Eric Reinhardt met à nu une femme qui ne s’autorise pas
Il y a des noms de personnages qui ne passent pas ; du début à la fin du roman, ils vous restent en travers la gorge, tant et si bien que vous ne croyez pas à ses émotions, ses sentiments, sa logique ou sa folie mêmes tant son identité vous paraît invraisemblable. D’autres au contraire semblent si singuliers qu’ils confèrent d’emblée une personnalité au personnage, s’imposent et vous emportent. C’est ainsi que je suis tombé amoureux de Béatrice Ombredanne, l’héroïne de L’Amour et les forêts (365 pages, 21,90 euros, Gallimard), l’un des romans les plus en vue de cette rentrée. Disons qu’elle m’a accroché dès les premières pages, cette femme dont Eric Reinhardt nous répète le prénom et le nom indissociablement en moyenne trois fois par page jusqu’à l’excipit. Ils sont le leitmotiv de cette histoire et lui accordent son rythme secret et incantatoire jusqu’à l’envoûtement.
Ce pourrait être l’histoire d’une bourgeoise de province, 38 ans, agrégée de Lettres passionnée de Villiers de l’Isle-Adam (un extrait de « L’Agrément inattendu » tirée de ses Histoires insolites, figure justement en épigraphe), enseignante dans le secondaire du côté de Metz, mère de deux jeunes enfants, mariée à un type assez odieux, jaloux, colérique, faible, névrosé, susceptible et qui de fait, pour oublier ce quotidien qu’elle vit mal, bovaryse. Les rayons de nos librairies en sont pleins. Même si ce copain d’enfance qu’elle a épousé en secondes noces dans un instant d’égarement, peut-être parce qu’elle était si brisée et désenchantée d’avoir été trompée si jeune par son premier mari, même si ce dossard numéro deux donc met toute son énergie de pervers narcissique à mépriser avec constance ce qu’elle aime et qui la constitue : les gens, les livres, les films, les musiques, les lieux…
Eric Reinhardt nous fait assister avec une délicatesse rare à la construction d’un puzzle. Tout commence par la rencontre entre l’écrivain, double de l’auteur, avec l’une de ses lectrices au café le Nemours, place Colette, sur le parvis de la Comédie-Française à Paris. D’une mise en abyme l’autre, elle ne lui confie pas que son admiration mais sa vie même. Son aridité, sa monotonie. Une vie sans amour. Elle se raconte par petites touches, par étapes : son couple, ses crises, les larmes de son mari qui réussissent à mettre les enfants de son côté à lui quand son désarroi à elle est trop discret, intériorisé, pour les émouvoir. Et puis n’est-elle pas la fautive après tout ? Car la seule fois qu’elle a franchi la ligne, Béatrice Ombredanne a décidé de mettre une annonce sur Meetic et de se livrer à un inconnu. Ce qu’elle fait après avoir testé en ligne un certain nombre d’obsédés et de goujats. Celui qu’elle rencontre enfin pour de vrai s’impose avec la tranquillité de l’évidence. Il est tout ce qu’elle aime : peau, sourires, odeur, douceur, voix, tendresse, conversation, goûts. Et c’est réciproque. Lui est un antiquaire, plus esseulé que solitaire, anachronique et généreux, qui se délasse au tir à l’arc mais avec des flèches fabriquées par un ami artisan plutôt qu’avec celles de Décathlon… Ils passent une après-midi de rêve à s’aimer d’un amour total, moralement, intellectuellement, charnellement, sexuellement dans sa maison près de Strasbourg, en lisière de la forêt, promesse d’inconnu, lieu magique de conte de fées, son rosebud. Elle n’en revient pas, ainsi qu’elle le confie aussitôt à son amant d’un jour qui veut déjà faire sa vie avec elle :
« C’est qu’aujourd’hui je suis heureuse, indescriptiblement, si vous voulez savoir. Notre rencontre, dans ma vie bien rangée, c’est un peu comme une révolution : ces sourires sont des débordements populaires, c’est la liesse, je ne peux pas les empêcher d’éclater, ils sont comme des clameurs, j’adore cette sensation. Ces sourires ne m’appartiennent pas, la magie de ce moment ne m’appartient pas non plus, je le sais, je le sens. Cette journée est miraculeuse, elle ne reviendra pas, c’est certainement la dernière journée heureuse de toute ma vie. Je suis en train de flamber intégralement : en même temps que cette journée irréelle se déroule, je me consume de bonheur tout entière, mais vraiment tout entière, de l’intérieur, vous comprenez ? Je suis en train de brûler de joie, de l’intérieur, intégralement. Quand je partirai d’ici, il ne restera plus rien qu’un petit tas de cendres. »
Plus dur est le retour de fugue. Les postillons de haine de son mari, à qui elle avoue tout très vite pour avoir manqué de la plus élémentaire prudence dans la mise en scène de son absence, se muent en crachats. Pas de coups mais, comme d’habitude, des gestes qui bousculent, l’humiliation permanente et des mots qui tuent. Cela ne peut pas s’arranger : comment pourrait-il décider de ne plus la rabaisser, de lui adresser autre chose que des reproches ou des insultes, lui qui la supplie déjà à genoux, immature jusque dans l’abjection, de ne pas l’abandonner sous la menace de se suicider « en altruiste » avec leurs enfants ? Son propre sentiment d’échec professionnel, la conscience de sa médiocrité et de ses limites, son incapacité à se réaliser l’encouragent à le faire payer à sa femme. Il veut se convaincre qu’elle est allée chercher ailleurs une plus grosse queue que la sienne quand elle ne lui parle que d’harmonie des sensibilités, étoile inaccessible enfin trouvée. La suite…
C’est de rapports de domination qu’il s’agit, de violence au sein du couple et du pouvoir de la littérature. Car il y a du Mrs Dalloway en Béatrice Ombredanne, dans sa fascination pour un roman à l’ombre duquel elle aimerait placer sa vie. Sauf qu’il s’agit de la nouvelle « L’inconnue » issue des Contes cruels de Villers de l’Isle-Âdam et d’une héroïne à laquelle elle s’identifie. Mystère d’une femme supérieure à son mari mais qui lui reste soumise, tant elle se sent délabrée, mise au rebut, en proie au sentiment abandonnique. Enigme de cette emprise inexplicable. Elle veut mais ne peut inventer sa propre vie et qu’elle soit belle. Elle a toujours fait bonne figure, embarrassée à l’idée d’importuner les autres avec ses problèmes. Dix ans qu’elle retient ses désirs, ses pulsions, ses colères, ses révoltes au risque de s’en étouffer. Les quelques heures de totale liberté qu’elle s’est octroyées, par rapport à son mari mais aussi en regard de sa responsabilité de mère, elle les a vécues comme une insurrection. Fallait-il que celle-ci soit puissante pour balayer la culpabilité ! Tout risquer dans le fol espoir de recevoir de l’affection, d’être vraiment touchée, caressée, tripotée et de se sentir enfin vivante. La joyeuse sauvagerie avec laquelle elle dit son fait à son mari est, avec quelques autres (échanges sur Meetic, lettres, conversations amoureuses, apprentissage du tir à l’arc) l’un des morceaux d’anthologie de ce roman. Il y a quelque chose d’héroïque dans l’allègre violence avec laquelle cette femme se révolte contre un mari qui la nie.
L’Amour et les forêts tire sa puissance de ce que Béatrice Ombredanne est une femme qui ne s’autorise pas. Comme si elle se croyait illégitime en toutes circonstances. L’auteur nous fera découvrir au fur et à mesure les raisons souterraines, anciennes naturellement, de cette incapacité à s’accorder des libertés. La seule fois qu’elle a osé le faire, ce fut en parfaite conscience que ce serait un moment unique et sans lendemain. Eric Reinhardt est à son affaire avec la femme dès lors qu’il s’agit de la désidéaliser. Son exploration de l’univers sentimental de son héroïne, au risque d’un romantisme que d’aucuns jugeront suranné mais qui est ici poignant, est d’une empathie inouïe pour la fragilité faite femme. Pas assez pour dire : « Béatrice Ombredanne, c’est moi ! » mais suffisamment pour reconnaitre son avatar féminin en elle. De toute façon, elle parle pour toutes celles dont l’existence est ressentie comme entravée par leur vie de famille. Le parti pris d’écriture de Reinhardt n’y est pas étranger, classique sans être conventionnel, d’une remarquable acuité dans l’observation des choses de la vie, proche sans être familier car tenu, d’une étonnante richesse lexicale, discret là où d’autres s’étendent, inventif là où d’autres se taisent. Il est capable de détailler un sourire pendant deux pages, de s’attarder sur la lumière d’automne lorsqu’elle fait miroiter les perles dont Jean-Michel Othoniel a coiffé l’entrée de la station de métro qui mène à la Comédie-Française. Peu s’y entendent comme lui, dans cette génération de romanciers (1965), pour crever la peau des apparences, et déployer le merveilleux dans le réel le plus aride. Il fallait bien ce tremblé-là pour donner sa grandeur à une ordinaire tragédie domestique minée par le harcèlement conjugal.
Si L’Amour et les forêts n’était qu’un livre sur la création littéraire et le désir de fiction, il ne m’aurait pas bouleversé comme il l’a fait ; les histoires d’écrivains ont le don de m’ennuyer, elles me rappellent le bureau. Heureusement il s’agit aussi et avant tout d’autre chose. C’est terrible de ne pouvoir vous en dire davantage sur le destin de Béatrice Ombredanne, la manière inespérée dont elle finit par s’en rendre maîtresse, elle qu’on avait associée au renoncement et à la résignation. Mais ce serait ingrat vis à vis de l’auteur et du bonheur mêlé d’âpre mélancolie que son splendide roman nous a donné.
(Photos Gérard Castello-Lopes, D.R. – pour le station de métro de Jean-Michel Othoniel avec le café Le Nemours en second plan- et Henri Cartier-Bresson)
1 058 Réponses pour Eric Reinhardt met à nu une femme qui ne s’autorise pas
Je ne suis pas le plus méchant, l’infirmière ! Fais gaffe à surtout à ueda, surtout si t’es en porte-jarretelles dessous, il pourrait avoir envie de tirer sur l’élastique histoire de faire le grand saut…
« Le Mal est sans remède de toute façon. Et plus on essaie de remèdes, plus il devient virulent. »
Voilà, même son psychiatre jette l’éponge…
« Alceste, c’est moi ! »
Amoureux transi le Widergänger ? Mais oui, mais c’est bien sûr !
À Colmar, on se réveille à midi… les yeux encore tout chassieux… Quelle engeance meetic !
Il faut revoir vos fiches wgg, et surtout suivre le fil… voyez vers 8 heures ce matin…
« Tout commence par la rencontre entre l’écrivain, double de l’auteur, avec l’une de ses lectrices au café le Nemours, place Colette, sur le parvis de la Comédie-Française à Paris. »
Et après on peut imaginer n’importe quoi, la vie comme elle va…
Regis Jauffret a exploré le truc. La pauvrette !
Cette nouvelle histoire de pervers narcissique ne me dit vraiment rien qui vaille.
« les histoires d’écrivains ont le don de m’ennuyer, elles me rappellent le bureau. »
Mais quelque fois l’anecdote est pétillante.
J’ai adoré entendre ce cri du coeur: » heureusement seule ! »
Amélie se réveillant dans son lit, avec ses chaussures.
http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/09/02/quand-amelie-nothomb-etait-nue-dans-le-lac-d-annecy
(ps: pour le « bovarysme géographique » et pétillant, je ne vous rappelle pas ce petit livre récent dont le titre est tout un poème…)
Court dit: 2 septembre 2014 à 12 h 48 min
D’autant que la reliure est en parfait état pour tous les volumes. Il y a chez Didier un livre sur cousin de Courchamps que je lirais bien.
Dans le lot retrouvé, avec l’Histoire de la Société Française pendant la Révolution des Goncourt,(pas leur meilleur) un curieux bouquin d’un certain Robert Hénard (Emile Paul,1909), La Rue Saint-Honoré de la Révolution à nos jours.
reinhard met à nu une femme, il donne des conseils à la psychologie magazine par dessous : n’avouez jamais, soignez votre agenda pour ne pas merder, et surtout choisissez un type qui vous change de votre ordinaire. tout dépend du profil, il y a des professions plus excitantes que d’autres, courtier en assurance tu ne rêve pas, chasseur de poules d’eau à la rigueur, djihadiste c’est risqué, juif ils sont persécutés, français ils sont moyens, astronaute pas de danger de le voir souvent .. un club très sélect que celui femmes et veuves d’astronautes.
sieste entre 8h et 13h pour renato… ça sent sa maison de retraite… avec le thé en fin d’après-midi, avec ces dames…
Nothomb fréquente Aliagas. elle sera bientôt mûre pour entrer dans la (nouvelle) pléiade.
ça c’est une info…
Et Sylvain Tesson, il fréquente qui ?
tiens w compare ses horaires de siestes avec renateau .. on touche le fond ..
Ai juste ouvert le lien fourni plus bas.
Passouline bucolique ? Ben oui : il cultive son (Du)champ en ce moment : Reinhardt mis à nu… par ses ravisseurs même
Ton petit récit est bien pénible.
Chaloux dit: 2 septembre 2014 à 13 h 07 min
D’autant que la reliure est en parfait état pour tous les volumes.
Pour tous les volumes, c’est pas encore ça qui va me faire oublier la photo 3.
…
…sans paroles & images,!…
…
… » un club très sélect que celui femmes et veuves d’astronautes « .
…
…( se contenter des échanges consentants,…en jouant aux boules,!…l’accordéon,…décapsuler un Champagne à se bourrer,!…)
…
…un club très sélect, de très quotidiens,!…usuels,!…
…vous aimer votre femme,…ou c’est pour monter avec, dans votre hiérarchie sociale,!…question sans réponses,!…etc,!…
…
ces rencontres au Nemours sur la place Colette ne rappellent-t-elles rien aux habitués de la RDL?
souvenez vous ,Daphnéee Chaloux et le Nemours
et si l’antiquaire du livre c’etait Chaloux entouré de ses meubles Louis XV
quant au livre il me fait penser à une « Route de Madison » qui tourne un peu plus mal ;la situation banale et bovaryesque de depart engendre tous les cas de figure,celui du livre étant le pire
Personnellemnt j’en connais des tas, de filles de ma generation fines cultivées qui auraient ou faire des etudes brillantes, mais qu’on a mariées trop jeunes à des lourdauds et dont les destins sur le long terme se declinentselon un continuum , de la resignation douloureuse pour les unes au claquage de porte eclatant et salutaire pour d’autres
Bien vu DHH, j’y vais de temps en temps, encore que moins souvent.
Ueda, moi non plus. Foin des livres…
En règle générale, je ne peux pas blairer les antiquaires…
N’étant pas adepte du litron, pas de sieste… pas de maison de retraite non plus, mais belle vue sur les Alpes… le Po à quelques minutes de marche… et des journées trop bien remplies… ce qui pour l’oisif que je suis n’est pas toujours bienvenu… enfin, ma rentrée semble cruellement à une rentrée, la vôtre par contre… d’une tristesse !
Nemours, attendez …
On se souvient parfaitement de cet ancien élan amoureux du Maître.
Elle était princesse.
Princesse de Clèves.
sant’angello, tant qu’à se faire des amis autant qu’ils soient sociables et originaux non ? mais si vous faites cheval de cirque à vous tout seul .. bien sûr ..
Femmes mises à nu
L’abdomen d’Artemis, le matin
http://shisaku.blogspot.ch/2014/08/a-morning-eye.html
(Bon blog politique, soit dit en passant)
Ah, Courchamps?
Voir l’intéressante http://www.larevue desressources.org/deux-ou-trois-fantômes-du-manuscrit-trouvé-à-Saragosse;;;
ou
Restitutio/Jean/Potocki.
@chantal : normal qui n’y ait rien dans mes com’s, je suis plutôt du genre et physique et théorique
@court : « petits écuyers » est à relier à Bartabas
…
…@,…Chantal,…Oui,!…cheval de cirque à moi tout seul,!…Oui,!…
…
…tout, déjà,…pour passer à travers les moeurs très variées,…sans écorchures,…
…
…la chance, d’un vernis des conjectures, avant de se faire coincés par des promesses, ou des habitudes à se faire spolier, & user par les roueages sociaux,!…
…
…la garde,…sans usuriers, sur son chemin,!…etc,!…& sans châteaux aux poils,!…
…
…
Le jour de la rentrée, il serait de bon goût de se rentrer dedans jusqu’à minuit !
@M. Court.
L’éditeur du livre sur Courchamps n’est pas Didier mais un de ces éditeurs universitaires chassés du VIe par des marques de vêtements hideux, dans le genre Nizet, -mais pas Nizet-, qui tire les ouvrages de son fonds à la commande. Je vais retrouver.
giovanni :
le problème ne serait-ce pas le discours que se croient obligés de produire les hommes ( ils s’en plaignent notez ) pour obtenir une rencontre. très souvent, échaudés par leur précédente mésaventure, ils rejouent leur pièce en tenant compte plus ou moins de ce qui n’a pas marché avant. Bref ils sont tout sauf naturels et racontent un peu n’importe qui. C’est souvent ennuyeux, il faut prendre sur soi un max pour les écouter ( un peu genre moi, ma vie, mon oeuvre ). Par contre celui qui sait écouter, vous laisse un peu de champ et regarde juste comment vous bougez .. il marque des points ..
« Il serait de bon gout de se rentrer dedans » (JC)
Qu’est-ce que tu penses de ce jugement, camarade JC?:
« Les peuples qui aiment bien manger ensemble ne se font pas la guerre ». C’est ce que dit Jean-Robert Pitte.
C’est là:
http://asiangazette.blogspot.ch/2014/07/les-peuples-qui-aiment-bien-manger.html
C’est pas un peu optimiste?
(J’y ai mangé au « château » d’Ebisu; la bouffe est bonne mais le décor à chier)
…
…chantal,…je vous comprend,…
…
…en suivant la dialectique des moeurs depuis les années » 60 « ,…bien avant,…
…
…mon imaginaire du social, c’est avec facilité-analogique des parties d’échecs,…les mouvements chronométriques & rouages, une horlogerie sociale,…auquel je préfère m’échapper,!…
…j’écris,…pas comme un cheval de cirque adulé,!…je montre des variables de mécanisme , comme un scénariste, avec maquette de décor,…les mises en boîtes,…les montages des pièces,…les savoir faire de l’orfèvre touche à tout,…avec une simplicité niaise,!…
…je participe,!…peut-être distant,!…ma façon de voir,!…les perspectives déjà globaliser, cernées comme sur un échiquier,!…rien d’autres à se couper en quatre,!…cool,!…adulte, d’un genre,!…courtois,!…mesuré,!…ad-hoc,!…
…etc,!…
@ ueda merci, vous avez goûté de l’Umami ? j’ai regardé un reportage sur ce potage un peu spécial à base d’algues l’autre soir sur Arte, ce qui m’a impressionnée c’est la grand-mère toute seule dans son cabanon en bord de mer qui tire les algues pour les revendre aux monastères. Et le processus pour sécher le poisson comme on ferait d’un affinage de fromages. Une certaine ascèse et un refus total de la viande.
Il faut prendre son mâle en patience, chantal !
M. Court, rien de très rare ou ancien dans ma bibliothèque, sinon la bibliothèque elle-même, achetée chez un antiquaire : un meuble anglais de la fin du XIXe siècle en pitchpin d’environ 2 m de hauteur, 1, 50 m de largeur et 25 cm de profondeur.
Pour les livres, un Larousse universel en 2 volumes de 1923 et une foultitude d’ouvrages généraux sur Paris, tel le Dictionnaire des Monuments de Paris, éd. Hervas, ou la collection complète en vingt volumes des Vies et Histoires des arrondissements de Paris, également chez Hervas. En tout, une centaine de beaux livres, monographies et guides. Mais j’ai déjà contacté une librairie spécialisée du quartier Saint-Paul…
des journées entières dans les arbres dit: 1 septembre 2014 à 23 h 39 min
il me semble que votre disque dur a fait un reset intemporel.
C’est le disque dur de Schrödinger…
…
…en, plus les rencontres j’en veux pas,!…
…jamais,!…
…pourquoi,!…j’ai des a-priori,!…comme tout le monde,!…
…bon,!…je dois sortir,…rendez-vous à prendre << dentiste <<,…etc,!…
…
je lis giovanni et dedans il y a des expressions qui jaillissent très marrantes, parfois c’est un gros sermon, mais vous tenez toujours une certaine vitesse de rendu. Ce n’est pas trop contraignant ces …; hop !!!
bon dentiste, ce n’est pas rigolo, ..
bon je vais aussi vaquer ..
« Les peuples qui aiment bien manger ensemble ne se font pas la guerre ». (ueda)
Bien manger… Ensemble … Hum…! Il semble me souvenir qu’un copain cannibale, mais un peu timide avec les filles, me disait que c’était un excellent moyen de s’enrichir des vertus de l’autre adversaire, que de le bouffer !
Puisque l’humanisme, à tort, nous a éloigné du cannibalisme primal, il nous reste seulement la « conversation »… uhuhu !
Dommage!… on en mangerait bien quelques-uns ici… faisant d’une pierre, deux coups !
Giovanni Sant’Angelo, l’écriture ou la sexualité masturbatoire c’est pas très rigolo comme dit Chantal ! Et parfois ça rend dingue, voyez ML ou D. !
Pour ce qui est du « roman postmoderniste », il ne faudrait pas s’y méprendre. L’influence de Gaddis sur les auteurs postmodernistes (DeLillo e Pynchon, par exemple) devrait donner une indication précise sur ce moment de la littérature. Voyons, il ne s’agit que d’un mouvement postérieur au moderne qui n’est ni en opposition au moderne ni un dépassement du moderne : ni anti ni ultra, enfin. Mais simplement l’outil par lequel des artistes s’interrogent relativement aux idéaux de rationalité, d’objectivité, de progrès, à front d’une société dominée par les médias qui transforment les idéaux en simulacres autoréférentiels. Nous sommes donc dans une situation semblable à celle vécue par le Maniéristes, avec la différence que le pouvoir est passé du politique aux médias — sans centre dominant, donc. Par ailleurs, le postmodernisme n’est plus car nous sommes désormais dans une phase pseudo moderniste — voir ici :
https://philosophynow.org/issues/58/The_Death_of_Postmodernism_And_Beyond
En tout cas, il y aurait une nuance à faire à propos d’un grand pan de la production littéraire récente : on la classifie postmoderniste là où il serait plus opportun si l’on disait qu’elle ressemble plus à l’extrême périphérie de la queue de la comète moderniste qu’à autre chose.
Bien, A+
Renato, merci pour cet éclairage…
radio keupu (mise en ondes par l’innommable bouguereau) ferme définitivement son antenne n’ayant pu résister aux sarcasmes, injures, délires, venimosité, déversement d’ordures quotidiennes des tristes personnages que sont JC et bouguereau à son égard; nous étions une demi-douzaine d’intellectuels de diverses tendances à nous être réunis sous ce pseudo mais il y a un moment où cela devient impossible de continuer à subir des propos intolérables mais tolérés sur ce blog; nous continuerons à lire avec intérêt les billets de Passou dont nous regrettons cependant qu’il autorise des commentaires hors sujet du billet proposé; il ne s’agissait donc pas de censure mais de véritable modération, ce qui est fort différent. Avec nos regrets de ne pas lire les commentaires désobligeants qui ne manqueront pas suite à ce communiqué, dont acte.
FIN DES EMISSIONS
radio keupu ! Modérez-vous …!
« Vous êtes une ordure comme tant d’autres. »(Widergänger dit: 2 septembre 2014 à 11 h 44 min)
« elle est nulle, cette conne ! » (JC….. dit: 2 septembre 2014 à 11 h 40 min)
« Certaines connes n’hésitent pas à agiter vainement leur petite langue de pute ! »
(JC….. dit: 2 septembre 2014 à 11 h 22 min)
c’est beau
Les peuples qui aiment bien manger ensemble ne se font pas la guerre
comme le peuple des hommes et celui des femmes.
radio, moi j’aime bien taper sur Ubu. C’est pour ça que je ne pars plus. Pour taper sur Ubugromou.
papi zinzin ! merci… !
Content de partager avec vous ces valeurs nobles, si rares : franchise, lucidité, courage, ténacité, vaillance, grossièreté, justice, enthousiasme dialectique, priapisme intellectuel, religiosité de l’injure, foutraquerie affirmée …
Connaître ses limites, bien que souvent utilisé c’est quand même pas bien clair dans la mesure où si on les connaît, on n’est pas si boeu que cela. On peut alors les connaître de l’extérieur… Et secondement et plusimportamment, elles bougent tout le temps, ces limites : il faut une connaissance dynamique !
Rien de plus faux, de plus bouffon, de plus exigu, que d’affirmer connaître ses limites !
C’est déjà outrancier d’affirmer connaître le domaine intérieur à ces soi-disant limites, bande de tissus rapiécés flottant aux vents divers comme draps sales !…
JC tel quel, fier de lui, bravache et couard, demandez le programme dirait son pote bubbleKro
Brève,
où est la littérature ? où est le sujet du billet dans votre propos si intéressant… Hmmm ? Cela ne vous gêne t il pas d’embêter le monde avec vos hors-sujets ?
Mais que fait la modération … cornebrévouille !
La camionnetta, on l’a vue, on l’a vue et on l’a vue, boljemoï comme dirait Clopine…
chantal dit: 2 septembre 2014 à 14 h 33 min
@ ueda merci, vous avez goûté de l’Umami ?
Don’t make me weep.
Des exemples de post modernistes français, renato ?
Oui, c’est beau le courage de ces deux hommes qui s’unissent pour taper ensemble sur une femme, papi zinzin : c’est sans doute du postmodernisme !
le courage de ces deux hommes qui s’unissent pour taper ensemble sur une
et soudain baroz a oublié sa manière de ne pas manquer d’air
T’es un sentimental, Comte Barozzi ! Quand vas tu considérer les femmes comme nos égales ? Et pas comme ta maman …
Baroz il ne manque plus que dadaf la courtisane pour applaudir les deux dingues (le bouc de pq n’étant qu’un perroduet des grosses gueules) et renchérir:le trio parfait!
En tout cas Reinhardt n’en est pas un de postmoderne, apparemment.
Queneau ?
« Quand vas tu considérer les femmes comme nos égales ? Et pas comme ta maman … »
bougros se cause à soi-même
je me suis laissée dire que d’aucuns préparaient une expédition pour alller administrer une bonne trempe au petit porquerollais, je suis experte en caméra pour filmer ça, corneJCouille
« Rien de plus faux, de plus bouffon, de plus exigu (…) outrancier (…) ces soi-disant limites, tissus rapiécés (…) draps sales » (JC….. dit: 2 septembre 2014 à 16 h 19 min)
un vrai poète, la marionnette à ml-bougras
Quittons nous sur cette bonne nouvelle : des téméraires ont réussi à coincer Bouguereau et à le découper suivant les pointillés :
« Des sacs poubelles contenant des restes humains, notamment un tronc et deux bras, ont été retrouvés en pleine rue aujourd’hui par des particuliers à Villepinte (Seine-Saint-Denis). »
Bonne soirée !
(Notre tour viendra, il approche …)
Ah, c’était donc juste du postféminisme, JC, tu transmettras mes amitiés à la mère de ML et à la tienne !
renato/ Barozzi/ « postmodernisme »
J’en ai profité pour lire enfin l’article qui avait fait un certain bruit (comme symptôme) de Maurizio Ferraris, Il ritorno al pensiero forte (dans la Repubblica)
(C’est là: http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2011/08/08/il-ritorno-al-pensiero-forte.html)
Intéressant en ce qu’il rapproche l’irréalisme philosophique (ou prétendu tel) et l’illusionnisme populiste (il faut reconnaître que l’Italie en a fait l’expérience la plus profonde).
Mais trivial, trivial à manger du foin.
Je ne me sens pas proche d’un Gianni Vattimo, mais il est bon qu’il ait été là comme antidote…
(Comment ça, c’est crytique?
Les textes sont là, nom de dieu)
(force est d’admettre que trop de mendicité avec trop de petits points ça souligne le côté rampant, bref passons)
17 h 09 : ENFIN !
Plus dur est le retour de fugue.
Il faut savoir préserver son jardin secret ..
Ah, s’autoriser…
Quant à connaître ses limites…
(On dirait que c’est le clavier endommagé
d’un habitué angélique du commentarium qui s’exprime !).
Bref, que de paradoxes et de contradictions
dans ces deux formules, une fois de plus !
Les méditer ici ? Pertinent et futile !
Rationnailement.
J’avais lu cet article, ueda. La philosophie postmoderniste, évidemment, il faudrait élargir le discours à l’architecture, etc. Ce qui serait un travail, et vous savez que moi et le travail ce n’est pas le grand amour.
« Et secondement et plusimportamment, elles bougent tout le temps, ces limites : il faut une connaissance dynamique ! »
C’est toute la beauté de l’exercice, Sergio, car les limites fluctuent, il faut donc essayer : cet été sur trois tentatives d’ascension un succès. La première ratée à cause du vent, qui ne fut pas une limite pour un plus jeune et plus costaud que je ne suis ; la deuxième réussie, envers et contre le vent ; la troisième loupée faute à trop de désinvolture. J’aurais du faire un quatrième essai pour voir si la désinvolture était vraiment une limite.
Santa Madre di Dio !
renato è un grande scienziato !
coeur de veau et rénateau c’est toujours trouduculement mais presque
mariées trop jeunes à des lourdauds
Beaucoup de couples ont l’air plutôt bien assortis après quelques lustres, mais bon, ce n’est pas très politiquement correct de le signaler.
coincer Bouguereau et à le découper suivant les pointillés
c’est une illusion d’optique jicé..dla paralaxe..je gis comme ça et comme jicévédé..crac j’assomme !
couples ont l’air plutôt bien assortis après quelques lustres
..c’est mignon..tu te r^ves en kileur mais t’es brave mec
Les complicités entre profs, ça doit être nouveau, encore un signe des temps peut-être. Dans le temps paraît qu’il se détestaient tous cordialement entre eux. Vive l’assortiment (enfin si on peut dire)
tu te r^ves en kileur
Oh non, et on m’aura suffisamment reproché de ne pas me rêver ainsi !
Basta !
les rêves ça s’controlle pas..ha t’as essayé mais basta t’es une poire..y’en faut!
ahahah, pochtron Ier est de retour, ça déquille sec comme dirait JC, j’en suis toute émute
les rêves ça s’controlle pas..
Alors accrochez donc tous cela au-dessus de votre miroir, dans la mesure où vous n’avez pas des chiottes de dictateur avec suffisamment d’espace pour quelques milliers de délégués au pesage de pampers.
Bonne soirée!
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 18 h 06 min
coincer Bouguereau et à le découper suivant les pointillés
crac j’assomme !
Pauvre mouche…
ha la vermine..manque la raclure..ha c’est du long
Bonne soirée!
cochonner les civilités..c’est mesquin
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 18 h 17 min
boumou 1er, roi des escarbots.
keupu au pied!
Une grosse mouche qui va t’assommer…
hurkhurkhurk
oui oui tu piafes..c’est normal..mais il me faut mon équipage au complet tu comprends..j’ai un standing mon couillon
Un standing de ferrailleur…
et vidangeur et transe à chaire féminine molle..si tu veux faire un tour faut que tu donnes un peu plus
..jette donc ton calpin scout..et lance toi cheuloux..fais le méchant ! allez..
« coincer Bouguereau et à le découper suivant les pointillés »
Je suis atterré.
Je m’en revenais par ici pour réfléchir en commun, partager des expériences, confronter des points de vue…
Faisons comme Rabbi WG et revenons au Texte pour surmonter notre désarroi.
« Il fallait bien ce tremblé-là pour donner sa grandeur à une ordinaire tragédie numérique minée par le harcèlement bloguesque. »
Alceste, c’est moi !
rooo ce dracul..un albatroce au moins
Pas le temps, mon pauvre boumou, ma rentrée c’est demain.
Pas besoin de calepin avec toi, tu es trop prévisible. On ne risque pas d’être pris de cours. Cela dit, on ne peut pas te reprocher ta suffisance (« crac, j’assomme ») : tu n’as rien d’autre.
les vautours continuent à jouer aux aigles, tout va bien puisqu’il reste donc de la charogne
Je m’en revenais par ici pour réfléchir en commun
c’est bien tourné..mais du coup l’albatroce c’est un peu toi..bref tu pipes
va va mon couillon..hurkurkurkurk
kiki rfoules du goulot..c’est une certitude qu’il a..un fait comme dirait rénateau
kicking dit: 2 septembre 2014 à 18 h 30 min
avec un pou (Quiqui le pou) pour compter les points.
C’est vrai que tout va bien.
renato ne semble pas avoir le bon profil pour jouer l’anarchiste
les carottes sont cuites.
dracul est réfugié dans sa penderie, son sinaï portatif a surchauffé.
dla charogne..des carottes cuite..ça sniffe la police
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 18 h 31 min
c’est bien tourné..mais du coup l’albatroce c’est un peu toi..bref tu pipes
Les matafs, le brûle-gueule, c’est ça?
Euh, Potemkine?
(De dieu, un film soviétique qui s’appelait La commissaire.
Attends voir.
Elle faisait régner l’ordre parmi les matelots…
Une veste de cuir moulait ses formes.
J’étais ado, je voulais « entrer au parti ».
– « Quel parti? », qu’on me répondait, non sans cruauté.)
et dire que ça se croit le plus malin, ma mère de ma merde comme dirait JC
à tes poils ? non mais les pleureuses du coin et d’ailleurs elles font vraiment pitié !
c’est certain que la politique avait comment dire..une forme zouz..maintenant ça rsemble pus a rien..pour ça que les jeunes font pus que du jeux vidéo..c’est pas valorisant
Je n’ai pas rêvé, Sergio.
Комиссар!
Elle s’appelait Nonna Mordiukova.
Ouaouh!
Vive la Mémoire Lycéenne, ce soft porn portatif…
keupu..trop tôt ou trop tard..donc ta gueule comme dab
je sais pourquoi mais tu m’plais bien kiki..ton coté irrécupérabe..même pour en faire un pied de lampe..ça te laisse encore un rien d’humanité qu’on peut pas t’enlever
Nonna Mordiukova
c’était le cuir marron..marron glacé comme ils disaient en boutique de bourgeois..ça faisait motobécane bleu..tu te souviens ? sergio lui surement
t’es à bout de souffle mon goret, tu débandes trop vite de la zigounette avariée mon bouguegros
« Même pas bon à faire un pied de lampe », vieille expression.
boumou recycle sans singularité.
Surement quelques petits crevés pour trouver ça « formidâââble ».
Passons,
« Faisons comme Rabbi WG et revenons au Texte pour surmonter notre désarroi.
« Il fallait bien ce tremblé-là pour donner sa grandeur à une ordinaire tragédie numérique minée par le harcèlement bloguesque. » « (ueda)
______
Comme dit Max Frisch :
Literaturbetrieb als Verlegenheits-Thema für beide, auch das nicht ohne Minen
La vie littéraire comme sujet d’embarras, terrain miné.
J’ai honte, bouguereau, j’avais oublié le contesque.
Vassili Grossman, nom de dieu.
Enfin, je suivais ma queue.
Je vais méditer sur mon ciné-club portatif.
Sur le film, je note ça.
Je me dois de le reproduire:
(Avoir l’air d’un con, ça ne m’a jamais fait peur)
Et le début est là!
https://www.youtube.com/watch?v=ilijTStjycs
Buon appetito
Il faut savoir préserver son jardin secret ..
Depuis quand fait-on un jardin zen avec des billes en verre et en plastique ?
Ah oui, au kindergarten, putain, j’avais oublié !
sa majesté Pochtron Ier est parti bouder dans sa cahute parce qu’il a trouvé pour fort que lui qui se croit le plus malin comme dirait JCouille
weurmi, ett frostea kuni Saint Simon’r fettiki operi, luk Widergänger indimi ett sarfur orgi sarfür oglili .Merkem gadul.
leur petite langue de pute !
et le parler populaire n’est plus ce qu’il était
Un Antiquaire. Contrairement à Chaloux, je n’ai rien contre les Antiquaires. Par contre beaucoup de brocanteurs m’exaspèrent au plus haut point. Certes ce n’est pas un métier facile. Arriver tôt, devoir déballer, installer, subir le climat, puis remballer, pour souvent gagner des clopinettes.
Je ne ferais pas un tel métier je l’avoue, mais si je devais le faire… je n’organiserais pas des tablées apéritives avec 10 bouteilles, du pâté puant et du saucisson à l’ail rôté au passage des clients potentiels en allongeant les jambes comme si j’étais seul dans mon salon. Même si j’étais rougeaud et pré-obèse, les vaisseaux capillaire dilatés par les Ricard à répétition, les cheveux longs sales et désordonnés, le jean élimé, je jure que je ne prendrais pas un air exaspéré arrogant et dédaigneux parce qu’on m’aurait demandé le prix d’un ensemble de petites cuillères finement ciselées avec médaillons plastique Tour Eiffel Arc de Triomphe. Je m’astreindrais à tenir mon stand au moins 95 % du temps au lieu de le déserter en le refilant à mes voisins -qui ne sauraient rien sur rien, et surtout pas quand je serais sensé revenir de ma pause-pipi au troquet du coin, entamée depuis 2 heures encore loin de finir. Et puis, tout simplement, je me serais muni de monnaie pour la rendre aux clients, comme n’importe quel commerçant l’aurait fait, au lieu de prendre un air con tournant trois fois sur moi-même et scrutant l’horizon ça parce qu’on m’aurait filé un billet de 20 pour un lot de petites cuillères à 15.
allez, laissons les dames patronesses gaver en paix leurs petits quiquillers, netflix arrive, le monde est merveilleux
Béatrice,
Je m’adresse à vous, car j’ai appris récemment- je dis récemment, c’est à dire à la vitesse électronique, à peu près 300000km/s – ce qu’il advint de Bénédicte …
Je sais pas pourquoi, il me semblait bien que la fin de cette histoire ne pouvait être – la facilité- que souffrance.
Je vais vous donner un bon conseil: oubliez cette histoire d’amour et de forêts, de lierre, de cabane au fond des bois, de cendrillon aux petits pied.
Même en jetant des dés au hasard, vous pouvez être sûre que cela retomberait sur: je vais me faire suer à lire un truc pénible.
Je dirai : j’étais là ; telle chose m’advint,
Vous y croirez être vous-même !
La Fontaine, les Deux Pigeons.
(en épigraphe de l’agrément inattendu)
D., c’est surtout que j’ai toujours renâclé à payer les commissions. Le même meuble ou objet, pour ne rien dire des tableaux anciens, se trouve souvent en salle des ventes, en dépôt-vente, ou chez les particuliers trois ou quatre fois moins chers que chez un antiquaire. Pas assez riche pour entretenir ces gens-là.
Il y a des antiquaires somptueux, qui ont pignon sur rue. Eux n’ont pas à rendre de la petite monnaie ! C’est votre sens de l’économie, pour ressembler au Français plus que moyen, qui vous perdra, D.
bien dit D.
l’antiquaire a l’air avenant, conseille, remballe sa marchandise sans grommeler, calcule sa marge, à midi une soupe, s’habille moins chic que son client .. si celui – ci n’est pas séduit, il lui propose autre chose, écoute ses envies, pas les siennes. Par contre il entretient des relations avec d’autres antiquaires qui lui refilent de la marchandise et des infos, ceux – là il les soigne et ne se vante pas de sens bons coups ..
Ces antiquaires qui ont pignon sur rue, sont réservés à des gens très fortunés qui font des placements. Rien à voir avec la pratique des passionnés à budget très moyen. mais trouver une belle commode ou un beau tableau pour pas grand-chose, c’est une jouissance de collectionneur. Le dernier (j’achète très peu depuis deux ans) un portrait signé de jeune femme par un suiveur anglais de Greuze, fin XVIIIe début XIXe, répertorié et présent dans un musée d’Angleterre, dans un superbe cadre XIXe en parfait état, 100 euros dans une brocante du midi.
C’est honteux.
Il ne s’agit évidemment pas de « La commissaire » mais de « La tragédie optimiste », de Samsonov, d’après… hein.
https://www.youtube.com/watch?v=AfK_x7prxp0
Je me disais bien…
Margarita Volodina dans sa veste de cuir…
Elle n’était pas masculine comme Nonna…
Tout s’éclaire.
Mémoire neuronique cherche mémoire numérique.
Pour la critiquer.
(Tout ça, c’est la faute de bouguereau…
Son albatros)
quelques petits crevés pour trouver ça « formidâââble »
comme je suis déjà rangé dans la commode je te dirai que c’est déjà mieux que les redites de morveux répétant ce que leur dicte le babyphone branché par leur môman pétant de son gros cul le besoin de se la jouer invertie pour faire branchée et jeune !
Chaloux, vous êtes une sorte de cousin Pons, non ? Espérons que vous, vous aurez un destin plus lumineux !
la foire du trône :
D. dit: 2 septembre 2014 à 19 h 37 min
Un Antiquaire. Contrairement à Chaloux, je n’ai rien contre les Antiquaires. Par contre beaucoup de brocanteurs m’exaspèrent au plus haut point. Certes ce n’est pas un métier facile. Arriver tôt, devoir déballer, installer, subir le climat, puis remballer, pour souvent gagner des clopinettes.
Je ne ferais pas un tel métier je l’avoue, mais si je devais le faire… je n’organiserais pas des tablées apéritives avec 10 bouteilles, du pâté puant et du saucisson à l’ail rôté au passage des clients potentiels en allongeant les jambes comme si j’étais seul dans mon salon. Même si j’étais rougeaud et pré-obèse, les vaisseaux capillaire dilatés par les Ricard à répétition, les cheveux longs sales et désordonnés, le jean élimé, je jure que je ne prendrais pas un air exaspéré arrogant et dédaigneux parce qu’on m’aurait demandé le prix d’un ensemble de petites cuillères finement ciselées avec médaillons plastique Tour Eiffel Arc de Triomphe. Je m’astreindrais à tenir mon stand au moins 95 % du temps au lieu de le déserter en le refilant à mes voisins -qui ne sauraient rien sur rien, et surtout pas quand je serais sensé revenir de ma pause-pipi au troquet du coin, entamée depuis 2 heures encore loin de finir. Et puis, tout simplement, je me serais muni de monnaie pour la rendre aux clients, comme n’importe quel commerçant l’aurait fait, au lieu de prendre un air con tournant trois fois sur moi-même et scrutant l’horizon ça parce qu’on m’aurait filé un billet de 20 pour un lot de petites cuillères à 15.
L’Europe
Aujourd’hui
http://i1.kym-cdn.com/photos/images/original/000/342/561/8b5.gif
Il est où, TKT ? Il me manque terriblement.
Ses avis étaient quand même éclairés.
kicking dit: 2 septembre 2014 à 19 h 55 min
Quiqui, je n’ai pas encore consommé suffisamment d’acide pour te décrypter complètement.
Le cousin Pons, c’est un des plus grands chefs-d’oeuvre de Balzac, mais on ne trouve plus de Rembrandt chez les brocanteurs. Tout cela d’ailleurs très fantasmatique : Balzac avait acheté une commode ayant appartenu à je ne sais plus quelle reine, peut-être Catherine de Médicis alors que les commodes n’existaient pas au XVIe siècle.
Et Bérénice, avec qui j’ai rendez-vous demain soir à 19h que je sais même pas où ?
Il y a comme une ambiance fin de règne ici. Je suis un spécialiste des fins de règnes. Dès qu’il y en a un, j’accours et on m’y trouve, jusqu’à la dernière seconde.
Notre excellent Président de tous les Français a lâché son encre ce matin : un plan numérique (de mes deux) à l’Éducation nationale. J’en pouffe encore.
En gros, c’était la préoccupation de personne, mais alors : de personne.
« Même pas bon à faire un pied de lampe », vieille expression.
évidemment tête de con..c’est l’propos..mais t’as fait l’effort de l’reconnaitre..mon pied dans ta malle arrière qui te sert de cul mon scrétaire..branleur!..ha on est pus servi
(Tout ça, c’est la faute de bouguereau…
Son albatros)
dis tout sduite que je suis un principe..et toi un clinamène
Pour revenir au sujet, et à en juger d’après les pages reproduites, cela parait tout de meme mieux que son dernier opus.
Ni La Mauvaise langue, ni la Précieuse Brayonne ne sont convaincues, mais comme disait Stravinski, « Le Mauvais gout, c »est déjà très bien »!
Bien à vous.
MC
100 euros dans une brocante du midi.
« je hais les brocs »..sapré cheuloux qui fait des affaires..je le vois d’ici..la tête de fion comme ils disent..ha c’est pas des tendes avec les scouts..cracboum à l’amende..faut mon cheuloux pour que les autes puissent faire des affaires..tiens t’as une médaille
Moi aussi je ressens les fins de règne. On y est presque !
si on m’avait dit leur nombre, j’aurai pas venu ; et là, ce n’est que le tout venant :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Langues_am%C3%A9rindiennes
mais comme disait Stravinski, « Le Mauvais gout, c »est déjà très bien »!
je la replacerais celle là..elle me vaudra un rabais de 10%..je les connais..la langue dans ce genre d’affaire c’est des sous msieu courte..plus qu’en littérature
« Ce week-end à Lyon un colloque transdisciplinaire unique en son genre : il est consacré aux études de genre. »
Quelle ironie !
@Chaloux alors faudrait penser à essayer autre chose
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 20 h 12 min
Misaïre, misaïre!
Rejouons d’la serpillière…
Déjà odradek l’appelait parfois albatros.
M. Court,
Si vous le dites.
Qu’il faut relire Auguste.
http://fr.wikisource.org/wiki/Histoires_insolites/L%E2%80%99Agr%C3%A9ment_inattendu
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 20 h 12
De loin, le courage te submerge, boumou, vieille mouche du coche, mais tes insultes sont vraiment bas-de-gamme.
ceci dit elles sont paraît-il en voie de disparition, menacées d’extinction. ouf
Reportage surréaliste sur France 2 : un CPE d’allure moderne et d’jeune en train de dire un bonjour par seconde à chacun des élèves qui descendent un escalier.
Évidemment strictement aucun ne lui répond.
Il y a quelques décennies, les élèves disaient bonjour en premier.
Continuons à marcher sur la tête
légitimité et imposture : grands thèmes accompagnant lzqs questions de femmes(selon Héritier, ce sont surtout les femmes qui ont des sentiments d’imposture dn
Mémère bouguereau
..un peu de dignité mon couillon..tu sais cque c’est la dignité..ha tu dois te faire enfiler..tiens t’as une aute médaille..de lourde..et une casquette de loutre..véritabe!..ho comme on dirait qu’elle faite pour toi
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 20 h 12 min
Et puis, boumou, c’était pas du tout le sujet, – le sujet c’est que t’es une vraie boîte à baffes, grosse contenance, comme pour les GC et la Kro, une victime, un pauvre type. -On peut pas t’en vouloir de camoufler comme tu peux.
De loin
t’es où mon cheuloux ? dis..
c’est toi la grosse malle..aprés dracul..aprés dracul..t’es un suiveur..alors ? t’es?
légitimité et imposture : grands thèmes accompagnant lzqs questions de femmes(selon Héritier, ce sont surtout les femmes qui ont des sentiments d’imposture dans notre culture lacanienne où , pour faire résonner le titre du billet , « le psychananlyste ne s’autorise que de lui-même « lacan dixit »
et comme il a été aussi dit que certains psys avaient des pratiques très dangereuses pour l’impétrant du divan ….
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 20 h 26 min
Mémère bouguereau
..un peu de dignité mon couillon..tu sais cque c’est la dignité..ha tu dois te faire enfiler..
Comme tu dis, boumou, « un peu de dignité ». Tu ferais mieux de te casser au lieu de faire aussi bas et nul. Tu t’es fait baffer comme tous les jours…Bah, tu t’habitueras…
au sol, ravagé p bourre-pifs
il a été aussi dit que certains psys avaient des pratiques très dangereuses pour l’impétrant du divan
où ça ???
tu t’éloignes là mon cheuloux..aurais tu peur?
Au sol, ravagé par les bourre-pifs, ton gros tarin en lambeaux, ta monstrueuse vanité réussirait encore à te faire croire que tu es vainqueur…
D. vous feriez à temps perdu le marché, « puces comprises » ?
..tu m’as l’air d’avoir des problèmes de coordination mon cheuloux..où te trouves tu?
boumou, tu veux en découdre, signe de faiblesse. Tu es un faible, limite minable.
Un seul conseil : pas touche.
Je prépare ma rentrée, et j’ai autre chose à faire que de continuer. Mais je peux te dire que ton calvaire ne fait que commencer…
bonne soirée,
De loin, le courage te submerge
sapré cheuloux..les mots pour lui ça vaut rien
boumou, ça fait deux ans que je te le dis. Tu n’es pas niveau. De rien. Lâche un peu le monde, arrête tes insultes – à tous- et je te laisserai paisiblement cultiver ton illusion d’être « la mascotte ».
Ton truc de vouloir te battre, c’est un aveu de faiblesse dont je te remercie. D’immense faiblesse. encore le nez dans la poussière, le pauvre boumou.
Mémère à pas fini de laver par terre…
Hurkhurkhurk !
pour mémoire, le mot de Pontalis « avec moi, ce n’est pas dangereux »
il y a longtemps que les leçons de P.Legendre étaient commentées
J’avais dérogé à la charte en écrivant: Chaloux est un gros con.
Est-ce que ça peut être enteriné une bonne fois pour toutes ?
les puces il faut se lever très tôt, il faut calculer son énergie, tu peux y casser ton dos. la boutique tu payes le loyer, non le net c’est bien. juste faut faire lever les ventes en faisant tourner ton produit de chez toi, et mettre dans le coup des gens qui viennent faire des critiques positives de ton livre.
vous travaillez dans les services sociaux ?
des journées entières dans les arbres dit: 2 septembre 2014 à 20 h 44 min
Mon pauvre des journées, c’est vous qui êtes enterriné (mis en terrine) une fois pour toutes…
Est-ce que ça peut être enteriné une bonne fois pour toutes ?
oui..même jean marron se sentira à l’aise avec ses escadrons de la mort et ses copins..mais bon c’est internet c’est un con ordinaire..entériné mais ordinaire
bouguereau dit: 2 septembre 2014 à 20 h 53 min
boumou, je trouve que tu exagères un peu. Ce n’est pas moi qui aie commencé dans ce registre, c’est toi. Mais à choisir, je préfère être un con ordinaire comme moi, plutôt qu’un con pas bien extraordinaire, incapable d’assumer ses propres défis, comme toi.
Il n’y aurait que le sentiment d’imposture
derrière la non autorisation de soi ?
Délivrablement.
Une fois n’est pas coutume, Pavese : « L’amour est la plus bon marché des religions ».
et dire que pavese est à portée de tous et de chacun
t’es beaucoup trop sentimental pour jouer la carte et le territoire, mimiculcul
…
…@,…………………………..en passant,!…
………chantal……. à 14 h 46 mn,…
………Jacques Barozzi à 14 h 56 mn,…
………Kicking à 17 h 15 mn,!…
…
…à nos contraignant ces …;hop !!!
…
…trop relax mes contraignant,…çà me suffit,!…
…
…
…entre gag’s,…moins contraignants…
………………faite monter » la bonne pour régler l’aspirateur « ,…solutions,…
…
…jamais essayez,!…comment allonger la moyenne nationale,!…
…
…anticiper la technologie,…le progrès,!…l’oiseau du futur,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…envoyez,!…
des journées entières dans les arbres dit: 2 septembre 2014 à 20 h 31 min
D. vous feriez à temps perdu le marché, « puces comprises » ?
–
je pas comprendre. reformuler.
Dites-donc Chaloux, maintenant ça suffit avec Bouguereau.
E. Reinhardt, un nouveau psychanalyste ?
« D’une certaine façon, Bénédicte avait sacralisé sa vie et le réel, elle avait un sens aigu du sacré et de l’instant présent : elle attendait de l’instant présent qu’il la conforte dans la sensation que sa vie était belle et qu’elle avait du sens, et c’est parce qu’elle sentait que sa vie était belle et qu’elle avait du sens qu’elle parvenait à déceler dans l’instant présent des beautés que personne d’autre ne percevait. C’est dans la dynamique de ce rapport réciproque au réel qu’elle se sentait vivante, unique, et estimable, et qu’elle pouvait envisager l’avenir avec sérénité. Elle était constamment en alerte, prête à tout voir, à tout sentir, à attraper au vol tout bel instant furtif qui se présenterait à sa sensibilité. On la voyait s’émerveiller d’une lumière, d’un paysage, d’une senteur, d’une configuration particulière d’événements simultanés qui soudain l’envahissait d’un sentiment de plénitude. […]Il n’est pas nécessaire d’être un grand psychanalyste pour se représenter les dangers de ce système : rien n’est plus périlleux que faire reposer son existence sur des fondations à ce point circonstancielles, si dépendantes de ce qui relève du sensible et de la perceptions sensorielle, du moment présent, de ce qu’on est intérieurement à chaque instant de sa vie, en dehors de tout principe d’invariance, d’acquis définitif et de stabilité- comme s’il lui fallait conquérir chaque jour, ou le réinventer, le sens de sa vie, plutôt que de l’avoir identifié et capturé un jour une bonne fois pour toutes. »
Il a du en passer du temps sur meetic, pour en arriver à ce portrait.
D. dit: 2 septembre 2014 à 21 h 44 min
D. vous avez raison. Tout bientôt, je l’achève.
J’ai fait taire Chaloux. Casse-toi maintenant Chaloux et ne reviens plus jamais.
ho…; nooon !!! jerelisvillierslîle Aux dents !!! de la mer en zig zag, rentrée studieuse; … oreille cassée, sucettes à l’anis d’amie à nie.
piff, je m’empiffre & je dors comme un bébé aux orteils joufflus .. mon secrétaire est dans le coffre avec une bible et un chapelet de noyaux d’olives, j’attend le facteur demain matin, un drôle de drôle; … haahavouip !!!
« je pas comprendre. reformuler. »
Si vous ne comprenez pas, il faut me demander.
http://www.marcheauxpuces-saintouen.com/Documents/Pages_74-79.pdf
Il s’est sauvé la queue basse.
Vous voulez quoi au juste, des journées ? Quelle est votre requête ?
a motto – The Brian Johnstown Massacre: a long cold winter [take it from the man!]
https://www.youtube.com/watch?v=idaLu5SisA0
D. dit: 2 septembre 2014 à 21 h 49 min
J’ai fait taire Chaloux. Casse-toi maintenant Chaloux et ne reviens plus jamais.
Je finis d’écraser boumou, et je disparais ensuite pour toujours, c’est promis.
D. dit: 2 septembre 2014 à 21 h 52 min
Aucune requête. Je meuble; comme votre 19h37.
(les meubles meublants, les mots valise et les morts valides ; y’a du boulot en corse ?)
ueda dit: 2 septembre 2014 à 18 h 41 min
Комиссар!
Het voilà ! Les communiss ont déserté les lauriers sont coupés y reste plus rien que dalle tout a foutu le camp…. Y a plus que de l’ersatz ! Enfin bon les camps on a toujours les plans et les trains blindés aussi pour le romantisme…
(hmm… bumpin’ tune? https://www.youtube.com/watch?v=StV9lElcvAY )
Eh bien, je peux vous assurer, mes petits chéris, que les relations de Max Frisch et d’Alfred Andersch à Berzona étaient aussi pourries que les nôtre sur la Rdl. C’est assez rassurant, d’un certain point de vue…
Je comprends rien à rien ce soir.
Je suis humble et je reconnais que je peux être parfois dépassé par les événements, ne pas réagir exactement comme il le faudrait, voire écrire des choses légèrement insensées ou pas exactement dans le sujet.
Mais c’est dans des moments de fatigue.
Le lendemain tout va mieux généralement.
C’est quand même sacrément émouvant ce que Max Frisch en écrit. Cette impression tenace de l’absurdité totale du monde des relations humaines.
Je veux bien être votre petit chéri, Michel, mais de façon amicale.
Des journées vous meublez avec style.
Super U Hit !
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