de Pierre Assouline

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Les Rothschild, un nom gravé dans le marbre du temps

Les Rothschild, un nom gravé dans le marbre du temps

Dire qu’il fut un temps où l’expression « aristocratie juive » revêtait un sens qui n’était ni péjoratif, ni mélioratif, mais légèrement admiratif sans pour autant refléter un jugement de valeur. On a du mal à se l’imaginer en ce début de XXIème siècle où l’on aurait plutôt tendance à croire que les deux termes constituant l’expression seraient plutôt antinomiques, sauf à leur donner une dimension religieuse, ou à les associer au phénomène des Juifs de cour. C’est pourtant d’autre chose qu’il s’agit. Disons un microcosme au sein d’une toute petite société qui se donnait pour une élite, avait soif de grandeurs d’établissements, et se révéla prête à déposer des sommes folles, une énergie inépuisable et une imagination sans limite afin de s’intégrer aux noblesses d’Ancien régime et d’Empire, allant jusqu’à contracter des mariages aux allures de fusions-acquisitions au terme desquels les uns blasonnaient leur dot en permettant aux autres de doter leur blason. Tout pour obtenir le fameux « ticket d’entrée dans cette brillante civilisation », ainsi que l’évoquait le poète Heinrich Heine, familier du salon de la baronne Betty, laquelle goûtait dans l’intimité le bonheur sans mélange de bavarder avec lui en yiddish. Le Paris de la seconde partie du XIXème siècle en fut le théâtre d’ombres, avec un éclat et une magnificence qui firent dire aux chroniqueurs que ceux qui avaient vécu après ignoreraient à jamais ce que fut la douceur de vivre dans l’ancien temps.

Ce monde a existé, cette société a connu ses grandes heures et ses drames qui se sont parfois confondus avec ceux de la France. Elle n’était constituée que d’une poignée de personnes qui furent autant de personnages en vue dans la galerie : une famille souvent (Rothschild, Camondo, Cahen d’Anvers, Ephrussi), ici une fratrie (les Pereire), là un franc-tireur (le baron de Hirsch). Ils ont suscité biographies, monographies, articles, études et discours avec un bonheur variable, mais on les a rarement envisagés collectivement, au risque de l’effet de groupe, illusion dont on sait qu’elle peut conduire au mythe sinon à la légende. C’est toute la vertu de l’exposition modeste, mais intime et fervente, que la Bibliothèque nationale consacre, en la galerie Mansart de son ancien site, à cette Atlantide engloutie entre la rue Laffitte, le faubourg Saint-Honoré et la plaine Monceau. Une fois n’est pas coutume, il est déconseillé de se fier à son titre , qui est également celui du catalogue Les Rothschild en France au XIXème siècle (196 pages, 36 euros, éditions de la BnF); car l’ambition de ses commissaires, Claude Collard et Melanie Aspey, embrasse davantage que ce thème annoncé, même si ils en sont le pivot. Encore que même si les organisateurs s’en étaient strictement tenus au cadre annoncé par le titre, cela eut été une première en France. En effet, si le Museum of London (1998) et le Jüdisches Museum de Francfort (1994) ont déjà accueilli une semblable réunion de documents, les cimaises françaises étaient étrangement en reste jusqu’à présent. Cette lacune est désormais réparée avec cette assemblée d’archives, de photos, de lettres, de tableaux, rarement montrés ou jamais confrontés les uns aux autres. L’occasion s’y prêtait avec la commémoration du 260ème anniversaire de l’installation à Paris de James de Rothschild, fils de Mayer Amschel, fondateur de la maison de banque MM. De Rothschild frères et inventeur de la branche française de l’illustre famille.

Qu’est-ce qu’une exposition réussie ? Un lieu ordinaire d’où se dégage une émotion extraordinaire. Le cas de celle-ci. Non que l’ancienne Bibliothèque nationale de la rue de Richelieu n’ait pas conservé un peu de son parfum d’antan, mais la salle choisie n’a rien d’un écrin de nature à rehausser le bijou. C’est dire que, la qualité de l’accrochage aidant, les pièces déployées se suffisent à elles-mêmes et prennent davantage de relief encore dès lors que les commissaires ont choisi de les faire entrer en conversation, se livrant à l’art le plus délicatement français légué par le Grand siècle. Tous les aspects des Rothschild s’y retrouvent : banquiers, philanthropes, collectionneurs, mondains… L’aspect religieux n’est pas négligé, rappelé par la présence d’une plaque ornementale de la Torah, ou d’une Hanoukkiyyah en bronze en provenance de l’Italie du XVIIIème. La vue du blason sur le titre d’anoblissement, par lequel l’Empereur d’Autriche les fit barons après qu’ils eurent l’autorisation d’adjoindre une particule à leur patronyme, la devise « Concordia Integritas Industria », les cinq flèches tenues d’une main ferme, tout cela se passe de commentaire ; d’autant que les emblèmes héraldiques (licorne, lion) sont carrément royaux. Quelle illusion ! On pourrait étudier les contradictions et les valses hésitations de la volonté forcenée d’assimilation de ces « Grands Juifs » au milieu du faubourg Saint-Germain à travers le prisme exclusif de leur (non)appartenance au Jockey-Club, l’un des cercles aristocratiques les plus fermés, dont ils furent, dont ils claquèrent la porte avant d’y revenir.

Ici plus qu’ailleurs, le pedigree des objets est passionnant. Ainsi cette tabatière d’émail et diamant offerte par la reine Victoria au banquier Achille Fould, puis donnée la baronne Elie de Rothschild, née Liliane Fould-Springer, au plus grand de nos musées par l’intermédiaire de la Société des amis du Louvre… Les aquarelles peintes vers 1865 par Eugène Lami au château de Ferrières sont poignantes car il en émane une nostalgie proustienne pour ce qui fut et ne sera plus. Nul mieux que cet artiste n’a évoqué les nuances et la légèreté de ce monde. L’atmosphère des salons, l’air du temps politique, le tremblé artistique, l’ambiance économique, tout y est, tout ce qui nous permet aujourd’hui d’appréhender moins une vision du monde qu’une sensation du monde. Qu’il s’agisse des souscriptions aux chemins de fer ou des portraits en pied de l’atelier Disderi, le moindre détail est éloquent dès lors qu’on lui prête l’oreille. Un cliché sépia montrant Emile et Isaac Pereire sur le chantier transatlantique en 1867 est si criant de vérité qu’on les sent prêts à bondir hors du cadre pour en découdre avec leurs anciens employeurs de la rue Laffitte. Ne manque que le portrait de ma chère Betty (Mme James) par Ingres, dans l’exposition mais non dans le catalogue, car elle sort très rarement, et moins encore depuis que l’aîné de la famille en ayant hérité comme le veut la tradition, elle dort dans le coffre d’une banque. Mais le portrait de son époux par les Flandrin est bien là, imposant, majestueux, impérial. Il règne sur cette assemblée de fantômes suspendus. On quitte l’exposition avec l’envie pressante de relire La Maison Nucingen de Balzac, Lucien Leuwen de Stendhal et L’Argent de Zola, histoire de vérifier les caractères

Il y a une autre vie après la vie : celle du nom, sa persistance, son inscription dans le marbre du temps. Les Camondo n’ont plus qu’un musée, les Pereire un boulevard. Seuls les Rothschild ont maintenu et survécu, moins fortunés qu’au temps de leur règne mais fidèles à leur légende. Qu’importe, la trace est là. Elle a la puissance d’une empreinte. Plus forte encore que les clichés antisémites qui ont fait de ce nom l’immédiat synonyme inconscient d’ « argent », et plus encore, de la souveraineté de l’argent. Mais on ne sache pas que, dans la France des XIXème et XXème siècle, une famille française, israélite ou pas, ait autant donné aux musées nationaux que la leur.

(« Le hall du château de Ferrières, vers 1865 » aquarelle d’Eugène Lami ; « James de Rothschild » photo d’Eugène Disderi, Bnf ; « Les deux frères Pereire (au centre) à l’inauguration du chantier Transatlantique, 1857 », photo Robert Howlett, National Portrait Gallery, Londres)

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commentaires

1 237 Réponses pour Les Rothschild, un nom gravé dans le marbre du temps

renato dit: à

« Ils ne donnent plus à la France, il puise la valorisation de leur collection dans la valeur constante du patrimoine national en le dévaluant. »

Encore que j’ai bien compris votre proposition, je dirais que c’est un processus « nécessaire » ; que c’est le chemin pour trouver un équilibre entre Public et Privé.

Bloom dit: à

Avant de vous quitter :

Non? pour toujours, à jamais, sans avatars transparents?

Pas oublier de se gaver de mauvaises nouvelles, hein?

Fare thee unwell!

TKT dit: à

Dans mon enfance, je me sentais monarchiste, avec une grande admiration pour Napoléon III et son époque (sauf le mobilier, il n’y a pas d’époque parfaite).
La mère de ma marâtre, une parigotte qui avait vécue 34 ans en Allemagne, 1914-1948, me répétait à table, que comme juif, je ne pouvais qu’être de gauche et un rouge. Elle avait oublié la presse de la grande-guerre, celle de la République de Weimar, pour ne se rappeler que de la presse entre 1933-44.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…TKT,…c’est pour dire en conclusion provisoire,…que tout le monde y apporte quelque chose de primordial dans l’existence, et qu’il est intolérable, le trop capitaliste à rien foutre de ses sous, et le trop démunis pour faire rêver l’univers à imiter la terre,…
…on en est quand même très loin,…alors avec la mécanisation, et les immigrés à loger,…de l’inconfort dans leurs pays respectifs,…on est très loin du paradis sur terre,…quel que soit les motifs de revanche de quoi que se soit,…
…c’est des systèmes et situation de pure  » absurdité »,….de primitifs abrutis de bénéfice,…c’est le paradis ignoble,…
…je retourne me taper un jeux vite fait,…sans rancune,…de la liberté sans oeillères,…avec distanciation oblige,…
…etc,…

JC dit: à

PloomPloom : le sujet, c’est l’aristocratie juive…

Art public ou privé? dit: à

Oui, les mécènes à la façon Rothschild, c’est fini, la mondialisation est passée par là.

« Il faut dire que [ce] dirigisme d’Etat, quand il concerne la création artistique, c’est la transgression créative- voire « performative » – obligatoire, c’est la non transgression qui devient transgressive, c’est le fameux « désobéissez-moi », psychologiquement ravageur, qui est à l’œuvre pour la fabrication d’un fonctionnariat aussi docile que schizophrène, c’est la double injonction comme arme du pouvoir particulièrement terrifiante parce qu’insoluble, et c’est ce qui explique pourquoi, dans le personnel institutionnel voué à l’AC, on trouve au mieux des cyniques ou des pervers, au pire de grands schizoïdes à tendance paranoïaque, ou de parfaits hébétés complétement lobotomisés.
Alors, comment cette forteresse de la boursoufflure délirante tient-elle encore debout, et pourquoi ne s’écroule-t-elle pas sur sa propre terrifiante inanité ? Eh bien tout simplement parce que ce dirigisme d’Etat est lui même dirigé, soutenu, conforté, par le business art international, qui est lui-même indexé à la grande finance toujours prospère autant que sans foi ni loi ni régulation possible…Un financial art qui fournit donc à l’ État le soutien financier et le modèle esthétique qui va avec. Et c’est ainsi qu’en toutes logique et impunité Mr Aillagon utilise le Château de Versailles et Mr Loirette le Musée du Louvre pour la valorisation des produits artistico-financiers de Mr Pinault.

C’est cette collusion structurelle entre pouvoirs publics et grands intérêts privés, entre l’art officiel et la finance internationale, entre spéculation intellectuelle et spéculation financière, qui garantit l’impunité de cet art contemporain d’état, où le conflit d’intérêt est inhérent ou consubtanciel, et qui compense son défaut de contenu ou d’intériorté, en développant à l’extérieur de lui, une sorte d’enrobage d’épaisse crème fouettée relationnelle et communicationnelle, faite d’un mélange inextricable des genres, d’ abus de biens sociaux, patrimoniaux, de conflits ou prises illégales d’intérêts, de toutes sortes, etc. »
Voir le blog http://www.schtroumpf-emergent.com/blog/

TKT dit: à

Polder, il ne faut jamais me prendre à la lettre ou au premier degré. Mais que manquerait-il à ma phrase, selon vous ?

gradlagomer dit: à

Mais si P.Assouline me fait pêur, ce n’est que je le croie tyrannique.

un autre adage du juda<îsme qui me frappa lorsque je le lus et qui n'est pas souvent rappelé, celui-là est "le maître ne sait pas ce qu'il enseigne".d'où effectivement sur ce blog, ceux qui ressassent "vous ne savez pas lire" et les surenchères sur le "sujet" et des prétentions à dire… les fantasmes des autres….autre manière de dire les questions realtives à l'identité, au savoir, à l'absolu,
C'est un grand mot que celui de peur d'ailleurs ….mais il est remarquable quand même que la petite scène de Heine n'intéresse pas ses commentateurs ..alors que je l'associe à de nombreux textes et plus d'une rencontre, y compris les miennes avec "l'université", ses colloques, la manière dont la personne assise à côté de moi et à qui je fais part d'une "association d'idées" par une citation précise, s'empare du micro pou le dire en son nom ce qu'une autre personne me dit.

gradlagomer dit: à

ce n’est pas : cela me plait beaucoup , la structure en deux temps de la négation en français

TKT dit: à

Art public ou privé? dit: 6 février 2013 à 12 h 14 : Votre commentaire « me » parait à coté de la plaque. Paris depuis quelques années reprend une grande place, dans les villes à visiter pour les musées d’art moderne ou contemporain et les galeries contemporaines (entre autre la Photographie). Quant à Versailles, vos reproches me paraissent assez emprunts de parti-pris. Ces expositions sont provisoires. Où est donc le problème ?

polder dit: à

.. eh bien la phrase laisse sur sa faim : quand on commence une phrase par « au lieu de », le lecteur attend la suite.
Vous voulez que je la complète de manière tkt-esque ? Trop difficile, pas dans mes cordes! Je me contente de re-poster la phrase:
« Cette Note, au lieu de rassembler autour de la question juive et de l’assimilation de gens qui partirent de Frankfurt am Main, avec des handicaps, firent un parcours sans fautes en France »

renato dit: à

« C’est cette collusion structurelle entre pouvoirs publics et grands intérêts privés, entre l’art officiel et la finance internationale… »

Au premier passage on pouvait croire en une question sensée, de là un certain intérêt ; à la deuxième on se demande si vous n’avez pas, à tout hasard, un produit alternatif (quelque chose à vous, p. ex.) à proposer…

gradlagomer dit: à

TKT,
un homme juif, de famille et séfard et achkénaze ,et que j’ai un peu connu dans ma jeunesse dit plusieurs de fois devant moi que jeune ,c’est à dire en 1900 était anarchiste, pui qu’il se sentit plutôt monarchiste, et après 55 ans socialiste .
Il n’en donna pas moins des coups de poing à une adolescente, sa fille légalement, devant plusieurs femmes un jour qu’il se sentait très humilié, à juste titre, parce que la sienne, plus jeune de 20 ans et de famille chrétienne terrrienne, était toujours à s’amuser de tous côtés sur tous les tons les plus grossiers , ce qui fut encore le cas au moment où il mourut où elle était encore ailleurs que près de lui , non sans avoir longtemps prémédité, et répété cet instant avec un sadisme assassin (ce que plusieurs personnes avaient d’une certaine façon remarqué)

C.P. dit: à

ueda, j’ai réouvert un instant « Les Mandarins », document « d’époque » dont tout le monde connaît les clés… sauf sans doute les jeunes lecteurs (éventuels) d’aujourd’hui. Quand même la demande d’Annette ne serait pas un canular, je ne vois guère ce qu’il y aurait à « passer » : l’intérêt pour Sartre et Beauvoir s’éteint quelque peu aux Etats-Unis, mais il est encore assez large dans les universités, vous le savez bien. Camus n’y est pas présent pour le plus concret de son oeuvre, ce qui est dommage.
Le concret, justement, sans trop de sérieux, et sa réception : il n’y a pas chouchouille de corps dans « Les Mandarins », malgré les aventures (en un sens au moins assez marrantes et queutardes) de Perron-Camus, et les amours outre-atlantique d’Anne Dubreuilh-Beauvoir. Mais je ne sais plus comment une femme lisait ce livre dans les années 50.

Art public ou privé? dit: à

« Paris depuis quelques années reprend une grande place, »tkt6 février 2013 à 12 h 27 min
Le constat de trente années, en France, c’est la non présence sur le plan international de la création hexagonale.
Que le financial art ait choisi Paris comme plaque tournante cela en est la preuve que s’y vend du chinois ou du american art.
Je ne suis pas du tout à côté de la plaque, ces grandes galeries suivent le mouvement et comme des coucous viennent acquérir une part symbolique et stratégique supplémentaire dans un environnement patrimonial.
Il s’agit bien du contraire de la démarche exposée dans le sujet. Où la prise de risque est d’abord privée et ensuite « offerte » à la vie publique de l’art.

gradlagomer dit: à

puis : précisions: son homme était Mendès France, mais il avait connu le tout paris de la politique , et du show

lecteur attentif de hr dit: à

un sadisme assassin (ce que plusieurs personnes avaient d’une certaine façon remarqué)

C’est sûr que ça se remarque, ces choses-là.

TKT dit: à

Polder, j’ai compris votre message, vous avez besoin de points sur les i. Vous avez raison, sauf que nous sommes dans une conversation écrite, « écrite » mais bien une conversation, pas une conférence ou une dissertation: Introduction, développement(s) et conclusion. Je trouve dommage que le sujet ait été détourné, par des bolchéviques roses, ou des éternels « conversationists » sur l’antisémitisme.
Et puis dans les derniers commentaires, une attaque de Monsieur Pinault et de l’art contemporain.

haro dit: à

comment une femme lisait ce livre dans les années 50.

L’alphabétisation des femmes est plus tardive.

à l'heure de la cantine dit: à

Monsieur Pinard et l’art contemporain, ça, c’est tout tkt!
« Une attaque contre », sinon vous signifiez le contraire!

alx dit: à

renato dit: 6 février 2013 à 11 h 51 min
Non en fait le forcené de PQ est pondu de fafs professionnels sur un fumier raciste et antisémite (sous son masque soi disant sioniste) dont personne à part le gland du paraguay

alex dit: à

don tpersonne à part le gland du paraguay ne veut s’approcher

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout le monde participe de la collaboration,…
…parce que nous sommes dans un système fermé,…comme dans une version de la « planète des singes »,…
…les signes de révolte saine sont balisés par des inquisitions et ou freudiennes,…
…et comme,…le pouvoir des institutions est dogmatique et Stalag 13 la liberté de pensée,…tout le monde attend les extra-terrestres libérateurs de la pensée unique du profit très facile,…en attendant mieux contentons-nous des miettes de T.V.et loisirs dirigés, avec introspections dans la vie privé, la surveillance par caméra,…le positionnement radar du véhicule,…
enfin, tout pour faire du citoyen du monde un cocu à part entier vouer au pasteur de l’état,…je dis Non,…
…le bon vivre,…c’est de rétablir un progrès, sans contrôle du citoyen, comme si c’est un cobaye en liberté dans un enclos de Stalag 13,….etc,…etc,…dans ce bordel du monde,…version Show-dôme et Go-maure,…
…etc,…une vision seine de la vie,…presque un blocage aux années 60′,…

nègre de sergio dit: à

“ par des bolchéviques roses”

Vous croyez qu’ils ont des oreillettes chez M. La Saumure, patron?

JC dit: à

Nerveuse, alex ? ragnagnas ?

JC dit: à

Rares amis de la RdL, je suis enchanté de voir que le « Mariage pour tous » déclenche le fou-rire de notre chère Taubira, ministre, en pleine assemblée. Pas vous ?
PS : Christiane, si tu passes par Porquerolles, isle enchanteresse, fais moi signe : ton sens de l’humour est partagé, ici par le plus grand nombre. Nous paraderons tout deux sur mon scooter blanc comme sur un destrier indompté, tout frétillant du bonheur d’être monté par une étoile et son serviteur muet …

TKT dit: à

@ Art public ou privé? dit: 6 février 2013 à 12 h 41: Il y a peu de grands artistes Français sur la scène internationale, mais il y en a quand même: Bernar Venet, Buren, Boltanski, etc… Ceci pour cette génération, on voit aussi des plus jeunes dans les expos en dehors de l’Hexagone.
Yves Klein, en son temps, fut plus présenté en Allemagne qu’en France. Je veux dire par là, que le problème est plus du coté du public Français. Au mois de Décembre, j’ai vu à Cape Town, ZA, une exposition montrant les artistes Français de la dernière Biennale de Lyon. Il y avait de très bons éléments. Et si le gouvernement Français dépensait plus d’argent pour montrer les artistes à l’étranger ? Et si des gens comme vous, et votre schtroumpfette, arrêtaient de baver sur les contemporains ? C’est quand même bizarre, cette masse de réactionnaires culturels, qui n’ont rien d’autre à faire que de baver, cracher et maudire. Je dois dire qu’en dehors de la France, ceux qui n’aiment pas le contemporain, écrivent des critiques sur les artistes plus anciens et ne jouent pas au tribunal. Les gens comme vous, ne comptent pas vraiment, vous ne ferez jamais arrêter l’art qui se doit d’être toujours in the making. Pensez, il n’y a pas si longtemps, vous auriez maudit les Impressionnistes, puis la génération de Braque et Picasso et les plus jeunes. Quant à la Chine, j’étais en 2012 à Beijing, les grandes galeries qui montrent les artistes Chinois contemporains, sont pour la plupart du temps des institutions américaines. D’autre part, si Paris devenait une plaque tournante de l’art contemporain chinois, ce serait une raison de plus de visiter Paris. Où est le problème ?
PS: Il y a aussi, malgré les gens comme vous, de plus en plus de collectionneurs en France. Avec différents degrés de moyens économiques.
Et puis si Pinault est le premier collectionneur d’Europe, cela prouve au moins, que les Français sont capables de produire un Pinault, grand-entrepreneur et mécène. Je n’ai jamais lu en Allemagne, des gens se plaindre de Ludwig, le grand collectionneur d’Aix-la-Chapelle. Avec une présence exemplaire à Vienne, Autriche et partout en Allemagne, Ludwig est dans le collimateur assassin de personne. . Une des plus belles collections d’art Français hors de France, sur une période précise, celle d’Yves Klein.
Que voulez vous, vous et votre schtroumpfette ? Vous n’allez pas convertir les gens qui sont ouverts à leur époque. Je ne crois pas d’ailleurs qu’ils soient la majorité. La majorité des gens découvrent une école d’artistes, 80 ans plus tard ou après, une expo à la Beyeler Stifftung près de Bâle. Soyez sans crainte, personne ne veut vous convertir à l’art conceptuel. Pas plus que le mariage pour tous, fera des hétéros, des homosexuels. Dormez sans crainte. Les gens comme moi, aiment l’histoire de l’art dans son ensemble et, un siècle plus tard, nous nous attardons à ne voir que les meilleurs. (ML et son Hennel, c’est comique)
PS: Et si Koons et consorts, n’existent plus dans les musées dans 50 ans, et alors ? Cela ne prouvera pas que les artistes qui vous plaisent soient plus valables. Vous pouvez d’ailleurs, nous mettre dans un commentaire, quelques uns de vos artistes préférés, je parle de gens disons, entre 30 et 50 ans. C’est avec curiosité que nous irons regarder.
Ai-je écrit « nous » ? Oui, le pluriel de majesté, j’assume pour mes camarades.

TKT dit: à

Envoyez moi votre portrait photographique, j’y appliquerais le doigt d’honneur d’Ai Weiwei !

C.P. dit: à

Les commentaires de Thierry Traube ET ceux d’Art public ou privé ? , quelle que soit la discussion sur le mécénat et les constitutions de collections aujourd’hui, m’ont beaucoup intéressé, parce que je les ai rapportées au billet, à propos d’Edmond de Rothschild, figure « exemplaire ». J’ai rappelé plus haut l’importance de sa donation,testamentaire, de dessins et d’estampes renforçant considérablement le Cabinet des Dessins du Louvre. Mais ce personnage est vraiment étonnant, à la fois collectionneur (il laisse à son frère James l’activité bancaire), membre de sociétés savantes, donateur et mécène, bâtisseur et amateur de parcs et jardins, … et
acheteur / entrepreneur en Palestine. Je crois bien qu’il est inhumé (transféré ?) en Israël. C’est une autre époque, en effet…

TKT dit: à

Pour le commentaire sur le vin (pinard ne faisant pas partie de non vocabulaire), ce n’est pas mieux de rater l’agrégation plusieurs fois, ou de petit comptable en bas de l’échelle des comptables, devenir gardien de bassin chloré, dans une piscine municipale.
Ce commentaire désobligeant, je l’accepterais volontiers, mais par ML ou D. la saumure, franchement non. Deux ratés, chacun avec un autre niveau, mais quand même deux ratés.

je ne cherche pas, je ne trouve pas, je dit: à

Ce qui distingue le bon, le mauvais, l’acceptable, de l’excellent en art : le temps.
Pas le pognon des acheteurs/vendeurs, la place, ou la politique culturelle, ou l’avantage fiscal…etc, etc.

C.P. dit: à

Pardon : « rapportés »…

JC dit: à

« ML,D…./…Deux ratés, chacun avec un autre niveau, mais quand même deux ratés. »

Bon, Thierry, avec nous deux ça fait trois, si je compte bien …

gradlagomer dit: à

autre remarque sur le billet
Rothschild est un nom qui est connu certainement de tous les gens, qui on plus de vingt ans en tout cas: c’est à lui seul un mythe:, même si Hirsch est aussi un nom conu de français du moins ,( un nom qui est entré en composition ) il y a -eu- des Hirschfeld..mais il n’a pas la même résonance institutionnelle que Rothschild

renato dit: à

Le temps, comme d’autres ont dit, met de l’ordre dans les choses. Cela dit, il faut voir quel usage du temps fait un artiste de son vivant, et là nous sommes loin du compte car après la réaction immédiate de Willem de Kooning, le temps est devenu un élément très instable dans la création — aucun philosophe ne s’est encore réellement penché sur la question (point de vue esthétique) ; donc, au contraire de ce qui s’est passé jusqu’aux années 50 où une certaine prévision était encore possible, le collectionneur d’aujourd’hui doit parier à l’aveugle, ce qui l’induit à mettre en jeu la puissance économique (qui n’est, en dernière analyse, qu’une forme d’intelligence comme tant d’autres).

D dit: à

petit comptable en bas de l’échelle des comptables,

Dois-je me sentir visé ?

D dit: à

En tout cas, moi, je n’ai jamais pensé que TKT était un raté. Au contraire, son personnage est tout à fait réussi dans son genre.

D dit: à

Quant à moi, je ne suis pas parfait, bien sûr. Mais j’ai des dons assez étonnants. Et bien peu de défauts, somme toute.

D dit: à

Mon modèle est Jacques Barozzi. J’aimerais connaître son secret pour se faire aimer de Thierry. Je dis cela sans jalousie, évidemment.

D dit: à

Thierry, m’aimerez-vous un jour ?

gradlagomer dit: à

lecteur attentif ,
vous préjugez, vous préjugez, des autres et de vous !
mais puisque le nom d Pinard ne fait pas penser à Flaubert,je n’ai vraiment aucune envie de faire une dissertation sur la page ,chapitre combien déjà professeurs de verlan de ma soeur

D dit: à

J’ai toutefois une question à vous poser, Thierry. Pourquoi avez-vous choisi de vous montrer avec cette lippe protubérante sur la photo qui orne votre joli blog ? Ce portrait n’est pas à votre avantage. C’est dommage. Un visiteur non averti pourrait croire que vous avez une sale gueule et ce serait regrettable.

JC dit: à

D.
Moi non plus ! Moi non plus, je n’ai jamais pensé que Thierry était un raté.
Les ratés, dans mon décompte, c’étaient ML (aucun doute), vous (un léger doute) et moi (un doute certain)….

gradlagomer dit: à

de ma soeur etj ‘ajouterai de ma tante ,de ma grand -mère et de votre pteite copine qui rit quand
on latartine .

gagalagromer dit: à

et a rateuteu a fonshouf a blublu la baba

JC dit: à

Mais je viens de voir, ô bonheur, ô délices, une photo de Thierry dans son intérieur… c’est vrai que… il y aurait à dire … enfin, vous voyez ce que j’en pense !
(heureusement qu’il n’est pas raté, professionnellement parlant …)

adadagralomer dit: à

et ceux quine sont pas da’ccord n’ont qu’ à changer de crèmerie avec JC et TKt!
Bonne journée

rataplouf dit: à

Dans l’ensemble, je suis relativement d’accord avec gagadadagromer.

TKT dit: à

JC, si votre but dans la vie était de vivre sur une petite île au soleil, et de faire du scooter, votre vie n’est pas ratée. Si vous vouliez devenir le patron de l’extrême-droite, alors là, vous avez raté votre plan de carrière. Au moins, Philippe Régniez a son « club des acacia »…
Mon but personnel, vivre suffisament bien avec un outil de travail octroyé par le hasard de la vie, pour pouvoir vivre mes passions culturelles, dans ce sens là je ne suis pas un raté. Je ne suis pas trop à plaindre et je pleure à un niveau confortable.
Les deux autres, l’un toujours en train de se croire pour un génie et les autres pour des nuls (même des profs d’université); l’autre petit comptable sans carrière, ce qui serait sans importance, s’il ne rêvait pas d’être un grand scientifique. Ses apartés avec un prof de mathématiques de l’université de Caen, restent le paradigme de sa bêtise.
JC: Deux + vous et moi, cela ferait 4.
PS: La seule réussite qui compte dans la vie, c’est la vie privée. Je ne connais pas la votre, à vous de voir.

gradlagomer dit: à

Gromaire, prénom marcel , j’en entendis parler dans ma jeunesse, une ou deux fois . du moins a-t-il été un artiste parmi d’autres !:
je ne connais le blog de TKT, mais il ne me
semble pas à propos de le repredre sur son goût de l’art contemporain, qu’il aime afficher comme d’autre leurs n+1 bonnes forunes avec des femmes, leurs enfants et leurs mariages ..
ceux qui viennent sur ceblog parader n’ont pas conçus à quel point ils étaient de la matière ramnesque banale pour de bons roamanciers (vu le tweet )

D dit: à

Jacques Barozzi, si vous êtes là, il y a une autre question que j’aimerais vous poser, parce que cela m’intrigue énormément. Est-ce TKT, puisque vous avez eu la chance de vous entretenir avec lui, a l’accent suisse ?

C. dit: à

de la matière ramnesque banale

Comme vous y allez ! La matière ramnesque n’est jamais banale, ça ne se trouve pas si facilement.

gradlagomer dit: à

matière romanesque banale
n’ont pas conçu
bonnes fortunes.
il y a encore plus banal , c’est le genre galagala , même si c’est un nom connu des amateurs d’art, mais non l’objet du billet .
Ce n’est surement pas parce qu’il n’est pas un Einstein que TKT serait un raté . M.L. non plus.

TKT dit: à

D., je vais vous faire un aveu, j’ai vu Jacques deux fois en 2 ans. La dernière fois, dans un cimetière et à la Grande-Mosquée. Auriez voulu que nous allions plus avant dans la connaissance, derrière le caveau familial de mon arrière-grand-père, ou dans le salon de thé de la grande-mosquée, en train de manger des gâteaux pâte-feuilleté pâte d’amande ?
PS: J’ai des lèvres assez minces, vous devez confondre avec un autre blog, quelqu’un d’autre. D’autre part, la photographie est bien petite. Achetez vous des lunettes.

gradlagomer dit: à

par contre un type qui vient prêcher la régression jungienne à longueur de colonnes pour se faire adopter dans un premier temps, parce qu’il cherche en réalité ….., est moins intéressant qu’un galet poli par le temps .

D dit: à

D’autre part, la photographie est bien petite

Non, non, non, je parle de la photo en frontispice, où l’on vous voit en train de vous photographier vous-même. Et là, excusez-moi, mais vous faites la moue et vous avez la lèvre inférieure en étagère.
L’autre photo, celle qui a frappé JC à juste titre parce que vous y avez une prestance remarquable, peut être agrandie d’un simple clic. On peut alors admirer quelques-unes de vos œuvres d’art et votre parquet impeccable, que je vous envie.

gradlagomer dit: à

Mais TKT, vrai ou pas qu’est ce que cela regarde le blog , vos rencontres !Aussi longtemps que vous et M.L. ne comprenez pas ça vous vous exposez à subir des sarcasmes.
ils n’ont qu’à aller su votre blog et si vous n’ lyracontez pas …, c’est que vous venez en anrguer ce blog ? au moins !

Jacques Barozzi dit: à

Mieux qu’un nom gravé dans le marbre du temps, Rothschild est entré dans nos mémoires enfantines comme un mot symbolique, emblématique, synonyme de très grande fortune.
Enfant, lorsqu’une de mes petites cousines réclamait à sa mère une nouvelle robe ou un nouveau sac, ma pittoresque cousine Marie-Jeanne s »écriait invariablement : « Tu me prends pour Rothschild ! » Mais sous ce nom, devenu une expression populaire, il n’y avait aucune allusion au fait que le Rothschild en question fût Juif. D’ailleurs, Marie-jeanne usait de variantes, citant en lieu et place de celui-ci Crésus ou Onassis.

lady gaga, grand-mère dit: à

prêcher la régression jungienne à longueur de colonnes pour se faire adopter dans un premier temps,

et dans un deuxième temps ?

gradlagomer dit: à

Bon, on apprend que TKT aimerait prêter ses pièces , et que D voudrait être le médiateur ?

Marie-Jeanne dit: à

Je disais Rockefeller aussi, souviens-toi, mon petit Jacques.

TKT dit: à

D, la photographie dont vous parlez, je l’ai prise en 2009, en visitant une exposition de travaux de Rebecca Horn, au pied du plus haut sky-scrapper de Taïpei. J’aime bien cette photographie/fautographie. Quant aux lèvres, si elles semblent importantes, c’est un pur hasard. Mon blog n’est pas une agence de rencontre. Et vous dans votre piscine, tout baigne dans le chlore ?

Avec retard, mais les impératifs restent les impératifs dit: à

Chaloux dit: 6 février 2013 à 9 h 39 min

Toujours aussi dépendant de ses fantasmes le Chachal.
Aussi mauvais lecteur que vontraube

D dit: à

TKT aimerait prêter ses pièces

Qu’entendez-vous par là ? Je veux bien être médiateur si cela peut rendre service, mais j’aimerais d’abord savoir de quoi il s’agit.

D dit: à

Thierry, avez-vous l’accent suisse ?

D dit: à

J’aime beaucoup l’accent suisse.

D dit: à

Ce n’est pas pour me vanter, mais 1066 commentaires, c’est un beau score. Encore 600 et ce sera une catastrophe, je vous préviens.

D dit: à

Je n’aimerais pas être à la place du faux D, parce que je suis en train de le ridiculiser.

D dit: à

Jacques Barozzi me fait la gueule, ça me vexe.

gradlagomer dit: à

@D
je voualais simplemt plaisanter que Tkt prêterait peut-être volontiers une oeuvre ou une autre de sa collection pour un exposition , où elle serait présentée « collection privée » mais ce qui le mettrait lui en contact avec des professionnels et lui permettrait d’avoir des conversarions fructueuses et se former même un réseau

Jacques Barozzi dit: à

Le phénomène de « bouc-émissairisation » consistant à amalgamer richesse (forcément mal acquise) et judéité ou homosexualité et pédophilie ne peut être le fait que de grands pervers : celà en dit plus long sur ceux qui le pratiquent que sur ceux qui en sont victimes…

D dit: à

Le 14 h 55 n’est pas de moi. Le 14 h 51 non plus. Encore un coup de M. Court.

renato dit: à

L’accent suisse d’où, Genève, Lausanne, La Chaux-de-Fonds, Zürich, Berne, Basel, Chur, Viège, Appenzell, Lugano, Locarno ?

D dit: à

Dis, tu vas me répondre, Barozzi ! TKT a l’accent suisse, oui ou merde ?

D dit: à

Le message qui précède n’est pas de moi.

TKT dit: à

D, avez vous l’accent de Melun quartier HLM ?

D dit: à

Pourquoi demander cette précision, toto ? Tu connais personnellement TKT ?

D dit: à

Oui, j’ai l’accent de Melun quartier HLM.
Le D de 15 h 02 me paraît douteux.

D dit: à

Jamais je ne me permettrais de tutoyer Rénato.

D dit: à

Et encore moins de l’appeler toto. Sauf s’il insiste, bien sûr.

renato dit: à

Hé dédé regarde ta géo, une fois.

D dit: à

A propos de questions, en voici une que je ne suis jamais posée, et pourtant je fréquente ce blog depuis un certain temps. Qui est ce Pierre Assouline ?

D dit: à

regarde ta géo, une fois.

Vous êtes belge, rené ?

D dit: à

C’est quoi, une géo ?

Jacques Barozzi dit: à

« oui ou merde ? »

Ce sera la deuxième option.

renato dit: à

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, en tout cas j’ai la chance de ne jamais avoir gardé les cochons avec vous.

Lambert dit: à

Bonjour, renato. Puisque vous êtes là, pouvez-vous m’éclairer ? Une Italienne m’a dit l’autre soir que, pour les Italiens superstitieux, le vendredi 13 était moins important que le vendredi 17, parce que XVII est l’anagramme de VIXI. Il y a eu de brouhaha, je l’ai perdue de vue et je n’ai pas eu le temps de lui demander ce que voulait dire VIXI.

dédé dit: à

« oui ou merde ? »
Ce sera la deuxième option.

Quelle langue de pute, ce barozzi.

dédé dit: à

Vixi veut dire « j’ai vécu ».

D dit: à

la chance de ne jamais avoir gardé les cochons avec vous.

Ça ne m’étonne pas, je n’ai jamais gardé de cochons. Des moutons, oui. Une fois. Et toi ?

renato dit: à

A là, Lambert, les superstitions italiennes et moi. Enfin, veni, vidi, vici, bien à part, je suppose que Vixi est traité comme première personne du singulier du parfait de Vivo, ce serait un souvenir du latin, mais comme dit, je ne suis pas compètent en superstitions.

gradlagomer dit: à

je voulais aussi dire que peut-être que TKT se réduit beaucoup à certains conformismes;l erdélien par exemple, alors qu’il a peut-être des possibilité encore de s’en affranchir , puisqu’.. il s’est déjà déshexagonalisé ,

D. dit: à

Quelqu’un peut m’expliquer pourquoi ML s’appelle maintenant LA mauvaise langue? C’est bien le même?

renato dit: à

Par exemple, Lambert, un historien que j’ai un temps fréquenté, protégeait avec sa main gauche la poche du veston où il gardait le portefeuille chaque fois qu’il lisait ou entendait l’expression « Et in Arcadia Ego ». Lorsque je lui ai demandé le pourquoi il a rougi, mais pas de réponse. Le même prétendait que le libraire effaçât le nom d’un illustre érudit de la couverture avant d’en acheter le livre. Là aussi jamais eu une réponse. Pourtant il s’agissait d’un homme intelligent et cultivé.

D dit: à

J’ai l’accent auvergnat, un peu comme VGE, mais en plus distingué. Ma fiancée se nommait Pissenlis, quand j’étais enfant, nous jouions au docteur. Je faisais le patient et elle me faisait des piqures. Plus tard, je suis tombé amoureux de la bonne du curé. Repoussé, j’ai pris la décision de rentrer dans les Ordres. Repoussé là aussi, je suis devenu apprenti comptable, puis comptable à part entière, 4 quartiers pour vous servir. 4×25 = la trinité. J’aime le Seigneur de Porquerolles et rêve de faire un tour en scooter, de manger une langouste et de me baigner dans mon maillot de bain 1900, dans une crique pleine de coquillages et crustacés. Je suis amoureux de Valéria B-T.
Je n’ai pas compris qui sont ces Rothschild, quelqu’un pourrait-il éclairer ma bougie ? Ce que je ne comprends pas, comment des gens de Francfort-sur-le-Mien, peuvent-ils devenir des Français ? Dans ma famille, nous étions Français, même sous Jules Césare. Nous étions aussi catholiques deux mille ans avant JC. Je ne vous dirais pas s’il s’agit de JC ou de JC, sauf si vous priez avec moi, une dizaine de chapelets en os de chat, enfilés par une corde de nylon. J’aime le nylon, cela sèche plus vite que le coton et cela peut être fabriqué entièrement en France.
Et je ne vous parle plus de mes origines extraterrestres car vous seriez jaloux. je vais donc vous informer, aujourd’hui c’est la Saint Gaston. J’attends que mon téléphone sonne, HR va m’engager comme monsieur de compagnie. P.R. m’a laissé tomber, il me préfère son puma. Et moi, je suis plutôt adidas. Barozzi me dédaigne, je ne saurais jamais rien sur l’accent de l’helvète que j’aime observer depuis Melun. Melun c’est un peu ennuyeux, surtout dans mon quartier et pour monter à Paris, je dois prendre l’autobus. Je ne prends plus le métro, j’y ai fait des mauvaises rencontres et personne ne daigne suivre mon regard. Je meurs d’amour, je crève tellement je suis solitaire le soir seul en face de mes tomates farcies et de mon aligoté surgelé.
J’aurais ma revanche, sur la prochaine Note, je serais le champion du commentaire respectueux du sujet du jour. Je réagirais le lendemain.
Je vous quitte, une jeune nageuse, vient de perdre son couvre-chef en K O tchouc. C’est mon travail, compter les cheveux des nageuses, quand elle perde leur bonnet. Pour les nageurs, je suis sensé contrôler leur brasse. Je rêve d’une piscine où les nageurs joueraient au water-rugby.

gradlagomer dit: à

qui dit que chacun a à rendre raison à son ami de ses faits et gestes ? , ses manies,?
ses tics, aussi longtemps que ce ne sont pas des entraves à une vie commune ou publique à peu près satisfaisante , et que cela ne met pas la vie par trop en danger ?
La lecture de Sacks de ce point de vue secoue un peu les réactions conformistes , celles des « explications psy » aussi !

renato dit: à

Hé ! gradlagomer ! personne ne vous a sonné.

ueda dit: à

Jacques Barozzi dit: 6 février 2013 à 15 h 19 min
Dernière tendance de l’art conceptuel !

C’est tout à fait le club des Acacias, il suffit de passer le deuxième rideau.

Un éditeur s’est glissé parmi ces militants.
Sauras-tu le reconnaître?

D. dit: à

Fallait suivre, D
Le prof de Lettres a donné toutes les explications, sur son nouveau pseudo.
C’est bien le même, il est le plus intelligent, le seul lecteur valable et le seul qui ait le droit de parler des livres qu’il n’a pas lu, car il aurait pu les écrire sans se relire.
Pour la peine, vous lirez seau d’homme et gomme d’or

renato dit: à

Je ne parlerais pas d’art conceptuel, Jacques, plutôt de body art, et encore.

TKT dit: à

Ueda san,
Le fameux éditeur n’honore que son épouse, blanche de souche francilienne. Le club acacia ignore les rondeurs couleur de miel et seul Zarah Leander les fait bander.

TKT dit: à

D., vos patrons de ferme, avaient tout de suite compris, que les cochons sont trop intelligents pour vous et les oies, trop agressives.

gradlagomer dit: à

bon, tout le monde ne peut pas fantsmer dans le sens giratoire de la théorie suggérée !!(celle de la promenade de Tkt avec son J.B.us, vraie ou pas et de la complainte de D quiavait espéré que les deux compères auraient des coudées plus franches … Cette promenade, ça détruit bien des illusions ..merci de préfipiter un trvail si nécessaire à la formation de rêves à.
Bonsoir!

gradlagomer dit: à

précipiter !

TKT dit: à

Ah, HR, gibus, très joli jeu de mots.
Ou, imaginiez vous un J&B américain ?

Zarah dit: à

les fait bander.

N’évoquez pas les neiges d’antan Thierry, vous vous faites du mal.

la nétiquette dit: à

D dit: 6 février 2013 à 15 h 07 min
A propos de questions, en voici une que je ne suis jamais posée, et pourtant je fréquente ce blog depuis un certain temps. Qui est ce Pierre Assouline ?

il ne le sait plus lui-même ,il a perdu la note du pressing

TKT dit: à

Bof, Zarah, vous êtes hier.
Enfin avant hier, quand vous étiez une grande inspiratrice des artistes transformateurs.

La mauvaise langue dit: à

Pauvre Tkt, faut qu’y s’chamaille avec tout le monde ! Et y s’fait arracher les yeux par tout le monde.

Et y prétend néanmoins qu’il est pas vulgaire…

La mauvaise langue dit: à

Faudra un jour que Passou écrive un bouquin sur Tkt et Pinault… Le pinard et le pinault à la Rdl. Tkt promoteur de Pinault, on aura tout lu. En promotion. Santé !

renato dit: à

Le plus désagréable chez les limaces c’est la trainée de bave…

Salade dit: à

Le plus désagréable chez les limaces c’est la trainée de bave…

Renato, pourriez-vous arrêtez de salir Thierry

renato dit: à

Êtes-vous sûr que je parlais de Thierry ?

Babelle dit: à

Waouhh!!! 24h, ou même 48, que vous vous acharnez sur ce pauvre billet!!!…1200 commentaires, pour ne rien dire la plupart du temps, c’est impressionnant!! Vous n’avez pas de métier pour vous occuper toute la journée? Pas de chéri(e)s? Pas de chien à balader? Pas envie d’aller respirer ailleurs? Pas d’abonnement à je-me-sens-seul.com?…C’est triste quand même la vie d’un bloggueur de la RDL :-(… A moins que je ne sois complètement à côté de la plaque et que je ne me sois même pas aperçu que, là présentement, en phrasant pompeux-décalé, vous n’étiez en train de changer la face du monde…qu’en dit le monde?

renato dit: à

En voilà un-e qui vient de découvrir l’eau tiède.

Tour de dit: à

Babelle dit: 6 février 2013 à 16 h 36 min

Faut quand même être rien con(conne) pour se taper 1200 commentaires sans plaisir

renato dit: à

1117 commentaires pour être précis. Puis, comment les autres perdent leur temps ce n’est pas votre affaire.

renato dit: à

Le 16 h 41 min est pour l’ineffable Babelle, naturellement.

Babelle dit: à

Ben oui Renato, je pensais pouvoir m’offrir quelques vapeurs ou frissons en visitant votre prose…déception : c’est juste tièdasse; Mais pas si con(ne) que ça Tdd : vous ne pensez tout de même pas que je me suis tapé vos 1200 con-mentaires, non?…bon, concession votre honneur : certains (trop rares) sont teintés d’un peu d’esprit, ça sauve le reste…

Arbeitsamt für Dédé dit: à

C’est mon travail, compter les cheveux des nageuses, quand elle perde leur bonnet.

Avec une telle matière ramnesque, Dédé pourrait bien décrocher le prochain Nobel de littérature. Son style, le mouvement rythmique de sa phrase et la désespérante mélopée amoureuse qui s’en échappe, tel le picrate suintant des fûts mal embouchés du pinardien zürichois, évoquent irrésistiblement certaines nouvelles d’Heinrich Böll. On pense à « An der Brücke », l’histoire d’un lumpenprolet dans l’immédiat après-guerre, à qui l’on fait l’aumône d’un emploi dédéesque en plein : dénombrer, non pas la quantité de caramels pouvant loger dans un paquet moyen de La Pie qui chante, mais les passants du pont neuf. Aimant en secret, le pauvre hère refuse obstinément d’inclure dans ses comptes sa chérie, ne voulant pas la voir transposée, ‘scuse Dédé: télétransportée, au futur II- amis germanistes, hallo!
Bon, Ende gut, alles gut : le bougre finit par être promu au comptage des voitures à cheval, le nec plus ultra (« Pferdewagen ist ein Lenz wie nie zuvor »).

« Wenn meine kleine Geliebte über die Brücke kommt – und sie kommt zweimal am Tage -, dann bleibt mein Herz einfach stehen. Das unermüdliche Ticken meines Herzens setzt einfach aus, bis sie in die Allee eingebogen und verschwunden ist. Und alle, die in dieser Zeit passieren, verschweige ich ihnen. Diese zwei Minuten gehören mir, mir ganz allein, und ich lasse sie mir nicht nehmen. Und auch wenn sie abends wieder zurückkommt aus ihrer Eisdiele, wenn sie auf der anderen Seite des Gehsteiges meinen stummen Mund passiert, der zählen, zählen muß, dann setzt mein Herz wieder aus, und ich fange erst wieder an zu zählen, wenn sie nicht mehr zu sehen ist. Und alle, die das Glück haben, in diesen Minuten vor meinen blinden Augen zu defilieren, gehen nicht in die Ewigkeit der Statistik ein: Schattenmänner und Schattenfrauen,nichtige Wesen, die im zweiten Futur der Statistik nicht mitmarschieren werden… »

renato dit: à

Voyons Babebelle :

1. On ne vient pas ici pour faire œuvre ;
2. votre opinion et rien du tout ça revient au même.

D dit: à

Un commentateur que j’apprécie beaucoup, c’est JC. Je lui vois toutefois un défaut : il n’aime pas TKT. C’est d’autant plus incompréhensible que Jacques Barozzi, que j’aime beaucoup aussi, en dit le plus grand bien.
A propos de TKT, je crois que le faux D. assez mal torché de 15 h 42 est de lui. Dommage. Je m’attendais à mieux de sa part.
Par ailleurs, je partage pleinement l’avis de Babelle. Comment peut-on venir perdre son temps sur ce blog ?

art public, art privé? dit: à

tkt, depuis que l’on peut vous lire ici, vous n’avez jamais répondu avec des arguments esthétiques ou sociologiques sérieux. Seulement de taxer d’épithètes et d’attributs malséants vos contradicteurs.
Permettez-moi de fortement douter de vos connaissances en histoire de l’art et encore plus en esthétique. Je m’intéresse à l’art bien avant que vous-même ayez arrêté de vendre vos bouteilles de vin.Cela dit, sans vous offenser, étant personnellement amateur de grands crus.
Mais, voyez-vous, j’aime aussi les petits crus, frais et pleins d’originalité, qui ne se poussent pas du col, pour employer une expression chère à Pierre Assouline. Je n’ai aucunement besoin de connaître des grandes familles pour me faire une idée précise sur l’art comme vous nous le dite si souvent ici.
Vous aimez l’art comme un matamore, moi, je préfère fréquenter les ateliers au plus près, apprécier l’œuvre et faire un bout de chemin sensible et intellectuel avec son fabriquant.
Qu’un tel soit dans la collection machin ou tartempion m’indiffère et croyez-moi, j’ai été reçu à la table de gros collectionneurs et dans les ateliers de très importants peintres.Et alors?
Il vous faut des étiquettes artistiques, ce qui ne dépareille aucunement de celles des grands vins.Je côtoie de jeunes peintres que l’on isole et empêche quasiment de montrer leur travail parce qu’il ne participe pas de la classe étroite de cooptation du milieu dont vous êtes de tpoute évidente un petit soldat.
J’en connais même un qui a eu un prix de votre milieu, 28 ans, cornaqué par un critique d’art stipendié par le milieu. J’ai discuté avec son père, longuement,et lui qui ne connait pas le milieu de l’art fut étonné de son fonctionnement.
Oui, un jeune, un prix, un critique d’art, un marchand, un soutient public/privé et l’œuvre dans tout ça?

D dit: à

1. On ne vient pas ici pour faire œuvre ;

Ah, je collectionne tous vos posts, renato. Et je les imprime. J’ai déjà un joli recueil de 432 pages. Pour moi, c’est une œuvre.

renato dit: à

« Comment peut-on venir perdre son temps sur ce blog ? », demande l’un des plus actifs claviers du blog. Rigolo, va…

La mauvaise langue dit: à

Un peu d’informations.

En 1889, les associations russes des Hoveve Zion (« les Amants de Sion »), qui œuvraient déjà pour l’installation de colonies juives en Palestine dix ans avant que Th. Herzl n’entame ses menées politiques et diplomatiques, faisaient six donations annuelles à leurs membres nécessiteux. Le baron Edmond de Rothschild était de ces riches philanthropes juifs qui répondirent à l’appel des colons en finançant la construction de villes, d’usines et d’exploitation viticoles. À Jerusalem la population était majoritairement juive depuis 1870. Comme la vieille ville était surpeuplée, à partir de 1870 les Juifs de Jérusalem bâtirent un grand nombre de petites villes en dehors de la cité. La première d’entre elles fut financée par un Juif américain, Judah Truro, et les travaux furent menés sous la houlette du philanthrope britannique sir Moses Montefiore.

Depuis les années 1880, beaucoup d’émigrants juifs russes s’étaient installés en Palestine qui était laissée à l’abandon pour y cultiver le sol ingrat de la terre d’Israël.

Babelle dit: à

Au moins Renato vous reconnaissez que tout ceci est bien du temps perdu…et de l’énergie aussi : avez-vous une idée du bilan carbone d’un seul post sur un blogg??…alors quand y’en a 1200 X 3 billets-semaine X 52 semaines X…c’est un véritable attentat à la planète!!! Je m’offusque de tant d’inconséquence!!… Pour votre info : demain c’est la « journée sans commentaires », (pour faire mieux que la « journée sans portables »)..ça va vous faire drôle, hein! 🙂

TKT dit: à

Babelle, ce qui est sûr, c’est que vous ne relevez pas le niveau.
Revenez en commentant le sujet de la Note, c’est à dire Les Rothschild.
Un effort, seulement quelques lignes, soit sur le mécénat au 19ème siècle, soit sur la banque, ce nerf de la guerre dans cette famille qui ne fit que rayonner de son éclat et dont le caractère humanitaire n’est pas à négliger.
Une petite phrase, même maladroite, en honneur au sang d’Amschel.
Faire la leçon c’est bien, mais pour les leçons vides, nous avons déjà nos spécialistes.
Envoyez un bon commentaire, au nom de tous mes camarades, promesse, nous attendrons la prochaine Note.
Terminons cette longue liste de commentaires, par un joyau, d’émail, d’or et de diamant. Aussi joli que la tabatière, le cadeau royal à Lord Rothschild.
Et puis comme nous sommes en période de crise, nous nous contenterons de verre fabriqué par Swarovski. L’occasion de rester en Autriche (quoique le siège se trouve dans le canton de Zürich).

renato dit: à

« Ah, je collectionne tous vos posts »

Et il les imprime par-dessus le marché, voilà une façon de gâcher du bon papier avec les forêts qui meurent…

Babeau dit: à

Contrairement à ma sœur, j’ai lu tous les commentaires, et certains plusieurs fois. Je lis toujours deux ou trois fois les commentaires de HR, que je trouve extrêmement subtils. Ceux de renato, je ne les lis pas vraiment, je les contemple. J’ai un peu de mal à y pénétrer, c’est un monde trop riche.

Vous êtes tous mes amis. Sans vous, ma vie ne serait qu’un sac vide.

renato dit: à

Vous savez Babelle, dans toute activité une certaine perte de temps est nécessaire et salutaire. Seulement pour ça, même en ayant des griefs dont on parlera pas, Passou a droit à notre gratitude. Pour le reste, vous savez les journées sans ce ne sont que des façons assez hypocrites pour se donner bonne conscience, donc sans moi.

Babelle dit: à

Bien, pour faire plaisir à TKT qui me le demande, je dirai que, lorsqu’en 1811, James de Rothschild arrive en France, il a 19 ans. Son talent dans les affaires le désigne rapidement comme un des acteurs éminents du monde de la haute banque. Avec lui, des banquiers, venus de toute l’Europe, vont faire de Paris une grande place de la finance, et participer à la révolution industrielle.
À travers le destin de cette famille, c’est l’histoire du premier XIXe siècle qui est évoquée, du Premier Empire aux prémices de la République… Qui sont ces entrepreneurs qui s’engagent dans l’industrie, les matières premières, les transports ? Qui sont ces esthètes qui animent, autour d’eux, une riche vie artistique ? Qui sont ces « philanthropes » qui soutiennent la recherche médicale, ou oeuvrent pour la promotion d’un urbanisme inspiré des théories de l’hygiénisme ? C’est le portrait de cette haute finance éclairée que l’exposition esquisse à travers le portrait de James et de ses quatre frères…

JC dit: à

D.,
C’est parfaitement exact : je n’aime pas TKT. En fait je l’admire terriblement, ce qui est déjà beaucoup. Il est pour moi, le Gödel du marché de l’art. Et je l’envie pour sa réussite, ses voyages, moi qui végète dans une isle perdue, tel un Robinson Carte Bleue ne connaissnt personne !

Bibelot aboli dit: à

« Swarovski »tkt.6 février 2013 à 17 h 01 min

Voilà qui résume bien notre homme et ses choix, la bricole, la verroterie bon marché comme son art contemporain, c’est sûr!

Bloom dit: à

Et si le gouvernement Français dépensait plus d’argent pour montrer les artistes à l’étranger ?

TKT, je crois pouvoir affirmer que ce n’est pas la tendance actuelle. Et pas seulement pour les plasticiens, comme on les appelle maintenant, mais pour les artistes vivants, les intellectuels et les universitaires (qui sont souvent davantage lus et appréciés ailleurs que chez nous, un grand classique)…
Etonnamment, le poujadisme culturel ambiant (de droite comme de gauche extrêmes) rejoint la soi-disant politique d’austérité des petits gestionnaires à costume sobre, et reflète, pour l’essentiel un manque d’ambition, un défaitisme qui rappelle les heures les plus sombres de l’histoire nationale. (‘But that is another story. Rejoice and be merry for tomorrow etc…)
Se penser telle une monade, imaginer un entre-soi qui n’a jamais existé, voilà un bel horizon fantasmatique!

Babelle dit: à

TKT, vous n’avez pas entendu mon cri de déception …moi, pauvre profane, inculte, ignare, je me suis dit : « tiens, allons sur la RDL, y’a plein de brillants intellectuels, lettrés et autres fins esprits, j’apprendrai surement de grandes et belles choses pour décrasser mon cerveau et élever le niveau subaquatique de ma pensée encore embryonnaire. »… Ben, pour ce qui est de mon élévation intellectuelle, sur la RDL, c’est pas gagné!…j’vous fais pas la leçon, j’vous dis juste mon désespoir…

D dit: à

Rigolo, va…

Eh, oh, j’ai pas gardé les cochons avec toi, tu l’as dit toi-même. Au fait, toto, encore une question qui me turlupine : est-ce que tu as l’accent alsacien ?

Bloom dit: à

artistes vivants = des spectacles vivants, oeuf corse

D dit: à

Se penser telle une monade

Oui, mais gazeuse !

D dit: à

Au fond, tous les commentaires de ce blog, quelque soit le billet, tournent autour d’une seule et même question : qui est D ? C’est une grave question, en effet, mais la réponse serait trop longue pour que je l’aborde en un seul post. Peut-être vais-je en faire un feuilleton.

Babelle dit: à

L’angoisse m’assaille…dans mon post de 17h08…ce n’est pas en 1811 que JR est arrivé en France mais en 1812!!!..suis confus(e) vraiment de cette erreur…veuillez me pardonner, illustres citoyens de la RDL

JC dit: à

PloomPloom et son « défaitisme qui rappelle les heures les plus sombres de l’histoire nationale »…! Misère…
(Hé, mon grand bêta, tu n’as pas compris qu’on a plus un rond ? Te plains pas : tu as un emploi…)

Dimitri d'Arlatan dit: à

Je sais qui est D. Je vous le dirai un jour.

renato dit: à

D., la megalomanie se soigne semble-t-il…

Deneb dit: à

D ? D n’est pas une personne, c’est un mythe.

renato dit: à

C’est vrai qu’il semble irrecuperable…

ueda dit: à

« lorsqu’en 1811, James de Rothschild arrive en France, il a 19 ans. »

Lorsque Dédé est arrivé sur la Rdl, il avait 9 ans.
Trois ans plus tard, je dois dire qu’il a fait des progrès impressionnants.

Daru dit: à

Renato, vous êtes jaloux de D. C’est normal, tout le monde l’est.

TKT dit: à

@ art public, art privé? dit: 6 février 2013 à 16 h 55 min.
J’ai toujours des clients pour le vin, vous parlez donc dans le vide.
Je m’intéresse à l’art, avec intensité, depuis le tout début des années 70, donc depuis mes 24 ou 25 ans. Pour le reste de votre histoire, c’est sans intérêt.
Je ne sais pas sous quel pseudo/pseudos vous avez l’habitude de venir commenter ici. Vous n’aimez pas ce qui se montre dans les galeries et dans les institutions de l’Etat ? C’est bien votre droit. Vous ne deviendrez pas supérieur en méprisant le contemporain. Je considère votre commentaire comme une nullité rare, mais bien dans la lignée ce que j’ai souvent lu ici.
D’autre part, vous parlez de moi, comme si nous nous connaissions, c’est un peu foldingue.
Votre histoire de jeune peintre interdit d’exposition est un peu ridicule, il n’y a jamais eu autant de lieux d’exposition que ces dernières années. Pour tous les budgets et pour tous les goûts.
Vous parlez d’artistes, en employant le mot de fabricant ?
Pour vos goûts pour les vins, je ne vois pas le rapport avec l’art. qu’il soit classique ou contemporain.
PS: Parlez de ce que vous aimer, donnez un nom, une galerie, vos généralités c’est comme pisser dans le lac Ontario. En dehors de la France, je n’ai pas le souvenir de gens aimant tellement écrire pour combattre le contemporain. C’est assez fatiguant, mais bon, quand je vois votre signature, je devrais enjamber vos commentaires. Comme dans la rue, on enjambe une crotte de chien.

Bibelot aboli dit: à

Se penser telle une monade

Peut-on même la lire?

D dit: à

Je suis arrivé sur la Rdl en 2006, ueda. Zhu n’existait même pas encore. J’avais neuf ans, c’est vrai. Mais nous sommes en 2013, j’en ai bientôt seize !

renato dit: à

Mais non, mais non, la jalousie est chose banale, puis le gars vit dans un studio qui fait à peu près la taille de ma salle de bain…

D dit: à

Contrairement à ce que prétend TKT, il m’arrive d’avoir des érections. Chaque fois que je me regarde dans la glace. C’est mon seul point commun avec renato.

ueda dit: à

« en Palestine qui était laissée à l’abandon » (ML)

Eh oui, en ce temps là l’Afrique et l’Asie étaient de vastes friches.

Et dire qu’il y en a aujourd’hui qui nous font le reproche d’y avoir envoyé des braves qui, comme on dit dans l’armée française, n’avaient que leur bite et leur couteau.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…une certaine chance, de presque rien connaître,…mais en tout cas,…au corps a corps je préfère rester à distance des « gros seins plantureux »,…
…un genre de rouleau compresseur que je préfère évitez,…
…au fond les bonnes choses sont rares,…et ceux qui sont en possession encore plus rares,…

…disons nous « Adieu »,…soit,…
…embrassons nous,…une fois pour en finir,…soit,… » Oh,…Ah,… »,…quels piques, quels seins,…sans soutiens-gorges,…j’en tremble encore,…
…sur, que pour rendre la pareille en mesure,…il faut en garder le souvenir de la démesure,…Oh,…Oh,…de quoi il parle encore,…
…il y a sein et sein,…qui à parlé de la traînée de bave chez la limace,…un vernis de culture d’appoint,…bien trop rare,…les baiser d’Adieu,…etc,…quels  » Ô-bus « ,…
…quel partage,…le temps de blanche-neige,…et puis, mon chéri au rouleau compresseur « artistique », de la production au « gay »,…mariage cocu,…rejoué au bilboquet des songes de l’envers à l’en-droit,…etc,…

La mauvaise langue dit: à

Vous avez vu un peu comme il est devenu aimable, Tkt. Voilà au moins un homme qui sait tirer les leçons du passé ! Le pinard, ça rend bon !

D dit: à

le gars vit dans un studio qui fait à peu près la taille de ma salle de bain…

Ah, la lutte des classes, comme dit TKT. Je suis un héritier aussi, comme vous, renato. J’ai hérité d’une grand-tante. Mais j’ai mis toute la somme dans l’achat de ma 307. L’immobilier n’est pas mon fantasme. J’ai l’eau courante et le chauffage immeuble, ce n’est déjà pas mal, tout le monde ne peut pas en dire autant.

renato dit: à

J’ai l’impression que D joue le crétin pour cacher le fait qu’il l’est vraiment…

La mauvaise langue dit: à

Les lieux d’exposition, on les cherche encore pour les artistes décédés.

Quand on est mort, on l’est aussi pour l’art.

La mauvaise langue dit: à

Mais s’il arrive à le jouer, le crétin, c’est qu’il ne l’est pas vraiment justement…!

Gilou dit: à

un studio qui fait à peu près la taille de ma salle de bain…

Quelle élégance chez cet homme. Quand il n’écrase pas les autres du haut de son immense culture, il essaie de le faire avec fric. La grande classe.

renato dit: à

Le fait est que je ne suis pas un héritier, D., j’ai renoncé en faveur de mes frères et sœurs. Tirez donc vos conclusions du préjugé qui vous informe…

dicton dit: à

Merde dans un bas de soie pense à enjamber la crotte de chien

La mauvaise langue dit: à

Immense culture, non ! Plutôt grandiose culture en toc du pinault par le pinard, nuance…

renato dit: à

« La grande classe. »

Vous n’intervenez jamais quand l’insulte vient d’ailleurs ?

la sœur de renato dit: à

c’est vrai je confirme, renato il nous a tout refilé des le debout

TKT dit: à

Merci, Babelle, merci, vous avez au moins fait un effort.
@ Ueda: D est présent depuis 2005, il avait 42 ans et travaillait comme comptable dans une banque. Je vous fais grâce de tous ses pseudos et de ses conversations avec lui-même. Avec le temps, il est devenu un personnage de dessin-animé, par contre dans les bulles, il y a toujours les mêmes phrases et fixations.

renato dit: à

Pour ce qui est de se regarder dans la glace D., vous ne suivez pas ou alors la mémoire vous fait défaut : je n’ai pas de glaces chez moi…

La mauvaise langue dit: à

« il est devenu un personnage de dessin-animé, par contre dans les bulles, il y a toujours les mêmes phrases et fixations. » (Tkt)

Mais pas Tkt…

TKT dit: à

Non, D., il y a déjà des commentaires signés Pathos en 2005.

La mauvaise langue dit: à

Peut-on concevoir Tkt sans D. ? Je vous le demande ! Le roi sans son bouffon… Qui est le roi ? qui est le bouffon ? Et le roi des…

in memoriam dit: à

@ Ueda: TKT est présent depuis 2005, il avait 58 ans et s’illustrait déjà par des commentaires d’une grande finesse. Je vous fais grâce de ses fascinantes conversations avec lui-même, qu’il signait simplement Traube, au début. Avec le temps, il est devenu un personnage de dessin-animé, par contre dans les bulles, il y a toujours les mêmes phrases et fixations.

in memoriam dit: à

je n’ai pas de glaces chez moi…

Vous vous rasez à l’aveuglette ?

La mauvaise langue dit: à

Oui, et même qu’au début je croyais que c’était Taube son nom : pigeon en allemand…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…plus haut,…
…il faut pas confondre art contemporain,…avec « systémique d’abrutis »,…en manque de notoriété,…
…ou est l’art italien de la peinture au XX ° siècle,…pratiquement inexistant,…
…pour causes,…la foi, le fascisme, la lutte sociale et économique exacerbée,…
…même Pompei est abandonné,…la culture au niveau des indiens d’Amérique à spolier les tombes de leurs ancêtres,…l’€uro dans l’cul,…vite fait,…bien fait,…le respect des misères à têtes brûlées,…des honorables,…entre pointes pour l’échiquier,…
…etc,…

La mauvaise langue dit: à

Bon, je retourne à mes pâtés de sable…

La mauvaise langue dit: à

Non, Pompéi n’est pas abandonné, il est en restauration, nuance, etc.

renato dit: à

« Vous vous rasez à l’aveuglette ? »

Oui.

(Pour ce qui est des glaces : « les glaces et la paternité », voir in Borges. Je suis tombé dans la deuxième, je ne vais pas tomber aussi dans les premiers…)

DHH dit: à

Puisque les commentateurs de ce fil ne s’interdisent pas la digression et les propos poiseux ,je voudrais livrer une reflexion sans rapport avec le sujet du billet mais en phase avec l’air du temps dont je m’etonne qu’elle soit absente de toute la prose que suscitent
les débats actuels autour de la marchandisation du corps humain que représente la gestation pour autrui(GPA) et les problèmes éthiques qu’elle soulève .

On traite en effet la question de la GPA comme un problème moral nouveau né des possibilités récemment apportées dans les techniques de procréation médicalement assistée.
Or il y a un autre type de marchandisation humaine qui à certains égards est de même nature et qui aurait dû soulever autrefois les mêmes questions ; elle a fait flores pendant tout le dix neuvième siècle et l’époque s’en accommodait alors états d’âme
C’était la pratique courante qui poussait une misérable paysanne morvandelle, dans le mois de la naissance d’un enfant, à partir « faire une nourriture » à Paris », pour offrir contre rémunération pendant deux ou trois ans à un rejeton bourgeois le lait que la nature destinait à son enfant nouveau –né, et probablement aussi une affection dont son propre enfant se retrouvait frustré .
Celui-ci, qu’elle avait dû emmener avec elle et qui ne la quittait pas-maintenance de la lactation oblige – pendant son séjour au bureau de placement parisien où les familles nanties venaient recruter ces femmes, était ramené en même temps que plusieurs autres dans les fermes paternelles par des matrones spécialisées dans ce type de transport collectif,
Il n’était pas rare qu’ils ne survivent pas à ce voyage ; c’était un risque connu et accepté par les mères et leurs recruteurs, organisateurs de la filière
En fait l’enfant était le plus souvent programmé par les couples pour apporter un revenu complémentaire à la famille ;après la naissance la femme partait et l’enfant ,sous-produit de cette opération commerciale ,poussait plus ou moins bien,plus ou moins longtemps nourri par la chèvre

Je ne sache pas qu’il y ait eu alors de débats d’ordre ethique sur cette pratique courante ,qui ne consistait certes pas à louer un ventre, comme dans la GPA mais, peut être aussi grave, à faire fabriquer un enfant par une femme pauvre en vue de lui faire secréter du lait destiné à un enfant riche ,,
De cette indifférence tranquille devant cette monstruosité installée dans les mœurs aux débats d’aujourd’hui sur la GPA, constatons un vrai progrès moral qui mérite d’être salué

JC dit: à

Avec le temps, je suis arrivé à une certitude : D. est terriblement simulateur, donc intelligent ! Si vous avez besoin d’un crétin sincère, j’en connais … mais aucun ayant mon envergure, ma compétence, dans tous les domaines.

La mauvaise langue dit: à

Et même qu’on va installer Tkt comme dame pipi à Pompéi pour la préservation des lieux, avec son pinault et son pinard, etc.

court dit: à

D’après une tradition qui court encore passage Grévin, le Baron James s’astreignait chaque jour en tevenant de la bourse à une visite chez le libraire Damascène Morgand. De là naquit une collection insurpassée dont Emile Picot dresse un inventaire aussi minutieux que savoureux. c’est d’ailleurs chez Morgand que parut à petit nombre et sur hollande le recueil des Continuateurs de Loret intitulé Lettres en vers, fort précieux pour tout le siècle.
on est loin des amabilités de Goncourt (« face de batracien ») et de quelques autres.
Bien à vous.
MC

TKT dit: à

@ J’ai l’eau courante et le chauffage immeuble, ce n’est déjà pas mal, tout le monde ne peut pas en dire autant. » nous raconte D.: Vous avez l’eau courante et le chauffage central ? Vous êtes le premier dans votre famille ? joli parcours, nous devrions avoir plus de respect pour votre ascension immobilière et sanitaire. Dites, enfant, vous alliez au puits chercher l’eau ?
Vous êtes sûr que vous êtes né dans les années 60 ? 1960 ?
Bon, la prochaine fois, je penserais à vous et j’aurais une pensée pour votre manque d’eau et de chaleur, quand vous étiez enfant.

JC dit: à

DHH,
Pourquoi ne pas accepter le constat simple : l’horreur de la GPA est, toute proportion gardée, le pendant actuel de l’horreur vécue par ces nourrices laiteuses ?
Le Malin est malin, il s’adapte.
(j’ai bon, Philippe, là ? j’ai bon ?…)

La mauvaise langue dit: à

Oui, enfin, faut pas confondre le GPA avec le GPL non plus, hein !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…restaurer, restaurer,…comme la fondue d’Acropole,…
…trois cent ans après,…on manque de fond pour en vivre,…
…et, puis on parle des juifs  » artistiques » et du mécénat à Rothschild,…
…quels escrocs,…etc,…ou est passée la poutre pour en tirer une brindille,…à restaurer le centaure,…Ah,…Ah,…etc,…

renato dit: à

D’ailleurs, je ne crois pas en la description que D. fait de sa vie, c’est pour cette raison que son studio me fait rire. Je le vois plutôt comme un bourgeois mécontent car il désirait autre chose mais la vie fut d’une autre opinion. Il s’est donc inventé cette marionnette par laquelle il justifie largement son échec. N.B., je ne dis pas que sa vie réelle est un échec, pour qui regarde de l’extérieur elle pourrait même être enviable. Simplement, il aurait aimé avoir une vie comme celle dont parle Thierry : avions, séjours à l’étranger, etc. Mais enfin, peut-être un foutu héritage : une petite entreprise qui marche bien, mais demande une présence assidue de l’héritier propriétaire. Ainsi les voyages et les séjours à l’étranger restent un rêve même pas comme un roman dans un tiroir qu’on sait que jamais sera publié. Non, si cette foutue petite entreprise lui laissait le temps il pourrait mettre les voiles de temps à autre… siroter des oranges pressées sur la terrasse d’un grand hôtel, vois le monde, enfin…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…DHH,…c’était une pratique courante aussi en Italie,…d’après certains témoignages,…
…etc,…

JC dit: à

Revenons à l’excellente philanthropie des grands anciens de confession juive, type Rothschild.
Partant du constat acel que le sous-emploi est peu important dans la communauté juive, ne serait il pas possible d’envoyer des missionnaires de cette religion en banlieue, dont la mission de conversion pourrait soulager Paul Emploi ?

JC dit: à

constat actuel

ueda dit: à

« Quand on est mort, on l’est aussi pour l’art. »

Soit c’est très profond, soit c’est le contraire.

D dit: à

renato, vous avez le don de double vue. En effet, ma petite entreprise est prospère mais elle me prend tout mon temps. Les quelques loisirs qui me restent, je les consacre à la RdL et à la lecture de livres d’astrophysique non officielle. Je suis aussi en communication régulière, comme le savez déjà, avec des êtres qui habitent d’autres régions de l’univers.

agalamba dit: à

Le contraire n’est pas très intéressant, ueda. Quand on est vivant, etc. En revanche, l’inverse interpelle : quand on est pour l’art, on est mort. Idée à creuser.

renato dit: à

« … quand on est pour l’art, on est mort »

C’est plutôt jésuite comme idée…

JC dit: à

D.,
Entreprenant, je suis en rapport étroit avec nos amis écossais des îles Islay : nous envisageons un pipe-line reliant nos îles pour le meilleur de l’Ecosse (une région de l’Univers admirable) et le bonheur de nos indigènes.

La mauvaise langue dit: à

Le spectre de Johnny Halliday vient de publier son autobiographie. Le premier spectre bionique…

Théorie du pourcent dit: à

la plus évidente façon de reconnaître les cons de ce blog ?
Ils ne supportent pas D
Manque d’humour et connerie vont souvent main dans la main

flouf dit: à

Quand on est mauvaise langue, on déconne.

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