Au-delà de cette limite votre ticket…
Le nom de Teresa Juvé ne vous dira probablement rien et celui de Jaume Plagumà, le personnage qu’elle a créé, pas davantage. Ce qui n’est pas étonnant : malgré le succès de sa série de romans historiques policiers dont cet enquêteur et héros récurrent est une sorte de gouverneur du XVIème siècle qui travaille à la cour de Felipe II, cette romancière n’a guère été traduite en français en dehors d’Un marécage dans la ville, ses mémoires d’exil. Et vous n’auriez jamais découvert son existence si la presse catalane ne nous avait appris ces jours-ci la parution de son nouveau roman sous le titre Morts al peu del Reial Alcàsser (éditions Meteora) A l’âge de 101 ans. Vous avez bien lu : cent un ans. Ce qui en fait la doyenne des lettres catalanes, espagnoles et, qui sait, européennes sinon mondiales (prudence, ce genre de pari est toujours risqué).
A l’annonce de cette parution inattendue, plusieurs scènes me sont revenues en mémoire. Michel Tournier, alors âgé de 72 ans soit près de vingt ans avant sa mort, croisé par hasard dans les bureaux de notre éditeur commun, m’offrant un exemplaire de son nouveau roman Eléazar ou la Source et la Buisson et, face à mon étonnement devant sa minceur (139 pages, petit format), se justifiant :
« Plus on avance en âge, plus on se dessèche, vous verrez mon vieux, c’est inévitable ».
Avec le temps, l’écriture se resserre dans l’épure. Samuel Beckett ne l’eut pas démenti : Soubresauts, son texte ultime paru en 1989, année de sa mort, comptait 32 pages. Autre souvenir : une promenade avec Julien Gracq dans ses vignes de Saint-Florent-le-Vieil jusqu’à ce qu’il marque un temps d’arrêt lorsque je lui posai la question qui tue (un prochain roman, ça vous taraude ?) ; son visage se dérida soudain et s’éclaira d’un large sourire :
« De la fiction, à mon âge, vous n’y pensez pas ? A partir d’un certain moment dans la vie d’un écrivain, il y a prescription. Ce qui n’empêche pas d’écrire encore et même de publier, mais tout autre chose… ».
La Presqu’île, son recueil de nouvelles, avait paru en 1970 alors qu’il avait 60 ans. Avant qu’il ne s’éteigne trente-sept ans plus tard, il eut le temps d’écrire et de publier huit nouveaux livres, mais tous dégagés de la fiction. On pourrait citer d’autres écrivains encore, Français ou étrangers. Plus qu’un autre, un écrivain se doit d’être solidaire de tous ses âges. Seulement voilà : à 70 ans révolus, leur ticket de n’est plus valable. Enfin, leur ticket de romancier car ils ont tous persisté à publier (comment faire autrement, un écrivain continue à écrire comme il continue à lire : jusqu’à sa mort cérébrale) qui des essais, qui des mémoires, qui des recueils d’articles, de fragments, de bribes, de réflexions ou de chroniques. Mais jamais plus de fictions.
Comme un aveu d’impuissance qui transposerait dans la création littéraire celui que Romain Gary mit en scène sur le plan sexuel dans Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable (1975), son fameux roman sur la conjuration des déclins dans la vie d’un homme d’âge mûr. Georges Simenon, qui ne se voulait pas écrivain mais uniquement romancier, expliquait qu’à partir de 70 ans environ, l’énergie fait défaut non seulement pour créer un monde mais pour porter en soi pendant des mois des personnages auxquels on a donné vie.
Gardons-nous pour autant d’ignorer les contre-exemples. Ainsi Julien Green. Il avait 90 ans révolus lorsqu’il publia sa trilogie (rien que ça !) romanesque Dixie, suivie par quelques volumes de Journal jusqu’à sa mort quasi centenaire. Son éditeur Claude Durand, patron de Fayard, auprès de qui je rapportais la rumeur insistante selon laquelle son fils adoptif Jean-Eric, connu sous le nom de plume d’Eric Jourdan, lui avait certainement prêté main forte, m’assura aussitôt :
« Si vous voulez, je vous amène demain à la banque où ses manuscrits sont au coffre. Et vous constaterez de vos propres yeux que c’est bien l’écriture de Julien Green de la première à la dernière page ».
CQFD. Il y a quelques jours encore, j’eus l’occasion de bavarder avec Mario Vargas Llosa en marge de rencontres entre écrivains espagnols et latino-américains qu’il parrainait à Malaga. La conversation dévia sur Benito Pérez Galdos, dont il se réjouissait d’apprendre que les Français allaient enfin le redécouvrir grâce aux éditions du Cherche-Midi (Les Romans de l’interdit à paraitre ces jours-ci) d’autant que lui-même lui consacre un essai qui parait au même moment en Espagne :
« Je n’imagine pas mourir autrement que la plume à a main. Je me suis lancé dans l’écriture de mon prochain roman mais, je l’avoue, cette fois, ça commence un peu à m’épuiser ».
Un peu… Temps sauvages, le dernier en date épais de 400 pages, est paru l’an passé. Vargas Llosa fêtera ses 86 ans à la fin du mois. Tous les écrivains ne sont pas hantés par le spectre du livre de trop.
(« Manifestation à Kiev, le 20 février 2014 », photo Jeff J. Mitchell ; « Ukraine, 2022 » photo D.R.)
1 454 Réponses pour Au-delà de cette limite votre ticket…
Je ne connais pas très bien la cuisine russe et j’aimerais bien connaître les plats nationaux que les russes aiment manger.
N’ont-ils pas raison quant aux conséquences pour la Russie ?
A voir, certains parlaient d’un monde d’après covid et c’est reparti de plus belle alors que nous n’en sommes pas tout à fait sortis. Le monde du commerce connait ses limites qui souvent ne rejoignent pas les frontieres des droits de l’homme. La Russie aussi isolée que la Corée du nord à laquelle il est d’actualité de l’associer concernant le régime politique sans oublier que le géant énergétique doit être l’une des trois puissances militaires?
Deux mois plus tard…
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2022/03/28/le-tres-bas-christian-bobin/
LUNDI 28 MARS 2022, 6h16, 13°, calme et nuit noire
Poursuivi ma croisière en paquebot avec plaisir.
Ce Monde figé, isolé, en attente de bouleversement, est remarquablement décrit par Assouline qui développe les mille facettes de ce bouillonnement hétéroclite, ambigu, composite et froid, enfermé dans une machinerie humaine angoissante naviguant sur la mer…
Détail. J’ai immédiatement jeté par dessus bord la jaquette colorisée, cette affreuse image se voulant mélange de couleurs pâles, n’arrivant pas à cacher le noir et blanc triste, d’un monde qui va disparaitre.
Pour ne dire qu’une évidence :
https://books.openedition.org/iheid/3995?lang=it
Chacun pourra affiner.
Détendez-vous Renato, on est au 2eme mois de guerre.
Va falloir tenir.
Vous connaissez ? Pink Martini, u plavu zoru
Bonne journée
JC, avant l’invention du technicolor je crois que les films noirs et blancs étaient colorisés pour obtenir l’effet couleur, d’où ces pastels un peu fanés sur les vieilles photos. Vos impressions de lecture donnent envie, aussi lente que mon frère escargot j’achève de lire Le roi des Aulnes qui a bien mérité son Goncourt avec des critères de sélection engloutis dans les vagues successives du temps .
Au pinceau.
Après ça je vais me remettre Olga Tokarczuk sur la platine.
Très bon tomtom, ED, qui donne également envie d’un détour par Bobin et st François que je n’ai pas encore découverts. Il y a sur ce blog dans l’archive un billet avec en question Bobin » le ravi de la crèche « ( ce n’est pas mon opinion) , souvent les croyants ont cet air quand ils vivent et appliquent en toutes circonstances leur foi. .
« Alain FINKIELKRAUT. – À la suite d’une bénigne opération, j’ai contracté ce qu’on appelle une maladie nosocomiale: trois vertèbres infectées, un long séjour à l’hôpital, deux interventions chirurgicales très périlleuses qui auraient pu me laisser paraplégique. Après bientôt trois mois de douleur et d’effroi, je sors de l’enfer et je fais le trajet inverse à celui de la grande vieillesse: je me réapproprie peu à peu les gestes élémentaires de la vie quotidienne,… »
Finky miraculé… (Le Figaro)
..finky sort du comas et parle russe il dit que siné va ressuciter et qu’on est foutu
rénateau affine le criminel de guerre..un fromage fort
Ce Monde figé, isolé, en attente de bouleversement, est remarquablement décrit par Assouline qui développe les mille facettes de ce bouillonnement hétéroclite, ambigu, composite et froid, enfermé dans une machinerie humaine angoissante naviguant sur la mer…
céline disoit que le lecteur etait sur le pont et qu’il fallait surtout pas l’emmerder avec les hestoires d’écrivains plein de camboui et de vazline au cul a fond dcalle jicé..la croisière doit s’amuser a caresser les icebergs..sinon y’a pas de style haucun..
Je ne connais pas très bien la cuisine russe et j’aimerais bien connaître les plats nationaux que les russes aiment manger
regarde jicé..keupu s’entraine..il fait de l’humour à la brejnev..il a un estomac en béton et un moral d’acier..ça c’est du marin..élone l’embauche pour haller sur mars..c’est le seul moyen qu’on soit pénard
mais enfin, ça vaut mieux qu’un coup de pied au cul
qu’il a dit cabu en prenant sa rafale d’ak47..j’y était pas..on m’a raconté
Quelle que soit l’issue de cette guerre d’agression menée par Poutine, elle sera désastreuse pour la Russie ; au-delà même de ce que ces experts pouvaient imaginer au début du mois de février
et pour nosostros haussi..ces têtes de pioches nous aurait distrait de netflisque et son bortsch dégueu..au lieu de ça y font rien qu’a copier dobeul you havec 20 ans de retard..tu parles de ringard
On n’a toujours pas de pétrole, mais on a des experts à l’état gazeux
dans ce pays..mais give us a brèque kabloom
Sur Finky
Enfin une reponse a la question que nous nous posions avec ces Repliques enregistrées depuis longtemps qui nous étaient présentées le samedi depuis quelques mois
nous lui souhaitons un tranquille retour a sa vie ordinaire
Paul Klee
Nina Kandinsky’s notebook page
(1923 – 1924)
Indian ink and watercolor on paper
10.4 x 6.5 cm
Centre Georges Pompidou, Paris
un tranquille retour a sa vie ordinaire
‘2 choses me remplissent d’horreur..le bourreau en moi et la hache au-dessus de moi’
À Marseille sont (étaient ) qualifiés de navigateurs tous les marins professionnels navigant au commerce.
Et puisque le sujet des Messageries Maritimes n’est pas absolument épuisé, on peut rappeler un beau poète, Louis Brauquier, qui fut commissaire de bord puis agent des MM dans les ports d’extrême orient de 1924 à 1960. Il a connu tous les paquebots des lignes d’extrême-orient, (dont le Georges Philippar).
Ses recueils de poésie les plus attachants sont (à mon avis) Et l’Au-delà de Suez et Eau douce pour les navires.
André Dimanche, éditeur et Bernard Delvaille lui ont rendu hommage dans un très bel album dont le titre est également Et l’Au-delà de Suez.
Chacun pourra affiner.
L’extragon dans le fromage de brebis c’est d’un exotisme de pacotille! 😉
un beau poète, Louis Brauquier, qui fut commissaire de bord
Oui, lmd, directeur et fondateur de la magnifique revue de poésie SUD!
sur les croisieres
le regard cruel et intelligent de Franzen dans’les corrections »
il y dissèque la pauvreté de ce luxe derisoire que s’offre une classe moyenne abusée par l’illusion que c’est ça la vie des vrais riches et qui jouit de se l’approprier
…lundi 28 mars 2022 à 10 h 20 min.
…
…salades aux champs irradiées aux neutrons !…
…
…quels choix judicieux choisir, chacun à ses habitudes de monopoliser les profits, améliorer son A.D.N.!…
…
…étudier soi-même ses régimes alimentaires propres avec l’expérience des aînés, les livres des altérations et falsifications des substances alimentaires médicamenteuses et commerciales,!…
…
…aujourd’hui tout est » Pub « ,!…corporatistes & collaborateurs des impôts d’états, et crimes managements du profit,!…banques & C° & Bernard Madoff,!…
…
…donnez raison à tous le monde, Vive la liberté de tuer, dans l’inégalité des chances, d’être responsable compétitif, vues les études des comportements convulsifs soignées en vues des victimes consentantes subornés en esclavages bêtisiers d’humours carcérales d’abattages aux cloîtres des Judas blindés tous terrains, longues portées,!…
…
…jusqu’au Portugal,…Tsar des tsars,!…
…sur le désert de sables des Europe’s – Unis,!…
…têtes à claques,!…pour l’éducation à bien se m’éprendre sur tout,!…
…Noé, Noé,!…ou est tu,!…
…diversions et pièges à cons,!…Ha,!…HA,!…Go,!…etc,!…
…
Le paquebot de croisière est au yacht ce qu’une barre d’immeubles HLM est à une datcha.
hum alesquia..c’est une scie que de croire le plaisir « des pauvres » sans aucune hinventions et qu’il est simplement démarqué de celui des riches..voltaire se voyait au moins comme tous les autres rats du bateau à yavé
«… la vie des vrais riches… »
Il y a les riches et ceux qui ont beaucoup d’argent, et puisque, comme dit Williams — Telegram : « >Tu n’es pas riche, tu as beaucoup d’argent », c’est quoi un riche ?
Pour le contexte, envers et contre les undatables :
https://lesempio.blogspot.com/2010/04/saul-williams-telegram.html?q=Saul
« . Un homme qui a assez de bien pour vivre, s’il savait demeurer chez soi avec plaisir, n’en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d’une place. On n’achète une charge à l’armée si cher, que parce qu’on trouverait insupportable de ne bouger de la ville. Et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu’on ne peut demeurer chez soi avec plaisir. Etc. Pascal
Enfin, bouguereau, « les pauvres » ne font pas de croisières !
« Quelque condition qu’on se figure, où l’on assemble tous les biens qui peuvent nous appartenir, la royauté est le plus beau poste du monde. Et cependant, qu’on s’en imagine accompagné de toutes les satisfactions qui peuvent le toucher. S’il est sans divertissement et qu’on le laisse considérer et faire réflexion sur ce qu’il est, cette félicité languissante ne le soutiendra point. Il tombera par nécessité dans les vues qui le menacent des révoltes qui peuvent arriver et enfin de la mort et des maladies, qui sont inévitables. De sorte que s’il est sans ce qu’on appelle divertissement, le voilà malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets qui joue et qui se divertit.
De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. Ce n’est pas qu’il y ait en effet du bonheur, ni qu’on s’imagine que la vraie béatitude soit d’avoir l’argent qu’on peut gagner au jeu ou dans le lièvre qu’on court, on n’en voudrait pas s’il était offert. Ce n’est pas cet usage mol et paisible et qui nous laisse penser à notre malheureuse condition qu’on recherche ni les dangers de la guerre ni la peine des emplois, mais c’est le tracas qui nous détourne d’y penser et nous divertit.
« Mais, direz‑vous, quel objet a‑t‑il en tout cela ? Celui de se vanter demain entre ses amis de ce qu’il a mieux joué qu’un autre. Ainsi les autres suent dans leur cabinet pour montrer aux savants qu’ils ont résolu une question d’algèbre qu’on n’aurait pu trouver jusqu’ici. Et tant d’autres s’exposent aux derniers périls pour se vanter ensuite d’une place qu’ils auront prise, aussi sottement à mon gré. Et enfin les autres se tuent pour remarquer toutes ces choses, non pas pour en devenir plus sages, mais seulement pour montrer qu’ils les savent, et ceux‑là sont les plus sots de la bande, puisqu’ils le sont avec connaissance, au lieu qu’on peut penser des autres qu’ils ne le seraient plus s’ils avaient cette connaissance. »
Votre (billet)-ticket
« L’attention de l’esprit est la prière naturelle que nous faisons à la vérité intérieure, afin qu’elle se découvre à nous [1]
[1]
Nicolas Malebranche, Conversations chrétiennes. Entretien I.…. » Parole difficile que celle de Malebranche, car l’époque est bien, en son actualité la plus vive, à la distraction, à son culte. Et la démultiplication des puissances techniques de la distraction a dorénavant de quoi inquiéter. Le cinéaste Robert Bresson le notait déjà : « Cinéma, radio, télévision, magazines sont une école d’inattention : on regarde sans voir, on écoute sans entendre [2]
[2]
Robert Bresson, Notes sur le cinématographe (1975), Gallimard,…. »
2Le constat, certes préoccupant, demeure cependant fort banal et sans force. Et la dénonciation n’offre, en particulier, aucune puissance d’éclaircissement si elle ne se donne pas les moyens d’atteindre la chose elle-même. Car l’homme n’est pas simplement l’existant qui ne cesse d’être le jouet de tout ce qui, au dehors comme au dedans de lui-même, commande à ses actes, lors même qu’il voudrait en être le maître. Il est aussi celui dont l’existence est comme une perpétuelle fuite de soi, comme si le fait de s’égarer constituait, en fait, un vœu inavoué. Cette fuite de soi, Pascal la nomme « divertissement », »
in « La fuite de soi, le masque du divertissement
Leçons pascaliennes
Dominique Weber
https://www.cairn.info/revue-etudes-2001-12-page-631.htm
Enfin, bouguereau, « les pauvres » ne font pas de croisières !
..comme tous les riches ne le sont pas hassez pour havoir un yacht..et comme sur les yatch les vrais..au large le soir ça pulse du gangsta rap..le mépris comme félicie a surtout une cible alesquia..feu ou pas mon pitaine?
Pour le contexte, envers et contre les undatables
Me ne frego..non so se ben mi spiego..
tout cqui tient pas dans une chanson est superfétatoire qu’il dirait finky en russe
https://www.youtube.com/watch?v=K9LToSzVzXI
Hier, au coeur de l’après-midi, Hector craignant la foule des rues et des jardins de Paris, en ce beau temps printanier, m’a proposé de nous balader dans le paisible 16e arr.
Pas contrariant de nature et d’un naturel curieux et ouvert à tout, j’ai adhéré sans problème à ses desiderata.
Cheminant par monts et par vaux dans ce quartier privilégié de l’ouest parisien, nous avons vu venir de tous côtés des hordes de gens, plutôt jeunes, essentiellement blancs, et passablement bcbg, tenant dans les mains des drapeaux tricolores roulés dont ne dominait le plus souvent que la couleur rouge.
Des populations bons enfants, visiblement pas de gauche, qui revenaient du meeting de Zemmour au Trocadero.
Vision qui m’a laissé perplexe et un peu inquiet pour la suite…
il y dissèque la pauvreté de ce luxe derisoire
Franzen au sofitel lorgne steigenberger, à chacun son idiot utile, disent nos amis allemands. Fachidiot.
un peu inquiet pour la suite
plein d’invertis chez les fachos, tous les essperts à dear Bloom proclament depuis leur siège en cuir, l’ordre est organique. L’avenir est rose, dear baroz.
Amanda Lire, je me réjouis que vous appréciez le poète Louis Brauquier. Mais l’enthousiasme vous fait peut-être déraper. Je pense que vous parlez de la revue les Cahiers du Sud dont Brauquier fut bien un des fondateurs. Mais ensuite le directeur et animateur historique des Cahiers du Sud fut Jean Ballard. Les Cahiers du Sud n’étaient pas spécialement dédiés à la poésie mais à la littérature vivante. C’est un exemple d’une revue publiée en province et qui avait les mêmes ambitions que la Nouvelle Revue Française.
j ne connais pas la cuisine russe ;mais mon idée c’est que ce n’est pas terrible
Parce que chaque fois que je suis allée à Moscou et que nos interlocuteurs des administrations locales voulaient bien nous traiter , ils nous invitaient dans des restaurants georgiens, jamais dans des restaurants de cuisine russe .
Et c’était somptueux
«… non so se ben mi spiego »
Si tu veux la jouer italien, ‘non so se mi spiego’, sans BEN, est largement suffisant !
Cahiers du Sud, excellente revue. Moçins de casseroles que la NRF.
Si tu veux la jouer italien
..j’aurai bien voulu faire mon alberto sordi a quelques enterments rénateau..ma..j’ai du en faire mon deuil
j ne connais pas la cuisine russe ;mais mon idée c’est que ce n’est pas terrible
alley alleye..tu laves tout a grande eau..tu mets bocoubocou de coriande..ça doit passer
l’enthousiasme vous fait peut-être déraper
moorpionibus..sacrénom
@y font rien qu’a copier dobeul you havec 20 ans de retard
Raccourci bêta. Le seul point de comparaison est la possibilité pour Poutine de finir comme Saddam
Jamais lu Jonathan Franzen, c’est bien ?
Et par quoi faudrait-il commencer ?
tenant dans les mains des drapeaux tricolores roulés dont ne dominait le plus souvent que la couleur rouge.
Des populations bons enfants, visiblement pas de gauche, qui revenaient du meeting de Zemmour au Trocadero
..de l’enthousiame et du dérapage..tu vois trop de signe dans le ciel baroz..dirfiloo voit le mal partout
« la possibilité pour Poutine de finir comme Saddam »
Quelques oligarques, et non des moindres, proposent déjà leur aide à… l’Ukraine !
Ces dernières années, l’Ukraine est devenue un haut lieu de la GPA (gestation pour autrui), qui y est autorisée pour les couples étrangers. Depuis le début de la guerre, des dizaines de bébés destinés sont nés de GPA, mais leurs parents d’intention, pour beaucoup, restent bloqués à la frontière.
https://www.franceinter.fr/monde/en-ukraine-les-bebes-nes-de-la-gpa-pris-en-otage-par-la-guerre#xtor=EPR-5-%5BMeilleur28032022%5D
. En tant que présidente de l’association des Parents adoptants en Russie, l’APAER, Marie Garidou a déjà été alertée par des familles dont les enfants ont été montrés du doigt par leurs camarades de classe, plutôt à partir du collège. Marie-Odile Pérouse de Montclos constate en effet ce genre d’attaques. Elle conseille d’intervenir auprès des enseignants car cela s’apparente à du harcèlement scolaire.
L’association EFA, enfance et famille d’adoption propose sur son site internet des ressources pour accompagner les familles dans cette situation et une ligne d’écoute téléphonique, le 01 40 05 57 79.
La Géorgie est en Russie, rassurez-moi.
Mais l’enthousiasme vous fait peut-être déraper.
N’allons pas jusque là, lmd! 😉
J’ai confondu avec l’autre revue marseillaise, ayant des Cahiers du Sud dans ma bibliothèque.
(Autant que des n° de Sud dont je connaissais et connais pas mal d’auteurs intervenants.)
Mais il me semble que Sud prit la suite de la défunte maison d’édition des cahiers du Sud.
Eclairez-moi là dessus, lmd!
D’avance merci.
Non !
Non ! rose, la Géorgie n’est pas en Russie.
@jazzi
et qui vous dit que cees drapeaux dont vous n’avez vu qu’une couleur n’etaient pas des drapeaux tout rouges
c’est tellement chic chez les enfants de nantis de s’insurger contre le monde des parents ,tout en en appreciant le confort et l’entresoi des rallyes qu’ils leur organisent
de franzen j’avais lu les corrections et un autre livre dont je ne me souviens plus ni le titre ni le sujet mais dont je me rappelle qu’il m’avait déçue
le corrections :un peu inegal mais quelques chapitres vraiment réussis
correction
« etaient peut-etre des drapeaux tout rouges «
Ce n’était visiblement pas le public de la fête de l’Humanité, DHH, et les slogans que l’on pouvait lire était franchement nationalistes !
Ma perplexité vient du fait que ce public-là correspondait plus à celui de Macron. J’ai appris plus tard, en rentrant chez moi, que les manifestants avaient crié « mort à Macron ! »
C’est ce retournement haineux, en faveur de Zemmour, qui me fait craindre le pire pour la suite des évènements…
Une future coalition Le Pen/Zemmour est possible, voire probable, et le pare-feu Pécresse n’a pas l’air de prendre !
Lu l’entretien de Finky ressuscité dans le Figaro…
Sa mère est née à Lwow (Pologne), qui s’appelait auparavant Lemberg (Empire austro hongrois), qui s’appellera ensuite Lvov (Russie), enfin Lviv…
Elle n’aimait pas (euphémisme) les polonais ni les ukrainiens « pires que les allemands »…
Rien n’est simple.
Faux JzzB; le public de Zemmour est beaucoup plus bourgeois que celui de Le Pen.
Non, pas « mort à Macron », mais « Macron assassin ».
Qui a dit que Macron n’avait pas d’humour ?
« Dimanche, de nombreux partisans d’Éric Zemmour ont scandé « Macron assassin » lors du rassemblement organisé au Trocadéro, à Paris, par le candidat de ‘Reconquête!’. Au moment où le cri soulevait un tollé dans la classe politique, Éric Zemmour a assuré ne pas avoir l’entendu, et a même affirmé sur Twitter qu’il ne le « cautionn(ait) pas ».
Des précisions qui n’ont pas convaincu le principal intéressé. En effet, ce lundi, en déplacement à Dijon, Emmanuel Macron a réagi à l’événement auprès de BFMTV, en proposant deux lectures possibles.
« Indignité » ou besoin de « prothèses auditives »?
Livrant ses premiers commentaires quant à ces cris hostiles, le chef de l’Etat a soumis « deux hypothèses ». « La première c’est l’indignité, qui me semble la plus crédible. Mais ça n’est pas une surprise », a-t-il d’abord lancé au cours d’un déplacement à Dijon, avant de se faire plus moqueur: « La deuxième c’est la méconnaissance d’une réforme très importante du quinquennat, le 100% santé ».
« Maintenant les prothèses auditives, les lunettes et les prothèses dentaires sont remboursées par la Sécurité Sociale. 10 millions de Françaises et de Français ont eu accès à cela, ça fait partie de mon bilan, c’est un bilan social dont je suis fier. Et j’invite le candidat malentendant à pouvoir s’équiper à moindre frais ». »
La Géorgie était en URSS mais n’est plus en Russie. Nuance.
« le public de Zemmour est beaucoup plus bourgeois que celui de Le Pen. »
C’est ce qui m’est nettement apparu, en effet, closer.
D’où mon inquiétude, car ses idées sont basiques et populistes…
l’humour de MACRON à propos de Zemmour me semble du meilleur aloi pour cette campagne
Auctions
An Unassuming Chardin Strawberry Painting Fetches a Record-Shattering $26.8 Million at Auction, Shocking Market-Watchers
Lorsque viendra le printemps
Lorsque viendra le printemps,
si je suis déjà mort,
les fleurs fleuriront de la même manière
et les arbres ne seront pas moins verts
qu’au printemps passé.
La réalité n’a pas besoin de moi.
J’éprouve une joie énorme
à la pensée que ma mort n’a aucune importance.
Si je savais que demain je dois mourir
et que le printemps est pour après-demain,
je serais content de ce qu’il soit pour après-demain.
Si c’est là son temps, quand viendrait-il sinon
en son temps ?
J’aime que tout soit réel et que tout soit précis ;
et je l’aime parce qu’il en serait ainsi, même
si je ne l’aimais pas.
C’est pourquoi, si je meurs sur-le-champ, je meurs content,
parce que tout est réel et tout est précis.
On peut, si l’on veut, prier en latin sur mon cercueil.
On peut, si l’on veut, danser et chanter tout autour.
Je n’ai pas de préférences pour un temps où je ne pourrai plus avoir de préférences.
Ce qui sera, quand cela sera, c’est cela qui sera ce qui est.
Fernando Pessoa
(Traduction d’Armand Guibert)
Tableau de Costa Pinheiro
C’est ce qui m’est nettement apparu, en effet, closer.
D’où mon inquiétude, car ses idées sont basiques et populistes…
c’est dla segmentation pour que tu bombes le torse et que tu te crois démocrate aristo baroz..ce que t’as vu était certainment un truc méta à zuquèrebergue..dirfiloo y a inséré quelques pubs pour écouler un vieux stock de vazline..surplus de larmée rouge achté à vil prix
La Géorgie était en URSS mais n’est plus en Russie. Nuance
hawhawhaw..lirlande c’est à nous épicétou
et alii dit: à
l’humour de MACRON
Oui, et alii !
Mais qu’est-ce que c’est que ce publiciste, pseudo-intellectuel, vulgarisateur de bas étage, agitateur télévisuel, ce Zéro arriviste (Zorro n’arrivera jamais avec lui!)qui plait tant à la classe petite et moyenne bourgeoise vernissée de culture d’emprunt et d’a-peu-près?!
C’est le printemps et il faut faire son chardin! 😉
Les fruits du chardin,
les légumes du chardin,
les animaux du chardin.
Raccourci bêta. Le seul point de comparaison est la possibilité pour Poutine de finir comme Saddam
spèce de planqué..t’as pas fais l’armée..réformé p4 ou quelquechose?..y’a pas de quoi t’en vanter spèce de tirocu..le raccourci est toutafé opérationnel tactic..faisabe..le ciel est dégagé..on a même un camion crématoire pour biffer les pertes..les pertes? quelle perte?..davai davai..enfin..faite passer devant..les militaires moi ça mconnait qu’il dit meussieu courte
qui s’appellera ensuite Lvov (Russie), enfin Lviv…
lviv en russie..ha y’a du boulot ici..du boulot!..ou halors il est fait.. »faire et défaire c’est travailler » c’est la devise a rénateau
mimi..lédi gagate
« le public de Zemmour est beaucoup plus bourgeois que celui de Le Pen. »
voilà..zémmour a des consommateurs..un public..la mélanche des citoyens responsabe..des électeurs..des femmes et des hommes enfin qu’elle dirait alesquia..là daccord tu frais le fin drace baroz
Le bouguereau me fait penser à un petit chien qui frétille de la queue lorsqu’il croit un mot lost! 😉
un mot lost! …jusqu’à l’os! 🙂
lorsqu’il CROISE, c’est plus juste.
Merci Amanda, vous êtes une choûte!
Dites lui que » je vais les écraser « . Propos de Poutine en réponse aux propositions pour un cessez le feu, écrites signées de Zelensky et portées par un émissaire au fou du Kremlin.
et n’oublions pas :
Prix d’entrée du musée, tout public
Réservation obligatoire par téléphone au 02.98.40.21.18 ou par e-mail à contact.musee.fraise@gmail.com
Le lavoir Saint-Pierre est l’un des nombreux lavoirs de Plougastel-Daoulas, mais le seul communal ! Découvrez l’histoire de ce lavoir du bourg de Plougastel, et celle de ses lavandières.
Horaires
DE SEPTEMBRE A JUIN :
Du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h30
Le samedi et le dimanche de 14h à 17h30
LES MEDIAS EN PARLENT
Agnès Waendendries a écrit un article sur le Musée de la Fraise et du Patrimoine, pour le magazine Antipode Mook, le premier numéro du magazine en ligne de l’Association des Journalistes de Tourisme !
Si vous souhaitez le lire, rendez-vous à la page 114-115 du magazine via ce lien !
Le Musée de la Fraise et du Patrimoine apparaît également dans la vidéo d’Ewan de Bretagne // Office de tourisme de Brest Métropole sur la fraise de Plougastel !https://www.museefraisepatrimoine.bzh/
Merci Amanda, vous êtes une choûte!
Ne me remerciez pas Mimi, c’est avec plaisir! 🙂
(Le bouguereau me fait penser à un petit chien qui frétille de la queue lorsqu’il croise un mot lost!) ©
Mais il est sympa le boug!
les fraises de PLOUGASTELqui en a fait un musée ne sont pas bretonnes; elles viennent du CHILI
Bouguereau, Renato est un être complexe, hautement cultivé, cela m’étonnerait qu’il ait pour devise ce genre de dicton populaire. Comment pourrait il synthétiser en une phrase aussi vide l’immensité de sa réflexion , la profondeur de sa sagesse, la récolte d’une vie entière dédiée à l’art, la littérature, la philosophie, la philologie, avec en plus des rencontres qui réussissent à faire de son carnet d’adresses un almanach doré sur la tranche, une pléiade.
( un munster pour le fromage?)
lorsqu’il CROISE, c’est plus juste
tu sucres hautant mon couillon..mais je kiffe dgiacomo..c’est un peu mieux quvos coups téléphoné de vieux clodo
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/13/Giacomo_balla.jpg
B, je préférerais : »au démon du kremlin »
cela m’étonnerait qu’il ait pour devise ce genre de dicton populaire
les dictons populaires font montre dhabitus et de praxis terriblement feuilletés et des plus complesque béré..retord..c’est toutafé des mot d’artiss
Et contrairement à vous, cher bouguereau, à son âge il est rare qu’un homme aussi brillant qu’il puisse se montrer remue encore la queue.
Puisque c’est un reproche dans le cadre qui parvient à
nous réunir à défaut d’unir ou unifier sur ce blog d’amitiés partagées.
peut-être pas forcément un « reproche, » B; disons :au moins une perplexité, une réserve ;
mais pour ce fil, et ceux qui le précèdent immédiatement, on pourrait dire que c’est un drapeau qui nous fait adhérer ,je crois!
J’ai aimé que l’on fasse jouer l’hymne UKRAINIEN
https://www.google.com/search?q=hymne+ukrainien&oq=HYMNE+UKRAINIEN&aqs=chrome.0.0i271j69i57j0i131i433i512j0i512j0i131i433i512l2j0i512l4.8087j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
En Europe aussi, dans de nombreuses salles de concert, l’hymne national ukrainien, devenu un symbole de solidarité et de paix, a été interprété avant les concerts. L’association ECHO, qui regroupe de grandes salles européennes, a même réalisé un clip vidéo à partir de l’interprétation de cet hymne par une dizaine de grandes formations européennes, telles que le Concertgerbouw d’Amsterdam, l’Orchestre Philharmonique de Paris, le Royal Liverpool Philharmonic Orchestra ou encore l’Orchestre symphonique de Barcelone.
https://www.rtbf.be/article/lhymne-national-ukrainien-resonne-dans-de-nombreuses-salles-de-concert-du-monde-entier-10952546
J’ai eu l’occasion de voyager en Urss, sous l’ère Andropov si je ne me trompe. Moscou, Léningrad, Kiev, Odessa. En groupe, naturellement, puisque à cette époque il était impossible d’envisager un voyage individuel. Sous l’égide de France-URSS d’une part et de l’agence Intourist de l’autre. Voyage encadré par une jeune Olga, parfaite francophone et disciple inébranlable du régime. Villes : très peu de circulation automobile. Impression de tristesse, de gravité sur les visages des piétons. Hôtels réservés aux étrangers. Restaurants également, gastronomie proche du néant. Quelques distractions obligatoires : visite d’un hôpital au milieu de patients parfois entièrement nus subissant des examens : gênant mais il fallait bien exhiber les prouesses de la médecine soviétique, déjeuner avec des pionniers dans un camp du golfe de Finlande avec dégustation de godets de vodka toutes les trois minutes de sorte que nous avons fini fin souls, une mémorable soirée au Bolchoï, la visite de la maison natale-musée de Taras Shevchenko à Moryntsi, à près de 200 km de Kiev , dans un car en piteux état. La soirée au Bolchoï fut un grand moment : une espèce de comédie musicale où le mal était représenté par l’Amérique (cow-boys et gangsters tirant des coups de feu), le bien par l’homo sovieticus (paix, harmonie, travail, valeurs morales). Dans ma loge, un couple de Mexicains que la farce faisait s’étrangler de rire. La virée à Morytsi a viré à la mutinerie : le musée n’exposait pas grand-chose et uniquement des copies, il fallait descendre du car brinquebalant avant chaque station service (considérée comme lieu stratégique sensible) pour le reprendre après. Nous voilà exigeant d’aller visiter un village. La guide refuse : interdit de quitter la route. Eh bien nous irons à pied ! La guide parlemente avec le chauffeur plein d’effroi qui consent à se garer. Nous prenons un chemin qui mène à un hameau. Tous les habitants qui ont vu venir cette troupe exotique viennent à notre rencontre. Et nous prodiguent des amabilités, nous invitent à visiter leurs jolis jardins, leurs maisons en bois. Le meilleur moment du voyage pas seulement parce qu’il ne figurait pas au programme.
Souvenir de Kiev : notre groupe est encadré par une jeune Ukrainienne sous l’égide d’Olga la Moscovite. C’est une étudiante en cybernétique qui manie un français moins académique que celui d’Olga : elle dit « vachement ». Nous visitons la ville en car. A un moment elle signale « nous passons rue des Bourgeois » et Olga, du fond du car de hurler : « il n’y a pas de bourgeois dans ce pays ! ».
Amanda Lire , «Eclairez-moi là dessus, lmd! »
Humpf… ça s’embrouille, je ne sait pas bien quelle est «l’autre revue marseillaise» et je ne connais pas la revue Sud et je ne suis pas certain que le Cahiers du Sud aient été une maison d’édition….
Retour à l’envoyeur, c’est à vous de m’éclairer.
1989, chute du mur et démantèlement de l’URSS. Ça vous faisait quel âge, AN, 15ans? Vous seriez alors déjà vieille, ça me fait de la peine. Je vous croyais au zénith.
Cahiers du Sud fut une maison d’édition, d’après seconde guerre. Il n’y a plus que M. Court qui puisse renseigner (hors semoule wikipedia pour sans dents).
– Sud, n° 14-15, 2e trim. 1975 [208 p.] / « Faulkner »
Jean-Pierre Amette, Le premier grand romancier de l’inconscient (p. 7-11),
Il faut demander à Paul Edel… 😉
Bref, deux revues marseillaises, Sud la plus récente, succédant sans lien bien précis aux Cahiers du Sud.
J’ai fréquenté pas mal d’auteurs de SUD…et son directeur Yves Broussard que je nommais à l’époque (années 1985) l’inspecteur Broussard! 😉
l’inspecteur Broussard!
Déjà goguenarde l’Amanda à cette époque.
Un peu avant 1940, je crois,, Phil, pour les Cahiers du Sud.
Je me souviens, pour avoir vu un exemplaire de la fin des années 1930, que Brion y a publié une nouvelle, Sybilla Van Loon, ou le narrateur se fait aspirer dans un tableau flamand.
Il a du rester à Marseille dans les années suivantes, puisque c est là que parait en 1942 l’ originale de son recueil fantastique le plus diffusé: « Les Escales de la Haute Nuit. » Avec une nouvelle, Le Maréchal de la Peur, qui prouve que la censure ne pouvait regarder partout… A bientôt.
MC
Eh bien voilà, j’ai cherché et j’ai trouvé:
– Sud (1970-1997)
« Revue littéraire bimestrielle » / « Cahiers trimestriels »
Marseille ( […] puis 62, rue Sainte, 13001). Éditions Rijois puis Éditions Sud.
In-8 (210×145) puis (220×150), br.
Dir. : Jean Malrieu (fondateur) puis Yves Broussard / Réd. : [à préciser]
119 numéros dont doubles en livraisons du n° 1 (mai 1970) au n° 118-119 (1997)
____________
Éditions des Cahiers du Sud
(1925-1961)
Marseille.
Dir. : Jean Ballard
Collection(s) :
– Coll. « Critiques » (1925-1930)
– Coll. « Document Spirituels » (1951-1955) (dir. Jacques Masui)
– Coll. « Essais » (1931-1937)
– Coll. « Folklore » (1932)
– Coll. « Nouvelles » (1926-1937)
– Coll. « Poètes » (1926-1936) (dir. André Gaillard)
– Coll. « Roman » (1933-1935)
– Coll. « Théâtre » (1931-1936)
– Coll. « Urbanisme » (1932-1934)
– Coll. « Voyages » (1935)
J’ai sur mes étagères une petite vingtaines de n° des Cahiers du Sud et aucun de Sud
Les deux adresses sont à deux pas de chez moi mais je n’en connaissais qu’une …
https://www.revues-litteraires.com/articles.php?lng=fr&pg=3498
et pour couronner le tout:
« Si le niveau de la mer montait à ce point, cela pourrait faire des ravages dans le monde entier. Pas moins de 250 millions de personnes, réparties sur tous les continents, pourraient être « directement touchées » d’ici 2100, selon une étude de 2019 dans la revue Nature Communications . »
CHÈRE ALABDA pardon mmmm amanda…je suis fidèle à FAULKNER puisque le 17 Mars dernier sur mon blog j ai parlé des nouvelles de Faulkner traitant de sa passion pour l aviation et de son roman Pylône..mon nom est Jacques-Pierre Amette.
@mon nom est Jacques-Pierre Amette
Merde !
voilà pour plaire à renato qui s’intéresse à « la soupe »
Le plus grand iceberg du monde se désintègre en « soupe à l’alphabet », montre une photo de la NASA
https://www.livescience.com/alphabet-soup-iceberg-a68a.html
« alors que nous avons déjà bien du mal à écouler la production nationale » dixit un Erik Chevillard humoriste sur twitter
une part de vérité néanmoins : – 20% de ventes au premier trimestre par rapport à celui de l’année précédente, annoncent certains éditeurs de l’imaginaire
mon nom est Jacques-Pierre Amette.
Hélas pour vous Jacques Praire Ablette 😉 ( vous voyez on peut faire aussi méprisant et con que vous….)dans la recension complète de la revue « SUD » vous êtes répertorié Jean-…etc.
https://www.revues-litteraires.com/articles.php?lng=fr&pg=1919
Amplement financée par des subventions de la gauche au pouvoir, la revue SUD publiait de véritables et authentiques auteurs et surtout ceux qui avaient une origine depuis le monde de la création poétique. Mais ayant peu de lecteurs et les subventions qui maigrissaient, ils firent des gestions approximatives et des trous financiers auprès des imprimeurs…Ils en changèrent et firent imprimer la revue même dans ma ville, mais là encore, il manquait les sous et les entreprises privées ne pouvaient pas faire office de banquier bienfaiteur…Ainsi la revue disparaissait avec des dettes.
Et c’est bien dommage!
Bon , entre une coquille et une réalité, il faut croire la coquille? Argument un peu court , me semble-t-il, pour répondre aigrement à une rectification polie.
J’ai un excellent souvenir d’un numéro de la revue Sud consacré à Faulkner où figuraient notamment les articles de André Bleikasten, de Philippe Jaworsky (Melville et Faulkner) et de l’inénarrable Philipe Gresset, sur la France de Faulkner.
Faulkner sans la France aurait-il eu le Nobel? On peut en douter tant il fut éreinté ou négligé par la critique dans son propre pays…
Je songe à cette auteure nord-irlandaise, traduite en français, qui ne parvient pas à trouver une maison d’édition aux US, au motif que la vision de Belfast qu’elle véhicule dans ses romans, celle d’une protestante ni unioniste, ni nationaliste, ne correspond pas « avec ce que les Américains ont envie de lire sur l’Irlande du Nord. » Disneyland à tous les étages.
Edel, votre écrivain était connu pour son sens de l’honneur. Pensez-y avant de donner réplique a un fake multi-pseudo. De mémoire Faulkner avait tout pour être un bon pilote, mais ça ne s’est pas fait.
Je me demande si ces deux-là ne se sont pas rencontrés, il me semble l’avoir lu:
Le Paquebot, lecture en cours : La Verdurin (Bianca de Cheverny) mélange les mots comme Madame Stöhr (La montagne magique)
Anaïs (la gracieuse en hébreu ?): pages 152-153, ai scanné le passage.
Marie Sasseur : oui, leçon dignité chez Faulkner. Admirable. sa position implique le tragique car il donne de la dignité à TOUS ses personnages, même à Flem Snopes. Dignité pour les idiots, pour les prostituées, pour les enfants, pour les Noirs, pour les criminels, pour étudiants fragiles, les vieilles filles, les paysans rusés, les vagabonds, les marchands de fil de fer et de clôture, les très vieux oubliés sur leurs bancs , les cinglés d’aviation, les femmes amoureuses et frustrées, dignité pour tous les plus démunis de son Sud.
Dignité aussi sur sa position si claire à l’égard des biographies.
Je cite sa lettre du 11 février 1949 à Malcolm Cowley qui défendit son œuvre si bien. : » je protesterai jusqu’au bout : pas de photographies, pas de documents personnels. C’est mon ambition d’être, en tant qu’individu, supprimé, évacué de l’histoire, sans y laisser aucune trace, aucun déchet hormis mes livres imprimés. Il y a trente ans, j’aurais dû être assez clairvoyant pour ne pas les signer (mes livres) et, comme certains auteurs élisabéthains. Mon but, auquel tendent tous mes efforts est que la somme et l’histoire de ma vie tiennent dans la même phrase qui sera à la fois ma nécrologie et mon épitaphe : « Il fit des livres et il mourut » (..) Vous avez toujours une cuite de retard sur moi.
Bill. »
C’est bien defendu, Edel, pour les connaisseurs.
Pas mon cas. Je ne suis jamais allée au-delà de » le bruit et la fureur » avec cet auteur.
Bloom, ce soir c’est entrecôte-pommes de terres sautées. Avec de la béarnaise.
Miam !
The Supreme Court Will Hear Lawsuit Over Whether Warhol Committed Copyright Infringement :
« Le bruit et la fureur » de Faulkner est un roman d’une grande difficulté, aux premières lectures, à cause de la chronologie compliquée des stridences, sauts, ruptures et bribes de monologue intérieur. Presque un roman « atonal » comme on dit en musique.. il vaut mieux commencer par « Lumière d’aout », d’une ampleur humaine magnifique « l’intrus »; ou « Pylône », mon préféré.
Les maisons en bois
https://www.instagram.com/p/CaFYAzhoZJL/?utm_medium=copy_link
Il y a des inconditionnels de Faulkner, Edel, vous en êtes Je n’ai pas personnellement envie d’aller plus loin avec cet auteur, laissons le chance à d’autres.
Et puis, ne le dites a personne, mais je prefere son conscrit, qui a aussi son histoire d’ idiot, qui n’en est pas un, le très considérable Steinbeck. Tres engagé socialement, pour les bonnes causes, aussi.
Bonne soirée, Edel.
Je viens de voir une nouvelle qui me met très en colère.
» qu’ils aillent au penal » qu’il disait.
C’est fait !
Quand on dilapide l’argent public pour des » conseils » qu’on devrait avoir gratis avec notre palanquee de hauts fonctionnaires, et pour en arriver a devoir rempiler pour bosser encore plus longtemps, marre !
Vendredi 25 mars 2022
En application de l’article 40 du code de procédure pénale, le Sénat a saisi la justice pour une suspicion de faux témoignage devant la commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.
Le 18 janvier 2022,un directeur associé du cabinet McKinsey a déclaré sous serment devant la commission d’enquête sénatoriale : « Je le dis très nettement : nous payons l’impôt sur les sociétés en France et l’ensemble des salaires sont dans une société de droit français qui paie ses impôts en France ».
Or, l’enquête des sénateurs atteste que le cabinet McKinsey n’a pas payé d’impôts sur les sociétés en France depuis au moins 10 ans. Ces faits ont été étayés par deux contrôles sur pièces et sur place menés au ministère de l’économie et des finances.
Les faux témoignages devant une commission d’enquête, aussi appelés « parjures », sont passibles de sanctions pénales, prévues par l’ordonnance du 17 novembre 1958 sur le fonctionnement des assemblées parlementaires.
Dans le respect de la séparation des pouvoirs, il appartient désormais à la justice de statuer sur ce signalement du Sénat.
Un maroilles pour le fromage.
Superbes souvenirs de voyage, Alexia !
si vous avez l’occasion de voir, ou revoir en replay, cette émission » a la recherche des héritiers », actuellement sur Fr3, le cas de Nelly Kaplan est effarant, par cette vie qu’elle a quitté, comme ça, sans personne.
Vu où se situait la Georgie, indépendante depuis 1991. Merci renato
@Carl Perkins – Boppin’ the Blues
Blitzkrieg Bop
(une nuance pour complaire à closer : le Koweït n’a jamais appartenu à l’Irak. Cela n’interdit pas de tenter un parallèle entre Poutine et Saddam, même s’il ne permettra pas de racheter les minables compromissions d’un Fillon. Ce Saddam, quel itinéraire, quand même … De la semoule de blé dur pour dirphilou qui a besoin de se faire les dents sur quelque chose de pas trop consistant : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saddam_Hussein )
Entre la Géorgie et la Russie, les Ossètes — voir Le Livre des Héros* : mythologies d’une grande et mystérieuses civilisation ; des montagnards qui aiment la magnificence et le gaspillage, qui enseignent le mépris de la mort et cultivent « le goût des comportements exceptionnels et paradoxaux ».
*Georges Dumézil.
@Superbes souvenirs de voyage, Alexia !
Transposition : des cars entiers de ces étrangers d’autrefois, ou leurs descendants, qui aspirent avec tant de force à rejoindre l’UE, devraient venir nous rendre visite et insister pour rencontrer les populations indigènes, en dehors des circuits convenus ; un avant-goût de ce que pourrait être leur expérience : » Cheminant par monts et par vaux dans ce quartier privilégié de l’ouest parisien, nous avons vu venir de tous côtés des hordes de gens, plutôt jeunes, essentiellement blancs, et passablement bcbg, tenant dans les mains des drapeaux tricolores roulés dont ne dominait le plus souvent que la couleur rouge.
Des populations bons enfants, visiblement pas de gauche, qui revenaient du meeting de Zemmour au Trocadero. »
Jazzi dit: à
Superbes souvenirs de voyage, Alexia !
–
Bof.
Odessa, je connais. Il y a de grand escaliers, mais bof bof bof en réalité. La crimée ne baut le deplacement que pour ses tomates en réalité.
Aller jusqu’en Finlande pour faire du golf, il faut quand même n’avoir que ça à faire.
Hôtels réservés aux étrangers
–
Ça me paraît évident. Je ne vois pas trop pourquoi les moscovites auraient dû aller à l’hôtel alors qu’ils avaient tous un chez eux
.
Je ne comprends pas que l’on critique de cette façon un pays où personne ne vous à obligée a y aller. C’est typique d’une attitude de bourgeois capitaluste.
Heureusement il nous reste renato, un être complexe, hautement cultivé dont l’immensité de sa réflexion ne dépasse que la profondeur de sa sagesse, fruit de la récolte d’une vie entière dédiée à l’art, à la littérature à la philosophie, à la philologie, avec en plus des rencontres qui réussissent à faire de son carnet d’adresses un almanach doré sur la tranche, une pléiade.
C’est pour cela que je le porte aux nues.
Vu Les chinois à Paris, film plaisamment daté. Pensé à D.. Ne possède pas de carte bancaire ; les tribulations de Mastercard et de Visa en Russie, leurs effets sur Netflix, ne font même pas de moi une victime collatérale des exactions de Poutine. Je pourrais m’accommoder de tous les régimes, surtout de ceux à base de pomme de terre. Enfin, certains le croient ; le reconnaissance du ventre a ses vertus, et ses limites
@des flics partout..reuzment qula chine est réveillé baroz..le sac même alesquia elle a pas le même
https://www.sickchirpse.com/wp-content/uploads/2015/04/Weird-China-Fact-Shanghai-Pyjama.jpg
Assez fabuleux
@@Carl Perkins – Boppin’ the Blues
Blitzkrieg Bop
Bonne nuit les minets
https://www.youtube.com/watch?v=q__vqP7L3Cw
Le baba au rhum me paraît bien plus dangereux que la femme en terme de tentation.
Désolée tte la journée d’hier pour Christian Bobin qu’il n’ait pas encore vécu l’amour.
Hier midi mangé Colin à l’oseille findus et patates vapeur rouges.
Hier soir trois p’tits oeufs de poule avec épinards frais crème fraîche.
Oui.
L’a pas trop crié Colin.
MARDI 29 MARS 2022, 5h19, 13°, temps calme
Le Paquebot d’Assouline vient de brûler, j’ai réussi à le quitter juste à temps, page 396, lecture terminée !
Excellent roman, sans prétention, sans grandiloquence, sans tout ce qui fait surfait, rien d’inutile. Solide. Témoignage qui n’est pas autre chose qu’un récit où l’auteur-narrateur décrit ce qu’est la vie d’une classe d’humains, des bons et des mauvais, vivant en autarcie, enfermés.
Terriblement documenté, abonde en citations, clins d’oeil, érotisme galant et contenu, juste description d’un milieu en voie de rupture, au fond pas si différent de celui d’aujourd’hui.
Car comme disent les deux autres : « Tout change pour que rien ne change ». « Tout cède, rien ne tient bon ».
Jazzi dit: à
Superbes souvenirs de voyage, Alexia !
Merci, Jazzi. Le plus étrange est que ce voyage m’a marquée plus que tout autre et que, malgré le temps, j’en garde des impressions si nettes. Il me revient en mémoire, par exemple, cette intrusion dans notre chambre d’hôtel où nous venions de pénétrer de jeunes soviétiques (comment s’étaient-ils introduits dans des lieux qui leur étaient interdits ?) pour faire main basse sur nos valises à la recherche de jeans et de maquillage, des denrées hautement convoitées. C’était tellement connu à l’époque que nous en avions emporté dans nos bagages afin de les donner. Malgré cela, nous avons eu droit à quelques roubles impossible à dépenser vu que dans les seuls magasins (beriozka) où nous pouvions aller ne prenaient que des devises convertibles.
Il y a aussi l’Ermitage et cette suite de salles désertes où étaient exposés de grands tableaux du réalisme socialiste (si recherchés de nos jours), les visiteurs s’agglutinant au grenier, pour ainsi dire, où avait été relégué l’art occidental bourgeois, ces fleurons qui font aujourd’hui courir à la fondation Vuitton. Je me souviens d’un Bonnard accroché dans l’embrasure d’une fenêtre donnant sur la Neva au risque d’être bousillé par la lumière et le soleil.
Ce soir où nous avions déjoué la surveillance d’Olga et où, dans le métro, notre trio est approché par deux jeunes gens au français parfait. Ils finissent par nous inviter dans l’appartement d’un troisième avec d’infinies précautions et stratagèmes pour ne pas risquer d’être dénoncés. Nous arrivons dans un appartement d’apparence modeste, sommairement meublé, du papier journal aux toilettes. L’un des garçons à propos de la famille de notre hôte : « ils sont riches, ils sont juifs ». Belle soirée, fertile en discussions très libres et, chez eux, étudiants brillants, le malheur d’étouffer dans ce pays, une conscience très claire de leur situation de prisonniers et que l’occident n’est en rien à l’image de ce que la propagande voudrait imposer.
Rose remercie Renato alors que c’est moi qui a donné la précision sur la Georgie…
On est bien peu de chose.
Merci Closer.
« Belle soirée, fertile en discussions très libres et, chez eux, étudiants brillants, le malheur d’étouffer dans ce pays »
La meilleure façon de communiquer, surtout à cet âge, c’est de coucher, Alexia. L’avez-vous fait ?
C’est pour cela que je le porte aux nues.
Michel Ange aussi.
Lien pas passé deux fois de deux petits anges accoudés et mutins.
Qu’est-ce que tu lis vite, JC !
Le moins que l’on puisse dire c’est que le roman de Passou t’a tenu en haleine.
« un récit où l’auteur-narrateur décrit ce qu’est la vie d’une classe d’humains, des bons et des mauvais, vivant en autarcie, enfermés », dis-tu, mais rien d’original dans la forme, ni d’indispensable du point de vue du signifiant, de la connaissance de la psychologie humaine, du message, semble-t-il.
Y avait-il urgence pour son auteur à l’écrire et à fortiori à le publier ?
Mais je dois probablement en demander trop à la littérature, surtout celle des autres !
La meilleure façon de communiquer, surtout à cet âge, c’est de coucher, Alexia. L’avez-vous fait ?
hassez havec ton manspreading baroz..et tes partage de fluide et d’odeur..nous les hétéro on est plus sicrète..davantage si entente suivant longue et serrée causette philo et métaphisique qu’il dirait dirfiloo
Rose remercie Renato alors que c’est moi qui a donné la précision sur la Georgie…
tu vois celle là est des plus subtil hétéro baroz..un homo srait déjà a dire « la tienne ou la mienne de vazline? »
Le temps des assassins
Retour d’un vieil air connu, hélas !
Des hétéros discrets, le boug ?
https://www.leparisien.fr/international/des-mercenaires-russes-du-groupe-wagner-deployes-dans-lest-de-lukraine-29-03-2022-4AGJVU7DKJAWPGRKNYZ4KSUO2I.php
Témoignage qui n’est pas autre chose qu’un récit où l’auteur-narrateur décrit ce qu’est la vie d’une classe d’humains, des bons et des mauvais, vivant en autarcie, enfermés
est ce qu’ils communiquent..enfin qu’ils s’enculent?..sinon..franchment..y’a pas de thèse haucune..c’est pas dla litterature même..osons le mot
Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de Paquebot avec Pierre Assouline ?
Je ne comprends rien. Il est parti en croisière Costa ?
Des hétéros discrets, le boug ?
si c’était dans l’métro alesquia elle rmettrait fissa a leur place..et ça filrait doux..chpeux tle dire..l’armée cest que du laisser aller
C’est moi qui a. Bravo Closer. De mieux en mieux.
« ils sont riches, ils sont juifs »
ouyouyouye..des pays où la concurence ethnique est presque toute l’estoire..ça fait -trés- mal..hévidemment polo y va dire qu’on était large d’esprit et qu’on kiffait bien les français..ils en ont une..leur largeur d’esprit est pas la même que la nostre..trés difficile d’accés
Le soir je bois depuis quelques mois.
Alors le matin je relis voir si je n’ai pas écrit de conneries. Mais non.
« Guerre en Ukraine en direct : Kiev appelle «tous les États à criminaliser l’utilisation du symbole Z» »
Merde !
A cause de Poutine, va falloir que je change le « Z » majuscule du léZard ?
C’était tellement connu à l’époque que nous en avions emporté dans nos bagages afin de les donner. Malgré cela, nous avons eu droit à quelques roubles impossible à dépenser vu que dans les seuls magasins
havec ça les djiaïz y couchaient havec ta grand mère alesquia..hawhawhaw qu’il fait bodjo
Le soir je bois depuis quelques mois.
Alors le matin je relis voir si je n’ai pas écrit de conneries. Mais non
tu t’entraines a fraterniser avec le russe..sale collabo de dédé
le malheur d’étouffer dans ce pays, une conscience très claire de leur situation de prisonniers et que l’occident n’est en rien à l’image de ce que la propagande voudrait imposer
..on est en 1950 madame alesquia
https://www.youtube.com/watch?v=Yy2qOWfW_K0
Jazzi, je lis vite, c’est exact et je dispose de tout mon temps, à mon gré bien entendu !
En particulier s’il s’agit d’un récit-reportage raconté par un narrateur-témoin de ce monde embarqué, disparu, récit qui intéresse car il est prenant.
Le signifiant n’est pas l’ambition de premier plan du roman, l’analyse est liée à la personnalité du narrateur, à ses sentiments, à son aventure, pas à la volonté de l’auteur de faire acte d’idéologie.
Ce sens se dévoile bien évidemment au fil des pages, mais l’auteur procède discrètement, avec élégance et mesure.
J’ai beaucoup aimé ce livre.
La crimée ne baut le deplacement que pour ses tomates en réalité.
celle là te vaudra quelques années de mine dédé..et bien profond qu’elle dira bonne clopine
Presque un roman « atonal » comme on dit en musique..
halors là..là..c’est copernicien quelquechose..et personne le voit..reuzment chus là polo
Dédé, ne joue pas au con !
Tu gagneras à tous les coups !
Pierre Assouline a repris du service dans la Marine de guerre russe….son Paquebot est un navire-espion Wagnérien, basé sur le Léman.
Closer, depuis Sarko même les déficients comme moi se souviennent que la Géorgie n’est pas un territoire russe.
5000 morts à Marioupol, jusqu’à 10 000. Deux négociateurs russes probablement victimes d’empoisonnement quoique pas morts , le Kremlin accuse les ukrainiens d’être à l’origine des frappes sur les civils.
Dignité pour les idiots, pour les prostituées, pour les enfants, pour les Noirs, pour les criminels, pour étudiants fragiles, les vieilles filles, les paysans rusés, les vagabonds, les marchands de fil de fer et de clôture, les très vieux oubliés sur leurs bancs , les cinglés d’aviation, les femmes amoureuses et frustrées, dignité pour tous les plus démunis de son Sud
j’ai cru que polo allait parler de sinmalo..mais non pas du tout..vois un peu cette abnégation dédé..et prends en dla graine..non pas de tomate de crimée sinon c’est le coup de knout..à nacheville les moujiks on pas de dignité
Notre père qui est aux cieux, fais en sorte qu’il arrive rapidement quelque chose de fatal à Poutine ce pourri.
Au risque d’assombrir l’ambiance polissonne, c’est à Moscou, la nuit précédant notre retour que ma condisciple en prépa à H4 a été violée par 3 de nos camarades avinés. Ce qui a détruit sa vie. Ce qui m’a mise sur le chemin de ce féminisme qu’on me reproche quelquefois ici même. Elle avait 16 ans, était jolie, brillante, vierge. Elle est devenue une loque à la limite de la clochardisation.
Pour les criminels? Relire sanctuaire, la scène dans la chambre, voyeurisme , impuissance, débilité mentale, viol. Défend il la dignité de son Popeye?
ON A LE CHOIX
A vous de voter. Douze candidats. Un ancien berger du Sud-Ouest. Trois trotskistes :; deux qui le sont restés, et un qui est passé par la case ministre et sénateur socialiste. Un candidat communiste. Une candidate socialiste. Un écolo. Un centriste qui a réussi ce que Bayrou avait rêvé de faire pendant trente ans. Une candidate de droite. Un souverainiste. Deux candidats d’extrême droite.
Choisissez.
Ah mais vous êtes une vieillarde, le viol laisse toujours des traces. Je n’ose imaginer le viol collectif. C’est une arme de guerre, mais là encore je n’énonce malheureusement qu’une évidence que n’abandonnent pas les état-major ou sur laquelle ils ferment les yeux. Le repos du guerrier victorieux.
Chère B
Je ne vois aucune différence entre le collectivisme totalitaire d’un pourri comme Putin, et celui, identique, de Dieu, tyran Tout-Puissant !
Quelles preuves du collectivisme totalitaire de Dieu. S’il existait en tant que puissance agissante, je lui reprocherais son indifférence, sa cruauté, son désinvestissement des affaires humaines. Il ne s’occuperait que de philosophie dans l’abstraction de l’infini.
Moi je choisis Charoulet.
Ceci étant, AN, déplorer les petites filles au doigt( les petits garçons)doit également être considéré comme viol ainsi que les attouchements sexuels. Ceci concerne bien évidemment toutes femmes non consentantes .
c’est à Moscou, la nuit précédant notre retour que ma condisciple en prépa à H4 a été violée par 3 de nos camarades avinés
on est pas malentendant alesquia
Déflorer.( c’est déplorable et criminel).
mais alesquia..-tous- les meeting de l’eurodroite finissait pas « communiste assassin »..tous..c’était le cridsinge..jamais il a été relayé par les média
bénito était un paumé sans avnir..il a suffit qu’il casse du coco..et comme par henchantment les industriels lui ont filé du fric..et la navé va qu’il dit rénato
« les juifs sont riches »;
Cela ne peut pas etre faux puisque même les enfants le savent
j’en ai eu confirmation un jour il y a quelques années lorsque mon petit fils, 4 ans ,alors eleve en maternelle, m’a dit un jour:Tu sais grand’mere les juifs sont très très riches
4 ans en maternelle..tu peux le changer en un grand S ton z baroz..ça le fait..mais pas 2 attation..même en maternelle il le savent déjà..pense!
et ces militaires qui faut pas mépriser du tout qui dit folqnère..souviens toi.. »il nous faut une force de projection..la guerre terress havec les russes c’est du 20 eme siéc..c’est finito bande de démocrates himbéciyes! »..non mais chte jure..des tomates..pas de crimée..sauf si elle sont blettes..elles concervent pas
Je suis d’accord Dédé : Charoulet est un dieu, donc un tyran collectiviste totalitaire et minable, pire que Dieu !
Dieu merci, je ne crois pas en Lui qui a laissé son Fils, un vrai dingue ce gosse, vivre une vie de saltimbanque raté !
et..et..jme souviens qu’il se passait pas 6 mois sans qu’un « grand » journal nous bassinait havec une attaque himminente des chars russe..24 heures..12..15mn qui dit grûn havec les ss20..et at-tendez attendez..kabloom disant « la cia et bodjo nous avez prévnu que poutine allait attaquer..mais comme c’était en angliche vous avez rien pigé »..non mais chte jure..chte jure..la crimée elle produira -jamais- assez
Jazzi, dans 6 mois ton Z méchant sera oublié, passé de mode ! Donc, garde le.
vivre une vie de saltimbanque raté !
..et quand tu réussi y sont jaloux qui dit poutine
« Je me souviens d’un Bonnard accroché dans l’embrasure d’une fenêtre donnant sur la Neva au risque d’être bousillé par la lumière et le soleil. »
On a tous cette crainte du tableau mal exposé, même dans notre propre lieu d’habitation.
Merci Alexia et bonne journée!
On a tous cette crainte du tableau mal exposé, même dans notre propre lieu d’habitation.
c’est une scie de l’humour russe qu’a stalingrad beaucoup on finit a boucher les fnêtes..des grands russes ont écrit la dsus..tes craintes de planqué
ça en dit long sur la mentalité des camarades communistes Alexia…car je suppose que cette petite escapade en URSS était peuplée de jeunes militants du PCF et de compagnons de route…
Rose, qui est prof de français, a eu l’élégance de ne pas relever ma faute, D.
en somme c’est dsa faute alesquia à ta copine quil dit cloclo..quand on est aouère et qu’on a une conscience politique on garde son 45 et on reste à la maison
dailleurs..quand drh a dit 4 ans..cloclo il l’a pris pour lui..
Ah vous trouvez ça bien, vous, un professeur de Français qui ne relève pas les fautes ?
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Personnellement, je comprends un peu la réaction de Will Smith. Voir sa femme insulter par un excrément de l’humanité est évidemment insupportable. Il n’aurait sans doute pas dû le frapper, mais — et c’est ce que j’aurais fait — lui cracher à la gueule. Will Smith a finalement fait amende honorable dans un message sur les résaux sociaux, déclarant :
«La violence sous toutes ses formes est toxique et destructrice. Mon comportement aux Oscars hier (dimanche) soir était inacceptable et inexcusable. Les blagues à mes dépens font partie du travail, mais une blague sur l’état de santé de Jada était trop lourde à supporter pour moi et j’ai réagi avec émotion», a-t-il expliqué. «Je voudrais vous présenter publiquement mes excuses, Chris. J’ai eu tort (…) Mes actions (la gifle puis les insultes qui ont suivies Ndlr) n’étaient pas révélatrices de l’homme que je veux être. Il n’y a pas de place pour la violence dans un monde d’amour et de bonté. Je voudrais également présenter mes excuses à l’Académie, aux producteurs de l’émission, à tous les participants et à tous ceux qui regardent la cérémonie dans le monde entier. Je voudrais m’excuser auprès de la famille Williams et de «King» Richard (Williams). Je regrette profondément que mon comportement ait entaché ce qui a été un voyage magnifique pour nous tous», a-t-il ajouté, avant de conclure qu’il suivait une thérapie. (Match)
Il faudrait donc admettre que l’incident est clos. Comme le disait Montherlant : « Qui a ouvert l’égoût périra pas l’égoût. » Que cet incident montre aux humoristes qu’on ne peut pas tout se permettre. Un jour, on paie l’addition. Cela peut être une claque retentissante. Cela pourrait finalement être pire. Je pense qu’il serait injuste que Will Smith ait à payer professionnellement cette giffle méritée (selon la loi du talion). Et puis, par exemple, on pourrait décider de ne plus faire présenter les Oscars (et toute autre cérémonie à la tévé, comme les malheureux Césars aussi) par des artistes ratés qui ne font même pas rire. Après tout, un peu plus de sérieux dans tout ça ne ferait pas de mal : du sérieux, de la dignité et du respect pour le travail accompli.– Comme me choque la manière dont certains parlent de Faulkner ici. C’était un très grand romancier, et Paul Edel a raison de le défendre. Si Sasseur la Terrible n’en peut plus de Faulkner, qu’elle n’en dégoûte pas les autres. En tout cas, cela ne mérite pas une gifle, mais qu’on lui tapote la joue en lui sussurant : « Pauvre Baby Doll !!! »
fais pas ta blaque fesse keupu..haprés la main de meussieu courte dans sa culotte qu’elle a accepté sans se cripser j’ai clairement compris que térezoune comptait au moins sur un pti mot de polo pour un pti boulot à loffils du tourisme de sinmalo..il a le bras long haussi polo..et toi t’es toujours haussi con
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en belgique y’a pas de lutte de classe..tout le monde il mêne la vie de chateau à moulinsart et donne son samedi au moins une fois par an à nestor
Damianus, me gustas tu.
» tu sais ce qu’elle te dit la » pauvre baby doll » ? »
Il y a bien une Californie
Quelque part où aller
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