de Pierre Assouline

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Histoire d’O

Histoire d’O

Ce que c’est que d’être devenu un monument national quand on est écrivain : inutile de préciser l’identité de celui que l’on évoque sous l’érotique étiquette d’O, vain d’ajouter que Pauline Réage n’y est pour rien. Quasi centenaire, sanctifié dans la frivolité médiatique et la mondanité littéraire qui lui font cortège depuis longtemps, Jean d’Ormesson est désormais intouchable. On n’a même plus envie de le critiquer. De toute façon, il est inaccessible pour une raison qui relève de son talent particulier : par le jeu d’un habile et étincelant dialogue entre son Moi et son Sur-Moi, il désamorce tous les reproches qu’on pourrait lui adresser en les incluant lui-même à son nouveau livre Je dirai malgré tout que cette vie fut belle (485 pages, 22,50 euros, Gallimard). D’autant qu’il ne s’épargne pas.

Désarmant, anecdotique et charmant, même si son détournement d’un vers d’Aragon pour les besoins de son titre est abusif : « malgré tout » ? on se demande bien malgré quoi tant tout semble lui avoir été épargné. Il est vrai que cela a du lui être une vraie torture que de passer pour l’écrivain du bonheur. C’est mal porté en librairie, alors que la souffrance tous les deux ou trois ans sur trois cents pages, quel boulevard ! Ses souvenirs, qu’il écrit pour la énième fois en ne reculant devant aucun « j’ai souvent raconté » ou « comme je l’ai déjà écrit » (durs sont les adieux à la scène), se lisent avec un réel plaisir. Epatant de bout de en bout ! On en viendrait presque à oublier qu’il fut aussi directeur du Figaro et qu’il ne cessa jamais d’éditorialiser en parfait conservateur de l’ordre établi.

Cabotin comme ce n’est plus permis, courtois et bien élevé comme on n’en fait presque plus,  il pratique l’autodérision et l’ironie sur soi avec doigté. Son livre autorise le lecteur non à échanger, quelle horreur, mais à entrer en conversation avec un lettré chu du XIXème siècle, qui se rêve contemporain de Chateaubriand, et que rien ni personne ne fera renoncer à son goût des humanités, du grec (dès l’épigraphe de Platon) et du latin.  Un tel homme ne peut être entièrement mauvais. Sa mémoire va par sauts et gambades, s’autorisant toutes les digressions. Ce qui lui fait parfois accomplir des raccourcis historiques et des ellipses que son âge peut excuser mais pas celui de ses correcteurs (Yves Montant… la revue Débats au lieu de Le Débat etc)AVT_Jean-d-Ormesson_5664

S’il se contentait de mémoires au-plaisir-de-Dieu, dans le prolongement d’une inspiration des Buddenbrook de Thomas Mann et de la Dynastie des Forsyte de John Galsworthy, privilégié né avec une cuillère d’or dans la bouche, en racontant son microcosme décati du faubourg Saint-Germain avec la nonchalance et la désinvolture d’un vagabond passant sous une ombrelle trouée, on laisserait tomber. Mais le fait est qu’il nous attrape en faisant la part belle aux apprentissages, aux rencontres, aux découvertes, aux lectures du pensionnaire de l’Ecole Normale supérieure et du haut-fonctionnaire de l’Unesco. Un peu de name-dropping, mais pas trop. La rituelle visite au grand écrivain, en l’espèce Paul Valéry, vaut le détour.

A 20 ans, comme il hésitait entre plusieurs agrégations, il demanda conseil à ses maîtres révérés parmi lesquels Vladimir Jankélévitch, Georges Canguilhem, ou le robespierriste professeur d’histoire André Alba. Le heideggerien Jean Beaufret lui suggéra la philosophie tout en lui proposant «  de m’enculer trois ou quatre fois », ce qui lui parut beaucoup mais ne l’empêcha pas de suivre la première partie de sa recommandation. De ses années normaliennes, le ludion métaphysique conservera un livre à jamais L’étonnement philosophique de Jeanne Hersch, qu’il ne cessera d’offrir et de conseiller avec un autre, le plus beau des livres d’histoire à ses yeux, la biographie de Frederic II Hohenstaufen par Ernst Kantorowicz.

Rien n’est savoureux comme la présentation de ses proches amis de jeunesse, Jean-Paul Aron, Claude Lefort, Jean Laplanche, J.B. Pontalis ou Louis Althusser qui fut son caïman rue d’Ulm, ce qui ne l’a pas rendu marxiste pour autant. Plus tard, il se liera avec Kazantzakis, Fuentes, Cortazar, Styron, Carpentier, Caillois, Kemal, Vargas Llosa, Hampate Ba, Borges… Le bureau a du bon parfois. Ingrat Jean d’O qui surnomme l’Unesco « un fromage sur un nuage ». Mais il sera beaucoup pardonné à celui qui s’est tant démené pour faire élire Marguerite Yourcenar, Dany Laferrière, Alain Finkielkraut à l’Académie française.

Son récit est le plus souvent amusant, pour reprendre un adjectif affectionné par son milieu (à condition d’oublier la dernière partie dans laquelle il renoue avec ses marottes cosmogoniques). Et si décalé ! Le philosophe Jean Hyppolite a eu raison d’observer que son étudiant-là donnait à jamais l’impression de survoler les horreurs du monde en première classe et d’exprimer des vérités devant une invisible tasse de thé, fussent-elles tragiques. Jean d’O n’a pas seulement eu de la chance : il a toujours bénéficié d’une incroyable indulgence. Peut-être parce qu’il en témoigna lui-même aux autres. Il en fallait pour se commensaliser avec tant d’ardeur et une telle fréquence avec Paul Morand et Aragon.

Au-dessus des partis, chapelles et tendances, Jean d’Ormesson appartient au patrimoine. Il faudrait le classer dans l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ainsi sera-t-on sûr que, dernier des Mohicans, il sera protégé pour l’éternité, au moins. Son nom est devenu une marque et un label. Il est l’incarnation d’une certaine idée de la France, à laquelle on ne songe pas sans nostalgie tant la vision en est ouatée. De ce monde révolu il est le totem identifiable entre tous : un accent dental, une élocution théâtrale, le nez de Raymond Aron, les yeux de Michèle Morgan et des formules made in Grand Siècle plein ses poches.

Il nous contamine dans cette vision romantique du monde selon laquelle on rompt plus facilement avec le réel des choses d’ici-bas qu’avec les rêves éveillés qui enveloppent les souvenirs. Surtout quand on sait que l’amour aura été la grande affaire de sa vie. Saint-Fargeau n’appartient pas seulement à sa mythologie personnelle mais à la nôtre, question de génération. Que sera la France de demain sans lui ? Autrement dit : y–aura-t-il une vie dans ce pays après Jean d’Ormesson ?

(Photos Eric Garault et D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

557 Réponses pour Histoire d’O

la vie dans les bois dit: à

après le sirupeux de toutes ces courbettes, les vieiles au salon de thé, et puisque le robot ne connait pas Amalfi, voilà de quoi l’allécher.

Dopo un buon pranzo la tradizione campana, diffusa ora anche alle altre regioni italiane, richiede il limoncello dopo il caffè napoletano. « Limoncello » è il liquore tradizionale distillato dalla buccia di limone prodotto in tutta la Costa d’Amalfi fino a Sorrento. E’ un liquore naturale, con ottime proprietà, un gusto unico, profumato, ottenuto secondo una semplice ed antica ricetta. E’ un composto semplice da realizzare, senza l’aggiunta di agenti coloranti, stabilizzanti, additivi o conservanti. La semplicità e la cura con cui viene prodotto accentua l’originalità e la purezza, proprio come tanto tempo fa.

http://www.amalficoast.it/primopiano/resort/costiera-amalfitana-1/il-limoncello-della-costiera-amalfitana-20.aspx

widerganger dit: à

Yves Montant, c’est simplement une réhabilitation. Il a passé la fin de sa vie descendant…
Il neige encore à Bergun, mes petits chéris d’où je vous envoie bien le bonjour.

widerganger dit: à

?

la vie dans les bois dit: à

« on peut aussi désapprendre et être plus authentique »
vu l’âge canonique atteint par M. Jean D’Ormesson, c’est trop tard, pour lui.

la vie dans les bois dit: à

Si ce ? fait suite à des post sur Amalfi, c’est parce que Jean d’Ormesson n’en a plus qu’un très « vague » souvenir, où « la lumière (lui) tomba dessus ».

widerganger dit: à

Le seul problème sérieux c’est qu’ en restera -t-il dans cent ans du Jean d’O d’aujourdhui?

widerganger dit: à

Autre citation d’Aragon :¨Les petites gens n’ont pas le temps de connaître leur coeur. ¨ (Aurélien )

Chaloux dit: à

Il faut lire de temps en temps une revue quelconque. Ce soir « La Revue Littéraire », N°61. A peu de pages près, effarant.
(Le « Journal » de Millet, publié en fin de volume, explique beaucoup de choses.)

L’heure sonne d’aller se nettoyer les trois rois de la vie dans Retz.

ribouldingue dit: à

« JC, je me suis fendu de 10 euros pour acheter La Revue Littéraire  »

T’as les moyens, Chaloux.

la vie dans les bois dit: à

Mais si M. d’Ormesson fait chanson en 2016, E. Pisani a encore ses chances demain, avec « je t’aime le lundi ».

Al Ceste dit: à

Chaloux dit: 2 mars 2016 à 19 h 58 min

😉

widerganger dit: à

Le seul problème sérieux de la littérature, c’est de nous donner à sentir l’incompletude de toute vie et qu’ on ne parle jamais que pour cacher à soi et surtout au monde qui a envie d’y croire comme à un mythe, qu’ on ne sait jamais dans la vie de quoi il est question et que quoi qu’ on dise, on n’a jamais rien dit.

Chaloux dit: à

Autre citation d’Aragon :¨Les petites gens n’ont pas le temps de connaître leur cœur. ¨

Profonde sottise d’Aragon. Classique.

widerganger dit: à

Le grand écrivain c’est celui qui en dépit de tout garde la foi. Peu importe quel genre de foi.

Chaloux dit: à

« Le seul problème sérieux de la littérature ». Pourquoi le seul? Et la plénitude la vie, en littérature et dans la vie même, ça compte pour quoi?

christiane dit: à

@DHH dit: 2 mars 2016 à 21 h 29 min
Je n’avais pas pensé à cela mais oui, bien sûr… L’écriture manuscrite enchaîne les lettres dans un mouvement naturel. Ici, sur le clavier que de sauts éprouvants pour finir par faire naître un mot. Le doigt (pour les plus malhabiles, dont moi) tape sur une touche vaguement repérée pendant que la pensée demande de la vitesse pour se traduire en mots. Des lettres proches jouent à saute-mouton, des majuscules passent à la trappe faute d’une impulsion suffisante pour les retenir, des espaces sont avalés. C’est effectivement stressant pour qui est venu à cette pratique dactylographique tardivement. Mais comment faire sans cette contrainte pour entrer dans ce monde d’internet. Quel bonheur quand, loin des écrans, juste avec une plume et du papier on laisse glisser les mots sur la page.

WGG est rentré de vacances, c’est bien. Nous tournions un peu en rond sans les intervenants habituels. Que restera-t-il dans cent ans de J. d’Ormesson et de bien d’autres écrivains… et des livres? Vaste question… Nous ne serons plus là pour y répondre… Que sera devenu ce monde de la littérature que nous aimons tant ? mystère…

Ce jour, des mémoires se sont croisées : des livres de Jean d’Ormesson et de sa présence à L’Académie, dans les médias et dans la presse, de la littérature italienne. Ces deux romans d’Elsa Ferrante avaient souvent été évoqués ici, donnant envie de les découvrir. Le billet de Paul Edel (sur son blog) a permis à ceux qui les avait lus d’apprécier son analyse. La fin de son billet évoquait Pavese et Moravia. Nous étions alors, ailleurs, dans d’autres écritures, dans une Italie des années 50, superbement explorée par ces romanciers (et ces cinéastes).
Jibé a ajouté Pasolini avec juste raison.

Et voilà, la journée s’achève.
LVDB semble irritée sans raison, opposant encore des générations… Le travail qu’elle fait ici, de recherches, de liens est intéressant…

Bonne soirée.

widerganger dit: à

Alors mon Chaloux, toujours aussi bête et méchant envers le monde! Quelle constance!

Chaloux dit: à

Grands écrivains… Il n’y a pas plus de mystère dans un grand livre que dans une bonne paire de sabots.

Chaloux dit: à

widerganger dit: 2 mars 2016 à 22 h 35 min
Alors mon Chaloux,

Alba, je dois t’avouer un certain soulagement à te voir enfin sorti de tes cabinets, où tu vivais enfermé depuis dix jours pour nous faire croire que tu étais en Suisse.

la vie dans les bois dit: à

Amalfi, donc, lieu où le sémillant nonagénaire, qui met entre lui et vous quinze générations de bonnes manières(sic), est un site classé.
http://whc.unesco.org/fr/list/830

Paul Edel dit: à

« l’incompletude de toute vie » belle formule ce soir de WGG..

widerganger dit: à

Non je pianote sur mon portable depuis mon chalet (et non pas mon Chaloux… ) à Bergun. Il neige d’ailleurs. Je retourne skier demain jusqu’à la fin de la semaine.

Chaloux dit: à

« La plénitude » DE la vie.

On laisse passer des fautes parce que le rectangle est tout petit et qu’on y voit de moins en moins.

widerganger dit: à

Salut popaul! Je me suis remis à écrire dis donc.

la vie dans les bois dit: à

lieu où le sémillant nonagénaire, se baigna, devais-je terminer ma phrase.

Chaloux dit: à

widerganger dit: 2 mars 2016 à 22 h 42 min
Je me suis remis à écrire dis donc.

Lamentables brouillons en perspective…La vie continue.

widerganger dit: à

Je lis aussi en allemand un recueil de nouvelles de Canetti, Die Stimmen von Marrakech. Sehr interessant!

widerganger dit: à

J’ai aussi lu un portrait au vitriol de Chaloux dans Aurélien d’Aragon. Très réussi!

christiane dit: à

Les revues littéraires ?
Outre « Le Magazine Littéraire » que nous évoquons souvent, le dernier numéro (1146)- mars 2016- de « La Quinzaine littéraire » est passionnant.
– L’écriture et la mort : le livre de P.Claudel « L’arbre du pays Toraja » et « Jean Clair, l’intempestif » (Journal 2012-2015) sont évoqués par D.Bergez
– Celui d’Hélène Cixous « Gare d’Osnabrück à Jérusalem » est analysé par V.Bergen
– La naissance d’une nouvelle revue de poésie « Apulée » est l’occasion d’un entretien avec l’écrivain H.Haddad qui en assure la direction éditoriale
– Deborah Heissler par Sabine Huynh pour son nouveau recueil de poésie…
– Lacan passé au crible par Y.Diener…

De belles lectures en perspective.

la vie dans les bois dit: à

tweet

DÉLIRE. Réalité virtuelle. Le mot est lâché. Ce qui pouvait passer à l’époque pour un délire littéraire de drogué, c’est désormais notre présent ou proche futur technologique. Les machines plus qu’humaines de Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? (le roman de 1966 devenu Blade Runner à l’écran), les réalités parallèles de Souvenirs à vendre (Total Recall au cinéma) ou les altérations de la mémoire (Paycheck, 1953) semblent aujourd’hui des développements à portée de main. Ne serait-ce qu’avec les progrès de la robotique (ces robots qui « apprennent » à chuter comme les humains), du machine learning, des casques immersifs, du mélange virtuel/réel (l’HoloLens et la réalité mixte).
http://www.sciencesetavenir.fr/decouvrir/tele-cinema/20160216.OBS4744/television-quand-philip-k-dick-se-souvenait-du-futur.html

Jérôme Michel dit: à

« La Côte sauvage un roman de l’inachèvement, de
l’ébauche des lettres que nous n’écrirons pas, de notre douleur d’avoir eu vingt ans et
de n’en avoir rien fait, de cet immense amour inemployé, de l’incomplétude de toute
vie, de toutes ces morts avant la vraie »

Miroir, mon beau miroir dit: à

Alors, le cabotinage .. une option raisonnée me semble-t-il

Sergio dit: à

Mais de toutes manières la réalité est déjà virtuelle, au moins pour nous : on ne la connaît pas…

widerganger dit: à

Ce qui fait le sel des bouquins de d’O, c’est précisément leur incomplétude par la nostalgie qui y règne. La plénitude de la vie n’est pas de ce monde mais la littérature peut l’avoir en perspective.

widerganger dit: à

Au fond la langue est le secret de toute littérature. C’est aussi pourquoi certains s’en font le secrétaire…

rose dit: à

Non le pouvoir et pire, l’ambition ne sont pas dans l’affaire de toute vie.
J’y choisi Eluard. La vie, l’amour, la mort.

Le pouvoir je le mets dans une fatuité imbécile. L’ambition étant un mot que je n’emploie jamais. Par contre, le désir de certain d’être, incessamment, en communication* avec autrui, je le trouve respectable.
* et de s’y intéresser.

rose dit: à

Montant, ce n’est pas si bête : gardons indulgence pour une erreur typographique qui a quelque réalité.
Jeune homme, adolescent ? élève dans une école de la Cabucelle, chez moi, à Marseille Yves Lipi (?)(à verifier) montant sur le banc, dans la.cour de récré, poussait déjà la chansonnette.

Sergio dit: à

rose dit: 2 mars 2016 à 23 h 30 min
Non le pouvoir et pire, l’ambition ne sont pas dans l’affaire de toute vie.

Oui.

Et de plus, dans cette affaire de pouvoir, il y a contradiction en ceci qu’on a toujours des chefs : même le roi de France a les yeux de son peuple comme chefs, même Bernard Tapie ses conseils d’administration et caetera et caetera ; alors le pouvoir, finalement, c’est que des secondes ! Parfois des minutes…

Sergio dit: à

Tiens on aurait pu prendre Largo Winch à la place de Bernard Tapie…

Sergio dit: à

rose dit: 2 mars 2016 à 23 h 30 min
Non le pouvoir et pire, l’ambition ne sont pas dans l’affaire de toute vie.

Oui.

Et de plus, dans cette affaire de pouvoir, il y a contradiction en ceci qu’on a toujours des chefs : même le roi de France a les yeux de son peuple comme chefs, même Bernard Tapie ses conseils de gérance et caetera et caetera ; alors le pouvoir, finalement, c’est que des secondes ! Parfois des minutes…

chantal dit: à

Chère Adèle, je te remercie pour ton confiturier en plexiglass qui a réjouit les dernières heures du cousin Henri.

Nous attendons avec une impatience toute religieuse l’élection en nos murs et sous coupole de ce charmant sibérien qui bravant froid et opposants parfume nos après – midi des crimes de cette fascinante Olga Arbelina après nous avoir émues aux larmes avec l’amour qu’il portait en lui pour notre cher pays transmis par sa grand – mère.

Notre préféré, mais, chuut, les murs ont des oreilles et les chambres ne refroidissant que dans l’énigme, +stop=/ se porte on ne peut mieux, sa mine de poupon jovial faisait plaisir à voir, d’aucuns malappris raillent sa calvitie et ses croûtes de lait, c’est oublier l’onctuosité de caramel mou de sa voix envoûtante.

Mon coiffeur a raté ma couleur, je ne sort plus que coiffée d’un béret de laine le plus quelconque possible, dès que je l’ôte on peut voir les carottes plantées sur ma tête.

Je relis avec affection le catalogue des wagons – lits que tu a oublié sur la commode en partant il y a déjà six mois. Ce serait profitable à Léon qui prise encore ce mode de véhicule lent et sensuel.

Mes arbustes tiennent la gelée, je prie le ciel et ses bourrasques imprévisibles pour qu’ils ne dépotent de mon balcon rouillé.

Je ne sait quelle girouette nous gouverne ces derniers temps, un homme dont on ne dit pas que du bien mais qui éteint les lumières en sortant de ses fonctions, ce qui est pingre et peu classique. Il ne s’entiche que de dames frivoles et tempétueuses, cela va mal finir.

Je prie pour que cet ingénu de Michel Drucker ne laisse pas son siège à de vulgaires personnages, que nous resterait – il sans vivement dimanche ?

Affectueusement,

Mimoune.

JC..... dit: à

« l’incomplétude de toute vie »…. mais qu’est ce que ça veut dire ? Cela ne veut strictement rien dire !

Ne pas confondre assemblage de mots pour faire joli, et sens …

JC..... dit: à

Le mistral souffle fort, dehors. Sortir sur la terrasse à cette heure ci est un exercice glacial. Frileux nous sommes, à nous plaindre de ce bon vent qui lustre notre ciel. Savourons notre café….

Dans une branche basse du gros pin centenaire, depuis une fenêtre de l’étage, on aperçoit à moins d’un mètre notre tourterelle à l’œil rond qui couve ses deux œufs dans le petit nid. Elle est apprivoisée la mignonne, depuis plusieurs années, ouvre un œil et regarde cette masse organique qui lui donne de temps en temps à manger qui la regarde derrière une vitre …

Le mistral lui fait passer la journée, et la nuit, à balancer de droite à gauche. Elle s’en accommode aisément. A la différence d’un pays, elle n’en souffre pas.

JC..... dit: à

Andrei Makine aime la France profondément et même s’il écrit parfois des choses qui paraissent insignifiantes, comme « Cette France qu’on oublie d’aimer », il le fait bien. Avec la plus grande sincérité.

Rien que pour « Le testament français », « Le Crime d’Olga Arbelina » et surtout « La Fille d’un héros de l’Union soviétique » …..il mérite de moisir à l’Académie au milieu d’autres légumes moins goûteux !

Et maintenant jogging, le soleil se lève…

Al Ceste dit: à

Yves Lipi (?)(à verifier) montant sur le banc, dans la.cour de récré, poussait déjà la chansonnette.

Ivo Livi

renato dit: à

« Les petites gens n’ont pas le temps de connaître leur coeur. »

Proposition qui prouve que ces vieux communistes étaient des crétins et n’avaient qu’une connaissance livresque des humains.

JC..... dit: à

CODE DU TRAVAIL

Afin de lutter contre le chômage, endémique à 10% dans notre riante contrée hexagonale, ratatinée sur elle-même, les Fonctionnaires qui sont gens de bien viennent d’ACCEPTER que leur statut protecteur soit remplacé par les dispositions générales du PRIVE et qu’ils soient ainsi traités de la même façon qui permet de se débarrasser par le licenciement des glandeurs d’Etat. Les Fonctionnaires sont des gens qui savent ce qu’EGALITE et FRATERNITE veulent dire. Remercions-les de renoncer à cette protection à vie de l’Etat, avantage suranné devenu inadmissible ! L’Etat, un employeur connu pour être un modèle d’incompétence …

MAIS NON ! JE RIGOLE !

Le « deux poids, deux mesures » reste en place. On s’en fout des chômeurs, surtout quand on est à l’abri, à vie !….

JC..... dit: à

« Les petites gens n’ont pas le temps de connaître leur coeur. » (Aragon)

A classer en tête des affirmations idiotes ! les grands hommes sont bien petits, en particulier celui là, l’égérie folichonne du PCF…

bouguereau dit: à

putain ce couch potatoes m’rappelle une vieille pub pour canapé cuir plein fleur..y’avait une vache sur le sofa

bouguereau dit: à

« Les petites gens n’ont pas le temps de connaître leur coeur. » (Aragon)

belle phrase
On oublie les passions et l’on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
Ne rentre pas trop tard surtout ne prend pas froid
Avec le temps…
Avec le temps va tout s’en va

la gachette du bocage dit: à

DHH 21 h 29, bien d’accord avec vous : l’apprentissage de la dactylographie est la seule clé pour se jouer de l’azerty, et exprimer sa pensée le plus « librement » possible ; surtout quand, comme bibi, on a eu la chance d’avoir un apprentissage « à l’ancienne », c’est-à-dire avec un cache qui empêchait de voir, ou plutôt de regarder, ses doigts.

Cette méthode vous permet, une fois l’automatisme acquis, de faire plusieurs choses à la fois : taper un texte et répondre à un interlocuteur par exemple – il y a un chevauchement possible de plusieurs secondes, que j’attribue, (peut-être immodestement certes car pour la frappe, il n’y a pas besoin de savoir une langue au même niveau que les traducteurs), aux mêmes mécanismes mentaux que ceux qui régissent la traduction simultanée. Pendant que mes doigts finissent de taper la phrase, mes yeux quittent l’écran pour regarder mon interlocuteur et mon attention me permet de lui répondre…

En tout cas, l’apprentissage à l’aveugle permet une liberté dans l’automatisme, qui a bien entendu, comme corollaire, quelques inconvénients. L’écriture à la main est devenue quasiment impossible pour moi : parce que mon cerveau réclame désormais la même rapidité qu’avec la dactylographie, et que l’écriture est laborieuse, lente, voire pénible : au bout d’une demie-page manuscrite, j’ai mal à la main, au poignet… Alors que je peux taper pendant des heures sans aucun malaise…

L’autre inconvénient, quand la maîtrise du clavier est acquise, est que ce clavier vous devient indispensable.

Les écrans tactiles, avec leurs claviers raccourcis et intégrés, que les jeunes gens manipulent avec leurs pouces qui plus est, sont une horreur sans nom pour les anciennes dactylos : leurs architectures « intuitives » n’ont rien d’intuitif pour quelqu’un comme moi, qui cherche instinctivement à positionner mes doigts pour aller le plus vite possible… Et se rend compte qu’il est impossible de taper ET de tenir l’i-phone, ou la tablette…

Et c’est là le point d’achoppement : perdre avec bonne grâce ce qui constituait un avantage certain. A quoi bon ma vitesse (autour de 100 mots/minute, voire un peu plus…), alors que devant un écran tactile, je deviens la tâcheronne la plus maladroite (et la moins gracieuse, car je bougonne sans cesse) possible, et que n’importe quel enfant de 12 ans me prend en pitié ?

C’est rageant. Et j’enrage. Mais, pour me consoler, je garde la maîtrise du couple « clavier-ordinateur », où là, sans me vanter, je ne crains personne…

bouguereau dit: à

Proposition qui prouve que ces vieux communistes étaient des crétins et n’avaient qu’une connaissance livresque des humains

c’est un des thèmes brulant du constructivisme russe et de son homme nouveau et de la découverte dun peu de vie « oisive » du prolétaire et de quoi la remplir..notamment des drames sentimentaux qui pour une bonne part ne pouvaient être fondamentalement différent de ceux du bourgeois..dailleurs les bouquins français du xix eme étaient expressement cité par les commissaires..bande de ptis branleurs qui ne croyaient pas en la connaissance de la litterat’hur

bouguereau dit: à

y’avait une vache sur le sofa

au moinsse gros degueulasse buvaient des bières en rgardant la mer homer avec rgarde la télé avec françois mauriac rimembeur somezing ?..urkurkurkurk..rgarde toi rénato..t’es pas beau

renato dit: à

« … la connaissance de la litterat’hur »

Il y a la connaissance de la « litterat’hur », certes, mais la connaissance livresque aussi… ou pas? … et la deuxième produit du préjugé car pas besoin d’oisiveté pour etc., etc.

bouguereau dit: à

où là, sans me vanter, je ne crains personne…

suffit d’haculturation avec l’interface homme machine pour s’sentir menacée dans son être hentier..les poves gens n’ont pas l’temps de connaite leur coeur mais hen hon hil assez pour connaite leur cul bonne clopine ?

christiane dit: à

@obs dit: 2 mars 2016 à 10 h 12 min
Vous écrivez :
« Elena Ferrante, c’est le cinéma italien des années cinquante… L’amie prodigieuse se lit partout avec un très grand plaisir(…) mais ne laisse pas de traces très profondes. Sauvé néanmoins par le personnage de Lila qui, lui, restera. »
Vous êtes un peu dur ! (« à lire dans les transports » !)
Ce personnage de Lila est effectivement très fort. Il est la charpente des deux volumes du roman.
Cette coupure qu’est son mariage avec l’enfance prometteuse, mariage vers lequel elle allait dans un mélange d’attirance-répugnance. Puis les rites machistes de sa nuit de noce. Après, elle se ronge, se défait, plus ou moins abandonnée par cette amie d’enfance sur laquelle elle n’a pu s’appuyer.
Donc, le mariage… expérience douloureuse, amère.
Elle semble alors écartelée entre le désir d’être différente et celui de se vouloir semblable aux autres femmes mariées, tour à tour cédant à son instinct de révolte ou aux attentes de sa famille, finissant par être prisonnière d’un milieu qui la voulait consacrée à la famille, à la maternité.
Elle parait se résigner, vivre dans l’illusion, incomprise, rejetant ses rêves, sa sensualité dans une zone trouble jusqu’à la passion amoureuse de contrebande, hors mariage.
Commence alors une période tourmentée, magnifique, éphémère, une malheureuse et triste histoire, éphémère, dont il restera l’enfant…
Lila… une vie mutilée, saccagée. Une tentation inassouvie d’apprendre, de lire en secret avant sa dernière fugue avec l’enfant où on la perd peu à peu comme si il n’y avait pas de véritable chemin pour elle. Le petit cahier bleu, brûlé alors qu’elle travaille dans le pire secteur d’une usine, est déchirant.
Un beau personnage féminin écrasé par un espace institutionnel oppressant dans sa famille, sa ville, son époque.
Refermant le deuxième volume, j’ai gardé la nostalgie du premier, de l’enfance des deux fillettes, remarquablement écrite.

bouguereau dit: à

car pas besoin d’oisiveté pour etc.

« oisiveté » c’est un autre mot bien drolatique pour « havoir le temps »

christiane dit: à

@la gachette du bocage dit: 3 mars 2016 à 9 h 04 min
Passionnant. Merci.

JC..... dit: à

Pour une surprise, c’est une surprise !

En toute innocence, j’avais pris l’humanoïde BCBG allongé sur le radassier bourgeois de l’illustration du billet… pour l’élégant Bouguereau !

La vache !

renato dit: à

Rappel: « découverte dun peu de vie « oisive » du prolétaire » le Célinien Petit à 9.05…

renato dit: à

prolétaire » le Célinien > prolétaire » PAR le Célinien

bouguereau dit: à

pour l’élégant Bouguereau !

brel a épinglé dutour qui n’en pouvait..j’ai toujours trouvé sa rage contre jean ferrat qui avait surment moins d’art comme la preuve de sa limite

bouguereau dit: à

le Célinien Petit à 9.05…

tu veux faire houblier que « petit célinien » étoye une invention dlassouline pour stigmatiser halentour..et tu veux inverser pour faire houblier quvous connaissiez rien à l’hépoque du coeur numérique..branleurs!

bouguereau dit: à

comme la preuve de sa limite

s’manger ce nanar plutot qu’dutour ça havait autrement dgueule..la preuve a été faite

JC..... dit: à

A l’analyse, la volonté farouche de Mutti Merkel vis à vis de la troupe de migrants extra-européens qui détruit l’Europe lentement mais surement doit être lue au filtre d’une carrière personnelle … disons, contrariée.

Cette femme de tête, qui ouvre son cœur à ces illégaux moutonniers réalise enfin son rêve : être la BERGERE qui conduit le troupeau dans les verts pâturages de l’acculturation mécréante.

C’est là où le bas blesse !

Elue pour être Kanzlerin sans état d’âme, Merkel se prend pour Marie Antoinette au Trianon Schengen … Souhaitons lui meilleure fin !

JC..... dit: à

…mon bas est bien bât…

bouguereau dit: à

Elue pour être Kanzlerin sans état d’âme, Merkel se prend pour Marie Antoinette au Trianon Schengen … Souhaitons lui meilleure fin !

tu vas pas la dénoncer à la kommandantur quand même !

raymond prunier dit: à

Jean d’O: pourléchage d’enfant gâté. En fait c’est un petit garçon vieilli par inadvertance. Il aurait pu faire grand écrivain mais il n’a pas connu la tragédie. Il se répète: quelle chance j’ai, quelle chance j’ai eu. La grammaire lui est venue avec le biberon et écrivant d’une main il a toujours serré le biberon de l’autre main. Lui est resté ce sourire satisfait, télégénique, qui semble dire: « C’est pas pour me vanter, mais il fait rudement beau aujourd’hui ».

JC..... dit: à

Je vais me gêner pour ostraciser la Kanzlerin !

Cette bergère venue de la DDR, et ses complices de Bruxelles, notoires crapules politiciennes, sont des misérables ….

Ah ! si le Château d’If était pas sous-dimensionné, je te le repeuplerai, vite fait bien fait, avec tous ces glands farcis à l’humanisme-laxatif pro-envahisseurs…

Jibé dit: à

« …mon bas est bien bât… »

Et ton bât est en berne, JC !

obs dit: à

Christiane, sur la foi du commentaire de Paul, je m’apprêtais à ne pas lire le deuxième tome! Et voilà que vous m’y inciter…je suis comme l’âne de Buridan…Le problème est que tout livre lu en exclut un autre.

JC..... dit: à

Vian disait qu’il avait le bas bath …

William Legrand dit: à

Madame Verniglia nous explique que le « joggin »g de JC consiste à aller fissa au bistrot le DOJO de ses copains avinés pour vomir sur les arabes et Madame Merkel ; les gens ne rigolent plus, ils ont peur

D. dit: à

JC a parfaitement raison au sujet des fonctionnaires. Depuis 15 ans déjà il aurait fallu cesser de recruter à vie, mais par contrats au maximum decennaux. Et évidemment aligner les salaires des embauches sur les équivalents du privé à compétences et missions égales mais il se trouve que l’Etat, pour au moins la moitié des emplois, et notamment ceux de la catégorie intermédiaire, n’en aurait pas eu les moyens…

JC..... dit: à

Par pitié Legland :
« vomir sur les Arabes et madame Merkel »…

JC..... dit: à

« Le problème est que tout livre lu en exclut un autre. » (obs)

Comme toute femme aimée en exclut une autre ? Allons donc ! Ne partons jamais battu…

Evidence. dit: à

Passou à Jean d’O : « t’as de beaux yeux, tu sais  »
Jean d’O à Passou : « embrassez-moi »

widerganger dit: à

D, vous finissez par être complètement comique avec votre haine obsessionnelle des fonctionnaires.
Vous devriez vous détendre un peu en venant faire du ski avec un beau fonctionnaire comme moi…

widerganger dit: à

Il a neigé une bonne partie de la nuit et tout est à nouveau tout blanc. Un beau soleil en plus. C’est magnifique!

JC..... dit: à

Il y a eu chez les SS, de braves garçons Wiwi …

Il y a chez les fonctionnaires de l’Etat, de braves garçons, compétents, travailleurs, courageux, honnêtes. Le curieux est que le bon grain et l’ivraie ne soient jamais triés par une main pleine de sagesse…

Clouillonnerie incompréhensible, sauf à douter de la vertu d’iceux. En outre, ne Mélenchon jamais le singulier et le pluriel !

widerganger dit: à

Le problème c’est plutôt que toute femme lue en appelle une autre…

JC..... dit: à

Chaque femme lue parle une langue incompréhensible au commun des mortels : elle ne comprenne jamais qu’il est dans notre nature d’être impatients !

Et d’avoir horreur des études longues, vaines, illusoires pour finir…

widerganger dit: à

Selon Beaufret on peut se faire une idée plus précise de ce à quoi peut bien ressembler le Dasein : une sorte de trou noir comme le centre de la galaxie.

widerganger dit: à

Que l’univers ait mis 13, 5 milliards d’années à produire un Beaufret c’est de la poésie à l’état pur.

D. dit: à

WGG, je n’ai aucune haine des fonctionnaires et tout état doit en avoir un certain nombre, à son service. Mon commentaire va dans le bon sens : celui de l’alignement sur les avantages salariaux du privé. Un ingénieur de 5 ans d’ancienneté ne gagnerait plus 2500 euros mais 3500.
Un technicien ne gagnerait plus 1500 euros mais 2500…comme dans le privé.
Avec un contrat décennal, car servir l’Etat doit être une sorte de pacs mais pas un mariage non plus comme le prévoit le statut des fonctionnaires aujourd’hui.
On aurait par exemple le droit, en activité, de mettre son CV en ligne quelques années avant la fin du contrat décennal en vue d’une poursuite de carrière dans le privé.
Aujourd’hui le statut des fonctionnaire l’interdit implicitement, même si certains le font quand même.

JC..... dit: à

Quittons nous sur un constat réjouissant !

Autant Merkel a tort de faire voler en éclat le travail des Pères Fondateurs de l’Europe (ceux qui ont leur statue Parcul Herastrau Bucuresti), autant Hollande a raison de prendre la majorité qui l’a élu, pour des ckons …!

Attendons Paques et les vacances pour éviter le tsunami CPE …

Helisa dit: à

Ah le méli-mélo des Italiennes : « Elsa pour Elsa, je préfère Morante à Ferrante » (Emmanuelle 2 mars 2016 à 15 h 08 min), même Christiane
à 22 h 34 min est contaminée !

Elsa Morante et Elena Ferrante

JC..... dit: à

Quittons nous sur un élément de tristesse réel : que le petit billet sur Jeannot fasse plus de commentaires que celui sur le combat de Daoud…. me navre !

Bonne journée aux amis ! Abonnement au torchon Le Monde offert aux autres…

Emmanuelle dit: à

Quittons-nous, je fonce au bistrot DOJO, oups !

D. dit: à

Quant au ski, c’est un sport qui ne me correspond guère, mais c’est aussi un sport suffisamment dangereux pour que je ne veuille pas le pratiquer.
Bon nombre de personnes dans mon entourage se sont retrouvées bien amochees en ayant voulu le pratiquer et j’ai encore le souvenir d’un enfant de proches qui a failli décéder ou du moins rester à vie dans le coma et qui sen est sorti miraculeusement, un autre encore de 12 ans qui s’était pris dans le ventre un ski perdu qui devalait tout seul une pente. Il s’est retrouvé entre la vie et la mort et en tous cas à souffert le martyre avant et après son opération, très lourde.
J’aime beaucoup regarder des paysages enneigés, surtout ensoleillés mais ne comptez pas sur moi pour faire andouille sur des pistes de stations, grandes ou petites. Mon sport, c’est le Kung-Fu associé au Qi-gong, et croyez moi que ça me suffit bien.

widerganger dit: à

On a du mal à comprendre votre logique, mon brave D. Rien n’empêche un technicien fonctionnaire de démissionner de la fonction publique pour aller dans le privé si bon lui chante.

Daoudophile..... dit: à

De même qu’il est souhaitable que les femmes soient traitées à l’égale des hommes, de même les fonctionnaires devraient être traités à l’égal des autres travailleurs, secteur privé compris.

Qu’ils abandonnent la burqa que constitue leur statut de privilégiés mal payés, mal jugés, mal reconnus.

Emmanuelle dit: à

à 11 heures 22 : Richard Millet exécutant Madame de Kerangal, on dirait du MCourt flinguant Christine Angot

widerganger dit: à

Faut vraiment être le dernier des imbéciles pour penser qu’ un fonctionnaire serait un privilégié.

D. dit: à

Ce que vous dites est à moitié faux, Wgg. La fonction exercée doit être clairement distincte de celles exercée antérieurement. Un ingénieur spécialisé dans les analyses sanitaires, pour prendre un exemple n’a pas le droit de quitter la fonction publique pour être ingénieur privé dans le domaine des analyses sanitaires. Je pensais que vous saviez cela…

Jibé dit: à

« Passou à Jean d’O : « t’as de beaux yeux, tu sais »
Jean d’O à Passou : « embrassez-moi » »

WGG à D. : « Vous devriez vous détendre un peu en venant faire du ski avec un beau fonctionnaire comme moi… »

C’est plus la RDL mais la RDG(ays) !

widerganger dit: à

Pas très convaincant, D.

widerganger dit: à

Heureusement que vous êtes là pour remettre un peu d’ordre dans ce foutoir.

Jibé dit: à

« le Kung-Fu associé au Qi-gong »

C’est comment, D. ?
En plus du vélo et de la marche, vous croyez que ça pourrait me convenir ? Mon médecin me conseille le yoga, pour la souplesse et la relaxation !

bouguereau dit: à

Pas très convaincant, D

dans l’privé tsrais obligé de tfaire pédé..hévidemment tu vas dire qu’y a des foncs qui s’enculent en secret..hé bien jvais tdire dracul..lsecret il est pas bien gardé

bouguereau dit: à

Mon sport, c’est le Kung-Fu associé au Qi-gong

c’est trés dangeureux dédé..j’en connais un qui suite a une immobilisation fengchui s’est fait déculotter et enfiler par tous les grands maitres présent..et comme en qigong le titre est pas protégé..il a pas pus compter

Jibé dit: à

De plus en plus Gay, le RDL, j’avais oublié le boug(re), enfileur attiré de Chaloupette !

Où sont les femmes ?
Jadis, il y avait une auteure lesbienne, qui venait commenter ici. Qu’est-elle devenue ?

bouguereau dit: à

Un ingénieur spécialisé dans les analyses sanitaires

cause plus simple dédé..une dame pipi dans le public ferait dans le privé du délit d’initié..tu comprends dracul ?

bouguereau dit: à

elle est passée dans l’privé baroz..

Logicien de souche..... dit: à

Il faut vraiment être le dernier des imbéciles pour ne pas comprendre que le statut des employés de l’Etat et des Collectivités Territoriales , statut privilégiant une population donnée, se doit d’être revu …. par souci d’équité.

JC..... dit: à

bouguereau dit: 3 mars 2016 à 12 h 53 min
« Mon sport, c’est le Kung-Fu associé au Qi-gong »

Moi, mon sport, c’est le Ku Klux Klan associé au Front National …

Jibé dit: à

Ne touchez pas au Public et à son principe de gratuité des services et laissons au Privé celui de faire du profit !
Moi, tout au long de ma longue non-carrière professionnelle, j’ai jonglé avec les deux…

D. dit: à

Jibé, le Yoga est très bien aussi. De toutes façons il s’agit de la même énergie dont on favorise ou dirige la circulation. En Chine elle se nomme le Qi. Le Tai-Chi se base la-dessus aussi. Les mouvements du Kung-fu sont tous fondés sur le Qi-gong et on ne peut pas pratiquer le Kung-fu sans l’aide du qi-gong. Bien entendu le Kung-fu est un art martial, mais on peut beaucoup pratiquer seul, dans le vide, sur des mannequins ou sur des sacs en ce qui concerne la frappe.
La pratique du Kung-fu associée au Qi-gong permet de conserver une souplesse peu commune même en arrivant à un âge avancé, c’est à dire au delà de la cinquantaine. Par contre les réflexes diminuent inexorablement, ainsi que la masse musculaire directement liée à la production d’hormones de croissance et de testostérone.

Jibé dit: à

« JC….. dit: 3 mars 2016 à 13 h 06 min
Moi, mon sport, c’est le Ku Klux Klan associé au Front National … »

Qu’il fait remonter jusqu’aux croisades, en passant par les nazis et son cher Benito Mussolini…
JC est le champion du non politiquement correct, un sport tout aussi honorable que son contraire ?

Jibé dit: à

souplesse et dureté, si j’en crois le boug, D. !

Jibé dit: à

« elle est passée dans l’privé baron.. »

La salope !

D. dit: à

Il vaut mieux éviter d’utiliser la frappe Kung-fu en autodéfense car celle-ci peut facilement tuer ou provoquer de graves fractures.
Mais on peut développer le Chin-na qui permet de mettre immédiatement quelqu’un à genoux en lui causant une grande souffrance, sans générer la moindre lésion.

bouguereau dit: à

qui permet de mettre immédiatement quelqu’un à genoux

..c’est bien la peine d’haller en chine pour ça dirait bonne clopine

Jibé dit: à

« sans générer la moindre lésion. »

Avec capote, D. ?

bouguereau dit: à

Moi, mon sport, c’est le Ku Klux Klan associé au Front National …

tandisque baroz joue havec tes deux..l’établichmente va se liguer contre vous

D. dit: à

La fonction publique française, dans sa philosophie et ses statuts, est restée extraordinairement proche de celle instaurée par Napoléon. Beaucoup de gens l’ignorent, à commencer par beaucoup de fonctionnaires qui ne connaissent que peu de choses de leur statut théorique, ses origines, ses rares réformes et amendements.

JC..... dit: à

En cherchant bien on peut trouver des nazis mélomanes, cultivés, sympathiques ! Des juifs aussi, hein, à condition d’en trouver parmi les survivants ! Soyons pas racistes ….

Que peut on reprocher à Benito Mussolini sinon d’avoir fait du Valls avant l’heure … uhuhu !

Miussolini doit rester un exemple pour tous les démocrates berlusconiens…

D. dit: à

Jibé dit: 3 mars 2016 à 13 h 19 min
« elle est passée dans l’privé baron.. »
La salope !
Jibé dit: 3 mars 2016 à 13 h 17 min
souplesse et dureté, si j’en crois le boug, D. !

Je me refuse à entretenir une conversation avec un obsédé.

Jibé dit: à

« Je me refuse à entretenir une conversation avec un obsédé. »

T’entends, le boug !

Jibé dit: à

Le problème dans ta catégorie, JC, c’est que le discobole est un peu usé. On connait trop bien la chanson…

bouguereau dit: à

moi c’est juste pour l’exactitude scientifique..halors que toi c’est vraiment pour faire le dégoutant baroz..dédé jongle pas avec les deux..il sait peser

bouguereau dit: à

le discobole est un peu usé. On connait trop bien la chanson…

joli baroz..hon dirait du dard

DHH dit: à

@la gâchette du bocage
je vous envie
et je me dis que les gens de ma génération auraient eu intérêt à l’école primaire, à l’âge où tout s’apprend facilement, de passer moins d’heures sur les pleins et les déliés et d’en consacrer quelques unes à apprendre à taper « à l’aveugle  » comme vous dites, les mains dissimulées sous le cache-clavier

JC..... dit: à

DHH,
j’aurais aimé m’entretenir longuement avec vous sur les mérites de la sténographie, du tricot, de la broderie, du chant dans les rues avec orgue de barbarie, du dessin charbonneux sur parois de caverne…. bref sur toutes les techniques à abandonner, illico, à l’ère du numérique !

Hélas des activités ludiques me contraignent à remettre à plus tard l’engueulade que je vous réservais sur cette admiration d’une technique absolument inutile.

BàV !

bernard dit: à

William Legrand dit: 3 mars 2016 à 10 h 08 min
« Madame Verniglia nous explique que le « joggin »g de JC consiste à aller fissa au bistrot le DOJO de ses copains avinés pour vomir sur les arabes et Madame Merkel »

il amuse les c.ns

widerganger dit: 3 mars 2016 à 11 h 52 min
« Faut vraiment être le dernier des imbéciles pour penser qu’ un fonctionnaire serait un privilégié. »

Imbéciles et frustrés, incapables de réussir les concours, obsédés par le fric, ils passent leur temps à geindre et tenter de donner le change avec leurs petites provocations minables

bernard dit: à

« champion du non politiquement correct »

c’est le politiquement correct des nazes

fait pas s'en faire dit: à

DHH dit: 3 mars 2016 à 14 h 08 min
C’est juste une question d’habitude, à la portée du premier dé bile

jean d dit: à

13h37
On connait trop bien la chanson…

oui mais lui se trouver intelligent

lola dit: à

Emmanuelle 11h46 . L’article auquel vous faites allusion, est en tous points , excellent . Plus violent que du M.Court, même …

D. dit: à

Ce serait bien de se recentrer sur Jean d’Ormesson.

bouguereau dit: à

la franche veut pas ête gouvernée au chentre dédé

D. dit: à

Il paraîtrait que ce sont des iraniens qui se sont cousus la bouche.
C’est étrange, on nous avait dit que les réfugiés étaient syriens.
Faudrait faire le point, que tout le monde comprenne.

lola dit: à

Pauvre jean d’O ,complètement enterré sous les considérations salariales du public et du privé, et les mérites indiscutables et discutés de la sténographie.Un homme aussi courtois, un écrivain élégant; en fait, s’il lit la RdL, il doit plisser les yeux de malice ou de tristesse ? Son talent ….

en effet dit: à

« complètement enterré sous les considérations salariales du public et du privé, et les mérites indiscutables et discutés de la sténographie »

c’est d’un vulgaire, d’un mauvais goût!( les obscénités et provocations fascistes passent encore! mais les atteintes au savoir-vivre ..

bouguereau dit: à

L’article auquel vous faites allusion, est en tous points , excellent

ça collige compile et additionne..ça saigne pas à gros bouillon au grand couteau d’céramique..l’message « la fin des lettre française » fais juste que l’exercice de style ne tiens pas lieu de style..millet est au ballon et télégraphie sur ses efforts de lime a ong..

D. dit: à

Un récent sondage montre que 70 pour cent d’électeurs russes voteraient pour Poutine.
Mais il se trouvera toujours des français pour aller se mêler de la politique en Russie et donner des leçons…notamment ceux soutenant des gouvernants tombés extrêmement bas dans les sondages.
En attendant, l’agriculture française agonise et l’embargo russe sur les produits français y a contribué…

Jibé dit: à

« il doit plisser les yeux »

C’est pas charitable, lola, de vous moquer des rides de Jean d’O !

bouguereau dit: à

Un homme aussi courtois, un écrivain élégant; en fait, s’il lit la RdL

..en sgrattant les couilles dis le lolo..tu vois qupour toi aussi ton message et ton médium sont pas raccord..bientot tu vas barbouiller des tweet sur tes nichons lolo..fais gaffe

bouguereau dit: à

Un récent sondage montre que 70 pour cent d’électeurs russes voteraient pour Poutine

du temps de brejnev c’était 95..y’a du mou partout dédé..tu vas pas nous « roter du proust » toi aussi

Jibé dit: à

« Un homme aussi courtois, un écrivain élégant »

Là, c’est carrément méchant, lola !

Phil dit: à

ceci dit, Jean d’Ormesson n’est pas encore enterré et son vote académique peut servir. Retour de manivelle bien compris, comme sa fille éditrice qui connait un beau succès grâce à l’entregent de son mari.

bouguereau dit: à

Imbéciles et frustrés, incapables de réussir les concours, obsédés par le fric, ils passent leur temps à geindre et tenter de donner le change avec leurs petites provocations minables

..crapule de keupu

bouguereau dit: à

pendant que certains rotent du proust d’autent pètent dans la soie phil..un bon kébab de chez hamed..tu sors pour pécho une bière chez le chinois..tu t’assois en terrasse chez mimil et tu lui dis « ha ça va je vais prende un café a 3.50€ haprés »..ça c’est la france

Emmanuelle dit: à

à lola, 12:42… la parano de Millet à ce point-là c’est vraiment comique, un peu comme vous d’ailleurs

Jibé dit: à

« Comment un critique peut-il le rester dans un monde où tout le monde, donc n’importe qui, se croit critique. »

Message perso de Passou sous forme de twit ?

bouguereau dit: à

si lolo résiste a pas écrire en gros « raclure de keupu » sur ses roberts..c’est qu’elle est élégante pis tout

Sartoris dit: à

bouguereau : c’est un anachronisme, comme les anchois

D. dit: à

Je suis désolé, Bouguereau, Mais un bon kebab de chez Hamed, c’est incompatible avec une certaine idée que je me fais de la France. Même s’il m’est arrivé deux fois dans ma vie d’en manger, par dépit. J’ai trouvé ça très gras et pas très bon, et je crois que je suis pas prêt de recommencer, surtout quand je compare à Kayser ou même Paul, puisque l’on parle de gastronomie rapide.

Sergio dit: à

Mais le kung-fu, le kung-fu… Quand on a ratiboisé le client, on peut plus en faire ! I veut plus rien savoir, puisqu’il gît… Ou alors faut aller en chercher un autre ça fait de
l’organisation… Une méthode PERT !

Tandis que le ski faut reconnaître des montagnes y en a qui se battent mais au moins é s’en vont pas !

D. dit: à

Ceci ne veut pas dire que je sois hermétique à la cuisine moyen-orientale, loin s’en faut. Correctement exécutée, celle-ci peut me ravir. Et, cela vous semblera peut-être étonnant, mais je sais exécuter un très bon poulet à la marocaine y compris le couscous d’accompagnement, que je sais faire comme la-bas (c’est ce qui m’a été dit).
La qualité des ingrédients et notamment celle des épices (poivre, curcuma, cumin, cannelle, gingembre frais, paprika) est extrêmement importante.

D. dit: à

Je vous ai dit que je tapais dans des sacs de frappe, Sergio. Il faut suivre mon vieux. Je suis fu mais pas fou, tout de même.

bouguereau dit: à

gras?..hamed et mouloud savent prende soin de moi..essaie le curcuma frais dédé..facile a trouver

bouguereau dit: à

sacs de frappe

..ça risque pas de te filer une mendale..c’est docile..et ça peut toujours servir a foute le linge sale

D. dit: à

Cela-dit le type qui m’attrape, je lui file comme une anguille par un des côtés, il se retrouve à genoux sans avoir compris pourquoi, sa main dans la mienne (je sais être fraternel) en train de dire aillouille.
Les gars de trump font moins élégant que moi.

ernest dit: à

15h21 bougrotas pas content qu’on critique ses potes ta rés qui n’arrêtent pas de s’en prendre aux fonctionnaires

lola dit: à

JB . 15h17 Aucune méchanceté.Il me semble que le portrait fait par P. Assouline est l’un des plus subtils qu’il ait écrits; »charmant, désarmant,autodérision..intelligence », en vrai,
 » Un trésor national »; cela ne risque-t-il pas d’affadir l’homme ou l’écrivain? l’écrivain ? D’Ormesson lui-même, à maintes reprises,semble avoir douté de son talent; quelle oeuvre laisse-t-il ?au critique littéraire, la parole, les références. L’homme ne fut pas toujours un tendre,et si l’on visionne quelques Apostrophes où Pivot l’avait invité, son oeil bleu est loin d’être empli de malice.Il y a longtemps, une chaîne de TV avait proposé une émission sur Raguse (Dubrovnik), une heure ou plus où D’ormesson « se promenait » dans la ville; brillant causeur ,et, surtout, connaisseur érudit de l’Histoire, sachant tout ,comme si cela coulait de source .. . Un écrivain ,un peu trop gâté peut-être. J’ai lu quelques-uns de ses livres, leurs titres m’échappent, leur contenu exact, aussi.Lectrice trop peu attentive ,sûrement.

lola dit: à

Emmanuelle 15h25. Je le prends comme un compliment. Merci. Avec plaisir je vais vous envoyer mon oeuvre dédicacée. Fin de message.

Lavande dit: à

Chaque fois que j’ouvre ce post, la photo me fait penser à un jeu de mots idiot de mon frère « On dirait Madame de Récamard sur son plumier » (Pardon David!)

Phil dit: à

L’anneau de Jeanne d’Arc rentre en France. Voilà une nouvelle qui devrait réjouir M. Jean d’Ormesson.

JC..... dit: à

Andreï Makine élu à l’Académie, c’est rafraichissant !

Sergio dit: à

bouguereau dit: 3 mars 2016 à 15 h 54 min
sacs de frappe

..ça risque pas de te filer une mendale..

Faut voir, parce que les quintaines, justement, pivotaient dès que la lance les touchait, en sorte d’asséner un vieux coup de masse d’armes, donc il s’agissait de plonger vite et bien sur l’encolure…

On pourrait faire des sacs qui balancent des yokos !

Sergio dit: à

Et les gayes de la porte de Brandebourg, on pourrait pas les récupérer, non ? Elles les a assez vus l’Angela les bisons… En échange on lui file la Lorraine, tiens !

domi dit: à

DHH dit: 2 mars 2016 à 11 h 14 min « cette relation malade à la femme denoncée par le billet précedent si elle est est aujourd’hui limitée à une certaine frange du monde musulman a eté longtemps,peut-etre juqsqu’aux annéees 60 une realité méditerranéenne concernant les rivages européens comme africains »

C’est certain
____________

obs dit: 2 mars 2016 à 10 h 03 min
« Les grands frères ne rigolent pas, c’est vrai, mais c’est plus souvent pour défendre leurs soeurs contre les humiliations que pour les contrôler. »

Ben voyons ! comme c’est généreux de leur part !

Lavande dit: à

Peut-être que Jean d’Ormesson aura comme Victor Hugo, de son vivant, une avenue à son nom, et comme pour V.H. on pourra lui écrire à:
Monsieur d’Ormesson
en son avenue
PARIS

Emmanuelle dit: à

16:30, lisez donc la réplique de caro, lola. Fin de message

Emmanuelle dit: à

scusi : CLARO

en passant dit: à

16 h 30 min
Fort bien envoyé !
(Merci)

La Reine des chats dit: à

Hum, Paul Edel, Pavese chantant la pure joie d’exister (dieu sait que je l’aime), ça ne m’a pas frappée en lisant Leuco… »j’ai travaillé, offert de la poésie aux hommes, partagé les peines de beaucoup, je me suis cherché » ne respire pas l’entier guilleret, en revanche d’accord sur la sensualité, la différence entre villes italiennes.
Jean d’Ormesson,beau billet à pointe espiègle, Pierre : finalement on ne saura jamais ce qu’il serait advenu si au lieu de suivre pour conseil la première partie de la proposition, il avait été incliné à la seconde? D’autant que Jean-Paul Aron, pauvre cher que j’ai connu agonisant à l’abri, entouré de l’amour de sa nièce, du temps de sa pleine santé n’aurait peut-être pas demandé mieux que de l’affranchir du doute resté en suspens

Paul Edel dit: à

La Reine des Chats, je vous reponds sur mon blog à propos de Pavese et des « dialogues avec Leuco. » je ne veux pas encombrer ce blog et perturber ce chant mélodieux,ces lauriers tressés envers les academiciens,les anciens et le petit nouveau, bien méritant.

Chaloux dit: à

Barozzi, « le mot chien ne mord pas » (Aristote).

Hjurkhurkhurk…

D. dit: à

Le retour en France de l’anneau de Jeanne d’Arc, laquelle est, faut-il le rappeler, patronne principale de la France, constitue à l’évidence un signe.
De bon augure pour le long terme, de mauvais augure pour le court et moyen terme.
Pour moi ce signe annonce la guerre, difficile, qui sera suivi d’une renaissance de la pleine France catholique, avec un Roi pour la gouverner.

Chaloux dit: à

Claro est un gros lourdingue qui ne comprend rien.

Eric Symak dit: à

Bel éloge, comme il se doit émouvant, du chef des salopards.

Phil dit: à

Tout à fait d’accord avec Dédé. Le ministère de la culture, représenté par on ne sait plus qui, aurait dû faire valoir un droit de préemption.

gérard-Jean dit: à

La photo du haut représente Jean d’Ormesson juste après avoir été honoré quatre fois par Jean Beaufret.

gérard-Jean dit: à

widerganger dit: 3 mars 2016 à 11 h 01 min
Selon Beaufret on peut se faire une idée plus précise de ce à quoi peut bien ressembler le Dasein : une sorte de trou noir comme le centre de la galaxie.

Sur les étranges lucarnes, on peut voir en ce moment un de nos plus sympathiques animateurs, connu pour tresser les louanges des têtes couronnées et pour ses goûts sexuels non conformistes, jouer dans une pub pour je ne sais plus quelle jardinerie. On lui fait répéter, sur fond de verdure :  » Et le trou, où il est, le trou ? » Ben, là où tu penses, ma brave fiotte.

gérard-Jean dit: à

Ce que c’est que d’être devenu un monument national quand on est écrivain

Relativisons : c’est tout de même moins monumental que la pissotière à roulettes chère à Pagnol.

widerganger dit: à

N’oubliez pas que Jeanne d’Arc apparaît aussi dans Un balcon en forêt du divin Gracq mais peut-être pas avec le même sens que lui donne le divin D.

widerganger dit: à

De toute façon la pensée de Richard Millet est bien trop riche, vitale et cruciale quant à l’avenir de la littérature en France pour être réduite à une forme de slogan. Il est sansnul ddoute excessif mais il a tout de même l’art de planter le couteau là où ça fait mal.

Sergio dit: à

gérard-Jean dit: 3 mars 2016 à 21 h 44 min
la pissotière à roulettes

Oui là faut faire gaffe pas s’appuyer…

Sergio dit: à

Mais qu’est-ce qui se passe ici ? On croirait les chevaux qui se grimpent entre eux à le printemps…

D. dit: à

Je vais me coucher, renato. Je vous souhaite une bonne nuit.

Jibé dit: à

Sur la photo 2, on dirait Voltaire sans sa perruque mais avec un dentier, c’est saisissant !

Chaloux dit: à

En ce qui concerne Richard Millet, et s’il faut le combattre, je ne vois pas ce que les arguments genre brève de comptoir de Claro apportent au débat.

D’un autre côté, on voit bien que le fond de ce que dit Millet -en matière de livres s’entend- n’est pas faux. Il faut d’ailleurs se souvenir qu’il s’exprime depuis longtemps sur le sujet et qu’il l’avait fait admirablement dans ‘Désenchantement de la Littérature ». L’envahissement de ce qu’il nomme « post-littérature » et qui n’est qu’une sous-littérature, fabriquée pour des gens qui ne lisent pas, ou pire, qui s’imaginent qu’ils lisent, est un vrai problème. Plus la qualité de la production est basse, plus elle fait obstacle à la lecture de textes qui mériteraient d’être lus, pour la simple raison que lire -je parle de lecture conséquente- est difficile, s’apprend et nécessite un vrai travail, ce que n’enseigne aucun de ces objets de production courante aussi faciles à aborder qu’à oublier. A terme, ce ne sera pas seulement un problème de qualité littéraire mais un problème de liberté publique : ce qu’on est devenu incapable d’aborder, on ne peut pas le choisir, – et on finit par ne plus rien choisir du tout. Ces écrivaillons vertueux sont donc ni plus ni moins que les complices du totalitarisme qui monte.

Pour le reste, que viennent faire Jourde –qui n’est pas loin de penser comme lui, voir La Littérature sans Estomac- et quelques autres dans sa liste ? C’est un mystère. Millet a peut-être oublié qu’un combat littéraire se mène en littérature.

racine2 dit: à

ces lauriers tressés envers les academiciens,les anciens et le petit nouveau, bien méritant.

C’est qui le petit nouveau

renato dit: à

« … houblier quvous connaissiez rien à l’hépoque du coeur numérique… »

Je ne me souviens pas de ce que j’oublie.
Par contre tu semble oublier que l’oisiveté n’est pas une condition nécessaire aux fins de connaître son coeur.

widerganger dit: à

Chaloux n’a pas tort pour une fois.

JC..... dit: à

N’hésitons pas à rajouter à une longue liste de commentaires foireux, un commentaire personnel manifestement sans le moindre intérêt :

« Pour bien connaître son cœur, rien ne vaut un bon cardiologue. »

JC..... dit: à

Continuons dans la même veine enfumée :

« L’effondrement, la faillite de l’espace Schengen est la meilleure nouvelle de l’année par la prise en compte de la réalité européenne qu’elle révèle crûment. On ne tue pas peuples, nations et cultures aussi facilement… « 

Chaloux dit: à

« Les petites gens »,s’il faut utiliser cette expression qui, comme dirait Flaubert, classe Aragon dans une espèce merdoïde à déterminer, connaissent parfaitement leur cœur et ne connaissent même que ça. Ce qui est parfaitement insuffisant.

widerganger dit: à

Avant de le connaître son coeur, encore faut il en avoir un… Ce qui ne semble pas donné à tout le monde apparemment…

Chaloux dit: à

Alba, souviens toi : »Sois sage, Ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille ».

JC..... dit: à

Dans le fluide puant de l’égout politique nauséabond, une vieille pépite de Marie France Garaud brille encore… à propos de Jacques Chirac, applicable à ses successeurs :

« Je vous croyais du marbre dont on fait les statues , vous n’êtes que de la faïence dont on fait les bidets »

widerganger dit: à

Mais n’arreteras-tu donc jamais ta machine à braire, mon pauvre Chaloux? Avant de faire tes contre-sens grossiers, va plutôt regarder le texte de plus près. Là, tu te ranges tout seul parmi ceux que tu appelles les mauvais lecteur… Et au lieu d’encourager les bons écrivains en herbe, tu passes ton temps à les dénigrer… et toujours sans même les avoir lus. Comment veux-tu ensuite qu’on te prenne au sérieux?

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