Les fantômes de la guerre civile espagnole
Pas de rentrée littéraire sans une forte présence de la guerre dans la fiction : les deux guerres mondiales bien sûr, avec un tropisme marqué pour l’Occupation (et cette fois à noter le roman d’Alexandre Seurat L’administrateur provisoire et celui de Laurent Sagalovitch Vera Kaplan sur lesquels je reviendrais), la guerre d’Algérie régulièrement et depuis peu la guerre que le terrorisme islamiste livre au reste du monde. Mais de toutes ces parutions, la plus originale concerne cette fois un type de guerre qu’un peuple s’est livré à lui-même : la guerre civile espagnole, celle-ci serait-elle à son insu le véritable premier acte de la seconde guerre mondiale.
C’est bien d’un roman qu’il s’agit. Aux historiens les preuves, aux romanciers les traces, même si pour écrire Avec la mort en tenue de bataille (217 pages, 17 euros, Albin Michel), beau titre emprunté à un poème de Rafael Alberti (ici en espagnol … La tierra que os entierra la defendéis, seguros, a tiros con la muerte vestida de batailla… ») l’auteur a puisé aux meilleures sources, notamment dans les recherches effectuées par l’historien britannique Antony Beevor ; mais le puissant récit de José Alvarez, son deuxième roman, porte surtout l’empreinte de son propre traumatisme familial, les ombres portées de sa mère et de la mère de celle-ci, et les déchirements fraternels entre deux camps irréductiblement opposés comme tant de familles espagnoles en ont connu alors . Né en 1947 à Santander, devenu un fameux éditeur de livres d’art à Paris (il a créé les éditions du Regard), il attendait le bon moment pour s’attaquer à ses propres fantômes qui sont également ceux de tout un peuple.
L’héroïne Inès del Valle, car c’en est une dans le sens plein du terme, est une mère de famille sans nouvelles de ses cinq enfants. Son mari, un capitaine au long cours, silencieux, secret, distant, étant bloqué en Argentine, elle les avait envoyés en France en croyant les mettre à l’abri. Naviguant entre confiance et trahison, elle part à leur recherche en 1936 dans un pays « dont la grandeur n’eut d’égale que sa folie ». Un pays en proie de tous côtés au rapt et trafic d’enfants. Pour cette Inès comme pour tant d’autres de ses compatriotes, la guerre agit comme un révélateur : elle se découvre un tempérament de combattante, armée d’une seule conviction plus morale que politique qui se veut l’allégorie d’une Espagne fière, libre, indépendante (« Ne jamais renoncer »), tôt résolue à renvoyer dos à dos républicains et nationalistes tant l’écoeure le spectacle des exactions dont elle est témoin en traversant le territoire, et tant l’accable le jeu des rivalités et des ambitions pour l’exercice du pouvoir. Le sang coule à flots dans les arènes mais ce n’est plus celui des bêtes. L’auteur ne nous fait grâce d’aucun massacre, jusques et y compris, ultime tabou, ceux perpétrés par les Brigades internationales dans leurs propres rangs vis à vis de leurs déserteurs. Nul n’en sort grandi. L’horreur est de toutes parts.
La réussite de ce tableau goyesque brossé par José Alvarez tient à sa capacité de nouer son histoire à l’Histoire en articulant, sans forcer la note, ses personnages avec les événements, les uns et les autres d’un temps cassé par la guerre, dépouillés de tout et pour certains jusqu’à leur humanité. Il restitue bien le rythme dément que la guerre civile impose à ceux qui s’y jettent, où l’ennemi est si intérieur qu’il force chacun à le combattre en soi aussi. Selon l’écrivain François-Olivier Rousseau, un tel livre est de nature à démentir Cioran lorsque celui-ci décrète que les guerres civiles présentent cet avantage que l’on n’y tue que des gens qu’on connaît. Le regard effaré d’Inès témoigne du contraire.
On croise la haute figure du philosophe Miguel de Unamuno qui, lors de la célébration du « jour de la race » (espagnole, bien sûr) osa affronter la meute phalangiste prête à le lyncher en son université à l’issue d’un discours historique le 12 octobre 1936, d’une colère à peine contenue, et n’eut été l’intervention de la femme de Franco présente au premier rang aux côtés des dignitaires nationalistes, qui lui prit ostentatoirement la main pour l’exfiltrer, il y passait probablement :
Yo siempre he sido, diga lo que diga el proverbio, un profeta en mi propio país. Venceréis, porque tenéis sobrada fuerza bruta. Pero no convenceréis, porque para convencer hay que persuadir. Y para persuadir necesitaréis algo que os falta: razón y derecho en la lucha. Me parece inútil el pediros que penséis en España. He dicho ( J’ai toujours été, quoiqu’en dise le proverbe, prophète en mon pays. Vous vaincrez parce que vous avez une force brutale supérieure. Mais vous ne convaincrez pas parce que pour convaincre il faut persuader. Et pour persuader il faut quelque chose qui vous manque : la raison et le bon droit dans le combat. Il me semble inutile de vous demander de penser à l’Espagne. J’ai terminé)
On croise aussi Federico Garcia Lorca assassiné en 1936 par des rebelles anti-républicains et achevé en 1998 par une saillie homophobe du poète nobélisé Camille José Cela ; un Hemingway aussi complaisant avec le camp républicain qu’Orwell ne le fut pas avec les mêmes ; Simone Weil bouleversée par les tueries commises par ses amis anarchistes, de même que Stephen Spender quittant le PC, François Mauriac est évoqué pour ses articles du Figaro qu’Inès traduit ; ces présences nécessaires font d’autant plus regretter l’absence du grand Bernanos, l’écrivain catholique qui eut le courage de tirer contre son camp après avoir assisté à l’horreur perpétrée au nom du Christ-roi, d’autant que José Alvarez dénonce à juste titre la complicité entre le clergé et le général Franco, collusion qui avait justement révulsé Bernanos et irrigué ses Grands cimetières sous la lune (1938).
On doit au poète Garcia Lorca d’avoir théorisé la notion de duende issue du flamenco et de la tauromachie, cette rage venue du plus profond de l’être et qui se manifeste par la lutte du corps avec un autre corps qui l’habite. C’est peu dire qu’elle a animé l’auteur d’Avec la mort en tenue de bataille et irrigué les pages de son livre de toute sa sourde violence.
(« Le philosophe Miguel de Numuno quittant l’université sous les menaces » photo D.R. ; « Violeta » photo Patricia Canino)
1 217 Réponses pour Les fantômes de la guerre civile espagnole
« ah bon , selon Pablo75, seul le castillan, est de l’espagnol »
Ben oui duc…par définition le castillan est l’espagnol, autrement appelé « castellano ». Le catalan est le catalan, le galicien, le galicien, etc…
Je ne vois pas pourquoi il faudrait attacher tant d’importance à la folie humaine, au point de s’en gâcher le quotidien. (Jean)
_____________
Mais les historiens n’ont jamais dit ça ! C’est toi, uniquement toi qui voit ça comme ça. Comme beaucoup de gens d’ailleurs, comme Pablo, qui sont incapables de sortir de leur narcissisme congénital. Mais c’est typique de cet état de régression général et de bien pensance où nous sommes plongés aujourd’hui !
a vrai dire, je ne pige pas très bien cet acharnement contre Alba. Si on voulait , on pourrait en dire autant de pas mal ici. car on forme une ménagerie du tonnerre sans l’odeur toutefois, quoique…
Y a Jean, dans le genre, qu’est pas mal non plus,
Le Castillan raide comme un piquet et qui rit
quand il se brûle.
Y a Monsieur Goût qui rêve de trous de balle en file indienne
Y a le vieux chnock de Porc qui roule qui nous joue Papy Mougeot
y a Rose , on y comprend que dalle…faut un décodeur
y a Djiovano 100 angélis , alors lui. c’est le nouveau Turing, il essaie sa nouvelle Enigma
et puis y a mézigues, sorte de jeune premier pour maisons de retraite, genr humour Vermot..
Alors Alba, je m’en tape le coquillard par terre qu’il regarde dans Wikipédia. On le fait tous. Et même certains font des artiques.
Ce srait pas passque vous êtes jalminces, des fois..
en tous cas , je rigole bien zici.
Mais les historiens n’ont jamais dit ça (Widergänger)
Ah bon ? Ce n’est pas la folie humaine que montrent les historiens ? Moi, je croyais. Et quand je regarde mon chat dans les yeux, j’ai l’impression qu’il me donne raison.
D’ailleurs Jean confirme les très perspicaces analyses de J.P. Stern sur le « kitsch » pour définir l’attitude de Hitler, dans son grand livre Hitler, le Führer et le peuple. C’est d’ailleurs quelque chose qui vient de loin, puisque Kafka en parle déjà dans ses lettres à Milena. Les propos de Jean sont typiquement kitsch, comme ceux de Pablo. Typiques de cette période nazie.
@ Widergänger
« comme Pablo, qui sont incapables de sortir de leur narcissisme congénital. »
Tu es de plus en plus pathétique, Michel Alba.
Mais
1°) les historiens n’attachent pas tant d’importance à la folie humaine, étant donné que c’est leur matière première de travail, l’histoire par définition étant folle et tragique;
2°) Cela ne leur gâche nullement le présent.
D’ailleurs Heidegger a de profondes réflexions sur le rapport au passé et à la tradition dont l’historiographie est une des expressions. Il ne s’agit nullement de s’enfermer dans le passé mais de le surmonter précisément en se l’appropriant. Ce que Jean et Cie sont bien incapables de comprendre.
@ Widergänger
« Les propos de Jean sont typiquement kitsch, comme ceux de Pablo. Typiques de cette période nazie. »
Et c’est toi, l’admirateur d’antisémites comme Heidegger et Blanchot, le négationniste de la philosophie nazie de Heidegger, le Faurisson du blog, qui dit ça?
Widergänger dit: 29 août 2016 à 18 h 52 min
Je ne vois pas pourquoi il faudrait attacher tant d’importance à la folie humaine, au point de s’en gâcher le quotidien. (Jean)
_____________
Mais les historiens n’ont jamais dit ça ! C’est toi, uniquement toi qui voit ça comme ça. (Widergänger)
Je note que Widergänger est Juif et qu’il croit en Dieu. Et c’est moi, qui ne suis pas Juif et qui suis athée, qui dénonce la folie humaine à l’oeuvre dans l’Histoire, alors qu’on s’attendrait à ce que ce soit lui qui le fasse. Ce renversement des rôles m’intrigue, moi qui suis curieux des jeux de rôles. Qu’est ce qui déplaît à Widergänger : que je cherche à me (pas seulement moi, d’ailleurs) protéger de la folie humaine ? Ce doit être ce qu’il appelle du narcissisme. Peut-être. Mais nous sommes tous narcissiques, à bien l’examiner.
Il ne s’agit nullement de s’enfermer dans le passé mais de le surmonter précisément en se l’appropriant.
Du vent. On ne s’approprie jamais le passé. On peut prétendre le faire, mais c’est plutôt lui qui vous écrase, surtout dans ce cas. La santé, c’est de s’évader du passé de l’humanité, comme on s’évade de son propre passé.
Mais comment peux-tu espérer, mon brave Jeanjean, te protéger de la folie humaine si tu refuses de la surmonter ? Tu es en pleine confusion. Mais c’est courant. Comme ce pauvre Pablo qui éructe, crache, bave et vocifère au lieu de penser. C’est pathétique.
@ Jean
Essayer de discuter avec Widergänger c’est comme essayer de jouer aux échecs avec un chimpanzé. Il n’y a rien à faire, il ne comprend pas, il ne peut pas comprendre.
Il est fou.
« Odi ergo sum ».
Voici la seconde liste des écrivains que je hais :
Michel Houellebecq.
Michel Onfray.
Bernard-Henri Lévy.
Elisabeth Badinter.
Franz-Olivier Giesbert.
Pascal Quignard.
Irène Frain.
Véronique Ovaldé.
Lydie Salvayre.
Dominique Fernandez.
Alain Finkielkraut.
Eric Zemmour.
Maurice G. Dantec.
Qu’ils aillent tous en enfer !
Jean dit: 29 août 2016 à 19 h 09 min
Il ne s’agit nullement de s’enfermer dans le passé mais de le surmonter précisément en se l’appropriant.
Du vent.
———————
Du vent pour toi, parce que t’es simplement incapable de comprendre ce que veut dire « surmonter le passé en se l’appropriant », qui ne veut certainement pas dire ce que tu y lis.
« La santé, c’est de s’évader du passé de l’humanité, comme on s’évade de son propre passé. »
Il me semble que c’est ce qui crée du refoulé, et que ce n’est pas très bon… ça rend d’ailleurs complètement hystérique.
Pablo75 dit: 29 août 2016 à 19 h 10 min
@ Jean
Essayer de discuter avec Widergänger
__________
ET c’ets ce pauvre Pablo qui dit ça, lui qui n’a jamais su exprimer comme objections que ses cris de furie en déliquescence…! Tu fais rire à tes dépens, mon pauvre Pablo. Mais t’es bête, c’est normal.
D’ailleurs Heidegger a de profondes réflexions sur le rapport du tricot à la tradition dont la chaussette est une des expressions. Il ne s’agit nullement de s’enfermer dans le tricot mais de le surmonter précisément en se l’appropriant. Ce que Jean et Cie sont bien incapables de comprendre.
De meiux en mieux dans la sottise.
@ Widergänger
On sent qu’aujourd’hui tu ne réfléchis pas assis sur la cuvette de tes WC, mais que tu le fais assis sur celle des WC des urgences de Saint Anne.
On peut jouer aux échecs tout seul, mais c’est moyen quand même… Faut être très perfide !
Pablo est un âne qui braie…
Widergänger dit: 29 août 2016 à 19 h 13 mi
Tu fais rire à tes dépens, (…) Mais t’es bête, c’est normal.
Il se parle à lui-même, comme Carmen. « Il n’est pas interdit de se parler… »
..tu exofictionnes un dopelganguère comme dracul..et là l’instinct dmeurtre te vient comme la démangeaison vient au cul
je m’an paye une sacrée tranche….on dirait Memnon, le Père Ubu , les Palotins en train d’aboyer…avec Rebontier et Quatzoneilles…
impayable !
D’ailleurs Heidegger a de profondes réflexions sur le rapport du tricot à la tradition dont la chaussette est une des expressions.
Alba devrait se tricoter une grosse chaussette qui pourrait lui servir de camisole.
un vétérinaire direait que des morbaques comme mon larhbin et le pti gros c’est preuve dun certain portentiel de santé dracul..seulmemnt vla..tu ruines tout
la démangeaison vient au cul
chparlait de tes échecs serdgio..pas dtes micozes yamahesque..jme permetrais pas
bouguereau dit: 29 août 2016 à 19 h 33 min
des morbaques
Bouguereau Jean-Claude s’enorgueillit d’un corps superbe.
une grosse chaussette
y pense qu’a ête bien au chaud et a rien foute mon larbhin..un pârazite c’est ça
« Il se parle à lui-même, comme Carmen. »
La musique adoucit les moeurs.
hallons bon..jean claude asteur..des hinphormateurs de choc surement..t’as payé combien?
bouguereau dit: 29 août 2016 à 19 h 36 min
ête bien au chaud et a rien foute
Pendant ce temps, Bouguereau Jean-Claude subit le dur entrainement des majorettes.
chparlait de tes échecs serdgio
du jeux hou tu gagnes toujours ha la fin comme les vafeunes..raa pas dtes vestes..jme permettrai hencore moins
ribouldingue dit: 29 août 2016 à 18 h 50 min
le castillan est le castellano -plusieurs langues sont parlées en Espagne par ex le catalan le castillan le basque ..-ya plusieurs parlers espagnols cqfd
Quand j’entends dire « Guerre d’Espagne », il me vient tout de suite trois références :
« Mourir à Madrid » de Frédéric Rossif. Un prof d’Espagnol l’avait montré à ses élèves. Le prof d’Histoire voulut en faire autant dans sa classe. Réaction soupçonneuse d’un futur bourrin à œillères : Monsieur, est-ce que c’est au programme ?
« Madrid », de Guy Bontempelli, avec un coup de goupillon sur la calotte de cette ordure de Mgr Diaz de Gomorra.
« Paracuellos », de Gimenez, terrible série sur les orphelinats de Franco-la-muerte.
Coïncidence : sur mon blogue, article sur les effets mortifères de l’après-guerre en Italie.
Ce soir je bois un petit bouillon de fanes de carottes et hop, au lit avec une dame.
Il s’agit de la Dame aux Camélias, je précise.
J’en suis au chapitre 7. Excellente lecture, bien que datant un peu.
Ensuite dodo et demain matin 5h 45 : 1 heure de course rapide dans le Bois de Boulogne, à jeun.
Puis retour à la Tour Totem en suivant la Seine, et à 7h, petit déjeuner : 1 œuf de poule, deux tartines une miel de Corse, l’autre confiture de Framboise de Seine et Marne et un grand bol de Ricoré.
Sur le balcon, habillé d’une petite laine pour la fraicheur matinale.
D, vous allez faire une crise de tétanie. Pour une prochaine fois, rappelez-vous, comme le conseille le K. S., de faire dîner convenablement la dame. « Bien réjouir une bouche avant l’autre », indique ce vénérable recueil.
Quittons nous, enfin, sur une réflexion fondamentale !
Nous, nous autres, bouffons d’entre les bouffons, nous nous foutons considérablement, totalement, entièrement, de tous les passés de tous les peuples de toutes les planètes habitables de tous les temps !
Pourquoi ? Vous vous posez la question, bande de sauvages !!! Réfléchissez !…. mais parce que seul, seul, le présent est à vivre.
Noapte buna, fellows !
Propos de barbares !
23h15
AHARON APPELFELD, LE KADDISH DES ORPHELINS
Documentaire
Ce soir sur France 3
allez voir le nouveau fil, ça va saigner…..Assouline est un pro des corridas…
Dali? Da !
guigui, aujourd’hui c’est la sainte Sabine. Tu pourrais si tu le voulais, te mettre sur ton 31 et nous briefer sur le ladino, vu que mister Azar dit que c’est une belle langue, au charme trop discret.
Javert, j’ai bien réfléchi, comme le miroir. Je ne vais pas retourner à la librairie, où j’ai fait emplette.
Vu ce qu’Umberto Eco se prend dans la tronche, dans un dico « je t’aime pas non plus » de la littérature, qui dit du bien de tout un tas de de vieux, que c’est pas la peine, tellement ils font pitié, comme finkie.
Chaloux, On apprécie tous la poésie pragmatique du K S si l »épithète garde une chance de rester présentable en compagnie du nom auquel il se rapporte. D cultive une organisation para-militaire, il a besoin de repères pour lutter contre la dissolution de tout qui n’en finit de fuir, d’échapper à nous et à notre compréhension, au temps qui dans un tourbillon invisible nous mangera un par un sans calmer sa faim.
guigui, est-ce que comer en espagnol a donné: commérage ?
’Umberto Eco
un italien en pleine guerre d’Espagne! Ou va-t-on, ou va-t-on!??
Je vous laisse un moment, mes barillas vont être molles. Vu que vous aviez abordé la muse de Dali, Gala . Vous écrivez trop trop trop!
berguenzinc dit: 29 août 2016 à 18 h 33 min
Raul Hilberg entre autres — chez qui j’ai goûté un divertissement de qualité.
euh……M »sieur Jean, vous confondez pas avec San Antonio, des fois, pare que Hilberg, comme divertissement , il en faut des hecto…pascals…
Berguenzinc s’amuse de me voir confondre Hilberg et San Antonio, et moi, dans la foulée, je me moque de mon goût pour la provoc plus ou moins habilement distillée.
En fait nous avons tort l’un et l’autre.
Je reviens un peu tardivement sur cette question parce qu’elle m’intéresse, dans la mesure où elle touche notre rapport à l’Histoire et aux historiens.
L’ouvrage de Hilberg auquel je faisais allusion est évidemment l’illustrissime « La Destruction des Juifs d’Europe ».
Je prétends avoir trouvé mon divertissement dans la lecture de cet ouvrage. D’aucuns y verront une provocation de mauvais goût : comment trouver son divertissement dans la description d’un des épisodes les plus tragiques de l’Histoire de l’Europe au XXe siècle, sans faire preuve de la plus odieuse perversité ?
Mais il y a deux façon de concevoir le divertissement que procure un ouvrage d’histoire, quel qu’il soit.
Dans le cas du livre de Raul Hilberg, la première est de se divertir au spectacle des malheurs et des souffrances des victimes juives de la persécution mise en place par les nazis : ce sera le divertissement du néo-nazi nostalgique, de l’antisémite impénitent. Ce n’est pas mon cas. Le divertissement est procuré ici par la matière du livre.
La seconde forme du divertissement, nous la connaissons bien, et depuis fort longtemps, puisque c’est elle qui a conduit à ranger l’Histoire parmi les genres littéraires, à y reconnaître une forme de l’art littéraire. C’est alors que l’oeuvre me procure un divertissement intellectuel de haut niveau, par les qualités de sa mise en forme : la beauté de l’écriture, l’art de la disposition, la maîtrise dans l’art de raconter, dans l’art du portrait etc. C’est le divertissement que m’ont procuré Hérodote, Thucydide, Tite-Live, Tacite, Bossuet, Voltaire, Michelet, Augustin Thierry et, plus près de nous un Mathiez, un Duby, ou encore le récent « Bonaparte » de Patrice Guénnifey.
C’est le divertissement que m’a procuré aussi la lecture de « La destruction des Juifs d’Europe », en dépit du caractère atroce de son sujet.
Sans vraiment pouvoir apprécier les qualités d’écriture du texte de Raoul Hilberg, auquel je n’ai accédé que via une traduction, j’ai pu en revanche admirer les qualités intellectuelles de l’auteur : lucidité, rigueur de la mise en forme, de la distribution des parties, clarté de l’exposé, qualité de l’esprit critique. Raoul Hilberg n’est pas seulement un grand historien parce qu’il a eu le courage et la force de traiter un sujet aussi complexe et ardu, mais parce que, tout simplement, il possède les qualités intellectuelles qui font le grand historien.
Si Assouline rend compte de cet ouvrage sur la guerre d’Espagne ce n’est pas seulement en raison des vérités qu’il délivre, c’est aussi — et peut-être surtout — parce qu’il s’agit d’une oeuvre littéraire de grande qualité, donc d’une oeuvre divertissante au plus noble sens de l’épithète.
Cette double nature de l’ouvrage d’Histoire ne va pas sans nous troubler parce qu’elle nous renvoie à notre rapport au réel, dès lors qu’il dépend de la relation d’un tiers. Cela ne vaut pas que pour l’Histoire, bien entendu.
Il y a un plaisir à lire le livre de Hilberg, comme il y a un plaisir à lire Thucydide ou Michelet. On s’accordera à considérer ce plaisir comme tout-à-fait licite dès lors qu’il s’agit d’un historien ancien. En revanche, s’il s’agit d’un ouvrage traitant d’événements récents et particulièrement traumatisants, on aura tendance à … éviter d’en parler. D’aucuns ont dénoncé l’immoralité de la lecture-plaisir (voyez les procès de Flaubert et de Baudelaire). Le plaisir que nous procure un ouvrage d’histoire serait-il particulièrement suspect d’immoralité ?
« Le plaisir que nous procure un ouvrage d’histoire serait-il particulièrement suspect d’immoralité ? »
pas du tout s’agissant de Raul Hilberg, d’autant que sa philosophie, en substance: soit responsable de tes actes, est on ne peut plus éthique.
Plus que sa plagiaire arendt et sa banale prétention, et sa non moins banale compromission.
Jean dit: 29 août 2016 à 22 h 08 min
Ce que vous écrivez est intéressant, mais on ne comprend pas bien où vous voulez en venir…
Divertissement est inapproprié étant donné que « divertere » signifie « changer de route ». Or, une grande œuvre littératire, un livre d’histoire digne de ce nom ne nous font pas « changer de route ». Ils ne nous font pas faire un pas de côté ; ils nous permettent de comprendre sur quelle route nous sommes précisément en train de marcher. C’est complètement différent d’un divertissement !
Il plaide pour la culpabilité des nazis et réfute la thèse d’Arendt qui voit en eux des hommes automatisés répondant de façon hiérarchique à une organisation bureaucratique laquelle les déchargerait en partie de leur responsabilité parce qu’ils n »en n’étaient pour chacun d’eux des éléments articulés les uns aux autres, produisant un travail irréprochable. Est-ce ce que contient votre affirmation LDVB?
Il plaide pour la culpabilité des nazis et réfute la thèse d’Arendt qui voit en eux des hommes automatisés répondant de façon hiérarchique à une organisation bureaucratique laquelle les déchargerait en partie de leur responsabilité parce qu’ils n’en étaient pour chacun d’eux des éléments articulés les uns aux autres, produisant un travail irréprochable. Est-ce ce que contient votre affirmation LDVB?
Le plaisir que nous procure un ouvrage d’histoire serait-il particulièrement suspect d’immoralité ? (Jean)
___________
C’est un raisonnement complètement débile ! C’est même pas un raisonnement du tout. C’est du kitsch.
Faut être vraiment insignifiant pour aller dire que Arendt aurait plagié Hilberg.
C’est n’importe quoi ! N’importe quoi !
Jean n’a pas trouvé son plaisir au massacre mais au travail produit à partir de cette matière historique.
» lucidité, rigueur de la mise en forme, de la distribution des parties, clarté de l’exposé, qualité de l’esprit critique. Raoul Hilberg n’est pas seulement un grand historien parce qu’il a eu le courage et la force de traiter un sujet aussi complexe et ardu, mais parce que, tout simplement, il possède les qualités intellectuelles qui font le grand historien. »
Et pose la question de savoir s’il est possible que ce plaisir issu de la forme et du travail de l’historien surpasse pour l’effacer alors qu’il l’explique, l’éclaire, le fond d’horreur qui le soutient surtout quand ce dernier appartient à un passé récent.
Widergänger dit: 29 août 2016 à 22 h 29 min
Divertissement est inapproprié étant donné que « divertere » signifie « changer de route ».
Le sens étymologique est pertinent chez Pascal. Il ne l’est plus dans l’usage contemporain courant du mot. C’est évidemment dans ce sens que je l’emploie. Cependant, le plaisir que l’on peut prendre à la lecture d’un ouvrage d’histoire, en raison de ses qualités intellectuelles et artistiques, n’est-il pas divertissant au sens étymologique, dans la mesure où il nous distrait de la réalité des faits qui, seule, peut-être, devrait compter ? C’est la question que je voulais poser à propos du livre de Raul Hilberg.
Je remercie Bérénice pour la justesse de son commentaire.
Il est certain que les « abstractions » de arendt ne sont pas celles de Raul Hilberg.
Mais ce n’est pas le sujet du billet.
Je n’ai pas vu de précision historique concernant les rapts d’enfants espagnols évoqués ?
>Widergänger
ne tombez pas dans le panneau : grand pervers diabolique, il est en train de vous faire participer à ses ébats et sans débat.
Vous êtes sa proie préférée parce que vous dialoguez avec quelqu’un qui ne désire pas le dialogue.
La turpitude est un mot bien léger pour le décrire.
Là, il lui fait dicter n’importe quoi à elle, puis il fera sa pornographie en direct : les deux fonctionnent comme cela : j’ai recherché mon post du mois de mai, disant leurs deux noms, il a été censuré par Assouline qui fait son commerce.
Dslée
Est-ce qu’un a abordé Picasso et cette grande fresque de Guernica ?
http://www.clg-leracinay-rambouillet.ac-versailles.fr/spip/IMG/pdf/Analyse_de_Guernica_Picasso.pdf
Je suis en train de lire la partie du séminaire de Derrida qui concerne sa lecture du séminaire de Heidegger des années 1929-30 et 1935 sur la métaphysique (Les Concepts fondamentaux de la métaphysique, en 1929-30, et Introduction à la métaphysique en 1935) que Derrida analyse à partir du quatrième séminaire sur « La bête et le souverain ». Ça n’a rien d’un divertissement. Et d’autant plus passionnant qu’il le fait à partir de l’allemand de Heidegger, et en parallèle à une analyse (à partir de l’anglais) du roman de Defoe, Robinson Crusoé. Il remarque toute une série de mots qui appartiennent au même champ lexical que Heidegger utilise de plus en plus à partir de 1935 (walten, Gewalt, Umgewalt, übergewaltigkeit, etc.) et qui désignent, selon Derrida, « une force ou une violence archioriginaires, de ‘souveraineté’ au-delà de l’ont-théologie, c’est-à-dire du philosophico-politique comme tel. »
précisément le 23 mai 2016 : censure.
Mais si ! il l’est toujours aujourd’hui dans le sens courant du mot. Ce qui est de l’ordre du divertissement, c’est de l’ordre de l’amusement, du superficiel, c’est exactement le sens de « divertere ». Sauf que chez Pascal, il lui donnait le sens de « se détourner de Dieu ». Mais ce n’est pas du tout en ce sens-là que je l’ai pris.
Rose, je sais bien. Je connais bien les techniques débiles de Jeanjean. Je voulais simplement lui rentrer un peu dans le lard parce qu’il commence à nous faire ierch avec ses élucubrations de m…
Rose, elle répond à une question, that’s all.
Sinon la littérature historienne, je n’ai jamais lu d’ouvrage d’historien, réussit à nous transmettre de l’horreur un dégoût entre autres sentiments. Les historiens touchent surement à d’autres cordes que notre sensibilité sensible, je me souviens avoir été saisie, écœurée aux premières pages de « où j’ai laissé mon âme ». Je me promets depuis un certain temps de lire un livre d’historien mais je n’ai pas encore donné suite à ce projet pour pouvoir en posséder une idée personnelle.
Alba fait de l’enfumage intellectuel. Le pervers, c’est lui.
je relis ce passage et ne le trouve pas très clair:
« L’héroïne Inès del Valle,(…) est une mère de famille sans nouvelles de ses cinq enfants.(…) elle les avait envoyés en France en croyant les mettre à l’abri. Naviguant entre confiance et trahison, elle part à leur recherche en 1936 dans un pays « dont la grandeur n’eut d’égale que sa folie ». Un pays en proie de tous côtés au rapt et trafic d’enfants. »
Bis :
Alba fait de l’enfumage intellectuel. Le père vert, c’est lui.
Comique de répétition?
Définition basique pour divertissement/spectacle :
« L’industrie du spectacle ou industrie du divertissement recouvre l’ensemble de l’industrie du divertissement. »
Delaporte dit: 29 août 2016 à 22 h 56 min
Définition basique pour divertissement/spectacle :
« L’industrie du spectacle ou industrie du divertissement recouvre l’ensemble de l’industrie du divertissement. »
de ce point de vue, j’adresse celle-ci à Winchester Cie et aux « temptations_tempted » de la RdC
Ah merde, voici
https://www.youtube.com/watch?v=bFHEuKkTa5k
petite vidure dit: Votre commentaire est en attente de modération.
29 août 2016 à 23 h 00 min
Ah merde, voici
https://www.youtube.com/watch?v=bFHEuKkTa5k
petite vidure dit: Votre commentaire est en attente de modération.
29 août 2016 à 22 h 59 min
Delaporte dit: 29 août 2016 à 22 h 56 min
Définition basique pour divertissement/spectacle :
« L’industrie du spectacle ou industrie du divertissement recouvre l’ensemble de l’industrie du divertissement. »
de ce point de vue, j’adresse celle-ci à Winchester Cie et aux « temptations_tempted » de la RdC
Derrida, pour présenter son séminaire, déclare en parlant de Heidegger : « (…) le cours professé en 1929-1930, qui constitue le traité le plus systématique et le plus riche de Heidegger sur l’animalité, plus précisément sur le monde pour l’animal. /C’est dans ce séminaire qu’on trouve en effet les trois fameuses « thèses » — problématiques à mes yeux et largement questionnées dans notre séminaire (« la pierre est sans monde « weltlos », l’animal est pauvre en monde « weltarm », l’homme est configurateur de monde « weltbildend »).
Lectures croisées du roman de Defoe, Robinson Crusoé, faites par « Rousseau surtout, Kant, Marx et de nombreux économistes politiques du XIXè siècle, mais aussi Joyce, V. Woolf, Lacan, Deleuze, etc. » qui visent un foyer commun : « l’histoire politique du concept de souveraineté y compris, inséparablement, celle de l’homme sur l’animal. »
Pour aller plus loin avec la notion de spectacle :
petite vidure dit: 29 août 2016 à 23 h 00 min
Ah merde, voici
https://www.youtube.com/watch?v=bFHEuKkTa5k
–
C’est très laid. Il ne faut pas confondre musique et défoulement. Or ce que je vois et j’entends ici c’est du défoulement de très basse qualité, animal en quelque sorte.
Jean dit: 29 août 2016 à 22 h 39 min
Je remercie Bérénice pour la justesse de son commentaire.
–
Oui, ce n’est pas tous les jours que l’opportunité nous en est donnée. Disons-le en toute vérité.
Tu sais ce qu’elle te dit, l’organisation, eh, mémère ?
…
…de toute la journée , pas une minute à vous joindre un commentaire,!…
…surtout qu’à la réflexion, on y trouve, ce qu’on y trouve,!…bref,!…
…
…il en faudrait au moins un millier comme moi, ou encore mieux, rien que pour développer vraiment les sciences et techniques de tout dans tout,!…
…
…et je comprend mieux la politique économique du chinois qui, s’autodidacte dans l’espace,…avec sa logique » outre intérêts » aux chiffres monopolistes,…des bourses privées personnelle à combustion paradis d’impôts à » égoïsme » rétrograde de gens malheureux en lutte sociale d’Espagne de rester mi-pauvre – mi-riche à rien,…
…en la propulsion dans l’espace,!…des concurrents of sciences,!…
…autre choses, que des franquistes et républicains et européens à se faire des guerres économiques du Cinéma d’idiots,!…la chine nous devance de loin par ses cerveaux sur l’échiquier mondial,!…
…etc,!…etc,!…
…notre culture trop rétrograde à passions revanchardes à tirer un trait d’humour,!…
…et pourtant je suis loin d’être chinois,!…
…et encore moins un perdant,!…
…pour écrire un mot,!…Ah,!Ah,!…
…l’argent et le pouvoir pour des cons,!…
…un compliment of course,!…
…Go,!…merde alors,!…
D. dit: 29 août 2016 à 23 h 12 min
petite vidure dit: 29 août 2016 à 23 h 00 min
Ah merde, voici
https://www.youtube.com/watch?v=bFHEuKkTa5k
–
C’est très laid. Il ne faut pas confondre musique et défoulement. Or ce que je vois et j’entends ici c’est du défoulement de très basse qualité, animal en quelque sorte.
C’est ce qui se dit à l’autre bout de la chaîne. Merci de le relever
le sujet est pourtant digne d’intérêt.
« Brisant le «pacte du silence» sur lequel s’est bâtie la transition démocratique, le juge Garzón accuse le régime franquiste de «crimes contre l’humanité» et d’une «volonté d’extermination» des républicains, les perdants, les rojos, les «rouges». Dans son dossier d’instruction, il y a des «disparus», mais aussi des enlèvements de nourrissons – une histoire que les Espagnols croyaient être l’apanage de leurs cousins sud-américains. Pire, ils découvrent que les rapts, lancés par les franquistes pour des motifs idéologiques, sont devenus le socle d’une petite industrie occulte qui s’est développée jusque dans les années 1990. »
http://www.liberation.fr/planete/2011/01/25/espagne-un-demi-siecle-de-bebes-voles_709642
bérénice dit: 29 août 2016 à 22 h 45 min
Est-ce qu’un a abordé Picasso et cette grande fresque de Guernica ?
bérénice, pfouuuu ! c’est une tarte à la crèe pour pédagos incultes ! Tous les profs ont étudié ce marronnier pédagogique de mes fesses depuis 20 ans au moins, dans le cadre des travaux dirigés ou pire dans le cadre de l’Histoire des Arts, florissants.
C’est effroyablement banal et on raconte toujours les mêmes imbécillités aux mômes. On n’a même pas idée de leur foutre en parallle l’autre croûte du même sur la Guerre de Corée. Parce que , oui ,désoé, « Guernica » est une croûte. C’est à la peinture ce que Brecht est u théâtre ! Bien appuyé, des fois que le pégreleux n’aurait pas compris.
bérénice dit: 29 août 2016 à 22 h 45 min
Est-ce qu’un a abordé Picasso et cette grande fresque de Guernica ?
bérénice, je vous avzis répondu ,mais les crétins de la modération m’ont coupé le sifflet..peut-être parce que je disais que « Guernica » et l’autre truc sur la Guerre de Corée étaient des croûtes…enfin, toujours est-il que ….couik !
petite vidure dit: 29 août 2016 à 23 h 18 min
D. dit: 29 août 2016 à 23 h 12 min
petite vidure dit: 29 août 2016 à 23 h 00 min
Ah merde, voici
https://www.youtube.com/watch?v=bFHEuKkTa5k
–
C’est très laid. Il ne faut pas confondre musique et défoulement. Or ce que je vois et j’entends ici c’est du défoulement de très basse qualité, animal en quelque sorte.
C’est ce qui se dit à l’autre bout de la chaîne. Merci de le relever
Je précise qu’il s’agit de la chaîne dite alimentaire
Ce trafic de bébés en Espagne est effrayante. Les plaies de la guerre civile et ses conséquences n’ont pas fini de hanter la mémoire des Espagnols. Le passé est encore présent.
@Berguie
On a le droit de ne pas aimer la toile de Guernica, mais de là à dire sans plus que c’est une croûte… ! Je l’ai vue à Madrid, elle est très impressionnante. Sans conteste une grande œuvre. On a rarement su rendre dans toute l’histoire de la peinture la sauvagerie de la guerre avec une telle expressivité.
Toots Thielsmans, Gene Wilder…
C’est plus une année, c’est un cimetière.
On se croirait dans le dernier plan du 3è homme…
AO
Valérie Zenatti est non seulement traductrice d’Appelfeld mais aussi romancière. Elle excelle dans les deux domaines, avec classe et grâce.
Dans le cadre de la prise en compte de la réalité franzouèze, il nous semble à nous, les sociologues de l’Institut Bartabacs de Porquerolles, la moderne Delphes…:
– que le département 93 soit désormais entouré d’un haut mur salvateur électrifié,
– qu’on lui donne son autonomie totale,
– qu’on le nomme le Saintdenistan,
– que la Basilique soit vidée de la charogne royale qui traine là-bas depuis trop longtemps,
– et que ce lieu saint soit immédiatement transformée en mosquée avec Chevènement comme imam !…
Le vivre-ensemble-chacun-de-son-côté impose des sacrifices : prochaine étape, Notre dame de Paris et l’Ile Saint Louis devenue Saintlouistan … jumelage avec la Jungle de Calais à l’étude …uhuhu !
Guernica ?
Tableau que je pensais avoir vu à NYC…. et qui serait à Madrid ? Bon … tout cède et rien ne tient bon. En outre, un tableau, ça voyage !
Mais pour une croute, c’est une croute !!! Signée Picasso, la croute se transforme en or … divertissement.
J’ai lu, terrifié, le scénario d’un film d’horreur porno-pédagogique qui se tourne en ce moment même dans les écoles avec nos enfants ou les enfants de nos enfants !
Il s’appellera REFORME.
Il est signé Najat Vallaud Belkacem.
Je viens d’apprendre à ma mère que j’ai été échangé à la naissance, le 12 aout 1954, avec François Hollande !
Elle a fait un malaise en bredouillant : « ….Charybde … Scylla … »
Comme je la comprends ! Comme je la plains !
Bien envoyé, le Berguenzinc ! Pas tant sur Guernica qui peut apprendre aux têtes blondes et brunes un début d’histoire allemande…mais plutôt sur le théâtre hoquetant du Brecht, infusé à des générations de collégiens de France qui les dégoutera à vie du théâtre, de l’Allemagne et de l’allemand. Remplacer Brecht par Mann et virer ceux qui veulent pas avancer, manière turque.
« Tableau que je pensais avoir vu à NYC…. et qui serait à Madrid ? »
Votre séjour new-yorkais date d’avant 81 donc… ou alors pas de visite au MoMA depuis…
Phil dit: 30 août 2016 à 7 h 54 min¨
Phil se serait-il levé du pied gôôôche ?
GUERNICA
« De 1937 à septembre 1939, elle fut présentée dans plusieurs pays européens puis aux États-Unis, notamment pour lever des fonds pour les républicains espagnols.
Puis la toile resta au MoMA de New York durant une quarantaine d’années, en raison de l’entrée de l’Europe dans la Seconde Guerre mondiale et du refus catégorique de Picasso, engagé auprès du Parti communiste français, que l’œuvre aille en Espagne tant que « les libertés publiques [n’y seraient pas] rétablies », ainsi qu’il le stipulait dans la lettre écrite avec son avocat, Roland Dumas, le 14 novembre 1970.
L’œuvre fut envoyée en Espagne à la fin du mois d’octobre 1981, après la mort de Picasso en 1973 et surtout après la mise en place d’une Constitution et d’un gouvernement démocratiques en Espagne, à la suite de la mort de Franco en 1975. » (Wiki)
Renato, je suis incapable de vous dire combien de fois, exactement, je suis allé à NYC …
Au Moma, deux ou trois fois seulement ; dans les lieux mythiques du jazz, Vanguard chez Max Gordon, Mikell’s, Bradley’s, Blue Note, Lincoln, Carnegie, et bien d’autres … beaucoup plus souvent !
Brecht: le communisme et la vie au grand-hôtel (W. Benjamin).
Les PC aux ordres de Moscou avaient leurs stars « intellectuelles » qui étaient entretenues dans leurs pays, reçues en URSS comme des papes en visite, logées, nourries, câlinées pendant les vacances au bord de la Mer Noire : cela n’étonnait, ne gênait personne. Absolument personne.
Dame ! entre frères en idéologie … Autres temps, autres mœurs, euh,… pas sûr !
enfin jicé entre jétsetteur souvent y’a comme une connivence complice pas seulement par derrière..il se reconnaissent sans hun signe par devant
chez les aparatchick ça swinguait..havec du caviar..jaloux
bouguereau dit: 30 août 2016 à 9 h 01 min
Encore toute une journée de synthèses pour Bouguereau Jean-claude.
guernica..y’avait une copie a lonu qui plaisait pas du tout aux ricains..y préféreraient du rotko..rénateau va vous dire pourquoi
J’ai tenté de voyager gratuit en URSS en m’inscrivant au PCF. Manque de pot, j’ai échoué à l’entretien d’embauche :
– qui est Lenin, camarade ?
– un enculet, camarade !
Pas de voyage gratuit : ils n’aimaient pas qu’on parle vrai…
Bouguereau Jean-Claude, Alba Michel et la jeune Wiki sont dans un bateau.
Wiki tombe à l’eau.
Qu’est-ce qu’il reste?
Rien.
Parce que , oui ,désoé, « Guernica » est une croûte
..ça se défend..hen tout cas pas toute la masse de cartons de préparation..ils sont souvent bien plus chouette que l’original
y’est vénére mon larhbin..y bout..alllez..cette photo de haut mon larbhin..elle vient
Bouguereau Jean-Claude n’est pas inquiet.
Je prétends avoir trouvé mon divertissement dans la lecture de cet ouvrage. D’aucuns y verront une provocation de mauvais goût : comment trouver son divertissement dans la description d’un des épisodes les plus tragiques de l’Histoire de l’Europe au XXe siècle, sans faire preuve de la plus odieuse perversité ?
c’est certain jean marron..la connaissance de la « barbarie nazi » s’est dabord faite par la sous culture..il n’y a aucun doute la dessus..il n’y a pas un jour sans une émission hitler est ses femmes sur le cable..pas un jour je crois..
tiens j’aimerai havoir ton avis sur le fime the act of killing..si tu l’as pas vu c’est un fime pour toi
un larhbin inquiétant son féodal..hallons..tant que le vilain est poigné c’est lui qui craint..et t’es poigné et bien
Bouguereau jean-Claude est fort.
Il est même est invincible.
C’est fente hommasse!
un braconnier qui bredouille fait fuir les lapins
Je suis en train de lire la partie du séminaire de Derrida qui concerne sa lecture du séminaire de Heidegger
t’arrivras jamais a rien par là dracul..tu dvrais lire les phuméti des années 60..t’as du boulot
Bouguereau Jean-Claude fait des proverbes!
Sans compter que le test final pour devenir communiste de haut rang et un ami de l’URSS, c’était embrasser Brejnev sur la bouche…
Beurk !… tout le monde n’est pas Honecker !
Au diable les collectivistes ! la libération des peuples asservis par le libéralisme capitaliste se fera sans moi, merbe alors !
bouguereau dit: 30 août 2016 à 9 h 21 min
« Sur le cable.. »
Bouguereau Jean-Claude : équilibriste TV.
A peine un peu plus de 700 commentaires sur la lutte pour le pouvoir entre les républicains et les fascistes franquistes en Espagne ! Je reste persuadé qu’un billet sur la lutte pour le pouvoir entre les républicains des livres et les fascistes trollistes en RDL, ferait plus du double.
« cela n’étonnait, ne gênait personne. Absolument personne. »
Ben voyons
» combien de fois, exactement, je suis allé à NYC … »
on vous croit bien sûr
« L’œuvre fut envoyée en Espagne à la fin du mois d’octobre 1981, après la mort de Picasso en 1973 et surtout après la mise en place d’une Constitution et d’un gouvernement démocratiques en Espagne, à la suite de la mort de Franco en 1975. »
Elle a été envoyée deux fois – les postiers étaient surmenés
laurent dit: 30 août 2016 à 10 h 17 mi
« Elle a été envoyée deux fois »
La phrase est mal fichue mais « laurent » devrait tout de même retirer ce débile manteau qui lui bloque la comprenette.
Laurent, serrez ma haire avec ma discipline…
P.Assouline ne lit pas les commentaires. Les 2 fautes de son texte sont toujours là.
@ Passou
Il faut corriger « con la muerte vestida de batailla… »
« de batalla » sans i.
Et « Miguel de Numuno ».
C’est sa semaine d’immersion totale au b…
Laurent ?…. Il est Magnifique…ment stupide !
On en a quelques uns qui comprennent pas grand chose mais laurent c’est un must. Les Laurent, souvent.
Pablo, « la effemina corte de francese, c’est correct ? (pas la morale, l’orthographe !
Les associations « SOS Bébés volés Espagne », « SOS origines Espagne » et la Fondation Racines et droits international réaffirment « la participation de l’Eglise catholique » dans un « réseau de vente de bébés des années 1930 à 1990 », découvert en 2011 en Espagne.
Or, « le Vatican a ignoré les demandes répétées d’aide aux victimes de l’Espagne » et l’Eglise catholique refuse, y compris face aux demandes des autorités judiciaires, de remettre des informations biologiques de mères et d’enfants qui désirent se retrouver, écrit leur avocat Enrique Vila Torres.
Ce dernier dénonce « l’opposition claire manifeste, constante et déterminée des institutions ecclésiastiques espagnoles » de fournir des informations. Il affirme avoir écrit à cinq reprises entre décembre 2012 et novembre 2013 à la conférence épiscopale espagnole, l’archevêque de Valence, le secrétaire de l’Etat du Vatican et directement au nouveau pape François.
« Malheureusement, le silence absolu et l’indifférence ont été l’unique réponse », déplore-t-il dans la lettre.
jusqu’à 300’000 bébés pourraient avoir été volés pendant la dictature de Franco et après la fin du franquisme, en 1975, aucune loi espagnole n’ayant encadré les adoptions avant 1987. Ces bébés étaient enlevés à leurs mères républicaines en vertu d’un décret de 1940 permettant au régime franquiste de s’en emparer s’il estimait que leur future « éducation morale » était en danger.
Dans les premières années de la démocratie, le trafic d’enfants s’est poursuivi, dont la vente de bébés, parfois dans des cliniques gérées par des institutions catholiques
http://www.lenouvelliste.ch/articles/monde/bebes-voles-en-espagne-le-silence-de-l-eglise-catholique-denonce-307123
« La phrase est mal fichue »
c’est comme jc il est c.n
Marianne au sein nu « pas voilée parce qu’elle est libre ».
Après la bravitude les socialistes inventent l’apoilitude.
Jusqu’où n’iront-ils pas?
8 h 27 JC à Nou York, à Berlin, en Chine, à Moscou, incapable de préciser car allé nulle part sauf au Camp à Nella, les gens rigolent du super-menteur
Jusqu’en 2011, seules 1072 plaintes ont été examinées, dont 30% classées, selon le ministère de la justice. En 2008, le juge Garzon avait ouvert une première instruction sur ces «disparus» du franquisme, mais elle a été refermée au nom d’une loi d’amnistie votée en 1977. http://www.laliberte.ch/news/international/l-affaire-des-bebes-voles-n-est-toujours-pas-reglee-310079#.V8VC6dJ_v84
laurent dit: 30 août 2016 à 10 h 34 min
Lolo, tu nous au pends au c… Comme disait mon arrière grand-père.
boudegras dit: 30 août 2016 à 10 h 34 min
oui le forcené varois est atteint d’un dérégèlement cérébral généralisé
Chaloux dit: 30 août 2016 à 10 h 35 min
votre pépé s’exprimait vraiment très clairement
(faut faire avancer le schmilblick )
C’est vrai. Il a laissé de fort belles lettres.
Laurent ? …. c’est un bébé républicain espagnol qui n’a pas été volé ! ça l’a rendu dingue…
On adopte rarement les Laurent.
Laurent ? …. il s’est présenté aux élections comme délégué de classe de son école pour handicapés. Il n’a pas eu une voix, même pas la sienne : il s’était trompé de case !
Parfois, les Laurent s’éprennent de la littérature. Mais la littérature s’éprend rarement des Laurent.
laurent est très sympa, il emm.erde les vieux grigous et ça c’est bien fait pour eux, les chaloupets et autre JC.ouille
j’attends les injures sereinement
Laurent ? …. son livre préféré est le livre de 1992 de Jean Tiberi, sur Paris « La nouvelle Athènes », il croyait que c’était Ribéry qui l’avait écrit ! Peuchère, il est vraiment escagassé, le pitchounet !
Les Laurent mettent des vidéos pédagogiques en ligne.
Laurent ? c’est Keupu ! Keupu ? c’est Boudegras ! Boudegras ? c’est William Legrand ! Legrand ? c’est Abdel Redak ! Redak ? … c’est un bébé espagnol républicain que les catholique ont volé, et vendu à une berbère stérile, ça craint !
chaloux et jc le couple de l’année
Laurent ?…. il écrivait des dialogues pour le cinéma à ses débuts, pour des films en noir et blanc, muets. Le sonore a brisé sa carrière !
JC….. dit: 30 août 2016 à 11 h 01 min
le ta ré de pq tellement atteint qu’il peut pas admettre qu’il puisse se tromper
Les Laurent sont rarement pliants.
Laurent ? c’est Keupu ! Keupu ? c’est Boudegras ! Boudegras ? c’est William Legrand ! Legrand ? c’est Abdel Redak ! Redak
devriez VRAIMENT consulter au lieu de prendre ce lieux pour vos wc
@ Phil
« la effemina corte de francese, c’est correct ? »
C’est de l’italien. Et en italien « effemina » ça n’a pas l’air d’exister. On dit « effeminata ».
On peut installer les Laurent derrière une porte.
Les Laurent inventent pour leurs ouvrages des titres extravagants.
Laurent ? … il adore la musique classique, en particulier le Concerto pour la main gauche du spécialiste de la terre cuite à Aubagne, Ravel. Maintenant, il cherche partout son Concerto pour la main droite ! Pécaïre…
Cahloux
javais omis les « »
Revoilà le com de cet ab.ruti:
« JC….. dit: 30 août 2016 à 11 h 01 min
« Laurent ? c’est Keupu ! Keupu ? c’est Boudegras ! Boudegras ? c’est William Legrand ! Legrand ? c’est Abdel Redak ! Redak ? … » »
L’heure de l’apéro approchant, l’Institut nous appelle… Pause.
11 h 18 min
nul, même en imitant Jean et bouguereau
…
…Gernica,!…c’est bien,!…Picasso
…
…et mon Van Gogh,!…les Zin Dahlia à la théière,!…
…Oui,!..en plus il ne savait pas bien faire la perspective de ses objets me dis un ami peintre,!…ce qui est le cas,!…
…
…enfin, vaut mieux un Van Gogh, que rien en double imprimé,!…
…
Les Laurent font ma joie.
gracias pablo.
Emmanuel Macron démissionne ! Les rats quittent le navire, euh …. le pédalo dans tête. Et maintenant… à table !
… le pédalo sans tête …
La pensée de monsieur Assouline :
« …et depuis peu la guerre que le terrorisme islamiste livre au reste du monde. »
Comme dirait Tibère-pépère : »Il sait ce qu’il me doi(g)t(e)! ».
La France est sortie des négociation TAFTA, le traité de commerce transatlantique, pour déséquilibre dans les négociations avec les USA. Une bonne chose.
Alba, ce gros naze toujours en retard d’un train. Puisque il y a accord avec le Canada, ça ne change rien.
Juste un truc pour faire passer Macron.
La puissance américaine ? 10 porte avions « en service », cad opérationnels à la mer…
Dans une négociation économique et commerciale stratégique, ça compte beaucoup … le déséquilibre est réel et nos amis américains le savent ! Ils traiteront pays par pays en Europe …
Vous ne me croyez pas ? Renseignez-vous.
t’as jaffé vite fait du spanghero jicé..tu veux négocier
c’est sur dracul mais si bayère achéte monsanto jean phi mangera dla wurst au soja
« En marche, quittons le navire! »
..sans parler des fermes 3000 vaches hallemandes..fini l’claco au café noir du matin..ça sra pain kk et café d’orge grillé pour jean phi
Sur les horreurs de la guerre, Goya avait tout dit…et même le Douanier Rousseau (La Guerre, ou la Chevauchée de la discorde).
mon copin gontran il a toujours des trucs a ajouter
« Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a salué mardi la décision prise par la justice française de mettre un coup d’arrêt à l’interdiction du burkini, estimant que ces arrêtés alimentaient la « stigmatisation » des musulmans. » (AFP)
On ne rit pas !….. le Machin bouge encore ….
La guerre civile qui oppose les candidats à la primaire de droite pour la présidentielle est proprement navrante : les règlements de comptes y tiennent lieu de débats d’idées !
“A woman should always have fair skin,” she added. “Otherwise people will think you’re a peasant.”
trop bien
Le facekini, c’est idéal pour les exhibitionnistes, le boug : tout nu sous le masque !
ça fait loutchalibré..mais moi chus comme toi baroz..j’ai l’gout des cul blanc a grosse trace de bronzage..noir c’est bien haussi..elle en ont rien a péter davoir l’air paysan
Vous avez compris que la puissance américaine ne pèse pas lourd face à la puissance morale du « Haut Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU » ….. uhuhuhu !!!
les règlements de comptes y tiennent lieu de débats d’idées !
mais dvant le médèf ça sra au « mieux disant »..la retraite chqua qui crèvent..l’esclavage..tu vas voir y vont sdéchainer
n’oublie pas qut’es d’monaco jicé..t’as pas d’porte avion
Préparation H!
« les règlements de comptes y tiennent lieu de débats d’idées ! »
Evidemment Jibé, si tu ne lis que les compte-rendus des journalistes!
Si tu lisais l’intégralité du discours de Fillon à Sablé, tu verrais qu’il fourmille de propositions intelligentes.
Hé bé Jibé, on est cru ici aussi ?
Je viens de chez anne-Lise, ça commence fort ! Barozi se croit obligé de donner dans le détail scabreux. Ceux qui ne sauraient pas comment ça se passe chez les homos lui disent merci.
P.Edel a encore fait le beau, remis par A-li.R dans ses 22 m. mais on les sent repartis tous les deux à se faire des mamours. Passou devrait mettre de l’ordre
Un regard balaye l’immense composition de Picasso « Guernica » :
http://kalideodie.free.fr/guernica.htm
Chaloux dit: 30 août 2016 à 13 h 30 min
Préparation H!
Prère à l’Elysée d’envoyer le reste du tube à Bouguereau Jean-claude.
(Je peux fournir l’adresse).
Emmanuel Macron à fini par m’écouter. Il démissionnera dans la journée.
Il est évident qu’un homme de sa qualité n’avait plus rien à faire dans le gouvernement de Valls.
https://www.youtube.com/watch?v=Nracbv-eHdM
Macron s’en va. frémissement érectile du gland à écharpe (un 30 aout, par 29°).
c’est bizarre cette écharpe rouge. en son temps, l’apanage du conservateur du Louvre.
C’est vraiment le moment pour le gouvernement de changer de politique économique du tout au tout, et de sauver ce qui peut encore l’être. Mais de ce moment décisif Hollande ne saura rien faire, sans doute, car il va encore louper le coche, comme à son habitude, préférant l’enlisement au sursaut.
Ross, la bite au cul n’est pas l’exclusivité des homos, fais gaffe !
Jibé dit: 30 août 2016 à 13 h 17 min
La guerre civile qui oppose les candidats à la primaire de droite pour la présidentielle est proprement navrante :
C’est le goût de l’alizé, hein ! Un vent géant… Euh non… Le gourbi, là… Le goût du gourbi ! L’hôtel d’Evreux, quoi…
« Il est évident qu’un homme de sa qualité n’avait plus rien à faire dans le gouvernement de Valls. »
Je croyais que vous ne juriez que par l’homme sans qualité, D. ?
Macron, une étoile filante qui va faire pchitt :
« Emmanuel Macron joue le rôle de la comète avec, forcément, le risque de disparaître aussi vite qu’il est apparu sur la scène politique. » (Europe 1)
En tout cas , il empaille bien.
Guernica reprend l’idée des panaromas de batailles que le public balzacien visitait le dimanche pour édifier la jeune génération, qui n’allait pas tarder à se faire étriper de la manière exposée. Evidemment c’était un siècle plus tôt que la vitrine de Picasso.
Cette rentrée, c’est un coup d’état symbolique de l’argent. C’est la grande faute historique de Hollande de ne pas l’avoir anticipé, de ne pas avoir fait en sorte que sa stature – il n’en a pas- soit assez forte pour y résister. Il est perdu.
Cinq ans de perdu !
Cinq années où il a fallu se farcir un apparatchik de parti n’ayant plus de socialiste que le nom, un Petit Bedonnant, sergent des compromis, maréchal des bras cassés !
La faute à Sarko l’Agité de Neuilly, le Géant des Carpettes, qui a créé le « Tout, sauf Sarkozy.. ». Bref, cinq ans de paumé et le monde qui accélère, et le pays qui s’essouffle chaque jour un peu plus !
On a pas eu « Tout sauf… », on a eu « N’importe quoi »
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