Coup de grâce de Javier Cercas à « ladite mémoire historique »
Le plus fascinant livre d’histoire de la rentrée est un roman de 400 pages L’Imposteur (El impostor, traduit de l’espagnol par Elisabeth Beyer et Aleksandar Grujicic, 400 pages, 23,50 euros, Actes sud). Un récit réel qui a tout d’un roman sans fiction saturé de fiction. Auteur d’une œuvre déjà conséquente, notamment Les soldats de Salamine sur le destin d’un idéologue de la Phalange et Anatomie d’un instant sur le coup d’Etat avorté de 1981, Javier Cercas (1962) s’est laissé ensorceler non par son antihéros mais par son cas au sens pathologique du terme. A travers l’affaire Marco minutieusement démontée et remontée par tous les moyens de l’enquête, il nous livre en filigrane de cette « vie de mensonge », en sus d’un récit prenant, une réflexion de haute tenue sur l’instrumentalisation de « ladite mémoire historique » en espérant bien lui avoir donné le coup de grâce.
Benito Bermejo, un franc-tireur de l’enquête historique, avait révélé le premier l’imposture en constituant un dossier accablant il y a dix ans. Du lourd dont Cercas fit du léger par la grâce d’une écriture inspirée. Cela n’allait pas de soi après que des intellectuels aussi prestigieux que Mario Vargas llosa et Claudio Magris se soient exprimés pour saluer le « génial talent » du fabulateur Enric Marco ; ils décourageaient même en prévenant que l’on ne saura jamais sa vérité intime sur son besoin de s’inventer une vie et de se forger une biographie d’ancien résistant au fascisme à la fin des années 60 ; sans parler de ceux nombreux qui pointaient dans le dévoilement de l’imposture le risque de faire le jeu des négationnistes, argument que l’auteur balaie sans trembler.
Né d’une mère folle enfermée à vie à l’asile pour schizophrénie où elle donna naissance à son enfant, Marco mentait déjà sur cet acte. Non en le dissimulant par honte mais en le travestissant pour mieux s’accorder à l’Histoire : au lieu du 12 avril 1921, il fit remonter sa date de naissance au 14, soit très exactement dix ans avant la proclamation de la Seconde République espagnole. Sa biographie personnelle coïncidant dès le départ avec la biographie collective de l’Espagne, il la symbolisait et n’en incarnait que mieux l’homme providentiel.
D’un côté un homme d’une énergie féroce, d’une vitalité juvénile, disponible, dévoué, courageux, astucieux, très aimé, un leader né, volontaire dans la colonne Durruti de l’armée républicaine au printemps 1938, membre du groupuscule de jeunes catalans républicains et libertaires qui ont osé dire non à la défaite en 1939 devenu icône nationale de la lutte contre le franquisme, secrétaire général du puissant syndicat anarchiste CNT dans les années 70, vice-président des associations de parents d’élèves dans les années 80/90, président de l’amicale de Mauthausen. De l’autre un manipulateur, un menteur, un roublard, un charlatan, un emberlificoteur, un narcisse qui n’aime rien tant que se mettre en avant ; à l’aune de sa réussite, il faut reconnaître qu’il a été effectivement génial dans son genre, cette capacité à s’approprier le passé héroïque des autres. La force perverse de la littérature est de nous faire admirer des qualités immorales que l’on condamne d’ordinaire.
Tout était faux ou presque : s’il a bien connu les geôles franquistes des années 50, c’était comme détenu de droit commun et non comme prisonnier politique etc Tout au long de son récit, Javier Cercas ne cesse de nous faire part de ses doutes et nous embarque à la manière d’Emmanuel Carrère dans L’Adversaire, sa recherche sur les motivations de Jean-Claude Romand, autre imposteur mais sans panache et d’une grande médiocrité. Cercas lance au passage un concept :
« la nouvelle industrie de la mémoire a besoin de s’alimenter du kitsch historique qui offre à celui qui le consomme l’illusion de connaître l’histoire réelle tout en lui épargnant le moindre effort » et en lui épargnant le vertige de la complexité et les trouble des contradictions.
Mais est-il possible de coincer un menteur qui justifie les fragilités de ses souvenirs de guerre en invoquant Fabrice à Waterloo et Bézoukhov à Borodino ? Peut-on écrire un livre sur un Enric Marco sans pactiser avec le diable ? L’écrivain et son antihéros se sont maintes fois rencontrés. Des heures et des heures d’entretiens au cours desquels le premier dépouille le second de tous ses faux habits comme on pèle un oignon jusqu’à ce que ce dernier l’implore :
« S’il te plaît, laisse moi quelque chose ».
Mécanicien dans un garage, il a tardivement entrepris des études d’histoire à l’université en se disant qu’il fallait parfaitement connaître l’Histoire pour mieux falsifier son histoire. Quant à se demander comme un tel affabulateur a pu exercer de telles responsabilités, il n’y a qu’une réponse : « parce qu’il était le personnage idéal pour le faire ». Qu’on ne s’y trompe pas : non la personne mais bien le personnage. L’Imposteur est au fond l’histoire d’un homme ordinaire qui voulut se faire passer pour un héros et réussit à être le romancier de lui-même.
(« Enric Marco dans le documentaire de Santi Fillol et Lucas Vermal qui lui est consacré sous le titre « Ich Bin Enric Marco »)
1 106 Réponses pour Coup de grâce de Javier Cercas à « ladite mémoire historique »
Tenez Sergio, entendu hier, c’est pour changer un peu de votre silence à la trompette. Bonne rentrée à la base !
https://www.youtube.com/watch?v=pe7WidmR38Q
la vie dans les bois dit: 28 septembre 2015 à 23 h 06 min
la « reproduction »
Oui, parce que c’est une autre manière de rechercher, d’isoler les idées générales. On ne sait pas pourquoi la vie, mais on sait que l’on ne peut appréhender que cela. Sauf bien sûr si l’on arrivait à évoluer et si de nouveaux modes de raisonnement s’avéraient pertinents. Mais qu’est-ce qu’un raisonnement qu’est-ce qu’une idée ? Du courant électrique ! Avec ça…
Ces fractales, c’est extrêmement séduisant, cela imite ou modélise bien la réalité, comme on voudra, mais enfin cela repose sur les mathématiques, qui elles-mêmes reposent sur la notion d’identité. On pourrait construire des mathématiques sans réels, sans phénomènes discrets, uniquement continus, une sorte d’immense topologie, quoi…
Exemple concret, on va faire des ordinateurs vivants, les Israéliens j’avais lu ont réussi quelque chose dans ce sens il y a peu d’années ; eh bien je suis persuadé que l’on va finir par laisser tomber le numérique, revenir à l’analogique.
Bon je rentre à la base sinon la nuit va tomber… Elle va se casser comme dirait Philippe Forest !
« cela imite ou modélise bien la réalité »
les créationnistes limitent; c’est bien connu !
la vie dans les bois dit: 28 septembre 2015 à 23 h 29 min
pour changer un peu
Elle a une belle voix ! Mais je me suis surtout occupé des gus avec leur synthés…
Bon,un petit avis sur Windows 10 après l’avoir essayé pendant plusieurs semaines :
une daube de grande qualité, m’ayant déjà causé pas mal de soucis. Je déconseille clairement son installation et d’ailleurs j’envisage dans un très bref avenir sa DEsinstallation pour mettre Linux à la place. Alors que Seven était acceptable, 10 est clairement inacceptable car capable de plantages sévères et non encore corrigés par des patchs même après plusieurs semaines.
…
…savoir exister, savoir vivre,…réellement,…
…
…Oui,!…une expérience de sa vie,…un vécu sein a se camouflé encore à se germer en morcelés,!…
…
…pas répondre à ceci à cela, normal,…c’est pas sur plan,…toutes ces élucubrations trop gratuites à faire de l’ombre aux renaissances civiques collectives,!…des corporations à la lumière du jour,…
…à l’intérêt général,!…l’utopie, bon, limité aux gens de son château, et des europe en châteaux,!…tchin,! tchin,!…
…ces châteaux du Pape aux moutons Rothchild, aux azimuts Bordeaux Rockefeller,!…
…rien, de rien, que des bon crus, à galvauder,!…
…
…si, si, l’air de rien, un bon cru,…c’est évident,…il faut casquer son pognon, sur le heaume à Bismarck,!…
…
…çà pouvait être pire,…de ne pas mettre » l’histoire » en logistique,!…
…Bien, çà alors, le retour à une renaissance » romaine « ,…pourvu sans taxes, aux industries nationalisés, déjà tout automatiques,!…
…qu’est ce qu’on s’ennuie au soleil,…
…
…t’a pas une tune,…pour la chambre automatique des flagellations aux Ô des novices,…t’à le change avec la bonne du curé,…des Bitcoins à porter de clips,…
…
…Oui, c’est moderne trop,!…aucun effets,!…
…une petite machin,…allez ,!…Showhah,!…Oh,!Oui,…Mars avec et çà repart, mon grillon en été avec sa fourmis,…
…tourne, tourne,…toujours là à leurres,!…Magnum vanille praline melon, etc,…aux godes mit uns,!…etc,…
…l’histoire à se remettre, le plus au milieu de la bienséance, étiquettes, règles, pour passer sous le pont des orfèvres, ces génies,…aux tours de mains verbaux littéraire,!…une fois de Plus,!…
…de devant à la corbeille, le théâtre s’éclate entre ses murs,!…etc,…
…je vais pas y passer ma soirée des grâces à l’emporte-pièce,!…sur planches,!…
…etc,!…Go,!…
Le nain posteur est aussi un imposteur.
Une réflexion comme celle ci ne devrait pas avoir sa place sur un blog prestigieux : je suis heureux lorsque Sant’Angelo parle de bons crus, de bons petits crus ! Mon cœur est simple….empli de joie saine.
Appel aux vivants
Il n’y a pas un responsable politique en France pour rappeler au Petit Clown Bedonnant posant ses préalables ridicules, qu’en Syrie :
« …entre deux maux, il faut choisir clairement le moindre : Bachar el Hassad ! »
L’imposture, à ce niveau, c’est un drame national….uhuhu !
Ghaddafi, bien sûr… la bête noire de BHL !
Remarques valables pour Saddam en Irak …
Cet agité du bocal, le Sarko, déboulonnant un brave homme, Saddam Hussein, épris de son peuple indocile, … pour « sauver la population libyenne du tyran »… et ce qui se passe après l’intervention internationale ! (JC)
J’ai l’impression que vous mélangez quelque peu les interventions, mon cher ami. Est-ce un effet du grand Âge? Un symptôme d’alzimémère ?
Les parallèles interventionnistes IRAK/LIBYE se sont coupées, mon bon Zoom, toute la géométrie occidentale est non-euclidienne : les parallèles se coupent sans cesse … si si, c’est possible !
Il est dommage qu’Anastasie ait évacué par la force les négationnistes propos de l’ami Zoom ! Cette crapule parlant d’imposture shoatique était dans le sujet.
Parlant de camp de repos définitif, comme je l’ai fait, c’était minable je l’admet mais les goys sont comme ça.
Je félicite donc cette saleté ciselée aux mains crochues …
Syrie.
Il est dommage qu’Anastasie ait évacué par la force les négationnistes propos de l’ami Zoom ! Cette crapule parlant d’imposture shoatique était dans le sujet.
C’est d’autant plus dommage que mon propos n’était nullement négationniste. Il se bornait, à partir du cas d’Enri Coco, à envisager la possibilité de dérives analogues et à indiquer un choix tout personnel, mais motivé par des arguments raisonnables et modérés. En matière d’Histoire, et surtout d’événements relativement récents et douloureux ( pour certains), il convient de marcher sur des oeufs.
Si on ne peut plus plaisanter à propos du négationnisme modéré d’un fin limier en Histoire !…
Je reposte un commentaire mien qui, à la lumière des décisions lamentables de nos pitres occidentaux (hors Putin et Orban tellement justes) doit donner une piste prospective à mettre en œuvre rapidement.
Ceux qui peuvent apporter à nos dirigeants simplets de l’air frais, pour parler clairement les remplacer, ne sont pas ces va-nu-pieds de djihadistes déguisés en migrants, non ! Ce sont des milliers de computers à qui nous devons confier la marche du monde !!!
Leur artificielle intelligence, leur logiciel évolutif, capable d’apprendre, est infiniment plus compétente que la sélection partisane des kronnards qui décident mal, et qui sont aussi nuls et bas de plafond que des mouettes au joli plumage, aux ailes magnifiques, mais à l’œil rond, inexpressif et bête.
…
…@,…Chaloux,…à 7 h 43 min,…
…clément,…mais vraiment pour du Cinéma,…
…
…il y a longtemps que je t’aime,…que ce contexte militaire devait être résolu,!…
…
…au bénéfice du doute,…toute cette main d’oeuvre d’immigrés( presque gratuite ),…pour abaisser le prix des salariés de haute-luttes,…
…en plus des réseaux – brevets,!…for made of chine ou ailleurs, le luxe fabriquer dans la misère,…
…une stèle,…Non,…une obélisque au moins,…à nos pharaons des démocrates républiques,!…le nez aux seules liasses des compromis offshore leak, collabos lobbyings,!…paradis des persécuteurs en nos états,!…
…trop facile, ou se ranger sa peau de banane des affaires aux yeux de tout un chacun,…
…en jasez, çà rapporte un max, en management,…tout ces émigrés en boîtes du matin au soir,…gigolo émigrés un Plus,!…
…
…la morale, se fabriquer des novices aux fêtes des gâteaux des rois,!…à la fève, du canard à foie,…
…gaver , gaver les opinions,!…
…l’art d’écrire avec ses analogies des métiers,!…un grand beurre pour politique à la gorge bien profond,!…Ah,!Ah,!…
…la confiance , escroquer tout les gens, Oh, mes moutons, mes pigeons,!…etc,…
…enluminures sur parchemins,!…les mains pleines,…c’est du jolis, ce début de 3°millénaire,…Ah,!Ah,!…
…passionnant profond,!…gaver ses oies à la foie,…des plumes pour s’écrire deux mots en miroir,…etc,…le bordel,…entre dignitaires,!…en Plus,…d’économie sociales à deux sous d’escrocs,!…
…
Confirmation: l’imposteur est un nain posteur.
« L’invasion américaine de l’Irak en mars 2003 est une catastrophe stratégique dont nous continuons de payer le prix. »
Dans les faits c’est l’invasion soviétique de l’Afghanistan dont nous continuons de payer le prix…
Chaloux dit: 29 septembre 2015 à 7 h 43 min
Syrie.
M. Filiu dit des choses intéressantes, mais je me demande si les forces syriennes « à notre goût » n’existent pas surtout dans son imagination:
« Seuls les révolutionnaires syriens, arabes et sunnites, peuvent infliger des pertes au sol à Daech, etc. »
Ce raisonnement n’a-t-il pas un train de retard?
JC écrit : Je félicite donc cette saleté ciselée aux mains crochues …
« Cette saleté » est Passou, qui a dit à Lagrasse assurer lui-même le ménage de son blog.
Aie donc le courage (pour une fois) de t’en prendre directement à lui.
Tu places ta provoc minable sous le signe de la littérature. Ben mon gars, tu te mouche spas du pied !
Surtout ne prenez pas mon commentaire pour un propos de va t en guerre : je suis un agneau, délicat et fragile, un humaniste véritable au cœur généreux, à l’esprit tolérant, tout le contraire d’un xénophobe rassis !
Mais allons au fait, car la solution doit venir de l’extérieur !
Il faut apporter à ces peuples incultes, privés de leurs élites en fuite, nations autonomes, territoires indépendants livrés à leur errance, organisés en sectes, en clans, en tribus, en maitres et esclaves, la civilisation, la merveilleuse Civilisation de nos Pères, ces dynamiques missionnaires de culture, injustement vus comme des colons !
Envahis, devenons envahisseurs…
« Passou, qui a dit à Lagrasse assurer lui-même le ménage de son blog. »
Tout le monde sait que Lagrasse fut un rassemblement de menteurs…
« Dans les faits c’est l’invasion soviétique de l’Afghanistan dont nous continuons de payer le prix… »
ça ne change rien mais ce n’est peut-être pas aussi simplet. A propos d’archives précisémenbt, cf les Mémoires de Robert Gates et l’interview du politologue états-unien Zbigniew Brzezinski dansle N Obs de janvier 98
« Ce raisonnement n’a-t-il pas un train de retard? »
Au point où on en est ..
Maintenant le rêve c’est d’aller voir que bousiller sur Mars et comment
le PQ braillard bien connu est au bout du rouleau
Le ciel, ce matin, était si remarquable qu’on en oubliait la trop fraîche rosée qui mouillait les souliers.
Bon.
Ca, c’est dit.
Maintenant, Lagrasse : j’ai moi aussi visionné la conférence de notre hôte sur nous. Travail honnête, beaucoup de citations pertinentes, bonne analyse des mécanismes qui régissent les blogs, témoignage d’un plaisir qui semble renouvelé – pourtant, de nouveau, comme toujours, quelque chose cloche, à mon sens.
Quand notre hôte témoigne de son envie de pousser l’expérience jusqu’au bout (s’il y en a un), je comprends sa démarche. Quand, ce faisant, il accepte et admet la violence verbale qui se déclenche ici, je le suis encore. Quand il explique ses principes de modération (« laisser passer » et exercer le contrôle a posteriori, dans les strictes limites fixées par la Loi), je pourrais là encore acquiescer…
Mais quand il renvoie dos à dos les différentes demandes de « condamnation à mort » – en vrai, d’interdiction de blog, au motif qu’elles proviennent « de tous envers tous », en quelque sorte, là je ne le suis plus.
Parce que c’est mettre tous les intervenautes dans le même panier. Ne pas discerner les sincères des faux. Ne pas trier le bon grain de l’ivraie.
Et ainsi, au nom de la liberté d’expression, laisser pratiquer des harcèlements injustifiables.
Or, la différence, pour subtile qu’elle soit, est pourtant perceptible.
Un Màc qui maniait la crudité extrême dans ses expressions, même un WGG imprécateur et aux opinions parfois délirantes, tel ou tel qui s’amuse à la provocation ou considère les conversations comme des matches de boxe, ne sont pourtant pas des trolls.
Et autant je suis pour que les expressions (dans la limite de la loi, notamment pour les propos racistes, machistes, homophobes ou antisémitnes) circulent librement, autant la harcèlement trollien m’apparaît comme insupportable, même s’il reste, lui, « dans les limites légales » du vocabulaire employé…
Et puis quoi. Notre hôte ne s’aperçoit-il pas que certains, certaines n’emploient JAMAIS la violence – et que leur opposer « la liberté » pour ne pas intervenir quand ils en sont victimes revient à « mettre dans le même sac », sans discernement, le bourreau et sa victime ?
A Lagrasse, notre hôte a fait état de tous les comportements violents qui s’affichent dans la pratique bloguesque…
Comme j’aurais aimé qu’il y ait eu un mot, rien qu’un, pour les intervenautes qui ne sont jamais, eux, violents. Parce qu’ils existent aussi, qu’ils persistent parfois, qu’ils renoncent souvent – et qu’il conviendrait peut-être aussi de leur rendre hommage…
Tiens, les nuages crémeux ont disparu du ciel. Grand bleu, certes, mais quel vide, d’un coup. Décidément, je serais toujours du côté de Catherine Earnshaw, qui s’ennuie dans le calme plat d’un ciel vide, et préfèrera toujours imaginer que les nuages sont des signes peints sur le plafond coloré de nos vies, qu’il convient donc de s’amuser à déchiffrer, histoire de passer le temps…
« Parce que c’est mettre tous les intervenautes dans le même panier. Ne pas discerner les sincères des faux. Ne pas trier le bon grain de l’ivraie. » (Clopine)
Je rêve : Mémé donne dans la moraline de supérette religieuse !
Mais enfin, tous nous sommes dans le même panier ! Tous nous sommes sincères et faux ! Tous nous sommes bon grain et ivraie ! Qui peut juger ? qui se donne ce droit ?… Trier ! Mémé veut trier le bon grain de l’ivraie !…
Hallucinant de bêtise, n’est il pas ?
Lacernaire
il s’épuise à force de s’agiter, c’est un cas relevant des psychiatres
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Jean Raspail, interviewé par le Point : « Que les migrants se débrouillent ! Il faudra se durcir le cœur et supprimer en soi toute sorte de compassion. Sinon quoi, nos pays seront submergés. »
… je connais quelques boboïdes qui vont protester devant ce discours plein de sagesse …
» Mais enfin, tous nous sommes dans le même panier »
Bah oui mais toi, tu es dans le fond.
» Qui peut juger ? qui se donne ce droit ? »
Toi, sans arrêt. Mais la cohérence et toi, vous ne voyagez pas dans le même wagon.
Un extrait de « La citadelle des neiges » de Mathieu Ricard
« La sagesse, c’est de comprendre que tout ce que tu vois, tout ce que tu ressens, est aussi éphémère qu’un rêve, une illusion, une goutte de rosée, un éclair dans la nuit, une bulle à la surface du torrent. La méthode, c’est d’être empli de compassion pour tous les êtres ; en gros, c’est d’avoir bon cœur. Sans sagesse, tu perçois tout de travers, et sans compassion, ta sagesse ne vaut pas grand-chose. »
Le paradoxe de l’imposteur
ne serait-il pas que,
pour le devenir
aux yeux d’autrui,
il a besoin d’être démasqué
et que, dès lors,
il a de grandes chances
de basculer dans le passé ?
Hamléthiquement.
Pensées d’un Arawak:
« Et s’ils arrivent ? » Ce « ils » n’était d’abord pas défini. Puis j’imaginais que les Européens se précipiteraient dans ce pays béni qu’est l’Amérique pré-colombienne…
Eh bien, il va falloir compléter l’article de Wikipédia sur les écrivains et penseurs de droite et d’extrême-droite… Et lire, après
Maurice Barrès, Édouard Drumont, Joseph de Gobineau, Pierre Drieu la Rochelle, Robert Brasillach, André Fraigneau, Lucien Rebatet, Louis-Ferdinand Céline, Henri Massis, Léon Daudet, Thierry Maulnier, Henry de Monfreid, Jacques Bainville, Pierre Boutang, Paul Sérant, Kléber Haedens, Jacques Benoist-Méchin, Marc Augier, Alphonse de Châteaubriant, René Benjamin, Jean-Pierre Maxence, Raymond Abellio, Henri Béraud, Charles Maurras, Alain de Benoist, Pierre Gripari, Jules Monnerot, Jean Mabire, Alain Soral : JEAN RASPAIL.
Honnêtement, si j’étais lui, j’en rougirais. Mais je suis sûre qu’en fait, il en sera flatté. Soupir.
Commenter est un verbe transitif.
Converser, intransitif.
Quel est la part du commentaire
dans le bon vieux commentarium
de la Rdl ?
Reliquairement.
Touite
Le titre donné par le Point à l’interview de Raspail (« Que les migrants se débrouillent ») est une tromperie.
Raspail ne parle pas à ce moment des migrants mais des pays d’origine (Syrie, Iraq, etc.): il trouve absurde que les pays occidentaux soient intervenus chez ces populations.
« – Faut-il combattre le mal à la racine et bombarder les points stratégiques de Daesh, comme vient de le faire la France ?
– C’est leur problème, pas le nôtre. Cela ne nous concerne pas. Qu’avons-nous été faire dans cette histoire ? Pourquoi voulons-nous jouer un rôle ? QU’ILS SE DÉBROUILLENT ! Nous nous sommes jadis retirés de ces régions, pourquoi y revenir ? »
Du reste, il serait absurde de laisser entendre que des migrants déjà parvenus en territoire européens puissent « se débrouiller » sans intervention des pouvoirs publics: ce serait le chaos (c’est déjà, bien sûr, un chaos).
« J’ai écrit que la charité chrétienne souffrira un peu devant les réponses à apporter face à l’afflux de migrants. Il faudra se durcir le cœur et supprimer en soi toute sorte de compassion. Sinon quoi, nos pays seront submergés. »
Ça c’est plus roide.
Je dirais plutôt que la situation que les Européens ont laissé se développer, dans une impéritie totale, ne pourra être réglée dans quelques décennies (si elle peut l’être) qu’au prix d’une réduction probable de nos libertés.
« Honnêtement, si j’étais lui, j’en rougirais. » (La Grasse)
Aaaaaahaha ! Une écolo, vert dehors, rouge dedans, qui imagine un honnête homme comme Raspail aussi rouge qu’un Rouge-gorge.
Clopine à l’aurore travaillée au pastel, rose, bleue, moussue et crèmeuse… dit: 29 septembre 2015 à 11 h 17 min
les écrivains et penseurs de droite et d’extrême-droite…
Et lire, après
Maurice Barrès, Édouard Drumont, Joseph de Gobineau, Pierre Drieu la Rochelle, Robert Brasillach, André Fraigneau, Lucien Rebatet, Louis-Ferdinand Céline, Henri Massis, Léon Daudet, Thierry Maulnier, Henry de Monfreid, Jacques Bainville, Pierre Boutang, Paul Sérant, Kléber Haedens, Jacques Benoist-Méchin, Marc Augier, Alphonse de Châteaubriant, René Benjamin, Jean-Pierre Maxence, Raymond Abellio, Henri Béraud, Charles Maurras, Alain de Benoist, Pierre Gripari, Jules Monnerot, Jean Mabire, Alain Soral : JEAN RASPAIL.
C’est étonnant, la moitié de ces auteurs, la moitié seulement, est tout à fait remarquable.
JC….. dit: 29 septembre 2015 à 11 h 22 min
« Honnêtement, si j’étais lui, j’en rougirais. » (La Grasse)
Une écolo, vert dehors, rouge dedans
Une pastèque?
« mettre dans le même sac », sans discernement, le bourreau et sa victime ? (Cl.)
C’est vrai ça.
Tu n’as pas honte, JC, espèce de tortionnaire, de venir ici les mains rouges de sang?
A croire qu’elle n’a jamais été amante, amoureuse, mariée, La Grasse !
Jours pairs : bourreau
Jours impairs : victime
Mesure en toutes choses.
(…le sang, en noir et blanc, ça ne rend pas à l’image …)
Pierre Boutang était un homme remarquable, à la pensée extrêmement élevée et originale. Clopine ne lui arrive pas à la hauteur de son plus petit doigt de pied, c’est un fait.
Clopine est une femme bien, sauf qu’elle ventile/vente toujours beaucoup trop au dessus de sa condition sociale …. uhuhu !
… et que le make-up Proust ne tient pas lorsque la nuit arrive ….
Bye ! A demain…
Et pourquoi pas une pastèque ? Ca vaut mieux que, pour certains, être un bountty (noir dehors, blanc dedans…)
Une pastèque, je le concède, mais enveloppée dans un drapeau noir.
Ueda, je ne sais pas, le point de vue de Filiu dont j’ai l’intention de lire le bouquin dans les jours qui viennent semble en tout cas un peu plus fin que ce qu’on entend ordinairement.
Clopine, que vient faire Gobineau dans votre liste? Lisez les travaux de Jean Gaulmier, de Jean Boissel, lisez Gobineau et revenez me voir. Tout le système de Gobineau ne sert qu’à ériger sa propre généalogie, d’une manière extrêmement naïve. Grand rêveur, grand naïf et grand écrivain. Est-il responsable de ce qu’on a fait de ses rêveries cinquante après sa mort?
cinquante ans
L’est parti définitivement jusqu’à demain sans me réponde, le PQ.
Tu m’étonnes !
« Yann Moix a «pris du plaisir» lors de son clash avec Michel Onfray … »
Une manière comme une autre d’admettre qu’on s’est pris la baffe du siècle. Pauvre Moix…
On supprime madame Verniglia pleine bon sens tandis que le PQ au bout du rouleau braille toujours aussi fort : un comble !
Polarités: Alberto Manguel sur « Anatomie d’un moment », de J.Cercas, chronique du putsch avorté de février 1981 contre le gouvernement d’A.Suarez: « as in the great Greek tragedy, (it) has us witness a grand act of resistance against the permanently repeating infamy of history ».
La liste ToTo plus bas contient une belle brochette d’amateurs de l’infâme & de l’infamie historique.
Chaloux, demandez à Wikipédia : j’ai pompé la liste dessus…
Mais enfin, pour Gobineau, rien que le titre de son ouvrage le plus célèbre : « traité sur l’inégalité des races » (!!) semble le désigner membre de droit, non ?
Perso, le seul que je sauverais de la liste wiki, c’est Henri de Monfreid, parce qu’au moins, lui, il vivait avec ses marins sur la Mer Rouge, et méprisait ouvertement « les colons »; et puis j’ai toujours gardé, depuis mon enfance livresque à souhait, le souvenir de la couverture du livre de poche pour les secrets de la Mer Rouge, avec cet homme demi-nu, une paille tressée sur l’épaule, sec comme un épi brûlé. D’où mon étonnement de le voir dans la liste.
(Notez que Litell place bien Supervielle dans les auteurs collabos, c’est dire si les erreurs fourmillent partout)
Un clic et zou !J’ai retrouvé l’image qui m’est restée dans la rétine, depuis mes dix ans…
C’est là :
http://www.priceminister.com/mfp/350/les-secrets-de-la-mer-rouge-henry-de-monfreid#pid=65547449
C’est chouette, des fois, internet.
« la Mer Rouge »
Elle n’était pas rouge (ah la la ces collectivistes!toujours à travestir la réalité)
« semble le désigner membre de droit, non »
une variation sur le mot « race »? Faut surtout lire, Clopine, et pas répéter.
« La liste ToTo plus bas contient une belle brochette d’amateurs de l’infâme & de l’infamie historique. »
Oui (et pas étonnant)! Mais toto est bien sapé
« putsch avorté de février 1981 contre le gouvernement d’A.Suarez »
Des mauvais esprits ont dit que c’était du bluff
Zéro+Zéro = la liste Toto, sorte d’anti-liste Otto.
en fait merci pour le billet , j’en parlerai à chantal.
On fait des listes sur la rdl. ,très sympa, ça rappelle une très joyeuse époque .’trier le bon grain de l’ ivraie ‘.quelle belle passion française
Devinette : Qui a écrit cela en 1940 ?
« Le chien enragé de l’Europe, les hordes allemandes envahissent la Hollande, la Belgique, le Luxembourg. […] Nous avons devant nous une horde bestiale et, menant cette horde, l’individu qui en est la plus complète expression. Nous avons affaire à ce que l’Allemagne a de plus sauvagement barbare, c’est-à-dire une cupidité sans mesure et des ambitions que rien ne peut modérer. […] Nul avenir ne nous est permis que dans le bonheur des armes.»
j’étais très amoureuse d’un intervenant, qui ne s’est jamais déclaré à mon grand dépit.
J’ai fini par écrire à pierre assouline qui adore se mêler des intrigues de son blog, il m’a proposé d’aller boire un verre de schnaps, ce qui m’a indisposée, je préfère la grappa, ne le répétez surtout pas.
tu parles, Charles ! En même temps que Maurras écrivait ces lignes, il saluait l’arrivée au pouvoir du Caudillo…
C’était JC ?
De mieux en mieux, Paul Edel me connaît désormais si peu, il a « si peu de points communs avec moi », qu’il me désigne par un « on » quelque peu condescendant. Va donc eh, patate (*). La liste, ce n’est pas moi qui l’ai dressée, je l’ai recopiée sur wikipédia…
(*) : « patate ». Je crois que j’atteins là ma violence maximale. C’est dire si je mérite d’être exclue, au moins autant qu’un Jc n’est-ce pas… Wouarf.
« Clopine à l’aurore travaillée au pastel, rose, bleue, moussue et crèmeuse… dit: 29 septembre 2015 à 9 h 37 min
Parce que c’est mettre tous les intervenautes dans le même panier. Ne pas discerner les sincères des faux. Ne pas trier le bon grain de l’ivraie. »
parce que Clopine elle sait trier le bon grain de l’ivraie…
c’est même pas capable de s’excuser auprès des gens qu’elle blesse en rendant publiques des conversations privées et après ça vient vous donner des leçons de morale et de civilité.
mais Clopine si on devait trier le bon grain de l’ivraie la première personne à virer de ce blog ce serait vous !
L’Aurore fait savoir que la mousse crémeuse commence a serieusement lui peser sur l’estomac et revendique qu’on la considère désormais avec plus d’égards.
Le cerveau du putsch militaire de 1981 voulait 6 ministres de gauche …le lieutenant-colonel Tejero, qui croyait que le putsch instaurerait un régime militaire pur et dur, tomba des nues en apprenant qu’il devait en fait contribuer, avec ses gardes civils, à la nomination de ministres de gauche et il refusa net au général Armada l’accès à l’hémicycle parlementaire. (latinreporters 23.2.2006)
« Clopine à l’aurore travaillée au pastel, rose, bleue, moussue et crèmeuse… dit: 29 septembre 2015 à 13 h 44 min
De mieux en mieux, Paul Edel me connaît désormais si peu… »
arrêtez donc de vous considérer comme le centre du monde.
le monde ne tourne pas autour de votre personne, allez donc faire soigner vos complexes de persécutions et votre schizophrénie paranoïaque avant d’accuser et d’épingler les gens comme un agent du KGB ou de la gestapo !
incroyable d’être aussi timbrée.
mes parents sont très fâchés de ma participation trop assidue à ce blog, je suis devenue très agressive, aigrie, et je me fait des films idiots, persuadée que mon libraire à pézenas est au courant de cette addiction.
J’ai bien connu Patrick Roegiers, un jeune garçon très doux avec des petites fesses rondes qui cohabitait avec Jacques Barozzi dans l’ancien appartement de mes parents, depuis qu’il est descendu sur Paris c’est devenu un dur, fier, hautain, qui vous écrirait crèmeux en lieu et place de crémeux.
Suarez convaincu que le cerveau de l’opération était… (Izquierda Plural pide una comisión de investigación sobre el 23-F
http://www.infolibre.es/noticias/politica/2014/04/02/izquierda_plural_propone_una_comision_investigacion_sobre_f_15259_1012.html)
« la liste, ce n’est pas moi qui l’ai dressée, j’ai recopié dans Wikipédia »
On appréciera la force clopinienne de l’argument d’autorité: « ah, vous pensez que j’ai dit une anerie? Wiki l’a dite avant moi! »
Que ces listes puissent servir à proscrire ou discriminer n’est meme pas envisagé…or c’est précisément là le nœud du problème. Quant au mérite littéraire d’un Barrès comparé à un Mabire, mieux vaut ne pas insister. Et que dire de ceux qui n’y sont pas
Merci au Danube de la Pensée du pays de Bray pour ce joyeux moment, et longue vie à ce manuel des Castors Juniors de la Nouvelle Bonne Presse, celle du Nouvel Obs et de Libérama.
MC
Des nouvelles de Mac, rose bonbon ?
monsieur court pourriez – vous préciser vos allégations surfaciales et pseudo mondaines sur Barrès supérieur selon vous à Jean Mabire, certes il a beaucoup pompé à Degrelle, mais on est vraiment las de ces histoires de gros durs à cuire et de fond de gamelle pas frais.
les scènes de Javier Cercas chez le psy sont drôlatiques.
@ canardquirit, non pas pour le moment, la dernière fois il avait une petite voix de souris grise màc, une souris qui s’est fait prendre avant d’avoir mangé le gruyère.
on lui a rein demandé mais faut que le p’tit Court la ramène… dame, les ergots le démangent
lecteur occasionnel de jean mabire dit: 29 septembre 2015 à 14 h 26 min
Barrès supérieur selon vous à Jean Mabire
Ben houi Jean Mabire c’est pour les cordélites : justement c’est pour savoir les faire, les pompes… Faut pas des trados en soixante langues !
Maurice Barrès lui sa colline c’est surtout un repère pour l’aviation… Faut pas l’enlever non plus sinon c’est des coups à aller se vacher n’importe où !
D. dit: 29 septembre 2015 à 0 h 02 min
mettre Linux à la place.
Hallez go c’est parti ! Debian directos. on a même un sympathique forum en français ; dès qu’on comprend pas on a la flemme de chercher on se fait essepliquer immédiatement !
l’arrivée au pouvoir du Caudillo…
—
in caudillo venenum (veni, vici VD)
‘zounds…!
veni, vici, VD
MCourt écrit : « Castors Juniors de la Nouvele Bonne Presse, celle du Nouvel Obs et de Libérama »… meussieu courte préfère valeurs actuelles ou, mieux, celles d’avant-hier
« (…)les éditeurs français ont décidé de retirer des librairies et de la vente, les œuvres qui figurant sur la liste suivante (…) Il s’agit de livres qui, par leur esprit tendancieux et mensonger ont systématiquement empoisonné l’opinion publique française ; sont visées en particulier les publications de réfugiés politiques ou d’écrivains juifs qui,trahissant l’hospitalité que la France leur avait accordée, ont sans scrupules poussé à une guerre, dont ils espéraient tirer profit pour leur buts égoïstes. (…)»
Préambule, Liste Otto : ouvrages retirés par les éditeurs ou interdits par les autorités allemandes, Paris, septembre 1940
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8626072f/f2.image.swfv
faut séparer le bon groin de l’ivresse, ça dira moins de conneries!
Faut arrêter de couper les cheveux en quatre ; l’expression « Que les pays d’origine se débrouillent » veut exactement dire : « Que les migrants se débrouillent ».
Que Raspail soit un écrivain de droite, c’est clair, il le revendique lui-même. Son roman parle-t-il pour autant de la situation actuelle. Pas le moins du monde, à mon avis. Comparer la venue de 140 000 migrants à une invasion, faut vraiment être …de droite…!!
Ce genre d’écrivains prétend abusivement défendre la France alors qu’ils l’enfoncent. La France a depuis 1880 été un pays d’immigration pour son plus grand bénéfice, bénéfice culturel et économique : que serait la littérature moderne sans Ionesco, Beckett et tant d’autres venus d’ailleurs.
Ils ont en outre si peu confiance dans la culture française qu’ils prétendent défendre qu’ils la croient fragilisée par la venue de quelques centaines de milliers de migrants. C’est dire leur bêtise !
Mon grand-père est venu en France de son stetl de Pologne pauvre comme Job. En dix années de dur labeur il s’est payé trois étages boulevard Haussmann pour sa maison de couture et a rapporté de l’argent à la France. Il savait à peine parler le français; son petit-fils est prof de lettres. C’est ça l’assimilation. Il en est de même pour les immigrés maghrébins. Les fils d’épiciers deviennent médecins, ingénieurs, etc. et sont parfaitement assimilés. En plus, ils me paieront ma retraite dans quelques années. C’est la France éternelle, celle qui a fait de Chrétien de Troyes, un fils probablement d’immigré juif l’un des plus grands écrivains français. Et le brave minus habens de Raspail peut aller se rhabiller !
« (…)les éditeurs français ont décidé de retirer des librairies et de la vente, les œuvres qui figurant sur la liste suivante (…) Il s’agit de livres qui, par leur esprit tendancieux et mensonger ont systématiquement empoisonné l’opinion publique française ; sont visées en particulier les publications de réfugiés politiques ou d’écrivains juifs qui,trahissant l’hospitalité que la France leur avait accordée, ont sans scrupules poussé à une guerre, dont ils espéraient tirer profit pour leur buts égoïstes. (…)»
Je me garderai de porter un jugement sur le fond, mais stylistiquement, il faut reconnaître que c’est impeccable.
Le Caudillo ben en voilà un qui est venu avec des migrants… Tout un fromage pour trouver des bateaux capables de transporter sa phalange turbinant en turban du Maroc à l’Andalousie ; oh ça a commencé petitement… Haprès il a eu aussi des Espagnols métropolitains, sans parler des Pointus d’on sait pas où comme disait Sardou… Mit Luftpost !
il faut rester vigilant dans ces histoires dans la mesure où il parait que les erreurs d’étiquetage des bébés dans les maternités sont assez fréquentes, sans compter les 40% de pères qui ne sont pas les pères biologiques de leurs enfants, il faut savoir rester très vigilant dans ces histoires.
oui, WWG, sans compter les artistes les plus populaires, la liste est longue de ADJANI à VENTURA !
un bateau de réfugiés kurdes s’est échoué à Boulouris, près de Saint-Raphaël, à quelques mètres du bureau où j’ai écrit Le Camp des saints ! Cette affaire a fait un foin terrible dans la région. (Jean Raspail)
Je me rappelle. Nous habitions Saint-Raphaël à l’époque. Nous avons tous eu très peur.
Polémikoeur. dit: 29 septembre 2015 à 11 h 01 min
vous pourriez me le réexpliquer autrement svp ?
je voudrais pas revenir dans le passé pour des prunes.
En dix années de dur labeur il s’est payé trois étages boulevard Haussmann pour sa maison de couture et a rapporté de l’argent à la France.
les temps ont bien changé
Pas étonnant que l’imposture
ne soit pas un sujet à succès
pour la (très) petite communauté
du commentarium, riche en postures.
Un parti certain, dans l’imposture,
n’a même pas la force de se voir
comme tel, se roulant devant
le moindre pouvoir établi.
Bêtes de cour, en cour
ou en manque de l’être.
Chenillardoniquement.
le mieux serait de refiler la France aux habitants de tous ces pays en guerre, et demander à tous les français partir vivre là-bas : le soleil, la mer, la plage, les pins d’Alep, l’huile d’olive, le rêve…
le pire pour une terre d’asile comme la France c’est quand l’hiver approche, ça fout le bourdon.
Polémikoeur. dit: 29 septembre 2015 à 16 h 42 min
ouai mais ici au moins on a notre barde.
Tout, vous saurez tout sur les lectionnaires grecs, byzantins, vétérotestamentaires, néotestamentaires…
Une édition courante de la bible en poche, c’est largement suffisant. Pour l’intérêt et le profit qu’on en retire…
En dix années de dur labeur il s’est payé trois étages boulevard Haussmann pour sa maison de couture et a rapporté de l’argent à la France.
Pour éviter toute polémique, postulons qu’il a payé ses impôts ponctuellement et rubis sur l’ongle.
« Emmanuelle Micron dit: 29 septembre 2015 à 16 h 31 min
oui, WWG, sans compter les artistes les plus populaires, la liste est longue de ADJANI à VENTURA ! »
et aussi tous nos hommes politiques, de Rama Yade à Rachida Dati.
Bloom, « in caudillo venenum », c’est du bon !
son petit-fils est prof de lettres (Albablabla).
Et quel prof!
le pire pour une terre d’asile comme la France c’est quand l’hiver approche, ça fout le bourdon. (changement de climat)
Mais pas du tout; N’est-ce pas Mallarmé qui a dit : » L’hiver, saison de l’art serein, l’hiver lucide » ?
Gageons que tous ces migrants qu’avec Widergänger nous allons accueillir à bras ouverts, stimulés, justement, par le changement de climat, vont se montrer inventifs, créatifs à qui mieux mieux. Pour le plus grand bien de notre pays. Par exemple, certains — dont les médias nous disent que beaucoup sont tentés par la conversion au christianisme — se lanceront dans l’étude (trop négligée) des lectionnaires byzantins, turco-arméniens, néo et vétéro texticulamentaires.
Je me garderai de porter un jugement sur le fond,
—
Faux-Q. La Gerbe (Je suis P. etc)…
@ Michel Alba
Un conseil de lecture, si vous permettez : « Sauve qui peut la vie », Nicole Lapierre, Seuil/ La Librairie du XXIe siècle(272 pages – 17.00 €)
J’ai pensé à vous en le lisant. Des thèmes qui vous préoccupent. Vous pourriez en tirer profit.
Barde, barbe, harde, garde,
tenez, en guise de coïncidence :
« Mentir, y’a que ça de vrai ! »,
« Figures libres » de Roger-Pol Droit
in « Monde des livres » du 25 septembre.
Frictionactivement.
Bloom dit: 29 septembre 2015 à 17 h 00 min
Je me garderai de porter un jugement sur le fond,
—
Faux-Q. La Gerbe (Je suis P. etc)…
Je suis ravi que Bloom ait si vite réagi à un post spécialement rédigé à son intention. Bloom lit avec une étonnante perspicacité dans mes arrière-pensées et sous-entendus, peut-être un peu trop soigneusement pesés; mais toutes les occasions de s’amuser sont bonnes. Merci, Bloom. J’ai beaucoup ri.
Merci, Bloom. J’ai beaucoup ri.
Olé ! Toro !
Rime riche:
« Jean Marron, roi des c…. »
Ach, ze fun we haf!
on a bien ri aussi, venus de loin en car, nous avons été accueillis par des gens très ordinaires qui se nourrissaient de lettres bibliques exclusivement, ce fut pour nous une épreuve gastronomique sans précédent, on nous avait pourtant vanté la gastronomie, pardon, la bistronomie française, nous avons dîné de cuisses de grenouilles de bénitier.
Entre gabegie & corruption, les potes à la Zoon se la coulent douce à Gaza:
« In 2013, the European Court of Auditors, an independent E.U. regulatory body set up to monitor the union’s income and spending, discovered that $2.64 billion of European aid investment in the West Bank and Gaza between 2008 and 2012 alone was squandered—lost to mismanagement and corruption.(…)
Where did all the money go? Recent leaked documents give two anecdotally instructive looks into the lifestyles of the Palestinian rich and famous, paid for by the kindness of strangers. In one instance, Majdi al-Khaldi, a close Abbas adviser, asked Bahrain’s foreign minister for $4 million to pay for the construction of a luxury gated community for top P.A. officials. This, al-Khaldi wrote, was necessary in order to resist nearby settlements, even though there were no settlements nearby. For Nazmi Muhanna, the general director of the Palestinian Crossing and Borders Authority, the political was personal: He syphoned off nearly $10,000 to send his daughter to a fancy private school in Jordan. Still, he was better than the former leader of Fatah in Gaza, Mohammed Dahlan, who celebrated the nuptials of his son in Cairo earlier this summer with a modest party that cost $2 million, including an Oscar de la Renta gown inlaid with hundreds of jewels and pearls. Even if you take into account the economic hardships of a society struggling against foreign military presence in its midst, the P.A. has still received, to use a technical term for a moment, oodles of cash, several Marshall Plans’ worth, and has no schools, no roads, and no other forms of infrastructure to show for it ».
Pas fréquentables, ces mecs.
Relu ce matin, dans la magnifique traduction de Jacques Aubert et consorts, le chapitre où l’homonyme de Bloom, Leopold, assiste aux funérailles de ce pauvre Paddy Dignam. Le moins qu’o puisse dire, c’est que Leopold ne semble pas candidat à l’étude des lectionnaires néo ou vétéro byzantins. Pourtant, certaines de ses réflexion (in petto), ne sontpaqss loin de ce qu’on lit dans « l’Ecclésiaste » ou dans les oraisons funèbres de Bossuet. qu’on en juge :
» suis prsuadé que la terre sera
Y en a pas, des migranfugiés, des rémigrants, qui tentent la mer d’Aral ? Le lac Байкал ? Le lac Tahoe comme ça ils peuvent divorcer au passage…
l’homonyme de Bloom, Leopold,
—
C’est l’inverse. L’homonyme, c’est moi. Je dirais même plus le pseudonyme, c’est moi. « Agenbyte of inwit, ye prick ».
Relu ce matin, dans la magnifique traduction de Jacques Aubert et consorts, le chapitre où l’homonyme de Bloom, Leopold, assiste aux funérailles de ce pauvre Paddy Dignam. Le moins qu’on puisse dire, c’est que Leopold ne semble pas candidat à l’étude des lectionnaires néo ou vétéro byzantins. Pourtant, certaines de ses réflexion (in petto), ne sont pas si loin de ce qu’on lit dans « l’Ecclésiaste » ou dans les oraisons funèbres de Bossuet. Qu’on en juge :
» Suis persuadé que la terre serait enrichie avec du compost de cadavre, os, chair, ongles, fosses communes. Effrayant. ça tourne au vert et au rose, la décomposition. ça pourrit plus vite dans une terre humide. Les vieux desséchés plus durs à cuire. Alors une sorte de chanci une sorte de frometon. Après ça commence à noircir, de la mélasse suinte d’eux. Après ils se racornissent. Papillons tête-de-mort. Bien sûr les cellules ou je ne sais trop quoi continuent à vivre. Se transforment. On vit à jamais en somme. Rien à bouffer elles se bouffent elles-mêmes. »
» L’Ecclésiaste », version hard.
Pas de « c » cédille majuscule sur mon clavier. Cette précision pour tenter de m’éviter les foudres de Bloom (l’autre).
grâce à l’entregent de notre galliériste, Monsieur Ben Jelloun a vendu quelques unes de ses aquarelles aux mairies des Hauts de Seine, il nous fut néanmoins difficile de déchiffrer son écriture un poil désordonnée qui envahit ses oeuvres assez basiques de conception, une maison à toit bulbe, orné de quelques ornements figuratifs. Cela nous change bien évidemment des oeuvres le plus souvent proposées en illustration des billets, assez charcutières.
Il faut être krons comme des européens pour aider les gazaouis à dépenser notre pognon pour leur lubie :
-s’envoyer en l’air en famille
-envoyer sur Israël des gâteries missiliques !
Et y a des timbrés européens qui pleurent lorsqu’ils voient une belle photo de « crime israelien impardonnable ». Mise en scène sanglante : spécialité gazaouie …
Ach, ze fun we haf! (Bloom )
Pof pof
» suis perrsuadé que la terre sera
—
– Cher confrère, l’AVC guette.
– L’infar, oui, c’est tout nécrosé là-d’dans.
– Plutôt un début de wilkinson ou de kretuzfeld Jacob, fils d’Isaac & et petit-fils d’Abraham, en forme de pichenette rétributive dans sa ‘tite tronche à casquette SS….
– kwakilensoi, c’est vieux et ça pue, c’t’indiscutable. La Gerbe…
Je dirais même plus le pseudonyme, c’est moi. (Bloom)
Un pseudonyme, au sens où l’entend Bloom, ça n’existe pas pour moi. J’ai déjà eu l’occasion de le dire. Tel l’Ulysse (d’Homère cette fois), le « pseudo » (ce qu’on appelle comme ça par paresse) pourrait dire : « Mon vrai nom est Personne ». Ou alors une personne, mais totalement imaginaire, sans référent dans le « réel ». Le réel, le réel, est-ce que tu sais seulement cexé que le réel ? Ah la la, tout ça, tout ça, c’est du bidon.
Plutôt un début de wilkinson (Bloom)
Pas d’insulte au héros de Toulon, de tout Toulon, ou ça pourrait péter !
Qui est ce Bloom dont tout le monde parle ici, nous n’avons pas été présentés.
Clotilde, tu as oublié !
Bloom, c’est ce type qui t’a sautée sur l’armoire du séjour, tu étais bourrée, il t’a dit : « C’est moi, c’est Clovis … allez zou, suis moi sans crainte : au pieu ! »
Tu lui as piqué sa montre, tu te souviens, maintenant ?
« Clothilde de Saint Privat dit: 29 septembre 2015 à 17 h 55 min
Qui est ce Bloom dont tout le monde parle ici, nous n’avons pas été présentés. »
Zoon dit: 29 septembre 2015 à 17 h 35 min
Pas de « c » cédille majuscule sur mon clavier.
Ha mais normalement les majuscules prennent aucun signe, ni diacritique ni cabalistique ni du Zodiaque ni même de Coûfontaine ! C’était comme ça dans Rémi et Colette, instituteurs à Loudéac…
Et lLoudéac c’est la France ! Mais chais pas où c’est, hein… Pitêt dans le réduit breton !
°°°°°°°°°°°°°°<£££££££££
Loudéac, Trommelfeuer !
Pour se faire une idée honnête de l’entretien avec Jean Raspail dans Le Point. Le résumé « que les migrants se débrouillent » est une falsification.
Passou comprendra : il ne vit pas, ne pense pas, ne se vautre pas, dans le Bray, … et il me pardonnera comme on pardonne aux innocents.
Dans la guerre atroce à doite, Kosciusko-Mauricette/Morano-fleur-de-Prolo, qui a tort qui a raison ?
Je suis fou de Morano, elle a un effet terrible sur ma perception de la vertu. L’autre est à jeter … sèche comme une morue coiffée.
Widergänger dit: 29 septembre 2015 à 16 h 18 min
Faut arrêter de couper les cheveux en quatre ; l’expression « Que les pays d’origine se débrouillent » veut exactement dire : « Que les migrants se débrouillent ».
Vous avez tort, la malhonnêteté est manifeste.
« C’est leur problème, pas le nôtre. Cela ne nous concerne pas. Qu’avons-nous été faire dans cette histoire ? Pourquoi voulons-nous jouer un rôle ? Qu’ils se débrouillent ! Nous nous sommes jadis retirés de ces régions, pourquoi y revenir ? » (Jean Raspail)
geo
Où est la falsification, sinon en toi…. malheureux !
« Clothilde de Saint Privat dit: 29 septembre 2015 à 18 h 12 min
°°°°°°°°°°°°°°<£££££££££"
vous voulez aussi savoir ce que ça veut dire ?
ça veut dire Bloom, c'est écrit en birman.
J’ai fait un rêve, et Freud ne me sert à rien.
« Devant un Pierre Assouline attentif mais circonspect, Régis Debray se lançait dans une envolée historico-philosophique, une sorte d’improvisation weltgeschichtlich (il en est parfaitement capable) sur l’impérieuse nécessité d’inscrire, ici maintenant, le nom de Boualem Sansal dans le marbre du Goncourt.
« Tu as p’t être raison, Régis », finissait par dire Assouline, quoiqu’à regret (« qu’aurait fait Jacques Rivière? »).
Toujours prompt à s’émouvoir, Ben Jelloun, excellent coeur, opinait du chef.
C’était gagné.
J’ai été réveillé par un bruit d’explosion.
« C’est rien, je me suis dit, on exagère toujours », et je me suis rendormi.
Je ne vois pas de quoi vous vous inquiétez, Ueda. Les sociétés européennes, et donc leurs dirigeants, vont mettre un mouchoir sous leur humanisme de façade et se radicaliser aussi. D’ici à quelques semaines, toute l’Europe -c’est déjà le cas- va courir après les faveurs de Poutine, en clamant, ce qui est vrai, que l’Occident s’il veut survivre, ne peut se passer de la Russie. Et crac, on va passer aux choses sérieuses, l’Europe va lever le masque et commencer à s’aligner sur l’Est. Qui veut commencer?
Et crac, on va passer aux choses sérieuses,
Aaaah?
La fin du parti socialiste ?
http://www.franceinfo.fr/actu/politique/article/la-fin-du-parti-socialiste-734785
Qu’est-ce que je disais il y a quelques semaines? Les socialistes eux-mêmes conviennent que c’est fini. Et pour qui cet appel d’air?
Bérénice, regardez autour de vous. La fin du parti socialiste, c’est le commencement du « crac ».
Bien. Au vu des réactions étalées à la suite de mon com’, je me permets de préciser aux ignares que dans la parabole du bon grain et de l’ivraie, tirée donc de la bible, la leçon est que si l’on n’opère pas le tri, c’est toute la récolte qui est foutue.
Ce qui me semble effectivement un danger certain pour ce blog…
La fin du mandat de Hollande va être surréaliste : président de la république issu d’un parti qui n’existe plus…
Je ne sais plus qui a remarqué que les années 15 de tous les siècles sont des tournants. On y est.
Le bon grain c’est le calibre douze ?
Il y a aussi le grain en musique ; c’est, comment dire… granuleux !
Faut-il combattre le mal à la racine et bombarder les points stratégiques de Daesh, comme vient de le faire la France ?
C’est leur problème, pas le nôtre. Cela ne nous concerne pas. Qu’avons-nous été faire dans cette histoire ? Pourquoi voulons-nous jouer un rôle ? Qu’ils se débrouillent ! Nous nous sommes jadis retirés de ces régions, pourquoi y revenir ?
JC, tu sais lire ou pas? Raspail se réfère à Daesh et à la guerre en Syrie, pas aux migrants.
@Ueda : « envolée… weltgeschichtlich… impérieuse nécessité de… » Ok, mais plus simplement, le livre de Boualem Sansal (que j’ai pas lu), vous l’avez lu et vous le recommandez parce que vous l’avez trouvé très bon ?
« Clopine vespérale et de retour dit: 29 septembre 2015 à 19 h 21 min
Bien. Au vu des réactions étalées à la suite de mon com’, je me permets de préciser aux ignares que dans la parabole du bon grain et de l’ivraie, tirée donc de la bible, la leçon est que si l’on n’opère pas le tri, c’est toute la récolte qui est foutue.
Ce qui me semble effectivement un danger certain pour ce blog… »
non Clopine, ça c’est votre version, celle autoritaire des dictateurs, c’est la vôtre parce que vous savez qui est qui, qui fait quoi, vous êtes l’oeil de Moscou, vous comprenez tout au premier coup d’oeil…
ma pauvre, même ça vous ne savez pas le lire :
« Les serviteurs lui disent : » Alors, veux-tu que nous allions l’enlever » ? Il répond : » Non, de peur qu’en enlevant l’ivraie, vous n’arrachiez le blé en même temps. Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ; et, au temps de la moisson… »
Clopine, si Jésus avait craint que la mauvaise détruise la récolte il n’aurait jamais demandé d’attendre la moisson.
vous le comprenez ? ou il faut vous faire un dessin ?
Clopine à l’aurore travaillée au pastel, rose, bleue, moussue et crèmeuse… dit: 29 septembre 2015 à 12 h 53 min
Perso, le seul que je sauverais de la liste wiki,
Voici ceux que je sauve:
Gobineau (Lisez les Pléiades, les Nouvelles Asiatiques, les Lettres Aux Deux Athéniennes, la Correspondance avec Tocqueville etc., et les livres de Jean Gaulmier et Jean Boissel nullement suspects), Pierre Drieu la Rochelle, Lucien Rebatet (hélas : c’est une épouvantable ordure mais son talent est ce qu’il est), Louis-Ferdinand Céline (!),Léon Daudet le grand mémorialiste de la fin de XIXe siècle et du début du XXe, Jacques Bainville dont on réédite sans arrêt le Napoléon et l’Histoire de France, Pierre Gripari dont les Contes de la rue Broca sont immortels, JEAN RASPAIL. Et Barrès est un grand écrivain (La Colline, Amori et Dolori Sacrum, du Sang de la Volupté et de la Mort, Le Gréco, – La Mort de Venise qui doit se trouver dans Amori est un des grands textes de la langue française).
Weisbrot dit: 29 septembre 2015 à 19 h 34 min
@Ueda : vous l’avez lu et vous le recommandez parce que vous l’avez trouvé très bon ?
Voici:
1. Je ne suis pas littéraire et accorde à mon propre jugement sur ce plan un crédit limité.
2. J’ai lu une bonne partie du livre de Sansal, debout dans ma librairie (en deux fois), parce que je m’impose des contraintes budgétaires.
3. Ce que j’ai lu m’a paru littérairement de grande qualité, et en tout cas pas indigne de bien des romans déjà couronnés.
4. Les prises de position de cet écrivain ont suscité mon admiration.
Nous sommes dans une conjoncture très particulière et son coup de chapeau à Orwell n’est pas sans signification.
Salut, donc, à Sansal!
Pierre Gripari n’était pas riche et vivait dans une chambre de bonne. Je l’avais entendu dire au cours d’un entretien qu’il pissait volontiers dans son lavabo mais qu’il envoyait systématiquement ses visiteurs aux toilettes de l’étage.
Chaloux dit: 29 septembre 2015 à 18 h 54 min
Je ne vois pas de quoi vous vous inquiétez, Ueda.
De toute évidence, Chaloux, « vous me chinez » (C.P.).
Il est normal de s’inquiéter:
1. de ce que l’adversaire (celui qui vous désigne comme ‘ennemi’) soit mal identifié, ou trop tard;
2. de ce que, si la lutte est engagée, l’adversaire puisse nous obliger à mimer ses qualités détestables et nous conduire à lui ressembler.
Je ne vous « chine » pas, Ueda, mais j’éprouve une amicale peine à vous voir devenu aussi catastrophiste. Catastrophe il va y avoir, j’en suis persuadé autant que vous, mais pas celle que vous craignez. Une autre.
Ueda, merci. (2084) Donc ça va quand même au-delà d’une ((très importante) considération historico-politique… Je me demandais s’il n’y avait pas une part de « wishful thinking » : on est en sympathie avec le livre, on a envie qu’il soit le grand livre de maintenant (comme ceux d’Orwell l’étaient) mais c’est peut-être pas à la hauteur…
Lire une bonne partie de 288 pages debout dans sa librairie c’est pas rien… On peut aussi le feuilleter ici :
http://flipbook.cantook.net/?d=%2%2Fwww.edenlivres.fr%2Fflipbook%2Fpublications%2F99684.js&oid=3&c=&m=&l=&r=&f=pdf
(Pardon, le lien marche pas. On trouvera le fichier ici :http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Blanche/2084 )
de nombreux lecteurs de ce blog m’ont alerté de la présence quotidienne d’une certaine « Trouillefou » qui insinue sans arrêt des liens imaginaires entre la Belgique et Pierre Assouline, rien n’est plus faux, cet excellent biographe de Tintin est notre ami depuis de nombreuses années, il est très proche de notre web radio.
A propos de Rebatet, il faut tout de même que je précise que je possède un exemplaire des Décombres arrivé chez moi par héritage mais que je n’ai pas pu dépasser la page 15 de cet immondice : au-dessus de mes forces (pas grand-chose si on considère que la plupart des livres commencent à la page 9).
« Il en va du Royaume des cieux comme d’un homme qui a semé du bon grain dans son champ. Pendant que les gens dormaient, son ennemi est venu; par-dessus, il a semé de l’ivraie en plein milieu du blé, et il s’en est allé.
Quand l’herbe eut poussé et produit l’épi, alors apparut aussi l’ivraie. Les serviteurs du maître de maison vinrent lui dire: « Seigneur, n’est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ? D’où vient donc qu’il s’y trouve de l’ivraie »?
Il leur dit: « C’est un ennemi qui a fait cela ». Les serviteurs lui disent : « Alors, veux-tu que nous allions la ramasser »? « Non, dit-il, de peur qu’en ramassant l’ivraie vous ne déraciniez le blé avec elle. Laissez l’un et l’autre croître ensemble jusqu’à la moisson, et au temps de la moisson je dirai aux moissonneurs: Ramassez d’abord l’ivraie et liez-la en bottes pour la brûler; quant au blé, recueillez-le dans mon grenier »».
Il faut donc bien trier l’ivraie du bon grain, pour conserver la récolte…
M’enfin, m’en fous.
Lisez aussi, de Nicole Lapierre, Le silence de la mémoire, sur le dernier juif de Plosk en Pologne, la ville où vécurent mes ancêtres juifs de Pologne (là et pas loin, à trente bornes de là, à Raciaz). Livre qui permet de se faire une idée assez précise de ce qu’était le vie juive à l’époque. Dont il ne reste absolument rien, sinon à Plosk, une ruine qui abritait le conseil de la communauté juive de Plosk. Il n’y a même plus de cimetière juif (nulle part). Une partie des archives de la famille se trouve encore là. L’autre partie, plus au nord, à Mlawa. Elle vient aussi de là, Nicole Lapierre (Stein), le nom juif de son père).
Gobineau a beau être un écrivain de talent, il est évidemment suspect (suspect de racisme !), contrairement à ce que prétend cet âne ubuesque de Chaloux qui roule encore et toujours sa sinistre mécanique toute rouillée… Le pauvre homme ! Un huissier de justice… tu parles d’une justice !
Raspail est de toute évidence un pauvre imbécile, un de ces crét.ins arrogants et prétentieux comme Chaloux, incapable de comprendre que la pieuvre Daesh est en train de ravager tout le Moyen-Orient et de mettre en péril la paix du monde.
Les médias en parlent comme d’un nouveau totalitarisme.
Chaloux dit: 29 septembre 2015 à 19 h 22 min
Je ne sais plus qui a remarqué que les années 15 de tous les siècles sont des tournants.
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C’est moi ! Et secondairement Jacques Attali, qui m’a suivi… Mais pour le XXème siècle, c’est foutu. Le tournant, c’était le 9/11. Tout le XXIè siècle sera consacré à éradiquer cette vermine de la surface de la planète. Encore un siècle de perdu !
Widergänger dit: 29 septembre 2015 à 20 h 39 min
Alba, s’il ne te reste que ces petits procès là, je suis bien tranquille. Tu ne sais rien de Gobineau, malheureusement ressuscité par des ordures, c’est une double évidence. En la matière, je m’en tiendrais plus volontiers aux expertises de Jean Boissel (Berg International) et de Jean Gaulmier (Jean-Jacques Pauvert). Et à la lecture de ses livres. « Lecture », Alba, un terme sur lequel tu devrais te pencher sérieusement. »Ecriture », continue de n’en rien faire.
On peut avoir un aperçu de l’ouvrage chroniqué ici:
https://books.google.fr/books?id=98ePCgAAQBAJ&pg=PT1&dq=l'imposteur+cercas&hl=fr&sa=X&ved=0CBoQ6AEwAGoVChMI9OKps_CcyAIVymwaCh1lvAno#v=onepage&q=l'imposteur%20cercas&f=false
Force est de constater que le face à face Cercas- Marco tel que Cercas empétré dans son égo d’écrivain le retranscrit, c’est un peu la fable du coq et du renard.
Et le bouquin qu’aurait pu écrire Bermejo- on peut sauver le truc, après tout, non ?- aurait eu un autre rendu que la facilité quichottesque de cet écrivain, à court de lecteurs. Au moins l’imposteur l’a-t-il lu…
Amélie Nothomb a fait bien mieux. Et Nina ne s’en est pas laissée compter par la cruauté cynique de Prétextat Tach.
C’est moi !
Ni toi ni Attali.
Jean Gaulmier, pour lequel j’éprouve à la fois estime et affection, fut un gaulliste de la première heure. -Ceci pour éviter toute confusion.
Les totalitarismes étaient identifiables (et encore !, on a mis trop longtemps à identifier le stalinisme comme totalitarisme). Mais le totalitarisme islamiste comme fanatisme venant d’une branche de l’islam va mettre encore plus de temps à être identifié ; en cause le sentiment de culpabilité de l’Occident à l’égard de ses ancienne colonies et la lâcheté des gouvernants et des peuples qui les mettent au pouvoir. Dans les années trente, il y avait un comité anti-fasciste, qui luttait contre Hitler et Franco et Mussolini. Aujourd’hui, il n’y a rien. Et ceux, bien trop rares, qui vont à contre-courant de la doxa des bien pensants passent pour de sales racistes. On sait ce qui a suivi les années Trente ; on peut comprendre les craintes de Ueda au vu de ce vide politique inquiétant. Le réveil va forcément être tragique et sanguinolent.
Si ! Attali l’a dit plusieurs fois sur son blog, pauv’e tarte !
« Réfugiés, migrants et « envahisseurs » : le point de vue de Jean Raspail, auteur du « Camp des saints ». »
Là où cela devient intenable pour le pitre va-t-en-guerre qui gouverne la Hollandie, c’est que des terroristes sont fichés par les autorités américaines. Ils sont français, aux dernières nouvelles.
(et encore !, on a mis trop longtemps à identifier le stalinisme comme totalitarisme)
Alba, tu n’es qu’un cruchon qui ne raconte que des cruchonneries. Gide retour d’URSS, 1936.
Widergänger dit: 29 septembre 2015 à 20 h 54 min
Si ! Attali l’a dit plusieurs fois sur son blog, pauv’e tarte !
Probablement une citation, cruchon!
Le petit huissier de justice devrait se mettre à lire Gobineau au lieud e lire ses critiques…
Gobineau est un naïf, Alba, aussi naïf que tu es grotesque. Avec cependant un talent d’écrivain…
Il parait qu’il n’y a que 50 lycéens-info à vérifier- qui profitent de l’enseignement de 28 langues étrangères en option au Lycée, en france.
Ils cherchent un abri, eux aussi ?
Avec cependant un talent d’écrivain… (Gobineau, hein!).
Le petit huissier de justice ne sait même pas (tellement il est c…) que le sieur Gobineau a écrit un Essai sur l’inagalité des races humaines…! c’est dire le bœuf que c’est.
Chaloux c’est pas le tout, je vais me coucher. Ne me réveillez pas à point d’heure pour meubler sommairement votre insomnie et ne vous ingérez pas dans le territoire de mon sommeil paradoxal. C’est une violation d’un espace privé qui hélas ne trouvera pas le cadre juridique suffisant à sa protection. Merci.
Evidemment que c’est une citation, eh, pauv’ trouduc !
Albablabla, je n’ai pas le temps de polémiquer avec ton imbécillité.
Bonne soirée,
Non, c’est plus sioux:
« Et elle pointe un chiffre : en 2013, sur les 58 langues qu’un élève pouvait choisir au baccalauréat, 20 ont été choisies par moins de 50 élèves. Aussi appelle-t-elle à réduire le nombre possible de « combinaisons », d’autant que la carte des formations « reste pilotée par l’offre », et que les lycées l’entretiennent. »
http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKCN0RT0TD20150929?pageNumber=2&virtualBrandChannel=0
Vous pouvez continuer de distendre le débat avec qui vous savez, vous le valez bien quoique de shampoing vous n’ayez cure.
Vous devriez vous défaire de tous ces attributs honorifiques qui ne s’accordent que difficilement à votre côté « homme facile » , facile à cuisiner oserai-je ajouter à votre recette de riche.
Il faut quand même rentrer dans le dur:
« Elle( la Cour des Comptes, note de moi) relève qu’une option peut coûter jusqu’à six fois plus cher par élève qu’une matière du « socle », comme le français. »
même lien
De plus vous parlez au moins deux langues qui me sont étrangères: le français et l’anglais quant à votre latin c’est du patinage artistique franchement casse-gueule et je ne dispose pas du matériel nécessaire à affronter les grandes surfaces gelées, le froid polaire et les chiens de traineaux.
L’huissier de l’injustice se débine…
Accessoirement, pour les autres, Albablabla qui ne sait rien, confond l’écrivain Gobineau, très confidentiel au XIXe siècle, avec l’histoire de son oeuvre et le contexte de sa résurrection. Comme si on s’en tenait pour Nietzsche aux affirmations et publications de sa sœur. Même temps, même problématique. Toutes proportions gardées. Tout ceci échappant comme de juste à notre éminent professeur de collège.
Pour résumer du fond de ma retraite je dirai que de toutes les matières précieuses et rares et plumées, vous n’êtes pas et de loin de celles que l’œil préfère.
c’est qui ce « Gobineau »?
Petits potins de la rdl ?
Le poltergeist pourrait aussi briefer la secte sur la pocharde baveuse et incohérente de 21h10 ?
« Il y a peut-être, pour un écrivain, une pire infortune que de rester privé de l’audience qu’il souhaitait : c’est d’arriver à la postérité sous des travestissements qui l’eussent fait sourire ou l’eussent indigné s’il les avait connus. Telle fut la malchance de Gobineau ».
Jean Gaulmier, Spectre de Gobineau, Jean-Jacques Pauvert 1965, p. 19. – Un superbe livre.
Cercas a rencontré l’imposteur en 2009. Ce dernier avait 88 ans. Cela n’excuse en rien ce » je suis Marco » de l’écrivain. Ni n’explique ce qui ne nous est présenté comme n’étant pas un ensorcellement. Alors que faire le jeu du cynique, diable, ce serait quoi ?
21h18 cela ne vous regarde pas bien qu’exposé, lâchez-moi les baskets, je ne vous ai strictement rien demandé et je ne nourris aucune attente vous concernant, vous pouvez disposer ou continuer de vitupérer comme à l’accoutumé, cela ne me dérangera pas plus qu’une vieille crotte de mouche au bas d’une vieille fenêtre d’une masure insalubre non visitable. Je ne m’y attarderais pas plus qu’à ça.
Je trouve que le poltergeist perd une occasion de nous faire une description aux petits oignons de ses soirées un peu crasseuses en terrasse, avec mouches, comme il nous en vait donné un aperçu, il y a quelques temps.
La hairdresser doit le terroriser.
« L’Essai sur l’inégalité des races humaines développe une sombre philosophie de l’histoire. Gobineau constate que toutes les civilisations ont fini par la décadence : ce phénomène universel ne s’explique selon lui ni par la volonté de Dieu, comme le pensait Bossuet, ni par le relâchement des mœurs comme l’ont affirmé tous les moralistes, ni par l’action du climat supposée par Montesquieu. La cause du mal réside en l’homme même : à l’origine du monde, les races, d’ailleurs inégalement douées, étaient pures, mais le mélange des sangs a ravalé les meilleures au rang des pires. Loin de croire que l’humanité soit perfectible à l’infini, l’avenir la verra s’abrutir de plus en plus dans la déchéance des métissages. Cette thèse posée, Gobineau l’illustre par une histoire fantastique du genre humain ; il montre comment les Aryans primitifs, la plus noble des races, partis de l’Asie centrale, se sont noyés au cours de leurs migrations dans les flots impurs des Noirs et des Jaunes. Vision grandiose qui atteint souvent à l’épique : car malgré ses prétentions à la science – sa documentation incertaine surprend à l’époque de l’histoire positiviste – c’est une épopée romantique qu’il écrit, analogue dans son élan, contraire dans ses conclusions, à La Chute d’un ange et à La Légende des siècles. Ce contemporain de Taine et de Renan est un poète maudit pour qui l’histoire raconte la décrépitude fatale des nations. On voit combien il est loin du « racisme » contemporain : le paradis qu’il situe au pays des Aryans, perdu depuis des millénaires, est à jamais inaccessible et la race des seigneurs pour toujours abolie. Tout au plus admet-il que, dans l’abjection des foules, « des conjonctions fortuites » peuvent créer des individus qui conservent par miracle l’originelle pureté, ceux qu’il nomme, dans Les Pléiades, les « fils de roi ». Mais ces êtres exceptionnels ne sauraient interrompre la décadence de l’espèce livrée à l’aveugle déterminisme du sang. »
Enfin tout de même il produit une curieuse vision de l’évolution des peuples.
L’huissier de l’injustice, un cré.tin qui se prétend de gauche (!), qui vante les mérites d’un écrivain connu pour son racisme ! Typique de la France contemporaine, qui a sombré sous l’empire des imbéciles qui ont pris le pouvoir. Pauvre France. La France des Zemmour et des Guy Bedos !
Il nous en avait donné un aperçu de ses soirées. Pas joli, joli, tout cela. Crasseux, et surtout, à leur image.
21h44 vous devez faire erreur, je ne sors quasi jamais d’ailleurs que pour embrasser la solitude des lieux enfin redonnés à leur paix originelle. Ou de façon alimentaire pour travailler honnêtement.
La vie si vous même connaissez des affres bactériens ou viraux il faudrait voir à vous abstenir de projections même privées, portez un masque, accordez vous ce petit effort de salubrité. Merci.
J’aimerais bien que le poltergeist nous refasse la scène sous forme de tableau, je vous suggère le titre: » poivrots en terrasse, avec mouches » en s’inspirant d’un artiste de cabaret de ce coin de Paris. Ce serait faire preuve de création littéraire. Nous sommes là pour ça.
Les pervers narcissiques, Xème représentation.
J’ai bien l’impression que le poltergeist va se dégonfler.
Dommage pour le public !
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