A l’écoute des silences de Music et Rebeyrolle
Ce n’est pas pour me vanter mais je me suis toujours senti en situation d’impuissance chaque fois qu’il s’est agi d’écrire sur la peinture. Passe encore un article ou une préface. Mais écrire un livre non pas autour d’un peintre mais sur sa peinture. Un livre qui ne soit pas de pure réflexion théorique ou d’analyse esthétique mais même un livre d’écrivain d’art à la Malraux. Insurmontable sauf à verser dans le commentaire biographique, dans le meilleur des cas, ou au pire dans les travers de l’anecdote. L’impression nous gagne alors que la langue s’épuise en vain, que le lexique est d’une pauvreté insigne, que les métaphores s’annulent d’elles même face à l’immensité et à la profondeur de ce qu’il y a à décrire. Je n’en nourris que davantage d’admiration pour ceux qui en sont capables tout en renouvelant le genre.
Dès lors qu’elle paraissait dans « L’un et l’autre », la collection à mi-chemin du portrait et de l’autoportrait du regretté J.B. Pontalis, un boulevard s’offrait devant Sophie Pujas pour y évoquer son Zoran Music Dans Z.M. (120 pages, 17,90 euros, Gallimard). Il n’était pourtant pas évident de venir après le puissant La barbarie ordinaire. Music à Dachau (2001) de Jean Clair qui disait déjà l’essentiel. Il y manquait peut-être le superflu que ce nouvel auteur fait apparaître dans sa très discrète et humble majesté. Elle raconte la même histoire que lui mais pas avec les mêmes mots ; et lorsqu’ils sont forcément identiques, elle ne les a pas rangés dans le même ordre. Cela tient de la divagation poétique. Ce n’est pas de trop pour retracer le chemin de ce slovène élevé en frioulan, en italien et en allemand, dont l’enfance fut bercée par l’hymne habsbourgeois. Un grand type athlétique et gai, bon et gentil. L’écriture avance par éclats plutôt que par fragments. Econome et sobre, ce qui est la moindre des délicatesses pour évoquer quelqu’un de vraiment pas bavard. On suit le héros dans les rues de Venise, ville sans perspective ni point de fuite où il vivait, cité amicale aux fantômes et tissée de silences. Jusqu’à son arrestation pendant la guerre, sur le pont de l’Accademia. Menotté, il est emmené par les SS en gondole… C’est la première fois qu’il monte sur une gondole. Puis Dachau. Le cœur même des choses.
Le camp, il y est né et il y est mort ; c’est à croire au vu des dessins qu’il en ramenés et qui hanteront désormais toute son œuvre d’une manière ou d’une autre. Toutes les nuances d’ocre et du noir pour cerner silhouettes et visages comme le lui avait enseigné son maître Greco. Il puise ses teintes en terre d’Ombrie et de en terre de Sienne. « On ne peut pas appeler cela des souvenirs » note l’auteur et elle a raison. Tout ce qu’il dira et dessinera du camp excède la nature du souvenir. Avant d’être un camp, Dachau était un Pont-Aven : Corinth, Spitzweg, Liebermann y ont peint ; heureusement qu’ils n’y a pas eu d’« école de Dachau ». Après avoir vécu dans l’inimaginable, il rentre en Italie pour vivre dans l’absurde : à son arrivée, il est considéré comme déserteur… Mais il est assez bienveillant pour y voir la reconnaissance de profonde fascination pour le désert, apothéose du paysage, qui est tout sauf synonyme de mort. Ses portraits sans visage le destinaient à rencontrer un jour Paul Celan pour échanger des silences éloquents qui eussent assourdis les oiseaux ; la femme du poète prépara le terrain ; trop tard, il s’était jeté du pont Mirabeau. Nulle part plus à l’aise que dans la compagnie des montagnes, Music était animé par le sentiment de la perte
De temps en temps, dans un interstice, se glisse la voix du peintre en italiques. La voix du silence d’un homme pétri d’humanité et de sensibilité, qui ne sait pas vivre en compagnie de qui ne se suffit pas à lui-même. Un artiste attentif à tous les signes. Que son atelier de la rue du Saint-Gothard à Paris ait été précédemment occupé par Haïm Soutine puis par Brassaï lui apparaît comme un passage de témoin. Et au passage, on apprend que lorsque le président Mitterrand passa Noël à Venise, il descendit chez cet homme de doute radicalement indifférent au pouvoir et à son vain cortège de gloires ; on découvre qu’il renonça, après l’avoir acceptée, la commande du Sainte Famille que lui avait passée le cardinal Lustiger : « Dessiner un enfant lui était aussi contre nature et repoussant que d’en avoir un (…) Il pouvait tout supporter, sauf l’odieuse fragilité d’un enfant ». Il a fini par se dissoudre dans les brumes de sa ville et rejoindre ses tableaux. Zoran Music voulait qu’on se souvienne de lui comme d’une brise légère. C’est toute la douce vertu de Z.M. de nous y aider.
Que peut la peinture ? La question se pose pareillement face aux toiles de Paul Rebeyrolle (sa prochaine exposition particulière « Le pouvoir de la peinture » se tiendra à Eymoutiers du 22 juin au 30 novembre), une œuvre qui nous arrache du sol. Le photographe Gérard Rondeau rode autour depuis des années, 1988 pour être précis ; il a accompagné l’homme et l’œuvre un peu partout en Limousin et dans le monde, dans les ateliers, les expositions, les musées, les conférences, les rues ; il l’a regardé regardant ses maîtres, écrasé par l’évidence de leur génie, l’œil mouillé face à Rembrandt, Géricault, Delacroix, tout à sa jouissance de l’instant, engrangeant de quoi nourrir sa révolte légendaire ; il s’est mis à l’écoute avec toute la discrétion requise, laquelle n’exclut ni l’amicale vigilance, ni l’esprit critique ; il s’est imprégné de ses matériaux (terre, cendres, paille, fragments d’os et de bois) ; puis il a fait don à celui qui lui avait tant donné du Journal d’un peintre (19 euros, éditions des Equateurs) qu’il a composé à sa place. Un livre de Rondeau pour Rebeyrolle, l’un prêtant à l’autre son œil et sa voix pour donner le livre qu’il n’aurait jamais fait sans lui. Hormis la préface signée Rondeau, de même que les photos saisissantes de vérité nue, le reste, fusées baudelairiennes et explosions de pensées, est de Rebeyrolle, une force qui va, la mélancolie sans l’irrésolution, « un pessimisme clairvoyant » selon Rondeau.
Sublime dos de femme dans la Mort de Sardanapale, priorité essentielle du fond dans tout commencement de tableau, émotion face à l’intensité de l’air qui circule entre les toiles à Saint-Louis-des-Français, légère réserve devant l’envahissement des problèmes personnels dans l’art de Bacon, admiration pour l’héroïsme du résistant Guingouin, la vulgarité définie comme l’engagement d’engagement en toutes choses… Rondeau s’efface, Rebeyrolle s’avance ; voilà pour les paroles ; pour la musique, celle des images, ils vont dans ce livre bras dessus bras dessous. Il est peu de témoignage de complicité plus émouvant que la capacité d’un artiste à se mettre au service d’un autre artiste quand un lien intime les relie. Le Journal de leurs virées, un luxe que ce reportage infini, est un cadeau. La photo de Rebeyrolle au volant fonçant dans le paysage qui défile donne l’illusion qu’il va entrer dans le motif. On comprend alors en quoi sa représentation du monde est si physique. A l’instant de sa mort, l’un a regardé l’autre passer de l’autre côté et rejoindre sa toile.
De toutes façons, Music ou Rebeyrolle, l’écrivain ne doit jamais rien attendre directement de l’artiste même. Tout ce qui vient ne peut venir que de biais. Ne jamais oublier le refus de Francis Bacon : « Puisque je me suis déjà tué à le peindre, pourquoi voulez-vous en plus que je m’évertue à l’expliquer ? ». Rebeyrolle ou Music, ils nous en disent la même chose, Gérard Rondeau et Sophie Pujas : chez eux, le silence dit tout. Il est leur compagnon secret. Quand on regarde ce qu’ils ont fait, on n’a plus qu’une envie : se laisser envahir et se taire.
(« Paul Rebeyrolle fonce dans son paysage » photo Gérard Rondeau ; « Autoportrait de Zoran Music », 1988, Centre Pompidou)
441 Réponses pour A l’écoute des silences de Music et Rebeyrolle
C’est vrai que cela ne s’arrange pas, encore et toujours pareil: en dessous de la ceinture mais jamais bien loin…
de Muray j’aime bien celui sur les festivals :
« Ce ne sont pas les intermittents du spectacle qui ont pris en otage les festivals de l’été, comme s’en plaignent les maires festivisateurs, les cafetiers festivophiles, les hôteliers festivocrates et les festivaliers festivomanes; ce sont les festivals qui avaient déjà pris en otage, et depuis des décennies, toute énergie critique à leur égard, toute liberté de jugement et de langage à leur propos, et interdit jusqu’à la possibilité de contester leur bien-fondé. Ni l’«art» ni la «culture» ne sauraient plus être l’objet d’un examen froid; et encore moins les «artistes», pourtant ouvertement constitués en classe bureaucratique terroriste jouant à incarner le «spectacle vivant», et ne jouant que par là. Telle est la première conclusion que l’on peut tirer des troubles de juillet, dans tant de villes qui n’existent plus que par leurs Printemps des comédiens, leurs Francofolies, leurs Électrons libres, leurs Guitares à pattes, leurs Pipeaux bien tempérés ou leurs Tombées de la nuit, et il est normal que la majorité des esprits, colonisés par la «culture», aient été catastrophés de voir toutes ces belles choses annulées. Ce qui aurait été plus surprenant, c’est que quelqu’un ose ne pas considérer ces annulations comme des catastrophes.
Quand les agents de la SNCF se mettent en grève, on sait ce qui est paralysé. Mais qu’est-ce qui est paralysé, au juste, par les intermittents du spectacle en révolte?
Quelque chose d’infiniment plus important que les transports: le Bien lui-même, auquel ces intermittents s’identifient sans demander l’aval de personne mais sans jamais rencontrer non plus la moindre objection. Car s’il y a un point sur lequel tout le monde s’accorde, du Medef aux intermittents et de la droite à la gauche en passant par le gouvernement, les présidents de région, les bistrotiers et le public, c’est que les festivals sont l’une des plus hautes incarnations du Bien et que la Vertu la plus incontestable flamboie sur les tréteaux où gesticulent des gauchistes-troupiers qui se prennent pour Molière qu’on assassine. Une telle situation ne fait même rire personne….. »
Giovanni Sant’Angelo dit: 17 avril 2013 à 18 h 27 min
en passant par la Lorraine avec mes sabots
Vaut mieux y passer qu’y rester…
ML vous avez le texte sur le maire d’un petit village qui veut virer les vaches pour construire un musée d’art moderne ?
dans ce texte Muray dit un truc du genre qu’aucune oeuvre d’art ne peut rivaliser avec une vache, au niveau de la beauté, rien n’est plus beau qu’une vache.
c’est vrai que c’est beau une vache.
…
…chéris tu vient,…tu là veux en sandwich ta décollation à la crème,…
…Non,…le changement faire des tours à Spartacus,…tu l’a engagé,…je l’ai en stage,…au beurre,…à l’esprit large,…
…large, large, c’est vite dit,…
…il a du doigté,…l’automate,…en pile de charbon,…Ah,…c’est un blanc comme neige,…çà court pas les rues,…ces Gordon-flash,…en miss seine,…vernis à l’épreuve du temps en Bastille,…du genre à marquis,…la sade et chicon,…Ah,…Ah,…
…etc,…interdit d’en rire en biais,…l’à fronde,…
@ so what
en voici une version méconnaissable (même impossible à reconnaître) :
http://www.youtube.com/watch?v=RMWViYF8vbk
les photos que j’aime bien ce sont celles qu’on voit au mur dans des cafés parisiens, surtout à Saint Germain des Prés à Vaches, elles représentent les ouvriers et les artisans qui venaient jusqu’aux années 80, boire au comptoir leur petit blanc dans ces cafés, avant qu’on les vire avec la hausse des prix, ils les ont conservés en photo.
Sergio dit: 17 avril 2013 à 18 h 55 min
en passant par la Lorraine avec mes sabots
Vaut mieux y passer qu’y rester…
Eh, oh, l’Auvergnat, Nancy se souviendra de ces paroles !
Sors surtout pas du bois courir le risque de faire plus franchement pitié, c’est vrai quoi…
ces » ta gueule » répétififs me hérissent le poil .
à keupu , vousne croyez pas si bien dire , ils m’exapèrent au plus haut point .
et je ne tzirai PAS!!!
Le 19 h 11 n’est pas de moi, je tiens à le préciser. Mais j’en approuve l’idée générale.
…
…Sergio,…à 18 h 55 mn,…
…les voyage forme la jeunesse,…et y rester comme maître des cyans à fleurs de lys,…sans nombre d’un doute en multitude accorte,…
…rien ne vaut une chasse à cour pour en rapporter des cornes de fortune en gages,…
…etc,…les chasses à Maximilien en feux de joie,…des confesseurs à la lettre des sots,…
…Stop ou encore,…
…
…prendre l’air et sortir de l’auberge à cent sous, c’est pas une mince a faire à la tête haute l’édition,…etc,…
…
bougre je te jure c’est pas moi qui t’insulte ! c’est un autre qui vole mon pseudo, je te jure que c’est vrai sur la tête de Monsieur Assouline.
moi je n’oserais jamais t’insulter, tu sais que je t’aime ! sérieux t’aurais pas été opposé au mariage gay que j’aurais divorcé de ma femme pour t’épouser tellement je t’aime et que je sais que toi aussi tu m’aimes.
tu me crois ?
tu sais Bougre je veux pas déballer ma vie mais avec ma femme c’est plus ce que c’était quand je l’ai connue. tu veux que je rentre dans les détails ? non ? c’est mieux il vaut mieux pas entrer dans les détails.
faux keupu : arrêtez d’insulter mon ami bougre !!!!
bouguereau dit: 17 avril 2013 à 19 h 19 min
vas te faire enculer keupu..
t’es sérieux ou tu rigoles ?
c’est pas que je sois timide mais je préfèrerais qu’on commence par prendre un verre ensemble.
Il est rigolo ce Muray, plutôt Deproges que Coluche, non ?
Ces ados qui ricanent à longueur de journée, c’est à cause de vous ML ?
Le verre, c’est toujours après, D., et pas nécessaire !
» Début 2010, une étude avait fait grand bruit dans le domaine de la sociologie. Femmes et hommes, concluait-elle, ne seraient pas jaloux pour les mêmes raisons. Pour ces dames, la jalousie serait émotionnelle, reflet d’un temps où le mâle dominant devait utiliser son énergie à faire vivre le foyer, sans aller batifoler à droite et à gauche; pour les hommes, elle serait purement sexuelle, issue de la crainte de ne pas être le père de son enfant.
Un raisonnement simpliste? Pas tant que ça, selon de nouvelles recherches de la Pennsylvania State University Schuylkill, publiées dans la revue Journal of Social and Personal Relationships. Cette fois-ci, c’est sur les bisexuels que portait l’étude, avec un résultat troublant: un homme bisexuel aurait plus peur d’être cocufié « sexuellement » lorsqu’il est en couple avec une femme que lorsqu’il est en couple avec un homme. »
@Simili, je sais pas pourquoi, mais je salue Nancy. Une intuition.
Au moins il y a un pseudo stable.
Diago, tudieu !
« Quand on regarde ce qu’ils ont fait, on n’a plus qu’une envie : se laisser envahir et se taire. »
(id est : se laisser envahir par le fou rire taiseux en vous lisant)
ps: m’enfin, il y a ce Kaddish de Kertesz, et J.Q Châtelain fut magistral.
pps: je ne souviens plus de la préface des 1001 tableaux qu’il faut avoir vus dans sa vie (livre volé de mon plein gré dans ma bibliothèque, non plus que » l’art pris au mot », également envolé)
En couple, ah ben elle est raide celle-là !
Ah, oui
happy birthday Mr President
http://www.youtube.com/watch?v=k4SLSlSmW74
Bouguereau, je vous interdis de dire de telles choses der Sainte Angèle.
après en avoir tant fait dans le priapisme des étrons…
arlact dit: 17 avril 2013 à 19 h 06 min
Nancy
Pire y aurait bien Magadan…
UN VACARME : c’est
la vérité même qui
est entrée,
parmi les hommes
au beau milieu
des bourrasques de métaphores.
EIN DRÔHNEN : es ist
die Wahrheit selbst
unter die Menschen getreten,
mitten ins
Metapherngestöber.
Paul Celan (Renverse de souffle, Atemwende, 1967)
Die Welt ist fort, ich muss dich tragen.
Le monde est parti, il faut que je te porte.
(Paul Celan)
D’accord avec « pour l’amélioration… » 19 h 32. C.P. l’avait déjà dit à mots couverts, parce qu’il est diplomate, mais la République du Théâtre est une farce. LIpinska se fout du monde.
Zu
Entziffernde du.
Toi qu’il
faut déchiffrer, toi.
(Paul Celan)
La mauvaise langue dit: 17 avril 2013 à 21 h 49 min
Zu
Entziffernde du.
On ne dit plus Zu, maintenant, on dit u.eda.
Avec toi,
sur le pont de cordes-vocales, dans le
Grand Entre-deux,
franchissant la nuit.
Mit dir,
auf der Stimmbänderbrücke, im
Grossen Dazwischen,
nachtüber.
Mitraillé de bruits de cœur,
du haut de toutes les chaires du monde.
Mit Herztönen beschossen,
von allen Weltkanzeln her.
(Paul Celan)
EINMAL,
da hörte ich ihn,
da wusch er die Welt,
ungesehn, nachtlang,
wirklich.
Eins und Unendlich,
vernichtet
ichten.
Licht war. Rettung.
UNE FOIS,
je l’ai entendu,
il lavait le monde,
non vu, à longueur de nuit,
vraiment.
Un et Infini,
anéantis,
disaient Je.
Lumière fut. Salut.
UNE FOIS,
je l’entendis alors,
alors il lavait le monde,
modalité de l’invisible, toute la nuit,
réellement.
Un et Infini,
anéanti,
jeantir.
Lumière fut. Salut.
On a mis la sorciere sous terre et je me suis un bon rouge pour marquer l’evenement…les funerailles etaient a vous faire gerber…un peu comme la poesie que nous sert ML…
Merci, Mauvaise Langue, de ces trous de silence.
On dirait un tableau en ces mots ainsi déposés/disposés.
@mauvaise langue
je n’ai pas suivi de la soirée , mais relu là « pour voir » , et comment vous pouvez maintenant écrire des poèmes de Celan, cel , je ne le comprends pas , même si le billet lui du début le proposait .
Rien ne m’aide aussi bien à rétablir le silence en moi, que comme je le faisais justement en pensant à vos questions récemment de « structure » me mettre dans le dernier livre d’Atlan par exemple .
mais pas un poème sur le blog, là, à la suite, pas un poème de Celan .
tout, tout sur ce blog je le ressens comme de la production de machines remontées à produire, et moi-même, je n’arrive à laisser parler l’humain qu’en disant cela, et que je retourne au silence .
Ca m’etonne pas non plus que ses eleves lui ricanent a la gueule a longueur de journee…les eleves savent toujours quand le prof merite leur respect ou si c’est un bouffon…
UNE FOIS,
je l’entendis, oui,
oui, il lavait le monde
modalité de l’invisible, toute la nuit
réellement.
Un et Infini,
anéanti,
jeantit.
Embrasement de lumière. Salut.
dort, bei
der Opferstaude,
wo das Gedächtnis entbrennt,
greift euch der Eine
Hauch auf.
là-bas, près
du buisson de sacrifice,
où la mémoire s’enflamme,
le souffle, unique,
vous ravit.
(Paul Celan)
Lisez Philostrate et étudiez l’ut pictura poësis, John Brown et vous enterrez vos
clichés sur l’inaptitude des mots à traduire
la peinture. Lisez aussi Murray et regardez Roland Baraud, comme Mauvaise langue vous le suggère.
C’est un doux rêveur ML et toute sa véhémence provocatrice est comme un cri à peine voilé pour déjouer quelques instants son angoisse de vivre!
Pour abdelkader qui s’y reconnaîtra sans doute :
die näher-
segelnde
Eiterzacke der Krone
in eines Schief-
geborenen Aug
dichtet
dänisch.
cinglant
plus près
la pointe purulente de la couronne
dans l’œil
d’un Né-de-travers
écrit des poèmes
en danois.
(Paul Celan)
Jai « enterré » trop vite : fallait lire :
vous enterrerez.
Carole Thatcher hier: ‘ma mere m’a dit ma place dans l’histoire est assuree’…vite un bidon pour gerber dedans…magnes-toi le cul Jc…
la Sang-
noir boit
la semence du Sang-noir
die Schwarz-
blütige trinkt
des Schwarzblütigen Samen,
(Paul Celan)
quelque chose devient vrai
etwas wird wahr,
(Paul Celan)
Apparemment abdelkader n’a pas encore compris que l’histoire est l’histoire de nos meurtres.
dans le Nulle part éternisé, ici
im geewigten Nirgends, hier,
(Paul Celan)
Heu…pas vraiment ML…c’est un truc pour agreges ce poeme …donc pas pour moi…mais je suis sur qu’il est bon, puisque vous le dites….
Niemand
zeugt für den
Zeugen.
Personne
ne témoigne pour le
témoin.
(Paul Celan)
L’Autrefois pontique, ici
Pontische Einstmals, hier
(Paul Celan)
Et comment trouvez-vous ce poème de Pierre Reverdy, extrait de Flaques de verre, que je lis à l’occasion de ce billet, ML?
L’ELAN NORMAL
» Derrière chaque tête, des notes de clairon, un éclair de lampes électriques.
Les jambes, les bras, les muscles du visage s’agitent et rendent le personnage absolument méconnaissable.
Puis le silence bas, la nuit, la vérité.
Devant chaque tête un masque blanc, un mot pour rire, l’âme immobile.
L’œil s’attarde sur chaque trait, sur la ligne limpide et le corps tout entier.
Le calme froid.
Et, en même temps, sans que personne au monde le leur dise, des mots confus se mettent à sortir.
Les lèvres tremblent.
Tout ce qui peut mentir va arriver. »
Les poètes ont un tel don de prémonition…
LE SOIR, à
Hambourg, un
lacet de chaussure infini
— que
mâchonnent les esprits —
noue ensemble deux orteils sanglants
en serment de chemin.
ABENDS, in
Hambourg, ein
unendlicher Schuhriemen — an
ihm
kauen die Geister —
bindet zwei blutige Zehen zusammen
zum Wegschwur.
(Paul Celan)
Pierre Reverdy est un de mes dieux en poésie, cher ami !
Parlez pour vous ML…perso, j’ai assassine personne, bien que j’ai souvent fantasme dessus…comment? non pas vous, voyons…pour qui me prenez vous hein? Vous , z’etes un bouffon c’est tout…
des étrangers ont joué aux dés ce
que tous deux nous possédons encore
de langue,
de destin.
Fremde mit dem, was,
wir beide noch immer desitzen
an Sprache,
an Schicksal.
(Paul Celan)
Mais si abdelkader, vous faites partie des meurtriers comme tout le monde. Simplement, vous n’êtes pas assez lucide pour vous en rendre compte.
Vous êtes ce que Philippe Muray appellerait un partisan du Monde du Bien. C’est-à-dire une catastrophe.
Vous êtes une catastrophe parce que vous avez perdu le sens du tragique.
de l’hébreu d’os,
moulu en sperme
Knochen-Hebraisch,
zu Sperma zermahlen
(Paul Celan)
admirez les jeux du sens et du son, les noces du sens et du son :
SperMA zerMAHlen
Chaque institutrice et chaque instituteur de France devrait lire ce poème « L’ELAN NORMAL », à leur classe. Son ample réflexion d’éthique laïque concentre en elle même, le grand effort de transparence demandé à tous les français par la plus haute autorité de notre République.
C’est un vœux, c’est un souhait.
on connaît notre cahute
— man kennt unsre Kate —
(Paul Celan)
Les barreaux de l’échelle, par où
grimpe Ulysse, mon singe, vers Ithaque,
rue de Longchamp, une heure
après le vin renversé
Die Sprossen der Leiter, über
die Odysseus, mein Affe, nach Ithaka klettert,
rue de Longchamp, eine Stunde
nach dem verschütteten Wein
(Paul Celan)
Une larme retourne dans leur œil
Eine Träne rollt in ihr Auge zurück
(Paul Celan)
Le sens du tragique? surement pas…voyez par ex, la mort de Mme T est une tragedie pour ses admirateurs mais pour moi, une farce…parmis les pleureuses ce matin, Dick Cheney, Kissinger et vot’pote Nethanyahu…scusez-moi une seconde que je gerbe encore une fois…baissez la tete malheureux! Oops…trop tard…desole…
la truffe des fous de l’asile, morceau
de poésie non ensevelie
a trouvé la langue et la dent.
die Tollhäusler-Trüffel, ein Stück
unvergrabner Poesie,
fand Zunge und Zahn.
(Paul Celan)
Vous saisissez les jeux de mots macabres ?
ein Stück : mots qui désignait les juifs déportés
das Grab : la tombe > unvergrabner : qui n’a pas encore trouvé de tombe
et la belle allitération : Zunge/Zahn
Toll est un mot très ambigu puisqu’il signifie aussi dans l’exclamation familière : toll ! C’est chouette !
Mais Nethanyahu n’est pas mon pote ! Vous avez des jugements souvent à l’emporte-pièce, qui ne correspondent à rien. Vous êtes pardonné parce que vous ne comprenez rien. Il vous manque simplement un traité pour les égarés (il est écrit en arabe pourtant !)
NOIRS
comme la blessure du souvenir,
les yeux fouillent et te cherchent
SCHWARZ,
wie die Erinnerungswunde,
wühlen die Augen nach dir
(Paul Celan)
Vous entendez la syllabe longue et lugubre dans WÜHlen, un son qui semble s’étirer à n’en plus finir comme un long hululement terrifié et terrifiant. Faut l’entendre dans sa tête ! Avec cette recherche effrénée du nach dir : vers toi. Un cri déchirant, presque insupportable.
Si Nethanyahu n’est pas vot’pote, qui l’est alors? Ne me dites pas que vous etes une colombe quand meme? tain…on aura tout vu…vous commencez a m’interesser…si si…jusqu’a il y’a 5 minutes, je pensais que vous n’etiez qu’un maniaque-depressif bouffo qui n’a jamais eu une pensee originale dans sa vie…un expert du copier-coller, qui n’a pas toujours lu les livres dont il parle …un wikimaniaque…un branleur quoi…mais je peux me tromper hein…
Eh oui, abdelkader, vous découvrez que les gens ne correspondent pas aux pauvres préjugés que vous en avez… Je n’ai aucun pote en politique ! Et j’ai toujours lu les livres dont je parle, et bien plus encore. Mais il vaut mieux que vous gardiez vos préjugés. Comme dirait Nietzsche, c’est sans doute la seule vérité que vous soyez capable de supporter…
dites voir, les deux là, pourriez-vous arrêter avec les comédies adolescentes et la clinique des insomniaques ?
pas mal de reconnaître que vous n’êtes peut-être pas infaillible (s.) …….
pour le guide, la traduction préférée aujourd’hui est .. « des perplexes » !
Heu…on s’connait? comment? jamais mis les pieds a Mante-la-jolie…Porquerolle une fois et aussi Aulnay-sous-bois…mais jamais Mante-la-machine…sinon, la regle du blog est de zapper les conversations qui vous interessent pas…de pas se prendre pkur un pion de ZUP…y’a assez de profs sur le site comme ca deja…
quoi penser des prétentions à l’infaillibilité est l’évidence même…
NonML vous correspondez tres bien a ce que je pense de vous depuis des annees…un raciste, un poseur et un loser…allez dormez bien…
Imposant, le gras Buck survint des marches véhiculant un bol de mousse où reposaient en croix un miroir et un rasoir. Un peignoir jaune, débraillé, lui flottait mollement derrière au doux vent du matin. Il souleva le bol et entonna :
– introibo ad altare dei *
Plus que mille pages.
_____
(*) Classiquement traduit par « Je monterai vers l’autel de Dieu, [du Dieu qui réjouit ma jeunesse] » : Prière au bas de l’autel (psaume 42) constituant les premiers mots de la messe telle que codifiée par saint Pie V.
. . . mollement derrière au vent doux du matin.
Il avait bien raison, le Prophète : pas d’alcool pour les gens qui se tiennent pas droit. Faut voir dans quel état il se met l’Abdel quand il a trop bu… Minable, le pauvre ! Il divague comme un désert sans pétrole.
Jean-Paul II, Reagan et Maggie ont accéléré la décomposition de l’ex-URSS classique, boursouflée de mensonges, explosée en plusieurs Etats délicieusement démocratiques (!): ils méritent tout notre respect pour cette action sanitaire remarquable…
REQUIESCAT IN PACE, Maggie !
Les Beatles ont façonné la mémoire de millions de gens:
Jean Crotte est minable au départ : tu le poses et hop ! le mètre étalon des minables.
La RDl n’ jamais pardonné celui qui a répondu :
» Les livres, on ne les lit pas, on les écrit », aurait-il lâché quelques années plus tard alors qu’un chercheur américain s’enquérait de sa bibliothèque.
c’est le secret à 2 sourires qu’on vous cachait , et qui est pourtant sur la toile
j.p., pour un autre sujet, je vous ai répondu sur le blog de Charlotte Lipinska.
Les gays et lesbiennes ne sont pas aimés en ces temps difficiles car ils deviennent trop visibles pour tout dire, comme les burka qui sont des insultes à la discrétion d’un peuple pudique et charmant, les Français blancs hétérosexuels et chrétiens.
Notre observatoire à 8h00 a le cul assis sur une machine célibataire…Il en a bloqué tout le blog pendant plus de deux heures…
les siciliens chers à Nicole ont dû faire du bon boulot, ya pas de boudegras ici, c’est pas trop tôt !
« Observatoire des haines dit: 18 avril 2013 à 8 h 00 min
Jeanne-Marie dit: 18 avril 2013 à 9 h 04 min »
Calculer le temps écoulé entre 8h et 9h :
– une heure
– deux heures
– un certain temps ….
Le temps du blog, le temps de l’ horloge universelle, l’ heure gay-lesbienne et l’ heure de la burka. Deux mondes, deux contextes qui ne souffrent pas l’ amalgame.
épicétou !
Les tout-petits sont le bienvenue dans le royaume des cieux et les nains, heureux, dans le lieu clos de leur jardin.
Un nain sans son jardin n’ existe pas.
C’est vrai que Rebeyrolle n’est pas un nain dans son jardin,il aime les espaces à truites, lui!
Il crée des nids, il étend la paille sur l’ étable de l’art pour la naissance prochaine du veau, il dessine une mare pour la grenouille verte de la Creuse ou de la Corrèze.
C’ est un taiseux mais il nous laisse entendre le bel orchestre de la nature, il met la main à la pâte, il vitupère, il se bagarre, c’ est un actif, ça se voit sur ses toiles!
..
…cette nuit, je me suis taper » les mots de minuit « ,…
…comme çà,…pour me trouver d’autres conneries à me mater,…
…Oui,…aujourd’hui, je ressemble un peu à votre Guy Debord d’il y a 40 ans,…mais sans son cinéma,…et ses bistrot,…
…d’après la photo diffusée à l’occasion de l’art de la Guerre par votre BnF,…
…
…la liste des siciliens digne de ce nom,…est très courte,…et c’est les » Archimède , Pythagore,,.. »,…etc,…en voie de disparition ( même cloner aux A.G.M.) en Bio-Vert salades à pitres chicons Glamour,…
…
…les autres du » menu fretin, soumis à Rome et collabo’s chrétien à deux balles de jésuite « ,…comme disait un émigré pour son indépendance à la » offshore « ,…et son pissenlit de fraîche date,…à caramélisé,…Ah,…Ah,…
…etc,…envoyer au but,…pour faire mouche,…
On veut nous faire croire que Rebeyrolle est un peu brut de décoffrage mais rien n’ est plus faux.
Il faut qu’ il rajoute de la paille et du grain sur ses sujets..et bien il faut savoir que c’ est pas comme la moustache que Duchamp rajoute du haut de son ironique science de l’ art contemporain à la Joconde.
Non, c’ est comme si à une modèle à la chatte imberbe, (le parangon de la nouvelle hygiène de la modernité esthétique), il rajoutait avec toute la force de sa conviction des longs poils noir d’un bouc et ainsi nous faire sentir le silence éloquent de la nature!
péripateticienne de surface
la normalisation du racolage actif selon michel edouard c’est encore avec un sceau et un ballet..si je passe par porquerole je ne manquerais pas de foutre le feu a ta guarigue..je plaiderais l’agriculture sur bruli..la justice de notre bon roi te la mettra dans l’fion
En fait, c’ est un tendre parmi les tendres Rebeyrolle.
Et qu’ est-ce qu’il dit au modèle rasée de près qui prend la pose?
Rhabille toi et regarde que je te regarde comme tu es!
Zoran Music regardait le camp de Dachau de la même manière.
sentir le silence éloquent de la nature!
boh un incohérent ou un fumiste avait déjà fait une vénus de milo a barbe fumant la pipe..vangogh fait fumer un crâne comme tous ses collègues..le ba ba des facétie zarbo..bref l’origine même du pompièrisme, puisqu’il était de bon aloi lors des expos de l’académie de calçonner : une installation de manches a ballet surmontés de casque de pompier pour moquer la composition d’un ponte d’atelier
zut, les siciliens ont loupé leur cible, faut recommencer les gars, ya danger
A soixante ans plus un jour, Passou, vous le savez bien, vous, qu’ il existe des êtres humains qui ne peuvent s’ empêcher d’ exprimer le trop plein ressenti au contact des œuvres de l’ art. Car l’art opère des drôles de choses en nous et pour peut que l’on cultive cette appétit de l ‘œuvre d’ un autre, bonjour les dégâts!
Cela peut amener à se fâcher car on confond souvent l’être humain et l’artiste. Vous le savez bien, ce n’ est pas la même chose. Chaque être en son temps.
( On vous souhaite trente ans de blogs en plus, l’ âge de toutes les audaces!)
@ De la Haute-Vienne à la Corrèze
Vous avez honte de signer versubtil tout à coup ?
« cette appétit » Voilà que je pense à la Vénus imberbe!
Mais ce qui est acte de potache, le Boug,( je peux vous appelez comme cela, n’ est-ce pas?)c’ est la premier jet, le moment juste avant de dire d’ aller de rhabiller au modèle, le réflexe nain de jardin.
Les incohérents avant Yves Klein, l’album zutique avant les poèmes…
je est souvent un autre, Papy!
Résistez-vous à vous-même de temps en temps?
parce que je sais aussi résister à formuler les remarques que je me fais à moi-même, je soulignerai seulement que ce billet est le quatrième dans la catégorie art
si vous ne savez pas compter juqu’ à quatre , plaignez -vous à votre institutrice .
Et c ‘est reparti! je ne sais pas comment votre péras souline peut supporter ces niaiseriries à la mord moi -le
Bon appétit!
18 avril 2013 à 11 h 24 min pour l’humour de potache vous repzsserez les taches sans les pots qui font les plis .
Que vous êtes impressionnables !
L’art, personnellement, me laisse froid … ce n’est qu’un placement après tout.
L’art, personnellement, me laisse froid … ce n’est qu’un placement après tout.
bref ça te fait chaud au coeur..ta transvaluation des valeurs a toi c’est un tas d’euro en dollar ou l’inverse…ça fait des sueurs froides
« François Hollande a dénoncé jeudi les actes « homophobes » et « violents » commis par des opposants au « mariage pour tous », rappelant qu' »aucune manifestation » ne devait « dégénérer ». Le président de la République a réclamé que l’on « respecte le Parlement, la loi et le suffrage universel ». « Le suffrage universel a été informé de mes intentions quand je me suis présenté devant lui il y a un an sur ce texte », a-t-il rappelé. »
Manifestement, Sa Grandeur n’a pas compris qu’il n’est là-où-il-est que par erreur… ou plutôt par rejet du précédent !
Quelle brêle !
ou plutôt par rejet du précédent !
tu veux dire qu’il était encore plus brêle..décidément c’est un consensus
..le mieux jicé serait que tu parles d’autre chose..du cul et d’argent
Bougboug, un type brillant comme toi le savait…
Parlons plutôt de l’imbécillité : tu commences …?
Parlons plutôt de l’imbécillité : tu commences …?
restons naturel jicé..il ne faut pas forcer le talent et tout viendra a point
Benoît Apparut, UMP, qui a voté la loi pour le mariage gay, vient de dénoncer sur France Inter, l’amalgame de la gauche et des journalistes de cette radio d’ État, en ce qui concerne l’ empêchement de se déplacer de nos chers ministres. Comme si en d’ autres temps et d’autres circonstances, les manifestants ne pouvaient pas exprimer leur mécontentement!
jouer à celui qui sera le plus brêle, sans gagner ni voix ni argent, c’est indigne
Marianne en colère
t’es trop belle
1. Preferinte
Un francez este intrebat:
– Ce va place mai mult, vinul sau femeile?
Francezul raspunde:
– Depinde de data fabricatiei!
2. Ordine si disciplina
Sotul:
– Unde este zaharul?
Sotia:
– Da’ chiar nu vezi? Zaharul e in borcanul de cafea, pe care scrie „Sare”. Dar momentan e gol!
3. Morala crestina
Un preot o intreaba pe o prostituata:
– Mama ta stie ce faci?
– Sper ca nu. Asta este de fapt zona ei.
4. Mos Craciun
– Taticule, de ce Mos Craciun e barbat si nu femeie?
– Unde ai vazut tu femeie sa poarte aceleasi haine in fiecare an?
5. Razbunare
Ion pe patul de moarte:
– Mario, eu mor… Vreau sa plec de pe lumea asta cu sufletul impacat. Sa stii ca te-am inselat…
– Stiu, Ioane, ca de aia te-am otravit
6. Ultima dorinta
Tot Ion pe patul de moarte. O cheama pe Maria langa el si ii zice:
– Mario, eu nu mai am mult de trait, mai am un pic si mor… Dar mai am o singura dorinta, spune-mi drept, m-ai inselat pe mine vreodata?
– Mai, Ioane, eu ti-as zice, da’ daca nu mori?
7. Inechitate
O fetita se uita pe gaura cheii in camera parintilor.
La un moment dat exclama:
« Si cand te gandesti ca pe mine vor sa ma duca la psihiatru pentru ca-mi sug degetul… »
8. Gramatica
Intrebare: Ce timp gramatical este folosit in propozitia: « Tu nu trebuia sa te fi nascut « ?
Raspuns: Prezervativ imperfect.
9. Argumente
Primarul unui oras observa ca cel mai mare si mai bogat avocat din oras nu a facut niciodata o donatie in scop de caritate. Pentru a-l convinge sa o faca, primarul il chema la el in birou:
– Domnule avocat, am observat ca veniturile dumneavoastra anuale se ridica la peste 600.000 de dolari. Cu toate acestea, niciodata nu ati facut o donatie comunitatii…
– Daca tot ati cautat informatii despre mine, nu ati
observat ca mama mea este bolnava, iar medicamentele de care are nevoie depasesc de cateva ori veniturile ei?
– Nu… raspunse primarul jenat.
– In al doilea rand, fratele meu, veteran de razboi, este condamnat intr-un scaun cu rotile si este orb.
Primarul incepu sa-si ceara scuze, dar fu intrerupt:
– In plus, sora mea a murit intr-un accident lasand orfani trei copii.
Umilit, primarul spuse cu voce stinsa:
– Nu stiam, ma iertati…
Avocatul continua:
– Nu vad de ce v-as da dumneavoastra bani, daca nu le dau nici lor…
10. Lantul slabiciunilor
Un copil de 12 ani intra intr-un bordel .
– Sarut mana. Vreau si eu o femeie!
Matroana, mirata, il intreaba cam ce femeie ar vrea.
– Vreau o fata cu o boala venerica, daca se poate! Platesc oricat.
– Bine, daca asa vrei… Du-te cu Gina.
Face baiatul sex cu Gina, apoi da sa plece.
Matroana il opreste:
– Auzi, da de ce ai vrut o fata cu astfel de boala?
– Pai sa vedeti: eu acuma ma duc acasa si vine baby-sitterul, femeia care are grija de mine.
Ei ii plac copiii mici, asa ca mine. Si o sa facem sex. O sa ia boala.
Diseara, tata o duce acasa cu masina. Eu il cunosc pe tata: o sa i-o traga… Si-o sa ia boala.
La noapte o sa si-o puna cu mama. Si o sa ia si mama boala…
Eu o cunosc pe mama: maine o sa si-o traga cu vecinu de alaturi.
Ei bine, ala e omul care mi-a omorat broasca!…
11. Un om obosit
Ion si Maria in pat, noaptea. La un moment dat, Maria, care nu avea somn, il intreaba pe Ion:
– Ioane, dormi?
– Nu!
– Ma iubesti?
– Dorm!!
12. Rita
– De ce taifunurile au nume de femei?
– Pentru ca vin umede, teribile, fierbinti si pleaca cu masini, case….
13. Teapa
M-a sunat ieri o tipa:
« Vino acum! Nu-i nimeni acasa. »
M-am dus. Nu era nimeni!
14. No shit!
Intr-o zi, la usa unei batrane suna un domn elegant imbracat cu un aspirator in mana.
– As dori sa va prezint cel mai performant aspirator!
Si in acelasi moment arunca pe covorul din holul casei o cantitate considerabila de
balegar, spunand:
– Daca acest aspirator nu va curata TOT, promit ca restul il voi manca!
Batrana, dupa ce asculta toata povestea, ii raspunde:
– Atunci sper sa ai pofta, ca nu am curent de azi-dimineata!
15. Popii
Odata, un popa si un rabin se ciocnesc cu masinile si au un accident destul de urat.
Reusesc ei cu chiu cu vai sa iasa dintre fiare. Rabinul il ia pe popa de brat si ii spune:
– Parinte, ar trebui sa-i multumim lui Dumnezeu cu cerul si pamantul ca am scapat teferi!
– Asa este, ai dreptate, Sfintia Ta!
– Uite, spune rabinul, ca sa celebram acest gest maret de la Dumnezeu, hai sa inchinam un pahar de vin, din sticla pe care sper sa o mai gasesc intacta in portbagaj.
– Hai, zice popa.
Scoate rabinul sticla din portbagaj, mai scoate si doua pahare, le umple si ii da unul popii.
Inchina ei paharele, spun cate o rugaciune dupa care duc paharele la gura.
Popa soarbe toata licoarea dupa care se holbeaza la rabin si il intreaba:
– Pai ce faci, Sfintia Ta, nu bei?
– Nuuuuu, astept sa vina politia
…
…pour moi,…avec loi ou sans loi,…le genre » grec « ,…pour renouer à Sodome et Gomorrhe,…
…c’est d’un déjà vu,…pas de quoi en faire des lunes à conquérir,…
…des modèles de vanité à renouer les » Aristocrates « ,…du social » bûche de Noël « ,…pour la fête du 1° mai,…des cordon bleu à la crème de Vichy et C°,…( compagnies ),…un manque de légions à César à peaufiner l’armagnac au cidre,…
…la diversion,…l’émancipation situationniste systémique,…pour en casser une gauche revendicative à la Guy Debord,…
…etc,…le couvert est encore chaud,…
Un camp langagier de roms s’ est installé sur la RDL, faut-il appeler les forces de l’ordre socialistes à la rescousse?
Ils le font bien ailleurs en France!
« forces de l’ordre socialistes à la rescousse »
Le peuple, quoi ?!
attendez j’arrive
…
…papier copier/coller,…c’est vite dit,…il faut le trouver le billet pour en boucher des coins d’amour du site à la hussarde,…faisant fonctions,…
…c’est pas du bilboquet de jeux de paumes çà en mûre les sons et lumières,…çà nous les privatise les mains libres,…aux public-relations,…les emplois nouveaux sont arriver en » têtes-bêches « ,…les timbres acoustiques
…,…Non c’est pas Jérôme,…avec l’abbé Pierre ,…c’est le cordonnier qui s’enfile une bardache à cloutée de travers,…pour l’ordre moral à St-Michel de Lancelot,…la drague aux assomptions de la table-ronde,…
…les baptèmes aux press-bîtes encore fraîches sur le net,…les derrières nouvelles,…à l’eucharistie des frères de la côte et des pans de côte de la flibuste de l’Île de la Tortue,…à nos moussaillons pour faire fortunes, semons aux vents,…les graines de nos semailles pour l’érudition à la lecture,…au suivant à l’art du savoir faire se limer un plongeon ad-hoc,…
…au presse-bite du moussaillons,…la dérive en action,…inversé le petit bateau au col blanc quatre saison,…les pizza’s pour quatre saisons au pied neuf des salaison,…
…etc,…les actions de bourse en libre-échange offshore,…les emplois nouveaux sont arrivés,…la demande est croissante et ex-presso aux cigarettes russes,…
…etc,…une autre,…font la paire,…
Giovanni Sant’Angelo dit: 18 avril 2013 à 14 h 55 min
Non c’est pas Jérôme
Ha si c’est moi, Jérôme, non je n’ai pas changé, pom, pom…
le cordonnier qui s’enfile une bardache
et Brasillach qui fait pareil avec Bardèche…c’étoye avant l’invention du gud-ceinture
se limer un plongeon ad-hoc
..t’écoutes brigite lahaye sur montecarlo !
qui fait pareil avec Bardèche
et Spinoza qu’ en..le Hegel…ah, quelle époque !
Le pédiatre Aldo Naouri se prononce contre le mariage des homosexuels qui aurait des enfants. François Hollande avait conduit le parti socialiste à la décadence, il est en train de conduire la République à la catastrophe.
La terreur de la bien pensance maternisante infantilisante est sérieusement en train de nous les gonfler ! A bas la grande Maman, on n’en a plus besoin, nous autres les grands sevrés depuis longtemps. Les débiles infantiles sont en train de nous pourrir la France.
lahaye sur montecarlo
La haye, La Haye…c’est pas ce trou normand radioactif de partout…qui fuit comme les boîtes au Piero gourmand ? hein, quoi ? La Hague ? ah, faites escuse…
353
Ils doivent tous avoir le trouillomètre à zéro.
353
353
353
Le pédiatre Aldo Naouri se prononce contre le mariage des homosexuels qui aurait des enfants.
Ta syntaxe est toujours aussi désirable, drakul. Y passe donc jamais te voir ton IPR ?
Quand on connaît pas sa grammaire élémentaire, on a juste le droit de la fermer !
dis donc drakul, soye poli, hein ! c’est pas pasque tu fais ta frigide barjot que tu dois te sentir dispensé de faire les accords grammaticaux « élémentaires », comme tu dis si bien…t’es qu’un peigne-zizi épicétou
Mercredi prochain sort le film de Margarette von Trotta sur Hannah Arendt à Jérusalem en 1961. Je me demande ce que ça vaut.
Apprends d’abord à les faire les accords avant de causer !
La mauvaise langue dit: 18 avril 2013 à 16 h 34 min
il est en train de conduire la République à la catastrophe.
« Un Louis XIV se serait tiré de là. » (Nabulione au soir du dix-huit juin mille huit cent quinze)
Oui enfin Frigide Barjot c’est une trouvaille qui vaut mieux rester cachée…
le pediatre ?
ah bon, c’est donc une nurserie ici….aussi ?et ça braille !!
excuses
Le hideux faraud s’obstinait à singer aveuglément les grâces des petits-maîtres à la mode et les minauderies des bardaches qui composaient sa fréquentation ordinaire; car le butor jugeait plaisant de couronner du péché des Bulgares ses innombrables ridicules de Hongrois. »
Margarette von Trotta
Margarethe, drakul…t’as qu’à dire « gretchen », si c’est plus facile pour toi…t’es indécrottabe
une trouvaille qui vaut mieux rester cachée…
ah non sergio, tu vas pas faire ton drakul ! un attardé syntaxique sur la Rdl, ça suffit !
dis plutôt (drakul’s style, après relifting complet des synapses) : dont il vaudrait mieux qu’elle restât cachée
ou encore (façon spanghero brothers) : qui vaut mieux qu’un steak haché
Je me demande ce que je veau
dans la quasi, ou dans le jarret ? y a une nuance bon sang comme dirait sergio
qu’est-ce qu’y z’ont tous, aujourd’hui ? dit: 18 avril 2013 à 17 h 07 min
vaut mieux qu’un steak haché
Oui mais cela c’est l’ultima ratio je me demande si on peut…
au premier taon de la vache dit: 18 avril 2013 à 17 h 15 min
dans la quasi
Non mais là faut être technicien faut avoir appris…
Désolé mais j’ai pas une douzaine d’adresses mail valides. J’en ai trois, toutes blacklistées. Alors forcément j’en invente, et celles-là aussi deviennent tricardes. J’écris pourtant rien de politique, rien d’ordurier, rien d’agressif envers qui que ce soit.
Et, comme à chaque fois je suis obligé de changer aussi de pseudo, j’entre dans la définition du troll : faux e-mail, pseudo multiple.
Ben, je vais vous dire, ça me gêne.
après Naouri :
en lisant
« Dominique Bona a obtenu 15 voix au premier tour de scrutin, contre 8 à Philippe Meyer (29 votants), a précisé dans un communiqué l’Académie, fondée en 1635 par Richelieu, chargée de veiller au respect de la langue française et d’en élaborer le dictionnaire. Dix candidats briguaient le fauteuil de l’historien et romancier, décédé le 17 août 2011 à l’âge de 97 ans, et qui avait été élu au fauteuil 33 le 18 avril 1985.
je ne suis pas psy mais je me demande s’il n’y a pas du syndrome d’anniversaire dans l’air .
attention quand vous soufflerez les bougies
La mauvaise langue dit: 18 avril 2013 à 16 h 46 min
on a juste le droit de la fermer !
chacun son tour, hein.
Trollissimo,
Rien de politique ? rien d’ordurier ? rien d’agressif ?….. Une vie sans but, une vie triste !
Soyons clair et sergien : l’Académie, ça sert à rien !
troll par nécessité dit: 18 avril 2013 à 17 h 51 min
Désolé mais j’ai pas une douzaine d’adresses mail valides.
Je crois qu’il faut simplement la forme générale d’une adresse mail, à essayer.
Cela dit, puisque tout le monde est tôt ou tard frappé, il faut bien voir qu’il y a nécessairement des aberrations humaines, conscientes ou par négligence, au cas par cas ou dans le paramétrage, à l’origine de ces tracasseries. C’est donc de la discipline pure.
L’Académie et le dictionnaire….ce furent symboles en leur temps. Je préfère le nombre de porte-avions en état de marche, la monnaie de référence, le pragmatisme non-humaniste, bref l’aptitude à manoeuvrer dans le réel.
mais dit l’anthropologue :
« J’ai pu avoir un rapport non scolaire à cette discipline. » Apr…
… c’est le silence( ou le pas de rapport ) qui effraie !
JC dit: 18 avril 2013 à 18 h 07 min
Je préfère le nombre de porte-avions en état de marche
Ben… Un, et pas bien gros… Ha c’est sûr c’est pas la flotte à Darlan…
JC, vous avez mille guerres de retard, les statues sur lesquelles vous paradez en vainqueur ont été déboulonnées par d’autres bien avant vous.
l’aptitude à manoeuvrer dans le réel (JC)
J’adore collectionner les formules qui ne veulent rien dire et je vais ranger celle-là en bonne place.
manoeuvrer dans le réel
C’est à la portée de tout le monde. Moi, je manœuvre dans le surréel, ce qui est un peu plus difficile.
(ta gueule keupu, je sais).
La mauvaise langue 18 avril 2013 à 16 h 34
c’est trop bête qu’il écoute pas des remarques clairvoyantes comme tu sais si bien en donner, on serait déjà sorti d’affaire
Un, et pas bien gros…
Oh, Sergio, t’attiges, là, c’est quand même pas la barcasse du pêcheur à la ligne.
sans blague dit: 18 avril 2013 à 18 h 40 min
Garnement ! Tout le monde sait que Mauvaise Langue est un peu bêta, inutile de le faire remarquer.
On avait entendu parler des résistants de la 25ème heure, nous vivons les temps glorieux des soldats se vantant de tuer ce qui l’a été bien avant et par d’autres. Bombez les torses bombez comme chantait l’autre.
@ sans blague 18 avril 2013 à 18 h 40 min
le handicap mental est une terrible épreuve, n’accablez pas ceux qui en sont affligés.
Et lui avec sa camionnette ? Il va la conduire longtemps, comme cela ?
Les socialistes assassinent nos enfants ! L’homosexualité est un crime !
Flamberge dit: 18 avril 2013 à 18 h 42 min
c’est quand même pas la barcasse du pêcheur à la ligne
On a paumé quinze mètres par rapport au plan initial pour réutiliser le radoub du Foch. Seulement, quinze mètres, quand on est au manche du Rafale qui décolle ou même qui remet les gaz, ça peut toujours trotter dans la tête…
« La plupart des espoirs de la jeune littérature britannique selon la revue « Granta » sont nés à l’étranger » (twit)
J’ai longtemps été abonné à Granta, mais ils m’énervent avec leurs recensions périodiques des espoirs, surtout qu’ils se gourent deux fois sur trois.
quinze mètres, quand on est au manche du Rafale
Oh, mais c’est des as. Tu sous-estimes. Et puis quinze mètres de moins ça peut être utile en régate.
Bonsoir Passou
Je voulais visiter votre ancien blog – et voici le message que je trouve „Reported Attack Page! This web page at passouline.blog.lemonde.fr has been reported as an attack page and has been blocked based on your security preferences. Attack pages try to install programs that steal private information, use your computer to attack others, or damage your system.Some attack pages intentionally distribute harmful software, but many are compromised without the knowledge or permission of their owners.” – IL faudrait peut-être alerter les responsables des blogs le monde!
Flamberge dit: 18 avril 2013 à 18 h 57 min
Oh, mais c’est des as
Ils volent très peu en école, un peu plus sur simu. Tout est dans le flicage, la sélection. Quelle époque opaque dirait le Concombre masqué…
Boh, rater le ponton à l’atterrissage ça peut être embêtant mais à l’atterrisage c’est rien, ça flotte bien un Rafale.
« J’adore collectionner les formules qui ne veulent rien dire et je vais ranger celle-là en bonne place. »
je me fous de collectionner les formules qui ne veulent rien dire et je vais ranger la votre en bonne place.
Quelle époque opaque dirait le Concombre masqué…
Quelle époque épique, dirait le crétin qui vient de se faire encore recaler à l’Académie.
ah, là, t’es pas fair-play, le jicé, parce que « J’adore collectionner les formules qui ne veulent rien dire et je vais ranger celle-là en bonne place. » n’est pas une formule qui ne veut rien dire. La tienne, si. T’aurais dû argumenter pour te défendre.
S..cryme dit: 18 avril 2013 à 18 h 34 min
Propos stupides : où sont les preuves que vos rêves ont un sens sinon dans votre aptitude à tourner en rond ?
bon, cela étant, je suis con, je reconnais.
un con… ton pseudo te va bien.
JC dit: 18 avril 2013 à 19 h 08 min
S..cryme dit: 18 avril 2013 à 18 h 34 min
Propos stupides
mais c’est qu’il est susceptible notre jicé !
eh c’est pas un pseudo, c’est comme ça qu’on m’appelle.
Nous n’en sommes plus à nous défendre contre la connerie qui submerge … mais à trouver la bonne lessive.
tout le monde me tient pour un con, y a unanimité.
et toi, jicé, tout le monde te prend pour un con ou y a des naïfs qui font exception ?
JC n’est pas un con ! Il a quelques difficultés intellectuelles, sans plus.
Un con….
s’il y a unanimité, il y a une minuscule chance que tu sois génial.
Franchement … il y a plus con que moi ! Je suis tranquille : la concurrence a énormément d’avance sur moi …
Par contre, en libre parole, pas de fausse pudeur.
Il est vrai que certains de nos concitoyens qualifient JC de brute épaisse. Mais c’est un abus lexical. Il n’est ni brutal, physiquement, ni épais, physiquement.
JC dit: 18 avril 2013 à 19 h 17 min
Franchement … il y a plus con que moi !
Tu penses à ML ?
HR ne serait pas de ton avis.
ML est un garçon tout à fait remarquable qui devrait être respecté au delà du raisonnable !
HR est un navire à boussole multiples, toutes déréglées … mais je l’adore ! Bizarre, n’est-il pas ?
Mais -et nous en resterons là- le meilleur d’entre nous est Giovanni de Saint Ange.
Et de loin !
« où sont les preuves que vos rêves ont un sens »
Rayon énormité elle vaut son pesant de cacahuètes (d’autant plus que vous ne les connaissez guère).
Mon pauvre JC, des poseurs comme vous pulullent à tous les coins de rue, avec cette soi-disant « libre parole sans fausse pudeur » qui n’est qu’application scolaire et gnangan du déjà dit et mieux par d’autres. Alors pour ce qui est de tourner en rond, pauvre cabot… je ne sais pas moi, créez un band Frigide et les cold cops par exemple, ce serait un poil mieux.
Mon pauvre escrime, tu te bats avec une épée de bois bien émoussée … il est vrai que tu ne sais pas ce que cela veux dire.
Bonne soirée et gros bisous !
Ne te rêve pas trop nain dans mon jardin, mon petit…
Sergio dit: 18 avril 2013 à 19 h 03 min
Flamberge dit: 18 avril 2013 à 18 h 57 min
Oh, mais c’est des as
Ils volent très peu en école, un peu plus sur simu. Tout est dans le flicage, la sélection. Quelle époque opaque dirait le Concombre masqué…
———-
C’est une plaisanterie je suppose ? Ils vont tous pendant des semaines aux States où ils volent plusieurs heures par jour sur des T-2 à 400-450 kts tout de même. Ça coute une fortune au contribuable français d’ailleurs. Ensuite ils passent au Rafale, un tantinet plus puissant il est vrai. Un tantinet plus cher aussi.
Si Milly, à 7:23
Quel « Portrait », vous avez donné en lien.
« Un voyage à la poursuite de choses évidentes »
Et dont la lecture va se poursuivre. Merci.
Nous sommes dans un small talk, je n’ai plus souvenir de ce que l’on nomme conversation en apparté.
Voilà un conte:
» Il était debout sur une étroite vire, face à une dalle qu’il taillait avec un ciseau dont la tête avait été largement écrasée par le marteau. Une immense dalle de granit à grain fin le dominait, parfaitement plane.
A première vue il était tailleur de pierre.
Son accoutrement, ses outils, et surtout son travail, tout l’indiquait. Sans doute était-ce un fou. Car il fallait l’être pour tailler une dalle de granit au milieu de la paroi de l’Envers des Aiguilles (…)
« Mais que faites-vous là ? »
« Eh bien je travaille, comme vous le voyez !
– Et bien sûr, vous trouvez normal d’être sur cette vire, en pleine paroi, en train de tailler
– C’est curieux. Ceux qui me rencontrent posent tous la même question. Cela prouve qu’ils n’ont au fond que peu réfléchi sur une chose qu’ils connaissent pourtant bien.
Toutes ces montagnes- il me les désigne d’un geste large- sont en pierre. Croyez vous que seul le hasard les a modelées ?
– Attendez ! Vous prétendez que c’est vous qui, avec votre marteau et vos burins … »
copyright Bernard Amy
Pas d’anniversaire de cape et d’épée ce soir Quai Conti; M. Michel est Mohrt. Et M. Pierre Nora se refait une jeunesse.
et pour cause « en aparté »
Ne te rêve pas trop nain dans mon jardin, mon petit…
Feu de mon slip ! C’est toi la pourfendeuse de mes espérances ?
des journées entières dans les arbres dit: 18 avril 2013 à 20 h 54 min
une dalle qu’il taillait
Ha mais c’est comme cela que la pensée progresse dirait Passou…
Le je se doit de bien se porter, tiens-le toi pour dit !
Et les abrutis pourront toujours prétendre qu’un collectif défend des convictions face à un homme victime de l’idéologie. C’est vrai que chez les cons, toutes les énormités sont possibles !
si milly 2013 dit: 18 avril 2013 à 22 h 55 min
l’angle de la pente, au millésime près
Hum, méfiance faut faire la Wacht am Rhein au prochain billet…
De la perpétuelle intelligence raconte :
Que le XXIII crève,
le Pie sua Pio !!! !! !.
Missa sans Péronisme*** est,
Google ne sait Longitude et Latitude,
au GPS, vos voyages perdurant,
incognito sulfuré,
Beauté suie du groin sans défense que béton,
le CNIT sans soupline mais avec :
Bonux… .. .
Je vais me coucher, mais avec l’idée que tout le malheur des hommes vient bel et bien du péché originel, et que c’est parce que nous savons que nous sommes nus que ça va mal.
Pseudo d’une marque lessi-vieille*** sans cadeau dit :
sur la peinture,
le lard du spirituel,
autre que particulier :
Vivre avec un tableau ou des tableaux n’a rien à voir avec vivre avec une bibliothèque.
Vous êtes seul avec votre tableau, vos tableaux.
Collectionnez les boites de camembert,
tels des livres,
de la lecture vous aurez à partager…
Tout à chacun se souviendra de l’odeur, si nez fût, car ainsi,
de pieds à chaussettes,
fumet est.
Missa sine nomine !!!.
Oh joie, ma More***,
Ali Boron est !!!.
Spirituel, n’est-il point ???
Le pas du marcheur,
le point du dormeur…
( ._ )…
Là,
sous ligne,
d’ombre…
Golfe de Siam,
encore et encore,
et au final,
par l’est,
Kom Pong Som !!!.
До свидания
пожалуйста,
avant nettoyage !.
Nitchevo, Nitchevo, Silence … .. .
441
commentaires