Une vérité tirée du silence
Quel écrivain des années 50 aurait imaginé que son courrier serait édité au vingt et unième siècle grâce au mécénat de la Poste, notre bonne vieille poste des facteurs à la ville et aux champs, par le biais de sa Fondation d’entreprise ? C’est le cas entre autres de la Correspondance (336 pages, 28 euros, Gallimard) échangée entre 1954 et 1968 par les deux poètes qui ont dominé leur époque, René Char en langue française, Paul Celan en langue allemande. La clandestinité des années de guerre, leur lecture des présocratiques, le surréalisme, la politique, leurs relations avec les femmes, la passion de la syntaxe, le goût de la natation…
Mais si leur dialogue fascine tant, c’est qu’il creuse la part inaccessible de la poésie, ni lyrisme ni célébration mais parole en acte, et à travers elle, tout ce que leur siècle a connu d’enténébré. La mise à nu de cette obscurité est au cœur de leur œuvre comme de leur conversation épistolaire. Des lecteurs pressés et résignés en ont déduit un peu vite leur volonté supposée de rendre certains de leurs poèmes impénétrables, occultes sinon cryptés, alors que cela leur avait été imposé par la violence de ce qu’ils avaient vécu.
Ils parlent boutique, c’est à dire technique- rythme et respiration, souffle et tissu sonore, cherchant l’un comme l’autre à consigner dans l’écriture le mouvement de la parole, quand le langage se fait voix. Chacun réagit à sa manière aux polémiques qui les agressent : Char cloue le bec publiquement à Etiemble qui lui a fait de mauvaises manières à propos d’une virgule et d’un point virgule qu’il aurait mal placés dans deux vers de Rimbaud. Celan, lui, affronte douloureusement la calomnie lancée par la veuve du poète Yvan Goll l’accusant de plagiat. Au fil des lettres, on les voit progressivement revêtir leur propre statue, Char celle du Juste, Celan celle du désespéré.
Ce recueil de lettres recèle quelques poèmes, notamment l’un de Celan adressé et dédié à son ami Char sous le titre « Argumentum e silentio », expression empruntée au droit romain qui signifie en l’espèce, selon Bertrand Badiou, éditeur de ce livre, « qu’il s’agit pour une partie de tirer un argument du silence de l’autre ». Une vérité tirée du silence : quel beau titre cela eut été ! C’était bien l’intention du poète, qui dut renoncer face à l’insistance de son éditeur lui imposant un De seuil en seuil moins bien inspiré.
« A chacun sa parole,/ la parole qui pour lui se fit chant/ quand la meute l’attaqua, sournoise ;/ à chacun la parole/ qui avant d’être glace/ fut chant ».
Face aux attaques, dont le souvenir le rongera jusqu’à son suicide, Paul Celan aurait tant aimé n’opposer que des paroles de silence, brutes, enfermées dans son infracassable noyau de nuit. Il n’eut pas la force de ne pas répondre, creusant un peu plus sa tombe dans le ciel à mesure qu’il argumentait pour se justifier. Stéphane Mosès fut de ceux qui en saisirent aussitôt l’essentiel. Les articles, essais et études qu’il a consacré à l’homme et à sa poétique de la mémoire viennent de paraître sous le titre Approches de Paul Celan (édition de Jean-Yves Masson, 192 pages, 17 euros, Verdier). Dans des pages parfois saisissantes d’intelligence de l’inexpliqué, et de sensibilité à l’invisible, il met à nu le processus par lequel, chez le poète, le souffle se transforme en voix. Tout est parti d’une rencontre alors que, jeune étudiant, il avait osé lui poser une question demeurée sans réponse :
« Comment avez-vous pu vous décider à écrire dans la langue de vos bourreaux ? « .
Dès lors, il ne cessa d’interroger des poèmes, tous profondément enracinés dans l’autobiographie, lesquels une fois colligés forment un journal poétique d’une intensité inégalée pour qui veut bien faire l’effort de les affronter dans une tension permanente entre la mémoire et l’oubli.
De toute façon, qui sonde le silence interroge la poésie. Jean-Claude Pirotte le dit en poète dans Le silence (80 pages, 13 euros, Stock), justement. Ce beau texte posthume, exhumé par Philippe Claudel qui s’y connaît en classiques modernes, a quelque chose de secrètement enivrant. Bien le moins pour celui qui ne pouvait célébrer la vie sans glorifier la vigne. Pirotte dit que, dans les moments de grâce où le corps autant que l’esprit prennent conscience du brutal passage de l’irrémédiable, le silence s’empare de nous comme un saisissement. On se sent alors dans un état suspendu entre deux états de vie sonores et agités. Son cher Joseph Joubert, dont il n’a cessé de relire les Pensées, vient alors à la rescousse :
« Qu’est-ce donc que la poésie ? Je n’en sais rien en ce moment ; mais je soutiens qu’il se trouve, dans tous les mots employés par le vrai poète, pour les yeux un certain phosphore, pour le goût un certain nectar, pour l’attention une ambroisie qui n’est point dans les autres mots ».
Le reste n’est pas littérature, ni même litres et ratures. Se retournant vers ses amis disparus, renonçant à tout espoir de se délivrer du passé, Jean-Claude Pirotte reconnaît alors qu’il ne lui reste plus que le silence.
(« Au musée » photo Henri Cartier-Bresson ; « René Char en 1944 » ; « Paul Celan en 1938 » photos D.R.)
459 Réponses pour Une vérité tirée du silence
Mais le titre Von Schwelle zu Schwelle (De seuil en seuil) est tout à fait remarquable. Le poète Lionel Ray le trouvait même sublime !
Ce papier ne dit rien des critiques tout à fait évidentes de Celan à l’égard de Char…!
Char apparaît comme un faiseur quand Celan cherche à dire l’indicible qui le travaille.
La poésie de Char, contrairement aux clichés véhiculés ici par Passou à propos de Char, est une poésie qui cherche clairement à dire la réalité, notamment dans Parole en Archipel.
Faut arrêter avec les clichés, Passou !
Les poèmes de Paul Celan sont enracinés dans l’autobiographie mais ce n’est pourtant pas une poésie qui raconte sa vie. Ce n’est pas non plus une poésie qui met en œuvre un « je » lyrique à valeur universelle comme Paul Eluard. C’est autre chose qui reste à penser.
La poésie de Paul Celan une poésie qui établit une relation d’inconnu. Et qui n’est pas forcément désespéré contrairement à ce que suggère Passou, confondant le poète avec sa poésie. Il y a aussi des éclairs sinon d’espoir du moins de lumière chez Celan.
Ha la photo on l’a déjà eue… Pas pareille mais un peu… Ou alors mal tournée… Ou à une autre saison… Ou les deux filles avec une étrangeté bizarre… C’est pas la même qui démonte !
Là où Stéphane Mosès se trompe c’est quand il prétend que Celan rende le passé visible et lisible. Il écrit en effet : « De sorte que l’oubli n’est pas le contraire du souvenir, mais il en est la condition préalable. Ce n’est que lorsque la blessure se referme qu’émerge les traces rendant le passé visible et lisible. »
Comment peut-on prétendre que Celan rendrait la Shoah « visible et lisible » ? C’est absurde. Celan c’est Jacob qui lutte avec l’Ange :
Nahstellen, fühlbar, hier
klafft es weit auseinander, hier
wuchs es wieder zusammen — wer
deckte es zu ?
Deckte es
zu — Wer ?
Tout proche, palpable, ici,
c’est grand ouvert, ici,
ça s’est refermé — qui
le recouvrit ?
Le recouvrit —
Qui ?
Ce doit être terrible de vivre aux côtés d’une personne dépressive comme Celan.
On voit bien par ailleurs que le poème cherche à imiter ce dont il parle dans une sorte de mimesis de la vie intérieure. Le poème n’est plus la transcription d’une expérience douloureuse mais l’acte d’énonciation, sur le blanc de la page, ici (« hier ») d’un abîme de la poésie pour tenter de décrypter l’abîme qui nous habite en donnant la parole à ce qui chante en nous au-delà des mots pour nous faire sortir de la crypte où l’histoire nous a enterrés.
Vous êtes naïve ! Celan a connu aussi des moments de joie et d’exaltation. Sa schizophrénie l’a pris sur le tard. Le fait qu’il ait pris trop à cœur ce qui n’était que des calomnies peut sans doute être déjà intyerprété comme un signe latent de la maladie. Maladie dont la cause est sans nul doute l’expérience désastreuse des persécutions.
Je ne me souviens plus si la poésie de J.C Pirotte a déjà été évoquée sur la RDL.
http://next.liberation.fr/livres/2014/05/26/jean-claude-pirotte-dernier-voyage_1027487
Ce qui est beau et même magnifique, et en même temps tragique, ce sont les affinités d’esprit et presque la complicité à travers le temps et l’espace de deux immenses poètes comme Paul Celan et Ossip Mandelstam. Tous les deux écrasés par l’histoire de leur siècle.
temps détraqué goutte à goutte d’Occident
tombe au sang noir de cris de bouches étouffées
qui brûlent pour intercéder déments
pour nous nuit d’agonie par tous renoncée
lentement l’homme agonise et du haut des
astres pèse la vie sombre et pâle peur
le haut chant de l’homme fracassé bidets
des caves où la mort elle-même se meurt
telle fut l’Europe écartelée désastre
sans écriture cadavres du cadastre
la foule errante des fantômes du temps
recueille les paroles d’adieu lallation
en action de grâce non la vocation
de l’homme n’est pas de pourrir lentement
L’allemand était la langue de Kultur des Juifs d’Europe centrale & orientale. Le yiddish est langue véhiculaire et l’hébreu, langue du culte, comme le latin avant Vatican 2.
La poésie de Celan ne me touche pas, à la différence de son destin. Char me semble surfait poétiquement, mais bien fait existentiellement.
On retombe toujours sur les mêmes ici…comme si la poésie grecque, italienne, scandinave, russe, britannique & irlandaise n’existait pas. C’est un peu lassant.
» On voit bien par ailleurs que le poème cherche à imiter ce dont il parle dans une sorte de mimesis de la vie intérieure. »
WGG, vous vous payez de mots, la nuit et son silence, respectez-les, merci.
La poésie de Celan me fait penser au théâtre de Maeterlinck, aux vieilles ballades roumaines et aux danses macabres. Culture romane et balkanique, et langue allemande.
(CG. Terrible destin que d’avoir la mort d’un poète sur la conscience. Quoique cette conscience n’en aie pas paru outre-mesure affectée).
Il est vrai, Bloom, qu’entre la poésie au Char d’assaut de l’un et celle sans joie du pauvre Celan, c’est proprement désespérant !
« De toute façon, qui sonde le silence interroge la poésie. »
Je dirais même mieux : qui sonde la poésie, interroge le silence !
Belle trouvaille que cette notion de « classiques modernes » !
L’avantage de tirer la vérité du silence, c’est qu’on est pas contredit dans son choix …
…
…camisoles de force, pourles ripoux littéraires,!…encore l’inquisition psy,!…
…
…pour combler les vides à soies,!…
…humours qu’est ce donc,!…etc,!…
…les papiers pure chiffons,!…les meilleurs,!…par vaux et parchemins,!…se faire la peaux aux temps perdus,!…
…etc,!…
L’image, bien connue, servant d’illustration de ce billet de grande qualité est révélatrice du goût inné des jeunes bourgeoises pour la pornographie !
Ah, les coquines …Observez bien leur regard tendu vers le livre de Contes Sémitiques grand ouvert, lui, sur des supplices à l’érotisme cruel mais ô combien bandant !
Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, et à la limite votre vie sexuelle ne m’intéresse que pour une éventuelle délation aux Autorités Morales de ce pays convulsif, mais elles me paraissent salement émoustillées par l’illustration du Crucifié, agonisant longuement dans plaintes gémissements et petits cris délicieux, sous les yeux de sa maman en bleu pâle et autres aficionados, la larme à l’œil, la main sur le cœur, mais incapables de tenter une exfiltration qui le sauverait d’une mort atroce …
« Jean-Claude Pirotte le dit en poète dans Le silence (80 pages, 13 euros, Stock) »
… si on continue dans ce ratio, on nous proposera bientôt des booklet de 13 pages, pour 80 euros …
« encore l’inquisition psy,!… »
Le mot inquisition est peut-être mal choisi.
Mais en revenant toujours au même poète, que j’ai lu en fréquentant le RDL, dont il ne me restera rien, rien de sa poésie, mais tout de son influence,- que j’estime mauvaise, sur son entourage,- il y a encore des choses à dire.
Que dit un pro ?
« I imagine my diagnosis, the way I
would listen,
my metaphors. But after we’ve met
for the time it takes to smoke eight
hundred
packs of cigarettes, after all the
medication trials,
the damaged sighs and side effects,
I wonder,
Would Celan still drown himself in
the River Seine? »
http://www.psychiatrictimes.com/articles/treating-paul-celan
Le ‘nouveau’ Code du Travail a été livré par un petit porteur aux jambes courtes, à la vue basse, dans une vieille valise en carton usé bonne à jeter : pas une Vuitton, non !
Une Badinter…
Une bonne âme pour rappeler les raisons calomnieuses de Claire Goll ?
La mise à nu de cette obscurité
darte vadère nu et sans voile ou quoi
Une bonne âme
phil havec sa lanterne toujours a chercher le samaritain sodomite
notre bonne vieille poste des facteurs à la ville et aux champs, par le biais de sa Fondation d’entreprise ?
c’est macron craché comme un soleil
on les voit progressivement revêtir leur propre statue, Char celle du Juste, Celan celle du désespéré
exoessqueulette !
Phil dit: 26 janvier 2016 à 8 h 43 min
« Une bonne âme pour rappeler les raisons calomnieuses de Claire Goll ? »
Il n’y avait certainement pas de raisons raisonnables car il n’y a pas beaucoup de raison chez ces gens là, les fous de la poétique !
Raciste ? moi ?!……
je sais c’est fastoche de smoquer du monde lassouline..et jcomprends pas l’rapport havec la première photo..chais pas pourquoi j’ai pensé à alien..le silence ptêt
Je dirais même mieux : qui sonde la poésie, interroge le silence !
des histoire de femmes nues torturée dans les caves..sorcière et salope vla tout cquelles ont a dire
On retombe toujours sur les mêmes ici…comme si la poésie grecque, italienne, scandinave, russe, britannique & irlandaise n’existait pas. C’est un peu lassant.
ici..ici..t’es désobligeant kabloom
La définition de Joubert (rejointe par A.Monier) pose la question de la traduction
en poésie: A moins de réduire le poème à l’idée sans la forme et la musique qui
constituent l’essence de la poésie.
@ sapré bougreau:
» Berlin Sodome » Yvan Goll
J’adore Bloom qui se niche dans les détails, comme un confrère à moi ….
Il dénombre une seule poésie ‘scandinave’, une seule poésie ‘russe’, mais deux poésies distinctes, une poésie britannique et une poésie irlandaise.
Traces restantes d’un passé nauséabond ?… jours les plus sombres qui ?… IRA Magic Maggie ? attentats crimino-poétiques ? … morts de faim … geôles sombres…. et la poésie écossaise, c’était hier, non, Burns Day
alors que cela leur avait été imposé par la violence de ce qu’ils avaient vécu
havec les poètes hont est toujours marxiss léniniss..ni lyrisme ni célébration..des fois quça pourrait ête retnu contre vous
« qu’il s’agit pour une partie de tirer un argument du silence de l’autre »
..fermer sa gueule c’est ête un brave type..tout une époque dans cette ptite phrase..hach la poésie..chant de bataille !
Une ville sans poètes actuellement ça se conçoit mais une ville sans concierges comme dit Céline : »ça n a pas de goût, c est insipide telle une soupe sans poivre ni sel »
Le dernier refuge des Poètes ? Le monde politique dans son ensemble …..
« Char cloue le bec publiquement à Etiemble qui lui a fait de mauvaises manières à propos d’une virgule et d’un point virgule qu’il aurait mal placés dans deux vers de Rimbaud. Celan, lui, affronte douloureusement la calomnie lancée par la veuve du poète Yvan Goll l’accusant de plagiat ».
Tout à fait passionnant. Courons aux librairies asap : 28 balles, c’est quand même pas cher pour se gaver l’esprit de la hauteur de vue de ces échanges. Le populo va devoir faire un peu d’efforts aujourd’hui pour une ouaf, quitte à sacrifier ses rivoirécaré.
1h43″toujours sur les mêmes ici… Grosse camaraderie »
bougras et l’adolf de pq grosses chatouillis grosses claques grosses rires gras même pas marrants
cherche à dire l’indicible
Mais puisque c’est indicible…!
une ville sans concierges
ça serait reposant! yen a(des concierges) qui se font tellement ch.. qu’ils et elles vont jusqu’à regarder dans les poubelles pour en savoir plus sur les habitudes des uns et des autres
Le nombre de nouveaux-nés non désirés que les concierges ont sauvé en les retirant des poubelles d’immeubles cossus, bourrés de gens honnêtes !
Personnellement, je dois la vie à Amalia Teresa RODRIGUEZ, concierge portugaise au grand cœur, qui me sauva la vie le 30 février 1922.
Madame Verniglia : « quel foin encore au Camp à Nella de la rue Michel Toufournier, JC laisse en permanence son scoutère en marche pour attirer les donzelles (dont une certaine Cri-Cri) mais personne ne vient depuis ^lus de 48 heures, les gens sont furieux à cause du bruit
Baron dérisoire perché sur son arrogance et soin inculture de faf stipendié, Maitre Raclure saura bien d’où viennent ces modestes quatrains. On remerciera par avance l’analphabète monolingue pour sa traduction en français de ces vénérables rimes:
Ny phell gwyd aval o avall.
Ny chynnyd dyual o dyvall.
Ny byd ehovyn noeth en ysgall;
Pawb pan ry dyngir yt ball.
—
Nu sculon herigean / heofonrices Weard
Meotodes meahte / and his modgeþanc
weorc Wuldor-Fæder / swa he wundra gehwæs
ece Drihten / or onstealde
—
Rop tú mo baile,
a Choimdiu cride:
ní ní nech aile
acht Rí secht nime.
—
Tha Laideann coimhliont,
Torrach, teann nas leòr,
Ach ‘s sgalag thràilleil
I don Ghàidhlig chòir.
« Personnellement, je dois la vie à Amalia Teresa RODRIGUEZ, concierge portugaise au grand cœur, qui me sauva la vie »
Hélas
« laisse en permanence son scoutère en marche pour attirer les donzelles (dont une certaine Cri-Cri) »
cette mobylette rose est un danger public
Bloomy plastronne comme un vieil hystérique, mais il ne donne toujours pas la référence de ses œuvrettes : pas besoin de chercher bien loin pour voir le chevalier blanc se dégonfler.
Cet ancien dessin animé aux couleurs passées, illustrant un discours datant de 1944 de Thomas Clément Douglas, premier ministre canadien, ne manquera pas de vous faire sourire, tellement il est d’actualité.
Au prix où est descendu le baril, il faudrait être fou pour arrêter les moteurs !
25
Tu émigres en abandonnant terre et patrie,
on te barre la route, sur toi on lance des armées,
on t’écorche vivant et on te met en pièces.
On te rase barbe et moustache pour insoumission,
par édit impérial on te pend par les bourses,
et pour te trancher la tête il disent « c’est un brigand ! »
Tel est l’ordre de l’ordre de l’ordre
jusqu’à éradication totale de tous les sages
tyrannie, pendaison, corruption et l’inverse.
Özdemir Ince, 1986
Le tyran et le poète, traduit du turc par F.Fidan
LE PLOMB DE L’IMPRIMERIE ROM
(…)
Au ghetto celui-là qui vit surgir les armes
Par d’héroïques mains judaïques serrées,
A vu Jérusalem se lever et se battre
Et ses murs de granit il les a vus sombrer.
Il rassembla les mots, fit de leur plomb des balles
Et reconnut au fond des cœurs leurs voies sacrées.
Avrom Sutzkever (1913-1996), traduit du yiddish par Charles Dobzynski
Dommage, Bloom, que vous ne soyez pas sensible à la poésie de Celan. Et même « Fugue de mort » qui est plus lisible ?
https://www.youtube.com/watch?v=gVwLqEHDCQE
Bloom,
Vous faites dans le lourd, avec beaucoup de légèreté….uhuhu !
« Qu’est-ce donc que la poésie ? Je n’en sais rien en ce moment ; mais je soutiens qu’il se trouve, dans tous les mots employés par le vrai poète, pour les yeux un certain phosphore, pour le goût un certain nectar, pour l’attention une ambroisie qui n’est point dans les autres mots ».
Ah ! c’est vraiment joli ! Mais qui lit Joubert aujourd’hui ?
Céline Pina:
t’as 2 barettes de shit qui sortent de tes fouilles géo..et la casquette de baisebol à l’henvers hencore
Pourquoi vous étonner, cher geo, de la compromission de la classe dirigeante dans la lâcheté devant un salafiste quand on sait ce que tout citoyen devrait savoir sur ‘Eurabia ? Il est clair que nous sommes dirigés par une classe politique qui ne nous protège pas, car, si elle nous protégeait vraiment, cette association aurait dû être interdite depuis longtemps. Nous l’avons déjà payé très cher : 17 morts à Charlie et 130 mort au Bataclan, sans parler des quatre morts juifs de l’hyperkasher. Le décompte macabre ne fait que commencer ! Et comme dit l’autre, les souris continueront à élire des chats.
..la poésie calciné..l’dernier fumet qui sent bon à la narine de moloc..qui qu’a jamais voulu un jour qules oiseaux la ferment..qulesoleil reste où il est..qu’on croit en fsant ça qu’on fait du supebodler..mais nan hon veut juste incinérer l’monde à yavé
Pour une fleur simple dans mon genre, le plus grand poète, c’est ce fumier de Rabelais !
Quel génie du mot, du sens, du souverain, de l’esprit … !
Les autres poètes ? Des tordus inadaptés au monde, des anomalies congénitales, des enfants perdus ! Des qui s’inventent des espaces inhabitables, des malades, des types à soigner dare-dare, avec des Siggy dévoués et pervers au chevet, des infirmières sadiques, des budgets réduits, des médications effroyables, une solitude présidentielle et au bout, un livre et l’oubli.
et dracul qui négocie sa demi barette de shit à géo..vous faites honte au soleil épicétou
(pour changer de l’émission de l’hytéro racoleuse oxygénée de c+) Assainir l’eau polluée avec du charbon et du petit-lait
http://www.letemps.ch/sciences/2016/01/22/assainir-eau-polluee-charbon-petit-lait
des infirmières sadiques, des budgets réduits, des médications effroyables, une solitude présidentielle et au bout, un livre et l’oubli
c’est déchirant cque t’écris là..la beauté est une convulsion dans mes couilles en plomb qu’il disait breton
Tout de même, on se demande ce qui arrivera en France le jour où les socialistes seront jugés plus effrayants que le FN!
keupu la raclure va tout nous bruler le papier d’arménie
son vieil ami Patrick Balkany
parfaitment mon garçon..la gauche n’a pas l’monopole du coeur
A ce propos, je m’en vais lire « ça tiendra bien jusqu’en 2017 ».
Décidément, Hollande est devenu le spécialiste des bons mots en dégueulis.
Bonne journée,
Salut JC!
(pouette pouette)
VERWAIST im Gewittertrog
die vier Ellen Erde,
verschattet des himmlischen
Schreibers Archiv,
vermurt Michaël,
Verschlickt Gabriel,
vergoren im Steinblitz
die Hebe.
__________
Devenus orphelins dans l’auge d’orage
les quatre arpents de terre,
obscurcies, les archives
du scribe céleste,
ancré dans la boue, Michaël,
noyé dans la vase, Gabriel,
surie dans l’éclair de pierre,
l’offrande sacrée.
(in Fadensonnen, Soleils de fil)
Bougboug, nous sommes complémentaires comme Valls et Hollande, Placid et Musso, Roux et Combaluzier !
T’as des c.ouilles en plomb, ma mentule est légère comme plume au ventre. Fécond.
… Alléluia ! Gaudeamus …
Ce qui est beau dans le poème, c’est cette succession de mots commençant par le préfixe négatif VER- :
VER waist/VERschattet/VERmurt/VERschlickt/VERgoren
suivis de Hebe, l’offrande sacrée, mot positif de sens religieux.
Ce contraste crée un effet de grande mélancolie qui emporte tout le poème.
En plus s’y glisse le mot « vers » du français, qui vient en rehausser encore la portée.
lu une partie du message posté cette nuit:
« L’allemand était la langue de Kultur des Juifs d’Europe centrale & orientale. Le yiddish est langue véhiculaire et l’hébreu, langue du culte, comme le latin avant Vatican 2. »
A signaler un article d’Elie Barnavi, mag litt’ d’avril 2008.
Très intéressant de comprendre comment l’invention de l’hébreu littéraire a précédé le sionisme, avec la Haskala et puis plus surprenant, comment l’hébreu s’est imposé comme langue d’enseignement et comme langue littéraire, sous l’action d’un « petit professeur à lunettes » Eliezer Ben Yehuda, suivi par la communauté intellectuelle juive sioniste, arrivée en Israël lors de la 2ème aliya, et regroupant des révolutionnaires refusant le ghetto et mettant fin à la crise dite du Technion ( je n’ai pas le temps de voir de quoi il retourne)
http://www.magazine-litteraire.com/mensuel/474/invention-litterature-nationale-01-04-2008-18168
Oui, oui, Wgg. Oui. Je décèle cette mélancolie et je pense que nous la décelons tous.
Mais on ne peut pas faire tout le temps dans la mélancolie, or, en dehors de la mélancolie, quel sentiment peut être rendu par la langue allemande ?
Das sentiment autoroutier.
La mélancolie de la langue allemande s’exprime sur un fond d’autorité impossible à percevoir pour ceux qui ne la parlent pas, dédé. Songez à vos rollmops versés dans un plat de nouilles.
Légère irritation de Bloom bien compréhensible, charcelan, celanchar, what else ? parfois, Ausländer, Rose.
Si la mélancolie de la langue allemande est une réalité tanzgible, il est kazy impossible à des comiques allemands de vivre de leur art, n’est il pas vrai ?
Comment fait Mutti Merkel, alors …. ?
bouguebourré ne sait quoi faire de ses barrettes de shit alors il les refile deux fois de suite, du radotage en fumée
La langue allemande n’a aucune prédilection spéciale pour l’expression de l’autorité. La comédie et le rire ont toute leur place dans la littérature allemande.
La mélancolie de la langue allemande s’exprime sur un fond d’autorité impossible à percevoir pour ceux qui ne la parlent pas, dédé
c’est bizarre les langues..trés bizarre..elle vous prennent..vous transforme..mais hon croit qu’on posséde quelquechose..hon veut rester maitre schweinhund
dla musique pour fime porno
https://www.youtube.com/watch?v=fkl92oV1kMc
vla cqui fsaient ces hankulés haprés des myons dmorts ! ça leur avait été imposé par la violence de ce qu’y avaient vécul..daccord..mais toudmême..cependant hougo m’a remis en forme..enfin..entrain!
Pépère dégoise, on dirait meusieu courte rétamé
dla musique pour fime porno
où quand l’ image et le son converge
Widergänger dit: 26 janvier 2016 à 16 h 06 min
les beaufs jb closer ou adolf de pq peuvent pas comprendre
je relis une nouvelle fois une partie du message posté cette nuit:
« L’allemand était la langue de Kultur des Juifs d’Europe centrale & orientale. Le yiddish est langue véhiculaire et l’hébreu, langue du culte, comme le latin avant Vatican 2. »
et je me frotte les yeux de nouveau. Soit l’auteur de post est un enfleur, soit il ne connait rien au yiddish. Encore moins que moi. La différence, c’est que entre temps j’ai continué de lire.
Et l’on apprend, toujours dans ce numéro du mag litt’, qu’il y avait une sourde rivalité entre les prosateurs de l’hébreu et ceux du yiddish.
XXXVI
J’entends une armée charger sur ces terres
Et le tonnerre des chevaux qui chutent,
l’écume aux genoux.
Arrogants, dans leur armure noire, derrière eux,
se dressent
Dédaignant les rênes,
cravache au vent, les auriges.
Ils poussent dans la nuit leur cri de guerre :
Je gémis dans mon sommeil quand j’entends au loin
leurs rires tournoyer.
Ils fendent l’obscurité des songes,
flamme aveuglante,
Qui martèle le cœur comme on martèle
une enclume.
Les voilà triomphants qui secouent leurs longs
cheveux verts ;
Ils viennent de la mer et hurlent en courant
sur le rivage
Mon cœur, pourquoi ta sagesse cède-t-elle au
désespoir ?
Mon amour, amour, amour,
pourquoi m’as-tu laissé seul ?
– James Joyce, Chamber Music, ma traduction.
Bon voilà que l’enflé nous fête la Saint Patrick à contre-temps.
Mais le sujet n’est pas son pitoyable essai de trad’
C’est son post de cette nuit.
J’aime bien la version de JL Masson:
Ô, c’était près de Donnycarney
Quand la chauve-souris volait d’arbre en arbre
Mon amour et moi marchions ensemble
Tendres étaient les mots qu’elle prononçait.
À nos côtés le vent d’été
Murmurait – O félicité ! –
Mais plus doux encore que le souffle de l’été
Fut le baiser qu’elle m’a donné
Ce poème est magnifique, Bloom.
Mon rêve serait d’être capable d’en écrire de si beaux.
je ne sais pas où j’ai lu sur ce fil que la poésie de Celan était une lutte avec l’ange. Encore le post d’un enflé.
Autre
.
En roulant à mes pieds douze roches forées,
Daniel mon fils m’a construit une forteresse
avec ses petits bras qui portent les montagnes.
Face aux maison de la Jérusalem nouvelle;
Dans le calcaire crient les noyaux de topaze
que nos enfants font éclater en gerbes d’étincelles.
Le soleil en jaillit comme des anémones ;
Ses rayons renversés s’arrachent à la terre
et rencontrent là-haut les paroles dorées,
Le langage muet de la splendeur du monde.
La corne du bélier sonne le point du jour : Aleph,
Beth, Guimel, Daleth, Heh,
en ahanant je nais, j’échappe à la mort lente,
À la maturation terrible de l’attente.
Assis avec mon fils sur les bancs de l’école,
À quarante ans j’apprends ma langue paternelle.
« j’ai vie »
le 100, c’était pour faire un conte rond.
Bloomy, il faut devenir raisonnable et me promettre de ne plus jamais traduire Joyce. Ta traduction est laide et très mauvaise. Il faut veiller à ne pas trop déshonorer ce qu’on prétend aimer. Seule ta méconnaissance de la langue française approche la perfection.
Abject…
« Cachez ces statues que Hassan Rohani ne saurait voir. A Rome, des sculptures dévêtues de divinités ou de guerriers du musée du Capitole ont été pudiquement encoffrées à l’occasion de la visite du président iranien, pour respecter « la culture et la sensibilité iraniennes », selon les autorités. »
Et eux, que font ils pour respecter « la culture et la sensibilité européennes »?…Les femmes occidentales en voyage en Iran sont obligées de se voiler!
La dhimmitude est en bonne voie.
Chaloux dit: 26 janvier 2016 à 19 h 05 min
Bloomy, il faut devenir raisonnable et me promettre de ne plus jamais traduire Joyce. Ta traduction est laide et très mauvaise. Il faut veiller à ne pas trop déshonorer ce qu’on prétend aimer. Seule ta méconnaissance de la langue française approche la perfection.
–
Mais non, Chaloux. C’est superbe. Mêlez-vous de vos oignons, si vous me permettez.
De Nota, il faut écrire « converge » car il s’agir de la troisième personne du singulier.
J’en ai un peu assez de devoir reprendre presque tout le monde, encore et encore.
Ce soir il n’y a que Bloom qui tienne la route.
D., mêlez-vous de vos posts. C’est très vilain. Qu’est-ce que ce « tonnerre des chevaux qui chutent »? Absurde. Pour qui choient ces chevaux qui chutent sous nos chouettes?
« des sculptures dévêtues de divinités ou de guerriers du musée du Capitole ont été pudiquement encoffrées à l’occasion de la visite du président iranien, »
Il est trop sensible! Tous ces mâles qui ne peuvent supporter de voir la nudité de sculptures divinités ou guerriers dévêtus, ni les femmes autrement que voilées des pieds à la têtes sont ds êtres victimes de leur ‘sensibilité ‘
Écoutez, Chaloux, vous voulez aller au conflit, c’est ça ? Si je vous dis que c’est beau c’est que qu’il en est ainsi. Où vous croyez vous ?
Je suis plus ancien que vous ici, mon petit bonhomme. Ne vous avisez pas de répondre.
Pas grand monde aux obsèques de Tournier. Tout de même un peu étonnant.
D., ne montez pas sur les petits chevaux de Bloom (qui d’ailleurs ont chu), vous pourriez vous blesser. Je vous assure que cette traduction est affligeante, on dirait un bricolage d’Alba « fait sur coin de table ». Visiblement ni sur le bon coin ni sur la bonne table. Il y a d’ailleurs beaucoup de point communs à ces deux personnages. S’il m’en croit, Bloomy fera mieux la prochaine fois, c’est à dire jamais.
de points
Tiens c’est vrai, maintenant que vous le dites, cela ressemble en effet à un bricolage d’Alba.
Rowan Atkinson (« Mr Bean »)
en commissaire Maigret,
vérité ou silence ?
Jokerement.
t’aurais pus y envoyer ton lahrbin dédé..
haprés l’henterrment les mikouillries..
cela ressemble en effet à un bricolage d’Alba
c’est ça internet du d.i.y. comme y disent les potes a kabloom..mon lahrbin il aime que l’industriel aux sulfites..c’est dsa condition
Sérieusement, d, cette traduction est un bon travail de prof d’anglais, d’amateur, mais pas une bonne traduction.
Ne vous avisez pas de répondre
tu peux le poigner dédé..tu comprendras la charge et le devoir himmense du grand féodal..
J’ai réveillé boumou. Râles au fond du seau.
A Rome, des sculptures dévêtues de divinités ou de guerriers du musée du Capitole ont été pudiquement encoffrées à l’occasion de la visite du président iranien
la tu marques un point..mais c’est juste pour le biznèce attation..dans la kulture occidental y’a des ordres de préséance..je vais t’espliquer
Mon rêve serait d’être capable d’en écrire de si beaux
ha bel hommage dédé !..voir l’hampleur de l’effort c’est hénaurme..quekfois hon voit nibe..
tiens kabloom..rien que pour toi..la barbouille est un peu pomplarde mais elle m’a fait des trucs..
http://blog.johannaost.com/uploads/72bb541e-025a-4c43-9768-866089c18237.jpg
Excellente tradale, Bloom. Bon rythme des vers notamment. Mais le poème lui-même, mi rêve lyrique, mi épopée est bien étrange sous la plume de Joyce. Je ne me l’imagine pas comme ça.
Les barbares sont au pouvoir à l’ONU :
Les attentats, une “réponse humaine à l’occupation israélienne » (Ban Ki-moon)
On apprend par ailleurs que quelque 40% des européens seraient antisémites.
Vive l’Europe…!
hon va les foute dans des camps dracul..ça va pas trainer..et hon va les foute au boulot ces faignants..
chacun son tour haprés tout mehrde..
Widergänger dit: 26 janvier 2016 à 20 h 24 min
Excellente tradale, Bloom.
Hurkhurkhurk!
FRANCE
Interdiction du film « Salafistes » aux moins de 18 ans (ministère)
« Excellente tradale, Bloom »
de la part d’un qui cause anglais globish, c’est un compliment.
http://www.theotherpages.org/poems/joyce01.html
C’est marrant, cela me fait repenser à une mauvaise lecture de Claro, d’un passage biblique.
… Et rien sur la cavale de J-C. Pirotte.
http://pierresel.typepad.fr/la-pierre-et-le-sel/2012/09/jean-claude-pirotte-ou-lart-de-la-fugue.html
Chaloux pour Tournier suis bien d accord avec vous très bel écrivain lais un solitaire de port-royal des champs
Paul Edel, j’ai failli y aller, par reconnaissance, et je m’en suis abstenu, par discrétion.
Chaloux dit: 26 janvier 2016 à 21 h 45 min
par discrétion
Whouarf, la burne.
Widergänger dit: 26 janvier 2016 à 20 h 27 min
On apprend par ailleurs que quelque 40% des européens seraient antisémites.
Et 80% sont islamophobes.
…
…tout ces évènements,!…tout ces stress,!…
…
…encore et encore,!…Ah,!Ah,!…Ah,!…
…
…des clients à éliminés des échiquiers, en maisons de repos,!…
…
…c’est qu’il faut réserver,!…
…t’a trouver çà tout seul,!…zizanies, pour en vivre du système aux frais de l’état à sa princesse,!…nobody,!…etc,!…
…
…fermer la boucle,!…du pyjama,!…et à ces chats,!…etc,!…
…
…
…à la mode, des gouvernements, comme des maisons de repos,!…
…vous êtes trop bon,!…sauna,!…& guili!…
…
…et la politique en chambre,!…voyez le chambellan de service,!…etc,!…
…
Mais le poème lui-même, mi rêve lyrique, mi épopée est bien étrange sous la plume de Joyce.
—
Dans le recueil conçu de 36 poèmes conçus comme une fugue sur le thème de la naissance de l’amour, de sa consommation, puis de son épuisement, les XXXV & XXXI sont comme des ajouts qui introduisent le thème de l’angoisse existentielle de l’ex-amoureux face à la solitude et à l’intrusion de la violence dans son monde. Le XXXVI figurait dans l’anthologie de poésie « imagiste » que publie Ezra Pound dans les années 1910. C’est le seul à être repris dans la magistrale anthologie magistrale de Patrick Crotty chez Penguin.
Si vus avez lu Ulysses, vous avez une idées de la multiplicité des niveaux de sens & de la pluralité des formes qui caractérisent l’écriture joyciene.
Merci pour le commentaire, en tous cas. « The rest is silence »
(…)
Alors quelqu’un vers lui
S’approchera doucement
Et doucement lui montrera
Les charmes de l’amour.
La main posée sous
Son sein lisse et rond –
Celui qui a du chagrin
Trouvera le repos.
On a tort de critiquer dans les medias nationaux Najat Belkacem, notre franco-marocaine qui tente d’apparaitre comme Ministre du Sourire Pédagogique Irrésistible sue les plateaux communicants radicaux !
Vous avez vu comment elle a remis à sa place ce salafiste barbu dans l’émission de CANAL+CIRCUS, celui qui défendait DAECH ?
Quoi !? Vous doutez de son courage ?! Allons, réfléchissez !…
Il en faut, du courage, pour ne pas avoir porté son voile islamique pendant tout le « débat » …
40% des européens seraient antisémites.
Et 80% sont islamophobes.
(26 janvier 2016 à 22 h 48 min)
et on n’est qu’au début de l’année
Comment ne pas être islamophobes avec tous ces fous d’Allah qui viennent palper nos fils, nos filles, nos compagnes et notre pognon, y compris dans la prude et protestante Germania !? Quand ce n’est pas truffer de plomb les Parisiens noctambules !
On arrive à 80% seulement parce que le muslim de base ne peux pas être islamophobe, sa religion et la logique cartésienne le lui interdit …. uhuhu ! Soyons modérés : transformons mosquées, églises et synagogues en Musée de la Crédulité, ou en Night Club, en Salle de Concert ou en Bibliothèque.
Qu’on s’éclate gaiement, Bourdieu de Bourdieu ! La vie est courte et l’Infâme nous fait gerber !
Il a du mérite, Passou, de tenter de nous faire aimer les poètes, de tenter de nous intéresser à la poésie, de tenter de nous empêcher de devenir poetpoetophobe !
On est calfeutrés dans nos tranchées démocratiques, attaqués en tous lieux par d’invisibles traitres à la patrie, les humanistes errent dans des cliniques pour déments. Désormais le regard du fou de littérature cherche la bombe dans le cartable, l’oeil intuite la ceinture cachée sous la burka explosivement replète, l’éclair d’acier révèle le hachoir de charcutier affuté spécialement pour entailler le mécréant…. la France a peur !….
Juste pour l’intérêt de la chose, Paul Celan est aussi connu comme traducteur (voir ici: http://www.bsz-bw.de/depot/media/3400000/3421000/3421308/97_0322.html, pour ceux qui lisent la langue de Goethe…), et il a en particulier traduit (ça pourrait intéresser notre Passou simenophile…) le roman « Maigret à l’école »…
…
…double-jeux,!…triple-jeux,!…s’envoler,…attention aux plafonds,!…à la pêche au filet du » ciel « ,!…
…
…une » Andromède « ,…bien placée pour en découdre a vos liens pour servage,!…
…mais, ou courez-vous, vous libérer des politiques d’état, sur vos dos,!…
…
…vous avez besoins de quoi, pour vivre heureux, donc dominer dans votre » esprit « , votre existence,!…comme exemplaire,!…
…
…personne, ne nous contradira,!…
…
…votons clair,!…S.V.P.,!…
…
…les politiques économiques et sociales,!…d’un genre à l’autre,!…contraindre les peuples aux divers » Servages « ,!…conditions de vies,…cultures de liberté indépendande obsolètes, et cadore de dénie de justice partisane,!…en privé, par la méchanceté des » riches abjectes « ,!…toujours à l’honneur pour se lier des cadres complices,!…
…existerait’il des » ripoux « , pour la féodalité des lois du Servage quotidien,!…
…la scolarisation obligatoire comme un futur « Servage »,!…Ah,!…Ah,!…
…le ciel, en toile,!…et les peuples abrutis en filet sur réseaux,!…
…
…ou en est la pétanque, le cochonnet,!…
…pour les « courses « , à notre Dame,!…
…
…Andromède ou Europe,!…pour s’endoctriner au servage les yeux bander en justice,!…
…
…le commerce pour être obéis, délit de servage, et pour se faire absoudre,!…boucler sa ceinture suspendue,!…Ah,!…Ah,!…
…mes cadres de liberté,!…
…trop cher,!…au moins les garder, pur l’éternité,!…etc,!…
…
quelqu’un vers lui
S’approchera
Bloomy, on ne s’approche pas « vers ». Toute la phrase est à reconstruire. L’usage de la langue française est un métier.
S’agissant de « lisse », il faut trouver un adjectif qui traduise la portée affective de ce sein. Tendre? etc…
Très intéressant, Passou, votre billet sur Celan et Char…bonnes querelles d’experts. Je voulais vous demander une chose en lisant celui sur Edmonde Charles Roux hier : Anne-Lise Roux est-elle de sa famille? Je suis allée sur RDC. Billet brilann. Drôle en plus ; Comme ça que vous l’avez recrutée ? Ell est très forte<;
Christiane TAUBIRA, la meilleur Ministre de la Justice que nous ayons eu depuis les Néanderthaliens, a DEMISSIONNE !
Mon cœur d’enguyanais, contraint par la diversité à la supporter, saigne. Les magistrats tremblent de chagrin… les victimes applaudissent à son départ !
Il restera d’elle son action de destruction de la famille hétérosexuelle normale… Bon voyage !
Dans le Journal des Arts, photographie d’un dramatique hommage de Kieffer à Paul Celan.
MCV
…
…J.C.,…Ponce-Pilate,…Taubira,!…des rôles,!…des amalgames,!…
…et, ces Juges pour le Servage du peuple juif,!…juifs pour en être obsolète du progrès,!…
…et Christiane Taubira, plein le ( ),…entre l’enclume et la marteau,!…
…servage d’esprits et tire au flan,!…
…matrice et cachet, des fautes de frappes,!…
…la dignité of course,!…
…faut pas, demander l’intérieur des magouilles socialistes sur tranches,!…
…jambon cuit à l’ancienne,!…la date limite de consommation dépassée,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…c’est tout cuit du donjon,!…
…
…
« on ne s’approche pas « vers » ».
En poésie tout est permis (ce n’est pas un de ces laborieux et mortels textes administratifs)
on ne s’approche pas « vers .
En poésie on peut (ce n’est pas un de ces la borieux et mo r tels textes admi nistratifs)
« contraint par la diversité à la supporter, »
elle le suivait partout à pq l’adolf n’en pouvait plus
« L’usage de la langue française est un métier. »
pour info il ne s’agit pas d’une compo de l’école élémentaire
Paul Edel dit de Tournier qu’il était de ces « solitaires de Port-Royal des Champs ». C’est une coïncidence, pour moi : je lis en ce moment le livre troublant « Titus n’aimait pas Bérénice » – et justement, dans ce livre, le portrait d’un solitaire (« Hamon ») est rendu avec une justesse étonnante par l’auteur, Nathalie Azoulay. Non seulement j’apprends des tas de trucs incroyables sur Racine (pourquoi ne nous raconte-t-on pas ça en classe, bon sang de bonsoir ?) comme par exemple ses rencontres avec des femmes de toutes classes, que Racine faisait venir chez lui et qu’il écoutait raconter leurs amours derrière un rideau (! Ca m’a ramenée tout droit au premier film de Soderbergh « sexe, mensonges et vidéos »), mais encore j’ai découvert une manière d’écrire une biographie (ici, celle de Racine), que je n’avais jamais rencontrée auparavant. C’est un petit livre fascinant, « envoûtant » ai-je envie de dire, parce que l’auteur s’est laissée délibérément envoûtée par son sujet. Bref. Je crois bien que c’est ici que j’en avais entendu parler. Merci !
@ 9.57… Bon voyage !
Toujours aussi abject et répugnant, le commentateur de l’actualité mondaine, crocheté à son île.
CT, une grande dame de conviction s’en va, et ses futurs mémoires relatifs aux couleuvres avalées durant son passage à la Justice nous édifieront bientôt. Le remplaçant, JJ Urvoas, un « intellectuel » bretonnant de la police du renseignement, député éclairé et manipulé prend la place de… Vendôme ! Du jamais vu depuis Boby Badinter ! Mais que diantre, les JC l’ont voulu, et ils l’ont eu, peuvent remercier la gauche caviarde. Viendront pas nous les chialer quand ils seront suspectés et GAV-és arbitrairement pour suspicion d’apologie de terrorisme intellectuel.
Toujours aussi embrelé, ce Javert ! … un sous-nul comme on n’en trouve qu’en Normandie Mémère !
« … qui sonde le silence interroge la poésie ».
———————
Mais le silence est insondable. Seul reste son écho (quelq’un l’a déjà dit, ici même). En fait, Passou, il vient de paraître au Seuil un très bon livre sur « l’autiste » Musil. On peut compter sur vous?
Il aura fallu attendre 3 ans pour que Christiane Taubira prenne sa première bonne décision…
Taubira
S’en va
Alléluia !
Alléluia !
Taubira
S’en va
Ne boudons pas
Notre joie !
Pour compléter le MC de 10h20 : dans l’exposition actuelle « Anselm Kiefer » au Centre Pompidou, une salle entière est consacrée aux oeuvres inspirées par Paul Celan et Ingeborg Bachmann.
Madame Taubira ayant démissionné, désormais, il y plus de chance pour entendre des poètes citer des ministres que le contraire.
Il faut avouer que la citation était la vertu principale du monstre …
Alléluia !
Alléluia !
elle est pas assez réac pour les dé biles
Témoignons de notre joie malsaine :
« Bananes, pour tout le monde ! »
Ne reste plus en course que Madame Ledkacem, dont le spectaculaire recul sur les classes bilangues en dit long sur ses dons d’improvisation à son arrivée rue de Grenelle…
Mr Urvoas a la lourde tache de concocter une mesure présentable de déchéance de la Nationalité pour public de gauche.
Autant dire la quadrature du cercle…
Il faudrait aussi , pour faire bonne mesure, dézinguer quelques petits marquis dont Bruno Julliard est le prototype achevé. L’homme qui a trouvé que les Conservatoires étaient coupables de conservatisme… Sans commentaires.
Jc est répugnant comme d’habitude, quand il parle de Madame TAUBIRA.
à part ça, j’ai un « nom de domaine », paraît-il :
Clopineries
clopinetrouillefou.e-monsite.com/
(je ne sais pas trop à quoi ça sert, mais on m’assure que c’est très bien…)
Sans Commentaire dit: 27 janvier 2016 à 11 h 40 min
avec mini Racine tout irait mieux
Les départs successifs des crapules gauchistes de la gauche, résidus nomenklaturistes du siècle passé, ne laissent plus aux manettes que des gens de gauche à peine de gauche …
Lesquels font, contraints et forcés par la réalité de ce monde qui ne pardonne pas l’incompétence idéologique, une politique de droite !
Tout va bien ! Il ne reste plus qu’à remplacer les imitateurs par les originaux nouveaux, des jeunes ! Marre des vieilleries …
« Madame Taubira », ça fait un peu Madame Claude, non ?….
pauvre jc , de plus en plus c.on et n’en n’a jamais marre de radoter et
Chaloux dit: 27 janvier 2016 à 9 h 46 min
L’usage de la langue française est un métier.
AH AH ! Chaloux en a encore matté un.
pauvre jc , de plus en plus c.on et n’en n’a jamais marre de radoter et de s’autocon gratuler
Clopine, Ci-dessous un lien du numéro de Répliques au cours duquel Alain Finkielkraut et Jean-Michel Delacomptée, auteur de tant de beaux livres, remettent très gentiment Mme Azoulay à sa place.
« AH AH ! Chaloux en a encore matté un. »
Non, Michel Tournier disait que lire une mauvaise traduction c’est comme se laver dans un bain d’eau sale.
Il restera d’elle son action de destruction de la famille hétérosexuelle normale…
si ta femme te traite d’hankulé réponds lui « tu sais pas cqui est bon »
C’est quoi « la famille hétérosexuelle normale » ?
Pour saluer JC… ou la mort de l’intelligence
Chaloux, critiquer, c’est bien, proposer, c’est mieux !
On attend de voir ce que tu proposes ?
Paul Edel, j’ai failli y aller, par reconnaissance, et je m’en suis abstenu, par discrétion.
mon larhbin se colle des allés et retours..il tente de se matter
Jibé dit: 27 janvier 2016 à 12 h 07 min
Je ne critique pas, j’objecte.
mais on m’assure que c’est très bien…
faire mine de pas savoir cqui est bon c’est encore meilleur
Lorsque la Réaction aura repris le pouvoir d’entre les mains, épouvantablement sales, de cette gauche de privilégiés, il va de soi que les Mariages pour Tous seront dissous, annulés, et les mariés, penauds, conduit en Centre de Déradicalisation de Caen où l’on tentera de sauver les meilleurs d’entre eux.
Les récalcitrants, bien entendu, seront brulés en place de Grève et leurs cendres revendues aux familles. Comme en Chine….
il faut trouver un adjectif qui traduise la portée affective
des « grosses » baffes..qu’il se met
bouguereau dit: 27 janvier 2016 à 12 h 07 min
Ce matin, léger mieux dans le Parkinson de Monsieur.
« C’est quoi « la famille hétérosexuelle normale » ? »
C’est pas toujours une réussite -ya qu’à voir la plaie de pq comme con tre exemple de réussite
C’est quoi « la famille hétérosexuelle normale » ?
c’est quand ta fille te traite dhanculé et que tu peux lui réponde « ho toi camembert! »
Larbin de bouguereau dit: 27 janvier 2016 à 12 h 15 min
..il rentre dans l’rang
Quittons nous, pour aujourd’hui, sur une bonne réponse à une question sans importance :
« Quel avenir politique pour Christiane TAUBIRA ? »
…un livre de souvenirs ?….
… écrit par un nègre ? …
Bonne soirée les petits choux !
Passou écrit, qui mérite débat :
J’ai vu « Salafistes », le documentaire si controversé, à juste titre, de François Margolin et Lemine Ould Salem. Je l’ai visionné dans sa version originale, non retouchée, il y a quelques jours au Fipa à Biarritz. Il se présente comme un document brut, un concentré de réel non filtré, sans commentaire aucun, ni questions. Résultat : un bout à bout de déclaration d’imams mauritaniens, de militants d’Al Quaida au Maghreb et d’activistes tunisiens ou autres, entrelardé d’images de propagande mises en scène par Daesch : exécutions sauvages en pleine rue, égorgements d’otages, applications diverses de la charia etc
De l’aveu de l’auteur, il s’agissait de dénoncer la barbarie en mots et en actes en la livrant telle quelle aux spectateurs, manière de dire : si on en avait fait autant pendant la dernière guerre avec la shoah par balles, le monde aurait réagi plus tôt… Sauf que les nazis cultivaient le secret et que l’Etat islamiste au Levant recherche la publicité et le spectacle. « Salafistes » joue parfaitement le jeu de Daesch en lui servant purement (si l’on peut dire) et simplement (c’est le cas de le dire) de relais dans sa communication puisqu’il n’y a pas de contextualisation, pas le moindre contre-point critique, pas le début d’une réfutation des énormités et contre-vérités tranquillement assénées dans un torrent de mépris, de haine et d’appels au meurtre.
C’est peu dire que l’on ressort de cette projection avec un certain malaise ; comme si, en y assistant, on avait participé à une entreprise malsaine. On imagine déjà les applaudissements et les rires dans certaines salles de cinéma du 93, de la banlieue de Toulouse ou de Roubaix ou d’ailleurs. Un tel film n’est pas seulement immonde : il est irresponsable. »
C’est pas toujours une réussite
..pour une fois tu peux l’ouvrir raclure
Racine (twit)
http://dessinsdactu-christiancreseveur.blogs.nouvelobs.com/media/01/01/1770352037.jpg
..pour une fois tu peux l’ouvrir raclure
c pas sympa pour ton pote la marinade de pq
Pour saluer bouguereau : l’alcool tue !
De l’aveu de l’auteur
j’ai pas vu l’fime..mais j’ai vu quelques interviews de l’auteur..c’est une position qu’il défend, l’auteur ne fait pas « d’aveu »..mot facheux
JB
c’est déjà assez pénible de voir la tronche des assassins partout dans les journaux
l’alcool tue !
Pas toujours, hélas. Dans le cas de bouguereau, seules les fonctions de la moelle épinière sont demeurées (c’est bien le mot) intactes.
JC….. dit: 27 janvier 2016 à 12 h 18 min
« Quel avenir politique pour Christiane TAUBIRA ? »
…un livre de souvenirs ?….
… écrit par un nègre ? …
le pote raclure de bouguereau dans toute sa splendeur
C’est quoi « la famille hétérosexuelle normale » ?
Des emmerdements.
« C’est elle qui vers vous s’approche en ce moment »
– Le Médisant, comédie, E. Gosse, 1816.
(Le médisant, avec un petit « m » comme une « m.erd. »)
edouard, le film est déjà interdit au moins de 18 ans. Si j’en crois Passou, il faudrait l’interdire à tous ? Là, je suis moins d’accord. Regardons la réalité en face.
Le point de vue des auteurs est forcément dans le choix des images et le montage. Qui peut adhérer aux images de propagande de Daesch, sinon ceux qui sont déjà convaincus ?
Des emmerdements.
qu’on sfait pédé par dépit..ça c’est dl’homophobie
Bloomy, Hanse est formel (j’en possède un exemplaire annoté de sa main), on s’approche « de ». Ensuite, tu peux justifier tout tes à-peu-près à l’aide des plus obscurs et improbables exemples. Cela va avec le reste du personnage : que tu sois toi-même une sorte de petit « Gosse, 1816 », on s’en doutait déjà.
j’en possède un exemplaire annoté de sa main
de la mienne c’est un peu sa cheutron à mon lahrbin..
bouguereau dit: 27 janvier 2016 à 12 h 46 min
bouguereau rêve les baffes qu’il donne, et prend celles qu’on lui lui applique.
qu’on lui lui
C’est parce qu’on les lui met par par paires.
Chaloux 11 h 59 : merci, mais je ne supporte qu’à grand peine les opinions de Finkielkraut étalées ici, sous couvert de… Ah là là.
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