Non

Finalement tout est question de système.

Moi, JC, j »ai décidé de quitter ce blog, parce que bon, y’en a marre.

Vieux classique de l’OAS.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/07/04/un-site-d-ultradroite-appelle-a-eliminer-des-avocats-signataires-d-une-tribune-contre-le-rn-le-parquet-saisi_6246902_3224.html

@ la loi est dure, mais c’est la loi… quand elle sera appliquée par le Rassemblement national au pouvoir, il faudra la respecter.
(C’est marqué dans mon dictionnaire latin/français).

« Le Kremlin annonce la couleur

Notre tâche consiste à soutenir ces hommes politiques et leurs partis [i.e. les partis anti-système] en Occident de toutes les manières possibles (…) »

effectivement c’est ce que les russes appellent le droit de réciprocité.

les occidentaux Us en tête le font avec Navalny & co : en réaction les russes le font aussi.

là encore il y a chez les occidentaux une espèce de comportement infantile (ou néo coloniale) qui consiste à dire « nous, nous avons le droit de… », mais par contre eux ne doivent surtout pas faire la même chose que nous !

c’est un comportement de cour de récréation : quand on fait une chose il faut l’assumer et accepter que l’autre en fasse de même.

jusque là les russes ont été assez passifs, ils ont laissé faire sans réagir, mais là je peux vous dire que ça va changer, et nous l’aurons bien cherché.

exemple au hasard : les russes et les chinois viennent de faire avorter un coup d’état de la CIA en Bolivie : dommage les américains ne récupèreront pas les mines de nickel.

exemple 2 : les russes et les chinois vont construire une alliance militaire eurasiatique qui ira de la Russie à la Corée du Nord et le Vietnam (d’où l’énervement des américains lors de la visite de Poutine à Hanoï)

Patrice Charoulet dit: à

Relisez-moi attentivement. 🙂
Un ex LR viré par chiotti ( gaulliste social) en tête,
Nouveau front de gauche – LFI – avec 20% de voix en moins que le premier,
le RN avec deux points en moins que la seconde liste.
Pas de choix entre RN et LFI finalement.

Personnellement, RPTV, je n’ai jamais été très ému par cette prétendue figure majeure du pop art.
https://www.haring.com/
N’ai jamais compris comment elle avait pu ainsi foudroyer le monde de la peinture. Peut-être qq erdélien voudra-t-il bien nous l’expliquer. Bàv,

Voici quelques notes prises au fil de l’essai d’Yves COCHET, retrouvées au fond de mon ordinateur. J’estime devoir les divulguer, car on a un peu oublié le message de la décroissance heureuse, engageant notre avenir à tous…
Bàv

DEVANT L’EFFONDREMENT? essaui de collapsologie, 2019.

CONSTAT – Nous sommes à la veille d’un effondrement systémique mondial dont les principaux traits structurants sont la déstratification et la segmentation des sociétés, la démobilité de leurs populations, la déspécialisation des fonctions et la décomplexification des sociétés, ainsi qu’à leur dépeuplement. Cet effondrement mondialisé n’est pas catabolique, mais catastrophique (rapide). Sa vitesse se déduit de la mesure de l’état de l’intégration, du couplage de la connectivité, et de l’interdépendance des grandes infrastructures de ce système mondialisé. Il avait reposé sur des modèles de croissance (productivistes et/ou augustiens) désormais à bout de souffle. Selon la théorie thomienne du modèle du chaos, il convient de raisonner désormais dans le paradigme d’une évolution discontinuiste, couplée à un modèle décroissant. Et le faire à partir d’une économie biophysique (bien plutôt que celui d’une économie écologiste). Cette économie propre à l’ère de la décroissance doit se donner pour objectif de « contracter » pour revenir avant le niveau de dépassement de la biocapacité de la planète. Ce qui passe par la réduction drastique de la consommation de combustibles fossiles, par un calcul permanent de la soutenabilité du rapport énergie utilisable par la société et coût de sa mise en œuvre (par le biais de l’EROI), de se concentrer sur le surplus économique d’énergie dégagé par rapport à la pénurie, les deux étant analytiquement découplés.
SCENARIO CENTRAL – (Hypothèses les plus plausibles) :
En 2050, la moitié des populations survivra (3 milliards d’êtres humains sur la terre, dont 30 millions en France). Chaque bio-région sera munie d’un État redevenu simple, politiquement autonome. Les énergies seront à 100 % renouvelables (elles ne reposeront plus sur des fossiles, du nucléaire ou de l’électricité, mais sur le bois de chauffage, le charbon de bois, un peu de biogaz). Les survivants résilients auront réappris à s’abriter du froid et de la faim, en bêchant le plus de plantes cultivables possible (permaculture urbaine) avec des régimes alimentaires très modifiés. Marche à pied, à bicyclette, traction animale (chevaux et ânes), voiles et embarcation à rames seront les mobilités du futur. Les activités culturelles et artistiques satisferont les besoins en plaisirs collectifs.
APRÈS L’EFFONDREMENT
Les médias électroniques étant devenus muets, les perceptions de la « prégnance » de la décroissance qui se répandront après les « saillances » (des formes erratiques apparues comme séparées de leur fond – ex : thématique de l’identité…), engageront les communautés humaines résilientes vers une paix sociale pérenne par effet de convergence de plusieurs traits dominants : une pratique généralisée d’une politique du care, càd de la sollicitude entre les êtres ; la mise au points de quotas individuels des ressources de base énergétiques et alimentaires (rationnement équitable via une carte carbone) ; une pratique du festoiement commun. Et surtout, de nouvelles modalités d’exercice de la sécurité « intérieure », étant entendu qu’on devra raisonner sur des États moins différenciés, pour contrer les résidus d’une violence analysée sous l’angle de « l’interaction spéculaire », et non plus sous celui de la « violence mimétique » (de R. Girard). Autrement dit, une violence, s’originant bien plutôt dans une erreur de l’interaction spéculaire sur les interactions des sociétaires pas forcément rivaux. Dans cette perspective, nous serons devenus policiers désignés à tour de rôle. Cette universalité relationnelle sera le levier décisif pour recréer une unanimité autour d’un monopole de la violence légitime non dévolue à une institution spécifique. De même, la défense d’une bio région sera assurée par des citoyens militaires à tour de rôle pour assurer une « paix jalouse » entre éventuelles bio régions devenues temporairement « ennemies »… La pratique de la solidarité et des échanges de proximité devrait engendrer à terme des effets plus positifs que ceux de la guerre de domination des bio régions entre elles.
LE DÉNI DE L’EFFONDREMENT – A tous les contempteurs du catastrophisme et de la collapsologie, il n’y a pas là utopie d’un rêveur, mais une réalité à regarder en face. Le catastrophisme a beaucoup d’égards est politiquement plus responsable que le simple alarmisme. Les conséquences du déni psychologique des « élites », toujours attirées par le productivisme et l’augustinisme, sont intrinsèquement irresponsables, alors que la préoccupation apeurée serait politiquement beaucoup plus salutaire que le déni rassurant et lénifiant. – Les SHS attachées aux lectures « mainstream » du passé feraient fausse route. Quelques lanceurs d’alerte sur le « développement durable » devraient être mieux entendus (Gorz, Morin, Stengers-Prigogine), etc…
Pour une vue critique plus générale, voir
https://journals.openedition.org/developpementdurable/19974

Depuis le 18 brumaire, la France s’administre de temps à autre une violente médecine dénommée coup d’état. Il s’agit là d’une sorte de lavement dont elle semble éprouver le besoin, qui la soulage et lui remet (paradoxalement) la tête en place. Je me demande à quand le prochain.

Divine Kinkela, aide-soignante à Montargis, dans le Loiret. Née à Matadi, en République démocratique du Congo (RDC), en 1968. Naturalisée française en 2015. Victime de racisme en 2024.on pourrait faire une marche POUR elle

Par exemple

https://x.com/spectatorindex/status/1808938808186130819?s=46