de Pierre Assouline

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La République des livres
Un peu de la France

Un peu de la France

La page blanche de l’écrivain , ou plutôt son écran blanc, est un lieu commun de la pratique littéraire. Et même artistique et plus encore au lendemain d’un grand succès. On appelle cela la dépression post-partum, analogue à celle de la mère au lendemain de l’accouchement. C’est valable pour tous les créateurs. Woody Allen, qui est retombé en dépression la seule fois où ça lui est arrivé, a trouvé une parade dont il a fait depuis un système : au montage de son nouveau film, il travaille déjà à l’écriture du suivant. Ainsi il n’y a pas de blanc, dans sa vie quotidienne. Pas de respiration qui favorise la gamberge. Les écrivains devraient s’en inspirer. Ca leur ferait des économies de prozac, entre autres.

Cette angoisse, non de ne plus écrire mais de ne plus savoir quoi écrire, est au cœur du nouveau roman de Delphine de Vigan D’après une histoire vraie (478 pages, JC Lattès). N’ayant pas été enthousiasmé par son précédent livre Rien se s’oppose à la nuit, sur l’histoire de sa famille racontée à travers celle de sa mère bipolaire et suicidaire, je m’étais emparé du nouveau sans précipitation. Juste pour voir. J’avoue que j’ai été pris comme on peut l’être par un livre prenant, piégeant, accaparant. Du genre de ceux qui vous font rater des stations de métro. Ce qui fut le cas. Un bon test. Au début, on se dit qu’on a affaire à une autofiction bâtie sur un lieu commun du roman contemporain : l’impuissance créatrice. La narratrice est une romancière qui lui ressemble en tous points ; différents points de repère sont là pour l’accréditer : ses éditeurs etc jusqu’à l’identité de son compagnon, le journaliste François Busnel.

Une femme surgit soudainement dans la vie de cette femme : L., ainsi est-elle nommée, a tout d’une lectrice doublée d’une admiratrice ; elle prétend avoir été une camarade de classe ou de jeunesse. Progressivement, avec une intelligence, une habileté, une douceur,  une perfidie et in fine une perversité redoutables, elle se glisse dans son quotidien, puis s’y inscrit, s’y instille, s’y installe, non à son insu mais avec son consentement. S’enclenche alors un étrange processus d’envoûtement progressif. L. réactive habilement la façon impérieuse et exclusive d’être en lien avec l’autre, telles qu’elles avaient pu la vivre à 17 ans. Elle avait perçu le point de démence de la narratrice, et réciproquement ;

« Nous avons beaucoup de choses en commun mais toi seule peux les écrire » lui dit L..

Celle-ci n’est pas seulement de plus en plus intrusive dans la vie privée de son amie qui se laisse envahir jusqu’à consentir à des relations affectives de plus en plus ambiguës :

« Une méduse légère et translucide, qui s’était déposée sur une partie de mon âme ».

Voilà ce que L. était. A mi-chemin du récit, c’est en réalité d’harcèlement qu’il s’agit, thème déjà abordé par Delphine de Vigan dans Les heures souterraines (2009) sur le mode de la guérilla morale livrée contre une femme au sein d’une entreprise. Cette fois, l’arme est l’écriture, et l’intrigue tourne au fond sur le rapport parfois trouble entre l’auteur et le lecteur. L’influence de Stephen King est évidente, celle d’Hitchcock aussi avec ses glissements progressifs vers l’effroi. Elles sont même revendiquées. Passe encore que la ressemblance soit si frappante ; il est d’ailleurs difficile de ne pas garder à l’esprit les séquences du film de Rob Reiner les plus fortes dans lesquelles s’affrontaient à l’écran James Caan cloué dans son lit et la terrifiante Kathy Bates. Seul reproche : les épigraphes au début de chaque chapitre de D’après une histoire vraie, tirées de Misery de Stephen King. Pour ceux qui l’ont déjà lu et ceux qui ont vu le film qui en a été adapté (ce qui fait du monde), cela annonce trop ce qui va se passer et gâche un peu le plaisir de la chute.

C’est peu dire que cette histoire, parfaitement menée et maîtrisée malgré quelques facilités, est troublante, perturbante, déstabilisante. D’autant qu’elle se déroule dans un cadre très français, à l’écart du cosmopolitisme de la capitale, dans la campagne de la province, où le monument le plus souvent visité est l’hypermarché, où l’on tutoie le boulanger et le bistrot. On se dit que si c’est autobiographique, c’est bien recréé ; mais que si ça ne l’est pas, alors c’est très malin. En fait, si Delphine de Vigan a bien vécu le début, elle a inventé tout le reste ; mais elle l’a fait avec une constante ironie, dès le titre cinématographique D’après une histoire vraie, jusqu’à la toute dernière page.

Le mot de la fin ? « Fin * ». Sic. Surtout ne pas oublier l’astérisque lourde de sens mais lequel ? Cela renvoie à un passage du livre où L. nègre d’une actrice, révèle qu’elle termine toujours un texte de cette manière. Cela ne renvoie à rien. Juste une coquetterie d’auteur exigée par contrat chaque fois qu’elle écrivait, pour le compte d’une autre…005 (2)

Autre chose, dans un genre bien différent, tournant également autour d’un canevas battu et rebattu, mais encore plus français dans sa facture apparemment autofictionnelle Retiens ma nuit (220 pages, 20,90 euros, Plon) de Denis Tillinac. Déjà, la douceur du titre à la Johnny donne le la. Celui de la nostalgie. Ce que cela raconte ? Un homme et une femme plus tout jeunes, de nos jours en France, ils s’aiment et sont mariés mais chacun de leur côté. Qu’importe les péripéties. Seule compte la musique de leur rencontre, de cette passion qui les surprend à une saison de la vie où ils n’y croyaient plus.

Un incroyable printemps amoureux à l’automne des jours du narrateur coincé entre Cyalis et Stilnox. A partir de là, on peut décider de lâcher le livre dès les premières pages. Ce qui nous fait poursuivre la lecture, c’est le charme qu’il déroule jusqu’à la fin sans hiatus ni faux-pas. On reconnaît cet air-là : c’est celui d’une certaine bourgeoisie catholique de province dans ses langueurs, sa monotonie, sa fausse léthargie, son bonheur tricoté, de Mauriac à Simenon dans l’ombre de Balzac. Un monde qui reproduit les codes, les habitudes, les traditions sans trop se poser de questions.

La reproduction pour toute ambition. Ici l’ascenseur social consiste surtout à choisir le bon Rotary et le bon Country club de golf. « Faire semblant est devenu une succession de réflexes conditionnés » y lit-on. Ca bovaryse en pays blésois. La sonate que diffuse ce roman tire sa séduction du seul énoncé des villes qu’elle évoque : Chouzy-sur-Cisse, Blois, Mer, Beaugency, Meung… La Beauce est belle sous la plume de Tillinac, qui n’est pas celle du Péguy de la Présentation de la Beauce à Notre-Dame-de-Chartres. Ce serait plutôt la vie comme elle va à Chaumont, Loir-et-Cher, et la douceur de vivre en Val de Loire.

On y croise des notaires à la retraite, un beau-père retour de la chasse et surtout François et Hélène que le secret et la clandestinité excitent ; ils ne sont pas près d’y renoncer car ils savent bien qu’une partie du charme serait rompu si Yseut devenait Mme Tristan. Le narrateur est l’autoportrait de Denis Tillinac. On l’y retrouve tel qu’en lui-même : élément du patrimoine, historique dans son genre, étranger à son époque, vigie d’un monde pétrifié, gros fumeur qui crache ses poumons, si désuet qu’il ne sait même pas se servir d’un ordinateur, un lièvre à la royale suffit à son bonheur.

Seule réserve : un relâchement chaque fois que l’auteur s’épargne la peine d’une phrase («Pluie et brouillard» etc), s’autorisant ce qui ressemble plutôt à des didascalies en marge d’une pièce ou d’un scénario. Mais quoi, il ne peut être totalement mauvais l’écrivain à qui un paysage rappelle les collines du Charolais et du Brionnais, qui s’autorise la délicatesse des sentiments dans un monde de brutes, qui vibre de sa nostalgie avouée pour une France qui s’efface à force de discrétion et qui ose encore écrire :

« J’ai de la tendresse pour les vaches, leurs yeux doux et métaphysiques ; comme moi, elles se demandent pourquoi elles sont là plutôt qu’ailleurs ».

(« Ma photo la plus érotique » dixit HCB – Photos Henri Cartier-Bresson et Passou) 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 340 Réponses pour Un peu de la France

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 8h58

Entendu ce matin une virago médiatique (Léa Quelquechose) demander sur un ton comminatoire:

Comment est-il possible, en 2015!, que 17 personnes puissent être tuées, etc?

Son interlocuteur, pourtant un solide Breton (M. Le Fol), s’efforçait de faire comprendre que le choix entre une alerte jaune et une alerte rouge n’était peut-être pas de la compétence d’un ministre.

Cette dame méritait la fessée.

Le ridicule est quotidien.
Un chef d’Etat croit nécessaire de se déplacer pour une « catastrophe naturelle » qui ne fait que quelques morts et pour laquelle il n’est pour rien.
Mais il ne se déplace pas pour voir de plus près la « catastrophe humaine » politico-migratoire dont il est pourtant, avec beaucoup d’autres, co-responsable.

Papa, c’est quoi un président?
Un petit gros qui prend l’air grave dans une situation qui le dépasse.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 9h16

@Diagonal de 10:57
Non ! Je n’ai pas apprécié le début de « 2084 » de Boualem Sansal pour d’autres raisons que celle de l’intérêt trouvé à le lire. Au début, il y a un petit côté Terres du Couchant de Gracq, matiné d’Orwell sur la folie totalitaire, fort bien tourné. Je continue…

@camarade Ueda de 10:58
Ne donnons jamais une fessée à une dame qui n’en mérite pas l’érotisme sous-jacent…
(je repasse en boucle le défilé des Grandes du Nord, merveilles de l’Armée Populaire chinoise … merci !)

Madame Verniglia dit: 5 octobre 2015 à 9h19

Et pendant ce temps, nom de dla, l’Amiral de la Fiotte fait toujours son mariole sur son scoutère rue Fournier, il a laissé tomber le p’tit Court qu’il trouve trop bavard et faux-cul à son goût, c’est dire

ça c'est toujours aussi poilant ! dit: 5 octobre 2015 à 9h20

J’ai longtemps hésité à communiquer à la RDL ce texte reçu vendredi midi. c’était un petit paquet mal ficelé venant d’un ami un peu perdu de vue, , professeur de lettres à la retraite. Il vit dans les Pyrénées, à Pau exactement .A sa charmante carte postale représentant la grotte de Lourdes, il a joint une revue assez mince , à couverture jaune passé, « le Renouveau littéraire numéro 9 ». Il m’a signalé un article ,pages 22 à 28, intitulé « « Figure normande « . Je vous le photocopie sans aucune coupure ni retouche.
« Ame passionnée, inspirée par la lecture de Michel Onfray cette mère de famille d’origine normande vit dans une jolie ferme du pays de Bray, sur cette terre viking qui s’abreuve à pleins bords des pluies venues de l’océan. Parmi des prairies saturées d’eau, cette femme encore jeune , altière, éduque son fils, nourrit ses animaux, chante et cuisine au milieu de son époux et de ses animaux.. Elle vit, dans son adolescence , son énergie dilatée par la lecture des grands auteurs, de Victor Hugo à Marcel Proust. Elle comprit alors que le présent à la ferme ne lui suffisait plus et que le moment d’une nouvelle entreprise etait arrivée :elle créa un blog. Le bouillonnement littéraire et humoristique, la force d’une conviction, grossi par l’afflux et les péripéties d’une chronique familiale enjouée , lui valurent la renommée .Elle fascina le Milieu littéraire parisien par sa fougue, où la blague et la franchise le dispute à l l’attendrissement. Celle qui se fait appeler Clopine eut son chemin de Damas dans les allées du Salon du livre en rencontrant les plus belles figures de la littérature contemporaine. Son énergie naturelle fut alors sublimée dans le rêve d’un destin hors du commun grâce aux encouragements des plus hautes figures littéraires.. Elle publia un essai sur Proust et un recueil de nouvelles à caractère visiblement autobiographique qui satisfont aux exigences profondes des lettrés de sa génération. Pour bien des admirateurs de son blog, elle devint une Muse, au sens Romantique du mot. Ce fut pour elle l’occasion rêvée d’échapper à l’ennuyeuse et routinière vie de province malgré les beautés du passage des saisons sur le toit de chaume et les pizzicati des rossignols.
Ses interventions pleines de rêves , de familiarités, de sincérités successives, ses interventions exaltées, le flot débordant de ses jugements sur la RDL attirent alors les personnalités les plus diverses. Mais ses combats féministes et écologiques, son militantisme prolétairien-logé dans une âme d’ascendance si nobiliaire- attirent sur elle des puissances de destruction, des figures de colère, une meute de jaloux et de congénères envieux. Notamment chez les femmes. Des Erinyes apparurent. malgré les paroles affables de quelques- uns, personne n’arriva à désarmer ces Furies . Pire :ce combat personnel de Clopine mené pour le progrès humain lui vaut des inimitiés de certains commentateurs qui avaient favorisé ses premiers pas dans la prose. Certains timorés s’’éloignent de sa personnalité héroïque. Ce fut alors l’entrée dans un cycle de dérèglements, une bacchanale d’accusations réciproques, de reproches démesurés, de ricanement et de dérision générale qui fit que les bons esprits désertèrent le lieu.
Clopine passa outre. En elles- mêmes, ces inimitiés, ces sarcasmes eussent été sans gravité, mais la violence ,la fréquence, la bassesse ,l’acharnement et la continuité des attaques, exaspérèrent cette héroïque figure, qui, les mains noires de l’encre fraiche avec laquelle elle écrit ses pensées et ses émotions, combat d’une inspiration pure et étincelante, comme les ruisseaux qui cernent sa demeure.. Tenant ferme la hampe du drapeau du progrès culturel déchiré, elle traverse des bataillons d’ennemis et se bat sans hésitation pour briser les progrès du machisme et de l’Inculture.. Elle quitte des positions modérées pour des positions plus dogmatiques , aussi bien en politique qu’en littérature. Selon ses détracteurs elle prend alors l’initiative d’une lecture terroriste et triomphale des évènements culturels marquants. Elle apporte son imagination, des torrents de rêve et de générosité au pied de ceux qui n’ont ni les loisirs ni la fortune qui leur permettraient d’avoir accès à la culture et qui se refugient par dépit dans l’alcool,le PMU et le foot. Elle met à jour les misérables combines, la foire aux vanités des accapareurs de la Culture de la haute bourgeoisie qui veulent garder dans leur bibliothèque dorée un savoir qui leur permet de régner sur des foules humiliées. A propos de la publication « d’eddybellegueule » elle frappe un grand coup :elle prend la tête d’un comité de surveillance qui cherche à rendre homogène ce qui doit s’écrire à propos des nouvelles publications romanesques parisiennes. .En pleine période de troubles électoraux , elle forme des sections à Rouen, à Elbeuf, dans le pays de Bray ; elle demande alors le châtiment des esthètes décadents et des ces molles figures blanchâtres de l’élitisme culturel qui dressent un mur de papiers et de livres entre eux et le Peuple. Sa famille la retient de distribuer gratuitement ses œuvres.sur les marches de la cathédrale de Rouen, si bien peinte par Flaubert et si bien décrite par Monet..
Blessée par des comploteurs de sensibilité ultra- bourgeoise qui forment une agitation hideuse , surprise que ses plus fidèles lecteurs écologiste ne se rallient pas à chaque poussée de sa générosité et de sa hardiesse, elle quitte soudain la scène littéraire et médiatique pour un déroutant voyage dans la Russie de Vladimir Poutine .
Elle laisse ses admirateurs aussi bien que ses détracteurs dans une âpre rivalité qui ne masque pas un de réel désarroi. Certains disent qu’à l’abri des rayons du soleil printanier, elle surveille la chicorée coriace de son jardinet tandis qu’elle noircit des petits cahiers d’écolier pour capter les derniers échos de sa jeunesse enfuie.. »
Extrait d’un article d’une rubrique titrée « Figure normande et renaissance culturelle « » mars 2014. C’est signé Palmyre de Giraud de Prébois..

Evidence dit: 5 octobre 2015 à 9h22

DHH dit: 5 octobre 2015 à 10 h 43 min
Chaloux dit 8 h 56
A moins que ce post émane d’un usurpateur de pseudo souhaitant vous ridiculiser

Chaloux n’a besoin de personne pour se ridiculiser.

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 9h24

Le prochain génocide sera écologique

LE MONDE | 04.10.2015 à 18h16 •

Une analyse intéressante à cueillir sur le monde des idées.

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 9h28

Le dernier (petit) livre de Pierre Manent commence bien.

« L’expérience à laquelle continuent de s’alimenter nos dispositions les plus déterminantes et qui ne cessent de fournir ses motifs à la conversation qui fait le bruit de l’âme de la nation (joli!), c’est la défaite de juin 40….
La défaite avait été l’accident extrinsèque qui révélait la maladie de l’âme de la nation, que De Gaulle caractérisa toujours comme le renoncement ».

Le renoncement!
Magnifique, c’est tout-à-fait ça.

Je verrai bien la suite, je me méfie un peu de son Grand Compromis avec l’islam, mais c’est un homme en général plus intelligent que ses objecteurs. Ça ne fait pas du livre une vérité, ça en fait une bonne lecture.

Avez-vous remarqué que tous nos grands penseurs sont aujourd’hui catholiques?
Pierre Manent, Remi Brague, Alain Besançon, Jean-Luc Marion…

Les autres restent parqués dans la stratosphère de l’idéologie, ou sont des préposés à la médiation.
C’est à ces détails qu’on voit que nous avons été un grand pays.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 9h29

Ne soyons pas méchants avec les Distributeurs Automatiques de Prix, mais les Goncourt Renaudot Femina etc, etc, sont des breloques, des colifichets, des images pieuses, des friandises, données aux enfants…

Sansal aura un excellent bouche-à-oreille, le roman est bon de ce que j’en ai lu… mais enfin, si le Goncourt peut le protéger… ce qui n’est pas certain avec les islamo-fascistes tueurs algériens, amateur de buzz sanglant !

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 9h33

Puisqu’on vous traite de « fiote », JC (ce mot nauséabond qui nous fait revivre nos heures les plus sombres, où l’eau du bain était encore féconde), voici un défilé moins gaillard que nos belles du Shandong ou du Hebei (les Cantonaises, petites et boulottes, sont implacablement éliminées à l’examen physique).

On peut être militaire et mignon.

https://www.youtube.com/watch?v=jDZUoR583Es

heureux les simples d'esprit dit: 5 octobre 2015 à 9h33

la stratosphère de l’idéologie, (ueda)

les religions n’ont pas le moindre rapport avec une quelconque ideologie

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h34

Le renoncement!
Magnifique, c’est tout-à-fait ça

sapré zouz..tu t’autoréalises..c’est dans ton logiciel..une horloge suisse..coucou
raaah..enfin quoi !

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 9h34

Les ignares monopolisant le micro ne prouvent rien. (Chaloux)
_________
En effet, quand la littérature est confiée aux huissiers, on voit ce que ça donne…

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 9h34

Ueda je suis catholique et baptisée mais je ne pense pourtant pas, trouvez l’erreur, le défaut de fabrication. Tous les catholiques ne sont pas des penseurs et toute la pensée n’est pas catholique. C’est suspect d’ailleurs à le dire ou le penser.

Ami Rothé dit: 5 octobre 2015 à 9h35

Madame Verniglia dit: 5 octobre 2015 à 11 h 19 min

L’obsession de cette dame pour les marins doit bien avoir une origine.
Une vie passée à caresser les pompons ?

En toute logique et avec son niveau intellectuel elle est prête à passer du pompon à la Marine.

lecteur admiratif dit: 5 octobre 2015 à 9h35

« Puisqu’on vous traite de « fiote », JC (ce mot nauséabond  »

un mot que le pq lui-même utilise fréquemment pour parler de et (ou) à ses semblables
tant il est drôle et intelligent

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h36

On peut être militaire et mignon

et même la lumière au front ça aide!..au fond c’est plutot lcoup dgrisou

likomenas dit: 5 octobre 2015 à 9h37

le prochain génocide : a commencé avec les perturbateurs endocriniens et pesticides dont dont gorgées les salades,toutes , les rhétoriques bien ou mal comprises

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h39

Les ignares monopolisant le micro ne prouvent rien.

et mon larbin qui fait l’coucou tous les 1/4 d’heure.. »il est maintenant »..feignant..

zouzou dit: 5 octobre 2015 à 9h39

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 11 h 37 min
..une vraie de vraie raclure..

jc et ses commentaires les plus immondes possibles forcent l’admiration des bougros et autres grands de la pensée

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h41

le prochain génocide : a commencé avec les perturbateurs endocriniens et pesticides dont dont gorgées les salades

ménasse il autoréalise bien aussi..ma mère de ma mère..au martyr les belles filles se mettent du rouge au joue ménasse

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 9h42

Tsunami ou mille-pattes, c’est en tout cas réussi et artistique excepté peut-être le saut qui devrait être retravaillé.

Lacenaire dit: 5 octobre 2015 à 9h43

on attend le « ta gueule raclure » quotidien avec impatience, faut pas te gêner

lecteur poli dit: 5 octobre 2015 à 9h44

Au quatuor jc ueda wg et boug, le pompom de ce repère de dingues et extrême-droitisants

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h44

DHH dit: 5 octobre 2015 à 10 h 43 min
Chaloux dit 8 h 56
A moins que ce post émane d’un usurpateur de pseudo souhaitant vous ridiculiser

ddh en sort des bonnes quelquefois..faudrait bidouiller son logiciel pour augmenter la cadence..jicé pourrait se dévouer il montrerait que c’est un bon chrétien

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 9h45

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 11 h 34 min
Ueda je suis catholique et baptisée mais je ne pense pourtant pas

C’est ce que je vous reproche.
Vous ignorez nos sages, nos pères et nos prêtres.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 9h46

@Bloom
Oui, Racine est mal enseigné, ça en fait un pensum. Mais on peut trouver, inventer une pédagogie capable de passionner les élèves avec Racine. Mes professeurs de lettres de la rue Molière au Palais-Royal n’étaient pas capables de cette pédagogie-là. C’était un vieux monsieur un peu dépassé par Mai 68 déjà. Mais, il existe des manières passionnantes de lire Racine. Il faut y mettre les moyens. Or, l’idéologie en place, c’est de donner toute l’importance aux mathématiques et de négliger la littérature. Au collège mais aussi surtout au lycée. Il manque en France une vraie filière littéraire. À Chaptal, par exemple, il n’y a plus depuis 1973 de filière littéraire. Un des derniers a en avoir bénéficier, c’était le regretté Jean-Marc Roberts. Mais il en existe tout de même dans certains établissements avec même de la philosophie dès la classe de première. Mais trop rares. Florence Dupont et Barbara Cassin ont proposé à la ministre Belkacem un renouvellement de l’enseignement des langues anciennes avec la création d’une grande filière littéraire. Elles ont bien été reçues par un conseiller mais sans suite, c’est clair. La France au pouvoir se fiche pas mal du latin, du grec et de la littérature. L’Europe de la culture n’existe pas dans les faits.

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 9h47

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 11 h 34 min
sapré zouz..une horloge suisse.

Call me Godwin. Put it in arabic.

en effet dit: 5 octobre 2015 à 9h47

« on attend le « ta gueule raclure » quotidien avec impatience, faut pas te gêner »

c’est vrai le lundi matin il est un peu rouillé -la galerie de larbins pros se tient les côtes en attendant de se tordre ! un cerveau aussi impeccable, pensez!

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h47

Cette dame méritait la fessée

alerte rouge quelle dirait bonne clopine..

Ami Rothé dit: 5 octobre 2015 à 9h50

lecteur poli dit: 5 octobre 2015 à 11 h 44 min

marine et mélenchon, même combat, même niveau.

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h51

Papa, c’est quoi un président?
Un petit gros qui prend l’air grave dans une situation qui le dépasse.

zouzou il aurait préfèré un à la hugues hefner qui saute sur tout cqui bouge au sortir de la douche..les ptis gros c’est trop fourbe

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 9h52

La France au pouvoir se fiche pas mal du latin, du grec et de la littérature. L’Europe de la culture n’existe pas dans les faits.

N’était-il pas question de supprimer l’enseignement de la philosophie accessoire dans certaines filières? Je n’ai pas suivi la suite donnée à cette idée. Il me semble que certaines matières sont perçues un peu comme les médicaments de confort, pas indispensables et en voie de disparition.

Giovanni Sant'Angelo dit: 5 octobre 2015 à 9h52


…en Belgique,…tout le monde à été augmenté,…sauf,!…

…sauf, ce qui en on le plus besoin en solidarité sociale, et projet de travail en solo,…pour se débrouillés avec un Plus,!…
…d’artiste,…qui n’est pas enterré,…suivant les dogmes de suffisances de notre gouvernement d’extreme- droite belge,…
…augmentons nos bénéfices aux offshore leaks,…indispensables,…pour créer un suivis Moyen-Âge – Fiction,…

…qui n’existe, que dans les têtes-brûlées du capitalisme pour abrutis des codes, sur codes d’exclusions sociales en partages,!…
…Ah,!Ah,!…
…un niveau du nombrilisme de l’état – belge,!…à s’évertuer, à faire des invalides, ou pas,…suivant des positions de racisme social, avec comme bonux,…
…les suivis de mobbing et fracture sociale en cela,…de culpabiliser les demeurer et victimes,…des gouvernements successifs en Belgique aux royalties entre  » Castes « ,…
…plus que  » mafieuses  » du terroir,!…
…etc,!…
…faire le point,…Ah,!Ah,!…la honte à l’O.N.U,…à se raconter n’importe quoi,!…à se justifier des autres,…mafiosi collabo’s mondialiste de nos misères à long termes,…des moyens-âges aux Louis XV & Pompadour, à lèche-culs,!…suivant la Belgique,…en paradis- fiScal,!…
…la solidarité,…en rajouter tout les jours par la critique à jour,…

…augmenter tout le monde sauf, les cas comme le miens,!…a recevoir en plus 500 € à payez de réserves, pour l’électricité à Suez C°,!…
…tient, voilà du boudin,…entre deux mets,!…Ah,!Ah,!…etc,!…Vive la Belgique Libre de tout ses castes en connivence aux gouvernements successifs,!…
…Oui,!…tous compris pour faire taire les injustices accomplis, en nos terres de Bruxelles tout fruits confis,!…Ah,!Ah,!…
…et l’année prochaine en pension,!…
…à la recherche d’une terre d’asile,!…etc,!…sans belgitudes de cons soumis,!…Go,!…
…des frittes pour Dallas,!…Bip,!Bip,!…


…c’est beau l’opposition, avec des cons aux gouvernement  » d’extrême droite libéral  » , à se mettre,!…un artiste, peut en cacher un autre hors-flan et pudding-crème,!…
…etc,!…

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h55

(je repasse en boucle le défilé des Grandes du Nord, merveilles de l’Armée Populaire chinoise … merci !)

..que de cuisses..

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 9h57

ça m’a toute l’allure d’un postulat indémontrable

bordel jean marron..c’est ça un postulat

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 9h58

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 11 h 52 min
N’était-il pas question de supprimer l’enseignement de la philosophie

Dédé est un ancien inspecteur d’académie.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 9h58

lecteur poli dit: 5 octobre 2015 à 11 h 44 min
« Au quatuor jc ueda wg et boug, le pompom de ce repère de dingues et extrême-droitisants »

C’est énorme, déjà, d’être « poli », on en oublierait même qu’il est concon, le lecteur, et le bon côté c’est qu’un type poli c’est pas dérangeant, le contribuable idéal, quoi ! …

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 9h59

La combinaison pédagogique Français-Philosophie peut être très fructueuse dès la classe de Première.

Pour une élève de Première, je relis Nadja, de Breton, et je me rends compte qu’à la fin il se réfère implicitement aux Sophistes à travers l’idée de « sophisme ». Il prône en quelque sorte, pour vanter la quête de la Surréalité, une philosophie sophistique, contre-pied de l’idéalisme occidental de Platon qui est en somme le fondement du rationalisme européen. C’est intéressant d’autant plus que Novalis, dont se réclame aussi le Surréalisme, prend sa source dans la pensée sophistique qu’il mentionne à plusieurs reprises dans ses écrits théoriques. Le gros ouvrage de Barbara Cassin sur les sophistes grecs pourrait bien sûr servir aussi de support pour mieux lire en Première les textes de Breton notamment dans une pédagogie plus moderne s’il existait une grande filière littéraire en France. Elle permettrrait même d’éclairer d’un jour nouveau toute l’esthétique de la « beauté convulsive » de Breton. Ce serait tout de même autrement plus passionnant de d’apprendre le calcul intégral (qui me passionnait quand j’étais en Première, mais au détriment de la littérature). Ceux qui ont la « bosse » des maths sont pénalisés.

Poids et mesures dit: 5 octobre 2015 à 9h59

« La France au pouvoir se fiche pas mal du latin, du grec et de la littérature. L’Europe de la culture n’existe pas dans les faits »

Pourquoi, la France, l’Europe ?
Le gouvernement japonais propose de supprimer l’ensemble des sciences humaines et sociales de l’enseignement
Que n’entendons-nous zouzou ?

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 10h00

Ueda, Dédé ne me hante pas continuellement si c’est ce à quoi vous faites allusion. J’écoute la radio distraitement et je lis parfois paresseusement le journal.

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 10h01

Israel M’Boumba….. dit: 5 octobre 2015 à 10 h 24 min
Monsieur Zoon, nous avons besoin de postulat pour vivre. En outre, vous me voyez dire à la place la majorité des musulmans à Gaza sont intelligents ?

C’est vrai qu’on se fait des idées sur l’intelligence des gens. Par exemple, selon des études récentes, le Q.I. moyen des sionistes (Finkielkraut, Zemmour et Taguieff compris ) n’atteindrait pas le niveau de leur température anale.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 10h05

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 11 h 57 min
(ça m’a toute l’allure d’un postulat indémontrable)
« Bordel, jean marron..c’est ça un postulat »

Tu vois, Bougboug, c’est à des remarques désobligeantes de ce type : « L’eau mouille et le postulat par définition est indémontrable ! » que l’on voit que tu es de la charogne jésuite, bonne à gausser sur un détail conceptuel fondamental !

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 10h06

Ceux qui ont la « bosse » des maths sont pénalisés. (Widergänger)

Jusqu’au jour où il s’agira de trouver un premier emploi. Sauf en cas de décès prématuré, on aura bien le temps de lire Balzac ou Barbara Cassin. La culture littéraire peut attendre.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h07

En relisant Nadja, je me rends compte que, même si tout n’est pas du même « tonneau », certains passages, surtout vers la fin, sont vraiment magnifiques. La comparaison avec Le paysan de Paris, d’Aragon, tient la route. Quand j’avais découvert le texte alors que j’étais lycéen à Chaptal, en Première, j’avais préféré le texte d’Aragon. Ce qui est toujours un peu agaçant chez Breton, c’est le ton parfois grandiloquent pour dire des banalités, ce qu’on ne trouve guère chez Aragon, du moins dans Le paysan de Paris. Mais des textes comme le poème Tournesol, Union libre, l’Ode à Charles Fourrier sont des textes somptueux, magnifiques, profonds, le meilleur de Breton.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h10

Finkielkraut est peut-être bête mais il est quand même agrégé de lettres modernes après avoir été élève à l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud… Bête à ce point-là, beaucoup aimeraient l’être, tel notre Zon Zon qui peine tellement sur les textes et les problèmes évoqués ici.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 10h10

Les Nippons ont raison de supprimer chez eux ces vétilles intellectuelles : les « sciences » (!) humaines et sociales…

Cela ne sert à rien, par Euler, par Riemann, par Lobatchevski, de « travailler » (?) sur autre chose que les mathématiques !

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 10h11

Vu le bandeau publicitaire d’en-haut. Si Andrée Maalouf a un lien de parenté avec Ibrahim, ce sont effectivement des gens qui s’y connaissent en saveurs exquises.

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h11

contre-pied de l’idéalisme occidental de Platon qui est en somme le fondement du rationalisme européen

t’es une brêle qui sait pas lire..un contrepied de l’académie à la rente et des sophistes obligés de se faire payer..

Giovanni Sant'Angelo dit: 5 octobre 2015 à 10h12


…postulats et axiomes,!…c’est très loin, loin, tout cela,!…Ah,!Ah,!…
…des foreuses, pour ses étagères,…çà prend mieux,…que placer copier/coller, à leurres à faux-cons,…de clans à caste, en inversant la solidarité national,!…
…l »art de gouverner,…avec ou des faux-artistes,!…la street-metro art,!…gratuit,…
…pour des tuiles aux vents qui tombent tout seul aux parfums,!…Ah,!Ah,!…

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 10h12

Finkielkraut est peut-être bête mais il est quand même agrégé de lettres modernes après avoir été élève à l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud… (Widergänger)

ça ne prouve vraiment rien du tout.

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h14

Les Nippons ont raison de supprimer chez eux ces vétilles intellectuelles : les « sciences » (!) humaines et sociales…

pas en chine..la selection par province suffit..tsais jicé..dans l’libéralisme..les maths sont qu’un moyen d’sophistique..tu calcules dracul ?

Rome, objet de mon ressentiment dit: 5 octobre 2015 à 10h15

En, disons 73-74, on étudiait Breton et Aragon en première scientifique à Chaptal ?

Le boulevard des Batignoles rigole.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h16

Le livre de Barbara Cassin (L’effet sophistique) serait tout à fait approprié pour mettre en place par de bons pédagogues qui sauraient se l’approprier et trouver les méthodes adéquates pour en rendre certaines notions accessibles à des élèves de Première (dans une bonne classe d’une filière de bon niveau littéraire renouvelée) une compréhension profonde des textes du surréalisme et du romantisme allemand en travail de concert avec le prof de philo et d’allemand. Mais avec une Belkacem au pouvoir et la revanche des médiocres qui haïssent rien tant que l’intelligence et tout ce qui permettrait de former la pensée de nos élèves, il n’y a aucune chance que de telles filières voient le jour.

Bloom dit: 5 octobre 2015 à 10h16

Jambrun, qui fut Pegc, en connait un rayon sur l’arrogance venimeuse des petits frustrés.

Soupir dit: 5 octobre 2015 à 10h17

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 12 h 10 min
agrégé de lettres

Eh oui, à l’impossible nul n’est tenu.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h17

Je n’ai pas dit qu’on les étudiait, j’ai simplement dit que je les avais lu quand j’étais en Première, en 1972 même ! Tu peux rigoler, ça ne prouve que ta profonde bêtise, mon pauvre zizou.

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h17

l’opposition des sophistes et de l’académie n’a aucune valeur philosophique..que sociologique..de la référence..et t’en crève dracul..tu irais jusqu’a payer yavé..

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h20

que l’on voit que tu es de la charogne jésuite

..afin de rende au centuple à la grande nature
tout ce qu’ensemble elle avait joint

Rome objet de mon ressentiment dit: 5 octobre 2015 à 10h24

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 12 h 17 min

Donc on écrit :
j’ai lu quand j’avais 16 ans ou quand j’ai lu..
(Chaptal et ta première on s’en fout)

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h24

il est quand même agrégé de lettres modernes après avoir été élève à l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud… Bête à ce point-là, beaucoup aimeraient l’être

..toi tu préfères bien une étoile de david de 15 kil..une uzi en platine..une casquette de baisebol « yavé te nique »..vive la france dracul

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h26

Ça prouve quand même que Finkielkraut fut capable dans sa jeunesse de performances intellectuelles qui lui ont permis d’intégrer l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud. C’est déjà pas mal ! C’est un concours qui demande énormément de travail. Alors je veux bien qu’on puisse l’intégrer avec un 7/20 à l’oral d’explication de texte en lettres (c’est arrivé à un de mes copains de l’époque, devenu un dix-septiémiste distingué (thèse sur le Cardinal de Retz et les mémorialistes, excellente thèse d’ailleurs). Mais la qualité intellectuelle de ceux qui intègre l’école est indéniable. Cela n’en fait pas pour autant des penseurs remarquables comme l’est devenu pourtant Finkielkraut, très certainement, mais c’est tout de même une condition favorable… Maintenant, toute pensée est critiquable. Mais jusqu’à présent, on n’a rien vu sous la plume de Zon Zon quoi que ce soit qui constitue une pensée… On entend des bruits, des borborigmes plus ou moins drôles, mais c’est tout…

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h27

Mon petit Romain, c’est de tes réflexions débiles, dont tout le monde se fout…! Vade retro Satanas…

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h29

On entend des bruits, des borborigmes plus ou moins drôles, mais c’est tout…

« au début le plus beau des mondes n’est qu’un tas d’immondices jeté au hasard »

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h30

Breton, Aragon, disons : c’est deux cons, non ?

mais quels !..des pros ! ils ont écrit leur nom dans les étoiles..au hasard

bouguereau dit: 5 octobre 2015 à 10h33

Breton, Aragon, disons : c’est deux cons, non ?

z’ont réussit à s’autofinancer..imagines un céline financé par devindel..ou messerchmitt..le biznèce est bien trop bête..

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 10h35

Poids et mesures dit: 5 octobre 2015 à 11 h 59 min
Le gouvernement japonais propose de supprimer l’ensemble des sciences humaines et sociales de l’enseignement

C’est un canard.
Même les dirigeants du PLD sont issus des facs de droits ou d’économie.

En revanche, couper le bois mort périodiquement, c’est excellent.

La presse a déclaré que c’était pour former des braves étudiants immédiatement employables par l’industrie (即戦力を求める産業界の意向がある).

Sakakibara, le boss du puissant Keidanren (représentant les milieux d’affaires), a déclaré le contraire.

「大学・大学院では、留学など様々な体験活動を通じ、文化や社会の多様性を理解することが重要」
Ce qui est important pour les étudiants des universités et des ‘collèges’ c’est de comprendre la diversité des cultures et des sociétés au travers de multiples expériences comme les études à l’étranger.

Pas si con, le capitalisme.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h38

De même, on ne peut pas comprendre les tragédies de Racine sans les étudier de concert avec les sermons de Bossuet par exemple. Le genre tragique et le genre du sermon font la paire au XVIIè siècle (et sont intimement liés) pour dire la crise que traverse l’aristocratie française et ce que l’historien Jean Nagle a appelé « la civilisation du cœur ».

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h42

Il y a aussi maintenant de très bons bouquins à dstination des étudiants sur la tragédie, comme celui de l’un de mes anciens profs de fac, qui n’existait pas quand j’étais au lycée : Alain Couprie, Lire la tragédie, Dunod, 1998. Excedllent, précis, fouillé, avec une volonté de tendre vers un large choix des auteurs sur plusieurs siècles.

Oublions Racine dit: 5 octobre 2015 à 10h50

Tiens, un nouveau sujet de crachats pour certains ici.
Mankell est décédé.

Poids et mesures dit: 5 octobre 2015 à 10h52

Ueda dit: 5 octobre 2015 à 12 h 35 min
Poids et mesures dit: 5 octobre 2015 à 11 h 59 min
Le gouvernement japonais propose de supprimer l’ensemble des sciences humaines et sociales de l’enseignement
C’est un canard

Le gouvernement japonais ?

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 10h52

Le livre de Barbara Cassin peut aussi être utilisé pour mieux comprendre l’esthétique d’un Godard au cinéma. Lui-même n’est pas sans connaître Novalis d’ailleurs. Il faudrait qu’on soit dans une France qui n’est pas celle qui s’enfonce dans le néant et que dénonce à juste titre Richard Millet qui parle en connaissance de cause (et pas dans l’abstrait comme Ph. Sollers) puuisqu’il a été de nombreuses années prof de collège dans le 93.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 10h56

C’est curieux, les humains admettent facilement la réalité de la notion d’Infini … mais bloquent sur la réalité de la notion d’Eternité !

Or, l’univers est à coup sûr éternel, solution infiniment (!) plus probable que celle d’un univers créé d’un point origine, style Création d’un c.ouillon de barbu, monozygote ou tripode religieux, aviné, préhistorique, dépassé, mauvais Père en plus … !

Eternel statu quo de l’univers ! Solution particulièrement intéressante dans l’hypothèse de la mort et de la naissance d’univers multiples, en bulles !

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h00

Des écrivains comme Tillinac ou Richard Millet sont des écrivains qui appartiennent à ce grand courant de la « civilisation du cœur ». Implicitement et sans doute même sans en avoir pleinement conscience, c’est cette civilisation du cœur qui leur sert de guide et à frapper leur pays d’anathèmes pour en défendre les valeurs. C’est tout leur honneur. Ils cherchent (surtout R. Millet) à renouveler le « cœur », ce que personne quasiment ne comprend tellement le monde médiatique est devenu ignorant et veule et façonné par le moule de la doxa « multiculturaliste »…

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h02

Mais comme personne n’en sait rien pour l’instant, toutes ces hypothèses ne sont que bruit de fond ! Personne ne sait ce qu’est le Temps ni l’Espace. Et ce n’est pas la science qui nous le révélera un jour ! La science c’est simplement un discours du « comment » pas un discours de l’être ! Relire Schopenhauer et Wittgenstein !

tonton dit: 5 octobre 2015 à 11h02

JC….. dit: 5 octobre 2015 à 12 h 56 min
C’est curieux, les humains admettent facilement la réalité de la notion d’Infini … mais bloquent sur la réalité de la notion d’Eternité !

Gaffe JC, tu vires philo.

Gnondpom dit: 5 octobre 2015 à 11h05

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 13 h 02 min

Mimi butte sur la notion d’éternité.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 11h06

Soyons factuel : Mankell dont j’ignorais jusqu’à l’existence besogneuse, … mort ou vivant ….

RIP, compassionnel à la famille

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h08

R. Millet a pleinement raison quand il dit que nos véritables contemporains sont Racine, Bossuet, Pascal, etc. Pas un penseur plus en avance sur notre époque par exemple que Pascal. Racine nous plonge dans la civilisation du cœur, dont le rappel est absolument nécessaire pour comprendre R. Millet et la crise de civilisation que nous traversons.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 11h14

Le bruit de fond, c’est la religion. Le savoir, la connaissance, est autre chose : inaccessible au religieux.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h14

Les Anti-modernes (Antoine Compagnon), dont se réclame Richard Millet, ce sont précisément les grands écrivains qui se réclament tous plus ou moins explicitement (y compris Mme de Staël, par exemple) de la civilisation du cœur, qu’a inventé la France. Très grande et très belle invention. On comprend que R. Millet se battent pour la conserver. Ph. Sollers aussi, d’ailleurs, se situe plus ou moins dans ce grand courant de civilisation avec son culte du bonheur.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h17

Mais non, JC ! C’est totalement erroné comme façon de penser. Les grands penseurs qui ont inventé l’Occident techno-scientifique ce sont deux grand esprits religieux, à la fin du XIIè siècle, début du XIIIè s., je veux parler d’Averroès et de Maïmonide. Lire à ce sujet les quatre conférences de J. Attali faite à la Bibliothèque Mitterrand. La foi et la raison, c’est la même chose. C’est aussi d’ailleurs ce que dira plus tard Pascal en montrant les limites de la raison.

closer dit: 5 octobre 2015 à 11h18

Du passage d’Alain Finkielkraut à « On n’est pas couché », je retiendrai sept choses simples, mais décisives :

1. Une supériorité intellectuelle évidente et un vrai travail de la pensée en imposent, même et surtout à ceux qui sont englués dans une bien pensance qui certes flatte leur narcissisme, mais dont ils peinent à se sortir, comme la mouche dans une bouteille de Wittgenstein. Ce fut le cas, face à un Alain Finkielkraut narquois, d’un politologue au crâne lisse et aux idées courtes, un certain Thomas Guénolé, auteur d’un livre : Les jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? Après avoir écouté patiemment son réquisitoire, Alain Finkielkraut n’en fit qu’une bouchée.

2. Yann Moix, après une vaine et sirupeuse tentative de captatio benevolentiae en faisant appel à Lévinas, comprit qu’il avait intérêt à se tenir coi et eut l’habileté de poser des questions qui ne fâchent pas, laissant à Léa Salamé le soin d’étaler sa sottise, ce qu’elle fit – et il faut au moins lui reconnaître ce mérite – sans le moindre complexe. Yann Moix se borna à défendre Fleur Pellerin, ce qui procura un frisson de plaisir à un vieux présentateur de télévision, Bruno Masure, qui eut droit à quelques minutes de gloriole imprévues.

etc, etc…

A lire d’urgence dans Causeur, le media refuge de l’intelligence française que je suis curieusement le seul à citer ici.

Sinon ça vaut pas dit: 5 octobre 2015 à 11h25

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 13 h 17 min

Les curés de tous bords savent nous raconter la foi pour limiter la raison, ok, mais n’oublions jamais qu’ils sont curés.

Une pause s'impose dit: 5 octobre 2015 à 11h28

closer dit: 5 octobre 2015 à 13 h 18 min
que je suis curieusement le seul à citer ici.

C’est déjà trop et surtout depuis si longtemps.

Sinon ça vaut pas dit: 5 octobre 2015 à 11h34

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 13 h 26 min
Lisez donc le livre de J. Attali au lieu de nous accabler de votre bêtise

A raison de quatre ou cinq par an, comme dirait Paul Edel, ma bourse n’y suffirait pas.
Les curés sont prolifiques.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 11h36

Je ne bougerai pas d’un pouce !

Etant ni intelligent ni religieux, j’intuite que le bruit de fond (…des âges ?) c’est la religion, quelle qu’elle soit !

Trace de la fiente initiale… est ce clair ?

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h37

Vous ne vous ruinerez pas :
— J. Attali, Raison et foi Averroès, Maïmonide, Thomas d’Aquin, BNF conférence Del Duca, Bibliothèque Nationale de France, prix 7€

bérénice dit: 5 octobre 2015 à 11h38

ça ne prouve vraiment rien du tout. Zoon.

ça prouve qu’un intellectuel peut simplifier son discours jusqu’à la médiatisation pour le rendre accessible à chacun. Imaginez un instant qu’il nous sorte toute sa science sans synthèse ni réduction, France culture ferait faillite. 70% de remise sur la philosophie, un prix d’ami pour relancer l’économie du débat et l’emploi sur la radio publique.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h42

JC, l’esprit religieux c’est toi, qui fais une religion de la raison. C’est précisément cet esprit-là que dénonce et pourfend Pascal dans les Pensées.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 11h47

Lorsque j’entend parler de Pascal, d’Attali ou de n’importe qui ayant eu des idées avant de crever comme n’importe quel autre, je m’efforce d’exercer mon jugement … sereinement. « Ni Vieux, ni Mètre »

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 11h48

Ça prouve quand même que Finkielkraut fut capable dans sa jeunesse de performances intellectuelles qui lui ont permis d’intégrer l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud. C’est déjà pas mal ! C’est un concours qui demande énormément de travail. […] Mais la qualité intellectuelle de ceux qui intègre l’école est indéniable. (Widergänger)

 » qui intègrent l’école « , eh, patate.

Aujourd’hui, je me serai vraiment marré en lisant Widergänger.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h51

Finkielkraut a encore raison quand il dit que la France traverse une crise de l’intégration. L’élève de Première au lycée en Seine Saint-Denis, qui fait l’éloge des islamistes en prison en Egypte et du régime d’Arabie saoudite ne connaissait strictement rien de la France, sauf un peu la Bretagne, m’a dit-il, où il est allé parfois. Autrement il ne fréquente absolument pas la province française. C’est une génération tout de même très différente de la mienne où nous avions tous de la famille en province, des oncles, des tantes, exerçant des professions d’agriculteurs pour la plupart et qui nous ouvraient l’esprit sur d’autres mondes, d’autres façons de sentir, penser, vivre. Ce n’est plus du tout le cas pour cette population émigrée du 93 qui connaît mieux l’Egypte salafiste et l’Arabie Saoudite que la Sologne…!

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 11h52

Tu te marres peut-être mon Zon Zon, mais t’a aucun argument à faire valoir, à partir des corrections grammaticales d’une folle cuistrerie…

Attila dit: 5 octobre 2015 à 11h56

« au lieu de nous accabler de votre bêtise. »

J’ai dû rater un épisode !
WGG ne disait-il pas, encore récemment, que JC était son seul alter ego sur la RDL ?

Lanterne magique dit: 5 octobre 2015 à 12h00

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 13 h 42 min
l’esprit religieux c’est toi, qui fais une religion de la raison.

Et la boucle est bouclée.
« Mille fois remet ton argument sur le tapis, il en restera bien quelquechose »
Aladin

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 12h03

@W, et tant d’autres crédules

Servez vous des philosophes, prophètes, intellectuels, penseurs, du passé : ne les servez pas.

Précisions dit: 5 octobre 2015 à 12h05

Avez-vous remarqué que tous nos grands penseurs sont aujourd’hui catholiques?
Pierre Manent, Remi Brague, Alain Besançon, Jean-Luc Marion…

C’ est vraiment mal connaître la philosophie contemporaine…

Gnondpom dit: 5 octobre 2015 à 12h06

Millet a raison, Attali a raison, Pascal a raison, Finkielkraut a raison, Schopenhauer a raison, et d’autres, et d’autres……

Et Mimi résonne.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 12h09

Gnondpom dit: 5 octobre 2015 à 14 h 06 min
Millet a raison, Attali a raison, Pascal a raison, Finkielkraut a raison, Schopenhauer a raison, et d’autres, et d’autres……

Et Mimi résonne.
___________
Comment répondre à des propos aussi simplificateurs et qui transforment ce que j’écris en caricature ? C’est nul, comme diraient mes élèves.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 12h09

Que vous apporte les morts ? Tout juste des épaules…. le reste de la grimpette est votre affaire !

(Embrassades aux amis, bras d’horreur aux autres … A demain !)

TKT lui manque dit: 5 octobre 2015 à 12h10

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13 h 56 min

Baroz vieillit, il s’emmêle de plus en plus dans les pseudos.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h13

On compare parfois Polytechiciens et Normaliens, ces derniers seraient mieux que les premiers. Au vu de mon expérience, c’est possible mais pas parfaitement démontré.

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 12h17

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 13 h 52 min
Tu te marres peut-être mon Zon Zon, mais t’a aucun argument à faire valoir, à partir des corrections grammaticales d’une folle cuistrerie…

Quoi ? Si on ne peut plus se marrer …

Précisions dit: 5 octobre 2015 à 12h27

Enseigner conjointement le français et la philosophie .WGG.

Deux modes discursifs complètement différents.

Le vieux garçon qu'on appelait monsieur dit: 5 octobre 2015 à 12h32

« Les curés de tous bords savent nous raconter la foi pour limiter la raison, ok, mais n’oublions jamais qu’ils sont curés »

Faut dire qu’au 20h ou à 20 min cela ne change pas grand chose.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 12h33

 » J’écris sur la douleur du monde et je peins la lumière qui nous manque ».

Trop modeste, le Prix Goncourt 1987 !

Escalier dit: 5 octobre 2015 à 12h35

Attila dit: 5 octobre 2015 à 14 h 29 min
Aujourd’hui, entre cour et jardin, il a fallu 4 mn pour que JC revienne en D.

Et aucune seconde ne s’écoule pour que le doigt de la concierge n’atteigne son oeil.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h36

Oui, oui, c’est ça, Jacques. Vous ne vous arrangez pas : la même folie que qui vous savez. J’imaginais pas ça aussi contagieux.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h36

Je précise que je parle en connaissance de cause puisque je suis Polytechnicien ET Normalien.

Précisions dit: 5 octobre 2015 à 12h37

c’ est la vie, ça va passer,
la phrase de Miss’ Tic peut très bien s’ appliquer à la philosophie de François Dagognet.
Une exologie quasiment parfaite.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h38

Je ne suis pas le seul à avoir deux casquettes ici. Jacques Barozzi est Cannois ET Zürichois de cœur.

DHH dit: 5 octobre 2015 à 12h39

Vous imputez au manque de contact avec la France profonde des terroirs le manque d’appétence des jeunes d’origine maghrébine pour l’assimilation et leur refus d’entrer dans l’univers culturel français.
Je pense que vous vous trompez ,ce refus vient probablement d’ailleurs car le contre exemple existe avec ce qu’a été en deux générations l’assimilation des juifs d’Algérie suite au décret Cremieux en 1870
Ce modèle d’intégration réussie n’a pas eu besoin de procéder comme dans le schéma classique, de l’immersion au sein d’une population de culture française , mais ‘il s’est réalisé pourrait-on dire par l’exportation de la culture française auprès d’un groupe humain qui ne connaissait pas la France, mais qui l’a adoptée sans la connaître, et qui, par l’effet d’une sorte de conversion collective s’est coulé sans réserve dans son moule
Au point d’oublier sa culture et notamment sa langue ,le judeoarabe que ne comprenaient plus et ne parlaient plus ceux qui sont nés dans les décennies suivantes, et d’affubler de noms chrétiens les fêtes et événements juifs qui ponctuaient leurs vies qu’ils ne connaissaient plus que comme communions ,baptême ,grand pardon
@widergager 13 h 51

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h40

La philosophie de François Dagognet est très dépassée, mon pauvre ami. Si vous en êtes encore là, vous êtes aussi à plaindre que U eda.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h41

Ueda l’a attrapée aussi, bien que j’aie immensément plus d’affinités avec Ueda qu’avec Jacques Barozzi, je commence à m’agacer qu’il me confonde avec d’autres.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h41

Je n’ai jamais eu de tendresse particulière pour les vaches et je me méfie beaucoup de ceux qui en ont.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 12h41

Précisions dit: 5 octobre 2015 à 14 h 27 min
Enseigner conjointement le français et la philosophie .WGG.

Deux modes discursifs complètement différents.
____________
Ne parlez pas comme ça. Vous ne comprenez pas de quoi il s’agit. Faites confiance aux pédagogues dont je suis. Arrêtez de les prendre pour des imbéciles. Ce n’en sont pas.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h43

« dans la famille de Dexter, vas-y D. »
Pourquoi voulez-vous que j’aille dans la famille de Dexter, Jacques ?

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h45

Mais je ne suis pas contrariant, Jacques, vous savez. Si vous tenez absolument à ce que je sois JC et Dexter, à votre guise. Vous faites erreur, c’est tout.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h45

C’est plus pointu encore que le spectacle de la patrouille de France, ce qu’on vous fait là Messieurs-Dames.

Widergänger dit: 5 octobre 2015 à 12h45

Je partage tout ce que dit Finkielkraut. Il a une pensée fine faites de nuances. Heureusement qu’il est là pour remettre la France sur les rails.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h48

J’ai du respect pour Finkielkraut, de l’affection pour Attali et de la tendresse pour Rosset mais je ne partage pas tout ce qu’ils disent, Michel. Vous êtres trop influençable.

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h48

J’ai toujours écouté Finkielkraut avec plaisir, la-dessus encore nous nous rejoignons.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 12h50

ce grand courant de la « civilisation du cœur »

ça me rappelle les discours politiques de François Mitterrand, qui se plaçait du côté de la France du coeur, sans rire et sans vergogne, WGG !

D. dit: 5 octobre 2015 à 12h51

DHH, si vous aviez un langage moins ordurier, peut-être que vos commentaires ne seraient pas si souvent censurés.

Personnellement, je ne suis jamais censuré.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 12h52

« J’ai du respect pour Finkielkraut, de l’affection pour Attali et de la tendresse pour Rosset… »

Allez au bout de votre confession, D., avouez aussi votre immense amour pour WGG !

Attila dit: 5 octobre 2015 à 12h57

DHH, certes WGG a une grande culture, c’est indéniable, et aussi des analyses souvent très pertinentes, notamment en matière littéraire, mais le plus remarquable chez lui, ce sont les énormités qu’il peut parfois proférer, et qui traduisent, trahissent, ses peurs, ses préjugés !
Pourquoi ne pas le lui dire ?

Précisions dit: 5 octobre 2015 à 12h59

La philosophie de François Dagognet est très dépassée D

Et bien, expliquez-nous cela!

Faites confiance aux pédagogues dont je suis WGG.

Déjà il existait un projet de faire étudier la philosophie en cinquième ( le GREPH si ma mémoire est bonne…)Derrida en était la cheville ouvrière.
Mais bien distinct de l’ enseignement du français, même si de très nombreux textes de « littérature » touchent aux deux disciplines.

Miroir, mon beau miroir dit: 5 octobre 2015 à 13h03

Attila dit: 5 octobre 2015 à 14 h 57 min
ce sont les énormités qu’il peut parfois proférer, et qui traduisent, trahissent, ses peurs, ses préjugés

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h04

« Tu vas la fermer, sale petite ordure »

Non, D., il y a bien longtemps que WGG ne parle plus comme le ML de jadis. Il a fait un énorme travail sur lui, et il est devenu étonnamment modéré. Moi, qu’il insultait systématiquement autrefois, il me donne souvent désormais du « très cher Baroz », « tout à fait d’accord avec vous », « exactement », etc., et il ne me dit plus que je suis un ignoble antisémite, suppôt de Satan, comme à l’accoutumé. Que pensez-vous qu’il se soit passé entre temps ?

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 13h06

Attila dit: 5 octobre 2015 à 14 h 57 min
« Pourquoi ne pas le lui dire ? »

Il est bien comme il est, W., il est parfait !
(…t’irais mettre des moustaches à la Joconde qui te plait pas comme elle est ?!…)

ami sincère dit: 5 octobre 2015 à 13h06

« marine et mélenchon, même combat, même niveau. »

c’est ce que je disais, t’es trop c.n

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h08

Moi, mes peurs, mes préjugés, je les recouvre d’un grand mouchoir, de crainte justement qu’ils ne me trahissent, Miroir, mon beau miroir…

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h09

Je vous l’explique : il existe dans les Univers une hiérarchie des Esprits avec à leur tête l’Esprit divin. Tout ce qui est en dessous est plus ou moins aux ordres de cet Esprit divin. Les choses peuvent être manipulées à n’importe quel degré de la hiérarchie avec plus ou moins de succès. C’est tout.

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h16

La Joconde ? Que vient-elle faire ici ? Et pourquoi ce tutoiement ? La seule personne que je tutoies ici, c’est Sergio.

JC..... dit: 5 octobre 2015 à 13h18

J’en ai rien à foutre de la Joconde ! Mes relations avec cette fiotte de Leonardo ne sont pas au beau fixe…

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h20

Si pour vous vérité = catalogue, alors c’est de la cacalogie, et de la meilleure qui soitn

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h21

« Ça date de l’époque où nous avons fait du camping ensemble. »

Avec (rayez la, les mention(s) inutile(s) :
Sergio ?
La Joconde ?
Leonardo da Vinci ?
Leonardo di Caprio ?

Sur Mankell et Finkielkraut dit: 5 octobre 2015 à 13h22

Henning Mankell vient de mourir en Suède plutôt qu’au Mozambique, j’en suis attristé. Qu’y faire, sinon à repenser à tous les bonheurs de lecture qu’il nous a offert depuis 20 ans ?… Rajouter au moins ceci. Je ne comprends pas les raisons du déferlement de passions à l’encontre d’Alain F. sur ce blog. Voilà un intellectuel qui réfléchit douloureusement sans toujours bien maîtriser les effets médiatiques de ce qu’on l’oblige à dire et qui le dépasse, en voulant l’assimiler à une kyrielle de médiocres idéologues. De quoi un Laurent Joffrin est-il le pître pour vouloir à ce point la ranger dans une case politique, un camp honni, comme si la pensée de AF pouvait être réductible à cela ? Ne devrait-on pas lui rendre plutôt un hommage constant ici-même pour avoir dit son amour à la littérature et écrit de superbes pages inspirées de son rapport intime et respectueux à certains de nos écrivains les plus profonds (dans ‘Un coeur intelligent’ notamment)? Y en a-t-il beaucoup de philosophes de profession ayant osé faire pareil acte d’allégeance à la littérature, à s’être exposé à leur rendre grâce comme le fit naguère Maurice Nadeau dans ses mémoires de dénicheur éclairé ?… Je ne les vois pas. Diagonal,

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h23

Maintenant laissez moi tranquille, vous êtes à plusieurs contre moi comme des hyènes. Ce n’est pas joli-joli.

Pupuce dit: 5 octobre 2015 à 13h23

Vive le père Charamsa, prêtre et homosexuel… et la nique à JC, l’Amiral de la Fiotte

robert dit: 5 octobre 2015 à 13h23

(JC) les humains admettent facilement la réalité de la notion d’Infini … mais bloquent sur la réalité de la notion d’Eternité ! »

c’est toi qui bloques, pov c.n – t’es pas les humains, juste un brêêêle

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h24

Ce titre de Passou : « Un peu de la France », me fait irrésistiblement penser au sketch de la femme de l’ambassadeur de la pauvre Sylvie Joly !

Nouveau credo dit: 5 octobre 2015 à 13h24

Et c’est parti,
baroz va nous faire le coup de D. et Sergio en une seule personne.

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 13h31

Sur Mankell et Finkielkraut dit: 5 octobre 2015 à 15 h 22 min
Henning Mankell vient de mourir en Suède plutôt qu’au Mozambique, j’en suis attristé. Qu’y faire, sinon à repenser à tous les bonheurs de lecture qu’il nous a offert depuis 20 ans ?…

… et rappeler qu’il fut un fidèle et actif défenseur de la cause palestinienne. Curieux de voir si Assouline va se fendre d’un « Pour saluer Henning Mankell » …

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h32

« Un coeur simple », c’est intelligent, de l’intelligence du coeur, justement.
Qu’en conclure de « Un Coeur intelligent » ?

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 13h33

Attila dit: 5 octobre 2015 à 15 h 24 min
Ce titre de Passou : « Un peu de la France », me fait irrésistiblement penser au sketch de la femme de l’ambassadeur de la pauvre Sylvie Joly !

Perso, j’aurais trouvé « Un peu de la Transe » plus excitant.

robert dit: 5 octobre 2015 à 13h34

closer dit: 5 octobre 2015 à 10 h 40 min

Ce que L. dit (sur la manif-pour- tous) est vrai pauvre closer qui joue les vierges effarouchées revient de Lourdes au moins

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 13h35

Qu’en conclure de « Un Coeur intelligent » ? (Attila)

 » Un coeur intelligent est un bon livre » . Il arrive à Finkielkraut de ne pas dire que des conneries. Merdre ! Voilà que je fais des concessions à Widergänger.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h36

Votre usurpateur a bon dos, D. Les usurpateurs sont une invention de certains commentateurs.

Sergio dit: 5 octobre 2015 à 13h36

Attila dit: 5 octobre 2015 à 15 h 21 min
« Ça date de l’époque où nous avons fait du camping ensemble. »

Ha voilà ; qui a dit : « La guerre, ce mélange de boucherie et de camping » ? Je précise que je l’ai oublié !

Zoon dit: 5 octobre 2015 à 13h37

Qu’en conclure de « Un Coeur intelligent » ? (Attila)

» Un coeur intelligent est un bon livre » . Il arrive à Finkielkraut de ne pas dire que des sottises. Voilà que je fais des concessions à Widergänger !

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h38

Excusez-moi de vous reprendre, JC, mais l’expression exacte est : cause toujours, mon lapin.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h39

JC et D., vous, tu faiblis(sez) !
Autrefois vous, tu, nous fais(ais)iez des doubles commentaires sous le même minutage !

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h40

Ha voilà ; qui a dit : « La guerre, ce mélange de boucherie et de camping » ?

C’est moi, Sergio, ne fais pas semblant de l’avoir oublié.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h42

« La guerre, ce mélange de boucherie et de camping »

Les végétariens ne font pas la guerre ou pas de camping ?

La barozzité nous guette tous dit: 5 octobre 2015 à 13h46

Fou d’amour pour TKT, baroz s’enfonce dans la schizophrénie.

DHH dit: 5 octobre 2015 à 13h46

@D ma reponse à W…a été libérée par la modération et est apparue sous ce fil datée de 14 h 39.
vraiment ordurière comme vous le supposiez!

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h48

Vous divaguez, Jacques. Plusieurs commentaires sous le même minutage, par exemple 15 h 48, c’est impossible.

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h48

D’ailleurs, cher Barozzi, si nous parvenions à envoyer plusieurs commentaires à la même minute, ça prouverait que nous sommes plusieurs. Et nous choisirions certainement un autre moment que 15 h 48.

Chacun ses mots pour le dire dit: 5 octobre 2015 à 13h48

baroz s’enfonce dans la schizophrénie

Vous appelez cela comme ça, vous.

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h48

15 h 48 est une heure que je déteste. Et je crois savoir que JC la déteste tout autant que moi. Parce que c’est l’heure à laquelle TKT se réveille de sa sieste. Enfin, c’est ce qu’il nous a dit.

Attila dit: 5 octobre 2015 à 13h53

Bravo, D., vous commentez plus vite que votre ombre. Et bravo aussi pour le faux Attila de 15 h 36 min, vous vous surpassez, tel qu’en vous même !

D. dit: 5 octobre 2015 à 13h54

Je ne faisais pas allusion à votre commentaire de 14 h 39, DHH, et vous le savez très bien.

Précisions dit: 5 octobre 2015 à 14h00

Les végétariens ne font pas la guerre ou pas de camping ? Attila.

Ils sont d’ un naturel naturiste et ne feront certainement pas la guerre des boutons.

Sergio dit: 5 octobre 2015 à 14h07

Si comme végétarien y avait oncle Wolf mais il était que Gefreiter c’est pas terribe comme contribution à la polémologie…

Attila dit: 5 octobre 2015 à 14h07

Ce qui aurait été prestidigitationniste c’est qu’à 16 h 02 min D. dise JC est trop nul et JC dise D. est trop nul !
Vous pourriez nous le refaire ?

D. dit: 5 octobre 2015 à 14h12

Voyons, Jacques, si vous me confondez avec mon usurpateur, qui est pourtant votre ami TKT, nous ne nous comprendrons jamais.

D. dit: 5 octobre 2015 à 14h15

D dit: 5 octobre 2015 à 16 h 02 min

Cher usurpateur, outre le fait que vous avez oublié le point après D, votre style déplorable et la maigreur de votre argumentation ne peuvent tromper personne.

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