Trois femmes remarquables
Au fond, elles sont bien plus que trois, ces femmes remarquables. Disons six puisqu’il s’agit autant des trois auteurs des trois livres sur lesquels j’aimerais jeter un peu de lumière de ces dernières lueurs d’été qui s’attardent, que de leurs trois héroïnes. Des personnes ordinaires qui vivent des situations ordinaires mais que la littérature métamorphose et transcende en personnages extraordinaires.
Celle d’Isabelle Desesquelles dans Les hommes meurent les femmes vieillissent (224 pages, 18 euros, Belfond – le titre est inspiré d’On ne badine pas avec l’amour, la réplique de Perdican, II, 5) s’appelle Alice. Qu’importe son identité dans la vraie vie puisqu’elle existe, à Toulouse, où elle tient son institut de beauté. Pour nous, elle restera cette Alice de fiction en son Alice’s Institute sur un air d’Arlo Guthrie pour son Alice’s Restaurant – du moins est-ce ainsi que je me la suis appropriée. Chez elle aussi, on peut obtenir tout ce qu’on veut mais dans l’ordre de l’humain. Vingt ans qu’elle caresse, tripote, malaxe, pétrit des chairs. Alice masse des corps à « L’Eden ». Elle a tout entendu, tout écouté, tout conservé. Incroyable ce que des femmes peuvent se livrer dans ces moments-là. De véritables confessions, intimes le plus souvent, démentant l’adage selon lequel on se confie plus volontiers à quelqu’un que l’on est assuré de ne jamais revoir – un chauffeur de taxi par exemple. Peut-être l’esthétique y encourage-t-elle puisque l’on va dans ses salons aussi pour oublier ce que la vie a d’inesthétique. Alice tient ses fiches sur ses clientes. Chacune est une histoire. Conservatrice de leurs aveux, Alice agit comme un révélateur dans la chambre noire. Elle se demande pourquoi elles acceptent ces vies avec des hommes lâches, pingres, petits. Elles se disent « vaccinées des hommes ». Comme si c’était une maladie. La violence est dans la vérité crue. C’est un roman plus profond qu’il n’y paraît – les femmes n’y sont-elles pas traitées en surface ? Alice pourrait mettre un mot de Victor Hugo en lettres de néon dans sa boutique : « La forme, c’est le fond qui remonte à la surface ». En 90 minutes, elle fait plus de bien à une femme que son mari en trente ans.
Ce roman choral sur la féminité et la transmission a su trouver la bonne distance. Il est beaucoup plus intense que le film Vénus Beauté (Institut) auquel on pensera illico. Le regard de l’auteur est à vif, provoquant, puissant et bien orchestré dans les différents registres de voix. Les hommes n’en sortent pas grandis, mais les femmes non plus, à commencer par toutes celles qui mettent la paupière dans l’engrenage de la chirurgie plastique, car c’est tout sauf complaisant. Certains monologues du vagin sont saisissants. Lili par exemple, qui aime la vie même si ce n’est pas toujours réciproque, doyenne des cougars à 83 ans, qui exige de son amant un cunnilingus matin et soir, se fait enlever les peaux mortes mais si ça n’enlève pas les mauvais souvenirs. Ou Clarisse, la cinquantaine, bouleversée à la seule écoute de Viens m’embrasser de Julio Iglesias, qui rêve de faire chambre à part tant elle ressent le fil de fer barbelé au milieu du lit conjugal, mais qui échangerait tous les amants contre un massage avec Alice. Et d’autres encore, que des femmes car les hommes sont rares et gays à L’Eden. A la fin du livre, on se surprend à changer de musique intérieure. Et à la voix d’Arlo Guthrie se substitue celle, nostalgique et attachante à souhait, de Barbara Streisand chantant la bande originale de Nos plus belles années parce que « that’s the Way we were… »
Il y a deux ans, Petite table, sois mise ! (Verdier) m’avait enthousiasmé. Incestueux et érotique en diable, le tout en famille, exquis dans la transgression et savoureux dans l’audace, ce petit livre révélait le feu sous la glace chez cet auteur. Cette fois, avec Dialogue d’été (150 pages, 15 euros, Mercure de France) de la même Anne Serre, nous assistons à une conversation (tout le livre est un dialogue) entre un écrivain, double de l’auteur, et son interlocuteur. Un sujet : les personnages. Sylvain Germain en avait fait autant jadis à la demande de J.B. Pontalis dans Les personnages, justement. D’où lui viennent-ils ? comment naissent-ils ? de quoi sont-ils fait ? Anne Serre nous entraîne dans l’atelier de l’écrivain, mais avec le sourire, dans la légèreté. Tout sauf une prise de tête. Elle parle de la distraction et de la concentration. De l’imprégnation plus que de l’inspiration. De la capacité à se construire un roman intérieur en imaginant d’autres vies que la sienne. De l’empathie sans laquelle il n’y a pas de romancier. Et elle touche à ce point sensible : puisqu’il y a souvent un lecteur avide et abondant chez un écrivain, que ne se contente-t-il de lire ? Pourquoi ne pas se contenter de s’allonger dans un roman ? Sauf que cela ne marche pas : « je veux savoir ce qu’il y a derrière la porte ». Ainsi passe-t-on d’un état à l’autre.
Avec le temps, en une poignée de livres, Anne Serre s’est construit sa famille de papier qu’elle appelle « ma troupe ». Ses personnages l’accompagnent. Elle se sent si bien avec eux que même dans lorsqu’elle revient de l’autre côté de la vie et qu’elle se trouve parmi des personnes, elle se comporte avec elles comme si elles étaient des personnages ; elle ne peut s’empêcher de les scruter, d’interroger leur intimité et de déchiffrer le la de leur présence. Un son semblable à nulle autre. C’est quelqu’un d’étrange, une romancière :
« Je n’ai jamais pu aimer vraiment au grand jour, et je ne m’en plains pas car je ne peux me concevoir aimant que dans la nuit et le mensonge ».
Elle aime sa solitude, sa mise à l’écart, son esseulement dans la fréquentation des lacs italiens, tout en demeurant mariée ; elle les préserve, convaincue que de toute façon, les femmes ne veulent plus vivre à plein temps avec les hommes. Impossible d’être ensemble tout le temps, c’est tuant :
« Elle a besoin de respirer, de déplier ses membres, de ne pas parler. Elle a besoin d’attendre aussi. Et s’il est là tout le temps, tous les soirs ou à peu près, elle n’a plus rien à attendre ».
Bizarre tout de même, se dit-elle que les hommes ne comprennent pas que ce que l’on attend d’eux, ce ne sont pas des cadeaux mais « une alliance dans la conversation » et qu’ « ils parlent avec nous comme on danse ». N’allez pas l’imaginer blasée ou revenue de tout, au contraire. Dans sa fraîcheur d’âme, elle confesse avoir fait tardivement une découverte qui l’a remuée à l’égal d’un chagrin d’amour : l’amour feint, l’affection jouée. Idéaliste ? Mais alors de la naïveté d’une belle personne qui vit dans un monde parallèle, jamais pressée de repasser de l’autre côté du miroir.
Anne Serre se dévoile comme une femme prête à tout sauf à se laisser aller à écouter une musique qui lui fendrait l’âme, qui lui donnerait envie de faire l’amour sauvagement dans l’instant, de renouer avec son feu intérieur inapaisé, d’obéir aux injonctions de ses émotions, de peur de ne pas en sortir. Cet être de fiction qu’elle poursuivait de livre en livre, elle l’a trouvé : c’est elle.
Enfin, la dernière de ses trois femmes remarquables, c’est Hélène Cixous et sa mère. Elle est restée à ses côtés lorsqu’elle était mal, puis malade, enfin agonisante. Elle a tout noté tout, et elle dit tout de leur amour, pour tenter de mieux comprendre leur relation. Durant des mois, elle a entendu sa mère, Eve Cixous, née Klein en 1910 en Allemagne, pays fui dès les premiers discours de l’autre, sage-femme de son état, lui lancer sa mélopée du matin au soir « aidemoiaidemoiaidemoi » ; pas une demande mais un gouffre, un cri sans fin ; ce qui lui fait l’effet de la brève (soixante-sept vers, six minutes) tempête de The Tempest de Shakespeare où tout n’est que cris, rafales, adieux : « All lost !… We split ! We split ! » ; mais lorsqu’elle lui demande ce qu’elle peut faire pour elle, sa mère répond simplement : « Rien ». Homère est morte… (223 pages, 26 euros, Galilée), récit bouleversant dénué de pathos, car l’auteur est trop décente et pudique pour verser dans ce travers, est la mosaïque incertaine de ces riens. Cette lecture laisse sans voix.
Le livre est signé sur la couverture du nom d’Hélène Cixous mais le texte l’est in fine par la mère et la fille. Quand on connaît l’auteur, son parcours d’intellectuelle féministe, ses textes théoriques sur la littérature, ses recherches sur James Joyce ou sur le mythe de Méduse, son compagnonnage avec le théâtre du Soleil, son rapport à l’Algérie et puis ces jours à forte personnalité qui ressemblent à des sous-chapitres de L’Odyssée, on en retrouve les échos assourdis au fil des pages ; mais même si l’on ignore tout de son passé, on est touché. Construit en quelque sorte par la mère qui l’a « écrit », il est déconstruit par la fille. On est avec elles chez le dermatologue, prenant conscience des mutations d’un visage désormais hérissé de kératites ; on envisage le spectre de l’extension des escarres comme autant de cyclopes menaçants ; on est avec la fille quand, dans la moelle de son âme, hantée par les sentiments filiaux d’un parricide, s’inscrit la pensée lancinante de donner la mort à la mère à la tête intacte mais au corps rongé, qu’il faut trainer lamentablement vers les cabinets avant l’inondation. Eve n’a plus qu’une peur : s’en aller dans son sommeil, en l’absence de sa fille, laquelle a désormais une vision du lit de Gregor Samsa chaque fois qu’elle entend l’expression « lit médicalisé » et se met à rêver du déterrement de son père.
La mère s’affaiblit. Entre deux « aidemoiaidemoiaidemoi », l’allemand de sa naissance lui revient ; elle retrouve « son gazouillement de grive impérative » pour lancer comme autrefois à sa petite fille « Halt’ dich grade ! ». A 99 ans, rejoignant « sans mot dire le monde des animaux sans défense », la mère veut devenir l’enfant de sa fille, laquelle accepte en se tenant bien droite de recevoir sa maternité de ses mains. A la fin, elle n’arrive plus à la quitter. Elle voudrait tant que les restes de maman restent avec elle. Mais comment prononcer encore « maman » sans timidité maintenant que le mot est devenu orphelin ?
(« Polly Magoo » photo D.R; « Isabelle Desesquelles photo Mantovant ; « Anne Serre » photo Olivier Roller ; « Hélène Cixous » photo Léa Crespi)
1 026 Réponses pour Trois femmes remarquables
Les fiches, ça a toujours des airs d’avoir deux airs…
vive les femmes, vive celles-là
Au fond, elles sont bien plus que trois, ces femmes remarquables. Disons six
pfiouuu lassouline..je m’attendais a des puissance n ..mais t’es un mec mesuré au finiche.
tiens j’en profite pour mescuser de tavoir soupconné de vendre de l’ipé aux baltringues..
« La forme, c’est le fond qui remonte à la surface »
l’emboutissage a donné des résultats..mais entre 2 bonnet c et une blonde a forte poitrine y’a une difference que même sergio saurait voir
tiens j’en profite pour mescuser de tavoir soupconné de vendre de l’ipé aux baltringues..
un jour je te montrerai comment avec celle de sergio on peut devenir riche..haprés un ping on scane ses backdoors et dans un bien ouvert on lui dépose un rootkit indétectabe qui nous envoie le numéro de sa carte bleue on nous met tous les deux bénéficiaires de son assurance vie..il suffira de lui envoyer des vraies promos de vdqs en cubi..pendant que nous on boira, mais modérément des pinacolada et des morito
J’aime bien la notion de femmes « remarquables », sachant que la véritable élégance ne se remarque pas, dixit Brummell qui se foutait volontiers du monde et de ses interlocuteurs.
Remarquables femmes ! Il en est peut être ainsi, obligatoirement, dans le monde pourri, milieu vérolé, secte minable, de la littérature féminine française actuelle.
Pas clair tout ça …. moisies, les donzelles. Passons.
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 16 h 01 min
tiens j’en profite pour mescuser de tavoir soupconné de vendre de l’ipé aux baltringues..
… Sont paranos….
…Pauvre type…
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 15 h 56 min
« La forme, c’est le fond qui remonte à la surface »
l’emboutissage a donné des résultats..mais entre 2 bonnet c et une blonde a forte poitrine y’a une difference que même sergio saurait voir
Hon est pas là pour voir le temps hurge ! Mais moi aussi j’ai ticket. Parce qu’enfin d’une manière générale tout le monde est toujours d’accord sur le fond, c’est surtout sur la forme que les choses coincent, hautrement dit dans le contexte, parce que chacun ramène le sien propre, donc son identité et voilà nous y sommes. Si c’était vraiment le fond qui remonte, eh bien ça ferait pas ça…
Et les autres… dit: 16 septembre 2014 à 16 h 09 min
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 16 h 01 min
tiens j’en profite pour mescuser de tavoir soupconné de vendre de l’ipé aux baltringues..
C’est quand même vrai que ce Jean-Philippe est un crevard… Et un crevard qui se vend lui-même.
L’a pas fini de se faire allumer… Une impression…
Maintenant, s’il n’est pas jean-Philippe boumou, qu’il nous explique comment Assouline aurait « vendu » ( VENDU : voyez le niveau de connerie du mec) l’adresse IP d’un autre?
S’il y en a encore qui ont des doutes…
Jean-Philippe, t’es encore plus con que je croyais : un prototype.
Le fil de la critique
est tellement plus doux
que le corridor de la rentrée !
Passagèrement.
je l’avais prédit, le boudemou il tremble carcasse, il ne sait plus quoi dire pour paraître amadoué, ma mère de ma mère comme dirait son popote JC
Sorti avant l’heure du SDUC, où régnait alors le Colonel de Guerlasse, Willy Bouguereau n’est autre que le fameux Nicolas Leroidec, rentier républicain, redevenu taupe des Services.
Soyez prudents, les flambards … D’ac ?
Comme ils disent à la radio:
« vous venez d’entendre :
« on ne badine pas avec l’amour d’alfred »
de musset!
ma parole..ta gueule mon scrétaire ! sinon tu vas gouter du bâton, cul nu devant sylvie, elle l’exige..malgré le bien triste spectacle..dracul et vontraube me mèlent que je suis trop tendre avec les valets de ferme..comme je suis de gauche (..rimembeur mon larbin) je ne sais plus que penser..et je vais dmander à zouzou..qui est du chentre pour trancher..s’il y a lieu encore..sur ton sort..en attendant pas bouger garde barrière, à l’écoute..aux ordres..as iouzoul..chirurgicalement etc.
Albert Tunoulé….. dit: 16 septembre 2014 à 16 h 39 min
On va te l’amidonner, te le repasser, ton Leroidec,…tiendra tout seul…comme un grand…
Pis après on lui enverra le révérend Paudemurge …pour l’estrême onction…
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 16 h 43 min
dis, boumou, là tu t’écoutes écrire…et pis c’est pas bon…
Mais surtout que t’es con, à ce point-là, j’arrive pas à le croire…
La risée, que t’es en train devenir…
Nicolas Leroidec
ma teube guerit des écrouelles!..on me l’envie..comme je le comprend..si je le pouvais je m’enculrais moi même!..mais voilà dame nature ne m’a donné que des devoirs..et les baltringues se plaignent! allez lassouline c’est pas l’tout..j’ai de l’ipé a pinguer à pléyel
boudemou, un prêté pour un « vendu », n’importe quoi, pépère
Là, boumou, c’est vrai qu’on n’arrive pas à le croire… C’est la grande détresse… Mais en même temps c’est toi qui ne veut pas arrêter.
Donc, on n’arrête pas…
Comme tu veux.
ne veux
les baltringues et les ta gueule sont inépuisables chez boudemou, on attend la suite, fébrilement
Il touche le fond.
c’est la curée chez les niches !
Ca doit quand même être pour le moins fastidieux de se ravaler tous les matins et se déravaler tous les soirs… Les bêtes font pas ça au pire elles se trempent… Les mâles non !
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 16 h 43 min
C’est la fuite en avant. Surement pas la seule…
L’Algérie ? Slurp ! C’est plein de pétrole… Rien que d’y penser… On devrait y envoyer des bateaux, tiens…
Bouguereau va pas tarder à se faire souffler… dans le cornet….
Ne vous avais-je pas dit que Passou nous parlerait d’auteurs hors liste !
En l’occurence d’auteures, comme pour faire plaisir à Clopine, où pour intégrer, après opération à Casablanca, le jury du Femina ?
plus dure sera la chute… tant ce boudemou s’est cru plus malin que tout le monde, plouf… et après ce sera le tour du petit porquerollais, youpi !
« Les mâles non ! »
Y en a que oui, Sergio, et pas forcément des homos !
Jacques Barozzi dit: 16 septembre 2014 à 17 h 26 min
Y en a que oui
Houi mais alors au Marseilleu ! Esseclusiveunman…
Je suis allé voir un film documentaire sur un journal que j’ai longtemps lu : « Le Monde » et que je ne lis plus. Juste pour voir les derniers spécimens d’une tribu en voie d’extinction. La scène se passe un peu avant l’élection de François Hollande et s’achève à son avènement. Du temps où le directeur s’appelait Eric Izraelewitz, mort au combat. C’est aussi palpitant que Jurassic Park. A voir, sauf pour ML, qui risque l’infarctus…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19545449&cfilm=227920.html
Au lieu de dépenser votre pognon à lire ces grandes couillonnades insipides tant vantées par Passou, quel flatteur, laissez tomber ces trois « femmes remarquables » et payez-vous enfin le BLAVIER !!!
Sur Amazon, on trouve son génial « LES FOUS LITTERAIRES » (1150 pages) pour la modique somme de 279 euros minimum …
Allez, bande de fauchés ! Lisez-le avant que Bercy vous pique la thune … Ne laissez rien à vos héritiers !
remarquable
Notre jeune lycéenne n’a pas encore repris la lecture de quelque bouquin que ce soit. Elle retwitte seulement ceci, avec un humour potache que j’apprécie, humour potache qui par parenthèse manque cruellement à la chronique de Passou, je trouve :
« “Jihad : une ado de 14 ans qui voulait partir en Syrie retrouvée en Belgique.” Ou comment commencer l’année avec 0 en Géo. »
Tout de même… dit: 16 septembre 2014 à 16 h 17 min
t’es encore plus con que je croyais : un prototype.
Ben moi je l’aime bien bouguereau.
D’abord un mec qui fait chiller Chaloux ne peut être qu’un mec bien.
Ensuite, imaginons qu’il soit Jean-Philippe, c’est encore plus beau.
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 16 h 43 min
devant sylvie, elle l’exige…
Depuis le temps qu’elle est barrée, bien surprenant si elle faisait le voyage…
Si tu veux j’te file son tel.
Compte à rebours dit: 16 septembre 2014 à 18 h 00 min
Télégramme :
« Peux retourner te coucher. Mussolini pas revenu au pouvoir ».
fais pas trop le bravache JC, fais pas trop
Rebours…comme tu y vas… dit: 16 septembre 2014 à 18 h 04 min
Le Chaloux qui passe.
keupu favori dit: 16 septembre 2014 à 18 h 09 min
Le keupu de basse imitation se voit comme anti-JC de haute volée, à l’usage il nous rend le marin chaque jour plus fréquentable.
Le comble du crétin.
Le faux keupu est une bastringue dit: 16 septembre 2014 à 18 h 14 min
il nous rend le marin chaque jour plus fréquentable.
Il y a des cas où l’usage du pseudo est vraiment indispensable.
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 16 h 51 min
Le garde-barrièreagite son sifflet,
le train se marre.
Le Dictionnaire des Fous littéraires, d’André Blavier,d’accord, mais préférer l’édition mise à jour parue aux Cendres, la seconde, je crois.
Il faut toutefois signaler que les notices son inégales, allant de la pure bibliographie à la bio, mais pas toujours.
A Amazon, préférer les prix pratiqués sur les quais, ou on le trouve parfois.
MC
26€ le Cixous, c’est cher payé pour le récit d’une agonie !
fais pas trop ton bravache JC, regarde ce qui arrive à ce pôvre boudemeou, tu vas vite débander
Fréquentable… dit: 16 septembre 2014 à 18 h 17 min
Euh, non, pas vous.
Les gars, fouaillez-vous le gros intestin, la défense boumouesque est vraiment consternante.
Presque aussi lamentable que lui.
(« Aussi lamentable » ne serait pas crédible.)
Inventez, soyez drôles, cruels si vous savez l’être, mais ce que je lis sous vos plumes (bande de volailles), c’est nul.
« la modique somme de 279 euros minimum … »
c’est plus que modique, c’est donné
Il touche le fond.
et bien profond la forme tête de noeud
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 16 h 43 min
….comme je suis de gauche
c’est pas moderne
Jean Rage….. dit: 16 septembre 2014 à 17 h 41 min
j’ai wikipédié ; Wouah !
… un prob, le prix (pas vérifié ton estimation) – zyva : tu me le loues – 1.200 pg, j’dois pouvoir les lire en 3/4 semaines (j’ai besoin d’autres lectures aussi quotidiennes & hedo & mensu … j’opte pour 4, semaines de location ! Quel prix, M’sieur Jean ?
keupu dit: 16 septembre 2014 à 18 h 20 min
Le garde-barrière tourne manivelle mais ne fait pas la différence entre une Pacific 231 et une CC6500.
Ensuite, imaginons qu’il soit Jean-Philippe, c’est encore plus beau
tu l’as imaginé et jean philippe le fait..mimi veut me préter main forte a travers sa gueule s’il vient me faire chier ici..va va que je lui ai répondu..qu’il vienne ce petit merdeux qui a sucé mon sang et mes sous ! et ça veut m’impressionner avec des manière de petit flicard de la milice..raf ma patte d’ours sur son nez et rif jle rtourne et je te l’enfile sur le palier..jlui en ai tant appris et c’est comme ça que ça me remercie?..qui est son maitre!..va récapituler les bonnes manières de larbin qu’il avait mon scrétaire..et laisse sylvie tranquille..elle t’a toujours trouvé moche et racorni.. »répugnant petit personnage » ses propres mots
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 18 h 22 min
cruels si vous savez l’être
Mais tu n’es pas cruel mon Chaloux, tu es con.
Un vacuum dirait Lichtenberg.
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 18 h 23 min
Il touche le fond.
et bien profond la forme tête de noeud
bouguereauàcheval.
Sur son bidet.
Il pénètre…
le siphon.
Aye!
c’est pas moderne
le moderne avec les filles ça marche pas toujours..marre du dépouillé qu’elle disent..elles lorgnes sur les gros bois chantournés
j’adooore la façon qu’a bouguereau de parler de JC à 48 h 28, c’est vraiment très juste enfin, bravo
Un vacuum dirait Lichtenberg
..il savait même pas prononcer son nom..c’est à peut prés tout cqu’il sait de lui aujourdhui..
pardon, à 18 heures 28
boumou, tu devrais essayer de ne pas poster pendant un petit moment. Je ne voudrais t’achever trop vite. J’aime le travail bien fait.
Le vrai problème de ce con de Chaloux, c’est qu’il croit avoir fait une découverte alors que TKT nous la balance depuis des années.
Non seulement il est à la ramasse mais en plus son or n’est peut-être que du plomb.
bon qu’est ce qu’il fait zouzou ! encore dans le 13eme a se faire saucer la nouille au niocmâme celui là..au moins le larbin réapprend les bonnes manières c’est ça : au pied!
boumou, pas « au pied », dans ta gueule.
son or n’est peut-être que du plomb
..sur sa sale gueule de con..c’est le grand oeuvre mon cheuloux
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 18 h 39 min
Je ne voudrais t’achever trop vite.
Alors là gaffe, tous aux abris,
Chaloux passe en mode « mattage », va yavoir du sang sur les murs et de la bidoche sur les lampadaires.
C’que j’la passe donc, eu’ c’teu wassingue.
Bien simp, fais pus qu’ça.
Vla qu’il en fout partout.
vous remarquerez qu’avec bougue-rot et JC, leurs arguments sont toujours des injures, les armes suprêmes des faiblards, de nullards, des pochards
Oui. Exactement. Mais peuvent pas le voir. Savent pas lire au-delà…
brève dit: 16 septembre 2014 à 18 h 48 min
leurs arguments sont toujours des injures
Erreur, le mode mattage, c’était là. (Particulièrement pertinent, je dois dire.)
Tout de même… dit: 16 septembre 2014 à 16 h 17 min
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 18 h 49 min
Oui. Exactement. Mais peuvent pas le voir. Savent pas lire au-delà…
Ouarf,
quelle cruauté dans son oeil de garde-barrière!
Miroir, mon beau miroir dit: 16 septembre 2014 à 18 h 52 min
3 AVC, une hémiplégie, il se répète un peu, mais que voulez-vous…
mémère a son oeuvre au noir..comme y danse bien mon larbin..
boumou, tu peux toujours remplir la rdl de tes déjections, aujourd’hui tu t’es encore fait moucher, comme tous les jours.
A croire que t’aimes ça.
Fermons le ban…
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 18 h 53 min
Particulièrement pertinent, je dois dire.
Chaloux dans l’auto-satisfaction se trouve pertinent.
Toujours pas sorti de l’auto-fiction à bientôt cinquante ans.
(jean rage m’a enthousiasmé ; après lui avoir répondu – une propos° de loc° – j’suis allé fouiller ; il est en bibli, éd° que vous mentionnez).
Toujours est-il, M. Court, vous avez posté ce comment’, … et comme je vous prends « comme un fou de littérature fascinant » … well, je vous salue ! et merci aussi, cher fou !
Continuez, pas de souci.
Tant que vous restez aussi médiocres, ça m’amuse aussi.
(Et comment vous feriez autrement?).
A côté des laborieux combats de coqs offerts par nos mâles erdéliens, les femmes ne peuvent être que remarquables !
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 19 h 00 min
aujourd’hui tu t’es encore fait moucher, comme tous les jours.
Une burne de cette taille c’est pas croyabe.
Pauvre Daaphnée.
t’es encore plus con que je croyais : un prototype.
C’est bien trouvé, quel regret de n’avoir été présenté(e), nous aurions organisé une paire décoiffante.
M’en fous.bientôt je suis espagnol!
Jacques, tout ce qu’on peut dire, c’est que les hommes vont rarement pleurnicher chez l’esthéticienne. Ils gardent leurs larmes.
Encore un bouquin que je ne lirai pas.
J’ignore si on peut signaler un bon livre sur ce blog, oui ?, non ?… Je me lance, en tout cas, pour vous dire que je viens de découvrir et d’adorer un bouquin conseillé par mon libraire vendredi : « L’attraction du vide » de Bertrand Latour. Quelqu’un l’a lu ? En plus, le héros de ce roman est… la littérature (c’est en fait l’histoire de 2 écrivains), de quoi titiller notre Pierrot national !
Jacques Barozzi dit: 16 septembre 2014 à 19 h 03 min
A côté des laborieux combats de coqs offerts par nos mâles erdéliens,
Envieux ?
La macrocéphalie de Chaloux est bien mal placée dit: 16 septembre 2014 à 19 h 04 min
Microcéphalie (très) bien « placée ».
Chaloux si nous considérions un prix nobel de physique comme mesure, nous serions tous très mal .
On peut pas en dire autant de tout le monde dit: 16 septembre 2014 à 19 h 08 min
Microcéphalie (très) bien « placée »
Mais que ce garde-barrière est cruel.
boumou, ta petite troupe est vraiment lamentable, presque autant que toi… Le caporal Cornichon et ses amis cucurbitacées…Drôle de guerre.
Chaloux dit: 16 septembre 2014 à 18 h 22 min
Inventez, soyez drôles, cruels si vous savez l’être, mais ce que je lis sous vos plumes (bande de volailles), c’est nul.
Faut le dire et le répéter…
Mais vous y êtes pas.
Bonne soirée (théâtre).
@Jacques.
» Ils gardent leurs larmes. »
Et parfois ils en meurent.
Bonne soirée à vous Chaloux, politesse oblige.
tweet d’ado
» en ce moment je tripote les boutons »
Un raccord avec cette fameuse et suggérée guerre des cucurbitacées?
De véritables confessions, intimes le plus souvent, démentant l’adage selon lequel on se confie plus volontiers à quelqu’un que l’on est assuré de ne jamais revoir – un chauffeur de taxi par exemple. Peut-être l’esthétique y encourage-t-elle puisque l’on va dans ses salons aussi pour oublier ce que la vie a d’inesthétique »
tweet d’ado
« waouah, le truc de ouf, cette meuf déchire dans le salon de couture »
» en ce moment je tripote les moutons «
Autre micro combat de coqs à l’Assemblée nationale, gagné de justesse par Manuel Valls !
en ce moment je tripote boumou
a dir’eul vrai, euj’tripote mollement un truc… tout mou…
qu’il est don’ mou, euc’ boumou, et dir’ qu’y prétend fair’eu je ns’ais sur’eul payer…
Pas pour eud’main…
Jacques Barozzi dit: 16 septembre 2014 à 19 h 33 min
gagné de justesse par Manuel Valls
Eh oui mon jacquot, niqué.
De véritables confessions, intimes le plus souvent, démentant l’adage selon lequel on se confie plus volontiers à quelqu’un que l’on est assuré de ne jamais revoir
Nous disposions des confesseurs dans le secret et bien qu’assurés de sollicitations répétées puis peu à peu ces derniers se sont vus substitués par le bataillon des psychanalystes et écouteurs en tout genre, laïcité oblige mais n’exonère pour autant pas du besoin d’avoir à alléger sa conscience ou à démêler l’écheveau emmêlé des fonctionnements quand les circonstances pesantes et de- structurantes d’une existence chargée et oppressante tissent un enchevêtrement pour le moins entravant la possibilité d’aller de l’avant de façon optimale.
bouguereau dit: 16 septembre 2014 à 18 h 40 min
bon qu’est ce qu’il fait zouzou ! encore dans le 13eme a se faire saucer la nouille au niocmâme celui là..
Pas du tout, je méditais sur ces trois femmes remarquables, en me demandant avec qui j’aimerais prendre un verre.
Un verre avec Isabelle très volontiers, pas plus pour ne pas devenir pompette, on a son quant à soi… (Si vraiment après un monologue de vagin, c’est cunnilingus matin et soir, je viens avec un copain.)
Deux verres avec Anne, parce que ce qu’on attend des hommes c’est qu’« ils parlent avec nous comme on danse », c’est charmant.
Mais là aussi, on se calme, « le feu sous la glace » il restera sous la glace (« se laisser aller à écouter une musique qui lui donnerait envie de faire l’amour sauvagement dans l’instant », c’est pas au menu)
Trois verres avec Hélène ou plutôt quatre, parce qu’il faut rompre la glace pour parvenir à parcourir l’empyrée de la haute intellectualité… les expériences anglo-saxonnes… le pote Derrida…
Mettons cinq verres.
Pas gagné mais jouable.
A petite dose, ça peut être planant.
Elle se demande pourquoi « elles acceptent » : le pluriel ici se commande, notre hôte, sinon on ne vous comprend pas…
Dans les 96 premiers commentaires, un ou deux fait vaguement allusion au sujet (passionnant) du billet.
Ciao les mecs!
Je vous croyais Chrétien, Chaloux.
Or vous évoquez des choses sexuelles sans retenue et vous jugez votre prochain. Ce n’est pas très bien.
Vous mettez les bouchées double, Pierre Assouline, et même triple : n’allez pas maintenant venir me dire que la littérature « féminine » n’existe pas.(et encore une fois : il ya des écritures « neutres », évidemment. Mais des écritures « féminines » existent…) ; en tout cas, un super bon point pour vous. Vous allez finir par me faire changer d’opinion sur votre (supposé) machisme inconscient…
Si j’avais des sous, j’achèterais tout.
Le titre de votre billet m’a fait penser à ces « remarquables créatures », de Tracy Chevalier, mélangées aux « trois femmes puissantes » d’N’Diaye… Du Goncourt dans l’air ? Cixous, au moins, le mériterait, comme on remet des Césars « pour l’ensemble de l’oeuvre ». (je suis tombée dans Cixous – pour tes pensées – en l’an de grâce 1981)
Chaloux évoque des choses sexuelles?!
Il les discrimine, ce qui ne vaut pas mieux, le sexe si l’on omet les risques de contagion est l’un des derniers territoires de liberté si tant est qu’il se contente du cadre légal qui lui est consacré.
Désolant dit: 16 septembre 2014 à 19 h 47 min
Nous vous attendions.
Deneb, êtes vous sexuellement, aussi pur que moi ?
Ce soir, je m’en vas manger des pommes de terre en robe des champs agrémentées d’un coulis de menthe-vanille, puis vodka et film coquin.
Mimi, tu me manques, sans toi, la rdl est sans érudition, JC la saumure, lui, représente le politiquement correct de souche
Cixoux- Derrida : »Voiles » .
(Galilée)
Quelqu’une m’a offert ça, un soir.
De cuite.
D. dit: 16 septembre 2014 à 20 h 04 min
Deneb, êtes vous sexuellement, aussi pur que moi ?
Ce soir, , puis vodka et film coquin.
essayez de la main gauche vous aurez l’impression que c’est quelqu’un d’autre!
Est-ce que, sans que vous m’en vouliez, je peux me permettre de vous signaler qu’il vous faut remplacer le « s » par un « c » dans « la dernière de Ses trois femmes remarquable » ?
Car sinon, on pourrait croire qu’elles « appartiennent » toutes trois à quelqu’un : ça la ficherait mal !
(excusez-moi d’être agaçante)
avec un « s »
« Eh oui mon jacquot, niqué. »
Oui, mais qui ? Les Français, le PS, Valls, bientôt ?
Elle a une copine, un peu plus âgée qu’elle, probablement lesbienne, et surtout complètement déjantée :
« prendre des ptits bouts trucs, prendre des ptits bouts et puis les assembler ensemble » (Twitter)
Ce soir, la copine est déjà bien partie :
« je te jure que jsuis plus fou c’était avant quand j’étais fou » (Twitter)
Quand même un petit moment de lucidité :
« j’suis trop l’ado cliché, marre des cours, marre des parents, marre des gens, marre de tout à part quelques personnes » (Twitter)
Rien ici, à part les combats de coqs rituels.
Les hommes me dégoûtent!
Pour revenir à notre première lycéenne, qui a, semble-t-il, définitivement interrompu sa lecture du roman de Joy (pour ceux qui suivent), elle explique pourquoi elle peine à twitter, ce soir :
« J’aime pas aller sur twitter quand il y a des célébrités à Paris, parce que à chaque fois vous me foutez le seum. » (Twitter)
» Elle aime sa solitude, sa mise à l’écart, son esseulement dans la fréquentation des lacs italiens, tout en demeurant mariée ; elle les préserve, convaincue que de toute façon, les femmes ne veulent plus vivre à plein temps avec les hommes. Impossible d’être ensemble tout le temps, c’est tuant »
Elle a raison et totalement!
On lui a fait faire du rugby, aujourd’hui, et évidemment elle n’a pas aimé, ça l’a mise de mauvaise humeur (sadiques, ces profs !) :
« J’ai trop mal à l’épaule à cause du rugby. » (Twitter)
Elle a retwitté l’information suivante :
« Le réveil soudain après une tombée dans le vide est une impulsion envoyée par le cerveau car ce dernier croit que la personne va mourir. » (Retwitt)
« Widergänger dit: 16 septembre 2014 à 20 h 15 min
Enfin, tout ça n’a pas beaucoup d’intérêt. C’est ergoter sur du vide. »,
Depuis quand, WGG, ergotez-vous sur du solide ??? ?? ?.
Dominique veuillez précisez le genre auquel vous êtes rattaché, dans le cas contraire nous continuerions de nager dans l’ambiguïté qui nous conduirait à considérer votre situation sans issue dans deux des configurations disponibles: hétérosexuelle irrémédiablement déçue, homosexuel blessé. Aucune incidence à ce constat si femme vous ne ressentez du désir qu’envers vos homologues féminines et si homme essentiellement séduit par le beau sexe.
Remarque, je ne suis pas gros Claude…!
Contre pez, point de salut
tweet d’ado qui fait des sms comme Pivot
« la boT plastic, mon oeil, ta le look ou tu la pa, ces meufs remarkables c kom si tu montrais la Venus ottanta otto dans un cirque »
http://www.youtube.com/watch?v=zj6K6vKg2fs
Effectivement, Dominique est d’une autre trempe.
http://www.editions-jclattes.fr/livre-avons-nous-assez-navigue-dominique-schneidre-579176
Oh que oui. Je confirme.
Dominique Tailleur, en Français.
La copine déjantée se verrait bien dans un film de Zulawski :
« ça doit être cool de baiser sur une scène de théâtre deserte genre jsais pas why not » (Twitter)
bye
Elle ajoute ce beau rêve, et j’ai dû confondre, elle n’est pas si lesbienne que ça :
« dans le turfu je sortirai peut être avec un acteur et voilà mdrrr » (Twitter)
Thérèse, ou Terrence, la pusillanimité
« à commencer par toutes celles qui mettent la paupière dans l’engrenage de la chirurgie plastique »
Très drôle avec « l’esseulement sur un lac Italien », pas de botox pour E*, ce que prouve une photo récente d’elle.
Dominique dit: 16 septembre 2014 à 20 h 53 min
les femmes ne veulent plus vivre à plein temps avec les hommes.
Elle a raison et totalement!
Vous connaissez un homme qui veut vivre à plein temps avec une femme ?
Ben non.
Merci jedla pour ce roman de D.S.
Vous connaissez un homme qui veut vivre à plein temps avec une femme ?
Oui, Chaloux avec bouguereau!
« il y a deux ans, Petite table, sois mise ! (Verdier) m’avait enthousiasmé. Incestueux et érotique en diable, le tout en famille, exquis dans la transgression et savoureux dans l’audace, ce petit livre révélait le feu sous la glace chez cet auteur. »
Ce n’est pas Nadine de Rothschild qui aurait toléré pareil laisser-aller.
Olympe dit.: 16 septembre 2014 à 21 h 38 min
Chaloux ! Une femme, vous m’en direz tant.
En cet instant mes pensées vont vers Daaphnée,
pauvre d’elle,
méritait-elle cela ?
…
…nous écrivons trop, ce qui nous fait plaisir de relire,…souvent loin des réalités argumentées,!…
…
…les approximations pour en vivre , les plis et replis pour ne plus en découdre,!…
…
…je suis la même, nous n’avons pas changer, emporter par un tourbillon de folie, j’ai toucher gros,!…pour un petit esprit,…la veine c’est de s’en éloigner,!…déjà que c’est fragile,!…alors y prendre son pieds,…à deux mains,…
…un Parker,!…à cartouche,!…et un vernis en Spray, Oui,!…rendre le texte indélébile,!…
…le papier du temps aux huiles à l’abris des moisissures,!…pour vivre dans les océans,!…
…etc,!…
…un Parker,!…à cartouche,!…et un vernis en Spray, Oui,!…rendre le texte indélébile
Et rien pour un texte débile, une honte quand on y pense.
Ou débilité, ça manque à ces paraphes car l’exhaustif quoique rasoir offre aussi l’outrecuidance du rire, du divertissement en changeant pour un cap au pire.
Giovanni faites gaffe, on pourrait vous pêcher pour plie qui pullulent et poêlées ne somme toute pas si mauvaises.
Alors, ça procède par creuser les déficits?
Eh bien soyons fous !
J’ai une petite préférence pour Honoré.
Pas Balzac, ni Christophe, Honoré, tout simplement.
Avant le surréalisme et le fameux cas d’Hélène Smith, il publiait des plaquettes aux titres impossibles. Pas moins d’une dizaine de substantifs, souvent marchant par assonnances ou association d’idées.
Et il envoyait ses œuvres à de graves bibliothèques, dont celle du Fontainebleau de l’art pompier , sis place de l’Hotel de Ville, à Paris.
On ne refusait pas, on acceptait. On ne les lisait pas, mais lit-on tous les livres qu’on reçoit? Et les plaquettes de cet obsédé de l’aviation finirent dans un huitième étage de rayonnages, ou leur poésie incongrue éclata quand on les y découvrit, quelque part entre des originales de Darwin et l’avant-garde de la littérature pédagogique des années 1880-1905, d’un sinistre absolu.
Loué soit Honoré pour avoir atterri et survécu là!
Ce soir, Blaviéresquement,je penserai à lui et à ses impossibles titres, uai, aujourd’hui, couleraient un éditeur.
Los à Honoré qui ne pensait ni aux prix ni à la rentrée littéraire, mais seulement à ses impossibles machines verbales Tinguelyesques , et qui pour cette raison garde son pouvoir d’étrangeté…
Bonne soirée.
MC
Le couple le plus prestigieux Assouline, c’est pour ça qu’on vous adore https://www.youtube.com/watch?v=EQmRgFzg0jI
« impossibles machines verbales Tinguelyesques »
MC
Beau.
Un grand merci du Cyclop.
J’ai pas l’oreille absolue encore
M. Court !
tss! tss! comment osez-vous dans une même phrase Darwin et Balzac !
c’est pas possible cette vente en lots !
« Mimi, tu me manques, sans toi, la rdl est sans érudition… » D
Cette déclaration d’amour nous montre qu’une pointe de démence partagée n’est jamais inutile sur un blog !
Vous vous êtes mis aux ronds ou pas avec une chatte sur le toit?
…
…qu’elles nouvelles,!…
…content de ta femme,!…c’est une réussite,!…
…
…Oui,…On n’en fait plus de trop pour son bonhomme,!…
…
…alors, t’a entendu l’écho,…des savanes,!…Non,!…tu vois t’est le premier,!…
…
…tu crie dedans, il y a quelqu’un,…tu tend l’oreille,…et tu attend,!…le train qui passe qui se la repasse, un linge à soie,!…
…
…tu touche, le fer est à peine tiède,!…çà te redresse la soie,!…
…
…note pour le ruche,…un bon bout de balaie,…
…histoire d’écraser les abeilles,!…le bourre-don,…du miel de Bysance,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…
M. Court mérite d’être entarté
Le Saint-Honoré est une très bonne pâtisserie, mais surtout riche en histoire. Avant de vous raconter ses péripeties à travers les siècles, voici sa composition : le Saint-Honoré est composé d’une abaisse de pâte feuilletée surmontée d’une couronne de pâte à chou et garnie de crème allégée aux blancs d’œufs en neige ou à la chantilly et parfois de chantilly seule. La crème chiboust est faite de trois quarts de crème pâtissière allégée d’un quart de blancs d’œufs en neige meringués
(de quel Honoré s’agit-il?)
« De véritables confessions, intimes le plus souvent » : bridge over troubled water…
Billet remarquable Passou, merci !
ce que l’on attendrait d’eux c’est qu’ils parlent avec nous comme on danse
des journées entières dans les arbres dit: 16 septembre 2014 à 22 h 47 min
être entarté
Justement le saint-honoré ce qu’il faudrait c’est surtout ses caractéristiques balistiques…
parfois, il y a dans le saint honoré de la crème de marrons sous la crème pâtissière & sur l’abaisse de pâte feuilleté
épicétout
Ambiance gynécée hon va se retrouver chez les soeurs Groult…
Ambiance gynécée…
Et pourquoi p
Pitié, ne me remerciez pas !
C’est bizarre mais c’est le livre de Cixous qui me plaît d’emblée le plus. Je m’y retrouve de suite, c’est le monde qui m’est familier, tel que je l’ai vécu, tel que je suis en train de l’écrire aussi en parlant de ma mère durant les six derniers mois de sa vie.
Les deux autres sont des livres de femmes, c’est-à-dire des livres complètement incompréhensibles pour un homme quelle que soit sa bonne volonté. Proust le disait déjà, mais c’est bien pire aujourd’hui. L’homme et la femme s’éloignent comme la lune de la terre chaque année de quelques millimètres d’incompréhension pour aller se perdre dans le cosmos toujours plus désireux de mieux se connaître alors que l’abîme se creuse toujours un peu plus infiniment à chaque minute qui passe.
« Ce n’est pas Nadine de Rothschild qui aurait toléré pareil laisser-aller. »
Ne nous moquons pas trop ! Bien sûr la décadence a commencé par elle, mais ce n’était encore que le début…
On m’accuse de doublon?
Et pourquoi pas sœur Dominique en matière ambiance gynécée?
Ah,là,là, WGG l’ultra misogyne!
plus désireux de mieux se connaître alors que l’abîme se creuse toujours un peu plus infiniment à chaque minute qui passe.
Ça rappelle une réflexion de Louis Pergaud dans la guerre des boutons…
La photo la plus étrange est celle de Anne Serre. Elle donne l’impression de la surprendre au sortir de la salle de bain mais d’une salle de bain qui exigerait une tenue de soirée. On ne comprend pas la photo. On est intrigué. Elle donne l’impression d’un monde tout chiffonné sans queue ni tête.
Olympe dit: 16 septembre 2014 à 23 h 04 min
Ambiance gynécée…
Et pourquoi p
Vestiaire de football c’est pas mieux non plus ; ce qu’il faut, c’est de la musique…
J’aimerais bien être misogyne ! J’aurais au moins le sentiment de savoir ce que je méprise. Tandis que là, je suis suspendu au dessus du vide sans rien comprendre de ce qui m’arrive. Situation affreuse.
…
…Bon,…un vieux livre de cuisine, édition de 1880
…
…by Mrs. Isabella Beeton
…The Book of Household Management London Ward,Lock and CO.,
…
…Oui,!…il faut au préalable connaitre l’anglais, du bout des doigts,!…çà existe ,!…
…vivre chez l’habitant,!…sans frontières,!…etc,!…
…
Qui dira jamais avec des mots inoubliables l’incompréhension réciproque qui unit l’homme et la femme ? Incompréhension d’ordre métaphysique que le langage est totalement impuissant à juguler, qu’il aggrave au contraire, deux langues étrangères intraduisibles absolument que le silence lui-même rend plus muettes.
Kafka sans doute tente quelque chose de ce genre dans Le Château. Mais ce n’est pas encore ça. Proust l’a essayé lui aussi avec Albertine, mais ce n’est pas encore ça. Il faut encore essayer à creuser cet abîme d’incompréhension entre l’homme et la femme. Comment aussi peut-on sortir de la côte d’un homme ? Totalement incompréhensible.
Le mieux, c’est de s’en parler devant un steak Charal
Dernier twitt de la journée, révélateur, lucide :
« j’aimerai bien venir au lycée avec un tshirt où ya écrit ‘j’m’en fous de tout et de tout le monde’ genre m’approchez pas » (Twitter)
Le niveau monte -on ne dira pas le niveau de quoi- :tous boumouisés…
Alba, les hommes et les femmes finissent toujours par se comprendre. Longtemps après avoir cessé de s’aimer. Un rude choc.
Bonne nuit les micro…
L’homme vient de la terre, de la boue, la femme vient de l’os. Ils ne viennent pas du même monde. Du tout. La femme est un os pour l’homme, un os à ronger faisant de lui son chien.
Et la théorie platonicienne ne vous inspire pas ?
Non ! Elle ment.
la ferraille continue, a ce que je vois…c’est bien…donc le bougre serait Mac et vice-versa ? tain, sont aussi cons l’un que l’autre…Arsenal a perdu ce soir contre Dortmund, donc suis pas de bonne humeur, et je cherche quelqu’un a blâmer…et suis pas exigeant…le garde-champêtre ou le garde-barrière, pour moi c’est kif-kif…z’ont le même cul…idéal pour des bottes de sécurité taille 45…sinon, Hélène Cixous est la seule que je connaisse d’entre les trois écrivaines (ca se dit ca ?) pour l’avoir lue dans une anthologie d’écrivains du bled et pour l’avoir vue ici il y’a quelques années avec Derrida dans une conférence dont je ne me souviens plus du sujet…je crois même que c’était le festival du livre juif a Londres, mais bon…je me souviens surtout qu’elle écrivait fort bien sur sa jeunesse a Oran, ou elle avait grandi rue Philippe qui est située derrière l’hôtel de ville et la place d’armes…c’était aussi le quartier chaud d’Oran et j’y ai passé beaucoup de mercredi après-midis, avec mes camarades, a fantasmer sur ce qui se passait derrière les rideaux…
tu voudrais t’en remettre à moi fort à propos?
Alba, il n’y a pas d’incompréhension, il y a seulement des êtres, hommes et femmes, qui ne se connaissent pas eux-mêmes. Ne pas se connaître,-tout le début de la vie, est une rude épreuve. Mieux se connaître ensuite, – en principe si on a beaucoup travaillé et si on a vécu, en est une autre tout aussi rude. Les « rites », chacun a les siens, tendent à conjurer cette rudesse…
des journées entières dans les arbres dit: 16 septembre 2014 à 22 h 47 min
M. Court mérite d’être entarté
Euh…desole, des journees…a mon avis, il mériterait plutot d’être raccourci par un ou deux cm de plus…faudrait juste lui confisquer ses semelles ‘cubaines’ et le forcer a mettre des espadrilles…déjà qu’il se cogne la tête contre le bord du trottoir…
C’est pareil chez les écrivains et chez les lecteurs.
Il y a deux sortes d’écrivains et deux sortes de lecteurs, qui sont étrangers les uns aux autres.
Il y a les écrivains qui sont du côté du père et les écrivains qui sont du côté de la mère.
Kafka, Pascal, Flaubert sont des écrivains qui sont du côté du père, de l’homme.
Stendhal, Simenon sont des écrivains qui sont du côté de la mère, de la femme.
Qui comprend Stendhal de l’intérieur ne comprendra jamais rien à Pascal, Kafka ou Flaubert. Quels que soient ses efforts. Ce n’est pas intellectuel, c’est métaphysique. Une incapacité métaphysique à comprendre. Et réciproquement.
Je sais que jamais de ma vie je n’arriverai à comprendre Stendhal alors que Pascal, Kafka, Flaubert me semblent d’emblée si proches que je les comprends sans faire aucun effort. De l’intérieur. D’emblée. Intuitivement. Stendhal, je ne sens rien. Si je sens, je sais que je me trompe. On me le confirme. Un monde impénétrable pour moi. Opaque. Kafka, c’est chez moi.
Kafka écrit une lettre au père, Simenon à la mère. Ce n’est pas anecdotique. C’est métaphysique. Deux natures humaines sans presque de communication possible. Deux mondes parallèles qui ne se rejoignent qu’à l’infini. Simenon, je ne le comprends pas plus que Stendhal. Je peux expliquer n’importe quel passage de Stendhal à mes élèves. Mais je sais que je ne l’aurai jamais pénétré de l’intérieur, jamais compris. Kafka, je ne suis pas forcément capable de tout expliquer mais je sais que je comprends tout comme personne.
Je ne sais pas comment le dire autrement.
La femme est un os pour l’homme,
Et l’os de Dionysos, l’utilisez-vous?
Mais plus l’homme se connaît, Chaloux, plus la femme lui est incompréhensible. Je me connais très bien. Je suis celui ici qui se connaît le mieux. J’ai payé pour ça. Très cher. Cela n’y fait rien.
L’incompréhension est inscrite dans la nature de l’une et de l’autre.
Je connais tous les gens ici aussi bien que moi-même. Eh bien aucun n’arrive à ma hauteur, si ce n’est mon ami Mimi. Mais qu’il fasse comme moi et n’en tire aucune fierté. Nous sommes l’un et l’autre des êtres prédestinés à de grandes choses un point c’est tout. D’ailleurs Michel ne signifie-t-il pas en Hébreu « qui est comme Dieu ? », le point d’interrogation revêtant ici une extrême importance.
Ce n’est pas intellectuel, c’est métaphysique.
Je le sens.WGG
Assez d’âneries, vous « sentez » la métaphysique, vous?
C’est pas intellectuel la métaphysique, gros bêta?
Je crois que vous sentez la rose, plutôt!
La pensée, odeur de rose!
tweet d’ado (lycéenne filière S) qui écrit des smalls messages pas comme .
» ça me gave ces histoires de militants MLF qui racontent bizarre cette histoire de Venus et de Mars »
http://www.thisiscolossal.com/2014/09/alexander-gerst-cloud-shadows-iss/
Michel, vous vous relâchez ce soir!
Bismarck aussi il était loyal
Mais absolument mon grand DD ! Je crois à la théorie lacanienne du nom. Mon nom dit : tu es comme D.ieu, tu es un martyr, tu meurs mais c’est pour renaître à l’aube (=alba) nouvelle sur la terre.
Widergänger dit: 16 septembre 2014 à 23 h 58 min
Non Alba, on finit par comprendre. sauf si on perpétuellement refusé l’obstacle.
Vous me rappelez le mot si sage de Claudel à Henri Guillemin, dont je commence tout juste à vérifier la justesse:
« A vingt ans, on est plus amoureux qu’autre chose. A quarante ans, on est aussi amoureux qu’autre chose. A soixante, on est plus autre chose qu’amoureux ».
Non, nul relâchement. Mais au contraire une pensée intense. Jamais été aussi sérieux. j’avais aperçu un jour (il y a longtemps) un ouvrage sur une théorie des styles qui séparait ainsi l’homme et la femme, les écrivain homme et les écrivains femme. C’est non seulement plausible, mais j’en ai une expérience intime.
Et plus on se connaît, plus on est une énigme.
Clément Rosset l’a si bien pensé dans son livre (petit mais fécond, pocula sed apta, comme on dit du château de Bagatelles) : Loin de Moi.
Plus je me connais, plus je suis loin de moi.
Plus je me connais, plus je suis incapable de comprendre la femme, qui s’éloigne de Moi à une vitesse vertigineuse.
Et je renais à l’aube (=alba) Levy. Je renais Levy. D.ieu m’aide à renaître Levy. Je suis celui qui sert, le lévi.
Widergänger dit: 17 septembre 2014 à 0 h 06 min
Mon nom dit : tu es comme D.ieu, tu es un martyr, tu meurs mais c’est pour renaître à l’aube (=alba) nouvelle sur la terre.
espece de connard! alba veut dire ‘blanc’ en latin, comme dans ‘rosa alba’…vous le sauriez si vous passiez plus de temps dans votre jardin et moins de temps a vous branler sur ce site…trou de cul…
Le lévite.
une expérience intime.
Mais pas généralisable…
abdelkaka a lu un peu de latin, mais peu d’espagnol, encore moins de portugais…
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