de Pierre Assouline

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La République des livres
Y a-t-il vraiment un « style Minuit » ?

Y a-t-il vraiment un « style Minuit » ?

Et dire qu’il y en a pour s’imaginer qu’un écrivain change de style en changeant d’éditeur ! Ou que, à tout le moins, son œuvre franchit une nouvelle étape après une rupture à laquelle quelques éditeurs, plusieurs critiques et certains universitaires accorderaient volontiers le statut d’épistémologique. D’aucuns ont voulu croire que celle de Simenon avait connu autant de périodes que celle de Picasso, ses éditeurs lui accordant sa couleur : la période Fayard, la période Gallimard et la période Presses de la Cité. Ce qui ne résistait pas à l’examen. Et pourtant, il arrive que des maisons d’édition de petite taille impriment un certain caractère aux livres de leurs auteurs. Ce n’est pas qu’une question de livrée commune car la plupart des autres maisons se distinguent par une couverture unique.

Le fait est que le phénomène est impossible chez les moyennes et les grandes tant leur catalogue est vaste ; la Nouvelle revue française des premiers temps, celle de ses pères fondateurs, était animée d’un tel esprit qui les réunissait derrière un même drapeau, mais il s’étiola à mesure que le comptoir d’édition se métamorphosait en une entreprise sous le nom de Gallimard. Aujourd’hui, quelques petits éditeurs, donc, jouissent de cette particularité : Pol, Verdier, Verticales, Le Dilettante, Allia, Fata Morgana, José Corti, l’Arbre vengeur… Sans oublier la première d’entre elles, celle dont le capital symbolique est le plus fort, et l’identité la plus puissante : les éditions de Minuit.

Fondées par Pierre de Lescure et Jean Bruller dit Vercors en pleine clandestinité dans la France sous la botte allemande, refondées en quelque sorte par Jérôme Lindon lorsqu’il en prit la direction en 1948, elles ont toujours maintenu un « devoir d’insoumission », pour reprendre l’expression si juste de leur historienne Anne Simonin. Un ouvrage collectif, dirigé par Michel Bertrand, Karine Germoni et Annick Jauer, y revient en détail en posant frontalement la question dans son titre : Existe-t-il un style Minuit ? (270 pages, 24 euros, Presses Universitaires de Provence). Poser la question, c’est déjà (presque) y répondre. C’est bien qu’il y a quelque chose de commun entre les auteurs réunis sous cette couverture blanche à liseré bleu, sobre, discrète, économe, comme l’était Jérôme Lindon et, à sa suite depuis 2001, sa fille Irène Lindon.

Comment qualifier le phénomène à défaut de le cerner : une école ? Sûrement pas, et puis il ne saurait y avoir de disciple là où il n’y a pas de maître. Un mouvement ? Pas vraiment car nul n’a jamais manifesté une volonté d’entraînement ou de regroupement. Une tendance ? Ce serait bien le moins. Une fibre ? Trop abstrait. Une sensibilité ? Il y a de cela. J’en tiens plutôt pour une famille d’esprit, ce qui a l’avantage d’être informel, peu contraignant et de respecter les individualités ; le patron a eu en tout cas assez de finesse pour, mine de rien, entretenir un esprit de famille en les poussant à se lire mutuellement par l’envoi régulier des nouveaux livres des uns aux autres. Les experts réunis autour de l’hypothétique « style Minuit » (quel risque…) permettent d’en mieux cerner la généalogie, les contours, les traits marquants.auteursI

Il faut d’abord préciser que tout auteur Minuit s’inscrit dans une histoire en entrant, en principe pour un certain temps, dans ce prestigieux catalogue. Elle se déroule en  temps : la Résistance (Vercors), le Nouveau Roman (Alain Robbe-Grillet), la guerre d’Algérie (Henri Alleg), l’enthousiasme pour les sciences sociales (Pierre Bourdieu) et un certain renouveau romanesque (Jean Echenoz). Et en tous temps et toutes circonstances, la revendication d’une l’écriture exigeante qui voulait se répercuter également en politique dans les engagements et les prises de position, ce qui entraîna nombre de procès et de condamnations.

La parution de Molloy (1951) marqua un tournant littéraire bien que le deuxième roman de Samuel Beckett fut un échec commercial. C’est peut-être une vision rétroactive due non à son écrasante notoriété mais à son incontestable empire sur les consciences de nombre de jeunes écrivains en devenir. On ne le dit pas assez : souvent l’auteur d’un premier roman adresse en priorité son tapuscrit à son éditeur de référence, celui qui publie l’auteur qu’il admire. Or s’il est bien un point commun entre ceux que plusieurs contributeurs de ce recueil appellent « les enfants de Minuit » (personnellement, cela me rappelle trop le premier roman de Salman Rushdie, ce qui n’a rien à voir), c’est bien leur enthousiasme jamais démenti pour l’œuvre, et leur filiation revendiquée avec son esprit. Beckett demeure le père tutélaire, consciemment ou pas. Il y a des échos de Molloy dans La salle de bain. Ce qui n’empêche pas un Tanguy Viel de s’être dirigé vers Minuit après avoir lu Mentir (1977) d’Eugène Savitzkaya.

Et à part Beckett ? Claude Simon plutôt que Robbe-Grillet. Et Michel Butor ? Disons que son absence sur la photo historique des « nouveaux romanciers » par Mario Dondero en 1959 rue Bernard-Palissy, devant la façade de la maison d’édition installée dans des murs qui furent avant elle un bordel, cette absence n’est pas fortuite ; on a dit alors qu’il était en retard, mais on a depuis rectifié le tir en estimant que c’était un acte manqué : il ne voulait pas en être. Quoi d’autre en commun à part d’intimidantes et hautes figures ? Le sentiment, sinon la conviction, de faire partie de « ceux qui n’écrivent pas « comme il faut » », ce qui n’empêchait le beckettien Christian Gailly de revendiquer une forme de classicisme : ils jouent sur la ponctuation, avec le point notamment, qui surgit souvent là où on ne l’attend pas ; leur parole se veut tâtonnante, incertaine, mouvante de manière à susciter des interprétations équivoques ; il y a quelque chose de désinvolte dans leur prose pourtant résolument fidèle à « la puissance vive de la narration « . Le critique littéraire Jacques-Pierre Amette, du temps qu’il officiait au Point, les présentait comme les servants de « la sainte-chapelle des éditions de Minuit » aux antipodes des « éditions camelotes ». Il est vrai que le phénomène, s’il n’a tout de même pas partie liée avec le sacré, n’en offre pas moins un aspect religieux, parfois sectaire.

Mais comment qualifier ce fameux style dont les détracteurs ont beau jeu de se moquer (Patrick Besson) tant il peut se prêter aisément au pastiche (Patrick Rambaud) ? Disons plus formaliste que minimaliste, à quoi on a souvent eu tendance à la réduire en raison d’une dite écriture blanche. Elle n’en est pas moins constitutive de leur air de famille. L’exigence d’une certaine exigence, on l’a vu, est partie prenante jusqu’au stéréotype, quitte à ce qu’elle devienne synonyme d’élitisme et d’hermétisme ; le refus de la psychologie traditionnelle et du romanesque de convention ; une certaine ironie ; l’élégance assez janséniste de l’emballage n’est pas étrangère à cette réputation, héritée de la douce mais inflexible raideur de Jérôme Lindon. Toutes choses qui constituent un chapelet de parentés, sinon d’affinités. A la fin du volume, Isabelle Bernard raconte l’expérience qu’elle a tenté lors d’un cycle de cours à l’université d’Amman. Que reste-t-il du « style Minuit » lorsqu’il est enseigné à des étudiants jordaniens en littérature française ?

« La peinture d’être à l’identité problématique dans un quotidien sans effet et avec peu de référents spatio-temporels ou historiques et (…) la volonté d’écrire sans emphase mais avec une certaine dose d’humour » ! CQFD

Il n’ y pas si longtemps, ils s’appelaient encore Jean Rouaud, Marie Ndiaye, Patrick Deville… Aujourd’hui, ils ont nom Eric Chevillard, Jean-Philippe Toussaint, Yves Ravey, Christian Oster, Marie Redonnet, Laurent Mauvignier, Eric Laurrent, Tanguy Viel, Julia Deck… (on peut lire ici la thèse de doctorat que Mathilde Bonazzi leur a consacré). Mais il faut chercher leur bréviaire du côté de L’ère du soupçon de Nathalie Sarraute plutôt que chez le Robbe-Grillet de Pour un nouveau roman. Ils ont conservé de beaux restes des principes du Nouveau roman : déconstruction, effacement, épuisement, disparition, évidemment. Comme si ils avaient hérité de leurs aînés la vocation d’inquiéter le roman. Ce qui n’a pas empêché la maison de rafler deux pris Nobel (Beckett, Simon), trois prix Goncourt (L’Amant, Les Champs d’honneur, Je m’en vais), sept prix Médicis, un prix Renaudot, trois prix Femina, deux prix du Livre Inter, un prix des libraires… Pas mal pour une avant-garde que son succès menace d’une institutionnalisation qui pourrait un jour la ramener à l’arrière-garde.

Un seul léger regret à l’issue de cette féconde exploration au sein d’une des plus excitantes aventures littéraires du demi-siècle échu, une affreuse expression qui revient dans la plupart des contributions : le « roman minuitard ». Et ça, cela donne vraiment envie de se faire publier plutôt aux éditions de minuit et demi.

(« Les auteurs de Minuit photographiés par Mario Dondero en 1959 » )

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 355 Réponses pour Y a-t-il vraiment un « style Minuit » ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Picasso un homme à femmes, je ne crois pas,!…

…des années sur un chevalet, la faiblèsse d’aller au plus court,!…vite, vite, à l’emporte-pièce,!…

…avec, d’autre dans le besoin,!…à lorgner sur les os, de prostitués,!…quelle gloire,!…à mourir de rire,!…dirait’il,!…

…comme de la réputation des  » lapidaire  » incestueux,!…y a des métiers dangereux pour la morale,!…déjà tout les présidents, ou tout les souverains dans l’histoire,!…
…ne serait ce que, sous Napoléon III,!…les danseuses à Degas,!…
…savoir ne pas mélanger les pinceaux,!…
…au miroir sans teint,!…etc,!…
…Ah,!Ah,!…y a pas photos,!…Go,!…

Voyons dit: à

The Rock wood legend.

Jacques Barozzi dit: à

On peut avoir de sain(t)es colères, ML, sur le modèle du dies irae, mais l’amour n’a rien à voir avec la haine. Quel serait ce Dieu qui haïrait l’humanité qu’il aurait créée, sous prétexte qu’elle lui aurait désobéit ? L’injustice qui vous aurait été faite, vous la cultivez avec trop de délectation pour être vraie : elle est en vous et ne vient pas de l’extérieur. Vous devriez commencer par faire la paix avec vos frères et nous oublier un peu. Je ne sais pas pourquoi, mais dans votre jolie fable de l’araignée et de la fourmi ailée, je vous vois avec de grosses pattes et moins plus aérien, mais jamais méchant malgré mon dard.
Il m’a été donné dans mon enfance cannoise de croiser le regard de Picasso, un long moment : rien d’effrayant, mais tout au contraire, un appel au secours et à l’amour. L’oeil de dieu ou du diable ? Inoubliable, saisissant !

JC..... dit: à

J’ignore s’il y a un « style Minuit » et j’avoue que cela ne me préoccupe guère…

Par contre, il y a un « style Minuistre », en particulier chez les conseillers ministériels en place dans le gouvernement Valls.

René Dosière, rapporteur PS, nous informe que la rémunération la plus élevée se trouve au ministère de la Culture, là où un conseiller de Fleur Pellerin gagne 13 744 euros par mois !

A ce prix, le bougre aurait pu fournir une liste de la production modianesque à notre chère Fleur … hé bien, non ! Pas le temps …. Elle a fait un bide !

Depuis, elle tente de laver la tache indélébile comme chez le Grand William.

Ailleurs, ça ne vole* pas loin : l’Intérieur (12 987 euros), la Décentralisation (12 680 euros), le Redressement productif (12 369 euros), l’Enseignement supérieur (12 222 euros).

Au final, on jouit de 450 conseillers environ… de 32 ministres… Gaudeamus ! la France est bien gouvernée.

*voler n’est peut être pas le mot convenable pour cette escadrille…

D. dit: à

Je suis aux sciences, ce que Widerwichser est à la création littéraire

JC..... dit: à

Je suis à Dédé ce que Frédéric Dard est à Martin Heidegger.

renato dit: à

Tiens! il n’y aurait pas de différence entre le « mépris » et la « haine »? ça alors!

fons dit: à

C’est le deuxième jour que j’aime bien lire comment vous réveillez la rdl, après des nuits assez calmes, où même les Türvorsteher les plus féroces ont sû trouver un sommeil bien mérité. Hier c’était votre cour d’enfants vers 7 heures, que j’aimais bien.Des gosses assez bruyants ne remarquant pas quand tout en jouant leurs jeux assez sauvages qu’au nom d’une liberté d’expression excessive ils dépassent des limites qui font mal à d’autres gosses qui ne diffèrent que pas d’autres origines, d’autres dieux etc. La guerre des boutons quoi. C’est quand même dommage que die Anderen doivent se dire « si j’aurais su, j’aurais po v’nu »

Aujourd’hui vous me faites cliquer par la presse pour voir ce qui est arrivé à votre dame la ministre. Ahhh, si jamais les Türvorsteher de la rdl avaient laissé libre passage à la dame, elle aurait sû impressioner lors de son interview avec « j’ai constaté que le 42 rue de l’Arcade n’existe pas/plus » ou avec « tout près il y a un cimetière mystérieu dont même monsieur Barozzi, assez spécialiste en matière, n’aime pas parler ». En tout cas moi petit lecteur je me sens un peu consolé et je chante avec notre ami Jacques ‘non F, t’es pas tout seul, t’es pas tout seul, …’ à ignorer Modiano jusqu’à l’annoncement du Nobel.

Good day from London. I still haven’t met Mr. Abdel.

fons dit: à

Mon dernier post était supposé de commencer avec:

Cher JC, c’est le deuxième jour etc etc

Artémise dit: à

Un jour, sur ma terrasse, j’ai assisté à un combat de titan entre une araignée et une fourmi volante. (Widergänger)

Ce que raconte là Widergänger m’a beaucoup touchée car cela a fait resurgir en moi un douloureux souvenir d’enfance, sauf que, dans mon cas, il s’agissait d’un pou. J’avais cinq ans, nous habitions Jérusalem, et mon papa, militant connu de l’extrême-droite israélienne, venait de se faire dessouder par un Palestinien pour avoir crié « Mort à la peste verte islamique ! » dans la mosquée d’Omar. Ma mère, rendue presque folle par la,douleur, avait entrepris de me consoler le soir, en me chantant une comptine qui disait :

 » Un pou errant à l’aventure
Rencontra chemin faisant
Chemin faisant
Une araignée bon enfant
Elle était toute menue
Elle vendait du verre pilé
Pour s’ach’ter des p’tits souliers
Là tu là tu m’emmerdes
Là tu là tu m’fais chier
Tu nous fais chier
Tu nous emmerdes
Tu nous emmerdes
Tu nous fais chier …

Là-dessus, elle me balançait des claques, mais de ces rafales de claques ! C’est bien simple, j’en suis restée sourde d’une oreille et muette de l’autre. Comme si j’y pouvais quelque chose, moi, si mon géniteur s’était fait transformer en passoire. Après tout, ce con l’avait bien cherché. Si encore il s’en était allé crier ses insanités chez Assouline, ça aurait pu passer à peu près inaperçu mais à la mosquée d’Omar…

Puis elle enchaînait, en hurlant à réveiller le Messie dans son Saint-Sépulcre :

Et l’on entend dans les champs
Se masturber les éléphants
Et l’on entend dans les prés
Se branler les chimpanzés

Chanter ça à une enfant de cinq ans, vous vous rendez compte. mais justement elle ne se rendait plus bien compte. L’égarement de la douleur, comme chez Duras. Et elle continuait :

Et l’on entend sous les ormeaux
Battre la merde à coups de marteau
Et l’on entend dans les plumards
Battre le foutre à coups de braquemart

Non non non non ton papa n’est pas mort
Non non non non ton papa n’est pas mort
Car il bande encore
Car il bande encore

Mais moi, j’avais beau n’avoir que cinq ans, je savais bien que mon papa ne banderait plus. Plus jamais !

C’est pourquoi, comme Widergänger, j’ai, à cause de mes rapports conflictuels avec ma mère, des problèmes avec les autres, en plus de mes problèmes d’oreilles.

bérénice dit: à

Artémise bien que dotée d’une sacrée sorcière de mère on peut conclure à votre précocité ou à la grande liberté d’esprit de vos éducateurs qui pour que vous puissiez mener à bien vos spéculations imaginatives avaient du mettre à disposition un matériel éducatif avant-gardiste compte tenu de votre grand-âge et de cette espèce d’épure qui circulait sur les deux ou trois chaînes télévisuelles d’alors.

bérénice dit: à

Renato le mépris sait garder le silence alors que la haine finit souvent par sortir de son habitacle pour conduire à l’action, variable allant du verbe à la mort infligée. Quoique la haine puisse aussi consister en une absence de mouvement salvateur.

Lucien Bergeret..... dit: à

Je suis à Clopine ce que Vlad l’Empaleur est à Mère Térésa…

C.P. dit: à

Artémise, je vous ai répondu hier soir, tard. Rien d’immortel, mais d’abord, oui, dans « L’Education sentimentale » une égale stupeur devant l’événement, mêlée d’une égale compassion devant l’ironie de l’Histoire, à l’occasion de la répression en juin 1848 COMME à l’occasion de la mort de Dussardier, tant Flaubert est supérieur à ses propres penchants. Il devient alors proprement un « Idiot », au meilleur sens du terme, me comprenez-vous ?

bérénice dit: à

JB et bien en monnaie d’échange soit des roupies de sansonnet je vous dirai que j’ai visité le dit musée qui lui est dédié avant sa réfection il y donc fort longtemps et par conséquent je visiterais avec grand plaisir ses nouveaux agencements.

JC..... dit: à

Résumons
– JC est un salopard
– Docteur Lanusse n’est pas un salopard

So what ? ça ne change rin de rin, ma fiote ! tu restes petit, tout petit …

ueda dit: à

Le pompon pour Artémise!

abdelkader dit: à

Fons,
Désolé, je ne savais pas que vous cherchiez a me rencontrer…je serais devant la station de métro Baker Street, a cote de la statue de Sherlock Holmes ce soir a 20h…j’aurais le livre de Kamel Daoud a la main, couverture jaune….a bientôt

bérénice dit: à

D les hommes à femmes les séducteurs rendent les femmes malheureuses, ces dernières sont d’ailleurs masochistes mais comme aimantées par ces chasseurs cueilleurs elles ne savent leur résister et pour quelques heures de stratosphère sont prêtes à souffrir des mois et des années pour les plus vulnérables d’entre-elles, le mieux pour ne pas défaillir résulterait d’une prise de distance légèrement rafraichie et réfléchie qui viserait à réduire l’attraction afin de garder la tête froide, le corps isotherme et le cœur léger, ceci dans un but de préservation de l’espèce et de l’espace vital nécessaire à la libre circulation des différents objets occupant l’âme et enrichissant l’esprit.

JC..... dit: à

Un homme à femmes ? Une femme à hommes ?

A la lecture, Bérénice, le « son » n’est pas le même dans la seconde interrogation, et ça … ça en dit long sur le machisme latent de notre société libérale.

la vie dans les bois dit: à

Entonner des paillardes à 5 ans, c’est faire preuve d’un esprit précoce, c’est là où il faut s’incliner devant l’indéniable supériorité des grands de l’école, comme ceux des grandes écoles. J’ai entendu un truc à la radio ce matin, alors que maudissais le miroir de la salle de bains qui réfléchissait mal, je ne sais pas ce que madame Arafat en aurait pensé, il s’agit d’un photo-reportage de journaliste qui revient de Gaza, je n’ai peut-être pas tout bien compris le titre, mais c’est un truc comme ça: ma chambre à Gaza, souvenirs d’enfance sur le tas de ruines de ma maison détruite.
Si je trouve le lien, je vous le donnerai, mais là je dois quitter.

Un nain, comblé..... dit: à

Artémise est une femme à gnomes.

bouguereau dit: à

à alouine béré mets son gode au congélo..elle a l’impression d’ête visitée par un incube

bérénice dit: à

Abdel vous acquittez-vous en don de 10% de votre revenu à votre église ( je ne trouve pas le vocabulaire adéquat) comme il est d’usage dans votre confession?

JC..... dit: à

« ma chambre à Gaza, souvenirs d’enfance sur le tas de ruines de ma maison détruite. Si je trouve le lien, je vous le donnerai »

N’en faites rien Djedla ! Nous allons tous pleurer à chaudes larmes sur la tragédie que vivent ces adeptes du Hamas, enfermés dans la chambre à Gaz ah !, à cause de la méchanceté juive bien connue …

Widergänger dit: à

Barozzi, mêlez-vous de ce qui vous regarde. Vous ne connaissez rien à la réalité de ma vie. Vous n’êtes qu’une petite peste.

bérénice dit: à

bouguereau je garde bonne confiance en notre nature quoique notre culture rivalise en inventions et fasse pousser comme des champignons des shop excitants que je n’ai d’ailleurs pas encore consenti à visiter, vous penserez catalogue… Je ne vote pas par correspondance non plus pour les produits de consommation courante.

la vie dans les bois dit: à

C’est dommage que je ne pourrai pas non plus faire un saut de puce de 20H à London.

bouguereau dit: à

À un moment je vois l’incroyable arriver : l’araignée, la grosse araignée s’écroule, la minuscule fourmi retire son dard et prend son vol au-dessus de l’araignée pour contempler son triomphe. Puis elle s’envola définitivement tandis que j’écrasait le cadavre de l’araignée sous ma semelle

..laisse béton la litterat’hur..yavé y veut que tu sois magaka drac’hül..tu te fais brider les noeils comme carlos gohns..t’as toujours une bonbonne de gaz sarin sur toi..tu sodomises zouzou!
http://www.youtube.com/watch?v=MBg92pQnYUI

Court dit: à

Picasso monstre de culture dans sa lecture des autres collègues? Quelqu’un qui a bien traduit ça, c’est Malraux in La Tete d’obsidienne.

Il me parait d’un bon sens élémentaire de partir d’une lecture naive pour arriver à une lecture savante, laquelle s’obtient en partie par l’explication du texte. Peut etre plus « du » que « de ». Mais chicaner ML là dessus est idiot.
Bien à vous.
MC

Jacques Barozzi dit: à

Il n’était pas anecdotique de mentionner les cinéastes de la Nouvelle Vague dans cette note sur le Nouveau Roman, quoique j’ai peut-être un peu trop lourdement insisté à propos des femmes en gabardine.
Ce qui a surtout fédéré l’un et l’autre de ces « mouvements » (plutôt qu’écoles) c’est leur rejet, pour les premiers, du cinéma de carton-pâte d’antan, et du roman traditionnel, pour les seconds.
Là aussi, ont ne peut pas parler d’un style commun entre Godard, Truffaut, Chabrol, Rohmer ou Rivette, ainsi qu’on a pu le constater dans ces commentaires. Tout au plus d’un air de famille, comme le dit si bien Passou pour les auteurs des éditions de Minuit, structurées essentiellement autour de l’héritage du Nouveau Roman.
En ce XXIe siècle qui s’affirme, il semble désormais que plus rien ne puisse rassembler des individualités créatrices par trop éclatées dans notre paysage culturel français ?

bérénice dit: à

LVDLB 9h33 je n’ai pas bien saisi le but et le sens de votre communiqué auquel dans une première lecture je n’adhère pas mais sûrement s’agit-il d’un niveau second qui échappe au grand nombre qui forcément tombe d’accord avec l’idée génocidaire.

JC..... dit: à

Résumons
– Paul Edel : « Pierre Assouline pose une excellente question sur son blog RdL »
– Pierre Assouline : « Pour l’écriture blanche Minuit chez Paul Edel, suivez ce lien »

Le premier qui dit « copains comme cochons » reçoit ma main islamique sur la gueule…

bouguereau dit: à

Picasso monstre de culture dans sa lecture des autres collègues?

il était interdit d’atelier de beaucoup de peintre.. »lecture » est quand même un mot désastreux

Lucien Bergeret dit: à

Le commentaire « Lucien Bergeret….. dit: 30 octobre 2014 à 9 h 03 min » n’est pas de moi.
Je préfère le préciser.

bouguereau dit: à

Le premier qui dit « copains comme cochons » reçoit ma main islamique sur la gueule…

qui fait le cul qui fait la chemise..c’est quantique

à minuit, les gabardines sont grises dit: à

Bérénice la Ménie Grégoire du blog?

Les femmes en gabardine, Baroz, sont-elles toutes des gorgandines?

bouguereau dit: à

d’autant que vlad c’est le nom de l’ane du poitoux à clopine..

à minuit, les gabardines sont grises dit: à

Gourgandines…!

JC..... dit: à

Mais…. alors…. Lucien…. qui cela pourrait-il être …uhuhu !?

bérénice dit: à

Bérénice la Ménie Grégoire du blog?

Ménie Grégoire répondait aux histoires de cœur aux problématiques sexuelles libérait la parole levait l’inhibition, ce qui est fait n’est plus à faire, nous sommes maintenant aussi libres que l’eau qui ruisselle sur la roche.

JC..... dit: à

Bérénice, malgré une expression déstructurée, est un enchantement à côté de la Méduse Normande Egocentrée !

eau minérale dit: à

, nous sommes maintenant aussi libres que l’eau qui ruisselle sur la roche.

Heureux les libérés du gland?

fontaine je ne boirais ... dit: à

nous sommes maintenant aussi libres que l’eau qui ruisselle sur la roche.

Encore une ravie de la grotte miraculeuse!

ueda dit: à

abdelkader dit: 30 octobre 2014 à 9 h 18 min
Fons,
je serais devant la station de métro Baker Street, a cote de la statue de Sherlock Holmes ce soir a 20h

Présentez vous en costume de tweed, Fons, avec une serviette de gynéco, pour qu’Abdelkader puisse repérer son Watson.

expression déstructurée dit: à

Encore une ravie de la grotte miraculeuse!

De la Glotte miraculeuse, même.

ueda dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2014 à 9 h 46 min
ont ne peut pas parler d’un style commun entre Godard, Truffaut, Chabrol, Rohmer ou Rivette. Tout au plus d’un air de famille,

Hamlet D. pourrait nous faire un petit développement sur le Familienähnlichkeit de LW, au lieu de parodier notre malheureux Widerganger qui ne distingue plus le même et l’autre, dans sa glisse éternelle sur Moebius.

Lucien Bergeret dit: à

@ JC qui me pose la question  » qui cela pourrait-il être …uhuhu !? »

J’ai évidemment ma petite idée –éhéhé!–

On m’a accusée de tellement de crimes dont je suis innocente que je préfère souligner qu’une signature qui ressemble à la mienne n’est pas de moi…

ueda dit: à

Merci à WG de souligner l’éros transsexuel d’une bande à Moebius.

JC..... dit: à

Camarade ueda, ne vous moquez pas, je vous en prie, de ce rendez-vous londonien !

L’amitié, sur ce blog littéraire de prestige, est une denrée si rare ! Protégeons la. A venir éclore si soudainement, qui plus est en territoire ennemi, … j’en mouille mon âme séchée par le temps ensoleillé.

ueda dit: à

Ecrivain paniqué par la page blanche espère crotte miraculeuse.

ueda dit: à

JC….. dit: 30 octobre 2014 à 10 h 29 min
L’amitié, sur ce blog littéraire de prestige, est une denrée si rare ! Protégeons la. A venir éclore si soudainement, qui plus est en territoire ennemi

Que serait ce blog sans son fog, camarade JC.

Daaphnée dit: à

L’amitié, sur ce blog littéraire de prestige, est une denrée si rare !

Il est vrai qu’Abdel est l’un des rares à ne pas avoir peur de franchir le miroir ..

JC..... dit: à

J’ai l’intention d’investir dans une crotte miraculeuse de Mac Carthy : le rendement de ses merdes est excellent !

ueda dit: à

Daaphnée dit: 30 octobre 2014 à 10 h 34 min
Il est vrai qu’Abdel est l’un des rares à ne pas avoir peur de franchir le miroir ..

Une glace sans ‘Tain?
Perso…

C.P. dit: à

Marc Court, parfaitement ! Il n’y avait pas lieu de chiner Michel Alba là-dessus. Il est évident que l’explication des textes comme relecture déployante enrichit à la fois le texte et son lecteur, celui-ci émotivement comme intellectuellement. Evident aussi que certaines grilles critiques sont suggestives et utiles, et que l’on peut avoir des préférences pour telle ou telle. A côté d’autres qui sont des impostures (il y en a dans la « Nouvelle critique », nous en avons déjà parlé). Et parfois, la réception d’un autre lecteur, par exemple celle d’un écrivain ET critique, est une aide généreuse. Ou simplement l’éclairement que donne un écrivain sur son propre travail. LOLITA résiste finalement mieux du côté de la pitié que dit avoir Nabokov pour sa pauvre héroïne que du côté du scandale. Et tant pis si l’auteur n’avoue pas qu’il est un peu filou quand même…

Daaphnée dit: à

Oui, U. ..
perso ?
Développez, mon ami, ne craignez pas de développer ..

radio keupu dit: à

Albert Einstein : « ne vous disputez jamais avec un imbécile : il vous fera descendre à son niveau et il gagnera »
(dédié à ceux qui discutent avec bougue-rototo et JC)

JC..... dit: à

Franchir le miroir ? Il a fait quand, son coming out, le Citizen Kade ?

JC..... dit: à

Ce qu’a retenu cette raclure de ridio keupu, c’est pas ce que j’ai retenu du Grand Albert … uhuhu !

Question de niveau ?….

ueda dit: à

Perso?

J’admire les miroirs de Shanghai Express

luc dit: à

radio keupu, tu aurais pu ajouter françois d., à la liste…

Jacques Barozzi dit: à

D., au coeur de la nuit j’ai été réveillé de force pour venir transmettre un message à ML, qui ne veut pas l’entendre !
Croyez-vous que je sois un élu et ai-je bien fait mon devoir ?

Daaphnée dit: à

Il est évident que l’explication des textes comme relecture déployante enrichit à la fois le texte et son lecteur, celui-ci émotivement comme intellectuellement.

Si ce n’est que l’exercice est rarement bon.
Il pêche souvent par son souci de dérouler une linéarité – utile pour déniaiser d’une lecture naïve, mais bon .. non ? – quand on sait bien qu’une lecture intelligente procède par des mouvements qui vont d’une image à une autre, par bonds, par aller-retour, d’un niveau de lecture à un autre .. Bref, conscientise comment l’écriture travaille notre propre imaginaire.
A ce propos l’exercice dit de commentaire m’a toujours paru plus fécond ..

Jacques Barozzi dit: à

Sur ma route de nuit, j’ai rencontré Mauriac qui disait à Gide : « Vous voyez bien qu’Il existe ! ».

ueda dit: à

radio keupu dit: 30 octobre 2014 à 10 h 41 min il vous fera descendre à son niveau et il gagnera

Radio keupu, ça me fait penser à cet espèce de radio estonien nommé quelque chose comme Snort ou Smutt dans Coke en Stock, vous vous rappelez?

Je nageais essouflé et mes camarades JC et bouguereau m’ont tendu une main amicale pour me hisser sur leur radeau.

On s’est fâché seulement au sujet de l’unique bouteille.

Jacques Barozzi dit: à

Tout lecteur fait de l’explication de texte au fur et à mesure de sa lecture, il n’y a que ML pour se croire le seul, l’unique !

Paul Edel dit: à

JC, vous oubliez des désaccords de ma part envers certaines positions et jugements de Passou (le dernier en date fut à propos de JJ Pauvert..). apprenez donc un peu à lire ce qui se dit d’un blog à l’autre . Par ailleurs que la manifestation d’une vraie estime réciproque entre écrivains vous paraisse une étrangeté ne m’étonne pas vraiment étant donné ce que vous écrivez..

Jacques Barozzi dit: à

Au cinéma on pourrait dire aussi que l’on se fait son explication d’images, de sons et de textes itou.

radio keupu dit: à

10 h 55 : et pan dans les dents pourries de JC

Jacques Barozzi dit: à

Laissez tomber, Paul, ici, la liberté de penser de chacun est rebaptisée léchage de couilles !

keupu et quelques autres dit: à

huedada copain avec JC et bouguemachin, pas étonnant, du même tonneau

keupu et quelques autres dit: à

exemple du niveau intellectuel : ta gueule keupu !

Jacques Barozzi dit: à

Passou aimerait-il la castagne, voilà ce qu’il dit en twist’ vitesse : « Fin d’un tabou ? Le fait est que les Juifs des pays arabes réapparaissent sous la plume d’écrivains du monde arabe. » ?

Jacques Barozzi dit: à

L’extrait de Mauvignier donné par Artémise hier dit exactement ce que montrent tous les films israéliens ou palestiniens que j’ai vus ces derniers temps : l’humiliation des populations situées du mauvais côté du mur.

JC..... dit: à

Paul Edel dit: 30 octobre 2014 à 10 h 55 min

Paul ! je suis si heureux de vous connaître un peu…. Avec un minimum de volonté vous pourriez, réciproquement, faire un effort de compréhension : votre pont-levis est solide, non ? Le risque n’est pas bien grand, et la surprise souvent la bienvenue !

Fons dit: à

Mr. Abdel 9:18

Retournant du breakfast j’ai lu votre meeting point intéressant. Espérons que ce n’est pas un Türvorsteher qui veut me jouer un tour en utilisant votre id, je vais voir si j’arrive à trouver. Pour le tweed que U propose, hm comme petit lecteur c’est plutôt very casual, worn out jeans and all, et pas comme je viens de découvrir dans les premières pages de l’aviateur/éditeur préféré de ‘vie’

J Salter ‘All that is’ page 16

London-, Shakespeare’s own city still with trees, the legendary Globe, the eloquence of people of rank, sumptuous language and dress…..’

je laisse à ‘vie’ de terminer la phrase, comme ma cheffe is getting nervous to make it to Oxford street. So I’m off line for the rest of the day.

Jacques Barozzi dit: à

« réciproquement », dis-tu, JC !?

Jacques Barozzi dit: à

A Londres, attention au péril jaune, Fons, dixit Passou !

Artémise dit: à

Il est évident que l’explication des textes comme relecture déployante enrichit à la fois le texte et son lecteur, celui-ci émotivement comme intellectuellement (C.P.)

Eh bien, justement, cela ne me paraît pas du tout évident. J’ai lu comme vous, avec intérêt et plaisir, nombre de commentaires intelligents, éclairants, sur des tas d’écrivains. Mais lorsque je me retrouve seul face au texte, dans cet échange intime qu’est la lecture, face à un texte de Balzac par exemple, que j’ai déjà lu, tous les commentaires que j’ai pu en lire, je les oublie complètement. Ne reste que mon rapport au texte, personnel, singulier, unique. Un commentaire pertinent, inspiré même, peut m’enrichir « émotivement et intellectuellement », comme vous dites, au moment où je le lis, mais quand je retourne au grand texte qui l’a inspiré, ne reste plus que ce texte; le commentaire, c’est comme si je ne l’avais jamais lu. C’est tout aussi vrai pour moi de mon rapport à la peinture, à la musique ou au cinéma.

huedada dit: à

ta gueule JC !

Jacques Barozzi dit: à

A l’entrée de chaque lecture, il faut se refaire une virginité, Artémise !

C.P. dit: à

Daaphnée, j’en suis bien d’accord. Et même la relecture est autant qu’il se peut personnelle, ou le devient. Elle peut être épaulée tout de même. Vous citiez hier Bachelard sur la réalité fuyante. Mais d’image en image, quant à la lecture littéraire, il peut être un bon guide, non ?

Jacques Barozzi dit: à

La meilleure façon de découvrir une ville, un paysage, c’est de commencer par jeter le guide, C.P. !

C.P. dit: à

Artémise, vous ne m’en voudrez pas, mais j’ai du mal à croire à cet oubli.
Un exemple qui recoupe la réponse que je vous ai faite hier soir : mettons que vous ayez lu la Correspondance de Flaubert. Vous reprenez « L’Education sentimentale ». Vous oubliez tout de cette Correspondance ?

JC..... dit: à

Tout à fait d’accord avec la jumelle Jambrun : la plupart des commentaires d’une œuvre puissante sont le fait d’impuissants*.

Toujours commencer par attaquer l’œuvre de l’auteur, même difficile, avant de lire les commentateurs passionnés…

*ne pas prendre au pied de la lettre

rappel dit: à

« Màc, lui, comprenait, pas vous.  »
Ah oui, Màc, « lui seul », « mon ami » et tout le tremblement… Le grand ami dont Wiwi a cafté ici-même la vie privée, chacun s’en souvient…

JC..... dit: à

« La meilleure façon de découvrir une ville, un paysage, c’est de commencer par jeter le guide »

Exact ! J’ai toujours lu le « guide », après le voyage…. sachant où j’allais, évidemment !

Milena et Dora dit: à

tous le commentaires récents de celui qui signe JC… montrent le niveau de son intelligence : au plus bas possible; chez nous, il aurait déjà été viré.

Jacques Barozzi dit: à

Les guides sont faits pour les gens pressés, les explications de texte et critiques pour les lecteurs-consommateurs impatients. En tout, prendre le temps…

privé, public dit: à

Wiwi a cafté ici-même la vie privée

Wiwi raconte la sienne
Màc racontait la sienne
Clopine raconte la sienne

Les 3 disjonctent (aient) régulièrement

Pub normande dit: à

chez nous, il aurait déjà été viré.

Ouksa? Ouksa? Ouksa?

C.P. dit: à

Jacques, vous serez guidé alors par d’autres villes visitées. Comment croire à la découverte pure ?

Hier soir, rediffusion sur une chaîne de cinéma de témoignages, dont celui de James Gray, sur la réception américaine de Godard, de ses films majeurs en tout cas. J’ai pensé à vous, et à la radicale originalité de Godard, à mon sens, même par rapport à « La Nouvelle Vague ». Mais ce n’est peut-être pas le moment d’y revenir.

Jacques Barozzi dit: à

C’est comme pour les critiques cinématographiques de Sophie, JC, je ne les lis qu’après avoir vu le film, et je les apprécie d’autant plus !

luc dit: à

Artémise de 11:15, en tant que lecteur lamb(a)da je respecte votre point de vue ; et en tant que chercheur je privilégie toujours le retour à la source. Cela dit il me paraît difficile de contester que le commentaire, parfois, est supérieur à ce dont il parle, ou en tout cas, y ajoute. Ainsi, pour s’en tenir à l’exemple que vous avez donné hier -celui de la répression de l’insurrection de Juin 48 : il me semble que Sartre, dans le t. 3 de l’Idiot de la famille, a fait oeuvre utile en soulignant la différence entre la répression de juillet 1830 (où la bourgeoisie fait tirer dans le tas au nom d’un credo encore vaguement « universaliste » hérité de 1789) et celle de 1848, où c’est la haine de classe qui commence à s’exprimer, dans toute son horreur.

Milena et Dora dit: à

solidarité envers les actrices insultées par JC sur le blog la république du cinéma

Jacques Barozzi dit: à

« Comment croire à la découverte pure ? »

Non, ça n’existe pas. Mais disons qu’il faut se purifier le regard et oublier ce que nous avons lu et qui nous a conduit à cette ville ou à ce livre, C.P. ! Partir à l’aventure à neuf, loin des chemins balisés.

B comme BERLIN dit: à

Jeter le guide, oui,
mais pas la carte.

B comme BERLIN dit: à

Sauf si le guide s’appelle Natacha…

Mort au troll! dit: à

solidarité envers les actrices insultées par JC sur le blog la république du cinéma

solidarité envers JC insulté ici par un troll

Hihihi dit: à

JC….. dit: 30 octobre 2014 à 11 h 09 min

Paul ! je suis si heureux de vous connaître un peu…
(Sauf quand il te bâche, pauv’naze, où là tu pignes)

Le risque n’est pas bien grand, et la surprise souvent la bienvenue !

(Tu n’es jamais surprenant, et tu n’es jamais le bienvenu.)

Bon, tu fais rire, c’est au moins ça.

Artémise dit: à

mettons que vous ayez lu la Correspondance de Flaubert. Vous reprenez « L’Education sentimentale ». Vous oubliez tout de cette Correspondance ? (C.P.)

Je n’en ai pas fait l’expérience, mais je pense que oui. Il ne faut pas sous-estimer la force extraordinaire d’un très grand texte : il vous fait oublier tout le reste. La correspondance de Flaubert, c’est l’homme Flaubert. « L’Education sentimentale » est le produit de cet autre « moi » dont parle Proust. C’est une question d’ordre de grandeur, de nature même des textes. L’oeuvre d’art impose impérialement son univers; tout le reste s’efface quand elle est là; le lecteur est toujours avec elle dans un rapport naïf (nativus), naissant, renaissant. Le souvenir de toutes les gloses s’évanouit.

bouguereau dit: à

A l’entrée de chaque lecture, il faut se refaire une virginité, Artémise !

daprés quignard l’écrivain est l’enculeur..et jean marron a force a le sphincter comme un hulaop..on devrait apprende a se refaire une virginité dans les salles de gym dirait clopine

Les troll au cirque dit: à

Bon, tu fais rire, c’est au moins ça.

J’avions vu une pouffe avec un nez rouge

luc nemeth dit: à

(@Artémise, de 11:54) … « mettons », que j’ai lu ? Vous ne manquez pas de tous pets !

radio keupu dit: à

la pouffe au nez rouge = bougue-rototo réveillé de cuite grave

bouguereau dit: à

Le grand ami dont Wiwi a cafté ici-même la vie privée, chacun s’en souvient…

quoi?..sors les verbatims mon scrétaire

Le Chaloux qui passe dit: à

radio keupu dit: 30 octobre 2014 à 12 h 02 min

Comme quoi dit: à

Hihihi dit: 30 octobre 2014 à 11 h 50 min
JC…..(Tu n’es jamais surprenant, et tu n’es jamais le bienvenu.)

Mais si, mais si.
Vous…………..Non

ueda dit: à

Touite
Fin d’un tabou ? Le fait est que les Juifs des pays arabes réapparaissent sous la plume d’écrivains du monde arabe

Al hamdu liLah to that.

Je connais des Iraniens qui partagent ce désir.

La première fois que j’ai rencontré une femme persane, je me souviens de son étonnement.
Pourquoi en France on se demande qui est juif? Comment on peut le savoir? Et quelle importance?

Elle utilisait le mot kalimi.
En effet, le mot yahudi a souvent une connotation péjorative.
On emploie aussi le mot Musawi, qui est OK (« mosaïque », littéralement, de Musa ou Moïse). Soit dit en passant, l’ayatollah Khomeini avait comme nom de famille Musawi (normal, puisque Musa est aussi un nom arabe).

Kalimi est l’expression cultivée (elle était celle qui était incluse dans les documents d’identité)
Les éructations d’Ahmedinejad parlaient des Yahudi (du reste, dans le Coran, le mot arabe est Yahûd)…

(Kalimi vient de la manière dont le Coran loue Moïse en tant que Kalim-Allâh)

Café.

Voyons dit: à

Tu me mets un chapeau?

staying alive dit: à

non mais t’imagines la publication d’interminables d’économat ?

Daaphnée dit: à

Le grand ami dont Wiwi a cafté ici-même la vie privée, chacun s’en souvient…

quoi?..sors les verbatims mon scrétaire

Tiens!
Le Boug’, cet aveu ..

JC..... dit: à

« celle de 1848, où c’est la haine de classe qui commence à s’exprimer, dans toute son horreur. »

Une partie de plaisir !!!!
(pourquoi le bouder, ce plaisir de tirer dans la racaille ouvrière et alcoolisée …?)

la vie dans les bois dit: à

Fons, suite

London-, Shakespeare’s own city still with trees, the legendary Globe, the eloquence of people of rank, sumptuous language and dress…..’ la Tamise que bordaient au sud les quartiers de débauche appartenant à l’évêque de Wincester, où ‘on trouvait des jeunes femmes accortes qu’on appelait  » les oies de Winchester ».

Ce n’est pas la page 16, Fons, dans la traduction française de « Et rien d’autre » de James Salter, mais la recherche fut immédiate : j’avais corné la page.

A bientôt.

la vie dans les bois dit: à

C’est peut-être parce que j’ai visité la cathédrale de Winchester, en 2010 ou 2011, Fons.

ueda dit: à

JC….. dit: 30 octobre 2014 à 12 h 58 min
(pourquoi le bouder, ce plaisir de tirer dans la racaille ouvrière et alcoolisée …?)

Vas jusqu’au bout de ta pulsion réactionnaire camarade JC, en sucrant les pléonasmes.

« Tirer sur les ouvriers », c’est pas suffisant?

« Tirer sur les alcoolisés », il est vrai que c’est s’exposer au friendly fire.

dom dit: à

@béré
 » séducteurs rendent les femmes malheureuses, »

celles assez… pour prétendre les changer et qui ensuite se pausent en victimes martyres

ueda dit: à

dom dit: 30 octobre 2014 à 13 h 15 min
celles assez… pour prétendre les changer et qui ensuite se pausent en victimes martyres

Dom macho.
Sais-tu que dom signifie queue en persan?

renato dit: à

C’est comme une poche de goutte à goutte, pour quelqu’un qui n’en a pas trop besoin.

dom dit: à

ueda a de la compassion pour les pov c…

Mikle dit: à

« L’œuvre d’art impose impérialement son univers »

Encore faut-il s’ entendre ce en quoi consiste une œuvre d’ art, ce qui fait « œuvre » d’art.

ueda dit: à

Le touite 2 est là pour te foutre la trouille, camarade JC.

Crafty yellow face twisted by a thin-lipped grin.

staying alive dit: à

de la compassion

protocolaire ??

Ü grand séducteur sympa dit: à

une femme ne peut etre que victime ou martyre – c’est ce qui fait leur charme

Ü grand séducteur sympa dit: à

SON

ueda dit: à

Daaphnée dit: 30 octobre 2014 à 12 h 55 min
quoi?..sors les verbatims mon scrétaire
Le Boug’, cet aveu ..

C’est un coup de pompe à Attali.

C.P. dit: à

Artémise, je vais m’arrêter, mais ce que vous dites n’est pas convaincant : la « Correspondance » de Flaubert, tout comme ses brouillons avec notes, ce n’est pas seulement « l’homme Flaubert », c’est déjà très largement un commentaire de son travail, et qui irrigue ou parfois appauvrit les suivants, même ceux qui prétendent à un « Flaubert-aujourd’hui ».

Je sais un peu, -grâce à votre blog que j’aime beaucoup-, quelles ont été vos solides études : qu’elles aient, en somme, renforcé votre fraicheur, pourquoi pas ?

Ce serait bien aussi qu’un jour, on reparle ici de la COMPASSION, sincère ou manifestée, dans les grandes oeuvres. Je ne retrouve pas pour l’instant, dans la « Correspondance » de Flaubert, la déclaration, que l’on peut trouver coquette : « Je suis une vieille chaisière », que L.F. Céline a répétée pour son compte.

Repensé, en vous écrivant, à Sartre sur Flaubert : tellement intelligent, tellement long aussi parce que finalement embarrassé de sociologie et d’une origine en un sens commune sinon coupable. L’idiot-de-la-famille n’est pas encore l’idiot.

Hihihi dit: à

Comme quoi dit: 30 octobre 2014 à 12 h 06 min
(Alias JC…)

Pauvre larve de JC. Quand c’est un internaute lambda comme bibi qui le contre (ou seulement dit une chose qui lui déplaît), il y va de sa moquerie ou de son insulte. Quand c’est un VIP comme Paul Edel dont il est clair qu’il méprise la larve, il se met plat cul devant lui.

Arrogant avec les faibles (ou qu’il croit tel), servile avec les puissants : ça vous signe le crapaud, ça.

bérénice dit: à

celles assez… pour prétendre les changer et qui ensuite se pausent en victimes martyres .

dom, je n’y pensais pas comme quoi vous étiez loin d’atteindre mon sommet. Changer un homme… la vie est trop courte et l’amour trop rare. L’amour est une maladie mais peut-être comme pour les grandes épidémies qui n’ont plus cours l’a-t-on éradiqué, il est possible d’en souffrir sans s’ériger en victime, il n’y a pas d’amour heureux.

Buztère Quitonne dit: à

bien vu Hihihi, ce JC est un lâche, un couard, une vraie crapule, une grande lopette
(solidarité avec les actrices de « bande de filles »)

Widergänger dit: à

Non, une explication de texte n’est en aucun cas un mode d’emploi pour lecteurs pressés. On voit une fois de plus que vous ne savez absolument ce qu’est une véritable explication de texte, y compris et surtout telle qu’on la pratique dans le système scolaire.

D’abord, une explication de texte n’a nullement pour ambition de rendre compte de tous les aspects d’un texte qui, par nature, est à multiples entrées. Ensuite, une explication de texte a beau être un exercice conventionnel, il n’en a pas moins pour ambition d’explorer le sens profond du texte et de mettre en évidence des procédés narratifs caractéristiques d’un auteur, autrement dit elle vise à être une clé servant à ouvrir d’autres portes que le texte même qu’on explore en l’expliquant.

Il est évident par exemple à propos d’un texte de Robbe-Grillet qu’une explication de texte telle qu’on la pratique à la préparation du capes ou de l’agrégation (le niveau requis est absolument identique) ne peut pas tenir compte des notions de focalisation interne, de double sens des descriptions notamment (celle de l’objet et celle de celui qui implicitement regarde l’objet en question) qui auraient évité à bien des journalistes critiques des années 60 de dire à propos de Robbe-Grillet n’importe quoi et surtout pas une critique pertinente de son œuvre qui joue si habilement de ce type d’ambiguïté pour créer des effets (de bizarrerie, d’intrigue, de suspens, de vision etc.

On pourrait d’ailleurs en dire autant à propos des pages critiques que Robbe-Grillet a formulées à l’égard de Balzac et de ses techniques romanesques qu’il se plaît à caricaturer (et c’était ses cours à l’université de NY, qu’il a rassemblé dans un CD) pour accentuer l’écart qui selon lui l’en séparait pour se mettre en évidence et sa manière nouvelle ou prétendue telle alors qu’elle ne fait, bien souvent, que prolonger, approfondir, raffiner ce qui se trouve déjà plus qu’en germe chez Balzac, comme la crise d’identité des personnages, la confusion des signes qui deviennent illisibles pour les personnages, l’écrasement scénique où le cadre n’est plus l’élément primordial de la scène mais le personnage avec ses incertitudes identitaires. Tout cela ne peut se voir, s’analyser, se comprendre que par des explications de texte plus ou moins savantes qui ne relèvent pas d’une méthode d’analyse plus particulière qu’une autre mais surtout d’une attention portée à ce qui est écrit et à ce que Jean Bessière appelle le « calcul discursif », c’est-à-dire toutes les formes de procédures narratives mises en œuvre par un écrivain qu’une explication de texte a précisément pour fonction et pour but de chercher et de mettre à jour.

DHH dit: à

@CP @artemise
il est des textes dont la beauté ne peut vous toucher que parce qu’on vous les a expliqués .
pour ces textes c’est l’explication qui constitue le prealable indispensable à l’emotion qu’ils vont susciter.
un exemple vecu: ma seconde rencontre,puis toutes les autres porteuses de la même jouissance avec le Cimetiere Marin apres qu’une prof eblouissante de finesse m’en a fourni un jour les cles.

Widergänger dit: à

Je partage largement le point de vue exprimé par CP à propos de la correspondance de Flaubert. C’est évident. Les profs de fac se servent même de ses lettres pour en proposer des sujets de dissertation à leurs étudiants sur des problèmes d’esthétique, dans le cadre de la préparation au capes par exemple (sujet classique d’ailleurs sur la littérature comme devant « émouvoir à la manière de la nature ». C’est toute la problématique de la la modernité dans la création littéraire. Je me souviens l’avoir eu comme sujet de dissertation à la préparation du capes (j’ai eu d’ailleurs une bonne note, 15/20).

Le problème de la compassion dans un roman est un problème complexe. Ce n’est pas seulement un problème de compassion, de valeur morale. C’est un problème avant tout formel. Elle s’exprime dans une scène qui entre dans une trame narrative, dans un réseau de sens, dans un rapport avec d’autres scènes, soit pour établir des parallèles, soit des contrastes. La morale est toujours plus ou moins secondaire par rapport au tout qui doit justement faire Nature, selon le vœu formulé par Flaubert dans sa correspondance dans cette fameuse lettre à Louise Collet sur ce qu’est à ses yeux la création littéraire.

Widergänger dit: à

Widergänger dit: 30 octobre 2014 à 14 h 40 min
erratum : (…) ne peut pas ne pas tenir compte (…)

Buztère Quitonne dit: à

le directeur de minute condamnée à 10.000 euros d’amende pour avoir comparé Christiane Taubira à un singe; JC avait fait de même sur la RdL !

Widergänger dit: à

La lecture personnelle est une fausse impression, une impression trompeuse. Il n’y a de lecture personnelle possible que celle qui a dépassé les lectures savantes dûment répertoriée et incontournable.

Sinon, ce qu’on prend pour personnelle, c’est simplement la lecture des autres dont on n’a pas eu le temps encore de prendre connaissance. La plupart des lecteurs de Flaubert n’ont absolument pas les moyens intellectuels d’être des lecteurs personnels de Flaubert. Ce qui peut prétendre être « personnel », c’est le fruit d’une grande connaissance des textes en réalité où on a passé des heures carrées à travailler quelques pages parfois seulement. Rendre compte de tout un chapitre dans l’ES par ce qu’on appelle à l’oral de l’agrégation une « étude littéraire », c’est déjà un travail énorme (et ça fait six heures de préparation pour une demi heure de cours à peine).

DHH dit: à

@CP
vous dites à ARTEMISE: »Je sais un peu, -grâce à votre blog que j’aime beaucoup-,…… »
peut on avoir l’adresse de ce blog?

la techno pour les mémés dit: à

Faut taper sur Artemise

bouguereau dit: à

La lecture personnelle est une fausse impression, une impression trompeuse

que tu confondaçes personnelle d’avec originale montre comment que t’es outofdète drac’hül..et que tu calcules rien au moderne

Widergänger dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2014 à 11 h 09 min
L’extrait de Mauvignier donné par Artémise hier dit exactement ce que montrent tous les films israéliens ou palestiniens que j’ai vus ces derniers temps : l’humiliation des populations situées du mauvais côté du mur.
____________
Est-ce que vous avez pensé une seule seconde à l’énorme humiliation des Palestiniens par leur propre dirigeants ? Non ! Evidemment ! Ça vous aurait troué le cul ! Dans la bande de Gaza, les Palestiniens chrétiens se font assassiner, connard !

Comme quoi dit: à

Hihihi dit: 30 octobre 2014 à 14 h 20 min
Comme quoi dit: 30 octobre 2014 à 12 h 06 min
(Alias JC…)
Pauvre larve de JC.

Mais non pas JC.
Indéniablement vous n’êtes pas très doué pour la lecture.
Que faites-vous ici ?

bouguereau dit: à

Le Boug’, cet aveu ..

allons..aprés les claques sembler complaire aux désirs du larbin sont la démonstration de la bonté du maitre dafnoz

bouguereau dit: à

C’est comme une poche de goutte à goutte, pour quelqu’un qui n’en a pas trop besoin

nonobstant il faut pas dire ‘fontaine..’ rénateau

bouguereau dit: à

Je sais un peu, -grâce à votre blog que j’aime beaucoup-, quelles ont été vos solides études : qu’elles aient, en somme, renforcé votre fraicheur, pourquoi pas ?

le spray sousbois te change en louis deux jean marron..et ton chalet en chevancheunechtein..c’est magique

bouguereau dit: à

Je ne retrouve pas pour l’instant, dans la « Correspondance » de Flaubert, la déclaration, que l’on peut trouver coquette : « Je suis une vieille chaisière »

t’as pas les neoils en face des trous si j’ose dire : sur sa biznèce tchair comme louis le quatorzième

bouguereau dit: à

une femme ne peut etre que victime ou martyre – c’est ce qui fait leur charme

gnap..et c’est là qu’on est niqué d’chez niqué

C.P. dit: à

Chère Judith, c’est parfaitement acceptable pour moi. Un professeur- femme (vous devinerez qui ?), m’a fait ressentir au moins le sensible et le sensuel de quelques poèmes de Mallarmé, puis de Valéry, dont l’économie me paraissait froidement énigmatique. Peu importe que ces poètes et ces poèmes aient ma préférence ou non aujourd’hui.

Jacques Barozzi dit: à

« Est-ce que vous avez pensé une seule seconde à l’énorme humiliation des Palestiniens par leur propre dirigeants ? Non ! Evidemment ! »

A ma connaissance, ce thème n’a pas encore été traité dans les films que j’ai pu voir en provenance d’Israël, ML, et tous diffusés à Paris dans les salles du réseau de Martin Karmitz (MK2). Qu’attendent les producteurs israéliens ? Vous devriez leur écrire !

Buztère Quitonne dit: à

comme quoi 15 h 22 : je ne suis pas JC… PROUVE-LE

Jacques Barozzi dit: à

Et leur réserver les noms d’oiseaux à moi adressés

Widergänger dit: à

Barozzi, ne rajoutez pas la mauvaise foi à l’infamie. C’est votre habitude !

Jacques Barozzi dit: à

« ne rajoutez pas la mauvaise foi à l’infamie. C’est votre habitude ! »

Cette fin de non-recevoir mériterait pourtant une explication de texte, ML ?

C.P. dit: à

Chère DHH (et Judith), Elle/ Il ne donne plus le lien, mais Il/Elle ne m’en voudra pas. Tapez : les orogenèses érogènes d’Eugène.

Jacques Barozzi dit: à

« il est des textes dont la beauté ne peut vous toucher que parce qu’on vous les a expliqués . »

Certainement, DHH, et il y a bon nombre de textes que nous ne connaitrions pas sans l’intermédiaire, la médiation, de poètes et d’écrivains. Sade et Lautréamont en sont les plus parfaits exemples.

Milena et Dora dit: à

Jacques Barozzi, vous ne soutenez pas les actrices que JC insulte chez Sophie ? nous ne pouvons le croire ???

Widergänger dit: à

On prétend toujours que le Nouveau roman fait fi de la psychologie du sujet. En réalité, les choses sont autrement plus compliquées, comme le rappelle Jean Bessière dans Qu’est-il arrivé aux écrivains français ?

« Dans les années 1960, l’obsession de la désubjectivation et le calcul discursif qu’elle entraînait, avaient suscité des discours de soi paradoxaux, ceux de la dissociation du fait su sujet, de la subjectivité, et du dire. Il subsiste, dans la littérature contemporaine, cette dissociation. Celle-ci est moins la conséquence d’une désubjectivation, que l’on entendait reconnaître lucidement, et le résultat d’un calcul d’écriture, que la conséquence de la méconnaissance de soi, elle- même inséparable d’une manière d’auto-intensification du sujet. Le sujet est sa propre réflexivité, sa propre allégorie, sa propre mémoire, et, dans cette manière d’emballement, son propre échec. Il s’apparaît à lui-même comme un sujet ultime, qui n’existe dans l’univers que par l’exercice linguistique de cet échec, qu’est le discours de soi. On peut broder indéfiniment sur les équivoques de la vérité et du mensonge, sur la couture du discours de soi et de la fiction, affirmer sa propre imposture, déclarer qu’on s’en remet au langage. Il n’y a là, de fait, qu’une seule description : celle du choc en retour — ce retour vers le passé personnel — que provoque l’évidence que dire le passé public — ainsi de celui des grands écrivains (comme Rimbaud : Rimbaud en Abyssie, d’Alain Borer, Les Trosi Rimbaud, de Dominique Noguez, Rimbaud le fils, de Pierre Michon) — relève de la prosopopée. Les exemples de tels discours du sujet abondent. On va ainsi de Robbe-Grillet qui passe de l’impersonnalité revendiquée à la fantasmagorie de soi, à Annie Ernaux et à ses histoires familiales, à Le Clézio et à ses figures recherchées du père, à Pierre Bergougnoux, à Jacques Borel… »

Telle l’autofiction comme prolongement du Nouveau roman aussi.

Jacques Barozzi dit: à

La meilleure façon de les soutenir est d’aller les voir au cinéma, Milena et Dora, vous y verrez que la bave de JC n’atteint pas ces noires colombes !

Ü grand séducteur sympa dit: à

Une prof eblouissante de finesse

C’est tout daafnoze ça

rappel dit: à

privé, public dit: 30 octobre 2014 à 11 h 37 min : Wiwi raconte la sienne. Màc racontait la sienne. Clopine raconte la sienne.
———————————————
Aucun rapport. N’importe quel commentateur peut choisir de raconter des pans de sa propre vie privée. Mais là on avait tout à fait autre chose : quelqu’un qui profitait de ce qu’il avait été amené à connaître de son « ami » dans la vie réelle pour abuser de sa confiance et balancer sur le blog.

dom dit: à

bérénice dit: 30 octobre 2014 à 14 h 26 min
il n’y a pas d’amour heureux.

mais si , heureusement

dino dit: à

appel dit: 30 octobre 2014 à 16 h 04 min

bof, entre givrés ils se complètent

Widergänger dit: à

Quelle fin de non recevoir ? Vous savez parfaitement bien que la gauche israélienne, ultraminorotaire en Israël, ne reflète en rien les éléments complexe du conflit mais se braque sur ce qu’elle juge des tares d’Israël, ce qui ne peut évidemment que flatter l’antisionisme/antisémitisme virulent des Européens. Mais ça ne dit absolument rien des milliers de Palestiniens chaque jour humiliés à Gaza comme à Ramallah. Les fonctionnaires à Gaza n’étaient plus payés, c’est pas une sacrée humiliation ça. Ils l’ont été grâce au Qatar, humiliation supplémentaire. Vous êtes un pauvre insignifiant qui a la tête bourrée des plus idiots et malfaisants clichés sur Israël, c’est tout. On vous a lavé le cerveau et le pire c’est que vous adorez ça tellement vous êtes un esclave consentant.

Widergänger dit: à

Balancé quoi ? Pauvre idiot !

Le Chaloux qui passe dit: à

rappel dit: 30 octobre 2014 à 16 h 04 min

Jacques Barozzi dit: à

Quelle fin de non recevoir ? (…) Vous êtes un pauvre insignifiant qui a la tête bourrée des plus idiots et malfaisants clichés sur Israël, c’est tout. On vous a lavé le cerveau et le pire c’est que vous adorez ça tellement vous êtes un esclave consentant. »

Toujours des insultes en place d’arguments. Un aveu de faiblesse caractérisé et une incapacité à dialoguer, communiquer.
Si je vous comprends bien, il faut boycotter le cinéma israélien actuel ? La littérature aussi ?
Et que pensez-vous du twit de Passou : « Fin d’un tabou ? Le fait est que les Juifs des pays arabes réapparaissent sous la plume d’écrivains du monde arabe. »

Widergänger dit: à

Si vous saviez lire, vous sauriez les lire mes arguments. Mais il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre.

Les Juifs ont été chassés des pays arabes. Il n’y en a quasiment plus. Qu’il réapparaissent comme des fantômes dans la littérature, je l’ai suffisamment dit ici à propos de notre époque fantomatique !

dom dit: à

« JC avait fait de même sur la RdL ! »

Personne de sensé ne le lit

Jacques Barozzi dit: à

Explication de texte à destination de l’intéressé :

« Si vous saviez lire, vous sauriez les lire mes arguments. Mais il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre.

Les Juifs ont été chassés des pays arabes. Il n’y en a quasiment plus. Qu’il réapparaissent comme des fantômes dans la littérature, je l’ai suffisamment dit ici à propos de notre époque fantomatique ! »

Les deux premières phrases détruisent la recevabilité des suivantes qui, sans elles, auraient bénéficié d’une plus grande pertinence.

Sergio dit: à

dino dit: 30 octobre 2014 à 16 h 07 min
appel dit: 30 octobre 2014 à 16 h 04 min

bof, entre givrés ils se complètent

C’est comme le lichen alors…

Jacques Barozzi dit: à

Voyons maintenant vos arguments de ce commentaire de référence, pour le moins confus :

« la gauche israélienne, ultraminorotaire en Israël, ne reflète en rien les éléments complexe du conflit mais se braque sur ce qu’elle juge des tares d’Israël »

Les écrivains et cinéastes, auxquels je me référais, appartiennent tous à la gauche israélienne selon vous, et ne formeraient qu’un seul bloc ?
Le fait d’être « ultraminoritaire » pose t-il un problème en soi ?
La droite majoritaire aurait-elle mieux saisi la « complexité du conflit » ?
Les artistes Israéliens se tromperaient et nous tromperaient sur les « tares » d’Israël ?

luc dit: à

à quoi j’ajouterai encore, Jacques Barozzi, que si vraiment cette gauche était minoritaire, elle ne donnerait pas, tant d’urticaire à Widergänger -c’est bien clair.

ueda dit: à

C.P. dit: 30 octobre 2014 à 13 h 54 min
Repensé, en vous écrivant, à Sartre sur Flaubert : tellement intelligent, tellement long aussi parce que finalement embarrassé de sociologie et d’une origine en un sens commune sinon coupable. L’idiot-de-la-famille n’est pas encore l’idiot.

J’ai aimé aussi en son temps me perdre dans la forêt de l’Idiot de la famille, C.P., tout en râlant à l’occasion devant les chemins de traverses et en laissant quelques petits cailloux derrière moi (à cette époque je cornais les pages quelle horreur) mais en m’émerveillant de clairières en clairières.
Je n’ai malgré tout pas fini, sélectionnant des thèmes comme la bêtise, etc.

Que voulez vous dire par « une origine en un sens commune sinon coupable »? L’origine de quoi ou de qui?

ueda dit: à

luc dit: 30 octobre 2014 à 16 h 54 min
Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2014 à 16 h 48 min

Je suis sûr que notre ami est cohérent.

Suspicieux à l’égard des minorités démocratiques, il sait être solidaire du PS aujourd’hui et de l’UMP demain.

DHH dit: à

Pour revenir à Flaubert
Je crois que comparer Madame Bovary à l’Education sentimentale n’a pas grand sens car ces deux œuvres ne relevent pas de la même ambition
L’ES est un roman symphonique, torrentiel, charriant nécessairement des scories, mais où se déploient des destins divers, où la grande histoire omniprésente oriente a travers ses aléas les trajectoires des personnages, entrecroise et sépare au gré du temps leurs histoires personnelles .
Rien de tel dans Madame Bovary ,petit bijou litteraire ciselé autour d’un personnage figée dans son mal-être au sein univers statique.
J’ai parfois pensé pour illustrer ce qui sépare ces deux chef- d’œuvres flaubertiens que madame Bovary était à l’ ES ce qu’Anna Karenine est à Guerre et Paix
D’autres plus versés que moi dans la connaissance des oeuvres trouveront sans doute ce rapprochement maladroit ,mais, pour moi ,il fait sens

Widergänger dit: à

Il est devenu impossible en France désormais de débattre sérieusement de l’islam.
Rares sont ceux qui osent remettre en cause le dogme régnant. Ceux qui le font sont immédiatement traités d’ « islamophobes », sommés de s’expliquer, et tenus éloignés des micros et des salles de rédaction. Un simple écart de langage peut être suffisant pour se trouver trainé devant un tribunal, et condamné à une lourde amende.

Pendant tout l’été, les criminels du Hamas ont été présentés comme des « résistants », ou des « combattants », mais les qualifier de « terroristes islamiques » et d’ »assassins » est resté très politiquement incorrect. Depuis que l’Etat Islamique tue, viole et décapite à n’en plus finir, les contorsions pour éviter de lui associer le mot « islam » ne cessent pas.
Le multiculturalisme ambiant, les peurs, les lâchetés impliquent de dire obligatoirement que toutes les civilisations se valent, voire que la civilisation occidentale est, dans un contexte d’égalitarisme forcené, un peu moins égale que les autres.
http://www.dreuz.info/2014/10/qua-apporte-la-civilisation-islamique-a-lhumanite/

ueda dit: à

Widergänger dit: 30 octobre 2014 à 14 h 50 min
C’est toute la problématique de la la modernité dans la création littéraire. Je me souviens l’avoir eu comme sujet de dissertation à la préparation du capes (j’ai eu d’ailleurs une bonne note, 15/20).

C’est grâce à des remarques aussi candides qu’on vous pardonne votre folie, Widergänger.

luc dit: à

Widergänger on va avoir du mal à s’entendre… Car je suis, voyez-vous, un égalitariste forcené, comme vous dites.
Force née, répondit l’écho !

Milena et Dora dit: à

dom 16:24, oui mais le écrits restent et ses propos sont clairs, nous souhaitons une suite

bouguereau dit: à

Que voulez vous dire par « une origine en un sens commune sinon coupable »? L’origine de quoi ou de qui?

dla sodomie..si t’avais lagrèg ça frait sens..mais voilà..t’es là la machoire pantelante..dracul dirait qutu fais penser a ses étudiantes..

Widergänger dit: à

En effet, les artistes israéliens vous trompent absolument sur les enjeux du conflit. Vous ne connaissez rien de l’enfer que vit le peuple palestinien tout les jours, et la cause n’en est absolument pas Israël.

Vous ne connaissez jamais qu’un son de cloche. Vous êtes peu curieux.

Lisez Raphaël Delpard, lisez Bat Ye’Or. Mais vous ne voulez pas regarder la réalité en face, elle ne vous intéresse pas. Vous n’aimez que la pensée formatée, le prêt à penser, le bourrage de crâne. Tout ce qui vous conforte dans vos idées bornées et insuffisantes.

Voilà ce qu’écrit Raphaël Delpard dans son chapitre si émouvant « Le peuple palestinien :

« Je me suis aperçu au fur et à mesure que je progressais dans l’enquête que je ne savais toujours rien du peuple palestinien. Que sait-on de ces femmes et de ces hommes ? La seule image qui nous les montre en permanence est celle de la mort : des hommes cagoulés, les mains alourdies d’armes impressionnantes, vociférant des condamnations envers le voisin hébreu.

N’est-il pas surprenant de constater que ce peuple pour l’idée duquel meurent des femmes, des hommes et des enfants nous est quasiment inconnu depuis bientôt soixante ans ? »
(R. Delpard, La guerre des six jours, la victoire et le poison, Lucien Souny éditeur, 2005)

bouguereau dit: à

Toujours des insultes en place d’arguments. Un aveu de faiblesse caractérisé et une incapacité à dialoguer, communiquer.

t’es qu’un enculé de goye inélu baroz..qu’a la rondelle qui fouette l’andouille de guéméné..a jérusalème on te montrerait du doigt en se pincant le nez..tu pourrais même pas tbalader sur l’esplanade

Widergänger dit: à

Barozzi, vous auriez 00/20 à l’exercice d’explication de texte ! Faites partie des cancres…

bouguereau dit: à

Personne de sensé ne le lit

t’es une vraie groupie raclure..sans lui t’aurais rien a dire nitchéen dmes burnes

luc dit: à

là, carrément, ça me dépasse…
Si on en croit Widergänger, s’exprimant à 17:02 : « Depuis que l’Etat Islamique tue, viole et décapite à n’en plus finir, les contorsions pour éviter de lui associer le mot « islam » ne cessent pas ».
Mais, sauf à vouloir créer un néologisme ou quelque occis-maure : je vois mal ce que pourrait faire de plus, pour associer le mot « islam », que d’utiliser l’expression Etat islamique.

bouguereau dit: à

C’est comme le lichen alors…

et toi sergio..toujours a causer comme dans fort boyard..en moto t’y as l’air con

bouguereau dit: à

occis-maure

..ma mère de ma mère

DHH dit: à

@CP merci
Je suis allée voir chez Artemise et j’avoue une certaine gêne a constater , que celui qui ecrit sur son blog des choses intelligentes et nourries ,reflétant une culture riche et eclectique ,puisse avoir si souvent sur la RDL des interventions agressives ,vexantes ,malveillantes et aussi dépourvues de courtoisie

ueda dit: à

Widergänger dit: 30 octobre 2014 à 17 h 02 min
Il est devenu impossible en France désormais de débattre sérieusement de l’islam.

Je partage une seule chose avec votre Millière, c’est la détestation de la censure et de l’auto-censure propagée aujourd’hui au nom de l’anti-islamophobie.

Mais ce garçon serait plus convaincant s’il était moins caricatural dans ses analyses (sa « civilisation islamique », c’est quoi?).

Son outrance me rappelle un commentateur de ce blog, notre druide Apoplectix (ou Apocalyptix?)…

Ce site Dreuz est affreux (avez-vous lu les commentaires?), et j’espère pour votre propre équilibre que vous lisez aussi autre chose.

C.P. dit: à

Zhu, c’était bien simple, je parlais des bonnes-familles : Sartre avoue la sienne et s’en débarrasse comme il le peut sur son tonneau -et peu à peu dans les « Mots » ; Flaubert-flls, Flaubert-propriétaire, Flaubert-de la princesse Mathilde par ce que j’appelais l’Idiotie (et ses lueurs). En réalité, Sartre a bien compris qu’elle allait plus loin que l’idiot-de-la-famille, mais la Commune en particulier le gêne. Et son livre en effet tournoie, ce qui m’a toujours frappé, et ne se sort pas d’un embarras honnête, parce que, je crois, la littérature n’est pas pour lui tout à fait un rachat, ni un salut.

Vous avez certainement lu la nouvelle de Sartre, « L’Enfance d’un chef », dans le recueil « Le Mur ». C’est au moins une contre-épreuve très convaincante.

ueda dit: à

« N’est-il pas surprenant de constater que ce peuple pour l’idée duquel meurent des femmes, des hommes et des enfants nous est quasiment inconnu depuis bientôt soixante ans ? »
(R. Delpard, La guerre des six jours)

C’est la surprise de ce touriste qui surprend.

Widergänger dit: à

50 ans après la déclaration de Golda Meir, Yasser Arafat semble lui répondre en déclarant : « Nous vaincrons parce qu’ils aiment la vie autant que nous aimons la mort. »
La phrase du leader montre qu’il n’a jamais eu l’intention de faire la paix. Souvenons-nous qu’en 1948 l’OLP et les Etats arabes refusèrent le partage de la Palestine. Arafat s’en expliqua le 15 octobre 1968 à la tribune de l’ONU en déclarant à propos de la Résolution 242 : « La mise en œuvre de ladite résolution mènera à la perte de tout espoir pour l’établissement de la paix et de la sécurité en Palestine et au Moyen-Orient. » Les Israéliens, eux, avaient accepté la Résolution.
(R. Delpard)

ueda dit: à

C.P. dit: 30 octobre 2014 à 17 h 24 min
Zhu, c’était bien simple, je parlais des bonnes-familles

Je pense que ce foutu Zhu a maintenant compris la phrase.

La fascination pour la « totalisation » engendre des monstres critiques.
Mais quel beau monstre!

Widergänger dit: à

Guy Millière vaut largement les élucubrations idiotes d’un pauvre ueda qui ne connaît strictement rien au conflit dont il prétend parler et avec tant de suffisance ! Vous êtes ridicule mon pauvre idiot, je plains votre famille…!

bouguereau dit: à

Je suis allée voir chez Artemise et j’avoue une certaine gêne

..c’est vrai que ça manque de têtes décapitées jean marron

luc dit: à

Widergänger votre radotage, outre que l’on voit mal ce qu’il vient faire dans un article sur les « Editions de Minuit », commence à devenir fastidieux… OK : en 1948 les Etats arabes refusèrent le partage de la Palestine. Et alors ? Vous croyez au péché originel ? On voit mal en quoi cela justifierait une Occupation qui en Cisjordanie dure depuis maintenant plus de soixante-six ans, et dont la seule existence est une offense permanente au Créateur.

luc dit: à

(pardon, je voulais dire, quarante-sept ans)

bouguereau dit: à

Vous êtes ridicule mon pauvre idiot, je plains votre famille…!

roo..sapré dracul

Widergänger dit: à

« Au mois de juillet 2000, Ehud Barak, Premier Ministre travailliste d’Israël, avait accepté que Jérusalem devienne une double capitale. Arafat, surpris par la proposition et ne sachant que répondre, alerta Jacques Chirac et lui demanda de bien vouloir le conseiller. Le président français lui aurait soufflé de refuser en avançant que Jérusalem devait revenir intégralement aux Palestiniens. »
(R. Delpard)

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