Trois femmes remarquables
Au fond, elles sont bien plus que trois, ces femmes remarquables. Disons six puisqu’il s’agit autant des trois auteurs des trois livres sur lesquels j’aimerais jeter un peu de lumière de ces dernières lueurs d’été qui s’attardent, que de leurs trois héroïnes. Des personnes ordinaires qui vivent des situations ordinaires mais que la littérature métamorphose et transcende en personnages extraordinaires.
Celle d’Isabelle Desesquelles dans Les hommes meurent les femmes vieillissent (224 pages, 18 euros, Belfond – le titre est inspiré d’On ne badine pas avec l’amour, la réplique de Perdican, II, 5) s’appelle Alice. Qu’importe son identité dans la vraie vie puisqu’elle existe, à Toulouse, où elle tient son institut de beauté. Pour nous, elle restera cette Alice de fiction en son Alice’s Institute sur un air d’Arlo Guthrie pour son Alice’s Restaurant – du moins est-ce ainsi que je me la suis appropriée. Chez elle aussi, on peut obtenir tout ce qu’on veut mais dans l’ordre de l’humain. Vingt ans qu’elle caresse, tripote, malaxe, pétrit des chairs. Alice masse des corps à « L’Eden ». Elle a tout entendu, tout écouté, tout conservé. Incroyable ce que des femmes peuvent se livrer dans ces moments-là. De véritables confessions, intimes le plus souvent, démentant l’adage selon lequel on se confie plus volontiers à quelqu’un que l’on est assuré de ne jamais revoir – un chauffeur de taxi par exemple. Peut-être l’esthétique y encourage-t-elle puisque l’on va dans ses salons aussi pour oublier ce que la vie a d’inesthétique. Alice tient ses fiches sur ses clientes. Chacune est une histoire. Conservatrice de leurs aveux, Alice agit comme un révélateur dans la chambre noire. Elle se demande pourquoi elles acceptent ces vies avec des hommes lâches, pingres, petits. Elles se disent « vaccinées des hommes ». Comme si c’était une maladie. La violence est dans la vérité crue. C’est un roman plus profond qu’il n’y paraît – les femmes n’y sont-elles pas traitées en surface ? Alice pourrait mettre un mot de Victor Hugo en lettres de néon dans sa boutique : « La forme, c’est le fond qui remonte à la surface ». En 90 minutes, elle fait plus de bien à une femme que son mari en trente ans.
Ce roman choral sur la féminité et la transmission a su trouver la bonne distance. Il est beaucoup plus intense que le film Vénus Beauté (Institut) auquel on pensera illico. Le regard de l’auteur est à vif, provoquant, puissant et bien orchestré dans les différents registres de voix. Les hommes n’en sortent pas grandis, mais les femmes non plus, à commencer par toutes celles qui mettent la paupière dans l’engrenage de la chirurgie plastique, car c’est tout sauf complaisant. Certains monologues du vagin sont saisissants. Lili par exemple, qui aime la vie même si ce n’est pas toujours réciproque, doyenne des cougars à 83 ans, qui exige de son amant un cunnilingus matin et soir, se fait enlever les peaux mortes mais si ça n’enlève pas les mauvais souvenirs. Ou Clarisse, la cinquantaine, bouleversée à la seule écoute de Viens m’embrasser de Julio Iglesias, qui rêve de faire chambre à part tant elle ressent le fil de fer barbelé au milieu du lit conjugal, mais qui échangerait tous les amants contre un massage avec Alice. Et d’autres encore, que des femmes car les hommes sont rares et gays à L’Eden. A la fin du livre, on se surprend à changer de musique intérieure. Et à la voix d’Arlo Guthrie se substitue celle, nostalgique et attachante à souhait, de Barbara Streisand chantant la bande originale de Nos plus belles années parce que « that’s the Way we were… »
Il y a deux ans, Petite table, sois mise ! (Verdier) m’avait enthousiasmé. Incestueux et érotique en diable, le tout en famille, exquis dans la transgression et savoureux dans l’audace, ce petit livre révélait le feu sous la glace chez cet auteur. Cette fois, avec Dialogue d’été (150 pages, 15 euros, Mercure de France) de la même Anne Serre, nous assistons à une conversation (tout le livre est un dialogue) entre un écrivain, double de l’auteur, et son interlocuteur. Un sujet : les personnages. Sylvain Germain en avait fait autant jadis à la demande de J.B. Pontalis dans Les personnages, justement. D’où lui viennent-ils ? comment naissent-ils ? de quoi sont-ils fait ? Anne Serre nous entraîne dans l’atelier de l’écrivain, mais avec le sourire, dans la légèreté. Tout sauf une prise de tête. Elle parle de la distraction et de la concentration. De l’imprégnation plus que de l’inspiration. De la capacité à se construire un roman intérieur en imaginant d’autres vies que la sienne. De l’empathie sans laquelle il n’y a pas de romancier. Et elle touche à ce point sensible : puisqu’il y a souvent un lecteur avide et abondant chez un écrivain, que ne se contente-t-il de lire ? Pourquoi ne pas se contenter de s’allonger dans un roman ? Sauf que cela ne marche pas : « je veux savoir ce qu’il y a derrière la porte ». Ainsi passe-t-on d’un état à l’autre.
Avec le temps, en une poignée de livres, Anne Serre s’est construit sa famille de papier qu’elle appelle « ma troupe ». Ses personnages l’accompagnent. Elle se sent si bien avec eux que même dans lorsqu’elle revient de l’autre côté de la vie et qu’elle se trouve parmi des personnes, elle se comporte avec elles comme si elles étaient des personnages ; elle ne peut s’empêcher de les scruter, d’interroger leur intimité et de déchiffrer le la de leur présence. Un son semblable à nulle autre. C’est quelqu’un d’étrange, une romancière :
« Je n’ai jamais pu aimer vraiment au grand jour, et je ne m’en plains pas car je ne peux me concevoir aimant que dans la nuit et le mensonge ».
Elle aime sa solitude, sa mise à l’écart, son esseulement dans la fréquentation des lacs italiens, tout en demeurant mariée ; elle les préserve, convaincue que de toute façon, les femmes ne veulent plus vivre à plein temps avec les hommes. Impossible d’être ensemble tout le temps, c’est tuant :
« Elle a besoin de respirer, de déplier ses membres, de ne pas parler. Elle a besoin d’attendre aussi. Et s’il est là tout le temps, tous les soirs ou à peu près, elle n’a plus rien à attendre ».
Bizarre tout de même, se dit-elle que les hommes ne comprennent pas que ce que l’on attend d’eux, ce ne sont pas des cadeaux mais « une alliance dans la conversation » et qu’ « ils parlent avec nous comme on danse ». N’allez pas l’imaginer blasée ou revenue de tout, au contraire. Dans sa fraîcheur d’âme, elle confesse avoir fait tardivement une découverte qui l’a remuée à l’égal d’un chagrin d’amour : l’amour feint, l’affection jouée. Idéaliste ? Mais alors de la naïveté d’une belle personne qui vit dans un monde parallèle, jamais pressée de repasser de l’autre côté du miroir.
Anne Serre se dévoile comme une femme prête à tout sauf à se laisser aller à écouter une musique qui lui fendrait l’âme, qui lui donnerait envie de faire l’amour sauvagement dans l’instant, de renouer avec son feu intérieur inapaisé, d’obéir aux injonctions de ses émotions, de peur de ne pas en sortir. Cet être de fiction qu’elle poursuivait de livre en livre, elle l’a trouvé : c’est elle.
Enfin, la dernière de ses trois femmes remarquables, c’est Hélène Cixous et sa mère. Elle est restée à ses côtés lorsqu’elle était mal, puis malade, enfin agonisante. Elle a tout noté tout, et elle dit tout de leur amour, pour tenter de mieux comprendre leur relation. Durant des mois, elle a entendu sa mère, Eve Cixous, née Klein en 1910 en Allemagne, pays fui dès les premiers discours de l’autre, sage-femme de son état, lui lancer sa mélopée du matin au soir « aidemoiaidemoiaidemoi » ; pas une demande mais un gouffre, un cri sans fin ; ce qui lui fait l’effet de la brève (soixante-sept vers, six minutes) tempête de The Tempest de Shakespeare où tout n’est que cris, rafales, adieux : « All lost !… We split ! We split ! » ; mais lorsqu’elle lui demande ce qu’elle peut faire pour elle, sa mère répond simplement : « Rien ». Homère est morte… (223 pages, 26 euros, Galilée), récit bouleversant dénué de pathos, car l’auteur est trop décente et pudique pour verser dans ce travers, est la mosaïque incertaine de ces riens. Cette lecture laisse sans voix.
Le livre est signé sur la couverture du nom d’Hélène Cixous mais le texte l’est in fine par la mère et la fille. Quand on connaît l’auteur, son parcours d’intellectuelle féministe, ses textes théoriques sur la littérature, ses recherches sur James Joyce ou sur le mythe de Méduse, son compagnonnage avec le théâtre du Soleil, son rapport à l’Algérie et puis ces jours à forte personnalité qui ressemblent à des sous-chapitres de L’Odyssée, on en retrouve les échos assourdis au fil des pages ; mais même si l’on ignore tout de son passé, on est touché. Construit en quelque sorte par la mère qui l’a « écrit », il est déconstruit par la fille. On est avec elles chez le dermatologue, prenant conscience des mutations d’un visage désormais hérissé de kératites ; on envisage le spectre de l’extension des escarres comme autant de cyclopes menaçants ; on est avec la fille quand, dans la moelle de son âme, hantée par les sentiments filiaux d’un parricide, s’inscrit la pensée lancinante de donner la mort à la mère à la tête intacte mais au corps rongé, qu’il faut trainer lamentablement vers les cabinets avant l’inondation. Eve n’a plus qu’une peur : s’en aller dans son sommeil, en l’absence de sa fille, laquelle a désormais une vision du lit de Gregor Samsa chaque fois qu’elle entend l’expression « lit médicalisé » et se met à rêver du déterrement de son père.
La mère s’affaiblit. Entre deux « aidemoiaidemoiaidemoi », l’allemand de sa naissance lui revient ; elle retrouve « son gazouillement de grive impérative » pour lancer comme autrefois à sa petite fille « Halt’ dich grade ! ». A 99 ans, rejoignant « sans mot dire le monde des animaux sans défense », la mère veut devenir l’enfant de sa fille, laquelle accepte en se tenant bien droite de recevoir sa maternité de ses mains. A la fin, elle n’arrive plus à la quitter. Elle voudrait tant que les restes de maman restent avec elle. Mais comment prononcer encore « maman » sans timidité maintenant que le mot est devenu orphelin ?
(« Polly Magoo » photo D.R; « Isabelle Desesquelles photo Mantovant ; « Anne Serre » photo Olivier Roller ; « Hélène Cixous » photo Léa Crespi)
1 026 Réponses pour Trois femmes remarquables
« Avec 100 000 euros, quelle œuvre d’art acheter aujourd’hui ? »
Le meilleur conseil que l’on peut donner c’est de n’accepter aucun conseil, inutile donc d’en donner…
mais giovanni c bcp plus simple que cela ; c’est la part immense de l’intimité ds la connaissance de l’homme, sinon que nib (et cocaïne). Ne pas s’étonner ensuite de l’incohérence, elle est inhérente à cela.
100 000 € je divise par quatre : les trois font ce qu’ils veulent, je ne m’en mêle pas. Moi, sur ma part, j’offre un voyage à mes ancêtres, en Suisse aux sources du Rhône et du Rhin ; et avec le reste, j’achète une Porsche, vroum vroum. Jaune citron. Avec des fauteuils en cuir vert (amande ou olive je vais réfléchir) et fin et souple.
Plus belle la vie.
Et nous vivons ensemble mon œuvre d’art conçue par autrui et moi.
Pas compliqué.
« L’intérêt suscité vient donc également du fait que le sort de cette librairie symbolise tout le combat d’un patrimoine culturel et littéraire abandonné aux règles impitoyables du profit.
Plusieurs personnalités comme Denis Podalydès, de la Comédie-Française, ou encore la nouvelle ministre de la Culture, Fleur Pellerin, sont d’ailleurs venus assurer, en voisins, toute l’équipe de leur soutien. » (NouvelObs)
A mourir de rire :
– le combat culturel/littéraire contre les règles du profit …
– Pogalipette et la Fleur venus assurer l’équipe de leur soutien …
Mais dans quel monde vivons nous ? Si Delamain ne peut pas payer le proprio, si le proprio ne cède pas, la Librairie, il faut qu’elle dégage : on est dans un système libéral, non ? Ou tu paies… ou tu crèves !
C’est régulier.
« Avec 100 000 euros, quelle œuvre d’art acheter aujourd’hui ? »
Celle-ci, peut-être ?
http://www.giorgiopersano.org/wp-content/uploads/2011/07/Maestri_Fascino_1981-300×300.jpg
…
…encore, un fou du roi sur l’échiquier,…choisir les lanternes ou les vessies aux anchois,…
…plus, toujours plus,!…la crème aux dents,!…
…Ah,!…Ah,!…c’est de bon coeur,…le triptique,!…à Bosch, c’est Jérome,!…etc,!…
…
Clopine, si on parvenait à démontrer que les mythes sont nécessaires pour exposer d’une manière exacte les conclusions d’une philosophie sociale qui ne veut pas se tromper elle-même et ne veut pas prendre pour de la science ce qui n’en est pas,on serait amené à démontrer aussi que les théories contestées sont nécessitées par l’action révolutionnaire. Et il serait alors probable qu’on pourrait démontrer du même coup que les constructions savantes juridiques et pratiques prônées à l’heure actuelle par des sociologues plus ou moins socialisants sont que tromperies et fausse science. Il est évident que les inventeurs de systèmes de droit supérieur combattent avec acharnement toute tentative faite dans le but d’éclaircir les problèmes qu’ils ont un si grand intérêt à obscurcir. Je sais pas si je me fais bien comprendre.
Je suis une pomme dans un sous – verre, et je parle / écoute
Tout ce qui vient du dedans du dehors,
Les visages passent devant mon passe – partout; …
Une serrurerie d’Art,
Le sous -sol, la fosse de l’orchestre ; …
Aussi, l’écho des notes de musiques de chambres qui s’envolent dans le velours cramoisi.
« ujdua », comme Chantal ?
C’est lumineux, Deneb, bien entendu, mais… Vous parlez de quoi, au juste ?
(sourire !)
Bon, j’aurais pu aussi vous répondre ainsi :
« Certes, mais l’histoire contemporaine nous démontre que les activités révolutionnaires sont précisément déconnectées d’un discours qui sociologise leur portée philosophique intrinsèque, reportant ainsi sine die la praxis universaliste du mouvement du monde à la seule perspective de combats, eux-mêmes relevant aussi bien de l’individualité de sociétés données que d’un collectif auto-défini ».
(mais vous m’auriez encore accusée de faire trop long, alors je m’abstiens.)
Bravo JC. Et à la place on mettra un quatrième Starbucks. Et un Apple Store à la place du Nemours, avec Wifi gratuite.
Si Paris veut devenir un Disneyworld géant, faut prendre les mesures qui vont bien.
…
…@,…rose à 11 H 22 mn,!…
…
…il faut comprendre,…que chacun de rester libre,…avec ou sans Porsch,!…c’est extra,!…
…
…l’essentiel pour l’histoire, c’est de ne pas se faire diverger par le luxe ou autres, et de guardez le cap,!…pour son esprit libre, et la conscience qu’il prend d’être lui-même avec tout les endoctrinés sur le dos,!…
…à mannager dans l’intérêt de chacun,!…etc,!…j’ai ma bouffe à préparer, merci,!…tantôt,!…etc,!…Go,!…
…
Un quatrième, vous plaisantez, Dened, il y en a désormais à tous les coins de rue, et le café n’y est pas donné !
n’accepter aucun conseil
Toto aime mieux se tromper tout seul, c’est bon pour sa réputation…
« L’intérêt suscité vient donc également du fait que le sort de cette librairie symbolise tout le combat d’un patrimoine culturel et littéraire abandonné aux règles impitoyables du profit. » (NouvelObs)
Regardons ailleurs un instant :
http://qz.com/263006/independent-bookstores-are-alive-and-well-in-america/
Comme la fleur du pèlerin; la tulipe de hollande, le petit tas de macrons sur table, le défilé des hommes baraques, le manuel aux scolaires avec lunettes sur pif au mètre.
Chaud devant de la vierge fluorescente en plâtre sur votre cheminée quand les centrales à l’arrêt par décret d’état nous mettrons tous dans le noir; …
En vérité je vous le dis, Moah président, des nécessiteux du monde entier sauf vous ; …
Toto libraire?
Qu’il garde ses conseils pour lui!
Sus aux capitalistes de l’immobilier!
L’époque où Delamain la donnait à Boutelleau est bien finie. poussez-vous, history on ze move, la population veut de l’aïlfone sexe.
renato, la librarie Delamain est rien moins qu’indépendante. Elle appartient au groupe Gallimard…
Clopine, vous revenez à la charge contre moi, mais :
– je ne suis pas Bergeret ;
– vous ignorez manifestement ce qu’est un twitt, un compte Twitter, comment ça marche.
Cela ne vous empêche pas de troller allègrement et de donner des leçons de morale à deux balles…
C’est chez Delamain que jadis Phil achetait les exemplaires numérotés sur papier vélin de Morand et Chardonne
Quand le monde vétuste, dépassé, incréatif, de la distribution littéraire comprendra t il que les librairies … on s’en fout, nous les jeunes …. c’est fini, ce vieux monde !
Un catalogue numérique, des entrepôts, et c’est parti : roulez fringantes Amazones !!!
Sur son blog, le charmant Paul Edel tente d’expliquer à Clopine tout ce qu’elle ignore en littérature. Ce serait un travail sans fin, et je me perds en conjectures sur les motivations de Paul Edel. J’imagine un dîner entre ces deux-là, qu’une équipe de télévision pourrait filmer, et qui donnerait un beau document : « Le dîner de conne ».
Indépendante et subventionnée, comme la comédie française, juste en face. C’est le contribuable qui paiera le loyer, mais qui finance les liftings d’Angelo Rinaldi ?
http://www.lefigaro.fr/livres/2014/09/17/03005-20140917ARTFIG00310-librairie-delamain-des-nouvelles-rassurantes.php
Ducornaud, vous ne ne connaissez pas les parcs Disney, ce sont des exemples d’entreprises fort soignées et parfaitement organisées. Il y a, D.bile, un Apple Store dans le mall du Louvre. Vous avez comme toujours, vous le cul-terreux, une vision assez conne du tissu urbain. En bas de chez vous, vous avez une clientèle populaire venue des banlieues chères ä Clopine, le quartier du Palais Royal, n’est pas Beaugrenelle.
le contribuable
—
Baroz, tu savais qu’en France 9 millions de foyers déclarent 11 000 euros de revenus par an?
C’est ça, JC.
Si le financier qatari représente l’homo sapiens je vais rejoindre les cohortes d’homo insipiens.
Ton raisonnement oublie qu’il s’agit de Français, un ancien grand peuple.
La rationalité y est soigneusement nuancé par le bon sens, le rêve et la galanterie.
On a dressé des barricades pour bien moins que la librairie Delamain, et le monde entier nous a entouré de son affection et de son respect. On vit sur les restes de cette considération passée.
Voyons-voir, ce qui se passe chez moi.
Je suis pour le respect de la loi, mais trouve normal qu’on foute sur la gueule à un huissier de justice.
Je suis contre la peine de mort, mais il est clair qu’un scooter des mers peut être abattu sommairement, c’est-à-dire sans sommations.
Je ne suis quand même pas le seul?
la tête à toto
expication:j’aime bien parler lmittérature.toute ma vie j’ai fait ça devant des eèves, dans une salle de rédaaction..chez les potes écrivains ou non.. j’avais des discussions avec mes deux meilleurs amis.l’un est mort d’un cancer foudroyant.l’autre a été pris d’une vanité foudroyante. conlusion, je su seul dans mon coiN avec des souvenirs….mon blog permet de parler littérature mais je préférais le bistrot, le verre de rosé, la grappa ou le calva ,les rigolades et les déconnage qui se terlinaient tard dans la nuit par des éckats de rire qui mpntaient jusqu’aux etoiles.. ici, sur les blog stout devient vite sérieux,puis haineux.dommage.
Et il y a de hauts revenus au PS qui ne déclarent rien, Bloom !
le commis de bouguereau, c’et rigolo, dors sur ses pruneaux, c’est rigolo… mais JC est toujours là et ça c’est pas rigolo, pas du tout oh ho oh
Pas perdants sur toute la ligne les indépendantistes calédoniens: ils vont obtenir une quasi-indépendance de fait (DevMax -Devolution Maximum) tout en restant dans le RU.
la tête à toto, j’ai nettoyé mon texte
explication: j’aime bien parler littérature. toute ma vie j’ai fait ça devant des élèves, dans une salle de rédaction..chez les potes écrivains ou non.. J’avais des discussions avec mes deux meilleurs amis. l’un est mort d’un cancer foudroyant. L’autre a été pris d’une vanité foudroyante. conclusion, je suis dans mon coin avec des souvenirs….mon blog permet de parler littérature mais je préférais le bistrot, le verre de rosé, les amis, la grappa ou le calva , les rigolades et les déconnage qui se terminaient tard dans la nuit par des éclats de rire qui montaient jusqu’aux étoiles.. ici, sur les blog stout devient vite sérieux.
« Je ne suis quand même pas le seul ? »
Mais non, camarade ueda, t’es pas tout seul…!
(Et franchement, comment tu vas faire pour maintenir artificiellement le monde qui s’écroule, là comme ailleurs ?…)
Delamain, on s’en tape à Porquerolles et partout ailleurs en France ! Ce qu’on veut, nous les jeunes, c’est du travail, de la sécurité, de la thune, et des messes, avec curés pédophiles, dans les rues mal famées occupées par les Infidèles … ahahahaha !
quelqu’un d’ici se rend – t – il au BB vue géant présidé par passou demain am ? je ne connais pas l’atrium de chaville, ressemble à quoi ?
De la thune sans le travail, c’est encore mieux, JC !
« ici, sur les blogs tout devient vite sérieux. »
ça déconne pas mal aussi, mais c’est autre chose, Paul Edel !
En tout cas, on peut dire que Clopine vous inspire, Paul !
Je voulais dire par là, Cher Jacques, qu’il y a trois Starbucks à très peu de distance l’un de l’autre dans le quartier du Louvre : deux dans le Louvre lui-même, un troisième rue de l’Échelle.
Clopine, c’est la muse du département ?
de la thune sans travailler .. c’est pour les retraités et les rentiers ..
les jeunes ils ne peuvent que se soumettre aux nouvelles règles érigées par les +forts
Et sur l’avenue de l’Opéra, puis pleins sur les Grands Boulevards, Dened !
JC, je ne peux être d’accord à 100 % avec vos propos. Un epsilon sépare nos points de vues respectif. Ce n’est pas grand chose mais c’est quand même quelque chose.
Et la revente de shit ou de « tombées de camions », pauvre diable, rentable et pas fatigant !
Sans parler de l’arraché de sac à rodéo !
Bien sûr, Jacques, bien sûr. Et je le deplore comme vous. Mais aurez-vous remarqué qu’on s’éloigne sensiblement de la Comédie Française ?
si vos amis sont des foudroyés, achetez – vous un paratonnerre paul edel, cela rassurera peut -être ceux qui n’osent pas vous approcher.
Je me suis trompé sur Paul Edel.
Je le trouve bien, maintenant.
Mais on se rapproche de l’Opéra, Dened, où est le problème ?
pauledel, gardez le moral. vu un de vos livres (çui qu’a eu un prix) chez un libraire de Budapest, qui se défendait bien en milieu magyar. gardez la grappa, passez pas au redboule. rien vu de la clopine.
bon. dites-nous la première lettre du nom de votre ami qu’a viré vaniteux.
chez starbuque (quatre iouros la tranche de cake chimique) impossible de boire dans le mug sans verser sur les fauteuils défoncés.
jissé refuse de me prêter son scooter pour le weekend, je fais comment pour arracher des sacs à la volée ?
L’atrium de Chaville est acceptable, sans plus.
Ce n’est que Chaville, une petite commune bourgeoise du 78.
Pourtant hamlet et puck, qui s’y déversent, semblent bien apprécier le blog de Paul Edel, Dened ?
Je n’ai jamais goûté le cake Starbucks, j’ai testé une fois un muffin au chocolat et ça m’a suffi, je n’ai pas recommencé, je n’ai même jamais remis les pieds chez eux. Très très loin des canons de la bonne pâtisserie.
Quel aventurier, Phil, la seule fois où je suis entré dans un Starbuck, celui justement de l’avenue de l’Opéra, c’était pour aller pisser, sans consommer !
Je m’étonne d’ailleurs que Chaville dispose d’un tel équipement.
J’ai des amis à Chaville, ils habitent un petit pavillon coquet à 5 mètres du RER B. Quand le trin passe, tout vibre là-dedans. Mais ils n’ont jamais eu de fissure, c’est l’essentiel finalement.
On s’éloigne des trois femmes remarquables !
Vont-elles boire leur café chez Starbuck ou seulement acheter leurs livres chez Delamain ?
dear baroz, les starbuques offrent de la bonne wifi, utile dans certains pays, et des cakes sursucrés. de la musique dans les chiottes.
ça tient lieu de vibromasseur, Dened !
Ça c’est une chose que je ne fais jamais, Jacques, parce que quand je suis client payant quelque part (ce qui arrive) je déteste que des gens venus d’on ne sait où passent devant moi d’un air entendu comme si de rien n’était et se précipitent pour aller se soulager en bas alors que c’est moi qui contribue aux frais de serpillière.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la boutique de tabac La Civette, juste à côté de Delamain. Je regretterais plus sa disparition que celle de la librairie, où l’on trouve pourtant l’essentiel de mes livres !
Le plus simple, Phil, c’est encore de rester chez soi.
Ah oui, Jacques, on y trouve des cigares exceptionnels. Mais j’ai arrêté le cigare.
j’espère qu’on aura au moins un petit compte rendu # le tag # de son concours de biographes en courtes culottes because ici il n’y a rien pour moi, que des trucs qui ferment et on cause lifting zut !
L’odeur du cigare m’est d’ailleurs devenue peu supportable alors que je tolère très bien celle des cigarettes.
Deneb dit: 19 septembre 2014 à 12 h 53 min
Bien sûr, Jacques, bien sûr. Mais aurez-vous remarqué qu’on s’éloigne sensiblement de la Comédie Française ?
C’est une simple affaire de majuscules.
La comédie française, on ne s’en éloigne jamais.
On pratique le méta-rire, on rit sur le rire, mais entre nous, hein.
Qu’on vienne nous chercher noise et les bouffons se transformeront en lions (enfin, c’est comme ça que je vois les choses).
c’est sûr, Deneb. Et regarder couler Delamain en silence, en attendant que des émirs en surpoids y fichent des rayonnages de parfum pour leur compagnie. tout ça quand ary potter sera joué à la comédie française.
Allez, maintenant il est temps d’aller manger.
On reprend à 14h 30.
Et vous avez déjà pissé ou fait l’amour dans un confessionnal, Dened ?
vade retro…
Si je refuse systématiquement de prêter mon beau scooter bleu Marine à de jeunes entrepreneurs de banlieue qui veulent se faire des vieilles et leur sac sans se bouger le cul et la mentule, je n’ai, par contre, jamais refusé de le louer !
C’est pas comme ça que vous allez vendre vos guides aux journées d’amitié de la paroisse, Jacques. Pensez-y.
Le meilleur de la Comédie Française, c’est tout de même notre Alexandre le Grand allant faire la cantinière des Américains en Irak/ Syrie … Quel pitre !
Meilleur que Sarko, ce qui n’était pas gagné.
« Le plus simple, Phil, c’est encore de rester chez soi. »
Oui, mais moi, Dened, qu’il fasse beau, qu’il fasse laid, c’est mon habitude d’aller sur les cinq heures du soir me promener au Palais-Royal…
Starbucks a un retard dans la globalisation.
MacDo s’est déjà mis un chapeau chinois.
Pour prospérer, le Starbucks doit se travestir en trocson, en ménageant des espaces d’échanges entre alcoolos, glandeurs et rêveurs.
Ces épaves qui ont fait la France (respect).
« C’est pas comme ça que vous allez vendre vos guides aux journées d’amitié de la paroisse »
J’ai changé de métier, Dened, je vous mets une petite barrette ?
hum jaqcues regardez un peu l’effet de vos barrettes sur le chien de clopine il a l’air complètement shooté si on met du suit dans la culture biodynamique faut voir avec votre pote clopin ses haies auront des ailes ..
Jacques Barozzi dit: 19 septembre 2014 à 13 h 28 min
c’est mon habitude d’aller sur les cinq heures du soir me promener au Palais-Royal…
Si quelqu’un y travaille l’archet, c’est Chaloux (c’est lui qui l’a dit).
chaloux c’est celui qui se prend pour rachmaninov ? je croyais qu’il ne faisait que dans le quart queue .. au poid je revendrait bien de la corde de piano, le métal c’est une valeur refuge.
ton orthographe m’affole pauvre diable
https://img1.etsystatic.com/021/1/5228980/il_570xN.517351809_l6sw.jpg
un cadeau pour baroz..son genre à ce paul déon me plait bien..l’prends pas mal pov diabe
félisque! c’est surement un effet retard de l’attraction sessuelle de polo..ha c’est un malin
ça c’est pour ton blog clopine..ha c’est beau
tchousss
Dear baroz, à cinq heures du soir au palais du Cardinal, toutes les chaises sont prises. ceci dit, accord tacite autour du jet d’eau ou hasard objectif, beaucoup de vrais lecteurs et très peu d’ipodé en déjantage autour du jet d’eau. Philippe d’Orléans n’a pas incestué en vain.
je le trouve vraiment débile ce bouguereau oh oh oh
« beaucoup de vrais lecteurs et très peu d’ipodé en déjantage autour du jet d’eau. »
Le vrai lecteur c’est un gars qui traine partout avec un livre en laisse ?
dear renato, le vrai lecteur recherche les atmosphères désipodés.
« les atmosphères désipodés » ?!
ouiche renato. au palais royal, impossible de percevor les échos fossiles des galeries en gardant les oreillettes vissées.
autant rester au starbuque.
à Rigolo, oui vous avez bien raison on on
U. non ! contrairement à ce que vous croyez l’expérience du chat de Schrödinger se posant la question de savoir s’il est ou s’il n’est pas ne résume pas à une expérience d’un chat qu’expire….
En guise de deffence de la langue bouguerienne :
« Ne craignez plus ces oies criardes, ce fier Manlie, et ce traître Camille, qui, sous ombre de bonne foi, vous surprenne tous nus comptant la rançon du Capitole. Donnez en cette Grèce menteresse, et y semez encore un coup la fameuse nation des Gallogrecs. Pillez-moi, sans conscience, les sacrés trésors de ce temple Delphique, ainsi que vous avez fait autrefois : et ne craignez plus ce muet Apollon, ses faux oracles, ni ses flèches rebouchées. Vous souvienne de votre ancienne Marseille, seconde Athènes, et de votre Hercule gallique, tirant les peuples après lui par leurs oreilles, avec une chaîne attachée à sa langue. »
hamlet dit: 19 septembre 2014 à 15 h 51 min
U. non ! contrairement à ce que vous croyez l’expérience du chat de Schrödinger se posant la question de savoir s’il est ou s’il n’est pas ne résume pas à une expérience d’un chat qu’expire….
Hein? Quoi?
Pourquoi moi?
Supposons maintenant que le chat vous observe nu, avec naturellement une curiosité (réelle ou supposée) pour votre sexe.
Que dit le philosophe?
C’est à la minute 11:30
à brève, si j’ai bien compris c’est le type qui veut enc… tout le monde, non ?, et il peut le faire ici ?
Touite
Crénom, vive l’Institut français de Lithanie.
Ces vidéos formidables ont ensorcelé mon chasselas.
Ça par exemple, les deux éditions différentes de Education européenne, vous le saviez?
http://www.institutfrancais-lituanie.info/#Forest-of-anger
Tschüss!
ueda et les autres,
Je commence à en avoir un peu assez que le chat de Schrödinger revienne ici à intervalles réguliers alors que personne n’a véritablement compris la portée du problème.
Moi je vais vous dire ce qu’il en est, et j’avoue ne pas l’avoir trouvé seul mais avoir été inspiré par des entités venues d’ailleurs qui m’ont fait connaitre la vérité.
Il existe une infinité de mondes et une infinité de possibilités dans chacun des mondes. Cela fait au final une infinité d’infinités ce qui n’est pas rien. Tout est en tout et à l’inverse, rien n’est dans rien, de plus le corollaire est exact.
Je ne devrais pas vous dire ça parce que je sais que ça peut vous donner le vertige, mais c’est pourtant la pure vérité, prise au milieu d’une infinité de vérités.
Je vous conseille de prendre des notes avant que ce message ne disparaisse parce que je le sais gênant pour beaucoup.
Deneb,
L’article de Wiki sur cette maudite expérience de pensée des années 30, et ce maudit félin mort-vivant, est bien fait et complet. Aussi bon que ce billet de Passou assorti des commentaires qui l’enrichissent considérablement.
j’y ai passé la nuit, ce type – là était un génie, un ovni de l’intérieur, un passionnant, ma préférée à moi c’est la reconstruction de son monde à partir de ses 14 ans, et ce moment si touchant où il mange la galoche de la petite voisine qu’il aime en secret, c’est un coeur d’or qu’on aimerai remercier d’avoir existé, j’aimais quelqu’un qui l’a connu enfant, paix à sa terre éternelle.
les jeunes
il y en a de moins en moins dans certains pays..
Les anciens empires n’en finissent pas d’imploser : que va t-il rester de la Grande Bretagne ?
la perfide albion n’a pas de galabru de viager pour prophète on dirait.. (enfin pour ce moment..)
…
…c’est pas pour dire,!…
…
…mais, l’€urope,…c’est tout de même l’Oncle Picsou , au fond de la gorge,!…
…
…pas besoins de dessins pour se remplir les poches aux fonds des rateliers,!…
…
…toute les administrations prennent les gens pour des cons formatés,!…
…payements pour abrutis,!…Oui,!…mais quel » félicité « , par après, ni voir que dalles,!…à quatre pattes,!…vider de tout,!…
…
…en Ecosse, en Suisse, c’est pas mieux,!…
…un petit hôtel restaurant, à l’ancienne, des volontaires aux servitudes,…
…un schmilblick à pousser,!…un dindon,!…
…Stop,…c’est trop court,!…Ah,!Ah,!…etc,!…envoyez,!…
…
Clopine et son rêve de légitimité par personne interposée
le pire c’est de le prendre pour une réalité !!!
bientôt Sarko le revenant sur ce blog, bonne nouvelle pour vous hein, bouguereau ?
Surréaliste référendum en Ecosse ! Surréaliste résultat, aussi : il est pour moi incompréhensible que les bienheureux Ecossais n’aient pas sauté sur l’occasion pour s’échapper, se sauver, faire leur salut hors de l’emprise politico-économique qui les étouffe !
« S’il a évité l’humiliation suprême et une possible démission avec le non à l’indépendance écossaise, David Cameron ne sort pas indemne pour autant d’une campagne où il brillé par sa maladresse et fait beaucoup trop de promesses selon son propre camp. » AFP
Rigolo dit: 19 septembre 2014 à 18 h 19 min
bientôt Sarko le revenant
Y tourne la tête tout le temps ! Les rois de France tournaient pas la tête tout le temps… Tournicoton !
et avec hibernatus le progrès après ce magnifique résultat du redressement ?
Retour triomphal de Sarkozy : avec toutes les casseroles qu’il traîne derrière lui, si les Français l’élisent à nouveau président, il exercera son mandat non plus à l’Elysée, mais depuis la prison de la Santé !
ueda dit: 19 septembre 2014 à 16 h 28 min
Que dit le philosophe?
Ca dépend si c’est le chat télépathe de Christin et Bilal hon le sait tout de suite… D’ailleurs les Moscovites ont fait des études là-dessus mais les chats tournent excessivement toujours dans l’espace… Et ils s’éloignent et ils s’éloignent… En un sens c’est bon pour la télépathie…
autant dire qu’il a pas fini de faire des pointes
…
…Chapeau melon & bottes de cuirs,!…Made of Chine,!…Ah,!Ah,!…etc,!…Benny Hill,!…Hool-landes,…Sarko-GSK,!…un Sofytel pour deux,…
…
…au secours les requins,!…quels élites aux biberons,…en exemples,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
U.!!!!
vous êtes réclamé chez la grande Sophie pour résoudre une question de métaphysique….
Deneb dit: 19 septembre 2014 à 17 h 10 min
Il existe une infinité de mondes
Oui henfin j’ai pas envie de me percuter un type en harmure et salade à deux cent quatre-vingts sur ma Yam la grosse vache…
U. sachez que je ne mets jamais nu devant mon chat.
c’est une question de pudeur, une chose à laquelle vous semblez totalement étranger….
Giovanni Sant’Angelo dit: 19 septembre 2014 à 18 h 37 min
bottes de cuirs,!…
Le cuir a su vous séduire, sachez l’entretenir !
« Deneb dit: 19 septembre 2014 à 17 h 10 min
ueda et les autres,
Je commence à en avoir un peu assez que le chat de Schrödinger revienne ici à intervalles réguliers alors que personne n’a véritablement compris la portée du problème. »
mon cher D.
vous voulez que je vous dise le fond de ma pensée ?
vous avez des frères et soeurs ?
j’avais un frère, un jumeau du même âge que moi.
cet idiot a voulu servir de cobaye à l’expérience des jumeaux de Langevin.
vous connaissez ? on prend des jumeaux et on en fait voyager dans un vaisseau pendant que l’autre continue de prendre le tram.
au bout de vingt ans il est revenu il s’est retrouvé dans la même classe d’école que mon gamin !
c’est le genre d’expérience qui déstabilise une existence.
alors vos considérations sur la physique vous pouvez vous les cloquer bien profond là où je pense !
c’est que ça insiste lourdement genre chat à rollator.. ‘tain les vieux cons..
…
…@,…Sergio,…à 18 h 40 mn,!…
…
…entretenir le fantasme des Tara King,…entretenir leur cuir,…
…
…nos peaux de vaches familly -scooter,!…,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
comme des taxidermistes qui leur mettraient des roulettes et même pas rétractibles et après faudrait s’étonner des dérapages..
ah ben c’est pas avec ton vent que tu ferais vaciller une couronne, c’est sûr..
enfin, chacun son bot (hein) sur lequel s’asseoir.. à pluche les lèche de la ligne rouge..
Hollande, des symptômes de dépression :
« C’est un François Hollande résigné, presque abattu, parfois même en quasi situation d’introspection, qui s’est présenté pour la quatrième fois de son quinquennat devant les journalistes. Au point de se demander s’il croyait lui-même encore à sa politique. A mi-mandat, il a donné l’impression de trouver le temps long. » JDD
D. vous savez, permettez-moi de vous le dire le rapport au monde des scientifiques est à mon sens assez étranges. Les savants ont un pouvoir, voire une autorité, aucun doute là dessus. Les gens sont amenés à leur faire confiance. Hélas cette confiance n’est pas toujours justifiée. C’est là notre histoire, la grande histoire des hommes, nous n’y pouvons rien. Les humains portent leurs peurs en eux. Ces peurs sont souvent légitimes. C’est comme ces gens qui face au vide ont le vertige. Les ingénieurs construisent des ponts solides. Ensuite ils disent à ces êtres paralysés par la peur : venez, vous pouvez avancer, le pont est suffisamment solide ! Alors ils avancent, font quelques pas, puis paralysés par leur peur ils restent coincés sur le pont. Cette peur les empêche d’avancer. Alors les savants leur crient de loin qu’ils sont victimes de leur imagination, cette frayeur qu’ils éprouvent n’est que le fruit d’une illusion produite par leur esprit faible et vulnérable. Les savants sont des esprits éclairés, ils connaissent les mécanismes de ces hallucinations, la façon dont nos perceptions peuvent corrompre nos jugements. Mais comment créer les conditions d’une confiance ? Les savants leur crient à nouveau : avancez donc ! N’ayez pas peur ! Voulez-vous la preuve objective que vous ne risquez rien ? Que notre pont sera assez solide pour porter votre poids ? Nous pouvons vous la donner ! Ils leur envoient alors des messagers leur amener les plans prouvant la solidité de leur pont ! Sur ces tableaux sont écrites des équation tirées des lois irréfutables de la physique afin de leur démontrer la résistance de la construction. C’est là le meilleur moyen d’établir cette confiance. Alors ces pauvres êtres, paralysés par la peur se mettent à lire les plans. Ils ont entendus la certitude des savants. Leurs démonstrations sont imparables. Alors ces êtres veulent prouver qu’ils ne sont pas des enfants. Que leur esprit est digne de comprendre les tableaux des savants. Une confiance naît en eux. Cette confiance leur permet de prendre le dessus sur leurs peurs, alors ils avancent sur le pont. Une fois arrivés au milieu du pont qu’arrive-t-il ? Hein D. ? Que leur est-il arrivé ?
et bien il est arrivé que le pont a cédé et ces pauvres gens sont tous tombés dans ce vide, dans la pénombre de ce précipice qui les effrayait tant… Alors on a accusé les savants d’avoir menti, d’avoir caché la vérité à ces pauvres gens. Mais une fois leurs cris oubliés qu’ont donc fait les savants ? Nous, savants, avons à nouveau construit un nouveau pont. A nouveau des êtres effrayés nous ont fait confiance, à nouveau le pont a cédé sous leur poids. Et cette histoire s’est répétée encore, encore et encore… depuis l’aube des temps elle s’est répétée des millions fois. Voilà l’histoire de la vérité et du savoir de notre occident telle qu’elle s’est écrite sous nos mains. Mais hélas c’est là notre malédiction. Nous devons l’accepter. Nous ne pouvons rien y faire, nous n’avons pas d’autre option que faire reposer nos convictions sur la confiance. Non mon ami, la vérité ne dévoile rien ! La vérité est uniquement la chose permettant d’établir une confiance entre les hommes, de son côté cette confiance n’est rien d’autre que l’expression cette vérité.
vous la comprenez cette histoire D.?
vous faites quoi dans la vie ?
vous êtes expert comptable ?
allez, montez Carlos !
Comment avoir l’air
de distinguer trois femmes
sans sous-entendre que les autres
ne le méritent guère ?
Est-ce que « femme »
est une particularité telle
qu’en distinguer trois
relève de la performance ?
Poilàgrattement.
Comment ? mémés ririte fifie et louloue sont sur un ban ? avec un frein à main alors !
Beaucoup de monde en fin d’après-midi dans les jardins du Palais Cardinal mais aussi aux terrasses des cafés parisiens, Phil, dans une atmosphère de canicule retrouvée alourdie d’un voile épais de pollution…
la tête à toto dit: 19 septembre 2014 à 19 h 05 min
Hollande, des symptômes de dépression :
« C’est un François Hollande résigné, presque abattu, parfois même en quasi situation d’introspection, qui s’est présenté pour la quatrième fois de son quinquennat devant les journalistes. Au point de se demander s’il croyait lui-même encore à sa politique. A mi-mandat, il a donné l’impression de trouver le temps long. » JDD
–
ouais mais c’est pas facile de prendre des responsabilités.
« ouais mais c’est pas facile de prendre des responsabilités. »
Et moins encore de les assumer.
François Hollande … élu Président en 2012, par défaut !!!
Ouarf ….
Nicolas Sarkozy… le retour en 2017, par défaut !!!
Ouarf …
UN MALHEUR N’ARRIVE JAMAIS SEUL.
VIVE LA FRANCE ….!
Je vous avouerais que je n’ai pas eu le courage de vous lire, hamlet. On est vendredi soir, je rentre littéralement harassé de ma journée, ma jeune collègue est devenue chef et elle m’en fait voir, elle m’en fait voir, je ne vous dis pas. J’ai lu la première ligne, la dernière, j’ai vaguement imaginé ce que pourrait être le milieu, je me suis servie une vodka glacée puis j’ai fermé les yeux et enfin j’ai écris ça.
M’en voulez pas.
Ces vidéos formidables ont ensorcelé mon chasselas.
Bon, U., que les choses soient dites.
Si !
1) Vous avez décidé de faire l’endormi ?
2) Vous glissez en douceur vers une retraite bien méritée ?
3) Vous en avez assez de … ?
C’est bien votre droit mais est-ce pour autant satisfaisant, pour vous-même v e u x-dire ?
( Tiens, au passage, j’ai vu que notre brayonnante qui ne distingue pas le « pour » du « contre » ( voir son « procès pour un salaud » qui restera dans les annales …) se sentait autorisée à vouloir faire la leçon à M.Court …
Cela serait du plus grand comique si l’ on n’avait pas l’impression que les plus crétins puissent être récompensés de leur stomacale pugnacité .. )
Bref .
Bon, ces 3 femmes « remarquables » ..
Un peu tristounettes, Pierre Assouline, non ?
Jacques Barozzi dit: 19 septembre 2014 à 19 h 22 min
_
peut-être, mais c’est pas facile de redresser l’économie.
pas facile de prendre des responsabilités
En démocratie le souverain c’est le peuple, mais bon, c’est devenu un mensonge démago parmi tant d’autres qu’on ne sait plus à qui la faute…
Les savants sont des esprits éclairés, ils connaissent les mécanismes de ces hallucinations, la façon dont nos perceptions peuvent corrompre nos jugements.
Vous oubliez que bon nombre de gens de lettres ont expérimenté les mécanismes de l’hallucination ..
Serait-ce que vous les comptiez parmi ces savants qui dévoilent « LA vérité » ?
Quelle soupe que la vôtre, Hamlet !
Qu’on leur donne des boutons -euh- des bouffons -non- des bouchons !
ma jeune collègue est devenue chef et elle m’en fait voir, elle m’en fait voir, je ne vous dis pas.
Saute-la, dédé, et fais pas chier popol!
Elle s’appelle Nicole en plus. A-t-on idée de s’appeler Nicole en 2014 ?!
Je lui préfère de très loin Sophie même si elle est étourdie.
De toutes façon j’ai toujours accroché avec les Sophie. Depuis toujours. C’est mystérieux mais c’est comme ça.
D. dit: 19 septembre 2014 à 19 h 25 min
Jacques Barozzi dit: 19 septembre 2014 à 19 h 22 min
_
peut-être, mais c’est pas facile de redresser l’économie.
On peut construire des autoroutes… De grands chantiers… Une agriculture éclairée… Hon logerait tout le monde dans des infrastructures adaptées… Le soir on pourrait commenter la journée…
tweet d’ado aux anges
« chic, les sans dents de la hollandie vont avoir les crocs »
-La dernière fois que je vous ai vu, vous avez évoqué “Anna Karenine”. Vous m’en aviez parlé avec ferveur, comme si vous vous étiez identifié au drame qui déchire les personnages.
-Quand je lis un livre, c’est pour comprendre et ressentir les émotions que les héros ont ressenties. Non pour m’identifier à eux.
http://www.parismatch.com/Culture/Livres/L-interview-de-Nicolas-Sarkozy-par-Jean-Marie-Rouart-575674
« Elle s’appelle Nicole en plus. A-t-on idée de s’appeler Nicole en 2014 ?! »
Là, vous me décevez un peu, D. « Nicole » est un joli prénom, très fitzgéraldien…
Jacques Barrozzi, j’arrive à l’instant et je repars de même. Dix minutes pour vous répondre. « Le génie est l’affaire des dieux, mais le talent, bon sang, nous regarde ».
Je suis, depuis plus de trente ans, bien trop imprégné de la Correspondance de Flaubert pour avoir tenu, d’aucune manière, les propos que vous me prêtez. Tout au plus ai-je pu parler « d’œuvre d’art », mais il y a tant d’œuvres d’art ignorées, perdues, ou qui n’ont jamais intéressé qui que ce soit –principe d’entropie oblige-, que cela ne m’engageait pas beaucoup, je crois. Votre ordinairement sympathique cervelle de moineau vous fait tomber dans la plus maladroite et la plus basse calomnie. Prenez leçon auprès de votre camarade boumou qui en sait autant sur cet art qu’un vieux cheval de syndicat ou de parti politique véreux.
Cela dit, vous êtes un brave type, impossible de vous en vouloir pour si peu.
« Pauvre diable », j’en prends ma part bien volontiers, tout comme chaque homme dans sa nuit. Est-il possible de s’excepter, d’une manière ou d’une autre, de la troupe innombrable des « pauvres diables ». Vous en exceptez-vous ?
Quant à mon blog, s’il est ligne Dieu l’y garde, s’il n’y est pas, Dieu l’y mette, mais le plus loin possible de la mare aux grenouilles.
Bon week-end à vous,
ouille.. attation, Münchhausen est pas loin là..
bouguereau dit: 19 septembre 2014 à 13 h 57 min
ton orthographe m’affole pauvre diable
Il a dû suivre ta classe.
point du tout Monsieur Chaloux, j’ignore tout de cet individu, je vous laisse sur ces mots de Claudel :
Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier.
oui bon, faut aussi dire qu’une classe supérieure qui se la jouerait sans classe inférieure, je sais pas.. peut-être qu’en lévitation.. ou alors avec beaucoup de red bull pour roter plus haut..
tout ça pour se la jouer très très très vieux couple..
enfin, bref..
Reste que Quiqui n’ignore rien de boumou!
Elle s’appelle Nicole en plus.
Si qu’elle porte des lunettes 2.2.com.@cloclo c’est une fille à sucette épicétou
(tweet) »c’est vrai que Nicole déchire » aussi.http://www.youtube.com/watch?v=3DZBGR0vP8I
kiki c’est du vent épicétoudrucul
et t’en dis que la moitié, mouarf, t’es un sacré drôle quand tu le daignes !
scusi, Nicole est là :
Polémikoeur. dit: 19 septembre 2014 à 19 h 07 min
Comment avoir l’air
de distinguer trois femmes
sans sous-entendre que les autres
ne le méritent guère ?
bof! suffit d’voir la séléction (accompagnées du trombinoscope des 3 gentes dames)
Est-ce que « femme »
est une particularité telle
qu’en distinguer trois
relève de la performance ?
« particularité », tu déc’- on se fout de la parité (tant de mecs = tant de moeufs) et c’est tant mieux ! la parité est de + en + fascisante … les présentations assouliniennes m’ont fait sourire – ne suis pas pervers, pourtant – mais, tiens, Polem’, … maman se meurt … ça va durer, encore combien de temps !! Boutin, Barjot & l’autre (une conne catho ortho, son nom-à-particule m’échappe) ; cerise sur le gâteau, le François papale, le clown !
– 3 américaines à Paris, A. Kaplan, ça avait d’la gueule, nom de dieu !
– 6 personnages en quête d’auteur, L. pirandello, sacrée gueule, aussi !
– 24 h de la vie d’un femme (écrit par un mec, et quel mec !) etc …
Poilàgrattement.
non, tumultueusement pour moi, Polem’ – j’pense à une nénette, allemande, sous-estimée en France, je ne réécrirai pas son nom, en revanche, elle a (osé, merveilleusement) écrit « une femme sans qualité » ! yep, entre autre … ta-len-tu-euse, gran-dio-se, ça n’intéressera tjs pas Clopine, une moeuf au-dessus d’elle, qui remet en question l’écologie, au feu, hein !
On s’réveille quand ? le Carrère (un légionnaire), le Reinhardt (un voyeuriste), punaise … so fun !!!
kicking ingurgite des substances illicites, c’est tout.
« D. dit: 19 septembre 2014 à 19 h 24 min
M’en voulez pas. »
mais non D. je ne vous en veux point du tout.
moi non plus je ne l’ai pas lu, ni écrit.
l’expertise D. !
voilà ce qui nous fait défaut….
nous manquons cruellement d’experts, je veux dire de bons experts.
bien sûr nous avons des experts mais personne ne les a expertisés pour nous dire si nous pouvions leur faire confiance.
il nous manque des experts pour expertiser nos experts.
nul doute que même ces experts là il nous faudrait aussi les expertiser.
D. dites-moi, je sens que vous êtes capable de juger des situations les complexes, l’euthanasie, les mères porteuses, l’Europe, la guerre en Irak, la taxation du commerce des poivrons.
c’est bien !
c’est pour ça que je vous aime bien !
vous le saviez D. que je vous aimais bien ?
je viens spécialement sur ce blog uniquement pour lire vos déclarations ! (les commentaires c’est bon pour les autres, vous, tout comme Dafné, vous ne faites que des déclarations !)
nous devrions tous être des experts dans tous ces domaines.
c’est là notre fonction de citoyen.
U.!!!
pourquoi ne répondez-vous plus aux questions de Daaphnée ?
vous ne l’aimez plus ?
D. avez-vous déjà été amoureux ?
je veux dire d’une autre personne différente de vous ?
si vous avez besoin de tuyaux en affaire amoureuses vous pouvez demander conseil à U. et à Polémikoeur.
ce sont deux experts !
pour les amours hétérosexuels.
si c’est pour vous faire aimer d’un animal de compagnie, comme un chat ou un raton laveur, là je peux vous aider.
scusi, Nicole est là
si qu’elle suce comme un tonneau sans fond ça l’fra pas épicétrouf!
vous ne l’aimez plus ?
en dépit de ton plein gré que zouzou te baffe
« D. dit: 19 septembre 2014 à 19 h 52 min
Elle s’appelle Nicole en plus. A-t-on idée de s’appeler Nicole en 2014 ?! »
D. vous savez pourquoi je vous aime bien ?
parce que vous avez une conscience des valeurs historiques.
je veux dire vous savez quel prénom il faut porter à chaque époque.
et c’est à ce genre de détail qu’on reconnait un grand esprit.
par exemple si je vous demandais comment il aurait fallu m’appeler si j’étais né en 1358 je suis sûr que vous le sauriez !
c’est ça les vrais historiens !
mais pour la géographie c’est pareil, vous êtes aussi un grand géographe.
(un pseudo a mentionné Bilal, l’immense, sublime Bilal – je me calme.
Je vous invite, ainsi que ce connard de Finkie, non mais ! – à lire :
« Ciels d’orage », conversation avec Ono-dit-Biot
Bilal invite les écologistes à changer leur appelation en planétologiste
(ps.: S.Sontag dans l’avant-dernier journal que son fils à publié, comparait les écologistes comme des nouveaux nazis …
F.G. série-or : marrade équitable – BD biodégradables – Gags 100 % compostables !
Certes, on rigole, grâve, on peut prendre de nouvelles rides, oulala !!!
hamlet c’est l’hommelette sans les oeufs
Tweet d’ado emballée
» ce Amlet, quelle burne, même Pétronille sait clubber, wesh il peut rester dans son hlm à plein d’étages »
Kiki et bouguereau, deux faces de la solitude d’une même moule.
Y paraît qu’omelette a perdu une couille dans l’ascenseur de dédé qui en a fait un bonnet.
Je m’insurge contre cette calomnie. Je ne porte un bonnet de bain que sous la douche avant mes oeufs mimosa suivis d’un flan à la vanille ou si tronc d’éphèbe imberbe
« Daaphnée dit: 19 septembre 2014 à 19 h 32 min
Les savants sont des esprits éclairés, ils connaissent les mécanismes de ces hallucinations, la façon dont nos perceptions peuvent corrompre nos jugements.
Vous oubliez que bon nombre de gens de lettres ont expérimenté les mécanismes de l’hallucination .. »
les gens de lettres ?
vous voulez dire les facteurs ? à la Poste ?
oui, bien sûr Daphnée, je sais toutes les qualités des gens qui travaillent à la Poste et j’ai un grand respect pour eux !
si vous voulez je peux réécrire le même truc avec des facteurs ?
Daaphnée vous êtes une pinailleuse !
mais je ne critique pas votre volonté d’exigence !
je dirais même qu’il devrait nous servir d’exemple à tous.
d’ailleurs que je sens mon niveau d’exigence faiblir vous savez quoi ? je me dis je vais aller lire daphnée sur le blog de mr assouline et là hop ! il remonte.
le seul problème c’est comme avec mr chaloux : vous mettez la barre trop haut.
il faut penser au petites gens, les faibles d’esprit qui n’arrive pas à suivre.
ralentissez daphnée ! votre esprit fonctionne trop rapidement pour les autres !
hamlet, êtes-vous poilu?
« D. le vrai dit: 19 septembre 2014 à 21 h 00 min
Je m’insurge contre cette calomnie. Je ne porte un bonnet de bain que sous la douche avant mes oeufs mimosa suivis d’un flan à la vanille ou si tronc d’éphèbe imberbe »
D. vous savez le nombre de fois que vous avez écrit le mot « je » sur ce blog ?
8.558.854.895 fois.
c’est un record !
aussi j’ai le plaisir de vous remettre le trophée de l’homme qui pense le plus souvent à lui !
regardez c’est joli : c’est un miroir !
« D. dit: 19 septembre 2014 à 21 h 01 min
hamlet, êtes-vous poilu? »
pourquoi ?
c’est une proposition ? une avance ?
sachez que ma plus grosse déception amoureuse ça a été Jacky, Jacques Barozzi, il n’a jamais répondu à mes avances, pas de bol non ?
mais ce n’est pas une raison pour me jeter dans les bras du premier venu !
bonne nuit les petits
Il n’y a pas que la barbe pour faire un homme.
« D. dit: 19 septembre 2014 à 21 h 01 min
hamlet, êtes-vous poilu? »
ou alors c’est pour m’insulter ?
parce que j’ai dit que daphnée avait le qi d’une mouche ?
j’y crois pas : vous êtes amoureux de daphnée ?
désolé, si j’avais su je lui aurais dit qu’elle avait le qi d’un saint bernard.
le zizi ça compte aussi.
hamlet a un tout petit zizi et il le vit très mal.
D. vous en pensez quoi des romans chorals sur la féminité ?
vous ne voulez pas qu’on écrive ensemble un roman choral sur la masculinité ?
D. vous savez ce que j’aime bien chez vous : vous êtes un homme de culture !
sérieux vous deviez inviter daphnée au resto, elle aussi c’est une femme de culture, en plus elle est aussi cultivée qu’un champ de maïs.
les oeufs, ça sert à rien.
pas d’oeuf, pas d’omelette épicétoumou
Fais gaffe à ton talon, omelette.
j’ai passé une nuit avec jacques barozzi, dans un motel 6 avec un lit vibrant, j’en garde un souvenir ému.
mais toutefois pas autant que ma nuit avec bouguereau dans un bunker près de prenzlau, son zizi goutait le neskwik c’est un peu ma madeleine de proust.
D. vous savez pourquoi daphnée n’ai pas Clopine ?
c’est une vieille histoire, je vais vous la raconter.
Clopine est une femme de la campagne et daphnée est une citadine qui parle en faisant les accents circonflexes avec ses doigts quand elle parle.
vous voyez le genre ?
elle ne dit pas j’ai lu la Recherche de Proust.
mais elle dit j’ai lu l’a « Recherche », tu sais ? de « Proust » !
D. vous faites les accents circonflexes avec les doigts quand vous parlez ?
non ?
le nul ! c’est parce que vous n’êtes pas branché « culture » !
les circonflexes c’est vachement important pour montrer qu’on est brancher « culture » !
allez-y !
faites un essai ! avec les accents circonflexes !
pour voir si vous êtes un vrai citadin ou bien un paysan !
D. !!! vous êtes où ?
on ne peut pas faire d’expérience culturelle avec vous il faut que vous vous barriez !
c’est pas possible.
alors qui est volontaire pour faire l’expérience de parler branché culture comme daaphnée ?
mourir, mourir, mourir, oui mais pas tout de suite.
Mnosieur Assouline vous nnon plus vous faites pas très branché culture, vous devriez écrire :
Au fond, elles sont bien plus que trois, ces femmes « remarquables ». Disons six puisqu’il s’agit autant des trois « auteurs » des trois « livres » sur lesquels j’aimerais jeter un peu de « lumière » de ces dernières lueurs d’été qui s’attardent, que de leurs trois « héroïnes ». Des personnes « ordinaires »…
tout de suite ça a plus de gueule.
non ?
tweet d’ado effarée
« Amlet peut se l’accrocher, son tonneau de vodka au cou du saint-bernard »
http://www.youtube.com/watch?v=BI71FwjoNXM
j’essaye hamlet
je voudrais bien .. mais je ne peut .
si ? non *
encore que si .. vous le dites ..
hamlet ce sont trois femmes remarquées par pierre assouline, c’est déjà un effort immense de sa part non ?
il a écrit sa tartine avant de s’évanouir dans le décor depuis il ne fait que test consciencieusement, il sort de chez lui en fin d’après – midi, pendant ce temps emmanuel carrère l’attend tel rastignac dans un sous – bois bien frais.
on pourrait voir les choses autrement, emmanuel carrère ayant vendu pas mal de royaumes, dîne en ce moment chez un ami qui l’a hébergé cet été ..
@…;…;…; dit: 19 septembre 2014 à 21 h 45 min
Vous connaissez Hervé?
Il faut que je vous confie une chose hamlet. Depuis que je vous croise ici, je commence à me poser des questions justes et je vous en remercie.
Je vous donne un exemple pour que vous apprésciez mes progrés:
Ma voisine se promène telle toute nue devant sa fenêtre par hasard?
non, c’est Antoine S.
Non, non, et non je m’insurge avec véhémence. Non, non, non et non. Et non. C’est dit.
Mille fois, non.
le poil, ça sert à rien.
D. c’est bien de vous poser les bonnes questions.
je suis heureux d’y être pour quelque chose.
je vous retourne (désolé) le compliment : avant de vous lire j’avais les bonnes réponses mais je me posais pas les bonnes questions.
grâce à vous c’est maintenant fini, non pas que je me pose maintenant les bonnes questions mais j’ai désormais oublié les bonnes réponses
D. vous avez lu Dostoïevski ?
Sur la foto 1, c’est une fille très poilue du crane.
@…;…;…; dit: 19 septembre 2014 à 21 h 51 min
Vous êtes entrain de nous faire de la Macédoine, là. Et aux grecs, faut pas leur raconter des balivernes.
Le personnage très important du » royaume », c’est Hervé.
les grecs sont comme les corses, en Dix versions !
chalut, vous tirez les vers du nez que vous avez trop long ..
http://www.culture-chronique.com/chronique.htm?chroniqueid=1104&typeid=0
@…;…;…; dit: 19 septembre 2014 à 22 h 07 min
OK.
What about Hervé ?
(vous n’avez pas lu « le royaume « ?!)
Bon, comment on dit » un grand moment de solitude » …
Tweet de l’ado du Lycée
» changer de grammaire »
http://www.youtube.com/watch?v=pkeDBwsIaZw
bonne nuit
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