Barbara au coeur de sa nuit
Ce n’est même pas un paradoxe, juste un constat personnel : on peut être biographe et n’éprouver aucune curiosité pour la biographie de ceux qu’on aime, qu’ils nous fascinent ou simplement nous intriguent. Mon cas vis vis de bien des créateurs dont je n’ai jamais cherché à connaître la vie ; je me suis contenté de l’œuvre, qui est l’essentiel, probablement influencé par Nabokov pour qui le style d’un écrivain suffit à dessiner les contours de sa biographie. Mais comme les livres m’arrivent sans crier gare, Barbara m’a rattrapé. Parfaitement, la pianiste chantante, la dame en noir, la mélancolie faite femme. Des années que je l’écoute sans rien savoir d’elle, sans même avoir cherché à savoir quoi que ce soit. Sa voix, ses textes, sa présence m’ont suffi et si souvent aidé, soutenu, quand tant d’autres s’en souvent dit au contraire abattus, cafardeux, déprimés, sinon poussés au suicide, façon de parler. Un livre vient de paraître qui leur dit, avec la légèreté qui sied, que son noir est profond mais traversé d’éclairs ; on s’y enfonce, comme dans ce poème de René Char où l’on avance à tâtons dans l’inconnu, mais guidé par des repères éblouissants.
Barbara (148 pages, 8,10 euros, Libretto/Phébus) avait paru une première fois en 2007 avant que l’éditeur ne lui redonne vie ces jours-ci en format de poche. Son simple nom et sa photo en couverture m’ont évidemment attiré ; mais cela ne suffisait pas à me faire franchir le pas de la curiosité ; le nom de l’auteur Marie Chaix a certainement joué car j’avais conservé un bon souvenir de son roman Les Lauriers du lac de Constance (1974) et autres éclats de mémoires tels L’été du sureau (2005). Je me suis donc embarqué dans ce qui s’annonce comme une biographie, malgré la brièveté du volume, sans avoir lus les livres de ceux qui l’avaient précédé sur ce chemin, Jérôme Garcin, Didier Millot., Jacques Tournier, Valérie Lehoux, ni même les propres souvenirs de Barbara, ses « Mémoires interrompus » (1998).
Le point de vue de l’auteur n’est pas tout à fait extérieur, par rapport à son sujet (elle fut son assistante de 1966 à 1970) comme par rapport à son objet (elle était proche de cet univers par sa sœur, la chanteuse Anne Sylvestre). Impossible de le lâcher, ce petit livre, magnifique portrait plein de belles rencontres et de notes de musique. Parfois, on a envie de le fermer, et de le coller à l’oreille avec la certitude d’y percevoir des échos de « Nantes », le son de la pluie sur les pavés, comme on entendrait le ressac à l’écoute d’un coquillage. Il suffit de prêter l’oreille. Car c’est une étrange expérience que la biographie d’une voix. Surtout quand c’est celle d’une femme aussi discrète, mystérieuse, énigmatique, silencieuse que Piaf ne l’était pas.
Au physique, elle s’est elle-même parfaitement décrite : « une tête d’oiseau posée sur une fleur géante noire ». Barbara, on la sent importunée par le passé ; mais plus elle met à distance, plus il lui revient. Comment en serait-il autrement quand ses origines juives, alsacienne d’un côté, russe de l’autre, lui sont renvoyées en pleine figure à 10 ans par le premier statut racial du gouvernement de Vichy ? Elle rêvait d’être pianiste, son appel, sa vocation. Jusqu’à ce qu’à14 ans, une douleur insistante dans la main, un noyau qui grossit dans la paume, une opération réussie mais aux dépens d’un tendon l’obligent à faire une croix sur toute pratique sérieuse de l’instrument. En jouer, le caresser, le tapoter, certainement, mais pas au-delà. Elle s’y résigne et c’est une autre douleur. Heureusement, au Vésinet où la mène la transhumance familiale, elle découvre une plaque sur un mur : celle d’un professeur de chant. La voilà sur la voie. Après, il y a les galères habituelles. Les petites scènes minables en province, d’autres moins à Paris, à l’Ecluse, à la Tête de l’art, avant Bobino, l’Olympia, le Châtelet. Dans ses confidences babillées à Marie Chaix, elle a des traits fulgurants pour décrire ce ressenti. Sur le cabaret par exemple. De quoi réduire à néant l’insupportable romantisme de la bohème :
« Ils ne se rendent pas compte. J’entends tout, le bracelet de la dame, le briquet qui allume la cigarette, je vois la flamme, les verres qui se cognent. Ce n’est pas leur faute, ils sont venus ! Mais moi, morte de peur, tu comprends, je fais un geste un peu large, j’oublie, et toc je décoiffe la femme de la première table ! Et eux, là, ils pourraient me toucher. L’horreur. Si je pense à ça, je ne reviens pas demain. Tu vois, tu chantes : « Il pleut sur Nantes » et tu entends quelqu’un déglutir sa bi ère ! Je t’assure, le cabaret, c’est terrible, terrible. »
Comment aurait-elle tenu tant d’années dans ces lieux si elle n’avait su récréer sa bulle de silence autour de sa voix et des gestes ? Elle a déjà ses manies et son intransigeance : le tabouret de piano réglé à 61 cm et pas un de plus ; l’habitude de jouer les notes graves du piano tournées vers le public ; l’envie irrépressible de chanter dans le noir ; les films regardés à la télévision les nuits d’insomnie ; les bracelets d’argent tintinabulant plein les poignets ; le mot « poète » détesté dès lors qu’on le lui accole alors qu’elle n’est qu’une femme qui chante et respecte trop les vrais poètes pour se croire l’un deux ; les conditions drastiques et infernales imposées à Guy Job et son équipe lorsqu’ils tournèrent la captation de son spectacle ; le Zan comme une drogue ; le nomadisme atavique ; la prodigalité jusqu’à poser un vrai problème avec l’argent et exiger une sorte de tutelle ; la hantise de l’ennui contre lequel elle serait capable de tout…
Son secret ? Elle l’éventera elle-même plus tard dans ses Mémoires, mais posthumes, pour n’avoir pas à en parler, car le mot n’y est pas écrit bien que l’histoire y soit racontée. Aucune de ses chansons n’en parle, même s’il plane sur toutes les paroles, par allusions voilées, déjà dans « Au cœur de la nuit » (ici les paroles de.toutes ses chansons). Un homme ? Certainement mais pas l’un des siens, pas un amant abandonné parce que soudain il n’était plus dans son horizon. Un autre. C’était pendant la guerre à Tarbes où la famille, hors-la-loi, s’était réfugiée.. Elle n’était plus une enfant, à peine une adolescente. Même pas onze ans. Son père, joueur, nomade, vagabond, fugitif, qui souvent partira sans laisser d’adresse, cet homme-là la prend, la salit et humilie son enfance. Inceste : mot tabou. Dans ces moments-là, sa mère lui a manqué ; elle n’en restera pas moins la personne qu’elle a adorée même si elle a eu du mal à l’aimer, une mère qui ne lui manifestait jamais d’amour. Tarbes est la seule ville de France où elle refusa toujours de s’arrêter au cours de ses nombreuses tournées. Un jour de 1959, elle reçoit un appel pour se rendre au chevet de son père, vite ; elle se précipite vers cet homme détesté/adoré, disparu de la circulation sans donner de nouvelles depuis des années, mais elle arrive trop tard pour la réconciliation. Ce qu’elle n’a pu lui dire, elle le chantera puisque bonne qu’à ça et n’aime que ça. Il est vrai qu’après cet aveu, on n’écoute plus la pluie tomber sur Nantes de la même façon car on y entend les accents du pardon-quand-même, et l’on imagine la force qu’il lui a fallu pour composer et chanter en public cette chanson-là qu’un tout petit cercle d’intimes pouvait alors décrypter. « Sûr, il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après » écrira-t-elle.
Les chansons, ça sert à remuer les choses en nous. Il en est tant, portées par Barbara, Ferrat, Nougaro, Trenet, Brel, Aznavour, Brassens, Piaf, Ferré et d’autres (Cloclo, le film de Siri, est, à cet égard aussi, parfaitement réussi) qui auront façonné notre imaginaire, dessiné les contours d’une identité, qui nous auront fait tel que nous sommes, bien plus profondément que bien des livres, des films ou des pièces. Encore faut-il accepter de faire toute sa place à la sensibilité dans notre part d’ombre. Barbara était adulée par un public qui lui était reconnaissant. Il faut l’imaginer chanter en allemand « Göttingen » à Göttingen, chanson qui fit davantage que bien des discours et des traités pour la réconciliation franco-allemande, vingt ans après la fin de la guerre. Il faut se replacer dans cette soirée, ou quelque part en France, malade, ayant perdu sa voix avant d’entrer en scène mais préférant se damner plutôt que d’annuler, elle apparaît couverte de châles, explique, force pour faire vivre un mince filet de voix, juste de quoi lancer les deux premières paroles et le public de chanter en chœur chacune de ses chansons à sa place: « Dis, quand reviendras-tu? », « La petite cantate« , « Pierre », « Vienne« … Il n’est pas indispensable d’être un poète encarté pour poétiser le monde.
Ma seule frustration ; que l’auteur des Lauriers du lac de Constance, où elle racontait la fuite à la Libération et l’exil allemand de son père Albert Beugras, l’homme du renseignement auprès de Jacques Doriot pendant l’Occupation, n’ait pas confronté son propre passé, elle qui est née en 1942, à celui de Barbara, née Monique Serf, du côté des Batignolles en 1930, et qu’un dialogue ne soit pas né du choc de mémoires et du vécu de la fille du collabo et de la fille du Juif quand l’une et l’autre étaient de part et d’autre de la barrière. Il est vrai que ce serait un autre livre, peut-être. En attendant, Barbara me suffit pour savoir les deux ou trois choses que j’ignorais de Barbara. Ses Mémoires ? Inutile. Son autobiographie, ce sont ses chansons. Pas un mot à rajouter à l’œuvre d’une vie pour connaître sa vie, elle qui n’aura pas vu passer la sienne.
(Photos D.R.)
773 Réponses pour Barbara au coeur de sa nuit
« quand le moindre couillon de la blogosphère se croit en droit de vous chapitrer sur le blogocorrectness »
finalement un début d’autocritique ..
Une rose à la main* (Barbara)
Regarde
Quelque chose a changé.
L’air semble plus léger.
C’est indéfinissable.
Regarde
Sous ce ciel déchiré,
Tout s’est ensoleillé.
C’est indéfinissable.
Un homme,
Une rose à la main,
A ouvert le chemin
Vers un autre demain.
Les enfants,
Soleil au fond des yeux,
Le suivent deux par deux,
Le cœur en amoureux.
Regarde
C’est fanfare et musique,
Tintamarre et magique,
Féerie féerique.
Regarde
Moins chagrins, moins voûtés,
Tous, ils semblent danser
Leur vie recommencée.
* pas sur la liste de « toutes » les chansons de Barbara.
« André Rieu est à la Musique, ce que Berlusconi est à Dante Alighieri … (rédigé par JC)
C’est vrai que cette idée de revisiter ses vieux succès avec André Rieu, ce n’était pas une très bonne idé,. mais à l’époque, elle était déjà très abîmée. Le clip publicitaire pour Harley-Davidson sur « L’Aigle noir », elle aurait pu s’en dispenser aussi, mais il lui fallait de l’argent pour payer sa came et ses gigolos. c’est ce qui me touche chez elle, le moment où elle perd complètement les pédales : elle joue du piano debout, elle chante le blouse du dentiste en blouson noir, elle se fait tatouer. Mais tout ça, déchirante. Il fa
j’ai vu Sardou à la télé, j’ai cru que c’était Michel Galabru… en moins bien
« C’est parti, le grand couil… qui croit tout savoir va nous faire une démonstration de son ouverture d’esprit. »
Grand couil… peut-être, mais il me semble que ce que j’ai dit n’a rien à voir avec l’ouverture d’esprit, pour ça nous attendons confiants vos démonstrations porquerollesques…
Je termine : il faut lire les pages bouleversantes dans lesquelles Francis Marmande décrit sa descente aux enfers ( » Sexe et musique: les grandes folles du music-hall, de Fréhel à Britney Spears « )
JC … dit: 21 mai 2013 à 14 h 36 min
Enfile plutôt ta voisine, en lieu et place de ton treillis, du mou !
‘ttention, tu perds les pédales, adolfito !
Ah, Chantal Goya, plus marrante encore
comme peintre que Barbara comme chanteuse !
Désaccordement.
« Enfile plutôt ta voisine… »
Il ne pense qu’à ça, comme tous ceux que la vie n’a pas gâté de ce point de vue… alors, c’est une chose dont il parle et beaucoup de travail fait main…
En fait, son nom de scène, Barbara, doit s’interpréter, pour peu qu’on le lise en verlan reverlandisé, comme une bouleversante confidence sur ses origines ethniques et sur sa pente de son inspira
En fait, son nom de scène, Barbara, doit s’interpréter, pour peu qu’on le lise en verlan reverlandisé, comme une bouleversante confidence sur ses origines ethniques et sur la pente de son inspiration : « Arabcadabra ».
test :
On en saura davantage sur sa nuit d’amour avec Konrad Adenauer à Göttingen en lisant le récit qu’en fait Francis Marmande (op. cité).
« Son père, joueur, nomade, vagabond, fugitif, qui souvent partira sans laisser d’adresse »
Un vrai personnage de Modiano, somme toute.
« l’esprit de tolérance du bouddhisme »
Il suffit de savoir de quoi on parle, des mouvements religieux ou religieux contemporains ou des bouddhismes historiques.
On s’est naturellement tué, au nom de cette religion-là, du Tibet au Japon.
Ce qu’on appelle « bouddhisme » en Occident est souvent une relecture post-chrétienne.
Les présentations du bouddhisme anglophone présentent une doctrine idéalisée qui a parfois aussi peu de relations avec le devenir des bouddhismes historiques que les présentations sur un « Islam de tolérance et de paix » avec les réalités des sociétés musulmanes.
C’est normal: c’est le Western Buddhism, contrairement aux apparences, qui est aujourd’hui la pensée plus influente dans ce domaine.
Le concept de « tolérance » n’a de sens que dans le super-marché religieux globalisé: on peut effectivement choisir un produit « bouddhiste » plutôt que « islamique », il est à presqu’à coup sûr moins dogmatique et violent.
Mais ce mot n’existe pas dans les langues du bouddhisme (du sanskrit au japonais).
il ne faut pas l’oublier que la « tolérance » implique une certaine attitude d’extériorité et d’indifférence.
En toute rigueur, elle n’est pas forcément compatible avec le devoir de « compassion ».
L’image de bouddhisme confectionnée au 20ème siècle a souvent été le fait de bouddhistes désireux de se montrer compatibles avec la modernité occidentale, ou d’occidentaux en rupture de christianisme.
Maintenant, si on utilise « tolérance » dans son sens vague et moderne, ce n’est pas bien grave.
Mais vous le savez déjà.
des mouvements religieux ou religieux contemporains > des mouvements religieux ou para-religieux contemporains
En toute rigueur, elle n’est pas forcément compatible avec le devoir de « compassion ».(rédigé par u.)
C’est vrai qu’à bien y réfléchir, la compassion est une des passions les plus redoutables. Bernanos l’a montré, je crois, dans « Le Journal d’un curé de campagne « . S’abandonner à la tentation de compatir, c’est en effet se mêler de ce qui ne vous regarde pas et de fourrer indiscrètement votre nez dans les affaires des autres, avec toutes les conséquences qu’on peut imaginer. Pour ma part, je cultive depuis l’enfance la vertu d’indifférence, grâce à quoi j’ai pu frôler plus d’une fois la béatitude de l’ataraxie.
oui john brown, Modiano chante aussi le même livre depuis qu’il est sur scène. Truffaut aurait sûrement réuni Barbara et Modiano dans un quart d’heure américain. Albert Beugras est également un nom fait pour le cinéma.
Bon, il faut bien reconnaître que depuis Brel, Brassens, Barbara, la « chanson française rive gauche » en a pris un sacré coup dans l’aile de l’aigle noir. Je ne sais pas si Marie Chaix aborde la question dans son livre, parce que cet aigle-là chantait un peu le chant du cygne (bon, j’arrête là les métaphores ornithologiques, ça me fatigue !) d’une époque révolue. Certes, il y eut depuis Tachan ou le regretté Allain Leprest, pour n’en citer que deux, mais rien qui connût un tel succès, une telle identification du public.
Par ailleurs, j’ai entendu sur France Mu le compagnon de Juliette Greco, autre égérie de la même époque, lancer piques sur piques à la longue dame brune, coupable à son goût d’excessives exigences et de mépris des techniciens : a contrario sa Juliette d’épouse, tenant bravement sa place à la buvette et d’une simplicité dans le travail qui lui valait les éloges de la profession, l’épatait encore, rétrospectivement. Je ne sais ce que ce témoignage, forcément orienté et subjectif (mais un témoignage, n’est-ce pas… vaut vraiment, mais il m’a fait prendre deux pas de recul vis-à-vis de celle qui était la préférée de ma grande soeur. En tout cas, elle n’était pas dénuée d’humour : une chanson comme « si la photo est bonne » en est la preuve, attendez voir un peu :
(bon, tout ceci dit, je déconseille formellement « le mal de vivre » à tous les dépressifs. On a tendance, quand on la fredonne, tête basse et gueule noire dans la glace, à oublier le dernier couplet… Tant chaque mot est ici à sa place, quelle fine description de cette drôle de tranche de vie, qu’il faut bien avaler, froide, amère et glissante comme une goutte de pluie sur une glace, ou une larme sur une joue.)
« Mais ce mot n’existe pas dans les langues du bouddhisme »
Je comprends votre point de vue, cependant vous conviendrez que l’absence d’un mot ne signifie pas l’absence de la chose car il me semble que lorsqu’on dit que l’on ‘ne peut que montrer le chemin et puis c’est à l’autre de décider de le suivre ou non’, on parle déjà de tolérance, même si le nom n’est pas dit.
Et en effets, puisqu’on parlait de pardon, on ne trouve pas dans le Nouveau Testament le mot « pardon », mais les mots grecs « aphiemi » qui vaut donner liberté une personne, dissoudre, laisser, permettre, accorder ; et « hilaskomai » qui vaut expier, se réconcilier, apaiser la colère de Dieu, faire en sorte qu’il soit bienveillant et miséricordieux.
Pour ce qui est de s’être entretués, au nom de cette religion-là, moi je parlais du noyaux originaire de la prédications pas des développements successifs.
quelle fine description de cette drôle de tranche de vie, qu’il faut bien avaler
C’est complètement idiot, tranche de vie ça me fait toujours penser à tranche de jambon, surtout quand il faut l’avaler.
(Mais je devrais me taire plutôt que d’écrire de telles conneries).
D’accord, renato.
Mais ce qu’on tend à opposer, c’est d’une part la réalité historique du christianisme (avec ses croisades et ses inquisitions) avec la pensée présentée comme « originelle » du bouddhisme (non-violence, ouverture, etc.).
Si on renverse les termes de la comparaison, en opposant le message évangélique à la réalité du bouddhisme historique, on n’est plus dans un monde si contraire.
Après tout, la conversion chrétienne, la « métanoia » de Paul, n’a aucun sens en dehors d’une adhésion volontaire.
Ben U., moi aussi « tranche de vie » me fait penser à tranche de jambon, c’est justemetn pour ça que c’est dur parfois, à avaler ! (nous avons donc au moins ce réflexe-là en commun dans le cortex !)
Ca me fait penser aussi à la chanson de François Béranger, « tranche de vie », avec sa philosophie à deux sous peut-être, mais il faut rendre à César ce qu’il lui appartient, même deux sous :
« j’en suis encore à m’demander
après tant et tant d’années
A quoi ça sert de vivre et tout
A quoi ça sert en bref d’êt’né ».
D’ailleurs, je ne saurai trop recommander l’écoute attentive de cette tranche de vie-là. C’est moins joli qu’un lac, un aigle noir ou un rubis au col, mais disons que ça me parle tout autant !
Eh oui, quand on parle bouddhisme, les clichés bétifiants sont tels qu’on oublie la flotte du Roi Açoka convertissant le pourtour de l’Inde sabre au clair…Il est vrai que les faux gourous s’exportent facilement depuis l’époque de la Blavatsky, et qu’ils savent admirablement présenter une Inde d’opérette.Il n’est d’ailleurs pas nécessaire d’etre hindou. qu’on se souvienne un peu du lamentable Alain Danielou…
Bien à vous.
MC
« Il ne pense qu’à ça, comme tous ceux que la vie n’a pas gâté de ce point de vue… alors, c’est une chose dont il parle … »
Contre-sens absolu : un de plus chez l’andouille de service !
ah oui, « on » s’en souvient. mais pourquoi fut-il si lamentable, M. Court ? et ne nous parlez de son frère, hein !
son tour du monde publié dans je suis partout (une commande de gaxotte), à une deux lignes près pour non politiquement correct (description des agapes olyhoudiennes, par exemple) serait publiable aujourd’hui et nous changerait des fadaises moulticoultis. certes, vous causiez d’indianeries..mais tout de même.. »lamentable »..comme vous y allez.. prurit de guillotineur..
» L’epoux de Juliette G »
Quand on connait le gout de ladite Juliette pour les ébats des »pingouins et pingouines », cette charge de Prince consort laisse reveur.
Tpouchait-il au moins les royalties, cet heureux homme?
MC
u, puisque je suis du nombre des non croyant, c’est l’apport culturel qui m’intéresse —pour ce qui est du christianisme et du bouddhisme, les premiers siècles ; après les choses se sclérosent et perdent tout intérêt..
Court, dit: 21 mai 2013 à 16 h 14 min
les ébats des »pingouins et pingouines »
En effet, ça fait froid…
A quoi ça sert de vivre et tout
A quoi ça sert en bref d’êt’né
deux jambons au gland..une belle tranche tous les jours..et pourquoi que yavé se décarcasse
u, puisque je suis du nombre des non croyant, c’est l’apport culturel qui m’intéresse
..c’est certains que du temps des romains..êtes non croyant..tu repassais pour faire des affaires..un peu comme en politique chez les ricains
les ébats des »pingouins et pingouines »
En effet, ça fait froid…
t’aurais ajouté dans le bas du dos..ça aurait fait plus aérien..moins lourd quoi
Court, votre allusion aux pingouins/pingouines m’est restée obscure. Le mari de Juliette greco s’appelle Gérard Jouannest, il est assez incontournable dans la « chanson française », car passé de Brel à Greco… C’est un grand monsieur, et je me fiche bien qu’il en ait retiré des royalties ou non. J’aurais tendance à le croire sur Barbara, car je crois qu’il avait commencé à bosser avec elle.
J’ai d’autre part une tendresse particulière, madeleinesque, pour la chansonnette, (quand elle est bien faite, avec du beurre dedans), mais je dois bien dire que ma culture musicale, au départ, uniquement gérée par Maritie et Gilbert Carpentier, était phagocytée par les épouvantables yéyé qui trônent encore aujourd’hui, hélas. Une seule solution : Brassens avant toute chose !
Enfin, bouguereau, ce ne sont que des comptes d’apothicaire et dans la mesure où il y a un bénéfice on peut bien procéder comme Constantin…
bouguereau dit: 21 mai 2013 à 16 h 30 min
moins lourd quoi
Non mais la portance du pingouin ça reste encore assez moyen…
Moi, je la trouve déjà pas mal vue la taille des ailes…
Et puis Greco a été l’amante de Miles Davis. Bon sang de bonsoir, quand j’y pense ! Elle faisait le lien entre le monde germanopratin et la variétoche, bisait Sartre et Beauvoir sur la joue, et chantait Queneau. Sa noirceur était bien transparente, et je la trouve plus lumineuse que l’aigle noir – mais, rivale de Barbara, elle devait céder à celle-ci le long piano noir – d’où l’importance de son arrangeur de mari…
Bernanos l’a montré, je crois, dans « Le Journal d’un curé de campagne « . S’abandonner à la tentation de compatir
ben internet c’est l’industrialisation de ça à mort jean marron..une litanie qui m’a scotché, c’est inoui cette propension, c’est la dernière chose laicisé et avec la promesse d’un max de pépète il faut croire..et sois sûr à mort que nonos t’aurait botté l’fion et le cul de rénato fléché avec son « puisque je suis non croyant »
Écoute bouguereau, l’accent sur le e de mon prénom tu ne pourrais pas te limiter à le penser, comme un grand ?
était phagocytée par les épouvantables yéyé qui trônent encore aujourd’hui, hélas
..seul jean marron trône..hélas serait superfétatoire
comme un grand ?
..et bien non..chus qu’un petit célinien
Ah ! tu l’admets, finalement !
Non mais la portance du pingouin ça reste encore assez moyen…
dl’a portance..dla portance..de dire aux filles que tu soulèves les tables avec ça marchait du temps de clopine écoutant brassens
bouguereau dit: 21 mai 2013 à 16 h 47 min
chus qu’un petit célinien
Non mais Ferdine ça transfigure…
..j’aime les gens conséquents rénato, ce que tu dis t’engages
Mais j’écoute encore Brassens, Bouguereau ! Un de mes potes est même traducteur pour le public américain, il s’appelle Gérard Delahaye et il a réussi le tour de force d’adapter le Gorille fort plaisamment…
Le goût de la chanson vient évidemment de l’enfance, non ?
Et voilà encore cet accent aigu !
Mais la négation de l’identité sexuelle, par la théorie du genre, ne représente que le dernier avatar de l’histoire du négationnisme post marxiste.
La majorité gouvernementale vient d’en faire une remarquable démonstration en décidant le 16 mai, sur proposition de loi du Front de Gauche, de supprimer le mot « race » de la législation.
Même Daniele Lochak, ancienne présidente du très à gauche Gisti, a cru devoir confier sa perplexité au Monde dans un article du rigoureux François Béguin daté du lendemain : « Ce n’est pas le mot race dans les textes qui alimente le racisme ».
La professeur émérite de droit public fait justement remarquer, d’une part que le mot devenu proscrit ne supprimera pas la réalité des groupes ethniques, d’autre part, qu’il est utilisé dans l’arsenal judiciaire, français et international, précisément pour combattre le racisme…
Une nouvelle fois, seul le recours au traumatisme shoatique permet de comprendre une telle irrationalité fantasmatique. Comme je l’indiquais dans ma « Question blanche », il faut se référer au texte du « Courrier de l’Unesco » rédigé en 1950, qui au lendemain de la seconde guerre mondiale, proposait d’abandonner le vocable désormais honni au profit du, paraît-il, plus correct « groupe ethnique », celui-ci prenant en compte l’élément culturel cher à Lévi-Strauss.
Le politiquement correct était né. Du traumatisme suprême. Avec de bonnes intentions. Dont, selon Sartre, l’enfer serait pavé. Il faudra nous expliquer, en effet, pourquoi la pourtant très correcte politiquement Organisation des Nations Unies, dans le cadre de la Convention Internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale, a entendu « favoriser la bonne entente entre les races et édifier une communauté internationale affranchie de toutes les formes de ségrégation et de discrimination raciale ».
Il faudra également nous expliquer comment, logiquement, on pourrait à la fois interdire « race » et dire « racisme », réprouver la discrimination raciale, sans éprouver la race discriminée.
C’est pourquoi, aux États-Unis, moins soumis sur ce point aux diktats terminologiques ou conceptuels, la notion de race conserve sans complexe un usage social, dans un but, précisément, antiraciste, dans la meilleure acception du terme.
On retrouve la même absurde dénégation conceptuelle lorsqu’il s’agit d’observer, en matière d’insécurité, les comportements de certains membres de groupes ethniques.
(W. Goldnagel)
C’est quoi « la portance du pingouin » (qui n’a guère d’ailes) ?
Pff vous êtes lourds tous autant que vous êtes, avec vos allusions sexuelles à tout bout de champ (chant ?). Dire que Barbara (comme toute femme célèbre) a dû se coltiner ça…
Le goût de la chanson vient évidemment de l’enfance, non ?
..et c’est un coup terribe à la tradition orale du français que ça se fasse la malle
Dire que Barbara (comme toute femme célèbre) a dû se coltiner ça…
..vla qule cul c’est hype pour clopine ?..les ravages d’internet encore..brassens t’aurait éxigé le filtre parental
le mythe de l’inégalité des races, c’est giscard qui l’a lancé pour faire plaisir..à des lobby..etc, la maçonnerie..en béton. sapré mauvaise langue, on va rigoler. où qu’est mon gobineau.. jamais prendre le métro sans son gobineau. vadiou
Euh, Mauvaise Langue, je m’excuse de m’immiscer, comme dit bouguereau quand il a l’étui pénien en main, mais:
vous aviez vraiment besoin de Goldnagel pour penser ça?
Jetez vous à l’eau!
Avec une petite brassière gonflable sous les aisselles, si vous y tenez…
..ou bien non..les femmes pas célébre doivent se rabattre sur les showroom pour un (ou deux..mais chut)
Clopine Trouillefou dit: 21 mai 2013 à 16 h 55 min
C’est quoi « la portance du pingouin » (qui n’a guère d’ailes) ?
1/2 D.V*2.S.C, comme pour tout corps plongé dans l’air… Et là dans le cas présent qui nous occupe faut bien dire que la surface alaire (S) en général visiblement ça fait pas lerche…
le mythe de l’inexistence des races ! ..vadiou..faut pas confondre giscard et gobineau. pourtant y’a du point commun. la particule et le goût du château.
« Pff vous êtes lourds tous autant que vous êtes, avec vos allusions sexuelles à tout bout de champ (chant ?). Dire que Barbara (comme toute femme célèbre) a dû se coltiner ça… »
Puisque nous sommes soumis à provocation répondons franchement : « Pour un homme d’une lourdeur normale, vous, moi, coucher avec un héron noir comme Barbara, c’est entreprendre une approche de la mort dont on peut se passer … ! »
« Avec de bonnes intentions. Dont, selon Sartre, l’enfer serait pavé. »
Sartre ? mais c’est deux vieux proverbes italiens (et probablement français aussi) : « L’inferno è lastricato di buone intenzioni e desideri » et « La strada dell’inferno è lastricata di buone intenzioni »…
Avec une petite brassière gonflable sous les aisselles, si vous y tenez…
« jamais sans mon canard »..ça srait un bon titre pour une chansonnette clopine..elle s’écrirait toute seule..mais voilà y’a dla bande passante que pour les yéyés lamentabes
…en outre, « Pff » c’est copyrighté Daaphnée …
vos allusions sexuelles à tout bout de champ (chant ?)
et toi clopine avec les tiens que c’est les plus désespérés les plus beaux..regarde jicé, grace a hollande, gai comme un pinson !
ous, moi, coucher avec un héron noir comme Barbara, c’est entreprendre une approche de la mort dont on peut se passer … !
..jicé y préfère zizi avec son truc en plume..c’est une autre école
Si l’on n’a pas fait l’expérience on ne peut pas dire…
rénato y croit que la mort c’est une grosse mamelue à la féllini..tout ça c’est culturel
..jicé y croit que c’est un gros numide..il en a des sueurs froides de pingouin
phil je veux dire
C’est de l’héron noir que je parlais, bouguereau, pour la mort il faudrait pouvoir revenir et ce n’est pas donné à tout le monde ça…
L’accent aigu !
« Elle bisait Beauvoir sur la joue.. »(Clopine)
Certes, Momone, de ce point de vue, n’avait plus à lui donner de cours » particuliers ».
Pour les pingouins,Clopine, c’est la rime féminine qui est accentuée.
« c’est un grand Monieur » Certes, comme Alexandre Mnouchkine, les grands Messieurs sont toujours larges d’esprit, ce qui est pratique pour des épouses à géométrie disons variable. On a l’Henri de Régnier qu’on peut.Et l’on est -peut-etre- quelque chose la Gérard d’Houville de son temps.
Bien à vous.
MCourt
Pauvre LML ! Supprimer le mot « race » c’est pour lui un crime ontologique, c’est comme lui couper les vivres !
Plus de « race » ?
Plus de racisme …!
Chouette !
Court marcherait-il sur les brisées de Frigide Barjot ?
pouvoir revenir et ce n’est pas donné à tout le monde ça…
..on en revient du total cliniquement mort c’est un filon littéraire maintenant..on voit des lumière disco..pour phil c’est coule
Ha ben bon Barbara elle a commencé zazou elle a continué yéyé finalement tout est soluble…
rare phil..cadeau
Le pantalon blanc reste un grand moment culturel…
indeed, bougreau..tank a lot. un petit air de Horst Tappert (le Derrick pour rombières nazies)
Remarquable démo de dance disco, Bougboug ! Aussi à l’aise sur un parquet, le Père Fritzl, que dans sa cave avec sa propre fille ….
Clopine Trouillefou dit: 21 mai 2013 à 16 h 40 min
mais je dois bien dire que ma culture musicale, au départ, uniquement gérée par Maritie et Gilbert Carpentier,
Si c’est pas malheureux!
Ca a l’air moins dangereux que la valse on risque pas de se payer le buffet…
diffice d’appeler cela un progrès encore moins un éclaircissement, mais je ne vais pas m’étendre au risque de passer pour la bande de vampire qui mate sa puissance à moi tout seul, et puis ce serait trop con de devenir ce qu’on a vu devenir et le rester, comment le décrire… quelqu’un qui parle et répond comme un programme mendiant de le déboguer, en laissant crever tout ce qui serait humainement normal et en méprisant le besoin d’intimité d’autrui. Non, non et non. Et le pire est passé !
Hugo Boss, ou Borotra ? Y a une nuance bon Dieu !
La débandade de gauche… comique…
« Bon, il faut bien reconnaître que depuis Brel, Brassens, Barbara, la « chanson française rive gauche » en a pris un sacré coup dans l’aile de l’aigle noir. » (rédigé par Clopine Trouillefou)
Barbara, cantilènes moisies pour vieillards nostalgiques. Fini tout ça, démodé, ringard, éteint, éventé,mort. Vieux style, vieille voix, vieilleries. Décrochez-moi ça,balayez-moi ça, au trot, au trou !
La mauvaise langue dit: 21 mai 2013 à 18 h 07 min
Vais faire ma sieste, tains !
On supprime le mot « race » et crac ! notre LML sombre dans la dépression.
« On supprime le mot « race » et crac ! notre LML sombre dans la dépression. »
C’est qu’au coeur de sa nuit, il vit une tension entre les deux moitiés guerroyantes de son moi…
Salut, Mauvaise Langue, angenehme Ruhe!
« On retrouve la même absurde dénégation conceptuelle lorsqu’il s’agit d’observer, en matière d’insécurité, les comportements de certains membres de groupes ethniques. » (cité par LML)
Il y va fort, le dénommé W. Godnagel. En quoi le concept de race contribuerait-il à éclairer « les comportements de certains membres de groupes ethniques » en matière d’insécurité ? C’est décidément dans les vieux chaudrons qu’on touille les pires soupes.
En quoi la suppression radicale et définitive du mot « race » dans les textes officiels de la République gênera-t-elle qui que ce soit ? En quoi la mise à l’écart du concept de race empêchera-t-elle en quoi que ce soit de gérer la complexité des rapports sociaux et internationaux ? Le récent article cosigné par Nancy Huston et son ami généticien dans « le Monde » m’a laissé rêveur . Tout le monde connaît les effets historiques destructeurs du recours au concept de race, personne n’est capable de dire quels effets bienfaisants il pourrait avoir : la cause est entendue.
D. dit: 21 mai 2013 à 19 h 04 min
Dites-moi, Sergio, quelle est la différence entre la pente et l’assiette ?
D. dit: 21 mai 2013 à 19 h 08 min
Eh puis quelle est la différence entre la pente et l’inclinaison, tant qu’on y est ?
D. dit: 21 mai 2013 à 19 h 08 min
Je parle pas de l’inclinaison du gosier au dessus de l’assiette, que ce soit bien clair.
quel con
le clinamen dédé le clinamen à fait que la graine de ton papa au lieu de nous féconder une blonde a forte poitrine a former l’anti vontraube
Seulement il en faut
le devoir a ses limites dédé
bouguereau dit: 21 mai 2013 à 19 h 14 min
le clinamen dédé le clinamen à fait que la graine de ton papa au lieu de nous féconder une blonde a forte poitrine a former l’anti vontraube
________
Je sais, ça s’appelle la Providence.
Je suis peut-être le meilleur
tu regardes trop de films américains
Dites-moi, Sergio, avez-vous déjà fait des virages à taux 3,25 ? Et si oui, combien de temps cela vous a-t-il pris ?
la Providence
ton devoir est d’être le moins bon..en vitesse lumière le moins laid est le plus beau..c’est bien la peine
une femme, de celles qui parlent cru aux terrasses, dirait-elle aujourd’hui qu’elle se sentit chez elle(ML) en écoutant léo ferré jacques Brel ou Brassens autrefois ?
n’est ce pas là l’appauvrissement de la langue ?
dans l’appauvrissement de la langue comme de la sensibilité, il n’y a peut-être là aussi que « le premier pas qui coûte ».
D. dit: 21 mai 2013 à 19 h 18 min
combien de temps cela vous a-t-il pris ?
Quinze minutes, le quart d’heure d’arrivée des troupes…
cela m’a fait plaisir d’apprendre que DHH était bien chez elle chez Mauvaise Langue : il n’y aait vraiment que P .Assouline pour savoir faire parler leQlin-é-aire
Arrête de faire ton intéressant, dédé.
il faut faire comme avec les hamsters: ne le regardez pas.
il n’y a peut-être là aussi que « le premier pas qui coûte »
du moment que ce n’est pas sur le pied …
Dommage D que vous laissiez s’écrire ce qui se lit de vous sans tenter plus que ça de leur en remontrer
ce que je m’en voudrais d’infliger cela à quelqu’un !
sur la fascination
lu dans le monde cette réponse
« Steven Soderbergh raconte avoir vu des émissions de Liberace à la télévision quand il était enfant, et surtout ses parents les regarder : « J’étais fasciné par leur fascination ».
il y en a qui ont été fascinés par Bécaud, d’autres par Lacan
beaucoup désiraient fasciner, me semble-t-il
au regard de ces éléments de biographie …
Barbara,
mon enfance
http://www.youtube.com/watch?v=LrFfXPATUzw
[( Celle que je préfère
Perlimpinpin
http://www.youtube.com/watch?v=-P58Vne0ATY )]
En attendant, Barbara me suffit pour savoir les deux ou trois choses que j’ignorais de Barbara.
vous voyez il savait déjà tout, il vous le dit mais comment pourquoi ça ne vous le saurez pas , à moins que vous le sachiez vous aussi qui savez plus que tout .
bref tout ça c’est du sous babil !
comme disait une chanson , ma a a vie …
jamais de la vie!
En attendant, mes petits chéris, votre argumentation est bien faible face à celle de Danielle Lochak !
Et Danielle Lochak, mes doux amours, c’est la présidente du GISTI, on trouve pas plus à gauche, et je l’ai bien connue quand j’étais à la LDH, elle fait partie du Comité central de la LDH (= Ligue des Droits de l’Homme, pour les incultes !).
Alors les petits penseurs à la ueda, à la JB, y r’passeront, hein ! Z’êtes des ploucs de gauche, comme dirait Abdelkaka qui s’y connaît en plouquerie…
Barbara n’a pas vieilli d’un iota, contrairement à Clopine ! Barbara, c’est magnifique ! Elle n’était pas formatée pour survivre dans la chanson actuelle, de toute façon avec ses nuls. Y’a plus de chanson française, y’a plus de pauvres erres standardisés par la norme de nulle part, comme le cinéma, le fric a tout détruit de la bonne vieille culture française de la chanson qui a fait les grandes heures de la grande culture populaire depuis le XVIIIè siècle en France.
Tains, je vas vous en remettre une petite couche parce que z’avez pas les yeux en face des trous.
Ainsi, la semaine dernière, lors des violences et délits commis au Trocadéro, la censure ou l’euphémisme étaient de rigueur. Alors que les images montraient l’évidence de ce qu’une très grande partie des émeutiers étaient issus de l’immigration, les commentateurs les plus prudents (Le Monde) préféraient incriminer « des ultras du PSG » en colère contre le Qatar, et les plus téméraires « les banlieues ».
Ainsi donc, Marine Le Pen avait à nouveau un boulevard pour s’adresser à ceux, nombreux, qui ont des yeux. L’opposition républicaine préférant s’en prendre à un Manuel Valls, plus brutal envers les manifestants contre le mariage pour tous qu’envers les casseurs.
Ce qui était vrai, mais court.
Le Monde, dans ses bons jours, peut donner l’explication de cette pusillanimité verbale, lorsqu’il s’agit d’évoquer la délinquance des immigrés. Sous la plume d’un de ses journalistes les plus clairvoyants, Luc Bronner, le journal vespéral publiait le 14 septembre 2010 un article intitulé : « délinquance et immigration : le facteur culturel ». Avec une franchise peu coutumière, il était révélé que, selon le sociologue Hugues Lagrange, il existerait une surreprésentation des jeunes issus d’Afrique Noire dans les affaires de délinquance.
Le journaliste écrivait : « Dans un livre à paraître, « Le déni des cultures », le chercheur du CNRS met en avant le facteur « culturel » -pour ne pas dire ethnique- pour analyser ce phénomène. »
Mais pourquoi ne pas le « dire », puisque, précisément, le facteur ethnique inclut la différence culturelle ? La réponse est apportée avec franchise : « Ces dernières années, les publications sur la question ethnique se sont multipliées dans les plus prestigieuses revues scientifiques ou intellectuelles françaises. Si la France reste très loin des « racial studies » à l’américaine – en raison notamment de l’interdiction presque totale des statistiques ethniques – une partie de la communauté scientifique aborde pourtant frontalement ces questions, notamment depuis le milieu des années 2000, comme le relève le sociologue Éric Fassin dans le dernier numéro de la Revue Française de Science Politique. Le sujet reste néanmoins extrêmement sensible. Il est vivement contesté par une large partie des chercheurs, très critiques sur « l’ethnicisation » de la société française. Derrière cette résistance, une raison simple : « il y a toujours la crainte d’apporter de l’eau au moulin du Front National », relève Sébastien Rocher. ».
Simple ou simpliste ? Raison ou raison ? Science ou idéologie ?
Sur un sujet très voisin, le nouveau livre (« Islam, l’épreuve française »,Plon) d’Elisabeth Schemla, ancienne rédactrice en chef du Nouvel Observateur, montre qu’on ne doit pas désespérer de toute la gauche. Échappant aux clichés sur un islam français qui serait très inégalement partagé entre une poignée de terroristes et les « bons musulmans », la journaliste reconstitue dans son livre le puzzle d’une communauté qui, globalement, se radicalise, tandis que le pouvoir laïque et républicain se voile, ici encore, la face. Extrait de l’interview courageuse accordée cette semaine à Patrice de Meritens (leFig Mag) : « Tant que l’on refusera d’entrer dans le débat, on restera dans un monde virtuel peuplé d’idées fausses, à commencer par celle-ci : feindre de croire qu’il y aurait des « poches » d’islam radical face à une immense majorité de « bons musulmans » tranquilles. Tout le monde concourt à ce mensonge : les politiques nationaux de tout bord, les responsables régionaux, associatifs et bien sûr nombre de responsables musulmans, le tout relayé par les médias. Depuis 30 ans, et particulièrement ces dernières années, avec l’officialisation de l’islam dit de France, par le biais du CFCM, ce sont notamment les jeunes de la communauté musulmane qui se sont radicalisés, phénomène que les politiques, les sociologues et les spécialistes de l’islam refusent obstinément d’admettre. Quand, au regard de tel ou tel événement, ils sont contraints de le reconnaître, ils arguent systématiquement du désarroi identitaire, des ghettos de banlieue et du social. Or, une réelle misère n’explique pas tout. Alors que la France avait oublié Dieu, voilà qu’il nous est retombé sur la tête par le biais d’une religion, désormais la deuxième en France, qui concerne près de 10 % de notre population. Cette réalité religieuse, non seulement nous ne voulons pas la voir en face, mais nous ne sommes plus outillés pour y répondre.… ».
(W. Goldnagel)
On lit de belles conneries en remontant , à croire que la culture littéraire rend sourd, pourquoi un livre alors qu’il suffit de l’entendre pour la connaitre
Le personnage joué par Maurice Ronet dans le film La Piscine, c’est ce genre de type qui a détruit la chanson française. Ce genre de type qui n’aime personne sauf lui-même (et même pas d’ailleurs !) dans une relation plus ou moins incestueuse avec sa fille (la belle Birkin) et qui hait ses propres amis, voilà c’est ça aujourd’hui la chanson française, ceux qui se battent contre le Peer2peer désespérément pour garder leur rente de situation et leurs grosses bagnoles. La racaille, quoi ! J’espère qu’y finiront tous au fond de la piscine.
Sur la question Rom, aussi, les fantasmes du passé pèsent sur la rationalité du discours présent. Des habitants exaspérés, des élus désemparés ne savent plus à qui se vouer. Jusqu’aux gardiens du musée du Louvre qui se sont mis en grève pour protester contre les agressions dont ils sont désormais les victimes journalières. La politique inepte des commissaires européens comme la jurisprudence désincarnée de la Cour Européenne qui interdit les placements en garde à vue ou en centre de rétention rendront définitivement les expulsions impossibles si, par malheur, la Bulgarie et la Roumanie entrent dans l’espace Schengen, comme il est prévu en 2014.
En 2010, Sarkozy avait été couvert d’injures et traité de nazi, après son discours de Grenoble dans lequel il évoquait les problèmes posés.
Un prêtre, particulièrement miséricordieux, avait même souhaité qu’il trépasse. Dans l’indifférence générale.
Mardi dernier, Mme Hidalgo, était contrainte de reconnaître qu’il y avait à Paris « un gros problème de délinquance, notamment avec les vols à la tire » en grande partie commis par des Roms. (Le Figaro du 16 mai).
Deux jours plus tard, Guy Bedos, sur France Inter se disait « dégoûté », par la politique (« de droite ») de Manuel Valls à l’égard des Roms.
Il y a quelques années, je croisais souvent Bedos, l’été à l’île de Ré. J’y croisais moins de Roms.
Enfin, et toujours s’agissant de ces questions qui fâchent jusqu’à rendre fou, on sait que dans les jours qui viennent Jean-Marc Ayrault présentera la réforme des allocations familiales. Les allocations commenceront à fondre à partir de 5000 € de revenus par famille.
Le 14 mai, seul Éric Branca de « Valeurs Actuelles » révélait que par la grâce d’un arrêt de la chambre plénière de la Cour de Cassation daté du 7 avril, transposant la jurisprudence européenne, les enfants de nationalité algérienne seront désormais pris en compte dans le calcul des allocations, dès lors où ils auront rejoint l’un de leurs parents en France. Il pourra, bien entendu, s’agir d’enfants de pères polygames. J.P.Brard, ancien maire communiste de Montreuil, rappelait l’impossibilité de loger ces deux jumeaux habitant sa ville qui étaient les heureux parents de 40 enfants.
Question très hypothétique: Si, depuis trois décennies, le discours sur l’immigration n’avait pas été pollué par le traumatisme du génocide et la nazification systématique de tous ceux qui ont tenter d’appliquer les lois républicaines en matière de régulation des flux migratoires.
Si ce discours (« l’immigration, une chance pour la France ») ou sur le métissage préconisé (« la France c’est comme une mobylette, ça marche au mélange ! ») avait été moins extatique.
Si un gigantesque mur des cons, érigé par certains syndicats de magistrats et de journalistes, n’avait pas présenté le français comme un franchouillard raciste, au risque de le faire croire aux immigrés, avec les chocs en retour que l’on imagine. Si un discours de raison et d’humanité, non de passions fantasmées, d’équilibre entre les droits et les devoirs, avait pu être tenu. Si, enfin et surtout, un terrorisme intellectuel vigilant ordonnant le déni du réel n’avait pas interdit tout débat critique mais apaisé : la situation pour les Français -immigrés compris- dans les domaines de l’économie, de la sécurité, et tout simplement de l’harmonie sociale, aurait- elle été pire, ou meilleure ?
(W. Goldnagel)
William Goldnagel, je l’ai vu l’été dernier, il se promenait tranquille le long de la plage de Tel-Aviv.
ML peut-on dire que l’Islam n’est bientôt plus une religion mais un outil une machine une machine-outil? Prévoyez-vous que d’ici une décennie des pays comme la France doive faire appel pour assurer la paix sociale à l’armée exécutive américaine et à ses nouvelles technologies pour débarrasser l’espace des individus présumés coupables avec une petite couenne comportant deux trois quatre autres personnes mais qu’importe
Bérénice j’ai pas bien compris votre diatribe contre le bon sens.
il est assez répété que ce blog est un blog littéraire pour que je me permette de rappeler
1) que la chanson y a été souvent évoquée
2) que l’on dit en français bête de scène (comme on dit bête de concours et bête de somme)
il n’y a rien d’excessif à dire que barbara était une bête de scène (« personne qui sait séduire un public nombreux qui sait enflammer les foules (chanteur, homme politique, tribun…)
bien sûr il y a surement des bêtes de blog (mais je ne sais pas si ça se dit déjà
bonsoir
doivent mes excuses aux ministères chargés de l’éducation de la jeunesse des sports de la répression des fraudes et fautes
« bouguereau dit: 21 mai 2013 à 17 h 21 min
rénato y croit que la mort c’est une grosse mamelue à la féllini..tout ça c’est culturel »
Anita Ekberg :
OK :
Tous les jours que Dieu fera,
je plonge dans la fontaine de Trévi !!! !! !.
ML je considère que la vie d’un juif vaut celle d’un musulman ou d’un catholique ou d’un bouddhiste ou d’un hindouiste ou d’un protestant pour résumer pourquoi devrait-on accepter comme papier cadeau pour la capture d’un terroriste la vie de nombreux innocents et ce bien que la religiosité sous toutes ses formes m’inquiète lorsqu’elle resurgit d’un passé pour être détournée au présent à d’autres causes que philosophales
22h19 pensez-vous qu’il faille les isoler puis les placer en garde à vue et en déférer au parquet?
« D. dit: 21 mai 2013 à 19 h 08 min
Eh puis quelle est la différence entre la pente et l’inclinaison, tant qu’on y est ? »,
CHABROT !!!
et puis si on parle de philosophie, puisqu’on sait que Milner J.C. saurait tout de Petula clark , un souvenir :
http://www.liberation.fr/livres/0101164275-szendy-dis-moi-ouie
son blog est sur philomagazine
ML puisque nous en sommes à élargir le champ des commentaires autours de cette merveilleuse Barbara je suggère de mettre les enfants à la machine et de sélectionner la fonction essorage puis enfin si votre matériel est à jour disposez les dans le sèche-linge sortez repassez disposez les en ronde comme un Matisse immortalisez la scène, souriez .
JB, s’il n’y a plus de plus races, il n’y a plus non plus de racisme ni d’anti-racisme…La négation du réel que nous apporte cette loi est toujours négative, quel qu’en soit l’objet. Un petit pas de plus vers l’abrutissement collectif et la novlangue. ML a raison de réagir.
ML serait cependant plus crédible s’il n’avait pas lui-même contribué dans sa jeunesse au délire de l’immigrationnisme sans contrôle.
Et si Henri Tachan …il est attachant!
http://www.tachan.org/textes/goupil.htm
LML, quitte à être « outrancier »,
sortez dans la rue avec votre flingot,
faites vous circoncire,
mais lâchez nous un peu !!! !! !.
Apostat d’apostat,
pas une référence !.
M.Langue, allez plutôt sous questionner chez un psychanalyste sur vos contributions et la réceptions de vos commentaires sur laRdL et ailleurs .
je me garderais bien de vous suggérer des noms de psy : vous n’aurez aucune peine à trouver ceux auprès desquels vous pourrez faire un travail qui vous aide .
allez plutôt (vous) questionner
et la réception
sans compter que vous cela vaudra peut-être à P.Assouline quelque babillarde qui ne le frustreront pas d’avoir su patienter
In The Race Question, UNESCO 1950 : «les groupes nationaux, religieux, géographiques et culturels, ne coïncident nécessairement pas avec les groupes raciaux. … Puisque de graves erreurs sont commis habituellement dans le langage courant lorsqu’on utilise le mot «race», il serait préférable d’effacer complètement le terme « race » des discours qui se rapportent à des races humaines, en utilisant plutôt le terme « groupes ethniques ».
En fait classer l’espèce humaine par races est un effort futile car, puisque tous les gènes sont présents dans toutes les populations (même si dans des proportions différentes), il n’y a pas une distinction génétique déterminante. D’ailleurs, la grande variabilité génétique au sein de la population d’un même État met en évidence la grande activité migratoire des individus et des populations dans l’histoire humaine, et aussi le fait qu’il n’y a aucune frontière génétique définie.
quelques babillardes
Ce j’ai appris ici, c’est que toute lecture qui porte est le commencement d’un affrontement.
Ce que j’ai appris…
« JB, s’il n’y a plus de plus races, il n’y a plus non plus de racisme ni d’anti-racisme… » (rédigé par novlangue)
C’est bien vrai : les racistes ont besoin que les races existent pour exister. Et les anti-racistes ont besoin des racistes pour exister.
Personne n’a jamais été capable de donner un fondement scientifique sérieux au concept de race. A quoi rime, dans ces conditions la prise de position parue dans « le Monde », cosignée par Nancy Huston et par un généticien, sinon à tenter de rendre à ce concept une légitimité qui lui fait défaut,et pour cause ? On ne peut qu’applaudir à la récente décision du gouvernement de faire disparaître des textes officiels un mot parfaitement inutile mais riche de connotations perverses.
Quant aux posts de LML sur la question, ils sont la copie conforme des vaticinations de ce bon vieux fasciste de Richard Millet dans « Fatigue du sens ».
le mot « poète » détesté dès lors qu’on le lui accole alors qu
enfin quelqu’un qui ne supporte pas les projections identitaires grandiloquentes( comme poète philosophe) du psychanalytisme appliqué comme à l’école
C’est justement l’éradication du terme « race » dans les textes juridiques qui risque fort d’être très perverse, JB. Vous n’avez pas l’air d’avoir bien compris l’analyse de Danielle Lochak qui n’a strictement rien à voir ni avec le fascisme ni avec les propos de Richard Millet. Vous êtes caricatural conformément au personnage que vous nous jouez au lieu de penser. Vous croyez que la France d’aujourd’hui n’est pas plus intelligente que ce que vous croyez ? Vous vous trompez. Vous avez la mentalité de de Gaulle qui a fait une Constitution avec 180 000 étudiants à l’époque alors que la France d’aujourd’hui compte au bas mot 2, 5 millions d’étudiants, formés, cultivés, capables de nuances de la pensée et pas de la purée à coups de formules simplistes que vous passez votre temps à nous balancer. Vous ne parlez qu’à vous-même, vous êtes sur un blog pour rien. Un blog n’est pas fait pour votre narcissisme insensé mais pour échanger même dans la violence verbale mais échanger. Prenez-le enfin en compte !
In The Race Question, UNESCO 1950 : «les groupes nationaux, religieux, géographiques et culturels, ne coïncident nécessairement pas avec les groupes raciaux. … Puisque de graves erreurs sont commis habituellement dans le langage courant lorsqu’on utilise le mot «race», il serait préférable d’effacer complètement le terme « race » des discours qui se rapportent à des races humaines, en utilisant plutôt le terme « groupes ethniques ». (cité par en savoir plus)
Eh bien, voilà qui est fort bien dit, dans un texte qui date de 1950 ( à peu près l’époque où Lévi-Strauss publiait « Race et histoire » ). Malheureusement, l’expression « groupe ethnique » est susceptible de manipulations racistes, comme on s’en aperçoit à propos des Roms, des Noirs, des Maghrébins. Les discours de LML sur le thème « délinquance et immigration » me paraissent bien représentatifs de ce néo-racisme à peine voilé qui s’étale aussi dans des textes récents de Richard Millet.
@alive
Je crois plutôt que c’est vous qui devez consulter un psychiatre pour écrire vos commentaires complètement déconnectés de ce que j’ai écrit. Vos commentaires sont insignifiants. Mes commentaires vous posent des questions posées par des gens compétents comme Danielle Lochak, professeur de droit public à Nanterre, c’est pas une folle. C’est vous qui l’êtes. Vous n’êtes pas crédible, vous lancez des anathèmes qui en réalité se retournent contre vous pour donner de vous l’image d’une pauvre folle.
LML avait pris l’habitude d’utiliser ce blog pour y déverser les élucubrations haineuses de sa propagande sioniste. Ce sont maintenant les purulences d’un discours raciste qu’il y déverse. On ne s’étonnera pas d’une telle association. Elle n’a rien au contraire que de parfaitement naturel.
« Opposant au mariage pour tous, Dominique Venner s’est donné la mort devant l’autel de Notre Dame de Paris, ce mardi en fin d’après-midi. »
Qui sème, récolte, dit-on !.
Qui au manche du faubert ???.
Fais gaffe quand même, John Brown, tu vas un peu loin… Ton « parfaitement naturel » mène à pire que les délires d’Alba. On ne peut tout de même pas s’affronter en bannissant toute raison.
@JB John Brown dit: 21 mai 2013 à 23 h 55 min
Ce que vous écrivez est puéril. Ça n’a aucun rapport avec ce que j’ai écrit. Vous ne faites en fait que projeter sur moi VOTRE racisme. VOTRE fascisme. Ce n’est pas du tout moi. Et le sionisme est très loin de l’idée puérile que vous vous en faites. Vous devriez employer vos caricatures pour parler du monde arabo-musulman qui n’en est pas très loin. Vous n’avez que les préjugés de la masse ignorante, vous ne devriez pas en être fier, ça vraiment pas de quoi, vos commentaires sont misérables.
Je vous préviens : c’est un privilège qu’on va beaucoup vous jalouser.
Veuillez m’excuser, John Brown, mais vous avez déjà beaucoup écrit ici et ailleurs.
décidément, vous devez confondre, cher professeur de petits chéris .on vous conseille de vous faire circoncire sur ce blog et ce n’est pas moi!
mais il est vrai que je ne suis plus bon public des rengaines et recettes . l’adoration selon P.Assouline, , ça ne prend pas non plus avec moi , cela confine au mépris de l’intelligence et de la sensibilité des protagonistes ; c’est autre chose que de l’outrecuidance après tant de temps .et c’est surtout plus grave . et plus dangereux!
mais vous pouvez bien vous faire circoncire si vous croyez que ça vous rendra plus intéressant, que c’est plus esthétique ! que voulez-vous que ça me fasse !vous trouverez surement un salopard qui sera ravi de vous aider en ce sens !et puis il aura des mots pour qui vous instruiront …!!
ce n’est pas ma question, cher monsieur!
Je n’ai rien à votre encontre, mais vous en êtes tout de même à votre 18ème commentaire depuis 11h 49.
il n’y a pas que le mariage qui entraîne des problèmes de nom:
« Alors que l’OMS annonce de nouveaux cas d’infection par le nouveau coronavirus, un groupe d’expert préconise de changer le nom de ce virus qui, s’il est nouveau aujourd’hui, ne le sera plus dans quelque temps. Il ne faut donc plus l’appeler NCoV, mais MERS-CoV.
@alive
Vous sortez d’où pour nous écrire des commentaires aussi incompréhensibles. Tous les fous ne sont pas soignés en HP. Vous devriez consulter. (pour info, je suis déjà circoncis, mais ça n’a aucun rapport avec le problème posé).
@Chaloux dit: 21 mai 2013 à 23 h 58 min
Fais gaffe quand même, John Brown, tu vas un peu loin… Ton « parfaitement naturel » mène à pire que les délires d’Alba. On ne peut tout de même pas s’affronter en bannissant toute raison.
Vous en manquez pourtant avec un tel commentaire !
Lorsque différents groupes ethniques vivent ensemble dans un État et leurs langues, leurs religions, les coutumes, les traditions sont différentes, on parle d’État multi-ethnique (la Suisse, la Russie, les États-Unis sont des États multi-ethniques). Il est grand temps que les États de l’Union Européenne commencent à envisager qu’ils sont des États multi-ethnique déjà par leur population qui est de plus en plus différenciée, et par le fait d’être une partie de l’EU avec chacun sa langue, etc.
Lisez « Fatigue du sens », de Richard Millet. Les discours qu’il y tient ne sont que le toilettage des rengaines qu’entonnaient les fascistes des années 30. les propos de LML dans ses posts de ce soir leur ressemble à s’y méprendre. Ah ! le fameux « France moisie » de LML : mais c’est du Richard Millet pur sucre !
mais si mauvais langue et ses amies s’imaginent que je les attends pour découvrir le lien qui suit ils se trompent
http://www.lessakele.com/article-tensions-et-de-s-ethiques-dans-le-monde-contemporain-117948993.html
il était révélé que, selon le sociologue Hugues Lagrange, il existerait une surreprésentation des jeunes issus d’Afrique Noire dans les affaires de délinquance…’
Bravo! vous gagnez une tringle special collector! si si…vous l’avez bien méritée…vous pourriez vous demander aussi pourquoi il existe une surreprésentation des jeunes issus d’Afrique Noire et du Nord dans le chômage…non…ce n’est pas obligatoire, mais ce serait très intéressant du point de vue socio-machin…dans les années 1900, les juifs est-européens étaient aussi surreprésentés dans la criminalité a Londres…au point ou Churchill dut intervenir sur la question…autres temps, autres mœurs…
P.S. je vous fascine tant que ca que vous n’arrêtez pas de me citer a propos de rien et de pas grand chose? oui z’avez du gout certainement, mais entre-nous ce n’est pas le top pour mon image, voyez…d’être ainsi cité par un cancre…un presqu’agrégé…un trou de cul de poule…
…
…chers condisciples,…nous nous écrasons dans les détails,…
…
…revenons à notre sémiologie propédeutique de la littérature,…
…
…du vent,…etc,…Oui,…mais pas des tornades et des cyclones,…etc,…
…
…chacun ses sources de dérisions objectives,…etc,…Ah,…Ah,…quel pastis,…
…
Mais JB, moi je ne vous parle nullement du bouquin de Millet. C’est vous qui caricarturez la pensée d’une professeur de droit public émérite qui est de plus une militante active des droits de l’homme depuis des décennies, avec vos gros sabots de paysan inculte. Argumentez en rapport avec ce que j’écrit, pas en remplaçant ce que j’écris par ce que vous avez compris de Richard Millet. C’est le minimum syndical, le minimum de l’honnêteté intellectuel. Sinon, vous ne pouvez vous étonner qu’on vous considère comme un pignouf malhonnête.
C’est parce que vous êtes si vulgaire et insignifiant, Abadelkaka que je vous cite, non parce que vous seriez un modèle d’intelligence et de pertinence critique. Vous êtes le crétin inculte par excellence, c’est àç ce titre que je vous cite, mon brave Abdelkaka, pigé ou pas ?
Dans la « pensée » de LML, les Roms et les jeunes issus de l’immigration tiennent la place que les Juifs tenaient dans la « pensée » des nazis et de leurs émules, et que les Palestiniens tiennent dans la « pensée » des sionistes.
« William Goldnagel, je l’ai vu l’été dernier, il se promenait tranquille le long de la plage de Tel-Aviv. »
Merci, Mauvaise Langue, je comprends mieux votre propension à citer le nom de ce garçon comme garant d’opinions qui vous agréent.
Dans les 3 posts cités de Goldnagel, il y a beaucoup de vrai, mais c’est gâté par des prises de position sans nuances sur Israel, quel que soit son gouvernement: il prend tout!
Vous nous apportez le détail qui explique que ce soit sous son nom que vous répétiez des opinions que vous auriez pu trouver par vous même, car s’il arrive qu’un fanatisme vous aveugle, vous êtes à l’occasion capable de bon sens.
Alors, c’était quoi le détail?
Slip minimaliste ou caleçon à fleurs?
Quel étui pour un clou d’or, hein, c’est ce qui vous a fait longuement médité (« longuement méditer » et ‘je vais faire ma sieste » sont synonymes, j’ai raison?)
Danielle Lochak?
Bonne lecture, bien sûr.
Vous en faites quoi?
u. dit: 22 mai 2013 à 0 h 31 min
« William Goldnagel, je l’ai vu l’été dernier, il se promenait tranquille le long de la plage de Tel-Aviv. »
Merci, Mauvaise Langue, je comprends mieux votre propension à citer le nom de ce garçon comme garant d’opinions qui vous agréent.
Mon brave ueda, vous n’avez guère compris la note humoristique ! Mais ça ne m’étonne pas de vous… Vous êtes très drôle avec votre sérieux !
Votre compréhension des prises de position de Goldnagel sur Israël est dénué de toute argumentation. Ce ne sont que préjugés de votre part. Prenez des exemples précis et vous pourez prétendre énoncer des idées. Là, vous êtes juste ridicule et insignifiant. C’est pas très glorieux !
Mais au final :
j’apprécie Barbara,
avec ou sans biographie !.
Nonne notte !.
ueda, arrêtez de nous faire croire que vous avez jamais lu un bouquin de Danielle Lochak. Ne soyez pas ridicule jusqu’à ce point !
il me semble , que sauf homonymie pas si surprenante, le chercheur un peu connu fred Spira vécut son enfance à Tarbes où ses parents, originaires de Pologne étaient aussi venus de Nancy . son père était médecin et me sembla, un jour que je le vis dans une fête de circoncision, me sembla une figure inspirante pour un romancier qui, s’intéresserait à l’idée de « recherche » . il se trouve que la femme de ce médecin et mère de ce jeune chercheur se fit brûler vive dans leur jardin dans la région parisienne où ils étaient venus de Tarbes .
on l’appelait Freddy, et je le revis à un mariage chez une de mes anciennes condisciples
il avait une soeur dentiste .
J’ai lu attentivement « Le droit et les paradoxes de l’universalité », ML, vous connaissez?
C’est une sorte de panorama de cette question, d’un point de vue essentiellement juridique, mais qui peut donner à penser au-delà de cette discipline.
Vous en pensez quoi?
Vous parvenez à concilier cette perspective avec celle de Milner (je le cite parce que vous l’admirez)?
Comment?
Lâchez-vous!
Argumentez, vous en êtes capable.
Cessez d’être écrasé par les Autorités Universitaires!
Vous êtes libre!
Hourrah!
(Donnez quand même la précision sur slip/ caleçon, svp, ce n’est pas pour moi mais pour J.Ba., qui a le sens du détail concret.)
« Dans la « pensée » de LML, les Roms et les jeunes issus de l’immigration tiennent la place que les Juifs tenaient dans la « pensée » des nazis et de leurs émules, et que les Palestiniens tiennent dans la « pensée » des sionistes. » (rédigé par mézigue)
La place du mort, évidemment.
Car ne nous y trompons pas : la place assignée par la logique même des discours de LML à ces Roms et à ces jeunes issus de l’immigration, fauteurs de délinquance et d’émeutes urbaines, à ces Palestiniens qui contestent aux Israéliens la possession de la terre de Palestine, c’est bel et bien la place du mort. Ah! si seulement, rêve presque tout haut LML, tous ces gêneurs, tous ces emmerdeurs, qui ne sont pas nous, pouvaient crever, comme tout pourrait être simple!
c’est tres possible que je sois tout ca et plus peut-etre, ML…mais encore…je ne parle que de livres que j’ai lus et n’ai pas de maitres a penser…je suis le capitaine de mon navire…je ne suis ni presqu’agrégé ni fonctionnaire (donc dans le climat brutal de la City, je peux être défenestré en 5 minutes, or j’ai presque 30 ans de carrière dans des boites dont même vous en avez entendu parler)…le français est ma 2eme ou 3eme langue et pourtant je ne fais pas le quart de fautes de grammaire que vous faites…franchement, de la ou je suis, vous êtes tres petit a mes yeux…un pauvre type…un échec complet…un cas pour le Dr Freud…a fucking loser…et je ne parle pas la de vot’vie sexo, qui ne m’intéresse point…pas plus que celle des limaces dans mon jardin…bref, je vous fais pipi dessus…
Lorque je dis un peu connu voilà un mention sur la toile
« À partir de 1989, Alfred Spira, statisticien spécialisé dans la biologie, rejoint l’équipe de Benveniste et mène des expériences, en partie en réponse à l’enquête de Nature. Spira met au point un protocole expérimental destiné à rendre inattaquables les outils statistiques utilisés. Spira fait de plus superviser son travail par un autre statisticien. De nouvelles expériences d’activation et d’inhibition de la dégranulation des basophiles sont menées en aveugles à Clamart. Les résultats confirment l’existence d’un effet de dégranulation à hautes dilutions. Le résultat de ces expériences est publié dans les compte-rendus de l’Académie des Sciences de Paris.
Mais où est-ce que vous argumentez à propos de Goldnagel, ueda ? Nulle part.
Je suis vraiment très curieux de voir ce que vous êtes capable d’avoir comme argument sérieux pour condamner Goldnagel avec cette autorité dans laquelle vous vous drapez… Vous êtes un vrai théâtreux, ueda. Mais vous ne faites pas le poids. Goldnagel connaît ses dossiers, pas vous.
Moi non plus, je n’ai aucun maître à penser. C’est vous, Abdelkaka qui croyez ça naïvement tellement vous êtes de mauvaise foi. C’est insignifiant, tous vos propos, c’est puéril, indigne simplement d’un adulte.
une mention
bien sûr n’importe qui peut maintenant enquêter il s’agit’une évocation de mon histoire personnelle autour de la ville de Tarbes.
…
…les métiers, les rôles, on ne les choisis presque pas,…
…dans la méfiance collective des avantages sans partages,…
…les métiers héritiers, et les jobs héréditaires posent questions,…aux autres, du servage éternel,…et auto-dérisions des droits en partage,…
…
…être toujours meilleurs mais avec des avantages au départ,…
…laisse perplexes sur la confiance aux élites conservateurs héritiers de chevaliers – brigands,…ou élites capitalistes de trucider le partage équitable,…
…le choix du moteur à explosion,…alors que des prototypes électriques existaient déjà vers 1875,…même avant,…etc,…bonne nuit,…
…
Alors ueda, on l’attend toujours votre fameuse argumentation contre Goldnagel…
On peut l’attendre longtemps…
Vous n’êtes qu’un bouffon !
rien a cirer d’être un adulte, la n’est pas la question..sinon, c’est bien vous ici-même qui jamais ne postez quoi que ce soit sans citer tel ou tel lunatique de votre paroisse ou de furieusement abuser du copier-coller…la vérité est que vous n’êtes pas capable de penser par et pour vous-même…z’etes un minus, ML…un monocellulaire…une amibe de l’EN dont l’apogée aura été d’enseigner a des élèves ricaneurs de 5eme…et je sais pourquoi ils ricanent…
je peux vous dire la date de naissance de l’enfant circoncis : c’était le 27 décembre 1965 :
la circoncision, faite par un mohel recommandée par un gynécologue (sepharad) fut ratée en effet:
il fallut opérer le bébé un ou deux mois après dans une clinique .
le grand-père qui étit venu de Tarbes et n’avait contribué en rien à la réussite de la journée voulait tous les honneurs dans la nomination etc
quant à la marraine de l’enfant, nièce du grandmère avide d’honneur, c’était une femme au prénom de Judith dont les parents étaient aussi venus de Pologne , et qui était stérile . Elle avait fait des études de droit son mari , aussivenu de Pologne mourut subitement à l’hôtel après un examen o il fut déclaré en parfaite santé pour adopter un enfant . la veuve fit ensuite des études de gynécologie et se remaria avec un copte juriste , mais resta sans enfant et sans talent
nièce du grand-père : lapsus des doigts !mais cet homme se flattait d’avoir été préféré à toutes ses soeurs qui moururent en déportation
abdelkader et mauvaise langue à quoi bon cobtinuer sur ces registres ? pouvez-vous vous nous concéder un peu de répit : vos harcèlements sont effectivement trop puérils pour être soutenus et soutenables
ouais d’accord…vous me mettez sur le meme plan qu’une raclure raciste et fasciste? allez vous faire tater…
continuer
ca doit être l’exception française ca…oui, c’est vrai qu’il a des idées peu conventionnelles, ma bonne dame, mais il cite superbement Montaigne…et Attali aussi…vous vous rendez compte que ce lunatique est prof dans VOTRE système éducatif ? et ca ne vous dérange point ? tain…
j’espère qu P.Assouline se fera plus souvent rattraper et cessera de considérer que les lecteurs et les lectrices ont besoin de fonctionner dans l’adoration aveugle comme les provocations des couples infernaux qui viennent se chercher sur son blog et ne se soulagent peut-être pas par l’écriture
l’un des effets de ce blog est la disparition d’un féminin digne de ce nom , c’est à dire qui ne soit pas inféodé ni à une personne, ni à une théorie …et ce ‘était peut-être son propos mais c’est le résultat attristant pour le patron de la galère .
si j’étais une femme honnête , je lui dirais qu’il a une grande part de responsabilité dans la disparition du féminin et son imagination de si bien comprendre le féminin
Alive vos dernières interventions ressemblent à des assemblages mytho, ces histoires de famille assez compliquées devraient intéresser? Si oui en quoi et de quels cotés je les retourne en tous les sens rien à faire je lis anecdotes et dépendances le château généalogique en labyrinthe où se dissimulerait le Minotaure, désirez-vous que quelqu’un allume la lumière pour que nous le voyions enfin. Ne voudriez-vous pas plutôt nous parler de l’amie qui ne vous a pas portée vos sacs au super marché et contre laquelle une procédure interminable fut engagée via la cours européenne son mari était le beau-frère d’un diplomate que le couple avait fréquenté lors d’un séjour aux Bahamas après avoir pris soin de déposer à l’ombre des palétuviers des diamants hérités d’une cousine Jeanne qui connut la malchance de mourir d’une dysenterie attrapée au vol 738 sur un 747 car les stewards négligeaient l’hygiène des plateaux repas o les règlements bien que contestataires ne se pliaient pas dans la soute à bagages et il fallut les en extraire comme autant de faits indésirables ce qui entraina un retard considérable dans la vérification des identités et visas la soeur de cette cousine mariée à l’ami de l’amie qui ne vous portait pas les sacs au super marché dut partit en catastrophe pour accoucher le gynécologue hésitait entre laisser mourir la mère l’enfant les deux aucun ou autre possibilité démissionner sur le chant on convoqua l’aréopage qui domicilié non loin dut parlrementer toute la nuit sur place afin de ne négilger une partie de la réalité qui se contractait sur la table
porter porté portée
mais je vous en prie , chère bérénice essyez donc de retrouver Freddy Spira !
j’ignore i son père est encore vivnt , mais j’i eu le plaisir de lui faire comprendre un jour qu’il n’était pas partout chez lui !
sa soeur s’appelait hélène !
vivant !
le père n’en fiissait pas de se moquer du copain veu avec lui pare qu’il parlait encore un très mauvis français !
au fait ce n’est pas moi qui ai été cherché la ville de Tarbes : ce qui étit très drôle c’est que la femme du copain , (l’homme affamé d’être honoré et jaloux d’un homme qui avait la légion d’honneur à titre militaire , et connaissait tout Paris, ou presque,) prononçait avec humour, et consciente de son ironie -comme à l’égard de toutes les chanteuse françaises – Tarbes comme shabbes
dans Un Shabbes goy! ça ne s’invente pas , pas plus que la place de Verdun à Tarbes !
vous voulez rire! vous délirez point barre
qui ai été chercher venu
de toutes les chanteuses
les bourgeois tarbais , chère Bérénice ,marché mis à part, ne font pas leurs achats à Tarbes. je cris qu’à la fin des années 60 , il n’y avait pas une librairie où l’on pouvait fureter !
pauvre Bérénice, retrouvez freddy spira fils de médecin installé à tarbes après guerre et d’une femme gravement malade,on en reparlera après !
la mémoire de l’eau et des histoires d’eau , ce n’est pas mon truc !
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9moire_de_l'eau
pour l’histoire de la mémoire de l’eau
la question de l’humour m’intéresse assez , depuis que j’ai connu ces gens et leurs épouses prises dans la grande folie mais non soignées et qui ont fini si tragiquement, parce qu’il fallait un sacré humour pour prononcer Tarbes comme Shabbes après ce que cette femme y avait vécu, et notamment aussi chez des soeurs cachées avec ses enfants , que j’ai assez bien connus, pendant la guerre …à côté de ça l’humour de P.Assouline , est palichon !
pardon cachée chez des soeurs pendant la guerre, la femme ,cachée avec sa fille et son fils
tenez la bérénice , parce que j’ai une mémoire des noms entendus »cu plus loin qu’il m’en souvienne » voici une page pour vus aider :
http://www.ajpn.org/commune-Argeles-Gazost-65025.html
argelès
pour vous aider
c’est très bien de parler de culture, mais si on ne fortifie pas un peu sa mémoire , le psy de la RDl c’est de la goujaterie
d’ailleurs la bérénice, demandez à P.Assouline :
il y a charles Dantzig qui est de tarbes et qui doit avoir quand même entendu des allusions
« Charles Dantzig est né à Tarbes dans une famille de professeurs de médecine. Après le bac, sa passion pour la littérature l’éloigne du parcours habituel de la « reproduction », mais aussi de la voie d’hypokhâgne qui lui était pourtant ouverte
pourquoi barbara
http://www.scoop.it/t/nouvelles-psy/p/4001464042/des-fantomes-dans-la-voix-une-hypothese-neuropsychanalytique-sur-la-structure-de-l-inconscient-par-ariane-bazan?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
«Nous portons dans nos voix des fantômes que nous transportons, le plus souvent à notre insu, de génération en génération et qui nous parlent de notre histoire, de notre descendance et de notre identité. La plupart du temps ces fantômes agissent sous couvert.
Vénèr, le facho décati s’explose la tronche au kilomètre zéro Lequel accueille 2 millions de fois plus de touristes du monde entier que de locaux. Statistiques que semble méconnaitre la blondasse fille du borgne.
L’exhibitionnisme suicidaire des vieux pervers serait-il le dernier chic parisien.
Une crapule en moins, une petite fête en plus.
Peut-être n’ai-je voulu dire que ceci dans mon refus irrité des mots adoration et pardon :
qu’une personne peut avoir la prescience et même la conscience -pourquoi pas ?- qu’il y a quelque chose encore au-delà de plus grave , dont certains sont poteurs et qu’ils inspirent -irradient – et quelque chose qui échappe , sous l’angle de la dénomination aux subtilités académiques reconnues et qu’on dira énigme, secret , vérité même , des mots qui ne disent rien de l’affect lié là .
dont certains sont porteurs
et que certains cherchent à capter ou à défaut à détruire .
assurément n’ai-je pas imaginé, jeune que Barbara pourrait être aussi quelqu’un que j’aimerais à la vie , à la mort ,
« mais je vous en prie , chère bérénice essyez donc de retrouver Freddy Spira » !
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