de Pierre Assouline

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La République des livres
Au-delà de cette limite votre ticket…

Au-delà de cette limite votre ticket…

Le nom de Teresa Juvé ne vous dira probablement rien et celui de Jaume Plagumà, le personnage qu’elle a créé, pas davantage. Ce qui n’est pas étonnant : malgré le succès de sa série de romans historiques policiers dont cet enquêteur et héros récurrent est une sorte de gouverneur du XVIème siècle qui travaille à la cour de Felipe II, cette romancière n’a guère été traduite en français en dehors d’Un marécage dans la ville, ses mémoires d’exil. Et vous n’auriez jamais découvert son existence si la presse catalane ne nous avait appris ces jours-ci la parution de son nouveau roman sous le titre Morts al peu del Reial Alcàsser (éditions Meteora) A l’âge de 101 ans. Vous avez bien lu : cent un ans. Ce qui en fait la doyenne des lettres catalanes, espagnoles et, qui sait, européennes sinon mondiales (prudence, ce genre de pari est toujours risqué).

A l’annonce de cette parution inattendue, plusieurs scènes me sont revenues en mémoire. Michel Tournier, alors âgé de 72 ans soit près de vingt ans avant sa mort, croisé par hasard dans les bureaux de notre éditeur commun, m’offrant un exemplaire de son nouveau roman Eléazar ou la Source et la Buisson et, face à mon étonnement devant sa minceur (139 pages, petit format), se justifiant :

« Plus on avance en âge, plus on se dessèche, vous verrez mon vieux, c’est inévitable ».

Avec le temps, l’écriture se resserre dans l’épure. Samuel Beckett ne l’eut pas démenti : Soubresauts, son texte ultime paru en 1989, année de sa mort, comptait 32 pages. Autre souvenir : une promenade avec Julien Gracq dans ses vignes de Saint-Florent-le-Vieil jusqu’à ce qu’il marque un temps d’arrêt lorsque je lui posai la question qui tue (un prochain roman, ça vous taraude ?) ; son visage se dérida soudain et s’éclaira d’un large sourire :

« De la fiction, à mon âge, vous n’y pensez pas ? A partir d’un certain moment dans la vie d’un écrivain, il y a prescription. Ce qui n’empêche pas d’écrire encore et même de publier, mais tout autre chose… ».

La Presqu’île, son recueil de nouvelles, avait paru en 1970 alors qu’il avait 60 ans. Avant qu’il ne s’éteigne trente-sept ans plus tard, il eut le temps d’écrire et de publier huit nouveaux livres, mais tous dégagés de la fiction. On pourrait citer d’autres écrivains encore, Français ou étrangers. Plus qu’un autre, un écrivain se doit d’être solidaire de tous ses âges. Seulement voilà : à 70 ans révolus, leur ticket de n’est plus valable. Enfin, leur ticket de romancier car ils ont tous persisté à publier (comment faire autrement, un écrivain continue à écrire comme il continue à lire : jusqu’à sa mort cérébrale) qui des essais, qui des mémoires, qui des recueils d’articles, de fragments, de bribes, de réflexions ou de chroniques. Mais jamais plus de fictions.

Comme un aveu d’impuissance qui transposerait dans la création littéraire celui que Romain Gary mit en scène sur le plan sexuel dans Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable (1975), son fameux roman sur la conjuration des déclins dans la vie d’un homme d’âge mûr. Georges Simenon, qui ne se voulait pas écrivain mais uniquement romancier, expliquait qu’à partir de 70 ans environ, l’énergie fait défaut non seulement pour créer un monde mais pour porter en soi pendant des mois des personnages auxquels on a donné vie.

Gardons-nous pour autant d’ignorer les contre-exemples. Ainsi Julien Green. Il avait 90 ans révolus lorsqu’il publia sa trilogie (rien que ça !) romanesque Dixie, suivie par quelques volumes de Journal jusqu’à sa mort quasi centenaire. Son éditeur Claude Durand, patron de Fayard, auprès de qui je rapportais la rumeur insistante selon laquelle son fils adoptif Jean-Eric, connu sous le nom de plume d’Eric Jourdan, lui avait certainement prêté main forte, m’assura aussitôt :

« Si vous voulez, je vous amène demain à la banque où ses manuscrits sont au coffre. Et vous constaterez de vos propres yeux que c’est bien l’écriture de Julien Green de la première à la dernière page ».

CQFD. Il y a quelques jours encore, j’eus l’occasion de bavarder avec Mario Vargas Llosa en marge de rencontres entre écrivains espagnols et latino-américains qu’il parrainait à Malaga. La conversation dévia sur Benito Pérez Galdos, dont il se réjouissait d’apprendre que les Français allaient enfin le redécouvrir grâce aux éditions du Cherche-Midi (Les Romans de l’interdit à paraitre ces jours-ci) d’autant que lui-même lui consacre un essai qui parait au même moment en Espagne :

« Je n’imagine pas mourir autrement que la plume à a main. Je me suis lancé dans l’écriture de mon prochain roman mais, je l’avoue, cette fois, ça commence un peu à m’épuiser ».

Un peu… Temps sauvages, le dernier en date épais de 400 pages, est paru l’an passé. Vargas Llosa fêtera ses 86 ans à la fin du mois. Tous les écrivains ne sont pas hantés par le spectre du livre de trop.

(« Manifestation à Kiev, le 20 février 2014 », photo Jeff J. Mitchell ; « Ukraine, 2022 » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 454 Réponses pour Au-delà de cette limite votre ticket…

Paul Edel dit: à

JC bonne critique du roman de Pierre Assouline.
Par ailleurs faire passer Faulkner pour un idiot, faut le faire. .je veux dire que dans son comté de Yoknapatawpha, Faulkner réussit à faire comprendre comment fonctionnent les Snopes face aux Sartoris. Ils ne sont jamais caricaturés, ces voleurs de chevaux, de terres, opportunistes. Il est bien sûr évident que le William, avec Flem Snopes réussit une figure du Mal, comme Balzac et son Vautrin..Il montre le modernisme sans âme, parfaitement bancaire, alors que les Sartoris représentent le passé fichu. Ce Faulkner biblique aujourd’hui on peut le contester avec ses valeurs. Sur le plan de la puissance de création romanesque, chapeau.
Pour l’auteur, les Snopes sont les affreux Yankees envahisseurs avec les carpet baggers venus du Nord. Simplement prenez le temps de relire les trois volumes « Le Hameau », « la Ville » et « Le Domaine » et là le vieux, Faulkner, avec son pessimisme, et ses intrigues paysannes, se montre profond et sincère et donne sa chance a chaque personnage. Faulkner, est bien évidemment un romantique avec une idée d’innocence au départ quand la terre appartenait aux Indiens…. Il montre qu’avec la banque, l’usine, venus du Nord, les aristocrates sont finis. Oui la pensée de Faulkner est réactionnaire. Dans « L’intrus » (récit superbe) Faulkner écrit : »la terre n’appartient pas aux gens ; ce sont les gens qui appartiennent à la terre ».

Marie Sasseur dit: à

Qui a fait passer Faulkner pour un idiot ?
Il y a en qui ne savent pas lire.
Des « Benjy » et des « Lennie » for sure… Ah, ça faut connaitre ses classiques…!

bouguereau dit: à

polo..ce con borné de marc twain disoit qu’il fallait achter dla terre…qule bon dieu en fsait pus..hélonne est pas daccord..il va envoyer pladza keupu mettre un drapeau « vot maison ici pour pas cher »

bouguereau dit: à

les affreux Yankees envahisseurs avec les carpet baggers venus du Nord

le nord c’est le mal qu’il disait guyome dze conquéror..jmen vais les mettre dsous mon gros ventre

MC dit: à

Bouguereau revient aux fondamentaux fantasmes façon la main de ma sœur dans la culotte du zouave. Ça lui permet toujours de remplir six lignes . Ce qui est à ses yeux le moyen d’exister…

MC dit: à

Plus sérieusement pour Faulkner on peut aussi envisager « Tandis que j’agonise » ou le point de vue est par définition limité…

Bloom dit: à

Faulkner nouvelliste procure de beaux moments. Entre le fils à maman de « The Brooch » qui se ménage une sortie en forme de retour à l’utérus, un gun dans la bouche, les haines ancestrales de A Barn Burning, la dégénérescence des Indiens esclavagistes de ‘Red Leaves’ (un sacré « statement »), il y a de quoi nourir son penchant pour une écriture complexe, libre et unique.

Bloom dit: à

Olga Vickery, The Novels of William Faulkner, indépassable.

4e de couverture:

When Olga W. Vickery’s revised edition of The Novels of William Faulkner appeared in 1964, two years after Faulkner’s death, it was immediately hailed by reviewers. Thirty years later Vickery’s work remains the preeminent interpretation of Faulkner in the formalist critical tradition while it inspires Faulknerians of all methodologies. Part One contains detailed analyses of every novel from Soldiers’ Pay to The Reivers, with particular emphasis on elucidation of character, theme, and structural technique. Part Two discusses interrelated patterns and preoccupations in Faulkner’s writing generally. The Novels of William Faulkner continues to be of enormous benefit and delight to readers and scholars.

Janssen J-J dit: à

Durant qu’Alain Finkielkraut échappait à la fatalité d’une maladie nosocomiale, je lisais « l’après littérature » (Stock 2021) recommandé avec insistance par mon ami Philippe : « tu verras, c’est délicieusement réactionnaire ! »… Bon bougre, j’ai noté quelques éléments d’accord et de fondamental désaccord sur le fatras du journal de ces deux dernières années.
1 – des variations amères sur « l’âge de l’Après-littérature » pour expliquer le titre : « un présent caractérisé par une monarchie solitaire » (macronisme ?)… [en contradiction avec un autre passage sur la défense plutôt avisée de la gestion du coronavirus par les politiques du moment, et contre leurs contempteurs : « face à un nouveau Nuremberg qui prend forme, l’Etat est faible et n’en mène pas large, les politiques sont prisonniers ».., comme une nouvelle modalité de Surveiller et Punir, dit-il : »désormais c’est le sort réservé aux politiques ». – Acte pris de la fin de la France comme « patrie littéraire » (un poncif récurrent sous la plume de notre AF de l’AF) ; « la France n’occupe plus qu’une place marginale dans l’actualité littéraire » – Maints motifs de regrets et quelques sentences bien trempées : « quand on généralise la souffrance, on a le communisme, quand on la particularise, on a la littérature » / « le mot juste est la justice de l’écrivain » / « Nous avons besoin des histoires que le roman nous raconte pour ne pas nous raconter des histoires » / – « en temps ordinaires, il y a deux antidotes à la disparition du particulier dans le général : la littérature et le droit (…) en période révolutionnaire, l’humanité et la perspicacité sont remplacées par une pitié impitoyable qui met la justice pénale au service de la justice populaire » – Vibrant éloge de gratitude pour Philip Roth (la tache et Némesis) en tant qu’écrivain « juif anti-identitaire », toujours rétif aux « enrôleurs de romans »… qui dissipe l’illusion de nécessité et rend aux événements leur caractère fragile, fortuit, intempestif, aléatoire »… AF cite à son propos un humoriste profond, Stanislas Lec : « l’histoire n’est qu’une collection de faits qui n’étaient pas obligés de se produire »… Il aurait dû approfondir ce point avec les historiens des possibles, réfléchissant à l’inverse à des hypothèses contre factuelles, comme l’a souvent fait Roth en d’autres romans… – Charge contre « l’oubli du tragique » au profit de la pathologie de l’interprétation dans le roman d’aujourd’hui, telle est l’essence de la pensée post tragique et post littéraire : « il n’y a pas de brouillard, les hommes sont devenus sans égard pour la condition humaine… et on ne comprend plus rien à force de vouloir tout comprendre »… !

2 – les habituelles ratiocinations réactionnaires d’un gauchiste ayant mal viré sa « gauchitude soixante huitarde » (1968 ne fut qu’une interruption) -> :
• charge contre « le » néo-féminisme et ses 5 tares congénitales : amalgamisme ; réalisme socialiste ; désertification du sentiment ; vandalisme : bovarysme –
• 54e César : une « cérémonie de la Haine ». –
• Charge contre un Lionel Duroy, « porte parole de la nouvelle honte d’être un homme ». –
• Charge contre la fête de la musique, devenue « fête de la laideur » (pour cause d’éléctro, techno, et autres musiques de rap). Sur les causes de la « déferlante populiste » ? : « l’anti-élitisme des élites », dans un contexte où, « en changeant de populations, l’Europe a été amenée à changer d’identité »(suivez mon regard, Renaud !) –
• Charge contre les animalistes et autres antispécistes : « faux amis des animaux qui oublient que la sollicitude pour la souffrance des autres espèces est une prérogative exclusivement humaine »
• Charge contre l’écriture inclusive et cette pauvre Michelle Perrot, une historienne qui, à la différence de la grnade Mona O. serait tombée dans le panneau des ‘autrices’ non dérangées. Charge contre les sensitivity readers de la Grande Rectification du politiquement correct / genre, 10 petits nègres… –
• Charge contre les écologistes et leurs éoliennes, d’une laideur en expansion continuelle, obnubilés par la nuisance des énergies fossiles, ils aggravent la dévastation de la terre par leurs prétendus remèdes ! et dans la foulée, charge contre « la sainte colère des petits gardes verts » (Greta T… et alii)

3 – défense de Matzneff et de moi-j : « la justice populaire épanouie sur les réseaux sociaux contre laquelle on ne peut rien, a remplacé la grandeur de la justice pénale fondée sur le droit hors passion justicière » /// « en essayant de rapatrier la justice dans le giron du droit, j’avais insulté les victimes et piétiné la morale « /// – prétexte de l’affaire Mila (2020), une courageuse petite mais devant laquelle se boucher le nez, vu la grossièreté du propos (rappel : « votre Dieu, je lui mets le doigt dans le trou du cul ») – Morale de moijAF : « s’exprimer en public, ce n’est pas se lâcher, mais parler sous le contrôle du Surmoi » !- avec l’aide de Milan Kundera et sa recherche de la pudeur « la liberté de n’être pas vu »… La politesse, tesse, tesse, quoij !

=< Pour le résumé général d’un bouquin de trop à l'rdl : « non seulement le présent égalitaire règne sans partage mais il s’imagine autre qu’il n’est (…) : néo féminisme simplificateur, antiracisme somnambule, recouvrement méthodique de la laideur et de la beauté du monde par les équations de la pensée calculante, déni obstiné de la finitude… Dans son combat contre le mensonge, l’ART est en train de perdre la partie »…

Amen ! Mais non VOY’HONS…, mon bon Philippe (toi qui es né en 1969) !… Tu vas pas aller te mettre à penser ainsi, toi tou !… Je souhaite à ton Alain Ronchon Farceur, un 'prompt rétablissement' j’espère qu’il va maintenant nous rajeunir le contenu de sa prose, nous la décatastrophiser un brin, sous l’avenir radieux de la machronie littéraire et la fin du poutinisme. Car enfin, si tout comme lui, nous « n’avons pas rejoint la caste des privilégiés, ni pris contre l’esprit de la Commune le parti des Versaillais », nous refuserons néanmoins de "plier le genou devant les processus qui nous éloignent des couleurs du progrès, nous font douter de l’excellence scolaire, de la haute culture et de la laïcité, ces valeurs ennemies à abattre au nom de tous les dominés »…
Du pipeau gratiné, Philippe, non ?… et ça te situe bien le gars… Veux-tu y ressembler, une fois ?

closer dit: à

Il est sympa votre copain Philippe, JJJ!

Il a l’air de comprendre deux ou trois choses fondamentales qui vous échappent encore, bloqué que vous êtes dans les années soixante (du 20ième siècle, n’exagérons rien).

et alii dit: à

des petits gardes verts » (Greta T… et alii)
CERTAINEMENT PAS: encore un malade sur la RDL
bonne journée

bouguereau dit: à

une monarchie solitaire » (macronisme ?)

c’est un reich..brigit c’est éva qu’il dirait jicé..le chien c’est dédé..il le fait bien

bouguereau dit: à

« la France n’occupe plus qu’une place marginale dans l’actualité littéraire »

hassez dêtre une grande puissance qui instruit les cons..nous haussi on a droit à être bête..enfin..folknère nous sauve par havance..tu restes digne..y’a que kabloom qui dépare un peu..mais la france pardonne

bouguereau dit: à

néo féminisme simplificateur, antiracisme somnambule, recouvrement méthodique de la laideur et de la beauté du monde par les équations de la pensée calculante, déni obstiné de la finitude…

hon dirait une robe de karlos..heureux comme un hallemand en france qu’il dirait dirfilou

bouguereau dit: à

mimi gaga..sinon rien

bouguereau dit: à

façon la main de ma sœur dans la culotte du zouave

pépèpe..pas si vite..faut qutul mérites mon zouave qu’elle dit térezoune

Marie Sasseur dit: à

Ah, ça faut connaitre ses classiques…!

Aux idiots et pas qu’à moitié:

« But Mousie, thou art no thy-lane,
In proving foresight may be vain:
The best laid schemes o’ Mice an’ Men
Gang aft agley,
An’ lea’e us nought but grief an’ pain,
For promis’d joy! »

Mais oui, bonne idée ! « Il est avantageux d’avoir où aller »

http://www.fondationlecorbusier.fr/corbucache/410x480_2049_1149.jpg?r=0

bouguereau dit: à

Du pipeau gratiné

formule hardie..si ya des crêtes de coq dirfiloo dirait qutu dois ptête consulter

Jazzi dit: à

De retour au cinéma, le léZard s’est fait des frayeurs métaphysiques en se demandant si l’enfant assassin c’était lui ou bien les autres !

Amanda Lire dit: à

Oh, merci Mimi!

(On dirait que le peintre Estève s’en est inspiré…)

et alii dit: à

sur le monde pendant que vous « consultez »
« . Oleksandr Markouchine s’appuie sur les photographies d’un journaliste ukrainien, Oleg Hryb, montrant des traînées blanches tombant du ciel en pleine nuit. Contacté par BFM-TV, l’édile a déclaré : « Des spécialistes doivent venir pour confirmer cela à 100 %. Aujourd’hui, nous considérons à 90 % qu’il s’agit de bombes au phosphore. »

Écouter aussi Crimes de guerre en Ukraine : la chasse aux preuves
Interrogé sur BFM-TV, le 23 mars, l’ambassadeur d’Ukraine en France, Vadym Omelchenko, n’a pas pu confirmer l’usage de phosphore blanc à Irpin. Il a, en revanche, assuré que son pays avait des « preuves » de différentes attaques similaires, qui seront envoyées à la Cour pénale internationale.

Alexia Neuhoff dit: à

Mahraban, Janssen ! Dire que je me suis fait un sang d’encre à cause de votre absence alors que vous étiez à vous user les yeux et les nerfs sur un bouquin de Finkielkraut… Le plus plaisant et le plus inattendu à la suite de votre compte rendu c’est la réaction d’et alii à votre (Greta T… et alii).

et alii dit: à

P.Jorion s’explique à propos de GOEDEL QUE J4AI évoqué ici , dans une vidéo sur son blog:
Me faire comprendre, même des …. mathématiciens
https://www.pauljorion.com/blog/

Janssen J-J dit: à

fallait pas, aleskiane ! oui, etalii s’est toujours prise pour une etc. On consulte grave depuis tous ces conseils erdéliens… mais sans grands résultats, à vrai dire. Bàv,

et alii dit: à

et alii s’informe auprès des auteurs avisés des questions et problèmes de « l’histoire » ,et non des imposteurs

et alii dit: à

des imposteurs et manipulateurs qui considèrent les femmes comme un gibier qui leur est dû

B dit: à

A propos de paquebot, si c’est le bon, Andropov est mort en 1984 à Moscou, je suppose qu’il a été hors d’usage politique un peu avant de quitter le sol dans une fusée Soyouz. Vous êtes contemporaine de DHH, AN ou alors le tout est littérature.

JC..... dit: à

Et alii, Ne refusons pas la vérité !

Oui, les femmes toutes sauf maman sont du gibier ! Antilope, tigresse, lionne, louve, truie, vache, cochonne, chienne, rate, souris, belette, perdrix, chevrette ou biche dodue/charnue… du GIBIER !!!

renato dit: à

B., il y a quelques jours de là, AN a écrit se souvenir d’un cours de Barthes. Or, RB est mort en 80, nous avons donc trois possibilités, je vous laisse choisir.

B dit: à

Shakespeare ou Steinbeck? Je ne les ai approchés qu’en français. Mon exemplaire des raisins fait pitié, scotché avec du sparadrap à emballage, 1 ou 2 euros sur la brocante, mais quel régal! Quant aux souris, il a dû être perdu dans un déménagement ou un autre. Est ce une citation extraite de ce livre que j’ai pour ma part lu dans une autre vie?

B dit: à

Renato, oui, l’affabulation si bien écrite et développée peut faire littérature.

et alii dit: à

intéressant aussi en vidéo
12:47 / 22:Un ancien agent du KGB explique les méthodes d’empoisonnement Russes
à propos d’ABRAMOVITCH

Alexia Neuhoff dit: à

@B
Je n’ai pas l’heur de connaître DHH mais comme je ne pense pas qu’elle soit une chimère et qu’elle vit à la même époque que moi (et tous les contributeurs de ce blog), il y a des chances pour que nous soyons en effet contemporaines. Vous sentant tourmentée par les questions d’âge, je suis née en 1968, après les « événements » : je vous laisse à votre calculette.

B dit: à

Vous avez 11ans de moins que moi. En 89 j’avais ..ans. En 79 âge théorique du départ d’Andropov .. , vous 9ans.

B dit: à

Nous, je crois, ne condamnons pas les habiles multiples pseudos, de là à gober tous les bobards, il y a une marge. Un no man’s land, c’est sûrement le lieu de toutes les inventions.

B dit: à

AN, je ne m’en sers pas tout le temps, une annee de feuille de soins sans calculette m’a rendue assez bonne en calcul mental. Année 82, depuis il est vrai j’ai consommé un tas de substances qui ont affaibli mes capacités mnesiques et cognitive.

B dit: à

CognitiveS, correcteur.

B dit: à

J’ai connu des gens qui se sont balades en URSS, ce n’etait pas la Chine en matière de contrôle .

et alii dit: à

LA conclusion-d’une certaine façon-des experts sur la société russe commentant sur la video que je vous ai signalée,c’est que les occidentaux sont NAIFS

Alexia Neuhoff dit: à

Andropov a quitté le pouvoir en 84, à sa mort, au mois de février. J’ai donc eu le bonheur de connaître l’Urss, l’été de la même année, sous la houlette de son successeur : Tchernenko. Ces gérontocrates, s’ils faisaient des dégâts, ne faisaient pas long feu.

DHH dit: à

@Alexia
non nous ne sommes pas contemporaines
vous êtes plus jeune que mes enfants;vous ne pourriez même pas m’avoir eue comme prof car j’ai quitté l’EN en 1968
en revanche vous avez peut-être eu en prepa à H IV deux anciennes collègues et amies du temps de nos debuts communs ,Therese Weil et la regrettée Helene Rioux
Mais puisque vous me donnez l’occasion de m’adresser à vous ,je voudrais vous demander quelle suite le lycée a donnée au drame que vous nous avez raconté

D. dit: à

Attendez je ne comprends plus. Qui a 9 ans de moins que qui et qui a 79 ans ?

D. dit: à

Qui n’a pas 11 ans ?

D. dit: à

Je note en tout cas que Monsieur Court a une soeur.

D. dit: à

Content que JJJ soit revenu. Je commençais à m’inquiéter. Je suis d’un naturel inquiet.

D. dit: à

Je note aussi que la soeur de Monsieur Court est dotée d’au moins un main et connaît un zouave.

Jean Langoncet dit: à

@Ces gérontocrates, s’ils faisaient des dégâts, ne faisaient pas long feu.

Une légende voulait qu’on les sorte de temps en temps du congélo. pour faire bonne figure, Gromyko en particulier

Alexia Neuhoff dit: à

@DHH
Je n’ai hélas pas connu Hélène Rioux à H IV que j’ai quitté à l’issue de ma deuxième année, en 85. Le nom de TH. Weil ne m’évoque rien.
Pour ce qui est de mon amie, sa famille a tout fait pour étouffer l’affaire et garder le secret autour de ce drame. Le lycée , s’il en a eu vent, n’a rien tenté pour l’épauler. En revanche, à la suite de son total désinvestissement par rapport aux études et aux échecs qu’il a entraînés, on a su lui indiquer la sortie. Une brutalité qui s’ajoutait à une brutalité. De nos jours, heureusement, cela ne se produirait pas.

renato dit: à

Curieux, B., vous avez choisi une possibilité que je n’avais pas prévu !

Jean Langoncet dit: à

Des morts renommés. Avoir 20 ans à Marioupol : Un nouveau nom s’est ajouté au glaçant décompte des sportifs morts au combat en Ukraine. Maksym Kagal, champion du monde ukrainien de kickboxing ISKA en 2014, est mort au combat le 25 mars dernier dans la ville de Marioupol, détruite par l’armée russe.
https://www.ouest-france.fr/sport/boxe/guerre-en-ukraine-maksym-kagal-ancien-champion-du-monde-de-kickboxing-est-mort-au-combat-eb9d4772-af38-11ec-bb6b-5a5111aa4566#:~:text=Premier%20champion%20du%20monde%20ukrainien&text=Le%201er%20mars%2C%20la%20FIFPro,ont%20%C3%A9galement%20perdu%20la%20vie.

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, une découverte aux éditions Le chat polaire :

« je me fiche pas mal

du regard des gens

je me moque de savoir

ce qu’ils pensent de moi

je me bouche les oreilles

j’entends l’océan

laissez-moi être

ou bouclez-la

laissez-moi suivre ma voie

tant que la poésie

tient ma vie entre ses mains

je n’ai pas peur de mourir

car je ne vieillis pas »

Jean Marc Flahaut, Yoko en noir autour d’elle tout est blanc et menaçant

Source : https://journaldejane.wordpress.com/2022/03/29/un-peu-de-poesie-31/

B dit: à

Renato, 15 ans pour un voyage de classe en URSS alors qu’Andropov venait de ceder la place, ce n’est pas banal. En province dans des lycees de seconde zone nous n’avions pas les mêmes opportunités. On nous fit découvrir le théâtre, seulement. J’ajoute qu’ici, il y a tout de même de quoi douter de l’authenticité des histoires rapportées quand elles sont d’ordre personnel.

Soleil vert dit: à

>JC : Le Paquebot – ne méprisons pas la jaquette du livre et ses personnages souriants quoique colorisés car elle dissimule un secret à la Holbein.
Une fois enlevée elle dissimule la première de couverture vénérable et habituelle des blanches de Gallimard dont la géométrie implacable n’est pas sans rappeler cette fois celle des pierres tombales.

bouguereau dit: à

Je note aussi que la soeur de Monsieur Court est dotée d’au moins un main et connaît un zouave

je fais en planque pour le loger et le serrer à la sortie qu’elle dit térezoune

bouguereau dit: à

la géométrie implacable n’est pas sans rappeler cette fois celle des pierres tombales

ça fait bon debut de polar pour un retour d’amsterdam en train avec sa boulette grûn..change pas dmain

bouguereau dit: à

J’ajoute qu’ici, il y a tout de même de quoi douter de l’authenticité des histoires rapportées quand elles sont d’ordre personnel

il suffit qu’elles soient bonnes..l’hestoire..est ce que t’as connu la grosse lulu de la porte sindnis béré?..j’ose pas dmander a drh..elle va dire que c’était gnagnagna une petite gagneuse..baroz..que c’est vraiment des trucs d’hétéro dans le besoin..dédé..je veux pas savoir ce que pense dédé

JC..... dit: à

JC : Le Paquebot – ne méprisons pas la jaquette du livre et ses personnages souriants quoique colorisés car elle dissimule un secret à la Holbein.

Je maintiens mon opinion : jaquette nulle, attrape- couillons !

bouguereau dit: à

Une légende voulait qu’on les sorte de temps en temps du congélo. pour faire bonne figure, Gromyko en particulier

ça me rappelle que j’avais pas la thune pour mon ptimiko quand j’allais au cinoche..que les filles de riches me laissaient lecher le leur..c’était le prix d’une place..je préférai repiquer au truc..j’étais cinéphile et je le savais pas..pas comme baroz quoi

bouguereau dit: à

Je maintiens mon opinion : jaquette nulle, attrape- couillons !

tu fais terrifiant himpitoyabe critique..t’as une longue carrière dvant toi..

Bloom dit: à

Pour qui souhaite aborder les fondements de la réalité américaine, Faulkner importe parce que, comme Fenimore Cooper et Hawthorne avant lui, il explore le ‘péché des origines’ américaines, l’imposition brutale, violente et sauvage d’un système économique fondé sur la spoliation des Indiens autochtones et sur l’asservissement des Noirs importés d’Afrique.
‘Absalom, Absalom’ et ‘Go Down, Moses’, sont à cet égard ses romans les plus anthropologiques.

et alii dit: à

Arcadi Natanovitch Strougatski (en russe : Аркадий Натанович Стругацкий,est né en Géorgie; il a un frère ,Boris,astrophysicien, avec lequel il publie de la science fiction;
d’abord censuré en URSS, puis piblié dans les éditions officielles, il est traduit par Volodine(lequel est français)

et alii dit: à

publié

Jazzi dit: à

« pas comme baroz quoi »

En effet, moi je me débrouillais toujours pour avoir l’argent du miko de l’entracte, le boug, je ne léchais pas le bâton des copains ou copines !
Mais faut dire que je gagnais mon argent de poche à la sueur du front…
Pauvre mais digne, aujourd’hui encore !

et alii dit: à

Stenograffia est un festival international de graffitis organisé chaque année à Ekaterinbourg le premier week-end de juillet. À l’été 2010, des graffitis sur le thème « Europe et Asie : le choc des contraires » sont apparus dans les métros, sur les dalles des quais, sur les chantiers et sur les immeubles de la capitale de l’ Oural . Le thème de Stenograffia 2011 était « Images de bonheur ». En juillet 2012, des artistes du monde entier ont présenté leur vision d’Ekaterinbourg sur le thème « Global Intelligence ».

La description
Le premier festival a réuni des artistes de 25 villes et de trois pays. Il comprenait des artistes d’ Omsk , Moscou , Saint-Pétersbourg , Mourmansk , Oufa , Krasnoïarsk , Irkoutsk , Chelyabinsk , Tomsk , Nizhny Tagil , Perm , Kemerovo , Novosibirsk , Nizhny et Novgorod , et de ( Espagne et Allemagne) . peinture à l’échelle des surfaces urbaines.

et alii dit: à

Depuis la chute du mur de Berlin , les statues célébrant le régime communiste sont des cibles faciles pour les graffeurs vivant dans l’ancien bloc soviétique. Un exemple en est les soldats de l’ Armée rouge russe sur un monument à Sofia , en Bulgarie , qui a été transformé en super-héros et personnages de dessins animés populaires (y compris Superman, le Père Noël, Ronald McDonald et le Joker) par un graffeur anonyme. Les mots « En mouvement avec le temps », écrits en bulgare, apparaissent sous l’œuvre d’art. Le monument que l’artiste a graffé a été construit à l’origine en 1954 pour commémorer le 10e anniversaire de la libération russe de la Bulgarie. [ citation nécessaire ]

En signe de protestation contre le renforcement de la sécurité à St Petersberg en raison du Forum économique international de 2011, Voina (qui signifie « Guerre ») – un groupe de graffitis – a peint un énorme phallus sur le pont Liteiny. L’idée générale est que le pénis se dresse au fur et à mesure que le pont s’élève pour permettre le passage de la circulation. Les prix annuels de l’innovation ont décerné à Voina le prix de la meilleure œuvre d’art visuel. L’œuvre, intitulée « A Penis In KGB Captivity » a valu à Voina 400 000 roubles. Cependant, ils ont dû passer du temps en prison en raison de leur cascade. [4] Banksy , un partisan des bouffonneries du groupe, les a renfloués. [5] Après avoir échoué à obtenir l’approbation de Voina pour inclure la photo, les organisateurs l’ont retirée de leur liste restreinte et la peinture elle-même a finalement été lavée par les pompiers. [6]
https://stringfixer.com/fr/Graffiti_in_Russia

B dit: à

H IV, traduire Henri-IV, évidemment. La soeur d’un de mes copains d’un milieu très modeste a bénéficié d’un repérage et fut envoyée de force à Henri-IV, Paris. J’ignorais qu’il y ait des prépa qui s’ adressent à des élèves avant le Bac.

et alii dit: à

Cette œuvre impressionnante est apparue sur la place du Premier plan quinquennal à Ekaterinbourg grâce aux efforts du calligraphe Pokras Lampas (de son vrai nom Arseni Pyjenkov) en juillet 2019. Un fragment du manifeste de Kasimir Malevitch y a été inclus.

« J’ai dénoué les nœuds de la sagesse et libéré la conscience de la couleur. J’ai surmonté l’impossible et j’ai fait des abîmes avec mon souffle. Nous, suprématistes, nous vous lançons une route », a ainsi écrit l’artiste.

Cependant, la directrice du Musée de la Sainteté d’Ekaterinbourg, Oksana Ivanova, n’a pas tardé à exiger de supprimer cette représentation.

Fin juillet, le graffiti a donc été éliminé par les services communaux, qui l’ont tout simplement recouvert d’asphalte. La mairie a toutefois promis de restaurer l’œuvre, affirmant qu’elle avait initialement reçu l’aval de l’administration de la ville. Pokras Lampas a finalement réitéré son travail, en omettant néanmoins la croix du graffiti.
https://fr.rbth.com/art/83691-graffitis-street-art-scandales-russie

Moralès sed laisse dit: à

un groupe de graffitistes – a peint un énorme phallus sur le pont Liteiny.

L’égal opposé de la fameuse statue de la liberté.

Janssen J-J dit: à

en effet, Robert Bl., comme le disait l’historien américain Isa Berlin : ‘if you put avide slavery, the music would be different, religion would be different, the language would be different ; food would be different’ (in, Many thousands gone, the first two centuries of slavery in North America, Cambridge, Harvard Univ press, 1998), et nos deux historiens du contre-factuel d’ajouter… « sans la traite de l’esclavage, période de violence insupportable, pas de blues, pas de jazz, de Faulkner, de Twain, de mouvement des droits civiques, etc. Cette période de terreur aura aussi été une période d’intense créativité culturelle » (cf. les passionnants échanges entre spécialistes et profanes dans le 12e chap. de Deluermoz et Singaravélou : écrire ensemble l’histoire, un essai d’histoire réflexive et participative, à Grenoble le 11/11/11). Bàv,

Jean Langoncet dit: à

@Je maintiens mon opinion : jaquette nulle, attrape- couillons !

Mais sous le choc, le plaisir qu’il disait Gromyko

Jean Langoncet dit: à

@« les juifs sont riches »;
Cela ne peut pas etre faux puisque même les enfants le savent
j’en ai eu confirmation un jour il y a quelques années lorsque mon petit fils, 4 ans ,alors eleve en maternelle, m’a dit un jour:Tu sais grand’mere les juifs sont très très riches

L’oligarque russe Roman Abramovitch est juif et il est riche ; comment votre légendaire sens de la nuance et votre souci pédagogique exemplaire rendraient-ils compréhensible à un enfant de quatre l’absurdité de sa croyance ?

Jean Langoncet dit: à

(l’enjeu pédagogique comporte un handicap : ne pas appuyer vos explications sur l’exemple caricatural – trop facile, quoi – de Zemour de La Télé et de son équipe rapprochée de campagne)

Jean Langoncet dit: à

enfant de quatre > enfant de quatre ans

D. dit: à

La soeur d’un de mes copains 

… avait la main dans la culotte d’un zouave, sans doute ? Il parait que c’est tendance.

closer dit: à

Le Lycée n’avait probablement rien à voir avec un voyage organisé par les Jeunesses communistes et les parents ne voulaient certainement à aucun prix « faire le jeu » de la bourgeoisie en révélant un crime commis dans la patrie du socialisme par des camarades. C’est comme ça dans toutes les églises.

D. dit: à

Où est passé mon ami Puck ?

D. dit: à

217 480 cas de Covid aujourd’hui.
Ça vous inspure quoi, Bérénice ?

Jean Langoncet dit: à

@rendraient-ils compréhensible à un enfant de quatre l’absurdité de sa croyance ?

Bon, il semble admis de fixer le début de l’âge de raison à sept ans ; tous les espoirs de progression sont donc permis à Zemour de La Télé et sa fine équipe

pourmapar dit: à

En cette fin d’près midi, visite de trois touristes?
Ils parlent anglais, regardent les œuvres d’art…
On discute, l’anglaise est une danseuse professionnelle installée dans la région et elle accompagne un couple qu’elle héberge de jeunes réfugiés ukrainiens présents ici depuis dix jours originaire d’ Odessa.
Une trentaine d’année, jolie fille, cinéaste de profession et lui, tête sympathique, informaticien.
Cela me fait un drôle d’effet, comme si la guerre avait amené devant mon nez des témoins plus que réels face à l’avalanche télévisuelle et numérique!
Pas de pathos, discussion comme avec des touristes lambda, mais chaleureusement.
Lundi, le critique et historien d’art Itzhak Goldberg fera une conférence sur les peintres ukrainien ici. Malevitch, etc… Russie versus Ukraine, je les y retrouvai.
Bonne soirée.

pourmapar dit: à

Désolé, pour les fautes.
Je n’ai pas relu mon texte publié.

Jean Langoncet dit: à

@Je n’ai pas relu mon texte publié

C’est enfreindre la règle d’ici, au pays des dresseurs d’ours

B dit: à

D, rien d’étonnant, plus contagieux et moins méchant. La moitie des francais devrait être contaminée d’ici peu.

B dit: à

Attendez 33,5 millions de contaminés qui se jetteront sur ceux qui ne Le sont pas encore.

D. dit: à

Poutine a perdu. Ouf. Il a juste gagné le Dombass, la mer d’Azov, et réussi l’instauration d’un pétrorouble qui sera plys que bien coté. Une paille, tout ça.

J J-J dit: à

@ Il a juste gagné le Dombass (sic),
Gagné la Bombasse… plutôt, une poupée russe.
Et nous…, bientôt la Guerre, de notre amie Céline.
ouf !

MC dit: à

Jean Langoncet, vous appelez une découverte poétique ce tas de vers libres médiocres? Vous n’êtes pas difficile…

JC..... dit: à

MERCREDI 30 MARS 2022, 6h09, 14°, pluie légère bénéfique pour la végétation

MATCH RUSSIE-UKRAINE

Optimistes, on ne peut que se réjouir d’une évolution positive vers des négociations de paix entre ces deux états-nations entrés en guerre pour de stupides raisons, inventées par de stupides dirigeants.

Pessimistes, on ne peut que ressentir un écœurement infini devant la connerie slave de ces belligérants blancs aux yeux clairs, « européens », se comportant comme des sauvages idiots, des bêtes folles, dans leur jungle sanglante…

JC..... dit: à

Paul Edel, merci !

Jazzi dit: à

Je ne la trouve pas si nulle la couverture colorisée du Paquebot, JC.
Ne souligne t-elle pas la nostalgie du monde disparu d’hier, selon Passou ?
Qu’est-ce qui te met tant en colère dans cette image ?

Jazzi dit: à

« Il a juste gagné le Dombass (sic) »

D. oublie de faire la (longue) liste de tout ce qu’il a perdu, JJJ !

JC..... dit: à

Elle n’a qu’un but : faire vendre. Aucun travail créatif, elle est « jolie » !!!

Chacun ses goûts…

renato dit: à

Jusqu’à maintenant le fasciste Putin n’a rien gagné ni rien perdu. Enfin, oui il a conforté sa place parmi les criminels de guerre…

En face, le président Zelens’kyj voudrait sauver des vies, mais il a affaire avec une population qui ne veut rien lâcher.

Phil dit: à

En face…

ou l’inverse, dear Renato.
Stimulante notule de Paul Edel sur Pasolini, qui certes n’est pas sain(t) mais eut l’intelligence d’étriller le cinéma de Godard.

Bloom dit: à

Exct, 3J.
Je suis heureux que vous citiez un de mes historiens favoris sur la question de l’esclavage et des populations noires américaines (IRa Berlin, plutôt que Isa – cf. Ira Gerschwin) et le premier opus de sa trilogie non encore traduite en français(*), une brillante analyse des différentes migrations intérieures (notamment les états éleveurs d’esclaves), des modifications du travail et de la persistance ravageuse de la notion de ‘one-drop rule’ (l’unique goutte de sang noir) dans la psyché collective nord-américaine.
Faulkner était l’auteur de chevet de Toni Morrison, qui lui avait consacré sa thèse. Tout est dit.

(*)
Many Thousand Gone/ Generations of Captivity/
The Making of African America, The Four Great Migrations

Janssen J-J dit: à

@ R Bl… oui nous en avions beaucoup parlé il y a quelques temps, après la découverte d’Absalon, Absalon (Faulkner->Morrison). – J’imaginais bien que Berlin vous interpellait. Hélas, le post a disparu, mais apparemment vous l’aviez capturé… De même qu’a disparu votre chronique sur Joyce. Que se passe-t-il au juste ?

Janssen J-J dit: à

oups, en remontant la pente, ai retrouvé le message cru envolé par erreur, R- Bl. Encore un coup de Mélanchon. Très drôle, anéfé, cette manière de flanquer tout le monde sur un même pied marin d’égalité sur un paquebot colorisé non aligné : « ces deux états-nations entrés en guerre pour de stupides raisons, inventées par de stupides dirigeants ». Ben voyons d’oncques !

et alii dit: à

Mikhaïl Mikhaïlovitch Bakhtine a étudié à ODESSA

Phil dit: à

Sacha Distel vient aussi d’Odessa mais n’y a pas étudié. Ça fait du monde.

Janssen J-J dit: à

Tout comme moij, Mireille Mathieu n’est pas née à Adossé pas plus qu’elle n’y a étudié le marxisme léninisme russe. Elle adopte cpdt une attitude de neutralité bienveillante à l’égard d’une guerre hybride, se réservant la possibilité d’un nouveau tour de chants à Moscou et à Kiev.

J J-J dit: à

le nouveau film de cedric klapish est formidable, Jzmn… vous devriez aller le voir au + vite.

et alii dit: à

À l’heure actuelle, les notions de « dialogue » et de « dialogisme » sont associées au nom de Mikhaïl Bakhtine, et cela non seulement dans les « études bakhtiniennes » (c’est-à-dire dans l’ensemble des travaux portant sur l’œuvre de Bakhtine et des membres du « Cercle (dit) de Bakhtine 1 »), mais aussi dans différents domaines (par exemple 2 , en philosophie 3 , en droit 4 , en psychologie 5 , en sociologie 6 , et, surtout , en science de la littérature 7 , en linguistique et en analyse du discours 8) où les idées de Bakhtine trouvent leur application. Le contenu de ces notions, ainsi que les définitions que les chercheurs donnent aux termes « dialogue » et, surtout, « dialogisme », variante, d’une part, selon les domaines et, d’autre part, selon les choix théoriques et méthodologiques des chercheurs. Ainsi, en sciences du langage, dans le monde francophone, on distingue le « dialogisme » en tant que propriété de la langue 9 et le « dialogisme » en tant que propriété du discours 10 . On parle du « dialogisme interlocutif » et du « dialogisme interdiscursif 11 », du « dialogisme textuel » et du « dialogisme intertextuel 12 », de l’« auto-dialogisme », du « dialogisme argumentatif 13 » , etc. _ _ Autrement dit, actuellement, dans le monde francophone, l’application des idées de Bakhtine a plus de succès que l’analyse de la conception bakhtinienne.

DHH dit: à

Un roman qui avait eu un succes mondial il y a une trentaine d’années se deroulait dans une plantation du sud americain ,dont l’activite essentielle était un elevage d’esclaves de grand qualité , de race mandingue pure , produits de maniere selective et destines à la revente.
par certains aspects une version sudiste du Lebens horn nazi .
le tite du roman Mandingo je ne me souviens pas de l’auteur
J’ai souvent parlé ici de Faulkner et surtout de ce qui est ^pour moi son chef-d(oeuvre Absalon…
Recemment t j’ai decouvert quatre nouvelles reunies dans un petit folio sous le titre de la premiere :d’entre elles : une rose pour Emily
n’oublions pas que c’est a Malraux qu’on doit l’audience qu’a eue Faulkner dès la traduction en francais de Sanctuaire ,avec sa lumineuse preface , ou il caractérise ce roman comme la rencontre du polar et de la tragédie classique

Janssen J-J dit: à

– et si la fuite du roi louis 16 avait réussi ?
– et si F-Ferdinand n’avait pas été assassiné à Sarajevo ?
Hein, hein ?…
Ces questions méritent vraiment d’être posées. Prises au sérieux, on voit bien comment, en essayant d’y répondre, les historiens professionnels se trouvent inévitablement pris au piège de leurs propres biais, tout comme les profanes amateurs ou contempteurs d’uchronies, une belle leçon d’humilité.

Janssen J-J dit: à

quand on copie-colle sans citer la source, il vaut toujours mieux enlever au préalable les renvois numérotés en bas de page, plutôt que de nous en infliger le pensum, sinon c’est du simple sabotage de feignasse, comme aurait dit Mikhaïl B14, etc.__

Jazzi dit: à

« vous devriez aller le voir au + vite. »

J’irai probablement, mais pas au plus vite, JJJ.
J’ai un tas de films à voir avant, dont le film égyptien « Plumes », l’histoire d’un homme transformé en poule…

J J-J dit: à

babelio nous parle de Karl Oustott… Où vont-ils chercher toussa ?
_______________
Malheureusement, ce livre n’est plus édité. Mais si vous avez l’occasion de le trouver chez un bouquiniste, foncez ! Il s’agit de l’histoire de Hammond Maxwell, fils d’un propriétaire d’une plantation de coton en Alabama, mais dont la principale activité est « l’élevage de négros » – on est dans les années 1830. On suit les activités de la plantation, les récoltes, les ventes et achats d’esclaves, les accouplements de ceux-ci afin de créer de bons éléments à vendre par la suite, le mariage de Hammond, et encore l’entrainement de son « nègre de combat » car les combats de noirs sont très en vogue chez les jeunes gens blancs.

Janssen J-J dit: à

je pense que vous avez désormais atteint la limite au delà de laquelle votre ticket demande d’aller vous recoucher. La souris dit qu’elle n’en peut plus de cliquer sut tout ce qui bouge.
Bàv,

J J-J dit: à

@ l’histoire d’un homme transformé en poule
ah !… voilà qui va intéresser les égyptologues !

et alii dit: à

mille et une excuses pour le lien

La conception du dialogue » de Mikhail Bakhtine et ses sources sociologiques (l’exemple des Problèmes de l’œuvre de Dostoïevski [1929] )
La conception du « dialogue » de Mikhaïl Bakhtine et ses racines sociologiques (à travers l’analyse des « Problèmes de l’art de Dostoïevski » (1929)
Irina Tylkowski
https://journals.openedition.org/praxematique/1755
Linguiste née en Bulgarie, psychanalyste, Julia Kristeva connaît les rapports de dépendance vis-à-vis de l’impérialisme soviétique, mais aussi la richesse de la culture russe. La prose « carnavalesque » de Dostoïevski, qu’elle associe aux derniers quatuors de Beethoven, nourrit son dernier livre. sur pile face

et alii dit: à

l’histoire d’un homme transformé en poule…
en ces temps de grippe aviaire:aïe !

rose dit: à

Et Rika Zaraï ?

rose dit: à

Une paille.
Une moitié de vie.

et alii dit: à

pas une espionne, elle;
« . Traversant les disciplines en sémioticienne, psychanalyste et écrivain, enseignant à Paris et aux États-Unis, donnant des conférences en Chine comme à… Saint-Dié, interrogeant la France à partir de son étrangeté et l’étranger depuis la plus classique des traditions françaises (« je me considère comme un enfant des Lumières »), Julia Kristeva n’a de cesse de déplacer les frontières et, comme le disait Barthes, de bousculer « le dernier préjugé ».
Depuis une dizaine d’années, Julia Kristeva est revenue, à plusieurs reprises, sur son étrange et singulier parcours à l’occasion de divers entretiens radiophoniques ou filmés. C’est cet itinéraire d’une femme qui se présente volontiers comme « citoyenne européenne, française de nationalité, bulgare de naissance et américaine d’adoption » »
https://www.pileface.com/sollers/spip.php?article1127

rose dit: à

Faulkner, auteur de chevet de Marie N’Diayé également.
Qui a une goutte de sang noir sénégalais.

rose dit: à

De par son père, retourné au pays.

rose dit: à

JK
Épouse de ?

et alii dit: à

 »
JULIA KRISTEVA C’est un étonnement pour moi aussi. Il se comprend peut-être si l’on veut bien regarder les relations politiques entre l’Europe et la Russie. On a le sentiment que les médias français ne sont pas à la hauteur de ce bicentenaire du « grand Russe ». Moi, je suis ici avec vous aujourd’hui grâce au général de Gaulle, qui donnait des bourses aux jeunes étudiants européens d’une Europe, justement, qu’il voyait s’étendre de l’Atlantique à l’Oural ; cette vision aura beaucoup de mal à se réaliser sur les plans économique et politique, mais on pouvait imaginer, ou espérer, que sur le plan culturel, les relations continueraient à se tisser. Je pense que la Russie est une sœur ­consubstantielle de l’Europe. Les grandes questions que pose la littérature russe, en particulier, qui ne donnent pas de réponses mais ouvrent à la profondeur du lien social et entrent dans les profondeurs de l’identité nationale et personnelle, sont des questions qui peuvent réunir ceux qui pensent en Russie et en Europe : les intellectuels, les artistes, les écrivains. Notre démarche ne consiste pas à donner des solutions mais à ouvrir des questions. Et il ne faut pas rater des occasions comme celle de ce bicentenaire. Et, apparemment, ça tarde… »
https://www.humanite.fr/en-debat/fiodor-mikhailovitch-dostoievski/julia-kristeva-je-tente-en-quelque-sorte-de-ressusciter

Paul Edel dit: à

Rose, Claude Simon n’a jamais caché non plus sa dette à William Faulkner.

Janssen J-J dit: à

30.3.22 – Nous sommes heureux d’apprendre qu’Eric Chevillard en est arrivé au jour-d’aujourd’huis à sa 4994e pensée chronologique…
(Mais que se passerait-il si la cerise répondait pourtant à l’amour sans espoir de l’olive ?)
Quel homme ! Quelle tête ! Quelle œuvre !
Sommital, vos dis-je, le vivra jusqu’à 120 ans, au moinss… Lui reste pu qu’à en produire 5006… Une poutre devant la soie, yep !

renato dit: à

« Je pense que la Russie est une sœur ­consubstantielle de l’Europe. Les grandes questions que pose la littérature russe, en particulier, qui ne donnent pas de réponses mais ouvrent à la profondeur du lien social et entrent dans les profondeurs de l’identité nationale et personnelle, sont des questions qui peuvent réunir ceux qui pensent en Russie et en Europe : les intellectuels, les artistes, les écrivains. »

OK !!! et qu’ils sont d’accord pour mettre à la poubelle un millénaire d’histoire européenne. C’est vrai, Falconet a créé Le Cavalier de bronze ; nonobstant, eux ils ont rattrapé le retard.

renato dit: à

ils N’ont

renato dit: à

… nonobstant, eux ils N’ont PAS rattrapé le retard.

et alii dit: à

FALCONNET, et COLLOT, Eenato:
. Avant d’avoir eu seize ans, elle entre ensuite dans l’atelier d’Étienne-Maurice Falconet, proche de Denis Diderot, pour apprendre à dessiner. Par la suite, elle devint l’élève et la fidèle amie du sculpteur, qui remarqua son talent inné et sa remarquable précocité. Elle savait surtout saisir la ressemblance et a bientôt modelé quelques bustes2. Son jeune frère devient apprenti chez le libraire Le Breton, qui fut à l’origine de l’Encyclopédie.

Étienne-Maurice Falconet s’attache les talents de portraitistes de Marie-Anne Collot et cette riche collaboration professionnelle fait naître plusieurs rumeurs sur leur relation. Néanmoins, il est difficile de prouver ou nier que Marie-Anne fut la maîtresse du sculpteur, vu que la majorité des sources a été débarrassée de chaque détail déplaisant par sa fille après sa mort. Ce qui suggère une relation d’amour avec son maître sont des lettres de Diderot adressées d’abord à Falconet et elle, puis à Falconet seul pendant leur séjour en Russie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Anne_Collot

et alii dit: à

Renato!

DHH dit: à

@JJJ
merci de m’avoir rappelé l’auteur dont j’avvais oublié le nom du livre que je citais
j’ai beau être tres vieille ,je pense l’avoir lu bien plis tard que la date de parution que vous donnez (1957);j’ai du le lire vers la fin des annéees 60 ,a un moment où il etait tellement à la mode que les ministres le citaient quand on les interrogeait sur leurs projets de lectures de vacances

bouguereau dit: à

Je pense que

c’est ça..nosostros à euyère on fait rien qu’a boire et ruminer..reuszment qu’elle est la kristeva..celle là qui disait « se tirer » si lepen était hélu dans « ce » pays qu’il dirait kabloom..merci..merci..merci hencore

Janssen J-J dit: à

Paul, moi non plus, je n’ai jamais caché ma dette à Claude…. ni pour les Géorgiques. 4e chapitre, une charge incroyable contre George Orwell qui détestait Faulkner.
Je crois qu’on doit écrire Marie N’Diaye (pas de é final) – l’épouse de Joris-Karl, Julia ? un couple uni sous le gaullisme telquel.

bouguereau dit: à

J’ai souvent parlé ici de Faulkner et surtout de ce qui est ^pour moi son chef-d(oeuvre

c’est pas compliqué..malro l’a fait découvrir au populo..et toi à la rdl..merci..merci

bouguereau dit: à

une goutte de sang noir sénégalais

ayouye..et dire qules bro se sont hévertué a dire que tous ça c’était bien estérieur..qules hommes saignaient bien rouge..dla même couleur

bouguereau dit: à

Pasolini, qui certes n’est pas sain(t) mais eut l’intelligence d’étriller le cinéma de Godard

c’est bien..mais son cinoche a pasolini il est pas toujours nickel chrome..mais bon..au moins il a pas fait attende lassouline assis sur sa boite au lette sous la pluie dvant chez lui..en le matant en loucedé au travers de ses rideaux..non mais quel hanculé de suisse ce godard

DHH dit: à

@JJJ
votre histoire d’un homme transformé en poule me rappelle un passage de Batouala où le narrateur raconte un souvenir de sa vie de tirailleur, quand entraîné au bordel par ses copains il est pris en main par une des pensionnaires qui commence par l’appeler mon poulet; terrifié il s’arrache dare dare a ses bras pour échapper au sort qu’elle qu’elle lui aurait jeté qui va le transformer en animal de basse-cour .

bouguereau dit: à

J’ai un tas de films à voir avant, dont le film égyptien « Plumes », l’histoire d’un homme transformé en poule…

ça commence comme ça ‘douillou feuque tchiqueune mozeurfeuqueur’ en égyptien hévidemment..j’l’ai vu..rien qu’lidée ça a traumatisé jicé

et alii dit: à

Le maire de Londres, Sadiq Khan, a appelé à la saisie des maisons de la capitale appartenant à des copains du président russe Vladimir Poutine.

M. Khan a déclaré que le déménagement pourrait impliquer 100 propriétés de luxe d’une valeur combinée de 1,1 milliard de livres sterling, ce qui constituerait une extension spectaculaire des sanctions concernant l’invasion de l’Ukraine.

et alii dit: à

« C’est une forme de justice poétique, mais c’est aussi une bonne utilisation de ces nombreuses propriétés vides assises à travers Londres simplement avec de la poussière accumulée à l’intérieur plutôt qu’elles ne soient utilisées pour loger des personnes qui ont besoin d’un logement. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il serait prêt à accueillir un réfugié, M. Khan a déclaré à Good Morning Britain: « Personnellement, nous ne pourrons pas le faire à cause de l’espace et d’autres problèmes de sécurité, mais j’admire la générosité de ces Londoniens, et nous savons que notre ville est une ville très généreuse.
https://news-24.fr/le-secretaire-a-la-sante-na-pas-pu-donner-le-temps-daccueillir-des-refugies-ukrainiens/

Janssen J-J dit: à

@ ça me rappelle margot duras qui dût attendre qu’il vienne lui ouvrir la porte, alors qu’il lui posa un lapin, ce jour là…
@ Mon histoire d’homme transformé en poule, c’est celle de jzmn, moij’ y suis pour rin… Votre histoire afro-juive, vous nous l’avez déjà racontée, mais l’est toujours aussi amusante
@ douillou feuque tchiqueune mozeurfeuqueur
encules-tu le poulet, nique ta mère ? J’m bien vos hiéro-glyphes-hosât, na !…, comme AN, quel fumet ils nous dégagent !

lmd dit: à

Phil, vous dites que Pasolini eut l’intelligence d’étriller le cinéma de Godard.
Votre parti pris contre Godard vous fais dérailler (si je peux me permettre).
Les deux cinéastes ont développé des positions très opposées (ontologiquement) sur ce que doit être la façon de montrer. Mais Pasolini n’a jamais (que je sache) dit que Godard ne faisait pas de bons films.
Et c’est une constatation amère que ces deux cinéastes là n’ont plus d’équivalent ; un cinéma à la fois très libres, combatif et largement suivi par un public éveillé.

….mais je ne connais pas cette histoire, assis sur la boite à lettre sous la pluie …

lmd dit: à

Et alii ne travaille pas du tout autant qu’elle le dit ; plus d’un mois après le début de la guerre en Ukraine, elle n’a toujours pas révélé que Jack Palence (celui du Mépris) est né de parents Ukrainiens.

Janssen J-J dit: à

@ je ne connais pas cette histoire, assis sur la boite à lettre sous la pluie
… c’est une histoire de sainte-beuve(rie) qui voulut se battre en duel : je veux bien mourir ensanglanté mais pas mouillé, ou qq chose du genre. Choisissez entre le pistolet ou le parapluie, quoi !

Phil dit: à

Palance, une tronche en pied de biche qui facilite pas la négociation

Phil dit: à

Etali préfère les pacifiques comme Distel

Jazzi dit: à

« Et c’est une constatation amère que ces deux cinéastes là n’ont plus d’équivalent ; un cinéma à la fois très libres, combatif et largement suivi par un public éveillé. »

Godard, 90 ans, n’est pas encore mort, lmd !
Très peu de spectateurs pour voir ses dernières productions, contrairement à Pasolini…
Que Passou se rassure, Godard a fait le coup également à Agnès Varda et, en général, à tous les visiteurs qui viennent sonner à sa porte.

et alii dit: à

non, phil, pas comme Mr SCOUBIDOU, mais comme 231

lmd dit: à

Jazzi vous suivez l’actualité du cinéma beaucoup plus attentivement que moi, mais en disant que ces deux cinéastes-là n’ont plus d’équivalent, je pensais à des jeunes cinéastes faisant des films pour des jeunes cinéphiles.
En tout cas, Godard filme (peut être) encore un peu et Pasolini aurait 100 ans. Au delà de cette limite, ces tickets de cinéma ….

Moralès sed laisse dit: à

elle n’a toujours pas révélé que Jack Palence (celui du Mépris) est né de parents Ukrainiens.

Palance ton porc, lmd! 😉 / 😉

Alexia Neuhoff dit: à

Soyez compatissants avec Godard. Personne ne l’a prévenu que le tournage du Mépris était terminé. Cut !

et alii dit: à

pour ceux qui les collectionnent
PVC /PACIFIC VAPEUR CLUB

Alexia Neuhoff dit: à

On ne pourra pas dire qu’et alii n’est pas la locomotive de ce blog !

DHH dit: à

Le premier film de Cedric Klapish sorti su les ecrans parisiens s’intitulait  » chacun cherche son chat » une chronique douce-amere de la vie fragilisée de petites gens dans un quartier parisien en train de changer
il avait seduit la critique par un style innovant et personnel;j’avais aimé et écrit un compte rendu dans une revue au tirage confidentiel
C’est pourquoi il est encore tres présent dans mon esprit j’en garde un souvenir très vif

et alii dit: à

Non, Sadiq Khan n’est pas diplômé d’Eaton ou d’Oxford et n’est pas issu d’une famille richissime comme le candidat conservateur Zac Goldsmith, qui lui est opposé. Il est né en 1970 à Londres dans une famille émigrée du Pakistan, dont le père est chauffeur de bus (la ligne 44 selon le site de campagne) et la mère couturière. «Ma maman cousait des robes pour 50 pence pièce pour apporter de l’argent supplémentaire pour notre famille. C’était difficile, précaire et mal payé. Je veux que mes filles – et toutes les femmes à Londres – aient un avenir meilleur et ne pas avoir à faire les mêmes sacrifices que ma mère a fait pour nous», a-t-il raconté lors de sa campagne.

Cinquième enfant d’une famille de huit, il grandit dans une HLM d’un quartier populaire de la capitale britannique.
ZADIK KHAN
« A l’école, il veut d’abord étudier les sciences pour devenir dentiste. Mais un de ses professeurs a repéré son envie d’en découdre verbalement et l’oriente vers des études de droit. Mais l’homme ne manie pas que les mots puisqu’il a aussi fait de la boxe pour se défendre des attaques qu’il pouvait subir en tant que «paki». »

Mimi Pinson dit: à

Jean Pougny, « Flight of Forms », 1919.
.
À Pétrograd, en mars 1915, Pougny organise la première exposition futuriste et présente des artistes connus sous l’appellation de « cubo-futuristes ». On y découvre deux courants distincts : le premier représenté par Kasimir Malevitch qui propose des variations excentriques du cubisme et le second par Vladimir Tatline qui, transposant le cubisme en volume, pousse jusqu’au bout la logique de déconstruction de la forme.

https://scontent.fcdg3-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/277679138_3004912343093841_1722257598549145402_n.jpg?stp=dst-jpg_p526x296&_nc_cat=100&ccb=1-5&_nc_sid=2c4854&_nc_ohc=iDZ3EzCtLdIAX8oq3uw&_nc_ht=scontent.fcdg3-1.fna&oh=00_AT-2kR0QZEgBkwXHXJnPKgB5JMh2XY1wI1aUQ4aZ4Bh0dw&oe=62493620

DHH dit: à

je viens de recevoir un mail qui m’intrigue et qui pourrait etre le signe d’un piratage du fichier de la RDL
un distributeur vendant par correspondance m’envoie un document publicitaire personnalisé comme ilsle font tous , mais en s’adressant à moi il me designe par mon pseudo sur la RDL
d’autres ici sont-ils dans mon cas ?

Janssen J-J dit: à

ai confondu agnès varda et margot duras, savais bien que je me trompais… merci jzmn et excuses à lmd
la beauté d’un fauve, jzmn ? – z’avez de ces goûts !… z’allez faire de la peine à notre amie corse, au mont saint Godard.

rose dit: à

Oui Paul.
D’autres sûrement encore.

Jazzi dit: à

« Tous les écrivains ne sont pas hantés par le spectre du livre de trop. »

« Chez nous autres, gens de lettres, l’habitude est trop souvent de ne pas tenir compte du fait que nous n’avons plus rien à apprendre à personne. Trop de vieux moulins tournent à vide, bien qu’ils n’aient plus de grain à moudre, s’ils en ont jamais eu. Mais c’est ce dont nous nous soucions le moins : qu’il ne subsiste de nous qu’un tic-tac que la mort seule interrompra et que l’oreille ne perçoit même plus. »
François Mauriac, « Mémoires Intérieurs », livre de poche 1504, p. 148.

rose dit: à

J’ai tiqué aussi sur la beauté fauve. Ai fermé le portail à triple tour du coup.

rose dit: à

Marie NDiaye épouse de Jean-Yves Cendrey.

rose dit: à

DHH

Je viens de vérifier, non. Seul un mail des chemins de fer irlandais, une pub.

Jazzi dit: à

« z’allez faire de la peine à notre amie corse »

L’irresponsabilité de ces intello (à la noix) de gauche, qui font l’éloge des assassins de la République est incommensurable, JJJ !
Les premiers ensuite à hurler à la mort quand l’extrême droite, par leur faute, se retrouve au pouvoir…

lmd dit: à

Alexia Neuhoff, vous faites une remarque désobligeante sur Godard ; attention…
Le Mépris date de 1963. dites-moi quel film de cette date reste plus vivant ?

Bloom dit: à

(Marie Ndiaye)Qui a une goutte de sang noir sénégalais.

Et dont le frère Pap est actuellement le meilleur spécialiste français de l’histoire des Noirs américains (ainsi que le directeur du Musée d’histoire de l’immigration de la Porte Dorée).
Pap Ndiaye s’inscrit dans la continuité du grand Michel Fabre, qui fut le biographe et l’ami de Richard Wright.

Jazzi dit: à

1963 était une bonne cuvée, lmd !

Top films de 1963 :

Les Tontons flingueurs. …
La Grande évasion. …
America, America. …
Entre le ciel et l’enfer. …
Le Feu Follet. …
The Servant. …
Merlin l’enchanteur. …
Le Plus sauvage d’entre tous. …
Le Guépard. …
Huit et demi. …

et alii dit: à

En 2017, le Centre Pompidou a lancé un vaste programme de recherche consacré à l’histoire des arts en Russie et dans les zones géographiques marquées par la présence de la culture russe. Focalisé sur le 20e siècle, ce programme traverse entités politiques (Empire Russe, Union soviétique et Fédération de Russie) et lieux d’émigration.

Engageant différents partenaires, au premier rang desquels la Vladimir Potanin Foundation, il repose sur le constat d’une histoire partagée : la place singulière occupée par Paris dans la géographie artistique du moderne a fait de la capitale française un lieu d’accueil, de résidence et de travail pour de nombreux artistes russes dès le début du 20e siècle. La collection du Musée national d’art moderne (Mnam) reflète cette situation particulière à travers des fonds d’une profondeur unique, accompagnés d’importantes archives conservées par la Bibliothèque Kandinsky.
https://www.centrepompidou.fr/fr/offre-aux-professionnels/recherche-scientifique/russie-20e-siecle

et alii dit: à

La collection de « cinéma expérimental » fait l’objet d’une attention particulière : chaque année, une enveloppe budgétaire spécifique permet l’acquisition d’œuvres filmiques. Des séances de projections accompagnées d’interventions de spécialistes permettent de présenter au public la diversité et la richesse du cinéma russe.
En décembre 2017, un programme consacré à Dziga Vertov et à l’avènement du cinéma sonore en URSS, a réuni une dizaine des spécialistes internationaux, dont François Albera, Oksana Bulgakowa, Maria Korolkova, Valérie Pozner, Andreï Smirnov, Antonio Somaini et Irina Tcherneva.
BEAUBOURG MËME LIEN

Jazzi dit: à

Pap ou Titiane ? Ndiaye, qui explique que les premiers esclavagistes étaient les Arabes, Bloom !

TIDIANE N’DIAYE

L’Afrique des esprits

Spécialiste des civilisations négro-africaines et de leurs diasporas, l’anthropologue et économiste Tidiane N’Diaye nous rappelle, fort à propos, qu’avant d’être chrétienne ou musulmane l’Afrique est avant tout animiste et le demeure encore par bien des côtés. Là, est son identité originelle. Dans Le génocide voilé, l’un de ses ouvrages les plus remarqués, Tidiane N’Diaye se livre à une véritable enquête historique sur ce qui fut sans aucun doute la plus grande tragédie du continent noir : à savoir, la traite négrière arabo-musulmane. Après avoir soumis et islamisé l’Afrique du Nord, puis s’être tournés un temps vers l’Espagne, les Arabes, dès le milieu du VII siècle, razzièrent méthodiquement l’Afrique subsaharienne durant treize siècles sans interruption, massacrant ou réduisant en esclavage des millions d’Africains. Curieusement, cette page douloureuse de l’histoire africaine de nos jours encore est pratiquement occultée, tandis que la traite négrière pratiquée par les Occidentaux du XVIe au XIXe siècles fait toujours couler beaucoup d’encre ?

« L’univers spirituel de l’Africain est composé de trois mondes relativement liés entre eux.
Le premier est son environnement immédiat, c’est-à-dire les hommes vivants, l’eau, le vent, la faune et la flore.
Le deuxième monde est celui d’un être immatériel associé à un ancêtre défunt. Le peuple se tourne vers lui pour formuler ses demandes. Il s’agit d’un aïeul, mort depuis un temps plus ou moins long et devenu une divinité ou encore un esprit de la nature doté du pouvoir d’influer en bien comme en mal sur les vivants. Car dans une dimension métaphysique, ces êtres (ou ancêtres) ne sont pas tout à fait morts, du moins définitivement. Ils continuent d’exister, de peser sur leurs actes et de les modeler. Cette croyance se traduit par le respect pour les morts vivants. Les membres défunts du clan restent proches des vivants. Ils sont nommément invoqués par leurs proches, pendant deux ou trois générations, et reçoivent des offrandes sur les autels familiaux, où sont parfois conservés leurs ossements. L’une des seules continuités qui existent et soudent de nombreuses communautés africaines est la pérennité des traditions ancestrales et des rites s’y rattachant. Les conditions de bien-être, de survie et de réussite dépendent des relations que les vivants entretiennent en permanence avec leurs morts, c’est-à-dire un culte profond des ancêtres. Le respect entre les vivants était aussi fondamental que celui entre les vivants et les morts.
Enfin le troisième monde est le royaume des esprits. Il existe deux sortes d’esprits : ceux qui ne sont pas d’origine humaine et ceux qui, après avoir été humains, sont devenus des « esprits ancestraux ». Mais ces esprits sont en eux, les habitent et gravitent autour d’eux à travers chaque objet. C’est une profonde croyance en un monde où les objets matériels possèdent une âme ou un esprit vivant ou y sont associés. Tous ces éléments sont d’une grande importance rituelle, parce que héritage des pères fondateurs.

Chaque religion traditionnelle est directement liée à l’identité d’une population déterminée. Le prosélytisme n’est pas répandu parmi les peuples africains. Il est donc impossible de trouver une origine historique commune aux différentes religions. Il n’existe pas une seule carte géographique qui permette de suivre leur expansion à travers le continent. L’espace même de l’Afrique étant son infinie diversité. Il n’y a pas de « culture africaine » unique. Cela se traduit par ce que l’écrivain Jean-Noël Schifano appelle les « continents noirs », par opposition au continent noir, qui n’existe en réalité pas au singulier. On peut dire qu’avant que ne s’imposent les grandes religions importées, comme l’Islam ou le christianisme, il y avait en Afrique autant de religions qu’il y a de peuples. Toutefois, il n’existe pas de textes religieux écrits, comparables à la Bible ou au Coran. Mais le respect des rituels attachés aux traditions religieuses dépend généralement des anciens, c’est-à-dire des membres les plus âgés des communautés. Ils transmettent ces rituels oralement, le plus souvent sous la forme de contes et de proverbes. »
(« Le génocide voilé », Collection Continents noirs, Editions Gallimard, 2008)

Bloom dit: à

3J, le petit texte sur Joyce n’a pas disparu: Pierre Assouline n’est pas-que-bon (excusez la piteuse catachrèse), il est aussi fair play.
En réalité, la notule a simplement cédé la place à un autre billet, ce qui est tout à fait dans l’ordre des choses.
Si vous y tenez vraiment, vous pourrez le retrouver en cliquant sur « Le Coin du traducteur ».

J’aimerais avoir le temps d’écrire sur un autre écrivain du Sud dont un des romans est particulièrement d’acutalité en ces temps électoraux, le trop méconnu Robert Penn Warren (All The King’s Men), mais je dois terminer un topo sur S. Khan & Z. Goldsmith (coincidence toute austérienne, cf. et alii)

« London is the greatest city in the greatest country on Earth. If London backs me, it will be greater still ». Z. Goldsmith, The Mail on Sunday, 1 May 2016.
Las, malgré les superlatifs & les assauts de flatterie, ce fut la gammelle majuscule…
Reality DOES cut one down to size, does it not?

et alii dit: à

Les Etats-Unis poursuivent la destruction de leur stock d’armes chimiques sur leur territoire, où se trouvent les deux derniers stocks déclarés dans le monde. C’est en tout cas ce qu’a indiqué ce mercredi l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), basée à La Haye, aux Pays Bas.

Une destruction au Kentucky
Lors d’une conférence visio, les Etats-Unis ont fait état la semaine dernière sur l’avancée de la destruction auprès du conseil exécutif de l’OIAC, a déclaré l’organisation dans un communiqué. La destruction du stock en question, des armes neurotoxiques, se fait dans une usine à Richmond, au Kentucky.

« Les États-Unis sont en train d’achever la destruction de leurs stocks d’armes chimiques restants conformément à une décision de la conférence des États parties » de l’OIAC, a indiqué l’organisation.

Jazzi dit: à

« Les Etats-Unis poursuivent la destruction de leur stock d’armes chimiques sur leur territoire »

Et la Russie, et alii ?

Patrice Charoulet dit: à

« IL Y A UN NARRATIF … »

Sur France Culture et sur plusieurs chaînes TV d’information continue, nous assistons à une épidémie langagière . Une certain nombre (grandissant) de crétins nous disent, en politique étrangère ou intérieure, « qu’il y a un narratif… ». Qu’est-ce que c’est que ce charabia ?
Je n’ai pas l’intention de les imiter.

bouguereau dit: à

patrice est une seminale et sempiternelle et nonobstant excellente trogne de navet..il imite jamais..faut bien qutoulmonde y gagne sa croute

bouguereau dit: à

Pap ou Titiane ? Ndiaye, qui explique que les premiers esclavagistes étaient les Arabes, Bloom !

les egyptiens les grecs les juifs l’étoyent bien baroz..djizeus y dit qu’y a que les bons et les mauvais..serviteurs

et alii dit: à

Charoulet, vous abusez! encore heureux que vous ne puissiez interdire ce que vous contestez!
le lexique sur lequel s’accorde les journalistes leur convient pour ce qu’ils ont à dire; laissons les travailler! ils savent tres bien qu’ils ne sont pas en train d’écrire l’iliade ; et c’est aux lecteurs de les suivre; on peut sans doute demander des précisions, mais jouer les censeurs académiques me semble peu opportun en ce moment

et alii dit: à

s’accordent les journalistes

bouguereau dit: à

Palance, une tronche en pied de biche qui facilite pas la négociation

souvnir ému de palaniouk dans arrowhead dirfilou..qui joue le mauvais indien vivant qui revient d’oxford like pour faire l’alcapone apache bientôt mort..surtout cette scène où revnant de l’école des blancs il enlève son chapeau et que ses cheveux lui descende sur les 2 épaules et que ses 2 noeils lancent des flammes..une formidable grosse légume

rose dit: à

Remarques au kilomètre :

Le mari de Marie N’Diaye, un type de grande valeur.

L’assassin de Yvan en Arles : récemment une co-détenue à mes côtes a fait un signe de croix. G compris l’assassin en un éclair. Je donne tort à Yvan d’avoir blasphème d.ieu devant un islamiste.
C oublier le prix de la vie.
Toujours savoir raison garder, sinon, les raisins de la colère, mauvaise, mauvaise, mauvaise conseillère.

Ils sont très très nombreux à l’avoir loupé leur bac.=> Dédramatiser.
L.Hallyday, Canet, Zidane, Lucchini, et alors ?

et alii dit: à

Etats-Unis : Joe Biden signe une loi faisant du lynchage un crime fédéral
voilà, c’est fait!

renato dit: à

« À Marioupol, les occupants ont pris pour cible le bâtiment du Comité international de la Croix-Rouge. Des avions et de l’artillerie ennemis ont tiré sur un bâtiment qui affichait une croix rouge sur fond blanc indiquant la présence de blessés, de civils et d’aide humanitaire ».
Est-ce un crime de guerre ou pas ?

renato dit: à

Jusqu’à maintenant, les seuls à avoir bombardé des bâtiments et des véhicules avec la Croix-Rouge étaient les troupes de l’Allemagne hitlérienne.

et alii dit: à

‘est un livre important, une sorte de pierre de Rosette, qui permet de saisir une partie des raisons qui ont conduit Vladimir Poutine à agresser son voisin ukrainien. Ce livre s’intitule Le Grand Échiquier, écrit par Zbigniew Brzezinski, l’ancien conseiller diplomatique du président américain Jimmy Carter. Avec Henry Kissinger, Samuel Huntington et Francis Fukuyama, Brzezinski fut l’un des grands théoriciens de la recomposition du monde au lendemain de l’effondrement de l’Union soviétique.

Né en 1928 en Pologne, dans une famille catholique, ce fils de diplomate a onze ans lorsque l’invasion soviétique fait des États-Unis sa patrie d’adoption. Professeur de sciences politiques à Harvard, lié au Parti démocrate, il introduit le concept de valeurs et de droits de l’homme dans la doctrine d…
le point

bouguereau dit: à

Zbigniew

..c’est quand même mieux que djoche kévine..ou dédé

bouguereau dit: à

les seuls à avoir bombardé des bâtiments et des véhicules avec la Croix-Rouge étaient les troupes de l’Allemagne hitlérienne

et toujours..mais toujours à calomnier herman çuilà

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