de Pierre Assouline

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En suivant Georges Limbour, visiteur de tableaux

En suivant Georges Limbour, visiteur de tableaux

Jamais je n’ai lâché mes fantômes, ceux de ma famille de papier, les héros de mes biographies. On croit parfois qu’un écrivain s’en déprend dès lors que son livre atteint le lecteur qui se les approprie. En réalité, ils nous poursuivent ; si nous cessons d’enquêter, nous continuons à chercher, la curiosité toujours en éveil. Un réflexe le dit mieux que tout, lequel consiste à se précipiter sur l’index des noms cités lorsqu’un nouveau livre nous parvient qui pourrait évoquer cet univers dans lequel nous avions baigné durant quelques années de recherche. Qu’il s’agisse d’Hergé ou d’Albert Londres, de Moïse de Camondo ou de Jean Jardin, de Paul Durand-Ruel ou de Georges Simenon, d’Henri Cartier-Bresson ou de Gaston Gallimard, leur présence est intacte, aussi vivante qu’au premier jour de notre rencontre. Alors, l’index, trois lignes, une note, une piste, un espoir qui sait. Car il ne faut jamais désespérer : il n’y a pas de biographie définitive, même de Jules César.028

En découvrant  les écrits sur la peinture de Georges Limbour recueillis sous le titre Spectateur des arts (1328 pages, 42 euros, Le Bruit du temps, éditions), je suis allé directement à la fin vérifier que Daniel-Henry Kahnweiler y était bien mentionné. Le marchand historique des cubistes l’était, dans une quinzaine de pages différentes. C’est même lui qui ferme le bal, l’auteur lui rendant visite dans sa villégiature de week-end en 1969 dans « une maison où l’on rencontre des tableaux ». Je m’y suis donc engouffré en toute confiance, heureux de remettre mes pas dans les leurs, la galeriste et le critique. Quel voyage inoubliable quand le guide se double d’un poète ! Car Limbour possédait cette double qualité, plus rare qu’on ne le croit. Notre connaissance de l’art s’enrichit toujours autrement lorsqu’un poète et romancier nous fait accéder à sa part d’invisible, ce non-vu qui a partie liée avec le non-dit. On croirait que la dénomination d’ « écrivain d’art » a été inventée pour lui tant le souci de l’écriture est sous-jacent dans chacun de ses compte-rendus.

Les écrits en question, tous consacrés à la peinture ou la sculpture, ont paru de 1924 à 1969 dans des revues telles que Action, France-Observateur, Les Lettres nouvelles, les Temps modernes, Derrière le miroir, entre autres, parfois sous patronyme, parfois sous pseudonyme, ou en guise de préface à des catalogues. Ses papiers relèvent plus souvent de la chronique que de la critique, ce qui n’est pas plus mal. Limbour rendait visite aux artistes et aux œuvres en piéton de Paris et alentour, en se laissant guider par son instinct, sa curiosité et ses amitiés. Un flâneur des deux rives, se laissant mener par ses pas de Salons en galeries, sûr de ne jamais de s’y perdre car son chemin était vers ce qu’il ne connaissait pas. Ces textes composent en creux les Mémoires d’un regard. On peut les lire comme un panorama subjectif et chaleureux de la peinture de ce temps en France. Ou les voir sur un fil tendu entre les deux extrêmes de l’amitié admirative qui le lia tant à André Masson et Jean Dubuffet. Il a commencé à humer la peinture dans l’atelier que le premier occupait rue Blomet, du temps de leur jeunesse dans le sillage des surréalistes, puis a affiné son goût dans la fréquentation des cubistes, avant de l’enrichir par le commerce permanent avec le dernier. Comme le relève dans sa préface Françoise Nicol, coéditrice du recueil avec Martine Colin-Picon, cet ensemble dessine « un horizon de la peinture » qui tranche avec les histoires officielles.

029On s’y frotte à une sensibilité en mouvement, une esthétique en construction. On l’observe s’épanouir d’une époque à l’autre dans le foisonnement des œuvres découvertes avec un regard intact, toujours prêt à s’émerveiller ; la table des matières témoigne déjà de la variété. Il sait les théories, les mouvements, les écoles et même les clans ; mais il fait en sorte d’oublier ce qu’il a appris, à l’exception toutefois de la technique inhérente au métier de peintre ; les lignes consacrées aux Otages de Fautrier, préparant sa galette après avoir vidé quelques tubes de blanc au milieu de la toile, travaillé des reliefs au couteau et recouvert le tout de poudroiement de pastel, sont éclairantes à cet égard. Manière de rappeler qu’avant d’être un éblouissement, l’art, c’est d’abord du travail, lequel doit bien entendu disparaître à l’arrivée. Plus d’échafaudage, plus d’effort, plus rien que la trace et le geste. C’est affaire de tons et de lignes, même si l’on sait bien que nombre de visiteurs d’une exposition seront toujours en quête d’identification, à la recherche du sujet, de l’histoire, sinon de l’anecdote. Avec le recul, on mesure combien ses intuitions étaient justes. Il est vrai qu’elles devaient également beaucoup à son imprégnation sans pareille des ateliers, lieux qu’il a toujours fréquentés, dont il a toujours su tirer le meilleur – et les pages de la visite de Braque en son bric-à-brac de Varengeville est des plus fortes. Pour un critique, c’est un art de savoir arpenter les lieux où l’art se fait et se montre.

Voyageur solitaire du Paris artistique, toujours disponible pour un bavardage au gré des égarements, il frotte son regard à celui des écrivains qu’il côtoie dans les différents cercles où il évolue, Antonin Artaud, Georges Bataille, Jean Paulhan. Mais c’est sous l’influence d’un marchand, Kahnweiler pour ne pas le nommer, qu’il défend les cubistes dans la durée, et comme lui voue aux gémonies tous ceux qui verseraient dans la décoration, l’ornementation. De grandes signatures reviennent souvent sous sa plume, on s’en doute, de Picasso à Gris en passant par Bonnard, Vuillard, Miro, Braque… Mais cela n’exclut pas des détours attentifs et bienveillants vers des artistes de moindre envergure, Amédée de la Patellière, Fernand Weil ou Eugène de Kermadec (l’index des noms témoigne de cette diversité)

En mettant ses pas dans ceux de Georges Limbour, le lecteur en vient à se demander avec lui si les quais du port du Havre n’ont pas été refaits après les bombardements de la dernière guerre afin que les bateaux peints par Marquet puissent y accoster. Si l’école de Barbizon n’est pas avant tout une histoire d’eau douce. Si la peinture géographique des paysagistes ne serait pas appelée à remplacer les affreuses affiches trônant dans les gares. Si les mâts-drapeaux du boulevard Saint-Germain ne sont pas la flottille publicitaire de ceux qu’il appelle « les marchands de peinture ».021

Si on l’a dit plus chroniqueur que critique, c’est qu’il n’était pas l’homme des commentaires savants. Il possédait bien l’art de discourir sur l’art, mais s’en méfiait tant il avait eu à subir ce milieu encombré de raseurs et de phraseurs. Sans y voir pour autant des poèmes en prose, on peut lire sa littérature sur l’art tel qu’il s’exposait en son temps comme un prolongement des choses vues par Diderot et Baudelaire. Comme eux, il plaçait son émotion au centre de sa réflexion, avant de la laisser être corrigée par la règle et l’analyse. C’est un visiteur de tableaux. Son ami Michel Leiris disait qu’il était touché par une sorte de grâce dans la mesure où il n’était pas seulement poète dans ses écrits mais aussi « dans la texture même de sa vie ».

Georges Limbour n’a jamais rien écrit sur Jean Rustin, grand artiste discret. Un peintre et un dessinateur qui portait vraiment un monde en lui. Un Bartleby avec des parentés du côté de Bacon et Rebeyrolle. Ses dessins : des carcasses d’humains qui ne nous lâchent pas des yeux. Malaisé de se tenir sans vertige face à une telle souffrance. Intenable de prime abord. Soit on prend la fuite avec force dénégation, soit on abdique avec faible sidération. Ses pensionnaires hors d’âge sont ses innocents. Ils ne prient pas : ils nous prient. Leur prière nous invite à passer la ligne. On imagine l’asile alors que ces murs sont ceux de notre forteresse intérieure. Rarement un créateur aura porté à un tel paroxysme son sentiment de l’incarcération. Ce ne sont pas des malades mentaux. Juste des hommes et des femmes qui paraissent un peu plus malades mentaux que nous. On parlera peut-être de pitié, de provocation, de pornographie. Tant de compassion se dégage de cette violence qu’elle traduit plus de religieux que d’obscène.

Qu’importe ce qui lui permet de traduire son absolu, mais une simple prise électrique fichée dans le mur change tout ; elle permet à un lieu de devenir une pièce et signale que des humains l’habitent : la prise donne prise. Pommes de Cézanne, flacons de Morandi, corps de Rustin. Mais ses corps sont comme défaits de leur carcan. Ne lui demandez pas d’explications, il n’en a pas. Ce qu’il fait, il n’en a très exactement aucune idée car ça se passe en dehors du monde des idées. Rien n’est dérisoire comme de vouloir dire ou écrire ce qu’on s’est P1000850acharné à peindre ou à dessiner. A lui les seules préoccupations d’ordre plastique, aux autres les soucis du commentaire, à chacun ses affres. Mais il serait vain de l’associer à tel ou tel de ses prestigieux confrères et contemporains : les corps nus qui fascinent tant Rustin sont un héritage des martyrs qui font cortège à l’art sacré depuis des siècles. Qu’on fasse l’effort d’aller au-delà de ce que la folie peut avoir de monstrueux et du choc provoqué par l’étalage d’organes, et l’on découvrira une tendresse, une émotion et une sensibilité d’un autre temps car d’un autre monde.

Il faut des Rustin pour nous faire soupçonner enfin qu’une grâce puisse habiter cette humanité disgraciée. Qui dira jamais la charge et l’intensité d’un personnage nu dans un coin ? L’anormal, c’est toujours l’autre. L’indécence n’est pas toujours là où la société la dénonce. Depuis, il peint et il dessine ça : ce cri, cet effroi, cette douleur, cette souffrance, cette misère. La solitude qui les réunit tous. Il flotte sur ces visages tordus un souvenir de ténèbres surgi des replis de l’âme. Ils ont vu ce qui nous demeure invisible. De retour, ils racontent. Jean Rustin peint ces personnages dans un gris à lui, mélange de bleu outre-mer, de terre de Sienne brûlée et de blanc. La couleur de son outre-monde s’est imposée comme la lumière de ses tableaux.

Ce sont des concentrés de mélancolie. Ils n’ont rien fait pour mériter cet enfermement. C’est juste qu’on entend crier les tableaux. Tout en eux exprime la folie mais c’est nous qui sommes les aliénés. Georges Limbour, critique d’art et poète, aurait su trouver les mots pour dire la grandeur de Jean Rustin qui vient de nous quitter à l’âge de 84 ans. Quant à moi, je n’ai su trouver que les mots de l’ami. Demeure l’œuvre à jamais.

(« Georges Limbour à Bry-sur-Marne, 1948 » photo recadrée de Geneviève Picon) ; « Dans l’atelier de Jean Rustin » photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans arts.

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commentaires

393 Réponses pour En suivant Georges Limbour, visiteur de tableaux

Sergio dit: à

Malade mental c’est déjà de l’identité…

Marcel dit: à

en se laissant guider son instinct,

Sergio dit: à

Antoine Blondin c’est quand même un rusé. Non seulement il a eu son billet tout seul pour lui, mais alors maintenant dans tous les râteliers pluridisciplinaire ! Et même l’Histoire où ça crépite… Il va rattraper le grand Charles ! Georges et Milou !

John Brown dit: à

Ils ne prient pas : ils nous prient. Leur prière nous invite à passer la ligne.

C’est une façon d’interpréter et d’orienter l’interprétation. On pourrait dire aussi qu’ils s’exhibent. On pourrait dire encore qu’ils sont exhibés. La compassion, en tout cas, n’est pas immédiatement donnée. Bien loin de là. Ce qui est donné à voir dans ces représentations est bien plutôt sidérant, stupéfiant, voire répugnant. Obscène, au sens premier du terme (ce qui ne devrait pas être montré sur la scène). La brutalité obscène égale ici celle d’un Bacon et reléguerait presque au rang de la bluette celle d’un Egon Schiele.

John Brown dit: à

Il faut des Rustin pour nous faire soupçonner enfin qu’une grâce puisse habiter cette humanité disgraciée.

Mmouais… Je ne la perçois pas du tout, pour m part, cette grâce. Attention à ne pas verser dans le réductionnisme humanistico-religieux. Il y a quelque chose d’obsessionnel dans le ressassement de ce peintre à peu près complètement enfermé dans une seule source d’inspiration. Où est la grâce dans ces étalements de chairs difformes, flétries, hideuses. C’est plutôt un monde de la damnation que de la grâce. L’enfer, ce sont ces autres…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…John Brown, c’est évident,…
…maintenant,…est-ce réellement lui,…ou est ce une mode ou il s’est tenu enfermé de peindre ainsi,…en scoop!,…
…ou un manque de lucidité de se sentir solidaire aux valeurs esthétiques perdues,…qu’ainsi!,…et pourquoi,…
…des tableaux pour quels murs,…dans quelle chambre de préférence,…mystères et bulles de gommes!,…etc,…

Sergio dit: à

Ben quoi c’est un peintre officiel des hostos… Comme Fernando l’est des restos…

versubtil dit: à

Merci pour ce double hommage Limbour/Rustin, Pierre Assouline, dont la réunion dans votre billet est tout à fait heureuse.
Car tous les deux furent « émus » par les « épaisseurs de pâtes » ou les « épaisseurs de chairs ».

rose dit: à

ai pensé à Bacon aussi
la douleur sourde

versubtil dit: à

« les corps nus qui fascinent tant Rustin sont un héritage des martyrs qui font cortège à l’art sacré depuis des siècles. »
Votre affirmation pose évidemment question.
Ne sont-ils pas cette « obsession » du même type que l’ on rencontre chez Soutine avec ses bœufs écorchés et ses poulets pendus ou bien même chez Hans Bellmer et ses corps poupées/pantins?
L’ obsession est obscène, elle ne joue pas hélas, la comédie!

rosette dit: à

ai pissé à Bacon au sang
le soulard darde

versubtil dit: à

Mais il existe bien une  » terreur sacrée » dans ses sexes ouvert comme des plaies de sacrifice, vous n’ avez pas tout à fait tort, Pierre Assouline.

John Brown dit: à

la douleur sourde (Rose)

Oui, comme ça, on peut entrer en communication avec ces personnages. Mais est-ce qu’ils souffrent ? Peut-être même pas. Au fait, si les nazis avaient gagné la guerre, jamais Rustin n’aurait pu peindre ces êtres souffreteux : pas seulement parce qu’on ne l’aurait pas laissé intoxiquer le Volk par une peinture « dégénérée », mais parce qu’il n’aurait plus trouvé de modèles.

bouguereau dit: à

Ben quoi c’est un peintre officiel des hostos…

des putes appelant leur peintre la théière, ça c’est le monde à l’endroit

Cassandre dit: à

Voilà votre promesse est tenue ! Merci.

« Juste en passant, Ce tableau m’a inspiré un texte sur son auteur, sur celui qu’il est pour être capable de peindre ça. Si vous insistez vraiment beaucoup, je le mettrais en ligne qui sait, on verra, peut-être… »
Rédigé par : passouline | le 22 juin 2008 à 18:16

bouguereau dit: à

mais parce qu’il n’aurait plus trouvé de modèles

de la part d’un keum qui sait voir un portrait depuis la tête de cheuloux..t’as une carrière davant toi

versubtil dit: à

Il existe un très beau texte de Georges Limbour à propos des « hautes pâtes » de Jean Dubuffet que publia le Galeriste Pierre Matisse en deux versions – anglaise et française – à mille exemplaires chacune, « Pain bon levain, à vous de cuire la pâte »…Tout comme les plaies, le pain fait sa croûte dans l’esprit du regardeur.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…en tout cas, c’est pas mon genre!,…etc,…
…rien à cirer,…la dedans!,…

bouguereau dit: à

Tout comme les plaies, le pain fait sa croûte

ma parole versubtil va nous parler de ses crêtes de coq..sa côte à jean marron elle va baisser

John Brown dit: à

S’il est une peinture dont le désir s’est radicalement exilé, c’est bien celle-là. Eros liquidé. Des viandes froides en instance de morgue. Il faut soi-même avoir installé quelque part la mort en soi pour être capable de peindre des trucs pareils.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…dans le même genre d’école,…
…vous avez aussi,…H.R.Ginger’s,… necronomicon,…

…en somme,…l’illusion des cadavres heureux,…etc,…

versubtil dit: à

Il ne s’opère aucun exil,JB, rappelez-vous la fente de la raie de Chardin.
Il s’ agit de peinture,  » ce n’est pas du vrai » dit très bien Rustin lui-même dans une vidéo mise en ligne sur ce blog, tout dernièrement.

John Brown dit: à

Il s’ agit de peinture, » ce n’est pas du vrai » dit très bien Rustin lui-même (Versubtil)

Ne connaissant jusqu’ici à peu près rien de Rustin, c’est justement la question que je me posais : quelle relation le peintre entretient-il avec ses personnages ( je n’ose pas dire avec ses « modèles » ) Est-ce qu’on est du côté de Goya ou du côté de James Ensor ? ou des deux? Projections d’obsessions personnelles, sans aucun doute; autrement on serait dans le constat tératologique, ce qui serait insoutenable. Assouline, qui semble avoir bien connu Jean Rustin, ne nous dit pas comment il peignait. Peintre visionnaire ou peintre réaliste ? Travaillait-il à partir de photos ? On aimerait en savoir davantage.

John Brown dit: à

rappelez-vous la fente de la raie de Chardin.( Versubtil)

Ma Josette, modèle pour Chardin ? pour Rustin ? On croit poser pour une nouvelle naissance de Vénus, et on se retrouve poisson avarié…

John Brown dit: à

Il s’ agit de peinture, » ce n’est pas du vrai » dit très bien Rustin lui-même (Versubtil)

Il est bon, le père Rustin, avec ses paroles rassurantes. C’est bel et bien du vrai, dès le moment où ça entre en moi.

Passou dit: à

A John Brown de 19h35, Rustin ne peignait ni ne dessinait jamais d’après modèle ni d’après photo. Les personnages et les situations qu’il peignait ou dessinait de manière répétitive et obsessionnelle depuis une trentaine d’années ont surgi après son propre séjour en HP. Une scène à laquelle il assista sans faire exprès le fit basculer : alors qu’il peignait des fresques sur le haut des murs d’une salle, il assista sans le vouloir à la visite d’une jeune malade par un professeur de psychiatrie et ses étudiants. Ils la questionnèrent. A un moment, elle se dénuda et se masturba. Ils éclatèrent de rire et la laissèrent là. Elle incarnait la solitude dans toute sa misère psychique. Rustin était en haut de son échelle. Il comprit ce jour-là de quel côté était l’obscénité. Cela changea son regard du tout au tout.

P.S. C’est curieux, nul ne remarque la beauté du regard et de l’expression du visage de Georges Limbour

Sergio dit: à

John Brown dit: 29 décembre 2013 à 19 h 02 min
si les nazis avaient gagné la guerre

Peut-être pas Rustin, mais Botero travaillant à Carinhall… Der Dicke jouant au train électrique !

Sergio dit: à

Non mais honnêtement dans le métropolitain et sur les plages on en voit des palanquées…

rose dit: à

vous dites « ob » comme signifiant hors de, à l’extérieur. Je le lis en latin comme signifiant devant.
N’est ce point mettre au devant de la scène, ce qui d’évidence rend obscène ?

que dire alors d’obvious ?
et d’obséquiosité ?

à +

mille c’est bcp.
Pas l’habitude.

rose dit: à

Si l’avais remarqué. La clarté des yeux. Plus pâle que le bleu.
Bel homme (recul immédiat).

rose dit: à

J’avais compris autoportrait pour Rustin. Lui, devant la toile, ouvrant les mains.

TKT dit: à

Passou, oui, Limbour a un beau visage et de beaux yeux, un regard lumineux.

rose dit: à

C’est bel et bien du vrai dès le moment où cela agit sur moi.

Entre en moi. Si je n’y prête pas d’importance cela n’agit pas sur moi.

Êtes-vous d’accord ?

Comme la littérature l’art agit sur moi. Pas la même chose pour chacun.

Un jour, à Berlin, une toile a énormément agi sur moi : peinte par Lucas Cranach l’ancien elle nous montrait le christ de douleur martyrisé par les soldats, le flagellant etc. Sur leurs visages à eux il y avait la mauvaiseté. Sur son visage à lui, il y avait l’acceptation.

Depuis, je me trimballe ce tableau dans ma tête.
Fan de chirchourle c’est encombrant, mais je me le trimballe.

versubtil dit: à

 » Elle incarnait la solitude dans toute sa misère psychique. »Pierre Assouline.

C’est bien cela qui est obscène, l’ autisme de ses personnages, comme chez Egon Schiele, entre autres.
( Voir sur le sujet de Paul Ardenne, L’ Image corps – figure de l’ humain dans l’art du XXe siècle, éditions du regard 2001 et plus spécialement le chapitre  » Isoler l’ humain ( tant de solitude)où coexistent les nus de V. Corpet, Jean Rustin ou bien même de Djamel Tatah en reproduction couleur.
..Et encore et surtout la photographie de John Coplans intitulée Hands holding, 1985 qui ressemble fort étonnamment à certaines peintures de Jean Rustin.

Jacques Barozzi dit: à

« Demeure l’œuvre à jamais. »

N’est-il pas un peu difficile de vivre avec une toile de Rustin accrochée au salon, Passou ?
Pas dans la chambre !

des journées entières dans les arbres dit: à

« Georges Limbour n’a jamais rien écrit sur Jean Rustin »

C’est heureux.
JB fait le job, à merveille, je trouve.

des journées entières dans les arbres dit: à

Très bel homme, Georges Limbour, c’est vrai.

Terreur et désolation dit: à

@Jacques Barozzi,
Dérangeante la peinture de Jean Rustin, bien plus dérangeante qu’un certain art contemporain pseudo-transgressif.Certains critiques d’art institutionnels ne s’y sont pas trompés en taxant l’ œuvre de Rustin de « pornographique. »
Le juge Pinard trinque dans les tribunes du chapiteau de l’ art bien propre sur lui.

Passou dit comme le peintre... dit: à

 » l me semble que personne ne devrait s’étonner, qu’un peintre puisse passer directement et sans trop de problème, de la non-figuration à des images de corps nus très figuratives, à des études de corps nus, à l’utilisation du corps nus, sans passer par la représentation d’autres images du réel.

C’est qu’en effet, les hommes et les femmes nus ne se rencontrent pratiquement jamais dans la vie habituelle – sauf en quelques situations remarquables liées à l’amour, à la maladie, à la solitude, à la folie, à la mort – et cette énumération suffit à donner toute sa force au concept de corps nu. 


L’image que chacun de nous a du corps nu – le sien ou celui de l’autre – est une image intime, variable, malléable, une création de l’esprit et du désir, un concept presque abstrait, (tellement il est chargé d’affectivité) propre à chacun de nous. 
Bien sûr, chacun choisit – ou ne choisit pas l’image qu’il souhaite donner de lui-même et du monde. 


Pour moi le corps mis en scène, théâtralisé par l’espace vide et clos du tableau, est l’image qui me permet d’exprimer avec violence et de la façon la plus directe, les sentiments et les désirs conscients et inconscients qui m’habitent et que je ne saurais traduire autrement que par ces images. Images que je laisse à d’autres le soin d’interpréter entre l’érotisme, l’obscène, la pornographie, mais aussi la tendresse, la pitié et le sacré. 


Ces corps que je peins, je les caresse et je les travaille, jusqu’au moment où je suis fasciné moi-même par leur présence sur la toile, présence que toute la beauté de la peinture doit concourir à porter à son maximum d’efficacité. 
Et j’ai conscience qu’il y a derrière ma démarche d’aujourd’hui, derrière cette fascination du corps nu, vingt siècles – et bien plus – de peinture, surtout religieuse. Vingt siècles de Christs morts, de martyrs torturés, de révolutions sanglantes, de massacres, de rêves brisés, et que c’est bien dans le corps, dans la chair que finalement s’écrit l’histoire des hommes et peut-être même l’histoire de l’art. » 



Jean Rustin

In Fondation Jean Rustin
http://www.rustin.be/

John Brown dit: à

C’est curieux, nul ne remarque la beauté du regard et de l’expression du visage de Georges Limbour

Ce visage est si beau que tout le monde l’a remarqué mais que personne n’ose en parler. La beauté de ce visage est du genre qui impressionne et intimide, sans doute à cause de son côté mystérieux. Merci pour vos précisions concernant le travail de Jean Rustin, que je comprends mieux maintenant; je comprends mieux aussi ce que vous en écrivez. J’étais troublé par le contraste entre l’apparence de cet homme que j’imagine doux et bon, et l’extrême violence de ses peintures, leur silence hagard.

des journées entières dans les arbres dit: à

« c’est bien dans le corps, dans la chair que finalement s’écrit l’histoire des hommes et peut-être même l’histoire de l’art. »

Ah, ben effectivement un séjour à l’hôpital, comme expérience de galerie d’art cela peut se concevoir.
Remercions ici l’extraordinaire vocation du personnel hospitalier, artiste qui s’ignore.

On peut penser l’art « humain » autrement et ne pas adhérer à ces « visions », j’espère !

bouguereau dit: à

P.S. C’est curieux, nul ne remarque

fais gaffe lassouline, tu parles comme hr..

bouguereau dit: à

L’image que chacun de nous a du corps nu – le sien ou celui de l’autre – est une image intime

bon..sagit des caractères de note race aussi..chais pas comment un grec l’aurait pris..pis franchement le coup du toubib salace..sans déconner, serais ce que les fresques de salles de garde serait du coté du salace ?..ça va bien cette opa neuneu sur le nu..core un peu ça frait pleurer

John Brown dit: à

C’est juste qu’on entend crier les tableaux

Ou alors on est saisi par la violence de leur silence, et c’est la même chose.

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est sûr, JB; il manque le son.
Le son sans lequel cette souffrance -sur laquelle on s’esbaudit ici-, fait qu’encore une fois, il est préférable d’aimer la voir en peinture.

Bonne nuit, et surtout: beaux rêves.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 29 décembre 2013 à 22 h 27 min

Tais-toi, t’es vraiment pas au niveau.
L’art de salir ça intéresse qui?

bouguereau dit: à

C’est sûr, JB; il manque le son.
Le son sans lequel cette souffrance -sur laquelle on s’esbaudit ici-

tatata..c’est dabord dla peinture..pas forcément dla mauvaise dailleurs, il est fort urgent de « prende distance » et de s’arrêter sur le sujet et de voir la manière, la fascination les larves et autre foetus sont une tradition, trés prégnante dans la sousculture, la bédé de l’époque par exempe..mais bien sûr on va calaculer le sacré le gothique et les trémollos..ça fait mieux..dommage

bouguereau dit: à

de ne pas saréter que sur le sujet

bouguereau dit: à

L’art de salir ça intéresse qui?

t’es un cucul cheuloux, un sousfifre, un croyant, un bigot, de notre temps on appelle ça d’un joli mot qui tue : la cible

bouguereau dit: à

..ce mec utilise de grossières ficelles..soit..tom of finland c’était les grosse bites, pourquoi pas..il nous fsait pas chier avec caravagio..étché homo

Chaloux dit: à

Bouguereau fait des efforts démesurés essayer de prouver qu’il pense, ce qui comme chacun sait ici relèverait du miracle.
Et il s’enfonce…
Trop drôle.
Quel thon tu fais…
Mais tais-toi donc…
AH AH AH
Chaloux (plié en deux).

kicking dit: à

L’art de salir ça intéresse qui?

tu vis sur quelle planète ? Jupiter ?

Chaloux dit: à

Le Boug, être jugé comme ça par un mec de ton acabit, je vais te dire, c’est bon. t’es thon comme les bourgeois de Flaubert. Tu t’en aperçois pas mais tu es un Homais grandeur nature… Petite cervelle, va…

bouguereau dit: à

AH AH AH
Chaloux (plié en deux).

bon..c’est un rien un peu forcé..plus de naturel dans la pose élève cheuloux..l’art est difficile

bouguereau dit: à

Petite cervelle, va…

fort possibe..au moins c’est la mienne cheuloux..pas celle d’un panel de marketeer..t’es océne comme dirait lassouline..non rustingue

bouguereau dit: à

et tut m’éprends, jle juge pas le rustingue..pasque si tu crois que c’étais un faible d’esprit a qui il faut causer bas tu manques tout l’plaisr dla barbouille mon ami

l'art si tard, se mêle aus dieux dit: à

« Ah, ben effectivement un séjour à l’hôpital, comme expérience de galerie d’art cela peut se concevoir. »
Cette phrase ne veut rien dire, perché dans les arbres!

John Brown dit: à

Je suis frappé par la frontalité de ces figures. Presque toutes nous font face. Elles posent pour l’objectif. En fait, celui qu’elles regardent d’abord, c’est celui qui les a tirées des ténèbres de son inconscient; elles en émergent pour se poser dans ce face-à-face muet entre le peintre et ses propres fantasmes. Ou alors, elles lui tournent le dos et lui (nous) montrent leur cul. Mais le profil est à peu près absent. Il y a un humour quelque peu lugubre dans ces peintures.

Jacques Barozzi dit: à

C’est sûr que la belle gueule de Georges Limbour nous change des gueules de thons rances de Chardonne et Morand !

Jacques Barozzi dit: à

Vous auriez fait d’excellents modèles pour Jean Rustin, le boug et Chaloux !
De face et de cul…

Sergio dit: à

kicking dit: 29 décembre 2013 à 22 h 46 min
Jupiter ?

Ca a pas été dégradé du rang de planète par les instances omnipotentes ? Parce que voilà, on s’enfoncerait dedans inside pire que dans la vase à Balbec…

bouguereau dit: à

la belle gueule de Georges Limbour nous change des gueules de thons rances de Chardonne et Morand !

..t’es comme lassouline..tu juges les gouts des hétéros..pour nous le moche et le faux cul est du plus sexy..on est plus honnête dans l’fond

Chaloux dit: à

Le Boug, je vais te dire le fond de ma pensée. Tu es issu d’un groupe social auquel on a fait croire, pour mieux le posséder, que démystifier c’est penser. Par exemple, pour essayer de remettre en route ton cerveau à l’arrêt (une espèce de « sortie de garage » en somme), je te signale dans Vies de Job, d’admirables pages dans lesquelles Pierre Assouline explique qu’il est revenu à certaines préoccupations fondamentales. Et je ne crois pas qu’il s’en sente floué. Dans l’histoire, c’est toi qui l’est, avec ton ouvre-boîte qui n’ouvre rien d’autre que les conserves que tes amis te lancent, et cette débilité satisfaite, cette inanité impossible à cacher, dès qu’il faut rentrer dans des données complexes.

John Brown dit: à

les larves et autre foetus sont une tradition, trés prégnante dans la sousculture, la bédé de l’époque par exempe.. (bouguereau)

ça c’est une fameuse piste. Il faudrait explorer les affinités. Sous-culture mon cul. Bilal vaut Rustin. Au fond, les peintures de Rustin feraient une superbe BD, à condition de trouver le scénario. Mais il n’y a pas de scénario possible parce que toutes ses figures disent la même chose. Les figures malheureuses n’ont pas d’histoire.

kicking dit: à

par les instances omnipotentes ?

ah ça tu dois le savoir mieux que moi.. forcément..

bouguereau dit: à

Tu es issu d’un groupe social

..sapré cheuloux

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 29 décembre 2013 à 22 h 47 min

AH AH AH
Chaloux (plié en deux).

« l’art est difficile »

Le Boug, pas de leçons sur cette question. Evite

Chaloux dit: à

Bah oui, mon gros, tu es issu d’un groupe social, comme tout le monde.
Le tout est de savoir s’en extraire pour aller voir ailleurs. D’où qu’on vienne.
Mais ne regrette rien, avec le peu de gingin que ton créateur t’a accordé, t’aurais pas pu aller bien loin.

bouguereau dit: à

Les figures malheureuses n’ont pas d’histoire

dans l’ilumination de rustingue y’a comme un respect receuilli que l’ont a pour le facteur cheval..il est issu d’un groupe social comme dirait cheuloux..c’qui est folklo jean marron c’est qule mec faisait dlart avant..abstrait..
chais pas si tu vois..comme si damien hirst se convertissait a l’islam quoi..bien sur jicé en rirait, il ne respecte rien

bouguereau dit: à

tu es issu d’un groupe social, comme tout le monde

t’aurais du faire du rap cheuloux

l'art si tard, se mêle aux dieux dit: à

« chais pas si tu vois..comme si damien hirst se convertissait a l’islam »

On part d’ une succession art non figuratif à art figuratif pour en tirer une conclusion qui compare une pratique artistique à une croyance religieuse!
Gros nul!

Chaloux dit: à

Ce sera pas du rap, Le Boug, mais il y a longtemps que je me suis pas farci un gros con. C’est ton tour, il faut croire. Et je vais être d’une patience… d’une patience d’ange…et crac !
Bonne fin de soirée,

Chaloux dit: à

l’art si tard, se mêle aux dieux dit: 29 décembre 2013 à 23 h 19 min

« chais pas si tu vois..comme si damien hirst se convertissait a l’islam »

On part d’ une succession art non figuratif à art figuratif pour en tirer une conclusion qui compare une pratique artistique à une croyance religieuse!
Gros nul!

Non seulement, c’est d’un gros nul, mais ça vous a un petit côté abject. Bon, on le sait, les premiers adhérents aux partis d’extrême droite sont des transfuges des partis d’extrême gauche.
On commence à mieux te situer, Le Boug, mais ça va venir,- on saura tout.

Chaloux dit: à

Oui, Bérénice. J’ai l’impression qu’on ne sait qu’assez tard vers quels horizons on est aimanté, pour parler comme Gracq. Mais on ne peut pas le savoir si on ne s’est pas d’abord délesté de ce qu’on vous faisait porter sans même qu’on s’en rende compte. cette une ascèse, comme le mysticisme ou la pratique musicale, ou l’écriture, comme tout ce vers quoi on s’aventure sans pensée de retour. Pas du tourisme. Les vrais voyageurs sont des errants.

Chaloux dit: à

C’est une ascèse. Fatigue…

John Brown dit: à

Vu la vidéo signalée par L’art si tard à 22h59. Rustin y explique 1/ qu’il n’avait pas envie de refaire plus ou moins ce que d’autres avaient fait avant lui 2/ qu’il a trouvé sa voie personnelle sans vraiment le vouloir, que c’est venu tout seul; et c’est comme ça qu’il est arrivé à dire en peinture ce qu’il était seul capable de dire. C’est une leçon que tous les jeunes artistes devraient méditer.
On le voit aussi montrer une série de dessins, qu’il lui arrive de retoucher sous nos yeux, notamment des figures féminines : significativement, il efface les détails qu’il juge trop érotiques (fesses, chutes de reins).

des journées entières dans les arbres dit: à

« Au fond, les peintures de Rustin feraient une superbe BD »
Excellent JB, c’est vrai qu’à bien y penser, avec beaucoup d’imagination, y’a du Bilal.
( Vol.  » fin de siècle », les nus in « partie de chasse »)

Vos onomatopées « l’art si tard » de 22H53, ne me parlent pas.
Vous avez déjà eu l’occasion de fréquenter un hôpital, service gériatrie, service le plus désert, après ceux des soins paliatifs ? ou un service d’HP, avec son et couleurs naturelles ?!
Alors effectivement restez-en à Rustin.

Il y a un artiste qui a mis en scène au théâtre un patient souffrant d’une atteinte neurologique, qui se met à peindre.
Cela avait une autre dimension.

Chaloux dit: à

John Brown dit: 29 décembre 2013 à 23 h 46 min

« significativement, il efface les détails qu’il juge trop érotiques (fesses, chutes de reins). »

Comme le temps…

Sergio dit: à

On peut être malade mental et taillé comme l’Apollon du Belvédère…

Marcel dit: à

Passou dit: 29 décembre 2013 à 19 h 51 min

P.S. C’est curieux, nul ne remarque la beauté du regard et de l’expression du visage de Georges Limbour

On a votre portrait sous les yeux au quotidien, cela nous suffit monsieur Assouline.

D. dit: à

TKT dit: 29 décembre 2013 à 20 h 15 min

Passou, oui, Limbour a un beau visage et de beaux yeux, un regard lumineux.

Mais toi aussi, Thierry. Particulièrement luminieux.

bouguereau dit: à

Bon, on le sait, les premiers adhérents aux partis d’extrême droite sont des transfuges des partis d’extrême gauche

hof..pour toi mon cheuloux un vague radical sauce ou un démocrate chrétien payant son pizzo depuis 3 générations c’est tout comme un ukrainien toujours prés a remonter sur son mirador..bridé de gros fils blanc comme le chapon castré chimique que t’es, servi à la glowing sauce mystique à un concours de chef français à santamonica..t’as l’auréole

D. dit: à

Pour moi, ces tableaux ne sont pas finis.

bouguereau dit: à

On peut être malade mental et taillé comme l’Apollon du Belvédère…

putain l’inverse aussi sergio..dans l’hosto où je bossais comme brancardier y’avait un big service maboul..m’rappel d’une gonzesse super bien foutue qui se caltait toujours a poil en riant dans les couloirs..trés trés au fait de son pouvoir, assez immense faut reconnaitre..ceux qui riaient c’était surtout pour se donner une contenance

D. dit: à

Faut aller se coucher, Bouguereau. Il est tard.

bouguereau dit: à

Pour moi, ces tableaux ne sont pas finis.

c’est la néoténie dédé

D. dit: à

Faut aller se coucher quand même, Bouguereau.

Le chat dit: à

« Soit on prend la fuite avec force dénégation, soit on abdique avec faible sidération. »,
Tue Dieu :
comme descente de trip,
y’a mieux !!! !! !.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 29 décembre 2013 à 22 h 47 min

« ..l’art est difficile »

J’en fais la triste expérience en lisant ton 0 h 31 min

Quant au « castré chimique », lequel de nous deux l’est?
Chimique ou autre… C’est pace que ta môman t’a interdit de te servir du vrai que tu brandis toujours un ersatz?

D. dit: à

C’est pas sexuel, un tableau. Où elle est la pédogenèse ?

bouguereau dit: à

Faut aller se coucher, Bouguereau. Il est tard

ensemble ?.. jme tate dédé

bouguereau dit: à

C’est pace que ta môman t’a interdit de te servir du vrai que tu brandis toujours un ersatz?

chus issu d’un groupe social et j’ai eu une mère ..tu m’mets a jour cheuloux

Chaloux dit: à

Ce grand esprit est « brancardier ».
On croirait du Mocky…

bouguereau dit: à

On croirait du Mocky…

j’aime beaucoup mocky..avant qu’il radote..il a fait tout l’contraire de la mystique sur le tard lui..ha mais quel con à l’estomac lui alors..rooo

bouguereau dit: à

oui je suis issu d’un groupe social j’ai eu une mère et j’ai fait un long ptit boulot brancardier..putain tu commences a avoir ta fiche cheuloux !

Chaloux dit: à

Boug le brancardier, commente le journal, avec tes potes au bistrot, c’est pour toi.
Pour le reste, laisse tomber. T’es pas au niveau, je te l’ai toujours dit. Pauvre thon à brancard.

Abdelkader dit: à

Abdel
celui que vous qualifiez de comédien est proche de ceux qui comme le nain de pq haïssent « les Arabes »et souhaitent qu’ils crèvent, il a d’ailleurs choisi comme parrain d’un de ses pauvres mioches un borgne qui a torturé vos frères

Je pensais que mes frères étaient aussi les vôtres? Sinon, je suis contre la censure d’où qu’elle provienne…c’est binaire…on y croit (et on l’applique, sinon ce n’est pas même pas la peine d’en parler) ou on n’y croit pas…et Voltaire il est ou dans tout ça?

Le chat dit: à

« Ils ne prient pas : ils nous prient. » :
Ainsi va les nuits,
Bad or Good,
touches par touches,
points à poings,
odeur de chaire/bougie,
ou à l’oreille distraite d’un bordel,…

Dodo dit: à

Le brancardier insubmersible à face d’étal de tripier a dû aller se coucher. D’un coup ça sent moins mauvais.

Abdelkader dit: à

Et plus on est en manque, plus on est paré pour la haine…

Euh…comment te dire mon garde-champête chéri? A Londres j’habite au premier étage d’un building victorien au beau milieu de Londres avec des pots de fleurs au balcon…dans le Yorkshire, j’ai un jardin dont duquel mes voisins me payent des compliments…Perso, je suis fier d’avoir réussi à élever un néflier à partir d’un noyau…faut le faire surtout à cette latitude…non ma passion pour le foot est socialiste…tout comme moi…c’est un effort de groupe, de solidarité qui vous mène quelque part…tu me saisis? Comment? Oui le rugby aussi, mais pas la chasse…cornard…l

Abdelkader dit: à

Et plus on est en manque, plus on est paré pour la haine…

Euh…comment te dire mon garde-champête chéri? A Londres j’habite au premier étage d’un building victorien au beau milieu de Londres avec des pots de fleurs au balcon…dans le Yorkshire, j’ai un jardin dont duquel mes voisins me payent des compliments…Perso, je suis fier d’avoir réussi à élever un néflier à partir d’un noyau…faut le faire surtout à cette latitude…non ma passion pour le foot est socialiste…tout comme moi…c’est un effort de groupe, de solidarité qui vous mène quelque part…tu me saisis? Comment? Oui le rugby aussi, mais pas la chasse…cornard…

Abdelkader dit: à

Désolé pour le doublon…mon pad est fâché avec moi…

JC..... dit: à

Si le socialisme était un effort de groupe, de solidarité, qui nous mène quelque part … ça se saurait ! Un constat objectif prouve l’inverse. Le Socialisme ? Il s’agit d’une nomenklatura comme une autre : « tu me protèges, je te protège ». Dans un bel emballage théorique et fumeux.

La chasse ? Il faudra bien la tirer un jour, pour nettoyer l’actions de ces braves gens qui merdoient d’incompétence, mentent et n’ont rien compris au match mondial, n’ayant jamais entrainé ni travaillé !

Continuons à regarder ces équipes de footeux de trente troisième division patauger dans la gadoue, chers bourgeois « socialistes », mes frères !!! Et continuez à rêver d’un meilleur monde en faisant tout ce qu’il faut pour ne pas y parvenir, sous le regard ironique de ceux qui savent et agissent efficacement.

Bonne année 2014, à tous et à toutes ! Et foin d’injures…

John Brown dit: à

Pour moi, ces tableaux ne sont pas finis. (D.)

Aucune oeuvre d’art n’est jamais « finie ». Elle est seulement arrêtée. Arrêtée à la date de…, comme on dit en langage juridique. Les dessins et les tableaux de Rustin font partie de ceux qui, plus que d’autres, suggèrent cet inachèvement constitutif de toute oeuvre d’art.

bérénice dit: à

J’avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage, elle a disparu

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

Je me suis assis auprès de son âme
Mais la belle dame s’était enfuie
Je l’ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

Je n’ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

Et j’ai crié, crié : « Aline ! », pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh ! j’avais trop de peine

bérénice dit: à

inachèvement constitutif
avez-vous des preuves, je crains pour vous le pire, cette généralisation abusive pour faire beau ds le blog va vous attirer des ennuis, vous savez courir et vite?

bérénice dit: à

oui c’est vrai Jacques c’est lui en slip et chaussettes, d’ailleurs il semble content de lui, un peu narquois.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les prétextes plausibles d’être  » choquer « ,…par des scènes témoins,…
…en psychiatrie et groupe d’analyse , il faut la chercher la cause du prétexte de n’avoir pas de goûts que celui de détruire l’art et ses figures emblématiques ,…
…et que pour se transcender dans l’approche des arts plastiques et sa transfiguration et à la représentativité dans l’émotion,…en partage équitable du  » secret « ,…

…çà fait, probablement 20 ans,…que des caméras sont autoriser à enregistrer les chambres des patients,…

…avec tout les compromis du bénéfice d’en douter,…
…avec,…des mélanges de tout les genres,…
…c’est que le personnel, aussi à une âme bienveillante,…il y en a pour tout le monde,…de toute sortes,…
…et si Madame un tel,…groupir sur prescriptions se repose, les jambes en l’air,…
…bien encadrée par des vagues de stagiaires tendus des muscles, encore dans la mousse du gland,…bang-bang !,…la Tour de Nèsle pour conscrits,…etc,…

…non, pas toucher aux masques et crèmes de Mm Xy,…
…des Catherine’s de Russie,…en veux tu du lupanar,…sans en être attacher-détacher aux Ô à SoeurBonnes,…
…les vîts pour la crème-fouettée,…
…l’argent,…le privé s’en met à genoux!,…etc,…

chantal dit: à

je ne pense pas, il mime plutôt son tableau, comme beaucoup de peintres, son sujet semble plutôt féminin.

ce qui est intéressant c’est qu’il peint le trouble de comportement, la déviance.

Mais n’est pas dans les personnes les plus renfermées que fermente les coeurs d’or.

La photographie montre un homme beau suivant certains canons très occidentaux, on nous écrit qu’il aimait les tableaux, pénétrait dans les ateliers, achetais à l’instinct des formes nouvelles de représentation de la figure et des objets.

C’est donc quelqu’un qui pratiquait l’écart entre les perceptions des autres et les siennes poussé par la curiosité, sachant reconnaître le travail accompli par l’artiste.

bérénice dit: à

Je vois à inscrire sa démarche de représentation dans le courant, les cinéastes s’intéressent de plus en plus et donnent à voir le vieillissement comme pour lui faire une place en bousculant un peu le dictature du beau qui nous inonde de la cuillère à café jusqu’aux affichages revues photos de mode etc Jean Rustin renvoie à Francis Bacon Botero Lucian Freud pour ce parti prix du choix, Le tableau autoreprésentation montre aussi comment les corps s’égalisent avec le temps, les hommes se féminisant les femmes se masculinisant? J’y vois effectivement une grande solitude qui se dévoile avec un air de demander maintenant que peut-on faire, que peut-on y faire? Une espèce de constat désemparé sans accusation.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…à rose,…pour le câble,…et tour,…
…il y a plus facile,…
…aujourd’hui,…
…construire un échafaudage en structure légère et de longue portée sur votre tour,…et simplement,…faire pivoter l’ensemble de l’échafaudage sur son axe de base,…
…et, vous faite tout les ponts horizontaux que vous voulez,…
…( avec les aménagements des principes ),…of course,…
…sans bises d’efforts !,…etc,…

Jacques Barozzi dit: à

Mais non, Chantal, Rustin dit tout simplement, sans mots et geste à l’appui, à son ami Passou, venu le photographier dans son atelier : « ma peinture c’est moi ! »
« Moi, pauvre Job, tel que Dieu m’a fait, et qui après m’être révolté dans l’abstraction ai fini par me résigner ma pauvre condition… »

Rien à voir avec la photo du lumineux Limbour, qui n’a d’ailleurs jamais visité cet atelier-là, pourquoi ?

bérénice dit: à

… le trouble de comportement, la déviance.
(Chantal)…

Jacques Barozzi dit: à

D’ailleurs, si l’on en croit le grand-oeuvre de Passou, l’humanité se résume en deux grandes catégories : les Job, rebelles puis résignés, et les Jacob, delui de la lutte avec l’ange.
Moi, comme Limbour, je pense relever plutôt de la deuxième catégorie…

Clopine Trouillefou dit: à

Wouah les belles mains de ce Monsieur Limbour (recadrées par Geneviève – toute une époque, ce prénom – Picon (?)) ! Grandes, soignées, mais pas du tout des mains d’intellectuel : elles sont fortes et charpentées. Elles prolongent le regard clair, non ?

Bon, quant aux tableaux de Rustin, là, j’ai du mal. D’abord parce que la folie m’effraie, que la souffrance ne m’apparaît jamais justifiée, que la décrépitude me terrasse et m’attend, en plus. Parce que je suis plutôt attirée vers le bonheur, c’est comme ça. J’aime vraiment vraiment vraiment beaucoup James Mac Keown. L’exact contraire de Rustin, qui ne partage avec lui que la discrétion. Mac Keown a capté la lumière de la côte normande, la transparence des vaguelettes où de beaux enfants trempent leurs pieds, de petits moments de bonheur léger : comme lorsque vous ramassez le sable gris des plages de la Manche, et que vous le laissez couler de votre main. La pâte de Rustin, qui hurle et crie, me colle, elle, beaucoup trop aux doigts : je ne peux donc que m’en détourner. En frissonnant.

chantal dit: à

En effet Bérénice, le cinéma nous a offert plusieurs films sur la fragilité de la vieillesse, Emmanuelle Riva si touchante dans « Amour » de Haneke, ou plus modeste le dernier film avec d’Alain Resnais, « vous n’avez encore rien vu » . De plus en plus de comédies comme le remarquable « Quartet ».

J’i bien lu le billet, il n’est pas écrit que Limbour a visité Rustin, C’est PA qui s’imagine dans ses pas, peut-être pour prendre cette distance propice à flâner dans l’imaginaire de quelqu’un qu’il sait physiquement disparu, mais reste dans ses affections profondes, il le dit dès l’entame, ses fantômes de papiers ..

J’ai à rédiger, ordonner mon année maintenant, so, je laisse la voie sur ce fil, ouverte, je n’ai que la mienne

Mesures et Poids dit: à

dieudonné bientôt censuré… et son pote boudegras ici, c’est pour quand ?

Paul Edel dit: à

ce que j’aime bien chez Limbour, c’est qu’il vécut longtemps à Koritza en albanie (1924-1925) , puis en Egypte, puis à Varsovie et hongrie de 1935 à 1939. mais surtout il a traversé à pied le Djebel Druse. aprés guerre il passa beaucoup de temps sur les plages du Sud de l’espagne et pratiquait la peche sous marien.son auteur préféré? Rimbaud.

l'art si tard...mélodieux? dit: à

« Vous avez déjà eu l’occasion de fréquenter un hôpital, service gériatrie, service le plus désert, après ceux des soins paliatifs ? ou un service d’HP, avec son et couleurs naturelles ?!
Alors effectivement restez-en à Rustin. »

( par perché dans les arbres)
Je connais bien tout cela et même la littérature des malades dits mentaux et votre phrase citée ne veut rien dire. Excusez moi de me répéter…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…à déchiffrer et traduire !,…

…la peinture à tout, de l’art de vivre,…

…et de la toile bien tendue,…
…et du cadre renversé,…et du fil a plomb,…et du report,…et des images enchevêtrées,…des cousues-mains de restaurations,…

…au fond, l’âge de la politique en miniature,…
…les longues poses du modèle,…de remplacement,…des enfants de pères inconnus,…enfin,…
…la gestuelle des maîtres-queues en concombres essentielles pour tapir l’artiste au repos,…
…fermé les yeux,…4-4-2-6-8,…c’est le dard gagnant du tiercé,…etc,…

l'art si tard.. dit: à

« Bon, quant aux tableaux de Rustin, là, j’ai du mal. »Clopine.
Ah la peinture qui fait du bien!
C’est comme la philosophie d’Onfray qui fait du bien à ce que l’on pense déjà!
Comment peut-on trouver génial d’ un côté les monologues du vagin et pas la peinture de Rustin qui tient presque les mêmes propos, mais par les moyens silencieux de la peinture.
On peut même dire qu’il est plus complet. Ce sont les monologues de pénis et du vagin!

l'art si tard.. dit: à

Pour moi, ces tableaux ne sont pas finis. (D.)
Si D était un peu plus attentif aux propos de Rustin, il saurait que pour lui, le dernier tableau est le meilleurs…

chantal dit: à

paul edel merci pour ce complément qui donne un éclairage sur la personnalité de Limbour, j’ai lu un de ses amis, André Dhôtel, voyageur donc, peut-on imaginer qu’il a croisé Brancusi ?

Limbour ( un nom qui évoque une province sans le G )

l'art si tard.. dit: à

ce qui est intéressant c’est qu’il peint le trouble de comportement, la déviance.Chantal.
Non Chantal, il peint ce qu’il peut, jusqu’au bout, jusqu’à la fin. Et il ne reprend pas ses dessins pour faire « moins pornographique », comme l’ a écrit quelqu’un sur ce blog mais parce que la forme doit être le plus efficace possible pour rendre ce qu’il veut. C’est à dire son style propre!
Il s’ escrime sur les petites et grandes lèvres comme Soutine s’ acharne sur les côtes de bœuf!Le sujet est un prétexte, comme Cézanne qui veut nous rendre sa vérité en peinture avec ses pommes ou sa Montagne Sainte Victoire.

des journées entières dans les arbres dit: à

l’art si tard…mélodieux? dit: 30 décembre 2013 à 10 h 14 min
well Docteur, si vous connaissez tout cela, alors, je n’ai rien à vous dire, à vous.
Sauf à extrapoler le « sujet ».
J’ai vu hier soir une émission sur le parcours du professeur Cabrol, j’avoue que cela remet bien mieux certaines pendules à l’heure. La mienne, c’est certain, pour aujourd’hui, au moins.

JB, en introduction de cet ouvrage de Bilal et Christin, « fins de siècle » il y a cette phrase de Goya: « le sommeil de la raison engendre des monstres ».

chantal dit: à

l’art si tard, je comprend que Rustin peint ce qu’il peut, donc peut-être alors si sa peinture est ce qu’il peut faire, sa peinture est le prolongement de lui-même comme le dit Jacques Barozzi.

Je ne saisis pas d’un côté il estompe certaines parties, dans d’autres il s’acharne selon vous, je n’ai pas de catalogue de son oeuvre sous les yeux, ce qui m’interpelle c’est le moment de fracture, celui où il bascule et ce basculement intime éclate sur la toile, désinhibé.

la folie, fait peur, peut-etre, moi c’est la norme qui m’effraye davantage.

JC..... dit: à

Mesures et Poids dit: 30 décembre 2013 à 10 h 07 min
« Dieudonné bientôt censuré… et son pote boudegras ici, c’est pour quand ? »

Pourqu’il y ait des X-Philes, il FAUT qu’il y ait des X-Phobes, sinon cela n’a pas de sens.

Autoriser un « humoriste », même mauvais, à se moquer du monde, càd de X, Y ou Z, n’épargner personne, c’est ça la liberté d’expression. Longue vie aux monstres, à bas la langue de bois du politiquement correct…. !

l'art si tard.. dit: à

chantal dit: 30 décembre 2013 à 10 h 44 min

Il  » s’escrime » ai-je écrit, Chantal, soyons précis car j’ aime les écrivains critiques d’art. Les mots ont ici leur importance!
Il se bat, il crayonne, il efface, il a des repentirs dans l’ exécution de ses dessins – quel mot fort exprimant une technique ou une pratique picturale! – il n’ a pas de certitude.
C’est pour cela qu’il y reviens sans cesse.
Tiens, vous en connaissez des acharnés du bouquet de fleur? Cela peut en être bien plus obscène!
( Je songe à Gorgia O’Keeffe…)

l'art si tard.. dit: à

(il y revient..Tenez…)

chantal dit: à

l’art si tard donc pour vous ( je comprend l’allusion à l’acharnement sur le bouquet de fleurs), si je vous suis c’est la trace, l’empreinte de ses hésitations à dévoiler ou cacher qui est composante de son travail.

l'art si tard.. dit: à

Chantal, oui, mais il il a exécution/achèvement du motif…mais apparemment pas du sujet puisqu’il y reviens, il se remet à l’ ouvrage…

l'art si tard.. dit: à

A propos des sexes ouvert des femmes…

« Pour ces Dames, plus de montre ou de collier qui limiteraient leur pouvoir et les ramèneraient à femmes du commun. Mais au lieu de camée, le sexe. Si l’on admet la nature du camée-objet, marqué dans la chair, le sexe ne pourrait-il, par un processus contraire, être isolé de son support et érigé en objet indépendant?
Nous sommes donc partisans de l’ affranchir : qu’elles le déposent au vestiaire. »
Mais qui donc a écrit ce texte?

bouguereau dit: à

Moi, comme Limbour, je pense relever plutôt de la deuxième catégorie…

t’es du bord de ceux qui disent qu’leur adn vaut lcoup baroz..rustingue c’est la déconfiture dans l’calbut..un genre de queunelle au créateur.. »allo ziva ma reum comment qutu m’a niqué chus qu’un bolos..comment qu’tu m’as fait que chus qu’un gros veau.. »un rap a la cheuloux

bouguereau dit: à

ça svoit trop que cque t’aimes dans limbourg c’est toi polo..
moi chtrouve comme vontraube que ce display dl’assouline il est un peu nazi..en preum l’aryen inaxessib « que c’est étrange qu’on ose pas s’identifier » comme il dit dailleurs et en dsous l’unteurmèneche..l’artété dont duquel dirait gaga que jean marron est forcé d’s’identifier..chus dac avec lui c’est bien pire que dieudonné

bouguereau dit: à

Aucune oeuvre d’art n’est jamais « finie ». Elle est seulement arrêtée. Arrêtée à la date de…, comme on dit en langage juridique

excellent sujet jean marron, en tout cas elle est associé à la vie de l’artiste lui même, et sa mort signe la fin de son oeuvre et surtout la possibilité de gérer enfin sa cote, ça ne parle pas que d’argent, c’est technique, t’as raison, tout tableau est devenu dans « l’art bourgeois » un « à suivre »..

bérénice dit: à

« l’art si tard, je comprend que Rustin peint ce qu’il peut, donc peut-être alors si sa peinture est ce qu’il peut faire, sa peinture est le prolongement de lui-même comme le dit Jacques Barozzi »
Ma foi, sa peinture est une tentacule, un pode, un pseudopode et en toute logique comme on déclare, excepté en cas d’expertise allégeant, le criminel coupable, il est encore faisable de déclarer responsable Jean Rustin, qui peint ce qu’il peut avec les moyens qui sont en sa possession et l’acuité qui est la sienne, sans omettre sa sensibilité façonnée, vraisemblablement comme celle de tout un chacun hors anesthésie ou pathologie isolante, comme un matériau, par les multiples expériences et épreuves traversées tout au long du fleuve que fut son existence.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…JC,…des variantes S.V.P.,…

…il n’y a pas de solution à notre médiocrité sociale,…
…il faut faire avec,…
…le changement de la caste au pouvoir par une autre,…ne change rien,…
…participer aux solutions nous soulage des peines inutiles & temps perdus,…
…au fond,…celui-ci,…participe du précédent,…et le prochain s’en foutra plus encore des détails à 6 millions de chômeurs avec bac +10,…
…le château subviendra aux laisser pour compte,…question d’Ö sous les ponts,…et corporations de la mendicité des voies électorales,…
…ou irions nous en T.G.V.,…presser comme des sardines,…au Cantal,…en Gironde,…la côte d’Adam,…en compagne de soudards à Eve!,…etc,…

…fait comme les acteurs,…donne du change et garde les voiles de la distanciation à nos Tartufes de Stalag 13 à l’€uro,…Croupir!,…
…etc,…

versubtil dit: à

l’art si tard.. dit: 30 décembre 2013 à 11 h 31 min

Il s’ agit de toute évidence d’ un texte de Georges Limbour à propos de ces corps de hautes pâtes de couleurs vinasseuses, grumeleuses, corps d’ araignes dont seul apparait la plupart du temps un gros sexe fendu de Jean Dubuffet nommées  » Corps de Dames ».
Ce texte est extrait des cahiers du Collège de Pataphysique Dossiers 10 et 11 page 67 ( de mon exemplaire en édition originale).
L’ article de Limbour, intitulé :  » Introduction à un vestiaire & à un mobiliaire  » commence ainsi :
 » Parmi tous les objets de fabrication humaine, un peintre opère une sélection, le critérium de ce choix étant la forme, ou le contenu affectif l’esprit. Les objets élus, plus ou moins nombreux – généralement leur nombre est restreint, cette limitation convenant yeux au peintre – forment donc une famille. Chacun, tout en ayant son caractère propre, révèle l’esprit de la famille. »

On peut penser que Limbour eût aimé rencontrer le peintre Jean Rustin…

Passou fait son Georges dit: à

Il faut des Rustin pour nous faire soupçonner enfin qu’une grâce puisse habiter cette humanité disgraciée. Qui dira jamais la charge et l’intensité d’un personnage nu dans un coin ? L’anormal, c’est toujours l’autre. L’indécence n’est pas toujours là où la société la dénonce. Depuis, il peint et il dessine ça : ce cri, cet effroi, cette douleur, cette souffrance, cette misère. La solitude qui les réunit tous. Il flotte sur ces visages tordus un souvenir de ténèbres surgi des replis de l’âme. Ils ont vu ce qui nous demeure invisible. De retour, ils racontent.

bouguereau dit: à

on peut l’voir comme ça lassouline..mais est ce si utile de moraliser ?..note quand tarentino dit qu’il dénonce la violence ça rajoute comme un frisson

Passou fait son Georges dit: à

Tarentino laisse s’exprimer son penchant sadique, cependant alors que peut-être il ne l’eut pas fallu, j’ai beaucoup aimé son humour dans « boulevard de la mort », moins ri dans « inglorious bastard » alors même qu’il rend, en gros, la monnaie de la pièce aux SS dans cette scène en les abattant un à un d’une façon assez cruelle puis les scalpant.

JC..... dit: à

Je n’aime pas le travail de Rustin.

Je sais vous vous en battez les oreillettes … mais je tenais à vous faire savoir qu’il est inutile de m’en offrir un : « l’horreur » partira immédiatement à la vente sur e-bay, puis leboncoin…

JC..... dit: à

…puis Emmaüs…

leonard dit: à

@Abdel
« Je pensais que mes frères étaient aussi les vôtres? »
on est tous frères, ce n’est pas l’avis des jicés et autres grands humoristes potes à lpn

« Sinon, je suis contre la censure d’où qu’elle provienne…c’est binaire…on y croit (et on l’applique, sinon ce n’est pas même pas la peine d’en parler) ou on n’y croit pas…et Voltaire il est ou dans tout ça? »

Alors vous avez sûrement été choqué quand, excédés par les appels au meurtre lancés par des prédicateurs, les Brits ont fini par virer ces derniers

leonard dit: à

Longue vie aux monstres, à bas la langue de bois du politiquement correct…. !

c’est ce que disent les fafs

robert dit: à

JC et Abdel sont plus près que jamais l’un de l’autre

robert dit: à

@JC « Longue vie aux monstres, à bas la langue de bois du politiquement correct…. ! »

c’est ce que disent les fafs

Marcel dit: à

La nuit étoilée
(Vincent Van Gogh 1889)

Le village est blotti dans le creux des collines,
Titanesques corps bleus de monstres abattus.
Un troupeau de forêts broute leurs flancs pentus
Protégeant les maisons du danger des ravines.

La nuit s’installe avec des reflets violines.
Face aux fenêtres d’or, des ifs noirs et tortus
Narguent le fin clocher de leurs faîtes pointus.
Le peuple paysan veille dans ses cuisines.

Sait-il ce qui se passe au-dessus des toits clairs ?
Ou n’est-ce de Vincent que visions d’éclairs,
Un ciel faramineux dans les yeux d’un myope ?

Les astres et la lune embrasent les néants,
La voix lactée explose en spires et galope
Dans un charivari de cachalots géants.

Jean Calbrix, le 1/03/05

bouguereau dit: à

« l’horreur » partira immédiatement à la vente sur e-bay, puis leboncoin…

dis le que ça trappelle trop keupu la raclure..et qut’oses pas ldire..t’es encore trop judéochrétien jicé..héliogabale t’aurait enduit de goudron pour éclairer un rond point..note ça aurait fait un beau tableau..rénato l’aurait payé en franc suisse

jicé la raclure dit: à

La solidarité c’est ringard, la jungle l’avant-garde, la modernité,le ps égale le goulag

bérénice dit: à

JC il n’est pas pensable pouvoir aimer tout le monde, pourquoi croyez-vous, outre l’angoisse de la mort jamais vaincue au final à moins que, que l’homme ait distillé ses religions, promettant toutes la vie éternelle, la chrétienté, c’est nous les champions hourrah hipipip, préconise en effet, pour désamorcer au départ les feux que la mesquinerie l’envie orientent à la haine, à la partialité, à l’usure, à l’enrichissement quelqu’en soit la facture, d’aimer son prochain, tous ses prochains quelqu’en soient la texture les composants actifs ou latents, visez un peu le travail de titan que ce précepte en recommandation a d’utopique. Une idée moyen-ageuse moins l’inquisition à visiter entre deux avions.

bérénice dit: à

Marcel il y a du Giono en vous, vous souvenez-vous de cette histoire de pintade, belle comme la nuit qui vous occupe,dans que ma joie demeure. Votre poème en sente pentue dans la nuit provençale glacée ventée avec ce ciel immense constellé.

à l'encan dit: à

la vente sur e-bay, puis leboncoin…

Pauvre pomme qui n’y connais rien ( plouc serait le mot juste…), vu sa côte, c’est Sotheby’s, Christie’s voire Artcurial !

bérénice dit: à

JC : pour parfaire le style andouille, aimez-vous les uns les autres… Sans doute la première question critique qui fut ouverte à la réflexion des plus doués d’entre tous .

JC..... dit: à

à l’encan dit: 30 décembre 2013 à 13 h 39 min

Comment disait l’autre ?
« C’est un délice de fin gourmet que d’être pris pour un imbécile par un plus c… que soi »

Madame Verdurien dit: à

« c’est juste qu’on entend crier les tableaux » dixit Passou ; pour le cri, je suis plus sensible aux toiles de Francis Bacon

bibli dit: à

@JC »Comment disait l’autre  »

Toujours à relever le niveau – pas étonnant que bougros le cite toujours lui et goering

edmond dit: à

à 15 h 45 min
le minus cherche à se rassurer :’c’est çui qui dit qui est’!
Pathétique

Sergio dit: à

bibli dit: 30 décembre 2013 à 16 h 46 min
goering

Oui mais quel modèle de choix ! Un gros ça peut pas être méchant…

court. dit: à

« Marcel, il y a du Giono en vous! »
Vous avez vu Giono écrire des sonnets Bérénice?
Et surtout un rutabaga poétique comme celui-là?
Je n’aime guère Giono, d’accord, mais lui attribuer ça:

« Le Peuple paysan veille dans ses cuisines »

Meme François Coppée n’aurait pas osé! Quant au sabir parnasso-néo-baroque, il est assez représentatif d’une poésie post-Aragonisante ici harassée.
Mieux vaut songer à Molière face à des vers de cette trempe:
« M’en préserve le Ciel d’En faire de semblables! »
Et remercier Jean Calbrix de nous avoir tant fait rire, bien que ce ne fut pas le but recherché!
Bonne soirée.
MCourt

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est sûr que,…Goebels,…&,…Göring,…

…enfin,…des documents de la  » race  » inférieur,…le programme continue,…
…comme çà Rustin,…çà sonne pas  » boch « , tout de même,…
…grand artiste aux A.D.N., » discret « ,…

…souvenirs de gens en captivité,…la culture des nains des mines,…pour vénitiens du nord en bizness,!,…du moyen-âge récent,…etc,…Bip!,…Bip!,…Ah!,…

Madame Verdurien dit: à

tiens ! maintenant Court écrit comme du bouguereau, c’est nouveau ça vient de sortir

JC..... dit: à

Sois maudit, maudit Court
D’avoir raillé Marcel,
Poète poivre et sel,
Gloire des basse-cours !

Madame Verdurien dit: à

au fait non, ce n’est pas nouveau, je crois bien que ce Court est la face cachée de ce bouguereau un peu gras

bérénice dit: à

court, j’imaginai la ferme en haut du Causse, en livrée d’hiver au pays provençal, le soc la charrue la cuisine silencieuse avant les premières lueurs de l’aube quand le firmament s’offre au regard des rares égarés qui se risquent à la morsure du froid, je ne suis pas Coppée, je vois que pire encore que lui, en tout cas pas mieux en dose écrite.
Chantal laisse sa langue à Daaphnée qui remplace le chat. Lustucru.

bérénice dit: à

16h36: Me Verdurien, il faisait aussi dans l’electrocution sur chaise si mon souvenir de sa peinture est le bon…

Cristobal dit: à

on me demande : Court est-il un congre ? réponse: ouigre, un grosgre… comme bouguereaugre

Sergio dit: à

JC….. dit: 30 décembre 2013 à 12 h 18 min
les oreillettes

Pauvres Rouges de Christin et Bilal… Plus d’oreillettes mais des bourrelets à la Ruskin ! Sic transit… Par les wagons pullwoman du transhibernien…

JC..... dit: à

J’y suis arrivé ! Directement, au moment orgasmique où, comme dit Passou « … l’on découvrira une tendresse, une émotion et une sensibilité d’un autre temps car d’un autre monde… »

J’ai donc trouvé, bien cachée, cette tendresse/émotion/ sensibilité d’un autre temps… Puis, condamné à vivre comme vous dans ce monde-ci, j’ai laissé cette peinture de fou derrière moi ! Pourrir tranquille…

jeremie dit: à

« Gloire des basse-cours ! »

il s’y connaît jicé le nain, expert en bassesse, hypocrisie, flagornerie

jeremie dit: à

sur l’avant dernier tableau c’est jc avant son opé

de nota dit: à

Le rutabaga appartient à la grande famille des Brassicacée,il cousine avec le navet et le radis,l’histoire du ratabaga est obscure,longtemps il végèta,humble racine dédaignée des hommes,on l’aurait oublié quand survint la WWII-comme l’écrit notre helvète underground préféré-,alors que devant l’avancée teutone,tous les légumes avaient désertés les assiettes,un légume résista,incarna à lui seul la bravoure et la ténacité française,le rutabaga!A la fin de la guerre,faisant valoir les services inestimables rendus à la nation,le rutabaga aurait pu devenir une grosse légume,mais il n’en fit rien,modeste comme seuls le sont les véritables héros,il retourna à cette vie ingrate et sourde,enfoui dans une terre lointaine,bien vite on l’oublia,et quand désormais on l’évoque c’est pour le moquer comme vient de le faire,hélas,le très estimé Court que l’on a connu plus déférent envers les grands personnages de notre Histoire.

JC..... dit: à

Nous sommes tous des rutabagas allemands !

Cristobal dit: à

quand on lite de nota, on voir tout se suite la classe qui manque à Court le petit pédant qui veut écrire plus haut que son postérieur pas rieur

Sergio dit: à

Oui enfin déjà pour peindre des slips faut s’y connaître… Au pire on peut toujours les recopier chez Reiser…

JC..... dit: à

Si Cristobal était autre chose qu’un courtophobe viscéral, il vous remettrait à votre place Sergio !

Comment pouvez-vous citer Reiser et ses slips sans élastique sur un blog littéraire prestigieux faisant l’éloge d’un Rustin défunté, vaginophile pouilleux et sinistre ?

oser le dire dit: à

Limbour, poète au visage si doux qui aimait tant lézarder au soleil de Franco.

boudegras dit: à

ta gueule jicé

Trommelfeuer dit: à

RustinE, Sergio !

JC..... dit: à

Franco ?
Le Napoleone espagnol !
Version échoppe de village. Beaucoup moins dangereux que le distributeur « révolutionnaire » grandes surfaces, fouteur de m*rde européen…

Mesures et Poids dit: à

de nota : Court déférent ?… vous voulez dire lèche-cul ?

Sergio dit: à

Trommelfeuer dit: 30 décembre 2013 à 18 h 40 min
RustinE

Ca on peut pas des chandelles maintenant ça s’appelle… Mais vaut mieux changer tout le pneu… Sans bouffer ! Sinon past two hundred ça devient litigieux…

RAMSES..... dit: à

Nous avons changé de Pharaon, Moub le Vieux est parti, mais les Grands Prêtres militaires restent aux commandes du pays …

On aurait pu économiser un printemps inutile.

kicking dit: à

sinon cela n’a pas de sens

tourner en rond pour garder la ligne c’est beaucoup plus simple que de faire la quadrature d’un cercle, on peut même appeler cela une révolution quand on n’a pas peur des ellipses immodestes, mais t’as rien d’incorrect JC et t’y fais très attention comme pratiquement tout le monde

des journées entières dans les arbres dit: à

oser le dire dit: 30 décembre 2013 à 18 h 37 min

osez donc developper; pour voir.

des journées entières dans les arbres dit: à

Le docteur « L’art si tard » ( gynécologue ?) est-il là ?
Je voulais souligner à son attention, sous la même photo exactement, un texte de Ph. Lançon, dans Libé.
Et ce savoureux passage concernant la brouille avec Jean Dubuffet.

Chaloux dit: à

Bouguereau dans le perpétuel poncif, Marcel post-aragonesque (un poète qui préfère Aragon à Eluard n’aime pas la poésie, il aime la rhétorique). Quel zoo.
Il est interdit de nourrir les animaux.
Bonne soirée.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et Chaloux se tire en éteignant la lumière du museum d’histoire naturelle.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 30 décembre 2013 à 11 h 49 min

Ici bouguereau démontre naïvement, mais définitivement pour qui sait lire, que la prose imitation papier journal de John Brown, c’est déjà trop fort pour lui. Il a pas compris ce que veut dire le nain de Falicon (qui a dit : » Un livre ne s’achève pas, il s’abandonne »?) et répond par un poncif genre café du commerce ou fête de l’huma (ou pire encore) dans lequel il est bien entendu question de pognon.
Pauvre abruti qui n’y connait rien. Tant de peintres meurent sans que leur côte en soit affectée ni en mal ni en bien.
Mais quel thon…
Et c’est ce microcéphale qui donne des notes à tous ceux qui passent ici…

Chaloux dit: à

« Museum d’histoire naturelle ».
Tout à fait ça.
Donc plutôt :
« Inutile de nourrir les animaux : ils sont empaillés ».

jeremie dit: à

Chaloux

« ce microcéphale  »

et encore c’est rien à côté du nabot de porquerolles

des journées entières dans les arbres dit: à

Non, Chaloux, c’est pas tout à fait ça.

« Elle mobilise des savoirs scientifiques pluridisciplinaires : astronomie, biologie, ethologie, physiologie, anthropologie, neurologie et évoque également le monde de l’imaginaire au travers des divinités et des peurs nocturnes. Elle met en valeur un large éventail des collections zoologiques du Museum. Plus de 350 specimens sont presentes. Ils ont ete selectionnes pour la plus grande partie dans les collections de la zoothèque : mammifères, oiseaux, serpents, amphibiens, papillons, etc. Une cinquantaine a été realisée specialement pour l’exposition dans les ateliers de taxidermie du Muséum »
http://www.mnhn.fr/fr/visitez/agenda/expositions/nuit

Bonne nuit.

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