de Pierre Assouline

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La République des livres
Balzac, nom de noms !

Balzac, nom de noms !

Il est rare qu’un lecteur s’attache à décrypter le nom d’un personnage de roman. A le démonter, l’interroger, l’analyser. Souvent il le mémorise mais moins pour lui-même (originalité, singularité, sonorité etc) que pour sa résonance dans l’histoire, les traits de la personnalité ou les actes de celui qu’il désigne dans l’instant et plus tard évoquera dans l’éventualité d’une profonde et durable réminiscence dans l’inconscient du lecteur. Il en va tout autrement chez le lecteur professionnel et plus encore, chez l’écrivain. Celui-ci s’interdit toute désinvolture dans l’invention ou le choix des patronymes car il sait à quel point ils sont chargés de signes, de codes, de référents, de citations. Pendant le temps de la préparation, et pire encore en cours d’écriture, il peut buter pendant des mois sur un nom qui ne colle pas avec l’évolution de son personnage et peiner à lui en substituer un autre.

Une passionnante thèse, riche et fouillée mais sans en rajouter, vient de paraître qui y est consacrée à travers l’œuvre d’un des plus grands fabricants de noms du roman français au XIXème siècle : Poétique balzacienne des noms de personnages (530 pages, 39 euros, Classiques Garnier). Son auteure Ada Smaniotto lui a donné un sous-titre si éloquent et si juste qu’il sert de fil rouge à sa démonstration : « Faire concurrence à l’état civil ». La formule est de Balzac, naturellement (avant-propos de la Comédie humaine, 1842), lequel tient à ses yeux « une place charnière » dans l’onomastique littéraire, sujet moins mineur qu’il n’y parait (Flaubert aussi lui accordait une telle importance). Les noms revêtent une telle importance dans son œuvre qu’elle y voit même « l’un des mythes fondateurs du roman balzacien ». Un souci patronymique qui tourne parfois à l’obsession, comme si le nom propre conférait une puissance occulte aux personnages (après Georges Bataille dans le Bleu du ciel, Roland Barthes avait réservé toute une partie de son essai S/Z, consacré à la nouvelle de Balzac Sarrasine, à l’étude du nom de Ernest-Jean Sarrasine).

« Entrer dans la fabrique des noms de Balzac, c’est entrer dans sa fabrique de la fiction »

Dans cette histoire, il est recommandé de commencer par le début : le chant IX de l’Odyssée où Ulysse répond au cyclope : « Mon nom est Personne ». Homère révèle ainsi la puissance d’existence du nom propre. Se nommer permet à un personnage de pure fiction d’exister au même titre qu’une personne réelle. C’est d’abord par ce biais que l’illusion opère. Le nom dote le personnage du poids du réel. Le choix des noms reflète son époque ; c’est même ce qui peut dater un livre, sans que cela produise nécessairement un effet négatif. D’ailleurs Balzac ne s’interdit pas à l’occasion de trouver des noms dans d’autres livres, donc des patronymes déjà utilisés par la littérature, chez Mérimée par exemple (Paquita, Valdès, Herrera) chez Sterne dont il admirait la théorie des noms développée dans Vie et opinions de Tristram Shandy, (il lui rend nommément hommage dans le Curé de Tours en lui attribuant la paternité du « système de cognomologie ») ou encore chez Rabelais dont il importa le Ferragus directement de Pantagruel.

Dans le monde de Balzac, en un temps où la noblesse n’est plus qu’un souvenir, on se signale aristocrate à la société avant tout par son nom, généralement orné d’une particule indiquant une origine géographique et l’enracinement dans une terre ou un ancien fief. D’où sa valeur sociale car la famille y est si puissante qu’elle incarne une classe. Le nom est ce dont on hérite en premier et il convient de le défendre et l’honorer comme s’il s’agissait de la famille même. Dans cet esprit, une autre catégorie de personnages de la Comédie humaine partage ce trait avec les aristocrates : les Corses. Le seul énoncé de noms comme les Piombo ou les Porto opère déjà dans l’inconscient du lecteur comme un synonyme de vendetta.

S’agissant des aristocrates, Balzac a beaucoup puisé, comme de juste, dans l’Armorial des familles nobles de France, l’Almanach royal, l’Almanach des 25 000 adresses des principaux habitants de Paris et dans différents Bottins. Rien de tel pour créer un effet de réel. Car contrairement à une idée reçue, et à l’opposé de nombre de romanciers du XXème siècle, Balzac n’emploie que de vrais noms propres, inscrits dans le réel et non dans son imaginaire, qu’il s’agisse de désigner des personnages qui existent ou ont vraiment existé ou d’autres purement fictifs. Peu importe qu’il les ai connus ou même croisés : seul compte le fait que chaque nom qui vient sous sa plume ait déjà été porté. Ce qui s’accorde avec sa passion du détail vrai. Un certain nombre vient de la simple lecture des journaux, des articles aux petites annonces, pour ne rien dire de celle des enseignes de boutiques dont les noms sont relevés au hasard de ses déambulations parisiennes : le cas de Marcas trouvé dans l’ex-rue de Bouloi, de Matifat rue du Coq-Saint-Honoré.

Ce processus d’authentification participe d’une esthétique réaliste dont la Comédie humaine est en son temps la plus éclatante démonstration. Ada Smaniotto a d’ailleurs retrouvé la lettre d’un lecteur surpris puis outré de retrouver son nom, dont il s’estime naturellement propriétaire, dans le Journal des débats en lisant Modeste Mignon en feuilleton. Balzac lui répond mais n’en démord pas :

« Tous les noms sont dans la nature sociale ».

Pas question de créer un précédent en accédant à sa demande de rectification. Balzac puise donc dans la vie mais il n’en est pas moins un inventeur à ses heures car il n’hésite pas si nécessaire à torturer ou juste bousculer les noms par des variantes, se livrant ainsi à une véritable néologie onomastique. Il est d’ailleurs épastrouillant d’observer l’évolution de la critique balzacienne à ce sujet, et notamment la focalisation sur les clefs derrière les noms lorsque la recherche du modèle et l’explication biographique reprenaient le dessus (ah ! les fameuses notes savantes de la Pléiade en fin de volume…). Des chercheurs, Bombert et Escola, qui ont travaillé sur la question spécifique des clefs, assurent qu’il faut en attendre moins d’explication que de complication…

Mais comme le souligne à raison Ada Smaniotto, un tel travail exigerait une telle érudition qu’il serait sans fin et incertaine ; il doit beaucoup au hasard des rencontres et à la sérendipité de la recherche ; elle-même a élucidé sans le faire exprès l’origine du patronyme Taillefer dans la Peau de chagrin en constatant, lors d’une promenade près du lac du Bourget où se déroule une partie de l’histoire, qu’on y apercevait au loin le mont Taillefer… Encore qu’il ne faille jamais crier victoire trop tôt car souvent, un nom a souvent plusieurs sources, décryptables à l’époque par quelques uns seulement, et obéit in fine dans l’esprit de l’auteur a une combinatoire toute personnelle (Rubempré, Goriot etc).

Parfois le romancier se contente de reprendre des noms d’ouvriers qui travaillaient à son domicile pendant qu’il écrivait (ainsi pour Pierrette). Ou d’adresser un clin d’œil crypté à Madame Hanska lorsqu’il en est séparé en nommant M. de Wierzchownia un personnage de la Recherche de l’absolu (nom tiré de celui des terres appartenant à l’épistolière et son mari en Pologne). Ou encore de disséminer tant Honoré que Balzac sous une forme à peu près anagrammatique un peu partout dans les quelques 90 livres constituant le cycle romanesque. En annexe, des tableaux chiffrés apportent de précieuses et étonnantes informations. Ils inventorient les occurrences. En concentré…

Le prénom le plus utilisé par Balzac ? Lucien (2489 fois dans 11 romans) suivi par Calyste (812 fois dans un seul roman), Philippe (597 fois dans 9 romans), Corentin (551 fois dans 4 romans), Popinot (510 fois dans 17 romans), Caroline (509 fois dans 9 romans), Esther (477 fois dans 7 romans), Eugène (454 fois dans 9 romans), Adolphe (449 fois dans 11 romans).

Quant aux noms de famille… : Birotteau (780 fois dans 7 romans), Hulot (671 fois dans 5 romans), Lousteau (644 fois dans 12 romans), Nucingen (626 fois dans 36 romans), Bixiou (625 fois dans 18 romans), Rastignac (623 fois dans 25 romans), Camusot (550 fois dans 12 romans), Cibot (547 fois dans 4 romans), Schmucke (532 fois dans 4 romans), Grandet (524 fois dans 4 romans), Crevel (492 fois dans 3 romans) etc

En fait, cette œuvre-monde que demeure la Comédie humaine apparait sous cet angle particulier comme une formidable conservatoire de noms. L’auteure emploie d’ailleurs l’expression de « musée onomastique », ce qui est bien trouvé et concerne tant les noms que les prénoms. 1842 noms de personnages dans l’ensemble de la Comédie humaine dont 381 hapax ! Quand un nom revient d’un livre à l’autre, c’est une manière de créer un lien généalogique entre eux, tel Mortsauf qui passe des Contes drolatiques au Lys dans la vallée.

La recherche d’Ada Smaniotto fourmille d’exemples si surprenants que, pour un peu, elle nous persuaderait des vertus talismaniques des noms – à tout le moins chez Balzac (Baudelaire disait que chez lui, même les portières avait du génie…). Comme si c’était vraiment la pierre de touche de son réalisme et, partant, de toute sa poétique. Il était d’autant plus obsédé par la question des noms qu’il mettait souvent dans la bouche de ses personnages, et pas seulement les narrateurs, de véritables discussions sur le sujet. Une obsession bien connue puisque Proust ira jusqu’à la pasticher en mettant entre les lèvres moqueuses de la duchesse de Guermantes dans Sodome et Gomorrhe une série de noms de fantaisie censés sonner « à la Balzac » aux oreilles averties. Mais c’est en hommage et en raillerie qu’un Bernanos en reprendra plusieurs dans ses propres romans. Ce qui fait conclure Ada Smaniotto :

« Si les romanciers qui viennent après lui puisent des noms dans la Comédie humaine- qu’ils commentent la pratique onomastique balzacienne ou qu’ils la contestent parfois-, c’est bien sans doute que Balzac a triomphé dans sa concurrence à l’état-civil, en devenant en somme l’état-civil du roman »

(« Balzac en 1842 », daguerréotype de Louis-Auguste Bisson)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 377 Réponses pour Balzac, nom de noms !

Brinqueballe dit: à

et alii dit: à

Un autre Laguna est le poète du XVIIe siècle Daniel Israël Lopez Laguna qui, né au Portugal, a passé son enfance en France, à Peyrehorade

C’est là, à peu près que Renault passa les Pyrénées à cheval avec son épée Durandal!?

Brinqueballe dit: à

bouguereau dit: à

La montée à Paris sur le tard de la brayonne

Avec son short en jean et son string ficelle, c’est pour les beaux quartiers!

Brinqueballe dit: à

C’est là, à peu près que Renault passa les Pyrénées à cheval

Quatre chevaux et pas plus!

bouguereau dit: à

comme chez Faulkner, la nature PARLE

chais pas si chopenoère dirait que le str!m of consiousness cest la nature kabloom..un genre de will quil dirait ptête..

Brinqueballe dit: à

Quatre chevaux et pas plus!

Collection Quadrige, chez les éditions POUF, et c’est tout un tra là là!

Brinqueballe dit: à

Brinqueballe ce n’est pas Bouguereau, initials BB!

Brinqueballe dit: à

initials BB!

In english, of course!

Bloom dit: à

La fiente de Sarie Masseur sur DSK a été nettoyée par blogo-crotte. La prochaine fois, c’est le cran au-dessus, dit delalourde.

bouguereau dit: à

Brinqueballe ce n’est pas Bouguereau

comme les pyrenés c’est pas le périnée..ça fait une différence qu’il dirait suzuki..un esprit du far east

Jazzi dit: à

Sainte Marie pleine de Grasse, prions pour vous !

Pablo75 dit: à

Le torero des Puces de Montreuil… Le torero de zarzuela
Bloom dit:

Profitant de l’absence du Pétomane Officiel du Blog, dont le silence fait un bien fou à cet endroit, le crétin de Bloom-Bloom essaie de prendre sa place avec son humour anglo-chinois qui ne ferait même pas rire les rieuses professionnelles dont les théâtres louent les services pour les premières des pièces pas très drôles.

Et si tu te mettais à traduire « Finnegans wake » en chinois et tu nous foutais la paix pendant quelques années, eh Bloom-Bloom le Maso?

Pablo75 dit: à

En été, les chats veulent manger à 5H du matin.
Chaloux dit:

Mais ils n’ont pas un bol de croquettes à leur disposition en permanence?

Pablo75 dit: à

Donc, une idée de balade au coeur de l’escargot ?
Clopine dit:

N’est-ce pas le moment pour faire un tour chez Honoré ? Maison de Balzac
Jazzi dit:

Excellente idée. Avec l’Allée des cygnes, après…

Il y a aussi la Place des Vosges et la Maison de Victor Hugo, indispensable pour une hugolâtre (moi je préfère celle de Balzac à celle de Hugo):

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Victor_Hugo

Et une ballade, quand il fera beau, en suivant le Canal Saint-Martin, de République à La Villette.

Et le Musée Cluny, et après la rue Saint-Jacques jusqu’à l’Église de Val de Grâce, un très joli coin peu connu de Paris.

Et Montmartre, bien plus beau sans touristes, j’imagine…

Marie Sasseur dit: à

Le bouffi bloom soutient dsk de Sarcelles.
M’étonne pas.

C’est sur qu’abuser d’une black, bonniche de surcroît.
A Sarcelles ça a du faire du bruit.
Il en faut peu.

Jazzi dit: à

« Et Montmartre, bien plus beau sans touristes, j’imagine… »

Hélas, les choses reviennent peu à peu à la normale, Pablo75 !
Choses vues il y a peu :

« Déconfinement J+2 (mardi 12 mai)

Longue marche ininterrompue hier de 16 heures à 21 heures.
A Montmartre, sans touristes et sans marchands d’oeuvrettes immondes sur la place du Tertre, l’on retrouvait l’ambiance du village perché de jadis.
Hélas, la ville n’a pas saisit l’occasion des 55 jours de confinement total pour nettoyer de fond en comble les rues de la capitale à grandes rasades d’eau ! Partout au sol des détritus, canettes, brisures de verres, feuilles mortes hivernales et traînées douteuses.
Partout également on a laissé les mauvaises herbes envahir l’espace, offrant ainsi un écrin idéal aux rats parisiens.
J’étais monté dans le bus 46 à la porte Dorée (l’accès se fait désormais par la sortie sans plus avoir à payer). Après la traversée des XIIe, XIe et Xe arrondissements, avec un léger détour par le XXe à la place du Colonel-Fabien, je suis descendu devant la gare de l’Est. Des cordons de police filtraient les entrées.
Là, j’ai gravi l’amusant escalier Napoléon III, à gauche, et j’ai découvert alors qu’un nouveau jardin, suspendu au-dessus des rails, a été aménagé. Actuellement fermé, bien évidement. On l’a baptisé du nom d’une députée brésilienne assassinée.
Peu après, en passant devant la gare du Nord, où malgré mon masque j’ai été saisi par une forte odeur d’urine, j’ai aperçu un même cordon de police empêchant les gens d’entrer et renvoyant ceux qui désiraient rejoindre le métro ou le RER vers l’unique porte réservée à cet effet.
Juste avant le boulevard Magenta, dans un renfoncement, devant un bar fermé, un jeune SDF black était allongé, jambes écartées et le fond du pantalon entièrement éclaté. Dans la masse sombre, j’ai pu distinguer les parties charnues de son anatomie, offerte généreusement à la vue des passants de tous sexes et de tous âges.
A Barbès-Rochechouart, j’ai eu une pensée émue devant le Louxor, l’un des cinémas où j’ai mes habitudes.
Poursuivant ma route vers Château-Rouge, quelques jeunes gens m’ont proposé discrètement des cigarettes ou plus. J’ai répondu en souriant que je n’étais pas intéressé. Une population plus dense à majorité africaine m’a fait bifurquer vers les petites rues sinueuses, à gauche, et j’ai atterri au bas d’une série d’interminables escaliers me conduisant directement au pied du Sacré-Choeur, avec sa vue imprenable sur Paris.
Là encore, un cordon de police municipale, cette fois-ci, surveillait que la distance réglementaire soit bien maintenue entre les jeunes oisifs assis sur les marches. A l’heure apéritive, celle-ci dispersera ce rassemblement, devenu plus dense et moins précautionneux.
Après un tour réglementaire du vieux Montmartre, privé de son funiculaire, je suis redescendu par la rue des Martyres, lorgnant au passage les appétissants commerces de bouche qui bordent son parcours et lui donnent toujours, malgré la crise, un air d’aisance et de prospérité (…) »

Jazzi dit: à

rue des Martyrs, où vivait Léautaud avec son père…

Marie Sasseur dit: à

Il est passé un paquet de monde rue des Martyrs. Truffaut aussi.

Jazzi dit: à

L’Île aux Cygnes est toujours une très bonne fin de balade, Pablo75 :

« A mi-pont, tandis que la statue de la Liberté, en proue de l’île aux Cygne, éclaire toujours le monde, de larges escaliers me permettent de rejoindre l’allée centrale, où une grande diversités d’arbres forment une voûte végétale des plus attrayantes.
Marchant au milieu des eaux, la Maison de la Radio, à gauche, les tours du Front de Seine à droite, je parvins à l’extrémité de l’île où, malgré le nombre important de promeneurs, je trouve un banc miraculeusement libre.
Je m’y assieds, entre un sophora du Japon et un atlante (faux vernis du Japon), face aux locaux du port autonome de Paris.
J’ai dû m’assoupir quelques instants.
Il est près de 19 heures, quand je remonte sur le pont de Bir-Hakeim. Là, je n’ai pas manqué d’aller admirer la statue de Wederkinch en hommage A la France (1930). Une Jeanne d’arc équestre autrement plus vigoureuse et troublante que celle de la place des Pyramides.
https://www.paristoric.com/images/iconographie/Arrond-15/paris_15_statue_france_renaissante.jpg« 

Brinqueballe dit: à

malgré le nombre important de promeneurs, je trouve un banc miraculeusement libre.

Parle-nous plutôt de Lourdesse comme le prononce les italiens! ( Messe numérisée à la mondiale écoute, vrai de vrai!)

Marie Sasseur dit: à

Michou entretenait sa cour, chaque dimanche matin, sur la place du Tertre .

Brinqueballe dit: à

Parle-nous plutôt de Lourdesse

On écoute et on regarde sans toucher, c’est pas Pigalle ici!

Jazzi dit: à

« Marchant au milieu des eaux, la Maison de la Radio, à gauche, les tours du Front de Seine à droite, je parvins à l’extrémité de l’île… »

Voilà que je me prends pour Jésus !
Dois-je consulter, et alii ?

Brinqueballe dit: à

Dois-je consulter, et alii ?

Mais c’est d’une évidence Jazzou, elle te fournira un lien qui délivre!

Marie Sasseur dit: à

Je n’avais pas tout lu.

Le bouffi bloom: La prochaine fois, c’est le cran au-dessus, dit delalourde.

Si c’est de Delaporte, qu’il s’agit, il faut préciser qu’il a affirmé ici être catholique.

Il se trouve que je le suis également.

Et les cathos comme moi, commencent en avoir marre de se voir attribuer le rôle d’arbitre entre communautés religieuses de banlieue,
qui ne demandent qy’a se haïr. Ou d’être pris à témoin sans pouvoir faire part de son exaspération.

Marie Sasseur dit: à

Avec un seul l c’est plus classieux.

« La Parfumerie Galimard, fondée en 1747, est l’une des premières Maisons de Parfums françaises. Jean de Galimard,  Seigneur de Séranon et membre  de la corporation des Gantiers Parfumeurs fournissait la cour du roi Louis XV, dit le «Bien-Aimé» en huiles d’olives, pommades et parfums dont il était l’inventeur des formules originales.
Les senteurs rares de la Côte d’Azur valurent à Grasse le titre de Capitale Mondiale du Parfum.
À la fin du XVIIIe siècle, Grasse édifie les bases d’une puissante industrie dont on connaît l’extraordinaire développement. »

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…jeudi 16 juillet 2020 à 15 h 25 min.

…pour résumer, en bref, édulcoré,…

…masturber les gens, les populations,…vous, et nous; sommes les meilleurs,!…tout plein national,…

…de l’art royal, en toutes les politiques, ménager et donner à la comédie humaine,…ses dispositions flatteuses et charmantes,…

…et au final, tourner les gens en rond et en  » bourriques  » heureuses,…les revanches par les élections,!…restent toujours les mêmes.

…les procédés variables des lois, pour extorquer, in fine,…comme l’art des banques toutes nationales et privées,!…
…tourner manèges,!…Oh,! la belle rose,!…
…envoyé,!…

et alii dit: à

Nous avons tendance à aimer ce qui nous ressemble. Cette prédisposition dont nous n’avons pas conscience s’appelle l’« égotisme implicite ». « Cela peut paraître saugrenu, mais les lettres de nos prénoms – et particulièrement les initiales – nous portent vers certains corps de métiers. Ces lettres nous sont familières, et nous allons nous attarder sur les mots qui les contiennent », affirme Anne-Laure Sellier. Ce peut être un métier qui partage plusieurs lettres de votre prénom ou, plus fréquemment encore, les initiales. Aux États-Unis par exemple, on recense une disproportion de dentistes chez les Denise et Denis. Dans notre vie privée aussi, nous nous sentons plus spontanément en sécurité avec ceux dont le nom correspond à la sonorité de notre prénom, dans un mouvement d’autoprotection. « Nos choix de parfums (nous nous enveloppons de nous-mêmes, et c’est de bonne guerre), de groupes de musique aussi se portent naturellement vers des noms dont les lettres se rapprochent de celle de notre prénom », soutient la scientifique.

et alii dit: à

. Le sociologue Baptiste Coulmont rappelle que, « en France, le prénom est toujours propriété de l’État, et en changer nécessite une décision de justice. Ces changements sont plus aisés aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, pays dans lesquels la carte nationale d’identité n’existe pas et où rien n’oblige à la fixité du nom ou du prénom ».

Alexia Neuhoff dit: à

Notre Phil masqué a déployé sa qetchua aux abords de la cinémathèque : rétrospective de trente-cinq films de son acteur fétiche, Louis de Funès de Galarza. Jazzi, en tenue de secouriste populaire, le fournit en popcorns.

Bloom dit: à

dont le silence fait un bien fou à cet endroit,

Problème, il y a des bruits de chiottes en cascade, faciles à traduire, même en chinois, « his mother’s excrement » (Finnegans) = Tā mǔqīn de páixiè wù.
Sancho ne pensa pas, la preuve par blog.
Des siècles de pureté du sang pour en arriver là…

JiCé..... dit: à

Catastrophe !

Tous les géants de la RdL, absolument tous, se frappent le front sur le plafond de verre de l’intelligence, pourtant bas, visible, évitable !

Bref, la littérature ne vaut pas un bon GPS, ni une bonne rente à vie …

et alii dit: à

1). Le nom des
médicaments doit également influencer
l’effet placebo ou nocebo, mais peu d’études
sont disponibles (12)in
Effet de la représentation des médicaments : effet placebo-nocebo
ce qui est connu des officines qui fabriquent les noms des médicaments et mis en acte par les thérapeutes
https://www.edimark.fr/Front/frontpost/getfiles/1541.pdf

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…jeudi 16 juillet 2020 à 15 h 45 min.

…masturber les gens,…

…les gratifier en divins, en augustes  » prédateurs « , tous gays et lesbiennes, pour un ras le bol de  » ne pas cracher dans la soupe « ,…
…tout nos compliments assurés et bien – vaillants,!…exploité(es) continuons le combat ?,!…

Phil dit: à

la grande misère des cinémathèques du monde, dear miss Neuhoff. le public ipodé fait un syncope au noir et blanc sous-titré, les vieux à pellicules ont la frousse du virus chinois, redémarrage apocalypse now melancholia. Reste Pauledel sur son rocher porté par la critique brechtienne, Annelise hibernatus.

et alii dit: à

les noms qui meont toujours intriguée sont les noms « à redoublement » soit la structure de Humbert Humbert,
ou le( pré)nom de NABOKOV :Vladimir Vladimirovich Nabokov

bouguereau dit: à

Tous les géants de la RdL, absolument tous, se frappent le front sur le plafond de verre de l’intelligence, pourtant bas, visible, évitable !

hors escabal et rocher tarpéien le risque est nul jicé..abandonne tout espoir

bouguereau dit: à

Et les cathos comme moi, commencent en avoir marre de se voir attribuer le rôle d’arbitre entre communautés religieuses de banlieue

..le gros pédro va faire une messe noir a sindni pour reveiller saint louis..coupées toutes les mains des voleurs..nach jéruzalème!

bouguereau dit: à

Annelise hibernatus

un béco dans lcongélo

et alii dit: à

quelqu’un qui s’est particulé:Danton d’ANTON

Marie Sasseur dit: à

Et les cathos comme moi, commencent en avoir marre de se voir attribuer le rôle d’arbitre entre communautés religieuses de banlieue.

D’autant que dans ces cas là, les keufs sont juste là pour tabasser sur le net, nicht wahr, ducon ?

Patrice Charoulet dit: à

Livre à désinfecter !

Ce jeudi, je vais lire la presse nationale à la médiathèque. Je parcours plusieurs articles. Ayant épuisé les délices de la presse, j’ai l’idée saugrenue de prendre un livre que j’entrelis.
Un livre mal rangé en bibliothèque étant un livre perdu, en vieil habitué de ces lieux, je me dis que mon devoir, avant de partir, est d’aller le remettre au bon endroit.
Mais une employée, qui me connaît, m’a observé et m’interpelle par mon nom en me disant que je dois mettre mon livre sur un chariot : il doit être, me dit-elle, « désinfecté »!
J’obtempère en souriant aimablement.
Je suis un peu surpris.
Mais, je me réjouis de n’être ni en EHPAD, ni en réa.
« C’est déjà ça. » (Alain Souchon)

et alii dit: à

GRAM’ HAIR relève de l’onomastique commerciale
(très étudiée aussi)

Janssen J-J dit: à

@ etalii, pour info … à propos de Monica Bellucci sur une musique d’Elio Morrixonne (avec 2 c) :

***MAYA OU L’ILLUSION DE LA CONSCIENCE
Nous trouvons dans les écrits de Vivekananda au moins deux interprétations de Maya : –Maya serait un état de fait paradoxal auquel nous sommes confrontés sans pouvoir y échapper : « Mâyâ n’est pas une théorie pour expliquer le monde ; c’est simplement l’énoncé de faits tels qu’ils existent: la base même de notre être est contradiction, partout nous devons nous mouvoir dans cette formidable contradiction « (1); –Le désir de savoir est confronté aux limites de la connaissance : « Dans notre désir de percer les mystères de l’univers, nous ne pouvons cesser de questionner, nous sentons qu’il faut savoir, et nous ne pouvons croire qu’on ne saurait acquérir aucune connaissance. Nous faisons quelques pas, et devant nous se dresse le mur du temps, sans commencement et sans fin, que nous ne pouvons escalader. Nous faisons quelques pas et voici qu’apparaît devant nous un mur d’espace sans bornes qu’on ne peut pas escalader. Tout l’ensemble est irrévocablement enfermé par les murs de la cause et de l’effet. Nous ne pouvons aller plus loin. Et pourtant nous luttons, et nous devons lutter encore. Et cela c’est Mâyâ ».
Selon M.Eliade, l’illusion de Maya doit être considérée dans un rapport au temps, propre à la pensée indienne. Il écrit : « Le monde physique, de même que notre expérience humaine, sont constitués par le devenir universel, par la temporalité; ils sont donc illusoires, créés et détruits qu’ils sont par le Temps. Mais ceci ne veut pas dire qu’ils n’existent pas, qu’ils sont une création de mon imagination. Le monde n’est pas un mirage ou une illusion dans le sens immédiat du terme : le monde physique, mon expérience vitale et psychique existent, mais ils existent uniquement dans le Temps, ce qui veut dire, pour la pensée indienne, qu’ils n’existeront plus demain ou d’ici cent millions d’années; par conséquent, jugés à l’échelle de l’Être absolu, le monde, et avec lui toute expérience dépendant de la temporalité, sont illusoires. C’est dans ce sens que la Mâyâ révèle, pour la pensée indienne, une expérience particulière du Néant, du Non-être »(2).
On peut encore approcher l’illusion de Maya à travers les propos de H. Chneiweiss : « Pour notre cerveau, le monde n’existe pas à l’extérieur de nous. Toute activité perceptive se fait par le truchement d’une hallucination intérieure du monde qui nous entoure. Aucun événement n’arrive dans notre champ de conscience sans que le cerveau ait mimé cette action et nous l’ait traduite de façon hallucinée. L’hallucination intérieure est donc nécessaire à notre compréhension du monde « (3). N. Mazô-Darné traite de la mémoire sensorielle à l’œuvre dans la perception: « Ce que nous percevons du monde extérieur se transforme dans notre cerveau en sensations et impressions qui vont construire nos souvenirs, mais aussi modifier sans cesse ceux que nous possédions déjà… Soumis à ces stimulations externes continuelles, le cerveau construit ou nous fait remémorer au même moment des expériences internes. Lors de ce processus, plusieurs systèmes de représentations se mettent à fonctionner en même temps… Cette mémoire sensorielle ultracourte de l’ordre de quelques millisecondes est essentielle au temps perceptif. Elle correspond à la mémoire immédiate de ce que nous percevons c’est-à-dire de ce que captent en permanence nos cinq sens… Nous ne sommes pas conscients du traitement des informations que fournit notre mémoire sensorielle immédiate au cerveau qui va la confronter à des expériences passées et faire naître ainsi la perception, processus actif et construit. De plus, le plaisir, l’idée que l’on en a, modifie considérablement cette perception. Ensuite, les sélections, les choix opérés par la perception seront fonction des motivations, des besoins, des intérêts de la personne. Toute une chaîne d’opérations mentales déclenchée par nos cinq sens entraîne donc des représentations. Notre cerveau, toujours appréciant, jugeant et comparant, nous pousse parfois à voir ce que nos yeux ne voient pas. Nos processus de perception sont largement subjectifs »(4).
Évoquant les neurones miroirs, H. Chneiweiss interroge sur l’identité de notre perception, est-elle seulement individuelle ou bien aussi indirectement multiple: « Nous passons notre temps à vivre une réalité intérieure hallucinée et que le monde n’existe dans notre conscience cognitive qu’à partir du moment où il s’incarne en nous. Il y a vingt ans, Giacomo Rizzolatti a mis en évidence les neurones miroirs : les neurones qui s’activent chez un singe lorsqu’il mange une banane s’activent également lorsqu’il voit un autre singe manger une banane. Que déduire, en matière d’innovation, de ces nouvelles données qui révèlent que l’individu ne pense jamais seul ? C’est à la fois son propre regard sur le monde et celui qu’il voit l’autre porter qui s’incarnent en lui ».
Schopenhauer évoque longuement Maya. Il établit un parallèle entre ce concept et certaines idées fortes de la philosophie occidentale, héritées de Platon et de Kant : « La distinction de Kant entre le phénomène et la chose en soi reposait sur une pensée beaucoup plus profonde, sur une réflexion beaucoup plus mûre que tout ce qui avait précédé; elle était aussi infiniment riche de conséquences. En faisant cette distinction, Kant tire de son propre fonds, exprime d’une manière tout à fait originale, découvre sous un nouveau point de vue et par une nouvelle méthode la même vérité qu’avant lui Platon ne se lassait point de répéter, et qu’il exprime plus souvent dans son langage de la manière suivante : «Le monde qui frappe nos sens ne possède point véritablement l’être; il n’est qu’un devenir incessant, indifférent à l’être ou au non-être; le percevoir, c’est moins une connaissance qu’une illusion». C’est également la même vérité qu’il exprime d’une manière mythique au commencement du septième livre de la République, lorsqu’il dit : «Ces hommes sont enchaînés dans une sombre caverne; ils ne voient ni la véritable lumière, ni la source d’où elle jaillit, ni les choses réelles, mais seulement une faible lueur diffuse dans la caverne et les ombres des choses réelles qui passent devant un grand feu, derrière les hommes : pourtant ils se figurent que les ombres sont des réalités, et, s’ils connaissent l’ordre de succession de ces ombres, ils croient posséder la véritable sagesse». C’est encore la même vérité, toujours sous une forme différente, qui fait ce fonds de l’enseignement des Védas et des Pouranas : c’est la doctrine de la Maya. Sous ce mythe, il faut voir exactement ce que Kant nomme phénomène par opposition à la chose en soi ; en effet, l’œuvre de Maya est justement présentée comme le symbole de ce monde sensible qui nous entoure, véritable évocation magique, apparence fugitive, n’existant point en soi, semblable à une illusion d’optique et à un songe, voile qui enveloppe la conscience humaine, chose mystérieuse, dont il est également faux, également vrai de dire qu’elle existe ou qu’elle n’existe pas »(5). Exister et n’exister pas à la fois, nous ne ferons ici qu’un clin d’œil au paradoxe du chat de Schrödinger, imaginé nous dit-on pour « faire surgir l’indéterminisme microscopique dans le monde macroscopique de notre vie quotidienne ».
Pour Schopenhauer l’illusion de Maya est inhérente au principe d’individuation : « Maintenant, il est bien vrai que, pour les yeux de l’intelligence, telle qu’elle est dans l’individu, soumise au service de la volonté, le monde ne se montre pas avec la même figure que lorsqu’il finit par se révéler au chercheur, qui reconnaît en lui la forme objective de la volonté unique et indivisible, à laquelle il se sent identique lui-même. Non, le monde étend devant le regard de l’individu brut le voile de Maya, dont parlent les Hindous : ce qui se montre à lui, à la place de la chose en soi, c’est le phénomène seul, sous les conditions du temps et de l’espace, du principe d’individuation, et sous celles des autres formes du principe de raison suffisante. Et avec cette intelligence ainsi bornée, il ne voit pas l’essence des choses, qui est une ; il en voit les apparences, il les voit distinctes, divisées, innombrables, prodigieusement variées, opposées même ».
Se distancier de Maya amènerait l’individu à s’extraire de l’individuation pour ne pas se limiter à une seule vision égotique du monde, ou encore pour voir le monde au-delà d’une vision anthropomorphique. F. Armengaud donne cette définition de l’anthropomorphisme : « Une erreur d’un type particulier, sorte de vice inhérent à la nature humaine, propension de l’homme à se représenter sous forme humaine tout ce qui n’est pas lui, soit comme effet d’une simple projection, soit sous une forme conceptuellement élaborée et presque doctrinale »(6).
Schopenhauer envisage que « l’essence des choses est une ». Faut-il voir une idée identique dans les mots de H. Chneiweiss lorsqu’il dit « à la fois son propre regard sur le monde et celui qu’il voit l’autre porter »? La problématique de l’un et du tout est récurrente dans l’histoire de la pensée. Nous citons quelques lignes de I.Sylvain : « «L’un et le tout», le thème de notre colloque, est un problème dont traitent depuis longtemps la pensée philosophique ainsi que la religion, et cela tant en Occident qu’en Orient. L’origine de ce problème remonte certainement jusqu’à un passé lointain en Grèce, mais aussi en Inde et en Chine. Il est apparu à une époque où la culture avait déjà atteint en ces régions un niveau de développement considérable. Dans le cas de la Grèce, il est clair que le thème de l’un et du tout est une pensée cruciale – voire le fondement de la pensée – qui a traversé toute la période hellénistique depuis Socrate et, avant lui, Parménide. On la retrouve chez Aristote et chez les stoïciens ainsi que chez Plotin et Proclus. Elle fut ensuite introduite dans le monde romain avant d’être reprise dans le Moyen Âge européen par la scolastique ; à la même époque, elle pénétra aussi le monde islamique. C’est ce que nous apprend l’histoire de la philosophie. De la même manière, en Inde, cette pensée de l’un et du tout participe au développement des idées dans les Upanishads et dans le brahmanisme, mais elle traverse aussi la doctrine du bouddhisme. En Chine, elle s’apparente même au courant de fond de toute l’histoire religieuse et philosophique de l’esprit – elle sous-tend l’enseignement de Confucius ainsi que ceux de Lao-zi et de Zhuang-zi. Il va sans dire que toutes ces idées furent introduites très tôt au Japon »(7). E.Klein nous livre ses réflexions à propos de la théorie du tout: « Aujourd’hui, des théoriciens cherchent à poursuivre cette démarche aussi loin que possible, car celle-ci s’est toujours révélée féconde et intellectuellement motrice. Ils tentent d’unifier en un seul et même corpus théorique les quatre interactions fondamentales. S’enfonçant jusque dans les terres inconnues de l’esprit, aux avant-postes de l’obscur, ils bouleversent l’idée que le commun des mortels a des liens possibles entre espace et temps, particules et forces. Blanchissant d’équations cabalistiques d’imposants tableaux noirs, ces gens ambitionnent d’embrasser la totalité du réel, de décrire par un seul jeu d’équations l’intégralité du monde, de ses lois et de son mobilier ontologique au grand complet. Leur projet n’a certes pas encore abouti, mais l’horizon qu’ils visent a déjà été baptisé : c’est la « théorie du tout ». S’agit-il d’un doux rêve ou d’une ambition raisonnable ? Si une telle théorie voyait le jour, nous dirait-elle vraiment tout sur tout ? »(8). Pour servir de conclusion à ce qui apparaît de nouveau comme l’illusion de Maya, nous rapportons les propos de D.Bohm : « Il y a deux principes : la complétude du tout et des parties, et la partialité, la partitude des parties et du tout. Nous devons accepter les deux principes, mais il nous faut dire lequel est le principe dernier. C’est là que se situe le choix « (9).

_________________.
(1) Jnana-Yoga. S.Vivekananda
(2) Mythes, rêves et mystères. Mircea Eliade
(3) H.Chneiweiss inhttp://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-oecst/cr_1…2011.pdf
(4)Nicole Mazô-Darné. Mémoriser grâce à nos sens Cahiers de l’APLIUT. Vol. XXV N° 2 | 2006, 28-38.
(5) Le monde comme volonté et comme représentation. A. Schopenhauer
(6) Encyclopédie Universalis. F.Armengaud
(7)L’un et le tout en question. S. Isaac
(8)Discours sur l’origine de l’Univers. E.Klein
(9) La Danse de l’Esprit ou le Sens Déployé. D.Bohm

Marc Court dit: à

Je ne suis pas sur que Bernanos ait en vue de parodier Balzac. Entre Balzac et lui, il ya Barbey, qu’il faudrait tout de meme ne pas oublier. La parodie (involontaire?) serait plutôt chez Bloy avec son Cain Marchenoir, atteint d’un strabisme « Balzaco-Barbeyen » . des échos balzaciens plus prononcés peut être dans Pierre-Jean Jouve avec Catherine Crachat, ou Jouhandeau (Prudence Hautechaume, je crois?). Mais pour des raisons divergentes. enfin,sauf erreur de ma part, il est curieux qu’on ait pas abordé le cas des patronymes de Proust, parfois plus Balzaciens que nature: Norpois,sorte de De Marsay amoindri, etc.
Bonne soirée.
MCourt

Pablo75 dit: à

Des siècles de pureté du sang pour en arriver là…
Bloom dit:

Ce pauvre Bloom-Bloom, qui vieillit décidément très mal, commence à pondre des Perles qu’il va falloir collectionner, après celles du Pétomane Marseillais et celles du James Bond du Blog. Encore un personnage de roman tout fait, celui du ridicule snob anglophile qui aurait voulu être un Grand Poète ou un Grand Gratteur de guitare électrique et n’a été qu’un obscur fonctionnaire dont l’expatriation a fini par le bouffeur le peu de lucidité qu’il avait au départ.

Bref, ce Gros Con ignore que l’Espagne est le pays qui a le plus mélangé les sangs chrétien, musulman et juif dans le monde, puisque seule une petite partie des juifs et des musulmans sont partis en exil quand leur religion a été interdite. La grosse majorité s’est plus ou
moins rapidement converti (conversos et moriscos) et à terme mélangé avec les chrétiens devenus catholiques. D’où le fait que quand on se promène en Espagne on voit partout des espagnols avec des têtes d’arabes (surtout en Andalousie) ou des juifs (surtout en Castille du Nord).

Donc, l’histoire de la pureté du sang et de l’Inquisition espagnole (laquelle a fait beaucoup moins de victimes que l’allemande ou la française, soit-dit en passant), il peut aller la raconter à des fanatiques ignorants comme lui. Ici elle ne marche pas.

Marie Sasseur dit: à

Eh bien, Passou a du prendre un billet train retour de Sefarad, sans aller, en express…

Carte vermeil, au fait ? 😝

D dit: à

Fragonard, Molinard, Galimard…

…nanard.

Marie Sasseur dit: à

Oui, ce suffixe en -ard, chez les parfumeurs grassois, pour ceux qui s’affichent, est étonnante.

Marie Sasseur dit: à

Bouh. le suffixe est étonnant, l’occurence tout autant.

Marie Sasseur dit: à

« L’arithmétique était une discipline suffisamment importante chez les Mayas pour figurer dans leurs œuvres d’art. Sur les peintures murales, par exemple, on reconnaît les scribes de l’arithmétique, ou les mathématiciens, aux manuscrits numérotés qu’ils portent sous le bras. Le premier de ces personnages, que l’on ait identifié sur un glyphe, était de sexe féminin. »

De quoi faite râler sur ce blog de vieux boucs.

Marie Sasseur dit: à

Fautes de frappe.
Pas le temps, ni l’envie de corriger.

bouguereau dit: à

tu vas pas faire ton rénateau tèrezoune..chacun ses vices

bouguereau dit: à

nibards dédé

bouguereau dit: à

Carte vermeil, au fait ? 😝

..ton coup dvice..charge pas ta mule

bouguereau dit: à

on voit partout des espagnols avec des têtes d’arabes (surtout en Andalousie) ou des juifs

ha comme ça ils ont une tête a eux qu’il dirait dirphiloo les deux pognes dans lpotcorn

Bloom dit: à

L’hidalgo des bacs à sable est un bon petit franquiste qui ment comme un arracheur de dents.
Son histoire de l’Espagne est pour les Nuls.

La réalité, c’est celle-ci, konnard:

« Put… de Juifs de m… Avec Hitler, ça ne serait jamais arrivé », « Maintenant, je comprends Hitler et sa haine envers les Juifs », « Le Maccabi va prendre sa douche après le match… Mais j’espère dans une chambre à gaz. » Des tweets antisémites d’une telle violence, il y en a eu 17.500 dimanche soir, dans la foulée de la victoire du Maccabi Tel-Aviv en finale de l’Euroligue de basket aux dépens du Real Madrid, après prolongation (98-86). Pendant un temps, le hashtag #PutosJudios (« Put.. de Juifs ») a même été le plus populaire en Espagne.
ttps://www.europe1.fr/sport/Antisemitisme-le-Maccabi-Tel-Aviv-pris-pour-cible-en-Espagne-659210

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai pas le temps, pour un festival.
Mais le commentaire, non horodaté, qui indique:

« l’Espagne est le pays qui a le plus mélangé les sangs chrétien, musulman et juif dans le monde, puisque seule une petite partie des juifs et des musulmans sont partis en exil quand leur religion a été interdite. La grosse majorité s’est plus ou
moins rapidement converti (conversos et moriscos) et à terme mélangé avec les chrétiens devenus catholiques. D’où le fait que quand on se promène en Espagne on voit partout des espagnols avec des têtes d’arabes (surtout en Andalousie) ou des juifs (surtout en Castille du Nord). »
vs
« Retour a Sefarad » d’un illustre inconnu, est très « intéressant ».

Vraiment. Il faudrait aussi l’envoyer à Monsieur Pivot, car il a eu une idée géniale…

A bientôt ( peut-être )
16/07/2020, 19h21

bouguereau dit: à

Proust, parfois plus Balzaciens que nature

..c’est comme havec la castafior..on trouve toujours plus tétonnants meussieu courte..mais as tu la gueule et les mains hassez grosses..voilà cqu’elle dirait bonne clopine

et alii dit: à

qu’on ait pas abordé le cas des patronymes de Proust, parfois plus Balzaciens que nature:
non, je trouve cela « normal » mais j’espère vous horrifier tous, j’ai pensé , sans doute à cause de « vloadimir » aux noms des personnages de BECKETT AH ESTRAGON!
c’est donc vrai que je n’ai aucune envie de « dialoguer » , de chercher quelqu’un, que je crois qu’ulysse s’est trompé en oubliant l’eau d’Isseî
Miyaké qui était « quelqu’un » , »please » et que je suis trop fatiguée pour une rencontre avec un Cyclope ;
bonsoir à tous ;bons voyages, bonnes vacances, amusez vous bien , ciao, ciao!

bouguereau dit: à

A bientôt ( peut-être )

si asmodée te donne vie tèrezoune

bouguereau dit: à

BECKETT AH ESTRAGON!

..même un coup de pompe a merde ne lui donerai pas apparence humaine

et alii dit: à

rien à voir avec le crématorium erdélien
1. Introduction
On considérait faussement que les chrématonymes sont de « nouveaux noms » traités par les
études onomastiques. Cette opinion n’a que des fondements partiellement justifiés. Les
chrématonymes existent depuis longtemps en tant que noms. Ce n’est que leur détection dans
ce que j’appelle la « linguistique onomastique » qui est relativement récente. Le terme même
de « chrématonymes » fonctionne le cas échéant depuis une quarantaine d’années, surtout
dans l’espace scientifique des onomasticiens slaves et allemands ; ces dernières années il
s’est répendu sur d’autres territoires.
Les chrématonymes, considérés comme noms dans diverses étendues et formes
linguistiques et paralinguistiques de faits culturels, sont courants dans la sphère nominative
depuis que les humains se sont mis à créer leur culture matérielle et non matérielle : les noms
individuels des instruments, des armes, des événements sociaux, des actions, des fêtes etc. La
présence de chrématonymes dans la « vie quotidienne des hommes » est surtout marquée et
relevée dans notre civilisation actuelle, où des individus et des groupes produisent des
« choses » comprises au sens large, et non seulement comme des effets tangibles puisqu’elles
existent dans plusieurs aires de l’activité humaine : la vie sociale, la vie économique, la vie
intellectuelle, la vie artistique, la vie spirituelle, la vie politique, la vie médiatique etc.
La diversité des chrématonymes dans leur rassemblement synchronique et
diachronique nécessite, à mon avis, une plus nette détermination qui dépasse l’appellation
imprécise d’« autres noms », utilisée comme « mot de passe » dans les études onomastiques
quand l’identification du nom propre est problématique. En effet, les chrématonymes sont des
« autres noms » pour l’onomastique traditionnelle. Cette dernière voudrait les voir à la marge
http://www.gencat.cat/llengua/BTPL/ICOS2011/019.pdf

Petit Rappel dit: à

L’Histoire est tragique.
sauf avec Pablo.
il en résulte une espèce de comique du au décalage entre ce qui est asséné sur ce blog et ce qui s’est fait historiquement parlant.
L’Histoire de l’Espagne Pablotesque est une sorte de Club Med: Melangez-vous, mariez-vous, les Morisques ont été expulsés? ça ne compte pas.Les Conversos étaient sous très étroite surveillance? Vous n’avez rien compris!
La preuve, et là on atteint au grandiose, c’est qu’on voit un peu partout, dixit notre nouveau Cesare Lombroso, des « têtes d’arabes et de juifs » qui n’en sont pas moins des caboches espagnoles!
Exit Jacques Perez, exit les Benassar, exit tant d’autres.
Et cette mythistoire là -il n’y a pas que Bloom pour le penser- est proprement intenable.
MC

Paul Edel dit: à

Bien sûr Marc Court!…Dés 1926, découvrant un jeune inconnu pour son premier roman « sous le soleil de Satan », Léon Daudet, défenseur de Céline et de Proust, fait immédiatement la filiation entre le premier roman de Bernanos (dans les assurances comme Kafka.. mais à un moindre niveau..) et Balzac et surtout Barbey d’Aurevilly..Léon Daudet, avec son flair (quel beau cochon truffier de la critique littéraire..)et son influence, contribue à faire lire Bernanos par d’autres critiques, des libraires et des lecteurs et assure un premier succès à cet auteur.

et alii dit: à

et n’oubliez pas les  » euphoiconismes »

Janssen J-J dit: à

J’ignore, erdéliens, si vous connaissier ce philosophe allemand du XIXe pas mal triste et pessimiste : Philipp Mainländer. J’imagine coui, connaissez tout.
Voilà, pour les quelques demeurés assumés comme moi, ce qu’en dit sa maigre fiche : « Philipp Mainländer (né Philipp Batz le 5 octobre 1841 à Offenbach-sur-le-Main et mort le 1er avril 1876 dans cette ville en se suicidant par pendaison), fut un poète et philosophe allemand du XIXe siècle. Principalement connu pour son ouvrage ‘Die Philosophie der Erlösung’ (une philo de la délivrance, en français – parue en 1879), cette œuvre est marquée par un profond pessimisme avec l’idée que « Dieu est mort » et une inspiration de la volonté à la mort, déduite d’Arthur Schopenhauer. Etait du genre à soutenir qu’il fallait politiquement décevoir les pauvres dépourvus de tout, en leur donnant tout ce qu’ils désiraient. Ils se rendraient alors vite compte par eux-mêmes de l’inanité de leur vie, et alors tout se terminerait enfin !…

Découverte ce jour de c’te philosophie altruiste du vouloir-mourir pour les autres, dans une vallée de larmes sans transcendance.
Elle m’a bien fait penser à Machin-Chose, sur sa plage torécaniée.

bouguereau dit: à

« Une erreur d’un type particulier, sorte de vice inhérent à la nature humaine, propension de l’homme à se représenter sous forme humaine tout ce qui n’est pas lui, soit comme effet d’une simple projection, soit sous une forme conceptuellement élaborée et presque doctrinale »

..ha ben le mec y gagne son pognon facilment..chopenoère rien il palpait..faut havoir un peu faim et soif..ou avoir trop mangé de potcorn quil dirait dirphiloo

Bloom dit: à

Rien de plus utile qu’un Petit rappel.
Cela dit, on ne fait pas boire un ÂNE qui n’a pas soif.

bouguereau dit: à

Etait du genre à soutenir qu’il fallait politiquement décevoir les pauvres dépourvus de tout, en leur donnant tout ce qu’ils désiraient

jle connaissais pas..dirphiloo dirait que lui il a mangé trop de wurst

et alii dit: à

Feminine urbanonymy in Polish and Italian linguistic landscapes. In Lege artis. Language yesterday, today, tomorrow. The journal of University of SS Cyril and Methodius in Trnava. Trnava: University of SS Cyril and Methodius in Trnava, 2020, V (1), June 2020, p. 2-53. ISSN 2453-8035
https://www.researchgate.net/profile/Artur_Galkowski

Chaloux dit: à

Clopine, les domiciles de Proust. 9 boulevard Malesherbes, 45 rue de Courcelles, 102 boulevard Haussmann, 8bis rue Laurent-Pichat, 44 rue Hamelin.

Et toujours le musée Hébert, un bijou dont je fus longtemps le voisin. 85 rue du Cherche-Midi.

Pas loin en RER, Versailles, Saint-Germain-en-Laye, Senlis en bus depuis Chantilly, le Château de Champs, LA VALLÉE AUX LOUPS, Port-Royal des champs etc.

bouguereau dit: à

mon larbin en sp!d coaching il est bien..le prochain post y dira que la bonne clopine a polo c’est qu’une truie et lui un cochon meme pas truffier

bouguereau dit: à

des « têtes d’arabes et de juifs » qui n’en sont pas moins des caboches espagnoles!

..hé ben quoi..y’a des têtes de cons chez les arabes et les juifs..chus scientifique et jle prouve qu’il va dire lgros pédro

Pablo75 dit: à

Mais il est complétement fou ce Bloom-Bloom !! Il a le cerveau complètement à l’envers !!. D’abord, en bon représentant de la Gauche Caviar la Plus Débile, il nie l’antisémitisme dans les banlieues françaises, et après quand on lui parle de l’histoire de l’Espagne, il nous sort des propos antisémites de fanatiques de basket tarés dans l’Espagne actuelle. Mais quel rapport Gros Abruti? Où est-ce que j’ai dit qu’il n’y avait pas d’antisémites aujourd’hui en Espagne, Connard Infini? Bien sûr qu’il y en a, mais BEAUCOUP MOINS qu’en France, Pauvre Minable, où il y en a des millions! C’est dans quel pays, Sinistre Crétin, que l’extrême droite à eu 34 % de voix en 2017? Et je te rappelle que c’est ton pays et pas le mien qui a donné des dizaines de milliers de juifs à Hitler et qui a collaboré avec lui pendant 4 ans, Gros Pétainiste de mes deux !!

bouguereau dit: à

Et je te rappelle que c’est ton pays et pas le mien qui a donné des dizaines de milliers de juifs à Hitler et qui a collaboré avec lui pendant 4 ans, Gros Pétainiste de mes deux !!

et si tu te défiles en australie kabloom..tu sras rien qu’une espèce destragon

bouguereau dit: à

henri raczymow..ça sonne bien comme un poto de baqueroume..la photo on en parle pas qu’il dirait dirphilou

Jazzi dit: à

« ..hé ben quoi..y’a des têtes de cons chez les arabes et les juifs..chus scientifique »

Les caboches d’Espagnols n’en paraissent pas moins connes, le boug !

Jazzi dit: à

« henri raczymow..ça sonne bien comme un poto de baqueroume.. »

Je ne te félicite pas, le boug…

Chaloux dit: à

Quelle conne cette Gigi. Mais laisse donc ceux qui n’ont pas lu Agota Kristof la découvrir hors ton verbiage. On n’a pas idée d’être crétin à ce point-là.

Jazzi dit: à

J’ai l’impression qu’on a atteint le point Goodwin, sous un angle géo-historique complètement chamboulé !
Au point que je ne comprends pas bien qui de Bloom ou de Pablo75 est le méchant antisémite ?

Clopine dit: à

Allez,zou, donc !

LA MAISON DE BALZAC

J’avais le choix : ce fut Balzac.
J’avais aussi le choix du métro : descendre à Passy, ou à La Muette. J’ai choisi La Muette, puisque mes journées se passent désormais dans le silence, au moins celui de mes cordes vocales. Je crois avoir eu tort : il m’a fallu remonter toute la longue rue de Passy, assez péniblement en fait, tant il me fallait contourner les échafaudages et les ouvriers de tous les corps de métier, qui retapaient qui une boutique en chantier, qui l’éclairage urbain… Du coup, je n’ai guère levé les yeux, sans doute à tort : les façades des immeubles paraissaient tout entières des sortes d’illustrations des siècles derniers.

J’ai eu du mal à trouver la rue Raynouard, c’était ma faute : j’aurais dû emmener mon plan. Mais finalement, je suis arrivée devant la maison de Balzac, que l’on surplombe de la rue: elle semble se blottir sous le talus. On y entre par une sorte de cercueil vertical, construction parallélépipédique noire , toute entière construite autour de l’ascenseur dirait-on. Pas de brochure à l’entrée, pas d’audioguide disponible. Après tout, ce n’est pas plus mal, ai-je pensé : la maison a l’air encore tellement « dans son jus » qu’on peut s’imaginer être Honoré lui-même, regagnant ses pénates…

D’autant que je ne sais pas ce que vous pouvez en penser, mais dieu que cette maison semble finalement modeste, si l’on songe à la destinée de Balzac, et à son influence, retentissante, au point d’influencer les destins des petites tailleuses chinoises..

D’ailleurs je ne me suis guère posé de questions, tout juste savoir si le vieux parquet du Cabinet de travail était d’origine, et j’ai regardé consciencieusement l’expo temporaire d’Arroyo, par la faute de laquelle l’entrée n’était pas gratuite mais payante (8 euros). L’anecdote des inscriptions au charbon sur les murs (Balzac écrivant l’ameublement luxueux dont il rêvait et qu’il ne pouvait s’offrir, comme « ici, tableau de Delacroix », là, « tapisserie d’Aubusson », etc.) m’a renvoyée illico (oui, j’ai une petite tendance à tout ramener à moi, en ce moment, ahaha) à l’endroit encore inconnu où je vais devoir continuer à vivre : si moi non plus je n’ai pas assez de sous, je pourrais suivre cet exemple. Après tout, une seule solution : la décoration !

Le jardin m’attirait invinciblement, d’autant que son désordre est savamment organisé. Point de désherbant à l’oeuvre ici. Et les chaises d’un vert proustien sont rustiques à souhait.

C’est là qu’ils ont débarqué. Enfin, « ils » : surtout lui, n’est-ce pas. 40 ans compacts en blouson soigneusement ajusté, visiblement pénétré du rôle de celui qui fait découvrir un endroit rare à une compagne blonde, toute prête à être éblouie. Mais les choses ne se passaient pas comme il l’aurait voulu, et il vitupérait à tout va.

C’est visiblement le tarif d’entrée, 8 euros donc, qui l’avait rendu ainsi furibard. Et du coup, pour bien marquer que ce n’était pas le fait d’avoir à payer qui l’offusquait mais l’insulte personnelle qui en résultait, tout y passait, et il allait, répétant plus que très haut, que vendre des croissants et du café dans le bâtiment d’entrée était proprement scandaleux, qu’on faisait de la maison de Balzac un centre commercial, bref, que tout cela, si ç’avait été lui le président de la République, aurait valu au minimum quelques assignations en justice et des coupables jetés en prison.

On volait si visiblement quelque chose à cet homme qu’ en entraînant sa compagne dans le jardin, il éructait encore « qu’il n’aurait plus manqué qu’on fisse aussi payer « le jardin de Balzac ». Il lui montra la venelle en contrebas, (me bousculant presque en contournant ma chaise, mais l ‘urgence était là) remarqua à voix très haute que l’immeuble adjacent était l’ambassade de Turquie « et là, je peux te le dire, ça rigole beaucoup moins », soulignait-il sombrement, insinuant que tout le dispositif mis en place autour de la Maison de Balzac n’était que le fait de sombres abrutis que les Turcs, eux, auraient mis au pas et plus vite que cela…

Il était un peu fatigant, à vrai dire, et j’aurais préféré pouvoir faire abstraction de sa présence. Mais quoi : impossible. Je me l’imaginais jeune étudiant modeste, venant manger son hamburger ici, du temps où c’était possible voire gratuit, se promettant de faire découvrir l’endroit à ses futures conquêtes… D’ailleurs, « elle» jouait admirablement le jeu : épousant sans détours l’indignation de son compagnon, mais cependant le remerciant tout de même : l’endroit était charmant, sans lui elle ne serait jamais venue , et « malgré tout », elle était ravie. Les efforts de cette femme pour tendre à cet homme un bouquet de justifications et de remerciements étaient touchants. Comme nous sommes douées, quelle aisance avons-nous, pour tendre aux hommes, ainsi, des miroirs flatteurs ! J’en aurais soupiré, presque…

Mais je ne pouvais m’empêcher d’estimer cette sainte colère quelque peu déplacée. Surtout, n’est-ce pas, quand on songe au rapport à l’argent de Balzac. Le visiteur en colère avait beau protester, agiter les bras et parler d’une voix si irritée que même les Turcs devaient l’entendre, Balzac, lui, aurait accepté de vendre les croissants et de servir le café !

J’ai capitulé, abandonné le jardin, je suis remontée rue Raynouard, et là, quelques mètres plus loin,
tenez-vous bien, il m’est arrivé quelque chose.

Deux dames m’ont demandé leur chemin.

Sans rire : elles ont cru que j’étais une parisienne.

Wouah. Cela fait dix jours que je suis à Paris, et on peut dorénavant croire que j’y habite ! Du coup, oubliant Balzac, je me suis un peu redressée, et c’est d’un pas dégagé que j’ai regagné ma Muette !

Pablo75 dit: à

Court, je ne sais pas comment tu fais et à quoi est dû, mais cela est incontestable: tu deviens chaque jour plus CON. Ton post « L’Histoire est tragique… » ne répond absolument pas à ce que j’ai écrit et ce que je pense. Je connais bien mieux que toi le thème des conversos en général et celui des écrivains « cristianos nuevos » et leurs stratégies littéraires contre le pouvoir (Góngora, fray Luis de León, Cervantes, Gracián), en particulier, sur lequel j’ai écrit et écris toujours et dont tu ne sais strictement rien. Donc, pas des leçons à me donner de ce côté-là, surtout venant d’un type qui connait l’histoire de l’Espagne comme moi celle du Groenland.

Ce que j’ai écrit est incontestable: aucun pays au monde a mélangé les chrétiens, les musulmans et les juifs comme l’Espagne. C’est un fait. J’ai écrit que ça a été une partie de plaisir, Gros Con? Que l’assimilation n’a pas été faite de force, Gros Crétin? Tu ne sais plus lire? Tu ne sais pas répondre à ce que les gens écrivent au lieu de répondre à ce que tu crois que les gens écrivent?

Le Pétomane ayant disparu (provisoirement) du blog, Court et Bloom-Bloom se disputent maintenant la place du Pitre Officiel du Blog. Ça aussi est un fait.

Chaloux dit: à

ça sonne bien comme un poto de baqueroume

C’est curieux, bousemolle, ma bonniche soralienne, pense toujours d’abord, et avec gourmandise, aux endroits où elle pourrait se faire défoncer. Si l’homme n’est qu’un ventre comme le veut Lucrèce, la bousemolle n’est qu’un trou du cul.

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Clopine, on ne prend le métro que si on est pressé. Il faut prendre son temps et le bus.

Si Carnavalet est ouvert il faut absolument y aller. C’est un musée extraordinaire plein de souvenirs historiques. En fin de parcours la chambre de Marcel et celle de Léautaud…

Chaloux dit: à

Si Daudet apprécie Bernanos, il ne peut pas blairer Mauriac, qualifié de « ‘balai de garde-robe trempé dans un bénitier » dont « ‘les anges ont des ailes en veau froid »‘.

l’ombelle des talus dit: à

@En fin de parcours la chambre de Marcel et celle de Léautaud…

Pouvoir enfin se pieuter comme un(e) enculé(e). Les démons de Jésus vus par Bernie Bonvoisin. Et le principe d’égalité devant la loi dans tout ça ? Reste le cinoche pour y revenir (à en juger par sa page Facebook, Annelise la marmotte a passé l’épisode du confinement avec bonheur et se porte comme une fleur)

Chaloux dit: à

« ‘Mais ils n’ont pas un bol de croquettes à leur disposition en permanence? »‘

Pablo, l’aîné de mes chats est un chat martyr qui a eu faim et n’a jamais pu se réguler. Impossible de lui laisser de la nourriture à disposition, on le retrouverait mort. De plus, je ne connais pas son histoire mais il a dû être retiré trop tôt à sa mère. Par exemple, il ne sait pas faire patte de velours et est affectueux jusqu’à la dépendance.

Jazzi dit: à

« elles ont cru que j’étais une parisienne. »

Je dirai même mieux, une Parisienne !
Moi aussi, j’avais été touché par la modestie de l’endroit.
Mais grâce à Balzac, on a un inestimable témoignage des maisons de campagne du Passy au XIXe siècle.
C’est une superbe lettre brayonne, Clopine.
On attend avec impatience la suite…

Jazzi dit: à

« Pouvoir enfin se pieuter comme un(e) enculé(e). »

Quelle mouche vous a piqué, l’Ombelle !

« (à en juger par sa page Facebook, Annelise la marmotte a passé l’épisode du confinement avec bonheur et se porte comme une fleur) »

Tant mieux et merci pour l’info !

Jazzi dit: à

hamlet, reviens faire le paratonnerre, le Pablo ne sait plus où donner de la tête !

Bloom dit: à

En fait, ce Pablo-là est un faux dur, et un vrai mou, qui nous vient d’un autre âge (celui des pétomanes). ‘Heureux celui qui se fait rire lui-même, il n’a pas fini de s’amuser’, disait Mencius). A-t-il jamais téléchargé un livre sur Kindle ou Kobo? Communique-t-il par Zoom ou Discord, utilise-t-il des padlets? On ne le saura probablement jamais. Répétitives, ses injures peinent à faire pleinement justice au fond sans fond de la belle langue verte.
Il doit être dur et rude d’être privé de péninsule désertique bétonnée tout autour. Heureusement,il occupe ses longs moments de vacuité existentielle à collationner proprement ses petites fiches sur les intervenautes de la la reudeleu, zélé petit fonctionnaire (beurk!), véritable Adrien Deume du renseignement inutile. Et comme les madrilènes supporteurs de basket, il est beau perdant. La classe!

D. dit: à

Déjà le titre indique que l’on peut visiter des cours vertes.

Pablo75 dit: à

Il est complétement fou Bloom-Bloom, le Pétainiste Maso: « A-t-il jamais téléchargé un livre sur Kindle ou Kobo? Communique-t-il par Zoom ou Discord, utilise-t-il des padlets? » Mais quel rapport, Gros Crétin? Tu n’oses pas demander la taille de ma bite pour me dire que la tienne est plus grosse et à la place tu me parles d’informatique? C’est ça?

Si j’étais toi j’irais consulter d’urgence un neurologue: tu as l’air d’avoir le cerveau en compote !! Et emmène avec toi Court, qui a l’air d’en avoir besoin aussi.

« Et comme les madrilènes supporteurs de basket, il est beau perdant. »

Ça tombe mal pour toi: le Real Madrid, avec Zidane à sa tête, vient de gagner sa 34ème Liga. Je ne suis pas un supporter du Madrid, mais détestant le Barça, qui en plus a perdu pitoyablement chez lui ce soir contre une petite équipe, je suis aux anges, Sinistre Imbécile…

Pablo75 dit: à

«Pouvoir enfin se pieuter comme un(e) enculé(e).»
Quelle mouche vous a piqué, l’Ombelle !
Jazzi dit:

J’ai toujours pensé, sans savoir pourquoi, que l’Ombelle était un mec. Là il en a donné une preuve, non?

Pablo75 dit: à

Ce qui m’avait fait rêver : cette canne extravagante […] Et toutes ces pages couvertes de son écriture présentées sur les murs et sur sa table de travail.
christiane dit:

Moi ce que j’ai trouvé de plus impressionnant dans la maison de Balzac ce sont les petites dimensions de sa table de travail.

C’est une image qui m’est restée et qui revient à chaque fois que je lis ou entends parler de Balzac.

vedo dit: à

Qui est l’interprète de l’arrangement de la marche funèbre?

Marc.Court dit: à

Il y aurait une étude à faire sur la distorsion pablotesque: tout adversaire de la doxa du Roi de toutes les Espagnes est nécessairement « gros », « con » -je cite- « bon à voir un neurologue », et  » pitre officiel du blog. » Ces insultes sont si usées qu’elles inspirent plus de pitié que de d’admiration. Que voulez-vous, n’est pas Céline qui veut.
Une variation s’est glissée cependant, in extremis, quand on ne l’attendait plus, dans ce torrent de boue si prévisible: ce fut la double épithète de « Pétainiste Maso » (majuscules, s’il vous plait!) adressée à Bloom. Elle est peut-être d’un gout exquis pour son auteur, mais pas pour moi. Suis-je le seul?
Pour le reste, Maitre Pablo proclame son omniscience non par la nuance,qui lui est étrangère, non par la discussion un tant soit peu argumentée, qui lui est impossible, mais plutôt par de lourds coups de Grosse Caisse rhétorique façon « c’est moi qui sait, et personne d’autre ». « C’est mon opinion et je la partage » disait déjà feu Joseph Prudhomme cher à Henry Monnier. Donc, si la plupart des historiens disent l’inverse, croyez qu’ils ont tort, et que c’est Pablo qui a raison.

Mais après tout, cum grano salis,
Quel bonheur, Erdhéheliennes, Erdeheliens, de posséder sur ce blog une autorité à prétentions infaillibles, une boussole bloquée on ne sait sur quel point cardinal, des certitudes incarnées dans un homme qui, à raison ou à tort, et je pencherai personnellement pour le tort, ne connait pas le plus petit soupçon de doute! Vénérons le Génie Pablo, notre phare dans la tempête, notre Guide Supreme, mais, le vénérant, prenons garde à ne pas nous briser sur des écueils dont son transcendant Esprit aurait quelque peu négligé,assurément bien malgré lui, de tenir compte!

Marie Sasseur dit: à

L’ordurier franquiste réfugié a Paris peut continuer tranquille sur le blogapassou sa propagande révisionniste et sa reconquista.
Il ne rencontre aucune résistance. A moins que le jeu n’en vaille pas la chandelle.
J’en suis pour ma part, persuadée.

Marie Sasseur dit: à

« C’est Clopine qui filme et qui a choisi la musique sur les conseils de Chaloux : »

lol

Des châteaux en Espagne.

 » Le clocher de la petite ville de Menda venait de sonner minuit. En ce moment, un jeune officier français, appuyé sur le parapet d’une longue terrasse qui bordait les jardins du château de Menda, paraissait abîmé dans une contemplation plus profonde que ne le comportait l’insouciance de la vie militaire ; mais il faut dire aussi que jamais heure, site et nuit ne furent plus propices à la méditation. Le beau ciel d’Espagne étendait un dôme d’azur au-dessus de sa tête. Le scintillement des étoiles et la douce lumière de la lune éclairaient une vallée délicieuse qui se déroulait coquettement à ses pieds. Appuyé sur un oranger en fleurs, le chef de bataillon pouvait voir, à cent pieds au-dessous de lui, la ville de Menda, qui semblait s’être mise à l’abri des vents du nord, au pied du rocher sur lequel était bâti le château. En tournant la tête, il apercevait la mer, dont les eaux brillantes encadraient le paysage d’une large lame d’argent. Le château était illuminé. Le joyeux tumulte d’un bal, les accents de l’orchestre, les rires de quelques officiers et de leurs danseuses arrivaient jusqu’à lui, mêlés au lointain murmure des flots. La fraîcheur de la nuit imprimait une sorte d’énergie à son corps fatigué par la chaleur du jour. Enfin, les jardins étaient plantés d’arbres si odoriférants et de fleurs si suaves, que le jeune homme se trouvait comme plongé dans un bain de parfums. »

17/07/2020, 6h11

Chaloux dit: à

Qui est l’interprète de l’arrangement de la marche funèbre?

Chopin n’a pas écrit la marche funèbre pour les cornets à piston d’une fanfare municipale avant de « ‘l’arranger »‘ pour le piano. C’est du piano, sonate N°2, donc pas « d’arrangement ».
Quant au pianiste, une seule certitude, il joue pour ses propres obsèques.
(Je n’aurais certes choisi ni ce morceau ni cet interprète. Cricri a une oreille en lavabo)

Hurkhurkhurk!

Bloom dit: à

Court et bien fait. Short & sweet.

Je crains que Don QuiChiotte ne soit irrécupérable: on lui parle de basket, il répond Zidane, on évoque l’informatique, il rétorque « bite », on lui donne du ‘franquiste’, il vous sert du ‘Pétainiste’.
Aussi avare d’intelligence que près de ses sous, il se ridiculise à chaque fois un peu plus lorsqu’il s’essaie de parler de littérature.
Brocanteur à la retraite, le Louis de funeste du blog ne mérite que mépris.

et alii dit: à

les mots empoisonnés?
Quand même pas des flèches! ça sagitte, c’est tout

Phil dit: à

ça sagitte
jeu de mots agréable à la maître Capello. cent francs dans le goret.

Chaloux dit: à

Je ne sais pas si vingt pages de Pierre Lafargue tous les jours à cinq heures du matin me réussiraient beaucoup. Dans le doute, je m’abstiens.

Et la correspondance de Chopin nouvelle édition, annoncée par Fayard il y a quelques années, plouf?

Pablo, ton intelligence flamboyante, ton immense culture et ton humour hilarant comptent pour moi. Je ne viendrais plus ici si tu n’y étais pas. Court-le-mité, qui n’a pas plus d’esprit qu’une mouche, croit qu’il va te transpercer avec son épée en carton, offerte par sa mémé en 1913. Bloom, qui est pétri de qualités, s’emballe on se demande pourquoi.

J’aimerais bien savoir ce que fout Gallimard avec le troisième volume de la correspondance Morand-Chardonne : de Gaulle y est écorché? Quelle importance? On relativisera. Sans doute bloquée par un « ‘conseiller » à la con. Brotin-le-petit, comme Ulysse, devrait purger sa maison. Oust!

Les conditions dans lesquelles Agota Kristof a abandonné l’écriture en français et l’écriture tout court sont absolument prodigieuses et constituent son dernier chef-d’oeuvre, un abîme, comme il se doit. Vraiment un être extraordinaire. Et le taulier voudrait vous faire ACHETER (pas lire : acheter) les borborygmes de ses romancières fabriquées de toute pièce…
Le jour où Agota Kristof est morte, pas un mot d’un soi-disant critique littéraire, qui n’est en fait, à lui tout seul, qu’une agence de marketing déguisée. Je le lui avais fait remarquer. Pas le temps. Il y avait sans doute un éloge de Garcin ou de quelque autre fabricant de navets à rédiger… Le pauvre homme, dans toute sa vie, aura-t-il seulement connu dix minutes de liberté?

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

ton intelligence flamboyante

hen habit de lhumière..olé

bouguereau dit: à

L’ordurier franquiste réfugié a Paris peut continuer tranquille sur le blogapassou sa propagande révisionniste et sa reconquista.
Il ne rencontre aucune résistance.

dsk a saindni va larréter nète..ait conphiance en ta phrance térezoune.. »quand grandi le péril..dodo raplique » c’est dans la chanson de roland

bouguereau dit: à

ce fut la double épithète de « Pétainiste Maso »

c’est hun peu vrai meussieu courte que pétin était maso..rénateau a dit la même chose dailleurs..le doutché et le caudyo c’est pas dla gonzesse française qui sfait mettre sacrénom..

bouguereau dit: à

Je ne viendrais plus ici si tu n’y étais pas

c’est lui qui fait lhomme..c’est pas qu’cest dsa condition a mon larbin de faire la femme..ya pas de honte qu’elle dirait bonne clopine..c’est la crainte quil égraine à chaque seconde de sa vie

Phil dit: à

J’aimerais bien savoir ce que fout Gallimard

soixante ans après les faits, les « conseillers » ont la culture de seconde main qui supplée le prurit d’épuration littéraire.
Le deuxième volume du Journal de Green, dégradé chez l’éditeur Biblio sans notes, restera dans l’é-incurie le temps de préparer Frédéric Martel à la coucherie du père avec le fils adoptif.

bouguereau dit: à

cent francs dans le goret

le cerdo..olé!

B dit: à

Le deuxième volume du Journal de Green, dégradé chez l’éditeur Biblio sans notes, restera dans l’é-incurie le temps de préparer Frédéric Martel à la coucherie du père avec le fils adoptif.

Excusez moi Phil, mais j’aurai besoin d’éclaircissements concernant cette affaire. Un de Villiers sans ses prises de positions aussi folles que son Puy ?

bouguereau dit: à

Quelle mouche vous a piqué, l’Ombelle !

comme dirphilou il préfère la chambre a coucher du curé d’ars..schlafeune avec le grapin dans son plume comme il dirait drihion..comme un vafeune!

lmd dit: à

Et alli, imperturbable, continue de «travailler» sur le sujet proposé ; j’ai donc appris – je ne le savais pas – que «les chrématonymes composent une troisième catégorie onymique majeure qui englobe les noms propres ou expressions propriales de diverses natures formelles…» (il faut lire la suite du résumé pour bien comprendre).
Et pendant ce temps, les célèbres Alphonse and Gaston, (dessinés par Frederick Burr Opper pour ceux qui ont un minimum d’instruction), font assaut d’amabilité /
https://www.ebay.co.uk/itm/223985955044

christiane dit: à

Il est évident que la vidéo de la maison de Balzac (musique incluse) se trouvait sur internet. (« Paris-musées » – Papitoproduction – le plaisir de partager – visite découverte de la maison de Balzac.)
Elle m’a paru pouvoir accompagner agréablement le texte de Clopine et rappelle qu’à de nombreuses reprises, sur d’autres terres, elle a tenu fort adroitement une caméra. Quant à la musique d’accompagnement, autre mémoire, celle de l’époque récente où un certain Chaloux se faisait conseiller en matière d’accompagnement musical d’un film documentaire sur la cueillette des pommes réalisé par Clopine.
Pour continuer, cette autre vidéo, (Le bureau est plus grand. la cafetière aussi mais ici pas en porcelaine.)
https://www.youtube.com/watch?v=nYM2fHCQ9gU

« Au cœur de la Touraine, à 25 km au sud-ouest de Tours, le château de Saché est l’un des lieux d’inspiration privilégiés d’Honoré de Balzac. De 1825 à 1848, il rend régulièrement visite à Jean Margonne, propriétaire des lieux.
Balzac trouve dans la petite chambre qui lui est réservée le silence et l’austérité qui, loin des turbulences de la vie parisienne et de ses soucis financiers, lui permettent de travailler de douze à seize heures par jour. « Le Père Goriot », « Louis Lambert », « César Birotteau » ou encore « Illusions perdues » sont en partie rédigés ici. Saché sert également l’inspiration de Balzac qui situe son roman « Le Lys dans la vallée » dans le cadre idyllique de la vallée de l’Indre.
Les collections du musée Balzac représentent environ 2300 pièces (sculptures, peintures, imprimés, manuscrits – dont trois recueils d’épreuves corrigées du roman « Le Lys dans la vallée », des placards corrigés de « La Chine et les Chinois » et une édition de « Louis Lambert » annotée de la main de Balzac -, estampes – dont de nombreuses caricatures de la première moitié du 19e siècle -, dessins, photographies, matériel d’imprimerie – l’atelier d’imprimerie du 19e siècle, au rez-de-chaussée, est reconstitué pour évoquer le métier d’imprimeur que Balzac a exercé de 1826 à 1828. Il comprend une presse typographique Stanhope, une presse lithographique du milieu du 19e siècle, une relieuse, un massicot ancien et des casses d’imprimerie- , mobilier – L’ameublement du château tel qu’a pu le connaître Balzac chez les Margonne n’est plus possible. A la mort de Balzac, en 1850, sa veuve, la célèbre Madame Hanska, vendait le mobilier parisien de l’écrivain qui n’avait pas été saisi par ses créanciers. Mais le mobilier du château de Saché ne lui appartenant pas, ne fut pas saisi. Les archives ne donnent pas assez d’informations pour le reconstituer. Seul le papier peint d’époque a été conservé en totalité ou en partie. Cependant grâce au « Mobilier National », le musée a cherché à restituer une ambiance qui peut refléter celle de l’époque. Pour cela, rien de tel que de s’appuyer sur les descriptions d’intérieur dans les romans de Balzac, en particulier ceux du « Lys dans la vallée »-. Une autre pièce présente les études préparatoires à la statue réalisée par Rodin. Enfin, il faut terminer la visite par un tour du jardin romantique, point final à cette visite.) »
Cette maison-musée est agencée en 1951 par Paul Métadier, son propriétaire.

christiane dit: à

Il est évident que la vidéo de la maison de Balzac (musique incluse) se trouvait sur internet. (« Paris-musées » – Papitoproduction – le plaisir de partager – visite découverte de la maison de Balzac.)
Elle m’a paru pouvoir accompagner agréablement le texte de Clopine et rappelle qu’à de nombreuses reprises, sur d’autres terres, elle a tenu fort adroitement une caméra. Quant à la musique d’accompagnement, autre mémoire, celle de l’époque récente où certain se faisait conseiller en matière d’accompagnement musical d’un film documentaire sur la cueillette des pommes réalisé par Clopine.

et alii dit: à

bonjour:c’est bien renato qui nous a parlé récemment du basilic;voilà la famille:il ne fautbpas confocre les cousins, :Cousins à la fois dans leur apparence et dans leur contexte historique, le Cocatrix et le Basilic sont deux chimères qui ont laissé leurs empreintes dans les manuscrits du Moyen Âge. Les deux sont, en effet, apparus dans des manuscrits, même s’il est fait mention du Basilic dès l’Antiquité. Tous les deux sont présentés comme des créatures hybrides aux allures de reptiles possédant une tête de coq et un corps de serpent. Il y a cependant une grande différence : le Cocatrix a des ailes alors que le Basilic n’en a pas. Ils ont beau être légèrement différents, les deux monstres sont aussi dangereux l’un que l’autre.
https://dailygeekshow.com/chimeres-monstres-legendes/
bonne journée

et alii dit: à

confondre

Janssen J-J dit: à

@ ‘A moins que le jeu n’en vaille pas la chandelle’.
Anéfé…, aucune envie de la tenir pour savoir qui des 2 enkhule qui, au juss. Et y’aura toujours J. D., si l’une des 2 enkhurklélés venait à disparaitre (dixit : « Les gens qui ne manquent à personne quand ils ne sont pas là »).
– Les suicidés ratés, du plus fond de leurs grosses dépressions, ont souvent expliqué aux psy qu’ils avaient désiré connaître l’oubli dans la mort plutôt que de subir le tourment de vivre. (@ Grillon, aux jolies sentences du vendredi matin, un gars qui n’a pas été souvent effleuré).
– Quoi de plus ridicule que cet autre bobo-Joffrin se tirant à temps de Libé (un journal aux finances naufragées) pour aller fomenter une alternative à l’échéance Makron/LePen (22 v’là les keufs). Ils croient en lui.
– Juju Grine et son fils adoptif ?… comme les ‘frangins’ de Villiers, B. ? Décidément !…

Bàv et bj, MC/PR & Bloumingdale : on vous M bien…, gars des pays blonds, beaux conducteurs de hénissants et clairs et pesants attelages, etc.
(17/7/20, 10.06 @ Paul R., 94 ans today)

Patrice Charoulet dit: à

LE COURAGE DE RUE ?

Sur son blog, Philippe Bilger loue le Président, en balada avec sa femme, pour son courage face à un quatuor de Gilets jaunes. Je lui reponds ainsi :

Je ne partage pas votre analyse.

Je vais d’abord parler d’autre chose. Imaginons qu’un jeune homme de bonne famille, de bonne conduite et remarquable aille un samedi soir dans une boîte de nuit où il n’est jamais allé et sur laquelle il manque d’informations. Imaginons que ce endroit soit mal fréquenté et que la clientèle soit en partie composée de voyous, d’ivrognes et de bagarreurs. Imaginons que notre égaré soit apostrophé, puis injurié « pédé! », »enculé! », » T’as rien dans la culotte! ». Doit-il, courageusement, noblement, engager la , argumenter, ramener à la raison ces insulteurs ? Mon avis est qu’il doit comprendre qu’il s’est trompé de lieu, et qu’il est urgent de sortir.Faute de quoi, la provocation de ces chercheurs de bagarres risque fort de se terminer par un oeil au beurre noir ou un nez qui saigne pour notre jeune homme de bonne famille et à la conversation raffinée.

Après ce petit détour, je reviens à votre sujet. Laissez-moi vous rappeler tout d’abord que je suis tout sauf macroniste. Que je ne suis pas content qu’il ait été élu, que je souhaite un président LR, que le nouveau PM me paraît soporifique, désagréable, insupportable, que c’est une fausse bonne idée.
Macron président, Tartempion ou Trucmuche président, c’est du kif. Un chef de l’Etat français n’a pas à discutailler dans les rues avec Roger Brougnard ou
Kevin Dugland, qui ont commencé par l’insulter ou le menacer. Il s’agit bien de courage ! Comme dans une boîte de nuit mal fréquentée. Il est élu président de la République. Il doit avoir non pas le courage de répondre sans peur à des voyous , peut-être alcoolisés, mais de prendre les bonnes décisions qui vont améliorer la situation du pays.C’est le seul courage que j’attends de lui, et je me moque bien qu’il ait le courage dont il aurait fait preuve face à un quatuor de Gilets jaunes en vadrouille.

et alii dit: à

Le genre ne sera plus mentionné sur les cartes d’identité aux Pays-Bas
gare aux confusions pour le « claude » etles « domonique »

vedo dit: à

Merci de la précision, Christiane. Je comprends mieux. J’étais un peu étonné par l’arrangement de la marche funèbre. A propos de Chopin, je ne sais si vous lisez l’anglais, il y a un livre récent de Alan Walker, avec, entre autres, un chapitre très intéressant sur Chopin et le clavier. Mes bons voeux.

Janssen J-J dit: à

un fils de bonne famille couillu, ce Pr Charoulet, pas vrai Bribri ? Pas peur de contredire Bilgère & fils. Faudrait nous l’inventer, ce fier bûcheron.

vedo dit: à

Christiane, puisqu’il y a tellement de livres sur Chopin, l’interview d’Alan Walker–admirable scholar qui donne sa vie pour son travail– où il explique les raisons de son projet qui lui a pris 10 ans (après ses très nombreuses années pour Schumann et Liszt) a beaucoup d’intérêt.
https://www.youtube.com/watch?v=lr9HOYkEhIA

D. dit: à

Respectez les gestes-barrières.

Aérez largement les locaux partagés, à intervalle régulier de 1h ou mieux en permanence lorsque le climat le permet.

Soyez très prudent avec les produits exposés en magasins devant les clients. Certains d’entre eux ont pu être porteurs du virus et déposé dessus des goutelettes contaminées. Ou ont pu les manipuler avec des mains souillées. Les plastiques conservent le virus intact plusieurs jours.

Respectez scrupuleusement la distanciation physique d’avec les personnes ne résidant pas dans le même foyer, y compris lors de réunions entre amis. En voiture cela se traduit par le port du masque PAR TOUS, et une aération renforcée de l’habitacle, qui doit être raisonnablement climatisé (24 degrés et non pas 20).

et alii dit: à

petite remarque en passant:à propos du judaïsme, il a été remarqué que c’est un « devoir de dore le nom de qui parle au nom de qui;
j’ai cru comprendre que dans le christianisme , le croyant perdait son patronyme en entrant dans les ordres

et alii dit: à

devoir de donner, citer le nom (judaÏsme)
et
Tous les savants d’aujourd’hui ne sont pas convaincus de l’importance qu’eurent les noms et les nombres au début de la chrétienté, particulièrement de l’importance des spéculations sur leurs significations diverses [6]
[6]
À propos des noms, voir Hans Bietenhard, « Art. onoma ktl. »,…. Pourtant, de nombreux auteurs anciens, juifs ou chrétiens, ont réfléchi sur le nom de « Dieu » dans le but de découvrir et de communiquer une connaissance religieuse. Persuadés que le nom réel de la divinité échappe à la perception humaine, ils croyaient que Dieu avait révélé aux êtres humains certains de ses noms sacrés, « Seigneur » ou « Sabaoth » [7]
[7]
Voir La prière de Jacob, difficile à dater (ier-ive siècle apr.….
Des noms et des nombres dans le christianisme primitif
François Bovon, Traduit de l’anglais par Camila Gross
Dans Études théologiques et religieuses 200

Nabila dit: à

Que je ne suis pas content qu’il ait été élu, que je souhaite un président LR, que le nouveau PM me paraît soporifique, désagréable, insupportable, que

Nan mais Charoulet c’est pas l’époque des lettres au père Noël !

Jazzi dit: à

Vendredi 17 juillet 2020 à 11 h 15 min.
« Beloved » de Yaron Shani.
On nous avait parlé d’un diptyque nous permettant de découvrir la même histoire selon le point de vue des protagonistes masculin et féminin.
Une histoire d’amour et de désamour dans un couple de quarantenaires qui tournera au drame.
« Chained » (Enchaîné), sorti la semaine dernière, s’attachait principalement à la version de l’homme, Rashi, flic à Tel Aviv et marié à Avigail, une infirmière en EHPAD, déjà mère d’une adolescente dont les crises viennent compliquer les relation tendues d’un ménage non dénué pourtant d’affection réciproque.
Malgré la version de Rashi, prévenant et autoritaire, on se doutait que celle d’Avigail serait toute autre.
« Beloved » (Bien aimé), sorti cette semaine, épouse en effet le point de vue d’Avigail.
Là, nous quittons l’univers machiste de la police, et entrons de plain pied dans le monde des femmes, l’autorité laissant place au dévouement.
C’est dans un véritable gynécée que nous entraîne Avigail et ses amies : infirmière, sage-femme, et même prostituée.
Ainsi, m’étais-je dis, après la thèse et l’antithèse, ou plutôt les deux versions de la même histoire, il appartiendra à chacun d’entre nous de faire la synthèse et d’en tirer ses propres conclusions.
C’était compter sans la surprise annoncée dès le générique de ce deuxième volet, qui nous en annonce un… troisième, « Stripped » (Lessivé), qui avait été présenté à Venise il y a deux ans, et est annoncé sur nos écrans en septembre !
C’est donc un triptyque, que signe Yaron Shani, jeune cinéaste israélien, qui s’était fait remarquer avec son premier long métrage, « Ajami », malgré les caprices d’une distribution perturbée sans doute par les conséquences du coronavirus ?
Mais que nous réserve donc la suite !
S’attachant aux deux principaux personnages, remarquables acteurs non professionnels, filmés en gros plans nerveux et tout en dialogues denses et intensifs, Yaron Shani, qui se singularise par un ton, une atmosphère et le choix des séquences montées bout à bout, outre les problématiques de couples, nous donne un bel aperçu de la société israélienne contemporaine toute entière.
Présentés dans l’ordre ou dans un joyeux désordre, ses films nous happent jusqu’à la fascination.
Esquissant le poids de la religion ou l’état de guerre propre à la société israélienne, Shani filme au plus près des individus en état de crise permanente, s’attaquant frontalement à la violence d’un pays en proie à la pédophilie, au féminicide, à l’éclatement de la famille et à la perte des repères traditionnels.
Des films au scalpel, éprouvants et déroutants, dont on se demande d’ores et déjà vers quelle conclusion possible ils vont bien pouvoir nous conduire…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19587876&cfilm=276868.html

Pablo75 dit: à

Ce pauvre Court, après avoir essayé le rôle du Pédant Majeur du Blog ne réussissant qu’à montrer son manque total du sens du ridicule, essaie maintenant de faire dans l’humour volontaire, pour lequel il est aussi doué qu’un pingouin pour le vol plané.

Il n’a pas compris qu’il n’est qu’un Clown de la Cuistrerie, un Pétomane de la Pédanterie.

Et notons que sur le fond de l’affaire, les conversos et les moriscos en Espagne, pas un mot. Il devient prudent, le bougre.

Pablo75 dit: à

Quant à Maria la Chiasse, dite Georgette Samsa, la Blatte de Blog, vieille alcoolique qui boit pour oublier la gueule qu’elle voit tous les jours dans la glace depuis 80 ans au moins, que dire d’un déchet humain pareil, d’un tel débris mental en fin de carrière, qui ne vient ici que pour vomir sa bile de repoussante célibataire vierge qui rêve, dans ses délires de nymphomane qu’aucun homme n’a jamais vue nue, de se farcir carrément le patron du blog.

On pourrait faire une liste désopilante de ses appels du pied hilarants à P.A. avec le titre Les Perles de la Pouffiasse.

Pendant ce temps-là, ledit patron du blog efface le soir les messages antisémites que la Connasse Irrécupérable a posté pendant la journée…

christiane dit: à

Merci, Vedo, pour vos trois interventions. Cette marche funèbre est un étrange choix pour accompagner cette visite de la maison de Balzac. Il semblerait qu’elle désigne l’absence de Balzac dans cette maison alors que grâce à ses livres et sa correspondance quelque chose d’indéfini lui survit.
Cette marche funèbre (et ses orchestrations) n’en finit plus d’accompagner les messes d’enterrement à commencer par celle de Chopin en l’église de la Madeleine en 1849. On la retrouve aussi pour les funérailles de J F.Kennedy, Y.Arafat, jacques Chirac…
Comme une valse triste dans le second mouvement puis le motif obsédant (accords graves) Un peu macabre… Au milieu, une mélodie presque irréelle. Le piano ouvre à la beauté.
Chopin en exil loin de sa Pologne natale et malade. Musique mélancolique…
Merci pour vos commentaires qui apportent paix et culture sue ce blog avec beaucoup de simplicité.

et alii dit: à

retour à Balzac:

. Le nom de la famille Lambert, qui a donné au judaïsme français des rabbins et des savants, n’est autre que celui, gallicisé, de la commune de Lemberg, proche de Sarreguemines. En Lorraine, Kauffmann devient Marchand, nompropre ou prénom. Celui qui prend la place de son frère défunt, dans l’instruction du lévirat, se nomme Chalfon en hébreu. Il s’appellera en Lorraine Halphen.
http://judaisme.sdv.fr/genealog/onomastiq.htm

Pablo75 dit: à

Bloom-Bloom, le Pétainiste Maso qui ne voit pas d’antisémites en France et qui croit que le Rassemblement National est un parti politique espagnol et les Le Pen des fanatiques de basket ibériques, il se met maintenant à plagier les reproches qu’on lui fait – à moins qu’il s’agisse d’un problème de mémoire, d’alzheimer déjà bien installé, ce qui est probable, vues les incohérences de ses posts.

Il me fait presque de la peine. Je me demande même si c’est moral de tirer sur son ambulance…

Pablo75 dit: à

Court, Sasseur, Bloom, trois Épaves de Blog qui viennent ici nous imposer l’agonie des neurones avariés qui flottent encore dans leur cervelle faisandée…

Pablo75 dit: à

Je ne viendrais plus ici si tu n’y étais pas. Court-le-mité, qui n’a pas plus d’esprit qu’une mouche, croit qu’il va te transpercer avec son épée en carton, offerte par sa mémé en 1913. Bloom, qui est pétri de qualités, s’emballe on se demande pourquoi.
Chaloux

Tu sais que c’est réciproque. En plus de pour pratiquer mon français écrit, je viens ici pour apprendre des choses sur des thèmes qui m’intéressent au plus haut point, comme la littérature et la musique. Le jour où je n’apprendrais plus rien parce que les très rares personnes ici compétentes dans ces matières ne seront plus là, je disparaîtrai.

C’est pour cela que quand tu t’attaques au patron du blog, en titillant dangereusement les limites de sa tolérance, tu me fais peur.

Quant à ces pauvres Court et Bloom, sur le premier il est clair que sa caractéristique principale c’est qu’il n’a aucun sens du ridicule. Sur le deuxième, je me demande quelles qualités tu le trouves, à part son anglophilie (que son complexe de poète et traducteur raté a rendu pathologique).

lmd dit: à

Pablo, son intelligence flamboyante, son immense culture et son humour hilarant ne cessent de surprendre l’auditoire médusé.

renato dit: à

L’édition ILTE des lettres de LvB trouve tout son intérêt dans le fait que l’édition (en italien) est accompagnée par le Catalogue Chronologique et Thématique de Giovanni Biamonti et par les Cahiers de Conversation dans l’édition établie par Georg Schünemann pour la Bibliothèque d’État Prussienne.

La valeur de cette Edition est dans les relations qui s’établissent entre Lettre, Conversations et Catalogue qui comparent les 138 numéros d’Opus, les 205 WoO du catalogue Kinsky/Halm, les 335 numéros du catalogue Hess, plus son catalogue personnel [de Biamonti] comprenant tous les fragments, croquis inutilisés, notes inutilisées dispersés dans les lettres, les feuillets d’album, les carnets de croquis et les Cahier de Conversation connus au moment de sa publication. Il serait donc intéressant que Actes Sud complète son effort en publiant le catalogue et les cahiers.

• trad. des lettres de l’anglais par Ernest Howell et Michela Goia Alfieri ; trad. des notes de l’anglais par Paola Coronedi et Massimo Pietrobon ; revision des textes musicaux par Luigi Cocchi.
** trad. de l’allemand par Paola Coronedi ; index des noms par Giovanni Biamonti ; sous la responsabilité, pour l’ed. it., de Guglielmo Barblan.

Les lettres de Mozart sont disponibles, en it., chez Zecchini — trois volumes.

Lettres et textes de Schubert , en it., chez les éditions LIM.

renato dit: à

Attention aux * !

L’édition ILTE des lettres° de LvB trouve tout son intérêt dans le fait que l’édition (en italien) est accompagnée par le Catalogue Chronologique et Thématique de Giovanni Biamonti et par les Cahiers de Conversation** dans l’édition établie par Georg Schünemann pour la Bibliothèque d’État Prussienne.

• trad. des lettres de l’anglais par Ernest Howell et Michela Goia Alfieri ; trad. des notes de l’anglais par Paola Coronedi et Massimo Pietrobon ; revision des textes musicaux par Luigi Cocchi.
** trad. de l’allemand par Paola Coronedi ; index des noms par Giovanni Biamonti ; sous la responsabilité, pour l’ed. it., de Guglielmo Barblan.

JiCé..... dit: à

Vendredi 17 juillet 2020, 12h36

Félicitations à ce cher Pablo qui manie avec bonheur la grande oubliée des intellectuels : l’insulte sauvage, naturelle, pétillante, écologique, vivifiante !

Comment, quand, pourquoi, se priver de cette joie sincère : insulter son prochain qui le vaut bien, une crapule que ce couillon de Crucifié voudrait qu’on aime, quel con !

Exemple, entendu sur un marché provençal un échange entre le client potentiel et la poissonnière, rondouillarde derrière son étal :
– Eh ho, ma belle ! Ton poisson, il a pas l’air très frais : y bouge pas…
– Et toi, couillon, est ce que ta sardine morte, elle bouge encore…? Fai vira, vieille rascasse !

Pablo75 dit: à

Les vendredis, on a intérêt à passer par le blog de J.Drillon avant de venir ici, sinon on ne comprend pas la moitié de posts…

Sur les Correspondances de compositeurs:

Et celle de Brahms, elle avait été publiée en français avant l’édition d’Actes Sud en 2017, qui n’est qu’une petite sélection?

Et celle de Bruckner?

« Lui, à la sortie d’un théâtre : Pardon, vous êtes bien Jacques Drillon ?
Moi : Hélas non ! Si seulement ! »

Un jour quelqu’un rencontre Borges dans la rue:
– Vous êtes Borges, non?
– Parfois…

Paul Edel dit: à

Revenons à Balzac et à « La Comédie humaine ».
En Octobre 1833, Balzac, 34 ans, vient de rencontrer Madame Hanska à Neuchâtel. Il vient de publier « le médecin de campagne » roman auquel il attache beaucoup d’importance. Car d’une part il veut raconter l’épopée napoléonienne vue des chaumières, sur un mode parlé populaire très simple, il veut surtout imposer un message évangélique. Il s’en explique : » « Autrefois je considérais la religion catholique comme un amas de préjugés et de superstitions habilement exploités desquels une civilisation intelligente devait faire justice ; ici, j’en ai reconnu la nécessité politique et l’utilité morale ; ici, j’en ai compris la puissance par la valeur même du mot qui l’exprime. Religion veut dire LIEN, et certes le culte, ou autrement dit la religion exprimée, constitue la seule force qui puisse relier les Espèces sociales et leur donner une forme durable ».
Voilà ce qu’il confie le 5 octobre au soir à son amie Zulma Carraud :
« « Vous ne savez pas comment « le médecin de campagne » est accueilli ? Par des torrents d’injures. Les 3 journaux de mon parti qui en ont parlé l’ont fait avec le plus profond mépris pour l’œuvre* et la personne ;les autres, je ne sais ;mais cela me fait peu de peine .Vous êtes mon public, vous êtes quelques âmes d’élite auxquelles je veux plaire ; mais surtout à vous, que je suis si fier de connaitre, vus que je n’ai jamais vue ni entendue sans en avoir gagné quelque chose de bon, vous qui avez le courage de m’aider à arracher les mauvaises herbes dans mon champ, vous qui m’encouragez à me perfectionner, vous qui ressemblez tant à l’ange auquel je dois tant(..) j’ai recours à vos encouragements, quand quelque pointe m’a blessé ; c’est le ramier regagnant son nid. Je vous porte une affection qui ne ressemble à aucune autre et qui ne peut avoir de rivale ni analogue.(..) oui, pensez qu’il y a dans ce Paris si volcanique un être qui pense à vous, à tout ce qui vous est cher.(..) cet hiver je finirai plusieurs œuvres qui me mettront peut-être hors de toute ligne. Après « Lambert » et « Le médecin de campagne », je donnerai, toujours dans cette même voie »Les souffrances de l’inventeur »**, histoire d’une idée heureuse et enfin César Birotteau. »
*Dans « l’écho de la Jeune France » on pouvait lire ces lignes à propos du « Médecin de campagne » : » Ce livre est sans incident, sans péripéties, sans intérêt, sans plan, sans but ; on a beau chercher, on ne voit pas ce qu’a voulu faire l’auteur. Il n’y a dans ce livre ni esprit, ni style, ni intérêt, ni bon sens, ni vérité ».

et alii dit: à

sur une anecdote connue:
Allô Lacan ? Certainement pas. (Français) Broché – 1 mars 1998
de Jean Allouch (Auteur)

renato dit: à

« Un jour quelqu’un rencontre Borges dans la rue:
– Vous êtes Borges, non?
– Parfois… »

Mon premier galeriste, à quelqu’un qui sollicitait u rendez-vous : « Je ne connaît pas ce Toselli ».

Pablo75 dit: à

Étrange: je n’arrive pas à faire passer une réponse à C_h_a_l_o_u_x. Il me sort à chaque fois le message:

« La connexion avec le serveur a été réinitialisée pendant le chargement de la page.
Le site est peut-être temporairement indisponible ou surchargé. Réessayez plus tard. »

Alors que le post sur J.Drillon ou celui-ci sont passés.

Quelqu’un voit le même avertissement quand il envoie un post?

renato dit: à

u rendez-vous > uN rendez-vous

Pablo75 dit: à

Je ne viendrais plus ici si tu n’y étais pas. Court-le-mité, qui n’a pas plus d’esprit qu’une mouche, croit qu’il va te transpercer avec son épée en carton, offerte par sa mémé en 1913. Bloom, qui est pétri de qualités, s’emballe on se demande pourquoi.
C_h_a_l_o_u_x

Tu sais que c’est réciproque. En plus de pour pratiquer mon français écrit, je viens ici pour apprendre des choses sur des thèmes qui m’intéressent au plus haut point, comme la littérature et la musique. Le jour où je n’apprendrais plus rien parce que les très rares personnes ici compétentes dans ces matières ne seront plus là, je disparaîtrai.

C’est pour cela que quand tu t’attaques au patron du blog, en approchant dangereusement les limites de sa tolérance, tu me fais peur.

Quant à ces pauvres Court et Bloom, sur le premier il est clair que sa caractéristique principale c’est qu’il n’a aucun sens du ridicule. Sur le deuxième, je me demande quelles qualités tu le trouves, à part son anglophilie (que son complexe de poète et traducteur raté de Joyce a rendu pathologique).

et alii dit: à

Mayer Lambert (1863-1930) est un rabbin et orientaliste français, spécialiste de la langue arabe et de la philologie hébraïque, titulaire de la chaire d’hébreu à l’École pratique des hautes études, où il enseigne également le syriaque, l’araméen et la grammaire comparée des langues sémitiques. Traducteur des œuvres de Saadia Gaon (892-942), il participe à la traduction de la Bible du Rabbinat sous la direction du grand-rabbin Zadoc Kahn. wiki
Mayer Lambert, né à Metz le 23 décembre 1863, appartient à une famille de rabbins et d’intellectuels. Parmi ses ancêtres, il compte Elia Blin, rabbin à Worms au xvie siècle ; Gerson Oulif Achkenazi, grand-rabbin de Metz au xviie siècle ; Aaron Worms (1754-1836), grand-rabbin de Metz ; son grand-père Lion Mayer Lambert (1787-1862), grand-rabbin de Metz et auteur d’une grammaire hébraïque1. C’est pendant le mandat de Lion Mayer Lambert que l’on inaugure la synagogue consistoriale de Metz, le 30 août 1850, en présence de Marchand Ennery, grand rabbin du Consistoire central2.

Après avoir obtenu son diplôme de rabbin au Séminaire israélite de France à Paris en 1886 puis une licence ès lettres en Sorbonne, Mayer Lambert se tourne vers l’enseignement de l’hébreu, du syriaque et de l’arabe, mais aussi de l’exégèse biblique et de la grammaire hébraïque ; ses maîtres sont Joseph Derenbourg pour l’arabe et Lazare Wogue pour l’hébreu. Il devient secrétaire puis président de la Société des études juives[Quand ?].

Pablo75 dit: à

Tiens, c’était un problème avec le mot « C_h_a_l_o_u_x ». Qu’est-ce qui se passe? Il est interdit dans le blog, Passou?

Jazzi dit: à

Le Coronavirus c’est comme une chanson populaire : « Ça s’en va et ça revient » !

renato dit: à

«… je n’arrive pas à faire passer une réponse à… »

C’est comme ça depuis ce matin tôt ! Parfois on est informé que la connexion avec le serveur a été perdue.

Pablo75 dit: à

Comment, quand, pourquoi, se priver de cette joie sincère : insulter son prochain qui le vaut bien, une crapule que ce couillon de Crucifié voudrait qu’on aime, quel con !
JiCé….. dit:

Tu as raison, il faut secouer un peu les esprits sclérosés par des siècles de politesse faux-cul…

Exemple, entendu sur un marché provençal un échange entre le client potentiel et la poissonnière, rondouillarde derrière son étal :
– Eh ho, ma belle ! Ton poisson, il a pas l’air très frais : y bouge pas…
– Et toi, couillon, est ce que ta sardine morte, elle bouge encore…? Fai vira, vieille rascasse !
JiCé….. dit:

Tu devrais venir plus par ici avec des merveilles de « citations » pareilles… C’est vraiment étrange, quand on y pense, que l’humour se concentre dans certaines régions, comme le Sud-est en France ou l’Andalousie en Espagne. C’est le climat qui fait ça? C’est le soleil qui inspire les gens?

Pablo75 dit: à

C’est comme ça depuis ce matin tôt ! Parfois on est informé que la connexion avec le serveur a été perdue.
renato dit:

Pas pour moi. Pour moi ça a commencé seulement quand j’ai cité C_h_a_l_o_u_x… Étrange, non?

C_h_a_l_o_u_x, si tu passes dans le coin dis-nous si tu peux envoyer des messages sans problèmes…

et alii dit: à

Jourde improvise pour l’obs:
. Supposons un entretien mené par un journaliste quelconque, tout moite de bienveillance, donnons-lui un nom passe-partout, Alphonsin Braquenard, avec une jeune écrivaine en vogue, appelons-la Olivia Eve, Céline Coulan ou plutôt Océane Mouchardeau. Cela donnera en gros ceci :

(il m’a fauché mon braquemart!)

bouguereau dit: à

Pour moi ça a commencé seulement quand j’ai cité C_h_a_l_o_u_x… Étrange, non?

mon larbin ça passe bien pédro

bouguereau dit: à

Tu sais que c’est réciproque

tu savais qu’vazline ça rimait havec lasçouline?

bouguereau dit: à

Le Coronavirus c’est comme une chanson populaire : « Ça s’en va et ça revient » !

à la lanterne..les aristo..moins baroz..

bouguereau dit: à

ur le deuxième, je me demande quelles qualités tu le trouves

soi sur qu’havec toi il simule pas pédro..ça srait dsa condition

bouguereau dit: à

Revenons à Balzac et à « La Comédie humaine »

sinon que tu veux faire concurence a renfield..et?

bouguereau dit: à

..y’a encore moins à bouffer que sur un pangolin dédé

bouguereau dit: à

– Et toi, couillon, est ce que ta sardine morte, elle bouge encore…?

t’as au moins répondu qu’elle bloquait le port..même pas putaing cong

Pablo75 dit: à

Je regarde si j’ai du Esparbec dans ma bibliothèque d’e_b_o_o_k_s (encore un mot interdit ici), qui ferait pâlir d’envie Bloom-Bloom, et je vois que j’ai « La Pharmacienne » (sans me rappeler qui me l’a passé), avec une « Présentation » de Jean-Jacques Pauvert et une Postface de l’auteur lui-même intitulée « Quelques réflexions sur la pornographie », qui commence par:

« Comment l’inutile répétition de l’acte le plus monotone jamais inventé par une espèce vivante « pour faire des petits » n’engendrerait-elle pas l’ennui ? Pour échapper à la morne stupeur qui s’empare de lui devant cette extrême banalité, le pornographe (nous sommes tous des pornographes quand nous faisons l’amour) enjolive, dramatise. Il introduit du suspense, joue à se faire peur. La pornographie (dans les livres et dans la vie), c’est guignol. Guignol pour les grands. Grand Guignol »

et dans laquelle il donne raison à J.Drillon: « J’ai un faible pour les longs travaux d’approche où le dialogue joue un grand rôle. Les mots interviennent souvent avant les gestes. Ils servent à « démoraliser », à « contaminer » la victime. On dit avant de faire. On dit ce qu’on veut faire, ce qu’on va faire, ces mots sont déjà des actes qui agissent sur la chair de l’ingénue. Ils peuvent être dits par un homme, (le vilain de service, le persifleur) mais très souvent, le plus souvent même (fantasme qui m’est propre et qui est très répandu), par d’autres femmes. Les « vilaines » femmes, les filles « vicieuses » ou « perverses » s’adressent aux fausses oies blanches, les « sournoises », les hypocrites, dont elles vont faire leurs jouets. Lentes progressions des péripéties sexuelles : c’est le désir, avec toutes ses frustrations, qui importe, plus que son assouvissement par nature indicible qui se traduit sur le plan de l’écriture par une ou deux phrases uniquement descriptives, jamais métaphoriques. Vous ne trouverez que rarement sous ma plume les « explosions » et « déferlements de lave » propres au pornographe traditionnel… »

D. dit: à

Quelqu’un voit le même avertissement quand il envoie un post?

quelle marque, ton modem 56 kbps ?

Pablo75 dit: à

quelle marque, ton modem 56 kbps ?
D. dit: à

Freebox Révolution avec câble, mon pote…

bouguereau dit: à

Tu sais que c’est réciproque

tu las déja dit pédro..

D. dit: à

renato dit: à

Tamara de Lempicka, Nature morte aux mandarines

https://pin.it/1G5ZLo0

Franchement, renato, un CM2 un peu doué ferait pareil.

B dit: à

Le blog est en panne ou c’est signé xi jinping.

B dit: à

Pablo, toujours pas lu Justine et ses malheurs qui continuent de s’empoussièrer non massicoté dans ma réserve d’à lire un jour, peut être, plus tard. Et vous, pensez vous qu’un auteur spécialisé ait réussi à pondre mieux pour ceux qui l’aime que Sade ?

B dit: à

qui l’aiment.

OZYMANDIAS dit: à

A BAS LA CENSURE !!!
Si CHALOUX ne revient pas, moi aussi, je quitte définitivement la Rdl.

B dit: à

renato, et vous étiez présent quand ce galeriste s’est joué de l’importun visiteur pour amuser la galerie? Situation
très drôle en tout les cas, juste aussi. Nous connaissons nous dans tous nos replis? Et s’il se produisait des extensions qui et que serions nous capables de répondre ou produire, souvent l’inconnu, l’incertitude nous restreignent, nous contiennent en nous invitant à la retenue, la prudence, aux sentiers connus et si ce n’est cela ce sera le risque que nous refuserons, l’engagement que nous négligerons. Est_ce être lâche?

lmd dit: à

«C’est vraiment étrange, quand on y pense, que l’humour se concentre dans certaines régions, comme le Sud-est en France ou l’Andalousie en Espagne. C’est le climat qui fait ça? C’est le soleil qui inspire les gens?»
JiCé, avec Pablo 75 vous avez bien encapé, c’est une blague que vous n’auriez pas osé raconter à votre comptoir habituel.

DHH dit: à

@et alii
effectivement lambert et le nom d’une dynastie de rabbins
mais il en est un que vous ne citez pas qui a eu un rôle particulier .celui qui en 1970 a choisi la France et a transfere à Paris le seminaire israelite de Metz
j’etais en classe dans un lycée parisien avec une des ses descendantes ,dont j’ignorais alors tout de l’ascendance, et que j’imaginais fille de grande bourgeoisie catholique, alors que comme je l’ai su plus tard son pere etait l’avocat de la famille Finaly(de l’affaire Finaly)

OZYMANDIAS dit: à

Mais où est donc passé C-H-A-L-O-U-X ?!

A BAS LA CENSURE !!!

DHH dit: à

1870 et non 1970 evidemment

D. dit: à

Les belges sont pleins d’humour.
Regardez Annie Cordy.

D. dit: à

Bérénice, savez-vous pourquoi les belges profitent largement de cette crise économique et monaitaire ?

D. dit: à

Ah ben i manquait pu qu’Ozymandias.

et alii dit: à

évidemment, je n’ai aucune raison de citer tous les rabbins;
mais Lemberg -et ses juifs- est connue ;
il y a les blagues bien sur qui évoquent les juifs à Lemberg mais pas seulement;
la famille Buber était de LEMBERG . ET
https://www.franceculture.fr/oeuvre/retour-a-lemberg

et alii dit: à

De plus comme toujours on se focalise sur l’épouvantable et tragique histoire récente – on pense au roman d’Heinrich Böll, Le train était à l’heure – Der Lemberger Professorenmord3 – ou bien le film « L’Hôtel de ville de Lemberg », alors qu’il faudrait reprendre dans le long terme le destin de ce monde englouti4. Les recherches de Nathan Michael Gelber5, d’Israel Bartal, de Ezra Mendelsohn6, de Haim Gertner7 et surtout les enquêtes minutieuses de Meir Wunder et …

https://books.openedition.org/pufr/1948

D. dit: à

Pour réussir dans le monde, la médiocrité de l’esprit constitue évidemment une qualité bien précieuse, mais non pas indispensable : celle du caractère suffit. 

Citation de Hyacinthe de Charencey ; Les pensées et maximes diverses (1888)

et alii dit: à

UN NOM? ET C4EST L’HISTOIRE :

Chemin faisant, Philippe Sands retombe sur les entrelacs oubliés de ses propres racines et s’aperçoit que tous ces récits, ancrés dans la tourmente de l’extermination des Juifs en Europe entre 1939 et 1945, s’entrecroisent autour d’une ville. Une ville naguère connue sous le nom de Lemberg du temps de l’Empire austro-hongrois, aujourd’hui devenue Lviv en Ukraine. Arrivé presque par hasard à Lviv, du fait de son métier, Philippe Sands remonte ainsi jusqu’à l’ancienne Lemberg, la ville des siens.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2018/01/23/lviv-lemberg-sands/

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