Y a-t-il vraiment un « style Minuit » ?
Et dire qu’il y en a pour s’imaginer qu’un écrivain change de style en changeant d’éditeur ! Ou que, à tout le moins, son œuvre franchit une nouvelle étape après une rupture à laquelle quelques éditeurs, plusieurs critiques et certains universitaires accorderaient volontiers le statut d’épistémologique. D’aucuns ont voulu croire que celle de Simenon avait connu autant de périodes que celle de Picasso, ses éditeurs lui accordant sa couleur : la période Fayard, la période Gallimard et la période Presses de la Cité. Ce qui ne résistait pas à l’examen. Et pourtant, il arrive que des maisons d’édition de petite taille impriment un certain caractère aux livres de leurs auteurs. Ce n’est pas qu’une question de livrée commune car la plupart des autres maisons se distinguent par une couverture unique.
Le fait est que le phénomène est impossible chez les moyennes et les grandes tant leur catalogue est vaste ; la Nouvelle revue française des premiers temps, celle de ses pères fondateurs, était animée d’un tel esprit qui les réunissait derrière un même drapeau, mais il s’étiola à mesure que le comptoir d’édition se métamorphosait en une entreprise sous le nom de Gallimard. Aujourd’hui, quelques petits éditeurs, donc, jouissent de cette particularité : Pol, Verdier, Verticales, Le Dilettante, Allia, Fata Morgana, José Corti, l’Arbre vengeur… Sans oublier la première d’entre elles, celle dont le capital symbolique est le plus fort, et l’identité la plus puissante : les éditions de Minuit.
Fondées par Pierre de Lescure et Jean Bruller dit Vercors en pleine clandestinité dans la France sous la botte allemande, refondées en quelque sorte par Jérôme Lindon lorsqu’il en prit la direction en 1948, elles ont toujours maintenu un « devoir d’insoumission », pour reprendre l’expression si juste de leur historienne Anne Simonin. Un ouvrage collectif, dirigé par Michel Bertrand, Karine Germoni et Annick Jauer, y revient en détail en posant frontalement la question dans son titre : Existe-t-il un style Minuit ? (270 pages, 24 euros, Presses Universitaires de Provence). Poser la question, c’est déjà (presque) y répondre. C’est bien qu’il y a quelque chose de commun entre les auteurs réunis sous cette couverture blanche à liseré bleu, sobre, discrète, économe, comme l’était Jérôme Lindon et, à sa suite depuis 2001, sa fille Irène Lindon.
Comment qualifier le phénomène à défaut de le cerner : une école ? Sûrement pas, et puis il ne saurait y avoir de disciple là où il n’y a pas de maître. Un mouvement ? Pas vraiment car nul n’a jamais manifesté une volonté d’entraînement ou de regroupement. Une tendance ? Ce serait bien le moins. Une fibre ? Trop abstrait. Une sensibilité ? Il y a de cela. J’en tiens plutôt pour une famille d’esprit, ce qui a l’avantage d’être informel, peu contraignant et de respecter les individualités ; le patron a eu en tout cas assez de finesse pour, mine de rien, entretenir un esprit de famille en les poussant à se lire mutuellement par l’envoi régulier des nouveaux livres des uns aux autres. Les experts réunis autour de l’hypothétique « style Minuit » (quel risque…) permettent d’en mieux cerner la généalogie, les contours, les traits marquants.
Il faut d’abord préciser que tout auteur Minuit s’inscrit dans une histoire en entrant, en principe pour un certain temps, dans ce prestigieux catalogue. Elle se déroule en temps : la Résistance (Vercors), le Nouveau Roman (Alain Robbe-Grillet), la guerre d’Algérie (Henri Alleg), l’enthousiasme pour les sciences sociales (Pierre Bourdieu) et un certain renouveau romanesque (Jean Echenoz). Et en tous temps et toutes circonstances, la revendication d’une l’écriture exigeante qui voulait se répercuter également en politique dans les engagements et les prises de position, ce qui entraîna nombre de procès et de condamnations.
La parution de Molloy (1951) marqua un tournant littéraire bien que le deuxième roman de Samuel Beckett fut un échec commercial. C’est peut-être une vision rétroactive due non à son écrasante notoriété mais à son incontestable empire sur les consciences de nombre de jeunes écrivains en devenir. On ne le dit pas assez : souvent l’auteur d’un premier roman adresse en priorité son tapuscrit à son éditeur de référence, celui qui publie l’auteur qu’il admire. Or s’il est bien un point commun entre ceux que plusieurs contributeurs de ce recueil appellent « les enfants de Minuit » (personnellement, cela me rappelle trop le premier roman de Salman Rushdie, ce qui n’a rien à voir), c’est bien leur enthousiasme jamais démenti pour l’œuvre, et leur filiation revendiquée avec son esprit. Beckett demeure le père tutélaire, consciemment ou pas. Il y a des échos de Molloy dans La salle de bain. Ce qui n’empêche pas un Tanguy Viel de s’être dirigé vers Minuit après avoir lu Mentir (1977) d’Eugène Savitzkaya.
Et à part Beckett ? Claude Simon plutôt que Robbe-Grillet. Et Michel Butor ? Disons que son absence sur la photo historique des « nouveaux romanciers » par Mario Dondero en 1959 rue Bernard-Palissy, devant la façade de la maison d’édition installée dans des murs qui furent avant elle un bordel, cette absence n’est pas fortuite ; on a dit alors qu’il était en retard, mais on a depuis rectifié le tir en estimant que c’était un acte manqué : il ne voulait pas en être. Quoi d’autre en commun à part d’intimidantes et hautes figures ? Le sentiment, sinon la conviction, de faire partie de « ceux qui n’écrivent pas « comme il faut » », ce qui n’empêchait le beckettien Christian Gailly de revendiquer une forme de classicisme : ils jouent sur la ponctuation, avec le point notamment, qui surgit souvent là où on ne l’attend pas ; leur parole se veut tâtonnante, incertaine, mouvante de manière à susciter des interprétations équivoques ; il y a quelque chose de désinvolte dans leur prose pourtant résolument fidèle à « la puissance vive de la narration « . Le critique littéraire Jacques-Pierre Amette, du temps qu’il officiait au Point, les présentait comme les servants de « la sainte-chapelle des éditions de Minuit » aux antipodes des « éditions camelotes ». Il est vrai que le phénomène, s’il n’a tout de même pas partie liée avec le sacré, n’en offre pas moins un aspect religieux, parfois sectaire.
Mais comment qualifier ce fameux style dont les détracteurs ont beau jeu de se moquer (Patrick Besson) tant il peut se prêter aisément au pastiche (Patrick Rambaud) ? Disons plus formaliste que minimaliste, à quoi on a souvent eu tendance à la réduire en raison d’une dite écriture blanche. Elle n’en est pas moins constitutive de leur air de famille. L’exigence d’une certaine exigence, on l’a vu, est partie prenante jusqu’au stéréotype, quitte à ce qu’elle devienne synonyme d’élitisme et d’hermétisme ; le refus de la psychologie traditionnelle et du romanesque de convention ; une certaine ironie ; l’élégance assez janséniste de l’emballage n’est pas étrangère à cette réputation, héritée de la douce mais inflexible raideur de Jérôme Lindon. Toutes choses qui constituent un chapelet de parentés, sinon d’affinités. A la fin du volume, Isabelle Bernard raconte l’expérience qu’elle a tenté lors d’un cycle de cours à l’université d’Amman. Que reste-t-il du « style Minuit » lorsqu’il est enseigné à des étudiants jordaniens en littérature française ?
« La peinture d’être à l’identité problématique dans un quotidien sans effet et avec peu de référents spatio-temporels ou historiques et (…) la volonté d’écrire sans emphase mais avec une certaine dose d’humour » ! CQFD
Il n’ y pas si longtemps, ils s’appelaient encore Jean Rouaud, Marie Ndiaye, Patrick Deville… Aujourd’hui, ils ont nom Eric Chevillard, Jean-Philippe Toussaint, Yves Ravey, Christian Oster, Marie Redonnet, Laurent Mauvignier, Eric Laurrent, Tanguy Viel, Julia Deck… (on peut lire ici la thèse de doctorat que Mathilde Bonazzi leur a consacré). Mais il faut chercher leur bréviaire du côté de L’ère du soupçon de Nathalie Sarraute plutôt que chez le Robbe-Grillet de Pour un nouveau roman. Ils ont conservé de beaux restes des principes du Nouveau roman : déconstruction, effacement, épuisement, disparition, évidemment. Comme si ils avaient hérité de leurs aînés la vocation d’inquiéter le roman. Ce qui n’a pas empêché la maison de rafler deux pris Nobel (Beckett, Simon), trois prix Goncourt (L’Amant, Les Champs d’honneur, Je m’en vais), sept prix Médicis, un prix Renaudot, trois prix Femina, deux prix du Livre Inter, un prix des libraires… Pas mal pour une avant-garde que son succès menace d’une institutionnalisation qui pourrait un jour la ramener à l’arrière-garde.
Un seul léger regret à l’issue de cette féconde exploration au sein d’une des plus excitantes aventures littéraires du demi-siècle échu, une affreuse expression qui revient dans la plupart des contributions : le « roman minuitard ». Et ça, cela donne vraiment envie de se faire publier plutôt aux éditions de minuit et demi.
(« Les auteurs de Minuit photographiés par Mario Dondero en 1959 » )
1 355 Réponses pour Y a-t-il vraiment un « style Minuit » ?
On voit que t’en a jamais fait, ton couillon. Faut pédaler, je t’assure ! Tu ne me parles même pas du ski. Tu vois bien que t’es une sous merde.
T’as peut que je te pète à la gueule, trou du cul ?
Oui, il ne vous manque que de suer un bon coup, de vous contraindre à l’ effort par vous-même,d’ éliminer votre graisse auto-satisfaite par vous-même, personne sur ce blog ne vous arrivant à la cheville…
« Outre la musique de Georges Delerue, je soulignerais aussi le restaurant où se déroule le meurtre, « Le Val d’Isère » rue de Berri, au charme si Killy/Goitschel »
n’importe quoi.
Alba, vous ne serez jamais un bon écrivain, ni même un écrivain tout court. Il n’existe pas d’exemple, à ma connaissance, d’un de ces animaux mythiques ayant écrit à tout bout de champ autant de conneries que vous. C’est un suicide littéraire. Consommé.
Dites, Sergio, si vous passez par là …
Notre ami Wiwi cherche des patinettes pour ses prochaines aventures dont on attend impatiemment la compilation dans la nouvelle collection blanche adaptée ..
Après « Wiwi tire à la carabine »et « Wiwi fait du vélo » …
Chaloux dit: 28 octobre 2014 à 20 h 23 min
________
Chaloux et sa vision limitée de ce qu’est un écrivain. T’a tout faux, mon pauv’ Chaloux. T’a vu un peu tatronche. Et t’es même pas capable d’avoir le courage de nous donner ton nom. T’es un lâche, toit aussi, qui insulte les gens en se cachant derrière un pseudo. Y a pas plus minable, mon pauv’ Chaloux. T’es simplement une grosse merde.
Dans le groupe, des femmes super sportives et très sympatiques, elles vous soutiendront pendant l’ effort WG et en toute discrétion, prenant soin de ne pas vous offenser si vous trainassez. Ce dimanche elles étaient pour la plupart en maillot sans manche, belles épaules fermes et juste musclées. Ça vous changerait de votre monde virtuel et vous parleriez d’ autres sujets!
Sacré WGG, curieux avec ça!
Non, pas du tout curieux. T’as pas compris ce que je t’ai demandé. Tu vois bien que t’es un gros couillon qui comprends même pas le français.
Faudrait voir à vous secouez un peu.
C’est parti tout seul.
http://www.youtube.com/watch?v=2xKVeF_eak0
Non mais franchement, on voudrait savoir ce que vous valez dans l’ effort sportif WGG.
Seriez-vous velléitaire à escalader une petite montée qui vous pousse le cardio à la hausse, comme votre roman?
Là, vous auriez des Daaphnée et des Clopine bien réelles qui vous pousseraient aux fesses, mon vieux, qui vous dépasseraient dans un excellent rythme et qui vous laisseraient souffler comme un bœuf sur place.
Mettez-vous à la marche nordique, les bienfaits sont impressionnants.
Vrai Aldanslbaba, un écrivain -d’abord- c’est un type qui écrit des livres. Bon. Limité mais sensé. Un bon écrivain, c’est encore autre chose. Tu sauras jamais quoi. Tu es trop limité, quoiqu’en un sens tu t’assagisses avec l’âge. Citer toujours les colloques, les spécialistes etc… mais plus jamais te mouiller. Tu t’es pris tellement de baffes, on t’as si souvent pris en flagrant délit de ne pas avoir lu ce que tu entendais expliquer par toi-même qu’il est bien normal que tu ne t’y exposes plus…
Il y en a deux qui prennent toute la place ici, toi et l’insigniflan chapon boumou… L’élite… on peut pas s’y tromper.
les Français ne rejettent pas seulement le premier d’entre eux, mais encore et surtout la gauche à la française. Il ne s’agit plus d’un rejet, il s’agit d’un vomissement. (G W. Goldnadel)
Alors là, il a sacrément raison, le Goldnadel.
Y en a un certain nombre ici de ces vomissures !
ueda dit: 28 octobre 2014 à 19 h 56 min
Merci Chaloux,
Zouzou prenant parti pour la délation,
une évolution ?
Un petit document « Samson François improvise », 1968. (Le second morceau est le Liebeslied pour violon de Kreisler, transcrit pour piano solo par Rachmaninov.)
Science pianistique…
Mais mon gros Momus, à part faire des pâtés sur ta plage, qu’est-ce que t’es capable de faire ?
Moi, je vais te dire :
1°) Persécuter les types comme moi qui te sont infiniment supérieur;
2°) Persécuter les types comme moi qui te sont infiniment supérieur.
Voilà ce qu’est capable de faire quand t’es pas à la plage. Que de trophées grandioses !
Widergänger dit: 28 octobre 2014 à 20 h 48 min
mon pauv’ Chaloux….. jalouse comme un diable.
Comme quoi Mimi ne dit pas QUE des inepties.
Un brave petit Français biend e chez nous, le gros Momus !
Je ne dis JAMAIS d’inepties !
C’est oracle ce que je dis !
Widergänger dit: 28 octobre 2014 à 20 h 48 min
Aldanlblabla, je t’ai tellement baffé au temps où tu prenais si naïvement des risques que j’en ai encore mal au creux des mains.L’art du perroquet, que tu es devenu par prudence, peut m’amuser (pas tout le temps, hein, de temps en temps), mais comment être « jaloux » de tes piaillements de volaille? Tu rêves tout debout…
Et puis n’oublie pas, la manie de jeter à la foule des monceaux d’informations pondues par d’autres et dont un petit prof de collège illettré comme toi serait bien incapable de vérifier le premier mot, n’est en rien une preuve de talent. Tu t’aveugles toi-même, tout comme l’insigniflan boumou qui croit encore faire illusion…
Bon, juste comme cela et parce que les interminables querelles Chaloux/le Boug’sont tout de même pénibles ..
En ce qui concerne Màc, puisqu’il en a été question, j’espère qu’il se porte le mieux possible .
Regardez mes petits chéris, la haine qui va s’abattre sur la bande de Gaza. Vous allez jouir :
« L’Egypte fait des préparatifs pour établir un no man’s land de 1,5 à 3 km à sa frontière avec la bande de Gaza après l’attaque terroriste de samedi venant des islamistes de Gaza, qui a provoqué la mort de 30 soldats égyptiens dans le Sinaï. »
Vous avez raison, Daaphnée, ça commence à pomper l’air aussi, figurez-vous.
Tu es marrant, ma brave petite merde de Chaloux ! Mais j’ai jamais eu le sentiment de recevoir quelque baffe que ce soit de toi, bourrique ! T’es trop minable. Si tu crois que tu m’impression avec ton piano à queue, une petite bite comme ueda !
T’es insuffisant à force de suffisance, ma pauv’ bourrique !
Dans ton cas, albablabla, mieux vaut avoir la mémoire courte, c’est certain… Et tu vois, moi je ne t’insulte pas, je t’analyse…
Chaloux, t’es :
1°) jaloux
2°) une sous merde
3°) un gros tas bouffi d’orgueil
4°) un gros tas insignifiant qui ne m’arrive pas à la cheville
5°) j’ai oublié tiens…
Chaloux dit: 28 octobre 2014 à 20 h 57 min
Aldanlblabla, je t’ai tellement baffé
Et sache Mimi qu’il en a matté plus d’un.
Parle pas de ce que tu sais pas faire, mon pauv’ chaloux ! L’analyse, c’est pas ton truc. Toi, tu ne connais que l’insulte pour ceux qui te sont infiniment supérieur comme moi. T’es une simple petite merde de fêlé comme on en rencontre tant sur les blog. Très ordinaire, bon pour le cabanon.
« CQFD », ie: Ceux Qu’il Faudrait Découvrir.
Chaloux dit: 28 octobre 2014 à 21 h 03 min
Vous avez raison, Daaphnée, ça commence à pomper l’air
Quoi ! Comment !
Va-t-il enfin comprendre qu’il gonfle tout le monde ?
Si oui, il faudra bien remercier dafnoz.
Comme quoi tout est possible.
Widergänger dit: 28 octobre 2014 à 21 h 08 min
pour ceux qui te sont infiniment supérieur comme moi
Il y a certainement quantité d’aspects où tu pourrais en effet te révéler « infiniment supérieur » non seulement à moi mais à tout autre. Jamais, évidemment ceux auxquels tu penses…
CQFD, aussi, cela, mais je ne peux revisiter toute ma bibli:
http://www.leseditionsdeminuit.fr/images/3/extrait_2525.pdf
Vous allez jouir :wgg.
L’injonction d’un être esseulé…
Les femmes lui manquent et le blog est dépeuplé!
brrr..jamais a faire cqu’y dit mon larbin..et ce sens de l’asservissement volontaire qu’il a..une bête de concours
…enfin, notons tout de même que les deux couilles molles de la rdl se soutiennent tout de même l’une l’autre… Comme elles peuvent…
Ueda, je vous le promets, je ne répondrai pas à notre collectionneur d’AVC, le chapon boumou…
C’est pas qu’elle se soutiennent, mon pauv’ fêlé ! C’est tout simplement que tu fais l’unanimité contre toi, tellement t’es une sale merde humaine.
pauvre albablabla
C’est vrai qu’il n’étronne plus personne ici par usage abusif et paresseux du substantif.
notre collectionneur d’AVC
..tiens au fait..tu fais du judo d’aprés jean marron ?
Ce fêlé de Chaloux, qui se sent un peu seul d’un seul coup et qui fait appel à ce cochon de ueda, tout aussi fêlé d’ailleurs ! Quelle collection de cinglés !
Change ton disque, gros Momus ! Tu t’essouffles.
Gros bébé esseulé, bientôt espagnol, éternel pré-ado, vieux branleur, cherche déniaiseuse.
bouguereau dit: 28 octobre 2014 à 21 h 22 min
..et ce sens de l’asservissement volontaire
marrant de la part d’un piteux éléphant de mer esseulé et désoeuvré qui décarre pas un jour d’ici, samedis, dimanches et vacances comprises… il en connait un rayon en asservissement volontaire…
pukeupu pukeupu pukeupu dit: 28 octobre 2014 à 21 h 28 min
Bien vu.
(Toi Albablabla, je serais curieux de savoir quelle genre « d’unanimité » tu a l’impression de faire ici… Sûrement encore pas celle que tu crois…).
Tu t’essouffles.
Hélas pour vous, j’ ai un sacré entrainement et je vous attend là où vous voudrez.
Préparer votre retraite, éviter et prévenir la dépression éventuelle, faites du sport mon vieux!
Et sache Mimi qu’il en a matté plus d’un.
alors..il a fait du judo ou pas..au moins il a l’espérience du ring..tu calcules cheuloux ?
Gros bébé esseulé, bientôt espagnol, éternel pré-ado, vieux branleur, cherche déniaiseuse.
Avec AGREGATION de préférence.
Tu fais pitié, mon gros Momus. Je te plains.
Hélas pour vous, j’ ai un sacré entrainement et je vous attend là où vous voudrez.
où?
Ça je veux bien le croire. Un entraînement à répéter ad vitam eternam toujours les mêmes inepties, les mêmes insultes, à persécuter toujours les gens qui te méprisent et te mépriseront toujours, mon gros Momus. Parce que tu fais partie des gens méprisables, mon gros Momus.
..y’a une salle de mma prés de chez toi ?
Merci, les gars!
J’ai eu du mal à tout comprendre, mais on sent qu’il y a de la matière.
Vous êtes concis, voilà tout.
On cultive l’entre-soi, on pratique l’art français de la conversation par connivence, le salut au bon entendeur.
Bande de raffinés!
Attends voir, il est quelle heure?
« Y a-t-il vraiment un style de 21:30? »
Je suis tenté de réveillonner pour apprécier la créativité de Minuit.
Mais la loi d’airain du travail interdit de telles jouissances!
Attention à éviter un jour le couvre-feu!
où?
Si c’ est à Paris je ne viendrais pas pour des prunes!
Bon, pendant que les garçons se crêpent le chignon ..
Un hommage à Simone Weil ..
Quelle femme !
Widergänger dit: 28 octobre 2014 à 21 h 37 min
Ni tutoiement, ni insulte de mon côté, I take care of you, that’s all!
« la sainte-chapelle des éditions de Minuit »
j’ai aussi cela, dans ma bibli, une cathédrale.
« Vingt ans plus tôt, je connaissais bien Elisabeth. Mais, lorsqu’elle réapparaît et qu’elle m’en apporte la preuve, je n’en retrouve aucun souvenir. Paul, lui, habite pour l’instant chez moi. Mais, lorsqu’il disparaît, il ne m’adresse plus aucun signe. Quant à Marianne, c’est moi qui ne veux plus la voir. Bref, je me retrouve seul. J’en profite pour aller m’exiler en Beauce, faire un peu le point. Et c’est là qu’apparaît Anne, dont je sais que je ne me passerai plus, mais que je n’ai pas encore rencontrée. »
http://www.leseditionsdeminuit.eu/f/index.php?sp=liv&livre_id=2638
« Y a-t-il vraiment un style de 21:30? »
un lapin.. »je peux pas ce soir..j’ai rencart avec une grosse »..sic..comment que je vais le défoncer la prochaine fois..on met des cax dafnoz..enfin pas toujours
bouguereau dit: 28 octobre 2014 à 21 h 44 min
la vieille vache plaine de bière devra d’abord retrouver le verre où elle a mis son dentier.
Je ne sais pas du tout ce qu’est devenue l’auteur de » l’élégance du hérisson » et cela m’intrigue.
http://www.valdisere.com/valdisere/fr_FR/evenements/temps_forts/rencontres_litteraires
si tu ne vas pas za lagardère..
Au 500ème commentaire on sera bon pour le » style minuit », non?
Evidemment le style Minuit, c’est pas Nisard et ses deux morales.
Ah, mais pour le style minuit,
Il faut un ton neutre, mesuré … du genre j’ai-mûrement-réfléchi à la chose et c’est la chose-même qui s’exprime à travers moi … une sorte de transcendance, que dis-je, une immanence ..
Les garçons vont devoir aller méditer la chose ..
Je ne vois que cela.
U., vous allez devoir les prendre en main.
Si .
Avec douceur et fermeté.
Un hommage à Simone Weil ..
Quelle femme !
Qu’est-ce qu’elle a comme choses à dire, daphnée.
une sorte de transcendance, que dis-je, une immanence ..
oula, ça s’emmêle les pinceaux dès la première phrase
Pauvre boumou, tu me fais pitié à force de ne pas savoir lâcher-prise.
Tu t’es fait moucher tous les jours pendant deux ans, et voici (comme dans l’Evangile), tu en redemandes. mais Céline a raison, tu as beaucoup baissé (deux s, un seul ça m’étonnerait).
Tu es là sans arrêt ainsi qu’une ventouse, comme le faisait remarquer je ne sais plus qui, samedis, dimanches et vacances comprises, signes certains d’un grand désœuvrement, d’une grande solitude, de toutes sortes de souffrances et de misères dont tu dois maintenant te résoudre A SORTIR SEUL.
Pour ma part, je me suis suffisamment occupé de toi, et je ne veux pas m’en encombrer davantage. Je suis peut-être un con (qui ne l’est pas pour un autre?), mais je ne suis pas encore fini, ce qui est évidemment ton cas. Trouve un type dans ta situation, et continue de descendre avec lui.
une sorte de transcendance, que dis-je, une immanence ..
Là, il faut choisir!
( On est pas dans le boudoir de la Philosophie…)
U., vous allez devoir les prendre en main.
Les mains ça peut toujours servir quand on en a une petite…
( De réputation de blog, hein:))
Sans grand rapport,
J’avais envie de mettre en ligne un extrait d’Ibsen, La dame de la mer ou Peer Gynt,
Bon, je n’en trouve pas en ligne…
A défaut,
ceci:
Avec un Lys d’eau
Vois, mon amie, ce que j’apporte :
la fleur ailée de blanc. Portée
par les calmes courants, flottant
lourde de rêves au printemps.
Si tu veux l’emmener chez toi,
mets-la sur ton sein, mon amie,
dès lors sous sa feuille se cache
une onde profonde et calme.
Mais prends garde, enfant, au courant,
c’est dangereux, de rêver là ;
l’ondin fait mine de dormir
et les lys d’eaux jouent au-dessus.
Enfant, ton sein est le courant.
C’est dangereux de rêver là ;
les lys d’eaux jouent là, au-dessus,
l’ondin fait mine de dormir.
sacplastique dit: 28 octobre 2014 à 22 h 12 min
sacplastique dit: 28 octobre 2014 à 22 h 10 min
Interdit à Paris.
Mon roman préféré des éditions de Minuit : « Le Dictionnaire historique des rues de Paris » de Jacques Hillairet, en 2 volumes + supplément.
Oui, la classe, Simone Weil !
Les identitaires il faudra les mettre dans le formol ; évidemment cela nécessitera beaucoup de formol…
…
…un coup d’oeil,!…
…encore un remake au » chasseur à chaperon-rouge « ,!…que vous avez de belles dents,!…un scotch,!…
…vous ouvrer la brailliette,!…pour grand’mère à nous éduqué son chapeau rouge,!…
…c’est encore raide,!…quel chat-pitre en boîte,!…le fumet de la concorde,…le babel à turlupiner ses pisse-vinaigre,!…Ah,!Ah,!…
…c’est haut le mot de passe,!…etc,!…
…en braille les yeux fermées,!…les petits points aux doigts,!…la flute de pan aux oeufs la blanche symphonie,!…etc,!…
…j’arrive,!…
Sur Minuit, consulter la belle bibliographie d’Henri Vignes allant des origines à l’Anti-Œdipe,, complétée par les catalogues du meme. Ce n’est peut etre pas ma tasse de thé, mais les libraires qui suivent le flambeau de Quérard ou de Brunet valent d’etre encouragés.
Bien à vous.
Marc Court
Si l’Islam fait un Reich de mille ans, évidemment, évidemment…
Sinaï: les Egyptiens vont creuser un canal le long de la frontière avec Gaza
Les riverains de Rafah ont 48h pour quitter leurs maisons; les auteurs de l’attaque venaient de Gaza
Attends,je suis pas allé là-bas pour désimlocker
« Burntoast dit: 28 octobre 2014 à 20 h 06 min
A l’époque, d’après Godard, Truffaut n’était pas autorisé à voyager dans le temps. »
Mais WGG, lui, il a toutes les autorisations voulues.
Ah, WGG, 99% de conneries !.
A 22h 46 c’est trop tôt
« Comment une petite maison d’édition, fondée dans la clandestinité en 1942, s’est imposée comme l’un des meilleurs éditeurs français, tout en préservant jalousement son indépendance ? Curieux de mener l’enquête, le librairie Henri Vignes a réuni tous les livres publiés par les Éditions de Minuit. Avec la collaboration de Pierre Boudrot, docteur en histoire, il retrace ce parcours exemplaire sous la forme d’une bibliographie chronologique : du Silence de la mer de Vercors à L’Anti-Œdipe de Deleuze et Guattari, voici 639 livres qui jalonnent, de 1942 à 1972, les années les plus fécondes de l’éditeur. »
B comme BERLIN dit: 28 octobre 2014 à 22 h 58 min
Venant de toi, c’est un compliment !
L’écrivain israélien s’est exprimé sur le plateau d’i24news, dans un contexte de tensions dans la capitale
« Il faut définir Jérusalem comme une ville arabe et juive, et faire un compromis selon lequel la vieille ville sera sous domination des trois religions, judaïsme, islam et christianisme. Créer, à la manière du Vatican, une ville hors de la souveraineté nationale, afin de mettre fin aux conflits », a déclaré mardi soir le romancier israélien A.B Yehoshua interviewé sur le plateau d’i24news.
…
…c’est quoi,!…encore la fondue à Gaza,…sur le mont des oliviers à pizzas – gerusalem en rose-croix,!…qu’on m’explique bordel de merde de minuit,!…
…pizza judéo-chrétienne judaique de judée sur juda aux enchois israël à chats rapetouts des Stroumph -galach,!…
…saucisse à la choucroute, !…monsieur,!…avec un kirch du ballon,!…elle dit oui la poupée sur le château de sable,!…
…retourné-là,!…Ah,!Ah,!…automatique-lover’s,!…encore vert les légumes à soupe,!…
…etc,!…service aux andouilles,!…etc,!…
…
Au fait, Phil, vous êtes sûr, un seul livre de Vercors? Peut-être vous souvenez-vous seulement de Werner Von Ebrennac. Vous connaissez Mours Saint-Eusèbe ?
http://www.museedelaresistanceenligne.org/media.php?media=943&popin=true
C’est l’heure des bars. Bye.
Merci Bloom de 14.20, vous avez chronologiquement raison mais j’avais fait exprès d’éluder le premier roman officiel de Rushdie car lui-même m’a dit qu’il considérait « Les enfants de Minuit » comme son vrai premier roman tant l’autre, SF mâtinée de fantastique, était raté.
—
Entre les faits (toujours têtus) et le dit-ressenti, « straight from the horse’s mouth », on ne choisira donc pas, Passou, et c’est très bien ainsi.
Il faudra un jour que je lui écrive au père Salman, à propos de son Minuit et de son Anton, de loin les plus remarquables de sa production, et les plus importants dans ma trajectoire…Tomorrow, tomorrow…
Au réveil, comme il est merveilleux de voir s’ébattre, en dégustant un bon café serré, les gamins les plus turbulents du Collège de Pataphysique du subtil Passou !
La Cour de récréation ! Ah ! la Cour … où se disputent et se courent après, de grands enfants déjà âgés, pleins de santé, immobiles, l’œil numérique injecté de sens …
La RdL ? Une maison de santé. Le blog à Popaul le Moraliste ? La salle d’attente pour les futurs forcenés du livre. Le salon d’Avon ? L’infirmerie idéale, là où les blessés vont se jeter dans les sublimes mains de la douce Sophie qui berce et câline nos malheureux …
Dieux ! que la vie est belle, et bien faite, n’est il pas vrai ?!
La CGT coule la SNCM depuis des années comme elle démolit les entreprises qui supportent la malfaisance de ces nuls d’un autre temps.
Mais, joie ! pleurs de joie ! la CGT décore somptueusement l’appartement de son grand leader, Le Paon, lequel mérite bien son nom et ses plumes à 130.000 euros !….
Qu’est ce qu’on rigole ….
Passou dit: 28 octobre 2014 à 22 h 46 min
« Sur Minuit, consulter la belle bibliographie d’Henri Vignes allant des origines à l’Anti-Œdipe,, complétée par les catalogues du meme. Ce n’est peut etre pas ma tasse de thé, mais les libraires qui suivent le flambeau de Quérard ou de Brunet valent d’etre encouragés.
Bien à vous.
Marc Court »
Ce document, intercepté par la NSA, signifie t il que le noble Court usurperait parfois la signature d’Assouline ? Ce serait la preuve de la puissance de Satan, notre maître à tous … !
On se sent mieux après un petit jogging de 3 kilomètres : l’esprit clair, la joie au cœur, la comprenette à fond…
Par exemple, on ne peut que féliciter notre jolie gourde binationale de Ministre de l’EN, de revenir sur la circulaire Peillon et ainsi permettre aux sacs-poubelles non éclairés par les Lumières d’accompagner les sorties des gosses, donnant l’exemple de l’égalité homme-femme, prosélyte.
En pleine forme, on peut même la supplier d’autoriser les barbus de porter un nikab d’accompagnateur dans les cars d’excursion des gamins … Prospère, Yopla Boum ! C’est la chérie nationale !
En route vers Eurabia et la charia ! Vous charriez ?… et bien… peut-être que non !
Il me semble que l’on a pas beaucoup avancé dans l’épineuse question posée par Passou : y a t-il vraiment un style Minuit ou non ?
Il y a une question tout aussi capitale qui reste en suspend : les anges ont ils un sexe ?
Je dirais autant de styles Minuit que d’auteurs. Et il arrive même que des auteurs Minuit aient un autre style et un autre éditeur : Duras, N’Diaye…
Un tic Minuit, peut-être ?
Pour le sexe des anges, il conviendrait d’abord de savoir comment ils se reproduisent, JC, car cette question appelle une méthodologie.
Hier, dans l’excellente émission-portrait consacrée à Simone Weil sur France 2, Anne Sinclair affirmait : « Simone Weil, c’est la France ». Aujourd’hui, j’actualiserais son propos en disant : « Christiane Taubira, c’est la France ».
La création angélique n’a que faire de la sexualité. T’es qu’un obsédé, Jacky ! Tu nous fais honte …
( Minuit, c’est pas la moitié d’un esquimau ?)
Jacques Barozzi dit: 29 octobre 2014 à 8 h 09 min
« Christiane Taubira, c’est la France ».
Absolument ! Et Belkacem, Jehanne d’Arc …
La reproduction ne passe pas forcément par la sexualité, JC, vois le cas de la sainte Vierge où les enfants pour tous. L’obsédé, c’est toi !
Ou, pardon !
« Belkacem, Jehanne d’Arc »
Et toi dans le rôle de l’abbé Cauchon ?
ueda plaiderait que « Fleur Pellerin, c’est la France », une autre France que celle de Patrick Modiano, assurément !
Je regrette de te dire que la Sainte Vierge, c’est Joseph d’Arimathie qui l’a engrossée : la fable de l’archange est bidon ! La virginité aussi…
Ce qui explique qu’il a filé du pognon au soldat romain pour que le coup de lance ne soit pas fatal à son gamin turbulent … la résurrection s’explique, tu comprends ! les clous mous, etc, etc … les complicités romaines, la corruption … et pour finir l’exfiltration de Ieshoua, au frais de son vrai père, le riche Joseph ! ….et son installation au Liban : marchand de fruits et légumes (ah ! Leys et son Napoléon…)
Une autre France, JC :
« Pierre Lescure est un journaliste et homme d’affaires français, né à Paris le 2 juillet 1945 et élevé à Choisy-le-Roi. Petit-fils de Pierre de Lescure, cofondateur avec Vercors des Éditions de Minuit. Pierre Lescure s’oriente dans la voie de son père, François Lescure, journaliste à L’Humanité et de sa mère également journaliste dans l’organe féminin de la CGT »
Bonjour
Jacques Barozzi dit: 29 octobre 2014 à 8 h 01 min
Je dirais autant de styles Minuit que d’auteurs
Quelle petite merveille d’analyse.
A l’heure qu’il est, les messages de Widergänger, « Mort à la peste verte islamique! » (le 22/10 à à 0h46) et « lâche et Arabe » (28/10 à 0h19) sont toujours en ligne, avec la bénédiction de l’éditeur-responsable de ce site, l’honorable (?) Pierre Assouline. Ces messages rappellent étrangement les propos qu’on pouvait lire, entre 1940 et 1944, dans la presse collaborationniste — « Je suis partout » par exemple — mais dirigés alors contre les Juifs. Malodorante ressemblance. Etonnante résurrection. A quand la publication d’un recueil des perles du sieur Widergänger intitulé « Comment reconnaître l’Arabe et le Musulman », renouvelé de l’ouvrage « Comment reconnaître le Juif » du sinistre professeur Montandon, avec une préface de l’honorable Pierre Assouline ?
Vu hier soir à la télé l’émouvante évocation de la vie de Simone Veil. Elle fut (et reste) l’honneur de la communauté juive et de la France. J’en dirais autant d’un Stéphane Hessel.
Je n’en dirais pas autant du duo Widergänger/Assouline.
Au fait, ce professeur Montandon, il n’a pas très bien fini, je crois.
Oui, Veil et non Weil, pardon.
Il en faut peu pour convaincre notre président, mais ça dépend des arguments !
Hollande interpellé par deux militantes Femen : « Je vous ai compris », leur dit-il.
« Je n’en dirais pas autant du duo Widergänger/Assouline. »
Que dire, dans ces conditions dictatoriales où il FAUDRAIT juger à tout prix, de l’étrange duo Artémise/Jambrun ? …
Rions, mes frères ! Sourions à nos sœurs ….
Jacques Barozzi dit: 29 octobre 2014 à 8 h 20 min
ueda plaiderait que « Fleur Pellerin, c’est la France »
Si seulement.
« l’étrange duo Artémise/Jambrun ? »
Qui des deux engrosse l’autre ?
Seulement quoi, ueda ?
Artémise dit: 29 octobre 2014 à 8 h 30 min
Vu hier soir à la télé l’émouvante évocation de la vie de Simone Veil. Elle fut (et reste) l’honneur de la communauté juive
Elle aurait exécré ce compliment.
Si seulement la France pouvait être (partiellement) à cette image.
Jacky, t’es un obsédé…
Ce sont des jumeaux impeccables : le genre « hessellien qui s’indigne au quart de tour » !
Jacques Barozzi dit: 29 octobre 2014 à 8 h 39 min
Seulement quoi, ueda ?
Ce matin Jacky est en mode « Total Pipilet »,
vivement la prochaine séance de ciné.
« Elle aurait exécré ce compliment. »
Bien vu, ueda. Mais elle n’est pas morte, et même immortelle.
ueda dit: 29 octobre 2014 à 8 h 41 min
Elle aurait
Heu !
L’inénarrable d’Ormesson la recevant à l’Académie Française lui a déclaré : « Madame, on vous aime ! »
« la fable de l’archange est bidon ! La virginité aussi… »
C’est pas des choses à dire
Waouh ! Eric Chevillard se déchaîne ce matin sur les écrivains qui bâclent – qui s’autoproclament « bâcleurs » pour suggérer de quoi ils seraient capables « s’ils ne bâclaient pas », alors qu’évidemment, comme le dit Chevillard, ils sont en réalité « au taquet »… Avec les noms des susdits, s’il vous plaît : bravo !
Ca me rappelle l’infect Bergeret qui, pompeusement, sur son blog de petit troll à sa mémère, pond un sujet « pourquoi je n’écrirai pas », histoire de sous-entendre qu’il en serait capable – sauf qu’un détraqué comme ce cerveau-là ne sera jamais capable de l’honnêteté requise, et de la curiosité nécessaire pour mener à bien ne serait-ce qu’une tentative littéraire… Et s’il se retranche derrière la confortable position » des raisins trop verts », c’est qu’en réalité, sa pratique de troll pervers vient de l’envie de détruire ceux qui sont capables d’avoir ce courage-là !
Non seulement « l’archange » n’a pas de sexe ni même de confession bien déterminés, JC, c’est le même que les Chrétiens nomment Gabriel et les Musulmans Djibril…
l’homme moderne du vatican dit: 29 octobre 2014 à 8 h 53 min
« C’est pas des choses à dire »
Un homme ? moderne ? au Vatican ?…
C’est pas des choses à dire !
Evidemment, ces fourbes, ces farceurs musulmans ont réécrit l’Ancien et le Nouveau Testament pour faire un bon vieux syncrétisme des familles : ça leur permet de dire que Djibril, archange muslim, a fait le facteur et pas Gabriel.
Ah ! les voyous ! on les reconnaît bien là, les fourbinets…
Un homme ? moderne ? au Vatican ?…
C’est pas des choses à dire !
tu connais rien au business
l’archange » n’a pas de sexe ni même de confession bien déterminés
ça c’est la version officieuse
Enfin Clopine ! Lucien Bergeret que j’admire beaucoup, est bourré d’une potentialité littéraire ahurissante ! C’est un fait indéniable !
Rien à voir avec vos tentatives désespérantes … vous devriez bâcler un peu plus souvent votre travail papotant.
Clopine ne bâcle pas, JC, mieux, elle corrige !
Alors, c’est foutu, Jacques …
un comble ? JC ironisant sur le fourberies, lui le pratiquant, le maître
radio keupu,
en l’absence du divin Bouguereau, puis-je me permettre de vous adresser une supplique ?
« Ta gueule, raclure de keupu ! »
Revenons au sujet … Minuit.
vos tentatives désespérantes …
votre travail papotant.
vous comprenez, Clopine, JC, grand créateur et critique, s’y connait tellement! c’est domme dafnose, surtout ne pas les contrarier
Vous avez dit : » fleur de culture »?
Notre Ministre avoue crânement n’avoir pas lu Modiano, pas le temps, dit-elle.
Sa franchise est à la hauteur du plug anal de McCarthy qu’ elle accepte avec le plus grand sérieux du monde…
Voir :
« Christian Combaz réagit avec chagrin et pitié dans Le Figaro : « Quand on est chargé de la promotion de la culture française, le matin où l’on apprend que Patrick Modiano a décroché le prix Nobel, on tape son nom sur Wikipédia à l’heure du café. Dans l’ascenseur on se fait résumer Villa Triste. On demande un dossier de presse avant dix heures et demie. N’importe quel cadre commercial à qui l’on vient d’annoncer l’obtention d’un nouveau marché se rue sur les informations du tribunal de commerce. La ministre de la culture, en recevant un coup de fil de chez Gallimard, serait donc incapable de bachoter son sujet une demi-heure avant que les caméras ne débarquent? Evidemment non. Vous n’en êtes pas incapable. Vous avez seulement mieux à faire. Le contenu des livres, pour vous, c’est de l’enfantillage, du pittoresque, du secondaire. L’art pour vous, ce sont des textes de loi, des décrets, des budgets à attribuer, vous venez de l’avouer ingénument sur Canal Plus avec cette espèce de dédain navré des gens qui sont occupés de choses sérieuses, et qui répondent «si vous croyez que j’ai le temps!». »
C’est que Fleur Pellerin est dans une logique strictement comptable. «J’ai l’impression de bien faire mon travail», dit-elle sur Canal. Et assistant aux 24ème rencontres cinématographique de Dijon à la mi-octobre, n’a-t-elle pas déclaré que le rôle du gouvernement est «d’aider le public à se frayer un chemin dans la multitude des offres pour accéder aux contenus qui vont être pertinents pour lui» ? Jean-Michel Frodon s’en étrangle de rage, parce qu’il y lit « l’enterrement de l’idée même de ministère de la Culture. »
Oui, c’est foutu pour toi, JC.
Tournée des derniers twit’s de Passou :
Bel hommage roboratif de Pierre Maury à Daniel Boulanger. Eric Reinhardt disparait de la liste des goncourables. Cette saison des prix sera un petit cru. Chevillard pavoise toujours.
Ca me rappelle l’infect Bergeret qui, pompeusement, sur son blog de petit troll à sa mémère
Crotine
Bien vu, vous êtes bien la mémère à troll qui vient nous pomper en plus d’infester l’atmosphère!
de rafler deux pris Nobel (Beckett, Simon)
–
« pris Nobel » avec un « s »? Une correction s’impose, passou, sinon Chevillard va encore crier au bâclage.
Voir ce prix sous l’angle du « pris » aux autres, why not? Ach, la coquille de blog et zon rapport avec l’inconzient!
Fleur est encore en bouton ! Un peu comme tout ce gouvernement d’incompétents socialistes …
(il semble qu’elle ait été plus à l’aise, plus efficace, dans son réduit précédent)
Autre correction toujours pas corrigée par Passou : « évidement » en place d' »évidemment », Bloom !
Moi aussi, Clopine elle me pompe !
(… ne te fâche pas, mon Clopin aux gros poings-poings méchants-méchants, c’est une image ! Parlons pas de malheur ….)
Bon ! assez flânouillé… A demain, mes petits choux farcis !
Est-ce une faute professionnelle ou un acte politique de la part de Fleur Pellerin ? Un inventaire avant fermeture du ministère et du robinet ?
Les intermittents ont du souci à se faire !
« ne te fâche pas, mon Clopin aux gros poings-poings méchants-méchants, »
clopin n’est pas intervenu,
pauvre chouchou à ml tu rêves
W. semble de plus en plus vivre dans une poubelle, dont il soulève de temps a autres le couvercle, pour nous faire partager les odeurs du cloaque ou il vit.
(Je vais avoir droit a un tombereau d’éructations, hélas dénuées d’humour. L’humour semble lui être une terra incognita.)
Ce médecins réunis est con comme un boulon..
Clopine sors de corps!
Burntoast dit: 29 octobre 2014 à 10 h 31 min
Chuut, ne le dérangez pas, il dort devant son luxueux domicile!
Autre correction toujours pas corrigée par Passou : « évidement » en place d’ »évidemment », Bloom !
—
Son côté « Jack l’éventreur », Baroz; ça se loge où ça peut, l’anglophilie…
Un inventaire avant fermeture du ministère et du robinet ?
dire « modiano ça me fait chier » et c’est pas utile pour les concours ça aurait été une ligne politique..avant de fermer on discrédite..c’est ça le libéralisme..demande à rénateau..ministre du lusque du tourisme et des spectacles ?
Je vais avoir droit a un tombereau d’éructations
..désirs secrets..?
Son côté « Jack l’éventreur », Baroz; ça se loge où ça peut, l’anglophilie…
non non kabloom..the right place
con comme un boulon
l’expression décrit bien l’invertébré de pécul
Elle fut (et reste) l’honneur de la communauté juive
Elle aurait exécré ce compliment.
et en plus les linceuls n’ont même pas de poche pour mette les pots de vins..du nanan
un tombereau d’éructations
C’est la règle ici
Sa franchise est à la hauteur du plug anal de McCarthy qu’ elle accepte avec le plus grand sérieux du monde…
ma mère ! en tout cas en appeler au pêsctre de l’art dégénéré prouve que tout est cul par dessus tête..essaie de te marrer tiens
JC parti on aurait pu crier ouf ! et se dire maintenant nous voilà entre gentlemen et paf paf paf bougue-rototo ressort son bavoir que la mère de sa mère a eu du mal à nettoyer… pas de chance comme dirait JC, le saccage du blog continue
Le Général Dubouguereau ferait l’ inspection matinale des commentaires?
Je lis un peu tard ce billet juste, qui pour moi montre aussi comme en creux qui hier ne pouvait PAS être publié aux éditions de Minuit, et le pourquoi de ceux qui en sont sortis. Butor est resté fidèle à Minuit pour ses romans peu nombreux, mais « L’Emploi du temps », beau livre foisonnant, y est atypique à mon sens.
Un peu de bruit, ici comme chez Paul Edel, autour de « La Peau douce ». Je n’ai pas revu ce film qui m’avait passablement ennuyé, trouvant ternes (comme le dit Céline, si c’était voulu, c’est réussi !) les personnages joués par Jean Desailly et Françoise Dorléac. Mais Nelly Benedetti, belle actrice peu saluée à sa mort, y était excellente.
Truffaut comme « auteur » dans le cycle Doinel me fait l’effet d’un potage léger. Ce sont « Adèle H. » et « Le dernier métro » qui me paraissent ses meilleurs films. Bon souvenir aussi de « L’Homme qui aimait les femmes », à cause de Charles Denner. Les adaptations de « polars », de William Irish surtout, sont d’agréables travaux de cinéaste, avec un petit « plus » sans doute du côté des personnages féminins. Et tout de même, Belmondo chez Godard, c’est autre chose.
Jacques, Fanny Ardant porte elle aussi un imperméable dans « Vivement dimanche ».
Filippetti : 1 – Pellerin : 0
(referee Waxo Modiano / Vingt deux entrées payantes)
@ Jacques Barozzi dit:28 octobre 2014 à 10 h 19:
« Que reste t-il des mannes de Littell ? »
Jonathan Littell a écrit un très grand roman, pour l’histoire racontée et les personnages. Le style était assez mauvais, est-ce la raison pour laquelle son Œuvre est celle d’un seul roman.
J’ai lu les livres parus après Les Bienveillantes, on n’y retrouve pas l’auteur qui reçu le Prix Goncourt.
Quant à ses mannes, Jacques, Jonathan Littell est vivant et vit à Barcelone.
Sa franchise est à la hauteur du plug anal de McCarthy qu’ elle accepte avec le plus grand sérieux du monde…
—
son bâton de…
trop nul, je sors…
Vous avez aimé « La nuit des morts-vivants » de George Romero ? Vous allez adorer « le Blog des morts-vivants » de Paul Edel.
Martial JC est toujours là
Merci pour le touite signalant le texte envoyé par Alain Badiou à Laurent Joffrin dans Libé.
Il s’y dit des choses (parfois choquantes) qui mériteraient bien des commentaires…
Mais ce touite est déjà recouvert par d’autres, et tant que le soleil n’est pas tombé restons dans le sujet.
Dans la série « Les crétins du jour » nous aurons une pensée émue pour Madame Trouillefou, qui adooooore le parisianisme de Chevillard, et ridicule Momus qui pense, comme son idole Sarko, que s’inventer une belle histoire avec deux fiches préparées par un énarque encore boutonneux est le summum de la politique.
Belle journée à eux deux.
11:49, le saccage du blog continue
Après la querelle des anciens et des modernes, voici celle des esthétiques (Godard) et des émotifs (Truffaut) !
Ne peut-on être intelligent avec sensibilité ?
C.P., dans une précédente note, je remarquais qu’à plus de 20 ans d’écart, Marie Dubois (« Tirez sur la pianiste ») portait la même gabardine que Fanny Ardant (« Vivement dimanche »). Et voilà que se rajoute Nelly Benedetti (« La peau douce »). Il doit y en avoir d’autres. Peut-être Jacqueline Bisset dans « La nuit américaine » ? Un tropisme érotique truffaldien !
Personnellement, j’aime beaucoup « L’enfant sauvage », à cause sans doute de la surdité du professeur joué par Truffaut himself ?
le « devoir d’insoumission » rappelé dans l’article n’empêcha pas la gâteuse Aragon de faire ici la pluie et le beau temps, de manière parfois choquante…
Assez d’accord avec vous CP
Quant au Dictionnaire des Rues de Paris,méfiez-vous en, Jacques Barozzi, je sais de source sure qu’il est truffé d’erreurs. Il a meme été question de le refaire!
Bien à vous.
MC.
s’inventer une belle histoire avec deux fiches préparées par un énarque encore boutonneux est le summum de la politique. 29 octobre 2014 à 11 h 49 min
Fêtons-les se grise avec du gros rouge qui tache.
A la politique culturelle des idéologues rusés a succédé celle des technocrates cyniques et propres sur eux;
Le degré Fahrenheit 451 serait-il atteint?
Autrement dit, de la Princesse de Clèves à Patrick Modiano la boucle serait-elle bouclée?
ne manque plus que bougue-rototo pour ouvrir son imper devant les petites filles du blog, oups !
Oui, Court, beaucoup d’erreurs, mais un ouvrage de référence incontournable !
Une des plus belles scènes de « Baisers volés » : l’érotisme de la robe gabardine et de l’escarpin channel !
http://www.dailymotion.com/video/xipcka_quand-antoine-doinel-rencontre-fabienne-tabard_shortfilms
Momus dit: 29 octobre 2014 à 12 h 20 min
Pour Momus la culture s’épanouissait aux bons temps de Toubon et Douste-Blazy,
vous dire s’il est branché.
Jacques, je n’avais pas vu que vous signaliez déjà Fanny Ardant porteuse d’imperméable dans « Vivement dimanche ». Tropisme érotique ? Vous mettez sur une fille l’imper de Bogart, et en effet…
Mais oui ! « Pierrot le fou » est aussi émouvant qu’intelligent, pour moi en tout cas. Et le délire de Raymond Devos y est quelque chose !
Fêtons-les,
C’est vous qui êtes branché comme un lampion dérisoire, un ministre de la culture, une exception française qui bringuebale au vent comme votre branchitude d’ ailleurs.
Pour un art singulier, certes oui, mais cela doit de toute évidence griller votre ampoule!
Je ne serais jamais branché, avez-vous bien compris, court-jus?
C.P., Godard, de belles images et trop de parlottes, parfois ça fait sens, mais le plus souvent c’est insupportablement bavard ! Imaginez un film sur les commentaires de ML !!!
Et sur ce tourniquet de Barozzi qui brasse du vent!
Vous mettez sur une fille l’imper de Bogart, et en effet…
Lauren n’en avait pas ?
(baroz dites-moi si quelqu’un a déjà parlé de sa bite ce matin, pas le courage de tout lire..)
(pas de celle de Lauren, je préfère pas..)
Le degré Fahrenheit 451 serait-il atteint?
le papelard comme l’hotesse de l’air c’est pus ce que c’était
Tropisme érotique ? Vous mettez sur une fille l’imper de Bogart, et en effet…
c’est du hard qu’elle veut céline
http://www.quizz.biz/uploads/quizz/669615/2_0j464.jpg
Je ne serais jamais branché, avez-vous bien compris, court-jus?
bien cotché tu saurais te tenir..mo ti vé!
Le problème de Momus comme son pseudo l’indique est qu’il en est resté à Aristophane, ce qui n’est pas en soi une absurdité mais qui limite fortement sa capacité à percevoir le monde actuel.
Plus vieux schnock que satirique.
evidemment ya le trenchcoat du capo di touti capi..derrick himself baroz..manque la plaque en fonte avec laigle a deux tête que j’ai rachetée pour ma cheminée..dailleurs tranch coat baroz..c’est d’actualité..le manteau des tranchées..femme femme femme..
qu’il en est resté à Aristophane
Relisez Sade, c’est branché, pâle lumière de la fête que vous êtes!
…Ou Cassandre!
A ce soir.
Décidément, les imperméables… J’ai réouvert, à cause du billet, « L’Emploi du temps ». Dès la deuxième page : « Je revois tout cela très clairement, l’instant où je me suis levé, celui où j’ai effacé avec mes mains les plis de mon imperméable alors couleur de sable. »
L’imperméable va revenir mainte fois. Il faut dire qu’il pleut beaucoup à Bleston…
Mais ça ferait un excellent film de merde, représentant bien son époque.
L’Emploi du temps, j’ai trouvé ça très ennuyeux.
Vercors est vraiment l’homme d’un seul livre, Viedesbois. Le reste, peu lu (nombre de volumes non-massicotés empoussiérés dans les rayonnages de libraires d’occasion. Werner von Ebrennac, Jünger particulé, tout pour réussir en France (pas celle d’aujourd’hui, of course).
Baroz, Lescure qui finit dans le commerce de Canalplus ? Pas vraiment les voix/es du père.
Hier, sur France 2, une très belle illustration entre paroles futiles et paroles utiles, sur laquelle les scénaristes devraient méditer.
La scène montre Simone Veil, ministre de la Santé, posant la première pierre d’un futur hôpital.
Le préfet (l’air étonné et la voix suave) :
– Quelle dextérité dans l’art de manier la truelle, Madame le Ministre !
Simone Veil (d’un ton cassant) :
– Et oui, c’était mon métier dans les camps.
Le préfet :
– …
Jacques, les gabardines siéent particulièrement aux femmes élancées, à la taille marquée, pour plusieurs raisons :
elles peuvent relever le col de la gabardine autour de leur tête, (un peu comme Anouk Aimée le fait du col de son manteau dans « un homme et une femme ») ce qui est un joli geste de protection et laisse donc entrevoir une faiblesse
elles peuvent serrer la ceinture de la gabardine, ce qui met en valeur leur taille fine
elles féminisent un habit primitivement masculin, ce qui est toujours sexy (songez aux actrices commençant à porter les pantalons et les smokings…)
Et, de nos jours, justement à cause de la présence des gabardines dans le cinéma d’après-guerre, c’est furieusement « vintage ».
Mais toutes les morphologies, loin de là,ne sont pas adapées aux gabardines : les actrices trop pulpeuses ne peuvent les porter qu’au risque de la vulgarité. Seuls de petits seins, de plus haut placés, peuvent convenir.
Il est donc normal que ce soient les actrices longilignes qui les portent le plus. Voilà, êtes-vous satisfait de mon explication ? (je vous dirai plus tard d’où elle me provient !)
Mais Pierre Lescure vient d’être nommé président du Festival de Cannes, en remplacement de Gilles Jacob, Phil.
Oui, Clopine, outre que ça avantage les femmes que vous dites, ça leur confère aussi une sorte de prestige de l’uniforme (policier, détective privé) : une dépouille masculine dont elles se parent et qui en excite visiblement plus d’un !
Une autre muse truffaldienne
http://images.search.yahoo.com/images/view;_ylt=AwrB8pNX5VBUVRMA6yWJzbkF;_ylu=X3oDMTIzMHJ2cW5xBHNlYwNzcgRzbGsDaW1nBG9pZAM0ODViZGM2YmU2MDk0YTliMGVkYTUyY2UwY2JmMDcwZgRncG9zAzMwBGl0A2Jpbmc-?back=http%3A%2F%2Fimages.search.yahoo.com%2Fsearch%2Fimages%3Fp%3Dcatherine%2Bdeneuve%2Bparapluie%2Bde%2Bcherbourg%26fr%3Daaplw%26fr2%3Dpiv-web%26tab%3Dorganic%26ri%3D30&w=534&h=429&imgurl=s1.lemde.fr%2Fimage%2F2012%2F05%2F17%2F534x0%2F1702786_5_1601_les-parapluies-de-cherbourg-de-jacques-demy_f1c70754a3bc6fe4d3a9427013629562.jpg&rurl=http%3A%2F%2Fwww.lemonde.fr%2Fstyle%2Farticle%2F2012%2F05%2F18%2Fla-panoplie-de-deneuve-incarnation-de-l-ideal-feminin_1702787_1575563.html&size=36.0KB&name=Les+%3Cb%3EParapluies%3C%2Fb%3E+%3Cb%3Ede%3C%2Fb%3E+%3Cb%3ECherbourg%3C%2Fb%3E%26quot%3B+%3Cb%3Ede%3C%2Fb%3E+Jacques+Demy+%281964%29+avec+Nino+…&p=catherine+deneuve+parapluies+des+cherbourg&oid=485bdc6be6094a9b0eda52ce0cbf070f&fr2=piv-web&fr=aaplw&rw=catherine+deneuve+parapluies+des+cherbourg&tt=Les+%3Cb%3EParapluies%3C%2Fb%3E+%3Cb%3Ede%3C%2Fb%3E+%3Cb%3ECherbourg%3C%2Fb%3E%26quot%3B+%3Cb%3Ede%3C%2Fb%3E+Jacques+Demy+%281964%29+avec+Nino+…&b=0&ni=21&no=30&ts=&tab=organic&sigr=13pr8cmas&sigb=13ul8vahh&sigi=1428gjml6&sigt=132208e07&sign=132208e07&.crumb=QLM93X0Talr&fr=aaplw&fr2=piv-web
Le style de Truffaut, les filles de bonnes familles, genre anglaises des deux continents.
http://4.bp.blogspot.com/-5s0FpoxR6P8/Tb8xRzNPyzI/AAAAAAAAAU8/XuBJePs6Hi8/s1600/truffaut-directing-jacqueline-bisset-in-la-nuit-americaine.jpg
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