il écrit ? »

et alii dit: à

notez bien que je ne suis pas laissée troubler par « knight » et que je n’ai pas écrit « horizons » à la rouennaise, mais  » horizon  » pour éviter tout philippique;

et alii dit: à

toute philippique

et alii dit: à

Festival Pariscience : festival international du film scientifique organisé par l’AST, présente gratuitement une sélection du meilleur de la production documentaire scientifique française et internationale récente, dans toutes les durées, sur tous les formats et pour tous les publics. Avec l’ambition d’interpeller, de débattre et de réfléchir, ensemble, à un futur souhaitable, la programmation de Pariscience est conçue pour donner au public les clés de compréhension des enjeux scientifiques actuels et de leurs impacts sociétaux. C’est pourquoi toutes les projections sont suivies d’un débat entre experts scientifiques, équipes des films et le public… Un partage de savoir, d’art et de citoyenneté.

DHH dit: à

@Alexia @ Patrice Charoulet
Excellent Vademecum pour venir écouter Lucchini pour pas cher. Mais même dans ces conditions je pense que le rapport qualité /prix n’est pas satisfaisant.
Pourquoi ?
Il se trouve que j’ai vu Lucchini disant du La Fontaine il y a deux ou trois ans
Je reconnais que j’ai apprécié la diction impeccable de l’acteur. Mais, faute de s’effacer derrière le texte, afin qu’il s’impose au spectateur avec toute la pureté et le dépouillement qui en font la force, Lucchini en pollue l’exceptionnelle perfection, non seulement par son cabotinage permanent, envahissant et un peu grimacier, mais aussi, et surtout, par son parti pris de truffer le texte de brefs inserts personnels valant clins d’œil entendus au spectateur.
Ainsi se trouvent ramenés au statut de composantes d’un one-man shaw ordinaire des textes lumineux, qui sont chacun, par la subtilité de leur propos, par la précision et la densité burinées de leur langue, des miracles de réussite de cette intelligence élégante dont parle Valéry.
Dans le genre c’est peut-être réussi, mais La Fontaine ne méritait pas cet appauvrissement, cette ombre portée sur l’éclat des impeccables bijoux littéraires qu’il nous offre
Mais j’ecris tout ceci sous toute réserve, car peut-être ces défauts sont–ils corrigés dans la présentation actuelle du spectacle ……Ce qui donnerait un rapport qualité/prix acceptable même avec le voyage de Dieppe à Paris en train

et alii dit: à

@soleil vert:
Pour prolonger le débat de la thématique phare de l’année : « La Complainte du progrès », Pariscience organisera une table-ronde, à l’Institut de physique du globe de Paris.

En prenant le film de Mathias Théry, Isaac Asimov, l’étrange testament du père de robots comme illustration, cette table ronde permettra de réfléchir et de débattre avec des chercheurs sur différentes questions : qu’est-ce que le progrès ? Comment spéculer sur les différents futurs possibles ? Comment la science-fiction et la recherche scientifique peuvent-elles mutuellement s’inspirer ? La SF pourrait-elle participer à changer le monde actuel ?

Ce débat sera modéré par Perrine Quennesson, journaliste et critique de cinéma, animatrice du podcast 7e science.
https://pariscience.fr/seance/table-ronde-la-science-fiction-peut-elle-sauver-le-monde/

Patrice Charoulet dit: à

@Alexia Neuhoff

Contrairement à ce que dit Clopine, il n’y a eu nul jeu de séduction dans la question que je vous ai posée.
Sur ce blog, 99% des gens étant sous pseudo , j’imagine que des hommes prennent des pseudos féminins et que des femmes prennent des pseudos masculins.Tout est possible.
Je note que votre prénom féminin est le vôtre. A la bonne heure !
Ailleurs, je peux donc parler de vous en disant
« une commentatrice du blog de Pierre Assouline ».
Et que Clopine se rassure, je ne prends pas ce blog littéraire pour un site de rencontres.
J’ajoute que je vais avoir 78 ans en janvier et qu’à cet âge-là on se renseigne sur les tarifs des diverses sociétés qui organisent les obsèques et on prépare les choses.

DHH dit: à

@Alexia
Pour le cas où votre préoccupation de l’avenir s’etendrait au préfinancement de vos obsèques, sachez, que les sommes que vous versez dans cette perspective apparaissent dans la comptabilité des pompes funèbres, sous l’intitulé réjouissant de
AVANCES SUR TRAVAUX EN COURS
Du moins c’était le cas lorsque j’avais autrefois des rapports professionnels avec cette branche d’activité

DHH dit: à

Erreur

Mon post s »‘adressait à M. charoulet et non à ALexia
Pardon Alexia de vous avoir parlé d’un sujet qui ne doit pas intéresser la (encore) jeune femme que vous êtes

et alii dit: à

echange de bons procédés:P,CH…..T
une « animatrice » (d’institution),travaillée par un symptome de journaliste, m’ayant récemment demandé de lui parler de « la vieillesse » je lui ai « suggéré » une copieuse bibliographie d’auteurs ,artistes, savants,
tous et toutes tres connus, admirés, imités, questionnés:je vais me permettre de mettre des réflexions puisées sur des blogs par exemple, en les anonymisant (j’ignore l’usage que cette animatrice en fera; et de cette nouvelle série de témoignages, votre post sera le premier: merci de me confirmer votre consentement, et selon si vous voulez laisser votre nom, ou vos seules initiales, tant que mon envoi à l’animatrice n’est encore qu’en attente;(je peux vous confirmer que cette dame tient à certain respect des « intervenant-e-s » de son « public » et que j’ai des « relations certaines, mais respectueuses mais distantes avec elle, et d’une certaine façon « sans obligation »

Janssen J-J dit: à

@ jzmn/harkis, vous auriez pu nous épargner l’image finale… L’avais entendue souvent évoquer mais jamais vue. Une monstruosité ! Sinon, ai-j ressenti la même douleur que dans votre film, depuis l’inoubliable récit d’Alice Zeniter, « l’art de perdre », paru en 2017.
Je me permets de vous signaler (ont préfère généralement), mais vous remercie surtout pour ce compte-rendu sobre, précis et sincère de ce film. Bàv

renato dit: à

“l’art de perdre”

Elizabeth Bishop, One Art

The art of losing isn’t hard to master;
so many things seem filled with the intent
to be lost that their loss is no disaster.

Lose something every day. Accept the fluster
of lost door keys, the hour badly spent.
The art of losing isn’t hard to master.

Then practice losing farther, losing faster:
places, and names, and where it was you meant
to travel. None of these will bring disaster.

I lost my mother’s watch. And look! my last, or
next-to-last, of three loved houses went.
The art of losing isn’t hard to master.

I lost two cities, lovely ones. And, vaster,
some realms I owned, two rivers, a continent.
I miss them, but it wasn’t a disaster.

—Even losing you (the joking voice, a gesture
I love) I shan’t have lied. It’s evident
the art of losing’s not too hard to master
though it may look like (Write it!) like disaster.

Bloom dit: à

Bandeau d’une chaine de télé indienne (India Today): ‘Battered Britain gets ‘desi’ big boss’
(Une Grande Bretagne dans la tourmente dirigée par un ‘gars de chez nous’)
Après Kamala Harris, l’ancienne colonie exulte. Le gouvernement Modi peaufine sa demande de restitution du Koh-i-Noor.

et alii dit: à

MEreprend, en traduction, un poème -je n’ai pas mon livre ici-
« je cherche ce que je n’ai pas perdu
toi, bien entendu »
on répète que la vieillesse est le temps de la perte,
(des dents comme de la mémoire)
bonsoir

et alii dit: à

un cadeau, vraIment?
Un livre rare offert au pape François par Emmanuel Macron pourrait être pillé par les nazis, selon la Pologne
https://www.artnews.com/art-news/news/emmanuel-macron-gift-to-pope-francis-may-be-nazi-looted-1234644421/#recipient_hashed=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7&recipient_salt=9104f182a350ba02d2c1677141a1820e2ee708729e13c1a96f9d2604f8a6ae6a&utm_medium=email&utm_source=exacttarget&utm_campaign=artnews_today&utm_content=388888_10-26-2022&utm_term=8013446

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*