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2025 : Voeux à volonté !

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588 Réponses pour 2025 : Voeux à volonté !

D. dit: 9 janvier 2025 à 22h10

Non, Rose. On ne peut pas employer le futur de cette façon. Enfin, moi je ne connais pas et n’accepte pas cet emploi. Mais je me trompe peut-être.

le baron perché dit: 9 janvier 2025 à 22h14

Avant de tomber dans les doux bras de Morphée, j’écoute la jolie chanson de Jean-François Coen « La Tour de Pise ».
Dormir en musique, rêver en sommeil…

JC..... dit: 10 janvier 2025 à 5h08

Jazzi dit: 9 janvier 2025 à 7h39
« Comment Proust a réussi le tour de force de traduire un écrivain anglais sans parler anglais ? »

Sous-traitance, évidemment ! …

Chaloux dit: 10 janvier 2025 à 7h16

Qui a écrit : « l’ennui est la marque des esprits supérieurs ». Goethe?

Et comment oublier « Dans l’Orient lointain quel ne fut mon ennui! ».

J J-J dit: 10 janvier 2025 à 8h27

@ PE, très justes, vos précisions de contexte et de contenu sur « les nus et les morts » de N M. Merci. Bàv,

Jazzi dit: 10 janvier 2025 à 8h51

rose, à Palerme, il faut aller voir la cathédrale de Monreale, et en Sicile, passer par Agrigente et Taormina.

Jazzi dit: 10 janvier 2025 à 9h17

Dis-moi comment tu chies…

La minute écologique du jour selon le « maître des excréments » nippon.

« Noguso » (déféquer dans la nature en japonais) nécessite de creuser un trou, quelques feuilles pour s’essuyer, une bouteille d’eau pour se laver et des brindilles pour signaler l’endroit. Ce marquage permet de ne pas utiliser deux fois le même trou et de garder une trace du processus de décomposition.

Oui mais comment « faire caca en plein air » si l’on n’a pas de forêt à sa disposition ?
https://www.leparisien.fr/environnement/il-est-le-maitre-des-excrements-un-japonais-donne-des-cours-pour-faire-caca-en-plein-air-10-01-2025-IRUO72NMEBAM5ANLQ3WSTA7DHE.php

D. dit: 10 janvier 2025 à 9h33

Je ne vous crois pas, Rose. je cuide est un pseudonyme ridicule. Jamais et alii ne ferait cela.

Chaloux dit: 10 janvier 2025 à 9h38

En effet, chez Racine, l’Orient est « désert ». En citant ce vers ce matin, j’ai dû penser que l’Orient était en train de se rapprocher dangereusement.

JC..... dit: 10 janvier 2025 à 10h07

« A Palerme, il faut aller voir la cathédrale de Monreale, et en Sicile, passer par Agrigente et Taormina. » (jazzi)

Certes ! Sans oublier Syracuse, Noto, les Villas et Palais des Normands, un peu partout mosaïques et Pantocrator, et la Palatine … bref, une île à nulle autre pareille !

pourmapar dit: 10 janvier 2025 à 10h17

Œuvre de Béatrice Darnal
Fini le critique d’art, même payé par une institution ou un galeriste, fini le critique de cinéma, de théâtre, etc.

https://scontent.fbod1-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/472859436_3793643254284236_819217240314728055_n.jpg?stp=dst-jpg_s720x720_tt6&_nc_cat=111&ccb=1-7&_nc_sid=f727a1&_nc_ohc=Rg8QGaYfLmkQ7kNvgEIc7Ar&_nc_zt=23&_nc_ht=scontent.fbod1-1.fna&_nc_gid=AuS6u1icp2UiyZVdVV5B7-I&oh=00_AYAFks7UGJ36pWfkzwAg5Q40W7VZQTnMLgyfziLFmQ1iyA&oe=6786ACDC

Que peut bien répondre l’Intelligence Artificielle (IA) à nos demandes concernant des images ?
Béatrice Darnal.

–> Ma demande : analyser cette photographie
–> Sa réponse :
« Cette photographie présente une composition intrigante, à la fois dérangeante et poétique, jouant avec des éléments naturels et des objets artificiels. Voici une analyse approfondie :
Analyse visuelle :
Sujet principal :
Deux têtes de poupées en plastique, abîmées et expressives, sont fixées sur des tiges de bambou. Elles émergent de la végétation dense, comme si elles faisaient partie de l’environnement naturel.
La tête au premier plan, bien visible, est légèrement fissurée ou couverte de fils, créant un contraste entre l’innocence que suggère un visage de poupée et l’usure, voire la violence, qu’elle semble avoir subie.
Environnement naturel :
Les bambous et leur feuillage vert vif servent de cadre à l’image. Ils contrastent fortement avec les matières artificielles (plastique) des têtes.
L’environnement sauvage et organique est oppressant, suggérant un sentiment d’enfermement ou de présence intrusives.
Couleurs et lumière :
Le vert des bambous domine la palette chromatique, évoquant la vie, la nature, mais aussi un certain mystère.
Les têtes en plastique, avec leurs tons chairs et leurs yeux bleus brillants, ressortent vivement dans cette atmosphère organique, accentuant leur étrangeté.
Composition :
L’agencement des têtes, une au premier plan et l’autre en arrière-plan, guide le regard en profondeur à travers la photo.
L’usage de la profondeur de champ met l’accent sur la première tête, tandis que l’arrière-plan légèrement flou crée une ambiance presque onirique.
Interprétation :
Thème de l’innocence perdue :
Les têtes de poupées, objets souvent associés à l’enfance et à l’innocence, apparaissent ici hors contexte, abîmées et intégrées dans un décor naturel qui les dépasse.
Cela peut suggérer une réflexion sur la perte de l’innocence, le temps qui passe ou l’invasion du monde artificiel dans la nature.
Contraste entre nature et artifice :
L’image oppose les textures naturelles (bambous, feuilles) et artificielles (plastique). Cela peut évoquer les tensions entre l’humanité et la nature, ou une critique de l’empreinte humaine sur l’environnement.
Ambiance inquiétante :
Le sourire figé des poupées, associé à leur emplacement incongru, crée une atmosphère légèrement sinistre ou surréaliste.
L’usure des têtes ajoute une dimension dramatique, comme si elles étaient des vestiges d’un monde oublié ou abandonné.
Symbolisme possible :
Les têtes, fixées sur des tiges, peuvent être interprétées comme des totems ou des figures rituelles. Cela confère à l’image une dimension mystique ou anthropologique, où l’humain semble tenter de dialoguer avec la nature.
Conclusion :
Cette œuvre de Béatrice Darnal semble interroger notre rapport au monde naturel, à l’enfance et au passage du temps. À la fois captivante et dérangeante, elle invite à la réflexion sur la manière dont les objets du quotidien (ici une poupée) peuvent devenir des symboles de mémoire, de fragilité ou de désenchantement.
Un titre possible pourrait être « Totems d’une enfance oubliée ».
Béatrice Darnal est une artiste française, née dans le Nord de la France au milieu du XXᵉ siècle. Après des études en sciences humaines, elle s’est consacrée aux arts plastiques, explorant divers médiums tels que les costumes de théâtre, les collages, les sculptures en matériaux ordinaires et les installations jusqu’en 1992.
En 2004, elle s’oriente vers la photographie, intégrant cette discipline à sa pratique artistique. Son travail se caractérise par l’utilisation de matériaux variés pour composer une iconographie personnelle, témoignant de son approche expérimentale et de sa volonté de repousser les frontières entre les différentes formes d’art.
Béatrice Darnal est également associée à la maison d’édition « Le Grand Os », spécialisée dans l’écriture et la poésie contemporaines, ainsi que dans la création et la diffusion de livres d’artiste et de livres-objets en tirage limité. Cette collaboration reflète son intérêt pour l’interdisciplinarité et son engagement dans des projets mêlant poésie, théâtre, danse, performance et arts plastiques.
Son parcours artistique illustre une démarche créative riche et diversifiée, marquée par une constante exploration des matériaux et des formes, ainsi qu’une volonté de fusionner différentes disciplines artistiques pour créer des œuvres uniques et expressives. »
Bonne année!

Jazzi dit: 10 janvier 2025 à 10h45

« Fini le critique d’art, même payé par une institution ou un galeriste, fini le critique de cinéma, de théâtre, etc. »

Mais non, pourmapar !
Le plus important ce n’est pas l’intelligence, artificielle ou pas, mais les états d’âmes, la sensibilité de celui qui nous parle…
N’est-ce pas cela que l’on demande avant tout au critique, quel que soit son genre ?
Moi, oui.
https://www.lelezarddeparis.fr/promenades-parisiennes-littérature-cinéma

renato dit: 10 janvier 2025 à 10h45

En Sicile, un arrêt à Trapani pour un couscous au poisson. Dans l’Antiquité Drepanum — selon Virgile Anchise, père d’Énée est mort à Drepanum —. Puis, de Trapani, une visite aux îles Égades qui témoignerait de l’époque où (dernière glaciation) un passage entre l’Afrique et la Sicile s’est créé. Aux Égades voir aussi le micro archipel lagunaire de Stagnone.

A Palerme, Santa Maria dello Spasimo (spasimo vaut spasme), dommage qu’en hiver l’arbre soit nu.

Jazzi dit: 10 janvier 2025 à 11h31

Le couscous au poisson c’est une spécialité tunisienne.
Chedly m’en fait parfois à la maison !

Chaloux dit: 10 janvier 2025 à 11h39

Le couscous c’est un petit peu « étouffe chrétien ». C’était peut-être d’ailleurs une des missions premières de ce plat.

pourmapar dit: 10 janvier 2025 à 12h03

Jazzi dit: 10 janvier 2025 à 10h45

« Fini le critique d’art, même payé par une institution ou un galeriste, fini le critique de cinéma, de théâtre, etc. »

Mais non, pourmapar !

Mais si, il faudra t’y faire, Jazzy!
En ce qui me concerne j’ai toujours opté pour la préférence d’un écrit parallèle pour qualifier une peinture. La poésie par exemple. Il faut relire Reverdy, Baudelaire, André Breton, Henri Michaux ( à lui-même!), etc.

D. dit: 10 janvier 2025 à 12h25

Notamment lorsqu’il était demi-pensionnaire à l’école de Thagaste.
Il y avait couscous le jeudi.

D. dit: 10 janvier 2025 à 12h31

Voici la recette du couscous aux olives et au lapin, un plat que l’on associe à la cuisine antique d’Afrique du Nord et à la région de Thagaste (actuelle Souk Ahras, Algérie), où Saint Augustin a grandi.
Ingrédients (pour 4 personnes) :

Pour le couscous :

500 g de semoule de couscous (grain moyen)

2 c. à soupe d’huile d’olive

300 ml d’eau tiède

Une pincée de sel

Pour le lapin :

1 lapin entier coupé en morceaux

3 c. à soupe d’huile d’olive

1 oignon haché

3 gousses d’ail écrasées

1 bouquet garni (laurier, thym, romarin)

1/2 c. à café de coriandre moulue

1/2 c. à café de cumin

1/4 c. à café de cannelle

150 g d’olives vertes (ou un mélange vertes et violettes)

2 tomates fraîches râpées (ou 2 c. à soupe de concentré de tomate dilué dans un peu d’eau)

1 litre d’eau ou de bouillon de volaille

Sel et poivre

Pour accompagner :

Quelques herbes fraîches (persil ou coriandre)

Un filet d’huile d’olive extra vierge

Préparation :

1. Préparer le couscous :

1. Dans un grand plat, disposer la semoule, ajouter une pincée de sel et arroser avec un peu d’eau. Mélanger avec les mains pour bien humidifier les grains.

2. Ajouter l’huile d’olive, mélanger à nouveau, puis laisser reposer 15 minutes.

3. Faire cuire la semoule à la vapeur (dans un couscoussier ou une passoire au-dessus d’une marmite d’eau bouillante) en trois étapes : cuire 15 minutes, retirer, égrainer à la main en ajoutant un peu d’eau, et répéter deux fois.

2. Préparer le lapin :

1. Chauffer l’huile d’olive dans une cocotte ou une marmite. Faire revenir les morceaux de lapin jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés.

2. Ajouter l’oignon, l’ail, et les épices (coriandre, cumin, cannelle). Faire revenir quelques minutes jusqu’à ce que les arômes se dégagent.

3. Ajouter les tomates râpées ou le concentré de tomate et mélanger.

4. Incorporer les olives, le bouquet garni, et couvrir avec le bouillon ou l’eau.

5. Laisser mijoter à feu doux pendant environ 45 minutes à 1 heure, jusqu’à ce que le lapin soit tendre et que la sauce ait réduit. Rectifier l’assaisonnement en sel et poivre.

3. Dressage :

1. Disposer la semoule de couscous dans un grand plat de service.

2. Déposer les morceaux de lapin au centre, arroser avec un peu de sauce et répartir les olives sur le dessus.

3. Garnir avec des herbes fraîches et un filet d’huile d’olive.

Notes historiques :

À l’époque de Saint Augustin, le couscous était déjà populaire dans la région, bien que sa préparation soit plus rudimentaire. Les olives et le lapin, abondants en Afrique du Nord, étaient des ingrédients courants, souvent associés à des repas festifs ou raffinés. Vous pouvez ajuster les épices selon les préférences modernes, mais rester minimaliste permet de respecter le style antique.

Bon appétit !

rose dit: 10 janvier 2025 à 12h34

Moi je le préfère aux boulettes. Un tube était cassé le midi et le soir chez la sœur de Virginie et son mari. J’ai fait chou blanc à midi et j’ai refait chou blanc le soir.

FL dit: 10 janvier 2025 à 12h52

« Dans l’Orient lointain quel ne fut mon ennui! »

« Ennui » au sens classique cher M. Chaloux, désespoir, tourment intérieur.

Le mot a changé de sens.

FL dit: 10 janvier 2025 à 13h04

« Dénoncée par son ancien page Zamor, qu’elle avait renvoyé, déclarée ennemie de la Révolution, elle est emprisonnée à Sainte-Pélagie le 22 septembre. Son procès s’ouvre le 6 décembre devant le Tribunal révolutionnaire présidé par Fouquier-Tinville et, le lendemain, elle est condamnée à la guillotine. »

Ça doit être l’une des plus belles vengeances qui aient jamais été de la part d’un domestique remercié.

Surtout qu’elle voulait pas. Elle a fait toute une histoire lors de son exécution. Les autorités ont été obligés de déplacer la guillotine après ça pour éviter les émeutes.

FL dit: 10 janvier 2025 à 13h10

Surtout qu’à l’époque, c’était pas des cadors. Sade n’a pas été exécuté parce qu’ils ne retrouvaient pas la prison où ils l’avaient mis.

🙂

je cuide dit: 10 janvier 2025 à 14h42

j’arrive trop tard pour dire que j’aime les raisins de malaga gonflés à part avec le bouillon du cous cous donc
rose,Le Libraire de Sélinonte
Roberto Vecchioni (Auteur)
Gérard-Julien Salvy (Traduction)
«Ma ville ne s’appelle pas Sélinonte; je dirais même qu’elle n’a pas de nom. Elle s’est appelée ainsi, dans le passé, lorsqu’aux choses correspondaient des noms.» Dans la petite ville de Sélinonte, en Sicile, un étrange libraire essaie en vain de faire aimer la lecture aux habitants qui le prennent pour le diable. Seul le jeune Nicolino, surnommé «Frullo», aime l’entendre lire à haute voix ses livres préférés. Agenouillé entre deux piles de livres, il vient en cachette chaque soir à la librairie pour écouter des passages des plus beaux ouvrages du libraire. Mais quand ce dernier est agressé, toute la ville commence à perdre l’usage de la parole. Seul l’adolescent semble échapper à cette malédiction… Récit fantastique sur le thème de la perte du sens, Le Libraire de Sélinonte est servi par une écriture limpide et poétique. Roberto Vecchioni nous livre un conte moral sur l’importance de la lecture et la puissance du langage : une voie vers l’intelligence, la tolérance et l’amour d’autrui. Roberto Vecchioni, né en 1943, est l’un des chanteurs italiens les plus célèbres, depuis les années 1970. La qualité de ses textes l’a fait entrer dans le patrimoine de la chanson de son pays. Le Libraire de Sélinonte est son troisième livre, et le premier à être traduit en français.
https://www.editionsdurocher.fr/product/86425/le-libraire-de-selinonte/

D. dit: 10 janvier 2025 à 15h35

Il y a quelques semaines, j’ai écrit ici que Musk était un hasbeen paumé, et personne n’a réagi.
Bien entendu je ne pense rien de tel.
Compte tenu de mes connaissances poussées en certains domaines et de ma clairvoyance, il est assez probable que je sois prochainement appelé à travailler pour Elon Musk.

MC dit: 10 janvier 2025 à 15h45

Sur Jeanne du Barry, cf Waresquiel, Fl. Salubre nettoyage d’anecdotes creees au Dix-Neuvieme, une première fois nettoyées autour de 1914, tâche refaite ici documents à l’appui.

renato dit: 10 janvier 2025 à 15h51

« Let’say I’m waiting for this call.

En lui faisant savoir que vous êtes prêt à travailler gratuitement une dizaine d’heures par jour, l’appel ne se fera pas attendre…

Rosanette dit: 10 janvier 2025 à 16h30

@chaloux
la citation de Racine (Berenice ) c’est je crois « dans l’orient desert »et non lointain.
n’importe
Mais ce qu’il faut avoir à l’esprit ,c’est que dans la langue racinienne ennui a un sens très fort qu’il n’a plus aujourd’hui;
c’est un sentiment de déchirement, de détresse ,d’accablement ,celui qu’exprime aussi Phédre quand elle dit « tout m’ennuie et me nuit et conspire à me nuire »; d’ailleurs l’étymologie d’ennui (nocere / nuire) rend bien compte de ce sens ancien qui s’est édulcoré pour designer un e sentiment désagréable de vacance pesante qui tourne à la mélancolie
de sorte que la citation de. racine n’avait pas sa place dans cette liste qui considère le rapport à l’ennui pris au sens d’aujourd’hui

Rosanette dit: 10 janvier 2025 à 16h35

@FL
excusez moise n’avais pas lu que ma remarque à Chaloux sur le mot ennui avait déjà déjà été faite faite par v vous

D. dit: 10 janvier 2025 à 16h38

Je veux bien travailler gratuitement pour Musk. Ça durera 1 heure et il n’aura alors qu’une identité tête : me payer. Je le dis en toute modestie, parce que c’est vrai.

D. dit: 10 janvier 2025 à 16h57

Vous savez, renato, quelle est la différence entre OpenAI (chatGpt) et (X) Grok, l’IA de Musk ?
C’est simple, si vous leur demandez quand est-il approprié d’écouter de la musique de Noël, ChatGPt vous répond : à Noël, et Grok : quand vous voulez, et ceux qui ne sont pas d’accord n’ont qu’à s’enfoncer un sucre d’orge dans le cul et s’occuper de leurs foutues affaires.

D. dit: 10 janvier 2025 à 17h08

(X)Grok est qualifié d’anti-woke par la presse. En réponse à Sam Altman, Pdg de ChatGPt OpenAI, Elon Musk déclare que le danger d’entraîner l’IA à être woke -en d’autres termes, à mentir- est mortel.

je cuide dit: 10 janvier 2025 à 18h34

va de bon coeur,
je cuide, et si je rêve trop, je cuicuide!
bonsoir,je vais me refaire un QIde minuit!

le baron perché dit: 10 janvier 2025 à 19h32

Avec Elon Musk comme « ministre » dans l’Administration Trump, le futur est déjà au pouvoir et il a déjà les couleurs de la droite libérale.
Comme en littérature où les écrivains de droite sont plus brillants et plus visionnaires que les écrivassiers de gauche, en technologie aussi, les créateurs de notre avenir sont des droitards.
La gauche c’est la préhistoire.
La droite c’est l’espoir.

je cuide dit: 10 janvier 2025 à 19h40

je n’ai toujours pas bien compris ce que l’on critique accuse fustige à Marseille quand on dit d’une personne qu’elle vous a « parlé mal » (sic);
merci si on peut me l’expliquer

rose dit: 11 janvier 2025 à 4h59

Parlé mal.

A pu vous dire « fatche de con ».
Et me suis posé la question s’il y a un lien avec l’italien autour de « facciamo » etc.parce que l’italien nous a colonisé à Marseille, et si on faisait une manif. ?

rose dit: 11 janvier 2025 à 5h01

En passant, après une nuit de chine, nuit câline, nuit d’amour :
Laetitia Hallyday qui a interdit à David et à Laura de dire au revoir à leur papa sur son lit de mort a vu sous ses yeux sa maison californienne brûler. Et c’est comme ça que se passe la vie.
Je ne me réjouis pas. Je constate simplement que la justice divine marche bien mieux que la justice humaine.

rose dit: 11 janvier 2025 à 5h37

Renato

Suis allée au marché de la Vucciria ; des aubergines et des fenouils splendides (pas d’endives, D.). Couleurs, odeurs, animation. Lorsque le marché se termine vers 13h18, des petites tables carrées partout sur la Piazzetta, pour manger sur le pouce, et deux carrioles de jus de fruits frais, oranges, grenades, citrons. Avec un presse citron à la main. Et un grand manche en fer.

rose dit: 11 janvier 2025 à 7h54

Oui. Dans wikipedia, Le Parlera marseillais, on trouve des réponses. Ici dans la case lexique
Italien fatche « face », devenu exclamation de surprise (« oh fatche (de con) ! ») faccia : « face »

Jazzi dit: 11 janvier 2025 à 8h00

« l’italien nous a colonisé à Marseille »

Dans ce cas on lui aura dit : « Va fan culo ! », rose ?

Patrice Charoulet dit: 11 janvier 2025 à 8h43

« J’ai toujours mal dormi. » (BHL, « Le Parisien », 11/01/25, p. 11)
« J’ai toujours bien dormi. » (Moi)

D. dit: 11 janvier 2025 à 9h13

De nombreux mots ou expressions arabes sont passés ou passeront dans la langue Française et je n’y vois pas d’inconvénient majeur. Par contre, l’un d’entre eux, très employé par les plus jeunes pose un gros problème : « walllah », والله, wallāh (« par Allah»).
En effet, il s’agit de jurer par Allah, ce qui d’une part implique de croire en Allah (donc pas en Dieu Père, Fils, Saint Esprit, ni en Yahvé), d’autre part, est interdit, en référence à la Bible qui dénonce que le nom de Dieu soit employé en vain.
J’ajoute que l’emploi de « inch Allah » est tout aussi défendu à ceux qui croient au Dieu trinitaire ou en Yahvé.
N’hésitons pas, nous, adultes, à rappeler ceci à notre jeunesse.

D. dit: 11 janvier 2025 à 9h19

J’ai interrogé une intelligence artificielle, laquelle me donne des informations très intéressantes.
Je cite celles-ci entre guillemets :

 » Dans le Coran et la tradition islamique, il est permis de jurer par Allah. Cela repose sur le fait que le serment, lorsqu’il est nécessaire, doit être fait uniquement par le nom d’Allah ou par l’une de Ses qualités. Cette règle s’appuie sur plusieurs points dans les textes religieux :

1. Dans le Coran : Le Coran contient des passages où Allah jure Lui-même par Ses créations, comme dans Sourate Al-Asr (103:1) :
« Par le Temps ! »
Cependant, ces serments sont exclusifs à Allah, car Lui seul a le droit de jurer par Ses créations, étant le Créateur. Les êtres humains, en revanche, ne doivent jurer que par Allah.

2. Dans la Sunna : Le Prophète Muhammad (paix et bénédictions sur lui) a enseigné que le serment valable et autorisé doit être fait uniquement par Allah. Il a dit :
« Quiconque doit jurer, qu’il jure par Allah ou qu’il se taise. »
(Rapporté par Boukhari et Mouslim).

3. Interdiction de jurer par autre chose qu’Allah : Jurer par autre chose qu’Allah (comme le Prophète, ses parents, ou d’autres choses) est interdit, car cela peut être perçu comme une forme d’association (shirk) mineure. Le Prophète (paix sur lui) a également dit :
« Celui qui jure par autre qu’Allah a commis un acte de mécréance ou d’association. »
(Rapporté par At-Tirmidhi et authentifié par Albani).  »

En résumé :

Dans l’islam, il est permis de jurer par Allah, mais uniquement dans des situations sérieuses et avec sincérité. Jurer par autre chose qu’Allah est interdit, car cela compromet le principe de l’unicité (tawhid).

D. dit: 11 janvier 2025 à 9h26

Cette même intelligence artificielle me donne ces informations :

 » Dans la Bible, l’interdiction d’utiliser le nom de Dieu en vain est explicitement formulée dans plusieurs passages, en particulier dans l’Ancien Testament. Voici les principaux :

1. Exode 20:7 (Décalogue)

Dans les Dix Commandements, Dieu donne cette directive :

> « Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain ; car l’Éternel ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom en vain. »
(Version Louis Segond)

Ce commandement est une injonction à respecter la sainteté du nom de Dieu, interdisant toute utilisation irrévérencieuse, inutile ou manipulatrice.

2. Deutéronome 5:11

Cette interdiction est répétée dans le Deutéronome, qui réitère les Dix Commandements :

> « Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain ; car l’Éternel ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom en vain. »

3. Lévitique 19:12

Dans le cadre des lois de sainteté, il est précisé :

> « Vous ne jurerez point faussement par mon nom, car tu profanerais le nom de ton Dieu. Je suis l’Éternel. »

Cela interdit non seulement de jurer de manière irréfléchie, mais aussi de mentir en invoquant le nom de Dieu.

4. Matthieu 5:33-37 (Nouveau Testament)

Dans le Sermon sur la Montagne, Jésus va plus loin en exhortant à ne pas jurer du tout :

> « Vous avez encore appris qu’il a été dit aux anciens : “Tu ne parjureras pas, mais tu t’acquitteras envers le Seigneur de ce que tu as déclaré par serment.” Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas jurer du tout : ni par le ciel, car c’est le trône de Dieu ; ni par la terre, car elle est son marchepied ; ni par Jérusalem, car elle est la ville du grand roi. […] Que votre parole soit “oui”, si c’est oui, “non”, si c’est non. Ce qu’on dit de plus vient du Mauvais. »
(Traduction de la Bible de Jérusalem) « 

Chaloux dit: 11 janvier 2025 à 10h00

Merci, chère Rosanette, je le savais mais vous le dites si bien. Je vous souhaite une excellente année.

je cuide dit: 11 janvier 2025 à 10h24

VOTRE HISTOIRE DE JURON a déjà été tranchée avec une solution;basta
XVIe siècle. Altération de l’expression je renie coton. Le père Coton, confesseur d’Henri IV, aurait demandé au roi d’employer cet euphémisme à la place de jarnidieu ! Juron populaire et vieilli, atténuation de Jarnidieu !

je cuide dit: 11 janvier 2025 à 10h27

s’il vous fallait ne garder qu’un mot à tout faire, dire,jurer,lequel garderiez vous de votre présent lexique

Chaloux dit: 11 janvier 2025 à 10h28

Je lis pour la première fois les poèmes que Baudelaire adressa «anonymement » (je crois que c’est la première fois) à Mme Sabatier, et dont certaines parties ont servi de matrices aux Fleurs du mal. Le génie du poète y affleure parfois avec plus de force que dans les pièces finalement publiées. Quant à Mme Sabatier, c’est un être exceptionnel, la lecture de ses lettres l’atteste absolument. Quelle qu’ait été leur histoire véritable, on comprend que ces deux êtres se sont rencontrés sur une cime d’une telle hauteur qu’elle s’est presque immédiatement révélée intenable, pour l’un et certainement pour l’autre.
Plus je vieillis, plus je comprends la passion de Proust pour Baudelaire. Ils sont tous deux inépuisables.

JC..... dit: 11 janvier 2025 à 10h41

RESTONS MESURES

PROUTPROUT ? Ridicule travail de grabataire. Bon à jeter, le malade admiré par les sots !
BAUDEBLAIR ? Egaré parmi les adeptes opiomanes, à prendre pour ce qu’il fut : un déséquilibré.

renato dit: 11 janvier 2025 à 10h41

« Dans ce cas on lui aura dit : « Va fan culo ! », rose ? »

Ce serait plutôt « vaffanculo » contraction de « va’ fa’ in culo » (vai a fare in culo) ¬— injure à connotation homophobe associée à une aversion pour l’homosexualité masculine., car « fa’ pour fare » c’est-à-dire « faire » dans le sens de “avoir des relations sexuelles”.

S’il y a un visage (faccia) en jeu, nous aurons « faccia di culo » qui vaut « face de cul ». Variante régionale : « face de cul de chien de chasse ».

je cuide dit: 11 janvier 2025 à 10h51

malade,malade?
il y a longtemps que le médecin était un personnage, retour à Molière
Au XVIIème siècle, on note un recul des pratiques hygiéniques (afin que les humeurs ne soient pas déséquilibrées, puisque la peau est censée être perméable). Aussi n’est-il pas indiqué de se laver : on se contente d’une toilette sèche et on masque les odeurs par
des parfums.
Au XVIIème siècle, on note un recul des pratiques hygiéniques (afin que les humeurs ne soient pas déséquilibrées, puisque la peau est censée être perméable). Aussi n’est-il pas indiqué de se laver : on se contente d’une toilette sèche et on masque les odeurs par
des parfums.
Le manque d’égouts, les immondices jonchant les rues, les eaux usées qui s’infiltrent dans le sol polluant les nappes phréatiques qui alimentent les puits sont sources d’épidémies.
Le manque d’égouts, les immondices jonchant les rues, les eaux usées qui s’infiltrent dans le sol polluant les nappes phréatiques qui alimentent les puits sont sources d’épidémies.

Chaloux dit: 11 janvier 2025 à 11h17

Le jugement littéraire des maçons, des carreleurs et des toiletteurs pour chiens est évidemment le bienvenu.

je cuide dit: 11 janvier 2025 à 11h56

premiers cours de linguistique:on apprit que le mot clé de la conversation marseillaise était putain;
récemment il m’a pris d’écouter un marseillais:il disait beaucoup punaise, et pétard,mais je connais une infirmière ,originaire du maghreb ,qui a été surnommée » oh my god »qu’elle ne cesse de dire!

le baron perché dit: 11 janvier 2025 à 12h23

Je mange des oranges ressemblant délicieusement à des fesses rebondies et offertes généreusement.
Les oranges commes les fesses sont également appétissantes.
Baisez des oranges et mangez des fesses!

je cuide dit: 11 janvier 2025 à 13h13

J’AVAIS APPRIS QUE Cléopatre était morte d’une morsure de serpent; ce ne serait pas un aspic mais un cobra égyptien, et enfin ce n’est pas sur!

renato dit: 11 janvier 2025 à 13h32

Bien à part les dents d’un serpent, certains pensent qu’elle a bu du poison et d’autres affirment qu’elle a été tuée sur ordre d’Octave. Mais comme nous vivons dans la poésie, l’aspic fait une belle image.

Jazzi dit: 11 janvier 2025 à 14h32

Le jugement, sans appel, d’un poète sur un autre poète, Chaloux :

« Victor Hugo continue à m’envoyer des lettres stupides. (…) Cela m’inspire tant d’ennui que je suis disposé à écrire un essai pour prouver que, par une loi fatale, le génie est toujours bête ».

Charles Baudelaire

Jazzi dit: 11 janvier 2025 à 14h35

« Nos enfants préfèrent le dark romance. »

« Leurs enfants après eux », de Nicolas Mathieu, un excellent récent prix Goncourt que je viens juste de lire, après avoir vu le film éponyme, tout aussi excellent, FL.

rose dit: 11 janvier 2025 à 14h35

Renato

Risotto délicieux, espadon gamba et calamar, grillés.
Bonne adresse.
Il proverbio è

« L’ignorante parla
a vanvera
L’intelligence parla poco
‘O fesso parla sempre »

Toto

Jazzi dit: 11 janvier 2025 à 14h39

J’ai commencé « Hôtel Roma » de Pierre Adrian.
ça me plait beaucoup, malgré tout le mal qu’en ont dit ici Passou et Paul Edel !

Paul Edel dit: 11 janvier 2025 à 15h08

Aglaé-Joséphine Sabatier, dit « La présidente »tenait un salon très fréquenté par les écrivains entre 1830 et 1845 . Baudelaire fut son amant, elle inspira plusieurs des poèmes des « Fleurs du mal ».
Elle est passée à la postérité grâce à ce manuscrit érotico-burlesque de Théophile Gautier « La lettre à la Présidente » , qui accumule des extravagances érotiques burlesques, parfois carrément scatologiques qui n’effrayèrent pas Aglaé puisqu’elle lisait certains passages à haute voix devant un parterre d’admirateurs assez remarquable.Jugez-en : : Maxime du Camp, Alexandre Dumas père, Ernest Feydeau, Gustave Flaubert, Théophile Gautier, Edmond de Goncourt, Arsène Houssaye, Alfred de Musset, Gérard de Nerval ,et les peintres Ernest Meissonnier, Charles Jalabert, Gustave Ricard .
Dans cette lettre, il y a des obsessions phalliques assez marrantes, et notamment au cours de la visite au Duomo de Milan , Gauthier compare la flèche à un « vit de neige qui enfonce le ciel. » Ce qu’on sait moins c’est la proximité de Flaubert avec cette femme.Dans une lettre il lui raconte en long et en large un rêve dans laquelle une femme nue tirait une langue démesurée qui s’écaillait et devenait un serpent ..Flaubert lui avait adressé un exemplaire de « Madame Bovary » avec cette dédicace : « à l’esprit charmant, à la ravissante femme, à l’excellente amie, à notre belle,bonne et insensible Présidente,Mme Aglaé Sabatier,mince hommage de son tout dévoué.Gustave Flaubert ».
Ces visites de Flaubert durèrent assez longtemps puisque le 4 avril 1870, le vieil ours de 49 ans confie à son ami Ernest Feydeau qu’il n’a plus le temps d’aller dîner chez la Présidente. A noter aussi que Maxime Du Camp reconnaît la Présidente dans le personnage de Rosanette dans « L éducation sentimentale »,ce que Flaubert n’a pas démenti.

Paul Edel dit: 11 janvier 2025 à 15h20

Jazzi. je n’ai pas parlé ,je crois, de ce roman, Hôtel Roma de Pierre Adrian sur la RDL.

je cuide dit: 11 janvier 2025 à 15h48

Des photos de Sally Mann auraient été saisies dans un musée d’art du Texas
Les législateurs républicains ont demandé une enquête sur les portraits de ses enfants nus, qu’une publication de droite a assimilés à de la pornographie infantile.

Isa Farfan
sur hyperallergic

rose dit: 11 janvier 2025 à 15h48

Donc, je retrouve cela de Clopine, Auguri Clopine, per voi, dans le vieux billet de la rentrée littéraire
« Le chien n’a qu’une idée en tête : me lécher la trogne.

Une remarque et un extrait géniaux de Paul sur Pavese.
Et puis Renato, qui nous dit tout, comme si ce n’était rien.

En passant, discretos, comme ça, le nez en l’air, anonyme « et cette idée du maître ? »

FL dit: 11 janvier 2025 à 15h51

« Des photos de Sally Mann auraient été saisies dans un musée d’art du Texas »

La copine du journal Libération. Le gamin sur la photo en l’occurrence s’est suicidé.

rose dit: 11 janvier 2025 à 15h51

Mince, la moitié du com.a sauté : come fa ?

La reconnaissance avec Ulysse se passe d’abord par une cicatrice à la jambe (à la cheville ?), par un jeune te sniffe est-ce bien toi, par un léchage de trogne et par une joie dingue de retrouver son maître : « dix ans de voyage et moi, hein !? ».

rose dit: 11 janvier 2025 à 15h56

Par un « je te sniffe ».
Crénom.

Sur les artisans carreleurs, les ouvriers, et la littérature, un petit exemple à Céfalù
https://www.mariedenazareth.com/encyclopedie-mariale/la-vierge-marie-dans-lart/les-icones-et-liconographie-mariale/icones-de-la-mere-de-dieu/vierge-orante/vierge-orante-et-christ-pantocrator-cefalu-sicile-xii

Mais, c’étaient là des artistes byzantins. Doués, travailleurs, loges sur place.
Je ne sais pas qui avait décidé d’écrire telle phrase du texte en question.

Patrice Charoulet dit: 11 janvier 2025 à 17h29

à tous les commentateurs

Petit jeu. Allez sur le moteur de recherche français QWANT. Ecrivez votre vrai prénom , puis votre vrai nom.
Un sur deux d’entre vous aura la surprise de voir un « résumé de l’intelligence artificielle de Qwant »à son sujet.
Autre surprise : Si vous renouvelez l’expérience, vous verrez des changements. Pour ma pomme, cela varie constamment et…il y a du vrai et du faux.
Le faux sera cru vrai part tous vos lecteurs. C’est comme ça et pas autrement.

Bruno dit: 11 janvier 2025 à 17h57

Choisissez votre camp pour cette année 2025
J’ai choisi de lire des œuvres qui parlent contre le Racisme. J’ai commencé Peau Noire, masque blancs de Frantz Fanon,((Essais, Points) et j’ai aussi trouvé a la bibliothèque centrale de Zurich Frantz Fanon Œuvres (La Découverte). J’ai fini de lire hier soir Le Génocide du Negre au Brésil de Abdias Nascimento, un livre exceptionnel. Ce n’est pas la France ou les Etats-Unis, c’est le Brésil le pays le plus raciste au monde.

le baron perché dit: 11 janvier 2025 à 21h26

Grâce à YouTube et autres supports du Net, les jeunes d’aujourd’hui découvrent avec joie, avec bonheur et même avec stupéfaction les stars du passé qu’on croyait oubliées à jamais : les Marx Brothers, Buster Keaton, Harry Langdon et autres Laurel et Hardy !
Curieux que la génération TikTok actuelle suive passionnément, en regardant leurs videos et en les partageant sur le web, les chefs-d’oeuvres du cinéma muet.
Curieux oui. Mais étrange, quelle étrange résurrection !

B dit: 12 janvier 2025 à 0h03

L’accélération d’une Tesla est plus élevée que celle d’une Porsche.

Pour quoi en faire? Et puis possible de boycotter ces véhicules en raison du sans gêne du monsieur qu’est riche . Yankee d’adoption, toute une philosophie qui de plus quand il en fait usage inspire soit la crainte et la soumission soit le léchage de pompes (car on ne sait pas encore jusqu’où ira son pouvoir nouvellement acquis). Ecoeurant.

MC dit: 12 janvier 2025 à 0h05

Si Antiochus dit bien «  Dans l’Orirnt désert, quel devint mon ennui «  Phedre dirait plutot «Tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire » Et non, Christiane, cette « Femme piquée par un serpent «  de Clesinger n’est en aucun cas un chef d’œuvre…. Bien à vous. MC

B dit: 12 janvier 2025 à 0h09

espadon

Rose, pour avoir vu en Sicile à un retour de peche ces beaux poissons alignés et sortis de leur biotope pour rentrer dans nos casseroles, je me suis promis de ne plus en manger. J’admets que je pourrais renoncer aussi à d’autres mets qui se déplacent sur quatre pattes dans les prairies.

Christiane dit: 12 janvier 2025 à 0h19

un moulage sur nature du corps d’une demi-mondaine, Apollonie Sabatier (1822-1890). Muse de Baudelaire, beauté parisienne tenant un salon, celle que ses amis appelaient « la Présidente » offrit ainsi un succès inespéré à Clésinger(…) »
C’est bien le sens de la notice du musée d’Orsay, MC.
Juste une reprise du personnage évoqué plus avant par Ch.

JC..... dit: 12 janvier 2025 à 5h59

POUR SALUER CLAUDE NOUGARO

Victoire ovale de TOULOUSE sur les Sharks, 20-8, hier après-midi à DURBAN South Africa

renato dit: 12 janvier 2025 à 8h10

Comme il existe plusieurs modèles différents de Porsche et de Tesla, il est important de savoir lesquels vous comparez.

Jazzi dit: 12 janvier 2025 à 8h48

 » Clésinger »

Epoux et père de la fille de Juliette Drouet.
Un sculpteur émérite du XIXe siècle, qui a pleinement sa place au musée d’Orsay.

Jazzi dit: 12 janvier 2025 à 8h55

Grande confusion de ma part avec James Pradier !
Je vais prendre un deuxième café…

Jazzi dit: 12 janvier 2025 à 8h56

Clésinger a surtout sa place au Père-Lachaise, musée en plein air du XIXe siècle…

Jazzi dit: 12 janvier 2025 à 9h04

Pourquoi ce voyage d’hiver en Sicile, plutôt qu’au printemps ou à l’automne, rose ?
Parce que c’est la saison des oranges ?

Paul Edel dit: 12 janvier 2025 à 9h09

Jazzi, impossible que tu reconnaisses Valmy, c’est un lointain ami à moi qui s’est vu refuser à l’époque tous ses manuscrits. Je lui ai inventé un entretien dans Libé.

D. dit: 12 janvier 2025 à 9h12

Le dimanche matin, j’écoute les différentes émissions religieuses et philosophiques.
J’apprends avec effarement que les « libres penseurs » célèbrent la mort de « Louis Capet ».
Comment peut-on célébrer publiquement la mort d’un homme ? Même la mort de Fourniret, lequel était pourtant l’abomination incarnée, n’est pas célébrée. Mais il faut célébrer celle de « Louis Capet », prononcée à l’issue d’un ignoble procès truqué ?
Voilà ce que défendent les « libres penseurs » !

D. dit: 12 janvier 2025 à 9h16

Je mange très rarement de ces très gros poissons que sont l’espadon et le thon, très chargés en métaux lourds et dioxines, mais de bonne qualité et bien préparé, c’est délicieux. La chair est très dense, on en mange donc peu en une fois.

D dit: 12 janvier 2025 à 9h29

Bérénice, sur la route, la capacité d’accélération mise entre les mains d’une personne capable, raisonnable et médicalement apte à la conduite est un gage de sécurité. Beaucoup d’accidents sont déjà survenus faute de puissance et de capacité d’accélération du véhicule.
C’est aussi vrai pour les hélicoptères mais pour d’autres raisons (jamais je ne monterais dans un R22).
Pour revenir aux moteurs : Le couple est de façon physique beaucoup plus élevé avec l’entraînement magnétique que par une force obtenue par déflagration de carburant. C’est comme ça. Ce n’est nullement amplifié mais physique. Par contre au démarrage d’un moteur électrique, il y a un pompage terrible avec déphasage de l’intensité et de la tension, nécessitant de gros condensateurs pour y faire face.

Jazzi dit: 12 janvier 2025 à 9h34

« c’est un lointain ami à moi qui s’est vu refuser à l’époque tous ses manuscrits. »

C’est moi, en version hétéro !

Les voies de la fiction édélienne sont insondables…

B dit: 12 janvier 2025 à 11h24

D, que vont devenir tous nos mécanos ?
Avec des limitations de vitesse il faut vraiment ne rien avoir sous le capot pour ne pas pouvoir doubler en toute sécurité. Les accidents sont dus à des imprudences, de mauvaises évaluations des distances, de mauvais calculs. En principe nul n’a le droit de faire fi des 130 sur autoroutes et 80 90 sur les routes secondaires.

D. dit: 12 janvier 2025 à 11h33

Je vous parle d’accélération… vous me parlez de vitesse. Certes l’accélération se calculé par intégralement de la vitesse…

B dit: 12 janvier 2025 à 11h36

Les Porsche n’ont rien à envier de l’esthétique d’une Tesla. Elles sont moches, non? excepté le roadster ( 175 000 euros, une bagatelle pour enrichir un type qui a oublié ce qu’étaient les nazis et qui encourage les néo nazis). Un peu balourdes.

B dit: 12 janvier 2025 à 11h44

Oui D, une bonne capacité d’accélération reste enviable pour doubler en 10 secondes. Je les remarque ces gens bien équipés quand au volant de mon antiquité ils passent à côté, combien gagnent-ils sur le temps d’un long trajet, une demi-heure ? Ce peut-être précieux pour un homme condamné à mourir dans 6 mois. Mon espérance de vie m’épargne du besoin d’acquérir un bolide.

B dit: 12 janvier 2025 à 11h47

Lu et beaucoup aimé Le chemin des Flandres, quel mec que ce CS, je vais l’explorer . Est-ce que tout de son oeuvre offre la même densité, la même folie, cette sorte d’humour et ce style?

B dit: 12 janvier 2025 à 11h53

Et merde à Elon. Qu’il prenne des cours de savoir vivre, à l’apercevoir et l’entre entendre je pense  » quel con! ».

B dit: 12 janvier 2025 à 11h55

On assiste à l’avènement des sales cons un peu partout, il en pleut, il en vente, une véritable tempête de cons aux pouvoirs.

FL dit: 12 janvier 2025 à 13h15

« Mais il faut célébrer celle de ‘ Louis Capet ‘, prononcée à l’issue d’un ignoble procès truqué ? »

Michelet pense qu’il était coupable.

Et encore il ne connaissait pas tout.

FL dit: 12 janvier 2025 à 13h24

« c’est un lointain ami à moi qui s’est vu refuser à l’époque tous ses manuscrits. »

Il a pas raconté son viol ? Sa femme n’était pas psychiatre ?

D. dit: 12 janvier 2025 à 13h33

Les garages commencent à se transformer. Beaucoup refusent certains types de réparations et surtout certains types de véhicules.
En fait, actuellement, beaucoup de véhicules récents hybrides ou électriques ne sont réparés que sous garantie ou sous contrat de maintenance, en ateliers régionaux uniquement. Ça va s’intensifier.

D. dit: 12 janvier 2025 à 13h38

On pourrait même aboutir dans les contrats de maintenance à des échanges standard de véhicules de modélisation options similaires… système intermédiaire entre l’achat et la location.

D. dit: 12 janvier 2025 à 13h39

De modèles et options.

Il commence à me courir sur le haricot, ce correcteur automatique.

honneur de blog dit: 12 janvier 2025 à 14h53

On assiste à l’avènement des sales cons un peu partout, il en pleut, il en vente, une véritable tempête de cons aux pouvoirs.B.

Et sur les blogs, donc! 🙂
Sans oublier la parité avec les connes…

B dit: 12 janvier 2025 à 15h24

HdB, je fais part d’une opinion et il y manque l’argumentation. Vous pardonnerez cette liberté que j’emprunte pour ne donner à lire que de faibles propos pourtant sincères d’ailleurs en ce sens très proches d’un sentiment.

Rosanette dit: 12 janvier 2025 à 15h44

@B
claude Simon est un immense écrivain qui lui a bien mérité son prix Nobel
si vous avez aimé la route de flandres vous aimerez tous les autres; pour moi le plus abouti ,une quintessence du talent qui s’exprime dans les les précédents (notamment histoire,l’herbe) ,c’est l’Acacia

Rosanette dit: 12 janvier 2025 à 16h46

@M charoulet
j’ai essayé votre moteur de recherche
impressionnant;
mais nous autres fonctionnaires sommes des cas faciles ,car tout die qui nous est arrivé est accessible dans les sites officiels ;néanmoins j’ai été bien étonné de voir la mention d’un rapport sur les bidonvilles de la région parisienne que j’avais rendu en 1970.
curieusement je n’a eu accès qu’une fois a mon CV ;quand j’ai recommencé je n’existais plus et a partir de mon nom on me proposait un avocat kenyanexerçant à Nairobi

Paul Edel dit: 12 janvier 2025 à 17h16

Rosanette  J’ai toujours beaucoup de plaisir à relire « Histoire »( 1967).Là Claude Simon, avec un stock de cartes postales , installe pour la première fois son univers discontinu, visionnaire, arraché, gorgé de sensations, de souvenirs tremblés, tout un éboulis de sensations et de visions, c’est dans ce roman qu’il trouve sa puissante dynamique d’écriture. Et et aussi une ironie, et un pessimisme historique.. Le magma de notre flux mental est bien là, entraînant dans un charroi baroque la généalogie familiale, les mutations du souvenir personnel, les images la Grande Histoire et ses trompe-l’œil .Claude Simon trouve là sa si personnelle dynamique et son sens de la dérision.. Il pulvérise la croyance naïve dans le sage fonctionnement de la mémoire au sens traditionnel.
Entre nous, j’aime moins son roman plus tardif (1997)« Le jardin des plantes » dans lequel sa prose s’affadit . Mais « L’acacia » et ses sources familiales est fastueux: foisonnement, grandeur épique, épaisseur baroque , retour du thème des guerres de 14-18 à cette débâcle de 40 qui hante toute l’œuvre. Le ton parfois rageur, la fièvre mémorielle, l’écriture kaléidoscopique , l’ effervescence sensuelle et visuelle, tout y est.

Dino dit: 12 janvier 2025 à 17h21

PASSOU
« Passou, fora de Quando,
De Porquê, e de Passando…,
 
Turbilhão de Ignorado,
Sem ter turbilhonado…,
 
Vasto por fora do Vasto
Sem ser, que a si se assombra…,
 
O universo é o seu rasto…
Deus é a sua sombra. »

Fernando Pessoa
 

le baron perché dit: 12 janvier 2025 à 18h23

Quand on rencontre quelqu’un pour la première fois, c’est son aspect physique qu’on remarque en premier.
Les gens restent souvent marqués par la première image que vous donnez de vous-même.
Le physique prime et la personnalité comme le caractère viennent toujours après.

renato dit: 12 janvier 2025 à 19h18

Alice Weidel (AfD) nous dit qu’Hitler était communiste, je ne pense pas qu’elle ait lu Mein Kampf. Certains confondent free speech, mensonges et falsification.

D. dit: 12 janvier 2025 à 19h22

Je regarde l’aspect physique en effet, mais aussi beaucoup l’attitude et le vestement.
Dans le métro, je ne regarde que très rarement mon smartphone. Ni lis, ni écoute de la musique. En public, je n’y parviens pas. Je prie et je contemple les gens, le plus discrètement possible. J’attends le moment où ils vont se lever, se mettre de profil, de 3/4, etc. Ça me permet de vérifier ci et ça. Je me trompe quand même souvent. Pas plus tard que la semaine dernière, une jeune fille au premier abord charmante et élégante s’est assise en face de moi. Je me suis dit que vraiment elle devait être une sublime personne. Son téléphone a vibré, elle a répondu. Une conversation d’une vanité et d’une vulgarité effrayantes s’en est suivie, sa voix était tropgrave et eraillée. A un moment j’ai senti son haleine qui empestait la veille soupe aigre. Elle finit par se lever : je n’avais pas remarqué sa trop grande taille. Ses fesses étaient plates, l’arrière de son vestement usé, plein de bouloches et chiffoné.

rose dit: 12 janvier 2025 à 19h48

B
Je n’ai lu que l’Acacia.
À l’université, à 44 ans.
Je n’ai retenu qu’une chose, 72 pages, ou plus, une seule phrase, pour décrire la mort du père, assis au pied d’un arbre, première guerre mondiale.

renato dit: 12 janvier 2025 à 19h50

« Une conversation d’une vanité et d’une vulgarité effrayantes… »

Comme votre post, je suppose.

rose dit: 12 janvier 2025 à 20h03

Hier soir, aux alentours de 20 heures, j’ai rompu rapidement et brutalement avec mon application d’apprentissage d’une langue vivante, après trois mois d’espagnol et trois mois d’italien.
Je l’ai désinstallée.

Pour une raison très simple : leurs messages comminatoires me menaçant de me reléguer, encore, dans la catégorie inférieure.
Bella ciao.
Basta cosi.

Merci à eux pour les six mois.
Non à l’esprit de compétition.
Non à la concurrence.
Non à j’écrase mon voisin pour le coiffer au poteau.
Mon pot aux roses, j’y tiens plus que tout ; le pot au noir, je le laisse aux marins du Vendée Globe. Un l’a exprimé clairement « je ne m’entends pas avec mon bateau ». Cette compétition est de l’ordre de l’inhumain les bateaux souffrent, et les navigateurs/trices souffrent autant, si ce n’est plus, que leurs bateaux, sponsorisés.

rose dit: 12 janvier 2025 à 20h07

Pour l’espadon et la Sicile, B.et Jazzi, je vous répondrai ensuite.
Demain midi, je reprends mon quart de garde & de nuit, auprès de ma maman.

D.
Moi aussi, je me trompe souvent, mais ce qui m’intéresse, ce sont les belles surprises.

Rosanette dit: 12 janvier 2025 à 20h14

@Paul Edel
j’ai plongé dans Histoire , mon premier Claude Simon, après lecture de l’article de Jacqueline Piatier dans le Monde au moment de sa parution Je fus immédiatement fascinée par la nouveauté et la force de son style, et quand j’ai émergé ,refermant ce livre, c’est avec le regret de l’avoir déjà fini.
Jacqueline Piatier m’a fait le même coup avec »la vie mode d’emploi » qui m’a fait m’y précipiter et l’avaler en un week-end ,puis à y revenir souvent en picorant des pages ici ou là

D. dit: 12 janvier 2025 à 20h16

Vous n’êtes pas obligé de vous identifier à cette jeune fille, rototo. Ça vous joue des tours.

renato dit: 12 janvier 2025 à 20h50

Dédé l’Idiot, je ne m’identifie pas du tout, je ne fais que relever votre vulgarité.

renato dit: 12 janvier 2025 à 21h05

Nous attendons avec confiance que le Paladin du Free Speech corrige la fausse déclaration d’Alice Weidel.

Jazzi dit: 12 janvier 2025 à 21h25

« Je vous imagine ayant classe et élégance. »

De telles personnes ne passent pas leur temps à déceler les défauts des autres, rose…

Jean Langoncet dit: 12 janvier 2025 à 22h29

eh bé … le volatile en tête d’illustration doit être une espèce de butor urbain ; genre assez répandu ici bas, dans ce cul de basse fosse. Pendant qu’on s’émeut d’une villa emportée par les flammes sur Hollywood blvd, que dit l’ONU des crimes contre l’humanité qui se multiplient in vivo sous nos yeux ?

x dit: 12 janvier 2025 à 22h55

B., je garde une tendresse particulière pour deux petits livres de Claude Simon : L’Herbe et Le Tramway.
Mais tout de même, dans Le Jardin des Plantes, le « fil » de l’entretien avec le journaliste littéraire est désespérément drôle ou drôlement désespérant, d’une justesse à faire frémir.

Jean Langoncet dit: 12 janvier 2025 à 23h02

Les crimes se perpétuent et la situation évolue peu, sinon en mal, il est vrai. Qu’attendre d’autre quand on place la résolution des atrocités entre les mains des criminels qui les commettent ?

rose dit: 13 janvier 2025 à 1h09

renato dit: 12 janvier 2025 à 21h49
rose fait preuve d’ironie, je pense, Jazzi.

Pas du tout.

JC..... dit: 13 janvier 2025 à 4h58

VOEU IRREALISTE

Bonne journée, camarades de prison littéraire, privés de sport … !

Renato dit: 13 janvier 2025 à 6h57

« Contemplation », intéressante acception de « impolitesse », elle vaut « Hitler était communiste » d’Alice Weidel…

Bonne journée.

rose dit: 13 janvier 2025 à 7h31

Espadon.
Spada en italien.
Tranche fine, un quart, grillée. Peau noire, chair blanche, texturée comme le thon. Saveur plus douce. C bon.
On ne voit pas les dents.

Difficulté aussi, face à l’ingestion, pour l’instant très marquée avec le poulpe.

Je ne sais pas comment cela évoluera.

rose dit: 13 janvier 2025 à 7h41

La Sicile en hiver.
Comme ça : peu de réflexion en amont.
Le but était de rebrancher mes batteries pour recharger à bloc. Cela a pris huit jours. Les huit autres, j’ai savouré.
Ma plus grande stupéfaction est venue des crèches partout.
Je ne m’attendais pas à ça.
Suffoquée de bonheur à Taormina. Serena, ma guide, presque gênée de m’annoncer qu’il y a eu dix mille places dans les gradins. Et que avant, à la période grecque, lors du théâtre antique, il n’y avait pas de vue sur la mer, tout le fond était bouché.
Mais, elle nous a dit « c’est un théâtre romain ».
Pourquoi l’hiver ? Pck l’hiver en Méditerranée c’est un idéal. Froid sec dans un climat doux. Ciel bleu pétant électrique.
Ramené, oui, une caisse d’oranges siciliennes, plus grosses que les tunisiennes. Une de citrons. Deux cédrats. Quatre artichauts. Une aubergine. Des biscotti pour la famille et mes amis.
La prochaine fois, j’irai dans le centre, seulement entrapercu là, à la rencontre des terres agricoles. J’irai travailler. Je n’attendrai pas dix ans.

Paul Edel dit: 13 janvier 2025 à 7h42

Jacqueline Piatier dans « Le monde des années 60-70 , Rosanette, fut un modèle en critique littéraire, ouverte aux nouveautés. La construction de ses articles , la clarté et la justesse de ses arguments, sa vigueur dans les polémiques m’impressionnent encore. De plus elle déploya une vraie pédagogie dans sa défense du Nouveau Roman, Simon, Beckett, Monique Wittig, Pinget, Claude Ollier .Elle me fit découvrir Jean-Claude Hemery et Gombrowicz ou Pinget. J’attendais ses articles chaque jeudi. Un jour, je fus surpris pas qu’elle n’aimât pas « Le ravissement de Lol V. Stein » de Duras mais, là encore, ses arguments étaient excellents. Quand elle fut remplacée par Bertrand Poirot Delpech , je ne découpais plus les articles.

rose dit: 13 janvier 2025 à 7h44

Jacqueline Piatier fait partie de ceux qui ont compris que Émile Ajar était Romain Gary.
Un vrai talent de lectrice.

Christiane dit: 13 janvier 2025 à 8h23

Renato,
J’apprécie votre rigueur et votre lucidité. Oui, ce commentaire de D est vulgaire et navrant. L’idée de contemplation est ici galvaudée. J’ai connu Rose moins aveuglée.

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