de Pierre Assouline

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La République des livres
Penser à neuf avec Heidegger en dictionnaire

Penser à neuf avec Heidegger en dictionnaire

Est-ce de l’honnêteté mâtinée de conscience professionnelle, une manière de désamorcer la critique du projet même, ou la manifestation d’un certain masochisme ? Toujours est-il que, dès leur avant-propos au Dictionnaire Martin Heidegger (1440 pages, 30 euros, cerf), ses maîtres d’œuvre Philippe Arjakovsky, François Fédier et Hadrien France-Lanord tendent des verges pour se faire battre. Ils y expliquent à quel point le philosophe auquel ils consacrent cette somme remarquable n’aurait pas apprécié. Non en raison du résultat mais à cause de son principe même. Il est vrai qu’il était du genre à veiller à ce que le prix de ses livres ne soit pas prohibitif afin que sa pensée soit diffusée au-delà du cercle restreint des chercheurs ; il avait également demandé, et même exigé, que l’édition intégrale en 33 volumes soit dépourvue d’index afin d’être véritablement lu et non grappillé.

Voilà pourquoi ce dictionnaire s’efforce en permanence, dans chacune de ses 600 entrées, de donner à penser tout en renvoyant à l’œuvre. Il est permis de le sillonner comme un océan. On imagine bien que nul n’aura le sentiment d’avoir fait le tour de la question après les cinq pages consacrées à « Chose », ou les six pages de « Être », mais il en saura suffisamment pour oser approfondir ailleurs. On n’attendra donc pas d’une telle réunion d’informations, de savoir, de connaissances, de pistes, d’intuitions, d’analyses qu’elle transmette le rythme intérieur de la pensée du grand pédagogue qu’il était aussi, ce fameux Zögern qui, davantage qu’une hésitation, est une « retenue méditative ».

 « S’engager avec une franche sérénité dans l’esprit de la méditation pour donner à entendre la question qu’est la pensée de Heidegger, tel est le but de ce dictionnaire ».images

Le projet est clairement affirmé dès l’avant-propos. Encore faut-il s’entendre sur ce qui est digne de question. Un tel livre nous invite à une plongée vertigineuse dans l’œuvre et la vie du philosophe dont la pensée a dominé le siècle. Cela va de « Abîme » (Der Abgrund) à «Zvétaieva, Marina Ivanovna »» en passant par « Image », « Peuple », « Solitude », « Il y a « , « Brutalité » ou « Tonalités fondamentales ». On ne s’étonne pas d’y trouver de longs développements à « Dasein », « Temps », « Racisme », « Antisémitisme » (« Pas une seule phrase antisémite dans toute l’œuvre de Heidegger publiée à ce jour » assure Hadrien France-Lanord, auteur de la notice). Sans oublier bien sûr « Ereignis » : davantage qu’un mot, c’est LA parole qui montre le chemin, celle qui mène sa pensée depuis 1936. Ou sur son admiration pour Gérard de Nerval. On retrouve avec intérêt des précisions sur son identification à « Cézanne ». Ou sur « Rashomon », le film de Kurosawa. Ou encore sur la « Musique » qu’il commenta beaucoup moins que la peinture, et dans laquelle il vit avant tout un art des sons, jusqu’à penser que la poésie l’incluait, même si différentes entrées de ce dictionnaire reflètent un inconditionnel de Mozart doublé d’un wagnérophobe hostile tant au compositeur qu’au théoricien de l’oeuvre d’art (« Wagner, c’est déjà Hitler »). Ou même sur le « Silence », si précieux en ces temps de tintamarre généralisé, ce silence qui donne à entendre ce qui n’est pas dit. On est plus surpris, en bien, de lire par exemple une notice consacrée à « Beckenbauer, Franz » révélant l’admiration que l’ancien ailier gauche vouait au Kaiser de la pelouse dont il jugeait « génial » (terme pesé au trébuchet, voir également à l’entrée « Génie ») le jeu défensif et le grand art du placement.

Bien sûr, rien n’est oublié, et surtout pas « la faute de sa vie », comme l’appellent les maîtres d’œuvre : son inscription au parti national-socialiste en 1933 dans le cadre de sa fonction de recteur de l’université de Fribourg dont il démissionna un an après. Les entrées « Führer », « Rectorat », « Nazisme , « Silence de Heidegger », entre autres y reviennent en détail, avec la rigueur des sources. Ce qui ne suffira certainement pas à clore les polémiques. On voudrait développer, entrer dans le vif et le détail de bon nombre d’entrées pour en restituer la densité, quitte à les discuter, mais l’ensemble est si profus et si riche, renforcé régulièrement par de brefs extraits et une bibliographie, et il se lit avec une telle fluidité, qu’on ne peut qu’en donner une vision panoramique. C’est aussi vrai pour les concepts, dont il disait qu’il nous fallait chaque jour « les penser à neuf », mais également pour les entrées sur les personnes (Arendt, Celan, Husserl, Simmel etc)

Heidegger6Etrange de constater comme « l’événement philosophique de la rentrée » a suscité peu d’échos critiques, en tout cas moins qu’il n’en aurait dû, surtout dans le pays qui lui a permis de « revenir » en Allemagne, de s’y faire à nouveau accepter après la dénazification (entrée très complète à ce sujet). Pas un hasard si une telle entreprise voit le jour pour la première fois en France et non ailleurs. Une vingtaine d’auteurs se sont partagés les notices, pour la plupart des professeurs de philosophie dont plusieurs anciens élèves de Jean Beaufret qui fut, au-delà du grand ambassadeur de Heidegger en France dès 1946, un tempérament philosophique à l’état pur qui éleva leurs trente années de conversations amicales au niveau d’un questionnement inépuisable. Ni « Dictionnaire amoureux de Heidegger », ni « Heidegger pour les Nuls », les collaborateurs de cette somme de référence, qui ne tend pas une inaccessible exhaustivité, semblent avoir été animés d’un semblable questionnement à son endroit. Questionner/Fragen nach, sans volonté inquisitrice mais dans un mouvement d’approche débarrassé de toute velléité d’emprise.

Ce passionnant recueil est d’autant plus indispensable à notre intelligence de la pensée de Martin Heidegger (1889-1976) que son œuvre est toujours en cours de publication. Même si elle est par définition inactuelle, comme toute œuvre philosophique, une vingtaine d’ouvrages sont encore à paraître pour boucler la boucle des Œuvres complètes. Ou plutôt : de l' »Edition intégrale ». Davantage qu’une nuance puisqu’elle fait l’objet d’une longue notice expliquant que tout l’effort de Heidegger tendait justement à quitter le monde de l’oeuvre (Werke). 102 volumes tout de même ! (même s’il a exprimé l’essentiel de ce qu’il avait à dire dans les livres publiés de son vivant). Et encore : seule une mince partie des 38 volumes de cours et séminaires parus en allemand a été traduite en français. Le chantier de la traduction française de textes de Martin Heidegger a commencé il y a quatre-vingts ans mais, de l’avis de ceux qui ont la main à la pâte (plusieurs traducteurs de Heidegger parmi les collaborateurs de cet ouvrage), la tache est tellement difficile, parfois même impossible, que cela prendra bien plus de temps que pour n’importe quel autre penseur. Avertissement à ceux qui voudraient s’immerger dans son histoire de la métaphysique et du sens de la destination de l’être : il est préférable auparavant, ainsi qu’il le conseillait à Jean Beaufret lorsqu’il le rencontra pour la première fois, de passer d’abord une vingtaine d’années à lire Aristote…

Au vrai, toute approche de la pensée de Heidegger paraît immédiatement si superficielle et insuffisante à qui ne le lit pas dans la langue dans laquelle elle a été formulée, que ce dictionnaire est appelé à en devenir l’introduction idéale. Nécessairement réducteur, jamais simplificateur. Rarement le principe qui préside à ce genre de recueil n’aura prouvé son utilité avec tant d’éclat et de clarté.

(Photos D.R.)

Rajout du 7 décembre 2013 : Comment réagiront les auteurs du Dictionnaire Heidegger aux révélations annoncées de ses inédits des « Cahiers noirs » notamment sur le question du nazisme et sur celle de l’antisémitisme ? Ici la réaction de Hadrien France-Lanord, auteur de la notice sur l’antisémitisme.

Cette entrée a été publiée dans Philosophie.

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commentaires

625 Réponses pour Penser à neuf avec Heidegger en dictionnaire

bérénice dit: à

u.9h07
Opinion délictuelle ou délit opiniâtre? Quel profession serait apte à repérer et qualifier l’un ou l’autre de ces égarements ponctuels

JC..... dit: à

« JC, mais lorsque j’aurais besoin de vos lumières, je vous ferai signe. »

Ah ! vous êtes sympa, Renato ! on va s’entraider entre amis !

Si vous avez besoin de moi pour faire une règle de trois, une addition en base 60 ou dessiner un bonnet d’âne dans un espace à 11 dimensions, vous me le dites.

En retour, si j’ai envie de faire une photo de ma statue de Mussolini embrassant Taubira, je vous demanderai conseil ….

Bien à vous !

Eustache Siphon dit: à

Sorj Chanlandon Goncourt des Lycéens pour le 4ème mur, la plus belle des récompense, celle des jeunes lecteurs, qui n’ont pas besoin qu’on leur serve du roman lisible et populaire franchouillard au 12 ème tour et à coups de fourchettes.

Une belle leçon aux critiques.

méta physikè dit: à

1) xlew.m dit: 14 novembre 2013 à 13 h 05 min
Vos dernières lignes à propos de nerval…Dominique Janicaud l’ exprime excellemment…
2)renato dit: 14 novembre 2013 à 13 h 19 min

Pas besoin de dépasser la métaphysique,…Adorno…

Informez-vous, il n’ y a jamais eu autant de recherches sur « la métaphysique »…pas celle que l’ on essaie de dépasser, bien évidemment!

renato dit: à

Je vous remercie JC, mais pour les conseils scientifiques, dans mon carnet d’adresses, j’ai mieux.

Pour les conseils que je pourrais vous donner, vu vos critères et vos exigences, l’écran de votre APN compact est largement suffisant.

renato dit: à

« … il n’ y a jamais eu autant de recherches sur « la métaphysique » »

Vous n’avez pas idée de la quantité de gens qui cherchent des champignons ou l’Atlantide…

siphonnons les livres! dit: à

Une belle leçon aux critiques.?
Sur France inter, il a été précisé que le bouquin a été choisi par 2000 élèves et qu’ ils l’ avaient lu avec leur professeur. Vote prémâché, dirigé, sous influence d’ autorité?

François Delpla dit: à

est-ce que le dictionnaire dit quelque chose sur les raisons de sa démission du rectorat au bout d’un an ? et explique qu’il n’ait en revanche jamais démissionné du parti ?

Que dit-il de Carl Schmitt dont l’encartement est contemporain au départ comme à l’arrivée et qui, lui n’a pas démissionné, mais a été descendu en flammes par les SS (intellectuellement s’entend) fin 36, tout en restant prof d’université et membre du Landtag de Prusse ?

renato dit: à

« Quel amalgame!Quelle méconnaissance! »

Comment ça ?! mais avec qui avez-vous fait votre philo ?

John Brown dit: à

 » Penser à neuf avec Heidegger  » : drôle de titre. C’est ce qui s’appelle faire du neuf avec du vieux.  » Penser à neuf à partir d’Heidegger  » se concevrait davantage. Mais à ce compte on peut tout aussi bien penser à neuf à partir d’Héraclite. Affirmation prétentieuse ? Ce serait oublier que tout humain est requis de penser à neuf à partir du vieux. Ancestral rafistolage.

Alkinoos dit: à

a chaque fois, même problème avec les orix soit disant davntage « démocratiques » :le Goncourt des lycéeens FNAC est manipulé par quelques profs qui orientent leurs élèves. Pour lee prix france inter, c’est en dernier recours, le président du Jury de l’année et les représebtants de france inter qui ont la main sur les jurés,des lecteurs benevoles…. pathétique..

universaux dit: à

« Penser à neuf à partir d’Heidegger » se concevrait davantage.
Bien vu J.B.

« Ancestral rafistolage. »?
Peut-être penser comme un nain sur les épaules de géants?

Eustache Siphon dit: à

Peut-être mais ne vous vient-il pas à l’idée que l’intime bouleversement ressenti par un vrai reporter de guerre, qui le met en abîme par le truchement d’une tragédie à jouer, à donner dans une répartition de rôles à l’écart du conflit même, peut avoir un vrai impact chez un jeune lecteur, c’est là je crois la vraie force de la littérature.

Il est vrai que j’aime le vieux Lion Kessel, pas le auteurs fanfreluches qui attendrissent les lectrices sur leur petit nombril.

renato dit: à

Nous voilà avec un gamin qui s’est échappé de la maternelle.

siphonnons les livres! dit: à

Rien à redire sur la qualité du livre, Eustache. Plus on lit diversifié, mieux c’est!
Voilà une suggestion utile des professeurs mais elle est pédagogique pas forcément démocratique…

John Brown dit: à

Ancestral rafistolage. (mézigue)

L’histoire de la philosophie conçue comme l’ancestral tricotage d’une écharpe façon patchwork destinée à protéger l’humanité des coups de froid venus du fond de ces espaces infinis qui, à juste titre, lui glacent les miches.

Eustache Siphon dit: à

Enfin il faut bien qu’ils servent à quelque chose les professeurs, non ?

Il doivent conseiller quoi à leur élèves ? Billie d’Anne Gavalda ? le dernier Stephen King ( ils le liront eux-même ) , les cent ans du goncourt par Pierre Assouline pour leur édification morale ? ( non là je rigole )

mais avec qui avez-vous fait philo dit: à

Renato est à la philosophie ce que Aldo Maccione est à la gymnastique!

Nadia C dit: à

Bisou renato!

Nadia C dit: à

Eustache, j’aime ta moustache!

Eustache Siphon dit: à

coucou, ne lisez plus Heidegger, mais Pacôme Thielement et sa PoP Yoga, beaucoup plus attractif comme prof de philo :

https://twitter.com/PacomeThiel

renato dit: à

Chronologie :

13 h 19 min Pas besoin de dépasser la métaphysique, des journées, on vous a informé, je suppose, qu’elle a manqué ses objectifs (Adorno).

13 h 56 min Pas besoin de dépasser la métaphysique,…Adorno… / Informez-vous, il n’ y a jamais eu autant de recherches sur « la métaphysique »…pas celle que l’ on essaie de dépasser, bien évidemment!

14 h 03 min
« … il n’ y a jamais eu autant de recherches sur « la métaphysique » » / Vous n’avez pas idée de la quantité de gens qui cherchent des champignons ou l’Atlantide…

14 h 12 min des champignons ou l’Atlantide… / Quel amalgame!Quelle méconnaissance!

14 h 14 min
« Quel amalgame!Quelle méconnaissance! » / Comment ça ?! mais avec qui avez-vous fait votre philo ?

Conclusion :

Que le gamin demande à sa ou son prof, pourquoi je lui ai opposé champignons et Atlantide.
Cela dit, il reste certain que l’opinion d’Adorno me convient mieux que celle de Claudine Tiercelin…

bouguereau dit: à

ces espaces infinis qui, à juste titre, lui glacent les miches

c’est pasque t’en a de maigrichonnes jean marron..saisis t’en de grosses, ta crainte en prend un sacré coup dans les dents

bouguereau dit: à

rénato il fait dans la philosophie continentale de chval..les conneries libertarienne de rienne c’est bon pour les youpiz

bouguereau dit: à

..j’dis ça c’est pour le sauver des années 50’s..de staline et de ses zombiez..le povrom!

Colette dit: à

je me suis longtemps demandée qu’elle était la façon de penser de ce bouguereau, pourquoi il n’avait pas de blog où y déverser ses déjections quotidiennes : c’est que ce pitre piteux n’a rien de clair à exprimer, sa seule façon d’exister : prendre la dernière phrase du commentaire précédent et de tirer à vue ou plutôt d’essayer en raison de son état alcoolique avancé, aucun raisonnement, aucun développement de plus de vingt (vains) mots, la volonté de dénigrer, de torpiller, d’étaler les mêmes zobsessions depuis toujours (gode ceinture,zouzou, renfeld, jean marron rénato et jicé…), rien de positif et surtout des injures récurrentes (j’attends mon ta gueule colette sereinement) un type pour lequel on ne peut avoir que du mépris et comme il le dit souvent BIEN PROFOND

Eustache Siphon dit: à

si je dois en croire l’intervenaute multipseudo à propos du goncourt lycéen, c’est une conjuration manipulée par des profs et france inter.

pensant ce temps passouline se passionne pour un bouquin d’un jeune américain de 34 ans pas encore paru mais mis aux enchères grâce au buzz.

bouguereau dit: à

bon adorno et y’a pus la cote..la fin..aprés y’a eu la fin dla fin..et au delà de la fin..et même que ça a pas encore vraiment commencé..la philosophie c’est formi..formi formidable qu’il disait lacan a son coiffeur..lacan c’est le seul qui savait fermer sa gueule a son coiffeur..et ça se voit ! hin baroz ? c’est l’plus fort épicétou

bouguereau dit: à

ferme ta sale gueule de raclure keupu

Eustache Siphon dit: à

le bougre parle à la place de tout le monde jicé dirait, clopine elle sait, kabloom et keupu brèfle, avec lui tu ne tire pas un couvert de son tiroir.

il vit dans son manoir hanté de bric et de broc en cherchant von traube et phil pour parler tandglazur.

Chaloux dit: à

Salut les ploucs.
Nuls en musique…Nuls en Philo… Tout justes bons à commenter le journal…
Comme d’hab’, rien de changé.

Ce bouquin, je vais le lire : comme un petit Saul, j’ai toujours eu envie de crier vers Dieu : « Pourquoi as-tu planté cette écharde dans ma chair ? »
J’ai un peu survolé Heidegger il y a trente ans (Les Questions), mais les portes en sont restées à demi fermées. Et ça me reste, un peu comme le souvenir d’un échec amoureux. Mais puisque chaque homme dans sa nuit s’en va vers la Lumière…

(Cette fois, pas de « lisibilité moyenne »…Tant mieux)

bouguereau dit: à

longtemps..tu t’es demandé..hin keupu..rohooo

bouguereau dit: à

pollusque survole tandisseque jean marron se caille les miches..ce monde est une merveille et il ne le sait pas

A la pêche aux... dit: à

C’est vrai, Le Boug, t’es qu’une grosse moule.

La vie en gris dit: à

xlew.m dit: 13 novembre 2013 à 21 h 43 min
la langue anglaise qui revendique souvent une supériorité dans sa capacité à rendre la clarté de concepts nés dans une langue germanique

On a le droit d’écrire des conneries pareilles ? Rendez-nous les trolls, ils sont moins débiles.

Eustache Siphon dit: à

Vive Chaloux, l’homme sans faille, qui nous supporte pour dieu sait quelle obscure raison ?

Chaloux , n’ayant lu que le soir à la bougie Tycho Brahé et joué du triangle je conçoit fort bien que je ne rentre pas dans vos critères de sélection, bon voyage sur votre coquille de noix.

Pablo75 dit: à

« Un point en faveur de la judéité, du sémitisme-orientalisme-kabbalisme de Spinoza, est que Martin Heidegger n’en a JAMAIS parlé (comme absolument autre par rapport à la métaphysique occidentale et aux Grecs). Ego murus: il n’est pas normal de passer Spinoza sous silence. Transparaît là comme une faute.2
(Guido Ceronetti. La patience du brûlé)

Il y a quand même des Juifs qui trouvent que Heidegger est un penseur juif:

Le dictionnaire Martin Heidegger – 3
Stéphane Zagdanski : P comme Pensée Juive

http://www.youtube.com/watch?v=HLnIy3vExJk

un ex-amant d'u., répudié, méprisé, piétiné par la bête en rut dit: à

renato dit: 13 novembre 2013 à 23 h 14 min
(Le 23 h 12 min c’est pour l’humoriste de 23 h 05 min)

T’aurais fait un bon chef de gare, renato.

Eustache Siphon dit: à

pierre lemaître me fait penser à un lézard qui a gobé un moustique, j’irais bien me faufiler dans la foule des badauds aux portes ouvertes de l’histoire, rien que pour m’amuser du spectacle, mme passou tirée à 4 épingles pour ses invités, mme chandenagor avec ou sans jupe fendue, le clou serait une dédicace de lorant deutsch question de me la jouer rebelle bobo , il y a parfois des facéties qu’il vaut mieux éviter,

Albert sans frères Coen dit: à

En fait, ces jours il y a une filmographie des frères Cohen.

on est une bande de jeunes qu'on se marre dit: à

Eustache Siphon dit: 14 novembre 2013 à 15 h 15 min

boucroc il se charge de l’éducation à jicé, c’est pas rien de penser à modeler les innocents

JC..... dit: à

Colette dit: 14 novembre 2013 à 15 h 06 min
– rectification n°1
Non, Colette ! Bougboug est un génie discret : ça se voit pas au premier coup d’œil, alors … forcément, on peut douter !

Chaloux dit: 14 novembre 2013 à 15 h 18 min
-rectification n°2
Faux ! ce n’est pas Saül qui a dit : « Pourquoi as-tu planté cette écharde dans ma chair ? », mais Jacques BAROZZI, par une nuit sans lune…

bouguereau dit: à

roo l’pablo il arrive a se ficeler tout seul a se cracher dessus..c’est l’messi ou j’y connais rien..

Colette dit: à

ah!, j’avais oublié keupu qui ne s’est pas fait attendre, hihihi

alex dit: à

« Bougboug est un génie discret  »
reconnaissance de l’élève à son nouveau maître que jamais il ne pourra égaler même en rêve

renato dit: à

« T’aurais fait un bon chef de gare… »

Pompiste dürrenmattien ce n’est as mal non plus…. C’est vrai que ça n’a rien à voir avec les horaires, mais il peut arrondir ses fin de mois avec la vente de produits en tous genres…

Eustache Siphon dit: à

le bougre adore le causes perdues, éduquer Jicé, écrire à 4 mains avec dracul, ce n’est pas rien, certains soirs il doit pleurer après la crémière comme sa chevillette du bon temps où on parlait philo du fond des bois de sapin de la Eifel.

JC..... dit: à

Bougboug mérite notre respect !

C’est le seul ici à avoir eu une aventure torride avec Golda Meir en juillet 1958, et un flirt poussé avec Oum Kalsoum huit semaines plus tard ! c’est pas rien …

Allez ! C’est l’heure : on s’en jette un autre à la santé d’Heidegger !

JC..... dit: à

(suite et fin)

Il a du mérite, Passou, de nous accueillir …

Si on lui faisait un cadeau, pour Noël, bande d’avaricieux ? Bonne idée, non ?

Eustache Siphon dit: à

offre lui ton scooter JC, çà lui fra plaisir un scooter rose, mais d’abord fait réviser par sergio, des fois qu’il se tuerait, tu l’aurais sur la conscience JC

un ex-amant d'u., répudié, méprisé, piétiné par la bête en rut dit: à

En tant qu’ancien prof de philo, je vous l’affirme : si t’es pas au jus de la philosophie et de la langue grecques (bien assis sur l’Organon et notamment les catégories), tu peux pas comprendre Heidegger. Bref, John Brown n’a pas tort : c’est une lecture facultative en dehors des études de philo.
Mais c’est un auteur très utile pour les dissertations. Y a qu’à l’imiter, tu te mets à décortiquer les mots (a-léthéia, ek-istence, etc.) et tu peux en faire des tartines, souvent sans intérêt, parfois très productives.

JC..... dit: à

Euh…. depuis que je suis devenu anarchoraciste… le rose, c’était pas bon pour le look : je l’ai fait repeindre en kaki, avec des croix, moitié celtique, moitié gammée, moitié chrétienne !
(m’embêtez pas avec les moitiés… vous voyez l’idée, hein ?)

on est une bande de jeunes qu'on se marre dit: à

« le bougre adore le causes perdues, éduquer Jicé, écrire à 4 mains avec dracul, ce n’est pas rien, »
ça se discute- c’est pas rien mais c’est pas trop dur non plus, Jicé est malléable et dracul a sûrement un ordinateur

« il doit pleurer après la crémière »
encore la faute aux socialos

on est une bande de jeunes qu'on se marre dit: à

16 h 13 min
i te reste plus qu’à le faire bnir par le locataire du vatican avec ta madone

François Delpla dit: à

En attendant la réponse de qui a le dico aux questions qui précèdent, je m’inquiète de l’affirmation suivant laquelle MH n’aurait jamais écrit une ligne antisémite. Même en tant que recteur ? Certes dans ses circulaires il n’était pas censé philosopher et elles n’ont pas à figurer dans ses oeuvres complètes, mais elles étaient tout de même signées de lui et invitent à ne pas risquer une telle affirmation sans rappeler qu’il a exercé une fonction, par définition, antisémite.

Témoin cette anecdote rapportée par son disciple Karl Löwith (« non-aryen » mais maintenu dans ses fonctions de professeur à Fribourg jusqu’en 1935, en qualité d’ancien combattant), dans un récit de 1940 publié en 1986.
Heidegger lui adresse le texte de son fameux discours d’inauguration avec ses « amicales salutations », tandis qu’il gratifie ses collègues non juifs de son « salut allemand ».

(Mein Leben in Deutschland vor und nach 1933, Stuttgart, Metzlersche, 1986, tr. fr. Ma vie en Allemagne avant et après 1933, Paris, Hachette, 1988, p. 50-52. )

mode plus dit: à

sur la photo du milieu on dirait daaaphnée à part la cravate

renato dit: à

Aux dernières nouvelles dracul a eu un échange de mots plutôt soutenu avec un platane, le bons arbre se porte bien…

que sais-je dit: à

… directive qu’il a lui-même promulguée et par laquelle il interdit les bourses aux étudiants juifs et les réserve en priorité aux anciens membres des SA et des SS. Découverte en 1961 par Guido Schneeberger, mentionnée par Raoul Hilberg dans La destruction des juifs d’Europe mais jamais citée dans les études sur Heidegger, cette directive a été récemment rééditée par Emmanuel Faye en Allemagne dans son article « Heidegger, der Nationasozialismus und die Zerstörung des Philosophie » (« Heidegger, le national-socialisme et la destruction de la philosophie »)
…texte de la directive en français etc Freiburger Studentenzeitung VIII. Semester (XV), Nr 1, 3 November 1933, S. 6.…
http://www.books.fr/breves/heidegger-a-bien-ete-antisemite-la-preuve-597/

Sergio dit: à

Ils vont encore massacrer quelque chose avec leurs bouilloires…

joël dit: à

Il sera bientôt possible d’acheter un passeport maltais pour 650 000 euros. Ce n’est pas donné mais cela permet tout de même de s’offrir la citoyenneté européenne. Pour les étrangers un peu moins riches, mais tout de même suffisamment pour ne pas être obligé de prendre un bateau pour Lampedusa, la Lettonie offre depuis 2010 un « Golden Visa » (avec perspective d’acquisition de la nationalité lettonne) à seulement 72 000 euros.
Marianne.net

de nota dit: à

Herzog,le personnage du roman éponyme de Bellow,qui écrit frénétiquement à tout le monde,écrit aussi à Heidegger:

« Cher Doktor professor Heidegger,j’aimerais savoir ce que vous entendez par l’expression »la chute dans le quotidien ».
Quand cette chute s’est-elle produite?

Sergio dit: à

que sais-je dit: 14 novembre 2013 à 16 h 33 min
les réserve en priorité aux anciens membres des SA et des SS.

Oui mais après juin trente-quatre y en avait plus lerche, des SA, et puis alors surtout s’en réclamer…

Sergio dit: à

joël dit: 14 novembre 2013 à 16 h 44 min
Il sera bientôt possible d’acheter un passeport maltais pour 650 000 euros.

Oui effectivement pour Corto renouveler le sien à ce prix-là ça fait bonbon…

Parcs & jardins dit: à

Salut les ploucs.
Nuls en musique…Nuls en Philo… Tout justes bons à commenter le journal…
Comme d’hab’, rien de changé.
(chaloux)

La limace passe et laisse sa bave ..

Colette dit: à

merci à tous pour votre soutien, le téléphone n’arrête pas de sonner, ça fait du bien

Drrring dit: à

Allô, Colette ?

presque dix dit: à

Penser à neuf..c’ est à peine le compte sur la RDL!

Colette dit: à

oui, j’ai même reçu un coup de fil de boudegras, c’est dire

boîte vocale dit: à

bonjour, vous êtes bien chez Colette U, veuillez laisser un message et nous vous rappellerons dès que possible.

Protection des mineurs dit: à

« reçu un coup de fil de boudegras, »

qu’entendez-vous par « coup de fil » ?

Robert et sa rousse dit: à

fil à couper le beurre.

Colette dit: à

il m’a dit : vat’faire encuculer ; vous saviez qu’il bégaie ?

bouguereau dit: à

putin mais c’est radio keupu..et elle est allemande

la boite coale à colette dit: à

bonjour je suis là mais j’ai pas envie de répondre

bouguereau dit: à

Heidegger lui adresse le texte de son fameux discours d’inauguration avec ses « amicales salutations », tandis qu’il gratifie ses collègues non juifs de son « salut allemand »

..françois il aime tellement la wurst que c’est est dvenu une

jicé et renato doutent dit: à

colette avec co comme dans coco, c’est louche

bouguereau dit: à

Ils vont encore massacrer quelque chose avec leurs bouilloires…

..j’avais une vieille tante qui ébouillantait les rats dans leur nasse..vision d’apocalispe..ha tu me fais mal d’un coup

daaf dit: à

Colette (merci à tous pour votre soutien, le téléphone n’arrête pas de sonner, ça fait du bien)

allo c’est daaphnée et je te plains d’être si inférieure à moi

bérénice dit: à

Si j’ai bien tout compris la Colette serait pour ainsi dire une côtelette qu’a oublié de mettre son os avant de sortir, pas présentable donc dong

Robert et sa rousse dit: à

co, comme dans concon, c’est plus sûr.

toto dit: à

j’avais une vieille tante qui ébouillantait les rats dans leur nasse.

et ébouillanter les fourmis toujours en plein boulot (contrairement aux féntants et assistés) c’est pas sympa non plus

Robert et sa rousse dit: à

ou coconne.

Jules et sa brune dit: à

voire coconnasse mais pas coconut.

arthur dit: à

Colette dit: 14 novembre 2013 à 18 h 06 min
il m’a dit : vat’faire encuculer ; vous saviez qu’il bégaie ?

c’est un être sensible et plein de Delicatessen

bouguereau dit: à

..et c’est trés indiqué car il faut le moins possible toucher la nasse..l’odeur ! elle prenait son tisonier..l’ouvrait..vidait les cadavres et remettait la nasse en place.. »pour un bien il faudrait en laisser un vivant ».. »ça attire » qu’elle disait..je mets des guillemets bien que pour moi ça soit un grand tesque classique

daff dit: à

Colette allo quoi c’est daaphnée, si j’étais toi je me jetterais par la fenêtre, amitiés daaff

bouguereau dit: à

et ébouillanter les fourmis toujours en plein boulot

..le pire c’est que quand on est petit on est plus prés..pour ainsi dire comme embeded..on voit tout en mieux

papi gaga dit: à

Colette
on n’est qu’une bande de petits jeunes on se fend la poire

affleuloup atol dit: à

boug
et quand on est myope on voit encore mieux de près

Biologiste inquiet dit: à

« Christiane T. a finalement rompu son silence sur la couverture infâme de Minute : « Ce sont des propos qui me dénient mon appartenance à l’espèce humaine », a-t-elle dit sur le plateau de France 2, mercredi soir. »

Nos cousins ont terriblement progressé. Ils nous rattrapent facilement, en Europe : bientôt la Planète des Singes ?

Colette dit: à

merci mes chéris

Psychanalyste inquiet dit: à

Monsieur Bouguereau,
Pouvons nous échanger sur l’eau bouillante raticide, et sur ses effets infanticide….disons, lundi à 18h ?

renato dit: à

Photo 1, belle kachelofen.

bérénice dit: à

à ce propos ML se camoufle-t-il sous un pseudo identifiable par l’un ou l’autre des intervenautes ici présents? Avec le sujet il monopoliserait sans effort la page du jour

Moraliste inquiet dit: à

La curiosité est un vilain dépôt

bérénice dit: à

18h39 Remarquable analyse qui laisse entrevoir qu’avec du temps de la persévérance une dose de foi et une quantité disponible de science mêlée à une attention soutenue Freud est parvenu à résoudre quelques énigmes, on peut bien sur douter de la guérison, après tout quelles preuves ?

Scientifique inquiet dit: à

La psychanalyse est un artisanat médical, à coup sûr non-scientifique.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…aujourd’hui, on touche le fond,…

…et les autres jours tu touche quoi,…etc,…

…Ah,…je comprend ,…c’est multidirectionnel,…enfin,…prendre des vessies pour des lanternes,…nous apporte tout son sens,…

…qui sont les victimes ou les persécuteurs dans ses divergences et diversions à en être sous la tutelle à l’état,…
…N° 6,…la ferme,…ras le bol,…je rend mon tablier,…a moi les gay’s,…au club des pompiers et pipes  » la vie en rose « ,…

…Oui,…je touche le fond aussi,…à moins que ce n’ai qu’un pas de côté,…etc,…

cordialement dit: à

S’agit pas de guérir mais d’aller moins mal mais pour des cas comme jicé ou daafnoze c’est sans espoir

singulier pluriel dit: à

un internaute comme les autres, c’est bien dans la lignée d’anonyme trop connu

Protection des mineurs dit: à

Giovanni, vous parlez avec un accent,…?,…

bérénice dit: à

18h57 nos sorcelleries

bouguereau dit: à

18h39 Remarquable analyse

tu cites un commentaire d’un faibe d’esprit qui ne sait rien des campagnes et de la culture des terrible sociétés d’élevage..demande toi pourquoi un abatoir est mieux défendu que fort knox..freud sans tubar citadin à ponctionner serait mort de faim

bérénice dit: à

Giovanni n’aviez vous pas écrit peinture photos pour toucher votre fond hélas pas de lien pour percevoir vos œuvres, exposez-vous? au club des pompiers … académisme

des journées entières dans les arbres dit: à

Philippe Arjakovsky, François Fédier et Hadrien France-Lanord .
On ne saura rien de ces trois auteurs, dont 2 sont des agrégés de philo, élèves de Beaufret, adepte d’Heidegger.

Curieux aussi, cette politique éditoriale des éditions du Cerf, de remettre à la mode les bas en laine de mouton, made in forêt noire.
Grotesque.
http://www.liberation.fr/medias/1998/11/27/apres-coup-du-grotesque_252109

des journées entières dans les arbres dit: à

Il doit y avoir quelque chose de pourri à l’éduc nat’.

bouguereau dit: à

rooh et ceux d’libé y se sont regardé..sans déconner, cet article est d’un mauvais gout achevé..a fort relent antiboche et figure de morgue de petits cons de parisiens..sauvé par le bon gout des provinces, encore!

bouguereau dit: à

Bon , un blue ..

clapton jeune et défoncé fait bien dans la peau dlapin du psychédélique..mais riche et a sang frais..bluzman..vite fait alors dafnoz
trouve nous plus rapé merde

des journées entières dans les arbres dit: à

Heu Bouguereau, vous voulez dire que T. Bernhard c’est le Montebourg tudesque ?

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 14 novembre 2013 à 15 h 18 min
Salut les ploucs.
Nuls en musique…Nuls en Philo… Tout justes bons à commenter le journal…
Comme d’hab’, rien de changé.

laine qui gratouille dit: à

le probloc c’est que la philo corse tu n’en trouvera pas, c’est çà qui fâche l’angelot, qui se prend pour un bonnet rouge qui défonce les portiques mais prise les ors, les tapis rouges et voudrait nous remettre à la sesterse.

journée à battre le beurre, chacun pour sa chapelle.

bouguereau dit: à

j’ai pas une affection inconsidéré pour montebourg..mais sincérement tu le vois pouffant sur le biguoudin est son bonnet rouge..ça srait pire qu’un crime, ça srait une faute ! qu’il dirait jicé

Marcel dit: à

JC….. dit: 14 novembre 2013 à 16 h 02 min
Bougboug mérite notre respect !

C’est le seul ici à avoir eu une aventure torride avec Golda Meir en juillet 1958, et un flirt poussé avec Oum Kalsoum huit semaines plus tard ! c’est pas rien …

Allez ! C’est l’heure : on s’en jette un autre à la santé d’Heidegger !

Sacré JCtout. Il sait être complaisant, quoique plaisant soit superflu.

bouguereau dit: à

with her perverse knitting enthusiasm

phil dirait qu’il lui est arrivé des trucs tout petit..l’écoute pas, c’est une mauvaise langue

laine qui gratouille dit: à

phil dirait, jc penserait .. cqfd vdks épicétou

boug c’est le gars qui te fais penser les autres à la place de lui-même, fortiche mais douteux.

laine qui gratouille dit: à

Quand à Madame Taubira et ses contradicteurs bas de plafond, qu’elle médite davantage ceci :

//www.hominides.com/html/theories/theorie-evolution-idees-fausses.php

marre de la France bac à sable

Annabelle dit: à

Bonsoir, je sus nouvelle ici.
Je m’appelle Annabelle parce que je sus belle.
Je suis de l’est.
J’aime beaucoup lire vous, notament M. John Brown.
Je vaudrai devenire son amie fess-bouch’.
Il ne sera pas dessus !
Merzi de lui fair la comition !

Attention, il tache ! dit: à

Daaphnée dit: 14 novembre 2013 à 19 h 38 min

( tiens, tout le concert de Clapton,
Unplugged,

Daf, si c’est « unplugged » ça va pas plaire à Bouguereau.
Pourriez pas lui bricoler quelque chose.
Sur le pouce (!!!???!!!)?

(« Découvrez nos Plugs
Le plaisir de la …….. à petits prix – Envoi Discret 48H »)

D. dit: à

Bonsoir, je sus nouvelle ici.
_

Bonsoir JC. Tout va pour le mieux ?

Rosa Rosis Rosis (mais pas trop quand même) dit: à

Un fait capital semble avoir échappé à la totalité d’entre vous (c’est à dire au tas de vous, je ne suis pas philosophe).
Examinez mieux les documents photographiques mis à votre disposition par le professeur Assouline . Cela saute aux yeux.

Heidegger était l’poux infortuné de Rose!
Mais si.
D’où ce besoin perpétuel de fuir dans une langue compréhensible de lui seul pour un profit qui demeure à évaluer pour les autres. (L’essentiel de Heidegger ne se trouve-t-il pas dans Spinoza, lequel exposa, il est vrai avec plus de clarté, sa pensée, ce qui déclasse immanquablement ce hollandais fabricant de lunettes?).

Donnons un exemple du quotidien de ces deux êtres, rapprochés par le hasard, malmenés par l’existence, c’est à dire, comme souvent, l’un par l’autre :

Rosa : Hein? Qui qu’tu dis?

Martin : je dis : Le fait que l’angoisse saisit la conscience morale est là pour confirmer phénoménalement que, en entendant l’appel, le Dasein est mis en face de l’étrangeté de soi-même. Le parti d’y voir clair en conscience aboutit à affronter l’angoisse.

Rose : Comprends pas. Comprends jamais.
J’vas m’en r’verser un p’tit fond…
Tiens ! I pleut.

Seigneur, que de vertus vous nous faites haïr !

bref dit: à

JC….. dit: 14 novembre 2013 à 7 h 54 min

Bérénice, demander un Heidegger sans croix gammée, un Céline sans juifs, un Voltaire sans Mahomet, c’est passer du café au décaféiné, c’est demander un Lagavulin sans alcool, c’est espérer un Croyant sans guerre de religion, c’est vouloir une femme sans ventre, un marin sans couteau, bref … c’est chercher un homme qui soit parfait, et vous savez bien que c’est impossible.

et Jc c’est un couteau sans manche auquel il manque la lame?

Rosa Rosis Rosis (mais pas trop quand même) dit: à

Il fallait lire « l’époux ». Vous l’aurez lu. Mes puces.

J'aime mon boucher, c'est un artisan qui connait son métier dit: à

« D. dit: 14 novembre 2013 à 22 h 38 min

Une grande histoire commence. Deux cœurs de veaux enlacés pour l’éternité. »

Par pour l’éternité, pauvre D., jusqu’à la date de péremption.
Et sur lequel étal… Mieux vaut ne pas savoir..

Marcel dit: à

Bon sang, il n’y a plus personne. Il faut que j’aille me coucher au lieu de m’user les yeux sur « Un automne en août ».
A bientôt Scharheidegger.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…vous m’excuserez,…je ne puis être au four et au moulin,…aujourd’hui,…du moins,…

…donc,…et de 1,…pour,…

…@,…Protection des mineurs à 19 h 05 mn,…
…et,…donc,…je parle sans accent,…une voie fine du genre parisien nonchalant vif d’esprit,…

…sans accent,…plutôt,…le ton doux et très fin pointu,…et la voie calme=incisif=doux,…
…mais, j’ai appris à donner de la haute=voie,…pour donner des directives en montagne,…de très loin,…
…école française d’Alsace, avant de continuer mes études à Bruxelles,…
…il n’y a donc aucun accent,…
…juste un temps de réflexion personnel avant de répondre dans les espérances de l’auditoire,…

…je parle plus français que les français,…et hélas,…j’arrive à être  » cinglant et vif « ,…
…et en un tournemain suivant la situation, me rendre très contraster pour défendre une controverse par les orientations miroitées et dites  » fabuleuses « ,…s’en m’en rendre compte,…etc,…
…nécessité fait loi,…avec un humanisme bien sûr,… » je ne suis pas atteint de  » saturnisme  » des vins issus des citernes de plomb de la Rome antique,…moi,…


…et de 2 pour,…@,…bérénice,…à,…19 h 16 mn,…
… »…hélas pas de liens pour percevoir vos oeuvres,…exposez vous? au club des pompiers…académisme,… »,…

…vous savez bien,…que j’ai déjà été copier,…de nombreuse fois,…déjà depuis l’académie,…ou avec mes diapositives d’oeuvres développées en photos,…et certains originaux offerts, donc,…

…penser et réfléchir,…pour se voir escroquer dans son travail,…Non,…

…il y a beaucoup de  » documents = oeuvres « , que je met sous scellés chez=moi,…
…j’ai rien à  » vendre « ,…c’est trop précieux,…et trop  » profitable « , en d’autres mains,…
…l’idée c’est l’ensemble  » mon tout « , en entier, qui vit, qui marche,…une sorte de royaume sacré des sciences à nos jours,…je dois me rappeler de tout  » faire disparaître « ,…
…je laisse aucun lien de mes oeuvres et capacités,…quelques diversions,…
…et, alors, la cupidité de mes connaissances c’est extraordinaire,…

…et de 3 à,…@,…laine qui gratouille,…à,…20 h 39 mn,…
… » la philo corse…chacun pour sa chapelle,… »,…

…ou nous en somme arriver,…
…la philo se résume partout, à tout avoir pour rien,…un risque d’en mourir idiot,…

…des conseils d’Esope,…aux escrocs = tyrans,…un long chemin vers les misères à la pensée unique des Stalags 13,…
…les choix de la collaboration=tacite aux profits,…
…le centre,…à la naissance,…etc,…

JC..... dit: à

Marcel dit: 15 novembre 2013 à 3 h 29 min
Bon sang, il n’y a plus personne. Il faut que j’aille me coucher au lieu de m’user les yeux sur « Un automne en août ».

Sacré MARCEL : il nous fait sa pub pour son dernier livre. Un titre à la SAS, genre « Banco à Bangkok » … Quel livre ? « Un automne en août », un roman de Jean Calbrix chez Zonaires éditions, 300 pages, 18€ (+frais de port 3€).

Ne me remercie pas, Marcel ! Entre auteurs au génie méconnu …

JC..... dit: à

Passons de Marcel … à Martin Heidegger, qui disait : « Seuls les commencements sont beaux. »

Applicable au successeur du bouffon Bush, le bien réélu Obama ! Lequel déconne à pleins tubes au Moyen-Orient dans sa relation avec la nouvelle Egypte (càd l’ancienne, celle des militaires). Mauvaise action … Israël a du souci à se faire.

JC..... dit: à

(suite et fin)
Je vous parle d’Israël parce que je crois qu’il faut toujours s’intéresser à ce qui ne vous intéresse pas vraiment. On reviendra plus tard sur l’être, le temps, le néant, le ça, le si, le couçi, le couça …BàV !

JC..... dit: à

Le soleil se lève bientôt. Juste avant de partir en jogging, je vous livre la dernière de mon crémier, un type simple mais honnête, qui fournit d’excellents produits :

« Nous payons des putes, à Paris, pour qu’ils nous baisent ici ! Inversons le flux monétaire : baisons nos putes locales avec l’argent qu’on leur donne à perte ! »

Vous comprenez mon inquiétude : où va la république là ? Où elle va ? Et encore, je ne vous raconte pas ce qu’il nous dit sur l’usage bénéfique des bananes dans les Ministères ….

La République est en danger ! Levons des troupes intellectuelles pour combattre ces pensées déviantes. Question de survie de la démocratie…

quoque dit: à

Marcel dit: 14 novembre 2013 à 20 h 45 min
Sacré JCtout. Il sait être complaisant, quoique plaisant soit superflu.

Ses biquets font grève, c’est dire

JC..... dit: à

FOOTBALL
Exercice qui n’a rien d’incompatible avec la philosophie. Rappelons le célèbre reportage des Monty Python en 1972, intitulé : « The Philosophers’ Football Match », rencontre au cours de laquelle Martin HEIDEGGER fournit un match splendide !

Les équipes étaient les suivantes :
Allemagne : Leibniz – Kant – « Nobby » Hegel (c) – Schopenhauer – Schelling – Beckenbauer – Jaspers – Schlegel – Wittgenstein (Marx 88′) – Nietzsche – Heidegger.

Grèce : Platon – Épictète – Aristote – « Chopper » Sophocle – Empédocle d’Agrigente – Plotin – Épicure – Héraclite – Démocrite – Socrate (c) – Archimède

Arbitre : Confucius
Arbitres assistants : Thomas d’Aquin – Augustin d’Hippone

Ce soir France-Ukraine. Soyons philosophes ! Nous nous foutons de savoir si les Ukrainiens prendront des bleus des Bleus ou si les Bleus broieront du noir dans la défaite ….

u. dit: à

Ce Dictionnaire MH est bien utile, mais c’est un monument de piété.

Une lecture prolongée suscite l’écoeurement.

L’expression comique « penser à neuf » m’a rappelé hier de passer au Pressing du coin (merci, MH), et en cherchant son foutu dico de tomber sur le Cahier de l’Herne consacré à Walter Benjamin.
Ouaouh!
Que de bonnes choses, merci Mme Lavelle.

John Brown dit: à

Sur la photo du haut, on se croirait vraiment dans une cuisine bretonne d’avant les subventions européennes. D’ailleurs, Heidegger vous a une de ces gueules typiques d’autonomiste breton. Abject.

Colette dit: à

l’amère Christiane, réfugiée chez Popol, trouve que la RDL est devenue « la nef des fous » ; quand elle inondait cette nef de posts dégoulinants de bondieuniaiseries et adoubait son pote boudegras, c’était nettement mieux !

Diagonal dit: à

Tiens !… Heidegger faisant écran, la RDL a oublié d’évoquer le dernier mauvais roman de Mathieu Lindon, Une vie pornographique (POL). Réparons cet oubli, avec la fiche de lecture suivante qui nous permettra de très rapidement passer à autre chose.
C’est le récit d’une addiction peu ragoutante à l’héroïne, à Paris et dans un lycée tourangeau. L’histoire d’un prof raté, semblable à nombre dont on préfèrera taire les noms parmi ceux qui sévissent ici et un peu partout (à commencer par moi),… bref, d’un gars qui considère sa consommation quotidienne d’héroïne comme un style de vie non seulement possible, mais normal et bien banal… Mais qui éprouve quand même le besoin de s’en justifier comme appartenant à une tribu hétéroclite au style de vie minoritaire, dont il se distinguerait cependant par sa faculté de n’être point récupérable par le misérabilisme ou la victimisation habituelles. Au fond, il s’agit de donner à voir une héroïnomanie bourgeoise et intégrée chez un auteur mineur quoique bien le fils de son père, particulièrement représentatif de ce boboïsme spumescent de déclinisme en vigueur au journal de Libération. L’auteur parie sur la non assuétude de son personnage, laissant plutôt entrevoir le confort d’une vie faite de passages d’une dépendance à l’autre (les endorphines liées au sport plutôt qu’au sexe, vu l’âge du narrateur, par exemple). Certes, cela nous varie un peu les points de vue, -car on s’ennuie vite-, mais ne change guère le Perrin Dandi(n). M. Lindon n’est pas vraiment crédible dans le prétendu anticonformisme de son impuissance existentielle et testiculaire, sublimée en pâté littéraire. Dans le chapitre « STOP », il explique qu’arrêter la came s’explique surtout par l’idée de ne pas vouloir ressasser les écarts entretenus avec la dope comme il en irait d’avec une meuf devenue insupportable au bout d’un laps de temps de vie commune.
On se demande bien pourquoi il ne souhaite pas faire l’effort de vivre avec sa copine toute une vie et pourquoi il s’en lasse aussi vite, alors qu’il est évidemment tout à fait passionnant de faire l’expérience de vivre toute une vie avec la même fille, le même gars ou le même produit dopant, je pense. Il fallait oser dire : « Comme dans tous les couples, un jour on se demande pourquoi on reste ensemble »(162). Wouarf ! Avec des parallélismes pareils, on mesure le génie d’un auteur heideggerien ayant renoncé à sa bluette arendtienne…
Franchement, qui pourrait bien s’identifier à une histoire aussi insignifiante, et surtout aux messages sous-jacents les plus conformistes qui soient ?…
Passou-Passons donc à autre chose. Désolé d’encombrer votre RDL, mais je n’ai pas vraiment le temps de créer mon propre blog pour rendre injustice à des romans qui méritent de nous tomber des mains, donc de ne pas s’y arrêter, sauf par masochisme bien tempéré.

John Brown dit: à

Heidegger vous a une de ces gueules typiques d’autonomiste breton (mézigue)

Tu lui enfonces un bonnet rouge jusqu’aux sourcils, la ressemblance devient proprement hallucinante. Elle ne s’arrête d’ailleurs pas là : il faut y ajouter les sympathies pro-nazies. C’est ce qui s’appelle avoir la tête près du bonnet.

Arendt moi, avant que je fasse un malheur !..... dit: à

Il était si beau mon Martin pécheur, jeune homme … J’aimerai te voir avec un bonnet rouge, Méchant Brown, à ton âge !

renato dit: à

Vous connaissez sans doute, Colette, ces biscuits secs italiens vendus sous le nom « Pavesini ». Certains croient que ces biscuits sont une spécialité de Pavie, ils se fabriquent cependant à Novara, ce qui produit une certaine confusion surtout chez les enfants plus forts en géographie qu’en généalogie des produits alimentaires. Les parents plus patients prennent la peine d’expliquer aux enfants que l’on appelle ces biscuits « Pavesini » en vertu du patronyme de l’inventeur de la recette : Mario Pavesi ; les moins patients laissent flotter l’imagination de leurs enfants dans l’indéterminé, ou, si vous préférez, dans le vague, il arrive ainsi que certains croient que Pavie doit son nom aux biscuits secs qui accompagnaient les quatre-heures de leur enfance ! Bon, ce n’est pas si grave : déjà la géographie est une matière peu étudiée, je ne vous dis pas la philologie romane ! et puis ce sont surtout des enfants qui se destinent à la banque, à l’industrie, au commerce, qui se prennent les pieds dans cette ambiguïté… ça devient inquiétant quand ils rêvent de littérature et d’arts : les voilà donc au Liceo Classico… là je vous passe les filles qui tombent en pomaison des que le prof de lettre ouvre la bouche (les garçons si c’est une prof), ce qui n’est qu’un incident sans gravité dans le cursus de la plus part des étudiants… puis ils mûrissent et passent à plus sérieux : carrière, mariage, enfants…
Tous ?
Non, quelques-uns résistent aux pressions de la société nivellatrice et reproduisent fidèlement le modèle que l’école leur a donné : la ou le prof de lettre.
À l’époque la désormais lointaine de mes études le prêt-à-porter masculin était Pavese, nous appelions donc Pavesini tous ceux qui optaient pour ce modèle. Or, il faut savoir que l’on mange le Pavesini (les biscuits secs) après les avoir juste trempés dans le café ou le chocolat. Mais ça correspond à quoi « juste » ? c’est délicat car si vous vous oubliez dans la conversation ou plus banalement dans la contemplation du ciel ou du plafond, le biscuit tombe misérablement dans la tasse, et voilà le quatre-heures transformé en une innommable bouille douceâtre au vague saveur d’œuf…

John Brown dit: à

Je hais Heidegger ! c’est pas euphonique mais ça fait du bien. Hey hey !

Jacques Barozzi dit: à

renato, pourriez-vous nous retracer également l’historique littéraire des « Biscotti di Prato » originaires de la ville de Prato en Toscane. Aussi connu sous le nom de « Cantuccini » ?

renato dit: à

Jacques, voyez avec votre moteur de recherche… comme un grand…

mumu dit: à

Hi hi, vous êtes bêtats,hein.

de la part de rené, pour Jacques dit: à

La première recette connue de ce biscuit, vieux de plusieurs siècles, est un manuscrit conservé dans les archives de l’État de Prato, d’Amadio Baldanzi, érudit pratois du xviiie siècle. Dans ce manuscrit, les biscuits sont « à la génoise. » La recette fut ensuite reprise par le pâtissier Antonio Mattei au xixe siècle, et elle est restée depuis identique : la recette traditionnelle distingue les vrais biscuits de Prato des nombreuses variantes modernes.
Ce sont des biscuits secs que l’on obtient en coupant en tranches la ficelle de pâte encore chaude. Cette pâte est composée exclusivement de farine, de sucre, d’œuf, d’amandes et de pignons. Les amandes ne sont ni effilées, ni grillées, ni pelées. On n’utilise aucune sorte de levure ni de gras comme le beurre, l’huile ou le lait.
Traditionnellement, les biscuits de Prato sont servis en dessert accompagnés d’un verre de vin doux (le « Vin Santo toscano » ) dans lequel on les trempe avant de les croquer.

toto dit: à

Préparation

1 Dans une casserole faire fondre le beurre avec le sucre, l’eau et le sel. Quand le beurre est fondu, éteindre le feu et laisser en attente au moins 20 minutes.
2 Dans un saladier mélanger la farine avec la levure et ajouter le liquide ‘beurre/sucre’.
Travailler la pâte avec une cuillère afin d’obtenir un mélange homogène (il conseille de travailler à la main mais j’ai tout remué à la cuillère).
3 Mettre la pâte dans un film alimentaire, au frais au moins 3 heures.
4 Fariner votre plan de travail et étaler la pâte finement.
J’ai coupé la boule en plusieurs morceaux pour faire cette étape et plus facile à étaler et permet de rajouter des parfums (cannelle et cacao en poudre).
5 Préchauffer le four à 180 °C.
6 Avec un emporte pièce (dans le kit, il y en avait un spécial petits-beurre maison)découper la pâte.
Déposer les biscuits sur une plaque anti adhésive ou recouverte de papier sulfurisé – Faire cuire 12 minutes (les petits beurre doivent être dorés sur les bords).
Je confirme, ils sont meilleurs bien cuits, la cuisson doit être assez longue pour avoir le croquant des petits-beurre.
7 Laisser les petits-beurre refroidir avant de les dévorer.

u. dit: à

Touite censure

La Licra réussit surtout à faire parler de Soral, pour lequel il est difficile de ne pas éprouver le plus profond mépris.

Collons au sujet dit: à

La création du biscuit de Reims remonte aux années 1690. À cette date, des boulangers champenois soucieux d’utiliser la chaleur de leur four après le défournage, eurent l’idée de créer une pâte spéciale qui, après avoir subi une première cuisson, était laissée dans le four à pain où elle finissait de sécher. D’où le mot « bis-cuit », c’est-à-dire cuit deux fois4. La recette est inchangée depuis cette date, et sans aucun doute l’un des derniers véritables « bis-cuits ». La Maison Fossier est la dernière biscuiterie à fabriquer le biscuit rose5.
À l’origine, le biscuit était blanc. Il doit son teint rose au carmin, un colorant rouge naturel ajouté à la recette produit à partir des femelles de cochenille. Initialement blanc, le biscuit s’est paré de rose afin d’estomper les fines particules noires extraites de la gousse de vanille qui tachetaient sa robe.
Sa tenue quand il est humidifié est sans doute due à l’insolubilité du blanc d’œuf contenu dans sa recette et dans la seconde cuisson douce qu’il subit en étuve. Il est coutume de tremper le biscuit dans du champagne ou du vin rouge des coteaux champenois (tel le Bouzy rouge) pour le ramollir.
Le biscuit se mange aussi bien seul qu’accompagné, en ingrédient, ou en décoration de charlottes et autres gâteaux. Outre sa couleur rose, il est caractérisé par une texture craquante et fondante. Son poids traditionnel est de 100 g la douzaine.

Jacques Barozzi dit: à

renato, ce n’était pas réellement une question, je sais que vous n’y répondez jamais, contrairement au frère Angelo, qui lui, nous accorde même des interview !
Je m’étonne seulement qu’à propos des Pavesini, et des Pavésiens, vous n’en ayez pas profité pour placer votre couplet acidulé habituel sur l’ami Paul Edel ? C’était subliminal, sans doute…

Merci, rené, je n’en ai jamais mangé agrémentés également de pignons, seulement aux amandes !
Vous connaissez la Torta Barozzi, spécialité de Modène ?

Jacques Barozzi dit: à

Pour Heidegger et sa charmante épouse, on songe plutôt, sur la photo 1, aux petits sablés au beurre rance ? Couchent-ils dans un lit en bois entièrement clos ?

Jacques Barozzi dit: à

Par quel miracle le dictionnaire heideggerien est-il devenu ici le dictionnaire du biscuit ?

renato dit: à

Attention ! Ne les appelez pas Cantucci sinon les gens de Prato se fâchent. Le nom original est simplement biscuits Prato : préparés avec beaucoup d’amandes, ils sont devenus, à tort, célèbre pour être vraiment bons seulement si dégustés trempés dans le Vin Santo. Cependant, et à juste titre, le gourmet sait que, de cette façon, on ruine deux produits nobles : le vin, comme résultat d’un travail rigoureux, qui ne mérite pas d’être sali par des morceaux de pâte ; et le biscuit, qui ne semble pas être un produit complet sans l’ajout du vin. Le gourmet les mangera donc et buvant le vin…

u. dit: à

« Par quel miracle le dictionnaire heideggerien est-il devenu ici le dictionnaire du biscuit ? »

Cuit deux fois.

Par les Allemands, puis par les intellectuels français.

Jacques Barozzi dit: à

Cuits au four crématoire, u. ?

Jacques Barozzi dit: à

Et si nous allions plutôt voir « Le dernier des injustes », ainsi que nous y invite Sophie Avon ?

u. dit: à

Le ton pieusard de ce dictionnaire m’insupporte.

Entrée « Antisémitisme » (il en fallait bien une):
« Il n’y a dans toute l’oeuvre de Heidegger publiée à ce jour (84 volumes sur 102) pas une seul phrase antisémite », etc.

Il longtemps qu’on sait l’essentiel, et il n’y a aucun sens à le transformer en personnage a-historique, imperméable aux conneries de son temps.
Il n’était pas pas pire qu’un autre, et c’est déjà ça.

Elena dit: à

Sans oublier, Renato, les Ricciarelli di Siena ; mais j’ai la langue et le goût partisans.

Jacques Barozzi dit: à

Il semble que le point Godwin ait perdu son effet ravageur ?
En d’autres temps, le film de Lanzmann ou le dernier livre sur Heidegger aurait déchainé la vindicte des commentateurs et fait grimper vertigineusement le compteur…

renato dit: à

Un lexique de navigation maritime se comprend, mais un dictionnaire Heidegger c’est quoi, un super « Que sais-je » ?

renato dit: à

Moi aussi je préfère les Ricciarelli, Elena.

Jacques Barozzi dit: à

Un peu trop sucrés à mon goût, les ricciarelli.

bouguereau dit: à

Il n’était pas pas pire qu’un autre, et c’est déjà ça.

zouzou retire la banane de ton entrée antisémite

bouguereau dit: à

bon baroz pour les questions intime sur sur mon grand père aujourdhui ça sra niet..il te suffira de savoir qu’il était mieux qu’les autres

bouguereau dit: à

la Torta Barozzi

pt pt..jamais je goutrais a ce truc là

bouguereau dit: à

La Licra réussit surtout à faire parler de Soral, pour lequel il est difficile de ne pas éprouver le plus profond mépris

j’l’aime moins que jicé..jle trouve un peu mou

Daaphnée dit: à

La Licra réussit surtout à faire parler de ..

C’est effectivement, U., faire trop d’honneur à ce type. Boxeur ..

bouguereau dit: à

zouzou c’est à lui quil cherche a faire honneur..alors il commence avec soral..pour le spectac je trouve qu’il est bon soral..zouzou t’as dla route

Daaphnée dit: à

Pardon, le Boug’ ?
Vous vous mélangez les gants, là, non ?

un amateur dit: à

penser à neuf avec Heidegger.
penser à sept avec Valery.
penser à trois avec Homère.

François Delpla dit: à

u. dit: 15 novembre 2013 à 10 h 07 min

Ce Dictionnaire MH est bien utile, mais c’est un monument de piété.

Une lecture prolongée suscite l’écoeurement.
*********************************************

puisque vous l’avez (en plus de laver), je me permets de rappeler mes questions :

François Delpla dit: 14 novembre 2013 à 14 h 07 min

est-ce que le dictionnaire dit quelque chose sur les raisons de sa démission du rectorat au bout d’un an ? et explique qu’il n’ait en revanche jamais démissionné du parti ?

Que dit-il de Carl Schmitt dont l’encartement est contemporain au départ comme à l’arrivée et qui, lui n’a pas démissionné, mais a été descendu en flammes par les SS (intellectuellement s’entend) fin 36, tout en restant prof d’université et membre du Landtag de Prusse ?

bouguereau dit: à

aprés..wagnère..heidegger..soral..la banane..la licra..et l’écoeurement..y’a necessairement dieudonné..pas vrai francois à qui j’adresse mon salut allemand attation..sinon y va sfacher tout rouge

Millau dit: à

Daaphnée dit: 15 novembre 2013 à 13 h 50 min
Pardon, le Boug’ ?
Vous vous mélangez les gants, là, non ?

Ben non, un gant de fer pour une main qui lèche quoi de plus normal.

bouguereau dit: à

pardon..pardon..adresse moi plutot un salut almand dafnoz..sinon on s’connait pus

renaud dit: à

« posts dégoulinants de bondieuniaiseries »
pauvre Christiane, qui est pas au niveau des vacheries

« francois à qui j’adresse mon salut allemand attation..sinon y va sfacher tout rouge »
tout en nuances, boucroc a pas dit ‘ salut nazi ‘

John Brown dit: à

penser à neuf avec Heidegger.
penser à sept avec Valery.
penser à trois avec Homère. ( Un amateur)

Penser à zéro avec Michel Onfray

John Brown dit: à

« posts dégoulinants de bondieuniaiseries »
pauvre Christiane, qui est pas au niveau des vacheries (Renaud)

Elle est effectivement très au-dessous

John Brown dit: à

En d’autres temps, le film de Lanzmann ou le dernier livre sur Heidegger aurait déchainé la vindicte des commentateurs et fait grimper vertigineusement le compteur… (Jacques Barozzi)

Qui c’est,les ceusses qu’y cause, lui là ?

abstentéisme dit: à

quoi la licra qu’est-ce qu’elle a fait?

remarque dit: à

« L’ONU s’alarme des attaques « racistes » à l’encontre de Taubira « (le monde)
Absorbé par tf1 (les feux de l’amour) le scientifique de porquerolles a pas encore envoyé ses ricanements qui suscitent la sympathie des plus grands

de nota dit: à

penser à zero avec michel onfray

à zero,z’êtes cruel John,non,avec Michel c’est penser à vingt.

renato dit: à

« … à qui j’adresse mon salut allemand… »

C’est du Heidegger : un grand classique, bouguereau ne met donc pas de guillemets.

ça craint dit: à

Baroz,
ici, lanzmann sujet épuisé et heidegger personne n’a lu (et les questions ou recherches de documentation sur ses prises de positition sous les nazes sont décrétées interdites par le caïd des commentateurs)

béotien dit: à

« C’est du Heidegger : un grand classique, »
ah d’accord

renato dit: à

On n’est pas là pour démontrer que l’on a lu Heidegger, mais pour commenter un dico dont on (je) se fout largement.

Jacques Barozzi dit: à

Tu ne te lèves jamais avant midi, le boug ?
Tu interviens généralement après le déjeuner, pour nous, petit déjeuner for you ?

bouguereau dit: à

tu vois midi a ta porte au sens propre baroz..pour un bon upload faut faire gaffe à l’heure gmt..en gros faut que les texans dorment..sinon y te bouffent toute la bande

bouguereau dit: à

boucroc a pas dit ‘ salut nazi ‘

pour les guillemets esplique ça a ce con de keupu rénato..je citais « françois »

bouguereau dit: à

On n’est pas là pour démontrer que l’on a lu Heidegger, mais pour commenter un dico dont on (je) se fout largement

excellent !..alors parlons de la licra et de soral comme zouzou

au spectacle dit: à

Faut suivre les empoignades dans l’ordre -tiens on dirait que les insultes du génie passent facilement c’est une chance

dupont et dupont dit: à

pour commenter un dico dont on (je) se fout largement

qu’onn’a pas lu non plus

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