Eric Reinhardt met à nu une femme qui ne s’autorise pas
Il y a des noms de personnages qui ne passent pas ; du début à la fin du roman, ils vous restent en travers la gorge, tant et si bien que vous ne croyez pas à ses émotions, ses sentiments, sa logique ou sa folie mêmes tant son identité vous paraît invraisemblable. D’autres au contraire semblent si singuliers qu’ils confèrent d’emblée une personnalité au personnage, s’imposent et vous emportent. C’est ainsi que je suis tombé amoureux de Béatrice Ombredanne, l’héroïne de L’Amour et les forêts (365 pages, 21,90 euros, Gallimard), l’un des romans les plus en vue de cette rentrée. Disons qu’elle m’a accroché dès les premières pages, cette femme dont Eric Reinhardt nous répète le prénom et le nom indissociablement en moyenne trois fois par page jusqu’à l’excipit. Ils sont le leitmotiv de cette histoire et lui accordent son rythme secret et incantatoire jusqu’à l’envoûtement.
Ce pourrait être l’histoire d’une bourgeoise de province, 38 ans, agrégée de Lettres passionnée de Villiers de l’Isle-Adam (un extrait de « L’Agrément inattendu » tirée de ses Histoires insolites, figure justement en épigraphe), enseignante dans le secondaire du côté de Metz, mère de deux jeunes enfants, mariée à un type assez odieux, jaloux, colérique, faible, névrosé, susceptible et qui de fait, pour oublier ce quotidien qu’elle vit mal, bovaryse. Les rayons de nos librairies en sont pleins. Même si ce copain d’enfance qu’elle a épousé en secondes noces dans un instant d’égarement, peut-être parce qu’elle était si brisée et désenchantée d’avoir été trompée si jeune par son premier mari, même si ce dossard numéro deux donc met toute son énergie de pervers narcissique à mépriser avec constance ce qu’elle aime et qui la constitue : les gens, les livres, les films, les musiques, les lieux…
Eric Reinhardt nous fait assister avec une délicatesse rare à la construction d’un puzzle. Tout commence par la rencontre entre l’écrivain, double de l’auteur, avec l’une de ses lectrices au café le Nemours, place Colette, sur le parvis de la Comédie-Française à Paris. D’une mise en abyme l’autre, elle ne lui confie pas que son admiration mais sa vie même. Son aridité, sa monotonie. Une vie sans amour. Elle se raconte par petites touches, par étapes : son couple, ses crises, les larmes de son mari qui réussissent à mettre les enfants de son côté à lui quand son désarroi à elle est trop discret, intériorisé, pour les émouvoir. Et puis n’est-elle pas la fautive après tout ? Car la seule fois qu’elle a franchi la ligne, Béatrice Ombredanne a décidé de mettre une annonce sur Meetic et de se livrer à un inconnu. Ce qu’elle fait après avoir testé en ligne un certain nombre d’obsédés et de goujats. Celui qu’elle rencontre enfin pour de vrai s’impose avec la tranquillité de l’évidence. Il est tout ce qu’elle aime : peau, sourires, odeur, douceur, voix, tendresse, conversation, goûts. Et c’est réciproque. Lui est un antiquaire, plus esseulé que solitaire, anachronique et généreux, qui se délasse au tir à l’arc mais avec des flèches fabriquées par un ami artisan plutôt qu’avec celles de Décathlon… Ils passent une après-midi de rêve à s’aimer d’un amour total, moralement, intellectuellement, charnellement, sexuellement dans sa maison près de Strasbourg, en lisière de la forêt, promesse d’inconnu, lieu magique de conte de fées, son rosebud. Elle n’en revient pas, ainsi qu’elle le confie aussitôt à son amant d’un jour qui veut déjà faire sa vie avec elle :
« C’est qu’aujourd’hui je suis heureuse, indescriptiblement, si vous voulez savoir. Notre rencontre, dans ma vie bien rangée, c’est un peu comme une révolution : ces sourires sont des débordements populaires, c’est la liesse, je ne peux pas les empêcher d’éclater, ils sont comme des clameurs, j’adore cette sensation. Ces sourires ne m’appartiennent pas, la magie de ce moment ne m’appartient pas non plus, je le sais, je le sens. Cette journée est miraculeuse, elle ne reviendra pas, c’est certainement la dernière journée heureuse de toute ma vie. Je suis en train de flamber intégralement : en même temps que cette journée irréelle se déroule, je me consume de bonheur tout entière, mais vraiment tout entière, de l’intérieur, vous comprenez ? Je suis en train de brûler de joie, de l’intérieur, intégralement. Quand je partirai d’ici, il ne restera plus rien qu’un petit tas de cendres. »
Plus dur est le retour de fugue. Les postillons de haine de son mari, à qui elle avoue tout très vite pour avoir manqué de la plus élémentaire prudence dans la mise en scène de son absence, se muent en crachats. Pas de coups mais, comme d’habitude, des gestes qui bousculent, l’humiliation permanente et des mots qui tuent. Cela ne peut pas s’arranger : comment pourrait-il décider de ne plus la rabaisser, de lui adresser autre chose que des reproches ou des insultes, lui qui la supplie déjà à genoux, immature jusque dans l’abjection, de ne pas l’abandonner sous la menace de se suicider « en altruiste » avec leurs enfants ? Son propre sentiment d’échec professionnel, la conscience de sa médiocrité et de ses limites, son incapacité à se réaliser l’encouragent à le faire payer à sa femme. Il veut se convaincre qu’elle est allée chercher ailleurs une plus grosse queue que la sienne quand elle ne lui parle que d’harmonie des sensibilités, étoile inaccessible enfin trouvée. La suite…
C’est de rapports de domination qu’il s’agit, de violence au sein du couple et du pouvoir de la littérature. Car il y a du Mrs Dalloway en Béatrice Ombredanne, dans sa fascination pour un roman à l’ombre duquel elle aimerait placer sa vie. Sauf qu’il s’agit de la nouvelle « L’inconnue » issue des Contes cruels de Villers de l’Isle-Âdam et d’une héroïne à laquelle elle s’identifie. Mystère d’une femme supérieure à son mari mais qui lui reste soumise, tant elle se sent délabrée, mise au rebut, en proie au sentiment abandonnique. Enigme de cette emprise inexplicable. Elle veut mais ne peut inventer sa propre vie et qu’elle soit belle. Elle a toujours fait bonne figure, embarrassée à l’idée d’importuner les autres avec ses problèmes. Dix ans qu’elle retient ses désirs, ses pulsions, ses colères, ses révoltes au risque de s’en étouffer. Les quelques heures de totale liberté qu’elle s’est octroyées, par rapport à son mari mais aussi en regard de sa responsabilité de mère, elle les a vécues comme une insurrection. Fallait-il que celle-ci soit puissante pour balayer la culpabilité ! Tout risquer dans le fol espoir de recevoir de l’affection, d’être vraiment touchée, caressée, tripotée et de se sentir enfin vivante. La joyeuse sauvagerie avec laquelle elle dit son fait à son mari est, avec quelques autres (échanges sur Meetic, lettres, conversations amoureuses, apprentissage du tir à l’arc) l’un des morceaux d’anthologie de ce roman. Il y a quelque chose d’héroïque dans l’allègre violence avec laquelle cette femme se révolte contre un mari qui la nie.
L’Amour et les forêts tire sa puissance de ce que Béatrice Ombredanne est une femme qui ne s’autorise pas. Comme si elle se croyait illégitime en toutes circonstances. L’auteur nous fera découvrir au fur et à mesure les raisons souterraines, anciennes naturellement, de cette incapacité à s’accorder des libertés. La seule fois qu’elle a osé le faire, ce fut en parfaite conscience que ce serait un moment unique et sans lendemain. Eric Reinhardt est à son affaire avec la femme dès lors qu’il s’agit de la désidéaliser. Son exploration de l’univers sentimental de son héroïne, au risque d’un romantisme que d’aucuns jugeront suranné mais qui est ici poignant, est d’une empathie inouïe pour la fragilité faite femme. Pas assez pour dire : « Béatrice Ombredanne, c’est moi ! » mais suffisamment pour reconnaitre son avatar féminin en elle. De toute façon, elle parle pour toutes celles dont l’existence est ressentie comme entravée par leur vie de famille. Le parti pris d’écriture de Reinhardt n’y est pas étranger, classique sans être conventionnel, d’une remarquable acuité dans l’observation des choses de la vie, proche sans être familier car tenu, d’une étonnante richesse lexicale, discret là où d’autres s’étendent, inventif là où d’autres se taisent. Il est capable de détailler un sourire pendant deux pages, de s’attarder sur la lumière d’automne lorsqu’elle fait miroiter les perles dont Jean-Michel Othoniel a coiffé l’entrée de la station de métro qui mène à la Comédie-Française. Peu s’y entendent comme lui, dans cette génération de romanciers (1965), pour crever la peau des apparences, et déployer le merveilleux dans le réel le plus aride. Il fallait bien ce tremblé-là pour donner sa grandeur à une ordinaire tragédie domestique minée par le harcèlement conjugal.
Si L’Amour et les forêts n’était qu’un livre sur la création littéraire et le désir de fiction, il ne m’aurait pas bouleversé comme il l’a fait ; les histoires d’écrivains ont le don de m’ennuyer, elles me rappellent le bureau. Heureusement il s’agit aussi et avant tout d’autre chose. C’est terrible de ne pouvoir vous en dire davantage sur le destin de Béatrice Ombredanne, la manière inespérée dont elle finit par s’en rendre maîtresse, elle qu’on avait associée au renoncement et à la résignation. Mais ce serait ingrat vis à vis de l’auteur et du bonheur mêlé d’âpre mélancolie que son splendide roman nous a donné.
(Photos Gérard Castello-Lopes, D.R. – pour le station de métro de Jean-Michel Othoniel avec le café Le Nemours en second plan- et Henri Cartier-Bresson)
1 058 Réponses pour Eric Reinhardt met à nu une femme qui ne s’autorise pas
Eric Reinhardt nous fait assister avec une délicatesse rare à la construction d’un puzzle.
permis d’espérer mieux que les inter-minables finasseries des infatigables outres à pets, cela devrait être normalement facile à trouver..
(le Goron du blanc, hé bé on en apprend tous les jours)
Tu fais le contraire dans la vie réelle.
Toi aussi tu ne rejettes pas les patentes en soi, mais regardes de plus près ce qu’elles valent.
fort vrai mais n’est ce pas le propos de son maitre qu’on est moins tenté de dire que le roi est nu en proportion de sa patente..surtout la licence 4..un coup de bigot des keufs et hop t’es zappé demande a sergio..tout patron de bar tabac est agrégé dgse
Ahhhhh ! En plus, le ueda ne regarde même plus ce qu’il écrit …! Son ordinateur s’est révolté contre sa connerie…
Ahhhh c’est Lovecraft en direct, mes petits chéris ! Regardez ça un peu ! ça vaut le coup ! Un ueda en déroute, c’est une scène rare dans la jungle à Passou…
Qu’est-ce qu’on se marre
c’est cette monstration de joie triste qui ruine ton tractatus dracul..on ne peut croire au plaisir que tu prends, sinon celui du dépit
« (le Goron du blanc, hé bé on en apprend tous les jours) »
Touché, Kicking.
C’est une sorte de fendant, j’ai commandé un blanc sans crier gare.
Si tu insistes, je te dirai le cépage.
(Notes que c’est meilleur au deuxième verre, ce qui n’est pas bon signe)
bouguereau dit: 3 septembre 2014 à 17 h 36 min
Qu’est-ce qu’on se marre
c’est cette monstration de joie triste qui ruine ton tractatus dracul..
Cette justesse est fort cruelle.
« gros couillon pleins d’arrogance et de morve baveuse »
Tout W, ça!
12/20, ce n’est pas 0/20
pour un prisonnier de directeur de camp que choisis tu ? de stalag ? de directeur de backoffice de subprime ? de chef rayon goldmansax..un dracul..une vache qui ne tiendrait même pas dans son couloir..tada les cochons sont bien gardé avec lui..quels cochons?
URGENCE
Vladimir Vladimirovitch Putin met a nu une femme, EUROPE, qui sans autorisation, est devenue folle.
Europe affronte la Maison Russie, si proche, si forte, si blanche, si chrétienne, pour RIEN, si ce n’est suivre comme poulets javellisés l’empire des Etats-Unis, à la ramasse et diviseur égoïste.
Monstrueuse erreur géostratégique, que nous paierons cher.
Et pis, y’s tire avec la queue entre les jambes le Court !
Il était déjà court sur pattes, y va plus rester grand-chose…
Aaaaaahhhhhhhhh ! Qu’est-ce qu’on se marre !
« tada les cochons sont bien gardé avec lui..quels cochons? »
Si tu as le temps, dis moi d’où vient tada.
Parce que c’est aussi du japonais, mais avec un autre sens.
J. Attali a déjà dit à de multiples reprises que cette guerre contre la Russie était une folie. Mais on ne l’écoute pas.
La Russie faut l’intégrer à l’Europe au lieu de lui faire la guerre. Mais nos stratèges de l’OTAN et du Quai d’Orsay sont des ploucs incompétents.
Comme Court, parfaitement incompétent à propos du Symbolisme.
UN CON PÉTANT !
WGG,
99% de vos posts me font penser au film « Elza Popin ».
Je ne sais pas pourquoi…
Peut-être le cactus dans son pot,
promeneur infatigable,
qui traverse chaque scène du film.
Il fait rire, on finit par l’attendre en se demandant pourquoi on rit.
J’en dirais pas la même chose des vôtres…
AAAaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!
Ah ! Sans dents
Des sans dents?
Cons, des sans dents !
Allez, j’vous laisse mes braves petits couillons ! Zêtes pas à la hauteur du grand Widergänger !
Si tu insistes, je te dirai le cépage.
bof, le fendant c’est du chasselas, une importation vaudoise.. (c’est bon, t’es content d’avoir insisté là ?)
voilà, mais pas franchement envie de réciter un poème de serveur dans fancy restaurant, bonne fin de journée..
Pensez-vous que l’on puisse confier des jeunes collégiens à ce déséquilibré mental ?
si ce n’est suivre comme poulets javellisés l’empire des Etats-Unis
ouf..pas si sûr..matte bien jicé..et puis t’as voulu l’europe libérale en grand..va dmander a un polonais cqu’il en pense des cosaques
A demain, Michel !
JC….. dit: 3 septembre 2014 à 17 h 45 min
URGENCE
Monstrueuse erreur géostratégique, que nous paierons cher.
Comme parfois, ou même souvent, je salue ton coup d’oeil, camarade JC.
Il y a par ici un aveuglement terrible sur ce que cette crapule de Mao appelait la contradiction principale.
Mais quoi, il faut faire preuve de pédagogie.
Comment redonner vie à l’ectoplasme européen?
Il faut des étapes, tellement on est au fond.
Je vais jouer à la cabale des amateurs, comme le père WG.
L’ennemi principal aujourd’hui?
L’islamisme.
L’ennemi principal dans 10 ans?
L’Etat chinois, s’il est toujours là (l’Etat, pas le peuple).
Obama et Putin sont des ennemis?
Mais oui.
Secondaires, c’est tout.
Quand tu dois livrer bataille demain, qui sont ce soir tes alliés?
(Kicking?
Chasselas).
quand ils n’injurient pas bouguegros et JCouille sont beaucoup moins drôles, beaucoup moins
pouah..c’est toi le démago ueda
ueda, Goron c’est le nom donné au un dôle (pinot noir + gamay) pas très bon.
le cépage c’est une affaire de contesque..la preuve : quand y’en a pas sur la bouteille de contesque on fait pas le fier
À demain, JC !
À nous deux, on va se les faire, tous ces petits cons !
ueda le géopoliticien de merde ! qui croit que l’occident va faire la guerre à la Chine !!!!!!!!!!!!!!!!
C’est n’importe quoi, ce type ! Il se prend pour le centre du monde et y passe son temps à raconter des conneries !
L’occident et la Chine se tiennent par les couilles, y sont pas près de se faire la guerre.
L’urgence, c’est l’islamisme ! À éradiquer de la planète avec l’aide de l’Egypte même et de l’Arabie saoudite s’il c’est nécessaire. Et même de l’Iran.
La plaie du monde c’est l’islamisme.
D’abord exterminer les chefs du Hamas. Ensuite en Syrie, Irak
A demain, bouguereau
A nous deux, on va se les faire, tous ces gros cons, hein ?
Widergänger qui flingue à tout va !
Tous ces réglement de comptes.. de cons plutôt,
parasitent, polluent ce blog.
Il fallait lire … ou plutôt écrire :
règlements. Mais qui se soucie de règles.. de
bienséance parmi ces commentateurs ?
question : Court c’est un des nombreux pseudos de bouguereau ?
Madame, autant vous dévoiler la vérité,seuls trois personnes interviennent ici,bouguereau et ses nombreux avatars: d,daaphnée,renato,chaloux,giovani,jc,clopine,
tkt,wider…
bref, boug fait les filles,les comiques et les atrabilaires,puis il y a zouzou et ses avatars:hamlet,court,cp,sergio,zouzou fait plutôt dans les magnanimes,les érudits et les laconiques.
Puis il y a Jacques barozzi qui fait tout le reste.
Quant à moi qui vous parle,je suis bien sûr un avatar de bouguereau, puisque fille.
Enfin,Bouguereau est le mieux rémunéré de ces trois intervenants, ce qui se comprend fort bien.
Allez, je me dévoue ! dit: 3 septembre 2014 à 14 h 54 min
Widermächin, qu’est-ce que t’attends pour te séguer un bon coup ? Après ça, tu ressentiras (peut-être) moins le besoin de cracher tous azimuts.
si vous n’intégrez pas le fait que Wideramchin à plus de 60 ans est toujours puceau vous ne comprenez rien au bestiau qui insulte tout le monde, justement pour cela, son pucelage qui lui fait du mal, alors il lit, il lit, il lit!!!
@ bouguereau dit: 3 septembre 2014 à 18 h 00 min
pouah..c’est toi le démago ueda
Non mon cher.
Rendez-vous dans 10 ans.
@ renato dit: 3 septembre 2014 à 18 h 04 min
ueda, Goron c’est le nom donné au un dôle (pinot noir + gamay) pas très bon.
Bien sûr.
Le Goron, j’ai dû connaître.
Je n’ai jamais crié « Hourrah ».
@Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 18 h 18 min
ueda le géopoliticien de merde ! qui croit que l’occident va faire la guerre à la Chine !!!!!!!!!!!!!!!!
Personne ne dit ça.
Je vais vous permettre de faire un pas vers l’universel singulier, puisque vous aimez ça.
« Ceci est écrit de Tokyo ».
A bientôt?
Widergänger vous devriez adopter Trierweiller, elle vous donnerait des détails croustillants moyennant une modeste partie de votre retraite, ça vous changerait les idées!
les histoires d’écrivains ont le don de m’ennuyer, elles me rappellent le bureau.
—
La Cigüe et après, d’Angus Wilson, Le Don de Humbolt de Bellow et Le Shining, de S.King, pour n’en citer que 3, sont pourtant de saprés bon bouquins?
Votre « Sigmaringen » ne serait-il pas un peu sur Céline, qui dut à ses écrits et non à sa médecine de se retrouver dans ce nid de vautours?
ueda dit: 3 septembre 2014 à 18 h 35 min
Non mon cher.
Rendez-vous dans 10 ans.
________
Encore un fanatique de Patrick Bruel…!
Il faut lire l’article, ce soir dans « le monde » intitulé : » Nos libraires doivent résister au marché en ligne », d’olivier Frebourg, éditeru et écrivain..c’est .plus important que la vengeance d’une femme à l’Elysée où la tartufferie médiatique est portée à son comble car on en parle partout sans l’avoir lu….
Bonne idée, bof, on pourrait en flinguer un bon nombre à nous deux ! Et pis, pour le reste, ben… ce serait pas mal non plus…
ÄAaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sont nuls ces libraires !
C’est comme si les marchands de charrue faisaient en leur temps de la résistance contre les tracteurs !
Typique de Popaul, qu’est un gros réac qui refuse la modernité et qui ne sait pas s’y prendre pour organiser la lutte MODERNE contre les exploiteurs.
J. Attali a déjà pondu moultes articles à ce sujet mais les connards comme Popaul se gardent bien de les lire ! Ils ne lisent que les articles qui flattent leur esprit essentiellement rétrogrades qui prônent une politique qui nous conduit tout droit à la ruine !
En tant qu’intellectuel écrivaillon responsable, Popaul est coupable de mise en danger de la vie de la Nation France !
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 18 h 41 min
Bonne idée, bof, on pourrait en flinguer un bon nombre à nous deux ! Et pis, pour le reste, ben… ce serait pas mal non plus…
ÄAaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!
je plaisantais tout le monde asit que vous n’êtes pas assez riche, et puis vous manquez tellement d’expériences féminines mon pauvre Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 18 h 41 min
les histoires d’écrivains ont le don de m’ennuyer, elles me rappellent le bureau.
___________
Oui, c’est vrai, ça ! J’avais complètement oublié de souligner cette phrase incroyablement stupide !
DES HISTOIRES D’ÉCRIVAINS !
Non, mais t’imagine un peu, un critique ou prétendu tel qui réduit par exemple toute la littérature de l’écriture de l’écriture à commencer par Nathalie Sarraute en passant par Mathieu Bénézet et Laporte à une histoire de bureau…
Non, mais faut être complètement nul et ignare et n’avoir jamais lu Sarraute ni avoir jamais réfléchi sur le fait que toute œuvre littéraire raconte d’une manière ou d’une autre comment elle s’écrit pour écrire cette énorme connerie !
Effarant ! Voilà où en est la critique journalistique en France !
Ah on est loin de Marcel Reich-Ranicki qui officiait à la Faz et de son remplaçant, Volker Weidermann, qui écrit des livres autrement mieux écrit et dix fois plus passionnants que ceux de Passou !
Mais tu la connais ma vie, mon pauvre connard de bof ?
Non ! Alors ferme ta gueule !
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 18 h 55 min
Mais tu la connais ma vie, mon pauvre connard de bof ?
Non ! Alors ferme ta gueule !
non mais on imagine, sans risque de trop se tromper, comme pas mal de malheureux qui sévissent sur ce blog (j’allais écrire EHPAD)
Et Tod in Venedig, de Thomas mann, qui commence par une promenade de l’écrivain Aschenbach !
On a sombré !
Preuve est faite que t’a aucune imagination, mon pote ! Alors ferme ta gueule ou je vais t’en coller une, moi, tu vas voir !…
Quel couillon, celui-là, qui faute de mieux ne sait que s’en prendre à ma bite…
Le pauvre en esprit ! qui a une bite à la place du cerveau.
Sur qui ne glaviote-t-il pas, ce Widertrüc ? A part J. Attali…
A mon avis, bof a touché le talon d’Achille…
Plus de mille auteurs allemands et autant aux etats unis se dressent contre amazon, non pas parce qu’ils refusent la modernité, pas du tout !! aucun ne refuse la modernité et son ckntents d’être diffusés et vendus sur le Net…. (l’autre,« joie tragique » et « jubilation exaltation méprisante » n’a rien compris )mais simplement Le prix du livre numérique est actuellement inférieur à celui de l’imprimé, le jour où l’auteur comprend ça, avec la place hégémonique d’Amazon qui fait désormais la loi sans consultation ni avec éditeurs ni auteurs.. simplelent l’hégémonie de la diffusion trans- pays.. et évidemment distribution dans sa colossal force de frappe.. avec possibilité de couper le robinet pu,r des grands éditeurs qui ne passent pas sous les fourches caudines ;.il y a de quoi se faire du souci en tant qu’auteur et editeur…. c’est pourtant simple à comprendre ,un élève de cinquième comprend ça ! sauf certains qui parlent avant de lire les articles.
Kafka avait d’ailleurs déjà tout compris du problème des Arabes dans sa nouvelle Chacals et Arabes, où les chacals, qui sont des bouffeurs de charognes, se vantent pourtant d’être « plus purs » que les Arabes, réputés pourtant grands consommateurs de viande fraîche, chaude et bien saignante.
Vous me suivez jusque là ?
Dédé?
Ce n’est pas très humain de poster à la place de notre malheureux WG.
Cet homme semble perdu…
Ce n’est pas d’un Dédé dont il a besoin, mais d’une femme.
Une femme très attentive et charitable.
Chrétienne probablement?
Eh oui, moi aussi, je me dresse contre amazon. Attali aussi se dresse contre amazon. Mais pas seulement ! Il n’est pas pour autant contre la vente en ligne.
Ils a écrit de nombreux articles sur ces problèmes, mon pauv’ Popaul, que vous n’avez jamais lus ! Et voilà brayant comme un putois alors que comme écrivassier populacier vous auriez pu orienter la politique vers ce que prônait en son temps Attali !
Vous êtes un plouc d’écrivassier incompétent et dangereux ! Un de ces innombrables crétins toujours en retard d’une geurre économique. Vous faites simplement pitié !
3c’est pourtant simple à comprendre ,un élève de cinquième comprend ça ! sauf certains qui parlent avant de lire les articles. »
N’est-ce pas vous qui parliez « d’homme de culture » pour qualifier votre… contradicteur ?
Si ! Ils refusent tous la modernité ! Lisez Attali au lieu de venir ici hurler votre incompétence notoire !
Je chie sur tous les merdeux dans votre genre !
Ça fait un bon paquet de merde, croyez-moi !
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 19 h 18 min
Je chie sur tous les merdeux dans votre genre !
Ça fait un bon paquet de merde, croyez-moi !
Pensez quand même à vous alimenter.
Question de logique sinon de charité!
oui, « joie tragique « est un homme de culture interessant quand il parle de Thomas bernhard, de Max Frisch, de robbe grillet ou de claude simon,de Godard, et quand il parle de reich ranicki aussi , j’adhère à ce qu’il dit. Il a,même une époque, dit du bien de moi,personne n’est parfait… Il a souvent des vues de la littérature intelligentes et pertinentes. .Mais ces temps ci il n’est pas au top de sa forme .ca m ‘attriste .passons à autre chose.il ne comprend rien au phénomène amazon face aux auteurs..
@ Sirius dit: 3 septembre 2014 à 14 h 48 min
retour chez l’hôtelier.
http://www.youtube.com/watch?v=loS1Nbietf4
C’est trop tard pour réagir contre amazon tas d’imbéciles ! La France est en train de couler et vous vous battez contre des moulins à vent avec des fourches !
Vous n’êtes plus crédibles !
Faudrait savoir ! Tantôt on me prend pour un pochtron, tantôt on veut que je boive !
Faut vous mettre d’accord !
Boire ou conduire, faut choisir, mes petits chéris merdeux…
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 19 h 01 min
Preuve est faite que t’a aucune imagination, mon pote ! Alors ferme ta gueule ou je vais t’en coller une, moi, tu vas voir !…
Quel couillon, celui-là, qui faute de mieux ne sait que s’en prendre à ma bite…
Le pauvre en esprit ! qui a une bite à la place du cerveau.
i) QUAND ALBA passe à la menace physique c’est qu’on a touché juste! et il le sait, je le suis depuis si longtemps le bestiau! depuis l’époque où Màc voulait le bastonner! et qu’il n’en menait pas large le Alba,
alba =quéquette blues!
ce type s’autorise tout ! dit: 3 septembre 2014 à 19 h 07 min
A mon avis, bof a touché le talon d’Achille…
talon d’achille si vous voulez appeler ça comme ça!
pOUR L
Court dit: 3 septembre 2014 à 15 h 19 min
« L’Eve future », je decouvre le résumé.
On ne peut pas comparer et faire de l’anachronisme, mais force est de constater qu’entre les innovations techniques du XIX et la révolution numérique de la fin du XXème, les « ébranlements » que cela provoque, Auguste faisait dans l’anticipation.
Elle est très houellebecquienne, cette Eve.
En parcourant vos « pensées », je me sens bienheureux d’être aussi éloigné de la retraite.
Brendel, c’est magnifique, mais pour Schubert je choisirais plutôt Radu Lupu ou Murray Perahia.
Pour la D960, ci-dessous, tous les autres au dodo.
http://www.youtube.com/watch?v=JSIYbHg7rsU
(boumou, avec ton « métacode » et ton « protocole » tu m’as bien amusé : un tourneur de ronds de serviettes qui causerait astrophysique.)
si alba comprend ce qui arrive aux auteurs, seulement il dit que c’est trop tard pour gueuler, et il le dit en gueulant lol.
« la musique n’a pas dit non »
j’aime beaucoup
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 11 h 06 min
Au maboule en exercice, c’est du niveau collège: « Auschwitz expliqué à a fille ». Et sa lecture est indispensable aux âmes bien nées.
pour les autres, » ce sont des choses qui arrivent »
« Le roman s’ouvre sur une scène d’obsèques en 1945 à Saint-Pierre de Chaillot, paroisse huppée du 16e arrondissement. »
http://culturebox.francetvinfo.fr/livres/romans/ce-sont-des-choses-qui-arrivent-roman-cinglant-de-pauline-dreyfus-162065
alba =quéquette blues!
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 19 h 11 min
Kafka avait d’ailleurs déjà tout compris du problème des Arabes dans sa nouvelle Chacals et Arabes, où les chacals, qui sont des bouffeurs de charognes, se vantent pourtant d’être « plus purs » que les Arabes, réputés pourtant grands consommateurs de viande fraîche, chaude et bien saignante.
Vous me suivez jusque là ?
Euh…perso, j’ai pas lu « Chacals et Arabes » (et ne sais même pas si ca existe) mais si je vous ai bien saisi, z’etes en train de me dire que K était une raclure raciste ? ou alors que c’est vous la raclure raciste ? ou alors les 2 ? comment ? ah oui…ce que je voudrais savoir aussi, c’est si le grand Attali aime les lentilles et si oui, avec ou sans lardons ? les restaus huppés et galeries d’art de Londres ont gardé un bon souvenir de lui et de son gout extravagant (pardon, raffiné) et regrettent son départ précipité…
Re : avant que j’aille voir le match de foot, avec le temps, la mémoire, mon gros nounou, ce n’est pas vraiment ce qu’on a fait ou pas (ca c’est votre cas particulier, mais je me souviens plus du nom de la maladie, Münchhausen ?), mais plutôt c’est ce qu’on aimerait avoir fait…
Ce blog pourrait être intéressant et/ou amusant. La présence d’un dément lui fait perdre tout agrément. J’ai une suggestion à faire, inspirée du fil même, hommage à la guerre des boutons : et si on lui coupait le zizi ?
Faites gaffe, je fais partie du mossad, je vais faire piéger votre ordi qui va vous péter à la gueule…
Parfois on a l’impression qu’un (ou des) supplétifs viennent épauler (pousser encore plus loin leur discours, « dynamiser ») widergänger (ou « jc… »), c’est curieux, le ton n’est pas exactement le même parfois…
Ce qui est bien avec Abdelkaka, c’est qu’il a jamais rien lu… on est tranquille…
Y sont marrants.
enfin d’la ziq
lecteur du blog. dit: 3 septembre 2014 à 20 h 29 min
C’est très aimable à vous de vous inviter ainsi rue du Cirque.
Vous vouliez le scénario exact ?
« Il me paraît de toute convenance de prévenir une confusion possible relativement au principal héros de ce livre.
Chacun sait aujourd’hui qu’un très illustre inventeur américain, M. Edison, a découvert, depuis une quinzaine d’années, une quantité de choses aussi étranges qu’ingénieuses ; ― entre autres le Téléphone, le Phonographe, le Microphone ― et ces admirables lampes électriquesrépandues sur la surface du globe ; ― sans parler d’une centaine d’autres merveilles. »
http://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99%C3%88ve_future/Avis_au_lecteur
On aura remarqué aussi que l’affreux Abdelkaka n’a pas condamné le meurtre odieux de deux journalistes américains par des islamistes arabes !
Ça en dit long sur le kaka d’Abdel.
Pour ceux qui veulent se cultiver :
— Jacques Noiray, L’Ève future ou le laboratoire de l’idéal, Belin sup, 1999.
dont le premier chapitre s’intitule : « Refus de la science positiviste » et le second « comment la science parle à l’imagination ».
Bref, tout le contraire de ce ce connard de Court a cru lire dans ce roman… On s’en étonne plus tellement il sait pas lire, ce pauv’ Court ! L’est nul !
Voyons
On peut admettre la place, à la fois centrale et méconnue, de Wagner pour le Symbolisme français. Je dirais meme que ça n’est pas une nouveauté.
De là à dire que Wagner fait connaitre Schopenhauer, à une époque ou les français eux-mêmes ne connaissent Wagner au mieux par une réduction de ses œuvres au piano et pour marionnettes chez Judith Gautier, il y a un abime.Léon Daudet dira, peu suspect d’anti-wagnerisme: « Ce que nous connaissions le mieux, c’était ses livrets »
Tannhäuser , que Villiers a pu entendre l’année de sa chute à Paris autour de 1867 n’est rejoué à l’opéra en 1893.Il faudrait savoir quel Wagner Villiers a pu écouter, et dans quelles conditions.Il n’a pas les moyens, comme Judith, de s’offrir Bayreuth.Il peut au plus avoir écouté des pages symphoniques, il peut enfin l’avoir revé à travers Baudelaire.
Que le drame total wagnerien imprègne son théatre, rien de plus normal. Que ce soit réussi, c’est un autre problème. Qu’on puisse se faire une claire idée de Schopenhauer à travers Wagner,c’est tout aussi problématique.Il y a dans Maupassant une nouvelle: « Le ratelier de Schopenhauer », qu’il serait cruel de relier à une connaissance de sa philosophie. Je crois davantage à un esprit Schopenhauer -un comble pour qui ne croyait pas aux fantômes,- qu’à une irrigation de Villiers par un Wagner Schopenhauerisé qui se limiterait à Tannhäuser au mieux.
Maintenant , le Docteur Alba peut tonner sous la foultitude de pseudonymes qui est la sienne.Mais qu’il prenne soin de sa santé. Nous nous en voudrions d’endommager cet ouvroir de littérature virtuelle dont nous n’avons pas encore lu la première ligne, et qui importe, parait-il, à l’Histoire future du genre humain…
MC
tous ceux pour qui Wiedergänger fait de la promo avec ses doigts boudinés de vieux vaniteux dégoulinant de chiasse devraient lui faire un procès, et là ça en ferait un tas..
Ce qui est beaucoup plus important que la science dans L’Ève future, c’est la part liée à l’occultisme dans le roman. Noiray y consacre tout un chapitre « La fascination occultiste » et Raitt, que ce connard de Court n’a jamais lu et ne connait même pas de nom tout un chapitre également : « L’Occultisme », p. 185-217.
Et un chapitre qui rejoint l’analyse de Noiray sur « L’Anti-positivisme ». Mais Court c’est un faiseur, un poseur qui fait illusion. En réalité il ne connaît rien.
Ferme ta gueule Court, t’es qu’un connard ! T’as pas lu Raitt, alors boucle-la pour une fois !
Tu connais rien au Symbolisme.
Au lieu de ramener sa sale gueule, va plutôt lire le chapitre de Raitt :
« Villiers de l’Isle-Adam et Richard Wagner ».
Pauv’ bouseux d’incultes ! Pauv’ minable ! Pauv’ rat de bibliothèque qui connaît rien et qui la ramène sans arrêt. Tu nous fais chier avec tes conneries d’incultes et d’arriéré mental !
la seule intelligence de beaucoup aura finalement été de sentir venir le vent de l’escalade enragée du lèche-culisme, il est permis de ne pas se gêner de s’autoriser à être rassuré de se trouver moins spécialiste et écoeuré par les planifications à grande échelle vu le contexte..
Grosse merde de Court, c’est Baudelaire qui a initié Villiers à Wagner à la fin de sa vie. Villiers doit presque tout à son amitié pour Baudelaire.
Tu sais même pas ça ! T’est qu’un gros con !
Ce pauv’ connard de Court qui conteste le savoir universitaire le mieux établi !
Mais T’ES COMPLÈTEMENT RIDICULE, VA TE CACHER, CONNARD, TU NOUS FAIS HONTE !
…
…en passant,…
…le plus difficile dans un couple c’est de dresser sa femme,!…
…avec ou sans, votre pantalon,…
…Oui, trop d’imagination élaborées,!…surtout en passant par les » stages « , des écuries d’augias,…
…
…charmant le litron,…montre voir à Monsieur,!…comme une grande,!…c’est en court,!…etc,!…
…ma foie faut élaborer un plan de re-cul,…pour s’engager dans l’apprentissage,!…
…la balade à cheval,!…pas plus de six heures par semaines,…en privé,…le partage à l’Optimum de Paretto,!…
…des cours d’économies aux lardons,!…la cuisine des dossiers croustillants,…
…avec des diversions sur Blog,…
…
…& avec le mauvais temps, du bon temps en chambre au galop,!…répétition,…
…
…un peu, les petites juments,!…aux cadeaux en mains,!…vous lisez encore,!…pour votre cul-ture,!…
…
…vous pouvez mieux faire,!…Ah,!Ah,!…etc,!…encore un effort,!…comme une grande,…une chanson en manque,!…Ah,!…çà ira, çà ira,…
…
… » la brigade des moeurs « ,…pas mal,!…nos protecteurs,!…etc,!…Bip,!Bip,!…
…
Oui, je suis infiniment plus savant que toi ! C’est certain ! Et un lecteur bien plus fin que toi aussi. T’es nul à chier ! Humainement parlant, t’es nul à chier et intellectuellement t’es encore plus nul à chier ! Les connards dans ton genre, je les vomis.
« le savoir universitaire le mieux établi »…
ça reste à prouver, vous ne démontrez pas grand-chose, contrairement à Court !
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 20 h 55
Bref, tout le contraire de ce ce connard de Court a cru lire dans ce roman… On s’en étonne plus tellement il sait pas lire, ce pauv’ Court ! L’est nul
NON,NON, NON Widergänger n’est pas mort, parce qu’il bande encore!!! enfin pas tant que ça!!
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 20 h 27 min
Faites gaffe, je fais partie du mossad, je vais faire piéger votre ordi qui va vous péter à la gueule…
M.ichel, je suis membre du deuxième bureau et du M5 francophone, je suis agent endormi du KGB, consultant honorifique de l’armée nord-coréenne.
Nous les aurons tous, M.ichel, tous finiront par nous demander grâce.
En bon chrétien basique de souche francilienne, je vous laisserais les punir ces mécréants.
Bonne nuit, M.ichel, pensez quelques rues nous séparent, nous sommes des frères siamois, réunis par la parole de D.ieu et de Dieu.
Je voulais vous demander, D, quelle marque de vodka buvez-vous ? Est-ce aussi lamentable que pour le bordeaux ?
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 21 h 10 min
Oui, je suis infiniment plus savant que toi ! C’est certain ! Et un lecteur bien plus fin que toi aussi. T’es nul à chier ! Humainement parlant, t’es nul à chier et intellectuellement t’es encore plus nul à chier ! Les connards dans ton genre, je les vomis.
COMMENT QU’il s’appelait déjà le grand amour de Widergänger, mais si vous vous rappelez la foldingue canado-helvète, comment que c’était son nom déjà??
kicking, faudrait être un peu moins lost in translation.
Les choses sont pourtant simples:
Kodomoroid a partagé la vedette avec un autre robot femelle, baptisé lui « Otonaroid », un composite de « otona » (« adulte ») et d' »androïde », qui de façon étonnamment humaine a eu l’air d’avoir le trac au moment de se présenter.
« Je suis un peu nerveuse », a-t-elle concédé.
Fais gaffe, c’est Alzheimer qui te guette, ça commence comme ça…
Valèrie trierweil dit: 3 septembre 2014 à 21 h 18 min
vous arrivez de loin, vous.
Déshydraté ?
Vous voulez que je vous ouvre la trappe ?
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 21 h 20 min
Fais gaffe, c’est Alzheimer qui te guette, ça commence comme ça…
elle était complèteemnt dingue, ça c’est sûr, et sans talent aussi sûr!
des journées entières dans les arbres dit: 3 septembre 2014 à 21 h 22 min
Valèrie trierweil dit: 3 septembre 2014 à 21 h 18 min
vous arrivez de loin, vous.
Déshydraté ?
Vous voulez que je vous ouvre la trappe ?
t’es un peu jeune!!
C’est pas beau de parler des morts de cette façon ! Surtout pour se tromper à ce point !
Faites gaffe, telle que je la connais, elle est capable de vous envoyer une grosse merde sur le coin de la gueule de là où elle est…
Valèrie trierweil dit: 3 septembre 2014 à 21 h 23 min
Des salopards comme vous, on ne leur donne pas d’âge. Ils sont éternels.
des journées entières dans les arbres dit: 3 septembre 2014 à 21 h 25 min
Valèrie trierweil dit: 3 septembre 2014 à 21 h 23 min
Des salopards comme vous, on ne leur donne pas d’âge. Ils sont éternels.
en supplétif d4alba, vous êtes pas mal! qui comme salopard, est prix nobel!
A propos de robots, une question qu’on voit de plus en plus apparaître, assez intéressante, par exemple :
Dans le futur, des droits et des devoirs pour les robots ? http://www.nextinpact.com/news/88688-dans-futur-droits-et-devoirs-pour-robots.htm … /
Valèrie trierweil dit: 3 septembre 2014 à 21 h 27 min
Ce n’est pas de ML dont il s’agit.
Les salopards dans votre genre ont ceci de constant: la perversion.
euh.. djedla.. votre robe de cocktail dynastique.. faut toujours que vous nous la rameniez en pètant des coutures ?
des journées entières dans les arbres dit: 3 septembre 2014 à 21 h 31 min
Valèrie trierweil dit: 3 septembre 2014 à 21 h 27 min
Ce n’est pas de ML dont il s’agit.
Les salopards dans votre genre ont ceci de constant: la perversion.
meuhhhh, non pour tout vous dire y a 2 , 3 jours après trois ans d’absence je mets 2 messages aucune réaction, je m’dis t’as perdu la main coco!! et vlan ce soir j’en mets une couche à Alba: un triomphe, DONC les bonnes recettes ici sont toujours les mêmes, ça rassure!!! et donc :Tchao!!!!!!!! à dans 3 ans!!
qui comme salopard, est prix nobel!
oui bon, il passe surtout son temps à hurler qu’il n’a pas inventé la poudre.. de là à l’imaginer nous pondre de la dynamite, faudrait pas pousser !
Valèrie trierweil ne sait pas se relire et même pas lire on dirait..
Non je ne suis pas membre du Mi-5, ni d’autres services portant un nom.
Par contre je suis effectivement membre d’une organisation secrète dont le nom n’est pas connu à tel point elle est secrète. Malheureusement je ne peux pas en dire plus.
Malheureusement -et heureusement.
kicking, j’ai déjà indiqué ici que je fraye du côté des arolles et certainement pas au bois de boulogne, clear ?
kicking dit: 3 septembre 2014 à 21 h 43 min
Valèrie trierweil ne sait pas se relire et même pas lire on dirait..
je t’ai reconnu François!!! toujours normal??
Ne me posez pas de questions sur nos activités, je ne répondrai pas. Ni sur nos motivations. Ni sur notre but final -et ultime.
Ne me demandez pas si nous dépendons d’un état, de plusieurs états, si nous sommes combattus, tolérés. Vous ne saurez rien de rien. nada de nada comme dit ma concierge quand je lui demande le courrier.
Je possède un encrypteur à clef de 16384 bits, tous mes mails passent là dedans à la moulinette et de l’autre côté ils sont décryptés sans erreur aucune et en temps quasi-réel grâce à de puissants ordinateurs quantiques à structure en pelure d’oignon.
Et la marque de vodka que vous buvez, ça on peut vous le demandez, soldat D ? (C’est surtout ça qui m’intéresse.)
Tous cela peut vous paraitre a la foi flou, précis, excessif et mesuré, eh ben c’est pour brouiller les pistes encor davantages.
Chaloux,
je suis bien d’accord avec vous, Radu Lupu, est vraiment un immense pianiste , et aussi dans schumann!! ce qui n’est pas rien, avec notre francais Yves Nat
Ca oui je donne, c’est de la Stolichnaya, kamarad.
Ah bon et Dinu Lipatti, vous vous asseyez dessus en faisant prout-prout, Paul ?
toujours normal??
jouer au pervers-narcissique quand on ne l’est pas c’est risqué mon pas mon petit..
D. finalement j’ai une requête.
Pouvez-vous sonoriser cela:
http://www.magnumphotos.com/C.aspx?VP3=SearchResult&ALID=2TYRYDZEUEUE
Stolichnaya : un excellent choix, D.
à clef de 16384 bits Moi, je n’en ai qu’une et m’en porte fort bien. Je ne me sens pas d’en laver 16383 autres.
OERNACH (France) – Le frère aîné d’une fillette de 11 ans retrouvée morte mardi dans l’est de la France au domicile familial où gisait aussi son frère de 8 ans grièvement blessé a été placé mercredi en garde à vue, selon une source proche de l’enquête.
L’adolescent de 15 ans, à qui les parents avaient confié le temps d’une activité sportive la surveillance de ses deux frères et soeur à Moernach, un petit village proche de la frontière suisse de quelque 600 habitants, est entendu par les gendarmes.
C’est cet aîné qui avait donné l’alerte vers 19H30 (17H30 GMT). Il aurait été vu par une voisine sortir, torse nu et hurlant, du pavillon familial, et se diriger chez un voisin, par ailleurs parrain d’un des enfants, a précisé le procureur de Mulhouse (est), Dominique Alzeari.
Il avait des traces de sang sur lui, a-t-il ajouté.
Quand les parents sont revenus chez eux, alertés par le voisin, les gendarmes et les secours étaient déjà présents, a raconté le procureur.
La scène de crime était très impressionnante, selon le procureur : les secours ont découvert à leur arrivée, dans le salon de ce pavillon cossu le corps de la fillette baignant dans une mare de sang, tuée de plusieurs coups portés avec une arme tranchante. Son frère cadet gisait dans un état grave et présentait de nombreuses lésions.
Le corps de la fillette devait faire l’objet d’une autopsie mercredi a Strasbourg (est). Son petit frère a été héliporté vers l’hôpital de Strasbourg, dans un état critique, a précisé le procureur.
L’adolescent aurait affirmé avoir été attaqué par un rôdeur, vêtu de noir, avait déclaré M. Alzeari, soulignant toutefois que ses propos n’étaient pas structurés.
Le procureur a décrit un adolescent en état de choc et mutique et précisé que le domicile n’avait pas subi d’effraction.
Ses déclarations, laconiques et tout à fait confuses, ont conduit le parquet à envisager de prolonger cette garde à vue ce soir, alors que l’on est toujours dans un contexte de multiples investigations scientifiques et techniques, a dit le procureur au cours d’une conférence de presse.
L’incohérence des propos de l’adolescent a même conduit à douter par moments de sa santé mentale, a-t-il ajouté, évoquant une problématique d’addiction aux jeux vidéo. C’est un élément, on n’extrapole rien, a-t-il cependant nuancé.
Il a indiqué que l’arme du crime, une arme tranchante, avait été retrouvée dans la maison, mais que les enquêteurs ne savaient pas encore s’il y avait des empreintes exploitables dessus.
Mercredi matin, un dispositif de sécurité bloquait toujours l’unique accès à la maison familiale. Les rues du village étaient désertes et les rares voisins présents évitaient tout contact avec les journalistes.
Des techniciens de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) ont été appelés en renfort pour prendre en charge les aspects scientifiques de l’enquête.
Le procureur devait faire le point mercredi en fin de journée sur l’état de l’enquête.
(©AFP / 03 septembre 2014 21h19)
…
…çà chauffe,!…avec rien,!…
…je sort, butiner & me parfaire à l’éducation au miel d’abeille,!…
…
…un peu d’air, quand çà devient gonflant,!…l’esprit à poils,!…
…
…finalement, le risque de vivre est de devenir,…en sois,la personne désirée,!…
…
…et, maintenant,…qui désirer,…avec une tête trop pleine d’échiquiers,!…
…
…des leurres en parachutes,!…Chèque inspire,…être ou ne pas en être,…du pareil au même,…ou en coïncidences inversées,!…
…
…tic-tac,…les mécanismes,!…etc,!…
…
J’ai encore dû changer de pseudo, celui-ci s’est imposé (ben oui, à force de chier sur tout le monde…)
clear ?
que tu radotes ma vieille, alors ça oui.. j’aime pas les travelos..
Comme les éléments de la personnalité de Kafka et de son intimité trouvent à s’élargir immédiatement en métaphores et les métaphores en récit, il n’y a pas chez lui de différence essentielle entre les documents biographiques et l’œuvre poétique. Son existence est pour lui une métaphore, il est lui-même pour soi une parabole, et il en résulte que la figure du père présente dans son œuvre n’est pas pour lui une copie réaliste de la figure empirique du chef de famille et du commerçant Hermann Kafka, mais, à l’inverse, Hermann Kafka, chef de famille et commerçant, est pour Franz Kafka une figure aux allures de parabole. Ce père a une signification qui atteint à l’universel et au mystère.
Cette perception métaphorique détermine chez Kafka le caractère onirique de son œuvre. La forme est pour lui parabole, le monde matériel devient à ses yeux une image. Description est chez lui signification. Rien dans son œuvre n’est simplement un fait qui se suffirait à lui-même. Toutes les manifestations de l’art du récit kafkaïen sont l’expression voilée d’un monde intérieur qui domine tout. Rien n’est dit qui serait simplement d’ordre mimétique ou ornemental, simplement là pour rendre visible au lecteur une scène, indiquer ses circonstances ou pour embellir l’œuvre ou l’enrichir. Il s’agit bien plutôt pour Kafka de faire en sorte que tout ce qui passe dans son expression donne à sentir un lien avec le centre invisible du récit. Tout le matériaux constituant un récit semble provenir d’un fond qui s’impose à notre attention sans pour autant être expliqué8. C’est en cela que réside précisément le parallèle avec le rêve9. Tout ce qui arrive est nécessaire, tout fait sens, rien n’est secondaire et laissé au hasard. Il y a là une signification, on la sent mais ce qu’elle est demeure invisible, n’est pas rendu conscient. Et de même que nous pouvons alors interpréter un rêve avec succès, si nous cherchons à comprendre dans son entier la personnalité du rêveur, de même le sens d’une œuvre singulière ne s’ouvrira à nous que si nous sommes capables d’une vue d’ensemble avec toute l’œuvre.
(Walter H. Sokel, Franz Kafka, Tragique et Ironie)
@SERGIO dit: 3 septembre 2014 à 17 h 10 min
criblé de taches de rousseur
Des éphélides ? Mais c’est fondamentalement érotique !
D. puisque vous mettez sourdine, je vais faire du bruit.
http://www.youtube.com/watch?v=YT-0XefPO3Y
@Court dit: 3 septembre 2014 à 17 h 28 min
ouvriers simples, incultes
Oui attends havec toutes les machines compliquées qu’y a maintenant… Mais même dans le passé, lorsque justement tout se faisait à la main (La porcelaine de Barnery !)…
Séverine dit: 3 septembre 2014 à 18 h 26 min
de
bienséance
Le problème c’est pas la bienséance, c’est de penser des trucs malséants, c’est là que ça fuit…
(20 h 47 min,03/09/14 : ai lu tout-ce-qui-y’avait-dessous- oulala-ça …, plaisirs assurés, pour un lecteur lambda – ça dépasse « des pap’ou, dans la tête,pardi » !
(ML, ferme les yeux, amoureux tu étais, tu nous as fait partager un SACRE EROTISME POETIQUE (bordel de merde)
paix maintenant
La structure que s’efforce de dévoiler Sokel chez Kafka est problématique.
En effet, cette structure est celle de la paranoïa. Tout fait sens, comme dans la paranoïa. Le hasard en est exclu. Ce ne serait pas un problème si nous ne parlions pas de littérature, car la littérature et notamment l’art du récit, repose sur le hasard : jusqu’au bout le hasard préside à la destinée du héros pour lequel à priori rien n’est déterminé, rien n’a de sens.
Problématique : Comment concilier un monde où rien n’est laissé au hasard avec la nature de tout récit qui est nécessairement fondé sur le hasard.
Je suis curieux de voir par la suite comment Sokel va se tirer de ce paradoxe.
Bibliographie critique pour aborder cette problématique :
— Erich Köhler, La hasard en Littérature, le possible et la nécessité, Klincksieck, 1986.
—Northrop Frye, The Secular Scripture: A Study of the Structure of Romance
ce qui est clair aussi – et depuis longtemps! – c’est que l’auto-dérision collective, ça n’existe pas, elle n’est un qu’un leurre, une planque pour petits cons et gros connards excessivement gonflés parmi quelques âmes perdues
Paul Edel dit: 3 septembre 2014 à 21 h 55 min
Radu Lupu est comme Horowitz (que j’ai entendu), on a l’impression que la musique jaillit et s’invente au fur et à mesure qu’il la joue.
Yves Nat dans Schumann, sublime malgré l’âge des enregistrements. Quant à ses sonates de Beethoven, il y a trente cinq ans que je les écoute sans avoir jamais pu passer à un autre pianiste.
Dites-moi, des journées, est-ce que par le plus pur des hasard vous seriez en train de vous intéresser à moi ?
Trente-cinq ans seulement Chaloux ? Ce n’est pas grand chose.
Villiers de L’isle-Adam Hégélien.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1960_num_12_1_2174
Nous faisons connaissance dès à présent avec le véritable Hollande, grâce à Valérie Trierweiler :
« Au final, le portrait de François Hollande semble terrible. On découvre un homme froid, sans coeur, totalement dépassé par les événements, calculateur, parfois méchant, enfermé dans une bulle… » (Le Point)
La France voudrait ne pas honorer son contrat de livraison de deux navires de guerre à la Russie.
C’est une erreur monumentale. Elle a tout à y perdre : crédibilité sur le plan diplomatique, emplois, argent (beaucoup). Bref, les conneries continuent à pleuvoir, mettant notre Nation dans une situation de plus en plus inquiétante sur de nombreux tableaux, dont bien sur celui de l’économie. On ne peut pas faire le poids contre la Russie. Cela devrait être facile à comprendre. Si l’Europe pousse la France à fauter, il faut prendre ses distance avec l’Europe, pas avec la Russie !
On a tout à gagner à prendre ses distances avec l’Europe et tout à perdre en montrant du doigt la Russie.
Cette décision aura des répercussions sur le plan économique. Les « sans dents » vont encore souffrir, pour que M. Hollande puisse avoir la paix avec les USA !
Je lis peut-être peu, moins que vous certainement (j’ai en fait une vie a cote, vous me saisissez ?) mais je pense lire bien, en tous cas bien mieux que vous…et je ne parle que de livres que j’ai lus…ma dernière sérieuse lecture cet été, fut le catalogue Black & Decker automne-été…tain, c’est carrément nietzschéen…mais, vous, vous m’avez l’air d’avoir besoin d’un sérieux fisting…ca vous calmera un peu…devriez demander au garde-champêtre…
…
…la France, plaque tournante de l’€urope,…
…
…un rôle de la Hollande de jadis, face aux » English « ,…à côté,!…
…
…il faut déjà, en avoir de grosses à peser son poids d’Or,!…
…note, qu’avec du plomb dans l’aile et dorez à la feuille ou plaqué d’Or,…
…on risque moins de se retrouvez, comme Charles le Téméraire,!…
…chacun son plan, déjà avec le capitalisme industriel, comme guide d’état,…
…les décisions, attendre le vote unis des usuriers, pour le meilleur profit d’intérêt,!…Oui,!…à court ou à long terme, les deux,!…faut voir,!…sur l’échiquier,!…
…
…Oui,!,…les deux bateaux,…pour se faire sauter avec télécommande à distance,!…combats naval,!…
…( truffés d’explosifs,!…) c’est froid, c’est chaud à tribord,!…Tuborg,!…une autre,!…
…livraisons pour plaques tournantes,!…
…
…il y a, presque à s’attendre dire,!…bon maintenant vos bateaux,…vous pouvez vous les foutre dans l’amoureuse à Julio Iglesias,!…por favor,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…une autre,!…
…
Dites-moi, WGG,
Et cette journée ?…
Vous me semblez atrabilaire, ce jour.
Que des gniards « Béni oui-oui »,
ou deux canards boiteux qui vous pourriront l’année.
Depuis le temps que vous pratiquez le même art,
je pense que vous avez le coup d’œil.
Sans vous souhaitez la deuxième solution,
bonne année… .. .
…
…de toute façon,…
…………………il y a, à reconsidérer, les valeurs de l’ensemble du giron des bâtiments,…
…
…pourquoi,!…
…raisonnablement,… » vu le pris du béton – armé, et de quelques ferraillages, avec les caissons de bois ad-hoc,…pour y couler le béton préparer par la bétonnière « ,!…
…
…et le prix de la mains d’oeuvre étrangère,…
…
…le prix des maison est trop » con « , et l’état complice, en plus du prix pour notaires,…l’état,…et son système d’usuriers,…
…Oui,!…la crise de départ,…avec les maisons d’usuriers aux U.S.A.,…
…c’est çà,…qui bloque aussi, en amont,…malgré lucres & haines de services,…pour masquer les escroqueries en nos états » légitimes « ,…aux services des Bourses et Banksters,!…Ah,!Ah,!,…
…les deux cents familles les plus riches de France,…ou les cents,!…Times,…des mondialisations de connivences,!…etc,!…
…
…mon gouverneur,!…& sans partis pris de lèche-culs,!…d’intérêts,!…l’objectivité,…S.V.P.,…of course,!…Ah,!,Ah,!,…etc,!…
…
…les andouilles,…dans le casier 2014,…à votre gauche,!…Vlà,!…on vous garde à l’essai,…au noir,!…
…bras d’honneur,!…Vive la liberté,!…etc,!…
…
…des cloches & des cloches avec des Panzer-mis,!…etc,!…envoyez,!…
…
Une biographie complète de la vie, si riche, de notre ami Abdelkader devrait tenir en moins de 12 pages, redites comprises …
Si les pauvres gens populaires sont des « sans dents », alors les riches dirigeants socialistes sont des « sans cerveaux ».
On peut espérer une prothèse pour aider les premiers, et rien du tout pour les seconds. Au pire, un vrai travail où l’on travaille vraiment pour gagner sa vie, une fois ses privilèges perdus …
Par le passé, l’Instruction Publique, tant bien que mal, arrivait à ses fins : instruire le plus grand nombre. Donner une chance.
Aujourd’hui, l’Education Nationale, syndicalisme de gauche oblige, arrive aux siennes : embrouiller, déresponsabiliser absolument tout le monde.
Même pas un pédalo ingouvernable. Plutôt, le Radeau de la Méduse … Pisa. Lampedusa.
On voit tout de suite le chemin parcouru.
Au départ il s’agit d’une histoire insolite.
Ensuite de celui qui l’a écrite
des autres textes qu’il a pu écrire,
et puis, de fil en aiguille, ça va crescendo et alors, ma pauvre dame, débarquent la fanfare, la gossse cavalerie des penseurs allemands à la morale douteuse, avec les canons de la culculterie et ses généticiens de la littérature.
Excusez-moi, connaissez vous gui ?
http://biologie.ens-lyon.fr/ressources/Biodiversite/Documents/la-plante-du-mois/le-gui-une-plante-parasite-dispersee-par-les-oiseaux/
La lecture des commentaires postés par les Républicains du Livre témoigne de leur sérieux, de leur niveau, de leur intelligence infiniment documentée, de leur savoir infiniment diplômé par les autorités compétentes universitaires … Exemples plus bas.
Il devrait être facile aux meilleurs d’entre nous de répondre à quelques questions simples.
Exemple : De quoi se mêlent UE et NATO en Ukraine, territoire historiquement russe ? La Fédération de Russie est arrimée géographiquement, historiquement, à l’Europe occidentale. Ce doit être un allié précieux dans la lutte contre d’autres fascismes, d’autres dangers en cours ou à venir ! Pourquoi les Européens se mêlent de ce qui ne les regardent pas ?
Que dirions-nous si la Fédération de Russie venait appuyer, armer, financer, les autonomistes bretons et autres indépendantistes corses ?!
Bref, UE et NATO marchent sur la tête …
Pour en savoir plus, le blog Secret Défense de l’excellent Jean-Dominique Merchet :
http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense
Tout le reste est littérature !
« le jour où Renoir a parlé à Celine »
Onésime de Nota,
Votre lien témoigne de l’incapacité absolue des hommes de se comprendre… Intéressons nous plutôt à leurs œuvres, qui sont souvent le meilleur d’eux-mêmes et le plus fréquentable !
Comme dit le personnage de « la Règle du jeu » qu’incarne Renoir lui-même: « Le plus terrible dans ce monde c’est que chacun à ses raisons »
Widergänger dit: 3 septembre 2014 à 22 h 41 min
« Tout le matériaux constituant un récit semble provenir d’un fond qui s’impose à notre attention sans pour autant être expliqué8. C’est en cela que réside précisément le parallèle avec le rêve9. »
Ces petits chiffres parsemés (8, 9)ne seraient-ils pas l’indice d’un copi(ll)age ?
Depuis les Grecs, les Romains, la Renaissance, Les Lumières, nous autres gentils Occidentaux nous efforçons de remplir les têtes de savoir, de jugement, d’émotions, de libertés. A quelques erreurs et faux-pas historiques près…
Des fascistes religieux, eux, les coupent un peu partout dans le monde, au nom du Divin qui combat les Infidèles.
Nathalie Goulet, sénatrice UDI, interrogée par Le Point :
» Vous appelez à un mouvement d’ampleur pour juguler les réseaux djihadistes…
– Oui. Il faut un « Patriot Act » au niveau européen, comme après le 11 Septembre aux États-Unis. La situation est bien plus grave qu’à la veille des attentats du 11 Septembre. La Syrie, l’Irak comportent désormais des zones de non-droit.
Au niveau européen, en incluant la Turquie, il faut surveiller de façon accrue les flux financiers, renforcer les contrôles aux frontières, rétablir les autorisations de sortie du territoire pour les mineurs.
Nous sommes dans une situation d’exception qui appelle des moyens d’exception.
Nous devrons sans doute accepter de rogner sur nos libertés. »
Ceux qui n’ont pas compris que nous sommes en guerre peuvent continuer à vivre « normalement » !
On ne retrouve pas ces lieux aussi propres qu’on les avais trouvé en entrant ? La faute à ML, qui a mis de la merde partout !
Mais non Jacky, ML ne la met pas… elle est déjà là !
Il la voit, il la sent, il la remue habilement, il la touille, la tripatouille et nous en barbouille à juste titre : nous le valons bien, nous autres, ses petits chéris trop propres sur eux …
comme t’es un copin je te chie dessus jicé..ça te tiendra chaud sur le matin frais et te fera un écran total pour la journée..ne me remercie pas..c’est naturel
« Le plus terrible dans ce monde c’est que chacun à ses raisons »
manquerait pus qu’il fasse des trucs comme ça pour rien mes ptits chéris..en attendant pendant que vous restez les bras ballants israel vous encule
un vrai travail où l’on travaille vraiment pour gagner sa vie
des pues la sueurs qui vont moquer attali encore..antisémite !
Les « sans dents » vont encore souffrir, pour que M. Hollande puisse avoir la paix avec les USA !
en plus les ukrainiens c’est tous des exgardien de camp ! des salauds d’antisémites ! qu’ils crèvent! dabord ils ont l’habitude ils l’ont bien cherché..les 450ha en petite russie on y ajoute un zéro c’est bonne mathématique..dans mes bras poutine..et qu’on lui donne la croix de david en fer tout de suite
les 450ha en petite russie on y ajoute un zéro c’est bonne mathématique
un zéro..hurkurkurkurk..dix mille…ils ont l’habitude, ces smelles de russes..qu’ils crèvent!
Tu chies parce que tu es envieux, Bougboug ! C’est, avouons le, un argument comme un autre : j’aime ce côté spectaculaire, presque académique de ta déjection … !
que t’es peur des russes..ces vainqueurs de l’hitler..les libérateurs de camps..je peux le comprende jicé, yavé a toujours été avec eux et jamais avec toi, jamais..mais que les ukrainiens soit des corse..même les angliches font voter les scottiche
aies..ha ça demande une relecture serrée ces conneries
Tu chies parce que tu es envieux, Bougboug !
et puis sigmund disait qu’on chiait par générosité..quand il est arrivé a newyork il a sali son bène comme dracul arrivant à londre..terre promise..consacrée au cul ! tchernoziom comme dit le cosaque
Villiers de L’isle-Adam Hégélien
lussiphèrien de rien! sataniss ! c’est ce que lui dit léon!..ha c’est autre chose que ce gros nave d’alestère au sang de concombre..
« – Bonjour, Mimile, alors, notre malade, hmm ? Comment a-t-il passé la nuit ? Il était encore bien agité sur le coup de 23 heures ? Merdalors, on n’est pas sortis de l’auberge, soupir !
Si j’étais toi, Mimile, tu sais, pendant les crises, je ne m’embêterais pas : la camisole, et hop ! Je ne comprends pas pourquoi le Patron, le Grand Psychiatre à la chemise bleue ouverte, là haut, n’est pas plus radical que ça : une bonne lobotomie et on n’en parlerait plus ! Bon, tiens bon, hein, Mimile, y’a plus que toi maintenant pour faire face. Allez, bonne journée quand même. T’auras peut-être un peu de répit s’il part se promener, ton excité du bulbe, là. »
Relancer la machine à merde, voilà un exemple du sadisme féminin clopinouillesque ! C’est plus fort qu’elle, la salope !
Acte provocant un de nos frères juifs les meilleurs, acte injurieux, raciste, fasciste, judéophobe, antisémite, acte nauséabond qui nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire, la Milice, Vichy, Célestins, les camps, l’OAS, le FLN, la torture, Alleg, L’Amoco Cadiz, Duflot, Taubira, Najat, Ben Ali, Ben Barka, Ben Hur, Bush fils, Obama, et, cerise sur les gâteries, l’élection du Pépère François le Glandu… !
ueda,
puisque vous êtes en Valais, avez-vous vu l’exposition Renoir ?
Dommage pour les sculptures trop près du mur, pourtant il y avait la place pour une « mise en valeur » (plus judicieuse installation)…
Avant de vous quitter définitivement, sauf urgences, pour laisser la place aux grands de cette République des Livres… l’un de vous a t il des nouvelles de notre collègue et ami Onésiphore de Prébois, disparu depuis un mois ?
Son avant-dernier billet de blog parlait de chirurgie lourde … Bonne journée !
Clopine, question idiote d’un rat des villes : si les humains ne leur piquaient pas le miel qu’elles produisent, qu’en feraient les abeilles, elles le mangeraient elles mêmes ?
Idem pour le lait des vaches et les oeufs des poules !
Revenir sur « L’amour est la plus bon marché des religions » (Pavese) … et c’est aussi celle qui génère le plus gros chiffre d’affaires car c’est un phénomène à très large spectre. Pour ce qui est du chiffre d’affaires, la haine aussi c’est du lourd. C’est vrai que, bien que souvent conséquence du susdit « marché », on ne puisse pas parler de « religion » au sens propre pour ce qui est de ce phénomène.
« si les humains ne leur piquaient pas le miel qu’elles produisent, qu’en feraient les abeilles, elles le mangeraient elles mêmes ? »
In « O turista aprendiz* », Jacques, Mário de Andrade donne une ébauche de réponse en relatant une « chose vue ».
* Il me semble qu’il y a une traduction fr.
Merci, de Nota.Ceci nous change agréablement des vaticinations anales de qui vous savez.
MC
Certes, renato, mais Michel Alba, professeur des collèges, que ferait-il du pipi-caca-boudin dont il nous couvre et recouvre d’abondance, le mangerait-il lui-même ?
Jacques, en cas de surabondance, les abeilles fabriqueraient plusieurs reines au lieu d’une seule, et essaimeraient (c’est-à-dire qu’une colonie quitterait la ruche, avec en son centre la nouvelle reine, et s’accrocheraient quelque part, avant de coloniser une nouvelle ruche ou ce qui en tient lieu dans la nature : tronc d’arbre, souches, etc.). Comme tout ici sur terre, elles essaieraient ainsi de « croître et multiplier », jusqu’à ce qu’elles rencontrent un nouveau prédateur (arachnide ?)
Encore que le terme de « prédateur » ne soit pas approprié, ici, pour décrire la relation de l’homme à l’abeille. Nous ne les tuons pas, nous prenons les réserves qu’elles « stockent » dans le « grenier » de leur ruche(les hausses). Et parfois, nous les nourrissons (en sucre), l’hiver, afin de fortifier les ruches.
Mais d’un autre côté, nous les tuons. Pas directement, bien sûr, mais le résultat est le même. Les pesticides des champs, l’agriculture intensive, et surtout la terrible avarroase, importée d’Asie (les abeilles asiatiques résistent à la varroa, pas les occidentales…) : la situation est devenue dramatique. Or, sans abeilles, sans hyménoptères en général, point de fertilisation florale, point d’hommes.
Pour vous donner une idée : la production de miel est plus abondante et plus diversifiée pour une ruche de ville qu’une ruche de campagne (!!!) Eh oui, nous en sommes arrivés là : ça s’appelle la diminution de la biodiversité…
Oh, il y a bien des gens que l’on méprise , comme, par ici, Pierre Rabhi, (souvenez-vous des sarcasmes reçus ici, après son interview à la télé), ou encore Clopin n’est-ce pas, qui, « au nom de la terre », deviennent apiculteurs. Mais bon.
Quant aux poules et aux vaches, idem. Les oeufs deviendraient poussins, les veaux téteraient tout le lait, resteraient sous la mère, jusqu’à rencontrer de nouveaux prédateurs… Le cycle de la vie.
Mais il faut garder à l’esprit que l’homme, qui se croit au sommet de la chaîne, qui domine et se sert, est dépendant en réalité d’une simple abeille…
(enfin, quand je dis « simple » : voir mon blog aujourd’hui. Les abeilles sont des merveilles, les oeuvres d’art de la nature…)
« A la veille du sommet de l’Otan qui se déroule aujourd’hui et demain au pays de Galles , Paris a fait connaître à Moscou sa décision de suspendre la livraison du premier navire Mistral. » Les Echos
On comprend la manoeuvre, et comment la France est devenue un pays à la botte des Américains. De Gaulle, réveille-toi !
Pierre Rahbi est un sage, qui incarne une voie alternative qui pourrait sauver l’humanité. Hélas, cette humanité prend la direction inverse !
« Mais il faut garder à l’esprit que l’homme, qui se croit au sommet de la chaîne, qui domine et se sert, est dépendant en réalité d’une simple abeille… » (Clo.)
Elysée-bashing?
renato dit: 4 septembre 2014 à 10 h 19 min
ueda,
avez-vous vu l’exposition Renoir ?
À l’écart de la culture, renato.
bouguegros : le con des sans-dent (facile oui, mais tellement vrai)
« Or, sans abeilles, sans hyménoptères en général, point de fertilisation florale, point d’hommes. » (Clopine)
Wouuuuuuuuaaaaarf !
Ségolène Royal, voulant défendre le président, enfonce le clou :
« Mais à une nouvelle question sur le passage du livre où Valérie Trierweiler écrit qu’«en réalité, le président n’aime pas les pauvres» qu’il surnommerait selon elle les «sans dents», Ségolène Royal a répondu: «c’est n’importe quoi, c’est le contraire de l’engagement politique d’un grand responsable de gauche, socialiste». «C’est le contraire de son identité politique, il faut être sérieux», a-t-elle ajouté. »
Mais si tous les oeufs de poules, entre autres, donnaient naissance à des poules, la terre deviendrait un immense poulailler, Clopine ! Est-ce ce que veulent les végétalistes ?
C’est parce que j’ai lu votre note du jour, Clopine, et que je goûte l’excellent pot de miel que vous m’avez offert, que je vous posais la question…
« Sans-dents », un mot funeste de Hollande qui va rester et fait déjà beaucoup de dégâts politiques :
« Dans les coulisses du gouvernement, c’est déprime et semelles de plomb. « C’est le coup de grâce. On est passé par la nausée, l’accablement. Les sans-dents… Peu importe combien de bouquins se vendent, le mal est fait », soupire un conseiller gouvernemental. »
saint denis jicé!.note bon roué cruxifié par ses reines même..
pourquoi mettre un s à « sans-dent » puisqu’il n’y a pas de dent ???
jusqu’à rencontrer de nouveaux prédateurs… Le cycle de la vie
nan clopine..faux bien calculer la selexion naturel..conccurence sur les ressources..pandémie..darouine c’est un principe simpe assez horriblement compliqué sul terrain
Vous savez, Jacques, la nature, en cas de disparition de l’homme, resterait la plus forte, même après une catastrophe nucléaire… Même après tout. Elle ne fait pas de politique, la nature, elle applique ses règles, c’est tout…
Il y a une nouvelle de Dino Buzatti (je crois) qui illustre ce paradoxe : nous les hommes, nous colorions notre rapport à la nature de romantisme, en même temps que nous scions la branche sur laquelle nous sommes assis. La nouvelle de Buzatti est toute simple : un couple, l’été, la nuit, dans une chambre. L’homme appelle la femme à la fenêtre, pour admirer le calme de la campagne, la beauté des arbres sous la lune, la sérénité du paysage… La femme se sent mal, pourtant, devant cette splendeur calme… Et l’écrivain de descendre au ras de la terre : et là, c’est une lutte à mort entre les insectes nocturnes, les différents prédateurs, pendant que les plantes elles-mêmes cherchent à s’étouffer, (comme ici les trolls cherchent à étouffer la parole) : tout ruisselle, sous la lune indifférente, de sang et de carnage.
C’était donc la femme qui avait raison de défaillir : elle avait « senti » la réalité…
Notre problème, c’est que nous avons trop réussi le programme de départ : croître et multiplier. Ou que nous l’avons fait de manière si insensée, si brutale, que nous sommes victimes de nous-mêmes.
M’enfin ce que j’en dis, ce sont des lapalissades. Tous, nous le savons, consciemment ou non. Tous, nous participons cependant – avec effort ou non, avec mauvaise conscience ou non, avec cynisme ou humilité.
Et cela continuera, j’en ai peur, à moins d’une prise de conscience d’une telle ampleur qu’elle est difficilement imaginable. Nous nous aimons tellement, en tant qu’espèce ! Vous avez tous constaté la même chose : mettez un être humain devant un paysage grandiose. Des sommets vertigineux, des parois rocheuses, des nuages vu de dessus… Eh bien, si vous laissez déployer votre regard, il suffit que vous aperceviez trois petits points noirs qui se déplacent : des hommes, pour que votre attention s’éveille, que vous suiviez leur progression, que votre cerveau ne s’occupe plus des couleurs des roches et des ombres sur les sommets : non, obstinément, vous reviendrez encore et encore aux mouvements de vos congénères. Car ainsi nous sommes faits. Grégaires…
Après les sans culotte, à quand la révolution des sans dent, qui ne peuvent déjà plus manger leur pain quotidien ?
Liberté, égalité, dentiers pour tous !
que ferait-il du pipi-caca-boudin dont il nous couvre et recouvre d’abondance, le mangerait-il lui-même ?
la terre promise baroz..veut en faire profiter tout l’monde..à force tu vas comprende
Jacques, parlez-en aux goupils, ils vous expliqueront le coup des poules…
(ces assassins aussi roux que Vivaldi nous ont, en quinze jours, flingué six d’entre elles.)
La nature, c’est la loi de la jungle à l’état pur, Clopine, c’est la raison pour laquelle je me love au coeur des grandes villes dites civilisées, certes il y règne une autre sorte de loi de la jungle mais je peux mieux y prendre mes repères. Pour moi, c’est l’homme d’abord !
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