Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !
Même pas sûr ce que ce soit un paradoxe : le grand livre sur l’épuration en France vient de paraître en format de poche. Il s’agit bien d’un inédit, chose assez rare pour être soulignée. Le titre Les Françaises, les Français et l’Épuration (810 pages, 11,90 euros, Folio/Histoire), sans oublier le sous-titre programmatique en page de garde « 1940 à nos jours », annonce la couleur. Il ne s’agira pas seulement des institutions et des partis, des instruments de répression et des systèmes politiques, mais des gens. Et les auteurs François Rouquet et Fabrice Virgili annoncent également leur couleur en distinguant dès le titre les femmes des hommes, ce qui tout aussi rare, et en pratiquant le cas échéant au long de leur texte l’écriture inclusive. Car ils ne sont pas seulement des historiens et des universitaires spécialistes de la Seconde guerre mondiale : leurs travaux ont la spécificité de porter également sur le genre. Nul doute que leur livre fera date dans l’historiographie de la période.
Depuis les années 50, il en est certes d’autres sur la question. Mais ils sont soit obsolètes, largement dépassés par les acquis des nouvelles recherches, soit consacrés à un aspect seulement du phénomène (une période restreinte, une corporation en particulier), soit trop sensationnels dans leur parti pris. A partir de 1967, l’Histoire de l’Epuration en quatre volumes de Robert Aron donna le « la » en instillant l’idée que le phénomène s’était déployé dans l’arbitraire et la violence aveugle ; il fut suivi par The Resistance Versus Vichy: The Purge of Collaborators de l’historien américain Peter Novick paru en 1968 et traduit dix-sept ans plus tard en France (je m’ enorgueillis d’en avoir été l’éditeur aux éditions Balland). Mais bien que le second ait eu le mérite d’exprimer un point de vue plus nuancé, froid et distant à partir d’une recherche dans les archives, celles-ci ne s’ouvrirent vraiment que plus tard. Mais l’un comme l’autre s’en tenaient à une appréhension essentiellement politique et judiciaire du phénomène. Le travail de Rouquet et Virgili a ceci de remarquable qu’il constitue une synthèse, la première du genre, équilibrée, informée, documentée, nuancée, de l’histoire de l’Épuration, qui tienne compte des apports et nouveautés de toutes les recherches et avancées, publiées ou inédites, de ces trente dernières années (on peut en lire ici un extrait).
S’il est un point sur lequel ils sont prioritairement attendus au tournant, c’est bien celui des chiffres. Longtemps, une presse et des ouvrages néo-pétainistes ont diffusé sans guère de preuve le bilan de quelque 100 000 morts, accréditant « le mythe du bain de sang » ; puis Robert Aron estima les pertes à 30 000/40 000 morts ; par la suite, des historiens qui ne pouvaient encore avoir accès aux archives se basèrent sur des sources préfectorales pour reprendre le chiffre de 10 000 morts suite à l’épuration extrajudiciaire. Rouquet et Virgili sont autrement plus pondérés preuves à l’appui : 9100 exécutions sommaires dans une proportion d’1 femme exécutée pour 4 hommes (car contrairement à une légende têtue, une de plus démontée par ce livre, le général de Gaulle n’a pas gracié toutes les femmes) ; sur 310 000 affaires traitées par la justice, 180 000 furent classées ; 20 000 femmes tondues pour la plupart à l’été 1944 sous l’accusation de collaboration, mais contrairement à une idée reçue, la moitié seulement d’entre elles se voyaient reprocher leur collaboration « horizontale », selon l’expression consacrée, l’autre moitié étant punie pour les mêmes crimes que les hommes (dénonciation, travail pour les Allemands, militantisme politique etc) ; sauf que, même si cela n’excluait pas des peines de prison ou d’indignité, les femmes étaient aussi tondues, dénudées, exhibées. Le fait est que l’on a tondu dans toute la France et que ce rituel expiatoire s’est déroulé les premières semaines dans l’assentiment général, contrairement à ce que la Résistance voudra faire croire par la suite. Historiens du genre, les auteurs apportent là une explication qui manquait à l’intelligence de ces processions de corps de femmes offerts au voyeurisme, à la vindicte et à la haine de la populace :
« Ce sont des pratiques qui s’érigent en une mise en scène du corps, laquelle brave les tabous de l’époque et revendique explicitement cette dimension sexuelle. La chevelure, attribut de la séduction, marqueur culturel de la différence entre les sexes dans bien des sociétés et à différentes époques, que les religions monothéistes ont longtemps imposé aux femmes de cacher, la chevelure perçue comme symbole de la trahison en 1944, doit également disparaître. Le corps métaphore du territoire national, donc symboliquement souillé par l’ennemi, doit être purifié. Reprendre ainsi possession du corps de ces traitresses invite les hommes de France à rétablir une virilité perdue dans les humiliations successives de la défaite et de l’Occupation ».
En fait, si la mémoire nationale fait débuter l’Épuration à la Libération, celle-ci a véritablement commencé dès les premiers temps de l’Occupation. En juin 1941, le journal résistant Défense de la France prévenait :
«Vous serez tondues, femelles dites françaises qui donnez votre corps à l’Allemand »
Déjà, des articles de la presse clandestine, des tracts dans les boîtes aux lettres, des émissions de Radio-Londres promettaient le châtiment aux « mauvais Français »,des listes noires réelles ou fantasmées circulaient (à la Sorbonne en 1943). Toutes choses qui participaient tant d’une menace que d’une promesse.
Formellement, ça s’est passé d’abord passé en Corse à l’automne 1943, premier département libéré aux lendemains de la chute de Mussolini. La Résistance locale s’étant emparée des préfectures et sous-préfectures, les évènements s’accélérèrent. Les femmes soupçonnées d’avoir couché avec l’occupant (italien, en l’espèce) furent exposées tondues et nues au regard de la foule, des indicateurs de police, des délateurs notoires furent exécutés sans autre forme de procès. Pour autant, ce qui s’est passé en Corse n’est pas vraiment une répétition générale de ce qui se passera un an après sur le continent. Pour trois raisons : les liens de parenté et d’amitié entre les belligérants, l’éloignement de certaines personnalités de l’île décidé par le préfet et surtout le fait que l’occupant se soit peu appuyé sur la Milice pour réprimer la Résistance.
On ne sera pas surpris d’apprendre que les régions de France où la vengeance s’est abattue avec le plus de violence sont celles qui ont eu le plus à souffrir de l’action conjointe de l’armée allemande et le Milice française. De même on ne sera pas étonné de lire que l’épuration fut souvent une question de voisinage, comme le fut la délation sous l’Occupation. On dénonce celui qui a dénoncé, collaboré, trafiqué, tué, vendu, étant entendu que le collabo, c’est toujours l’autre. Rien de tel pour s’accorder à soi-même un certificat de civisme. Le processus est rendu plus naturel encore dans les communes, villages, villes moyennes et dans les quartiers des grandes villes, là où tout le monde se connait :
« Se punir entre soi est alors indispensable pour retrouver une place au sein d’une communauté reconstruite pour refonder la nation ».
Ne jamais oublier que l’Epuration est une guerre civile succédant à ce qui fut aussi une guerre civile. Il y a bien eu une justice au coin du bois à l’été 1944, même si tout ne s’est pas fait à l’insu des regards ou hors prétoire. Nombre d’exécutions sont publiques et à Nîmes, elles ont même les arènes pour théâtre ; elles ont toujours lieu par fusillade comme le prévoient les tribunaux militaires et non par décapitation comme pour les droits communs, et à Paris dans l’enceinte des forts militaires de Châtillon et de Montrouge. Les condamnations à la tonte n’ont pas pour cadre un tribunal mais un bistro comme à Trégastel où se réunit le Comité local de libération. Les auteurs soulignent d’ailleurs un détail peu connu, à savoir qu’une bonne moitié du public est composé de femmes et de jeunes filles, ce qui « renvoie aux tricoteuses des échafauds de la Révolution française et assimile la foule au registre l’irrationnel, à l’hystérie et au féminin ».Plus encore que l’expression de « justice au coin du bois », celle « d’épuration sauvage » semble beaucoup gêner les auteurs, qui la récusent pour ce qu’elle insinue selon eux dans l’inconscient populaire : l’idée d’une barbarie indigène, qui contrasterait donc avec la civilisation extérieure au local.
Pour autant, Rouquet et Virgilli jugent inadapté le concept de « brutalisation » forgé par leur collègue américain George Mosse (1990) pour désigner la situation des sociétés européennes au lendemain de la première guerre mondiale. Car en France, si la violence s’est bien exercée sitôt la Libération par leurs anciennes victimes contre ceux qui la leur avaient fait subir, elle a rapidement décru jusqu’à être récusée. D’une manière générale, les Français se déprennent de l’Épuration à partir de l’été 1945, après le procès de Pétain.
Même lorsqu’on croit bien connaître tant la période que le phénomène, on apprend une quantité de choses dans ce livre à l’écriture fluide malgré les références et la rigueur du propos. Des histoires et des détails inconnus, méconnus ou oubliés, qui n’ont rien d’anecdotiques. Ainsi la tenue d’un tribunal populaire treize jours durant (18 août/31 août 1944) à Pamiers alors que des combats se poursuivent encore dans le reste de l’Ariège ; près de deux cents personnes du département sont arrêtées, des femmes tondues et exhibées, et plusieurs dizaines d’accusés exécutés après avoir été « jugés » moitié par des officiers FTP (communistes) moitié par des habitants, et enterrés dans une fosse commune. Il n’y a pas que l’Ariège même si peu lui disputent la palme du déchainement le plus sanglant. On expliquera ce paroxysme de la Terreur par l’atrocité de la répression allemande et milicienne locales, par la défaillance des autorités préfectorales à peine en place et par un emballement nourri par le légendaire révolutionnaire.
Cela dit, les tribunaux militaires, instaurés pour juger tous ceux qui se sont rendus coupables de trahison (article 75 du Code pénal), dont le marché noir ne relève pas, ne sont pas en reste. La cour martiale du Grand-Bornand (massif des Glières, il est vrai…) a jugé en moins de 24 heures, dans la précipitation de la Libération, près de cent miliciens et en fait fusiller la moitié. Une justice de guerre certes « expéditive mais légale » durant laquelle un brassard suffit parfois à asseoir une autorité.Autre événement peu connu ou inconnu de cette période : les attaques de prisons. A partir de novembre, des commandos armés de justiciers populaires, soutenus par des centaines sinon des milliers de manifestants insatisfaits des sentences prononcées, ont en effet forcé sous la menace des gardiens de prisons à leur remettre certains détenus condamnés à mort puis graciés.
Ainsi à Bourges où une fois exfiltrés, deux d’entre eux furent abattus à cinquante mètres de la prison. Le même scénario s’est reproduit fin 1944 surtout dans le sud du pays (Béziers, Gap, Digne) où l’on compta ainsi des dizaines de morts. Les rapports des Renseignements généraux indiquent que, pour justifier ses encouragements au lynchage, la population explique que la faute en incombe aux autorités à Paris qui l’obligent ainsi à exécuter elle-même une décision de justice. Il en est ainsi jusqu’à l’été 1945, soit pendant un an, jusqu’à ce le massacre à Rambervilliers (Vosges) de toute une famille réputée collaboratrice, y compris trois très jeunes enfants, fasse basculer définitivement l’opinion publique contre cette justice populaire, lui donnant ainsi un coup d’arrêt.
Mais en 1966, après que le général de Gaulle ait gracié Jean Barbier, ancien chef du PPF de Grenoble, membre de la Waffen-SS et de la Gestapo, reconnu coupable de nombreux meurtres, condamné à mort par contumace, rattrapé par son passé et emprisonné, les organisations de la Résistance dans le Dauphiné exprimèrent leur vive indignation ; si bien que deux prisonniers de droit commun de la centrale de Melun le prirent en otage couteau sous la gorge et exigèrent de pouvoir enregistrer ses aveux publics. Il est intéressant de constater en passant les dossiers des condamnés en revue l’absence de « corrélation rationnelle »entre les décisions des juges et les réactions de l’opinion publique. Avec une fixation récurrente sur la figure quasi mythologique du « lampiste », le subalterne qui endosse les responsabilités des hauts placés. Un vrai décalage augmenté encore par le fait que la contumace a rendu caduque nombre de condamnations à mort.
« L’épuration en France a été faite et plutôt bien faite si tant est que ce genre de processus puisse l’être. Force est de faire ce constat lorsque l’on compare ce qui se passe dans l’Hexagone au reste de l’Europe »
Et comme les auteurs ont eu la bonne idée de poursuivre leur étude jusqu’à nos jours avec l’épuration à retardement Touvier, Papon, Bousquet, cela nous vaut au passage d’intéressantes analyses sur les procès les plus tardifs à commencer par celui de Xavier Vallat par exemple, en 1947. L’ancien commissaire aux questions juives de Vichy, dont l’organisme fut incontestablement un rouage de la persécution, des rafles et de la déportation, ne songea pas à nier son action, tout au contraire. Mais il fit valoir qu’il n’avait en rien collaboré car son antisémitisme, reflet de ses convictions profondes, relevait d’un antijudaïsme chrétien qui n’avait rien à voir avec le racisme biologique des nazis, et cette défense porta ses fruits : dix ans de prison, libération conditionnelle au bout de deux ans, remise en liberté en 1952.
Quant aux collaborateurs de Je suis partout, les Rebatet, Cousteau et autres, la morale de l’Histoire, si l’on peut dire, confirme que les plus lâches, ceux qui fuient la Justice et savent mettre de la distance et du temps entre eux et leurs juges, sont ceux qui s’en tirent toujours le mieux. Quelle que soit la condamnation, ils échapperont à la peine de mort, bénéficieront de l’amnistie présidentielle en 1953, instrument politique destiné à apaiser les tensions et réaffirmer l’unité nationale, et mourront bien plus tard dans leur lit.
Des procès, il y en a eus. Et l’une de leurs fonctions cathartiques fut de répondre par la loi à le demande de violence de l’opinion publique. La comparution de Pierre Laval fut une parodie de justice. Mais au fond, celle-ci a su s’adapter aux temps exceptionnels de la Libération sans trop se renier ce qui la fonde et sans abuser des dérogations en mettant très vite un frein aux tribunaux populaires. Il est vrai qu’elle l’avait déjà fait peu auparavant, l’ensemble des magistrats (à l’exception remarquable de Paul Didier) ayant non seulement accepté de prêter serment de fidélité au maréchal Pétain, mais ayant également accepté l’inacceptable principe de lois rétroactives, ce qui a permis de condamner des résistants pour des faits commis avant l’invention de ces lois.
La police a bien été épurée (mais oui…), touchant 1 policier sur 5, ce qui a mis sur la touche 40 000 policiers. Dans la même proportion que les magistrats et les policiers, l’épuration toucha 15% des universitaires dont la moitié à la Sorbonne, bien que là aussi, de même que pour la plupart des membres de la fonction publique, les peines furent bénignes. L’Eglise fut peu épurée, ce qui lui permit de venir en aide aux nouveaux traqués comme elle l’avait fait avec les anciens persécutés peu avant. Peu de commerces et d’entreprises sont vraiment sanctionnés autrement qu’avec une amende : les dossiers du secteur de l’alimentation dominent, ceux des bouchers étant les plus nombreux, et les sociétés de travaux publics remportant peut-être la palme des profits illicites (ah, le mur de l’Atlantique…). Quant aux spoliateurs, ceux qui avaient de l’aryanisation des biens juifs, ils n’eurent qu’une sanction fiscale, certains poussant le cynisme jusqu’à refuser de quitter l’appartement qu’ils occupaient en raison du « départ », de l’ « absence » ou de la « fuite » de son propriétaire. Les hommes politiques, eux, échappèrent globalement aux foudres de l’épuration. 18 peines de mort prononcées, dont 8 par contumace, 5 commuées et 3 à peine exécutoires : Darnand, Laval, Brinon.
Et dans la presse et le milieu littéraire, la qualité de journaliste étant souvent rejointe par celle d’écrivain ? 7 exécutions : Georges Suarez, Paul Chack, Robert Brasillach, Chastenet de Puységur, Paul Ferdonnet, Jean-Hérold Paquis, Jean Luchaire. L’Académie française n’a exclu que quatre de ses membres, l’immortalité n’immusant pas contre l’indignité nationale : Abel Bonnard, Abel Hermant, Charles Maurras et Philippe Pétain.
A la Libération, le général de Gaulle ayant décidé en bon pragmatique que l’urgence étant de reconstruire le pays, de refaire l’unité des Français et de relancer l’activité économique, l’épuration ne fut pas trop sévère avec les institutions. La notion d’indignité nationale, peine qui a frappé nombre d’épurés en les bannissant provisoirement de la société sans les en exclure, a surtout concerné les vichystes, coupables sans être traitres. On regrettera qu’ici comme partout ailleurs, il y ait confusion entre « vichyste » et « vichyssois », les deux étant indistinctement utilisés pour désigner les partisans de la Révolution nationale et donc du nouveau régime, alors que le second terme ne saurait rien désigner d’autre que ceux qui n’ont jamais commis d’autre délit que de naître à Vichy ou d’y d’habiter…
On trouvera également dans ce livre si riche des pages sur l’exil de ceux qui se sont soustraits à l’épuration en se réfugiant à Sigmaringen, en Suisse, en Espagne, en Amérique du sud… Une telle synthèse, produit d’une trentaine d’années de recherches, ne pouvait s’achever que par une conclusion sur la transmission de cette mémoire. François Rouquet et Fabrice Virgili relèvent à ce sujet que si l’épuration figure bien depuis 2012 au programme du bac et qu’elle est étudiée en classe de première, elle va être de plus en plus difficile à faire passer : auprès des uns parce que leurs grands-parents et arrière-grands-parents ne seront plus là pour raconter et témoigner, et auprès des autres dès aujourd’hui car
« cette histoire mémorielle n’a pas grand sens pour une jeunesse issue d’une immigration extra-européenne (Afrique du Nord, Afrique, Asie) pour laquelle le poids de la Seconde guerre mondiale est différent ».
Un mot encore, à propos de la couverture. Une scène de lynchage ordinaire : une silhouette torse nu, crâne tondu et tête basse,« symbole inoxydable » juché sur les le toit d’une voiture, cernée par ses tortionnaires eux-mêmes cernés par une foule vociférante. La scène se passe le 28 août 1944, non dans un village de la France profonde comme souvent en la circonstance mais place de l’Hôtel de Ville à Paris. La légende nous apprend que la silhouette est membre de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme puisqu’elle tend au-dessus de son crâne une pancarte « J’étais un LVF ». Un homme tondu.
(« Sacha Guitry interrogé à mairie du VIIème arrondissement » photo Henri Cartier-Bresson puis photos D.R.)
1 100 Réponses pour Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !
Et Gisèle que je soupçonne de mythomanie , au mieux de s’essayer la fiction auto biographique fait ses gagarismes sur le fil précédent. Sûrement fais je preuve de mauvais esprit mais souvent j’ai tout de même l’impressionnante impression de lire Doc gynéco.
Avant :https://youtu.be/v4iZ_eQiSTY
Béré, de mon temps, il était rare qu’on passe au travers de L’oiseau prophète, pour la bonne raison qu’il se trouvait -et se trouve encore certainement- dans le cinquième volume d’un recueil de pièces très connu, Les classiques favoris du piano. (C’est curieux, d’ailleurs, je les avais tous et je n’en ai plus aucun). Vous ne pouvez pas vous imaginer ce que c’était tout jeune que d’y accéder et ensuite de franchir les volumes un par un. L’oiseau prophète, si votre professeur vous le faisait travailler, c’était d’abord un refus catégorique parce qu’on n’y comprenait rien et que ce n’était pas du piano. Puis, on commençait à comprendre, à aimer, ce petit morceau littéralement injouable, sauf par quelques grands interprètes; le sens vous en montait peu à peu dans les doigts, dans l’esprit et au-delà, et on finissait, une fois la leçon apprise, par l’abandonner avec regret. Sans parler de musiques plus tardives, découvertes plus tard, dans lesquelles on l’entendrait presque, comme un écho déchirant de la parole des morts.
Oiseaux tristes
Another one https://youtu.be/L1N3WXZ_1LM
« Je pense que vous êtes tout simplement jaloux, Delaporte. »
Absolument pas, D, vous faites là une grave erreur de psychologie. Je suis l’être humain le moins jaloux, le moins envieux qui soit, et le plus heureux de son sort qui fût (subjonctif imparfait !) jamais. Je n’échangerais mon existence contre celle d’aucun autre, tellement elle me comble et me vivifie chaque jour davantage dans sa pureté, sa nudité, sa simplicité et sa bienveillance chrétienne. Même les progrès que j’ai à accomplir m’éblouissent pas avance. La perspective de la mort m’est un aiguillon intangible, à l’aune du Royaume que je vais – peut-être – habiter.
Il manque l’unité de lieu, d’où venez vous? De mon côté, un des amis qui tolérait ma présence était passèrent chez mes parents et des quelques disques il me dit qu’il n’y en avait un ou deux qui méritait d’être entendus. Peu de choses dans ce hll et encore moins de cours de musique, de toutes façons je n’ai hérité d’aucune disposition pour cet apprentissage. En revanche grâce à lui et quelques autres sur la longue route qui réussit à me faire vivre jusque ici , que d’éclates musicales et dans tous les styles. Plus rares il est vrai depuis quelques années à cause de l’environnement archi bruyant qui me fait préférer à tout le bruit du vent dans les arbres, le sac et le ressac, le chant des oiseaux.
Passé, HLM.
Chaloux je ne retrouve pas cet enregistrement de Rameau , mais sûrement êtes vous au courant du travail de rénovation, de dépoussiérage que ce chef est parvenu à effectuer pour le restituer dans tous ses sons, les percussions y sont surprenantes .
Et puis en été les radios adéquates offrent l’avantage de retransmettre en direct les concerts auxquels on ne peut assister pour différentes raisons ou contraintes ou impératifs, que de destinations musicales auxsuquelles n’auront nous pas rêver sans même nourrir l’espoir d’approcher la réalité des scènes qui acceuillent pianistes et autres formations de renom. Le plaisir de veuillez sous toutes les formes que les médias disposent. Il faut s’en contenter, tant pis pour l’ambiance, la convivialité, la fièvre du public et l’accoustique.
Le plaisir se cueille …
Le temps qu’il faudra Dédé. J’ai l’humilité de me taire quand je n’ai rien à dire. Merci pour votre admiration, je ne vois pas sur quoi elle porte, mais merci quand même. Pour les chats, nous faisons partie d’une secte dont les adeptes multiplient les marques de solidarité. Tous les c.onnards avec qui je suis sortie n’avaient pas de chat, voire préféraient les chiens. Coïncidence ? Certainement pas. Monsieur Ed est parfait et (parce que) il est fou de mes chattounes !
Delaporte crève de jalousie, comme berenice. La nouveauté, surtout quand elle a le malheur de plaire à certain, en énerve d’autres.
certains
Delaporte dit: 23 juin 2018 à 23 h 54 min
« Relis Plaute, mon pauvre chéri et prends des forces… »
Quel pédant incompréhensible que wgg ! On ne comprend rien à ses traits d’esprit !
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Ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Delaporte dit: 23 juin 2018 à 23 h 50 min
On devrait pouvoir infliger aux profs ratés comme wgg, non sans doute des châtiments corporels, mais des amendes sonnantes et trébuchantes, pour mauvais services rendus. Là, on verrait sans doute le niveau baisser dans des proportions moindres. Ils feraient davantage attention. Ils seraient plus circonspects.
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T’as vraiment pas de pot, mon pauvre chéri ! Un délégué de parents d’élèves m’a remercié l’autre jour en plein conseil de classe pour la qualité de mes cours qu’il aurait aimé suivre lui-même, dit-il, tellement il les trouve passionnants. Tout bénéfice pour les élèves !
L’était moins con que ce trouducul de Delaporte des chiottes qui doit passer d’urgence à con/fesse pour un redressement rectal… Ah ah ah ah ah ah ah ah hi hi hihihihihihihih….!!!!!!!!!!
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…pas, besoin, de se prendre, pour un novice, à l’école .d’Archimède,…
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…rien, à nous raser, le poil de trop, ou la touffe,…
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…ce romantisme, littéraire pratique,…
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…des riens, qui s’entretiennent, pour en explorer, les situations, ad-hoc,…semaine après semaines,…
…des riens, si petits, que çà,…confrontés, aux bords du tracé, des billes,…
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…allons, levons-nous, et voyons d’après, un point de vue plus élever, toutes ces confrontations, qui restent, dans ce serpent » évider dans l’espace,…pour nous éteindre, les réflexions, ( nos états d’âmes ) à chaque sujet, présenter,…
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…se délivrer, de ses diableries, de la pensée, et s’imaginer, maître, d’un domaine, bien gérer, une seigneurie, avec ses terres à jardins, ses murs d’enceinte, ses ouvriers » jurés « , le tout, comme un seul corps -unis, pour le bonheur, de tous, maîtres et autres sujets, d’égal à égal, en ripailles,…etc,…
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…de toutes les coutumes, de bien-vivre,…savoir arrondir, tout les angles, en nos machineries sociales,…chaque domaine à ses prospections privilégiées,…
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…commerces et coutumes, ou sommes nous,…
…aux grandes distributions, à points donnés,…etc,…
…nouer, sa ceinture, à près, son petit déjeuner,…allegro,…
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lu à 23h10, en forme de conclusion sur ce qu’il y a quelque chose de pourri au royaume de la macronie:
« le mieux qu’on puisse attendre de nos jugements est de dire que c’est mal que notre président construise une piscine dans sa résidence d’été située à quelques mètres de la mer, cela résume l’effort dont nous sommes tous capables pour évoquer le temps présent. »
Manu et sa piscine, Manu et sa teuf’ electro, Manu et ses représentations théâtrales, Manu sauveur des gays tchétchènes, Manu et ses héros héroïques, cascadeur, escaladeur, premier de cordée, Manu et ses kwassa-kwassa, Manu et ses sèche-linge Whirpool,
est en train de se transformer en ce qu’il était déjà, pour les « illettrées », pour « ceux qui ne sont rien » en transit dans une gare où ne passe aucun train, tssetera, tssetera,
en une Marie-Antoinette décalée des réalités d’un pays dont elle ignore tout,occupée à gérer son agenda festif et décadent, dans le faste et l’évènementiel, sur le dos des contribuables.
A la différence, c’est que Manu a investi un palais qu’il n’a jamais conquis qu’à la triche.
Alors une goutte d’eau de plus ou de moins dans la piscine, who cares.
Nous pouvons douter de l’état global de la civilisation — inutile de se demander si les plats personnages qui nous gouvernent ont lu l’Énéide, déjà heureux si après leurs études ils on lu et compris quelques articles du journal de la veille ! évidemment l’histoire n’est pas douée de fantaisie et une chose dans l’autre, elle est en train de nous resservir le scénario de l’émergence du nazisme, et ça dans le plus complet désintérêt de politiques qui semblent ne plus savoir que « people », « nation », « identité » ne sont que des notions romantiques qui ont désormais perdu leur substance ; mais restent utiles si l’on veut redonner un espace aux archaïsmes le plus nuisibles et justifier les insuffisances de ceux qui seraient censés s’y opposer et égarent l’opinion par leurs discours simplistes et mystificateurs.
Il faudrait se poser la question de savoir qui exploite les ressources des pays qui alimentent le flux migratoire ; mais que non, car il y a le risque de découvrir qu’un segment conséquent du bienêtre de l’Occident vient de cette exploitation, mais conscience autonome nada et conscience réflexive égarée dans le brouillard, donc narrations historiques fondées sur le mensonge et volonté politique à faire tomber les bas. En conséquence ? programmes politiques hypocrites et déclarations de principes de mauvaise foi ou de fausse conscience — ce qui revient au même — ; désormais usés les modèles se décomposent, aucune possibilité d’éviter une tragique régression : l’effondrement de la morale peut-être interminable et infiniment destructif et la recomposition de plus en plus ardue.
Suite
Plutôt que stigmatiser à droite et à gauche comme des prêcheurs savonaroliens, chacun devrait balayer son but de trottoir ; il serait aussi opportun que les politiques, ces virtuoses des choix procrastinés, se posent la question de savoir le pourquoi du succès des partis souverainistes et populistes ; qu’ils identifient les responsabilités des institutions nationales et européennes, c’est-à-dire leurs responsabilités — qu’ils méditent sur leurs indécisions, sur leurs manques, et ainsi de suite… et puis, il y en a vraiment marre de ces soi-disant fins politiques qui jettent sur la table une chiée et un petit tas de belles intentions, mais dans le moment de vérité ils leur seul succès c’est l’absence de résultats, car causer humanisme c’est tout ce qu’ils savent faire, dirait La Verdure, le toujours pertinent perroquet conçu par Queneau.
»L’histoire se rappellera que c’est une ministre éditrice qui a massacré les écrivains ». J. Sfar
« Sévère mais juste». signé « Passou »
Une histoire de « massacre », part one:
« Parce que nous avons des lecteurs sans lesquels nous ne serions pas là,
Parce que nous avons des libraires qui nous aiment et nous défendent,
Parce qu’il existe des salons où notre nom sur une couverture devient un visage et une voix,
Parce que nous avons de la chance d’être des femmes et des hommes dont la passion est devenue leur métier,
Parce que nous vivons de notre regard qui contemple le monde, de nos mots qui l’exaltent ou le changent,
Parce que nous, nous vivons encore de notre main qui écrit ou illustre,
Parce qu’aujourd’hui si nous voulions débuter, nous n’existerions pas,
Parce que nous ne voulons pas être les derniers.
Nous demandons à la France de Montaigne et à la République de Zola de ne pas précipiter dans la précarité et le silence toutes celles et ceux qui font la littérature de ce pays.
Pour eux, des cotisations sans cesse plus élevées mais une protection sociale menacée,
Pour eux, aucun statut.
Au 1er janvier 2019, le régime déjà fragile des auteurs sera complètement anéanti. C’est l’annonce d’une catastrophe sociale sans précédent pour tous les auteurs du livre.
Monsieur le Président de la République, Madame la Ministre des Solidarités et de la Santé, Madame la ministre de la Culture, prendrez-vous le risque que la France, sous votre mandat, devienne à jamais un pays sans auteur ? »
qui sont les » massacrés » sur l’autel de la CSG qui augmente pour tous en macronie et des cotisations URSSAF, auxquelles ils échappent ?
une bande dessinée de smicards, (dont certains sont millionnaires, en edition comptable):
Collectif d’auteurs composé de Agnès Abecassis, Isabelle Alonso, Laureline Amanieux, Christophe Arleston, Pénélope Bagieu, Enki Bilal Boulet, Emmanuelle de Boysson, Maxime Chattam, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Harold Cobert, Laetitia Colombani, Christelle Dabos, Alain Damasio, Frédérique Deghelt, Grégoire Delacourt, Dominique Dyens, Sophie Fontanel, Lorraine Fouchet, Emilie Freche, Eric Giacometti, Stéphanie Hochet, Stephanie Janicot, Brigitte Kernel, Antoine Laurain, Agnès Ledig, Erik L’Homme, Marc Lévy, Marion Montaigne, Guillaume Musso, Jessica Nelson, Gaëlle Nohant, Véronique Olmi, Véronique Ovaldé, Jacques Ravenne, Tatiana de Rosnay, Colombe Schneck, Joann Sfar, Amanda Sthers, Franck Thilliez, Emilie de Turckheim, Aurélie Valogne et Bernard Werber.
Que des bons, lol.
Giacomo Balla :
http://blogfigures.blogspot.com/2012/05/giacomo-balla-bambina-che-corre-su-un.html
lu 23h10:
« Las, les couple entreprenant est passé outre, avec la bénédiction tacite de la municipalité communiss, malgré les contraintes afférentes au statut de ville inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. »
une histoire de « massacre », part two:
« Des immeubles anciens d’un étage et de deux étages se sont retrouvés respectivement avec deux et un niveau supplémentaires (ill. 2 et 3), des constructions qui représentent le degré zéro de l’architecture : les surélévations n’ont en guise de fenêtres que de simples ouvertures, sans bandeau de pierres entourant les baies, ni volets, et aucun des aménagements dont le Canard explique qu’ils faisaient partie des prescriptions demandées par l’ABF. Nous rajouterons que l’immeuble de gauche, comme on le voit parfaitement sur les photos (ill. 4 et 5), a été profondément dénaturé même au niveau de son premier et seul étage où l’unique fenêtre ancienne avec bandeau de pierre et volets a été remplacée par deux fenêtres sans aucun entourage ni volet. Sans même prendre en compte l’horrible enduit coloré qui vient s’ajouter à l’ensemble. Un véritable massacre en plein Site patrimonial remarquable. »
Antonin Artaud :
La littérature comme engagement ? le masochisme n’est pas mon point fort : il y a déjà la vie et les journaux, si je dois aussi me gâcher les passetemps, non merci ! Pasolini, par exemple, j’aime le metteur en scène et parfois le poète, certains de ses écrits d’occasion aussi ; mais je me suis beaucoup ennuyé avec Ragazzi di vita et Pétrole. La littérature engagée n’offre aucune perspective, car rejette — méprise ? — la convivialité et en faisant preuve de mémoire courte, ridicule même, renonce sans peine à l’hypothèse des futurs possibles en faveur d’une pratique sentimentale bâtie sur l’approche idéologique de l’état des choses. Puis, il y a la question de la prose : lourde, imprécise, banale, parfois fumeuse ; aucun pouvoir évocateur — ne tient pas compte de la poésie : auteurs pas capables de produire la moindre phrase digne d’être cité —, pourtant, longtemps durant, les représentants de cette littérature ont pu présider de manière stable aux destins de l’écriture, sans tenir en comte que l’on parle des gens tellement dépourvus de réalisme qui ne pouvaient — ne peuvent —trouver refuge que dans la registration d’un réel qui ne leur appartenait point en le dénaturant par le biais de dispositifs conceptuels qui filtrent les éléments indésirables ; ils leur donnent une voix stridente, névrotique ; les exposent sous une lumière brutale, car c’est par le désir de vengeance que la narration de l’écrivain engagé trouve une portée sociale : le supplice et l’horreur du ressentiment comme légitimation politique, ce qui ne peut produire qu’une littérature qui se détache des faits comme ils sont pour trouver refuge dans des réflexions autour de positions sémantiquement critiques et partisane, selon des interprétations qui voudraient simplifier la dialectique qui les articule, par un développement défini et toujours limité de ses combinaisons.
relecture:
« Las, les couple entreprenant »
Un entrepreneur , natif de la ville ‘Arles,
« est passé outre’
quelques prescriptions d’un permis de construire, ordonnées par archi ABF dont on connait les pouvoirs illimités, souvent abusifs et sans contre-pouvoir,
« avec la bénédiction tacite de la municipalité communiss »,
on appelle cela un permis de construire
« malgré les contraintes afférentes au statut de ville inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. »
manque un volet pour satisfaire quelques tenants auto-proclamés de l’art en magazine, resté à l’état d’ébauche, jamais construit.
ceci tuera cela, un massacre, j’vous dis.
Dans Arles, où sont les Aliscans,
Quand l’ombre est rouge, sous les roses,
Et clair le temps,
Prends garde à la douceur des choses.
Lorsque tu sens battre sans cause
Ton coeur trop lourd ;
Et que se taisent les colombes :
Parle tout bas, si c’est d’amour,
Au bord des tombes.
Paul-Jean Toulet
8h07 d’accord avec vous, nous encaissons la monnaie de nos pièces anciennes et modernes.effets de causes à effets dont la chaîne appartient à l’Histoire. C’était mieux avant, les colons pouvaient assassiner sans être inquiétés de quelque façon qu’on puisse l’imaginer, pas de cours des droits de l’homme, aucune Information, une opinion à qui l ‘on montrait ces gens comme des objets dans les foires .
Quand je regarde les clichés atroces illustrant ce billet, je me dis que, dans tous les camps, la haine est le plus efficace ferment de fraternité.
Puissent les dieux me faire la grâce de renaître chat.
regardez plutôt les photos des déportés des camps de la mort que vous admirez, cela devrait vous faire bander
les photos des déportés des camps de la mort que vous admirez (William Legrand)
Lesquels ? IL faudrait préciser, ma brave canaille.
@ William Legrand
Brave canaille
Regarde bien ce doigt
Je te le mets où je pense
Et je te le remets
Et tu le suces !
Je rebaptiserais bien William Legrand William Lepetit, n’était la crainte de choquer un honorable fabricant de camemberts. Il est vrai que ce William Legrand pue le vieux roquefort, à croire qu’il ne se lave que les années bissextiles.
William Legrand : excellent patronyme pour un chien bâtard
William Legrand ? William Legland !
William Legrand ? Drôle de nom pour un sous-produit de fausse couche.
J’ai l’humilité de me taire quand je n’ai rien à dire.
–
oui moi aussi, ce qui est loin d’être le cas de tout le monde ici soit dit en passant. A commencer par Clopine, naturellement.
Dites-donc, je viens de m’apercevoir que j’ai écris le 1037ème commentaire !
Blabla : »Un délégué de parents d’élèves m’a remercié l’autre jour en plein conseil de classe pour la qualité de mes cours qu’il aurait aimé suivre lui-même, dit-il, tellement il les trouve passionnants. »
Bien qu’il y émarge depuis bien des années, le pion ne comprend toujours pas le second degré.
haloux dit: 24 juin 2018 à 0 h 16 min
Toutes les volailles ne se couchent pas avec les poules.
–
votre pensée est plus élevée que je ne croyais, Chaloux.
Dites-donc, je viens de m’apercevoir que j’ai écris le 1037ème commentaire ! (D)
Triomphe relatif ! Vous n’en seriez pas là si je n’avais pas commis le 1030e, le 1031e, le 1032e, le 1033e, le 1034e et le 1035e.
Excellent, la vie, sur le micronidée. Y-aura-t-il communauté destin? On verra bien.
Mieux vaut être une brave canaille qu’un immonde salopard
Et si je me faisais du William Legrand l’équivalent d’un Blabla pour Chaloux ? C’est là qu’on dépasserait les 2000 commentaires. Et je commence ! (voir la suite)
@William Legrand
Vil roquet sans honneur, tu n’es même pas digne que je te pète au nez.
Là, j’ai déjà dû dépasser les 1040 commentaires.
Dès lors que les gouvernements dirigent leurs objectifs sur le seul focus de l’économie, sous le seul angle du capitalisme, dans la seule optique du libéralisme, leur champ d’action comme leur champ de vision se rétrécit forcément. D’où leur tentation d’ignorer, de laisser dans l’obscurité tout ce qui ne se situe pas dans ce champ de vision extrêmement étroit, c’est-à-dire tout ce qui dans l’humain échappe aux lois du marché et aux valeurs marchandes, ou bien de chercher à toute force à l’y faire entrer quitte à dégrader l’essence même des valeurs humaines.
1045, dis donc ! Entre Chaloux et moi, on va faire exploser les compteurs !
Beaucoup aimé les histoires d’oiseau de Renato. On le plaisante un petit peu, parfois, mais on sait bien que cet homme-là ce n’est pas rien.
quitte à dégrader l’essence même des valeurs humaines. (radioscopie)
Lesquelles au juste ? N’oublions pas les valeurs humaines national-socialistes (parmi d’autres).
9h46 en plus contemporain et tout aussi jouissif quelques images du sel de la terre devraient suffire à rappeler que l’inhumanité à d’autres visages que celles de ces nazis, les mode d’exploitation actuels ont dans d’autres contrées peu à leur envier.
Bloom, vous voyez, le fait de faire ce constat ne dit rien de plus, pour aller plus loin il faut regarder de plus près ce qu’Actes Sud se veut d’incarner, par exemple :
https://www.actes-sud.fr/rayon/recherche/1705/all
et là on se trouve au coeur de ce qui crée une confusion dans les esprit, le grand écart entre les idées et la réalité.
ce à quoi nous avons assisté ces dernières années est de l’ordre d’une fracture entre esthétique, éthique et politique, sous la forme d’un décrochage entre les apparences soutenues par la com, et les combines d’arrière boutique.
—
Cher hamlet, vous avoir donné l’occasion de pousser plus loin, explicitement me fait bien plaisir. Vous avez raison, l’implicite ne suffit pas.
J’ai toujours eu beaucoup de considération pour Actes Sud & leur publication de traductions du russe, du turc, et d’autres langues qui font souvent fuir les éditeurs « mainstream ». Mais c’est l’oeuvre d’Hubert Nyssen, pas de son épouse (ne trouvez-vous pas que leurs courtes monographies de compositeurs sont vraiment trop chères – not a good run for your money?).
Autant que je le reconnaisse tout de suite : jamais je n’obtiendrai d’un William Legrand les rendements d’un Blabla pour Chaloux. Il est vrai que, dans le genre tête à claques, le Blabla semble imbattable.
plus loin explicitement (pas de « , »).
l’inhumanité à d’autres visages que celles de ces nazis (Bérénice)
Les nazis étaient aussi humains que vous et moi.
« Mais c’est l’oeuvre d’Hubert Nyssen, pas de son épouse »
Et sa fille est ministre de la culture.
Certains ont du mal a s’en remettre. Peut-etre des « auteurs » refusés par la maison Actes Sud.
« Peut-etre des « auteurs » refusés par la maison Actes Sud. »
C’est plutôt à son poste de ministre de la culture que ses ennemis en ont ?
Mais qui veut la peau de Françoise Nyssen ? Bloom peut-être ?
J’ai toujours éprouvé pour les Nazis une admiration spontanée, quasiment irrationnelle : c’est sans doute ça, le visage de l’amour.
Passou tarde à envoyer son nouveau billet ! Mais de quoi donc va-t-il nous parler ?
J’ai pris naguère, dans les arènes d’Arles, une photo du Nimeño II agitant sa muleta sur le mufle de la bête immonde. Je l’ai faite encadrer et la garde précieusement. Elle me donne chaque jour une leçon de vie.
Oui cependant la vivisection , la torturé, l’enfermement pour finir par diriger soit les nouveaux arrivants soit des moribonds vers des douches au zyclon et ceci pour un modique décompte d’au moins cinq millions de vies supprimées n’est pas mon idéal. Les hommes peuvent être atteints, contaminés ou persuadés d’avoir à faire preuve d’inhumanité. Les nazis et tous ceux qui ont collaboré à cette entreprise d’épuration ethnique, raciale se sont montrés les plus humains quand ils ont fusillés , ou abattu les flots d’humains qui ne connaissaient pas leur destination. Pour le reste du traitement qui a été appliqué je n’y vois qu’inhumanité parfois contrainte souvent acceptée par les gardiens, les médecins, les officiers, les sous off et tous les tristes sbires comme justice et loyauté envers un fou furieux, de plus on imagine que comme dans tous les conflits le contexte à réussi à libérer toutes les tendances psychopathiques , les envies les plus viles pour donner à cette organisation un statut, un visage dont on oserait affliger même l’animal le plus cruel, ce dernier n’obéissant qu’à une nécessité.
« Puis, il y a la question de la prose : lourde, imprécise, banale, parfois fumeuse ; aucun pouvoir évocateur — ne tient pas compte de la poésie : auteurs pas capables de produire la moindre phrase digne d’être cité — »
Au milieu du fatras de « Pétrole », j’ai cependant trouvé un long chapitre éblouissant. Plus sexuel que politique néanmoins, renato !
LVDB . pour vous ++++. Des petits fours virtuellement sucrés.
Pour saluer le courageux Saviano
https://www.nouvelobs.com/monde/20180621.OBS8549/italie-salvini-menace-de-lever-la-protection-de-roberto-saviano-menace-par-la-mafia.html?utm_term=Autofeed&utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1529619056
Pour saluer la mémoire de Geoffrey Oryema
—- (je crois que Bloom et Jazzman appréciaient beaucoup ce merveilleux poète chanteur africain).
https://www.youtube.com/watch?v=-kfkMrSNnLw&start_radio=1&list=RDMBYiFl-7kRA
BJ à toussent et à Marusa T.
« Des petits fours virtuellement sucrés. »
Je préfère salé mais non troppo.
Vous auriez du Lily Bollinger pour accompagner ?
Piqué au vif, Jean le SS de ce blog
Je suis de tout cœur avec toi et tes ami.es et les stambouliotes éclairés, dans l’isoloir ce jour. Mais Verda, si nous perdons comme ils le prédisent tous…, la lutte contre la dictature consolidée se poursuivra, de toute façon, nous ne laisserons pas l’héritage laïc d’Ataturk piétiné si facilement. Nous ne baisserons jamais les bras, tu le sais bien. Je t’embrasse. Courage. Un miracle peut toujours nous arriver.
Récré ! https://youtu.be/KnFCNQUTgaU
Gisele, je vous previens, je ne supporte pas le sky, ni dans la boîte a gants, ni en carafe, quand bien meme il serait « la part des anges ». Ça m’fait loucher.
Mais pour les bulles, je fais rarement la fine gueule. Meme s’il est mal servi…
Les perles du bac. https://youtu.be/6Eg8hc09Z6M
Allez l’île de skye , tout de même, vaut le déplacement . Ne sais pas trop si on l’a compte parmi les zones grises ou carrément les paradis.
la, problème de diapason avec le correcteur de zut.
Lv moi j’avais les demandes et les réponses comme ça t’arrange pas besoin de faire la gueule ou des risettes. Resterait la neutralité mais juge et partie ça colle pas.
Gisele, merci pour les petits fours. La clebarde magnagna n’en a fait qu’une bouchee de jalousie maladive.
Bon dimanche.
Lv je n’appartiens encore pas â la brigade canine en revanche vous vous en approchez, maître chien? Dressage et compagnie, ils ne sont pas toujours les meilleurs conseillers, je leur préfère les vétérinaires. Qui ne grognent ni ne ne mordent encore moins qu’ils ne poussent à l’attaque. J’ajoute que j’ai déjeuné ( ou dîné selon la latitude) et n’éprouve aucune le besoin de goûter à vos mignardises .
Aucunement. Étonnant que vous fassiez aussi peu preuve d’inventivité pour les sobriquets qui se voudraient désobligeants alors qu’en mytho vous êtes des plus douées.
La jalousie n’est pas un processus viral, ne prenez pas votre cas pour une généralité. Je suis convaincue en dehors de celle qui nous possède quand on aime et qui à mon avis si elle parvient à s’exonérer de manifestations audibles visibles perceptibles est malgré tout naturelle et répandue pour tous les autres segments on pourra parler d’envie maladive, être envieux alors u’on ne manque de rien ni personne, c’est un phénomène bizarre. J’ai connu un nana il y a très longtemps qui se suivait une psychanalyse à laquelle le psy ou la psy avait révélé qu’elle ne pourrait se satisfaire d’un seul homme même en cas d’amour, il les lui faudrait tous. Il y a des gens comme cela qui en dépit de leurs acquis convoitent, intriguent, jamais satisfaits que lorsqu’ils font échouer l’entreprise des autres. On pourrait en conclure que leur désir s’enracine dans une volonté de contrôle total, c’est assez proche d’un totalitarisme.
Et j’ajoute pour finir et vous souhaiter enfin un bon dimanche que je ne prends que ce qui m’est offerte, horreur de demander et pas question de jouer au pique assiette. À demain, j’espère. Ou sous un de vos nombre pseudos qui conviennent à votre personnalité multiple.
Offert, nombreux.
Matteo Salvini envoie à très juste titre promener, notre cher président qui va se prendre une veste sur la question des migrants. Il pourra toujours dire qu’il y en a moins qu’avant cependant dans l’absolu il y en a toujours beaucoup trop.
Qu’il se console avec son nouveau service de Sèvres et la piscine présidentielle.
Chaloux dit: 24 juin 2018 à 10 h 40 min
Beaucoup aimé les histoires d’oiseau de Renato. On le plaisante un petit peu, parfois, mais on sait bien que cet homme-là ce n’est pas rien.
–
Absolument, Chaloux. C’est un puits de culture, il faut bien dire ce qui est.
La furie des grands travaux… rien que pour eux et leur petit confort personnel :
« En revanche, le terrain de tennis de la résidence de la Lanterne, située à Versailles (Yvelines), ne sera pas rénové. « Je crois qu’on ne va pas y toucher », a confié un proche d’Emmanuel Macron cité par l’hebdomadaire, sans doute échaudé par la polémique née du projet de piscine. »
D il y surtout qu’on a laissé l’Italie et le Grèce se démerder avec ces flux jusqu’à ce qu’il déstabilisent l’équilibre démocratique de l’Europe ajoutez à cela l’initiative unilatérale d’Angela Merkel et le refus d’une répartition intra européenne des migrants. La France avec son passé coloniale reste le pays où vit la plus grande communauté musulmane d’Europe, les pays de l’est de l’espace Schengen n’en veulent pas, l’Angleterre dort en partie en raison d’une campagne nationaliste, les Danois d’extrémisme ainsi que d’autres. Je pense qu’outre l’argent donné à des dirigeants africains qu’on connait pour leur rapacité corrompue des efforts outre des actions militaires auraient pu et devraient être déployés en renfort technique et matériel. On est capable d’envoyer des instructeurs militaires pour piloter des rafales, de construire et entraîner des armées étrangères ( Allemagne) et on renfloué les comptes de despotes peu scrupuleux pour contenir les populations sur le départ alors que ces populations ne partent pas pour le fun ou simplement motivées par l’attrait du voyage qu’elles savent risqué et long. Deux à trois ans d’épreuves pour certains , viols et violences pour beaucoup.
Sort, s’extremisent
renato dit: 24 juin 2018 à 8 h 40 min
Le français est lourd et pénible à lire et développe une pensée délirante ou critique sans fondement.
Il ne comprend pas notamment la forme révolutionnaire de Pétrole, qui invente un récit sans incipit, relevé par la critique savante. Tout à l’identique dans cette prose inepte et d’une prétention !
Renato est un véritable imbécile. Une tête folle et vide.
Moi, je suis en train de lire L’Africain pour l’étudier avec mes élèves l’année prochaine. Eh bien, c’est vraiment très réussi. De la vraie et excellente prose autobiographique qui pose tous les problèmes littéraires du genre. L’ouvrage parfait pour le travail en classe. Une prose même subtile et raffinée qui va demander pas mal d’effort aux élèves pour comprendre comment ça fonctionne. Là, on a vraiment le sentiment que son prix Nobel n’est pas usurpé; un vrai écrivain digne du Nobel qu’il a reçu.
1er séance : le pacte autobiographique : comparaison de l’incipit avec ceux Flavius Josèphe (Vie, avec le texte en grec), saint Augustin (Confessions, avec le texte en latin), Rousseau (Les Confessions), Michel de Montaigne (Essai, avis au lecteur), Leiris, L’Âge d’homme, autoportrait).
2ème séance : Un remémoration incertaine avec l’emploi très judicieux de modalisation nombreuses, de phrases nominales, mises en relief qui soulignent les émotions (enthousiasme ; sentiment exaltant de liberté par le regard qui se noie dans l’immensité de la plaine assimilée à la mer et la maison à un radeau perdu dans l’immensité, fusion de l’instance narratives et du personnage, un enfant de huit ans, d’abord vu de l’extérieur, puis en focalisation interne dans un mouvement d’introspection progrssif et bien aménagé.
Texte organisé autour de tensions entre le même et l’autre; image de soi et de l’autre; quête de vérité et imaginaire; réalisme et exotisme poétique; instant et durée qui créent une dramaturgie qui fixent des vertiges dans une extase du corps et de la matière.
Une très beau récit de son enfance africaine et une belle mise en récit de l’extase matérielle qui atteint une dimension véritablement cosmique et légendaire.
Une des œuvres sans doute les plus remarquables de Le Clézio que j’ai lue, avec Désert et Trois villes saintes. Là il a vraiment été inspiré, ce n’est pas toujours le cas.
Ah les cours de face de pion. Quel cauchemar.
Encore une année prochaine? Mais ça n’en finit pas…
Bérénice vous auriez pu être jésuite.
Renato est un véritable imbécile. Une tête folle et vide.
–
C’est exagéré, WGG. Il sait beaucoup de choses.
Un travail en commun avec leur prof d’anglais sur la littérature coloniale britannique, notamment Joyce Cary, Mister Johnson et William Boyd, Un Anglais sous les tropiques, pour faire un exposé afin de faire ressortir l’originalité du récit de Le Clézio, qui se détache nettement de ce genre de la littérature coloniale.
D. dit: 24 juin 2018 à 16 h 25 min
J’aime bien la formule qui donne raison et tort en même temps… Il sait peut-être beaucoup de choses mais qu’est-ce qu’il écrit comme sottises !
Je vais leur passer qulques extraits ds films de Jean Rouch sur l’Afrique. Je pense que ça va leur plaire.
D je sais que ces gens sont habiles, intelligents et cultivés, on leur reproche néanmoins malgré un sens de la diplomatie et du dialogue de se retrouver quoi qu’il arrive du côté du pouvoir dominant et cela sans qu’ils aient l’air de s’être salis de quelque façon. Du moins sans trop être instruite c’est je crois l’idée répandue. Les migrations représentent un réel problème, l’Europe et tous les pays riches qui ont profité et profitent encore des ressources minières, de surcroît arment des clans dont on ne sait trop ce qu’ils feront de l’avenir, la responsabilité des usa dans l’émergence des groupes armés islamistes, l’argent offert à des fins de rétention. dont on ne contrôle pas l’utilisation effective , tout ceci ajouté aux attentats, à une mixité des populations chrétiennes et musulmanes nouvellement influencées par le salafisme forment une complexité dont on voit mal comment le monde va se sortir. Les flux s’ils ne sont pas maîtrisés risquent de faire basculer l’Europe dans un néo fascisme baptisé populisme, cependant plutôt que de donner argent mon avis est que l’aide au développement devrait passer par d’autres voies qui ne coûteraient pas rien mais dont les peuples tyranisés , appauvris, démunis, soumis ou administrés par des responsables qui s’enrichissent grâce à ce contexte géo_politique devraient percevoir un bénéfice en terme de progrès visant à remédier à des problèmes locaux et qui concernent l’agriculture en particulier puisqu’ils vivent principalement de leurs maigres rendements et que l’exode rural intense vient grossir la misère des villes. De plus il manque dans ces pays de départ des structures éducatives, des hôpitaux, des dispensaires et des techniciens pour amorcer un processus qui se donnerait un autre but que de créer des CPS de réfugiés qui acceuillent des centaines de milliers de personnes fuyant doit la misère doit la mort et la terreur. Le réchauffement climatique zgravant les problèmes en Afrique ainsi qu’une démographie trop importante mais du désordre climatique les Etats riches ne peuvent décliner leur responsabilité, et pour les tyrans vous savez que la politique actuelle est soumise aux lois du pétrole et des richesses. Que nous importe le sort des peuples que nous contribuons à maintenir entre extrême pauvreté et la mort.
« Plus sexuel que politique néanmoins… »
Le chapitre des répétitions obsessionnelles, Jacques ?
« C’est exagéré, WGG. »
Il a le droit de le croire, D, il faudrait toutefois qu’il sache expliquer où la forme de Pétrole est révolutionnaire…
Curieuse référence à la critique savante, du professeur wgg, comme si les arts étaient soumises à des règles objectives ; comme si la subjectivité n’y était pour rien dans la perception des œuvres ; mais bon, c’est un gars qui n’a rien produit, donc la nécessité de se plier a l’opinion d’une autorité se comprend aisément.
« Que nous importe le sort des peuples que nous contribuons à maintenir entre extrême pauvreté et la mort. » (bérénice)
Exact ! On doit s’en foultre…. Ils ont d’excellents dirigeants ! Des natifs de luxe, uniquement préoccupés du bonheur de leurs sujets !!!
ai bcp ri aux perles du bac. Surtout la question sur l’âge de Pierre.
Beauvoir a lu tout le temps. Et a réfléchi autant. C fascinant.
« Le chapitre des répétitions obsessionnelles, Jacques ? »
Appelons-le comme ça, renato, oui ! J’aurais plutôt dit le chapitre sur l’art de la pipe !
N’allons pas tout mélanger. Petit rappel de l’affaire d’OK Corral
(La fusillade d’O.K. Corral est un affrontement qui s’est déroulé le mercredi 26 octobre 1881 dans la ville de Tombstone dans l’Arizona. Bien que seulement trois hommes aient été tués durant le combat, il est généralement considéré comme la plus célèbre fusillade dans l’histoire de la Conquête de l’Ouest, à cause du film Règlements de comptes à OK Corral. Il vit s’affronter les frères Wyatt Earp, Morgan Earp, Virgil Earp, associés de Doc Holliday contre Frank McLaury, Tom McLaury, Billy Claiborne, Ike Clanton et Billy Clanton. Ike Clanton et Billy Claiborne s’enfuirent du combat, sains et saufs. Morgan Earp, Virgil Earp et Doc Holliday furent blessés. Les deux frères McLaury et Billy Clanton furent tués. Ils ont été enterrés dans le cimetière de Tombstone).
Le monde est un abîme et le monde s’abimera !!!
Proverbe pachtou , méditez
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