de Pierre Assouline

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La République des livres
Annie Ernaux va jusqu’à Stockholm venger sa race

Annie Ernaux va jusqu’à Stockholm venger sa race

Si le communiqué de l’Académie suédoise justifiant chaque année le choix de son comité Nobel est rituellement rédigé dans une langue de bois qui ne veut à peu près rien dire, en revanche, le non moins rituel « Discours de Stockholm » du lauréat est très attendu. A force, il relève d’un genre littéraire qu’il a lui-même engendré. Pour le meilleur et pour le pire. Dans la première catégorie l’intime « Lettre au père » d’Orhan Pamuk, l’étincelante précision dans le flou de Patrick Modiano, l’émouvante présence enregistrée de Harold Pinter que la maladie clouait chez lui, et la puissance de celui de José Saramago intitulé Comment le personnage fut le maître et l’auteur son apprenti authentique profession de foi littéraire, et pour mémoire ceux de Camus, Singer et de Soljénitsyne. Dans la seconde catégorie, ça se bouscule, la plus grande déception étant peut-être le discours de JMG Le Clézio, douze pages intitulées « Dans la forêt des paradoxes » pleines de formules, de lieux communs, de lapalissades, d’étrangetés historiques, de contradictions, toutes choses qui en faisaient un discours déconcertant sous cette plume tant il était parfois gauche, assez ennuyeux et politiquement correct très « united colors of litterature ».

Et Annie Ernaux, la dernière lauréate en date, première écrivaine française à être couronnée du Nobel de littérature ? Elle s’est déplacée à Stockholm pour se prêter aux figures imposées par la récompense, du prononcé du discours cet après-midi dans une grande salle sans apparat de l’institution au fastueux banquet suivi d’un grand bal dans les prochains jours, contrairement à Elfriede Jelinek qui avait discrètement reçu la sienne à l’ambassade de Suède à Vienne en présence de quelques personnes, moins par agoraphobie que par impossibilité existentielle de représenter l’Autriche parmi les pingouins (parce que cette émigrée de l’intérieur a la haine de cette Autriche-là, et que les pingouins lui font horreur).

Son discours de Stockholm, Ernaux l’avait annoncé « engagé » ce qui est bien le moins s’agissant d’une écrivaine qui considère que toute littérature, et tout dans la sienne, est politique. Elle le voulait également inspiré par celui, puissant et inégalé, d’Albert Camus. Engagé, il le fut comme tout ce qu’elle dit et écrit mais sans la dimension subversive dont elle se targue. Il était sans surprise. Au début de son texte lu tout le long d’un ton ferme, déterminé, univoque, elle évoqua le problème de l’incipit et de la page blanche, manière banale de commencer quand on ne sait pas comment commencer. Et finalement, elle trouva :

« J’écrirais pour mon venger ma race ».

Son mantra, son leitmotiv, son alpha et son oméga, dont elle fait le lieu commun de son univers et sa clé exclusive. Elle l’a trouvé chez Rimbaud, celui d’Une saison en enfer (« Je suis de race inférieure de toute éternité »). Eut-elle usé de « classe sociale » (notion augmentée chez elle de toutes les dominations) au lieu de « race », puisque c’est bien de cela qu’il s’agit, on en parlerait beaucoup moins. L’expression, si atroce tant l’usage abusif et galvaudé du mot « race » est insupportable (et non la réalité qu’elle prétend désigner), revient dans ce texte ad nauseam. Il est vrai que peu d’écrivains ont ainsi la capacité de créer leur propre poncif. Nouveau, du moins à ma connaissance : elle revendique désormais un statut d’« immigré de l’intérieur ».

Pour le reste, qui a lu ses livres (une autosociobiographie constituée d’une mosaïque de récits) traduits en 37 langues, et aussi le passionnant et si riche Cahier de l’Herne qu’elle a généreusement approvisionné par des extraits inédits de son Journal, qu’est-ce que ce discours de Stockholm apporte ? Rien. D’autant que, de son propre aveu, jusqu’à son dernier souffle elle continuera à venger sa race. On n’en peut plus. Elle n’en sort pas au risque d’un procès en radotage. Une trentaine de livres plus tard, elle en est au même point. Ce dont témoigne un Discours de Stockholm si prévisible qu’il désarme toute critique.

N’empêche… Pour la première fois, une écrivaine française a été couronnée du prix Nobel de littérature. Une date dans la longue histoire des Français ainsi distingués par l’Académie suédoise de Sully Prudhomme à Patrick Modiano. Les livres d’un écrivain doivent être traités pour eux-mêmes. Rien ne doit parasiter notre jugement à commencer par sa vie extra-littéraire. Mais quand l’auteur revendique la nature profondément politique de ses écrits, ne donne-t-il pas des verges pour se faire battre ?

Nul n’en disconvient désormais, fut-ce parmi les détracteurs d’Annie Ernaux : il s’agit là d’une écriture du scandale, sous tension, excessive, rageuse, subversive dans sa manière de s’emparer du social, du désir, du sexuel, et de s’arracher aux déterminismes qui ont longtemps enfermé les femmes dans leur naissance. Une écriture encolérée, faussement plate, banale et blanche, haineuse du grand style, de la métaphore, des figures de rhétorique, des jeux de mots, des néologismes (on chercherait en vain la moindre trace d’humour dans son oeuvre) qui ne fait aucune confiance à l’imagination créatrice, un précipité qui joue sur l’effet de condensation et de densité, qui préfèrera toujours la phrase juste à la belle phrase, animée par une sourde violence (la fameuse violence symbolique où la victime se retrouve complice de sa propre domination) mais sans que jamais la forme n’en soit hystérisée. Universelle mais pas intemporelle car en phase avec son temps, elle témoigne comme peu d’autres des passions humaines (amour, jalousie, trahison…), de l’évolution des mœurs (viol, avortement clandestin…) et des mentalités (honte sociale, culpabilité, humiliation…) dans notre société.

Une écriture à l’os, qui se refuse au romanesque, au service d’un absolu de la littérature, laquelle « n’est pas la vie mais son éclaircissement ». Dans les siens, notamment dans les Années, on entend le bruit de fond des choses de l’enfance au café-épicerie d’Yvetot de ses parents (« le creuset de ma vision du monde »), une certaine France à une certaine époque (elle est née Annie Duchesne en Normandie en 1940), celle des petites gens comme disait Simenon qui en était issu et à qui il n’était jamais venu à l’esprit de passer sa vie à se présenter comme un transfuge de classe.

Etrangement, cette mesure et cette maitrise ne se retrouvent pas dans ses prises de parole en public. En émerge une défense inconditionnelle des idées de « La France insoumise », des Gilets jaunes, des musulmans (« Je suis pour qu’on laisse la religion musulmane tranquille »), du voile (« c’est comme la soutane ») et une attaque systématique de tout ce qui touche à Israël, fixation pour le moins « étrange » quand tant de dictatures dans le monde mériteraient une telle attention. Jean-Luc Melenchon ne lui a vraiment pas rendu service en tweetant qu’il avait « pleuré » de bonheur à l’annonce de la nouvelle car l’exhibition des larmes d’un tel personnage risque fort de dissuader ceux qui ne l’avaient jamais lue de faire l’impasse sur cette œuvre, des Armoires vides au Jeune homme en passant par La Place, La Honte, L’Evènement ou les Années– et ce serait vraiment regrettable.

Dans ses écrits, l’écrivaine n’a jamais appelé à lyncher qui que ce soit ; mais dans la pétition qu’elle a initiée en 2012, la citoyenne a lancé la meute sur les traces de l’écrivain Richard Millet, a demandé sa tête et l’a finalement obtenue avec le soutien d’une centaine d’écrivains. Or cette activité extra-éditoriale d’Annie Ernaux est à peu près ignorée en dehors de notre pays ; la lecture de la presse européenne et américaine au lendemain de la proclamation du Nobel est à cet égard édifiante par l’absence de toute analyse de ses prises de position.

   Son combat contre « les injustices sous toutes leurs formes » est certes louable- mais qui est pour ? L’acuité de sa conscience politique ne fait pas de doute mais elle serait plus crédible si elle était moins naïve et absolue, si elle entrait davantage dans la complexité. Mais non : autant ses récits révèlent une sensation du monde d’une richesse inouïe, autant sa vision du monde ne peut se désincarcérer du prisme simpliste et manichéen dominants/dominés, maitres/esclaves. La littérature aurait beaucoup à perdre à cette reductio ad politicum car celle-ci gouverne le plus souvent une analyse binaire des œuvres ; cette abdication de l’esprit critique se dispense de tout sens de la nuance- et tant pis pour ceux qui tenaient jusqu’à présent la fiction pour l’art du doute.

Le problème avec Annie Ernaux, ce ne sont pas ses opinions politiques ou ses engagements qui ont au moins le mérite d’être cohérents sur la durée. Le problème, ce n’est pas seulement qu’elle voudrait ne rien faire comme tout le monde et que le monde accepte ce qu’elle fait. Le problème, c’est qu’elle est bornée, il n’y a pas d’autre mot pour désigner les ornières qui la rendent si absolue dès lors que l’on ose la confronter à ses contradictions. Si l’on cherche du côté des écrivains ceux auprès de qui elle a puisé sa violence, il faut se tourner selon elle du côté d’Artaud, Céline et Genet. Sinon, il faut y voir l’influence de Sartre, qu’elle a longtemps revendiquée avant de se tourner vers Bourdieu dont la lecture produisit en elle « un choc ontologique ». Sartre lui-même était devenu borné (bouché à l’émeri, eut dit Anatole France) au mitan de sa vie d’intellectuel mais il avait une toute autre oeuvre derrière lui. Annie Ernaux, elle, quand on lui demande d’aller plus loin sur la passion qu’elle voue à Saint-Just se contente de dire qu’elle se sent l’âme si révolutionnaire qu’elle pense être née en 1789, non sans ajouter que la grandeur du calendrier républicain fut d’effacer tout ce qu’il y avait eu avant, toutes ces années et tous ces siècles inutiles. Mais que comprend-on de la Révolution si on ignore l’Ancien Régime?  Allez lui expliquer, bonne chance…

(« Annie Ernaux aujourd’hui à Stockholm lisant son discours aux Nobel » « Annie Ernaux dans ses jeunes années » » Avec ses enfants en couverture des années super 8″ photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

752 Réponses pour Annie Ernaux va jusqu’à Stockholm venger sa race

Marie Sasseur dit: à

Et maintenant, la playlist

« Pour honorer Annie Ernaux, récompensée par le Prix Nobel de Littérature 2022, la Médiathèque de la ville de Paris a recensé les chansons citées dans son roman “Les années“.

17 chansons populaires qui égrènent le passage du temps au fil du roman. »

https://youtu.be/kk2CzGfL7n4

Janssen J-J dit: à

Il faudra un jour ou l’autre vous clarifier au sujet de votre lesbianisme, anéfé, comme si c’était une tare en soi. L’herdélie a depuis longtemps départagé le vieux flic de la lesbienne honteuse, dont le degré de misogynie haineuse depuis un demi siècle n’aura jamais trouvé le moindre équivalent chez le pire des machos comparabl’. Maintenant, ça suffit !… A la nichte, garde-chiourme ! Next.

Marie Sasseur dit: à

Pour clarifier : le vieux keuf, qui bave, a mis ce blog en gav.
Et avec moi, c’est niet.

D. dit: à

Je viens de consulter les astres et j’ai vu que l’équipe de France allait perdre son prochain match. Personnellement je m’en fous.

Marie Sasseur dit: à

Pour clarifier un peu plus , toujours nécessaire de le redire: le vieux keuf qui bave, a mis ce blog en gav. Et sous de multiples pseudos, d, alexia, etc.

et alii dit: à

je crois qu’on a oublié l’anniv de de PEARL Harbor
« Le 7 décembre 1941, l’armée japonaise attaquait par surprise la base américaine de Pearl Harbor à Hawaï, faisant 2 400 morts et provoquant l’entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale. Quatre-vingts ans plus tard, cette date est toujours très importante dans la mémoire collective américaine. »

Paul Edel dit: à

Finkielkraut en ce moment sur Cnews, chez Bolloré…

No'man' dit: à

Bonjour@1
Yvetot est le centre d’intérêts régional de l’imprimerie en Normandie en 1958. Yvetot possède alors la plus grande bibliothèque ouvrière de Normandie (40000 livres en 1950)… Yvetot ce sont les syndicats du Livre, les anarcho-syndicalistes, etc… Avec des combats de rue violents en 1937..:-
Elle raconte une guerre de castes, typographes et correcteurs contre éditeurs et patrons d’imprimerie a Yvetot.
Un inconscient bâti sur la guerre entre ouvriers catholiques et patrons protestants. Entre ceux qui parlent le cauchois (une langue anglo-normande) et ceux qui parlent bien et peuvent travailler aux imprimeries Normandes.
Celles d’Yvetot qui deviennent bonnes et les Havrais ou Rouennais qui sont patrons.
Connaître l’histoire locale..pourquoi Flaubert et Maupassant s’arrêtent-ils a Yvetot ? Chez les singes (les typographes) et les ânes (les correcteurs) argot d’imprimerie.
Traduisez Ernaux en cauchois, vous comprendrez sa tension entre sa langue et celle qu’il faut bien parler pour avoir du travail.
A’tanto a bojo !

Phil dit: à

C’est en pot de castes.

renato dit: à

« C’est en pot de castes. »

Pot au feu ?

Phil dit: à

Certes, avec beaucoup de cas roth

renato dit: à

Eva Kaili, groupe socialiste, a dit que la coupe du monde en Qatar est la preuve que la diplomatie sportive peut porter à une transformation historique ; que le Qatar est un lieder en matière du droit du travail.

MC dit: à

Pas mal! A quand « j’irais cracher sur (Er)nos tombes? »

Phil dit: à

le Qatar est un lieder

Chouperte de Bruxelles

MC dit: à

Un lieder ? On imagine des bédouins Quataris chantant Schumann le soir à la veillée, pour touristes germaniques ravis…

renato dit: à

Leader, évidemment, mais je suis sur mon smartphone et je subis ses manies.

Cela dit, Eva Kaili pourrait se recibler : domestique dans une famille Qatarie moyenne…

renato dit: à

recibler > recycler… bien que

Bloom dit: à

Written in my diary sixty years ago. »I will write to avenge my people. » It echoed Rimbaud’s cry: « I am of an inferior race for all eternity. » I was twenty-two, studying literature in a provincial faculty with the daughters and sons of the local bourgeoisie, for the most part.

Traduction de Alison L. Strayer pour la Fondation Nobel, reproduite dans Le Monde du 8/12, version anglaise

race = ‘people’ chez elle, ‘race’ chez Rimbaud.
My people = les miens, ma famille

Soleil vert dit: à

>JJJ :
Bon, soyons sérieux ce matin (10 XII 22, 10.30 – sec, mais glacial). Cette nuit, ai-j enfin réussi à composer mon plan de table pour le réveillon de fin d’année de l’herdélie invitée par Passoul chez Drouant (depuis le temps qu’il nous le devait !).
La table rectangulaire contient 30 couverts.

Drouant, Lipp …
Qui réserve ?

closer dit: à

Le traducteur anglais aurait dû respecter l’identité de vocabulaire entre le « race » d’Ernaux et le « race » de Rimbaud. Qu’est ce qui l’empêchait de le faire? L’emploi du mot « race » par AE est évidemment ridicule, mais pourquoi ce ridicule n’apparaitrait il pas en anglais?

B dit: à

Le ridicule ne tue pas. D’ailleurs sans autres comment se sentir ridicule, faut-il admettre que pour de nombreuses personnes les autres n’existeraient pas et qu’ainsi le ridicule n’effleurerait, n’agraferait, n’atteindrait que ceux qui ont une conscience du regard de l’autre . Annie Ernaux d’après ce que j’ai pu lire ici semble avoir été traumatisée par les rapports de classe un peu comme Angot par son expérience de l’inceste. Il faut convenir, Closer, que si elle a eu affaire à des bourgeois de votre espèce ou de celle de Sasseur ( ce qui revient à peu près au même), il y a de quoi rester marqué à vie.

Bloom dit: à

LA traductrice anglaise. Merci pour elle.

Marie Sasseur dit: à

La Nobel 2022, Annie Rambo, après sa  » transition  »

« Je reviendrai, avec des membres de fer, la peau sombre, l’œil furieux : sur mon masque, on me jugera d’une race forte. J’aurai de l’or : je serai oisif et brutal. Les femmes soignent ces féroces infirmes retour des pays chauds. Je serai mêlé aux affaires politiques. Sauvé. »

et alii dit: à

vous avez trouvé ça cornélien
« Va, cours, vole et nous venge »

et alii dit: à

on m’a dit qu’il fallait pose une question:
alors cornélien? OU NOT CORNELIEN?
é questions pour le prix nobel! d’une!

et alii dit: à

2questions excuses

et alii dit: à

poser!

Patrice Charoulet dit: à

Publicité

Il est indispensable d’écouter chaque dimanche de 11h à midi l’émission « L’esprit public » sur
France Culture. Parfois l’émission est consacrée à la politique intérieure, parfois à l’actualité internationale. Les quatre invités, bien choisis, sont toujours du plus haut niveau. Emission qui n’est interrompue par aucune pause publicitaire.

A la télé, le dimanche, il y quatre émissions qui interrogent une personnalité la plupart du temps politique. Trois à midi, sur BFM, LCI et franceinfo. Et une sur Cnews de 11h à midi. Parfois, je n’en écoute aucune, quand les quatre invités me déplaisent.

L’invité de CNews le dimanche 11 décembre de 10 à11h à midi, était Finkielkraut, Il a d’abord pruvé qu’il ne regardait pas cette émission. , car il ignorait ceci : A 10h15 , 10h30 , puis 10h45, il y a une assez longue pause publicitaire. A l’annonce de la troisième pause, qui n’a surpris personne sauf lui, Finkielkraut s’est exclamé : « Encore ! » .
Eh oui, chez Alain, encore ! Et si bien des radios et des télés ne peuvent vivre que grâce à la pub ,
les bornes sont franchies ; nous sommes submergés par la pub.
Au passage, malgré la pub, Finkie,en répondant aux questions qui lui furent posées, a dit des choses pleines d’intérêt sur Annie Ernaux, l’école et la prof de danse de Sciences po

et alii dit: à

j’ai rajouté sous le fil précédent une référence sur Maîmonide!( pour les demandeurs)

Jazzi dit: à

Face à la misère du monde, le léZard craignait le pire et il a plutôt trouvé le meilleur !

Alexia Neuhoff dit: à

« Finkie,en répondant aux questions qui lui furent posées, a dit des choses pleines d’intérêt sur Annie Ernaux, l’école et la prof de danse de Sciences po »

Des « choses », le mot ne manque pas « d’intérêt ».

Marie Sasseur dit: à

L’aspect monstrueux de l’ideologie politique d’Ernaux, qui compte sur son prix Nobel pour la véhiculer, ou considère ce prix comme une victoire ( sic) des tenants de cette idéologie,
sa monstruosité donc, tient moins à son illegitimité, car qu’a-t-elle été toute sa vie, si ce n’est une femme entretenue,
qu’à ce qu’elle entend  » venger « , et à ce que cette idéologie comporte de malsain : venger une injustice de naissance.

Toute inégalité est-elle une injustice, est un peu le pont aux ânes de la philo des sciences sociales

https://www.erudit.org/fr/revues/ateliers/2020-v15-n1-2-ateliers06061/1077532ar/

Mais que penser d’une activiste qui entend venger une injustice de naissance.
Tout ernaux est là, avec sa haine et sa bêtise.

Clopine dit: à

Perso j’ai toujours gagné, chichement, ma vie. Je n’ai jamais compté sur aucun homme pour remplir le frigo. Et, malgré les allégations haineuses de Marie Sasseur, je pense, à moins qu’on ne me prouve le contraire, qu’il en est de même pour Ernaux. Mais que ne serait-on pas capable de dire, pour discréditer la parole d’une femme puissante ?

Marie Sasseur dit: à

Et tout ça avec une  » oeuvre  » plus mince qu’un string.

Mais il n’est pas question de littérature.

Clopine dit: à

Si, il en question. Et même c’est un tournant. Parce que les écrivains ont toujours parlé d’eux-mêmes, quel que soit leur sexe. Mais voir couronnée la parole d’une femme, voilà ce qui ne passe pas, Marie Sasseur. Vous êtes là plus pénible des tenantes d’Ango. Récusant le déterminisme qui veut que les femmes soient soumises, malgré vos cries d’orfraie qui essaient de vous soustraire au destin commun.

et alii dit: à

Mais que ne serait-on pas capable de dire, pour discréditer la parole d’une femme puissante ?
pas seulement une femme,Clopine!

J J-J dit: à

à la niche en gav de peau !… la pseudopode haineuse aux multiples crocqs-mitaines, meuh

et alii dit: à

mais rappelez vous la trouvaille que j’ai déjà évoquée d’albert COHEN sur Marie CURIE/3 Des découvertes scientifiques de Marie Curie, il affirme qu’elles sont l’œuvre de « son mari, voyons !… J’en suis sûr. Pas elle. Elle était si sèche6 ! »

Clopine dit: à

Bon dieu, ce que c’est long, le dimanche !

Marie Sasseur dit: à

Cette égérie de la melenchonnerie entend récupérer, on l’a vu avec Rimbaud, tout ce qui passe à sa portée, et qu’elle prétend asservir à sa cause un peu pourrie .

Voici ce qu’elle prend a Rousseau:

« Et qu’on n’objecte pas que n’étant qu’un homme du peuple, je n’ai rien à dire qui mérite l’attention des lecteurs. […] Dans quelque obscurité que j’aie pu vivre, si j’ai pensé plus et mieux que les Rois, l’histoire de mon âme est plus intéressante que celle des leurs ».

On comprend qu’en rester à la forme, la dispense d’aller au fond des extraits de textes qu’elle pille.

Ernaux et Rousseau Sandrine, en revanche, ça matche.

et alii dit: à

LA QUESTION QUE JE VEUX RENDRE MANIFESTE avec l’exemple de COHEN sur CURIE?CEST QUE COHEN EST UN JUIF QUI A EU L’EXPERIENCE DE L’ANTISEMITISME brut dès l’enfance (anecdote connue)et qu’il est un homme intelligent

Janssen J-J dit: à

le meilleurS pour la suite… Prenez une pause de cinéma, vos yeux ne s’en ressentiront que mieux-j… Trois films par jour pour la rdl, jzmn, c’est un peu excessif, on trouve… c qu’o n’a plus le temps de savoir à quel télérama se vouer, nous autres, hein ; Bàv,
nb / passoul l’invitant, n’a pas encore choisi entre drouant et lipp… désolé, SV

et alii dit: à

on pourrait de là penser aux femmes qui n’ont pas conscience de ce qu’ ont traversé les autres femmes; oui, j’ai connu des femmes fières de dire qu’elles n’aimaient pas les femmes,et s’étaient fait la réputation de chercher à « piquer » les maris des autres femmes de leur entourage!

Janssen J-J dit: à

;;; surtout quand la neige s’obstine à ne point tomber… ))):::;;;

Janssen J-J dit: à

oui, j’ai connu des femmes fières de dire qu’elles n’aimaient pas les femmes,et s’étaient fait la réputation de chercher à « piquer » les maris des autres femmes de leur entourage!

quelle horreur que le portrait brossé de votre camarade marie…, elle en est encore là, en 2022 ?!

Marie Sasseur dit: à

J’ai assez dit qu’Ernaux est une insulte faite aux femmes à qui elle prétend donner des leçons.
Et qu’à ce titre, fermez votre gueule si vous ne savez pas de quoi vous causez.

et alii dit: à

depuis ce 9 janvier 2018, lorsque nous avons lu avec stupeur, dans Le Monde, que 100 femmes prenaient la défense des harceleurs mis en cause par le mouvement #MeToo. Cette fois-ci, ce sont d’un côté 114 avocates pénalistes (Le Monde, 8 mars) qui prennent la défense d’un milieu pris tous les jours en flagrant délit de «préférence masculine» ; et de l’autre Natacha Polony (Marianne, 4 mars) qui s’élève contre Virginie Despentes, autrice du désormais fameux «On se lève. On se casse. On gueule. On vous emmerde» (Libération, 1er mars).

Vingt ans passés à étudier l’exception française en matière de relations de pouvoir entre les sexes – le quatrième volume paraît ces jours-ci (1) – m’ont permis de comprendre pourquoi ce qui semble invraisemblable ailleurs est possible ici.
libé:
Les femmes misogynes sont déprimantes, mais elles ne sont pas nos ennemies
Face aux réactions que suscite la soirée des césars, l’historienne Eliane Viennot rappelle que le combat des féministes ne doit pas se tromper de cible : seule la domination masculine est au centre du combat.
https://www.liberation.fr/debats/2020/03/12/les-femmes-misogynes-sont-deprimantes-mais-elles-ne-sont-pas-nos-ennemies_1781310/

Marie Sasseur dit: à

« le combat des féministes ne doit pas se tromper de cible : seule la domination masculine est au centre du combat. »

Je pense que les rousseauistes vont beaucoup plus loin.
Ernaux pourrait déposer plainte contre le moniteur de colo.
Mais de sa « domination » financière dans ses liaisons avec « le jeune homme », on en cause ou pas ?

Marie Sasseur dit: à

Ces vieilles nymphomanes qui militent metoo, et sont pour les frotteurs du métro , devraient prudemment conserver cette parole en leur nom « propre ».

Jacques dit: à

FRANCE vs MAROC.
Mercredi prochain à 20h00.
Demi-finale de la Coupe du monde.
Si la France gagne ce match contre le Maroc, ça va casser, ça va brûler, ça va barder ici en France.
Si le Maroc gagne, eh bien, heu… ça va aussi casser, brûler et barder !

et alii dit: à

une femme que je « connais » et qui s »est imaginée m’avoir « branchée » en me contant son désir de « couper » ,geste à l’appui de cisailler » les hommes me déteste maintenant qu’elle a compris ?ALORS QUE J’AI DES RELATIONS AMICALES avec d’autres femmes, dont l’une a des moments de « délire » , et qu’elle cherche aussi à persécuter :cela m’affecte beaucoup parce que je ne cède pas à ces jeux de femmes en recherche de POUVOIR, et non de relations amicales

et alii dit: à

« elle cherche », la cisailleuse!

Marie Sasseur dit: à

Et Alien, vous êtes parfaite en madame Doubtfire. Et puis vous faites évoluer le genre. Il n’est plus question de dominés, mais de ruminants ?

closer dit: à

Qu’est ce que vous entendez par « bourgeois », B? J’ai peur de ne pas correspondre à l’idée que vous vous en faite, mais je peux me tromper.

Je répète ma question concernant la traductrice d’Ernaux. Qu’est ce qui l’empêchait de respecter l’original en mettant le même mot « race » dans le texte d’AE et dans celui de Rimbaud. Le souci d’épargner le ridicule à la Nobel vis-à-vis des lecteurs anglophones? Quelqu’un a-t-il une idée?

racontpatavi dit: à

Bon dieu, ce que c’est long, le dimanche !

Il n’existe pas de petits plaisirs que l’on puisse satisfaire, Clopine!

racontpatavi dit: à

ne puisse…

racontpatavi dit: à

Bon dieu, ce que c’est long, le dimanche !

Il faut se mettre à peindre à l’eau.

Jean Langoncet dit: à

@Traduction de Alison L. Strayer pour la Fondation Nobel, reproduite dans Le Monde du 8/12, version anglaise
race = ‘people’ chez elle, ‘race’ chez Rimbaud.
My people = les miens, ma famille

Traduction juste ; n’en déplaise aux haineux bien dans l’air du temps, bêtes et méchants comme jadis les Dalton, qui voudraient y introduire une dimension racialiste … « tu regardes ma sœur, j’t’encule ta race »

et alii dit: à

je sors péniblement d’une crise de constriction des voies supérieures,comme j’appelle ces douleurs de la machoire au sternum en passant par la trachée artère:affreux! rien ne le calme ni boire, ni une goulée d’air froid;ni une cigarette! mais je m’en remets, ça y est;bonsoir

closer dit: à

JL ne semble pas avoir la moindre idée de ce qu’est une traduction…Si « my people » veut bien dire « les miens, ma famille », il aurait fallu qu’Ernaux ait écrit « les miens » ou « ma famille » (ou équivalent très proche) pour que la traductrice anglaise puisse utiliser à bon droit « my people »…mais Ernaux a écrit « ma race » et a invoqué la proximité avec Rimbaud qui lui aussi écrit « ma race » dans un contexte tellement différent que cette soi-disant proximité n’existe pas…

Jean Langoncet dit: à

@closer qui perd la boule en la circonstance

Si le contexte est différent, le sens est évidemment le même ; c’est un parti pris de traduction qui se tient mieux que vos guirlandes de réprimandes daltonesques

Jean Langoncet dit: à

@Qui réserve ?

MC bien sûr ; le Maître de Cérémonie de service, affublé de closer, son enfant de choeur préféré

Jean Langoncet dit: à

(Ceux qui sont travaillés jusqu’à la pathologie par les questions racialistes sont à rechercher chez les contempteurs de Ernaux)

D. dit: à

Bon dieu, ce que c’est long, le dimanche !

Il faut se mettre à peindre à l’eau.

Il faut aller à la messe.

Janssen J-J dit: à

… ce qui nous intrigue grave, c’est sa fixette sur les « vieilles nymphomanes de mitou »… qui revient sous sa plume tous les 2 jours. La sasseur, un insulte faite aux femmes de sa généra(lisa)tion, un fruit sec doublé d’un amandier stérile… France/Maroc ? Tahar ben Jelloun, au jury du goncourt. Plutôt ce concert baroque écouté à la Coursive de LR, en soirée. Découverte d’un interprète israélien à la mandoline : Avi Avitail. Intéressant –
https://www.youtube.com/watch?v=aXBWrNN64z8
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Jean L, remettez nous cette phrase au féminin, SVP… Les lecteurs d’Ernaux ne sont pas de vrais contempteurs. Des lectrices ordurières, si… Merci, bàv,

renato dit: à

Franz Schubert, Octet in F Major, D. 803
Antje Weithaas, Violine / Alina Pogostkina, Violine / Veronika Hagen, Viola / Sol Gabetta, Cello / Robert Vizvari, Double Bass / Alejandro Núñez, Horn / Gustavo Núñez, Bassoon / Sabine Meyer, Clarinet

https://youtu.be/fnpVu8Eihj4

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf pour sa nannie, ne se refuse rien. Il suffit de relire son premier vomi, de vieux cinglé, sur ce fil de commentaires.

_____________

Enfin, on a vu jusqu’où pouvait aller cette imposture de la posture.
Le Nobel 2022 doit son « ascension » culturelle à des bonnes sœurs. Et ça c’est quand même hilarant.

Rien à voir, encore que…
Il y a cette phrase de Houellebecq, l’unique, que je retiendrai de ce très long entretien avec Onfray . Il y est un peu question de  » civilisation », comme dans le poème de Rimbaud…
et Houellebecq qui se déclare agnostique jusqu’à ce que ses doutes soient levés ( par la science), rappelle qu’il est aussi allé au cathé.
Le passage hyper puissant : Il y entrait avec des questions métaphysiques ( l’origine ) et en sortait avec des réponses sociales.

MC dit: à

Dans un emploi soutenu people peut se défendre. Haendel ou plutot son librettiste Jennens dans Messiah ; : « Comfort ye, confort ye, my people, saith your God ». Difficile de croire qu’il ne s’agit pas de la race élue ici. On peut contester la traduction mais elle est potable, sans plus.,,,MC

MC dit: à

Voir aussi les intéressants Memoires sur l’Affaire Dreyfus publiés par Daniel Halévy, in Degas parle, notamment…

Jazzi dit: à

« Virginie Despentes, autrice du désormais fameux «On se lève. On se casse. On gueule. On vous emmerde» »

C’est ce qu’elle a fait au jury Goncourt !

rose dit: à

Vu Les miens de, par et avec Roshdy Zem.

Joyeux, hilarant, sensible et magnifique.

La nuit dernière, ai rêvé que les juifs se réconciliaient avec les arabes : rêve magnifique.

rose dit: à

transformation historique ; que le Qatar est un lieder en matière du droit du travail.

Écroulée de rire (déjà au ciné à hurler sur mon fauteuil) : alors, tvtbmlm : les lieders et les followers.
De quoi se plaint le peuple ?

Janssen J-J dit: à

@ une crise de constriction des voies supérieures,

le Boa—-aaaaaaaaaa, tous les jours, un nouveau mal d’hypocondrie, quoi…

FL dit: à

Donc une révoltée qui veut « venger sa race » reçoit un prix littéraire d’un monarque de droit divin.

Le principal dans ce monde c’est d’accepter la contradiction. Toujours.

et alii dit: à

nouveau ? TU PARLES!
j’ai commencé d’en souffrir dans ma vingtaine!
jen’ai jamais eu un diagnostic « officiel »d’un professionnel avec un traitement!
la prochaine fois que je vois mon médecin, je vais le tarabuster!

Jean Langoncet dit: à

@Ben Laden en loden

… et tweed jacket sous les saules pleureurs ; pour faire style diplômé de Cambridge ou des environs

Janssen J-J dit: à

je prie pour le rétablissement de votre santé et vos spasmes pulmonaires, mais ne sais trop quoi vous conseiller, n’étant pas médecin, ni officiel ni parallèle…
Or, au final, tout relève de la littérature, non ? (cf. Daniel Pennac, le journal de son corps)

Jean Langoncet dit: à

@pour faire style diplômé de Cambridge ou des environs

Le collège de Saint Pierre. Un classique digne du nom de la rose y sévit dans l’intimité depuis quelques décennies déjà
https://www.youtube.com/watch?v=dF-FY8rqA1I

Marc LAUDELOUT dit: à

Littérature de ressentiment, on étouffe…

D. dit: à

C’est la saison des endives, maintenant.

et alii dit: à

mais ne sais trop quoi vous conseiller, n’étant pas médecin, ni officiel ni parallèle…
c’est trop aimable à vous ,et je vous remercie;
mieux encore: oubliez moi! c’est bien le moment, avec toutes les préparations qui vous requièrent,en cette fin et ce commencement d’année!
Jack Goody, La logique de l’écriture. L’écrit et l’organisation de la société, Paris, Armand Colin, coll. « Individu et Société », 2018, 288 p., 1re éd. 1986, traduit par Anne-Marie Roussel, préface d’Éric Dagiral et Olivier Martin, ISBN : 978-2-200-62114-8.
https://journals.openedition.org/lectures/24819

Bloom dit: à

Faut-il que les adhérents du parti qui se prétend « gaulliste » soient complètement paumés pour élire à leur tête un type qui, le 23 septembre 2021, tenait les propos suivants sur Twitter:

« Notre ennemi n’est pas la Russie.
La guerre froide n’a plus lieu d’être.

Nous devons retrouver des liens forts avec la Russie avec laquelle nous partageons des racines chrétiennes et une histoire. »

Le sens de l’Histoire. On le laisse retrouver ses liens forts avec Catherine de Russie.

Bloom dit: à

Littérature de ressentiment,

Tout le contraire de Cénile, n’est-ce pas?

Bloom dit: à

MC, « Comfort ye, comfort ye my people, saith your God. » est une citation de la King James Bible, Isaiah/Isaie 40:1.

Le livret du Messie est un arrangement par Jennens de citations de la Version autorisée (Isaie, Malachie, Psaumes, Luc, Matthieu…)

Pour mémoire, le célèbre oratorio fut interprété en public pour la première fois à Dublin au New Music Hall, Fishamble Street, à midi le 13 avril 1742.

Bloom dit: à

Fintan O’Toole*: (…) the performance (of the Messiah) is still regarded by Dubliners as one of the greatest moments in their city’s cultural history. It is remembered by an open air concert on Fishamble Street every April 13th.

*excellent journaliste irlandais (Observer, Irish Times,New Yorker)

rose dit: à

jen’ai jamais eu un diagnostic « officiel »d’un professionnel avec un traitement.
Et alii,
Ils ne savent rien. Ou si peu.
La seule compétence qu’ils puissent avoir, c’est la bonté d’âme.
Rare.
Cherchez plutôt en vous.
Constriction. Contrition, construction. Etc.
Je ne suis pas vous.
Référez-vous à Carl Jung « La maladie est l’effort que fait la nature pour aider l’homme à guérir. »
Si ça dure depuis quarante ans, il est temps que cela cesse.

rose dit: à

Ça nous/me fait iech que vous déformiez les patronymes.
Vraiment beaucoup.

>Moussa,

Amore mio, tu l’as bouclé et a si peu dit de ton incompréhension totale ; on ne sait pas, et on ne saura jamais, si peu de chances de savoir, si Nora
-est incapable de quitter sa mère :a-t-elle coupé son cordon ombilical ?
-refuse de quitter le Maroc, son pays natal si splendide aux riads luxuriants, même si elle vit dans la medinah la plus pauvre d’Essaouira.
– a compris brutalement ce que signifie de vivre avec un homme qui a vingt cinq ans de plus qu’elle.

Moussa,

On n’achète pas une femme.
Viendra, va venir, est en train d’advenir le temps où le choix d’une femme, d’un homme sera hors des critères de couleur de peau, pour venger sa race (le petit black de 22 ans qui a hurlé sur le terrain de foot face aux anglais (terrifiés)), d’argent, pour être un transfuge de classe et sortir de sa misère noire, et venger sa race, comme Annie Ernaux, richissime à présent, plus besoin de mari pour lui acheter ses bas Dim à Monoprix.
Etc.

J’aime le fait qu’il t’ai fallu tomber sur la tête pour devenir lucide. J’aimerai beaucoup que ton fils, aussi parfaitement déjanté soit capable d’obtenir le même résultat sans passer par la même violence physique exercée sur soi-même, et qu’il remette fissa, les deux pieds sur terre, avant se soixante ans quand même.

Roshdy Zem,

Je déteste les gens qui bouffent à tous les râteliers. Qui se croient polyvalents. Qui font des stand-up, des films, et sortent un microsillon.
Moij.aime bien que chacun reste à sa place :
Le berger avec ses moutons.
L’expert-comptable avec ses litanies de comptes.
Le curé avec ses ouailles.
La mannequin avec son anorexie.
La fille à son papa avecque son papa.

Vous m’avez prouvé l’exact contraire. On peut être comédien, je ne sais pas ce que les gens vous trouvent, mais apparemment, ils le trouvent, et réalisateur. Le tout avec talent.

Les vôtres, ils sont gravement tarés. Les miens autant. Si ce n’est plus. Mais j’ai la dent dure et je ne leur pardonne pas leur ignominie.

rose dit: à

et alii dit: à
je sors péniblement d’une crise de constriction des voies supérieures,comme j’appelle ces douleurs de la machoire au sternum en passant par la trachée artère:affreux! rien ne le calme ni boire, ni une goulée d’air froid;ni une cigarette! mais je m’en remets, ça y est;bonsoir.

Si vous m’en donnez l’autorisation, je peux consulter quelqu’un pour éclaircir le problème de santé qui vous assaille. Si non, je ne le ferais pas.

rose dit: à

Qu’il t’ait fallu

Ses soixante ans (c’est bien tardif pour atterrir).

B.
Descendu à 19.

Le matin 17.

et alii dit: à

rose, de votre part, j’accepte;merci!
expliquez que c’est un symptôme assez récurrent,qui prend les joues aussi(plusieurs fois par trimestre) et qui dure deux à trois heures avant de passer ;et après ça va bien, tout est clair!
mais ne vous chargez pas alors que vous avez bien d’autre chose à élucider!
bonne journée;ce matin, je suis crevée; mais je vais tarabuster mon médecin, n’en doutez pas!

Jazzi dit: à

Comment peut-on rire à une horrible histoire de trafic d’enfant ?
Et pourtant, le léZard l’a fait et, en sus, a été ému…

MC dit: à

Certes Bloom! Mais je n’aurais pas mis Jennens qu’on aurait pas manqué de me l’injecter. Alors…J’ai par ailleurs supposées connues les multiples références prophétiques du texte.

et alii dit: à

et le bouquet:j’ai dû faire un test :positif!
pour le coup, je sais ce qu’aurait dit mon père: »justice immanente »!

rose dit: à

Je le fais cet aprem, et alii

Chantal dit: à

@Rose,

j’ai aussi vu les miens de Roschdy Zem, acteur réalisateur que j’aime bien suivre. Il interprétait un fils qui devait placer sa mère nécessiteuse en épad dans la série télévisée aux animaux la guerre de Nicolas Mathieu, j’ai pu apprécier sa prestation dans l’innocent récemment. Un taulard amoureux d’Anouk Grimberg en délicatesse avec son fils qui panique face à ses choix. Savoureuse comédie noire au caviar …
Les miens m’a beaucoup touchée également tirée de la propre tragédie du frère de Roschdy qu’il a réussi à transposer au cinéma en dévoilant les failles et blessures familiales. La grande soeur et son trop plein de bienveillance et d’intervention, les misères cachées du frère ainé au rsa, les différences de relations entre ceux qui possèdent et ceux qui n’ont pas grand chose au sein d’une même fratrie. Les dialogues en rapport avec le suivi médical et le rôle du fils conspirationniste sont très significatifs d’une époque où la confiance dans les institutions est en perte de vitesse.

Jazzi dit: à

rose et Chantal, j’hésitais mais vous m’avez décidé à aller voir « Les Miens »…

et alii dit: à

Les toutes premières fresques ont été terminées en Grèce et au Portugal, dans le cadre d’une initiative internationale pour honorer ceux qui ont sauvé des vies durant la Shoah.
L’an prochain, des bâtiments du monde entier se pareront de fresques murales en hommage aux « Justes parmi les nations » qui ont sauvé des Juifs pendant la Shoah.
Dans le cadre de l’initiative du collectif Artists 4 Israel, les deux premières fresques ont été peintes cette année sur des bâtiments, au Portugal et en Grèce.
Dans l’attente d’une nouvelle collecte de fonds, le collectif expose de quelle manière il entend honorer la mémoire de centaines d’autres « héros » avec de nouvelles fresques, peintes dans le monde entier.
« L’idée du projet est d’amener les gens à réfléchir à la Shoah, à se documenter sur ce qui s’est passé et être fier de lutter contre l’antisémitisme », explique Craig Dershowitz, président d’Artists 4 Israel.

closer dit: à

Quelqu’un (DHH?) aurait-il la bonté de me traduire ce poème de Catulle, que ce traître de Jonathan Coe insère dans « Bournville » sans le traduire (en tout cas dans ma version numérique)?

Namque lunia Manlio, qualis Idalium colens venit ad Phrygium Venus ludicem, bona cum bona nubet alite virgo,
floridis velut enitens myrtus Asia ramulis quos hamadryades deae ludicrum sibi rosido nutriunt umore.
quare age huc aditum ferens perge linquere Thespiae rupis Aonios specus, nympha quos super irrigat frigerans Aganippe,
ac domum dominam voca coniugis cupidam novi, mentem amore revinciens ut tenax hedera huc et huc arborem implicat errans.

« Bournville » a été traduit en France sous le titre « Le Royaume désuni », qui semble rencontrer un succès tout à fait mérité.

Janssen J-J dit: à

@ rptv-etalii / « mieux encore: oubliez moi! »
J’essaie, croyez-le bien. De votre côté, pourriez-vous oublier de raconter à l’herdélie toutes vos maladies imaginaires, mieux encore, oublier ce blog pour vous consacrer à engueuler vos toubibs, (activité à plein temps), évidemment seuls responsables de vos chatoyantes plaintes à la souffrance masochiste. Bàv,

Janssen J-J dit: à

Sauf l’arrivée inopinée de DHH qui rectifiera les maladresses du style, je vous proposerais ceci :
____
Car les lunes de Manlius, telle Vénus adorant les Idaliens, arrivent en Phrygie en se jouant, épousant une vierge ornée de beaux atours
fleuris comme la myrte d’Asie, dont les branches nourrissent d’humidité rosée les Hamadryades de la déesse.
C’est pourquoi, à son approche, prenez le sentier passant à la gauche des rochers de Thespia, aux grottes Aoniennes, au sein desquelles les nymphes irriguent leur soif par le refroidissement d’Aganippe. Et appelez la maîtresse de maison du couple que je connais, celle qui aime tant l’esprit, tel le lierre tenace qui s’enchevêtre l’arbre en errant çà et là.

Bàv,

Jazzi dit: à

Céline, écrivain du ressentiment ?

Dommage en tout cas, que tu te prives de la lecture de « Londres », Bloom !
Un roman magistral, où l’on retrouve notre jeune narrateur national, rescapé de la grande guerre et passablement cabossé, dans les rues de la capitale britannique en compagnie de putes et de maquereaux, entre le printemps 1916 et le printemps 1917.
Le seul personnage positif, dans cette histoire scabreuse, crue et sexuelle en diable, vue par un paumé, perdu au milieu d’autres paumés, et bien décidé à ne pas retourner au front, c’est un médecin juif et sa petite famille, dont Céline nous tire un émouvant et élogieux portrait.
Et qui jouera un rôle déterminant dans le choix de sa future vocation médicale.
Etonnant, non ?
Rédigé durant la période où Céline exerçait au dispensaire municipal de Clichy (de 1929 à 1937), sur du papier à en-tête de cet établissement médical, le manuscrit de Londres est donc antérieur aux pamphlets (1937-1938).
Que c’est-il passé alors dans sa tête pour expliquer ce revirement radical ?
Mystère !
(Toutes les biographies de Céline sont à refaire et les oeuvres complètes à réactualiser, depuis la découverte récente de ces manuscrits « volés ».)
Si à l’époque il avait publié « Londres » en place des pamphlets, de salaud il passait à héros !
A quoi tiennent nos destinées…

Jazzi dit: à

Que S’est-il passé…

et alii dit: à

maladies imaginaires,
A REGRET? MONSIEUR JCUBE de ne pas me délecter de votre prose comme d’ une promesse à me réjouir de vous lire ou vous voir en scène ; j’ai assez confiance en mon médecin pour lui confier le choix des traitements susceptibles de soulager des douleurs qu’il a,je présume, rencontrées dans sa carrière ,et sans doute aussi banales pour lui que pour moi, vos dégueulis d’homme vaincu par ses ans et ses supposés amis sur toile

Phil dit: à

mazette, un ressentiment radical, dear Baroz (du latin radix)

closer dit: à

Merci JJJ. Je suis admiratif…

rose dit: à

Et alii

Les réponses dans l’ordre de votre com.
Je n’ai pas écrit boa, ni rien vous concernant hormis « il est intelligent ».

et alii dit: à

je sors péniblement d’une crise de constriction des voies supérieures,comme j’appelle ces douleurs de la machoire au sternum en passant par la trachée artère:affreux! rien ne le calme ni boire, ni une goulée d’air froid;ni une cigarette! mais je m’en remets, ça y est;bonsoir

1/Partie haute des voies respiratoires
: il se sent oppressé écrasé.
Événement, traumatisme, un choc qui l’a soufflé ; il ne peut pas crier, il ne peut pas parler, il l’a reçu de plein fouet.

rose dit: à

et alii dit: à

expliquez que c’est un symptôme assez récurrent,qui prend les joues aussi(plusieurs fois par trimestre) et qui dure deux à trois heures avant de passer ;et après ça va bien, tout est clair.

2/Pck quand cela le reprend, il y a un évènement autour de lui ou une situation qui inconsciemment lui rappelle subséquemment l’évènement précédent fondateur il s’affronte à une situation qui lui rappelle.
La première situation n’était pas à piquer des vers.
Peu ou prou quelque chose lui rappelle l’événement premier.
3/Même les dents c’est quand il a serré les dents , le choc était tellement violent.
Il y a eu un évènement dans sa jeunesse qui a pris effet dans son enfance pour remonter à la source.
Soit au moment de ses vingt ans, mais cela m’étonnerait, cela doit être antérieur . À vingt ans, il y a eu un écho.

rose dit: à

Suite :

Il y a eu une réactivation d’un traumatisme tellement fort comme s’il avait été serré par un serpent constructeur. Comme
étranglé.

Un évènement très très grave, un gros choc.
Quand c’est un évènement assez fort, cela réactive.

rose dit: à

Serrer les mâchoires les dents lutter résister ce n’est pas rien.
Le traumatisme est imprimé dans le subconscient pas pour te torturer pour attirer ton attention sur un problème qui n’a pas été résolu.
Il s’opère une catharsis.

Une évacuation

rose dit: à

Y a la suite, mais je crois que cela va là.

Jazzi dit: à

Deux biographies s’imposent : Céline et Annie Ernaux.
Laquelle choisirait Passou ?

rose dit: à

Un serpent constricteur.

P S y’a Gros câlin de Gary, mais pas encore lu.

et alii dit: à

rose, je n’ai rien compris à votre story!
si elle vous aide à comprendre quelque chose de vos histoires tant mieux; renoncez à mon compte rendu qui ,par ailleurs, observe le questionnement d’un professionnel sur ce qui peut être significatif ( quoi, COMMENT? DEPUIS QUAND? etc)
bonne suite

D. dit: à

Ce soir je me fais des endives au jambon et à la béchamel et au fromage. Miam !
Au four électrique et à 19h 30. Bien fait pour leur gueule.

rose dit: à

aux pamphlets (1937-1938).
Que c’est-il passé alors dans sa tête pour expliquer ce revirement radical ?
Mystère

Moij. en sais plus sur l’attitude de Zola envers Cézanne suite à la très belle préface d’Armand Lanoux, membre de l’Academie Goncourt, de Une page d’amour qui s’intercale gentiment dans les Rougon-Macquart entre l’Assommoir et Nana (jamais lu Nana ; l’Assommoir un grand bouquin).

Fini avant cela la Fortune des Rougon. Ce salopard de Pierre, mais pire que lui, ô combien ! cette salope de Félicité qui porte mal son prénom, et que Émile aurait pu nommer Garce de première catégorie.
Je reviendrai sur l’hypothèse d’Armand Lanoux qui semble se tenir.

rose dit: à

Et alii

Vous êtes plus que ianchte pck j’y ai consacré 45 mn.
Je vais lui dire votre réponse.

Phil dit: à

En chaleur tournante, dédé ?

rose dit: à

rose, je n’ai rien compris à votre story!
si elle vous aide à comprendre quelque chose de vos histoires tant mieux;

Cela ne me concerne en rien : il s’agit de votre pathologie.

D. dit: à

Si vous voulez couper, c’est Chaville.

Jazzi dit: à

Le jambon béchamel c’était la grande spécialité du père de Christine Angot !

Jazzi dit: à

Enlevez sa pathologie à et alii, rose, qu’est-ce qu’il lui resterait !

D. dit: à

Ah bon, Jazzi ?! Et du coup elle aime plus alors ?

D. dit: à

C’est bon les pâtes au logis. Gratinées au four.

DHH dit: à

@JJJ
@JJJ
je vous felicite d’avoir traduit ce texte difficile sur lequel j’ai séche et dont même avec la traduction je n’ai pas compris la structure interne des phrases
j’en suis d’autant plus desoléee que j’ai su autrefois assez bien le latin ,que j’en ai même vecu quelques années, et-naufrage de la vieillesse?-je constate qu’il ne m’en reste pas grand chose
Neanmoins , tout ce qui est imputable à mon incompetence mis à part , je voudrais que vous vérifiez l’exactitude du texte cité ,où plusieurs termes , après vérification dans le dictionnaire, ne me semblent pas exister dans la langue ou etre employés a un cas qui rend le texte inintelligible
Lunia serait un pluriel d’un lunium qu n’existe pas ,et si lunia existe avec le sens de lune ,Manlio devrait etre manlia ; ludicem qui serait un accusatif d’un ludex qui n’existe pas est peut etre une mauvaise transcription de l’adverbe ludicre ou du mot ludicrum;

et alii dit: à

jazzi, vous concluez trop vite, et il parait que la bêtise c’est de conclure (FLAUBERT)j’ai donc des raisons de ne pas parler de ce qui « me reste », outre le titre
« Giorgio Agamben

Pierre Alféri (Traducteur)
EAN : 9782743610005
192 pages
PAYOT ET RIVAGES (19/03/2003)
hier, je parlais avec une iTalienne ET Juive qui travailla au consulat, et qui ne connaissait pas le nom d’AGAMBEN

et alii dit: à

« La recherche ici entreprise dans le sillage de Homo sacer ne porte pas sur les circonstances historiques dans lesquelles s’est accomplie la destruction des juifs d’Europe, mais sur la structure et la signification du témoignage. Il s’agit de prendre au sérieux le paradoxe de Primo Levi, selon lequel tout témoignage contient nécessairement une lacune, le témoin intégral étant celui qui ne peut témoigner. Il s’agit de ceux qui  » ont touché le fond « , des déportés dont la mort  » avait commencé avant la mort corporelle  » – bref, de tous ceux que, dans le jargon d’Auschwitz, l’on appelait les  » musulmans « . On a essayé ici de regarder cet invisible, de tenir compte des  » témoins intégraux  » pour l’interprétation d’Auschwitz. On propose, par là, une réfutation radicale du révisionnisme. Dans cette perspective, en effet, Auschwitz ne se présente pas seulement comme le camp de la mort, mais aussi comme le lieu d’une expérience encore plus atroce, où les frontières entre l’humain et l’inhumain, la vie et la mort s’estompent ; et, mise à l’épreuve d’Auschwitz, toute la réflexion de notre temps montre son insuffisance pour laisser apparaître parmi ses ruines le profil incertain d’une nouvelle terre éthique : celle du témoignage. En marquer le sujet en tant que reste, tel est le but de ce livre. »https://www.decitre.fr/livres/ce-qui-reste-d-auschwitz-9782743610005.html

Bolibongo dit: à

Le moâ constrictor, un ressentiment.

Marie Sasseur dit: à

Pas convaincue du tout par la lecture que fait M. Weitzmann du discours d’Ernaux, en ce qu’il extrapole lui- même du poème de Rimbaud ,  » mauvais sang « , mais c’est divertissant de voir comment tout ces meussieurs de France culture, salut Passou,, decernent leur prix Nobel, et sur quels critères.

Marie Sasseur dit: à

On peut même parler de contre sens absolu, a propos de ce poème de Rimbaud lu par M. Weitzmann.
Je t’en foutrai moi de « l’ensauvagement ».

Bloom dit: à

Céline et Annie Ernaux.

Elle a une soeur?

Marie Sasseur dit: à

Rimbaud parle de civilisationS, et Ernaux de généalogie, si vous ne savez pas lire, c’est inquiétant.

rose dit: à

Jazzi dit: à
Enlevez sa pathologie à et alii, rose, qu’est-ce qu’il lui resterait !

L’amour, comme ce que dit soeur Emmanuelle.

(Moij. ne fais pas de story, nanmeho).

MC dit: à

Ce « Va, cours, vole, et nous venge » est cornelien si l’on veut dans le coté mondain et surhumain du défi ( « plus que brave soldat, plus que grand capitaine,
C’est…
De Grace achevez,
Le père de Chimène . »

Dans cette conjonction d’un devoir et d’un exploit a priori impossible, oui, il y a quelque chose qu on peut dire Cornélien. La vengeance relle-meme n’est pas un thème nouveau (cf Forsyth « La Tragédie Francaise et le Thème de la Vengeance ») . Mais Corneille le porte a des hauteurs jamais atteintes avant lui… Et l’inverse, le pardon, est vrai avec Polyeucte, ce Polyeucte qui déplut à l’Hotel de Rambouillet ou officiaient les Précieuses de ce temps là….

MC dit: à

Le Cid est d’ailleurs une accumulation d’impossibilités Celle-ci, à propos du Combatb contre les Maures, dite pare Don Diegue, me semble-t-il.
« Rodrigue a pris haleine en vous le racontant ».
Reprendre haleine en déclamant le combat, il faut le faire!

Jean Langoncet dit: à

(Il y a même un « Jazzy » qui commente chez M. Weitzmann ; vous avez dit « fixation » échantillon des thèmes abordés : https://twitter.com/Jazzy47994207 )

Patrice Charoulet dit: à

CIOTTI !

Ciotti, élu président des Républicains. Navrant, désolant, ridicule.
De Gaulle, Pompidou, Chirac………………………………Ciotti.
Quel parcours ! Qui diable a pu voter pour lui ?

Jean Langoncet dit: à

@On peut même parler de contre sens absolu, a propos de ce poème de Rimbaud lu par M. Weitzmann.

Propagande relativement médiocre

Jean Langoncet dit: à

J’intrigue et vous souhaite une bonne soirée : le Jazzy de Weitzmann serait-il le Jacques de la RDL ?

Jean Langoncet dit: à

(Un intérêt certain pour le Maroc chez ces gonzes)

et alii dit: à

rose, occupez vous de votre famille;
d’autre part, le covid n’est pas tres mystérieux, et ce n’est pas une pathologie de n’avoir pas tissé avec vous,(ni avec aucun erdélien ) de lien amical, ni de relation toxique!et de ne surtout pas en désirer;mais je ne vous souhaite pas de contracter une maladie aussi commune que le covid qui ne vous enjolivera pas votre « identité »comme un animal exotique !
bonne suite et bonne pathologie!

et alii dit: à

Madame de Sévigné : « Il n’y a qu’à être en Espagne pour n’avoir plus envie d’y bâtir des châteaux. »

Jacques dit: à

Ciotti avec sa tête de canard élu président des Républicoincoins !

Jazzi dit: à

« Elle a une soeur ? »

C’est deux travelos des lettres, Bloom !
L’un tourne facho et l’autre stalinienne,
ça n’empêche pas le talent, mais les plateaux de la balance ne sont pas équilibrés.
Pour le génie, iIpenche nettement en faveur de la droite…

Patrice Charoulet dit: à

Est bourgeois tout ce qui vit de persuader. (Alain)

Janssen J-J dit: à

On se marre de voir déconfits les erdéliens de la droite qu’en pinçaient pour retailler les gaullistes… Faut dire que Ciotti s’aquoquinera jamais avec les lepénistes, alors que re-tayaut, c’était moins sûr ! 🙂 voilà pkoi j’ai voté pour Eric, mon charoulé…
Bàv, tchinz !… (céline et ma soeur vont en bateau, etc., )

@ rz, la bonté vous perdra, voyez comme vous avez été récompensée d’avoir « consulté » pour lui rendre service !… Que misayre !… l’ingra-titudre… qui vous renvoie ièche… Rarement vu pareille attityude, à côté, les vomis de masoeur sont du pipidchat…
Il parait qu’il faut pardonner beaucoup aux malades mentaux, qui d’après l’ancien article 64 n’étaient pas accessibles à la sanction pénale. En revanche, ils le sont désormais en responsabilité civile… Je laisse le soin à Jean L. de vous en entretenir plus avant, lcé…
Sinon, pour vous et lui, Bàv, https://www.youtube.com/watch?v=DxYHZNm9gi4

rose dit: à

Vu Jacky Caillou.
Qui s’appelle Thomas. Mais tout le monde l’appelle Jacky.

rose dit: à

consulté » pour lui rendre service

Pas grave, j’ai beaucoup appris. Et j’ai eu détails des soins dont je ne lui ai pas parlé au cas où.
La conversation était passionnante, nous avons poursuivi sur la maladie d’Alzheimer et c’était encore plus passionnant.
N’ai pas regretté mon temps qui n’était pas perdu.

rose dit: à

Jacky Caillou.
Horrible.
Suis arrivée au ciné glorieuse, suis repartie piteuse. Ai dit à mon gérant préféré, « non non et non » sans explicitations.
Rare que je m’engage à ce point…Dans le positif, parfois, dans le négatif, jamais, j’ai pour habitude de rester coite, mais là, non, non et non.
Bis repetitat.

Vais tenter de vous dire pkoi.
Ai lu, et suis allée le voir pour la critique faite par les films du clan Acid Cannes 2022, élogieuse, tentante.
Or, Lucas Delangle, après un début effectivement prometteur et une vague onirique dans laquelle on se laissait benoîtement emporter, part en vrille.

In situ, son héros, pète gravement les plombs. Une fois. Une seconde (dramatique, ai eu il y a 34 ans une mère d’élève qui a fait cela à sa fille, faut être gravement atteinte pour ce faire).
Une troisième et là, on commence, rose et moij.a en avoir sérieusement ras la patate.

Ce film est nul.
Pourtant, il traite d’un sujet important et mystérieux que l’on ne galvaude pas comme cela.

Et, Lucas Delangle, choisissez en un autre, les femmes courent avec les loups, mais n’en sont pas.

Horreur des poncifs.
Et ce petit Parigi, il a à sacrément grandir avant que d’arriver aux chevilles de sa grand-mère, ou mère-grand si on tient à la faire bouffer par le loup.

Une image splendide d’un chemin en montagne, réitéré et c’est baste.

Alliez votre jeunesse à l’expérience, vous aurez tout à apprendre.

closer dit: à

DHH, JJJ, il est très possible que le texte latin du poème de Catulle que j’ai recopié soit erroné ça et là. En effet, les versions numériques des livres, pour liseuses, comptent souvent pas mal de coquilles…C’est moins cher, c’est très pratique (surtout pour les livres étrangers), mais imparfait.

Merci en tout cas de votre attention.

Jazzi dit: à

Pas vu Jacky Caillou, rose.
En revanche, je suis sorti déçu de « Les Miens »…

Jazzi dit: à

« Pour mémoire un petit extrait du discours Nobel de Claude Simon, en 1985. »

Josyane Savigneau s’y met aussi contre Annie Ernaux.
Là, c’est vache !

D. dit: à

Patrice Charoulet, aimez-vous le cassoulet toulousain ?

rose dit: à

Les miens, je l’ai pris au premier degré, jazzi. Belle détente pour moi.

Jacky Caillou, je cherche l’ampleur du désagrément éprouvé : une telle méconnaissance du féminin ! Un abîme. Pouah.

Marie Sasseur dit: à

@ »Elle l’a trouvé chez Rimbaud, celui d’Une saison en enfer (« Je suis de race inférieure de toute éternité »). Eut-elle usé de « classe sociale » (notion augmentée chez elle de toutes les dominations) au lieu de « race », puisque c’est bien de cela qu’il s’agit, on en parlerait beaucoup moins. »

Je vous écris d’un pays lointain

Eh bien non Passou, ce n’est pas non plus « cela », dont il s’agît. Ou que de cela.

Puissiez-vous maintenant y trouver un autre sens, que marxiste.
Et vous verrez qu’il y a au contraire beaucoup à en dire comme je l’ai déjà suggéré.
Vous êtes plus capé que les deux autres animateurs radio, pour ce faire.

rose dit: à

Mardi 14 décembre 2022, 7h35.

Mapplehorpe. Exactement ce que je pensais -le lien entre solitaire et vieillesse-. Vraiment pas grave et sans, jamais, de tabula rasa.

L’adage « quand on est bon, on est con » ne convient qu’a ceux qui le pratiquent.
Les mêmes qui crient « au loup, au loup, sans loup », ou qui disent « un festival de coquillages », seul, sans réaliser qu’ils creusent leur tombe avec leurs dents.
Pendant ce temps, la soeur affectueuse et dévouée, son psy lui a dit « occupez-vous de vous » et c’est ce qu’elle fait, avec tendresse, soin et affection.

Bonne journée,

rose dit: à

Mardi 14 décembre 2022, 7h35.

Mapplethorpe.

rose dit: à

Vous êtes plus capé.
Encore faut il le vouloir, le pouvoir, en lieu et place de faire bloc dans des causes communes.

Marie Sasseur dit: à

Ce qui est insupportable, au delà de tout, absolument insupportable, dans cette pantalonnade radiophonique, dont M. Weitzmann reecrit le pitch et l’imprime, ce sont les arguments utilisés pour réduire Ernaux dans une adversité politique, en brandissant un pamphlétaire, plus méritant, comme un exorcisme.
On a bien compris que le sujet littéraire que n’a pas développé Ernaux, c’est l’islamisme. C’est ce qui lui est reproché. Non ?

Bloom dit: à

Voodoo Child, de & par Jimmy Hendrix, 5 minutes qui contiennent presque toute l’histoire de la musique noire américaine, du blues à la déconstuction coltranienne.
Suelement quatre années de carrière, débutée le 13 octobre 1966, au…Novelty d’Evreux, en première partie de …Johnny Ah Que!

et alii dit: à

femmes, méfiez-vous d’une personne qui vous dit que vos douleurs sont « psys » « imaginaires »:
« Le cœur des femmes, les maladies cardiovasculaires mal prises en compte « Conséquences: les maladies cardio-vasculaires sont devenues la première cause de mortalité chez les femmes en France et en Europe. Des statistiques édifiantes… elles meurent 6 fois plus d’une maladie cardio-vasculaire que d’un cancer du sein. 55% des accidents cardiaques sont fatals chez les femmes contre 43% chez les hommes. A âge égal, les femmes ont plus de facteurs de risque que les hommes. 8 accidents cardio-vasculaires sur 10 seraient évitables grâce à une meilleure hygiène de vie et un dépistage adapté. »
exemple archi connu !

Marie Sasseur dit: à

En revanche, si etc. j’aurai une question à poser au Nobel.
Elle n’est pas extra territoriale cette question, elle ne vise pas un universalisme démagogique.
Non, elle est immédiate, elle est française, elle est républicaine:

Madame Ernaux, quelle serait votre attitude, face à cette « liberté », prise par quelques élèves vis à vis de l’école laïque ?

https://www.publicsenat.fr/article/societe/sarah-el-hairy-il-faut-etre-courageux-aujourd-hui-pour-etre-prof-et-expliquer-qu-une

Si tant est que votre éducation en institution religieuse ou votre enseignement à distance au cned ne vous a pas fait perdre tout sens des réalités.

Marie Sasseur dit: à

Je pense que Houellebecq a déjà répondu à la place d’Ernaux, dans son roman  » soumission « , une histoire de profs…

Voilà, j’ai terminé.

Janssen J-J dit: à

Voilà, j’ai terminé.

…avec le harcèlement contre Ernaux ?

On va voir ça, marie-josyane ; bàv, 13.XII.22, 9.22

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf, boursouflé, qui n’a-t-il pas harcelé sur ce blog, jusqu’à la nausée et probablement un départ  » définitif « .

Marie Sasseur dit: à

@exemple archi connu !

Archi connu aussi, le tako-tsubo

J J-J dit: à

vous partirez avant moij et dans pas longtemps, ma puce, estropiée, une balafre de vieille branche coincée sur le lac de walden en travers de la goule… Bonne chance pour la suite à stockholm !
(Tarzoune qui n’a jamais marcelé aucun.e herdélien.ne… Bàv, Marie Sasseur, je crois que c’est la même chose.

Marie Sasseur dit: à

La violence du vieux keuf n’aura pas fait que des victimes  » virtuelles « .

et alii dit: à

j’avais toujours cru comprendre ce que mon père voulait me dire lorsqu’il interprétait aussitôt « justice immanente », par exemple pour de violents maux de tête dont je déclarais que je ne pouvais ni mettre la table, ni me mettre à table;alors que une ponction lombaire confirma que c’étaient les effets d’une méningite:mon père persista, les douleurs aussi, et moi, je m’effondrai, de voir ma mort prochaine
pour vous littéraires, j’ai cherché « justice immanente » : »La justice immanente, ou justice poétique, est l’affirmation du lien nécessaire, inévitable, entre une mauvaise action et sa sanction, à brève ou longue échéance. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Justice_immanente#:~:text=La%20justice%20immanente%2C%20ou%20justice,%C3%A0%20br%C3%A8ve%20ou%20longue%20%C3%A9ch%C3%A9ance.

MC dit: à

L’honorable vicomte Theobald de Walsh ,légitimiste,consacra naguère une monographie indignée intitulée George Sand à la Dame de Nohant. La. Chose manqua son. But car il s’agissait d’un règlement de comptes avant tout Moral. Il se passe quelque chose de cette nature ici, quand on lit femme entretenue, etc. Est-on sûr après tout que Colette remplissait les critères de moralité de la Troisième? Et le plus important est-il la? Non bien sûr…

B dit: à

Wiki : Chaque fin d’année, le prix Nobel est attribué par l’Académie suédoise[6]. Celle-ci constitue ses nominations avec l’aide d’autres membres d’académies et de sociétés littéraires nationales et étrangères, d’éminents professeurs d’université en littérature, langue et linguistique, d’anciens lauréats du prix ou encore des présidents d’associations d’écrivains, représentant la culture littéraire de leurs pays[7].

MS, que l’on soit bien accueillant ou en révolte critique quant au choix du primé, force est de constater qu’il ne l’a pas cherché. Vous devriez adresser vos incessantes remarques au comité.

B dit: à

La justice immanente, ou justice poétique, est l’affirmation du lien nécessaire, inévitable, entre une mauvaise action et sa sanction, à brève ou longue échéance. »

Et comme tous avons péché nous devrions attendre des nouvelles de cette justice prompte à générer une introspection culpabilisante. Pensez-vous qu’en cas de confessions ( d’un masque) nous echappions aux douleurs, spasmes, migraines, boyaux en vrac? Qu’ai-je fait pour mériter ça?

et alii dit: à

Qu’ai-je fait pour mériter ça?
B? VOUS CHERCHEZ? COMME SI LA R2PONSE N’ALLAIT PAS DE SOI!
LIRE! ECRIRE!

et alii dit: à

d’ailleurs, je vous ferai remarquer, B? QUE C4EST CE QUE DISAIT MON PERE. LUI?IL LISAIT LE CANARD ENCHAÏN2? O% JE L4AVAIS ABONNE, c’était donc de ma faute!

et alii dit: à

où, je l’avais abonné

D. dit: à

Du repos, du sommeil, de la chaleur.

D. dit: à

D. dit: à

Patrice Charoulet, aimez-vous le cassoulet toulousain ?

J’ai bon espoir d’une réponse dans la journée.

et alii dit: à

cassoulet
mettre du vinaigre dans les fayots

et alii dit: à

et pour le mouton, on peut mettre du collier; ça fait des os à sucer, mais c’est bon

D. dit: à

A cette heure h de 12h, nous exportons plus de 2 gigawatts d’electricté vers le Royaume uni.

Français, coupez votre chauffage, faites cuire vos poulets la nuit.

D. dit: à

De la gueule de qui se moque-t-on ?

D dit: à

Le problème est bel et bien la mise en bourse de tout et tout à l’échelon mondial, avec l’UE en garde-chiourme de la bonne obéissance.
Vous voulez du doliprane pour votre gosse qui a 41 ? Eh pi quoi encore ? Pourquoi pas 20 degrés dans sa piaule tant qu’vous y êtes.
Soyez un peu solidaire avec la City et ses quartiers d’affaire, si proches de vous. C’est pas pour rien que vous avez choisi deux fois d’élire un ancien banquier. Faut mordre la poussière maintenant. Assumer ses actes électoraux. En attendant les rayons vides en janvier. Et n’oubliez pas l’Ukraine et ses belles parts de marché. Mais touchez pas. Avec les yeux seulement. Si vous n’êtes pas en bourse vous n’en toucherez pas un centime. Bien au contraire, ces centimes, on les multipliera par 9999 et on vous les prendra pour financer « La reconstruction ». Pauvres gens. Vous n’avez toujours pas, encore pas compris. C’est que vous ne comprendrez jamais et votre pays n’en a plus pour longtemps à être le vôtre. Sin pillage est savamment organisé et planifié. N’oubliez pas d’aller vous humilier dans l’isoloir, surtout.

et alii dit: à

Un ouvrage écrit par Christine Bard, avec des illustrations inédites de Lisa Mandel, comprenant 180 reproductions, est publié aux Éditions Paris Musées.
L’exposition « Parisiennes citoyennes ! » nous entraîne dans une ambitieuse traversée historique, de la Révolution française jusqu’à la loi sur la parité, sur les traces des luttes que les femmes ont menées à Paris pour leur émancipation.
https://www.carnavalet.paris.fr/expositions/parisiennes-citoyennes

#ParisiennesCitoyennes

Janssen J-J dit: à

je voulais dire de vos doigts effilés… Désolé.

(anecdote plate chez leclerc : au supermarché ce matin, en achetant ma mousse à raser, j’ai découvert qu’on vendait des crèmes et des ustensiles dépilatoires pour les parties intimes des hommes… Incroyable ! j’en revenais pas… Même en province, il y en a… Avant de m’en acheter, je voulais savoir si ma soeur ou certains erdéliens en ont l’usage, et si oui, s’ils en sont satisfaits… Merci de me dire, lcé. Bàv,

et alii dit: à

« J’écrirais pour mon venger ma race ».quand je relis ça, je ne peux me sortir de ma mémoire une expression entendue dans mon enfance d’ « une bonne chrétienne fille de paysans des pyrénées)pour une humilier une fillette de la ville à qui on l’envoyait:
parce qu’elle se croirait « sortie de la cuisse de Jupiter »

Patrice Charoulet dit: à

« La fonction de penser ne se délègue pas. » (Alain)

DHH dit: à

@closer
Sur votre citation latine (suite et fin)
Dépitée et même vexée de me trouver devant ce texte latin comme une poule devant un couteau, je n’ai pas voulu en rester là ;j’ai cherché. et trouvé
Ces quinze vers sont extraits d’un interminable poème, bien alambiqué et pesant , en l’honneur du mariage de Julia et Manlius ,un épithalame comme son titre l’indique.
Je n’ai pu trouver sur le net l’original latin ,mais seulement une traduction française(ci-dessous), qui m’a permis de reconstituer le texte exact ,dont les coquilles rendaient certaines phrases incompréhensibles dans la citation que vous en avez fait.
Ainsi,au lieu de «lunia » il fallait lire « Julia « ,au lieu de « ludicem » « judicem » ,au lieu de « nubet alite », »nube et alite »
Lorsqu’on pense à Catulle ce n’est pas ce genre de poème long et ampoulé qu’on a en tête ,mais plutôt ses pièces courtes- de la taille d’une version latine,- un peu trop précieuses sans doute ,mais plaisantes ;petits poemes d’amour minaudant autour la femme aimée , tel celui très célèbre ,sur la mort du petit moineau que chérissait sa belle .
Comment et pourquoi cet exrtrait apparemmentt sans interet ni signification tiré du poeme s’insere-t il dans la page de Coe ,où il apparaît ? merci si vous avez la réponse

La traduction
Comparable à Vénus, la déesse d’Idalie, lorsqu’elle se présenta devant le juge phrygien, Julie s’unit à Manlius, [20] vierge bonne sous de bons auspices ;
Ou, tel encore un myrte d’Asie, dans l’éclat de ses rameaux en fleurs, délices des déesses Hamadryades qui l’abreuvent [25] d’une limpide rosée ;
Va donc, porte ici tes pas, hâte-toi de quitter Thespies et les grottes de la montagne d’Aonie qu’arrose [30] d’une onde fraîche Aganippe.
Appelle dans sa demeure, dont elle devient la maîtresse, cette vierge qui soupire après son époux ; que l’amour l’enchaîne à lui par des liens pareils à ceux dont le lierre tenace enveloppe [35] un arbre de ses replis errants.

.

Phil dit: à

Brillant devoir dear Deashh qui redonnerait le goût du latin aux mauvais chrétiens si nombreux d’etalii. Virgule respiratoire sur le prestigieux blog à passou jivarisé par les ébats du jjj tentaculaire, jeu de mots, avec la marie soeur castrée.

Patrice Charoulet dit: à

Géraldine Muhlmann

L’émission consacrée à la philosophie sur France Culture a été longtemps animée par Raphaël
Enthoven, très connu de presque tous les Français. A suivi Adèle Van Reeth, qui est depuis septembre 2022 directrice de France Inter. Et c’est maintenant Géraldine Muhlmann qui la remplace.
Je connais des gens (généralement profs de philo) qui regrettent sa devancière. Elles ont des qualités différentes. J’apprécie pour ma part Géraldine Muhlmann, dont le CV est impressionnant. Je vais essayer de dire pourquoi je l’apprécie. Bien qu’elle soit à la fois agrégée de philo et agrégée de science politique, elle a une façon très claire, très gentille, très attentive de faire parler ses deux invités quotidiens, chaque jour différents et parlant sur des sujets variés.
Ce fut encore le cas, ce mardi 15 novembre 2022, où elle a donné la parole à deux spécialistes de
philosophie antique (stoïcisme ou épicurisme), Jean-Baptiste Gourinat et Etienne Helmer.
A la fin de l’émission, elle a remercié ces deux spécialistes, en leur disant gentiment : « C’était très éclairant. » En effet.
Il faut aussi remercier Géraldine Mulhmann.

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