Les fantômes de la guerre civile espagnole
Pas de rentrée littéraire sans une forte présence de la guerre dans la fiction : les deux guerres mondiales bien sûr, avec un tropisme marqué pour l’Occupation (et cette fois à noter le roman d’Alexandre Seurat L’administrateur provisoire et celui de Laurent Sagalovitch Vera Kaplan sur lesquels je reviendrais), la guerre d’Algérie régulièrement et depuis peu la guerre que le terrorisme islamiste livre au reste du monde. Mais de toutes ces parutions, la plus originale concerne cette fois un type de guerre qu’un peuple s’est livré à lui-même : la guerre civile espagnole, celle-ci serait-elle à son insu le véritable premier acte de la seconde guerre mondiale.
C’est bien d’un roman qu’il s’agit. Aux historiens les preuves, aux romanciers les traces, même si pour écrire Avec la mort en tenue de bataille (217 pages, 17 euros, Albin Michel), beau titre emprunté à un poème de Rafael Alberti (ici en espagnol … La tierra que os entierra la defendéis, seguros, a tiros con la muerte vestida de batailla… ») l’auteur a puisé aux meilleures sources, notamment dans les recherches effectuées par l’historien britannique Antony Beevor ; mais le puissant récit de José Alvarez, son deuxième roman, porte surtout l’empreinte de son propre traumatisme familial, les ombres portées de sa mère et de la mère de celle-ci, et les déchirements fraternels entre deux camps irréductiblement opposés comme tant de familles espagnoles en ont connu alors . Né en 1947 à Santander, devenu un fameux éditeur de livres d’art à Paris (il a créé les éditions du Regard), il attendait le bon moment pour s’attaquer à ses propres fantômes qui sont également ceux de tout un peuple.
L’héroïne Inès del Valle, car c’en est une dans le sens plein du terme, est une mère de famille sans nouvelles de ses cinq enfants. Son mari, un capitaine au long cours, silencieux, secret, distant, étant bloqué en Argentine, elle les avait envoyés en France en croyant les mettre à l’abri. Naviguant entre confiance et trahison, elle part à leur recherche en 1936 dans un pays « dont la grandeur n’eut d’égale que sa folie ». Un pays en proie de tous côtés au rapt et trafic d’enfants. Pour cette Inès comme pour tant d’autres de ses compatriotes, la guerre agit comme un révélateur : elle se découvre un tempérament de combattante, armée d’une seule conviction plus morale que politique qui se veut l’allégorie d’une Espagne fière, libre, indépendante (« Ne jamais renoncer »), tôt résolue à renvoyer dos à dos républicains et nationalistes tant l’écoeure le spectacle des exactions dont elle est témoin en traversant le territoire, et tant l’accable le jeu des rivalités et des ambitions pour l’exercice du pouvoir. Le sang coule à flots dans les arènes mais ce n’est plus celui des bêtes. L’auteur ne nous fait grâce d’aucun massacre, jusques et y compris, ultime tabou, ceux perpétrés par les Brigades internationales dans leurs propres rangs vis à vis de leurs déserteurs. Nul n’en sort grandi. L’horreur est de toutes parts.
La réussite de ce tableau goyesque brossé par José Alvarez tient à sa capacité de nouer son histoire à l’Histoire en articulant, sans forcer la note, ses personnages avec les événements, les uns et les autres d’un temps cassé par la guerre, dépouillés de tout et pour certains jusqu’à leur humanité. Il restitue bien le rythme dément que la guerre civile impose à ceux qui s’y jettent, où l’ennemi est si intérieur qu’il force chacun à le combattre en soi aussi. Selon l’écrivain François-Olivier Rousseau, un tel livre est de nature à démentir Cioran lorsque celui-ci décrète que les guerres civiles présentent cet avantage que l’on n’y tue que des gens qu’on connaît. Le regard effaré d’Inès témoigne du contraire.
On croise la haute figure du philosophe Miguel de Unamuno qui, lors de la célébration du « jour de la race » (espagnole, bien sûr) osa affronter la meute phalangiste prête à le lyncher en son université à l’issue d’un discours historique le 12 octobre 1936, d’une colère à peine contenue, et n’eut été l’intervention de la femme de Franco présente au premier rang aux côtés des dignitaires nationalistes, qui lui prit ostentatoirement la main pour l’exfiltrer, il y passait probablement :
Yo siempre he sido, diga lo que diga el proverbio, un profeta en mi propio país. Venceréis, porque tenéis sobrada fuerza bruta. Pero no convenceréis, porque para convencer hay que persuadir. Y para persuadir necesitaréis algo que os falta: razón y derecho en la lucha. Me parece inútil el pediros que penséis en España. He dicho ( J’ai toujours été, quoiqu’en dise le proverbe, prophète en mon pays. Vous vaincrez parce que vous avez une force brutale supérieure. Mais vous ne convaincrez pas parce que pour convaincre il faut persuader. Et pour persuader il faut quelque chose qui vous manque : la raison et le bon droit dans le combat. Il me semble inutile de vous demander de penser à l’Espagne. J’ai terminé)
On croise aussi Federico Garcia Lorca assassiné en 1936 par des rebelles anti-républicains et achevé en 1998 par une saillie homophobe du poète nobélisé Camille José Cela ; un Hemingway aussi complaisant avec le camp républicain qu’Orwell ne le fut pas avec les mêmes ; Simone Weil bouleversée par les tueries commises par ses amis anarchistes, de même que Stephen Spender quittant le PC, François Mauriac est évoqué pour ses articles du Figaro qu’Inès traduit ; ces présences nécessaires font d’autant plus regretter l’absence du grand Bernanos, l’écrivain catholique qui eut le courage de tirer contre son camp après avoir assisté à l’horreur perpétrée au nom du Christ-roi, d’autant que José Alvarez dénonce à juste titre la complicité entre le clergé et le général Franco, collusion qui avait justement révulsé Bernanos et irrigué ses Grands cimetières sous la lune (1938).
On doit au poète Garcia Lorca d’avoir théorisé la notion de duende issue du flamenco et de la tauromachie, cette rage venue du plus profond de l’être et qui se manifeste par la lutte du corps avec un autre corps qui l’habite. C’est peu dire qu’elle a animé l’auteur d’Avec la mort en tenue de bataille et irrigué les pages de son livre de toute sa sourde violence.
(« Le philosophe Miguel de Numuno quittant l’université sous les menaces » photo D.R. ; « Violeta » photo Patricia Canino)
1 217 Réponses pour Les fantômes de la guerre civile espagnole
J’ai fait le 999e commentaires, D., qu’est-ce à dire ?
Le propre des tueurs, leur crainte majeure, se faire tuer par plus retords qu’eux, JC !
Mais moi, je suis l’innocence même !
Bien dit, Baroz. Personne ne m’a posé de question, alors, je n’ai pas répondu…
Tiens, pour ton gdlb:
Fornocht do chonac thú, / Je vous ai vue toute nue
a áille na háille, / Beauté des beautés,
is do dhallas mo shúil / Et j’ai fermé les yeux
ar eagla go stánfainn./ De crainte d’être envoûté.
(…)
Pádraig Mac Piarais / Patrick Pearse (un des leaders de l’insurrection de 1916 à Dublin, fusillé par les Britanniques)
UN POETE PEUT TOUJOURS ÊTRE UTILE
Fornocht do chonac thú, / Je vous ai vue toute nue
a áille na háille, / Beauté des beautés,
is do dhallas mo shúil / Et j’ai fermé les yeux
ar eagla go stánfainn./ De crainte d’être envoûté.
Merci Bloom : j’envoie un email immédiat à Nadine Morano dont je suis fou depuis que Christiane TAUBIRA nous a quitté…
Je vous ai vue toute nue
Beauté des beautés,
Et j’ai fermé les yeux
De crainte d’être envoûté.
C’était déjà dans le Ulysse de… Homère, Bloom !
Là, il ne s’agissait pas de la vue mais de l’ouïe, qu’il fallait boucher au chant des sirènes…
C’est aussi le thème de La mort à Venise (1911) de Thomas Mann, Bloom. L’écrivain Gustav Aschenbach décide de garder les yeux ouverts pour admirer la beauté d’un bel adolescent polonais de quatorze ans, Tadzio. L’éblouissement fut tel, qu’au mépris de toutes précautions élémentaires, ce dernier ne songera pas un seul instant à quitter la célèbre cité lacustre, alors en proie à une terrible épidémie de choléra. Fatal issue !
Réflexions de Gérard Berry sur « le gouffre entre l’intelligence humaine et la connerie de la machine ». Revigorant !
Entretien très intéressant en effet, mais Berry n’aborde pas la question de l’introduction d’ingrédients biologiques dans les machines informatiques de demain. Ce jour-là, le rapport homme-machine risque de changer considérablement, mais pourra-t-on encore parler de machines comme on en parle aujourd’hui?
***
Baroz, La mort à Venise pour Th. Mann est aussi celle de l’Europe.
On va pas reparler de la mort de Stefan Zweig, Phil !
Ben, mes petits chéris, j’ai un super emploi du temps ! J’espère que vous êtes contents pour moi…
La déesse Europe est immortelles, contrairement aux européens…
Jibé, la beauté c’est la terreur ; les Elégies à Duino de Rilke :
« Jeder Engel ist schrecklich. »
« Tout Ange est terrible. »
C’est tellement vrai ! tellement profond !
Quand on parle de la mort de l’Europe, WGG pointe son nez !
C’est un bon sujet, baroz, sans exofiction. je ne sais plus si Mann a croisé Zweig ou l’inverse. L’un et l’autre ont traversé l’Atlantique sur le Normandie, Mann était ravi de la salle à manger de la taille d’une cathédrale. Dans ces moments, l’Europe lui paraissait vaillante.
C’est parce que vous avez la peur d’aimer, WGG, faut pas !
Constat ce matin de la fin programmée de la culture par l’institution scolaire. Les élèves, au Brevet des collèges, ne seront même plus contrôlés sur leur capacité de lecture. C’est vraiment la fin de la culture européenne et la barbarie institutionnalisée. On est en train de créer des générations d’illettrées, extrêmement fragilisées, incapable de réfléchir, qui n’auront plus de repères pour penser le monde. Et avec la montée des périls (terrorisme)il y a vraiment de quoi se faire de gros soucis pour notre avenir. En plus, il va y avoir une éducation spéciale pilotée par le ministère pour apprendre une culture de la sécurité ; ça signifie en clair : quoi faire en cas de prise d’otages par des terroristes dans un établissement scolaire.
le normandie c’est les ricains qui l’ont déssoudé
Si vous réduisez ça à la peur d’aimer, c’est que vous ne comprenez rien au vers de Rilke ! Mais rien de rien.
quoi faire en cas de prise d’otages par des terroristes dans un établissement scolaire
vérifier qule prof est pas classé s ha la kommandantur
Lu hier ou avant-hier ce qu’avait écrit Valéry en 1919 et 1924 sur la crise de la culture et l’Europe et l’homme européen. Des textes qui n’ont pas pris une ride. Ce qu’il dit de l’Europe est d’une justesse ! C’est cette Europe qui est en train de mourir.
décidément havec baroz tout est dans homère..
note baroz..pour dracul tout est dans l’brexit a jéruzalème
C’était déjà dans le Ulysse de… Homère, Bloom !
Là, il ne s’agissait pas de la vue mais de l’ouïe, qu’il fallait boucher au chant des sirènes…
—
D’où les expressions, en mettre plein la vue, en prendre plein les oreilles.
Evidemment, il n’y a rien de nouveau sous le soleil: sinon la langue – j’suis sûr que tu n’as pas de gaeilge dans ton GdlB. Urgent de refléter la pluralité des universaux…
ça hen fait du monde en vrac sur la grande bleue..elle en peut pus
C’est parce que tu t’identifies trop au professeur Unrat (un rat) de l’Ange bleu (Der blaue Engel, le roman d’Heinrich Mann), WGG !
Bleu comme la peur ou comme le Guernica de Picasso ?
Avec Homère, comme dracul, tout abouti à l’Europe, le boug !
Urgent de refléter la pluralité des universaux
ça les multiplie par deux déjà kabloom..comme y’avé dans l’miroir..y’a hun blème dirait dracul
aboutit
L’universel de la Grèce, de l’Irlande ou du Lido de Venise, c’est l’insularité, Bloom !
Ce serait quoi la beauté du judéo-espagnol ?
Faudra bientôt faire vos cours avec une winchester à la ceinture, dear Widergänger. ça pourrait bien vous aller. avec le tatoo d’Attali sur le poitrail. entraînez-vous sur votre terrasse
L’entretien avec Gérard Berry sur « le gouffre entre l’intelligence humaine et la sonnerie de la machine » est en effet très intéressant , mais Berry n’aborde pas la question de l’introduction d’ingrédients biologiques dans les machines informatiques de demain. Ce jour-là, le rapport homme-machine risque de changer considérablement, mais pourra-t-on encore parler de machines comme on en parle aujourd’hui?
A propos d’intelligence de la machine, j’ai dû remplacer par « sonnerie » le mot « c……e » employé par Assouline (?) dans son résumé, car la modération me sucrait impitoyablement mon post !
Oui, Phil, c’est exactement ce que j’ai dit à l’un de mes collègues ce matin, il va falloir venir avec son flingue maintenant pour faire cours. Effrayant.
Ce collègue est intéressant. C’est un peintre qui vient juste de finir une expo et il a vendu pas mal de ses toiles, veinard…
Phil dit: 31 août 2016 à 12 h 42 min
Faudra bientôt faire vos cours avec une winchester à la ceinture, dear Widergänger.
Widergänger en pistolero ? Même Sergio Leone n’en aurait pas voulu.
C’est un peintre qui vient juste de finir une expo et il a vendu pas mal de ses toiles, veinard… (Widergänger)
Question à lui poser : les a-t-il vendues le jour du vernissage ? parce qu’après, ça devient nettement plus difficile.
@Passou
J’ai parlé ce matin à ma chef de l’idée de vous recevoir dans une de mes classes de 4ème en décembre. Elle est tout à faire d’accord sur le principe et se fait une joie de vous rencontrer et considère déjà tout le profit que pourraient en retirer les élèves.Je le pense également.
Je vous contacterai sur votre boîte mail facebook parce qu’ici ça ne fonctionne pas pour voir avec vous vos disponibilité si êtes toujours d’accord sur le principe. Merci encore à vous.
« C’est cette Europe qui est en train de mourir. » (Wiwi)
Bien sûr ! Bien sûr ! et renaître …
Heil Nadine ! (je suis fou de Nadine Morano, c’est intellectuel et seskuel à la fois : genre Thérèse d’Avila !)
Mais mon petit Jeanjean, tu penses bien que je ne lui ai pas posé ce genre de questions outrageantes et débiles ! En plus, il commence à être sérieusement connu et bien coté.
Au régiment, j’étais médaille d’or de tir de toute la caserne… ah bah ouais, les mecs ! Tireur d’élite. Je suis…
@Passou
J’ai parlé ce matin à mes amis de l’Institut Bartabacs de Porquerolles, fous de joie à l’idée de vous recevoir dans une ambiance ilienne dont nous avons le secret.
Ils sont tout à faire d’accord sur le principe et se font une joie de vous rencontrer et considèrent déjà tout le profit que pourraient en retirer les membres de l’association.Je le pense également.
A bientôt !
Mon ancien collègue, Roland Buraud, décédé en 2009, a eu droit à une superbe expo à La Rochelle avec de superbes toiles sur le thème de la danse, qui sont vraiment à tomber par terre. Un grand peintre lui aussi.
Ce qui est clair sur l’image d’illustration, vieille, moche, cradingue, inutile, stupide, c’est que les franquistes, à moins que ce soient les républicains (difficile de distinguer deux races de fascistes, l’une de l’autre), ont les mains moites.
Surtout la droite … qu’ils mettent à sécher au soleil… consciencieusement !
« Ce serait quoi la beauté du judéo-espagnol ? »
C’est du judéo et c’est de l’espagnol! Donc c’est forcément beau Jibé! Arrête de discuter à la fin!
Horripilant ce mec!
@Passou
« J’ai parlé ce matin à ma chef de l’idée de vous recevoir dans une de mes classes de 4ème en décembre. Elle est tout à faire d’accord sur le principe et se fait une joie de vous rencontrer et considère déjà tout le profit que pourraient en retirer les élèves. »
Moins que si c’était Peyrefitte ou Montherlant!
Tout dépend du Peyrefitte, Chaloux.
Mon ancien collègue, Roland Buraud, décédé en 2009, a eu droit à une superbe expo à La Rochelle (Widergänger)
Si c’est à l’abbaye de Sainte-Croix, c’est une référence : ce musée a exposé les meilleurs.
Non, c’était à La chapelle des Dames Blanches. Mais n’empêche !
« Tout dépend du Peyrefitte »
Celui de Quand la chine se révèlera… gay, Phil !
si vous faites confiance aux quotas, baroz, ça fait déjà du monde de débridés.
Mais de quelle beauté s’agit-il, ribouldingue ?
« Berry n’aborde pas la question de l’introduction d’ingrédients biologiques dans les machines informatiques de demain »JB
Peut-être pas; mais Gérard Berry aborde les limites matérielles de l’informatique, sous toutes ses formes, y compris les objets connectés. Les limites de la circulation de l’information. Et là il n’aborde pas le support technologique, mais jusqu’à présent le support idéal de circuits imprimés n’est pas un tissu biologique, pas encore ?
Il aborde le langage informatique, qui est sans temps.
Il aborde la cryptologie…
Et pour un programmateur, un créateur, l’enjeu peut être aussi de savoir arrêter un processus. Ce que peut ne pas savoir faire la machine.
Aux US sont expérimentées les premiers véhicules routiers sans chauffeur, des uber.
Des questions aussi bêtes que celle-là se posent: devant un obstacle, le véhicule préferera l’eviter et précipiter les occupants dans un mur ?
A commencer par Mao, Phil !
c’est c.nfirmé, la machine est très con.
« Berry n’aborde pas la question de l’introduction d’ingrédients biologiques dans les machines informatiques de demain »JB
Peut-être pas; mais Gérard Berry aborde les limites matérielles de l’informatique, sous toutes ses formes, y compris les objets c.n.nectés. Les limites de la circulation de l’information. Et là il n’aborde pas le support technologique, mais jusqu’à présent le support idéal de circuits imprimés n’est pas un tissu biologique, pas encore ?
Il aborde le langage informatique, qui est sans temps.
Il aborde la cryptologie…
Et pour un programmateur, un créateur, l’enjeu peut être aussi de savoir arrêter un processus. Ce que peut ne pas savoir faire la machine.
Aux US sont expérimentées les premiers véhicules routiers sans chauffeur, des uber.
Des questions aussi bêtes que celle-là se posent: devant un obstacle, le véhicule préferera l’eviter et précipiter les occupants dans un mur ?
occupez-vous d’Atatürk, Baroz !
(votre copain Fernandez l’a mis sur sa liste encyclopédique. ça m’est tombé des mains)
la vie dans les bois dit: 31 août 2016 à 14 h 26 min
Aux US sont expérimentées les premiers véhicules routiers sans chauffeur, des uber.
Boh ici aussi mais c’est des unter le gus est tellement petit qu’on le voit pas dépasser de la portière…
pour saluer Marc Riboud.
J’imagine que l’adjectif « revigorant » à propos de ce veil article de Gérad Berry, ( janvier 2015) vaut pour pour la machine qui fait que le jeu d’échecs est un jeu de bourrins, puisqu’elle gagne à la fin. C’est ainsi que Gus est grand, nan ?
manque 2 ou 3 lettres sur mon clavier, mais ça reste compréhensible, c’est cela aussi qui est humain.
Dear, Roger. J’y pense parce que je viens de remettre la main sur sa jeunesse de Voltaire, que je trouve aussi ennuyeux que la 1ère fois.
Un commissaire de police du Val-de-Marne félicite un policier après le contrôle d’une femme en niqab et l’ « encourage vivement à poursuivre dans cette voie, la seule permettant de sauvegarder les Valeurs de l’Occident » (avec des majuscules).
Ce sinistre imbécile n’a pas pris garde qu’à partir du moment où cette femme est porteuse, non seulement du niqab, mais d’une carte d’identité française, elle se réclame de valeurs qui, parmi d’autres, sont les valeurs de la France, de l’Europe et de l’Occident. On peut ne pas être d’accord avec ces valeurs, mais elles n’en existent pas moins et de nombreuses Occidentales, de nombreux Occidentaux s’en réclament. Ce commissaire de police si tant bien vrounnzé commet, en somme, deux erreurs classiques : d’une part, il croit que ses valeurs à lui et aux gens qui lui ressemblent sont des valeurs absolues qui doivent s’imposer à tous ; d’autre part il fourre dans une abstraction-valise (l’Occident) l’inépuisable diversité des individus qui vivent sur le territoire très approximativement délimité de « l’Occident ». Ces deux erreurs, quand on les rencontre dans les posts d’un Widergänger (entre autres), sont assez inoffensives, mais quand elles inspirent directement l’action d’un flic, détenteur de l’exercice de la force public, ça commence à craindre autrement. Widergänger ne cesse de prédire la mort de la culture occidentale. Moi, dans cette culture, je mets le respect de la différence des autres et de leurs valeurs comme un impératif majeur.
Un commissaire de police du Val-de-Marne félicite un policier après le contrôle d’une femme en niqab et l’ « encourage vivement à poursuivre dans cette voie, la seule permettant de sauvegarder les Valeurs de l’Occident » (avec des majuscules).
Ce sinistre imbécile n’a pas pris garde qu’à partir du moment où cette femme est porteuse, non seulement du niqab, mais d’une carte d’identité française, elle se réclame de valeurs qui, parmi d’autres, sont les valeurs de la France, de l’Europe et de l’Occident. On peut ne pas être d’accord avec ces valeurs, mais elles n’en existent pas moins et de nombreuses Occidentales, de nombreux Occidentaux s’en réclament. Ce commissaire de police si tant bien vrounnzé commet, en somme, deux erreurs classiques : d’une part, il croit que ses valeurs à lui et aux gens qui lui ressemblent sont des valeurs absolues qui doivent s’imposer à tous ; d’autre part il fourre dans une abstraction-valise (l’Occident) l’inépuisable diversité des individus qui vivent sur le territoire très approximativement délimité de « l’Occident ». Ces deux erreurs, quand on les rencontre dans les posts d’un Widergänger (entre autres), sont assez inoffensives, mais quand elles inspirent directement l’action d’un flic, détenteur de l’exercice de la force public, ça commence à craindre autrement. Widergänger ne cesse de prédire la mort de la culture occidentale. Moi, dans cette culture, je mets le respect de la différence des autres et de leurs valeurs comme un impératif majeur.
Et pour un programmateur, un créateur, l’enjeu peut être aussi de savoir arrêter un processus. Ce que peut ne pas savoir faire la machine. (LVDLB)
Je ne sais plus quel cinéaste met en scène un ordinateur qui cesse d’obéir aux ordres de son programmateur et n’en fait plus qu’à sa « tête » : Kubrick ?
Baroz,tu connais les mères juives, du genre qui téléphone à l’aéroport pour demander « A quelle heure il arrive mon fils? ». Eh bien le ladino occidental, (comme la jota), c’est çà:
Mi sfuegra me aborrese por ke le tomi a su izho.
Effectivement, Rilke mérite mieux, Jibé !D’autant qu’il insiste ailleurs dans la correspondance pour dire que cet Ange est tout sauf chrétien. Et la polysémie fait toute la force de l’image. elle confronte l’homme à ce qui est, ou ce qui le met parfois, cf Le du Sublime de Longin, au dessus de l’humain. L ‘Ange n’interdit pas d’aimer, il est, c’est tout, et chez un créateur, c’est essentiel. Reste à s’accommoder de ses absences; de ce point de vue, Duino peut se comprendre comme une recherche de l’Ange, l’inspiration ne revenant que lorsqu’il est là. A noter toutefois qu’il a un auxiliaire de taille: Paul Valéry. Et tout cela dans le chateau des bien nommés Thurns und Taxis…
Des romans en édition bilingue permettent de découvrir enfin le charme trop discret du judéo-espagnol.
Charme trop discret parce, comme toujours dans les mariages, c’est l’histoire du verre à demi plein ou à demi vide. Dans ce cas de figure, la laideur du judéo contrebalance la beauté de l’espgnol ; d’où la discrétion du charme. Non ? Vous prétendez que … Ah bon. Pourquoi pas, après tout.
Jibé dit: 31 août 2016 à 11 h 09 min
J’ai fait le 999e commentaires, D., qu’est-ce à dire ?
rien, baroro..mais qu’eusses-tu entendu si tu avais fait le 69ème !
berguenzinc dit: 31 août 2016 à 15 h 01 min
Jibé dit: 31 août 2016 à 11 h 09 min
J’ai fait le 999e commentaires, D., qu’est-ce à dire ?
rien, baroro..mais qu’eusses-tu entendu si tu avais fait le 69ème !
De fait, il s’est trompé : il a fait le 969e. Ce qui veut dire qu’ils l’ont fait à trois.
« En 2015, Guimet a fini l’année avec 6 000 euros en caisse. Le musée fonctionne avec une unique secrétaire et une seule documentaliste. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/arts/article/2016/08/31/la-presidente-du-musee-guimet-crie-misere_4990220_1655012.html#D2XMl2732IFhjJOZ.99
De fait, il s’est trompé : il a fait le 969e. Ce qui veut dire qu’ils l’ont fait à trois.
A trois : Jibé, un légionnaire et un bersagliere. Ce qui fait du post une sorte de manifeste pour la défense des Valeurs Fondementales de l’Occident.
J’ai fait le 999e commentaire
—
Tu retournes et c’est le chiffre de la Bête (raaarrrggghhhh).
Et pour le coup (ah!) ce fut bestial à souhait: 6-6-6….
Peut toujours s’aligner le jeanbrun-rouge, ça lui ouvrira des perspectives!
jean je vous avais fait une belle et longue réponse en même temps qu’à mon cher WGG, plus rien..partie dans les limbes de l’inculture, sans doute
Désolé
« En 2015, Guimet a fini l’année avec 6 000 euros en caisse. Le musée fonctionne avec une unique secrétaire et une seule documentaliste. »
Ce sont à peu près, me semble-t-il, les conditions de fonctionnement d’un très modeste musée de sous-préfecture. Or Guimet est, en France, le musée de référence pour toutes les cultures de l’Extrême-Orient. Indifférence de l’Etat. Indifférence du public ? La seconde induite par la première ?
@Jean dit: 31 août 2016 à 14 h 43 min
Belle analyse
Peut toujours s’aligner le jeanbrun-rouge, ça lui ouvrira des perspectives! (Bloom)
Tu m’emm..bêtes.
cet Ange est tout sauf chrétien
habon..hil est pas allé au caté?..tu t’attends a quoi qu’il soit plus catholique qule pape?..faire rire n’importe quel zoroastre de la garenne bezon c’est une perf
Ces deux erreurs, quand on les rencontre dans les posts d’un Widergänger (entre autres), sont assez inoffensives, mais quand elles inspirent directement l’action d’un flic, détenteur de l’exercice de la force public, ça commence à craindre autrement. (mmmouhinhin)
Qu’un policier, à des fins d’identification, demande à une femme de se dévoiler est une chose ; mais que ce policier se perçoive, ce faisant, comme un paladin du monde occidental et de ses valeurs, c’est non seulement grotesque mais ça devient sinistre et dangereux.
je mets le respect de la différence
la tu causes comme un poutti à plume et gros trou dbale jean marron..il te suffit de laisser faire et de n’en penser pas moins en ton fort hinterieur ça rgarde pas l’populo si t’en as décidé hainsi
…
…il y a une raison pratique, de ne rien changer dans tout les mondes à connivences endoctrinées déjà établies de longues durées,!…( hormis les adaptations à mieux gérer la vie en harmonie avec les loisirs et techniques nouvelles pour exister dans ses priorités adapter à nos sociétés mondialisés à perpétuités ) les souveraines configurations sociales dans nos solidarités,!…s’il en ai des meilleures à prendre ensemble sans jeux de rôles abscons de première,…entre autres élites sucrées,!…etc,!…
…Oui, d’un trait,!…
« J’ai parlé ce matin à ma chef de l’idée de vous recevoir dans une de mes classes de 4ème en décembre. Elle est tout à faire d’accord sur le principe et se fait une joie de vous rencontrer et considère déjà tout le profit que pourraient en retirer les élèves. »
en pnl ça donne : lassouline c’est mon bestiau et atalli c’est ronubarte
Aujourd’hui, jour anniversaire de la mort de Baudelaire, le 31 août 1867 à Paris, il y a 149 ans.
Jean dit: 31 août 2016 à 14 h 43 min
le territoire très approximativement délimité de « l’Occident »
Non mais si on attend les hordes alignés en rang d’oignons sur le sommet de l’Oural, i viendront pas par là i sont pas timbrés… Et nous qu’est-ce qu’on va se les cailler !
c’est c.nfirmé, la machine est très con
keupu srait qu’un tas dboulons..
…
…( suite ) après n’importe quel changement,!…les tout, reviennent à leurs places en autres stratifications,!…
…le monde, comme une bête qui ne se refait pas dans sa peau,!…
…autant s’occuper mieux de sa propre personne, et se jouer de l’univers,!…à la nôtre,!…Ah,!Ah,!…
…
…comme qui dirait » honnis soit qui mal y pense « , un réflexe minimum,!…
…Go,!…
Petit Rappel dit: 31 août 2016 à 15 h 00 min
Pour compléter ce que dit MC ici à juste titre, et pour répondre à nouveau à Jibé, qui fait un total contre-sens dans son commentaire : C’est précisément parce que l’Ange nous attire, et qu’on l’aime qu’on est effrayé. J’ai très bien connu ça quand j’avais 20 ans…
Réflexions de Gérard Berry sur « le gouffre entre l’intelligence humaine et la connerie de la machine »
c’est dla promofixion..dlautoallumage
Aujourd’hui, jour anniversaire de la mort de Baudelaire, le 31 août 1867 à Paris, il y a 149 ans.
—
Baudelaire à jamais vivant, pour toujours présent, notre semblable, notre frère!
J’ai très bien connu ça quand j’avais 20 ans…
il te rgardait de haut dracul..et par derrière
faut havoir hun peu plus confiance en toi kabloom
Jean, je vais tenter de réécrire ma réponse à propos de ce que vous écrivez de l’Islam et qui est absolument essentiel. Moi aussi, j’aime les différences , et comment. Moi aussi, j’aime le métissage, mais l’Islma, nous joue une musique dont la tessiture est toute autre que celle que nous entendions jadis. C’est un air fielleux, sournois, hypocrite, l’air d’un cheval de Troie salafiste. Et c’est pourquoi rien ne va plus.
D’où cela vient-il? Oh , c’est simple ! Vous vous êtes (gentiment) fichu de ma poire pare que je suis prof en collège, un petit profaillon d’histoiregé. Or relisez plus bas le constat de ce cher WGG. COnstat terrible, amer, désolé. Car je le connais, je sais comment il parvient à capter l’auditoire de ces môems, précisméent ces petits Arabes et Afriains français dans les collèges. Moi même , j’ai passé une grande partie de ma carrière, volontairement , dans des collèges durs. Agrégé, le cursus honorum universitaire m’ d’emblée écoeuré.L’Université française est sartrienne, si vous voulez, on y a la nausée et les mains sales ensemble.
La gauche intellectuelle est la grande responsable de la dérive fasciste de l’Islam, main dans la main avec la droite vendeuse d’armes aux pays musulmans. En méprisnat le savoir et sa transmission, en préntendant, (ça je l’ai lu dans un torchon du SGEN) que « les profs sont les capitalistes du savoir » , en remplaçant les connaissance par une sorte sphère putride faite de dans srytmique, de macramé, « d’ateilers » et, la gauhe pédagomaniaque a cassé l’élan intégrationnel de NOTRE école.
Au demeurant, les monstrueux abrutis pédagos, sociopitres, maos spontex ou pas, les trotskos, les cocos, tous, tous, ont contrivbué à foutre en l’air le consensus autour de l’Esprit. C’est d’ailleurs aussi la raison pour laquelle les mêmes sont antisémites ! Dame, les Juifs sont de grands, d’immenses pédagogues devant l’Eternel. Péché mortel. Alors pour faire semblant de ne pas être antisémites ,ils ont pris la pauvre Palestine en otage intellectuel en caution moral, alors qu’ils n’en ont rien à foutre.Et Daesh hait les Palestiniens.
Nous sommes perdus dans un monde inculte, et bigot.
Moi, j’ai fini, ou presque. Je pense à Aminata, Naffissatou, Fadila, Li, de mon collège de la Porte de Pantin, qui ont intégré H IV puis les grandes écoles. Elles sont la lumière de ma carrière, je les aime. Elles sont la preuve que ça aurait pu marcher. Désolé d’avoir été bien long.
bàv
c’était un test pour la robote anasthasie kabloom..fais pas gaffe
Réflexions de Gérard Berry sur « le gouffre entre l’intelligence humaine et la konnerie de la machine »
c’est dla promofixion..dlautoallumage
chte présente mes excuses
C’est du judéo et c’est de l’espagnol! Donc c’est forcément beau Jibé! Arrête de discuter à la fin!
un judéoespaniol heideggerrien pas chrétien c’est l’archange gabriel épicétou
Aujourd’hui, jour anniversaire de la mort de Baudelaire, le 31 août 1867 à Paris, il y a 149 ans. (Delaporte).
A 46 ans, comme Nerval.
Bientôt nous plongerons dans les froides ténébres ;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours.
Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé.
J’écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
L’échafaud qu’on bâtit n’a pas d’écho plus sourd.
Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd.
Il me semble, bercé par ce choc monotone,
Qu’on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
Pour qui ? — C’était hier l’été : voici l’automne !
Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.
Inoubliable et salvateur tableau de l’hiver de l’âme : colère, haine, frissons, horreur … Les passions tristes de Spinoza.
« C’est précisément parce que l’Ange nous attire, et qu’on l’aime qu’on est effrayé. »
C’est la raison qui me fait te dire, n’ai pas peur, WGG, aime-le, il te le rendra au centuple !
Et la suite, Jean :
J’aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
Douce beauté, mais tout aujourd’hui m’est amer,
Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l’âtre,
Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.
Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère,
Même pour un ingrat, même pour un méchant ;
Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
D’un glorieux automne ou d’un soleil couchant.
Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide !
Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
Goûter, en regrettant l’été blanc et torride,
De l’arrière-saison le rayon jaune et doux !
15h -Petit Rappel
Les élégies de Rilke tournent autour de la figure de l’ange.
Extrait de la première élégie (21 janvier 1912 à Duino) :
« …Qui, si je criais, m’entendrait donc, d’entre
les ordres des anges ? et supposé même que l’un d’eux
me prît soudain contre son cœur, je périrais
de son trop de présence.
Car le beau n’est rien
que ce commencement du Terrible que nous supportons encore,
et si nous l’admirons, c’est qu’il dédaigne, indifférent,
de nous détruire. Tout ange est terrible. »
(traduction de Philippe Jaccottet, La Dogana, 2008)
Cette confrontation avec « l’ange » est effectivement loin de la représentation des anges des ciels chrétiens. Ici, face à face terrible avec la beauté, l’esprit, l’invisible. La relation à l’invisible est d’abord terrifiante. Confrontation avec le réel évoqué, il y a peu, par W. Ces anges sont lointains, d’une certaine froideur, liés au destin des hommes et à leur solitude. Rilke évoque ensuite « Le Livre de Tobie ». Dans ce Livre c’est l’Archange Raphaël déguisé en adolescent, le double humain de Tobie, qui se présente, donc un être surnaturel qui a voilé son éclat, qui le trompe par son apparence.
Comment cette première élégie est venue se planter dans les commentaires sur la guerre d’Espagne ?
Je pense aussi au vers 139 du « Paradis » de Dante (XXXIII):
« …mais pour ce vol mon aile était trop faible… »
Beau poème de Baudelaire comme l’ange exterminateur, Jean !
Il n’a pas eu peur de l’affronter car, disait-il, le beau est toujours bizarre…
« vive clarté de nos étés trop courts ! »
Et il meurt un 31 août.
Le paladin qui fait respecter la loi mise à mal par une c.onne en niq.ab mérite plus que notre respect : il a droit à toute notre estime.
Musée Guimet
6, place d’Iéna
Tél. : 01 56 52 53 00
Métro : Iéna ou Boissière
http://www.guimet.fr
En 1876, l’industriel lyonnais Émile Guimet (1836-1918) entreprit un tour du monde, avec des étapes au Japon, en Chine et en Inde, où il acquit d’importantes collections d’objets d’art.
Se spécialisant plus encore par la suite dans l’art asiatique, il fit construire le musée de style « néo-grec » auquel son nom reste attaché et qui fut inauguré en 1889.
Placé sous la tutelle de la Direction des musées de France en 1927 et regroupant d’autres collections publiques et legs de particuliers, c’est là que l’on peut découvrir désormais la plus grande collection d’art asiatique hors d’Asie.
Entièrement rénové par les architectes Henri et Bruno Gaudin, le musée Guimet, dont le nom officiel est Musée national des arts asiatiques-Guimet (Mnaag), a pu rouvrir ses portes au public en 2000, après plus de trois ans de travaux.
Présentées dans des espaces plus lumineux et aérés, sur trois niveaux, les collections du musée, qui se limitent aux objets archéologiques ou d’arts anciens et excluent l’art contemporain et les objets ethnologiques, sont réunies selon une répartition géographique : Afghanistan et Pakistan, Himalaya, Asie du Sud-Est, Asie centrale, Chine, Corée, Inde et Japon.
Sans oublier la remarquable collection de textiles, riche de 3 800 pièces, couvrant la quasi totalité du continent asiatique sur une période de près de 2 500 ans, léguée au musée par Krishnâ Riboud en 2003.
Le musée Guimet, qui gère aussi le Panthéon bouddhique (16, avenue d’Iéna) et le musée d’Ennery (59, avenue Foch), consacrés, eux aussi, à l’art asiatique, organise régulièrement des manifestations culturelles liées aux cultures de l’Asie : rétrospectives cinématographiques, récitals et concerts, spectacles de danse et de théâtre.
Ainsi que des expositions temporaires, comme Tigres de papier, cinq siècles de peinture en Corée ou L’Empire de l’encre, calligraphies contemporaines japonaises, toutes deux présentées en 2015-2016.
Précisons encore que de nombreuses animations sont proposées ici à tous les publics, qui trouverons à leur disposition dans ces lieux particulièrement exotiques une bibliothèque où satisfaire leur soif de connaissances, une librairie-boutique dotée d’une large sélection de livres et de produits inspirés des chefs-d’œuvre conservés au musée et un restaurant baptisé du joli nom de Salon des porcelaines.
Pas question d’honorer la mémoire de cet opiomane de Baudelaire : que ce drogué stupéfiant soit oublié, poète ou pas !
c’est pas faux, Baroz, mais le métro Iéna est plus pratique.
T’inquiète pas Bergie, on les aura, à la modé…!
Il faut savoir simplement que le blog de Passou fonctionne comme l’Être chez Heidegger. Commenter ici c’est risquer de se perdre dans l’abîme de l’Être.
Je dis ça aussi pour notre cher Pablo, qu’y dise pas qu’après on l’avais pas prévenu, la vacca…
Jibé, 999 veut dire que vous allez enterrer tout le monde. 9 est le chiffre de la longue vie et trois fois neuf : 27, et 2 + 7 = encore 9, donc 4 fois 9. Or 4 x 9 = 36, et 3 + 6 = 9, on y revient. Donc un cinquième 9. Or 5 x 9 = 45 et … 4 + 5 = 9, bref,ça n’en finit pas.
En conclusion : vous êtes immortel.
« Chemise déchirée chez Air France: le délégué CGT a reçu sa lettre de licenciement » (AFP)
Le bras armé de la Justice frappe enfin les scélérats CGT qui vont mener AIR FRANCE au tombeau, comme ils ont coulé la SNCM. Ah ! les saligauds !
Les honnêtes gens ne sont pas prêts à abandonner les valeurs de notre Occident solaire pour regresser dans le sombre abymeoù ces Barbares, étiquetés franzouzes par erreur, veulent nous entrainer par force.
Honte aux agresseurs, aux malfrats, aux violenteurs de nos chères valeurs occidentales. Allumons les feux des Lumières !….
Christiane dit bien ce qu’il en est de l’Ange chez Rilke. C’est la beauté au sens sublime du terme (kantien), c’est tout ce qui nous élève, nous transporte hors de nous-mêmes. Quelque chose de sacré qui englobe et dépasse en même temps une simple figure religieuse mais ne l’exclut pas non plus. C’est ce que Maître Eckhart appelle « la chose » dans ce fameux extrait cité par Heidegger : « diu minne ist der natur, daz si den menschen wandelt in die dinc, die er minnet. » (L’amour est de telle nature qu’il transforme l’homme en les choses qu’il aime), grande parole prodigieusement abyssale de Maître Eckhart, reprise et commentée génialement par Heidegger, qui est à nouveau commenté merveilleusement et on ne peut plus intelligemment par Derrida, qui à son tour, est commenté ici par Michel Alba génialement et c’est peu dire…
puisque ce post a été caviardé, je remets ma réponse à Jean et à Michel. Et je l’ai copiée collée, donc, ça durera aad vitam aeternam…je fais comme les Havrais en grève général contre l’arrestation de deux syndicaliste. On nous prend vraiment pour des prunes.
L’ineptie pourrie et réac du Porc qui roulait, elle est passée. Sans commentaires.
Mais Jibé, je n’attends que ça, d’être saisi par l’Ange ! Hélas, rien ne vient me visiter dans mon désert, et je commence à avoir soif…
JC….. dit: 31 août 2016 à 16 h 55 min
imbécile ! mûr pour Minute, Rivarol….si je suis comme ça plus tard, pitié, qu’on m’euthanasie…
…
…du boudoir,…en alcôves,!…
…
…les français sociopathes,!…
…sociopapes, çà va,!…merci les dégâts,!…
…
…mais s’au-ciel-pac-thés,!…trop c’est trop,…çà doit être du au café de chez Nespresso à capsule une fois,!…
…
…moi, je ne prend que du expresso à la cafetière italienne volcan,!…mon secret une fois que le café a entièrement monté,…j’ajoute deux doigts d’eau,!…
…bon, et calme,!…et moins cher,!…
…
…le thé n’en parlons pas,!…autant me passer sur le corps,!…Non,!…
…chacun à sa tasse,!…etc,!…
…
C’est simplement Berguie que t’as mis un mot qu’il ne fallait pas mettre. Parfois cette modé est vraiment très bkon.
Quand j’étais en khâgne, j’étais tombé raide dingue d’une sublime nana de la classe, mais vraiment sublime. On en était tous raide dingue d’ailleurs… J’ai été obligé finalement d’aller voir un psychiatre pour comprendre ce qui se passait. C’était aussi un effet du fantôme mais je ne le savais pas encore ni le psychiatre d’ailleurs, qui ne l’a compris seulement quelques années plus tard quand je lui ai raconté mon histoire de fantôme et ce qui s’en était suivi dans ma pauvre vie…fantomatique…
en me relisant, je ne vois pas de « gros mot »…mais enfin, c’est peutêtre le mot « salafiste »…ou « pédago » ou l’expression « gauche pourrie »…enfin bref…
…
…il y avait un T.K.T.,…dans le temps,!…
…
…il est passé au abysses paradisiaques, cet ange là,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
L’élégie de Rilke fait aussi penser au fameux grand poème de Hölderlin, « En bleu adorable », si génialement traduit par André du Bouchet, même si le poème de Hölderlin est infiniment plus complexe que celui de Rilke. Mais il y a pas mal d’affinités entre eux deux.
JC, la direction d’Air France n’est même pas capable de comprendre que c’est le pouvoir d’achat des gens qui leur permet de prendre l’avion.
En compressant effectif et salaire, ils concourent indirectement à leur chute. Quant à l’État, largement actionnaire d’Air France, il s’est révélé plus minable que jamais en se sentant à peine concerné. Et quant aux un ou deux DRH malmenés, ils n’étaient pas obligés de signer leur cingrat de DRH, ce qui signifiait implicitement aller au front sous les ordres du PDG et des actionnaires, munis d’un porte-voix et confortablemnet installès dans leur bunker. Moi je veux bien cotiser pour leur racheter une chemise aux DRH, c’est bien la moindre des politesses qunant on accepte de foutre en l’air des carrières et des emplois pour faire plaisir au CAC 40.
Oui, ça doit être ça mêlé à d’autres syntagmes, Berguie. Il faut que tu penses syntagme. Tu peux un point dans les mots litigieux qui peuvent aussi contenir une syllabe litigieuse comme la syllabe « kron » avec un c. C’est aussi kron que ça…
Par définition, la modé ne pense pas, elle exécute, et même elle t’exécute…
Un port comme le Havre bloqué parce que des syndicalistes verreux sont justement condamnés pour violence et se plaignent ! Honteux ! …. Envoyez la troupe et tirez dans le tas , camarades !….
Christiane dit bien ce qu’il en est de l’Ange chez Rilke
hassez de marcionisme mol oreiller pour jéruzalème est..mais foin l’image de lange assyrien griffu havec force mandorle romaine et terreur matamoreque est a angers..et il en fait des mètres..bande de pauvres dégénérés
« En 2015, Guimet a fini l’année avec 6 000 euros en caisse. »
Et pourtant c’est l’un des endroits les plus beaux de Paris (le musée en soi, en plus des oeuvres).
@ Jean
« Indifférence de l’Etat. Indifférence du public? »
Pas du public, il y a toujours du monde.
Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
Goûter, en regrettant l’été blanc et torride,
De l’arrière-saison le rayon jaune et doux ! (cité par Delaporte)
» en regrettant l’été blanc et torride » … Diable ! Baudelaire serait-il aussi niais que ces présentatrices météo de France 2 qui, dès que la pluie s’annonce, ne savent parler que de « perturbation » et de « dégradation »? Pour dire la poésie de la pluie, il faudra attendre Verlaine, puis Ponge.
» De l’arrière-saison le rayon jaune et doux » : je ne sais dans quelle mesure la dame à laquelle s’adresse ici le poète peut goûter le compliment ; perçue comme « arrière-saison », douce mais … jaune ! Comme un soupçon de misogynie… Qu’en pense Madame Badinter ? Peut-être qu’aujourd’hui, Baudelaire se serait déclaré salafiste et partisan du burkini, lui qui, à ses heures, avait ses accès de catholique intégriste.
« Ce sinistre imbécile n’a pas pris garde qu’à partir du moment où cette femme est porteuse, non seulement du niqab, mais d’une carte d’identité française, elle se réclame de valeurs qui, parmi d’autres, sont les valeurs de la France, de l’Europe et de l’Occident. »
Ah bon? Un bout de papier sur lequel est écrit « Carte d’Identité » parce que l’on est né par hasard dans un endroit et hop!…On partage ipso facto les valeurs de l’endroit en question! Il est trop fort ce jeannot!
Oui, mon commentaire est en attente de modération, il y à le mot foutre dedans. bite bite bite alors ! gonades et testicules !
Honteux !
mais henfin jicé la honte est partagé..y’en a pas qupour toi et jean marron..mélanchon pourvoit ha la multiplication..c’est jésus épicétou
Ce qui est affligeant, Berguie, c’est cette pédagogo qui découpe en rondelle de saucisson tous les processus cognitifs. Ce sont des ingénieurs des processus cognitifs, ils en ont fait une immense et monstrueuse cathédrale de processus cognitifs. Le seul problème c’est la clé de voûte pour tenir tout le machin, et elle manque ; ce qui manque c’est une critique de la raison pure cognitive. Et ça, faut pas l’espérer venant de toute cette scolastique moyennâgeuse sous des dehors cognitisants… Ils sont bien pires que les scoliastes de la scolastique, effarant et effrayant. Je vois comment par exemple ils ont transformé les cours de maths en une bouillie imbuvable ! Moi qui était toujours premier en maths, qui ait un savoir mathématique sensé être celui d’un type qui a fait maths spé, eh bien je suis infoutu de comprendre quoi que ce soit aux cours de maths de mes collègues niveau collège ! C’est effrayant cette pédagogie. Et ils sont en trains de transformer idem les cours de français. Ils sont simplement tombés sur la tête.
Je vous dois combien D. pour la consultation : je vous dois bien ça, l’éternité n’a pas de prix !
Berguie. Il faut que tu penses syntagme
..quel pédagog ce dracul
Et maintenant que j’ai compris Heidegger, il est facile de voir que ce dévergondage de la pédagogo, cette monstrueuse cathédrale cognitive des apprentissages construite comme un véritable mécano infernal à la Frankenstein est une conséquence absolument directe de la métaphysique occidentale qui par du principe que l’homme est un « animal rationale ». La liaison est flagrante, directe ! Et là, on voit dans toute sa splendeur ce qu’apporte Heidegger dans sa conception pédagogique elle-même telle qu’il la développe dans le fameux discours de rectorat, et en contraste toute l’horreur de cette conception mécaniste de « l’homme rational ». Ah, là, on en comprend des trucs. Et plus on comprend, d’ailleurs, plus on est effrayé et on voit à quel point Heidegger voyait profond dès 1930.
tkt aussi avait une syllabe en Kron et ça passait très bien, Giovanni.
Et si on foutait en burkini les baigneuses de Cézanne ? Ben quoi : on mettait bien une feuille de vigne aux statues aux grandes époques du Vatican. De la pudeur avant toute chose ! Et pour cela, préfère l’imper !
Du temps où je baladais comme un malade en pleines canicules estivales sur les pistes des Maures, je rencontrais souvent un randonneur entièrement couvert, de la tête jusqu’aux pieds, d’un imper en plastique. Il avait sans aucun doute ses raisons. Je l’imagine soudain l’ouvrant, souriant, d’un ample geste, et sans feuille de vigne dessous. Bon dieu mais c’est bien sûr ! Ciel ! Jibé !
Lu dans le « Canard » de cette semaine:
Une prof d’anglais du Lycée Jeanson de Sailly écrit sur son Facebook accessible aux élèves:
La Shoah? « prévue et orchestrée par les Juifs »
Clinton? « soutenue par le lobby juif américain »
Hollande? « Il est juif et le nie.Ça va commencer à rétropédaler de partout maintenant que la gamelle est moins bonne du côté de la juiverie »
Le rectorat a mis un mois à réagir. Elle est suspendue « provisoirement ». Grave question: a-t-elle exprimé les mêmes idées en classe?
Une harpie islamo gauchiste invitée dans DPDA était aussi prof d’anglais…L’enseignement de l’anglais est-il une filière de radicalisation?
Qu’en pense nos profs du blog?
Et maintenant que j’ai compris Heidegger (Widergänger)
Ah ! je les aurai connues, les affres de la jalousie !
Pour Jean et les nihilistes dans son genre, un salafiste est un occidental au même titre que vous et moi, du moment qu’il habite en Occident.
Mais l’Occident, ce n’est pas le respect aveugle (absolu pour le coup) de tout et n’importe quoi au nom de je ne sais quelles valeurs, c’est tout le contraire : l’Occident c’est le droit. Pas les Droits de l’Homme (ou du Haricot, merci berguenzinc). Le droit tel qu’il s’est constitué au fil des siècles en Occident, depuis la fondation de Rome jusqu’aujourd’hui. Si ce droit venait à être remplacé petit à petit par un autre (comme la Charia, qui a sa propre histoire et relève d’une autre tradition), alors l’Occident perdrait sa raison d’être, et ne serait plus qu’un mot vide de sens.
Occident et Islam sont ainsi voués à se livrer une lutte à mort en cas de contact, lutte dont la querelle autour du burkini est le dernier épisode en date.
« eh bien je suis infoutu de comprendre quoi que ce soit aux cours de maths de mes collègues niveau collège ! » (Wiwi)
Tu ne te mets pas assez en cause, mon bon ami, tu ne doutes pas assez de toi…tu comprend moins bien parce que tu deviens un vieux cheval usé par le labeur ! tu vieillis, c’est tout, t’as la comprenette qui faiblit … mais ici, tu sais qu’on t’aime, hein !
Bonne soirée et à demain les vieux meubles !…
Qu’en pense nos profs du blog? (Closer)
Qu’en pensent nos profs du blog ?
Moi je ne dirai pas ce que j’en pense car je suis misogyne, alors … Ciel ! mémé Badinter !
non, Michel ,et c’est ce que je développais dans ce fichu post que l’ayattolagiciel a caviardé. Les pédagos savent très bien ce qu’ils font. ils ont anéanti le savoir, méprisé les grands profs comme toi ou moi , que leurs élèves adorent, cassé tout ce qui avait de près ou de loin à voir avec la transmission. Parce que ces gens, les produits de l’Université française sont fondamentalement élitistes et ont un esprit de caste. Nos petits élèves , on leur a dénié le droit à être « comme les autres ». Regarde, ici, le mépris envers nous, les profs de collège. Tu es agrégé, moi aussi et le fait que nous soyons où nous sommes est un bonheur. Pour moi, du moins. Mais pur toi ausis, je pense. Intolérable aux yeux de ces intellodegauches dont en son temps Brétécher a vait si bien souligné la cuistrerie et le ridicule. Ces zintellodgoche sont les idiots utiles de la droite pourvoyeuse d »‘armes aux pays musulmans.
Et ils haïssent la transmission du savoir, de l’humanisme. D’où, leur antisémitisme viscéral, parce que les juifs sont les Profs de l’universel. Et L’Islam a pourri en france à cause de leur faux soutien tartuffe à la Palestine, dont ils n’ont que faire. Plutôt soutenir le burkini que l’enseignement de la lutte des classes, par exemple. Plus la charia que la laîcité. Et le capitalisme se frotte les mains. Pas de révolution en vue.
closer, j’en ai parlé de ce prof d’anglais à Janson pas plus tard qu’hier ou avant-hier. Elle a été suspendue. C’est le minimum. Elle mérite tout simplement de se faire virer de l’EN.
Occident et Islam sont ainsi voués à se livrer une lutte à mort en cas de contact, lutte dont la querelle autour du burkini est le dernier épisode en date. (Country Boy)
Je trouve à la sortie de Country Boy un irrésistible côté de sketch à la Bénureau.
Moralèsseuh ! Moralèsseuh !
Défenseur de l’Occident,
V’là que t’as perdu tes dents …
Là, tout à fait d’accord avec toi, Berguie ! Mais l’un n’exclut pas l’autre. L’instrument qu’ils ont trouvé pour détruire le savoir et la transmission de la culture — car c’est vraiment de ça qu’ikl s’agit, d’une œuvre de destruction massive ! — c’est cette conception pédagogique fondée sur les processus cognitifs découpés en rondelles de saucisson avec à la source Piaget et toute cette école de pensée des années 60-70. Destruction massive de la culture sous le couvert moralisateur de tout faire pour les élèves ! C’est ça le plus beau !
Les Droits de l’Homme sont le pire ennemi de notre droit, et c’est ce que toutes les petites crapules islamo-gauchistes ont parfaitement compris, en ne cessant de les invoquer pour venir à bout de la laïcité. A ce titre, la déclaration faite par je ne sais quel larbin de l’ONU est très importante. Personne ne viendra à notre secours, personne ne prendre notre défense, pas même les Américains. Les Européens sont seuls, les Français en tête.
…
…Oui, Phil à 17 h 32 min,…
…
…qu’est ce que ‘ D » y pouvait potasser avec lui, question de distribution de vin à tire-bouchon,!…
…c’est trop calme avec ces maillots de plage d’un âge des cavernes à nos jours,!…
…
…des réflexions trop précises, comme faite avec des instruments de dessins cartographiques, remplir cet espace,…le Panographe de Boucher, le Diagraphe de Gavard,!…
…tous pour des précisions de relevés militaires, sans scribouilles naturels aux émotions fortes d’artistes au dessus des plaines aux corbeaux,!…
…peindre à la prima, sans préliminaires et autres en bulles négociés,!…etc,!…Go,!…
…
tout ça rappelle la soeur marie des roses ou la marie soeur des roses de la république des libres. ça rigolait bien et picolait autant. toujours en vie, hoffentlich
parce que les juifs sont les Profs de l’universel (Berguenzinc)
Berguenzinc serait bien inspiré d’éviter ce genre d’assertion aussi improuvée que péremptoire, en tout cas contre-productive. que des Juifs aient été les porte-parole de l’universel, nous le savons tous et avons été nourris de leurs leçons. Mais ne dites pas « les » Juifs ; dites, plus modestement et plus véridiquement, « des » Juifs. Monsieur Nétanyahou prof d’universel ? Vous rigolez ou quoi ? Je crois que lui-même en rigolerait.
@ Widergänger
« Quand j’étais en khâgne […] j’ai été obligé finalement d’aller voir un psychiatre… »
Déjà?
(Tu as, donc, des circonstances atténuantes: tu es cinglé de naissance – c’est vrai que Sagittaire est le signe qui donne le plus de fous).
closer dit: 31 août 2016 à 17 h 33 min
ce qu’en pensent les profs du blog? les profs ,je ne sais pas, mais pour moi, cette orxdure, il faut la virer, la révoquer. Le révisionnisme a gangrené aussi pas mal de nos collègues. Les profs sont devenus réacs et surtout de plus en plus serviles. 10% votent FN !
un exemple? en 2010?, j’avais réussi à faire partir deux de mes classe en Pologne, à Cracovie et Auschwitz. Avec l’aide du Mémorial de la Shoah, de la Mairie du XIX . je présente mon projet en conseil d’établissement….un prof, délégué du SNES, hein, pas un facho…me sort « Nefin on ne va pas faire perdre dix jours de programmes aux élèves pour un DÉTAIL (sic!) de l’histoire….
parce que les juifs sont les Profs de l’universel
agrégé de droit divin..les archevèques cannant y’a des places a prende..la honte t’étouffe pas toi non plus..pouah..tout ça est trés répugnant
Oui, mais les Français ont montré aussi jadis qu’ils avaient le sens de la Révolution. Le pouvoir d’ailleurs en a la hantise. Ils ont tous la trouille de se retrouver un jour au bout d’une pique…!
country boy dit: 31 août 2016 à 17 h 47 min
Les Droits de l’Homme sont le pire ennemi de notre droit
Eh ben bravo ! C’est vraiment le monde à l’envers. Pauvre petite « patrie des droits de l’homme ». Il est vrai que, par les temps qui courent et avec le secours de cow-boys de l’acabit de Country Boy …
…
…tout faire pour les élèves, surtout rien, dans leurs carcans mesurés,!…l’étroitesse d’esprit,…
…se munir dans sa foi au lion,!…etc,!…
…ne me faites pas rire de trop,!…Ah,!Ah,!…
…
Les êtres trop sensibles et hyperintelligent comme moi sont par nature fragiles. Ils ont hérité d’un système nerveux d’un grand raffinement comme un cheval de course qui peut se cabrer pour une caresse trop tendre… C’est pas à Pablo que ça risque d’arriver, ça, lui l’âne bâté qui brait en montrant ses dents tellement il est stressé par un wgg qui lit Heidegger avec l’aide de Derrida !
les juifs sont les Profs de l’universel (Beguenzinc)
Sauf quand ils ne le sont pas. Vous devriez en toucher un mot à Monsieur Netanyahou.
bouguereau dit: 31 août 2016 à 17 h 51 min
tu piges rien ou tu fais semblant? t’es grave , comme mec…pas à dire !
T’as qu’à écrire en verlant, on déchiffrera…
dracul et le ptigros se font concurence pour savoir qui est l’idiot hutile de l’ote..bergueune porte les valoches de ces messieu..triumvirat de crétins
même le vieux schnock de Porcquiroule est moins cave que tézigues, le bougue
bouguereau ,c’était un peintre pompier…ben j’aimerais pas me faire pomper par ce lardu à la khon…punaise, quelle dose il tient…la double, comme es pastis du Porquerollais.
Tes molécules d’aide aminés contineuent de jouer le jeu? elles ne se révoltent pas, ben dis-doc devant un tel océan de nullité, moi, mon ADN se serait déjà barré.
Excellent Berguie ! T’es en pleine forme. Je vois avec bonheur que la retraite te va à merveille. Moi, j’ai encore cinq ans à tirer, les vac…
Bouguereau Jean-Claude : pompier volontaire ou volontaire pour un pompier?
Oui, ça va plutôt bien…je pense à tézigues et aux autres vieux grognards qu’en ont ras la frange…et devoir se farcir Flatazor, en plus. Bougeureu, je l’appelle Flatazor, maintenant, produits cosmétiques et aliments canins…
bouguereau ,c’était un peintre pompier
jicé et moi havons une passion sans borne pour sa technique..son phrasé comme dirait mon larhbin..ses tortillons de gras djambon..ses carnation de poulet froid au cornichon que tes mots sont une atteinte à la france seule contre le reste du monde
Les Ju… sont les PR… de l’UN…….. ( B.)
Il arrive qu’ils ne le soient pas. Vous devriez en causer avec Missié N.
Ce qu’y faut pas faire. Voyons si ça passera. Cliquons !
Bon, j’vais roupiller un moment… pour me remettre de ma journée pédagogo. Rien que d’y penser, j’ai l’impression que mon pauvre cerveau va éclater…
@ Widergänger
-« Au régiment, j’étais médaille d’or de tir de toute la caserne… ah bah ouais, les mecs ! Tireur d’élite. »
-« Moi qui était toujours premier en maths, qui ait un savoir mathématique sensé être celui d’un type qui a fait maths spé… »
-« …grande parole prodigieusement abyssale de Maître Eckhart, reprise et commentée génialement par Heidegger, qui est à nouveau commenté merveilleusement et on ne peut plus intelligemment par Derrida, qui à son tour, est commenté ici par Michel Alba génialement et c’est peu dire »
-« Les êtres trop sensibles et hyperintelligent(s) comme moi… »
Tu as oublié de dire que personne est aussi modeste que toi. Et surtout que personne a moins le sens du ridicule que toi.
Ce blog est en train de te rendre fou, Michel Alba (et je te le dis sérieusement). C’est pour toi l’endroit idéal pour péter un câble. Et tu es en train de le faire…
C’est passé, mais après au moins cinq tentatives. L’intéressé se reconnaîtra et devrait comprendre ma réponse. On se croirait aux temps du XIXe siècle où les patriotes polonais s’ingéniaient à déjouer la censure tsariste.
…
…pas trop à croire en les familles, sauf pour connivences quelconques de longues dates en cours,!…
…
…de cousins à cousins, c’est déjà de grandes différences naturelles d’appréciations, en soi, dans tout les suivis,!…et c’est peut dire comme des galaxies dans l’univers,!…
…les familles avant tout très divisées, des A.D.N.,!…la force en villégiature – libres,!…
…etc,!…
Ce blog est en train de te rendre fou, Michel Alba (et je te le dis sérieusement) (Pablo 75)
C’est ce qui m’arrive aussi. Ce qui se passe ici devrait inspirer un adepte du cinéma fantastique. On se demande comment il concevrait le rôle d’Assouline.
Vous devriez en causer avec Missié N.
C’est qui Missié N.
Je me tire, je vais prendre l’apéro chez les Cubizolles mes potes de Thoras..ils font un frometon aux artisous…avec un verre de Suze…hop !
On se demande comment il concevrait le rôle d’Assouline
« cette année mes ptis chéris je vais faire venir atalli et lassouline en classe..ils prennent pas cher..moi non plus..des profs de l’universel agrégé par yavé..je le dis en début d’année pour que vos parents puissent cantiner..cantiner..ça leur rapelra la taule »
excellent, la suze. coupée avec ne sais plus quoi, l’apéritif préféré de Roth. ne sais plus quoi, c’était du costaud
Au fond, l’histoire de la philosophie commence avec les pré-socratiques et se termine avec Alba.
On va enfin pouvoir passer à autre chose.
Aux dernieres nouvelles, TKT existe toujours puisque si blog est régulièrement mis à jouir. Dès qu’il aura fini de bouder, il reviendra.
fichu clavier de mer de.
La modération se méfie de certaines provenances… La Margeride, la Bête du Gévaudan, tout ça…
ça te va, Giovanni, comme peinture? la granulidité est bobonne ?
Histoire d’une rencontre avec l’ange
Le personnage de Gustav Aschenbach, le héros de La mort à Venise, a été inspiré à Thomas Mann par Gustav Mahler, qui venait juste de mourir, et sur lequel il a projeté ses propres fantasmes…
Katia Mann dans ses souvenirs déclare qu’ils étaient partis en villégiature à l’hôtel des Bains au Lido, en 1911, et que son mari avait été fasciné par une famille polonaise qu’il y avaient croisée, ne quittant pas l’adolescent des yeux.
Tadzio, a vraiment existé. Dans la revue Twen, le traducteur polonais de Thomas Mann, Andrzej Doegowski, rapporte en 1964 que le baron Wladyslaw Moes serait en réalité le jeune garçon qui servit de modèle à l’écrivain allemand. Né en 1900, mort en 1986, il est celui que Thomas Mann rencontra au cours d’un voyage à Venise au printemps 1911. Père de deux enfants, il vécut plus longtemps que l’auteur ne l’avait imaginé (« Il est très délicat, il est maladif, pensa Aschenbach [lorsqu’il découvre Tadzio à l’Hôtel des bains]. Il est vraisemblable qu’il ne vivra pas vieux. ») et il repose dans sa propriété familiale, dans la région de Poznan, à l’ouest du pays.
Le baron Moes l’a d’ailleurs reconnu lui-même : « Ce jeune garçon, c’est moi ! Je suis allé autrefois à Venise- et m’on m’y appelait Adzio, parfois également Wladzio. Mais dans le roman, ça s’est transformé en Tadzio… » « Tadziou ! Tadziou! »
A noter que le garçon avait 11 ans et non pas 14 ans comme dans la nouvelle…
Tadzio, a vraiment existé. Dans la revue Twen, le traducteur polonais de Thomas Mann, Andrzej Doegowski, rapporte en 1964 que le baron Wladyslaw Moes serait en réalité le jeune garçon qui servit de modèle à l’écrivain allemand. Né en 1900, mort en 1986, il est celui que Thomas Mann rencontra au cours d’un voyage à Venise au printemps 1911. Père de deux enfants, il vécut plus longtemps que l’auteur ne l’avait imaginé (« Il est très délicat, il est maladif, pensa Aschenbach [lorsqu’il découvre Tadzio à l’Hôtel des bains]. Il est vraisemblable qu’il ne vivra pas vieux. ») et il repose dans sa propriété familiale, dans la région de Poznan, à l’ouest du pays.
Le baron Moes l’a d’ailleurs reconnu lui-même : « Ce jeune garçon, c’est moi ! Je suis allé autrefois à Venise- et m’on m’y appelait Adzio, parfois également Wladzio. Mais dans le roman, ça s’est transformé en Tadzio… » « Tadziou ! Tadziou! »
A noter que le garçon avait 11 ans et non pas 14 ans comme dans la nouvelle…
Le droit nous dit qu’il faut expulser les immigrés illégaux, les Droits-de-l’Homme (et du Haricot) nous disent qu’il est inhumain de le faire, que tous les hommes sont égaux, etc., etc.,. Et cela vaut pour presque tout. Résultat, la religion des Droits-de-l’Homme nous met systématiquement en porte à faux avec le droit, et nous sommes impuissants à appliquer la loi. D’où l’immense sentiment d’impuissance et de frustration ressenti par les Français.
Le monde à l’envers, c’est vous qui vivez dedans. Depuis tellement longtemps que vous le prenez pour le monde à l’endroit.
Le vrai Tadzio a vraiment existé et il y avait beaucoup de Thomas Mann dans le personnage d’Aschenbach.
http://ex-libris.over-blog.com/article-un-personnage-de-thomas-mann-tadzio-l-ange-de-la-mort-43689239.html
Mais la bête du Gévaudan nous en Auvergne on la met en laisse on lui happorte six mille sacs de croquettes !
Y a que les Parigots là elle laisse les croquettes elle les bouffe eux tout de go incontinent…
berguenzinc dit: 31 août 2016 à 18 h 13 min
Vous devriez en causer avec Missié N.
C’est qui Missié N.
ça se termine par « hou » !
ou encore :
Naît ta nana Yahoo !
Là, je me surpasse. Siouxons la modération !
Jibé dit: 31 août 2016 à 18 h 43 min
Le vrai Tadzio a vraiment existé et il y avait beaucoup de Thomas Mann dans le personnage d’Aschenbach.
Qui c’est déjà qui a dit que la zique de Mahler c’était bon même pas pour Cora mais pour Auchan ? C’est comme la camionnette dans les montagnes, ça… C’est storyque !
Apparemment que Country Boy ignore que notre droit est directement inspiré de ce qu’il appelle la « religion » des droits de l’homme. Là, y a certainement comme un twist pour l’homme d’ordre qu’il semble être.
@Jibé dit: 31 août 2016 à 18 h 43 min
Merci pour ce très beau lien
« Ce blog est en train de te rendre fou… »
Il y a effectivement un risque d’addiction et de névrose obsessionnelle qui peut vous conduire à en parler à votre psychiatre.
D si blog est régulièrement mis à jouir.
C’est TKT qui va être content… si blog content, lui pas peine à jouir. Si blog pas content, lui pas poingé…
sacré D….
Punaise, mon frometon aux asticots (artisous) sur une Wonder (ne s’use que si on la serre ) , pas mal… maintenant, je vais dîner.
« La Mort à Venise » est une confession esthético-sexuelle de Thomas Mann. Ses penchants homosexuels ont été confirmés par la suite par de nombreux témoins.
Le livre d’Emmanuel Carrère « Le Royaume » paraît déjà en poche. Il est orné d’une illustration représentant « la vocation de saint Pierre et saint André », ce qui paraît étrange quand on sait que le roman a pour personnage principal saint Luc. Peut-être n’ont-ils pas trouvé de peintures représentant Luc, ou peut-être se sont-ils trompés, chez Folio ?
j’aime l’anagramme de Luc….
Les anges de la beauté
Je viens de croiser sur le boulevard, une plantureuse brune en longue robe noire et légère, qui foulait de ses pieds nus la chaleur du bitume !
L’autre jour, c’était un jeune homme en bermuda qui allait son chemin pareillement déchaussé.
La semaine dernière, lorsque le thermomètre s’envolait au-dessus des trente degrés, j’ai dit à mon boulanger que nous devrions sortir tout nu dans les rues, tant la ville toute entière s’était transformée en un gigantesque hamam !
Il a eu raison Valls de rappeler aux féministes que Marianne avait le sein nu.
N’est-ce pas la meilleure façon de montrer aux voilés les bienfaits de la liberté ?
L’essentiel. Un enseignant d’un lycée du Grand-Quevilly, près de Rouen (Seine-Maritime), a tenté, mercredi 31 août 2016, à la veille de la rentrée des classes, de s’immoler par le feu.
L’homme, âgé de 51 ans, venu participer à la journée de pré-rentrée, se serait isolé peu avant 11h30 dans la salle réservée aux enseignants et se serait aspergé de gazole qu’il a voulu enflammer avec un briquet. Un de ses collègues est entré dans la salle à ce moment-là et a réussi à lui retirer le briquet des mains.
L’enseignant a été transporté au centre hospitalier universitaire de Rouen. Selon France Bleu Normandie, l’enseignant a tenté de mettre fin à ses jours après une altercation avec le proviseur de l’établissement. Une enquête de police a été ouverte.
SALAUDS DE PROFS…FAINÉANTS ! BOLECHÉVIQUES !
Jibé à loilpuche avec son mitron en même tenue, un croissant dans l’oigne….j’eausse aimé être levure pour voir ça !
Sapré Delaporte…les nombreux témoins de l’homossessualité de Mann. Faut des noms..Herr Baroz ?
Ah, d’accord avec Webànyaou ! Non, pas avec ce Trump des kibboutzim, merci bien.
Moi, ce qui m’amuse, c’est le manque absolu d’humour chez notre brave Pablocito. Ah, il est émouvant quand même, notre Pablocito… On ne le fait pas marcher, il court tout seul jusqu’à l’essoufflement, ce brave homme.
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