Tintin a 90 ans mais il ne les fait pas
La Belgique est en fête, et pas qu’elle : le 10 janvier 1929, Tintin naissait dans Le Petit Vingtième, supplément jeunesse du quotidien bruxellois, catholique et conservateur dirigé par le très mussolinien abbé Wallez, Le XXème siècle. Les lecteurs découvrirent ce jour-là les aventures au pays des Soviets d’un reporter un peu particulier en ce qu’il est adolescent, qu’on ne le verra guère écrire et jamais manipuler d’argent, et que son chien lui parle, et en français de surcroit. Mais on y a crû et on y croit encore. On peut même dire que cet invraisemblable grand reporter a suscité des vocations de journalistes au long cours. Pour bien faire, une version recolorisée, et uniquement en format numérique, de Tintin au Congo (1931) a été lancée par Moulinsart S.A. sans Casterman, l’éditeur historique d’Hergé en raison des nombreuses controverses qui font cortège à cet album régulièrement la cible de campagnes politiquement correctes sur son caractère “raciste” et “colonialiste”, qui finissent en vain devant les tribunaux. A l’occasion de toute cette tintinofolie, il y aura aussi des expositions à Barcelone, Lisbonne, Séoul…. De quoi vérifier sa modernité, son actualité, son intemporalité, son universalité. Combien de personnages de fiction peuvent en dire autant ?
Le Congo était la deuxième aventure de Tintin reporter, après le séjour en bolchévie. Hergé, qui n’avait jamais quitté sa Belgique natale, avait puisé sa documentation au Musée colonial de Tervueren et dansLes silences du colonel Bramble, roman à succès d’André Maurois dans lequel il avait carrément transposé toute une scène de chasse. C’est à peu près tout même si plus tard, dans un essai remarqué, Roger Nimier établira un rapprochement avec Les vertes collines d’Afrique d’Hemingway. Tintin au Congo est donc paru en 1931, époque à laquelle la Belgique était coloniale avec bonne conscience. Il n’y eut aucune controverse. Ce n’était pas perçu comme raciste mais comme paternaliste. Même si trois ans avant Gide avait publié son Voyage au Congo où perçait l’indignation contre les abus, et si un an avant, Albert Londres avait lancé une série d’articles dénonçant l’exploitation criminelle des Noirs dans la construction du chemin de fer Congo-Océan. Gide et Londres étaient français ? Soit mais Georges Simenon était bien belge et dès 1932, dans Voilà, il publiait un reportage accablant qui s’achevait par ces mots :
« Oui, l’Afrique nous dit merde et c’est bien fait ! »
Autrement plus percutant qu’un communiqué du Cran visant à faire réviser l’album. Hergé, qui évoluait dans un milieu très conservateur d’où jaillira l’extrême-droite rexiste, n’eut aucun cas de conscience. Il reflétait la Belgique et sa mission civilisatrice. Les enfants adoraient et l’album fut un succès. Après guerre, quand il entreprendra un travail de refonte (mise au format, mise en couleurs) avec Edgar P. Jacobs, Hergé transformera sensiblement le voyage d’un Belge au Congo en séjour d’un Européen en Afrique afin de lui donner une dimension plus universelle. Dans le même élan, non seulement il le dénationalisera mais il le laïcisera : Tintin cessera de recommander son âme à Dieu. Il n’en demeure pas moins que dans les années 60, Tintin au Congo de même qu’Au pays des Soviets, étaient introuvables en librairie alors que 800 000 exemplaires du Congo avaient été écoulés.
Casterman ne les rééditait pas, moins par peur des Africains eux-mêmes que par crainte d’une campagne d’opinion de l’intelligensia tiers-mondiste. Dans une lettre du 26 juin 1963, Hergé implorait son éditeur de ressortir Tintin au Congo au moins en Europe. Pour lui, la cause était entendue : ses personnages étaient « »des noirs de fantaisie », caricaturaux comme tous les personnages de son oeuvre. Il en voulait pour preuve les lettres admiratives de ses jeunes lecteurs africains et un article laudateur paru dans le No 73 de la revue Zaïre (2.12.1969) :
« Si certaines images caricaturales du peuple congolais données par Tintin au Congo font sourire les Blancs, elles font rire franchement les Congolais, parce que les Congolais y trouvent matière à se moquer de l’homme blanc qui les voyait comme cela ».
Au moment où cet article paraissait, Hergé n’en demandait pas moins à Casterman de remplacer « »nègre » »par » »noir » »à la case 8 de la page 31… » N’empêche. Selon un sondage réalisé il y a une dizaine d’années, Tintin est le personnage de bande dessinée préféré des Français. Il arrive en tête avec 22%, talonné par Astérix(20%). Très loin derrière, à moins de 10% ce qui ne laisse pas d’être inquiétant quant au mental et à l’imaginaire de nos compatriotes, dans la meute des suiveurs, on trouve Lucky Luke, Gaston Lagaffe, Titeuf, Mickey et, légèrement au-dessus de zéro, ce qui est vraiment désespérant, Boule et Bill, Spirou, Cortese et Blake et Mortimer.Le détail de ce sondage est édifiant même s’il n’est pas surprenant : le profil du tintinophile est celui d’un individu de plus de 35 ans qui vote plutôt à droite …
Quand on songe que l’oeuvre d’Hergé (ou de Hergé, les deux s’écrivent, avis aux amateurs, de toute façon le pseudonyme vient de R.G., initiales inversées de Georges Remi, son vrai nom)) est définitivement fermée depuis la parution du dernier album puisque Hergé, contrairement à Edgar P.Jacobs ou Jacques Martin, a interdit qu’on poursuive son oeuvre sans lui, on se demande comment faire vivre une oeuvre close. Par des dessins animés, des films, des produits dérivés ? Ca ne suffit pas à entretenir le mythe. Alors ? La vérité est autrement plus simple : les Français qui ont aimé Tintin quand ils étaient petits n’ont pas lu d’autres BD depuis. Ils aiment Tintin, pas la BD, et à travers lui, leur enfance et leur jeunesse.
A sa naissance à la fin des années 20, Tintin avait environ 14 ans selon son créateur ; dans les années 70, Hergé lui donnait environ 16 ans. C’est une prouesse de ne pas grandir à ce point. C’est à peine s’il troque la culotte de golf pour un jean. Tintin reste étonnamment adolescent pendant un demi-siècle, ce qui est tout de même moins étrange que d’avoir un chien qui parle. Gardons-nous ne jamais faire parler les morts mais n’oublions pas que le bouddhiste belge en lui, qui considérait Tintin au Tibet comme son album préféré, eût été comblé de constater que celui-ci représentait toujours un enjeu politique. Car le chef spirituel du bouddhisme tibétain ne s’y est pas trompé : Tintin est son meilleur agent de propagande. La preuve : il y a une quinzaine d’années, lors de sa parution en mandarin, l’album était abusivement intitulé Tintin au Tibet chinois. La Fondation Hergé diligenta des plaintes afin d’obtenir que le dernier mot indûment rajouté soit dûment retiré; on n’en attendait pas moins de la part de ses dirigeants, Fanny, la veuve d’Hergé, et son mari Nick Rodwell, étant tous deux convertis au bouddhisme. Aux yeux du Dalaï Lama, qui accepta leur invitation d’inaugurer une grande exposition « »Tintin au Tibet » » à leurs côtés, l’album d’Hergé n’a pas seulement « révélé au monde la beauté du Tibet », il a également « suscité une prise de conscience internationale plus aiguë du Tibet ». Combien de bandes dessinées peuvent-elles en dire autant ? Le destin de celle-ci est d’autant plus étonnant qu’il n’était pas prémédité.
Tintin au Tibet est né d’une grave dépression d’Hergé, déchiré par un cas de conscience qui ne le laissait pas très zen, rongé par la culpabilité à l’idée de quitter sa femme pour sa maîtresse. Irrésolu, il se reprochait d’être trop vertueux, de ne jamais dévier du chemin du devoir, comme son héros de papier. Il s’immergea dans le travail, se lança dans plusieurs projets successifs, passant d’espions trafiquant des pilules radioactives à l’expropriation de Peaux-Rouges de leur réserve avant de tout laisser tomber pour une intuition écrite à la hâte :
« Thème général très simple. Mais quoi ? Sagesse tibétaine- Lama. Abominable homme des neiges. Pourquoi partent-ils au Tibet : le yeti… »
Il se documenta aussitôt et se mit au travail mais à mi-parcours hésita à renoncer : ses nuits étaient hantées par des rêves de blanc. Tant et si bien qu’il se rendit pour la première fois chez le professeur Ricklin, psychanalyste jungien, lequel ne lui suggéra pas seulement d’abandonner son travail :
« Vous devez exorciser vos démons, vos démons blancs. Il faut tuer en vous le démon de la pureté ! »
En le quittant, Hergé était enfin résolu : il décida de poursuivre son album et d’abandonner le psychanalyste. La 63ème et dernière planche de Tintin au Tibet parut dans le journal Tintin le 25 novembre 1959, huit mois après la sanglante répression d’une révolte populaire à Lhassa par l’armée chinoise, le départ en exil du Dalaï Lama et de 100 000 de ses compatriotes. L’album sortit en 1960. Cette œuvre intime, émouvante et hantée par la mort était l’exact reflet de la crise morale qu’il venait de traverser. Elle est mélancolique, nostalgique, comique et historique. La couverture ? une tache blanche, pendant de l’autre pilier de son œuvre, la tache rouge du Lotus bleu. Un chant dédié à l’amitié dans ce qu’elle a de plus pur. De quoi se réconcilier avec lui-même. Il s’accepta enfin après avoir vaincu le mauvais en lui, jusqu’à évoquer dans une dédicace à un ami « l’adorable homme des neiges ». Rien à changer dans cet album. A peine un détail : Air India étant fâchée d’être associée à une catastrophe aérienne, Indian Airways devint Sari Airways dans les rééditions. Pour le reste, plus d’un demi-siècle après, il demeure d’une brûlante actualité même si Hergé ne l’a pas fait exprès. Tingting et son fidèle Neige blanche n’ont pas fini leur longue marche.
Quant aux Bijoux de la Castafiore…Nous sommes enfin en mesure de rassurer nombre de nos lecteurs qui souffrent de longue date de n’en avoir jamais bien saisi l’intrigue. Cette non-aventure axée sur un anti-héros, où tout le monde se parle sans que les gens ne communiquent entre eux puisqu’ils usent de la même langue mais pas du même langage, apparaît aussi lumineuse que Tintin au Tibet traduit en tibétain par un moine d’une lamaserie d’Anvers (en plus, c’est vrai). Mais restons sur les Bijoux de la Castafiore, qui s’est d’abord appelé « L’affaire Castafiore », puis « Le Saphir de la Castafiore » et même « Le Capitaine et le Rossignol ».
Cet album à part dans l’œuvre d’Hergé est une histoire de fous rythmée par la nonchalance d’un réparateur pas pressé de réparer, de bijoux deux fois disparus mais jamais volés et de roms toujours suspects mais pas coupables)… Hergé y avait mis son talent à inventer la confusion et son génie à l’organiser. Les intellectuels en feront une œuvre-culte louée pour sa postmodernité, sa densité, sa sophistication, son autodérision et son grand art de l’understatement. Le philosophe Michel Serres y vit même la production par le « comics » de son Traité de la solitude monadique, manière toute personnelle de dévoiler à quoi fut la bande destinée.
Qu’est-ce que cela aurait été s’il l’avait lu en monégasque, expérience cruciale dont nous pouvons aujourd’hui témoigner ! Si les aventures de Tintin sont déjà traduites dans 98 langues, en attendant que le chiffre soit rond avec les publications annoncées en wolof et picard rural du Tournaisis, les Bijoux de la Castafiore demeure le favori des langues régionales par la volonté de l’éditeur :
« Tintin au Congo n’est pas un bon choix pour une langue régionale européenne ; les albums sur la lune non plus car ils contiennent trop de termes techniques absents des lexiques régionaux. A l’inverse, les sujets traités dans les Bijoux sont familiers, ruraux, quotidiens… La traduction de ce titre est très naturelle dans les parlers régionaux. De plus c’est un album très finement construit, sans artifices. On y joue finement avec les sentiments, les conventions, les petits travers »
C’est ce qu’explique Etienne Pollet, éditeur des traductions régionales de Tintin chez Casterman, qui préconise les Bijoux aux éditeurs européens tant la conversation y est familiale et donc plus apte à donner du naturel à la traduction. Ici comme ailleurs, le but est avant tout culturel ; il déclenche une fierté identitaire qui se lit comme un événement socio-politique en raison de la dimension mythique de Tintin.
(Dessins d’Hergé, copyright Moulinsart sauf le deuxième « Hommage du dessinateur Tibet »)
1 240 Réponses pour Tintin a 90 ans mais il ne les fait pas
Héritier a bien sur poussé less travaux sur l’inceste!that’swhy
1994: Françoise Héritier et l’inceste du deuxième type
la différence entre l’arrogance de madame charabia et Héritier qui esr une dame de l’anthropologie ;j’ai plusieurs fois cité cette réponse de cette dernière:
« Je n’ai pas osé », reconnaît en privé un professeur au Collège de France, âgée à l’époque d’une soixantaine d’années, déjà auteur de plusieurs ouvrages et articles scientifiques sur la parenté. Mais dans l’ombre du grand prédécesseur – Claude Lévi-Strauss, bien sûr –, il n’est pas facile, surtout lorsqu’on est une femme, de s’affirmer non seulement comme une habile applicatrice des concepts d’autrui, mais aussi comme une créatrice de concepts, une théoricienne à part entière. Surtout lorsque le concept en question consiste à affirmer qu’à côté de l’inceste « classique », étudié tant par les anthropologues que par les psychanalystes (le commerce sexuel entre consanguins), existe un autre inceste, non encore repéré jusqu’alors, consistant dans le partage d’un même partenaire sexuel par des consanguins (telles deux sœurs, ou une fille et sa mère). Et pire : que cet « inceste du deuxième type » est peut-être plus problématique, et donc plus caché – au point de n’avoir jamais été identifié – que l’inceste classique, « du premier type » donc, lequel n’en serait même qu’un avatar secondaire « dans la perspective unitaire d’une seule et unique théorie ». Spectaculaire renversement des préséances, qui ferait marquer à l’élève un coup d’avance sur son maître, la propulsant du statut de disciple zélée à celui de concurrente audacieuse : vraiment pas un rôle taillé pour une femme, même brillante – n’est-ce pas ? Et donc : « Je n’ai pas osé ».
qui est excuses
Vraiment subtile, Passou, au fil des pages de votre biographie d’Hergé, la distinction que vous faites grâce à vos sources entre Georges Remi, graphiste, et Hergé dessinateur (Tintin et pas que de ce personnage.)
Ainsi au reporter de L’Effort (pp106/107) il confie sa stratégie dans la place et le choix des couleurs et des lettres sur ses affiches, alors qu’à Radio-Bruxelles, le 5 mars 1942,(pp282/283), c’est en dessinateur et presque en cinéaste qu’il répond au journaliste André Colard.
« … Je considère mes histoires comme des films. Donc pas de narrations, pas de descriptions : toute l’importance, je la donne à l’image. Mais il s’agit de films sonores et parlants 100%… Les dialogues sortent directement de la bouche des personnages.
– En effet, tous les procédés de cinéma sont vôtres : gros plans, travellings, vues plongeantes, etc.
– J’ai même mes sous-titres, mais je ne les emploie guère que pour indiquer de temps à autre la durée : par exemple « huit jours après » ou « pendant ce temps, petites indications que ne pourrait donner un dessin car, comme au cinéma, la durée est la chose la plus difficile à rendre. »
Il répond aussi avec beaucoup de précision sur le découpage et le montage de ces histoires. On sent qu’il les a d’abord publiées en séries quotidiennes dans les journaux :
» – En quoi consiste donc exactement le problème ?
– D’abord à opérer la soudure avec les dessins du jour précédent ; à faire ensuite en sorte « qu’il se passe quelque chose » et pour finir, à terminer sur une scène qui prépare les dessins du lendemain…
– Et qui laisse donc les lecteurs en haleine ?
– Naturellement ! Si le lecteur pouvait à coup sûr deviner la suite, il n’y prendrait plus aucun intérêt. C’est pour la même raison qu’il convient de doser l’élément comique et l’élément dramatique… »
Toutes ces précisions, ajoutées aux autres notations sur ses personnages, ses albums, montrent qu’il était passionné par ces deux activités créatrices et à quel point ont dû le blesser les dénonciations qui l’ont sali quand Bruxelles recouvrit sa liberté et passa à l’épuration. Dénonciations visant deux êtres différents ignorant que l’un est l’autre ! une pour Hergé, l’autre pour Georges Remi avec ce commentaire : « Impossible d’obtenir des renseignements sur cet individu. Tout ce que nous avons appris, c’est qu’il doit être surveillé de près. »
Vous ajoutez qu’il « sera arrêté à quatre reprises par la Sûreté de l’État, par la Police judiciaire, par le mouvement national belge (MNB) et par le Front de l’indépendance. A quatre reprises, il est remis en liberté. Par des policiers ou par des résistants. »
Encore des ennuis plus tard, bien d’autres… ainsi qu’avec Steven Spielberg (contrats).
(p.728) : « 1983. A la veille de fêter ses 76 ans, le père de Tintin est à bout de forces. Il renonce provisoirement à tout projet d’avenir. »
Superbe biographie qui explore la vie et l’œuvre de cet homme doué et vulnérable.
Est-ce pour cela que vous écrivez p.723 que « Hergé est de plus en plus las de Tintin et de la bande dessinée. […] gagné par le sentiment de les avoir également épuisés au moment où,de tous côtés, son œuvre est consacrée comme un classique de la littérature pour la jeunesse. »
Janssen
merci de votre indulgence et de vos précisions, ce qui m’amuse c’est la parenté entre les scarabées et les panzers, ce type était un obsédé de la protection rapprochée, il aurait été bon dans la répression des GJ. Mais bon c’est un bon vieux facho, faut bien reconnaître qu’avant 33 il était plus radical que AH et qu’il trouvait que cet orateur à succès était un peu mou. Voir le texte d’un écrivain chercheur au nom hollandais (?)qui a nettoyé toute cette nazification par Jünger interposé. La seule vertu de Jünger est d’avoir vécu longtemps. (Tu m’étonnes que mimitte l’aimait bien, l’ambiguïté il adorait not’président « de gôche »!)
@Murielle Wenger dit: 12 janvier 2019 à 17 h 41 min
Oui, Murielle. On approche au plus près la vie d’un homme et pas seulement du créateur.
@caulerpa
Vous citez mon nom abondamment dans un post dont j’aimerais comprendre en quoi il me concerne
Vous notez mon obsession .Précisez, car je ne vois pas ce qui apparaitrait de ce genre dans mes post .Vous parlez d’une demande de peau d’âne .Que voulez vous dire ? cette expression désigne dans ma langue un diplôme ,ce n’est pas à l’évidence le sens que vous voulez lui donner .
Que savez vous de ce que je sais et je pense de Lévi-Strauss ou de Françoise Héritiers à propos desquels vous semblez contester mon point de vie .Enfin ce que je sais et je pense des psy me lùe vient de lectures et je n’en ai jamais rencontré encore moins debattu avec eux
Vous m’avez fabriquée à travers votre imagination et en aucun cas à partir de ce qui transparait de moi ici, et qui peut contenir d’ailleurs de gros mensonges destinés à me faire mousser .Mais c’est la loi du genre
or, c’est très bien expliqué dans l’article de la disciple:
Etrangement, tout en affirmant le « primat du symbolique », l’auteur ne développe pas les soubassements symboliques de ces « humeurs » : comme tout objet matériel, elles ne sont « symboliques » que si elles symbolisent quelque chose – mais quoi ? A la lumière du modèle que j’élaborais à l’époque sur les « états de femme » (cf. N. Heinich, Etats de femme. L’identité féminine dans la fiction occidentale, Gallimard, 1996), la réponse me parut claire : l’enjeu proprement symbolique de ce « cumul de l’identique » par le « mélange des humeurs », c’est la place dans la configuration familiale. Et c’est cette question de la place que, grâce à mon travail avec la psychanalyste Caroline Eliacheff, je proposerai dix ans plus tard de mettre au centre de l’analyse de l’un et l’autre types d’incestes, en considérant toute situation incestueuse, du premier comme du deuxième type, comme un processus d’exclusion du tiers et, plus fondamentalement, de « binarisation » du ternaire (cf. C. Eliacheff, N. Heinich, « Etendre la notion d’inceste: exclusion du tiers et binarisation du ternaire », A contrario, vol. 3, n° 1, 2005). Ainsi peut-on comprendre (ce que l’approche physicaliste ne permet pas) qu’une relation puisse être vécue comme incestueuse non seulement lorsqu’elle a lieu entre non consanguins, tel un beau-père et sa belle-fille (ce dont la théorie de Héritier permet de rendre compte), mais aussi lorsqu’elle met en jeu des parents adoptifs. Là, ce qui compte n’est pas tant la dimension corporelle de l’acte sexuel que les places généalogiques – proprement « symboliques » – assignées aux uns et aux autres.
inutile d’insister avec moi madame;vous qualifiez la langue des psys de charabia, mais vous ne manifestez pas une réelle culture des auteurs qui publient leurs discussions avec des psys comme F.Héritier, ce qui éclairerait votre lanterne;et vous auderait à comprendre seule, en étudiant,ou choisir des groupes d’études; je ne crois pas que la vocation du blog soit d’y faire cours ni de le saturer de liens explicites;si vous n’appréciezpas les auteurs qui mettent leurs articles en lien qu’y puis-je ?VOUS DITES CHARABIA EH BIEN C’EST VOTRE POINT DE VUE;et fichez moi la paix bonne soirée
Et puis « common area » me parait légèrement stupide (et dans le contexte actuel, pas neutre du tout, contrairement à l’intention affichée de manière un peu hypocrite). Les chinois et les musulmans ont d’autres références historiques. Très bien. Ce n’est pas une raison pour abandonner les nôtres.
caulerpa
etant plus competente en orthographe qu’en psychanalyse j’ai repereré dans votre post que j’ai cité une faute-de frappe evidemment.
vous vouliez écrire « quelles que soient les considérations » et votre manque de maîtrise du clavier vous a fait écrire « quelques soient ….
https://www.linguee.fr/anglais-francais/traduction/before+common+era.html
voyons Vedo ! on parlait de common era (CE) pas de common area (CA). Vous m’avez bien l’air tout emmêlé, parole. Attendons Bloom.
achtung, deashash va refiler un coup de karaté orthographique à caulerpa
Et si on prends comme réfèrent le présent — 1950 — comme les préhistoriens, p. ex. ?
et vous aiderait
it: 12 janvier 2019 à 18 h 38 min
je l’ai corrigé dejà ,avant votre remarque;
vous écrivez point de vie;je ne latiens pas de vous, la vie et votre acharnement à vouloir des compliments,et de l’adoration s’est trompé de cible;
je ne suis pas idolatre,madame !
caulerpa dit: 12 janvier 2019 à 16 h 52 min
quelles que soient
vérifiez l’heure aussi!
véronique cauhapé parle de laideur et monstruosité dans Border. Encore une qui n’est pas sortie de chez elle.
Elle ne parle pas non plus de la vengeance.
Et, à mes yeux, ce n’est pas du fantastique le rapport aux animaux : c’est du pacifique.
Une relation normale.
Edwige, je suis allé lire vos petites histoires et je vais être franc : s’il y a une spontanéité certaine, un humour qui souvent me plait, ça n’en reste pas moins bâclé. Suffisamment en tout cas pour me faire vite abandonner la lecture. Je vous inviterais, et je pense que vous en êtes capable, à travailler l’élégance du style.
je ne fabrique pas madame DHH parce que je n’attends rien d’elle et de sa culture psychiatrique américaine ,ni de sa férocité à se prendre pour « LA femme »qui s’y connait en sexualité à s’en jeter sur Clopine!tu parles! elle n’a pas vu le temps passer ,je crois, depuis qu’elle se prodiguait à des femmes plus naïves et ignorantes qu’elle:libido dominandi!
Bien sûr, Common Era. Pas la peine de prendre ces airs.
Entretemps, vous aurez eu le temps de lire la référence que je donnais, CE
Je n’écrirai plus en train, (et puis tout compte fait, pourquoi écrire?)
@caulerpa
j’avais donc raison ,c’était bien une faute de frappe .
mais svp expliquez vous mieux sur vos allusions ne serait(ce que pour que je comprenne mes erreurs et mes fautes ?quel rapport entre ma sexualité et Clopine?
jazzi 14h12 et avant.
non non non
elle lui dit sa maman « marie-toi ». Parce que sa mère à elle est belle et lui son fils aussi. Vous extrapolez.
ne les trouve pas monstrueux les deux héros d3 Border, juste néandertaliens. Me sens pas si loin, moi.
rose dit: 12 janvier 2019 à 13 h 57 min
Dérision et amusement Rose
DHH, don’t feed the Troll ; il vaut mieux laisser tomber, une troll qui se nourrit de sous-culture psy n’est ici que pour chercher noise.
Un visionnaire :
ceux qui écrivent des livres pour instruire ceux qui sont trop laches pour fréquenter un cours ne font pas de la sous culture et ne sont pas des fainéants
ainsi De l’inceste22 avril 2000
de Françoise Héritier et Cyrulnik Boris
il y a aussi naouri dans le titre(lequel ne me passionne pas du tout ni à lire ni à entendre
je les ai tous entendus plusieurs fois dans différents lieux (dont Beaubourg)
L’Exercice de la Parente11 avril 2019
de Heritier Françoise
C’était mieux avant !8 août 2017
de Serres Michel
par exemple
amusement, ça va Soleil vert si cela accompagne la dérision.
vous êtes féru de science fiction et de poésie. Les voyez-vous liés ?
Vous intéressez-vous aux polars ?
michel serres comme écho au billet
. Le philosophe Michel Serres y vit même la production par le « comics » de son Traité de la solitude monadique, manière toute personnelle de dévoiler à quoi fut la bande destinée.
25 Mars 2012 Publié par Le Cazals
LEXIQUE de Boris Cyrulnik
http://www.la-philosophie.fr/article-lexique-de-boris-cyrulnik-102271075.html
vous y trouverez sérotonine
quant à NATHALIE HEINICH qui présentait Héritier, voir sa page wikipedia trop longue à copier;
ceux qui disent fainéants devraient se regarder dans un miroir
pour clopine
Compte rendu dans Acta fabula: L’écrivain singulier, par Pascale Fautrier.
Nathalie Heinich, Être écrivain. Création et identité, Paris, La Découverte, coll. Armillaire, octobre 2000, 372 p., ISBN : 2-7071-3326-4, 160 F.
QUATRIÈME DE COUVERTURE
Sinterroger sur lidentité décrivain, cest comprendre à quelles conditions un sujet peut dire: «Je suis écrivain.» À travers les thèmes de la subsistance matérielle et de lengagement dans lécriture, de la solitude et des liens avec autrui, de linspiration et de la publication, des modèles de vie et de la présentation de soi, ce livre tente de dégager la spécificité de lécriture, et de la création en général, par rapport à dautres types dactivités susceptibles de définir une identité.
Pas besoin d’anthropologues ni de psy pour savoir que le désir masculin n’est pas une aspiration instinctive et qu’il n’est donc pas irrépressible, il suffit d’avoir eu des bons parents, et donc l’information adéquate…
Pas besoin non plus de Boris Cyrulnik pour trouver une information relative à la sérotonine, surtout si on connait l’LSD depuis les lontains années 60…
il y en a qui ne doutent pas d’intéresser par leurs platitudes et croire qu’ils peuvent s’attirer de la »
reconnaissance »
étreignez vous pour vous réconforter et vous dire qu’il n’y a rien que vous ,vous et vous ;
heureusement qu’il reste les autres!moi, je ne leur demande aucune psychologie de troquet enfumé
bonsoir quand même les désirants à leur papa et à leur maman et à leurs aïeux
Toujours incapable de pondre une forme convenable, la troll.
comment disait rose:les vieux scnocks(sic) sur LSP
Elle avait oublié que sur ce blog il y en a qui ont les cerveaux atteints par les expériences dont ils se flattent
j’écoute un « intello » que j’apprécie sur les gilets jaunes et ça m’intéresse plus que les pseudos aveux
non cauletpa : ai écrit schnocks, schn
renato dit: 12 janvier 2019 à 21 h 17 minvousq vous êtes illisible en français ;si on ne vous dit rien c’est qu’il y a des questions à se poser sur l’idéologie de ce blog;
moi, je passe votre galimatias calom ieux et prétentieux
je ne suis pas votre serviteur
calomnieux!
et vous pouvez vous rouler pa terre comme dans votre enfance, on s’en fout du tablier de maman , et du reste
Mieux vaut avoir le cerveau atteint qu’avoir une courge décorative vidée de sa matière à la place du crâne.
Incidemment, nonobstant le cerveau atteint j’arrive à pondre des formes plutôt bien ordonnée, c’est une question d’éducation et de respect de l’autre, ce qu’une troll ne peut comprendre.
12 janvier 2019 à 21 h 21 minpardon rose je n’ai pas vérifié comme vous l’avez écrit;mais vous avez bie dit qu’ils étaient dépassés, non?
SINON EXCUSEZ MOI? je pense avoir retenu l’esprit
bonsoir et courage je laisse l’ordi
« moi, je passe votre galimatias calom ieux et prétentieux »
Pour le moment qui a donné des mauvaises informations sur mon compte c’est vous.
12 janvier 2019 à 21 h 24 min
vous pondez ? vous faites plutôt le coq en mal de « poulettes »!allez plutôt astiquer votre désir ;je mets au moins des auteurs lus et appréciés que les autres peuvent contester :ça ne regarde qu’eux leur opinion sur ces auteurs comme Serres!
allez, je vous plaque!
: 12 janvier 2019 à 21 h 27 min
occupez vous de vous et d’attirer des compliments si c’est votre question ;je m’en fous je ne vous lirai pas ;je ne suis pas votre serviteur et vous laisse très volontiers vos flatteurs!
Apprenez à rédiger plutôt.
Todd s’exprime et débat sous ce lien
http://www.slate.fr/story/172035/gilets-jaunes-soutien-quartiers-populaires?utm_source=Ownpage&_ope=eyJndWlkIjoiM2Y2MTQ1MGI0Y2YwOGU5ZDQ0Y2NmNmMyZjY0OWU3NzYifQ%3D%3D
12 janvier 2019 à 21 h 36 min
connard!là c’est bien rédigé
« connard!là c’est bien rédigé »
Non.
pauvre connard
12 janvier 2019 à 21 h 36 min
Si tu veux écouter des choses raisonnables sur les Gilets Jaunes J2z, tu devrais (ré)écouter Dominique Reynié et Denis Olivenne dans le « Répliques » de ce matin, plus le « C dans l’air » de cet après-midi.
« En substance on m’a dit :il ne suffit pas de naitre de sexe feminin, la vraie féminité n’est pas acquise, elle se conquiert, ce qui implique qu’on cultive son apparence physique et qu’on veille à la mettre en valeur , qu’on sache se maquiller, qu’on apprenne à plaire etc… »
DHH, vous ne percevez pas que cette réflexion de votre élève est un détournement génial de la formule simpliste, voire niaise, de Simone de Beauvoir? Cette élève a compris que le féminin existe en soi indépendamment de toute construction sociale, même s’il s’exprime différemment selon les lieus et les époques. Elle rabat son caquet à la Mère Supérieure du Couvent des Féministes Historique…et de belle manière!
« jazzi 14h12 et avant.
non non non
elle lui dit sa maman « marie-toi ». Parce que sa mère à elle est belle et lui son fils aussi. Vous extrapolez. »
J’extrapole rien, rose, à 10 h 03 min, JJJ écrit :
« Évoquant par je ne sais quel hasard sa propre maman qui « a des jambes si belles », elle ajouta : « est belle, et toi aussi tu es beau, tu devrait te marier avec elle » »
à 12 h 10 min je réponds :
« En perdant la mémoire, la mère de JJJ retrouve l’instinct naturel de l’inceste ! »
Peu après JJJ précise :
« merci pour vos remarques, l’instinct de l’inceste, vous ne savez pas comme vous tombez juste, jzz hélas, elle et son père… »
La voilà goujatement insultante… à 21.36
non non non jazzi c’est pour la nuance entre son marie-toi et votre nique-la approximatif.
plaque-la, ça devient une manie, une licence poétique ou un effet de style à la bukovski ?
plutôt que dépassés, plan plan caulerpa. je les ai connus vifs et enjoués, comme la truite dans l’eau.
On ne nait pas féministe, closer, on le devient !
mais schnocks ce n’est pas schoks, c’est sûr.
si on vous dit » merde et c’est bien fait ! »
c’est que vous l’avez cherché ,depuis le temps!et ça a prétendu apprendre le français à P.Assouline quand il s’agit de faire son miel-oui, on dit faire son ùmiel!-des billets alors
merde au connard qui baragouine le français et veut donner ici des cours de correction linguistique ,parce que personne ne veut de lui dans sa langue maternelle non plus!
faire son miel expression ….
pour le miel,je suppose que Clopine est ou sera savante
Closer et DHH, oui, certes, mais on aurait préféré que l’élève en question, plutôt que d’axer la conquête de la féminité par les accessoires pré-établis par le patriarcat, revendique plutôt une accession conquise par la réflexion, l’ étude et l’utilisation de cet accessoire non utilisé par les coiffeurs, les maquilleurs, les marchands de fringues et les bijoutiers : à savoir un cerveau. Or, visiblement, l’élève ne savait pas ce que c’était…
rose je connais l’expression toujours avec vieux
je trouve
Attesté depuis la moitié du XIXe siècle. D’origine incertaine :
Le Trésor de la langue française donne pour étymon l’alémanique alsacien Schnokeloch (« trou à moustique »), du titre de la chanson De Hans im Schnokeloch (« Le Hans dans le trou à moustiques ») ;
Le langage parisien au XIXe siècle, publié en 1920, a chenoque (« nigaud », soit « bête comme un chien »), c’est-à-dire un dérivé de chien avec le suffixe -oque → voir chenil.
« faire son miel »
Encore une fois la troll a mal compris. Je n’apprenais pas le français à Passou, je contestais l’usage des expressions figées, car je crois qu’elles empêchent l’évolution des langues : ce n’est pas la même chose.
Bon. Caulerpa, comment vous dire ? Je ne suis pas trop sensible aux compliments, en général, et même en particulier. Alors je voudrais que vous cessiez les vôtres.
Putain c’est abrupt, ce que je dis, je trouve.
Aïe.
Attendez, comment vous dire cela ? Vous êtes piquante, voire revêche, envers tous et toutes ici. Vous faites une sorte d’exception pour moi, dirait-on, et montrez toujours que vous me lisez sans trop me trahir (notez, c’est déjà mieux que ce qui m’arrive généralement ici, certes !) et n’avez point de trop mots durs à mon égard.
Bon, je prends ça pour un compliment.
Cependant…
Eh bien, cela me gêne. Je ne suis pas différente des hôtes de ces bois. Tout aussi caricaturale que vous, en quelque sorte. Et votre mansuétude à mon égard n’éveille chez moi que des questionnements. Car enfin, je ne la mérite pas, ou surtout, pour mieux dire, « les autres » ne méritent pas vos rebuffades incessantes, qui ressemblent aux ruades des mustangs au Texas, lors des rodéos… et vos sursauts incessants, excusez-moi de vous le dire franchement, me fatiguent d’avance.
Bref.
Je suis odieuse, là, je le sens. Mais enfin, on est samedi soir, et l’ennui m’accable.
Je ne parviens guère à comprendre pourquoi aux USA le congrès ne vote pas le mur de protection contre les envahisseurs mexicains qui est d’une nécessité évidente et qui de plus créerait de très nombreux emplois. Le congrès porte toute la responsabilité de cette situation de blocage inouïe et à mon sens scandaleuse.
Je ne parviens guère à comprendre pourquoi aux USA le congrès ne vote pas le mur de protection contre les envahisseurs mexicains qui est d’une nécessité évidente, et qui de plus créerait de très nombreux emplois. Le congrès porte toute la responsabilité de cette situation de blocage inouïe et à mon sens scandaleuse.
: 12 janvier 2019 à 22 h 32 min
je n’avais pas l’idée d’être aimable avec vous:vous me l’apprenez, je n’ai pas compris qu’il fallait faire des graces ici et je me disais que la photo de P.Assouline était un indice du ton recommandé, ou une mise en garde du ton habituel;ça change de la tasse de thé;
bon, je ne suis pas féministe outre mesure parce que je crois qu’une femme a à supporter lespires chienneries d’une femme:elle ne veulent rien savoir!
si vous crachez sur les dames que j’ai citées comme anthropologue, sociologue, psychanalyste, (et ???je ne sais plus)ça c’est votre question n’est-ce pas;c’est vous qui dites je suis écrivain de quoi je vous ai envoyé une interprétation par une dame sans vous demander comment vous l’entendiez,juste pour que vous preniez conscience qu’on n’est pezut-être pas si gogo,même si vous avez un fils(croyez vous être la seule dans ce cas?)ce qui est tout l’opposé d’une flatterie en somme mais O.K?je n’attends rien de vous chère madame,vous racontez ce que vous voulez, vos uniformes de guide ou vos campements, ceux qui veulent vérifier qu’il y a du scoutisme féminin n’ont pas besoin de votre approbation;bref soupirez d’aise et oubliez moi comme je vous oublierai puisque je ne suis pas catholique!
je ne suis pas votre serviteur portez vous bien vous, les votres et vos créations
Plutôt que d’alimenter des boîtes qui tournent à vide pour s’imaginer créer de la richesse … À chaque frontière, politique, commerciale, culturelle, atavique, son mur.
De quoi préserver l’humanité du chômage et de l’epineuse question de la répartition des richesses créées … Il suffit d’imaginer le bon régime
En quoi Caulerpa est-elle trolle plus que vous, renato ?
Vous passez vous aussi votre journée à poster avec frénésie peut-être pour combler un abime de vide dans votre petite ville provinciale dont le climat doit certes être difficile à vivre. Vous nous balancez à longueur de temps des photos dont on arrive jamais à comprendre leur rapport tant avec le billet qu’avec les fils de discussion annexes ou périphériques.
Vous utilisez ce blog comme un exutoire de culture devenue pour vous toxique par sa fermentation mal menée. C’est vraiment la paille et la poutre.
Tous contre tous, on n’a pas trouvé mieux pour se distraire
« je ne suis pas catholique ! »
ça, on l’avait compris depuis longtemps, caulerpa.
Mais êtes-vous juive, culturellement ou cultuellement ?
Je vous ai écouté, Jean. J’ai cessé toute considération d’ordre politique notamment en relation avec les gilets jaunes dont le nombre de manifestants s’est par ailleurs accru aujourd’hui comme je viens de le lire sur FranceInfo.fr.
Doucement avec les juifs, jazzi, parce que j’ai des ancêtres juifs.
Cela dit mon intention n’est pas de défendre Caulerpa, tout simplement parce que je ne vois pas de quoi on pourrait l’accuser.
je n’ai pas remarqué qu’ on croyait ici que les gens avaient une « culture »moyenne -un peu au delà d’onfray (qui est une figure relativement récente dans le paysage)et eu l’occasion d’apprendre à lire et écrire avec des professionnel-le-s(je connais une traductrice qui déteste les femmes etse moque de leur corps comme moix n’oserait pas , et un poète qui doit sa promotion comme prof de fac-pas en France-à ses amours avec des hommes politiques de son pays ;je n’ai pas beaucoup d’illusions sur les graces que se font les gens:autre chose la sincérité des gouts dans le travail pour une traduction par exemple;j’aio suivi un séminaire de traduction où venait un psy très connu;l’enseignement, c’était aussi le fonctionnement entre ces messieurs et ces dames épouses ou non,doncla RDL me parait naÏve et moi d’une plus grande naïveté sur vos hypovrisies et votre cruauté:comme disait Clopine(pardon) avoir la peau d’un caiman;d’ailleurs quel silence sur Althusser dans un récent billet:on a du oublier
alors je ne suis pas votre serviteur dans ces logiques sur blog
@Je vous ai écouté, Jean.
Contre toute attente et par pure coïncidence, j’ai entendu hier le point de vue de BHL sur les agitations actuelles : parfait !
@Je vous ai écouté, Jean.
Contre toute attente et par pure coïncidence, j’ai entendu hier le point de vue de BHL sur les agitations actuelles : parfait !
Mais êtes-vous juive, culturellement ou cultuellement ?
merde et c’est bien fait!
j’ai eu un maitre plus savant que vous sur les religions, la psy, et qui donnait ce genre de questions comme l’exemplede la bêtise sinon de la pathologie!
et puisque je ne fais pas partie du clan RDLje ne vois pas le sens de cette question, estce que je vous demande si vous êtes baptisé?
Je serais désireux de connaître l’avis de BHL sur ce mouvement qui va inéluctablement conduire à la dissolution de l’Assemblée nationale puis à la destitution du président de la république mais ce n’est assurément pas l’endroit pour parler de cela.
culturellement ou cultuellement ?
ça,jedoute que vous compreniez vraiment ce que ça veut dire, et pas que dans le cas de la judéité!
c’est encore très grossier comme approche!
Mes photos sont un peu comme vos menu, D., la puérilité en moin. Pour la vie de province, je ne connais pas, je ne fréquente personne ici et voyage beaucoup. Quant à vos opinions vous devriez savoir qu’elle ne présentent pour moi aucun intérêt. Pensez plutôt aux manteaux des stagiaires et aux perspectives qu’ils ouvrent sur vos aigreurs.
pardon comme l’exemplede la bêtise sinon de la pathologie! française!
À propos, caulerpa, j’attends encore que vous me disiez où et quand j’aurais dit ce dont vous m’avez accusé à propos de Italie vs France. Dans un monde civilisé quand on porte une accusation on la prouve, dans le cas contraire c’est de la calomnie.
@ce n’est assurément pas l’endroit pour parler de cela.
Vous faites bien de ne pas vous priver ; vous manqueriez au décor de la RDL
23:32
confiscation de tout objet qui pourrait constituer une arme par destination entre les intervenautes de la RDL ; dentiers compris
dit: 12 janvier 2019 à 23 h 30 min
vous pouvez toujours attendre parce que je ne rechercherai pas dans la RDL sur le monde ,connard et demi
12 janvier 2019 à 23 h 21 min
écoutez D,allez sur son blog règle du jeu ,vous demandez l’autorisation ici ou quoi?
D, ça se présente comme ça
Qui sont, vraiment, les Gilets jaunes
par Bernard-Henri Lévy
Bernard-Henri Lévy explique pourquoi les Gilets Jaunes ne sont pas l’émanation du «pays réel» qui s’opposerait aux «élites parisiennes déconnectées».Qui sont, vraiment, les Gilets jaunes
par Bernard-Henri Lévy
En fait inutile pour moi d’aller sur ce blog de BHL, j’avais déjà la réponse par la méthode hypothéticodéductive que j’affectionne particulièrement et dont je me sers dans de nombreux domaines.
Renato, cela va vous sembler paradoxal mais ces voyages ne vous réussissent peut-être pas. Ce qu’il vous faudrait c’est vous fixer dans une ville comme New-York ou Berlin au sein du microcosme qui vous conviendrait.
« vous pouvez toujours attendre parce que je ne rechercherai pas dans la RDL sur le monde ,connard et demi »
Voilà un exceptionnel niveau de civilisation, ça doit être l’expression de la sous-culture psy.
BHL n’a ni tort ni raison à ce sujet par ailleurs. Je sais expliquer pourquoi.
@New-York ou Berlin
Ou les deux. Je ne doute pas que renato connaisse son Lou Reed sur le bout des doigts ; contrairement à vous ?
Qui c’ewt ce Lou Reed ?
Cette chanson évoque les brouillons de lettre jamais achevés de Pavese à Hemingway évoqués hier soir ; 00:06 time to go out
https://www.youtube.com/watch?v=1SHCsgqZvQM
3 janvier 2019 à 0 h 00 min
c’est juste au dessus des commentaires courants scatologiques des commentateurs de la RDL qui se racontent leur papa maman pipi popo et sans pipeau
faut repérer comme elles disent les trolleuses en famille » incestueuse » ici!
Merci pour votre conseil, D., mais je préfère voyager.
Cela dit, un caprice pour vous :
https://blogfigures.blogspot.com/2019/01/helen-frankenthaler.html
Oui d’accord, Lou Reed, je connaissais de nom. Je vous avoue ne pas en connaître la musique mais si elle était si bonne que ça, ça se saurait, tout simplement. Regardez Tintin qui est excellent, qui ne le connaît pas ? Je ne suis pas soupçonneux de nature mais je crains qu’avec Lou Reed on ait une musique en réalité passable mais intellectualusée à souhait par le micricodme.
Je regardais en début d’après-midi les Grands du Rire sur la 3, une émission que j’affectionne particulièrement et qui est ensuite suivie des Carnets de Julie que j’aime beaucoup aussi soit dit en passant, bien qu’en réalité elle ne bouffe rien mais passons. Bref, il y avait un hommage à Demis Roussos et je peux vous assurer que c’était une grande figure de la musique et de la chanson et un homme très intéressant et humain et qui ne de droguait pas. Je suis pourtant certain que vous le connaissez bien moins que ce Lou Reed. C’est à mon sens une faute.
Sans oublier les identitaires qui se sentent déracinés pour un rien
https://www.dailymotion.com/video/xa3e57
Je m’en fous de votre lien, renato. Je ne cliquerai pas dessus. J’en ai assez de subir votre dictature culturelle.
« c’est juste au dessus des commentaires courants scatologiques des commentateurs de la RDL »
Vous partez en vrille, Madame, respirez.
Le microcosme
« Bref, il y avait un hommage à Demis Roussos et je peux vous assurer que c’était une grande figure de la musique et de la chanson et un homme très intéressant et humain et qui ne de droguait pas. »
Vous êtes sûr, mon cher D, qu’il ne se droguait pas ? En tout cas, il avait été affligé, pendant toute une époque, d’un tic maladif, après avoir été victime d’un détournement d’avion. La presse en avait parlé un peu. C’était un tic compulsif, qui a ruiné sa carrière de chanteur, hélas. Rien que d’y penser, je deviens blême.
Tant pis, D., je ne ferai pas une maladie pour si peu.
Ceci étant, Demis Roussos a sans doute été très important pour la chanson, et l’art en général, du moins l’art populaire, sinon grec. Beaucoup plus que Lou Reed, une invention médiatique ridicule, qu’il faut oublier. Bon pour les pubs de voiture, et c’est tout.
Par exemple, ça :
Il paraît que ça parle de sodomie. Quel bande de dégénérés !
Traduction des paroles (qui rend mal compte des ous-entendus). Une chanson typique des années stupre :
________________________
Walk On The Wild Side
Sors des sentiers battus
Holly came from Miami FLA.
Holly venait de Miami FLA (FLoridA)
Hitch-hiked her way across the USA
Elle traversait les USA en stop
Plucked her eyebrows on the way
Elle s’est épilé les sourcils en route
Shaved her leg and then he was a she
Rasé les jambes et à l’arrivée il était elle
She says, hey babe, take a walk on the wild side
Elle dit, hey bébé, sors des sentiers battus
Said, hey honey, take a walk on the wild side
Disait, hey chéri, sors des sentiers battus
Candy came from out on the island
Candy * arrivait de Long island
In the backroom she was everybody’s darling
Dans la backroom, tout le monde lui passait dessus
But she never lost her head
Mais elle n’a jamais perdu la tête
Even when she was given head
Même quand elle offrait sa gorge (faisait une pipe)
She says, hey babe, take a walk on the wild side
Elle dit, hey bébé, sors des sentiers battus
Said, hey babe, take a walk on the wild side
Dit, hey chérie, sors des sentiers battus
And the coloured girls go
Et les filles Black font
Doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo…
Doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo…
Little Joe never once gave it away
Little Joe ne faisait jamais de cadeau
Everybody had to pay and pay
Tout le monde devait toujours payer
A hustle here and a hustle there
Une passe par ici et une dose par-là
New York city is the place where they said
New York est une ville où ils disent
Hey babe, take a walk on the wild side
Hey bébé, sors des sentiers battus
I Said hey Joe, take a walk on the wild side
J’ai dit hey joe, sors des sentiers battus
Sugar Plum Fairy came and hit the streets
Sugar Plum Fairy arpente les rues
Lookin’ for soul food and a place to eat
Cherchant à nourrir son âme et un endroit pour manger
Went to the Apollo
Il est venu à l’Apollo
You should have seen him go go go
Tu aurais du le voir faire go go go
They said, hey Sugar, take a walk on the wild side
Ils ont dit, hey Sugar, sors des sentiers battus
I said, hey babe, take a walk on the wild side
J’ai dit, hey bébé, sors des sentiers battus
All right…
Très bien…
Jackie is just speeding away
Jackie roulait à toute allure
Thought she was James Dean for a day
Elle s’est prise pour James Dean une journée
Then I guess she had to crash
Puis j’imagine qu’elle devait se crashé
Valium would have helped that dash
Le valium aidant
She said, hey babe, take a walk on the wild side
Elle dit, hey bébé, sors des sentiers battus
I said, hey honey, take a walk on the wild side
Je dis, hey chérie, viens t’encanailler
And the coloured girls say
Et les filles Black chantaient
Doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo…
Doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo, doo…
it: 13 janvier 2019 à 0 h 18 min
même pas capablede commenter un billet et ça joue au
conseiller!vous faites pitié avec vos clichés de parlure ; voilà pourquoi tant sont partis !on a des livres d’images on n’a pas attendu pinterest et le reste ; wgg n’était pas le denier des crétins de ne plus vous supporter :vous êtes quelconque! d’une banalité de caserne
Nous sommes bien d’accord, Delaporte. Dites-m’en plus sur ce tic dont je n’ai jamais entendu parler. Etait-ce en rapport avec sa très forte pilosité ?
Toujours est-il qu’il est mort trop jeune et j’ai regretté de ne pas avoir eu le remps d’aller m’incliner sur sa tombe à Athènes la dernière fois que je me suis rendu dans cette ville (dont l’atmosphère s’est considérablement dégradée soit-dit en passant, la délinquance autour de la colline de l’acropole est omniprésente : jeunes sdf partout, drogués ou alcooliques souvent agressifs, pickpockets en grand nombre, tags omniprésents et jusque sur les vestiges archéologiques. Même les chats n’osent plus y faire les poubelles et ont commencé à changer de quartier.
le dernier
tiens ici on a parlé de Jung mais pas du quatrième groupe!pourtant,Castoriadis était du quatrième groupe!
D, si vous voulez de plus amples renseignements sur le détournement d’avion dont fut victime Demis Roussos, votre chanteur préféré (et le mien), reportez-vous sur Internet, où de multiples articles rapportent cet épisode assez marrant de sa vie, néanmoins pas très marrant pour lui : il en fut profondément marqué. Les articles n’évoquent pas le « tic » en question, mais c’est un détail qui a son importance. Pauvre Demis ! Quelle vie rocambolesque, quand on y songe !
Mon commentaire je l’ai mis en ligne, caulerpa, ce n’est pas ma faute si les instruments pour le comprendre vous manquent.
Même quand elle offrait sa gorge (faisait une pipe)
https://www.youtube.com/watch?v=_RFH7C3vkK4
Cette chanson, Delaporte, est néanmoins remarquable par son originalité et une certaine musicalité. Je dois le reconnaitre objectivement même si ça ne m’enchante guère.
Par contre la voix est inexistante, sans intérêt aucun. On ne sait pas pourquoi cette personne chante ni pourquoi on lui a permis de chanter à tel point sa tessiture est petite.
Les paroles sont inacceptables en effet.
Remarquons l’excellente qualité technique de l’enregistrement qui a certainement contribué à faire passer cette étrange pilule.
En écoutant cela je ne félicite pas Lou Red mais ses ingénieurs du son sui ont fait un boulot fantastique.
« Nous sommes le 14 juin 1985. Le monde vit dans l’angoisse : nouveau détournement d’avion, la spécialité du terrorisme révolutionnaire arabe depuis la fin des années 1960. Un vol de laTWA qui assurait la liaison entre Athènes et Rome a été dérouté vers Beyrouth par deux membres du Hezbollah. 153 passagers et personnels de bord sont pris en otage. Parmi eux, une célébrité : Demis Roussos. »
A l’époque, les médias putrides se sont moqué à l’infini de la mésaventure du chanteur, et cela doit vous attrister, D, comme cela m’attriste également. Néanmoins, force est d’admettre qu’il y avait dans cet enlèvement une part de « drôlerie » ineffable, grâce à la personnalité plutôt comique de Demis Roussos. Le pauvre Demis Roussos ! Qui est sorti de là rabougri, avec un tic de derrière les fagots !
ce qui ne laisse pas d’être inquiétant quant au mental et à l’imaginaire de nos compatriotes,
pas vous P.Assouline, vous êtes là pour éviter l’effondrement ;attention au prochain billet !
Mais enfin quel tic, Delaporte ? Dites-le !
« Mais enfin quel tic, Delaporte ? Dites-le ! »
Un tic nerveux, D. Evidemment.
Demis Roussos était pas exemple une personnalité beaucoup plus attachante que nos Mike Brandt et Claude François. Demis Roussos était fait pour durer, sa voix si aiguë semblait venir des limbes. C’était une voix de femme, de « pédale », comme dirait encore Houellebecq. Une sorte de Freddy Mercury avant la lettre. Androgyne (on n’est pas grec pour des prunes). Ce détournement d’avion, ce n’était vraiment pas de chance. Cela n’a même pas boosté sa carrière, en 85, il était déjà has been, à l’époque. Je me souviendrai cependant toujours de sa voix, et de ce groupe auquel il appartenait, à ses débuts : ça aussi, c’était grandiose. Rien que le nom était épatant !
Savourez les noms ! Il n’y a que des Grecs pour oser ça. Je suis sûr que ça plairait à Ed :
« Avant sa carrière solo, il était le chanteur et bassiste du groupe Aphrodite’s Child avec Vangelis aux claviers, Silver Koulouris à la guitare et Lucas Sideras à la batterie. Il a vendu près de soixante millions de disques à travers le monde au cours de sa carrière. »
La France, comme d’ailleurs beaucoup d’autres Pays, vit actuellement un mauvais passage, je ne suis néanmoins pas inquiét quant au mental et à l’imaginaire des Français, comme d’ailleurs je ne le suis pour le mental et à l’imaginaire des Britaniques, des États-uniens, des Italiens et ainsi de suite. De temps à autre le monde vit un mauvais passage.
Bonne nuit.
On lit de curieuses choses sur Jules Verne, réinterprété sous la plume de Clopine.
L’Ile Mystérieuse n’est pas détruite par les Colons, mais par le volcan, qui a la fâcheuse idée de se réveiller. Il faut bien finir le roman.
(A noter d’ailleurs que le roman devait finir sur cette destruction. C’est Hetzel qui a exigé le Happy End , et les appels au « Dieu Tout puissant » auxquels auteur et éditeur ne croyaient ni l’un ni l’autre!)
Quant aux femmes, outre que Nemo fut marié et que Philéas Fogg ne finit pas vieux garçon, on saluera Helena Campbell dans le Rayon Vert, ou Nell des Indes Noires. Il semble bien que la Stilla doive quelque chose à la maitresse de JV,Madame Duchene . On pourrait en citer d’autres. Nadia dans Strogoff ne joue t-elle que les utilités?
Les liens entre les Univers d’Hergé et du Nantais ont d’ailleurs été étudiés finement par Serge Tisseron in « Tintin chez Jules Verne. »
Bien à vous.
MC
Du putride des années stupres :
Aphrodite’s Child and Irene Papas
https://www.youtube.com/watch?v=4ra2xYKdP8w
Je serais la cause du départ de Michel ?! si je ne fais erreur il est parti après avoir su qu’il n’était pas le pilier de soutien de ce blog comme il le prétendait.
https://blogfigures.blogspot.com/2013/04/aby-warburg-mnemosyne-atlas.html
Un paysage autrichien :
Hier soir, à la sortie d’UNE AFFAIRE DE FAMILLE, ce film japonais… Je sais, on en a déjà parlé icite, mais je voulais rien en lire avant de l’avoir vu. Et me suis dit à la sortie : comme il est difficile d’être un papa ou une maman quand on le veut, mais qu’on est un peu déglingué, que la morale sociale vous l’interdirait, bien qu’on ait recueilli des mômes déglingués désireux de vivre avec vous. Aucune violence, que de l’amour… Et pourtant, s’est-on dit, ça prouve bien que ça peut marcher en dehors des normes, et le coup, le message était superbe. On a mêlé nos larmes de joie avec D., -c’était pas arrivé depuis longtemps -, et on a bien maudit ceux les spectateurs qui mangeaient des popcorns et allumaient leur smartphone dans la salle, oui ça existe encore. Ils n’ont même compris que la fille du peepshow se lovait dans les jambes de la grand-mère comme le garçon de la cabine le fit en elle quand elle le persuada de coucher. En dehors de la chaleur étouffante du nid, le couple d’assassins réussit à faire l’amour, autre moment de grâce quand ils durent décamper à l’arrivée des enfants sous le déluge. Et ils étaient heureux, savaient bien que c’était précaire, mais que dans la prison, quand tout fut revenu dans l’ordre, et la vie « aurait repris ses droits », qu’elle les attendait, mieux armés pour le petit garçon préado instruit par son « papa » murmuré dans le car et pour la petite fille ayant rejoint sa maman battue. La sérénité de la grand-mère à la plage acceptant enfin de mourir apaisant, elle laissait glisser du sable sur sa jambe gauche, comme si elle voulait croire que la terre la recouvrirait bientôt au fond du nid. Des gens pas sales ni méchants, juste dignes dans leurs indignités. Oui, ce film nous a fait un bien fou. T’en voit pas souvent, mais quand tu tombes sur un bon, alors tu es récompensé… tu as ta dose pour un bon mois, tu as passé une belle nuit d’amouré, tu dois le raconter à la rdl, à ceux qui l’ont pas encore vu.
Bon dimanche à toustes.
Je survole les commentaires de la nuit et il est en est un qui retient mon attention, émanant probablement d’un économiste inspiré, celui qui suggère que le mur voulu par M. Trump pourrait créer des emplois. A la réflexion, l’idée ne manque pas de pertinence. Il faut d’abord imaginer les légions de géomètres, architectes, maçons, etc. pour édifier pareil ouvrage sur des milliers de km, ensuite penser qu’une fois achevé, il nécessitera d’être déjà rafistolé à l’autre bout, le temps, le climat et les vandales faisant leur œuvre. Et nettoyé. D’une part, les Américains, on le sait, ne transigent pas sur la propreté, d’une autre ces Mexicains, se prenant pour Diego Rivera, se jettent sur le moindre pan de muraille pour le couvrir de leurs fresques criardes. On imagine les bataillons de brigades anti-tags que cela nécessitera. Passons sur les emplois de douaniers et policiers, ils sont déjà plus ou moins en place. En outre, ce mur pouvant constituer une attraction touristique –des hordes de voyageurs ne vont-elles pas déambuler sur la grande muraille de Chine- il y faudra une armada de guides, d’autocaristes et créer, en ces régions plutôt sauvages, ce qu’il faut de routes, gargotes, auberges et motels. Autant dire qu’il faudra percer quelques portes (encore des emplois) pour laisser entrer des travailleurs immigrés afin de construire et faire tourner ces infrastructures.
voyez comment l’imagination française peut aider le pouvoir yankee ! Superbe humour matinal, mme AN, voilà ce qu’on appelle en marcusianisme, de la néo-désublimation répressive à l’ère de l’hyper-capitalisme sécuritaire.
ce matin j’ai mangé des œufs au bacon.
renato, savez-vous que les astres disent que l’Europe tombera par l’Italie ?
Je relisais cette nuit les pages (537 à 562 – chapitre 10) qui éclairent la quatrième vignette incluse dans ce billet, celle où Tintin pleure. les années 1958-1960. Celles où la « vie, toute la vie de Georges Remi bascule, enlisé qu’il est dans un sentiment de culpabilité né des déchirures entre son attachement à deux femmes : Fanny Vlamynck (l’avenir ?) et Germaine Kieckens (le passé ?). Irrésolu, dans une situation devenue intenable, « il tourna en rond. » jusqu’au moment où un nouveau sujet se présenta à lui :
« … Thème général très simple. Mais quoi ? Sagesse tibétaine – Lama. Abominable homme des neiges. Pourquoi partent-ils au Tibet : le yeti ?… ».
« Le sujet est là, parmi d’autres, tapi dans un recoin de son inconscient ». Un livre lui ouvre une perspective intéressante celui de Bernard Heuvelmans Sur la piste des bêtes ignorées. Son yeti est « paisible et farouche comme le sont parfois les géants débonnaires. » Puis, il lit des livres sur le Tibet, sur l’Annapurna, l’Himalaya,(Maraini, Harrer, Herzog) « sans oublier les récits d’Alexandra David-Neel. ». Hergé semble fasciné par le yeti… Peu à peu, une histoire naît, son découpage, des croquis. « La première planche de Tintin au Tibet parait le 17 septembre 1958 dans le journal Tintin. C’est là qu’il apprend la catastrophe aérienne au Népal. « Tintin fait un cauchemar : Tchang, son ami chinois du temps du Lotus bleu est en danger… il est enseveli sous la neige… il appelle au secours… ». Tintin s’embarque pour l’Inde avec Haddock et Milou.
La vignette correspond à l’échec de l’expédition : ils ne le retrouvent pas. Tintin verse une larme.
Alors que guides et porteurs renoncent à le chercher, il continue et retrouve Tchang dans une grotte sous la garde du yeti. (Yeti, rendu à la solitude des montagnes qui les regardera s’éloigner tristement.)
Tchang lui fait comprendre « que le problème est dans l’homme où qu’il soit […] dans cette région obscure de l’âme où, disait Malraux, le mal absolu s’oppose à la fraternité. »
J’en étais là de ma lecture quand Pierre Assouline me surprit, conduisant le chapitre loin d’Hergé vers Georges Remi.
L’obsession du blanc. La psychanalyse. La visite au professeur Ricklin. La relecture des œuvres de Jung dont « l’ombre plane indirectement sur le Tibet de Tintin. » Ce vingtième album est singulier, écrit-il : « pas d’enquête policière mais une quête spirituelle ». […] Le seul drame est intérieur. […] la nostalgie et la mélancolie dominent le récit dans l’ombre […] »
Il écrit alors : « Cette œuvre est hantée par la mort […] exact reflet de sa crise morale. une vraie tache blanche sur sa production. »
On retrouve alors une de ses citations préférées qu’il attribue à Shakespeare : « Quand fond la neige, où va le blanc ? » Pour lui c’est « le plus intime et le plus émouvant de ses albums ».
« 1960. L’année de la parution de l’album est également celle de la séparation. Hergé quitte Germaine pour vivre avec Fanny. Grâce à Tintin au Tibet, il s’est réconcilié avec lui-même. Il s’accepte enfin […] »
Voilà, Murielle, une des pépites de cette biographie.
@Janssen J-J dit: 13 janvier 2019 à 9 h 38 min
Beau regard, JJJ, sur le film UNE AFFAIRE DE FAMILLE
@Alexia Neuhoff dit: 13 janvier 2019 à 9 h 52 min
Quel humour ravageur !
jjj cinéphile, plus agréable en « Marque jaune » qu’en gilet.
y-a-t-il un tintinophile à bord ce dimanche ?
Le premier Tintin au Congo avait une vignette montrant les deux compagnons passant au large de Teneriffe, admirant le profil de l’île, appuyés sur la balustrade de leur navire. malheureusement supprimée ensuite, par Hergé ?
Poulenc, sonate pour deux clarinettes :
Mobilisé en janvier 1918, après la Rapsodie nègre donc, il commence l’élaboration de cette sonate le printemps de la même année — en parallèle de la pièce pour deux pianos ? —.
Tout comme Stravinsky, P. déclarera une nette préférence pour les instruments à vent — in Entretiens avec Claude Rostand, il dit : «J’ai toujours adoré les instruments à vent, que je préfère aux cordes, et ceci, tout naturellement, sans tic d’époque».
Je me souviens, Phil, de Tintin en « habit colonial » donnant une leçon de géographie à Milou — vu dans un bistrot Place du Bourg-de-Four, à Genève (on pouvait siroter un verre de fendant et feuilleter une BD mise à disposition par le patron).
Excellent Alexia !
9h52 2000 km, 1000 étant d’ores et déjà pourvus d’un mur. Un article du temps daté d’il y a exactement 1 an.
https://www.latribune.fr/economie/international/mur-du-mexique-contre-naturalisations-le-bras-de-fer-entre-trump-et-les-democrates-766236.html
Une start up planche sur un projet high tech de surveillance qui couterait beaucoup moins cher, trois fois moins.
Le projet électronique
Même objet, analyse par Cairn info
https://www.cairn.info/revue-politique-etrangere-2010-4-page-757.htm
Ettore Petrolini, comique antifasciste active dans les années 20 et 30 du XXe siècle eut à dire :
“Bisogna prendere il denaro dove si trova: presso i poveri. Hanno poco, ma sono in tanti”.
« Il faut prendre de l’argent là où il se trouve: chez les pauvres. Ils ont peu, mais ils sont nombreux « .
@Phil dit: 13 janvier 2019 à 10 h 58 min
Je n’ai pas trouvé d’explication de Pierre Assouline à cette suppression et pourtant ce ne sont pas les pages qui manquent à propos de cet album ! On a tant accusé Hergé de « mépriser les Noirs et les Arabes », on lui a tant conseillé « d’éclaircir un peu leur visage », de « leur dessiner des traits moins marqués », de « nettoyer la langue » (nombreux exemples dans la biographie, de nombreux phylactères sont modifiés) dans ce Tintin au Congo ». Totalement redessiné en 1946, lors de sa mise en couleurs, réduit de 120 à 62 pages. Passant d’album « introuvable », non réédité à album « interdit ». Le titre ne figure plus au côté des autres dans le dos des albums. « L’album en couleurs de Tintin au Congo reparaît en 1970, soit trois ans avant que la version originelle en noir et blanc ne soit rééditée aux côtés d’Au pays des Soviets dans un volume d’Archives Hergé.(P.625- 626)
Mais alors, une autre requête apparaît « visant à censurer l’histoire d’un point de vue… écologiste ! » car des gazelles, un singe, un serpent, un léopard, un éléphant, un rhinocéros y sont occis.
Restent les plus sages, les plus désintéressés : « les « tintinologues et tintinophiles. Ceux qui l’aiment pour ce qu’il est. Tel qu’il est et non tel qu’il devrait être. »
Il écrira à Michel Turner, son traducteur anglais : « Je ne suis plus amoureux de Tintin. En fait, je ne peux plus le voir… »
C’est cette tristesse que l’on découvre dans cette biographie, celle d’un Hergé qui ne réagit plus, « passe son chemin avec le sourire[…] ni révolté ni angoissé,ni résigné ni amer. Il se voit serein dans l’acceptation de son sort. Il n’a plus rien à cacher. Mais, dans sa dernière interview, accordée à Benoît Peeters deux mois avant de mourir, il reconnaît enfin : « Si je vous disais que dans Tintin, j’ai mis toute ma vie. » (p.733)
(P.A. écrit que « ces modifications à caractère politique ou ethnique ne sont jamais entreprises à l’initiative de l’auteur mais de l’éditeur. » que « Hergé en accepte le principe pour des raisons commerciales et pour complaire à Casterman ou à Methuen (pour devancer la pression du lobby tiers-mondiste), même s’il est conscient de ne pas y trouver son intérêt sur le plan artistique. »)
beau:profil de
le deuxième « Hommage du dessinateur Tibet »)
Je pense que tout simplement vous n’y connaissez rien, Bérénice.
Cette affaire (révélée par Phil) de vignette disparue de l’album Tintin au Congo m’intrigue. Phil nous dit qu’elle montre l’île de Ténérife tandis que le bateau du reporter croise au large. Je m’étonne que personne n’ait résolu cette énigme. L’explication est pourtant simple. Nous sommes autour de 1931, date de la première publication de l’album. Le bateau de Tintin ayant été aperçu par la capitainerie de Santa Cruz, on manda l’alcalde, l’évêque, plus quelques édiles considérables. Ceux-ci conférèrent. Des débats ressortirent que la publicité qui pourrait être faite de leur archipel paradisiaque pourrait lui nuire. Ils allèrent (le xérès aidant) jusqu’à imaginer des flots de touristes, de croisiéristes, de bétonnages hideux, de rotations d’aéronefs, de beuveries, de bronzettes idiotes, etc. Et donc firent pression sur l’éditeur pour qu’on ôtât la réclame.
Le mur de protection d’origine politique — Berlin, p. ex. — est un dada des conformistes mesquins adeptes d’absurdes croyance et de la création et propagation des fausses informations — conformistes jusqu’à la fréquentation de filles de joie plus ou moins chic.
Où êtes vus allez pêcher l’explication anti pub touristique?
D, je mets en ligne le fruit de la curiosité concernant le litige et l’opposition. Ce n’est pas une opinion.
@Alexia Neuhoff dit: 13 janvier 2019 à 13 h 13 min
Vous êtes en pleine forme ce jour !
Tintin in Kongo, 1931 ou Tintin au Congo, 1946
Phil, la vignette manquante figure page 14-15 de la version néerlandaise éditée en 1931.
Caulerpa se serait elle enfin décidée à prendre l’air, avec ce vent elle aurait tout intérêt à bien visser son couvrechef sur sa tête, est ce qu’Herge à utilisé au fil du temps au moins une fois l’expression – un vent à décerner les boeufs- ?
Decorner,
23h47 émanations pour émanations, bien envie de répondre que les elites parisiennes n’en sont pas plus une toute representatives et élues qu’elles ont été quand elles l’ont été. Vaguement aperçu BHL à la télé il y a deux jours, j’ai zappé en estimant que son grain de sel n’était plus pertinent.
Est ce que Luc Ferry, BHL sont rémunérés pour leurs interventions ou est ce que pris par un élan de patriotisme ils se sont décidés à entrer dans le débat gratuitement ? Et parés de leur intelligence cultivée vénérée. D’un autre côté, j’ai remarqué que certains medias s’étaient éloignés des grognements jaunes pour recueillir des propos construits et réfléchis de la part des manifestants.
@ Monsieur Prunier, Est-ce à cette référence à laquelle vous avez fait allusion, hier ?
Après être allé fouiller dans la toile, ça semblerait correspondre. Je ne savais pas qu’EJ eut interdit la publication de ses textes des années 20 ? Julien Hervier, son biographe français, n’en dit rien, si mes souvenirs ne me trahissent pas… Je vais tâcher de me procurer ce bouquin, cela m’intéresse beaucoup….
https://www.lexpress.fr/culture/livre/fascisme-et-litterature-pure-la-fabrique-d-ernst-junger-les-derniers-jours-de-l-humanit-troisieme-nuit-de-walpurgis_809743.html
Merci de penser à ma Delaporte, mais non je n’aime pas trop les poils.
, est ce qu’Herge à utilisé
c’estun accent belge sur le a?s vissé? il est vicieux
en tout cas !
bonne journée les vaches
Causera, excusez , une faute d’inattention vis à vis du correcteur automatique, -a -bien évidemment. Bonne journée à vous, Caulerpa. Je ne faisais qu’approuver avec retard la proposition de Claudio vous concernant il y a quelques jours alors que vous occupiez les deux tiers de l’espace dévolu aux commentaires. Rien de méchant.
christiane dit: 13 janvier 2019 à 13 h 19 min
Vous-même ne manquez pas d’allant. Si toutefois, votre « en forme » n’est pas une allusion à « l’éléphant » de l’autre jour (de qui vous savez) ou au « grosse misogyne » plus ancien, très Sankt Pauli.
oui mais vous n’y connaissez rien quand même, Bérénice, avouez-le.
Pas si méconnu que ça Karl Kraus — La boîte de Pandore, Les derniers jours de l’humanité, La Littérature démolie, etc. —. Ernst Jünger, assez banal.
Aimez-vous Demis Roussos, Ed ?
D, ce n’est pas parce qu’on ne sait pas qu’il faut renoncer à savoir.
Alexia, n’allez pas chercher midi à quatorze heures, être en forme ne signifie pas sous forme de, boa, elephant, grand lézard, mais avoir la frite, du punch, du peps.
La cause du non improbable éclatement de l’Europe, D., est à chercher dans le mauvais comportement des « grands » pays, que dans leurs rencontres à portes fermées donnent la preuve de leur manque de culture politique — ce qui est souvent prouvé par l’expression « On ne peut quand même pas comparer notre pays à l’Islande » — expression que j’ai entendue déclinée en trois langues. Ça pour ne dire qu’une évidence. Puis il y un tas de détails, qu’il serait inutile d’énumérer, dont l’accumulation a eu le même effet du sable dans un mécanisme.
Cela dit, les euroscepticisme et l’antieuropeisme ne sont pas ce qu’il y a de mieux sur le marché, donc entre les deux supplices le premier est encore le moins douloureux.
Bėrėnice dit: 13 janvier 2019 à 14 h 30 min
Merci de remettre les pendules à l’heure. Comme on dit chez nos cousins du Québec, je suis assez péppée.
Tout à l’heure, tandis que je faisais la tambouille dans la cuisine, ma chattoune qui ne miaule jamais est venue à mes pieds pour me disputer tendrement. Les croquettes étaient dans la gamelle, la fenêtre était ouverte (car parfois elle réclame la fenêtre)…Aucune cause apparente d’un tel mecontentement. À 14:43, la doléance reste obscure.
Alexia, j’attends que vous m’initiez au québécois sans quoi l’idiomatisme restera comme coupé du son s’il était solfège.
un tank littéraire
http://www.laboiteverte.fr/un-tank-litteraire/
Un tank hydraulique
Imaginez l’un sans l’autre .
En aparté et avant la fin du monde
Je viens de chanter I sat by the Ocean quand mon autre chattoune, pourtant dans les bras de Morphée depuis quelques heures, s’en est libérée pour venir me rejoindre et me caresser de la tête en ronronnant. Serais-je charmeuse de chats âge mon joli filet de voix ?
Soutenez vous cette concurrence?
@Alexia Neuhoff dit: 13 janvier 2019 à 14 h 18 min
Bien traduit par Bérénice ! mais à propos d’éléphant, je viens de regarder un beau documentaire « Carrière 250 mètres » de Juan Carlos Rulfo et Natalia Gil Torner. VO et VF car jean-Claude Carrière s’y exprime tantôt en français, tantôt en espagnol, tantôt en anglais. Il se penche sur les 250 mètres qui séparent sa maison natale dans le sud de la France du cimetière où il sera enterré dans un long périple où il semble dire adieu à tous les lieux qu’il a aimés, où il a été heureux. Sur une plage de sable mouillé, il dessine avec un bâton une tête d’éléphant, Ganesh, pour l’humour, le fils de Shiva, dieu à tête d’éléphant et au corps humain grassouillet, quatre bras. Celui qui efface les obstacles et calme les problèmes. Mémoire de son séjour en Inde où il s’est interrogé sur le polythéisme et cette misère (tant de familles dans la rue) qui lui fait se demander si ce sera le visage de demain : des immigrés dormant dans la rue dans tous les pays. Il réfléchit sur le temps et l’espace d’une vie aime avoir voyager pour « ne rien voir », c’est-à-dire pour voir en lui.
L’escale à Tolède devant une toile du Greco, où ilse souvient de Luis Buñuel puis le voyage continue où il déroule sa mémoire : Peter Brook et le travail sur « Le Mahabharata », ce grand poème épique, Milos Forman, Jacques Tati, les films avec Pierre Etaix. New York où marchant dans les rues il se souvient des hippies qui, contre la guerre du Vietnam, chantaient la douceur et la non-violence.
Une balade mélancolique.
A Paris, c’est la cinémathèque du temps de Langlois où il voyait 3 films par jour !
Un beau film documentaire et un éléphant !
En effet, Ed, beaucoup de poils… S’il n’y avait que cela. Dans mon souvenir, c’était beaucoup moins ringard. Demis Roussos avant le détournement d’avion et le fameux tic. Ils sont marrants, ces Grecs !
Ensuite, Demis Roussos est devenue tellement gros qu’il s’habillait avec un caftan. Il ressemblait à un chef de secte.
Bérénice, Alexia Neuhoff, Christiane, Dank U !
je ne connaissais pas l’existence de cet album hollandais des années 30. Tenerife fut un tôt prisée par nos amis Belges avant leurs Français de voisins mais la première version du Congo publiée en épisodes dans le journal dut être réduite pour respecter le fameux chiffre de honnis de tous les tintinophiles, 62, des pages de l’album. impossible de savoir pourquoi la vignette sur Tenerife fut passée à la trappe, sauf pour les Hollandais.
La ligne claire favorise les « Ricochets », écoutons un air de François de Roubaix, mort dans la fleur de l’âge à Tenerife.
Il avait un peu cette physionomie mais avec plus de poils, Delaporte ?
Ah mais c’est fou. Je connaissais bien sûr cette chanson, mais ignorais qu’elle était du groupe de Demis Roussos. Roh mais quelle descente ensuite…ça avait pourtant bien commencé.
Demis Roussos racontait qu’il avait vécu des vies antérieures, au cours desquelles il aurait côtoyé Alexandre le Grand, et des Pharaons égyptiens. Un peu comme Paco Rabanne. D’ailleurs, D, je crois que vous aussi, vous nous avez raconté que vous avez connu des vies antérieures. En tout cas, c’est passionnant !
Faites très attention aux fenêtres avec les chats, Ed. On ne le répète jamais assez et ce n’est hélas que trop vrai, j’ai plusieurs exemples dans mon entourage, avec des résultats différents mais au moins un qui entraina la mort du minet.
Contrairement à la légende, le chat se fait souvent très mal en tombant, même de 3 mètres.
Alors, Delaporte, j’ai dit avoir été la réincarnation de Beethoven mais je plaisantais.
Par contre j’ai Alexandre Le Grand en ascendant et d’innombrables pharaons. Ça c’est une certitude.
Les chrétiens ne croient pas à la réincarnation.
Je crains que ce ne soit pas si simple.
je m’expliquerai un peu plus tard.
En attendant il suffit de croire en la résurrection des morts et d’aimer Dieu et son prochain. Je vous expliquerai plus tard.
Demis Roussos a une forte ressel lance physique avec le créateur de mode. Roh mais tout de même, passer de la sublime « it’s five o’ clock » à « quand je t’aime »…
D. Je sais, mais elles regardent la télé (comprendre: elle sont à la fenêtre) depuis toutes petites et pour l’anecdote, l’une est même tombée alors quelle était encore un chattons. Et bien figurez-vous qu’elle n’a rien eu. J’habite au premier étage pour info.
@14.22 de quoijmemèle ? Parlions avec raymond p. du hollandais Vanoosthuyne sur Junger.
(à la suite de @18.05 – Voir le texte d’un écrivain chercheur au nom hollandais (?)qui a nettoyé toute cette nazification par Jünger interposé).
Vois pas ce que vient f… le bien labouré karl Kraus dans cet échange depuis le poussif essai de Jacques Bouveresse et la biog. pas tout à fait convaincante de Jacques le Rider.
Impression que F. Delplat, naguère, avait un peu plus d’allure en ces domaines de la Konservative Revolution germanique.
… c’est comme Tintin, tu crois qu’il avait un rapport quelconque avec denise rousseau ?
Quelqu’un s/ cette chaine, connait-il ce Franck Bouysse ?… un polariste « qui monte », c un nouveau copain de LVDLB dont elle assure apparemment la promo locale, sur le fil dédié à Sérotonine… Edel Hallier, peut-être ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Franck_Bouysse
JJJ — à 16 h 43 —, ouvert votre lien de 14 h 05 et lu : « Il faut lire, en revanche, le méconnu et génial Karl Kraus, qui dénia toute grandeur à l’ivresse guerrière. » Vous observez le mot « méconnu », de là mon post de 14 h 22.
16h14 il reste à espérer pour ses admiratrices qu’il ne les perdait pas. En raison du peu d’usage que j’en fais , je ne sais plus trop où se situerait mon gout entre la peau glabre et l’hirsutisme , un juste milieu vraisemblablement bien qu’on dépouille les hommes des attributs dont le poil autrefois recherché comme du castor et bien qu’on n’ait pu en faire des manteaux, un homme à poil sans poil, impensable!
Sur le tank littéraire de Caulerpa
Une magnifique idée de ce créateur argentin. Me permettez-vous d’ajouter que le choix de la marque et du modèle n’est pas anodin: à l’époque de la dictature militaire en Argentine, c’était à bord de Ford Falcon, de couleur verte foncées, que circulaient les officiers tortionnaires, de nuit et jusqu’au au petit matin, avec seulement les feux de position, à la recherche de suspects (sympathisants anarchistes ou de gauche). Ils cherchaient en particulier dans les quartiers populaires, la Boca, Matadeiros, mais aussi au Centre, à la recherches d’intellectuels (je schématise, pour faire court). Lorsque l’on voyait une de ces voitures, reconnaissables entre toutes, à l’arrêt le long d’un trottoir et tous feux éteints, le sang se glaçait et un frisson de peur s’emparait des éventuels passants. Ces sous-officiers étaient généralement trois, le conducteur et deux à l’arrière. Qui était embarqué dans une Ford Falcon ne réapparaissait plus, c’était terminé.
Rappelons que Vidella et sa clique tenaient les livres en horreur. Il s’agit donc pour les Perteños d’un puissant symbole.
Videla
Pour préciser à propos de H. Jünger, puisque le sujet revient. Je n’ai jamais rien lu de lui. Ce n’est pas nécessaire quand on est assez familier, pour diverses raisons, avec différents éléments de culture et d’histoire. Pas besoin de travaux d’autres personnes. (Et bien évidemment, il n’était pas nazi, cela n’excuse rien). Quant à Karl Kraus, il faut en effet être assez ignorant de cette période pour ne pas le connaître.
» Je suis devenu ethnologue pour des raisons impures. C’était une voie de traverse qui permettait de courir le monde, de s’aérer », raconte Claude Lévi-Strauss (1908-2009), évoquant, en ouverture du film, ses débuts comme professeur invité à l’université de São Paulo, en 1935, alors que la discipline est encore balbutiante. Mû par le désir de s’évader d’Europe et de l’enseignement de la philosophie, il repousse les frontières intellectuelles au contact des peuples indigènes qu’il visite 13 dès ses premières vacances, dans l’État amazonien du Mato Grosso. Il y structure une pensée nouvelle, s’appuyant sur des connaissances élargies, « où rien d’humain ne reste étranger […] même les sociétés les plus lointaines et qui nous paraissent les plus humbles et les plus misérables ».
Et puisqu’on est dans ce domaine, parmi ceux qui ont crié, non hurlé, avec les loups, Kultur contre Civilisation en août 14, Thomas Mann, Stephan Zweig. En revanche Heinrich Mann ne s’est jamais trompé là-dessus.
L’apprenti touriste
https://blogfigures.blogspot.com/2010/10/mario-de-andrade.html
Du premier elles ne se tueront pas mais peuvent se casser une patte.
J’ai un ami dont le matou est tombé du 5ème sur cour et n’a rien eu, même pas une patte cassée.
Un autre, tombé dans de la même hauteur était polytraumatisé et il a fallu l’euthanasier.
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