Aimer la Résistance sans aimer tous les résistants
On n’imagine pas un « Dictionnaire amoureux de la collaboration ». Encore que, l’air du temps s’y prêtant, certains se feraient un plaisir. Difficile de résister à un Dictionnaire amoureux de la Résistance (504 pages, 22 euros, Plon-Fayard). L’air du temps, là aussi, mais pas le même : non celui des élections mais celui des célébrations. Gilles Perrault y est parfaitement à son affaire : non seulement il a autrefois consacré de copieuses enquêtes à des réseaux tels que l’Orchestre rouge, mais il est si imprégné de cette épopée qu’il vit à Sainte-Marie-du-Mont, dans le Cotentin, à deux pas d’une plage du Débarquement.
C’est la loi du genre, ou du moins, de la collection, laquelle a fait ses preuves : l’auteur ayant carte blanche dans l’ordre du subjectif, du personnel et de l’arbitraire, il parle de ce qu’il veut dans sa manière à lui, sous réserve qu’il ne soit pas constamment hors-sujet. Un esprit aussi indépendant que celui de Gilles Perrault n’aurait pu s’accommoder de toute autre ligne. Il y aura donc les figures imposées, les grandes gloires, les héros, l’épopée, le mythe et même la légende. Il y aura aussi leur négatif, leur part d’ombre, leur jardin secret. Et surtout le reste. Aussi s’attend-on à de l’inattendu. La biographie de l’auteur le laisse espérer car elle est moins lisse et rectiligne qu’on ne l’imagine.
De son vrai nom Jacques Peyroles, il est né à Paris en 1931 (un adolescent donc, sous l’Occupation). Des parents républicains, lui avocat d’affaires, elle députée MRP, qui se feront naturellement sous l’Occupation « modestes soldats de la Résistance ». Après son droit et Sciences Po, il exerce lui-même comme avocat. Son premier engagement s’inscrit dans la guerre d’Algérie, mais pas là où le laisserait croire son long parcours de militant d’extrême-gauche, tiers-mondiste et anticolonialiste : il se porte volontaire pour intégrer le 8ème régiment de parachutistes coloniaux dans le Constantinois « en souvenir des bérets rouges du colonel manchot Bourgouin que nous avions tant admirés à la Libération », expérience au cœur de son récit Les parachutistes (1961). Ce livre sera suivi de grands reportages, de romans d’aventures et d’enquêtes historiques à grand succès, axées sur l’espionnage en temps de guerre, qui seront désormais sa signature : Le secret du jour J, L’Orchestre rouge, Le dossier 51, Le grand jour, La longue traque etc ainsi que d’enquêtes à charge inspirées de l’actualité dénonçant la condamnation de Christian Ranucci à cause d’un pull-over rouge ou les liens mondains et affairistes franco-marocains avec « notre ami le Roi ». Des livres controversés, dérangeants, volontiers scandaleux mais portés par une indéniable force de conviction.
On la retrouve, avec ses élans, ses contradictions et sa sincérité, au cœur de Dictionnaire amoureux de la Résistance écrit avec le « ton Perrault », vif, enlevé, rapide, coloré. Tout sauf universitaire. Fourmillant d’anecdotes, d’histoires, de détails (André Harris, l’un des co-auteurs du Chagrin et la pitié, devenu directeur des programmes d’Arte, continuait d’appeler « des Schpountz » les partenaires allemands de la chaîne !), ne reculant pas devant la tentation de la geste, sinon de l’épopée (ah, « le peuple résistant » !), il appelle un chat, un chat et… certains, des fripons. Tous azimuts. Ses pages sur la comparution des époux Aubrac face à un tribunal d’historiens au siège de Libé en 1997 sont sans indulgence pour les procureurs. Il parle de la haine car il tient la haine comme le carburant de la Résistance :
« Si vous ne pouvez concevoir la haine, quittez toute espérance de comprendre la France de ce temps-là ».
Comme de juste, dût-il être consacré aux autres mais à des autres si proches, un livre aussi personnel est un autoportrait en creux. Des vingt-deux « terroristes » de l’Affiche rouge, Marcel Rayman, instructeur des FTP-MOI, grand liseur, tireur d’élite, guérillero épris de la vie, devient son héros à 20 ans au début des années 50. Il considère le discours de Malraux lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon comme faisant partie à jamais des grands textes du roman national ; mais, outre que la mémoire est changeante quand les politiques la gouvernent, on est un peu moins optimiste que lui sur les restes dudit roman national, hélas. Quant au colonel de La Rocque, il lui consacre plusieurs pages commençant par un tranchant et provocateur « Il fut le premier à appeler à la résistance », se poursuivant par un rappel de son « déportement » (curieusement employé en lieu et place de « déportation ») et s’achevant par la dénonciation de ces historiens étrangers qui prétendent faire porter le chapeau du fascisme à la française à ce républicain légaliste. Quant à ce que Perrault préférait en Henri Frenay, patron du mouvement Combat, c’était Berty Albrecht…
Gilles Perrault a l’admiration critique et partagée. Il aime bien remettre les pendules à l’heure. A ceux qui font de l’Oréal le refuge exclusif des anciens collabos après la Libération puis l’amnistie, il rappelle que la richissime entreprise fut également celui d’anciens résistants, leur seul point commun étant d’avoir frayé avant-guerre avec l’organisation terroriste d’extrême-droite connue comme « La Cagoule » si chère au cœur de leur bienfaiteur, Eugène Schueller. De même, tout en précisant que jamais les Allemands ne firent fusiller une femme en France, il rappelle que, une fois expédiées dans des prisons en Allemagne, elles ne furent pas davantage « décapitées à la hache » comme cela a été si souvent été écrits, mais guillotinées (ce qui, on en conviendra, ne changea pas grand chose pour les victimes). De même se plaît-il à rappeler que l’uniforme de la Milice fut si haï que, lorsque dans les années 70 encore, quand il se fut agi de tourner un feuilleton télévisé sur l’Occupation dans son propre village, cet uniforme fut le seul que nul ne voulut endosser, et il fallut quérir des étudiants gauchistes de l’université de Caen pour jouer ces rôles-là.
Pour un Daniel Cordier, ancien secrétaire de Jean Moulin, qui n’avait jamais dissimulé son homosexualité et n’en souffrit donc pas, combien de Pascal Copeau, qui vit ses anciens camarades de lutte se joindre à la meute lorsque « ce pédé » osa se présenter à la députation après la Libération, ce qui le fit renoncer à jamais à toute ambition politique. Militant il fut, militant il reste. Un activiste dans l’âme. Âgé de dix ans de plus, Perrault aurait sans aucun doute pris les armes pendant la guerre. Question de tempérament. On ne se refait pas. Ce qui lui permet, sans langue de bois aucune, de regretter l’anti-intellectualisme des hommes d’action de la Résistance qui méprisèrent de s’attaquer aux intellectuels ; coupables selon lui de « courte vue », ils ne considéraient sérieusement un ennemi que lorsqu’il était armé d’un fusil, pas d’un stylo. L’assassinat de Philippe Henriot, la voix des ultras, est venue tardivement. Ce que déplore Gilles Perrault en regrettant que Robert Brasillach n’ait pas été abattu au coin d’une rue : un procès, même bâclé, c’était encore lui faire trop d’honneur et la perspective d’offrir un martyr à l’ennemi intérieur.
Contradiction ou paradoxe ? Le terme est ad libitum. D’un côté, Perrault ne cesse de dire, revendiquant même le resassement, que la Résistance fut un bloc, comme Clemenceau le disait de la Révolution, sous-entendant qu’il fallait tout prendre ou tout laisser, Terreur comprise ; d’un autre, il ne cesse pas moins de répéter qu’elle fut extraordinairement disparate sur le plan humain, diverse sur le plan politique, déchirée par les tensions internes. Un mosaïque éclatée mais dont les morceaux rassemblés constituaient une fresque. Le romancier Roger Vailland, qui s’en fit le fresquiste dans Drôle de jeu (prix Interallié, 1945) eut moins de mal que Jean Moulin à les unifier. Fallait-il que tous ces hommes et toutes ces femmes aient été portés par un idéal qui les dépassait pour être torturés, croupir ensemble en prison des mois avant d’être fusillés côte à côte. La confrontation à la mort donnait un sens à la vie. Une certaine conception du bonheur dans un pays occupé par une force étrangère.
Bien sûr, il consacre des entrées aux grands noms, les Aubrac etc Mais il en consacre d’autres tout aussi fournies à des inconnus, des sans-grade, des oubliés : qui se souvient de Georges Blind « le fusillé souriant » ? Et André Girard, pionnier de la Résistance que son caractère a exclu de la mémoire résistante ? L’enquêteur en lui reprend le dessus pour débusquer la légende derrière des photographies devenues iconiques à force d’être publiées. Son goût de la litote fait mouche et suscite un sourire, sinon un rire. Ici « …l’entrée en résistance du Parti communiste français s’opère de manière hésitante » ; là « … François Mitterrand, résistant lui aussi, quoique un peu tardif… » De Gaulle ? Il a droit à la notice la plus brève. Et pour cause : « Si vous ne percevez pas sa présence à chaque page, c’est que cet ouvrage est manqué ». La Résistance ? Des amateurs dont les chefs ne regardent pas à la dépense lorsqu’il s’agit de consommer la vie de ses clandestins. Son rôle militaire ? Vital pour ce qui est du Renseignement (mur de l’Atlantique), des sabotages ciblés, du retard causé à la Wehrmacht en redéploiement… Pour le reste, les Alliés se méfiaient des maquis trop contrôlés par les communistes à leur goût. N’empêche :
« Au moins en partie, les Alliés ont forgé leur victoire en France sur l’enclume de la Résistance ».
Toutes choses discutables et c’est tout l’intérêt de ce dictionnaire si fécond. Discutable comme l’explication de l’absence de répression judiciaire à la suite de la manifestation d’étudiants du 11 juin 1940 à l’Arc-de-triomphe : les Allemands ne voulaient pas s’aliéner la classe moyenne française dont était issus ces jeunes bourgeois… Discutable comme la digression qui, à partir d’une réflexion sur l’éventuelle lâcheté qu’il y avait à tirer dans le dos d’un soldat allemand, estime qu’un kamikaze palestinien commettant un attentat-suicide contre des civils ne peut être lâche car il met sa vie en jeu alors qu’un officier israélien qui procède à une élimination ciblée dans la bande de Gaza, lui, serait un lâche… C’est peu dire qu’on ne le suivra pas dans ces voies-là, non plus que dans la glorification d’un Stéphane Hessel. Sans oublier les jugement énigmatiques, dus peut-être à des ellipses, des clins d’oeil ou des private jokes qui nous ont échappés : « Roosevelt a réussi l’exploit d’unir la Résistance française derrière lady de Gaulle ». Ou encore l’évocation de son village du Cotentin « distant de 5 800 kilomètres de notre plage, nommée Utah Beach depuis le 6 juin 1944… »
Il ne suffisait pas de dissimuler une pilule de cyanure dans le revers de son pantalon ; encore fallait-il veiller à ce qu’elle ne s’émiette pas car alors l’agonie était interminable. A ce détail on comprend celui qui s’est voulu amoureux de la résistance c’est à dire épris de ses idéaux et de ses valeursà défaut de l’être de tous les résistants.
(« Georges Blind, le fusillé souriant »; « Au maquis », « La Conseil national de la Résistance » photos D.R.)
937 Réponses pour Aimer la Résistance sans aimer tous les résistants
cherchez vous vos pseudos chez tart’& co dit: 13 juin 2014 à 14 h 35 min
Ca devient accablant , sur ce blog .
C’est affreux. Terrible. Au-delà du supportable.
Ne vous laissez pas distraire. i repeat. ne vous laissez pas distraire. le camping c’est pour plus tard. i repeat . le camping c’est pour plus tard. Le bac c’est lundi. i repeat. lundi c’est grève des transports. je répète: prenez vos précautions.
http://www.philomag.com/bac-philo/guide-de-survie-au-bac-philo-2014-9294
j’ai trouvé grand plaisir=> excuse,cette phrase est complètement démembrée j’étais encore à mon plaisir de la confirmation que j’ai trouvée dans la vidéo, si riche dans sa brièveté: et tant de souvenirs affleuraient de différentes époques, différents lieux et dans tant de violences, avec des armes toujours,des vraies, même si la pointe d’un compas peut être une arme !et des femmes qui étaient des brutes, dont un pro de maths qui s’en félicitait, comme de l’expression de son identité de femme , en pleine guerre d’Algérie justement .
Merci M. Delpla pour l’explication de la photo.
même si la pointe d’un compas peut être une arme =>dans l’ oeil bien sûr ,j’aurais du le préciser puor renato qui croit qu’i lfaut l’enfoncer dans le nez .
Et 54 minutes plus tard, Onésiphore est toujours plié en quatre.
Et eu égard à mon désaccord sur la manière de la plupart des « commentateurs »,y compris les femmes s’autoproclamant telles, je m’en vais .
« … comme si tout le monde aujourd’hui n’avait pas été formaté par la référence psy… »
Calme et réflexion… tout le monde ? vous en êtes sûr et certains ? non, parce que tout le monde ça nous fait quand même du monde… sur les trottoirs, aux balcons, devant la télé… enfin… surtout maintenant que la grande bischerata è cominciata… devant la télé… et vous nous assurez que tous ont été formatés psy… et merdre ! qu’est-ce qu’ils on travaillé ces mecs…
herchez vous vos pseudos chez tart’& co dit: 13 juin 2014 à 14 h 52 min
même si la pointe d’un compas peut être une arme
Là faut demander à Passou c’est lui l’authority… Des poings américains avec des clés de caisses, il a inventé… Ca doit bien marcher… Seulement lui des Ferrari il en a pire que Philippe Bouvard il pourrait armer trente doigts ! C’est comme des sortes de points-virgule, quoi…
En passant : je ne sais pas s’il figure ds ce Dictionnaire, je l’espère ; ses derniers mots, au peloton d’exécution, ont bien autant de force qu’un sourire : « Imbéciles, c’est pour vous que je meurs ! »
Valentin Feldman, philosophe et homme d’action — « L’aventure n’est pas dans les livres. »
Voilà, je savais bien qu’il y avait une manque dans ma praxis : le compas… le compas… je ne possède pas de compas… un geste du bras précis mais pas de compas… merdre ! comment je fais maintenant pour me hisser aux hauteur de conscience que seulement un compas dans l’œil permet de toucher ?
Le dialogue entre Pseudo et Branches a quelque chose de fascinant.
On imagine des personnages s’appelant Clov ou Estragon.
L’un d’eux est à mi-corps dans une poubelle, tandis qu’une lumière crépusculaire s’étend sur la scène.
Il y a là quelque chose d’avant-gardiste, ce qui est quand même réconfortant en ces temps de crise de l’intermittence du spectacle.
Ils ont droit à une subvention!
(Clov et Estragon, je n’y tiens pas plus que ça.
Wik et Ouistiti serait tout aussi bien).
il ne faut pas s’être beaucoup questionné sur notre monde commun pour ne pas avoir conscience que ses acteurs (les humains avec leurs choses) sont tous formatés par la référence psy)
sur ce blog, c’est effectivement accablant .
encor une raison pour laquelle la RdL me laisse très perplexe comme phallusiade.
Méta quoi ? Mets ta physique ?
Je vous avais déjà brieffé sur le sujet, de l’engagement, de l’éthique,
celui des non-héros.
« Engagez-vous, qu’ils disaient ! Cent ans après la Première Guerre mondiale, pour qui, pour quoi serions-nous prêts à donner notre vie ? C’est la question posée par Radio France. Partenaire de cette grande enquête, Philosophie magazine a soumis cinq témoignages à Pierre Zaoui, pour qui toute prise de risque possède un arrière-plan métaphysique. »
Faudrait penser à remettre le chauffage chez DHH, en plein été, c’est pas sérieux, mais l’âge aidant …
Je re-mets le lien et je mets les bouts, pour longtemps !
http://www.philomag.com/lepoque/a-quoi-bon-risquer-sa-peau-9594
« … à mi-corps dans une poubelle… »
Mais… formaté psy ou pas ?
Jeter les lavettes après usage Renato. C’est la procédure.
Mais la glU est dur de la comprenette.
Accablant, il (ou elle, peu importe) doit vivre une expérience accablante dans un monde accablant où tout le monde est formaté psy… incidemment, on comprend que le monde ne soit pas le meilleur des mondes… tous formatés psy… encore heureux que les pharmaciens vendent plus que les armuriers… enfin, ce maniaque est, à un moment, gracieux, même…
elena, avec ce beau prénom homérique, que vous soyez réellement une femme ou non, je me permets de vous signaler que l’on accusa les femmes qui s’engageaient dans la résistance de s’y engager pour chercher l’aventure, et des aventures « intéressantes » ; il semble , les années passées, que certaines de celles que j’ai connues qui n’avaient pas été vraiment des résistantes cherchent ont cherché à survivre à travers les moments d’aventure qu’était parfois la vie quotidienne, avec ses ombres et ses secrets partagés.
ça aussi, c’est accablant .
Les… les… les lavettes ? C’est quoi encore cette histoire à mourir droit dans ses bottes ? Qui achète encore des lavettes ? Personne pour montrer un minimum de sens civique ? Enfin, les lavettes !
« Je vous avais déjà brieffé sur le sujet, de l’engagement, de l’éthique, »
Ça, putain, on en a bouffé.
On s’est goinfré de ces choses.
On en m’onfre encore!
13 juin 2014 à 15 h 27 min
intéressez-vous aux cours des(pour devenir instituteur) instituteurs dès les années 45 disons et pas seulement auprès de sujets français
C’est vrai que ce mot (éthique) faudrait l’employer avec una certaine retenue.
S’engager ?
Faut vraiment être con ! ça annule tous les autres cheminements potentiels…
Réfléchissez, mes petits choux… réfléchissez !
PS compliments aux usurpateurs : presque parfait !
Mais moi, je n’en ai rien à foutre des cours pour devenir instituteur surtout dans les années 45… mais là une pensée suspecte montre son nez : voudriez-vous dire que tous les instits des années 45 étaient formatés psy pour formater psy toute la société ? Un gros projet donc… disons plutôt une grosse affaire…
13 juin 2014 à 15 h 27 min
apprenez à lire d’abord et même à parler:vous pouvez même vous chercher un thérapeute !je n’ai pas le temps pour supporter des énergumènes qui radotent leur scénars passe-partout, pour s’éclater, ou s’exploser , comme on dit plus aujourd’hui
Puisqu’il est question d’Histoire, la précision est de mise : ce n’est pas parce que le football est exagérément à la mode que feu le peloton d’exécution militaire français doit être réduit à onze. Il suffit de se souvenir de l’expression « douze balles dans la peau ». Douze tireurs donc ! Ce qui n’empêche pas de remarquer l’à-peu-près de l’expression citée en raison de la très humaine coutume de l’arme chargée à blanc, placée au hasard dans le nombre. Il s’agit là de règlement, important chez les militaires. Nul doute qu’ils aient su faire preuve d’initiative et d’adaptation aux contingences du lieu et de l’heure lorsque la nécessité impérieuse de trucider cérémonieusement s’imposait. Les douze n’étaient plus que neuf dans l’armée américaine. Ne pas chercher de logique avec la composition des jurys civils.
Dixionairement.
Quoi ?!
J’apprends que le nommé Blind, fusillé souriant, n’a pas été fusillé … ? Qu’il est mort paisiblement à Auschwitz/Blechhammer le 25.12.1944, un camp de vacances spécialisé, nourri, logé, blanchi !
On nous ment !
Chansonnette :
« … sept-huit-neuf,
dans un panier neuf,
dix-onze-douze,
elles seront toutes rouges ! »
Cerisainement.
Deux heures dix plus tard, Onésiphore de Prébois ne s’en relève toujours pas. Mort de rire, il a les abdominaux en compote.
radio raclure donne l’heure..pour la connerie y’est toujours midi a sa porte
Jéroboam Cluster
ça fait sac a vin de la guerre de scécession jicé..
Il suffit de se souvenir de l’expression « douze balles dans la peau »
t’as trop lu charles maurasse..pour vontraube 1 troudbal cé ineuf
Il est exactement 16 h 18.
S’engager ?
Faut vraiment être con ! ça annule tous les autres cheminements potentiels…
ça fait sens comme argument..mais si dans l’cul c’est pas mal, soulbras ça ennuie vite..et puis quoi ? dans l’oreille ? ..faut demander à clopine
Boug, tu refuses la vérité : Blind n’ a pas été fusillé.
(on te demandes pas d’arrêter…mais de réduire le volume bu !)
POUR Ceux a qui tout est « difficile » donc, suppression de bien trop « inutile « manoeuvres » qui font perdre du temps !! (mais n’imaginons pas la « conduite » allégée au profit du Code… non non, lui aussi à la « Trappe »)
J’ai vu UN JOUr à la telé un reportage sur des « français » qui allaient passer leur permis au Maroc, au Sénégal…
Jai me^me vu un remake du Steckh de Jean Yanne
« que de temps perdu avec les formalités »…
J’ai vu aussi les émeutes ethniques aprés Clichy-sous-droit dans le transfo
..bardamol est greffier à la mondaine « ou quoi? »
pom pom pom pom, message: « radio raclure reprend le flambeau et bouguereau adore le flamby »; je ne répète pas.
@cherchez vous vos pseudos etc.
Je veux bien qu’en poussant votre chariot des pièces vous tombent, cependant, et vous êtes en bonne compagnie, faudrait déjà que vous appreniez 1 – à lire ; 2 – à écrire 2 – à vivre… portez vous bien, et que le saint des pauvres types vous protège…
« je me permets de vous signaler que l’on accusa les femmes qui s’engageaient dans la résistance de s’y engager pour chercher l’aventure, et des aventures « intéressantes » »
je me permets de signaler à la gente féminine que ce type d’argument a été entendu dans une salle de classe de sciences physiques de la part d’un professeur, un vieux vicieux.
Résistez à la tentation du bordel organisé résistez à cette entreprise qui organise sciemment l’ignorance.
Claudine Tiercelin, « La connaissance métaphysique », Paris, Collège de France, coll. « Leçons inaugurales », n° 220, 2011, http://lecons-cdf.revues.org/449, [DOI] 10.4000/lecons-cdf.449
On avait proclamé la métaphysique archaïque ou dépassée. En fait, elle n’est jamais « morte ». Elle connaît même un renouveau international considérable, dont on est loin en France d’avoir pris encore la mesure. Parce qu’elle s’interroge, de la manière la plus générale et la plus précise à la fois, sur « ce qu’il y a », elle est essentielle à toute entreprise de connaissance, entendue non comme la reconnaissance de vérités éternelles mais comme une enquête sur le monde et la réalité.
Aux antipodes du spiritualisme obscurantiste comme du relativisme postmoderne, Claudine Tiercelin expose ici le programme d’une métaphysique scientifique et réaliste, ancrée dans la tradition rationaliste.
que le saint des pauvres types vous protège…
..ta bon coeur rénateau..mais faut essayé avec une banane ça rentre mieux chez les libertarien..
Bardamu dit: 13 juin 2014 à 16 h 22 min
passer leur permis au Maroc, au Sénégal…
Y a pas les cônes, alors ? C’est bonnard…
ses derniers mots, au peloton d’exécution, ont bien autant de force qu’un sourire : « Imbéciles, c’est pour vous que je meurs ! » (Elena)
C’était une période où, vu les difficultés croissantes d’approvisionnement, les rations de corned-beef n’étaient plus livrées. Quelle boucherie, quand on y pense.
PS compliments aux usurpateurs
..branches toi sur radio raclure jicé et bombe le torse..droit dans tes botte dirait christian
J’ai interrogé des proches, surdiplômés scientifiques promotion Karl Popper, autour de moi…
Réponse unanime : « T’emmerde pas avec la métaphysique, ça sert à rien ! »
mais de réduire le volume bu !
je vais te faire une confidence..je suis un peu muslim..j’ai un mode nuit/jour..par exemple je bois rarement avant le couché du soleil..la musique me parait fade..et un cul la journée me fait moins d’effet, ou plus esthétique, j’ai entendu un jour bb trés bien parler de nudité sur la plage comme d’une bilvesée sans importance..la nuit t’es un peu gaspard
mais faut essayé avec une banane ça rentre mieux chez les libertarien..
pour une fois que j’étais déterminé à lui laisser du mou..on devrait te fusiller dans le dos
T’emmerde pas avec la métaphysique, ça sert à rien !
..comme les maths souvent
la nuit t’es un peu gaspard
tlé joli
Il ne suffisait pas de dissimuler une pilule de cyanure dans le revers de son pantalon ; encore fallait-il veiller à ce qu’elle ne s’émiette pas car alors l’agonie était interminable.
Une miette pour papa, une miette pour maman, une miette pour soeurette, ajoutons les tantines et les cousins, il fallait savoir être patient. Mange toute ta potion, si tu veux que le général soit content. Avouons que c’étaient des méthodes archaïques et inefficaces : les kamakazes djihadistes d’aujourd’hui savent joindre l’utile à l’agréable.
pom pom pom pom, messag
alors on donne pu l’heure sur radio raclure?
« … cette entreprise qui organise sciemment l’ignorance. »
Beau poncif, vous regardez trop la télé… quant à la métaphysique, comme disait un vieux monsieur (il l’a écrit, même) elle a manqué ses objectifs… en tout cas je retiens la définition d’une autre métaphysique que l’on doit à Savinio : une chose qui est ½ physique et ½ pas…
Il est exactement 16 h 44 min
Réponse unanime : « T’emmerde pas avec la métaphysique, ça sert à rien ! »
Ils n’y connaissent rien : la métaphysique, ça sert, entre autres choses, à faire monter la haine.
AJB dit: 13 juin 2014 à 12 h 53 min
« P.Assouline ne saurait être ni question, ni réponse à tout ce qu’il m’a reproché d’être , e de pouvoir comprendre avant même d’avoir un signe de mon existence,que je veux bien le laisser croire que ma seule existence soit une insulte à ses yeux de joueur de paume helléniquement correct » (tart&co)
Mais qu’est-ce qu’il raconte, celui-là ?
AJB dit: 13 juin 2014 à 12 h 51 min
« Mais qu’est-ce que tu en a à foutre d’Ante Palevic? (ueda)
Tu pourrais commencer par remarquer que c’est dur pour un Croate d’avoir un patronyme serbe.
Voilà pourquoi je ne peux quitter ce blog : parce que je rigole trop.
J’ai mangé un mi xao : c’est nouveau dans ma praxis. Comme le phở (en API : /fɤ˧˩˧/)
Suis branchée vietnam.
Mais, dans ma praxis, je ne suis pas amoureuse : vacance, donc. (quel bonheur serein !).
Ah, je l’ai choisi molles : mi xao molles.
Pour le fun.
Et me demande si ce n’est pas une sale torture de faire semblant de te descendre pour ne pas le faire.
C’est vrai :
cherchez vous vos pseudos chez tart’& co dit: 13 juin 2014 à 13 h 54 min
un lien écrit dans une langue assez fluide et « correcte » peut suffire à QUELQU’un qui ne vient pas sur ce blog chercher des compliments des autres ni des noises aux autres en les traitant de « cons » (et le reste):
encore une raison de ne pas faire couple avec quiconque sur ce blog.
Quelqu’un de correct, qui ne serait pas discourtois et pas enterré non plus à demi dans une poubelle.
me demande si ce n’est pas une sale torture de faire semblant de te descendre (rose)
Je pense que vous avez saisi l’idée générale, c’est bien.
Merci D.
D. dit: 12 juin 2014 à 20 h 19 min
et réciproquement
Et me demande si ce n’est pas une sale torture de faire semblant de te descendre pour ne pas le faire
les accords de genève et vontraube l’interdise formellement !..sauf pour les civils et les colonnes de réfugié évidemment..on passe une première fois avec une sirène..on fait mine de revienir..on revient et la on lache la purée !..si on peut pus s’amuser..
merci RM de vos encouragements
(pour le compas dans l’œil aussi j’ai saisi)
>onésiphore est-ce que tu rigoles encore trois heures après (à cinq minutes près) ? (de/sur toi-même).
discourtois on le devient par la force des choses… enterré à demi dans une poubelle faut voir… les gens y abandonnent des trésors…
c’est vrai renato, d’où le succès des poêles à frire.
Des trésors de patience surtout, pensé-je.
Et de magnanimité.
je vais faire une salade grecque, à plus
bise
voilà voilà, bouguereau, il est l’heure de la fermer, coucouche panier, va cuver et vishnou la paix épicétoutou, ouaf !
@renato dit: 13 juin 2014 à 16 h 43 min
Cette thèse est destinée à toutes les personnes intéressées par les formidables compétences des perroquets, s’agissant de particuliers, d’universitaires ou de praticiens. Les perroquets sont des animaux particulièrement intelligents, capables d’adaptations importantes. Espèces sociales pour la plus part, ils disposent de systèmes de communication élaborés et parviennent à imiter les sons. Ce travail présente les résultats de recherche sur l’efficacité de différentes méthodes pour apprendre à des perroquets à utiliser à bon escient des mots humains. Quatre méthodes ont été testées et il est apparu des différences dans l’acquisition et dans les performances individuelles. Les résultats ont également mis en évidence une certaine compréhension de la notion de catégorie d’objets. Ces travaux sont à poursuivre notamment en s’intéressant aux échanges parents-jeunes.
dommage, mais je me souviens d’un expasteur devenu agrégé de lettres dont femme, fille et au moins un ils durent passer par les cases psychiatrie lourde, qui composait lui-même les textes à commenter pour ses élèves : c’était un grand mélomane dont tous les enfants, même le plus gravement psychiquement malade, apprirent , et jouèrent en « concert », un instrument de musique.
P.Assouline compose aussi ses textes, mais selon, et le professeur expert en pub -l’éditeur, les dicos qui ont ait leur preuve, sûr qu’il « se fait des amis » à la longue, cet ulysse de choc des cultures.
sauf qu’à la longue, professeur,vous êtes mal venu de vous plaindre que les commentaires porteraient préjudice aux billets!au désir de quoi à propos?le cul du crémier ou celui de la crémière?
merci, j’en avais pour une histoire de « compas » ,et ça me suffit largement !
« Cette thèse… », etc.
C’est donc vrai, vous regardez trop la télé…
femme , fille et au moins un fils
la femme, je l’avais rencontrée dans une librairie, qui me confia toute sa haine de Lacan , alors qu’elle hébergeait un psychiatre très occupé de théâtre, et dont l’épouse était amie d’un parent MRP,jui conerti qui avait épousé une ex nonne et s’intéressait comme avocat aux prostituées. il avait aussi eu droit aux électrochocs qui font d’un ex ashkénase un bon français !
Jamais qu’un ex quelque chose devienne infirmier-e ou cordonnier… enfin, des métiers dont on a réellement besoin… non, agrégés en lettres… c’est à vomir… cela dit, « femme, fille et au moins un ils durent passer par les cases psychiatrie lourde », cela se comprend : déjà pasteur puis agrégé en lettres… les pauvres !
Les perroquets sont-ils schizo? That’s a question.
« Les perroquets sont-ils schizo? »
Faut voir les conditions de vie…
Et si oui n’allez pas conclure que si vous logez un schizophrène, c’est forcément un perroquet. Si non, n’en déduisez pas que le perroquet vous ressemble.
L’âge du premier rapport sexuel a-t-il, depuis ces temps immémoriaux, ici Londres…été décalé dans le temps? En cas de réponse positive, ça collerait tout à fait avec la théorie de la relativité dont nous nous entretenions l’autre jour. Mais le sujet du jour n’en traitant pas, je dissuaderai quiconque d’aborder ce thème, hors sujet.
les inscriptions pour la conférence de M. Bouguereau sur « Les méfaits de la gnôle » à l’amphi Clouglou demain à 15 heures sont définitivement closes. Le prochain thème n’est pas encore connu.
a propos de grothendieck
« Ça n’est pas comme ça que l’on travaille… » Le mathématicien, en règle générale, est plutôt brut de décoffrage quand il s’agit de dire des choses désagréables. L’élégance, il la garde pour la démonstration réussie.
Pour le tester, ses chaperons lui confient quatorze questions qu’ils ne parviennent pas à résoudre. Il peut choisir celles qui l’intéressent… En moins d’un an, il avait résolu tous nos problèmes… »
des journées, n’auriez-vous rien sur les singes, grands singes, orang-outang, chimpanzé qui sont eux aussi objets d’études fécondes et surprenantes, ce qui d’autre part n’altère en rien la capacité au mépris des hommes concernant les animaux qui hélas restent soumis à la bonne volonté du genre humain pour ce qui est de la survie des espèces. Soulignons que les bonnes volontés sont insuffisantes à ce jour à les protéger de l’appétit vorace et de la belle indifférence humaine dés qu’il s’agit de tirer profit de leur milieu de vie, exploitation minière et forestière quand il ne s’agit pas tout bonnement de les dépecer pour faire des sacs manteaux chaussures etc etc
Alexandre Grothendieck racontera dans Récoltes et Semailles, une autobiographie écrite vers 1985 qui ne trouva pas d’éditeur mais dont des extraits ont fuité sur Internet merci les éditeurs et biographes!
à bérénice : les rapports sexuels de perroquets sont incontrôlables mais fréquents, ils adorent prendre leur pied
Quelqu’un a des nouvelles de la vie sexuelle du duck-rabbit de Joseph Jastrow ?
Et saviez-vous qu’il est prescrit de répartir – inégalement, il est vrai – le plaisir de plomber le condamné entre les hommes du rang et ceux qui les commandent ?
Uniformellement.
Militaire, le général de Gaulle savait bien que la victoire des Alliés serait une victoire militaire. Si les civils devaient s’en prendre aux soldats allemands, ces derniers le leur rendrait sans hésiter. La Résistance devait donc être effacée, de façon à ce que l’Occupant ne puisse pas savoir ce que les Résistants savaient et utilisaient contre eux. Tâche ingrate.
Les attentistes espéraient presque tous l’arrivée des Alliés. Ils l’ont prouvé. Comme pour les Italiens, la nazisme fut pour eux quelque chose d’imposé. Soixante-dix ans de paix entre Allemands et Français, sans le moindre nuage à l’horizon. Les Français ne connaissent pas leur bonheur…
à renato : oui, ça va pas trop mâle
soyons sérieux : GILLES PERRAULT? TOTAL RESPECT
ici Londres dit: 13 juin 2014 à 18 h 26 min
ça va pas trop mâle
Eh bien, tu vois, bouguereau n’aurait jamais sorti une vanne aussi con. Tu as des progrès à faire.
Concernant les transmissions radio, la détection radiogoniométrique, je pense que c’est trop compliqué. Ce serait suicidaire d’en faire état ici.
il est préférable de s’en aller avant de devenir discourtois, rater les liens mis en ligne par votre maître réducteur et séducteur désirant pour cause de biographèmes à venir , passou 3
Voyelles et 2 consonnes .
Reste une question qui fabriquait le cyanure.
R.M., toi t’as besoin d’un I épicétou
« un livre aussi personnel est un autoportrait en creux. »
C’est le problème avec les auto-dictionnaires.
Je reposte d’un seul tenant ce message malencontreusement scindé
Henry Rousso dit: 12 juin 2014 à 8 h 27 min
Bonjour cher Pierre,
À propos de ta phrase lapidaire sur l’affaire Aubrac et des propos d’un vieux bolchevique à la poutre dans l’œil, connais-tu beaucoup de « tribunaux » qui soient convoqués par les prétendus inculpés ? Tu souscris donc toi aussi à l’idée qu’il y a des mythes intouchables, et qu’il vaut mieux une mauvaise légende positive à une bonne histoire désenchantée. Décevant.
Avec mes amitiés
Henry Rousso
======================================
Passou dit: 12 juin 2014 à 9 h 33 min
A Henry Rousso de 8h27, Nullement, cher Henry, je n’y souscris pas plus que toi. Mais tu joues sur les mots. Ce sont les Aubrac qui avaient effectivement convoqué cette table ronde, mais ils n’imaginaient pas qu’elle se transformerait en tribunal. Et si je souscris bien évidemment à ta volonté de démythification de la Résistance, cette « table ronde » n’en fut pas moins déshonorante, pour les historiens.
Auteur d’un livre sur la question (Aubrac, les faits et la calomnie) en réplique à celui de Chauvy (Aubrac Lyon 1943), je résume :
-pas d’Aubrac héros, ni lui ni elle, entre une brève période autour de la Libération (surtout dans le monde anglo-saxon) et 1983 où Jacques Vergès met le feu aux poudres en défendant Barbie : les résistants auraient défilé dans son bureau pour se trahir.
-pour défendre la Résistance, Lucie écrit son livre Ils partiront dans l’ivresse, récit romancé et non livre d’histoire, en 1984, et reprend le chemin des établissements scolaires quitté lors de sa retraite;
-Vergès subit des procès en diffamation qu’il perd invariablement et ses calomnies ne prennent pas;
-il ose tout de même à la mort de Barbie (1991) adresser aux rédactions des médias un texte de lui qu’il a fait endosser au mourant avec des phrases telles que « Madame Aubrac me téléphone à midi le rendez-vous de Caluire »;
-Chauvy publie le premier ce texte dans son livre en 1997, qui n’en est qu’un long et complaisant commentaire, même s’il s’efforce d’éviter toute calomnie directe;
-Daniel Cordier monte au créneau dans Libération en avril 97 avec une version intermédiaire entre le récit de Lucie et le torchon de Vergès : les Aubrac seraient clean sur Caluire (juin 43) mais douteux sur l’évasion de Raymond le 21 octobre, obtenue grâce à des marchandages avec Barbie sur lesquels ils cachent des choses;
-cette intervention rend muets un certain nombre d’universitaires et bavards une poignée d’autres… d’où mon livre, longtemps unique, issu d’une critique sans omission de ce qu’avance Chauvy et d’une confrontation sans complaisance avec les Aubrac et leurs déclarations;
-les Aubrac et la méthode historique sont défendus par une petite secte plutôt compétente, mais moins organisée et, au total, moins médiatique que le camp d’en face, surtout dans les publications spécialisées en histoire : Jean-Pierre Vernant, Pierre Vidal-Naquet, Maurice Agulhon, Madeleine Rebérioux, Gilles Perrault, Alexandre Adler, Pierre Assouline, Laurent Joffrin…
-Raymond propose au dernier nommé, rédac-chef de Libé mais tributaire du directeur Serge July, l’organisation d’une table ronde pour confondre Chauvy et dégonfler la calomnie;
-En ce 17 mai 1997, Lucie et Raymond se retrouvent devant un front uni comprenant Cordier, Bédarida, Azéma et Rousso; se conduisant comme des policiers, ils cherchent à toute force à débusquer des faits répréhensibles dans les rapports entre les Aubrac et la Gestapo lyonnaise, de l’arrestation à l’évasion (juin-octobre 1943), allant jusqu’à affirmer que l’occupant connaissait et le nom, et l’adresse du couple Samuel (donc aussi la condition juive de l’époux) avant l’évasion, puis que cette évasion elle-même a causé la déportation et l’assassinat à Auschwitz des parents de Raymond (en fait, assez longtemps après, et sans rapport).
-July fait le coq en intitulant sa conclusion http://www.liberation.fr/cahier-special/1997/07/09/special-aubrac-la-lecon-d-histoire_211321 « Leçon d’histoire » et en la concluant par l’ajout de l’épithète « très belle ».
-la publication, en juillet 97, des longs échanges de la Table ronde (revus et corrigés dans une négociation confuse où Cordier voudrait retirer cette dernière accusation et où les Aubrac refusent) et des « articles réactifs » de chaque participant déclenche une réaction indignée et collective de la quasi-totalité des historiens de l’Institut d’histoire du temps présent (fondé par Bédarida et dirigé successivement par Robert Frank et Henry Rousso) qui ont fait leur thèse sur la Résistance prennent fait et cause contre les méthodes policières des interrogateurs en un texte intitulé « Déplorable leçon d’histoire ». Robert Frank fait partie des signataires ainsi que Denis Peschanski, François Marcot et bien d’autres. Des articles d’Antoine Prost, Claire Andrieu et Diane de Bellescize enfoncent le clou.
A ce jour, mon livre (octobre 1997) attend toujours d’être mentionné dans le Monde, Libé ou L’Histoire !
Les Aubrac attaquent Chauvy et son éditeur devant la XVIIème chambre et assistent, même malades, à toutes les audiences. Un seul historien témoigne pour la défense : Stéphane Courtois. Il affirme à la stupéfaction du président Monfort, qui le fait répéter, que « Chauvy a suivi une méthode historique ».
La condamnation pour « insinuation par diffamation », très lourde, est confirmée en appel et cassation, puis par la cour europénne des droits de l’homme. Les délinquants auraient encore le droit de faire appel… et renoncent ! Mais les médias, qui avaient rendu compte honnêtement du procès de première instance et de son verdict, sont passés depuis longtemps à autre chose.
-Courtois, muet à la mort de Lucie en 2007, crache sans vergogne sur Raymond quelques heures après son décès en 2012 : http://www.delpla.org/article.php3?id_article=542
M. Delpla,
Est-ce que le dossier spécial table ronde de Libé est dispo en ligne ?
Même question pour les décisions de justice.
Que pensez-vous du livre de Jacques Gelin paru l’année dernière; il apporte des élements nouveaux ?
Une précision : plusieurs historiens présents autour de la table ronde n’ont pas pris du tout les mêmes positions que le trio cité et c’est très abusivement que beaucoup de résumés parlent d’un « conflit entre les Aubrac et les historiens », comme si les résistants avaient voulu préserver leur geste (et leurs gestes) d’une trop pointilleuse curiosité.
Je puis témoigner que le contraire est vrai et que dans l’élaboration de mon livre aucune question n’a été éludée.
je ne sais pas trop ce qui est en ligne en ce moment mais je crois qu’en cherchant on trouve l’intégralité de la table ronde; pour les décisions de justice, on peut au moins accéder à celles de la cour européenne, espoir suprême des sycophantes, ô combien déçu.
Jacques Gelin n’apporte rien de neuf (sur les Aubrac s’entend), a travaillé trop vite, a tendance à se reposer aveuglément sur Cordier et l’a reconnu dans une discussion internautique : http://www.livresdeguerre.net/forum/contribution.php?index=54322 ?
encore une fois
François Delpla dit: 13 juin 2014 à 19 h 22 min
merci monsieur .Du premier instant de la découverte d billet, votre intervention a été espérée comme exemplaire
bordel de cul françois, qui qu’encule qui dans cette affaire ? qui qu’on aime?..surtout qui sont les méchants qu’on les haissent copieusement!..pour communier attation
ho toi ta gueule renfield..t’es bonne qu’a faire vende du médiator
M. Delpla, vos échanges avec Gelin sur le forum « livres de guerre » n’est pas vraiment interessant à mon niveau. Peut-être pour des spécialistes. C’est très technique, sur l’historiographie notamment, je n’ai pas vraiment cerné les méthodes d’analyse mises en oeuvre. Et il y a peu- pas du tout- de renvoi sur des docs.
des journées entières dans les arbres dit: 13 juin 2014 à 18 h 56 min
certes n’ya-t-il pas de virulence particulière dans vos interventions, mais il y a un moment o toute cette psychologie m’ennuie
il ne m’échappe que « la psychologie est inévitable » du fait de notre condition humaine d’êtres parlants, narrants etc ce blog en est devenu une quintessence :P.Assouline ayant choisi d’en faire son métir :ce qui explique d’ailleurs que je ne supporte pas mieux les billets que la plupart des échanges qui les suivent .
bonsoir
Bon, Dr Lecter je pense bien que vous êtes très remonté à cause de cette histoire belge métaphysique mise en tweet. Mais c’est pas la peine de vous en prendre à tous ici. Ciblez mieux.
Dr Lecter, ma colère- elle a été réelle- est bien retombée. Reste cette conclusion du billet sur le cyanure. J’attends encore un peu pour voir ce qu’il en sort. S’il en sort qqchose dans les commentaires.
Parce que vous voyez Dr Lecter, la seule question à poser à propos du tweet c’est : est-ce que cette blague belge est pour les Dutroux en puissance ?
pour ma part, je ne tiens pas à écrire sur ce blog dans ce climat de diagnostic dont je vois un effet dans cette nouvelle:
« Tous types d’agressions et d’atteintes confondus, les psychiatres font partie des spécialités les plus exposées à la violence, après les généralistes et les ophtalmologues. »
P.Assouline ayant essayé lui aussi de jouer au psy avec moi sur la mode chéri-e les nuls , je pense qu’il induit à sa façon cette violence par ses demandes d’écriture , alors que ses amis et d’universités et de clubs peuvent l’en pourvoir a volonté.
Pour en revenir à votre lien, sur le forum livres de guerre, M. Delpla, j’ai bien aimé la courtoisie du message intitulé
« Votre problème » de Jacques Gelin le vendredi 30 août 2013 à 12h24
Mais pourquoi donc ce sentiment si naturel, l’admiration, pose-t-il tant de problèmes, dès qu’il est exprimé ?
… Surtout ici, n’est-ce pas. Enfin, sur la Toile. L’impression d’être toujours en face de ces français moyens non admiratifs qui veulent être plus malins que les autres, des « à qui on ne la fait pas », des jc quoi, et pour qui le dénigrement serait une preuve d’intelligence…
Moi, perso, je trouve que l’admiration fait bon ménage avec l’amour. Mais ce qui est bien, c’est que l’admiration peut aussi en être parfaitement détaché. Par exemple : j’admire à la fois, et pour des raisons radicalement opposées, notre hôte et mon voisin, Monsieur D;, un vieux paysan brayon au regard bleu, candide et rusé à la fois, qui est si dur à la tâche que les bras m’en tombent souvent. Et je n’aurais jamais pu aimer Clopin si je ne l’avais pas admiré…
Oui… Pensez un peu à ceux/celles- morts- qui passent au filtre de la psychanalyse.
Y’a de quoi être énervé.
sur le mode « chéri-e -les nuls »
un jour que je faisais une remarque à un psy assez connu à la sortie de sa conférence, sa question immédiate a été « quel votre nom » .
ça nous avait suffi, moi pour savoir que mes hypothèses devaient se soutenir, et qu’il n’en avait jamais eu l’idée- ce n’est pas ce qu’on croit- lui, pour comprendre que je savais o j’en étais de ces rencontres avec l’auteur critique populaire qui connait le show et le buzz et le ness : au moins aussi bien que P.Assouline .
Bon moi je reviens sur l’aspect médical et historique du suicide par cyanure.
19h46 nous l’avons échappé belle d’autant qu’il apparait que vous soyez missionnée d’importance, attendons donc pour le cyanure qui constitue effectivement un point de détail non dénué d’intérêt rétrospectivement pour examiner qu’entre la torture assurée menant à la « délation/trahison » puis l’exécution et une mort quoique violente, consentie, la fourchette n’en menait pas large. Quel courage, n’Est-ce pas, que celui des hommes et femmes en ces circonstances historiques.
on peut à peu près donner des raisons de son admiration d’une personne: son courage, face à l’adversité, cette adversité serait-elle incarnée par une femme devenue laide, mégère, vaniteuse après avoir été une beauté délicate;le courage intellectuel de découvrir une loi physique, d’arriver à une invention, de soutenir un deuil d’un être aimé comme tel enfant …on peut admirer des personnes comme des paysages, des oeuvres.
c’est en général très mal accepté par l’entourage d’ailleurs qui en est jaloux (trop long à développer) d’où les dénigrements !
aucun désir de dénigrer cette remarque sur admiration et amour
Puisque le sujet risque de s’étioler, revenons- en aux Grecs.
Échécrate : Te trouvais-tu toi-même, Phédon, aux côtés de Socrate le jour où il but le poison dans sa prison, ou est-ce un autre qui t’a renseigné ?
Phédon : J’y étais moi-même, Échécrate.
Échécrate : Eh bien, que dit-il, à ses derniers moments, et comment mourut-il ?
pour faire plaisir aux cons offrez-leur une idée fixe
c’est simple
kicking vous attendez les soldes pour vous acheter un pull rouge ?
faudrait me faire commander les sourcils par mémère tant qu’on y est ?
vous cherchez une idée, kicking. On va encore patienter un petit peu.
si ce que j’ai posté à 20h34 ne vous est pas suffisamment lisible et clair On verra bien si je vous en fait un résumé
Le Phédon est en réalité l’un des premiers, si non le premier, exercice d’admiration (l’Apologie de Socrate traitant des questions « administratives »).
La question de la mort est posé par le Phédon hors des schémas matérialistes, et cela me fait suspecter qu’un parallèle avec la mort par cyanure a été mise sur la table à la hâte car la capsule état fournie afin de ne pas nuire au bon déroulement de l’action du groupe si on était dans une situation « critique », on est donc dans un schéma matérialiste de la mort…
… et ça recommence : Votre commentaire est en attente de modération !
toujours sur « ce blog »
et …sans doute le travail soutenu par P.Assouline est- très important : autrement dit je dissocie -ce qui n’est pas acceptable- le fond,( les sujets) et la forme, billets romans, rencontres, photos,enquêtes mais aussi la manière d’écrire ; et pourtant si cette puissance de penser son travail me semble admirable, elle n’éveille pas en moi ce qui me laisserait captive de son « magnétisme » , en un mot « dans l’admiration et l’amour aveugles .aucune critique particulière bien précise sur ce déploiement de ses capacités, celles de pédagogue, celles qu’on dirait artistes, mais je n’en conçois aucune attirance . il manque à tout cela quelque chose en même temps que j’en ressens péniblement les excès, et la ace « mandarinale » convenue aujourd’hui .
D’où ma perplexité à l’égard de la RdL ET le plaisir que j’ai eu de retrouver ce compas imaginaire comme ces personnes avancées en âge qui se toilettent pour aller snober au café et montrer des photos de réussites réelles ou imaginaires à des rencontres sans avenir
bérénice dit: 13 juin 2014 à 17 h 24 min
Les perroquets sont-ils schizo?
Schizaux, non ? C’est un attribut, mais au pluriel de perroquets.
et pourtant si cette puissance de penser son travail me semble admirable, elle n’éveille pas en moi ce qui me laisserait captive de son « magnétisme » , en un mot « dans l’admiration et l’amour aveugles .aucune critique particulière bien précise sur ce déploiement de ses capacités, celles de pédagogue, celles qu’on dirait artistes, mais je n’en conçois aucune attirance . il manque à tout cela quelque chose en même temps que j’en ressens péniblement les excès, et la ace « mandarinale » convenue aujourd’hui . (cherchez-vous etc)
Bof, le père Assouline fait ce qu’il peut, avec les moyens du bord. C’est pas génial, c’est pas de la critique de haut vol, c’est souvent mal écrit, l’orthographe laisse à désirer, les marottes sont récurrentes, mais enfin, il ne faut pas exagérer dans le dénigrement, c’est pas complètement nul, on se tient au courant des parutions, on apprend des choses, et puis citez-moi, en France, aujourd’hui, un critique grand public qui fasse sensiblement mieux. Il est bon photographe, je trouve. Ses photos (celles qu’il a prises lui-même) sont souvent ce qu’il y a de mieux dans ses articles. Voilà un bilan mitigé, mais globalement positif (qui est-ce qui disait ça, déjà, et à propos de quoi ? de quoi ? ).
Onésiphore de Prébois dit: 13 juin 2014 à 22 h 59 min
c’est pas de la critique de haut vol
Bon mais quand il faut se retrousser les manches, c’est un autre problème quand même… Il a une vision de pas mal de choses, donc des contextes, c’est essentiel. Et puis trop à vingt mille pieds, on quitterait le casuel du critique.
Bof, le père Assouline fait ce qu’il peut, avec les moyens du bord. ( mézigue)
Et puis il s’expose, il n’observe pas de Conrart le silence prudent. Attitude un peu gamine,certes, mais qui a, sinon du panache,du moins le mérite d’une prise de risques, même si elle est parfois un peu aventurée. Je regrette qu’il ait fait disparaître la photo de lui en boxeur, qui ornait naguère le bandeau d’accueil : ça lui allait bien.
c’est pas de la critique de haut vol
utiliser de manière tordue -genre tortillant du cul dans les cocktails dinatoires- « l’anonymat » commme prétexte à la politique du pire.. enfin chacun son truc n’est-ce pas..
bon, un rebond qui ne visait pas passou, même si les patronnes de boxon prenant des poses (toujours ?) schizo.. enfin bref..
Tiens, mais la photo du haut est hautement symbolique de la position du critique face à ses lecteurs. Seul contre tous. A part deux ou trois chaisières confites en dévotion, les autres sont bien décidés à le flinguer. Y a de l’héroïsme,quelque part, dans l’obstination à pisser sa copie tous les trois ou quatre jours. Et s’il n’en reste qu’un… La position du critique, c’est dos au mur. Respect…
13 juin 2014 à 22 h 59 min
il me semble que vous n’êtes pas sensibles à des aspects des plus intéressants de ce travail , d’une recherche indéniablement intéressante, et qui peut toucher le lectorat « grand public » comme des lecteurs dont le français quotidien , celui de la rue et de la grande presse française presse,n’est pas ou plus la langue de vie quotidienne la plus pratiquée.
Mais sans doute , la RdL est- elle le blog »normal »
d’un auteur critique normal : avec ses effets pervers normaux !
« Les selfies after sex. Un trend déjà dépassé? »
La question est sérieusement posée dans les magazines économiques de référence. Il se la jouent short quoi…
Je lui reconnais, du charme si on sait faire abstraction de son style de machine de Turing.
…
…l’énergie chimique!,…champion!,…
…
…sa production et son utilisation,…à ne pas confondre avec la simple accélération d’une évolution spontanée
…
…ainsi, l’énergie » élastique » d’un gaz comprimé est d’autant plus grande que le volume du gaz est plus grand et que sa pression est plus forte!,…
…l’accumulateur électrique s’en charge entre deux anodes,…l’électrochimie,…
…
…les hommes des piles électriques!,…
…
…les écrivains sous contrôle de rayonnement verbal!,…Ah!,…çà ira!, çà ira!, çà ira!,…
…Stop!,…il a sa dose,…de haine!,…pour écrire 20 ans!,…
…là !,…si, si !,…tu nous gonfle!,…le blog!,…ouf !,…l’humour chimique dans les textes!,…
…les schémas des synthèses,…littéraires!,…la photochimie!,…chlorophyllienne des esprits,…la sève qui monte!,…
…
…elle est belle la marié ce soir en boîtes de conserves!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…renversement des trajectoires en vase clos,…merde ce sablier!,…il est l’heure!,…de Peter un coup !,…etc!,…
…envoyez le contraste mondain!,…
…
…
…Oh!,…la combine!,…de prestidigitation des fonds aux as!,…
…en classe,…on se partage le » Grisby « ,…
…encore lequel,…une fuite par les bouchons entre lois!,…je vois pas!,…le messie!,…
…Express,…si peu!,…Bnp Paribas a violé l’embargo américain malgré les mises en garde!,…
…chérie t’a eu bon!,…tu voyait pas venir!,…
…une banque qui nous refait le coup à Sauff-y-tell,…au K.S.D.,…
…
…les contribuables marrons du Monopoly-States!,…
…
…le travail sérieux,…dans les mains d’enfants de Castes aux pouvoir!,…
…
…les boutons atomiques!,…c’est dans l’armoire à claques!,…
…
…enfin!,…continuer le combat!,…un embargo violé aujourd’hui,…et dix de retrouvés encore vierges!,…de Montaigu!,…
…
…enfin!,…français résistants de la dernière heure!,…c’est quand le débarquement à N-Y City,…
…cours de viols d’embargo’s poste restante!,…qu’est ce qu’il dit!,…rien au Monocle-Cyclope!,…çà baigne!,…sa fraise aux contingents!,…etc!,…
…
…
« La position du critique, c’est dos au mur. Respect… »
Heu, JB, vous voulez dire en majesté accroché au mur avec une couronne de madeleines sur la tête peut-être.
» Discutable comme la digression qui, à partir d’une réflexion sur l’éventuelle lâcheté qu’il y avait à tirer dans le dos d’un soldat allemand, estime qu’un kamikaze palestinien commettant un attentat-suicide contre des civils ne peut être lâche car il met sa vie en jeu alors qu’un officier israélien qui procède à une élimination ciblée dans la bande de Gaza, lui, serait un lâche… »
Tres discutable en effet, Tsahal étant des héros d´un peuple martyrisé par l´Histoire de la Peste brune qui revient en Europe avec la bete immonde et brune, crachant sur plus de 6 millions de morts. Alors que le palestinien qui se fait exploser, qui n´aime pas partager son territoire, le sale antiseumiiiite, est un lache.
Il parait qu´il vaut lire ca que d´etre aveugle. Si on le suivra, hormis quelques sionistes encore la pour 3 ans, on le suivra ce brave homme.
« Mais pourquoi donc ce sentiment si naturel, l’admiration, pose-t-il tant de problèmes, dès qu’il est exprimé ?
… Surtout ici, n’est-ce pas. Enfin, sur la Toile. L’impression d’être toujours en face de ces français moyens non admiratifs qui veulent être plus malins que les autres, des « à qui on ne la fait pas », des jc quoi, et pour qui le dénigrement serait une preuve d’intelligence… » (Clopine)
ADMIRABLE ? …admirable !…..uhuhuhuhu…
m’sieur michu, vous avez oublié votre imper, du coup vous êtes à poil, encore une fois.
La centrale du réseau est à Bruxelles où elle s’abrite sous le paravent d’une société de commercialisation d’imperméables qui prospère en ouvrant des filiales dans les pays scandinaves et établit des relations commerciales avec la France et les Pays-Bas: c’est le « Roi du Caoutchouc, Foreign excellent Trench-coat ». Une autre société sera créée à Paris la « Simex » et une succursale du même nom à Marseille.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Orchestre_rouge
Rappel pour Lionel, retardataire :
les Juifs installés depuis 1948 sur leur terre ancestrale sont victimes d’attaques répétées de voisins arabes malveillants qui veulent jouer : « Shoah, version II ».
ISRAEL ne fait que se défendre contre des terroristes qui veulent sa disparition. Tout le reste est littérature… inutile d’ergoter !
Sans aucun doute, se faire exploser dans un bus plein de femmes et d’enfants innocents est un acte de lâcheté abominable.
Dire le contraire, c’est être complice d’un crime.
Vous connaissez ce film d’orchestre ?
Il est un peu dégueu ce voyeurisme à peine déguisé de 5H58.
Ne pas le remarquer, serait prendre l’habitude de lire le fascisme à l’oeuvre.
Eh bien non, un peu de courage !
C’est d’autant plus imbécile de la part du JC de Porquerolles, -mais il est abonné au genre- que je me risquerais pas à mentionner ici, ce que cette « image » a eu comme effet sur un, devenu journaliste. Et pas un mauvais.
« Quant à moi, je crois toujours à l’art de la conversation numérique, et à ce qu’elle a de fécond pour notre intelligence du monde et des idées (enfin… euh…) »
Moi c’est pareil, je crois en la fécondation; c’est pourquoi je vous envoie le char Tarzan, et je vous souhaite un beau week-end.
l’un des propos du billet étant, me semble-t-il,d’inciter les lecteurs, sous le voeu de commentaires, à s’engager dans une démarche de renouvellement de questions de ce qu’il croit , pense, des autres, -gens, sciences et de lui-même, -en croisant des sources suggérées notamment pas le billet, qu’il s’agisse du nom d’un ouvrage, d’un homme, auteur connu ou non, ou d’un mot du lexique(ici exemples assez « forts » avec déportement »/déportation et « pédé » entre guillemets) et pourquoi internet peut être un premier outil dont il dispose ,les
échanges entre les commentateurs,( demandes, séductions,insultes ) sur leur « privé » ne me semblent généralement pas à propos .
P.Assouline conçoit son blog comme il lui convient avec les éclairages qui lui semblent justifiés, -en tenant compte du ou des publics qu’il souhaite attirer, convaincre, au regard de ses fins . c’est sa liberté que je trouve incontestable.-
Djedla,
C’est un bonheur de lire vos justes remarques, en permanence sur le blog à Passou..;
Quelle chance nous avons de vous avoir parmi nous ! Cela change des constats réels proférés par certaines personnes normales, et qui sont pour vous, dérangeants
Votre grain de folie donne du goût à toute notre semoule. Encore merci !
Liberté, Egalité, Fraternité, Couscous !
On étouffe tout d’un coup, didon; et là c’est pas bon du tout!
Recconnaitre une liberté c’est déjà penser qu’elle est discutable.
Quel procès avez-vous donc entrepris Dr Lecter?
tout à fait en marge , à propos de liberté, j’en prends une à mettre ce lien
http://www.actualitte.com/patrimoine/tolkien-evoque-la-deprime-et-la-frustration-de-l-enseignant-50769.htm
et encore cette remarque grammaticale sur l’adjectif
http://www.actualitte.com/theatre/le-mystere-du-journalisme-jaune-conference-gesticulee-de-philippe-merlant-50449.htm
depuis le temps qu’on signale sur ce blog que les mots de « dialogue » et de couples sont des masques pour la réalité ainsi formulée ailleurs
« Un dialogue social changé en maltraitance »
http://www.actualitte.com/bibliotheques/bibliotheques-les-parisiens-doivent-savoir-qu-on-les-prive-de-culture-50773.htm
… Il n’y a d’ailleurs pas que l’admiration qui soit systématiquement raillée, sur les blogs. Toute espèce d’émotion y est en général bannie, ou au moins soupçonnée et dénoncée comme fausse, servant des buts inavouables et mesquins. Au début, on n’en croit pas son clavier azerty. Après, on plaint quand même un peu l’aridité des railleurs. Quelle tristesse que ces esprits-là, pour de vrai !
Evidemment, le principal dommage est de vider les blogs, puisque la majorité des internautes qui seraient intéressés par cette forme de conversation tournent les talons au plus vite, malgré l’addiction que la pratique génère. On tourne donc en rond, à une vingtaine d’internautes guère plus, chacun figé dans son personnage de « comédia dell’arte » (je ne parle pas de la chaîne franco-allemande !) et tous atteints (même moi, surtout moi d’ailleurs) d’un psittacisme stérile…
s’cusez-moi d’insister, c’est pour ceux qui n’ouvrent pas les liens, mais dans celui de mémoire-net, envoyé à 6h38, véritable cheval de Troie, il y a l’histoire du fusillé dit souriant, G. Blind.
http://www.memoire-net.org/article.php3?id_article=141
Cette photo a une histoire incroyable, avec plusieurs publications dont celle-ci:
C’est sous forme de carte postale que cette fois paraît la photographie, en 1948 dans le cadre d’une campagne adressée au secrétaire général de l’ONU.
« Le fusillé souriant, histoire d’une photo »
Ed : Alan Sutton, 2002
8 rue du Docteur Ramon
37540 Saint-Cyr-sur-Loire
96 pages, 17 €
ISBN : 2-84253-793-9
Bon après pour ce qui est de la cuisson des fèves et des taupines en bourre, je pense qu’il y a plus alerte que moi.
JC, Se faire exploser dans un bus rempli de vies innocentes c’st considérer, au delà du courage à renoncer à vivre, que son propre désespoir ou cette haine qui tient lieu de justificatif, doit aussi retrancher ces hommes femmes enfants, du compte des vivants, c’est s’accorder ce prix quand encore il serait possible de croire que les kamikazes après entrainement et lavage de cerveau sur substrat de souffrance et d’humiliation, soient des sujets pensants, la doctrine politico-religieuse ayant réussi à gommer tous sursauts réflexifs.
« Il n’y a d’ailleurs pas que l’admiration qui soit systématiquement raillée, sur les blogs. Toute espèce d’émotion y est en général bannie, ou au moins soupçonnée et dénoncée comme fausse, servant des buts inavouables et mesquins…/.. l’aridité des railleurs. Quelle tristesse que ces esprits-là, pour de vrai ! »
Affirmation totalement gratuite ! Pourquoi allez chercher des trucs aussi tordus ?…. Des milliers de blogs, et partout, « l’émotion bannie » ? RIDICULE !
Et puis, mdr alors ! Laissez les gens s’exprimer comme ils l’entendent, nom de dieu … Attention : la fréquentation des ânes normands est dangereuse ! Contagieuse…
Béré,
Se faire exploser dans un bus rempli de vies innocentes c’est une saloperie sans nom. Aucune raison ne peut le justifier. Absolument aucune.
queqtion lexique, billets, tweets et commentaires, j’ai regardé les titres des sujets iaginés pour le bac sur le monde
Philosophie
Très probable : le bonheur, le désir, la société.
Probable : le sujet, la vérité, l’art, la culture, la matière, l’esprit, le vivant, la démonstration.
Peu probable : l’inconscient et la religion, la politique, le travail.
Alerte à Mali bout? Tapinons dans le bourg? Clopine en maitre queue? Demandez le programme? Ah mon Dieu mon Dieu vite ressortons les godes à nos ceintures citoyennes, produisons de la gêne et du plaisir, éclatons nous à cheval sur la plage tout l’été…
D’ailleurs quel sera le best-seller de l’été? Une idée après Montaigne, Rousseau en dromadaire?
et aussi
»
Philosophie
Très probable : soi et les autres (le selfie), le désir, la politique, l’art.
Probable : citoyens et Etats, le beau et le laid, la vérité, la liberté, la raison et le réel, le bonheur, la société, le temps, l’histoire.
Peu probable : la religion, la perception.
Histoire
Très probable : la Chine depuis 1949, la puissance américaine, les médias et l’opinion publique, l’Europe politique.
Probable : la gouvernance économique depuis 1944, la mondialisation, la lecture géo-économique du monde, les mémoires, le socialisme et le mouvement ouvrier.
Peu probable : le Proche et le Moyen-Orient.
Le paradoxe du singe savant est un théorème selon lequel un singe qui tape indéfiniment et au hasard sur le clavier d’une machine à écrire pourra « presque sûrement » écrire un texte donné. Dans ce contexte, « presque sûrement » est une expression mathématique ayant un sens précis, et le singe n’est pas vraiment un singe mais une métaphore pour un mécanisme abstrait qui produit une séquence aléatoire de lettres à l’infini. Le théorème illustre les dangers de raisonner sur l’infini en imaginant un très grand nombre, mais fini, et vice versa. La probabilité qu’un singe tape avec exactitude un ouvrage complet comme Hamlet de Shakespeare est si faible que la chance que cela se produise au cours d’une période de temps de l’ordre de l’âge de l’univers est minuscule, bien que non nulle
source: wiki
Versation
Dialogue solitaire
[n.f.] Caractérise le mode d’élocution des personnes ayant des responsabilités lorsqu’elles s’adressent à des personnes moins importantes qu’elles et qui par conséquent n’ont pas leur mot à dire. Il a été remarqué que plus une personne a de responsabilités ou d’importance et plus la qualité de ses versations décroît.
JC en réaction à « saloperie » ce qui me semble beaucoup plus dérangeant et dangereux tient à la porosité des esprits séduits par les thèses islamistes quel qu’en soient le niveau, de bas (les plus démunis, les plus idiots) aux plus doués ( voir les pilotes ) et à la volonté inaltérable des cadres à asservir, dominer le monde entier quelque soit la méthode, la plus efficace résidant en une série d’attentats dont on attend la fin, une lèpre qui rappelle celle des nazis.
« porosité des esprits » ?
La matière grise ne s’use pas quand on s’en sert. Et celle de béré est un peu moisie sur les bords du front.
« Selon sa famille le jeune Grenoblois se serait radicalisé à l’âge de 20 ans, à la suite d’une rupture amoureuse. Après son baccalauréat, il avait poursuivi des études économie et gestion, jusqu’en licence. Il était apprécié par ses professeurs et avait suivi un stage pour devenir pompier volontaire. »
Vieille peau venimeuse, la béré, ne pas l’oublier.
Exploitation de la misère, on pourrait discuter de la privatisation des moyens armés des US et de l’utilisation en voie d’extension des drones qui complètement déshumanisés suppriment des vies de ci de là comme une litanie au milieu des déserts.
A ce détail on comprend celui qui s’est voulu amoureux de
étrange cette présentation « philosophique »? d’un choix qui devient le moteur d’une vie comme relevant de la-seule?- volonté
si ça aussi peut alimenter votre appétit, why not des journées, simple remarque je ne vous manque pas de respect d’ailleurs je le cherche vous concernant, pauvre folle.
@8h31
Si vous deviez manquer de respect à d’autres que vous, alors je me range aux côtés de tous ceux qui n’ont pas de temps à perdre devant un écran, ni à le donner, à des causes perdues.
On a eu tort de traiter la bêtise sous forme de comédie, ai-je lu récemment. Perso, je suis d’accord, il faut l’éradiquer.
« … complètement déshumanisés suppriment des vies de ci de là comme une litanie au milieu des déserts. »
Que de belles paroles… portez-vous volontaire pour aller faire le tri sélectif « au milieu des déserts »… cela serait très instructif car, attentive et attentionnée comme vous êtes, vous pourriez apprendre aux militaires un tas de choses relatives aux mouvements de cet « ennemi » fantomatique qu’apparemment personne n’a pris la peine d’observer…
des journées entières dans les arbres dit: 14 juin 2014 à 8 h 48 min
« On a eu tort de traiter la bêtise sous forme de comédie, ai-je lu récemment. Perso, je suis d’accord, il faut l’éradiquer. »
DJEDLA !
MON DIEU ! MON DIEU !
Si vous éradiquez la bêtise, vous annihilez illico votre fond de commerce … Ne soyez pas suicidaire, mon ami(e), continuez à travailler votre puits sans fond… !
tel est parfois le contraste entre certains commentaires-qui me semblent injustifiables sous leur forme en commentaire, et le billet, que ce dernier peut aussi en profiter, au moins un instant .
Il faut être particulièrement bête pour croire que l’on peut traquer et, éventuellement, éradiquer la bêtise… Cela dit, relire Musil… si l’emploi du temps le permet…
y’a du boulot, c’est sûr !
Déjà 3 clients potentiel, juste ce matin.
potentiels, les clients.
C’est la foire au faux-culisme. C’est fort probablement le résultat de 70 année de paix relative… on pense tout de suite à la taupe de K., et à ses désirs… (la paix dans son trou)…
Béré,
La plus probable évolution de ces islamistes, de basse voire nulle connaissance religieuse, qui s’entretuent partout au nom d’Allah est d’engager de façon irréversible la libanisation dramatique des territoires moyen-orientaux. Process printaniers en bonne voie de réalisation …
Guerres des clans, des chefs, des mafieux, des fous de dieu, dans un joyeux mélange intégrant des logiques orientales dignes des pires récits des Mille et Une Nuits de cauchemar.
Bien entendu, ces folies sont financé par des fonds venus de l’extérieur, l’Arabie Heureuse ne manque pas de ressources.
« Déjà 3 clients potentiel » (« potentiels, les clients »)
Commencez par un dépoussiérage de votre seuil, ce sera déjà ça de gagné…
ça aussi, c’est de la philosophie sur le monde
« ) A Biarne, la philosophie fab lab s’affiche d’entrée : « Un fab lab, c’est une communauté, un partage de valeurs de bienveillance, de connaissances, dit Jean-Baptiste Fontaine, 29 ans, un des cofondateurs. Un lieu pour casser les barrières transgénérationnelles, transdisciplinaires et cultiver l’intelligence collective. »
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/monde/je-fabrique-tu-fabriques-nous-revolutionnons,113474.php#pw9bkDMQd61IB6DM.99) A Biarne, la philosophie fab lab s’affiche d’entrée : « Un fab lab, c’est une communauté, un partage de valeurs de bienveillance, de connaissances, dit Jean-Baptiste Fontaine, 29 ans, un des cofondateurs. Un lieu pour casser les barrières transgénérationnelles, transdisciplinaires et cultiver l’intelligence collective. »
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/monde/je-fabrique-tu-fabriques-nous-revolutionnons,113474.php#pw9bkDMQd61IB6DM.99
« Il y a six ans, l’islam radical faisait autorité sur des jeunes fragiles, des ‘sans père, ni repère’. Ils avaient grandi dans des trous de mémoire, n’avaient pas intériorisé les limites, la loi. Mais cela ne marche plus. Le discours radical fait désormais autorité sur des jeunes qui ne sont pas issus de familles immigrées, sur des jeunes dont les familles pratiquent d’autres religions, comme des catholiques ou des juifs et de tous les milieux sociaux. » Ce constat, inquiétant, est fait par Dounia Bouzar, anthropologue du fait religieux, membre de l’Observatoire de la laïcité et auteure de Désamorcer l’islam radical (Editions de l’Atelier).
http://www.bfmtv.com/societe/jihad-letat-doit-proteger-citoyens-contre-derives-sectaires-697394.html
Renato, demain vous regarder le foot à la télé ou vous allez être fêté ?
intéressant le lien de 14 juin 2014 à 9 h 24 min
sur « le groupe »
les commentaires ne sont donc pas seulement des jeux de couples mais une histoire de groupes .
L’Etat doit protéger les citoyens contre les dérives sectaires » ?!
… et puis quoi encore ?!
Ou bien je doit comprendre que l’Etat doit me protéger des dérives sectaires dont sont coupables des gens qui font profession de foi de leur haine ?
Quant au foot, c’est un loisir que je laisse volontiers aux intellectuels de votre envergure…
un dictionnaire aussi est une histoire de groupes de mots , avec parfois des trous
Quant au foot, c’est un loisir que je laisse volontiers aux intellectuels de votre envergure…
c’est quand même, ça , très méprisant pour tous ceux qui jouent au foot et même a babyfoot!
n’ayant pas du tout de goût pour « le sport »,depuis longtemps, (une drôle d’histoire dans ma vie- de familles où la guerre et le sport ont eu leur rôle)je n’en méprise pas pour autant les sportifs pratiquants
au revoir
Dr Lecter, c’est pas le moment de détourner l’avion des comentaires et des liens, leur contenu !
Quant à l’endoctrinement « ordinaire » à l’islam radical, il suit une logique implacable. Pour Dounia Bouzar « 99% de l’endoctrinement se passe par Internet ». Les endoctrinés explique-t-elle, ne se « rencontrent physiquement que lorsque l’identité du groupe a commencé à remplacer la leur ». Mais si la technologie est appelée en renfort, il ne faut pas s’y tromper, il s’agit de « dérives sectaires ». Le discours des recruteurs est toujours le même: « Tu as l’impression d’avoir un malaise dans ton corps, dans tes notes, dans tes relations avec les autres, c’est un signe de décalage, car tu ne le sais pas, mais Dieu t’a élu pour intégrer un groupe purifié. Un groupe détient la vérité et qui pour objet de sauver la société qui est régie par le mal, autrement dit le sexe, l’argent et la violence. »
http://www.bfmtv.com/societe/jihad-letat-doit-proteger-citoyens-contre-derives-sectaires-697394.html
commentaires
pour les footeux, qui ont un rattrapage au bac de philo, only:
Et puis il y a le soi-disant « respect » qu’on prétend exiger des autres : ne jamais baisser les yeux, obliger celui qu’on croise à les baisser, ne pas supporter la moindre injure, quand on en a soi-même plein la bouche… Ce n’est plus respect mais vanité, querelle d’amours-propres, rapports de forces, jeux odieux de l’agressivité et de la peur. C’est ce qu’on appelle sottement « le sens de l’honneur », qui n’est qu’une estime de soi mal placée, sous le regard des autres. « L’honneur, ce fusil chargé… » Cette formule du philosophe Alain dit quelque chose d’essentiel. On peut tuer pour l’honneur, ou prétendu tel, pour un regard de travers, une honte prétendue (les « crimes d’honneur »), une place sur un trottoir ou dans une cité. On n’a jamais tué pour le respect, ni pour l’estime ou l’admiration.
Le respect est une vertu ; l’estime ou l’admiration sont des plaisirs, qui peuvent être vifs ; la morgue et la haine sont des fautes, qui ne méritent qu’un carton rouge
André Comte Sponville
zut, le lien !
http://www.fondationdufootball.com/actualites-communication/actualites/le-respect-et-lestime-par-andr%C3%A9-comte-sponville
Pour ceux qui regrettent qu’on « s’acharne » sur le sieur bouguereau, il me semble que la haine à son égard est bien moindre que celle qu’il a envers ceux-là et qu’il déverse quotidiennement avec « acharnement ».
14 juin 2014 à 9 h 56 min
en ce qui me concerne, j’avais bien lu le lien,
inutile d’insister: j’avais remarqué la question d’internet.
Alors, tart’& co, vous vous posez en prof es élégances ? allez plutôt voir l’occupation de l’espace publique par le foot et les conditions de cette occupation, puis voyez si c’est toujours le cas d’élargir vos leçons depuis votre nuage… et commencez par aler voir qui a en premier sorti le foot… si cela ne vous fatigue trop…
14 juin 2014 à 10 h 05 min, ce n’est pas parce que je n’aime pas le foot que je m’enchasublerais de jargons , syntaxes des derniers cours de zinc et d’nternautisme pour parasiter un blog d’idéologies de caïds de cour de récréation .
sognez vous bien monsieur : il y a surement de bons thérapeutes bilingues dans votre langue maternelle .
en picardie..la belle gueule c’est une offense a l’égalité..on est tous rien que des finky énervés
Adieu, tart@colle !
(….quelle perte….)
Dans quelques années, le billet sera une vidéo, et les commentaires aussi : chacun devant sa web cam. Ce sera marrant. Les trolls mettront des cagoules et déformeront leur voix, ueda plissera les yeux pour se donner un air chinois, D. apparaîtra en 3D (la trinité), JC sera en bermuda sous un pin, bougereau et moi on sera en marcel, à la bonne franquette, etc.
cherchez vous vos pseudos chez tart’& co dit: 14 juin 2014 à 10 h 27 min
, adieu
cherchez vous vos pseudos chez tart’& co dit: 14 juin 2014 à 10 h 37 min
Ouf ! Trente minutes de séparation, c’était intenable.
Des journées sur le Web c’est la même conne inconséquente qui prétend » lutter » à la fois contre l’islamophobie (cf. Finkiekraut-le-raciste) et contre l’islamisation galopante de tout un pan de la société française. Quel courage admirable, vraiment, quelle rigueur morale et intellectuelle à toute épreuve. L’esprit de la Résistance souffle sur ce blog grâce à elle.
La première chose à faire pour lutter contre l’islam-isme en France, c’est :
– stopper toute immigration musulmane en France (non, non, l’islam chez nous n’est pas le fruit de la génération spontanée),
– supprimer le regroupement familial (privilégier une immigration choisie, de travail, localisée à certains pays culturellement compatibles),
– réduire drastiquement le nombre de visas pour les ressortissants de pays musulmans
– expulser tous les imams étrangers,
– traquer les clandestins jusque dans les chiottes et les expulser manu militari,
– interdire les aumôniers musulmans dans les prisons (les remplacer par des professeurs et des laïcs),
– déchoir de leur nationalité tous les Français (de fraîche date ou non, pas de discriminations…) rendus coupables de visées terroristes et de menées subversives contre la République (haute trahison et intelligence avec l’ennemi)
On me dira qu’on en fera des apatrides, que c’est interdit par telle convention, etc. On s’en fout. Si madame Viviane Reading veut leur accorder le droit d’asile et la nationalité luxembourgeoise, qu’elle le fasse.
La mise en place de tribunaux d’exception, et le rétablissement de la peine de mort pour les crimes terroristes les plus graves (Medhi Nemmouche n’est qu’un hors-d’oeuvre, j’espère que chacun l’a compris), est à envisager dans un proche avenir. Si cela continue, il faut s’attendre à ce qu’un jour des colonnes de djihadistes déferlent sur Roubaix ou Marseille pour les libérer (comme à Mossoul, comme à Bagdad), et à les voir accueillis par la population avec des fleurs et des hourras. Nous sommes engagés dans une lutte à mort sans merci, il ne faudra se priver d’aucun moyen d’éradiquer la racaille islamiste, le seul vrai fascisme (en expansion continuelle) qui menace de mort nos démocraties.
Voilà un programme simple, intelligent, logique, efficace pour lutter contre l’islam-isme (la cause) et l’islamophobie, qui n’en est que la conséquence inévitable. On ne va pas pouvoir continuer à ménager la chèvre islamiste et le chou républicain indéfiniment. Il va falloir trancher. Il va falloir se battre. Et on va voir à l’oeuvre nos résistants » en papier de fiente « .
Adieu, petits choux aux poireaux quiconfondez les truites et tritons ,aduieu je
pars définitivement
J’avoue qu’entrevoir Bérénice en tutu d’occasion, Daaphnée en crinoline fendue, ou Clopine uniquement vêtue d’un mini-tablier-pour-traire/sabots, ça me remuerait les neurones !
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