Une BD ajoute au mystère Graham Greene
Quand la bande dessinée s’empare de la littérature, on s’autorise une hésitation dictée non par le mépris mais par la prudence. Il est vrai qu’elle lui a souvent faire de mauvaises manières (voir A la recherche du temps perdu & co). Non que ce soit tabou ni même interdit. Avec Simenon et quelques autres, ca s’est plutôt bien passé, grâce au talent de Loustal notamment. Mais l’adaptation est rarement réussie. Aussi ai-je ouvert avec une certaine appréhension Le Coup de Prague (110 pages, 18 euros, Aire libre) du scénariste Jean-Luc Fromental et de l’illustrateur Miles Hyman. Mais le résultat s’impose et force l’admiration, foi de greenien blanchi sous le harnais et jamais vraiment échappé du greenland ! Pas de méprise : c’est bien de Graham Greene et non de Julien Green qu’il s’agit. Le tour de force a été cette fois de transporter en cases et bulles le Troisième homme (1949), chef d’œuvre néo-expressionniste du réalisateur Carol Reed scénarisé et dialogué par Graham Greene d’après un roman qu’il avait ébauché après la fin de la guerre, et qu’il a ensuite novelisé d’après son script dans le sillage de l’immense succès du film.
Greene s’était inspiré d’une affaire particulièrement glauque, un trafic de pénicilline frelatée qu’il eut à connaître lors de ses activités d’espionnage pendant la guerre. Hyman et Fromental, eux, s’inspirent clairement du film davantage que du livre assez pauvrement écrit, il faut le reconnaître (et pour cause !) ; comment auraient-ils pu résister aux décombres encore fumants de Vienne, aux souterrains poisseux, aux tunnels en clair-obscur de la capitale autrichienne divisée en quatre secteurs d’occupation ? La puissance d’imprégnation du film sur ses spectateurs envoûtés tenait beaucoup à la lumière en clair-obscur et aux cadrages obliques de Robert Krasker, à la présence brève mais pénétrante d’Orson Welles et à l’air entêtant interprété à la cithare autrichienne par Anton Karas. L’ombre du film, tenu par les auteurs pour « le plus grand film noir européen de l’après-guerre », plane donc sur l’album ; s’agissant de Graham Greene, ce n’est pas son ombre mais bien sa présence qui le domine, fût-ce en trompe l’oeil.
Fromental et Hymans se sont souvenus du point de départ de l’écrivain lorsqu’il avait été se balader le nez au vent dans Vienne nid d’espions : un homme croise dans la rue un ami aux funérailles duquel il a assisté quelques semaines avant… A partir de là, ils ont brodé, raccroché des éléments vécus et d’autres imaginaires. Ce qu’un romancier se permet classiquement lorsqu’il fait des repérages. A partir de cette base biographique, Fromental a pris des libertés et c’est tant mieux : il imagine qu’en 1948, guidé par la troublante et si hitchcokienne Elisabeth Montaigu de Beaulieu, Greene, expert en double jeu, n’est pas venu là que pour se documenter mais pour enquêter sur une taupe de la haute administration britannique qui aurait été recrutée par le KGB quinze avant alors qu’elle était en poste à Vienne… On pense tout de suite au fameux Kim Philby et c’est bien de lui qu’il s’agit pour les auteurs de l’album. Fromental, qui en fait le troisième homme du réseau clandestin constitué avec Burgess et McLean, explique :
« Le troisième homme, en effet, pourrait être Nicodème qui, dans les l’évangile qui porte son nom, est présent à la mise au tombeau du Christ aux côtés de Jean l’Evangéliste et de Joseph d’Arimathie. Savoir que cet évangile a été exclu du Nouveau Testament par les Pères de l’Eglise parce qu’il relate la descente aux enfers du Sauveur, qui offre la rédemption à tous les damnés sans condition de repentir, bafouant par là même les dogmes fondateurs du christianisme, éclaire l’histoire d’un jour nouveau. »
Le fait est que Greene avait effectivement travaillé pour l’Intelligence service pendant la guerre et qu’il aurait très bien pu enquêter ainsi sur cet homme qu’il avait si bien connu… Mais qu’importe à la limite ! L’histoire est formidablement menée et mise en images. On a oublié à quel point la ville, autrefois et aujourd’hui si chantante, était à l’époque en loques, affamée, écrasée, humiliée ; on y croit tant qu’on s’y croirait ; comme toute bonne histoire d’espionnage, on découvre des masques sous les masques, du mensonge à tous les étages, de vrais faux secrets derrière les rideaux. Une parfaite métaphore de la condition humaine. L’album aurait pu s’intituler plutôt « L’autre coup de Prague », car le coup de Prague a vraiment existé : il désigne la prise du pouvoir en février 1948 par le PC tchèque qui fit basculer la Tchécoslovaquie dans le camp soviétique. A la fin, on lira avec profit un passionnant « Dossier Greene » dans lequel Jean-Luc Fromental fait preuve d’une impressionnante connaissance de son sujet. Il a vraiment fouillé partout et fait un usage nuancé de l’enquête iconoclaste que Michael Shelden avait consacré aux zones grises de la vie de Graham Greene dans The Enemy Within.
Alors, le Greeneland ? Un territoire de l’imaginaire aux frontières si floues mais si prégnantes qu’il faut s’en échapper pour savoir qu’on y a été. Un monde où la déloyauté est une vertu, où tout se passe la nuit, où il pleut tout le temps et où celui qui tire les ficelles de l’histoire se fait toujours l’avocat du diable pour les individus hors limites. Dieu, la Grâce, le Salut, dans cet ordre et sans oublier les majuscules : La Puissance et la gloire, Le Fond du problème et La Fin d’une liaison n’ont cessé de tourner autour en un temps où nombre de lecteurs à travers le monde partageaient le grand souci métaphysique sans oublier le Rocher de Brighton, tout aussi travaillé par l’intranquillité spirituelle.
Depuis, il semble que l’inquiétude ait modifié ses paramètres, ce qui va ne pas sans retirer une certaine profondeur à la fiction contemporaine, l’adultère ne conduisant plus à la sainteté. Même son constant éloge de la déloyauté risque fort de paraître inactuel en nos temps de surveillances des mœurs et des esprits par le politiquement correct. N’empêche que la souffrance issue de la trahison tourmente l’essentiel de son oeuvre. Il nous entraine dans le labyrinthe des couples illégitimes de l’amour à la haine en passant par la jalousie, le spectre de l’ennui, l’insupportable attente, l’excitation du danger, les délires d’interprétation et ce doute incessant qui corrode les âmes les mieux armées plus profondément que toute culpabilité.
Greeneland ! L’’intéressé détestait cette A.O.C. qui nimbait son œuvre. Pourtant, cet univers métaphysique et même psychologique s’identifiait à l’œil nu. François Gallix, l’un de ses meilleurs connaisseurs, le ramasse ainsi :
« Un arrière-plan très typé donnant une fausse impression de réalisme et donc la couleur locale n’est pas totalement absente, tout en étant très imprégné de symbolisme, avec des personnages entre deux âges, esseulés, à bout de course, aux vies souvent ratées –anti-héros solitaires qui sont amenés à faire des choix cruciaux tout en étant capables d’actes de courage. »
Encore faut-il préciser qu’un mot-clef ouvre la porte de ce monde gris à la frontière entre le bien et le mal : seediness que l’on rendrait improprement par « sordidité » ou « sordidisme ».
Vingt-six romans et un grand nombre de nouvelles traduits en quarante langues entre 1926 et 1990. A quoi il convient d’ajouter des milliers d’articles, une correspondance très fournie, le noircissement quotidien de petits carnets et d’agendas Hermès. Greene, dont rien ni personne ne bridait la curiosité, a touché à tous les genres : roman policier (Un Américain bien tranquille), roman de divertissement (Notre Agent à La Havane), roman d’espionnage (Le Facteur humain), thriller (Le Ministère de la peur), l’essai autobiographique (Une sorte de vie, Les chemins de l’évasion), le scénario (Le Troisième homme), le pamphlet (J’accuse) les lettres au courrier des lecteurs des grands journaux, anthologie des plus savoureuses dans le registre de l’understatement (Avec mes sentiments les meilleurs) et jusqu’à l’interprétation de ses rêves (Mon univers secret) ! On allait faire l’impasse, impardonnable s’agissant d’un écrivain anglais, sur les nouvelles dont il éoquait le goût comme « une boisson fraîche dans une bouche brûlante ». Le meilleur, et donc le plus troublant et le plus ambiguë, y est reflété d’un écrivain qui admirait Dickens et Conrad avant d’être lui-même admiré par John Le Carré ; c’est peu dire qu’il a inspiré ce dernier du moins pour le tourment de la trahison.
(Illustrations de Hyman extraites de l’album Le Coup de Prague ; photos extraites du film Le Troisième homme)
963 Réponses pour Une BD ajoute au mystère Graham Greene
Bérénice, je suis né à Paris et j’y ai toujours vécu, je peux vous confirmer que la situation s’est considérablement aggravée en plusieurs décennie et qu’on ne fait rien pour que ça cesse.
Des quartiers entiers, voire des arrondissements entiers, sont concernés. Beaucoup de parents, qui en ont parfois à peine les moyens, transfèrent leurs enfants dans le privé pour les mettre en sécurité, les écoles et collèges publics en étant devenus incapables. Alors même qu’ils payent des d’impôts et que les parents de ceux qui génèrent les problèmes n’en payent que très peu ou pas.
Les gens n’en peuvent plus.
Savez-vous D. que les faits ont été discutés, concernant les étrangers délinquants, et que les pays dont viennent certaines personnes refusent mordicus de les reprendre ?
–
Savez-vous, Rose, qu’on s’en fout, qu’il suffit de les déposer à la frontière, de refermer la grille et point barre ?
PSA, Renault sont prêts à passer des commandes à GS&M équipementier automobile à La Souterraine dans la Creuse…pas BMW ? Pas Mercedes, ni Audi ?
–> absence de réciprocité –> taxation des imports en France de ces marques.
Monsieur Philippe parait avoir trahi dans sa carrière un peu tout le monde. En cela, il est bien le digne Premier Ministre de son illustre employeur…
La France devient un laboratoire d’idées… peut être même un abattoir d’idées.
Il était temps d’abattre ce qui fut improprement appelé « culture française » …
Il n’y a qu’une seule culture convenable, celle du Califat de l’identité heureuse, divinement diluée.
Nous aurons donc un disciple du Meilleur d’entre nous… au service du Pire d’entre nous !
En marche ! vers la falaise !
Ce qu’il importe : que chaque âne ait son picotin républicain !
Falaise, définition d’André. Guilcher :
« qui est dû à l’action ou à la présence Marine »
@ « PSA, Renault sont prêts à passer des commandes à GS&M équipementier automobile à La Souterraine dans la Creuse…pas BMW ? Pas Mercedes, ni Audi ? »
Et pas Uber, nouveau constructeur automobile.
Et c’est -provisoirement- une bonne nouvelle.
Parce que l’investissement d’entreprises délinquantes socialement, en France, et non européennes, est aussi un corollaire au flou du programme de celui qui a été ministre de l’économie en hollandie.
Je ne comprends pas ce que le président veut dire par cette idée générale, et généralement admise par ceux qui lui tendent la main. Comme les syndicats modérés sans que que ce soit prêter main forte à une organisation « avec méthode » de la précarité du travail : réformer le Code du travail.
Hormis qu’il pèse 2kg et contient beaucoup de pages, comme le lui a fait remarquer son associé béarnais, un peu benêt.
Un peu béret, non ? Pour un béarnais.
Crème, sauce, à laquelle allons-nous être mangés ?
Profitons du capital sympathie, tant qu’il dure.
Rambaud, dans me lit plutôt que dans le texte, non ?
La majorité présidentielle aux législatives impliquerait de faire passer ses réformes comme, anciennement, une lettre à la Poste.
Il a dit à Merkel Macron, pas de tabou de mon côté. Pour faire changer les traités.
Loin des tabous salvateurs.
Il faut aussi reconnaitre ce bel élan de M. Philippe, qui prône le « travailler avec ».
Ne douter de rien. Surtout pas de la part de celui qui travaille surtout à soigner son image médiatique.
Et pas besoin d’avoir fait allemand première langue, pour savoir qu’en schleu, travail se dit: arbeit. SDF, -samedi-dimanche et fêtes-, aussi.
Arte a été, est encore une très belle conception de la réconciliation franco allemande.
Que du pire sorte le meilleur.
Fonds baptismaux.
Fonts d’abondance partagée.
D.
Ramener qqu’un chez soi lorsqu’il ne veut pas y aller et que son pays natal ne veut pas l’accueillir me paraît hautement improbable. On ne pas emprunter, ni au Chili ni à l’Argentine leurs méthodes dictatoriales de balancer les individus d’hélicoptères dans l’océan ou dans le désert.
Faut trouver d’autres solutions.
SDF
Dont les jours fériés. Premier mai. 8 mai. Ascension. Pentecôte.
Finis les jours fériés.
Image médiatique
À ce sujet, la barbe n’en avantage guère.
dans le lit.
On ne va pas emprunter
Bonne journée
Et puisqu’il est question de livres …
Il faut connaître les emplois que prépare le président, dans le schéma consumériste : Un job de commerçant.
C’est de la pipe, cette grande distrib’ :
https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0212041772583-amazon-poursuit-son-implantation-en-france-avec-un-nouvel-entrepot-geant-2084772.php
7h20 bof, non plus.
c’est une mode de désigner les allemands par des mots que nos parents ou grands-parents qui ont vécu une guerre employaient, la concurrence est rude, il serait bénéfique de rééquilibrer un jeu dont les règles mènent au rejet de l’Europe et au racisme qui commence aussi avec la langue.
La France devient une sorte de hub logistique, c’est de la pipe aussi, ça.
Amazon c’est faire du fric de manière décomp
lexée. Rappelons les bracelets de surveillance de l’activité que portent les employés.
@Image médiatique
À ce sujet, la barbe n’en avantage guère.
Mais la maîtrise de l’image, c’est quand même un art.
Le sujet du billet de la verrue de M. Poirier, qui permet de se faire une idée des précautions de pixel des éditos, était assez édifiant.
Le résultat est est charmant. Djavert qui prépare son book du nouveau patron, nous a donné les bonnes pistes :
http://www.liberation.fr/debats/2017/05/14/resistance-a-la-macronmania-premieres-pistes_1569475
il me revient une molle du lac, à regarder Manu ne rien faire, au pied du mur.
radio tarzoune et ses pubs..manque pus que le buffet camapagnard gratuit comme dans les 70’s
Ah, ces vieux rois-bergers aigris ! L’on ne peut que les voir malheureux — heureux, peut-être ? — d’avoir perdu la vue à force de ne pas s’en servir.
heureux les voyeur..il se rinçront l’oeil au paradis
Suis bcp plus sensible au langage qu’à l’image, tape à l’oeil. Et à ce qui est dit.
Et en ai déjà ras la patate de l’appelation jeune homme pour un homme de quarante ans.
La séduction n’a qu’un temps compressible. Ô César !
Le reste a une durée immarcescible.
Smoke Break :
http://blogfigures.blogspot.fr/2012/07/helmut-newton-smoke-break.html
Rose a bien raison : c’est un scandale d’appeler « jeune homme » un bébé à sa mémère …
l’image, tape à l’oeil..le langage duplice..faux en écriture..rose cochon quoi
un bébé à sa mémère
..dodo y risque pas d’ête au gouvernement
helmoute nioutone..non mais t’as pas honte rénateau..des himages tape a l’oeil pour concession yamaha
Claude Debussy :
« heureux les voyeur..il se rinçront l’oeil au paradis »
C’est le moment « voyeur », bouguereau…
Ralph Steadman :
https://www.brainpickings.org/2014/04/25/animal-farm-ralph-steadman/
Petit rappel : MC n’a pas le temps de lire de la fiction… mais il en trouve pour débiter ses courtâneries ici
Rose a bien raison : le langage (!?) ne ment pas, alors qu’une image brute ment toujours, évidemment …
On avait Bouvard et Pécuchet, on a Rose et Bérénice….
Plus le billets sont pointus, moins JC, si limité, intervient… continuons le combat, on l’aura
Sauf l’image de l’art, dont parle bien la vie dans les bois.
Comme les peintures extraordinaires de Giotto sur les stigmates de Saint francois d’Assise. Avec ses clous.
Suis très peinée pour edouard philippe et cazeneuve.
Toute l’ignorance qui les étreint.
De Peire Vidal que pouic
Pus pauzar ni finar
No puesc nulha sazo,
Retornar et anar
M’en vuelh ad espero
Entr’Arle e Tolo .
Tel le petit Liré et le mont Palatin de Du Bellay.
Tel le Loire gaulois e le Tibre latin.
Nostalgie de la terre natale chantée par Peire Vidal.
De l’huile d’olive que pouic aussi.
Et du savon de Marseille.
Des sardines grillées.
Lacenaire … on se téléphone pour une petite étreinte au Dojo ? Bien à toi, ma chatte….
Trop fort, le Macron ! Il a déjà installé la cohabitation dans son logiciel. Un coup d’avance sur Baroin. Et les meilleurs des Républicains embarqués sous son panache blanc. L’idée n’est pas nouvelle. Sarkozy l’avait expérimentée avec son gouvernement d’ouverture, qui avait fait grincer bien des dents dans son camp.
Pour les normands, admettons
[…] Comme les Normands qui ont fondé tous les royaumes de Sicile et du Sud de l’Italie, de très grands royaumes, ils venaient du Cotentin. Une petite famille du Cotentin, de petits nobles.
Auteur Pierre Guyotat in la revue littéraire
Quatrième leçon première partie (Cours du 28 mai 2002)
Ne revenons pas sur l’immaturité de la marionnette des média et de la finance.
Contentons nous de rappeler, comme lecteur de Charles Fourier, qu’il est du devoir des jeunes gens d’en filer les vieilles dames qui le méritent.
Pas de s’en vanter. Car au final, faire des enfants à de jeunes ventres féconds est notre destin, par Chronos ?!
Les animaux s’accouplent, les politiques de même …
Concernant Emmanuel et Brigitte Macron, le commentarium de la RDL n’a rien à envier à la presse de caniveau.
Toute eau pure finit dans le caniveau, ô Lavande…
7h49, excusez mais je ne dispose pas de la hauteur de vue ni du point nécessaires pour en juger, dans quelle presse en débat-on ? Sinon puisque vous parlez musique en plus de posséder la langue qu’il convient de maîtriser si l’on veut comprendre les enjeux économiques importants en cours il est mieux de dire » c’est du pipeau » à la forme interrogative ou non, on jette un doute ou comme vous on entretient le registre de l’ironie , à moins que vous trouviez plaisir à la grivoiserie ou à la vulgarité ou encore qu’un besoin urgent ne se présente si tôt ce matin.
Et le caniveau leur convient peut être, au fond ?….
Ce matin, sur son blog, une coquille s’est glissée dans la première phrase de Chevillard, « avoir » au lieu de « avant ». Lassitude, ras-le-bol, fatigue ? En tout cas, comme de coutume, travail bâclé pour un écrivain raté qui brûle ses dernières cartouches :
« Il avait ordonné par testament que son livre soit détruit s’il mourait avoir de l’avoir achevé. »
Je viens de lire avec délectation un livre de Muriel Gilbert, correctrice au Monde: « Au bonheur des fautes ».
Elle parle longuement d’un article de Passou sur le métier de correcteur et, sur un ton léger et humoristique, raconte des anecdotes fort intéressantes. Par exemple pour revenir au sujet, elle cite un texte corrigé et paraphé par Graham Greene la veille de sa mort dans lequel l’ajout d’une virgule jette un doute sur qui est autorisé à utiliser ses textes.
Très drôle aussi un échange qu’aurait eu Victor Hugo avec son éditeur anglais. S’enquérant du succès de son livre il lui envoie un télégramme (non, pas un texto!)
« ? »
Réponse très explicite:
« ! »
Avec en prime, une phrase qui ne veut rien dire, digne d’un élève de maternelle. Tout le travail de Chevillard est du reste de ce même niveau, catastrophique, nullissime :
« Le squelette a craqué toutes ses allumettes. »
(non, pas un texto!)
Ah Ah!!!!
le livre de Muriel Gilbert,
Pour Emmanuel 1er, son gouvernement vaut bien un virage à droite !
9h12, un régal de polyphonie .
D. dit: 16 mai 2017 à 0 h 17 min
« Bérénice, je suis né à Paris (…) Les gens n’en peuvent plus. »
On va leur donner les jeux olympiques et le champagne va couler à flot, D. !
Delaporte, ce qui me stupéfie c’est que vous vous fassiez du mal chaque matin en lisant l’Autofictif alors que vous détestez et ne comprenez pas ce style d’humour et de second degré.
Enfin…quand vous vous acharnez sur Chevillard ça fait un petit répit à Macron.
Bérénice 11h03:?
UN livre se justifie dans la mesure où elle en a écrit plusieurs.
J’aurais pu dire: « LE DERNIER livre » éventuellement mais sûrement pas LE livre de M.G.
Faut-il que Delaporte soit masochiste pour s’infliger la lecture quotidienne de l’auto fictif, Lavande !
Lavande, comment pouvez vous apprécier un … Chevillard sans aucun intérêt quel que soit le niveau d’attaque !?
A quoi vous servent toutes vos études universitaires, ce temps perdu, ces années plates, qui vous ont vidé le système cérébral de tout jugement …
Delaporte – Chevillard ou les déceptions d’un amoureux ou amant bafoué qui se venge stupidement
Je l’ai beaucoup apprécié il y a quelques années, moins maintenant mais je suis cohérente: je ne le lis plus.
JC – Chevillard ô haine objet inique de mon ressentiment ridicucule
« vous détestez et ne comprenez pas ce style d’humour et de second degré »
J’apprécie assez l’humour et le second degré quand c’est bien fait. Avec Chevillard, sous prétexte de second degré, on tombe vraiment très bas. Tout ce qu’il tente est raté d’avance, il gâche le travail. Sa persévérance est sans doute la conséquence d’une bêtise crasse, il n’y a sans doute pas d’autre explication. Du Chevillard, on risque d’en avoir encore pour trente ans, à moins qu’une âme charitable ne le zigouille avant.
« Faut-il que Delaporte soit masochiste pour s’infliger la lecture quotidienne de l’auto fictif »
Chaque fois que je le lis et le déteste, je me dis que tout va bien pour moi, que j’ai toujours mes facultés intellectuelles.
Mais pourquoi vous ne lui lâchez pas les baskets? Il vous a fait des méchancetés personnelles?
Bonjour,
à ceux qui ont une mémoire bien plus ancienne que la mienne, quelqu’un saurait il me dire quand pour la première fois Hubert Vedrine a parlé d’une coalition gauche/droite?
« amant bafoué »
Tout s’explique, Laura Delair !
J’espère que Delaporte n’a pas oublié les préservatifs au moment de se faire cheviller ?
quels sont les titres de gloire de M. Goldnagel ?
tous ces palabres ne valent pas une bonne projection du « Troisième homme », histoire de préparer une finitude dans les égoûts à la recherche de cachets de pénicilline non frelatée.
11h13 j’aurais employé l’article défini dans la mesure où vous en donnez le titre à la suite, ou encore le démonstratif. Il nous reste une certaine liberté un peu de celle de la musque classique qui n’indique pas toujours je crois les tempi et laisse à l’interprète le choix de la vitesse d’exécution.
Après Nice, Cannes va-t-il déployer le tapis rouge à Macron ? En Marche ou les marches ! Brigitte est déjà en essayage…
Le smoking sied bien à Emmanuel !
Dans sa chronique de La Croix, intéressante réflexion politique de François Sureau sur la situation actuelle. Il pointe notamment du doigt l’ambiguïté, et peut-être, selon moi, la malhonnêteté intellectuelle de Macron qui veut se situer au centre de l’échiquier. Est-ce vraiment une velléité idéologique qui tiendra ? L’avenir le dira, à nouveau, sans doute, toujours selon moi, en termes d’échec :
« Le centre ne tient que par l’arrangement ou par le mouvement. L’arrangement le tue : s’il s’entend, soit principalement avec la droite, soit principalement avec la gauche, il cesse d’être le centre et de présenter un quelconque intérêt. Telle est la raison pour laquelle les discussions d’alcôve et de ruelle avec les rescapés de l’inepte vie politique que nous connaissons depuis vingt ans, vieux et jeunes confondus, ne présente à mes yeux qu’un intérêt très limité. »
Nicolas, c’est pas un truc nouveau et le nouveau président veut renouer avec d’anciens usages qui ne le feront paraître que rarement et s’adresser aux médias en personne parcimonieusement, avant ne parlait-on pas plutôt que d’alternance de cohabitation cependant comme en marche phagocyte ou parasite en les affaiblissant les autres partis , peut-être ne pourra-t-on plus utiliser ce terme, un grand rassemblement ?
L’avenir le dira, à nouveau, sans doute,
Voila une analyse qui brille par son originalite et sa finesse…la substantifique moelle du sureau…
Qu’avez vous conte le sureau, c’est un très bel arbuste qui quand il atteint l’âge de la sagesse se couvre de millions de fleurs puis d’autant de baies qui peuvent servir à la confection de produits pharmaceutiques ou de confitures.
« quand pour la première fois Hubert Vedrine a parlé d’une coalition gauche/droite ? »
Nicolas, en 1958, on comptait déjà des gaullistes de gauche au gouvernement. C’est dans l’esprit de la Constitution de la Ve République, qui sort grande gagnante de ces élections. Les nostalgiques de la proportionnelle : Montebourg, Mélenchon ou Marine Le Pen peuvent ranger leur VIe République au fond des tiroirs, en prenant une retraite bien méritée, offerte par les électeurs !
12h12, vous pouvez vous recoucher…
Signe, François Sureau – banane!
Le sureau, il ne faut pas en abuser, effet laxatif garanti !
JAZZI dit: 16 mai 2017 à 11 h 57 min
(Acteurs) râtés richement recyclés en pipeuls
JAZZI dit: 16 mai 2017 à 12 h 13 min
faut conserver le trône
« faut conserver le trône »
Pour ceux qui ont abusé du sureau, Bob ?
Un ministère par ex pour Rachida, mam ou ntm pour un peu de parité sans risquer de faire ombrage à madame, ferait plaisir à ce pauvre JC qui n’arrive pas à fantasmer sur madame
JAZZI
Oui c’est ça, avec la Cour autour pour vérifier que tout se passe bien
Ou pour vérifier que la bouillabaisse passe bien, Bob !
« Mennucci : « Mélenchon, sa bouillabaisse il se la mangera tout seul » »
« la présence au gouvernement de représentants des partis mineurs associés au parti majoritaire n’est pas une coalition » http://m.slate.fr/story/41941/vedrine-programme-bipartisan-redresser-france
Jazzi, Vedrine fait plus référence à un système parlementaire comme en Angleterre. Mais depuis quand?
Ce midi je mange un cordon bleu, bio.
12h14 ne changez pas, c’est assez nul mais divertissant , en ces temps d’austérité, de séisme, de noirceur, de trouble dans les Andins, vous incarnez un nouveau temps pour de nouvelles lumières en accord avec tout ce qui précède dans la phrase.
Comment expliquer l’attirance irrépressible de l’insecte nocturne pour la lampe, alors qu’il reste tout le long du jour dans son secret abri, effrayé par la lumière ? Serait-ce à dire que l’ampoule allumée par le génie humain est pour lui une merveille plus remarquable que le grand soleil de Dieu ?
Chevillard
Riton, si tu nous lis, continue comme ça !
« Macron lui a fait son numéro de charme et elle est immédiatement tombée dans le panneau… »
Drôle
Nicolas dit: 16 mai 2017 à 12 h 49 min
De tels fragments, quoique encore très médiocres, ne sont pas la norme chez Chevillard (je le sais, je le lis chaque jour !). D’habitude, on descend à un niveau très faible pour arriver dans le sans queue ni tête. Chevillard est un habitué du pire, son lecteur aussi.
J’ai vu ca, mais n’y a t’il pas chez Chevillard un peu la même démarche que chez Velbeq? Et puis qu’il soit inégal je ne vois pas où est le problème.
Surtout, il y a maintenant chez Chevillard, au fur et à mesure qu’il vieillit, du procédé mécanique. Il est devenu une machine à produire, sans plus jamais réussir à mettre de fraîcheur. Chevillard nous donne du faisandé, et nous empoisonne de sa production avariée.
Pourquoi pas,, mais on pourrait vous retourner le compliment …
Chevillard nous donne du faisandé, et nous empoisonne de sa production avariée
HeureuZement qu’Macron est la. Elle est-y pas belle la vie, Tristus?
« n’y a t’il pas chez Chevillard un peu la même démarche que chez Velbeq? »
Ah, évidemment si vous ne faites pas la différence, vous pouvez retourner à l’école, et en tout cas ne pas vous lancer dans cette polémique qui vous dépasse si manifestement !!!
Je faisais référence au vocabulaire. Vos jugements sur mon niveau voleent au raz des pâquerettes parce qu’il ne font pas de vous quelqu’un d’intelligent, bien au contraire… Vous n’en avez pas marre de vous ridiculiser? Votre problème c’est que vous vous prenez bien trop au sérieux.
Ce matin Baroin a parlé de « dynamitage ». Sauve qui peut à droite ! Macron est un fléau de Dieu, et cela me le rend presque sympathique, pour finir. Il purge la vie politique à l’acide.
Vous êtes sur la voie de la redemption !
La future bête noire de JC !
« Sibeth Ndiaye est en charge de la communication et de la presse.
Titulaire d’un DESS en économie de la santé, elle est passée par la case du syndicalisme étudiant. De tendance strauss-Kahnienne, elle est au PS depuis 2002 où elle a été secrétaire nationale en charge de la petite enfance.
Ancienne des cabinets d’Arnaud Montebourg et d’Emmanuel Macron à Bercy, elle a aussi dirigé le service de presse de Claude Bartolone au département de Seine-Saint-Denis. »
JAZZI dit: 16 mai 2017 à 13 h 47 min
La future bête noire
– Qui t’a amené ici, dit le crâne…
– La parole !
Ha ben Chevillard a gratté Heidegger au top des ceusses dont on cause un max…
seediness que l’on rendrait improprement par « sordidité » ou « sordidisme ». Passou.
Oui, l’abject, l’ignoble…
La formation du nouveau gouvernement est reportée à demain 15 h. Il suffisait pourtant de lire la presse putride, qui pronostique dès aujourd’hui quel sera chaque ministre. On verra, mais cela risque fort d’être un gouvernement choisi non par le président et son premier ministre (lui-même désigné d’avance par la presse boueuse) mais choisi par les médias, en une sorte de téléguidage pervers qui augure bien mal de la suite.
Le premier conseil des ministres aura lieu jeudi, s’il n’est pas à nouveau reporté. Toujours cette manie du retard, qui va finir par tout plomber, c’est moi qui le dis.
dear Bloom, vous lisez Greene en vo, que faut-il penser de sa prose ? me souviens des descriptions de villes et pays traversés par l’Orient express dans son roman « éponyme » (expression aussi débile que la gauche « plurielle »).
for instance: Bruges, bien cadré comme ville « pourrie par les photographies ». oublié malheureusement le mot anglais utilisé.
le conseiller diplomatique du Président parle allemand.
cela risque fort d’être un gouvernement choisi (…) par les médias
Merci d’etre plus precis: des details sur la procedure, quels medias etc.
Sinon, la ferme.
J’ai une petite pensée pour les médias qui subissent le supplice de Tantal. Courage!
Ce n’est pas très original mais j’aime beaucoup L’ingénu de Voltaire, dès les premiers paragraphes, je vous ai donc prévu des devoirs redemptoires à la maison Delaporte « Le prieur, déjà un peu sur l’âge, était un très bon ecclésiastique, aimé de ses voisins, après l’avoir été autrefois de ses voisines. Ce qui lui avait donné surtout une grande considération, c’est qu’il était le seul bénéficier du pays qu’on ne fût pas obligé de porter dans son lit quand il avait soupé avec ses confrères. Il savait assez honnêtement de théologie; et quand il était las de lire saint Augustin, il s’amusait avec Rabelais: aussi tout le monde disait du bien de lui. »
À chaud « Le pape a adressé son premier message à Emmanuel Macron. On apprend ainsi qu’il prie Dieu de le «soutenir» et qu’il appelle «de grand cœur la bénédiction du seigneur». »
« seigneur » en minuscule, c’est donc du président Macron qu’il s’agit; le Pape a bien apprécié les choix de protocole et musicaux de l’intronisation.
Ah, l’infect jeu politique des «familles» et des «amis»! Offrez-leur un ministère et ils se tairont. En attendant, ils gueulent, râlent, renâclent.
Comme le Général avait raison de les mépriser. Au moins, monsieur Macron ne s’est pas trop laisser ingurgiter par cette engeance. D’où leur colère.
Oui, c’est assez réjouissant de voir tout ce petit monde politique dans tous ses états après le grand coup macronien dans la fourmilière. Qu’en adviendra-t-il en fin de compte ? Toute la question est là. Mais un Macron ne fait pas le printemps…
A Charleville-Mézières, raconte le quotidien régional, le bar où Rimbaud s’enivrait n’a jamais changé de lieu ni de nom :
« L’estaminet où le jeune Arthur prenait plaisir à boire un verre avec ses amis et son prof de philo existe toujours, place de la Gare. Et l’âme du poète attire les touristes. »
C’était pourtant le trou du cul du monde, et Rimbaud s’y est ennuyé à périr. « Oisive jeunesse… »
l’âme et les fesses, Delaporte. en pouësie tout est possible, dirait bougreau
BdB 15 h 46 min
Qui le Grand Homme ne méprisait-IL pas
Phil à 15 h 43 min
quand, le couronnement ?
Nicolas 15 h 38 min
Il ne l’a donc pas encore sanctifié Quelle faute de goût
Bon ben Chevillard faut sortir de l’X. pour entraver comment ça marche… Hon voit pas les coms !
Autre preuve que Chevillard nous lit, il a corrigé la coquille qui défigurait ce matin la première phrase du post de son blog :
« Il avait ordonné par testament que son livre soit détruit s’il mourait avant de l’avoir achevé. »
Malheureusement, il n’a pas effacé la mauvaise phrase dénuée de sens que je soulignais aussi. Il est vrai que si Chevillard se mettait à effacer tout ce qui ne va pas dans ce qu’il écrit, il ne resterai pas grand chose !
Rastignac/Thiers avait épousé la fille de sa maîtresse
Bayrou Ok Dor…cel, pour y recevoir les invités de Marc ?
Petit Pau* lissons.
AO
* Pot ?
Il faut saluer l’élégance de Welles, aussi, qui quand on le pressa d’avouer avoir été le vrai moteur de la mise en images déclina l’hommage, ajoutant, non, d’ailleurs le très beau dernier plan est typique de Carol.
AO
laissons à Reed le montage qui n’est pas sec, Oursivi
Welles est bien celui qui disait que les acteurs d’un film en noir et blanc ont l’obligation d’être bons.
Phil dit: 16 mai 2017 à 16 h 00 min
l’âme et les fesses, Delaporte. en pouësie tout est possible, dirait bougreau
–
Taisez-vous donc, Phil. Vous n’y connaissez rien.
D’ailleurs, Phil, ils sont tous bons dans le fond, même par d’égouts.
Comme disait Lowry, se mettre une mine est un sujet à creuser.
le grand coup macronien dans la fourmilière.
–
ça ça vient de quelqu’un qui, à tort, sous-estime grandement les fourmis.
Nicolas dit: 16 mai 2017 à 15 h 25 min
J’ai une petite pensée pour les médias qui subissent le supplice de Tantal. Courage!
–
c’est bien fait pour leur gu..le, au contraire. arf.
Comme disait Perec, flânant à Hifissimo* :
Ses voix mode d’ampli.
* ou dans le Magazine littéraire, je ne sais plus..?
Les fourmis, Wgg, elles sont déjà rentré dans ton froc.
Ce soir je mange du boudin antillais avec des petits-pois.
« Tout change pour que rien ne change » est la devise des supporters, des sponsors, des amis, de Bébé Macron, lequel croit dur comme fer qu’il sera un Président « nouvelle génération » !
AHAHAHAHA ! Il va vite déchanter le bébé stérile et les Vieux crabes continuerons la mise à sac …
« les acteurs d’un film en noir et blanc ont l’obligation d’être bons. »Philowelles, soeur de Philomène.
Quant au whisky de la même marque (et pas eau), je ne vous raconte même pas, soliloquait Lowlow en zigzaguant entre les cadavres vides.
Le pape est pourtant sensé soutenir les pauvres, pas Euronext trading-Rotschild ? bizarre
D. vous êtes « méchant » comme dirait Valls.
En fait, le pape a envoyé un message de gauche à Macron, lui conseillant d’agir « dans le respect des différences et l’attention aux personnes en situation de précarité et d’exclusion ». Ce n’était pas encore le moment de lui remonter les bretelles, mais ce temps viendra, et le pape saura alors le lui montrer clairement. On n’est pas pour rien le pape de l’encyclique Laudato si’.
« du boudin antillais avec des petits-pois. »
ça va pas ensemble, c’est une faute de goût !
J’aime trop le boudin antillais.
Et les petits pois.
Pas ensemble.
Pas dans le caniveau.
Les barbus prennent le pouvoir !
Mode ou soumission, jeunisme ou intégrisme ?
Outre le Premier ministre, Ismaël Émelien, conseiller spécial auprès du Président, barbe de trois jours. Christophe Castaner, l’un des porte-parole d’Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle, barbe grise. Benjamin Griveaux, probable futur président de La République En Marche, fine barbe. Mounir Mahjoubi, directeur de la campagne numérique, barbe noire et fournie. Et pour cause, la moyenne d’âge de l’équipe, 34 ans, les place au centre de la population la plus séduite par le port de la barbe ces dernières années.
Delaporte dit: 16 mai 2017 à 16 h 27 min
« Il avait ordonné par testament que son livre soit détruit s’il mourait avant de l’avoir achevé. »
Bon ça y est j’ai trouvé, mais je vois toujours pas plus de coms que de beurre en broche… C’est un blog sans coms halor ?
Quel énorme plaisir de voir les tronches et d’entendre les Baroin oin-oin, Accoccoyer, Eric Chiotti et Luc Chââââtel… quel pied !!!
De la dégaine hipsters à l’énarchie, JAZZI ; sinon ici, bonjour les ronchons revisité
(Les ronchons – le club)
Jeter un œil chez les archis aussi
http://larepubliquedelarchitecture.com/la-ville-un-bon-sujet-de-campagne-les-reponses-de-3-candidats-lelection-presidentielle/
« C’est un blog sans coms halor ? »
Oui, en somme. C’est une espèce de chose moderniste qui ne dit rien, orientée vers le néant. C’est sans substance, comme si Chevillard était amnésique. Et il ne soigne pas !
Heureusement que Delaporte est là pour rétablir la vérité.
Bonne soirée !
Delaporte dit: 16 mai 2017 à 18 h 14 min
« C’est un blog sans coms halor ? »
Oui, en somme.
Thank’s ! Ca perd un peu d’intérêt, faut dire ce qui est c’est dans la nature comme dirait Gary on a bzoin de causer !
Donc on causera pas, nichteware…
@Jeter un œil chez les archis aussi
Bonne idée. Il sera toujours temps de s’y référer, d’ici 5 ans.
Pour l’instant, on en est à imaginer le village olympique …
De 2024. C’est dire les coups d’avance, qu’il y a pour les municipales…
Delaporte, Nicolas, Bérénice,
Pensez-vous qu’un Président qui trahirait la Nation au profit des intérêts de puissances étrangères doive être jugé ?
d’ici 51 ans
la bande son de mon opération à coeur ouvert, réalisée sous hypnose ; miraculeux bebop…
« Pensez-vous qu’un Président qui trahirait la Nation au profit des intérêts de puissances étrangères doive être jugé ? »
Trump devrait déjà être destitué de ses fonctions, D. !
« De la dégaine hipsters à l’énarchie »
C’est plus étendu que ça. Autour de moi, tous les trente-quarante-cinquantenaires, gay ou hétéro, sont devenus barbus d’un coup de baguette magique, mon petit Ami inclus, Jean Langoncet !
Je résiste, en gardant le visage glabre des empereurs romains…
@la bande son de mon opération à coeur ouvert, réalisée sous hypnose ; miraculeux bebop…
c’est une pub pour Carmat ?
Ici on rase gratis.
Alors le sabot réglé à 3mm, c’est pas le genre de la maison.
DONALD TRUMP est la dernière chance pour les USA de se débarrasser de ses descendants d’esclaves africains ne servant plus à rien, sinon à gêner l’alcoolisme des policiers blancs…
En outre, il épouse lui, notre cher Canard, des femmes plus jeunes que lui : un mec normal, quoi !
Joyeux Noel, les attardés !
« quel pied !!! »
Et leurs équivalents du PS, ils en pensent quoi pour leur part, Lacenaire ?
Ils ont l’indignation plus discrète ou ils sont déjà à l’agonie ?
« En outre, il épouse lui, notre cher Canard, des femmes plus jeunes que lui : un mec normal, quoi ! »
Tu n’aimes pas la viande un peu faisandée, JC, le goût est trop fort pour toi, tu es au clair avec ton oedipe maternel ?
« un reportage engagé du célèbre journaliste https »
ça c’est d’la balle « Passou ». Surtout today où les rives du lac s’enchagrinaient de la disparition d’un Européen historique…
Et en BD, s’il vous plaît.
« En 1927, révolté par ce qu’il a vu quatre ans plus tôt en Guyanne, alors qu’il y menait une enquête sur les conditions de vie des condamnés à la « guillotine sèche », Albert Londres décide de mener une campagne de réhabilitation en faveur d’un bagnard, Eugène Dieudonné. Ce dernier, ancien membre présumé de la bande à Bonnot, a été condamné injustement aux travaux forcés à perpétuité pour tentative d’assassinat, un crime qu’il n’a pas commis.
La bande dessinée, composée du scénario de Patrice Perna, du dessin incisif et suggestif de Fabien Bédouel, bénéficie de la magnifique et puissante mise en couleurs de Florence Fantini, tirant le meilleur des couleurs sombres – gris, noirs, bleus, marron –, par un jeu de contrastes saisissants qui plonge le lecteur dans l’enfer de ce que fut le bagne, d’abord à Cayenne, puis à Saint-Laurent-du-Maroni et aux îles du Salut, les si mal nommées. Un dossier historique de qualité, signé par Franck Sénateur, donne envie de lire ou de relire Albert Londres, c’est l’essentiel. »
http://www.humanite.fr/bande-dessinee-envoye-special-au-bagne-de-cayenne-en-guyane-633583
Va te faire foultre, JiBé ….
A demain, les nains de jardin macroniens !
oui enfin…on peut pas dire qu’Édouard Philippe fasse très nain de jardin en taille. En barbe, à la limite. Eh puis i peut t’en coller une en plus, avec ses gros gants.
Celui qui fera le 777ème commentaire sera ministre demain. C’est écrit dans les zastres.
Et toi djavert, demain, tu resteras sinistre. Pas besoin de boule de cristal, pour cela.
D. oui. À moi de poser une question, avez vous remarquez comme moi l’imbécilité crasse des tweets de Pivot?
On dirait que j’ai vexé JC ?
« Je suis enclin à faire confiance à un Président philosophe et à un Premier ministre romancier. Tournons la page. »
Ni crasseux ni imbécile, Nicolas, mais complètement décalqué de… Chevillard !
Delaporte peut-il confirmer ?
Ministre de quoi, D. ?
Un page-tourneur, ce Môssieu Pivot. Limite, il faudrait lui donner à lire des magazine, avec que des images.
c’est une pub pour Carmat ?
Au risque de lasser tout le monde et pour tout vous dire, bien avant la mise au point du coeur artificiel (que je n’étais pas qualifié à recevoir anyway), il s’agissait de Buddy Holly dans sa géniale interprétation du Diddley beat
https://www.youtube.com/watch?v=AyTtFNGzFsE
Et j’ai zéro à la dictée, mais le fond est là.
@ « Au risque de lasser tout le monde et pour tout vous dire, bien avant la mise au point du coeur artificiel (que je n’étais pas qualifié à recevoir anyway) »
great, Langoncet. It’ll be Ok
Pensez-vous qu’un Président qui trahirait la Nation au profit des intérêts de puissances étrangères doive être jugé ?
D ma vague idée de la chose est que c’est souvent donnant/donnant et que dans les échanges chacune des parties estime y gagner ou ne rien perdre qui lui serait essentiel, la trahison est souvent vue à posteriori et reste une notion subjective qui de plus peut être amoindrie par les circonstances soit économiques soit purement politiques. Elle peut aussi s’originer dans la crainte, la terreur, la peur, un chantage ou une cécité, des historiens vous fourniraient des exactitudes renseignant la trahison d’un Etat au profit d’un autre qui s’apparente à rendre les armes sans chercher à défendre les interets de la nation, François Delpla se fait rare , Bloom,Phil , d’autres férus d’Histoire pourraient aussi illustrer ce point.
Notre premier ministre, après lecture d’un article du Monde, alimente la polémique, ( a renâclé à produire une déclaration de patrimoine en bonne et due forme) et le choix en cela outre la stratégie à l’oeuvre est proche de la transgression qui selon les journalistes est une des caractéristiques du nouveau président. Que chercherait-il s’il le cherche à signifier?
Notre Prime est » atome-compatible »…
« En 2007, il a rejoint en effet le groupe Areva comme directeur des affaires publiques, après avoir fait un court passage dans le cabinet d’Alain Juppé, qui n’était resté qu’un tout petit mois (18 mai-18 juin) de cette année-là au poste de ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durable, après l’élection de Nicolas Sarkozy. A ce poste jusqu’en 2010, Edouard Philippe eut à connaître les relations concernant l’exploitation des mines d’uranium au Niger. »
Et encore, « tu n’as rien vu »
…
…bref,…la politique des tanneurs, de l’Europe pour loobyi & C°,…
…
…les contes des milles et une nuit,…pour des églises, de comédies, en casino’s,…
…
…la protection divine, des forces du seigneur, du ciel, des victimes, futur,…SE FAIRE LA PEAU DU SINGE FRAN9AIS? EN CERVELLES 0 SIROTER;…
…Emanuelle de Hollande,…Oui,i…
…GOÜTER? VOIR ? CE CHYMPANSER du terroir,…en nos campagnes ….13,…
…vivre avec des conjonctures de politiques Suisse,…Oui,!…ou rien,!…avec ces corporatismes radins,POUR L4EMPIRE FRANCO_ALLEMAND?;;;du pire,…
…pour d’autres élites de droites,…et non tout ces colportes à la marine et aux le pen,…du cuir, dans le rôle des jeanne d’arc,… …prennez des vacances,…maladroits express,!…
…SUIVANT?8,…pauvres branleursc interrompus,!…aux €uros,…Ah!,…aH?I;;;
;;;sonnez les cloches du milieu,…
…enfoirés mondialistes sans frontières,…
…GO,…Goth,…aux César,!…Ah,!…
…
…à noq Apocalypse d’Europe du Renouveau,!…etc,!…nos enfoirés des pouvoirs, pour se nourrir de notre sang,…
…UNE §°république Suisse, à réinventer,…etc,…
Tu aurais dû faire journaliste d’investigation, LVDLB, t’as raté ta vocation. C’était ça ou concierge…
Angelo s’est échappé de l’asile !
bas rosis, j’ai piètre estime pour des faiseurs de ragots comme vous. C’est un peu le même reproche qui était fait dans un salon de coiffure, à un employé, un peu beaucoup langue de p.ut.e.
djavert, si tu usurpes le pseudo de Giovanni, c’est que tu as des infos de keuf ?
« Notre Prime »
On cause franglais, on se veut branché.
Ces gens là, quand ils ne vendent pas leur pays à la langue de l’envahisseur, finissent souvent mal. Se souvenir que du temps de Villon, un « branché, » c’est un pendu…
c’est cela Court, aux oubliettes, et vite !
le chancre du Niger a déjà été écrit, Lavie.
hier soir radio, Voyage au Congo reconstitué, avec le brillant Lestringant, invité pour écouter la « pièce ». Allégret à Gide, en pleine savane bananeuse: « tu sais bien que j’aime les femmes ». mollette de radio détraquée, pas fichu de savoir si c’était de la prose culture ou inter(marché).
Et alors Court, vous plaît pas le Prime ?
« Les services ont notamment vérifié si, à cause de ses fonctions de directeur des affaires publiques d’Areva, entre 2007 et 2010, Edouard Philippe avait été cité dans le cadre de l’enquête judiciaire en cours sous la présidence d’Anne Lauvergeon. Réponse négative. »
« les services », cela fait un peu » cabinet noir ».
« le chancre du Niger a déjà été écrit, Lavie. »
c’est sûr Phil, aussi sûr que l’uranium porte le numéro 92, dans le tableau de Mendeleiev.
« un employé, un peu beaucoup langue de p.ut.e »
Avec toi il était à bonne école, LVDLB !
bouh, bas rosis, sorry, votre biberon du soir..
Next.
Le magazine GQ a choisi de nous parler de la barbe du nouveau premier ministre (c’est la première sous la Ve qu’un premier ministre la porte), et n’y trouve pas grand chose à redire :
« Taillée de près et parfaitement dessinée, elle s’avère être l’allié parfait du début de calvitie de notre Premier Ministre. Car s’il y a quelque chose qu’Edouard Philippe gère à la perfection, c’est sa chute de cheveux : il les coupe court, ne tente aucun subterfuge. En voilà un qui a tout compris. Seul petit bémol : un tour d’oreille pas très net où les pointes commencent à boucler. »
Ceci cependant ne sera pas suffisant pour éviter sans doute le fiasco politique qui leur pend tous au nez !
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