Avec Aragon, une question de distance
Ces trente dernières années, l’éditeur Antoine Gallimard n’a eu de cesse de trouver un biographe qui veuille bien s’attaquer au monument Aragon. A ses débuts dans le métier, il avait bien connu l’écrivain dont il considère que l’œuvre est de celles qui dominent la littérature française du XXème siècle. Il essuya maints refus avant de convaincre le romancier Philippe Forest, à l’instigation du directeur de la collection Biographies/Nrf Ran Halevi. C’est que le personnage ne suscite guère l’empathie, alors même que son œuvre ne semble pas près de sortir du purgatoire trente trois ans après sa mort.
La somme que vient donc de lui consacrer Philippe Forest sous le simple titre Aragon ( (896 pages, 29 euros, Gallimard), un vrai livre d’écrivain malgré la rigueur des notes et sources, s’impose déjà comme la biographie de référence. Elle renvoie d’emblée au rayon des témoignages les deux précédentes, tant celle de Pierre Daix que celle de Pierre Juquin. Ceux-ci avaient pour eux d’avoir bien connu leur héros, et contre eux d’avoir bien connu leur héros. De plus, ils avaient tous deux été des apparatchiks, l’un culturel, l’autre politique. Ce qui n’est pas le cas de Philippe Forest. C’est dire à quel point le cas d’Aragon est, pour un biographe, emblématique. Sa réussite est une question de distance. Ni trop près ni trop loin. Il se tient à mi-chemin de l’ancienne et de la nouvelle génération, n’ayant été ni pro ni anticommuniste (il est né en 1962).
De son propre aveu, il n’a pas la tête très politique et reconnaît entretenir un rapport plutôt sentimental avec Aragon. Forest se tient également à distance de l’illusion biographique, ce confort dans lequel le présent juge rétrospectivement le passé. Il a fait sienne la réflexion de Milan Kundera selon laquelle la cécité dénoncée de ceux qui marchaient autrefois dans le brouillard est moins grave que la cécité de ceux qui ne tiennent pas compte aujourd’hui du brouillard de ce temps-là. Les fameuses circonstances. Pour réduire l’énigme Aragon, un homme qui s’était appliqué à se rendre incompréhensible, l’auteur a privilégié l’enquête par rapport au respect complaisant, tout en déléguant à un doctorant en histoire les recherches aux archives de la police. Il s’est laissé guider par l’admiration critique à seule fin de faire entendre la note juste.
Si toute cette vie se déroula sur le territoire de l’ambiguïté, c’est surtout aux tournants les plus politiques que son biographe est attendu : le stalinisme (en tenant compte de l’évolution de la résonance de l’adjectif « stalinien » au cours du siècle), le pacte germano-soviétique (et son fameux « Vive la paix »), son rôle au Comité national des écrivains, son attitude durant l’épuration, le silence sur le goulag etc Pas facile avec un écrivain qui plaide pour le mentir-vrai sans jamais sacrifier son souci du réel. D’ailleurs, si l’empathie du biographe va tout de même au styliste en Aragon, ce n’est pas pour sa technique mais pour sa vision du réel comme vertige face au vide, « ce grand vide où se défait toute conscience d’être soi ».
Forest souligne ce que le personnage peut avoir de « tordu », cynique et calculateur, joueur fasciné par le pari, accumulant des contradictions qui ajoutent à sa complexité. Lors d’une récente journée d’études à l’ENS, au cours de laquelle des aragoniens passèrent au crible le travail de Philippe Forest en sa présence, il fut souligné qu’il n’avait pas été un opportuniste pour autant et qu’il méritait que ne fussent pas confondus « sa conviction communiste et le parti communiste ». Peut-être ne faut-il pas avoir, comme son biographe, un mais des points de vue puisqu’il n’y a pas un mais des Aragons. Pas sûr que cette biographie, si réussie soit-elle dans la mise à nu du mouvement d’horlogerie qui les animait, ait pour autant réussi à les faire mieux aimer.
Daniel Bougnoux, l’un de ses éditeurs dans la Pléiade, parle même d’une « haine d’Aragon » : dépréciation et soupçon du côté des élites de gauche, exécration et mépris du côté de celles de droite. Cela a été vrai mais ce ne l’est même plus. Les enjeux liés au communisme ayant été emportés avec l’effondrement du mur de Berlin, Aragon et son œuvre souffrent désormais de l’indifférence, ce qui est pire.
L’Aragon de Forest a reçu un accueil critique abondant et laudateur. Deux rares journaux ont exprimé des réserves plus ou moins acides : l’Humanité et les Lettres françaises. Ils lui ont reproché son absence d’empathie politique. Un compliment, au fond.
(« Aragon, place de la Sorbonne, 9 mai 1968 » photo Claude Raimond-Dityvon ; « Aragon au milieu des années 20 » photo Man Ray)
1 014 Réponses pour Avec Aragon, une question de distance
christine butin dit:
à
« rien de pire que ceux qui veulent votre bonheur ici-bas ou dans l’au-delà – vous pouvez être sûr qu’ils vous préparent un enfer terrestre de tout premier choix. »
Ce qui compte, et on le sait bien, c’est le bonheur dans l’au-delà
lecteur assidu dit:
à
Daaphnée dit: 4 janvier 2016 à 19 h 27 min
« Le type à droite sur la photo a l’air un peu débile »
Il est bon public
Chaloux dit:
à
lecteur assidu dit: 5 janvier 2016 à 13 h 07 min
Aragon vient de l’inviter à déjeuner en lui promettant des criadillas. Il se pourlèche à l’avance.
D. dit:
à
Mon Cher Chaloux, je nomme la sonate 110 est La Sonate Pourquoi- Pourquoi pas ? Savez-vous pourquoi ?
D. dit:
à
Il faut enlever le ‘est’
le garçon qu"on appelait monsieur dit:
à
Le fayot est un cas d’école. Ah ça c’est sûr hein Jeannot ?
MC dit:
à
Après Télérama, le Magazine Littéraire, voici Marianne qui tire à opulets rouge sur la petite corvette edouardlouisienne.
Encore un journal que Clopine peut ne pas lire.
Mais cela risque de faire beaucoup, si le mouvement se confirme.
MC
Diagonal dit:
à
Classieux message en ce début d’année. A bons entendeurs…
« Avant de quitter la vie de ma propre volonté et avec ma lucidité, j’éprouve le besoin de remplir un dernier devoir : adresser de profonds remerciements au Brésil, ce merveilleux pays qui m’a procuré, ainsi qu’à mon travail, un repos si amical et si hospitalier. De jour en jour, j’ai appris à l’aimer davantage et nulle part ailleurs je n’aurais préféré édifier une nouvelle existence, maintenant que le monde de mon langage a disparu pour moi et que ma patrie spirituelle, l’Europe, s’est détruite elle-même. Mais à soixante ans passés il faudrait avoir des forces particulières pour recommencer sa vie de fond en comble. Et les miennes sont épuisées par les longues années d’errance. Aussi, je pense qu’il vaut mieux mettre fin à temps, et la tête haute, à une existence où le travail intellectuel a toujours été la joie la plus pure et la liberté individuelle le bien suprême de ce monde. Je salue tous mes amis. Puissent-ils voir encore l’aurore après la longue nuit ! Moi je suis trop impatient, je pars avant eux. » Stefan Zweig, Pétropolis, 22-2-42
bouguereau dit:
à
Si les bourgeois sont représentés par closer, cela peut se comprendre
et hen plus on se hairait comme pas popo..c’est comme mon larbin qui sniffe le beurre de charbon..haprés hon en veut à la terre hentière..des braves gars comme zouz..hon a envi de les pécho dans des caves et de les tenailler aux burnes..comme ça pour rien! et pas une once de dogmatisme lanedans pour le réconforter
bouguereau dit:
à
zweig cause trop..dogmatique toutça
bouguereau dit:
à
Marianne qui tire à opulets rouge
c’est mignon..des rubans rouges aux burnes
bouguereau dit:
à
Etre lucide: rien de pire que ceux qui veulent votre bonheur ici-bas ou dans l’au-delà – vous pouvez être sûr qu’ils vous préparent un enfer terrestre de tout premier choix.
houi..en même temps c’est la profession dfoi de l’individualisme pépère kabloom..que serions nous sans mains au cul et violation diverse..et haprés tu dis au petit je suis un self made man..selftaugh..hair connu..sonate à mon cul malade
clauser dit:
à
Maiakovski a eu une fille
bouguereau dit:
à
hon lit platon pasqu’on a été tout désigné pour ça..dans platon y’a toute la politique, mais c’est comme lui causant avec socrate, l’effort d’ubermèneche c’est de se voir entrain de le lire kabloom..
Clopine, définitivement un cas à part... dit:
à
Quand je relis le torchon de la page 48 (désolée, Pierre Assouline, mais je pense de plus en plus que c’est un torchon…), je trouve particulièrement malsaine et déplacée la mention du nom d’Edouard Louis. Le « journaliste » dit textuellement que « son vrai nom c’est Bellegueule », et après, utilisera les deux noms conjoints « louis-Bellegueule ».
Or, Eddy Bellegueule a obtenu le changement de nom. On aurait pu citer la chose en disant « Edouard Louis, de son premier nom Eddy Bellegueuele ». Mais non. Ce qui est dit, c’est « son VRAI nom ». C’est là (à côté des adjectifs comme « bâtard ») que la volonté consciente ou inconsciente de l’article affleure : il FAUT que le VRAI nom d’Edouard Louis soit « Bellegueule ». Beuark ! C’est ce genre de petite saloperie qui, d’emblée, me repousse….
bouguereau dit:
à
Ce qui est dit, c’est « son VRAI nom ».
si tu veux dire comme lassouline qui a dit une fois a jean marron que les jeux dmot digressif pas mélioratif sur les noms c’étoye une pratique d’estrême droite fort répandu around les années 30…là c’est pas l’cas du tout..escuse toi et fissa
bouguereau dit:
à
tiens bonne clopine au lieu de te faire ièche avec télérama chte fais un cadeau, rien que pour toi attation comme dit mon larbin..avoue qu’c’est un peu great
http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-201129/interviews/?cmedia=19299705
bouguereau dit:
à
chkiff roberto!
bouguereau dit:
à
c’est trop fort..quand j’ai un coup dmou..un coup d’roberto!..chuis certain à mort qu’aragon l’aurait rgardé en boucle..
Preuve à l'appui dit:
à
« les jeux dmot digressif pas mélioratif sur les noms c’étoye une pratique d’estrême droite »
Compris Chaloux.
Daaphnée dit:
à
N’importe quoi !
Quand je dis « Bouboug' » c’est très gentil.
Quand je dis « U. » c’est très entendu.
Si je dis « Clopine » .. Non, je ne dis pas Clopine. « Clocloche » à la rigueur, pour les Pâques .
(mais qu’est-ce qu’elle nous fait avec son Louis ??? Elle baille ?)
Chaloux dit:
à
Pieuvre à l’appui dit: 5 janvier 2016 à 14 h 29 min
Compris Chaloux.
Je trouve le point de vue de Pierre Assouline sur ce point très respectable et tout à fait justifié pour un homme de sa génération. Ce qui ne m’empêche pas de revendiquer le droit de m’amuser comme un petit enfant.
le garçon qu"on appelait monsieur dit:
à
En boucle chez les moutons pour faire le gros dos. FMais fais toi gonzesse pour assumer ton côté Jenner au lieu de pèter dans ta cave comme il faut dans le carbon copy club…
Chaloux dit:
à
Nous n’avons plus aucune idée de ce qu’était le discours du parti communiste français même au temps de son effondrement. Pierre Assouline avait donné dans son émission sur « Apostrophes » un extrait de l’émission où étaient réunis Marchais, Emmanuel Todd, F. de Closets et Bruckner. Que ceux qui le peuvent la regardent en intégralité, c’est un vrai morceau d’anthologie.
Je note d’ailleurs, en regardant les numéros d’Apostrophes disponibles sur le site de l’INA que Bernard Pivot laisse beaucoup plus que la pierre de touche d’une certaine nostalgie : un corpus qui à 25 ou 30 ans de distance permet de mieux comprendre ce qu’est notre temps.
le garçon qu"on appelait monsieur dit:
à
Marie Pervenche 222 pose à côté de son horodateur. C’est mignon…
Tout petit déjà dit:
à
Chaloux dit: 5 janvier 2016 à 14 h 42 min
le droit de m’amuser comme un petit enfant.
Mais vous n’êtes pas un petit enfant Chaloux, vous ne l’avez d’ailleurs sûrement jamais été,
vous êtes né vieux barbon.
Daaphnée dit:
à
Ce qui est respectable et amusant, avec du recul, c’est de voir que Marchais était un sacré tribun . Ce qui l’est moins, c’est de constater que toute la jeunesse pleine d’idéal qui l’a suivi s’est fracassée contre le mur de la réalité: le communisme n’allait être qu’une belle idée récupérable par les plus pourris des apparatchiks qui soient . La mafia .
Et de ces codes mafieux: les « frères musulmans » et autre Al Quaîda, EI – pour la dernière excroissance, version religion, en passe de se faire ratatiner.
Bon, anticipons .
De quoi avons-nous vraiment besoin maintenant ?
jem dit:
à
Ce qui surtout donne à réfléchir, c’est que tout cet électorat du PCF ne s’est pas volatilisé comme par magie. Désormais, il vote pour le FN. On sait très bien ce qu’il est devenu.
Et puis ne romantisons pas. A côté du PC, à gauche, il y avait d’autres partis alternatifs quelque peu plus honorables. Le pire choix n’était pas indispensable.
Sergio dit:
à
Bellegueule, Bellegueule… C’est encore le genre de gus à se trimbaler des plaques d’imm à pisser de rire… L’aute derrière i se marre tellement il file directos au fossé…
Sergio dit:
à
Daaphnée dit: 5 janvier 2016 à 15 h 11 min
De quoi avons-nous vraiment besoin maintenant ?
De fusées pour aller voir ailleurs si on y est ; on mettra D. à l’avant à côté du machiniste pour lui essepliquer où c’est…
je dirai même plus dit:
à
« anticipons .
De quoi avons-nous vraiment besoin maintenant ? »
soyons audacieux. on a beau dire, le tsarisme, la monarchie, ça a du bon; c’est bien on n’a rien trouvé de mieux cqfd
C'est bon pour la santé dit:
à
Sergio dit: 5 janvier 2016 à 15 h 23 min
Daaphnée dit: 5 janvier 2016 à 15 h 11 min
De quoi avons-nous vraiment besoin maintenant ?
Comme dab, baiser.
Cumulo dit:
à
je dirai même plus dit: 5 janvier 2016 à 15 h 26 min
Habituellement JC est à la plage à cette heure ci.
Sale temps sur la Méditerranée.
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
De moins de tout tout, mais bon, comme la priorité est de changer les commentaires du programme…
Monsieur Verdoux dit:
à
Les mémères ont déserté le blog à Sergio où demeurent les pieds pas nickelés: JC, bouguereau, Serdgio… on comprend pourquoi
le petit poucet dit:
à
Eric-Emmanuel Schmitt et Virginie Despentes élus au jury de l’Academie Goncourt … on avance un peu dans la diversité
Prix de gros dit:
à
Monsieur Verdoux dit: 5 janvier 2016 à 15 h 34 min
Le crétin de service aux multiples pseudos y passe son temps (comme chez Paul Edel) pour pouvoir déposer ses petites crottes ici.
Un joyeux mélange de J.Ch., Clopine, Chaloux et William Legrand réunis.
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
« on avance un peu dans la diversité »
Encore un bain de sang en vue ?
lecteur assidu dit:
à
Prix de gros dit: 5 janvier 2016
à 15 h 40 min
la concierge de service a causé (on s’inquiétait de son silence)
Ben mon colon dit:
à
Eric-Emmanuel Schmitt……….au jury de l’Academie Goncourt
C’est closer qui va être content.
Widergänger dit:
à
Mais Aragon a vécu en effet selon son idéal. Il aurait devenir très riche. Il n’en a rien été. Il s’est toujours montré très raisonnable au sujet de l’argent. Si vous croyez le contraire, c’est simplement que vous êtes mal informé ou que vous aimez le calomnier ou suivre aveuglément les calomniateurs. On ne peut rien reprocher à Aragon à ce sujet. Si vous ne comprenez pas qu’il est devenu communiste par idéalisme et aussi pour s’opposer à la classe sociale de ses origines, c’est que vous n’êtes pas capable de comprendre les enjeux d’une personnalité comme Aragon.
aheum dit:
à
en mon colon dit: 5 janvier 2016 à 15 h 45 min
Eric-Emmanuel Schmitt……….au jury de l’Academie Goncourt
et Virginie D…
D. dit:
à
Je suis d’accord avec widergånger.
Bloom dit:
à
Le jeune homme aux côtés d’Aragon semble boire du petit lait. Un militantisme aveugle (pléonasme?), comme dirait Marc Ferro, certes, mais heureux, épanoui…?
J’avais dans ma khâgne le fils d’un réformateur communiste qui ne jurait que par Heidegger et fumait une quantité faramineuse de joints. Plus tard, mon maitre es-Irlande du Nord fut (et est toujours) un de ces intellectuels de haute volée traduits devant le tribunal du centralisme démocratique pour « Thought Crime ». La pièce d’Arthur Miller sur les sorcières de Salem (The Crucible) qui dénonçait le Maccartysme, est parfaitement réversible.
Widergänger dit:
à
Espérons que les nouveaux arrivants au jury du Goncourt aient moins de goût pour les gros matous qui se prennent pour Joyce en confondant monologue intérieur et bavardage ; et moins de propension à s’agenouiller devant les tendances du marché planétaire de l’édition… avec des affiches publicitaires qui font honte quand on est français et qu’on considère que Balzac est un immense écrivain !
Sergio dit:
à
Monsieur Verdoux dit: 5 janvier 2016 à 15 h 34 min
demeurent les pieds pas nickelés
Hon a fait un iglou ! On est tellement bourré que… Ben la sortie elle s’est barrée, quoi !
Widergänger dit:
à
Qu’est-ce qu’on sait de la vie à vingt ans quand on est en khâgne ? Rien. Qu’est-ce qu’on est capable de comprendre de Heidegger ? Pas grand chose non plus…! Et je parle ici des meilleurs d’entre nous ! Ne parlons pas des autres, qui se vautrent dans la culture comme des bourgeois satisfaits…
Chaloux dit:
à
Tout est bon pour le cochon.
Sergio dit:
à
Pierre Juquin j’avais sa femme comme professeur d’allemand : ça rigolait pas des masses… Si c’est comme ça dans le Parti ! Les idéologues c’est des gars trop sérieux…
Enfin au moins c’était du bon allemand ça c’est sûr… Avé les subjonctifs ! Tous ceux qui existent que à la fin du bouquin…
Résumons..... dit:
à
‘Résumons’
est le roi des co.ns. (Wgg)
Je suis d’accord… mais moi, je simule…. certains ne se rendent même pas compte qu’ils le sont depuis tout petit et que ça se voit !
VIVE LA DIVERSITE QUI NOUS FAIT INEGAUX !
Sur ce, bonne soirée, les petits choux ! N’oubliez pas, aucune société animale n’est égalitaire, les mammifères humains n’y échapperont pas, et c’est merveilleux !
Résumons..... dit:
à
Ce que j’adore chez ARAGON : une vie de grand bourgeois communiste, entretenu comme une danseuse, engraissé sur crédit PCF, poète crapuleux, au service de crapules soviétiques.
bouguereau dit:
à
Les idéologues c’est des gars trop sérieux…
quand t’as la trique faut savoir rester sévère
bouguereau dit:
à
tu vois tout en rose jcié : aragon n’est pas que merveilleux..himagine toi ha la manoeuvre
bouguereau dit:
à
le cochon
n’omets pas que son sang sert a fixer l’or
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Et la touche CAPS LOCK c’est pour bien visser la casquette ?
bouguereau dit:
à
juquin..là d’accord..voilà un sesque symbol
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Rien de mieux que le globiche, ça permet d’écrire « village idiots » sans que plus personne regarde qui publie la photo.
bouguereau dit:
à
Virginie Despentes
roberto a ses chances..chus un fameux critique in advance..
Résumons..... dit:
à
Quittons nous sur un dernier orgasme littéraire et cinématographique drouanesque :
– Despentes, BAISE MOI,
– Schmitt, LES FLEURS DU CORAN
Erection générale ! Confusion charnelle ! Biroute en furie ! Goncourt en déroute !
bouguereau dit:
à
Bon, anticipons .
De quoi avons-nous vraiment besoin maintenant ?
dze markettingue rulez chez dafnoz
Daaphnée dit:
à
c’est peut-être une super idée
( dites, le Boug’, si vous traduisiez avec ma langue au lieu de la vôtre .. ce serait plus sûr .
)
Sergio dit:
à
le garçon qu’on appelait monsieur dit: 5 janvier 2016 à 17 h 27 min
Et la touche CAPS LOCK c’est pour bien visser la casquette ?
Il y avait des chanteurs, enfin un groupe, qui avait repris cette magnifique production du pays basque, mais alors qui…
Ah oui le béret, je veux dire, la casquette c’est Chirac…
Lacenaire dit:
à
Depuis longtemps, nous attendions un mot enfin aimable de MCourt; youpi le voilà : opulet rouge, c’est mignon
Sergio dit:
à
La langue c’est enrichi ou chargé ? Y a une nuance bon Dieu !
JC..... dit:
à
Pour saluer André Turcat.
Chaloux dit:
à
Jules se retourne. Edmond se retourne. Jules se retourne. Edmond se retourne. Jules se retourne. Edmond se retourne etc. etc. Ad libitum.
adrien dit:
à
Bloom dit: 5 janvier 2016 à 16 h 17 min
« Le jeune homme aux côtés d’Aragon semble boire du petit lait. Un militantisme aveugle »
A moins que ce soit un ricanement, de l’ironie ou de l’insolence, surtout que vu l’époque ( en 68 Place de la Sorbonne)
tal o'net dit:
à
Widergänger dit: 5 janvier 2016 à 1″6 h 19 min
» Balzac est un immense écrivain !
C comme Zadig et Voltaire, et aussi Cyra et No, et sans oublier ce brave neanderthal cromagnon
ayons pitié dit:
à
« certains ne se rendent même pas compte qu’ils le sont depuis tout petit et que ça se voit ! « 17h05
l e plus drôle c’est qu’le reptilien pov c.n de pq se croit intelligent
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Sergio, à l’époque de la société écran le couvre-chef peut faire vieux c.n mal entouré…
Bihoreau, duc de Bellerente dit:
à
La bonne foi d’Aragon est plutôt mise à mal hic et nunc, ce qui est rassurant. Sa sexualité aussi, mais là, qui sommes nous pour juger, comme l’a dit si bravement notre Saint Père le Pape, François pour les intimes. Aragon fut une plume divine, le reste est secondaire; secondaire, et non pas superfétatoire. Ses errements staliniens rappllent
Bihoreau, duc de Bellerente dit:
à
La bonne foi d’Aragon est plutôt mise à mal hic et nunc, ce qui est rassurant. Sa sexualité aussi, mais là, qui sommes nous pour juger, comme l’a dit si bravement notre Saint Père le Pape, François pour les intimes. Aragon fut une plume divine, le reste est secondaire; secondaire, et non pas superfétatoire. Ses errements staliniens rappellent ceux de tant de gens qui permettent le moindre mal au nom du bien, moindre mal qui salit ce bien vers lequel on tend mais qui permet tous les abus.
Léon Bloy et Bernanos connaissent bien ce dilemme.
DHH dit:
à
WWW dit à 10 h19
« les gros matous qui se prennent pour Joyce en confondant monologue intérieur et bavardage’
Ereintage bien senti de l’indigeste livre qui a eu le Goncourt
Bihoreau, duc de Bellerente dit:
à
Désolé, mon ordi s’affole, comme Aragon devant un beau garçon…
Sergio dit:
à
le garçon qu’on appelait monsieur dit: 5 janvier 2016 à 18 h 27 min
le couvre-chef peut faire vieux c.n mal entouré…
Surtout en le nouant… D’ailleurs ça doit pas être si facile à installer, ces trucs… Et puis sous l’intégral…
Sergio dit:
à
Bihoreau, duc de Bellerente dit: 5 janvier 2016 à 18 h 37 min
mon ordi s’affole
Linux est ton ami…
LOUIS ARAGON dit:
à
« Il y a là un jeu sérieux, qu’on aura peut-être un jour l’idée d’examiner de près, pour mesurer la marge qui existe entre le réel et l’inventé.
Le travail du romancier gomme pour ainsi dire cette marge, afin de ne laisser qu’une image détachée de lui ou de ses modèles, de ses pilotis.
Une image nette, un trait précis. »
Paul edel dit:
à
Despentes et schmitt a la table goncourt après Tournier,nourissier et semprun ça s appelle la chute
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
« Linux est ton ami… »
Rhooo, zut, avec BSD faut aller chercher un parapluie en Bulgarie halors…
remi dit:
à
Bloom 16 h 17 min
« Le jeune homme aux côtés d’Aragon semble boire du petit lait. Un militantisme aveugle »
non, il s’est fait huer ce jour là ( la photo (voir la légende sous le billet): place de la Sorbonne, 9 mai 1968 )
‘Ce jour là, jeudi 9 mai. Aragon, vous êtes vieux. Place de la Sorbonne, le Fou d’Elsa se fait huer par les étudiants. ‘
http://www.liberation.fr/cahier-special/1998/05/09/special-mai-68-ce-jour-la-jeudi-9-mai-aragon-vous-etes-vieux-place-de-la-sorbonne-le-fou-d-elsa-se-f_238374
al-bukhari dit:
à
Que se passe-t-il chez les Dix petits nègres du jury Goncourt?
Bientôt, il ne restera plus que Pierre Assouline?
Lucien Bergeret dit:
à
« Le jeune homme aux côtés d’Aragon semble boire du petit lait. Un militantisme aveugle » selon Bloom (5 janvier 2016 à 16 h 17 min)
« A moins que ce soit un ricanement, de l’ironie ou de l’insolence, surtout que vu l’époque ( en 68 Place de la Sorbonne » selon adrien (5 janvier 2016 à 18 h 23 min)
La version d’adrien parait la plus vraisemblable.
Golem dit:
à
« Bientôt, il ne restera plus que Pierre Assouline? »
C’est lui l’assassin ?
le garçon qu"on appelait monsieur dit:
à
Il suçait pas le mobilier urbain avec de la vaseline non ?
Jacques L dit:
à
il n’a pas été reconnu par son père !
adrien dit:
à
Lucien Bergeret dit: 5 janvier 2016 à 19 h 07 min
il s’est fait huer !
Golem dit:
à
Et sa mère se faisait passer pour sa soeur et sa grand-mère pour sa mère, ça laisse des traces !
D. dit:
à
Merde, hier Galabru, aujourd’hui Turcat.
Tous les grands types s’en vont, ne restent que les moyens et les petits.
bouguereau dit:
à
sois pas si dur avec toi dédé
bouguereau dit:
à
La version d’adrien parait la plus vraisemblable
celle de vdlb..il voyait aussi lassouline derrière qui montrait sa bite..il a de bons yeux
Sergio dit:
à
le garçon qu’on appelait monsieur dit: 5 janvier 2016 à 18 h 51 min
« Linux est ton ami… »
Rhooo, zut, avec BSD faut aller chercher un parapluie en Bulgarie halors…
Cela fait quatre ans que j’ai lâché Solaris pour cause d’Oracle ; pour Linux, donc, tant qu’à faire, puisque tous les machins un peu comac (3D, son) sont écrits pour Linux. Mais je le sais bien, qu’il reste encore BSD comme « true Unix » ; de temps en temps je vais voir… Ca doit être ça l’espèce de mélancolie portugaise !
bouguereau dit:
à
Léon Bloy et Bernanos connaissent bien ce dilemme
vrai mais léon s’est pas géné pour ouvrir la boite des pandores..pas nonos !..l’probloc c’est qu’eux y avaient connu les sataniss..et satan la bite !..hévidemment dans la haute on prenait ça au premier degré..au pire en haut d’étretas..mais sans plus..henfin à peine
bouguereau dit:
à
Il suçait pas le mobilier urbain avec de la vaseline non ?
c’est une question génante
bouguereau dit:
à
après Tournier,nourissier et semprun ça s appelle la chute
tu vois le mal partout polo
bouguereau dit:
à
secondaire, et non pas superfétatoire
t’as dit ça seulement pasque ça rime avec suppositoire..
bouguereau dit:
à
La bonne foi d’Aragon est plutôt mise à mal hic et nunc
hic mettons..mais nunc ça rime à rien
Paul edel dit:
à
Bouguereau c etait mieux avant passe une bonne soirée ca peut pas etre pire que le choix d enard
al-bukhari dit:
à
Un normalien dramaturge, c’est plus fort que moi.
Ça m’fout l’cafard.
(Il n’a pas fait aussi une pièce, Lévy?)
D. dit:
à
Qu’est-ce que c’est que ce Charabia, Sergio ?
Vous êtes lu ici par des littéraires, croyez-vous qu’on va vous comprendre ?
la vie dans les bois dit:
à
Dis rémi-adrien, quand t’es passé au Grand Hôpital, c’est une lobotomie qu’ils t’ont fait à toi, nan?
Tu sais pas lire les commentaires du blog-à-Marie?
Bloom dit:
à
non, il s’est fait huer ce jour là ( la photo (voir la légende sous le billet): place de la Sorbonne, 9 mai 1968 )
‘Ce jour là, jeudi 9 mai. Aragon, vous êtes vieux. Place de la Sorbonne, le Fou d’Elsa se fait huer par les étudiants. ‘
—
Autant/Au temps pour moi.
la vie dans les bois dit:
à
On dit merci qui ?
Merci le photographe.
Bloom dit:
à
ML, l’Heideggerien a cartonné en philo au concours. Il est guide culturel à Los Angeles Bikers, à Pasadena, Californie. Easy rider!
Widergänger dit:
à
Ce qui serait drôle, c’est qu’à la place Schmitt, ils aient élu Glodschmidt… père ou fils d’ailleurs, peu importe, alors là, mes pauvres enfants, c’aurait été non pas la mauvaise despente ni la chute, mais la bérézina…
Schmitt, c’est un gentil, un peu gnangnan, qui écrit de belles histoires d’hôpital pour les petits zéfants. À la base c’est un désagrégé de philosophie, normale sup Ulm, la grosse caisse, quoi… l’a fait une thèse en plus, le gnangnan, une thèse sur Diderot. Pour vous en parler (mais je l’ai dans ma bibli), une petite anecdote : un jour à Nanterre, y avait Diderot au programme de l’agrèg. Le prof qui faisait le cours d’agrèg sur Diderot, c’était évidemment en ce temps-là Michel Delon. Au début de l’année, on commence le cours en général par donner aux agrégatifs une bibliographie de travail. À un moment, le Delon (Michel), il relève la tête et nous dit : Surtout n’achetez pas la thèse d’Emmanuel Schmitt, c’est un contre-sens complet sur Diderot… Je l’ai acheté, je l’ai lue. C’est bien fait, y a pas de doute, travail sérieux et tout et tout mais c’est très surfait en effet… Il ne voit pas que Diderot fait en fait de la philosophie une annexe de la poésie. Comme Clément Rosset, il a écrit sur Diderot dans l’Anti-nature, je crois bien ; mais il ne comprend pas lui non plus toute la part poésie dans la pseudo-philosophie panthéiste de Diderot. Il pense trop Rosset, sur ce coup. Au fond il le voit comme un faux matérialiste, un faux penseur tragique du hasard ; là il a raison, mais il est incapable de penser la part étincelante de Diderot, la poésie de la raison dans sa pensée, qui est essentiellement d’ailleurs une pensée de l’énergie comme l’a bien montré Chouillet.
Widergänger dit:
à
Heidegger mène à tout…!
Char à bias dit:
à
Heidegger mène à tout…!
Et à rien aussi…
D. dit:
à
Est-ce que Heidegger mène à une bonne galette des Rois, Michel ?
Parce que j’en ai mangé une excellente offerte non pas par Heidegger mais par ma chef Sophie pour qui j’ai, je l’avoue, un gros faible depuis plusieurs années. Seulement elle est mariée avec des enfants donc il ne se passera jamais rien. Et c’est bien pieux ainsi.
J’adore la galette des Rois, c’est vraiment quelque chose pour quoi je craque très facilement. A condition qu’il s’agissat d »une
D. dit:
à
galette de qualité, ce qui était le cas.
Bihoreau, duc de Bellerente dit:
à
Merci de me le rappeler, demain les Rois, ou l’Épiphanie. Balthazar, Gaspard, Melchior, souvenirs d’école. De nos jours, on pense galette et fève – ou autre objet – pour déterminer qui sera le souverain l’année durant.
Sergio dit:
à
D. dit: 5 janvier 2016 à 20 h 13 min
Vous êtes lu ici par des littéraires, croyez-vous qu’on va vous comprendre ?
On pourrait commencer par le jeu d’instructions du Motorola 6809… Havec des travaux pratiques ! Une petite lampe qui s’allume…
Zoon dit:
à
Les amoureux du clodo de Meudon peuvent la mettent en veilleuse. (Bloom)
Bloom daube sur les romans de Céline pour des raisons extra-littéraires. Moi qui, n’étant pas Juif, puis plus aisément que lui n’être en rien gêné par ses écrits antisémites pour admirer ses romans, j’ai toujours été persuadé que les tentatives romanesques d’Aragon ne faisaient pas le poids face au génie célinien. Le meilleur Aragon est dans sa poésie, pas dans ses romans. La série des « Communistes » n’est qu’une resucée post-naturaliste aujourd’hui parfaitement indigeste. Les romans parus après la guerre, s’ils ne sont pas sans mérites, trahissent trop souvent la tentative d’Aragon pour prendre le train en marche du nouveau roman. en revanche, l’homme qui appela à « luxer les Juifs au poteau » fut en même temps, et malgré ses délires antisémites, le romancier le plus génial de son époque avec Proust (qu’il détestait; il faut dire que les grâces proustiennes n’étaient pas son genre). Pire pour les anticéliniens : Céline est proba
Zoon dit:
à
Pire pour les anticéliniens : Céline est probablement le seul romancier français du XXe siècle dont l’oeuvre ait constamment progressé : de la première tentative du « Voyage » à la magistrale trilogie allemande, que de chemin !
Ya pas d'âge dit:
à
Widergänger dit: 5 janvier 2016 à 20 h 58 min
Schmitt né en 60 alors que WG est né à la fin des années 50 a écit une thèse que WG a étudié à Nanterre.
Soit l’un est tès précoce, soit l’autre est très en retard.
Encore que, les deux soient possibles.
Pourquoi pas GD, la Place Gaillon ça le connait dit:
à
EES, naturalisé belge.
Pour des raisons fiscales ?
Zoon dit:
à
A propos des pamphlets antisémites de Céline, on n’a pas assez souligné que « Bagatelles pour un massacre » est un des chefs-d’-oeuvre de la littérature comique du XXe siècle, justement en raison de ses délires antisémites . Comique involontaire, dira-t-on, mais comique tout de même. Je me souviens d’avoir sangloté de rire, plié en deux à la lecture de plus d’une page, tant la pseudo-argumentation anti-juive de Céline me paraissait burlesque. C’est d’ailleurs, je crois, l’effet que le livre avait produit sur André Gide. On est aux antipodes de l’imperturbable sérieux des collaborateurs de « Je suis partout », d’un Brasillach, d’un Darquier de Pellepoix ou d’un Rebatet. Dans l’oeuvre d’Aragon, il manque sans doute un poème ou un roman stalinien de facture résolument burlesque. C’est sans doute ce qui manque le plus à cet écrivain : l’humour et l’autodérision. Dès le milieu des années 20, il était beaucoup trop imbu de lui-même et de la conviction de la gravité de l’entreprise bolchevique pour faire dans ce registre, même involontairement. Jusqu’à « Anicet », au « Paysan de Paris », Aragon est un écrivain passionnant. Après, c’est la double et calamiteuse conversion à Elsa et au Parti. Ce bâtard qui ne s’en est peut-être jamais remis me fait penser à Frossard : « Dieu existe : je l’ai rencontré ».
Chaloux dit:
à
J’avance sur Aragon. Je ne l’estime pas davantage, mais je vois que les problèmes posés, notamment l’enfermement dans le communisme, ont des origines plus intéressantes que je n’aurais cru.
Bloom dit:
à
Le Brun-Rouge a raison: l’antisémitisme est tordant. D’ailleurs 6 millions en sont morts de rire, dont certains grâce à l’humour bienveillant du clodo crapuleux de Meudon.
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
« La langue c’est enrichi ou chargé ? Y a une nuance bon Dieu ! »
Euh… Faut compter les anneaux ???
Non mais quel artiste! Ah que ton marteau il vaut pas un clou tu vas nous chialer en brandissant ta cloueuse avé les diodes comme un pont de la Pentecôte sur le côté. Tout ça rien que pour te donner un bon teint de daïmonisé. Et sans rien risquer: si ça sent trop fort t’as qu’à dire que c’est l’Ardour qui a pèté, d’toute façon dans les doubles silences les hurlements viennent en foule s’installer spacieusement, personne entendra gueudale…
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Va apprendre à Clopine comment qu’on fait des bulles qui ont la taille d’une place de foire. Des fois qu’elle saurait pas déjà.
Daaphnée .. dit:
à
Bloom reste bloqué sur Celine …
C’est curieux, cette manie des procès par des juges auto-proclamés ..
( Oulala ! Il semblerait qu’il y ait eu des orages, la modération joue à plein ..)
Avec ça, je ne sais toujours pas si U. a lu le bouquin de Georges Corm, Pour une lecture profane des conflits, dont voici la présentation:
»
C’est à une réflexion de fond qu’invite Georges Corm dans ce livre, pour comprendre les logiques de guerre qui déchirent le Proche et le Moyen-Orient depuis la fin de la guerre froide. Des conflits le plus souvent justifiés par la thèse débilitante du « choc des civilisations » et de la lutte contre le terrorisme « transnational » islamiste. Popularisée dans le monde entier, cette thèse a imposé une vision binaire du monde qui n’en finit plus d’enfler, au point de fabriquer toujours plus de violence.
Prolongeant les analyses historiques remarquablement documentées de ses livres précédents, Gorges Corm donne ici les clés décisives pour comprendre les mécanismes ayant permis depuis les années 1990 de paralyser les oppositions aux guerres injustes et d’étouffer la pensée objective du réel et de ses complexités : la puissance des représentations médiatiques (et académiques) portées par l’imaginaire du « retour du religieux », la manipulation de la mémoire et de l’histoire, l’instrumentalisation de prétendues valeurs politico-religieuses pour susciter des conflits, la relation perverse entre les intérêts géopolitiques de certains États et leur prétention à défendre dans l’ordre international des idéaux religieux, l’application sélective du droit international aux situations conflictuelles.
D’où l’accent mis dans ce livre, à la fois très personnel et rigoureux, sur la nécessité d’une lecture profane des conflits face aux « fanatismes civilisationnels » et sur la problématique de la laïcité et de la liberté, dans sa version républicaine « à la française ». »
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
« Dieu existe : je l’ai rencontré »
D’après le portrait-robot il se trimbale un triangle de panne sur la tête et il est armé, son image crédible hein.
Bloom dit:
à
Bloom reste bloqué sur Celine …
—
L’infamie De(s)tou-chienne est inépuisable.
Loin d’être « bloqué », tranquillisez-vous – je suis ces temps-ci aux antipodes du clodo de Meudon, en compagnie d’une grande écrivaine à qui je dédie mon prochain ouvrage. Quel bonheur!
Résumons..... dit:
à
Il est indispensable, pour faire joli, de détester Céline car il appelle au meurtre des Juifs.
Il est indispensable, pour faire gentil, de tolérer des Livres Saints qui appellent aux meurtres des mécréants.
Deux poids, deux mesures …
Rappelons que la liberté d’expression doit être une et indivisible ! Sinon c’est de la fourberie, pure et simple !
Daaphnée .. dit:
à
je suis ces temps-ci aux antipodes du clodo
Mmmm .. Grand bien vous fasse, Bloom !
Mais attention quand même, l’adoration du Veau d’or est péché ..
Zoon dit:
à
l’antisémitisme est tordant. D’ailleurs 6 millions en sont morts de rire (Bloom)
Tant que ça ou si peu que ça, c’est une question de point de vue. C’est en tout cas un sérieux défi à relever pour nos jeunes gens de l’E.I., qui n’ont oeuvré, jusqu’à présent, qu’à une échelle dérisoirement artisanale.
geo dit:
à
Tous les livres qu’Assouline recommande me tombe des mains.
Les Prépondérants,lourde machine improblable à l’eau de rose, Boussole, écrit du pied gauche et d’un ennui colossal, et maintenant le Forest sur Aragon, pesantissime et qui n’apporte rien sur le sujet qu’on ne savait déjà,sauf une prolifération de détails inutiles(même impression avec le Fouchet de Waresquel).
Amateurs d’Aragon, lisez ou relisez le Roman inachevé! Amateurs de Fouchet,lisez ou relisez Zweig! Amateurs d’Orient, lisez ou relisez Nedjma de Kateb Yacine!
Chaloux dit:
à
Bloomy.
« à qui je dédie mon prochain ouvrage »
C’est une sage décision de t’être mis à la couture.
Chaloux dit:
à
Entre le Fouché de Sweig écrit à partir de celui de Madelin (il l’a dit lui-même) et celui de Waresquiel, il n’y a tout de même pas photo.
bouguereau dit:
à
écrit du pied gauche
..une bonne grosse main calleuse..qui a bêché..nourri les bêtes..fait les litières..qui sniffe encore l’étable..
bouguereau dit:
à
même si hon peut te reconnaitre dla sincérité kabloom l’probloc c’est dfaire dla litterature une extension du domaine de ses luttes..on les dessert car on les menace vite du ridicule..on est pas un rempart..hon est une brêche..
bouguereau dit:
à
c’est pas pareil que mon larbin qui voit dans la femme des repasseuses et des couturière..des larbines..poigner vilain!
bouguereau dit:
à
Rappelons que la liberté d’expression doit être une et indivisible ! Sinon c’est de la fourberie, pure et simple !
elle est fourbe pas essence jicé, dailleurs c’est comme ça qu’hon vérifie qu’helle existe..pas prope sur elle..trés souvent la salope
bouguereau dit:
à
poigner vilaine!
bouguereau dit:
à
D’après le portrait-robot il se trimbale un triangle de panne sur la tête et il est armé
..un peu qu’il est à la nra.. »c’est pas l’arme qui tue c’est le doigt qu’appuie sur la gachette »
Bloom dit:
à
l’adoration du Veau d’or est péché ..
—
Image quelque peu malheureuse…La dame n’a rien d’un bovidé.
Et puis c’est chez les disciples de Bacchus que l’adoration du Verre d’eau est haram!
Cela dit, me mettre du péché dans un jardin d’innocence où poussent cocotiers, bananiers, manguiers & goyaviers, c’est très exotik.
christiane dit:
à
@bouguereau dit: 6 janvier 2016 à 9 h 17 min
Après avoir déchiffré, défriché votre prose je trouve votre pensée extrêmement juste. La « brèche »…
Il y a effectivement un décalage entre les billets littéraires du « probloc » (enthousiastes à 90%) et les réactions progressivement négatives des « intervenautes ». Des livres souvent inconnus, car rarement publiés au moment où le billet tombe, incitent à évoquer l’auteur plus que le contenu du livre ou le genre du livre (roman, biographie, essai….). Viennent ensuite les retours de vagues, parfois mécontentes de lecteurs de ce livre qui n’ont pas trouvé le bonheur promis. On reparle alors du livre évoqué antérieurement.
En dehors de ce blog, j’ai fait souvent auusi cette expérience. On s’attache à la plume du critique plus qu’aux livres évoqués. On entre dans le charme d’une écriture, d’un tempérament. Ils sont honnêtes, ces critiques. ils aiment vraiment les livres dont ils parlent mais leur lecture est aussi orientée que la nôtre. Un solide bagage de lecteur, une connaissance approfondie des œuvres de l’auteur évoqué ou un coup de foudre pour un ovni leur font prendre la plume.
Entre les critiques littéraires, les universitaires, les prof, (les blogs !), il y a plus de critiques à lire que de livres d’auteurs. Et quand les médias (radio/télé) s’en mêlent : nouveau dévoiement : la personnalité de l’auteur est disséquée. Rien n’est gommé de ses forces ou de ses faiblesses, de son apparence, de son langage. On entre dans le monde du spectacle auquel l’émission « Apostrophes » n’a pas échappé.
C’est la lecture qui a changé ! Difficile de rester comme Montaigne, près de sa bibliothèque, de lire et relire les anciens, des écrivains aimés. Nous devenons, comme l’insecte attiré par la lumière des lampes, happés par la nouveauté, le livre dont il est dit qu’il est (superlatifs en cascade !) indispensable.
C’est cela aussi la brèche, Bouguereau.
Sant'Angelo Giovanni dit:
à
…
…bizzare, tout va bien,!…
…
…pourtant, la sécurité des transactions bancaires,!…j’ai cloturé ma carte Visa, l’année dernière,!…
…
…des grosses escroquries sur mon compte,!…et mis en plus à découvert,!…
…
…mystères,…systèmes de hakhers de quels pays,!…télé-satelites,…banking,!…
…
…de quels pays, des escrocs aux coins des rues, avec des systèmes de dextérités technologiques,…pour s’approprier nos sous,!…
…quelle sécurité dans nos transactions, ou simples portes ouvertes aux dealers, dans la mondialisation en gestion,!…etc,!…
…
…Oui,!…et Aragon,!…Na,!Na,!…passionnant,!…etc,!…
…
…mystères des Trust’s aux vents,!…une autre crise de voleurs,!…samaritains,!…
…Ah,!Ah,!…etc,…
Hadrien dit:
à
Très bonne chronique du livre d’Edouard Louis dans le Télérama favori de MCourt
D. dit:
à
Il n’y a aucune raison qu’on en arrive à parler de Céline avec Aragon comme point de départ. C’est insensé.
Résumons..... dit:
à
« Ils sont honnêtes, ces critiques. » (Christiane)
Euh…oui…oui…c’est cela…! c’est cela mêmeuh …! Libres et indépendants du milieu.
al-bukhari dit:
à
Daaphnée .. dit: 6 janvier 2016 à 6 h 23 min
Avec ça, je ne sais toujours pas si U. a lu le bouquin de Georges Corm
Pas lu celui-là.
Ce n’est pas un historien qui se risque à la politique, c’est un politique qui creuse dans l’histoire, pour souligner toujours la complexité infinie du Levant (pourquoi ne pas reprendre ce vieux nom en ces temps de démembrements/ remembrements): vous saviez que c’était complexe, eh bien ça l’est encore davantage.
L’histoire, la discipline par excellence pour abaisser périodiquement le niveau de connerie générale quand on parle des peuples et des cultures!
Mais elle ne suggère rien sur la décision politique qui est d’une autre nature.
J’ai colloqué avec lui: élégance extrême, tristesse sous-jacente (secret désespoir peut-être devant les beautés foutues en l’air?).
Un gentleman.
bouguereau dit:
à
Il n’y a aucune raison qu’on en arrive à parler de Céline avec Aragon comme point de départ. C’est insensé.
hallons dédé..pour bien se garder à gauche on se garde à droite..et hinversement..lecteur impécabe
Paul edel dit:
à
La critique d Édouard louis dans Teleramage manifeste davantage de perplexité que d enthousiasme et fait ce que tout critique perplexe fait:raconter le livre et les intentions de l’auteur. Bref d’y jesuitisme.
al-bukhari dit:
à
Je me souviens d’avoir sangloté de rire, plié en deux à la lecture de plus d’une page, tant la pseudo-argumentation anti-juive de Céline me paraissait burlesque. (Brown)
Oui, l’expérience de lecture est bien celle-là, c’est extraordinaire.
Mais quand on a repris son sérieux, il y a un p’tit passage à vide pas agréable avant de passer à autre chose.
bouguereau dit:
à
faut pas confonde cricri entre la valoristion de ce qu’aime ou pas le lecteur et donc sur la promotion de son gout d’honnête homme et le travail de critique..bien sur cricri qu’y’a gros recouvrement depuis phil et l’internet inverti pisque le lecteur et l’honnête homme se perçoivent dorénavant comme une « microentreprise »..ce qu’un critique est bon an mal depuis toujours.. d’où polo et dracul for exempeul qui cause d’autor..lassouline fait pas lmême boulot..pardonne si un petit marxiss léniniss comme moi a du mal a sfaire comprende
Résumons..... dit:
à
Comment en arrive t on à autoriser la publication d’un livre d’Eddy Bellegueule ? C’est un scandale !
Un ouvrage de phiotte qui drague les harabes dans la rue à 4 heures du matin, qui se fait enphiler, soi-disant violer la chochotte, victime consentante… ce qui est contraire à la bienséance de nos sociétés, à la morale divine, et au bon sens de nos ancêtres qui sont morts pour défendre nos libertés hétérosexuelles !
…et ne me dites pas qu’il y a dans ce propos raisonnable, une once d’homophobie et d’islamophobie… personne ne vous croira !
bouguereau dit:
à
..c’est qut’es plus honnête homme que jean marron qu’a rien qu’une sensibilité d’untermensch..n’insiste pas trop la dessus zouz
al-bukhari dit:
à
bouguereau dit: 6 janvier 2016 à 10 h 58 min
pardonne si un petit marxiss léniniss comme moi a du mal a sfaire comprende
Cinq sur cinq, espèce de révisionniste.
bouguereau dit:
à
fais gaffe jean marron..un mot à mon larbin..une lettre recommandé à lassouline..et crac t’es dans l’wagon plombé..
Résumons..... dit:
à
Marine et nous, ses phidèles serviteurs, nous frapperons phiottes et ghouines françaises de déchéance nationale dès notre arrivée au pouvoir !
Halte au terrorisme homosexuel ! Vive l’hétérosexualité, conduisant les familles nombreuses à la procréation jouissive.
bouguereau dit:
à
le lecteur n’est pas un honnête homme..vla en gros c’qu’on peut déduire clairment du 20eme siéque..on rvient à la casuistique du moyen age..et faut avoir l’coeur bien accroché cricri..et grossièrement c’est pour son bien..à l’homme..à la femme..hum au moyen age y disaient que ça pouvait lui donner bien trop d’idée satanique
al-bukhari dit:
à
Résumons….. dit: 6 janvier 2016 à 11 h 07 min
Vive l’hétérosexualité, conduisant les familles nombreuses à la procréation jouissive.
Il y a quand même un probloc comme dirait b., c’est que les familles nombreuses ça fabrique toujours quelques p’tits pédés pas catholiques.
Résumons..... dit:
à
Nous traquerons les écrits des phiotteux homosexuels dans les plus petites bibliothèques de village, en commençant par Beaubec, en finissant par celle du Collège de France.
Nous saisirons les livres honteux et les brûlerons à la Saint Jean dans d’immenses bûchers vertueux ! … Plus tard, nous attaquerons les onanistes, adeptes du gaspillage !…
al-bukhari dit:
à
Camarade JC, vous avez pour la passivité et la féminisation le mépris d’un bédouin!
al-bukhari dit:
à
Résumons….. dit: 6 janvier 2016 à 11 h 12 min
Plus tard, nous attaquerons les onanistes, adeptes du gaspillage !…
Qui vise ma queue trouvera mon Opinel.
bouguereau dit:
à
quelques p’tits pédés pas catholiques
hassez! hassé dhantisémitisme
Résumons..... dit:
à
Camarade ueda, les p’tits pédés catholiques sont moins visibles que les p’tits pédés cathodiques …
Il faut que la future chasse aux pervers amoraux les conduisent à regagner leur terriers kafkaïens, qu’ils se cachent en tremblant de leurs petits membres, qu’on ne les voit plus se pavaner derrière leur bannière de la Honte…
Vive Jésus !
Résumons..... dit:
à
Onan ! Onan ! Onan, peut plus ….
bouguereau dit:
à
dpuis qula bonne litterature des hommes se fait pus avec de bons sentiment la lectrice devraient se tuer a la tartufrie ha la fin bonne clopine à le fondement qui lui lache c’est physiologique
al-bukhari dit:
à
Résumons….. dit: 6 janvier 2016 à 11 h 17 min
qu’ils se cachent en tremblant de leurs petits membres
L’Asie tousse.
bouguereau dit:
à
Vive Jésus !
à mort! à mort! libélé balabas !
al-bukhari dit:
à
bonne clopine à le fondement qui lui lâche
C’est quelque chose d’épouvantable.
al-bukhari dit:
à
Tous féministes sur ce blog, mais avec ce chouia de misogynie sans lequel il n’est pas de conversation entre gentlemen.
al-bukhari dit:
à
La conversation ça commence un peu fluté, un peu mademoiselle de Scudéry, ça finit par une consternation partagée et hilare sur les bonnes femmes.
bouguereau dit:
à
C’est quelque chose d’épouvantable
c’est dla critique par hanticipation..c’est pas arrivé encore..peut être une équipe d’expendable avec bruce willis schwarzi et sylvestère..faut faire une cheklist
al-bukhari dit:
à
Lors d’une récente journée d’études à l’ENS, au cours de laquelle des aragoniens passèrent au crible le travail de Philippe Forest en sa présence, il fut souligné
On est saisi à lire ça d’une immense lassitude.
Pas encore guéri de la colloquite.
Résumons..... dit:
à
Le Bon Féministe, c’est celui qui connaît la misogynie, le machisme, par le menu sinon où est le mérite ?
bouguereau dit:
à
par le menu sinon où est le mérite ?
grace a toi le bien te passe sur le corps et il triomphe jicé..c’est beau
al-bukhari dit:
à
Des agressions sexuelles «de masse» choquent l’Allemagne (journaux)
Ça ne me choque pas le moins du monde.
Je comprends parfaitement ces garçons qui suivent à la lettre le chemin qu’on leur a tracé.
Attendez-vous, imbéciles, à des actes à plusieurs zéros.
al-bukhari dit:
à
Arrivé à petites foulées avec quelques milliers de vieux potes, sans avoir le temps de poser le sac, au sein de cette chair propre et tranquille, moi aussi je ne penserais qu’à ça.
La main au cul.
al-bukhari dit:
à
On vous faisait rêver d’argent?
Et vous constatez que vous comptez pour du beurre?
Prenez le cul des fermières, frères, je suis totalement de votre côté!
christiane dit:
à
@bouguereau dit: 6 janvier 2016 à 10 h 58 min et « résumons », plus bas.
En gros vous ciblez certaines critiques de livres comme étant promotionnelles dans un monde où des services s’échangent… Oui, ça existe. Ça se sent tout de suite à la lecture et on passe… à d’autres lectures.
Vous mettez à part les critiques de deux chardons que j’aime lire et qui m’ont fait connaître bien des livres… Oui, intègres, passionnants, doués mais… infréquentables !
Bon, je continue, en bonne tête de mule, à suivre mon chemin de traverse dans les livres et ce sont les meilleurs heures de ma vie.
al-bukhari dit:
à
L’apparence des agresseurs «ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous», a renchéri le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière.
Aujourd’hui on ne fait pas plus con que les Allemands, c’est notre avant-garde.
De Maizière, vieille famille huguenote passée par la Prusse et la DDR.
Ah c’est de la bonne race.
La Prusse c’était nous, retournée comme un gant.
Clopine, définitivement un cas à part... dit:
à
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Bordel le zouze et le jissé, leur masque à plusieurs zéros de têtes de noeud au bout de la teub qui roupille en rigolant pendant des lustres et leurs manières de gonzesses sans privilège de pouvoir y goúter malgré le très long effort de dressage… Les femmes et les papes sur le sujet de la bite sont décidément nuls à ch.er. Fiers de vous laver le cul pour offrir du poil de passif entre les dents et plus personne se voit chez le perruquiere. Consterné, ça oui!
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Cloclo, tu as la hampe qui te tiens droite dans les bottes comme une plaque d’immatriculation maquillée…
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
« Le numéro spécial de Charlie Hebdo trouve son public sans hystérie »
Pour un plaqué qu’on avait jamais lu avant ça risquerait de faire inconvenant. Manquerait plus que des bonnes soeurs, nanmého…
bouguereau dit:
à
Attendez-vous, imbéciles, à des actes à plusieurs zéros
c’est vrai le zouz..trop dpromo tue la promo..tût tvois trop partout
bouguereau dit:
à
Cloclo, tu as la hampe qui te tiens droite dans les bottes comme une plaque d’immatriculation maquillée…
serdio y parlait de plaque d’imm a bellegueule havec jalousie..’beaucul’ ça srait core plus bat
bouguereau dit:
à
ce sont les meilleurs heures de ma vie
tation cricri..pour faire honnête femme faut rester crédibe..faut pas blinker comme clopine
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
« ’beaucul’ ça srait core plus bat »
on te fais un signalement de drapeau et tu vois rien, tu prends l’ascenseur l’escalier mainant ?
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
l’ascenseur OU l’escalier bordel, ça me ferait de la peine de devoir te traiter de vieux c0n
DHH dit:
à
@ daphnée
quelques mots pour vous sous le fil précedent
bouguereau dit:
à
ça me ferait de la peine de devoir te traiter de vieux c0n
nanmého!
bouguereau dit:
à
@ daphnée
quelques mots pour vous sous le fil précedent
tu vois cricri ça fait un peu ‘etait ce les meilleurs heures de ma vie? vous le saurez en me lisant..’..
Bloom dit:
à
que les familles nombreuses ça fabrique toujours quelques p’tits pédés pas catholiques.
—
En Irlande, les prêtres issus de familles nombreuses sont très catholiques. Va’tit kan! Quelle catamité!
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
faut pas blinker comme clopine
elle va nous lessiver l’hamlet, il va plus rien en rester, pas même une coupe de Graal dont le signalement a aussi tété donné
al-bukhari dit:
à
Edouard Louis ne ferait rien d’autre que « mal digérer Bourdieu », alors qu’il est carrément à l’ENS de sociologie, bref ! (Clopine)
C’est vrai ça.
E.-E. aussi, ses papiers sont en règle, c’est forcément notre Molière!
al-bukhari dit:
à
@ daphnée
quelques mots pour vous sous le fil précedent
Quelques mots pour vous sous le fiel précédent?
On se marre bien.
Nous on s’envoie carrément des pains, c’est pas mieux, c’est sûr.
Paul edel dit:
à
« Infréquentable »cri cri vous n avez pas toujours dit ca alors un peu de pudeur
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
ça fait un peu ‘etait ce les meilleurs heures de ma vie? vous le saurez en me lisant..’..
Merci pour ce moment, alors là ça vole très très haut, et encore bravo…
Résumons..... dit:
à
Nous nommerons désormais Eddy Bellegueulle, EddyBeaucul, notre chère comphiotte pour pommes….
le garçon qu'on appelait monsieur dit:
à
Elle est au paradis mais devant les grilles avè les clés passequ’elle a renié son gode trois fois. En plus montée les pieds devant… Quelle image…
concierge de la rdl dit:
à
Pierre Boulez est mort, paix à son âme, pour lui rendre hommage on demande: wider, chaloux, court, popaul, le boug, zouzou, jc et bonne clopine (Faut pas faire comme à angoulème, y faut au moins une gonzesse)
christiane dit:
à
@Paul edel dit: 6 janvier 2016 à 13 h 10 min
N’ayant vécu ni avec l’un ni avec l’autre ce mot « infréquentable » désigne uniquement les relations virtuelles sur internet par commentaires se croisant ou pour un mot on peut recevoir des réflexions difficiles à oublier.
Pour ce qui concernent mes fréquentations dans le domaine privé je n’en ai évoquée que deux, celle de MàC, dans les expos et l’amitié, celle de J.Barrozi dans le chemin des fontaines (visite commentée de quartiers de Paris).
Je crois que le terme « pudeur » s’accorde mal à ce que je n’a
Résumons..... dit:
à
Lorsqu’on manie les ciseaux d’Anastasie avec férocité, aussi bien que le plumeau tendre de la critique, ou l’envoi forcené de la grappa, il est cocasse d’entendre Popaul exiger de la pudeur de notre chère Christiane !…
Un peu de pudeur Paul Edel !
JC..... dit:
à
Pierre Boulez est mort !… on y passera tous … il fut grand, il n’est plus qu’un souvenir !
christiane dit:
à
(suite pour P.E)Je crois que le terme « pudeur » ne reflète en rien des domaines de vie privée que je n’ai jamais abordés ici. Vous êtes certainement fréquentable dans la vraie vie et différent de ce que vous donnez à connaitre de vous ici. Mais cela reste de l’ordre du silence pour moi et vous le savez.
Ne mélangez pas tout…
Daaphnée .. dit:
à
quelques mots pour vous sous le fil précédent
Saleté de corbeau !
老王 dit:
à
Boulez
法國音樂界的毛澤東。
(Google ne comprend pas)
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