Un peu de la France
La page blanche de l’écrivain , ou plutôt son écran blanc, est un lieu commun de la pratique littéraire. Et même artistique et plus encore au lendemain d’un grand succès. On appelle cela la dépression post-partum, analogue à celle de la mère au lendemain de l’accouchement. C’est valable pour tous les créateurs. Woody Allen, qui est retombé en dépression la seule fois où ça lui est arrivé, a trouvé une parade dont il a fait depuis un système : au montage de son nouveau film, il travaille déjà à l’écriture du suivant. Ainsi il n’y a pas de blanc, dans sa vie quotidienne. Pas de respiration qui favorise la gamberge. Les écrivains devraient s’en inspirer. Ca leur ferait des économies de prozac, entre autres.
Cette angoisse, non de ne plus écrire mais de ne plus savoir quoi écrire, est au cœur du nouveau roman de Delphine de Vigan D’après une histoire vraie (478 pages, JC Lattès). N’ayant pas été enthousiasmé par son précédent livre Rien se s’oppose à la nuit, sur l’histoire de sa famille racontée à travers celle de sa mère bipolaire et suicidaire, je m’étais emparé du nouveau sans précipitation. Juste pour voir. J’avoue que j’ai été pris comme on peut l’être par un livre prenant, piégeant, accaparant. Du genre de ceux qui vous font rater des stations de métro. Ce qui fut le cas. Un bon test. Au début, on se dit qu’on a affaire à une autofiction bâtie sur un lieu commun du roman contemporain : l’impuissance créatrice. La narratrice est une romancière qui lui ressemble en tous points ; différents points de repère sont là pour l’accréditer : ses éditeurs etc jusqu’à l’identité de son compagnon, le journaliste François Busnel.
Une femme surgit soudainement dans la vie de cette femme : L., ainsi est-elle nommée, a tout d’une lectrice doublée d’une admiratrice ; elle prétend avoir été une camarade de classe ou de jeunesse. Progressivement, avec une intelligence, une habileté, une douceur, une perfidie et in fine une perversité redoutables, elle se glisse dans son quotidien, puis s’y inscrit, s’y instille, s’y installe, non à son insu mais avec son consentement. S’enclenche alors un étrange processus d’envoûtement progressif. L. réactive habilement la façon impérieuse et exclusive d’être en lien avec l’autre, telles qu’elles avaient pu la vivre à 17 ans. Elle avait perçu le point de démence de la narratrice, et réciproquement ;
« Nous avons beaucoup de choses en commun mais toi seule peux les écrire » lui dit L..
Celle-ci n’est pas seulement de plus en plus intrusive dans la vie privée de son amie qui se laisse envahir jusqu’à consentir à des relations affectives de plus en plus ambiguës :
« Une méduse légère et translucide, qui s’était déposée sur une partie de mon âme ».
Voilà ce que L. était. A mi-chemin du récit, c’est en réalité d’harcèlement qu’il s’agit, thème déjà abordé par Delphine de Vigan dans Les heures souterraines (2009) sur le mode de la guérilla morale livrée contre une femme au sein d’une entreprise. Cette fois, l’arme est l’écriture, et l’intrigue tourne au fond sur le rapport parfois trouble entre l’auteur et le lecteur. L’influence de Stephen King est évidente, celle d’Hitchcock aussi avec ses glissements progressifs vers l’effroi. Elles sont même revendiquées. Passe encore que la ressemblance soit si frappante ; il est d’ailleurs difficile de ne pas garder à l’esprit les séquences du film de Rob Reiner les plus fortes dans lesquelles s’affrontaient à l’écran James Caan cloué dans son lit et la terrifiante Kathy Bates. Seul reproche : les épigraphes au début de chaque chapitre de D’après une histoire vraie, tirées de Misery de Stephen King. Pour ceux qui l’ont déjà lu et ceux qui ont vu le film qui en a été adapté (ce qui fait du monde), cela annonce trop ce qui va se passer et gâche un peu le plaisir de la chute.
C’est peu dire que cette histoire, parfaitement menée et maîtrisée malgré quelques facilités, est troublante, perturbante, déstabilisante. D’autant qu’elle se déroule dans un cadre très français, à l’écart du cosmopolitisme de la capitale, dans la campagne de la province, où le monument le plus souvent visité est l’hypermarché, où l’on tutoie le boulanger et le bistrot. On se dit que si c’est autobiographique, c’est bien recréé ; mais que si ça ne l’est pas, alors c’est très malin. En fait, si Delphine de Vigan a bien vécu le début, elle a inventé tout le reste ; mais elle l’a fait avec une constante ironie, dès le titre cinématographique D’après une histoire vraie, jusqu’à la toute dernière page.
Le mot de la fin ? « Fin * ». Sic. Surtout ne pas oublier l’astérisque lourde de sens mais lequel ? Cela renvoie à un passage du livre où L. nègre d’une actrice, révèle qu’elle termine toujours un texte de cette manière. Cela ne renvoie à rien. Juste une coquetterie d’auteur exigée par contrat chaque fois qu’elle écrivait, pour le compte d’une autre…
Autre chose, dans un genre bien différent, tournant également autour d’un canevas battu et rebattu, mais encore plus français dans sa facture apparemment autofictionnelle Retiens ma nuit (220 pages, 20,90 euros, Plon) de Denis Tillinac. Déjà, la douceur du titre à la Johnny donne le la. Celui de la nostalgie. Ce que cela raconte ? Un homme et une femme plus tout jeunes, de nos jours en France, ils s’aiment et sont mariés mais chacun de leur côté. Qu’importe les péripéties. Seule compte la musique de leur rencontre, de cette passion qui les surprend à une saison de la vie où ils n’y croyaient plus.
Un incroyable printemps amoureux à l’automne des jours du narrateur coincé entre Cyalis et Stilnox. A partir de là, on peut décider de lâcher le livre dès les premières pages. Ce qui nous fait poursuivre la lecture, c’est le charme qu’il déroule jusqu’à la fin sans hiatus ni faux-pas. On reconnaît cet air-là : c’est celui d’une certaine bourgeoisie catholique de province dans ses langueurs, sa monotonie, sa fausse léthargie, son bonheur tricoté, de Mauriac à Simenon dans l’ombre de Balzac. Un monde qui reproduit les codes, les habitudes, les traditions sans trop se poser de questions.
La reproduction pour toute ambition. Ici l’ascenseur social consiste surtout à choisir le bon Rotary et le bon Country club de golf. « Faire semblant est devenu une succession de réflexes conditionnés » y lit-on. Ca bovaryse en pays blésois. La sonate que diffuse ce roman tire sa séduction du seul énoncé des villes qu’elle évoque : Chouzy-sur-Cisse, Blois, Mer, Beaugency, Meung… La Beauce est belle sous la plume de Tillinac, qui n’est pas celle du Péguy de la Présentation de la Beauce à Notre-Dame-de-Chartres. Ce serait plutôt la vie comme elle va à Chaumont, Loir-et-Cher, et la douceur de vivre en Val de Loire.
On y croise des notaires à la retraite, un beau-père retour de la chasse et surtout François et Hélène que le secret et la clandestinité excitent ; ils ne sont pas près d’y renoncer car ils savent bien qu’une partie du charme serait rompu si Yseut devenait Mme Tristan. Le narrateur est l’autoportrait de Denis Tillinac. On l’y retrouve tel qu’en lui-même : élément du patrimoine, historique dans son genre, étranger à son époque, vigie d’un monde pétrifié, gros fumeur qui crache ses poumons, si désuet qu’il ne sait même pas se servir d’un ordinateur, un lièvre à la royale suffit à son bonheur.
Seule réserve : un relâchement chaque fois que l’auteur s’épargne la peine d’une phrase («Pluie et brouillard» etc), s’autorisant ce qui ressemble plutôt à des didascalies en marge d’une pièce ou d’un scénario. Mais quoi, il ne peut être totalement mauvais l’écrivain à qui un paysage rappelle les collines du Charolais et du Brionnais, qui s’autorise la délicatesse des sentiments dans un monde de brutes, qui vibre de sa nostalgie avouée pour une France qui s’efface à force de discrétion et qui ose encore écrire :
« J’ai de la tendresse pour les vaches, leurs yeux doux et métaphysiques ; comme moi, elles se demandent pourquoi elles sont là plutôt qu’ailleurs ».
(« Ma photo la plus érotique » dixit HCB – Photos Henri Cartier-Bresson et Passou)
1 340 Réponses pour Un peu de la France
Ce qui me vexerait, si j’étais bouguereau, c’est que son troll (ou larbin) est apparemment le même que celui de JC, de Ueda, de Court et de Chaloux. Drôle de mélange.
Rel. hot dit: 6 octobre 2015 à 14 h 31 min
Ce qui me vexerait, si j’étais bouguereau, c’est que son troll (ou larbin) est apparemment le même que celui de JC, de Ueda, de Court et de Chaloux. Drôle de mélange.
Mais non Chaloux n’est jamais attaqué par ce troll puisque le troll de bouguereau EST Chaloux.
Vdqs
Ueda ces images en disent long sur la nature de vos frustrations, je me demande comment les hommes aguichés de la sorte font de nos jours pour ne pas rompre avec leur compagne commune souvent et loin de ce compte exceptionnel, confirmez-vous qu’ils s’adonnent à des pratiques lucifériennes en se réfugiant sur des sites payants mais offrant l’avantage de la beauté pornographique si tant est que les deux éléments puissent s’accorder à notre non-extirpable sentimentalité.
Mais non Chaloux n’est jamais attaqué par ce troll puisque le troll de bouguereau EST Chaloux.
Il fait Court aussi et JC parfois.
‘…en démocratie laïque l’onanisme n’est plus condamné depuis longtemps …’
Heureusement hein…sinon, la moitie des bloggeurs ici seraient forcés de tenir compagnie au garde-champête dans la cave immonde ou il habite…
Vous ne pouvez avoir de ces choses, Berenice, aucune expérience.
@14.37 Si ce qu’il s’agit démontrer était que le (di)vin Chaloux était d’une qualité supérieure à la vinasse Bouguereau, il y aurait sans doute confusion dans les sigles, mais certainement pas tromperie dans la vérité du vin.
@Ueda dit: 6 octobre 2015 à 13 h 56 min
« vaut le détour » : ne pas prendre le chemin direct laissant à penser que c’est une histoire vraie. Suivre l’intuition de P.Assouline :
« On se dit que si c’est autobiographique, c’est bien recréé ; mais que si ça ne l’est pas, alors c’est très malin. En fait, si Delphine de Vigan a bien vécu le début, elle a inventé tout le reste ; mais elle l’a fait avec une constante ironie, dès le titre cinématographique « D’après une histoire vraie », jusqu’à la toute dernière page. »
lola dit: 6 octobre 2015 à 1 h 52 min
on arrivait même à écrire qu’avec la pointe,seulement les jours de grande disette,quand on avait mangé la recharge
Un jour je vois se pointer deux braves à trois poils, une start-up comme on dit, pour faire la démo de leur ours, un traitement de texte perfectionné, ma foi fort seyant ; c’était l’époque des disquettes cinq pouces un quart à enveloppe en carton, et au moment de passer aux actes, le bidule veut rien savoir ! On commençait à penser à reporter la démo lorsque l’un des deux, n’écoutant comme on dit que son courage, se met à déchirer le cartonnage, ôter le disque d’oxyde magnétique, puis fourgue ce dernier tel que dans le lecteur…
Eh bien ça a marché !
Voyons, christiane, vous n’avez pas à vous justifier, vous savez bien que Ueda n’a écrit ça que pour se moquer de vous.
j’ai mis un post à 14 h 01 et personne ne me répond ! c’est une honte, c’est un blogue de courtisans ou quoi ?
moi aussi, j’ai posté un com à 13 h 45 min et on dirait que tout le monde s’en fout.
DHH dit: 6 octobre 2015 à 14 h 15 min
dois je en inférer que je fais partie d’un noyau de commentateurs signalés à la moderation
Meuh non c’est un mot, un seul petit mot dans son coin qui bloque tout ; et qui la plupart du temps appartient à un registre tout ce qu’il y a de plus ordinaire, inodore et sans saveur. Le seul problème c’est que si l’on veut s’amuser à les repérer, on y arrive, mais ça prend trois heures…
idem, j’ai écrit quelque chose 14 h 10 min et personne n’a réagi, comme si j’étais un troll
Je rappelle que bouguereau n’est ni un liquide ni un solide : c’est un gaz!
):
(Na! Pierre Assouline…).
Et moi donc ! j’ai posté à 14 h 13 min, ça va faire plus d’une demi-heure qu’on m’ignore !
@15.35, ceux des curés qui ne répondent pas consentent,… comme éperdus de gratitudes, les autres prouvent leur mécréance défroquée.
Ah François Hadji-Lazaro voilà un homme un vrai !
(C’est le chanteur des Garçons bouchers…)
Mon dernier com remonte à 15 h 43. Si personne ne me répond avant 16 h, je rends mon tablier.
moi j’ai rien posté, bizarre, on m’a répondu quand même
je rends mon tablier.
Il fallait pas le manger!
Bloom dit: 6 octobre 2015 à 14 h 28 min
RIP Mankell,soit, surtout pour Branagh dans le rôle de l’inspecteur torturé. De la petite Carlsberg, quand même.
Le douanier Bloom est aussi garde-barrière à ses heures perdues…il décide ce qui est important et ce qui ne l’est pas… et sa décision est finale et définitive…circulez, y’a rien a voir…
Chaloux s’amuse tout seul, un être simple.
Chaloux est très prolifique.
6 octobre 2015 à 14 h 13 min
« Enquête sur un possible emploi actif dans l’entourage de Marine ».
Chaloux ou Ueda?
Ueda y est déjà activité intense
bérénice dit: 6 octobre 2015 à 14 h 25 min
« expurgé de ses passages les plus anticléricaux, »
Deo glafiache
(C’est le chanteur des Garçons bouchers…) Sergio
rien à voir avec le groupe Les Odeurs ?
‘…Adolf de la City…’
Tain…l’originalité, la subtilité, la pertinence de cette tournure… une caricature digne de Hogarth…il a fait ressortir l’essentiel de ma personne, que dis-je de mon âme, en 2 mots…bravo ! j’en ai encore un point de côté…une tringle en bois d’olivier vient vers vous…comment ? euh…dans ce cas, il faut mettre une chaussette sur l’un des bouts dont duquel etc itou…je ne vous conseille pas cette méthode, mais bon c’est a vous de voir hein…
Sergio dit: 6 octobre 2015 à 15 h 44 min
Ah François Hadji-Lazaro voilà un homme un vrai !
(C’est le chanteur des Garçons bouchers…)
Un homme charmant, doux et timide, que je connais. Nous habitons la même commune et ses enfants ont été à l’école avec ma fille.
ils ont bien, mes commentaires, non ? vous les aimez pas ?
Je confirme ce qu’a dit Lazarillo. François Hadji-Lazaro est un homme tout à fait charmant. Et j’ajoute que Lazarillo aussi est très mignon dans son genre.
bérénice dit: 6 octobre 2015 à 14 h 38 min
« Ueda ces images en disent long sur la nature de vos frustrations, »
Il fait ce qu’il peut le pauvre. Sa déliatesse innée légendaire trouve du réconfort dans le giron de la marinade
je signe aussi bruno, pour ceux qui ne m’auraient pas reconnu
burno dit: 6 octobre 2015 à 16 h 05 min
Bavo!…art!…
Merci, merci, il est assez rare que je reçoive des compliments. Les trolls sont très déconsidérés, mais je me suis fait un devoir de relever toutes les occurrences des mots Ueda, JC et bouguereau pour intervenir dès que possible. C’est un gros travail, vous savez, qui m’oblige à passer toutes mes journées sur ce blog.
Ah camarade Sancho, quelle coincidence…perso, je confirme aussi que ma fille cadette a été dans la même classe que la fille d’Eric Clapton…un trouduc sans charme, un raciste et un illettré musical qui a fait fortune avec la musique des noirs, qu’il haïssait…sinon, d’autres illettrés musicaux le prennent encore pour le Bon Dieu…
@Relai de poste dit: 6 octobre 2015 à 15 h 32 min
Ah, vous croyez ? Pourtant Ueda est quelqu’un de sérieux pas un merle moqueur !
Je préfère le dialogue de Lola et Sergio. Au moins on vole loin des rabat-joie…
Bonne fête à Bruno, c’est le jour de D.
Je signale à Christiane et JC un lien très utile, l’impeccable commentaire, quoique toujours un peu boursouflé par excès de démonstrativisme, du bon Juan Asensio sur le « 2084 » de D. le Vigan. Il nous repose parfois des commérages de la RDL-Sauce piquante.
http://www.juanasensio.com/archive/2015/09/12/2084-de-boualem-sansal.html
Chère Bérénice,
Vous étiez souffrante ce matin. Vous semblez aller mieux. J’en suis très content. Continuez à prendre bien soin de vous.
Gontrand
« je confirme aussi que ma fille cadette a été dans la même classe que la fille d’Eric Clapton… »
Ben dis donc Abdel…elle devait pas être dans une école publique à deux balles!!!
chez Sergio: christiane prend JC pour un bel étalon ; c’est qu’elle ne l’a pas vu à poil, pasque…..
Triste de voir à quoi ce pauvre ueda en est réduit
Le plus charitable qu’on puisse dire d’Ascensio c’est qu’il n’a décidément rien compris à la langue française. A la fin du deuxième paragraphe, son « style », ou ce qu’il croit être un style, est déjà insupportable. Quel sacre… Dire que ce type prétend se consacrer au commentaire littéraire… Passons.
« je signe aussi bruno, pour ceux qui ne m’auraient pas reconnu »
sans blague
« qu’un ferment de liberté se lève et grossisse »
Ascensio.
Un « ferment de liberté » a-t-il besoin de « se » lever et de « grossir »?
Pour ma part, j’aurais préféré : « qu’un ferment de liberté lève et SE grossisse », plus drôle et plus en rapport avec le blogueur.
@Chaloux dit: 6 octobre 2015 à 13 h 58 min
Oui, un très grand livre d’auteur inconnu. Lazarillo, le valet aux nombreux maîtres… Le voyage, l’errance. L’apparition du « Je » dans un roman : l’Espagne du XVIe s. Sagesse : « Ce qui t’a fait mal te fait du bien et te guérit » (le vin). Satire et critique de la société aussi (le moine coureur, l’archiprêtre, les nobles)
Sa vie est un voyage, la nôtre aussi !
Je le rapproche du « Criticon » de Baltazar Gracian, une autre allégorie du voyage de la vie. (Un billet du 22 mai 2008 de P.Assouline, me l’a fait découvrir. « Fauteur de troubles et croix de ses supérieurs »).
Donc, notre Lazarillo est revenu. Bienvenue à Lui.
les bons copains dit: 6 octobre 2015 à 15 h 51 min
« Enquête sur un possible emploi actif dans l’entourage de Marine ».
Ueda y est déjà activité intense
Vous vous faites du diable une conception un peu petite-bourgeoise.
pause boulot dit: 6 octobre 2015 à 16 h 35 min
Triste de voir à quoi ce pauvre ueda en est réduit
Redressez-vous, Pauvre Boulot!
@Christiane
Curieusement -ou pas, d’ailleurs, l’auteur du second livre fait certainement référence au premier-, si je rapprochais -jusqu’à un certain point- Lazarillo d’un grand chef d’oeuvre, ce serait du Journal d’une Femme de Chambre, autre livre d’une « vérité » hallucinante.-« Jusqu’à un certain point », parce que Mirbeau vers la fin du livre dévoile, et avec quel art, la face noire d’un certain « peuple », ce qui n’est pas -il me semble- le propos de Lazarillo -il faudrait relire, mais où est-il? Mystère).
Deux livres qu’on ne découvre pas sans un arrêt de souffle.
Chaloux dit: 6 octobre 2015 à 16 h 57 min
Toutes mes excuses : le mot « livre » apparaît 94 fois dans ce post.
christiane dit: 6 octobre 2015 à 16 h 22 min
Pourtant Ueda est quelqu’un de sérieux
Enfin!
« Donc, notre Lazarillo est revenu. Bienvenue à Lui. »
N’exagérons rien Christiane!
Le Front National est-il plutôt d’extrême-droite ou d’extrême-gauche?
Écoutez, ça s’discute.
Qu’il soit politiquement misérable, en revanche, ne souffre guère de discussion.
@Chaloux dit: 6 octobre 2015 à 16 h 57 min
Rapprocher Lazarillo de Célestine, pourquoi pas ?
(Je cheminais avec les espagnols et le roman picaresque, mais Mirbeau dans ce livre : grandiose !
Deux livres qu’on ne découvre pas sans un arrêt de souffle
la tête dans le tiroir..c’est criant dvérité pour mon larbin..
Qu’il soit politiquement misérable, en revanche, ne souffre guère de discussion
tu as une haute opinion de la politique zouz..une médaille a son revers
Vous vous faites du diable une conception un peu petite-bourgeoise
..t’aurais été copain avec goering..c’est un copain qui t’appelle a 2 heure du mat pour de demander de ces trucs!..pas popo
baroz trop sensible ne supporte pas qu’on critique ses idoles papamaman chi
ceci dit y’a un dicton qui dit il est pas interdit d’inviter le diabe à manger..à condition qu’ça soit avec une longue cuillère..de combien? that is the question
pour info dit: 6 octobre 2015 à 17 h 13 min
baroz trop sensible ne supporte pas qu’on critique ses idoles papamaman chi
Le propos de ce poste est réservé à une petite élite triée sur le volet.
bouguereau dit: 6 octobre 2015 à 17 h 14 min
ceci dit y’a un dicton qui dit il est pas interdit d’inviter le diabe à manger.
Un diable à qui on demande de mettre ses patins?
Un « ferment de liberté » a-t-il besoin de « se » lever et de « grossir »?
ho toi tu creuses bien les liens mon larbin..
« christiane prend JC pour un bel étalon »
et le gros bg se prend pour un grand
Un « ferment de liberté »
c’ets peut-être un défaut de langue ou une coquille ‘ferment’ à la place de ‘serment’
Un diable à qui on demande de mettre ses patins?
c’est un peu à l’inverse de dracula..tu l’invites il peut pas montrer sa bite..il est tenu a respecter les conventions..combien d’histoires où il est refait sur ces histoires là!
– Pourquoi bouguereau a-t-il toujours le nez marron?
– Parce qu’il est plus petit que son chien.
🙂
un illettré musical qui a fait fortune avec la musique des noirs, qu’il haïssait…sinon, d’autres illettrés musicaux le prennent encore pour le Bon Dieu…
pas que des noirs..ha il dérouille..il dérouille! et pourtant il roule en ferrari espècialement ferblanté pour lui..ce monde est injuss épicétou
ça suffit
« émoticons » comme mon larbin sait faire açonner ce mot là..un poéte épicétou
Pourtant Ueda est quelqu’un de sérieux
il kiffe le hantaï..c’est l’genre a te manger les souchis à même la femme nue..il partagerait avec vontraube
Un homme charmant, doux et timide, que je connais. Nous habitons la même commune et ses enfants ont été à l’école avec ma fille.
on l’voit pus..les bouchries et les garçons et les petit paquets pour le chien ça fout l’camp
quand il raconte qu’il lit un livre, le JC vous ment, rue Fournier tout les monde le connait et il dit que les écrivains c’est tous de pédés et qu’il a jamais ouvert un bouquin de ses fiottes, alors…
un trouduc sans charme, un raciste et un illettré musical qui a fait fortune avec la musique des noirs, qu’il haïssait
____________
Alors là, sur quoi vous appuyez-vous pour tenir de tels propos ? Vous vous plaignez des bassesses (réelles) de Cigarillo, mais vous n’êtes pas en reste en matière de calomnies gratuites.
ma mère..je vois sur sa bio qu’il va faire un mocky..
Comment d’un claquement de doigt basculer dans le sublime?
En regardant 5 mn l’extraordinaire visage de Hara Setsuko dans le rôle de Nasu Taeko (= Nastassia Filippovna), c’est à 2:11′
Pourquoi pas?
(bouguereau dit: 6 octobre 2015 à 17 h 36 min)
Ma mère..je vois sur sa bio qu’il va faire un moka…
‘…en démocratie laïque l’onanisme n’est plus condamné depuis longtemps …’
Heureusement hein…sinon, la moitie des bloggeurs ici seraient forcés de tenir compagnie au garde-champête dans la cave immonde ou il habite…
Louons votre finesse d’esprit et rendons grâce à Dieu, hein? le même finalement, Esprit veillant sur nos jours et nos nuits pour finir éternelles.
tta Bena dit: 6 octobre 2015 à 17 h 36 min
perso, j’ai pas le morale pour ca mais googlez donc clapton et sa position sur les immigrants noirs dans les annees 70…par la suite, c’etait le tour des arabes, apres que l’un d’eux ait pris la femme du grand Eric pour une call girl dans un palace londonien…
Chantal Akerman est morte
sinon, ce que je lui reproche surtout, c’est cette malhonnêteté qui consiste a jouer du blues tout en ayant des préjugés racistes envers les noirs…certains vous diront qu’il jouait aussi parfaitement le blues…comme un ordinateur jouerait parfaitement aussi le blues ou le country and western…mais sans âme…or pour jouer du blues (ou n’importe quelle musique hein) a mon humble avis, il faut certes du talent (quoique ceci ne soit pas toujours requis, par ex regardez les punks) mais surtout de l’âme…et ca le grand Eric n’en a pas…
@on aura tout vu dit: 6 octobre 2015 à 17 h 18 min
Mais c’est à cause de la grotte de Pech Merle, au cœur de la vallée du Célé, sur la commune de Cabrerets. (On dit « Pech » car en occitan cela veut dire « colline ».)
Dans cette grotte, aux parois couvertes de dessins préhistoriques, il y a la frise des deux chevaux ponctués, l’un tourné vers la gauche, l’autre vers la droite. Une légende en est née, merveilleusement contée par Colette Brognard. Écoutez…
« Jadis dans la région de France appelée le Quercy vivait un cheval fabuleux, un cheval musicien du nom de Phéor. Puissant comme un taureau, léger comme un oiseau. Ses sabots émettaient des sons profonds ou cristallins selon les allures…. »
Eh bien, Phéor c’est un peu Orphée. Donc cette légende m’a fait penser à JC. Est-ce plus clair maintenant ? Et puis ce n’est pas ici, c’est écrit chez le lutin espiègle Sergio. Là-bas ça n’étonne personne, même pas le cardinal Mazarin, ni Roger Lafrite, ni Pado le magicien. On s’éclaire à la lumière des réverbères sans ampoule et les fractales ressemblent à des diamants occupés par des étrilles. Bon, je retourne à mon livre après ce détour près de vous.
J’avance dans le roman de SANSAL…. son 2084 tient la distance. C’est de la bonne viande !
Likomenas ne se porte pas bien.
@ 18 h 15 je ne m’ap
pelle pas vraiment likomenas ,c’est un pseudonyme .
Un diable à qui on demande de mettre ses patins?
neither here nor there dit: 6 octobre 2015 à 18 h 04 min
Qui êtes-vous vous-même, Abelkader, qui vivez dans un univers intellectuel de confection (répétition de blagues apprises, de propos empruntés à autrui, de réactions presse-bouton) pour juger cet homme-là?
Jean-Marie Apostolidès publie une grande biographie de Guy Debord chez Flammarion.
Vive Nabe. Mort aux cons.
Lazarillo dit: 6 octobre 2015 à 15 h 57 min
Un homme charmant, doux et timide,
Je lui trouve un peu des accents de Léo Ferré ; mais peut-être que Léo Ferré, lui, dans la vie de tous les jours, était au contraire un vindicatif hors pair ! Dieu seul le sait…
je pourrais changer de pseudo sans votre haute autorité des enflés de la braguette
madame vernimachin c’est la fiancée à bouguereau ?
Gontrand je vous confirme ma guérison, je me suis pris une vague qui finalement est parvenue à déboucher mes sinus sans rien changer à la table trigonométrique qui décide de nos séjours au pays des mortels et suis sortie indemne mais néanmoins décoiffée, rien en regard des atrocités dont on a vent ou de l’immuable beauté qui console.
désolé j’ai pas pris le bon tabac….
il faut vous libérer du poids du monde mes frères
il faut courir plus vite que lui mes frères
il faut aller vite mes frères
pour faire en sorte mes frères
que jamais il ne vous rattrape
« L’Iran menace la foire de Francfort de boycott si Salman Rushdie s’y exprime comme prévu »
pourquoi ils l’ont pas encore flingué ?
mon Dieu qu’est-ce qu’ils peuvent tous être lourds.
Take a load off Salman
Take a load for free
Take a load off Rushdie
And you put the load right on me
You put the load right on me………
« Seule réserve : un relâchement chaque fois que l’auteur s’épargne la peine d’une phrase… »
c’est pas si grave les relâchements.
au contraire, il faut parfois savoir se relâcher un peu.
d’ailleurs c’est le gros problème de nos écrivains : ils manquent de relâchement.
Le mot de la fin ? « Fin * ». Sic. Surtout ne pas oublier l’astérisque lourde de sens mais lequel ?
on dit une astérisque ou bien un astérisque ?
Je préfère ignorer Abdeladolf, car cet Anglais là ….c’est de la mauvaise viande !
A tout prendre, je préfère la « Lettre aux Français » , ou un titre dans ce goût, du véritable Abdelkader : celui de la smala…
Un type bien.
@Hiba Badreddine dit: 6 octobre 2015 à 9 h 55…
Alors là, Hiba… je me suis complètement trompée sur ce roman. Les premiers chapitres m’ont conduite vers une histoire qui n’est pas du tout celle construite par Delphine de Vigan. Remarquable deuxième moitié du livre. Final démoniaque, insoupçonnable, épatant. Mise en abyme d’histoires se perdant l’une en l’autre par l’effet de miroirs parallèles.
Entre réel et rêve (cauchemars), imagination créatrice et souvenirs on se laisse porter, incapable de résister à ce maelstrom.
Délicieuses petites photos de la couverture du livre…
Donc pas un Fragonard, pas de néoclassicisme plutôt une peinture noire de Franscisco Goya (Saturne dévorant un de ses fils) ! J’ai vraiment passer une belle dernière heure dans ce roman fascinant.
« Le mot de la fin ? « Fin * ». Sic. Surtout ne pas oublier l’astérisque lourde de sens mais lequel ? »
j’ai vérifié : on dit « un astérisque »
il faut virer le « e » à « Lourdes ».
il fout quoi PMB ? il est en vacances ?
astérisque : nom masculin (latin médiéval asteriscus, du grec asteriskos, petite étoile)
Take a load off Abdel
Take a load for free
Take a load off Abdel
And you put the load right on me…
« Une méduse légère et translucide, qui s’était déposée sur une partie de mon âme ».
ça donne pas envie de le lire j’ai horreur des méduses.
pour l’impuissance créatrice il faut plutôt prendre du via…
Delphine c’est pas celle qui a peur de la fiction comme d’une méduse, je lui ai envoyé une lettre pour la rassurer, lui dire la fiction ça mord pas, c’est pas comme les méduses.
c’est marrant tous ces écrivains qui ont peur de la fiction, s’aventurer dans les eaux troubles de la fiction… c’est débile.
Chronos, cela a une signification bien différente de Saturne !
n’empêche que toutes ces écrivaines qui se risquent à la fiction cette année, Angot, Delphine, à ce rythme si ça trouve, en insistant, il y en a bien une qui va finir par nous écrire un vrai roman.
N’empêche que si maintenant on en avait, des cardinaux pareils, eh bien… je sais pas, moi… au moins le pétrole baisserait ! Ha ça rigolerait moins du côté de… Enfin de tous les côtés, quoi…
Dernier fou-rire de la journée :
« et si on traduisait Taubirounette en Justice pour incompétence noire …. ? »… comme dit mon voisin, qui a une agrégation de socio ?
@puck dit: 6 octobre 2015 à 19 h 22 min
Mais, cher Puck, c’est complètement l’inverse, elle nage dans la fiction avec aisance comme un poisson dans l’eau.
Je suppose que comme d’habitude vous teintez vos mots d’humour.
Quant à la méduse, ne serait-ce pas un visage de la fiction ?
chantal ackerman nous a quittés, cela me fait un vide, je l’avais entendue lors d’une réunion l’an dernier, elle était très effrayée, bouleversée par ce qui se passe chez nous, le changement de politique radicale, les droits des artistes réduits, les méchancetés linguistiques. Tout ce qui fait que vous ne vous sentez plus en phase avec les codes sociaux. Je ne reconnais plus ma ville, le centre ville surtout. Comment écrire çà.
Vient de paraître le dictionnaire amoureux de la Belgique, ce pays imaginaire. Je voudrais avoir la grâce immobile d’un oiseau en bord de corniche et raconter la rue qui demain encore une fois va crier, pour rien je le pressens.
Vient de paraître le dictionnaire amoureux de la Belgique, ce pays imaginaire
..y frait bien de prende des notes à jéruzalème
JC, 19h24
Saturne…Cronos…
Ce n’est pas pour faire une fixation mais Cronos convoitait la belle Océanide Phylira et pour déjouer la surveillance de son épouse Rhéa il se métamorphosa en cheval pour l’approcher. C’est pourquoi Chiron était mi homme mi cheval.
Pour le reste, divinité grecque ou romaine, ils dévorent à belles dents les fils qui pourraient leur faire ombrage ! Et Goya s’est inspiré de Rubens (un Saturne affreux dévorant un de ses fils)
Chantal vous retrouver assez régulièrement vous lire toujours me rappelle que de Chantal Thomas je n’ai rien lu. Nous perdons un temps précieux à illustrer nos goûts nos dégoûts nos maigres opinions nos riches moissons alors que tant de gens rares et discrets nous tendent leur œuvre. C’est con non? Ne trouvez-vous pas qu’en dehors d’un talent de dactylographe nous n’avons pas grand chose à voir avec?
Je suis très content Bérénice,car j’ai beaucoup d’affection pour vous.
j’ai lu d’elle, île flottante, une nouvelle.
Depuis Sade puis visitant Casanova et Pavlov j’ai tout ce retard , vraisemblablement je n’avalerai pas toute son oeuvre mais ses titres son attirants.
les images ont cela d’étrange bérénice qu’elles nous reviennent, par exemple en regardant la photo d’Ingeborg Bachman dans sa cuisine, cela ne m’était pas familier, j’en éprouvais un sentiment de tristesse en pensant à sa fin tragique, or quelques temps après je me suis souvenue d’une scène de femme dans un cuisine
https://www.youtube.com/watch?v=ncYs7jPRVJg&list=PL9A248DA2FBE7B0F6
Gontrand à vrai dire j’ai touché le fond en calculant rapidement qu’il n’y aurait de seconde puis de troisième vague de cette intensité mais je ne me suis plus risquée à tenter de nager. L’eau est chaude, il faudra attendre que la mer se calme d’ailleurs je projette l’achat d’une combinaison pour en profiter un peu plus tard et vous penserez aussitôt que les piscines ne sont pas faites pour les chiens cependant les commentaires récents qui les environnent découragent et il n’y a pas dans la perspective le ligne de crête des montagnes. C’est un luxe de profiter du paysage en immersion à cette saison .
Décidément cette Ingeborg vous obsède. Moi non, je passe. Merci.
J’ai parcouru avec beaucoup d’intérêt le lien mis à disposition par de nota . Je n’éprouve pas de besoin supplémentaire suffisant à me décider à y revenir. La mort l’occupait, soit.
Très triste, Chantal, le sort de Chantal Ackerman, mais avec la meilleure volonté du monde, il m’est impossible de m’intéresser au court métrage que vous avez mis en lien.
Qu’en pensez-vous Bérénice?
rien .
Hello Abdel, I quite agree about le grand Eric.
And prefer to ride among the stars
http://m.youtube.com/watch?v=CnSfTEdAL-w
The first time I heard about this walking girl on the wall, the story was told by a war reporter.
Dommage Bérénice, je ne suis pas un grand nageur.
Je ne vois pas de quel lien (de nota) vous parlez.
je me suis arrêtée au nom de la poétesse pour comprendre que cette pauvre Chantal devait être peinée, nous ne sommes pas en phase et je ne suis pas allée plus loin dans mon exploration de sa communication.
Gontrand il vous faudrait le rechercher sous le billet correspondant, j’ai du l’archiver mais mon archive est un désordre interminable, il serait plus court de retourner au billet.
LDVB
http://www.europe-revue.net/pages/recherche-par-titres/parutions-2003/bachmann-r.pdf
Le procédé Hiroshima est le même qu’Appollo XI, en capitalisé.
Ex : les clopes valent 7€
un journaliste est payé par la pub
Elle coûte 6 francs ici
http://www.arte.tv/fr/affinites-spirituelles-et-dissemblances/706682,CmC=706784.html
également LDVB
Well je ne viens pas ici pour me faire harceler par la shampooineuse pour pitbulls.
Et ríen sur les Nobel…
http://www.letemps.ch/sciences/2015/06/19/racisme-sexisme-pseudoscience-nobel-petent-plombs
A qui la Juve?
De quoi s’agit-il? Du nouveau dans l’équipe? Avec ce beau tunnel il va falloir réserver .
LDVB si je vous suis, j’exerce une profession qui ne correspond pas tout à fait à mon statut qu’eau , je répondais à Gontrand en m’apercevant que j’attribuais un lien à quelqu’un qui n’est pas vous et sans songer à vous importuner et encore moins à vous harceler. Pourquoi perdre notre énergie alors que demain verra notre vie diminuée d’un jour. Quand on atteint comme moi de grands âges, on ne fait pas ce genre de choses.
…
…Chantal,!…Oui,!…demain,…un jour comme un autre en suivis,!…
…
…loin très loin, de la révolution d’octobre,…imaginer,!…
…occuper le parlement,…les lobbyings à l’Euro,…chasser les hollandais de Bruxelles, très bilingue,…de l’orthographe,…
…
…un Cinéma,!…une répétition,…un théâtre à la moette,…
…amour sacré de la patrie
…rend nous l’audace et la fierté
…a mon pays je dois la vie
…il me devra sa liberté,!…
…
…un disque,…pour des hollandais conquérants,…avancer par couches de zizanies en polders,!…
…un racisme nombrilisme,!…les dogues de Bruxelles, sans se mouiller avec Charles le Téméraire,…
…je, nous, tu, vous avez vu des arquebusiers suisses,…a la bataille de Granson,!…à la fuite des hollandais, aux paradis fiscaux, of course,…
…
…N-Y,…Bruxelles,!…et alors ces commerces de drogues et les truands tout ces trafics çà baigne,…dépêchez-vous ,!…c’est pas Waterloo-Bruxelles 2015,…
…Ah,!Ah,!…
…l’histoire vous la faite, ou vous la subissez,!…avec ou sans syndicats complices, pour s’exploitez son peuple,!…
…
…Granson, Granson,…à la retraite,…les chevaliers des paradis fiscaux,!…l’âme de la stratégie du profit, envers et contre tout,!…liberté, démocratie, humanisme,…
…
…une main de fer, dans un gang de velours,…
…le pays de la légende de Thyl Ulenspielgel et Lamme Goedzak, par Charles de Coster,…
…depuis les espagnols et le duc d’Albe,…les tableaux de Bosch,!…artiste peintre,!…
…
…jouer des forces sur l’échiquier,!…pour faire son importance comme les César’s,!…
…etc,!etc,!…
…faite ce qui vous préférer,…
…avec une esquisse,!…Ah,!Ah,!…d’artiste,…
…
Ueda dit: 6 octobre 2015 à 18 h 24 min
neither here nor there dit: 6 octobre 2015 à 18 h 04 min
Qui êtes-vous vous-même, Abelkader, qui vivez dans un univers intellectuel de confection (répétition de blagues apprises, de propos empruntés à autrui, de réactions presse-bouton) pour juger cet homme-là?
Allons donc, mon cher Bouddha de banlieue…vous m’avez l’air bien perturbé…dois-je présenter mes diplômes avant de parler de Clapton ou bien le fait que je sois gros consommateur de musique me donne le droit d’en dire ce que je pense ? qu’en pense l’Institut ?
ai-je donc dis quelque chose qui vous est peut-être restée coincée dans le gosier ? c’est bien…mes blagues ? elles sont originales et garanties made by Abdel, pour la plupart…mes insultes aussi…c’est ca qui vous tracasse ? ou alors , et ca ne m’étonne guerre, vous vous êtes reconnu dans Eric Clapton ? une âme sœur, un autre poujadiste (riche a millions certes mais un plouc poujadiste quand-même – d’après Jack Bruce de Cream, « Clapton jouait du jazz, c’ est juste qu’il ne le savait pas »), …quant a l’interview, comme je vous l’avez déjà dit : dis moi ou tu te renseignes et je dis qui tu es…sinon, j’aime mon blues comme mon chocolat : très noir…
Diminuée d’un jour, diminuée d’un jour… Ca dépend si c’est un jour d’épaule nue ou un jour de feuille d’impôts !
euh… les blaireux, ce sont les groupies de Tony Blair…une espèce en voie de disparition et que perso, je ne peux pas blairer…
Ha ben tiens son va se claptonner la Gently weeps :
https://www.youtube.com/watch?v=rj4J6i_vw0w
De toutes manières, par n’importe quel bout, rien n’a jamais valu l’original…
bonsoir la vie…Brian May est un grand guitariste mais aussi un docteur en astrophysique, diplômé de l’Imperial College…il passe parfois dans une émission de la BBC, Sky at Night, ou il parle d’étoiles et de black holes…il est aussi écolo et se bat contre le massacre organisé des blaireaux, par ce gouvernement de pantomime et des propriétaires de bétail qui accusent les blaireux de transmettre la tuberculose a leurs troupeaux…a nice man…
La permanence opérationnelle telle qu’elle est aujourd’hui ne me semble pas à la hauteur de la menace qui pèse sur la France.
Il me semble urgent de sectoriser la France métropolitaine en 6 secteurs avec une permanence par secteur, de limiter le délai de décollage à 5 minutes ce qui implique des intercepteurs armés sur piste avec pilotes en bungalow à proximité immédiate et non pas en hangar. Ces deux mesures devraient permettre une interception / destruction en 10 minutes au maximum à partir de la décision en tout point du territoire, ce qui est impossible aujourd’hui.
Restera aussi à réduire le délai de décision ce qui implique une parfaite et rapide communication avec le contrôle aérien civil.
Je propose :
1) Mont-de-Marsan
2) Orange
3) Avord (à reconfigurer)
4) Saint-Dizier
5) Rennes(à créer)
6) Cambrai (à réhabiliter)
http://blogs.mediapart.fr/blog/ben/061015/marguerite-yourcenar-les-yeux-ouverts
Petit matin. En lisant le résumé des catastrophes du jour, on tombe sur cette page des Yeux Ouverts. Je crois que c’est Suzanne Lilar qui a dit que ce livre d’entretiens avait permis à Marguerite Yourcenar de donner « sa mesure immense ».
Est-il rien de plus « actuel »?
Début de la fin pour les e-books?
http://www.theguardian.com/books/2015/oct/06/waterstones-stop-selling-kindle-book-sales-surge
La France est enchienlisée !
Les voyous rouent de coups des diplômés de l »aéronautique, les prisonniers permissionnaires tuent et s’enfuient, les ghettos se densifient, la courbe du chômage est en érection priapique, le super-nain Cazeneuve plastronne, logorrhée vaine, du haut de son mètre cinquante, la grosse de la case se cache dans son ministère, la croissance n’est pas au rendez-vous, le Président enfile des perles artistiques, le matador éructe en vain, les réformes tardent, les djihadistes préparent les attentats de la Noël, le monde entier se marre ….!
Vous reprendrez bien un peu de la France ? …. Non, merci, j’ai donné !
les djihadistes préparent les attentats de la Noël, (JC)
C’est vrai ? oh! comme c’est excitant.
sur le site de l’académie Goncourt (cf. gazouilles à Passou), on peut lire:
« L’Académie Goncourt bénéficie du soutien de la Ville de Paris. »
En regardant la photo des jurés, on serait tenté d’ajouter « et des balcons de Paris ».
…. à la Noel, le petit Jésus va faire « BOUM ! » dans son étable !…
(et Zoom nous expliquera qu’il le fallait, que c’est le sens de l’histoire …. peut être même, un coup des Juifs…antisémite pro-palestinien comme il est, notre cher Zoom ! Quel brigand…)
OUF ! Delphine et Christine sorties de la liste !
Fou-rire mortel…
A l’Assemblée Nationale, on perd de précieuses minutes à exécuter, debout comme marionnettes du peuple, une « minute de silence » en hommage aux …. victimes des intempéries … des c.ouillons qui descendent « sauver » leur voiture dans le parking !
Pécaïre….l’Assemblée Nationale !….
Les voyous rouent de coups des diplômés de l »aéronautique
c’était la fachionne ouik jicé..ha t’es pas un esthète
https://lecinedesflemmards.files.wordpress.com/2014/06/doc-savage-arrive.jpg
mon larbin aime la musique militaire
les djihadistes préparent les attentats de la Noël, (JC)
Je ne crois pas à la menace djihadiste en France. En un an le nombre de victimes d’attentats attribués à des djihadistes présumés n’atteint pas celui des victimes des récentes inondations des Alpes-Maritimes. Si, de plus, on retranche les Juifs du nombre des victimes, le nombre de Français de souche tombés sous les balles des tueurs djihadistes ou présumés tels est franchement dérisoire. Il n’y a vraiment pas de quoi s’inquiéter et nous pouvons aborder les fêtes de Noël en toute sérénité. Ces djihadistes sont une poignée d’amateurs inorganisés très inefficaces.
les djihadistes préparent les attentats de la Noël, (JC)
C’est vrai ? oh! comme c’est excitant.
jean marron a été élevé par margueritte..ça se sent
Pourquoi la cause des chrétiens d’Orient est une cause universelle. Arguments convaincants de Jean-François Colosimo
N’étant pas chrétien et encore moins chrétien d’Orient, je ne vois pas en quoi je me sentirais concerné par la cause de ces gens. La cause des chrétiens d’Orient n’a donc rien d’universel, et d’autant moins que je ne dois pas être le seul à m’en désintéresser. CQFD
– Qu’est-ce qui est encore plus mou que bouguereau ?
– bouguereau.
🙂
Les DRH ne sont pas aimés par les salariés : tu m’étonnes ! Mais c’est pas une raison pour les traiter comme punching ball ! Ils sont humains, mdr…
Que le super nain Cazeneuve arrête les voyous frappeurs syndicaux et que la ronde beauté caraïbe Taubira les fasse crucifier ! Sinon, c’est la chienlit et la disparition d’Air France…
rien n’a jamais valu l’original…
le vla lvrai probloc avec clapton..pour une fois que gaga pas tort..ha si quand il était ippi..là il était bien..surtout l’batteur défoncé..une bête
C’est tout ce que j’avais à dire pour ce matin…. Pas terrible, hein ?!
bouguereau dit: 7 octobre 2015 à 8 h 48 min
Mon vieux balai de garde-robe tout dépoilé essaie de se mettre au garde-à-vous.
Sans succès.
🙁
Alors, qu’il se dit : j’vas faire un nouveau moka! ».
🙂
ho les chetrons..jvais obliger mon largin a changer d’livré pour une comac..les rayures ça fait trop ancien régime que m’a dit jean marron
Sansal contre Angot, les Goncourt ont choisi la pesanteur contre la grâce, et moi j’ai perdu mon pari, à dix contre un, mais pas mes illusions littéraires !
Sansal contre Angot, les Goncourt ont choisi la pesanteur contre la grâce (Attila)
Bien d’accord, mais ce choix ne fait que confirmer la pente invétérée des Goncourt vers la pesanteur. Ces gens-là sont des newtoniens conséquents. Il faudrait vérifier si l’accélération de la pesanteur chez un juré Goncourt moyen ne serait pas un peu plus forte que dans la moyenne de la population.
La pesanteur, pour Sansal c’est bien vu ; il pèse lourd le bougre, avec son 2084…
La grâce pour l’autre malade narcissique d’Angot ? Vous rigolez !? Allez ! on ne résiste par à l’inversion des lettres : la grace -> la garce*
*qui, fillette séductrice, a titillé son papa au delà du raisonnable, et qui blablate sur son nombril, à n’en plus finir depuis lors … uhuhu !
L’affaire de « la Quinzaine littéraire » rappelle en petit celle d’Air-France. D’ici qu’on assiste à la mise à poil de la nouvelle PDG par des rédacteurs en colère, y a pas loin; Il flotte dans ce pays comme un parfum de mai 68 mâtiné d’octobre 17.
Air France et maintenant La Quinzaine Littéraire – notice sur la droite du blog – qui est la financière Madame de Pas?
Et Denis Tillinac dans tout cela?
Air France, j’ai tâté comme passager la qualité de leurs hôtesses hautes sur pattes dans des aéronefs déserts…
La Quinzaine Littéraire, c’est quoi ça comme feuille de choux ? Si ça disparaît… euh … c’est grave ?
« fillette séductrice, a titillé son papa au delà du raisonnable, et qui blablate sur son nombril, »
le clown, minable, à bouguereau cause comme la curetaille
Il est vrai que, si l’on examine la série des prix Goncourt depuis 1945, force est de reconnaître que c’est du lourd tendance lourdingue. Choix économiquement judicieux si l’on veut assurer de gros tirages: il s’agit de rejoindre au plus vite le plancher des vaches où paissent les ruminants qui forment 99% des acheteurs du prix Goncourt.
Il est grand temps, pour répondre à une question qui m’est posée par un erdéelien inquiet de la montée du terrorisme, conséquence du « laisser-faire pour vivre-ensemble » de qui vous savez, de préciser.
Non ! Si nous espérons que les voyous de tous genres seront crucifiés en place de Grève par les bourreaux de la Sœur Ainée de l’Eglise, la France perle de la Chrétienté, il n’est pas question de décapiter les voyous, avant, pendant ou après crucifixion ! Peut être une petite bastonnade qui rappellerait la Roue : ce serait sympa…
On n’est pas des brutes, nous autres les Français de souche de race blanche cultivés, juste des braves gens qui s’organisent contre les forces du Malin ! …
… mais non … le « Malin », ce n’est ni Hollande … ni Valls … voyons !
laurent, 9:41
Tu es Magnifique !…
Le dernier Rushdie est excellent. Décidément, à part les cinéastes en prison ou clandos, les nouveaux Iraniens ne pigent rien à rien:
« – Qu’est-ce tu fatwa?
– J’écris.
– Qwa?
– Les mille et une nuits, revisité.
– Haram! Boko Haram! Total Haram »
nous autres les Français de souche (JC)
Il faudrait s’entendre sur ce qu’on appelle un Français de souche. Les seuls authentiques Français de souche sont les descendants directs de nos ancêtres les Gaulois. C’est la seule définition de l’identité nationale qui tienne la route. Je me flatte de faire partie de cette élite. Il paraîtrait même qu’on compterait un druide dans la famille : ça vous a une autre gueule qu’être arrière-petit-fils de rabbin ou fils d’évêque.
Scriú tú, falsa!
Que Rushdie se décide une bonne fois à se rendre à Téhéran à genoux, en chemise et la corde au cou demander pardon de ses fautes, et les choses devraient s’arranger. Ce n’est tout de même pas la mer à boire.
Ackerman, pour moi, c’est Jeanne Dielmans; Ce film, vu très jeune, a été comme un catalyseur pour toute une génération. C’était un vrai phénomène, dérangeant de bout en bout : une sorte de huis-clos banal et oppressant, filmé « en temps réel » (ah ! Delphine Seyrig en train de faire la vaisselle, et ce geste suspendu, quand il s’agit de déterminer si l’on va accepter qu’une assiette échappe, ou non, au nécessaire rinçage…) et qui déclinait si doucement l’oppression commune aux femmes : voici donc une femme d’intérieur, bonne mère, attentive à son ménage, à l’apparence soignée d’une petite bourgeoise, et qui se prostitue à domicile avec le même soin qu’elle prépare le rata, et avec la même apparente indifférence absolue, la même frigidité qu’une épouse fatiguée envers son mari négligent. Une sorte d’acceptation ultime du sort décrit par Beauvoir : une objectivation qui assimile la femme mariée à un objet qui se loue. Le mariage comme avatar de la prostitution.
Je me souviens de tant de choses dans ce film. L’argent déposé dans une soupière à fleurs, et ensuite remis soigneusement à la banque. L’affolement quand le fils demande « plus » à sa mère, cet acharnement de cette dernière à suspendre le temps, à momifier, à stériliser son emploi du temps.
Tout le monde connaît au moins une Jeanne Dielmans (mariée ou veuve se prostituant, disons louant son corps pour vivre sous la domination d’un homme), avec son obsession de la propreté, son désir de bien faire, son rétrécissement intellectuel.
Le cinéma en huis clos et en temps réel d’Ackerman, même s’il fut largement incompris à l’époque, illustrait parfaitement la condition féminine de l’époque.
… En route vers le groupe femmes après la projection, avec quelle profonde inspiration de l’air des rues, au sortir du cinéma d’Ackerman, nous emplissions nos poumons, si déterminées à faire changer tout cela, et pour de bon…
… Et aujourd’hui ? La cause des femmes est une urgence absolue et internationale ; le corps des femmes est toujours le lieu de l’oppression, à part quelques îlots de liberté ici et là…
… Et « mon » film est programmé dans la même salle où, il y a tant d’années, le film d’Ackerman était programmé. Je dis « mon » film, c’est le nôtre, à Clopin d’abord et à moi ensuite, bien sûr. Mais pourtant : lors d’une séance publique, avant la projection, un des protagonistes du film, voulant me présenter à une connaissance, et cherchant à définir ma place dans la production du petit documentaire, n’a rien trouvé de mieux que dire : « et voici la porte-sacs… ». Effectivement, le jour où nous sommes allés l’interviewer, je portais les sacs. Mais c’est bien le machisme ordinaire qui a rendu, comme par magie, toutes mes autres fonctions invisibles et inexistantes. Soupir. Nous n’avons visiblement pas respiré assez largement, du temps d’Ackerman.
« et voici la porte-sacs… ». Effectivement, le jour où nous sommes allés l’interviewer, je portais les sacs. (Clopine)
Dans une cité écolo-progressiste, il est normal que l’âne ait droit à ses RTT.
http://cdn.liberte-algerie.com/images/caricature/thumbs/lr-7043-8dc81.jpg
Zoon dit: 7 octobre 2015 à 10 h 11 min
Que Rushdie se décide une bonne fois à se rendre à Téhéran à genoux, en chemise et la corde au cou demander pardon de ses fautes
En raison de ce symbolisme chrétien, il serait décapité sur le champ comme shirqi (associationniste)
ls ânes sont beaucoup plus intelligents que les ueda et leurs admirateurs
« Ackerman, pour moi, c’est Jeanne Dielmans »
Pour moi c’est AKERMAN et DIELMAN
quand on aime, on compte pas mais on conte
merci pour Akerman, Clopine, merci
Touite
Le jury a une bonne gueule sur les balcons.
(Pas comme les lugubres Norvégiens décernant un Nobel de la paix inutile).
Debray a pris la pose d’un Duce.
Allons, le bon choix semble possible.
‘ ce symbolisme chrétien’
la flagellation ?
Serge, vous avez raison, et j’ai tort : j’aurais dû vérifier l’orthographe des noms propres. Mais c’est que ces noms-là remontent d’un passé disons, lointain ! (ce qui ne me rajeunit pas…)
m’en vais faire une réclamation auprès d’Adblock
y’a des pubs qui passent dans les commentaires
Mieu vaut écrire quelque chose que rien du tout. L’inspiration est comme la belle femme du douar, elle ne se manifeste que quand elle le voudra.
A l’Assemblée Nationale, on perd de précieuses minutes à exécuter, debout une « minute de silence » en hommage aux …. victimes des intempéries (JC)
À l’image de l’Europe, c’est une bande de canards sans tête.
Le politique s’est évaporé, il reste le vivre-ensemble.
Le peuple a disparu, il reste les gens.
« J’aime les gens »…
« Français de souche »
Les souches, synonymes d’immobilité et d’inertie, ça pourrit vite.
ta gueule raclure
Le peuple a disparu, il reste les gens.
et la terre chrétienne qui dirait lazar..
Toupi superbeau dit: 7 octobre 2015 à 9 h 30 min
Et Denis Tillinac dans tout cela?
C’est un homme très sympathique.
Je préfèrerais boire avec lui le prix que coûte son livre.
merci pour Akerman, Clopine, merci
elle cause comme si c’était sa bonne pupu
En raison de ce symbolisme chrétien, il serait décapité sur le champ comme shirqi (associationniste)
une balle de 50mm et un billet d’escuz à la famille en cat d11..ça c’est civilisé zouz
le corps des femmes est toujours le lieu de l’oppression, à part quelques îlots de liberté ici et là…
c’est toujours des histoires de levrette avec la bonne clopine
Que restera-t-il de Taubira?
Le casque et le vélo.
Comme un catalyseur pour TOUTE une génération. Statistiques à l’appui. Pourquoi ne pas se contenter de reconnaître que Chantal Ackerman était une bonne cinéaste, dont l’oeuvre aurait mérité d’être mieux connue du grand public, pour lequel d’ailleurs son simple nom est une découverte. Gauche Télérama, quand tu nous tiens !
Une sorte d’acceptation ultime du sort décrit par Beauvoir
« le mariage est un viol prémédité » ..et c’est dun pédé qui avait pas peur de raquer..
– Que restera-t-il de Najat?
La dentition.
– De Pellerin?
Le prénom.
– De Duflot?
Le cul et le culot.
Je préfèrerais boire avec lui le prix que coûte son livre
un coffe de droite chte dis zouz
Il paraîtrait même qu’on compterait un druide dans la famille : ça vous a une autre gueule qu’être arrière-petit-fils de rabbin ou fils d’évêque
..si augur augurème
..ça me rappelle ce temps où j’appelais dracul crême de golème et que ça indignait ici dèçe..zouz aussi je parie
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