Bientôt une encyclopédie historique des odeurs
S’il est vrai qu’elle n’a pas sa pareille pour humer les odeurs de l’Europe, il n’empêche que Sissel Tolaas ne peut pas sentir l’Union européenne. Vraiment pas ! La chercheuse norvégienne n’a pourtant rien d’une souverainiste. Il faut chercher ailleurs les raisons pour lesquelles l’UE n’est pas chez elle en odeur de sainteté ; plus précisément dans le projet baptisé Odeuropa qu’elle considère rien moins que comme un « plagiat »
Sa qualité de pionnière ne fait guère de doute, même si elle n’est pas la seule dans le monde de l’olfaction : le ministère japonais de l’environnement a répertorié les odeurs de cent paysages et une université stambouliote en a fait autant sur la civilisation anatolienne depuis les Hittites. Pour autant, les archives qu’elle possède sur les odeurs du passé sont-elles impossibles à refaire ? Chimiste, elle se veut archéologue des odeurs ; il est vrai qu’elle a le goût du terrain un peu partout dans le monde, qu’elle a travaillé sur les ruines de Pompei aussi bien qu’en Inde, en Australie ou en Chine sur des projets de musées du patrimoine des odeurs. Elle considère l’odeur comme une information qui fait travailler la mémoire en profondeur et n’a de cesse de traquer sa molécule dans le passé des villes et des campagnes.
L’objectif principal du projet Odeuropa, lancé officiellement en novembre dernier, est de développer des techniques informatiques originales pour identifier les références olfactives dans les collections du patrimoine numérique européen de 1600-1920. A travers un vaste repérage de ses données historiques de texte et d’image, il s’agit d’élaborer une encyclopédie des odeurs, de recréer celles qu’on trouvait en Europe du XVIeau XXe siècle et de mettre à jour un usage critique d’un sens négligé jusqu’à présent. Cela permettra aussi de monter des expositions qui favoriseront chez le visiteur « une entrée sensorielle dans l’histoire ». Ce fut déjà le cas en France pour Osiris, mystères engloutis d’Egypte (Ima, 2016) et Parfums de Chine (musée Cernushi, 2028).
Si on distingue bien quelques historiens de l’art, des émotions et des sensibilités ainsi que des chimistes dans ses équipes constituées aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, en Slovénie, en Italie et en France (à Sophia-Antipolis, la plus importante technopole d’Europe située à une vingtaine de kms de Nice), la plupart de leurs chercheurs sont des spécialistes en informatique, intelligence artificielle, sémantique du web et humanités digitales. On saura alors ce que sentaient les sels proposés aux dames évanouies, les plats cuisinés dans différentes traditions, l’arôme des herbes qui protégeaient contre la peste ou les tabacs consommés par les messieurs selon les pays et les époques- ce dernier exemple étant particulièrement mis en avant tant il est relié à l’histoire du commerce, de la colonisation, de la santé et des sociabilités.
Les initiateurs de ce projet européen rêvent même d’identifier les odeurs des chevaux, de la poudre, du sang et de la sueur à la bataille de Waterloo ! Cela parait irréel et pourtant Caro Verbeek, membre de l’équipe néerlandaise, en a d’ores et déjà exposé une première reconstitution au Rijksmuseum d’Amsterdam. Odeuropa dispose d’un budget de 2,8 millions d’euros alloué par l’Union européenne pour les trois années à venir. Une somme et un engagement dont on comprend qu’ils fassent rêver une franc-tireur qui a toujours travaillé en solitaire même si in situ il lui arrive de se joindre à des équipes d’archéologues et d’historiens également soucieux de l’héritage olfactif européen.
Comment les odeurs ont elles été perçues, interprétées, utilisées dans le passé, étant entendu que les paysages olfactifs de même que les manières de sentir ont évolué avec les sensibilités ? Odeuropa et Sisell Tollas finiront bien par s’entendre. Elle est au parfum puisqu’elle travaille sur la question depuis un quart de siècle ; sa formidable base de données répliquant celles que produisent notamment la peur, l’angoisse, la frustration sans oublier la plus actuelle des émotions : l’incertitude née des effets de la Covid-19 sur les esprits. Toutes ces odeurs enregistrées, elle les conserve dans un but patrimonial dans son laboratoire berlinois. Une démarche à laquelle la crise sanitaire donne une actualité inattendue, la perte de l’odorat ou anosmie étant considérée comme un symptôme sérieux (c’est signe que ça sent le sapin…).
(« Prof. Matija Strlic humant un très anciens livre d’histoire aux Archives nationales des Pays-Bas » photo Matija Strlic ; « Sissel Tolaas dans son laboratoire à Berlin » photo D.R.)
1 265 Réponses pour Bientôt une encyclopédie historique des odeurs
vous savez que vous n’êtes obligé de parler de ce dont parle passou.
parce que là ça penser à des petits chiens qui courent derrière une baballe.
les gantiers vont véritablement devenir, au début du xviie siècle, les ancêtres des parfumeurs actuels. La parfumerie était jusque-là une activité éclatée qu’ils se disputaient avec les apothicaires, épiciers et merciers. En janvier 1614, des lettres patentes octroient aux gantiers « permission de se nommer et qualifier tant maistres Gantiers que Parfumeurs » (Statuts de la communauté des marchands Gantiers-Poudriers-Parfumeurs… 1772 : 5). Devenir maître gantier-parfumeur et avoir une boutique nécessite quatre ans d’apprentissage chez un maître déjà établi, suivis de trois ans de compagnonnage. Tout aspirant à la maîtrise doit, en présence des quatre jurés, réaliser un « chef-d’œuvre » qui consiste à « tailler et couper bien et dûment » plusieurs pièces d’ouvrages.
vous n’êtes obligéS – pardon.
« La parfumerie était jusque-là une activité éclatée qu’ils se disputaient avec les apothicaires, épiciers et merciers. »
ça c’est un article qui manque dans Bouvard et Pecuchet.
en fait vous pourriez le réécrire.
*il en avait un brin marre du ridicule pseudo de jean-jacques-voilà du bourdin, cl… et puis depuis que jmb keupu a repris du service, tout rentre en ordre… On attend puq’ Wgg, cricristh, 75d & 57t…
***ce soir le drapeau gros comme un stade de foute, flotte pas sur la tour… la horde a fermé ses contrevents…
Le commence mal…, pour le duel AH/EM = 2024 !
Bouvard et Pecuchet est probablement le livre à l’idéologie la plus terrifiante écrite au 19è siècle. en fait c’est un livre anti-Lumière, comme il dit l’autre historien dont parle toujours passou. un livre anti Lumière et un pamphlet écrit contre les encyclopédistes : Diderot, Condorcet et toute la bande. Et aussi une haine contre l’école, l’éducation, pour ça qu’il a écrit à Sand que seuls les riches devraient aller à l’école. Et aussi un pamphlet écrit contre l’humanisme, c’est pour ça qu’ils redeviennent copistes.
c’est juste un livre terrifiant écrit par un type qui a loupé ses études.
sûr que Flaubert aurait réussi ses études de médecine il se serait pas rabattu sur l’art. Le problème est que les médecins peuvent sauver la vie d’un écrivain mais jamais l’inverse, du coup il avait les boules, Bouvard et Pecuchet est un pamphlet par un type qui a les boules d’avoir loupé sa première année de médecine, un peu comme Hitler avec la peinture.
3j ? bonjour vous !
Oufl… le retour de flaubert va nous changer un brin du départ de céline. Caisse qu’on bouffe ce soir ? Pour saluer HA … (Anne Hidalgo ?)
https://www.youtube.com/watch?v=4GueQZ0w4Lc
greubou est revenu ? génial ! et mon pedro aussi ?
ça parle plus musique sur ce blog depuis que pedro est parti, du coup c’est un peu triste parce qu’il manque l’odeur de la musique.
mais je m’en vais corriger ça !
en commençant par un concerto de Beethoven interprété par un immense violoniste que tout le monde reconnaitra :
https://www.youtube.com/watch?v=HRZ-1LVa4Fo
à 2mn35 on entend l’odeur de la mort…
et pour les admirateurs de l’immense Maurice André je vous laisse savourer l’aisance à 2mn13 de l’ami Maurice du temps où il était encore sergent chef dans les unités spéciales des Marines de la maison blanche :
la plus épouvantable interprétation de « everybody hurts » qui n’a d’intérêt que le décolleté de la chanteuse : à 2mm25 on aperçoit même l’odeur d’un petit téton…
difficile de faire le pedro sans un chalou.
3j vous voulez pas faire mon chalou ?
bonsoir dexter-ham’lette…, pour moi 3J, c l’heure, c line… !
@ Tishka, Ma berceuse furtive :
Bonne nuit, maman’doline
toute ronde et toute câline
quand tu joues en sourdine
Bonne nuit maman’dibule
j’adore quand ta bouche
m’embrasse et fait des bulles
Bonne nuit maman’dragore
qui fleurit en silence
car le silence est d’or
Bonne nuit manan’gouste
laisse moi rêver maintenant
fais moi un bisou et, ouste !
Bloom, il manque un aspect majeur à l’abjection de ces manifestants antivax qui assimilent leur cas au port de l’étoile jaune : leurs alliances politiques d’extrême-droite et sensibilités trumpiste (tous ne se sentent évidemment pas concernés par le sort de Jérusalem) – une funeste alliance de la carpe et du lapin, où chacun croit trouver son intérêt et des moyens d’anéantir son adversaire imaginaire ; l’odeur du présent. Et vous voudriez, par surcroît, priver nos élèves de première de la lecture du Voyage ?
https://twitter.com/GWGoldnadel?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor
https://twitter.com/GWGoldnadel?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor
J J-J, vous êtes, parfois, suffisant et insuffisant ; lourd et léger, voyez-vous
https://www.dailymotion.com/video/xlwbf4
L’odeur du néant c’est le vide sans ardeur.
Lundi 9 aout 2021, 5h19, 21°, petite brise de nord-ouest
EVENEMENTS
Un évènement déplorable : l’instauration du flicage généralisé pour s’opposer, vainement, à la mort pandémique ce qui est impossible, même pour un énarque ta mère, un peu paumé.
Un évènement heureux : le retour de l’ami Dexter, un bon à rien qui nous manquait.
HISTOIRES
Nous avons connu, Dexter et moi, la Maternelle créée par le Professeur Assouline après WWII dans le but de donner aux adolescents le goût de la dissection littéraire et qui est devenu cet EHPAD que nous visitons sans pass sanitaire depuis des lustres. Lieu où l’odeur est supportable en se bouchant la narine…
Nos vies ? riches !
Notre œuvre ? nulle !
MISE A JOUR
Le slogan de notre République a changé :
Impossibilité Inégalité Imbécilité
Bon courage, chers petits choux !
Bloom,
« (Remember Polly…) »
I do, Bloom. I do.
…lundi 09 Août à 08 h 40 min.
…
…il y a longtemps que je t’aime, jamais , je ne t’oublierais,…à me faire la peau, à la foie démocratique & avec lois adaptées,!…
…etc,…
https://www.franceculture.fr/emissions/grande-traversee-docteur-semmelweis/1-le-mystere
On causait de Céline, pardon JJJ, on cause odeurs, à la croisée des deux, l’hygiène selon Semmelweis, sur Fce Cult
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La bonne odeur de cire
Manifestations
Publié le 07/05/1999 à 00:00
Demain à 11 heures, sera inauguré, à Eauze, le Salon des antiquaires spécialisé dans les mobiliers d’époque. C’est aussi le temps de la Foire aux armagnacs.
A Eauze, le mois de mai est le point culminant de l’année. La grande semaine… avec le salon des antiquaires, la foire aux grandes eaux-de-vie d’armagnac et un salon de peinture.
Tout commence demain avec la 22e-édition d’une
Les meubles sont une des spécificités du salon d’Eauze.
Partout flotte cette bonne odeur de cire, ces encaustiques d’autrefois qui parfumaient les maisons de nos grands-mères.
la première personne qui me dit vouloir travailler sur les odeurs est une femme italienne ,veuve d’un prof de philo et qui était quant à elle surtout branchée sur le psy;
» Pourquoi a-t-on prêté si peu d’attention à l’exploitation des « pouvoirs de l’odeur » (A. Le Guérer, 2002) dans les explorations psychiatriques du passé individuel des patients ? Le livre de Chandler Burr, L’homme qui entend les parfums (2004), relate l’aptitude extraordinaire que possède Luca Turin, un individu qui aurait « le nez absolu » pour analyser et décrire les parfums. En parcourant ce livre, on est amené à se demander : qu’advient-il de notre odorat, pour nous autres, individus dont les sensibilités olfactives ne sont pas aussi parfaitement raffinées que les siennes ? Et où, voire jusqu’où, l’odorat peut-il nous mener ? Enfin, professionnellement, en ma qualité de médecin, comment puis-je exploiter l’odorat pour aider mes patients à mieux se connaître eux-mêmes à travers la découverte de leur passé ?
3Les psychanalystes explorent les émotions, les comportements et les pensées au niveau humain en termes de processus mentaux conscients ou inconscients. Au centre de chacune de leur démarche se trouve une entreprise de dévoilement et de reconsidération des expériences du passé et des souvenirs puissants de l’enfance.
https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2006-3-page-791.htm
« Quand revient le calme », vraiment excellente série danoise sur arte.tv. Des hautes sphères de la politique aux « cités » où vivent les populations venues d’ailleurs, via les Epad, les salles de concert, la place des Groenlandais/Inuits, homosexualité masculine & féminine…Radiographie brillante d’une société, fine étude des sensibilités et émotions.
10 épisodes à déguster. Sont très forts en structure & contenu, nos amis Vikings. Excellente acteurs/trices au surplus.
Voir également le documentaire sur Gerry Conlon, dont Sorj parle très justement dans le dernier Canard.
Phyllis Greenacre (1969) a également attiré l’attention sur leurs conditions olfactives préalables : « L’individualité de l’odeur (ou d’un mélange d’odeurs) semble particulièrement importante. De nombreux nouveau-nés refuseront un objet de prédilection s’il a été lavé et ils ne seront satisfaits que lorsqu’il aura retrouvé son odeur familière… L’importance de l’odeur dépend en grande partie du fait qu’elle ajoute un lien primordial et intangible entre le nouveau-né et le sein, en ce sens qu’elle est habituellement composée d’odeurs corporelles venant de ces deux sources. Mais, plus encore, elle est biologiquement fondée sur l’importance générale des odeurs dans les premiers mois de la vie… Cette aptitude à communier à travers les odeurs (…) est plus tard externalisée et étendue au monde extérieur, pour y inclure une plus grande concentration sur les sensations transportées par l’air ambiant. »
C’est souvent après la tétée que le bébé rejette du lait par la bouche. Cela ressemble à du lait caillé avec une odeur caractéristique et se produit souvent lors d’un rot sans que cela perturbe le nourrisson. Il est toujours préférable de mettre un linge pour se protéger quand l’enfant a fini sa tétée pour éviter les tâches sur les vêtements. Il est habituel pour un bébé d’avoir de telles régurgitations physiologiques qui vont disparaître progressivement jusqu’à l’âge d’un an et ne nécessitent aucun traitement. Si les régurgitations sont très fréquentes et se produisent loin de la tétée, l’enfant peut souffrir d’un reflux gastro-œsophagien. Dans ce cas, il faut consulter un médecin ou un pédiatre.
https://www.sciencesetavenir.fr/sante-maladie/regurgitations-du-nourrisson-que-faire_104552
freud:
« Pour parler franchement, la mémoire répand maintenant la même odeur puante qu’un objet véritable. Tout comme nous éloignons notre organe des sens (la tête et le nez) d’objets puants, le préconscient et notre appréhension consciente s’éloignent de la mémoire. C’est ce que nous appelons la répression » (J. Masson, 1985).
@ « lourd et léger, voyez-vous »… Bien vu anéfé, j’aurions plutôt dit l’inverse, mais c’est déjà pas mal… Pour vous, ché pas, j’dirions : « toujours lourd » ou bien l’inverse…, J’ laisserions le choix à l’herdélie…
@ Ne nous excusons jamais d’encore évoquer Céline sur cette chaîne, voyh’ons donc ! C’est un bon filon, françois… De la haute littérature qui nous change de celle des années 2020.
@ 15 août 1970…, une odeur de craquement brûlé :
https://www.youtube.com/watch?v=L4qISlG9T8g
pour le bourdon du matin… Il va se passer quelque chose.
Bàv,
et pour les admirateurs de l’immense Maurice André je vous laisse savourer l’aisance à 2mn13 de l’ami Maurice du temps où il était encore sergent chef dans les unités spéciales des Marines de la maison blanche :
L’erreur terrible de Georges Martin de n’avoir pas inclus Penny Lane et Strawberry Fields Forever dans l’album Sergent Pepper
Sécher son linge à Paris
J’ai la chance d’habiter en province. Le linge lavé et essoré peut être étendu sur deux cordes et tenu avec des pinces à linge sur un balcon de dix mètres donnant sur la cour face aux garages de l’immeuble.
Comment font les Parisiens ? Peuvent-ils étendre leur linge sur leurs balcons avec des pinces à linge ? Le mettent-ils à sécher sur leurs radiateurs l’hiver , puis sur un fil en salle de bains l’été ?
Dans les très petits logements (où l’on doit habiter vu les prix), cela doit être plein de linge à sécher !
mais non, on fait depuis longtemps des sèche linges;déjà autrefois au plafond; aujourd’hui sur la baignoire!
linge étendoirs (on connaît la machine)
https://lajoliemaison.fr/comparatif/le-meilleur-etendoir-linge-de-plafond/
A Paris la quasi-totalité des copropriétés et bailleurs interdisent le séchage du linge visible depuis les balcons / fenêtres.
@ B,
Je pense que vous avez vu passer cela, rudement intéressant pour faire avancer de manière un brin constructive le conflit politique et société dans lequel nous sommes embourbés en ce moment, à propos de la pharmacovigilance…
C’est une synthèse « engagée » d’un médecin éclairé qui ne s’en laisse pas accroire par les sociologues et les journalistes anti ou provaxx…
Pourmapar, j’espère qu’il me permettra d’avancer dans le « dialogue » avec Betty.
https://blogs.mediapart.fr/frederick-stambach/blog/070821/mortalite-supposee-des-vaccins-et-perspectives-pour-en-sortir
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Mortalité supposée des vaccins et perspectives pour en sortir
Suite aux polémiques sur les réseaux sociaux et en guise de complément au très bon article de synthèse de Rozenn Le Saint sur Médiapart, je propose dans ce billet de préciser quelques points techniques sur les vaccins en revenant sur les problématiques soulevées par Laurent Mucchielli et de proposer une perspective pour 2022: un pôle socialisé du médicament.
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Tout d’abord, il faut bien comprendre que les médecins ont besoin d’informations scientifiques fiables pour pouvoir prescrire. Ces informations émanent des revues scientifiques à comité de lecture de références (le Lancet, le British Medical Journal, le New England Journal of Medicine pour les plus influentes). Le fait que les articles de ces revues soient soumis à une « relecture par les pairs » est primordial et consiste à faire relire les publications par de nombreux scientifiques spécialistes des sujets traités dans la publication, ou connaissant bien la méthodologie des essais cliniques. Cette méthode n’est pas parfaite, aucune ne l’est, nous en avons eu une illustration récente avec le Lancet1, mais elle reste actuellement la plus performante scientifiquement ce qui nous permet d’avoir des données dites « dures ». Les relectures évitent normalement les grosses erreurs méthodologiques et d’interprétation, ce qui explique qu’un billet de blog, un article de journal, une tribune ou un tweet (même lorsque ces publications sont écrites par des scientifiques de renom) n’ont pas la même valeur scientifique qu’un article de revue à comité de lecture. Par exemple, une relecture attentive aurait sans doute évité les erreurs factuelles contenues dans le récent billet de blog de Laurent Mucchielli (dépublié par Médiapart et republié dans la foulée par d’autres sites), sur lesquelles nous reviendrons. Le prestige du poste de l’auteur principal (directeur de recherches au CNRS, promu rapidement en « directeur du CNRS » tout court dans certaines publications anti-vaccins pour augmenter la crédibilité de ses dires) a ainsi induit en erreur les réseaux sociaux, trop heureux de s’en emparer.
Je précise que je suis Médecin généraliste et responsable médical d’un centre de vaccination rural. Je suis donc impliqué personnellement dans la campagne vaccinale bien que, et il me paraît important de le préciser, je sois totalement opposé à la politique menée par Emmanuel Macron (et son gouvernement fantoche) dans absolument tous les domaines et en particulier sur le plan sanitaire2. Je n’ai aucun lien d’intérêt avec aucun laboratoire dont je n’ai jamais reçu les visiteurs médicaux, trop conscient de leur influence. Je ne suis pas dupe non plus des intérêts financiers colossaux que représentent ces vaccins et les firmes pharmaceutiques ne sont pas des philanthropes, il y a donc des raisons de s’en méfier. Je ne suis pas pharmacologue mais mon sujet de thèse était un sujet de pharmacovigilance, c’est donc un domaine que je connais un peu. La pharmacologie est une science « froide » reposant en partie sur la statistique pour établir la fameuse balance bénéfices/risques sur des bases collectives, avec un raisonnement différent du cas clinique individuel du médecin dans son cabinet.
Le billet qui va suivre n’est donc certainement pas un soutien au marché du médicament tel qu’il fonctionne, encore moins à ce gouvernement en perdition et son lamentable « passe sanitaire » malheureusement entériné par le conseil constitutionnel.
1- Sur la rapidité de la mise au point des vaccins
C’est une interrogation récurrente et légitime. En plus des explications données par Rozenn Le Saint (une technologie mûre, investissement financier massif des pouvoirs publics), un troisième facteur prépondérant explique la rapidité de la mise au point : il s’agit du facteur pandémique. Prenons l’exemple d’un nouveau vaccin en phase 3, par exemple contre la rougeole. Il faut inclure un nombre suffisant de patients (plusieurs milliers), créer un groupe de patients vaccinés et le comparer à un groupe témoin (qui recevra l’injection d’un placebo). Il faut ensuite attendre qu’il y ait eu suffisamment de contact avec le virus étudié dans les deux groupes pour pouvoir conclure à une efficacité du vaccin étudié ou pas, ce qui dure généralement entre 2 à 5 ans en période « normale ». En période de pandémie c’est différent, par définition le virus circule partout, donc il suffit de suivre les groupes quelques mois seulement pour qu’il y ait eu suffisamment de patients en contact avec le virus dans les 2 groupes et obtenir des résultats statistiquement significatifs. C’est ce qui explique une bonne partie de la rapidité de la mise sur le marché, les procédures administratives accélérées étant pleinement justifiée car si elles ne sont pas mobilisées dans le cadre d’une pandémie mondiale, autant dire qu’elles ne le seront jamais.
2- Sur la mortalité supposée : retour sur le billet de Laurent Mucchielli et sur l’oubli du biais de sur-déclaration
Alimentées par le billet de blog mentionné ci-dessus, des rumeurs de mortalité excessive du vaccin circulent, renforcées par la publication hebdomadaire de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) des données brutes de pharmacovigilance. Cette publication est une excellente chose mais les questions de pharmacovigilance sont très complexes. Ces données doivent être analysées avec beaucoup de prudence et surtout de maîtrise, sans oublier que la pharmacologie est une spécialité médicale à part entière. Il faut donc savoir faire preuve d’humilité lorsque l’on exploite des données brutes. De plus, le billet est une parfaite illustration du biais de confirmation (qui consiste à sélectionner et analyser uniquement les informations allant dans le sens de ses propres pré-supposés) ce qui, venant d’un sociologue tel que Laurent Mucchielli (dont j’apprécie les travaux sociologiques par ailleurs) n’est pas le moindre des paradoxes. Ceci étant écrit, l’erreur des auteurs est double.
– La première et la plus surprenante consiste à considérer les cas déclarés aux centres de pharmacovigilance comme imputables directement aux vaccins. C’est surprenant car dès le début du billet, il est bien précisé que les effets indésirables déclarés ne peuvent être considérés comme relevant du médicament, il s’agit d’une imputabilité présumée qu’une enquête statistique et parfois une autopsie dans le cas de décès viendront compléter. Pourtant, dans la suite, tout se passe comme si les déclarations de décès pouvaient être imputés directement aux vaccins, ce qui est contraire à la pharmacovigilance et totalement assumé par les auteurs qui se tirent une première balle dans le pied en rendant leurs conclusions caduques: « il est bien clair que tout ce qu’on va lire par la suite relève d’une présomption de causalité. » Cela abouti à l’énormité d’additionner tous les cas de décès déclarés et de conclure que 1500 personnes seraient mortes des suites des vaccins anti-COVID, accusation gravissime si elle n’est pas étayée correctement et sur laquelle se sont jetés les anti-vaccins, trop heureux qu’un « chercheur » vienne confirmer leurs présupposés. Prenons un exemple caricatural pour bien comprendre la complexité de la pharmacovigilance : un homme de 65ans obèse, diabétique, hypertendu et fumeur décède d’un infarctus du myocarde 5 jours après son vaccin Pfizer. Autrement dit, il s’agit d’un patient à très haut risque de faire un infarctus et qui en fait un. Le délai est compatible avec une imputabilité du vaccin, le médecin fera donc une déclaration à son centre de pharmacovigilance régional. Mais ensuite, comment démêler le risque personnel intrinsèque du patient avant le vaccin (très élevé) et le rôle que ce dernier aurait pu jouer dans la survenue du décès (en sachant qu’il y a environ 80 000 infarctus du myocarde par an en France) ?
C’est ici que la statistique rentre en jeu. Dans le cadre d’une vaccination de masse inédite telle que nous la vivons, si les vaccins entraînaient une augmentation de mortalité, statistiquement cela finirait par se voir, sauf à considérer que tous les services de pharmacovigilance de France, d’Europe, du Japon, des USA, etc, sont incompétents ou dans le « déni » comme le pensent les auteurs. En réalité, il est très important qu’il y ait des déclarations de pharmacovigilance car c’est ensuite grâce à elles qu’un lien de corrélation statistique peut être établi (ou pas) par la pharmacovigilance entre une surmortalité et les déclarations de décès liés aux vaccins (le raisonnement est identique pour les effets indésirables graves, pour simplifier j’ai pris ici l’exemple de la mortalité). C’est d’ailleurs ce qu’il s’est passé pour le vaccin Astrazenecca, car les décès ont concerné des jeunes patients en bonne santé par thrombo-phlébites cérébrales ou embolies pulmonaires, ce qui est très rare dans cette tranche d’âge. Le système de pharmacovigilance européen a fonctionné. Comme mentionné plus haut, c’est plus complexe (mais pas impossible) pour les patients âgés ou avec des pathologies chroniques. Il y a environ 600 000 décès par an en France, soit une moyenne de plus de 1600 décès par jour, proportionnellement il s’agit surtout de patients âgés et/ou souffrant de pathologies chroniques, donc plutôt les patients fragiles. Et c’est précisément cette partie de la population que nous avons vacciné en premier, il est donc obligatoire qu’il y ait des coïncidences statistiques entre décès et injection de vaccin. Des patients mourront le lendemain, le surlendemain mais également la veille ou l’avant-veille de l’injection, il n’est donc pas sérieux de l’attribuer directement au vaccin. Il n’est pas sérieux non plus de dédouaner automatiquement le vaccin. Contrairement aux « jeunes » où l’anomalie statistique se voit très rapidement, pour la partie de la population fragile il faudra une masse statistique plus importante pour qu’une surmortalité éventuelle se voit. Donc il n’y a pas de déni, c’est simplement que pour le moment il n’y a pas de signal statistique inquiétant, notamment aucun décès n’a pu être imputé directement au vaccin Pfizer ou Moderna après des mois d’utilisation et des centaines de millions de doses injectées3. De plus, j’ajoute que les services de pharmacovigilance sont extrêmement vigilants autour de ces vaccins et que le billet de Laurent Mucchielli est une insulte à leur travail.
– La seconde erreur ne peut se voir que sur le terrain. Comme les auteurs l’écrivent « il se passe bel et bien quelque chose d’inédit pour ces vaccins génétiques anti-covid. » Mais pas du tout ce qu’ils croient (à savoir une mortalité inédite qu’eux seuls auraient vue), ce qu’il se passe d’inédit, c’est que les médecins et les patients déclarent massivement leurs suspicions d’effets indésirables. Et cela est une très bonne nouvelle.
Là encore, les auteurs le disent eux-mêmes et se tirent une deuxième balle dans le pied dès le début de leur billet: habituellement l’immense majorité des effets indésirables ne sont pas déclarés dans les pays occidentaux. Je suis bien placé pour le savoir puisque j’ai co-écrit un article scientifique sur le sujet4. En moyenne, entre 5 à 10 % des effets indésirables seulement sont déclarés (patients et médecins confondus), donc 90 à 95 % ne le sont pas…Et c’est là que, sur le terrain, on se rend compte qu’avec ces vaccins, la surinformation et la focalisation extrême qu’ils entraînent, il y a eu un véritable changement de paradigme, notamment chez les généralistes (il faut noter que contrairement à ce qui est sous-entendu dans le billet le fait que la déclaration soit réalisée par un médecin n’en fait pas pour autant une preuve d’imputabilité directe). Actuellement le moindre symptôme sérieux survenant dans les jours ou semaines suivant l’injection d’un des vaccins anti-covid est déclaré au centre de pharmacovigilance. C’est une bonne chose et j’y participe allègrement. Comme je l’ai expliqué ci-dessus c’est la seule solution pour faire émerger une anomalie statistique: déclarer les effets indésirables (supposés j’insiste) et faire remonter les informations au centre de pharmacovigilance qui seul sera capable de faire un lien statistique de causalité (ou pas) entre un effet indésirable et une molécule mais à condition qu’il y ait suffisamment de déclarations. Et c’est cela qui est inédit car d’habitude ce travail est insuffisamment fait (et je m’inclus dans ces insuffisances bien que sensibilisé au problème). Prenons un exemple, un patient de 80 ans décède brutalement d’une embolie pulmonaire 15 jours après son rappel du tétanos ou 15 jours après son vaccin pour la grippe. Quel médecin aurait pensé à poser la question avant la pandémie ? Réponse : probablement aucun, moi y compris. Or, avec les vaccins anti-covid la déclaration sera faite à coup sûr, de même si un patient a mal au genou 15 jours après le vaccin anti-covid une déclaration sera sûrement faite. Je force un peu le trait mais c’est pour expliquer qu’il est absurde et faux de comparer le nombre d’effets indésirables déclarés des autres vaccins avec ceux déclarés pour les vaccins anti-covid car il y a un biais énorme de sur-déclaration en faveur de ces derniers (et encore une fois c’est très bien ainsi). De plus, le contexte de vaccination de masse sur une période aussi courte (43 millions rien qu’en France) aboutit mathématiquement à « concentrer » et faire apparaître les effets indésirables rares et/ou graves, augmentant le nombre de déclarations.
3- Perspectives pour sortir des polémiques: un pôle socialisé du médicament
La problématique soulevée au début de ce billet, à savoir la nécessité pour les prescripteurs d’avoir accès à des données dures issues des revues à comité de lecture, ne doit pas faire oublier que ces mêmes articles sont malheureusement issus d’une recherche quasi-exclusivement financée par les laboratoires pharmaceutiques. Or, ces laboratoires sont des immenses trans-nationales parmi les plus profitables au monde, dotés d’une puissance financière et donc d’un pouvoir de nuisance très élevé sur les états5. Ils se débattent sur les marchés financiers, où leurs enjeux vitaux sont engagés et dans ces cas-là nous savons que « tous les coups sont permis », jusqu’au trucage des données comme l’ont montré certains scandales sanitaires (le VIOXX par exemple6). Il n’y a pas de complot véritable mais des contraintes structurelles très fortes: libre-échange, concurrence sauvage sur les marchés financiers, sous-traitance, pression par la valeur actionnariale, en un mot l’ensemble des contraintes que le capitalisme néolibéral a mis en place et gravé dans le marbre des traités européens. Ils ont également investi les sociétés savantes et ciblent les « leaders d’opinion » ce qui fait que les chercheurs ont bien souvent de multiples conflits d’intérêts avec ces firmes. Le médicament est une marchandise comme une autre pour ces mastodontes, il est donc légitime de se méfier des informations et des données qu’ils publient, même si les agences du médicament ont développé au fil des scandales des méthodes de vérifications des essais cliniques assez drastiques (notamment la FDA américaine). Il n’en reste pas moins que les laboratoires sont juges et parties, que les données scientifiques disponibles sont des données filtrées par les firmes, et que nous n’avons pas accès aux données brutes (considérées comme du « secret industriel ») ce qui est une revendication de longue date, par exemple du FORMINDEP7. Tout cela légitime une certaine méfiance dirons-nous, et c’est bien elle qui est à l’origine de nombreux refus d’être vaccinés (auxquels il faut ajouter la perte totale de crédibilité du gouvernement et des institutions en général, justifiée d’ailleurs, mais là n’est pas l’objet de ce billet). La crainte de falsification à des fins commerciales est difficile à calmer, probablement parce qu’elle est en partie fondée, mais il faut bien comprendre que tous les médicaments actuels sont passés par la même méthode de validation scientifique que les vaccins anti-covid. D’une certaine manière, si l’on rejette ces vaccins pour cette raison alors nous sombrons en plein relativisme et tout ce qui est inscrit dans la pharmacopée française tombe sous le coup de la même suspicion et devient imprescriptible. Ce qui n’est pas sans poser problème. Dans le cas des vaccins anti-covid, ce pari serait très risqué pour les laboratoires (et les pouvoirs publics qui auraient cautionné une telle fraude) car avec l’ampleur de la vaccination (mondiale) et les milliards de doses injectées, une falsification des essais se verrait de façon certaine. Les arguments donnés dans ce billet montrent que les essais cliniques des grandes firmes ont été réalisés très rigoureusement malgré les contraintes socio-économiques évoquées.
Cependant, cela ne suffit pas à lever la méfiance envers le marché actuel du médicament et il existe une colère diffuse dans la population, en partie implicite, devant ce que l’on pourrait appeler très justement une prise d’otage de notre santé par ces grands groupes pharmaceutiques, puisque nous n’avons aucune production alternative qui serait sous un autre contrôle que celui exercé par les marchés financiers.
La solution la plus cohérente pour sortir de cette situation et redonner ainsi confiance en matière de produits pharmaceutiques, consisterait à déconnecter les médicaments du « marché ». Il ne suffit pas d’admettre officiellement que les médicaments ne sont pas une marchandise en demandant la levée des brevets. En mode de production capitaliste, pour briser les processus de marché il faut créer une entité capable d’effectuer toute la chaîne de production, de la recherche à la commercialisation qui soit sous le contrôle et le financement de la collectivité dans son ensemble et donc sortie des logiques mortifères de marché. C’est l’enjeu de notre proposition de création d’un pôle socialisé du médicament avec mon ami praticien hospitalier Julien Vernaudon qui fera l’objet d’une publication dans la revue Pratiques – les cahiers de la médecine utopique à paraître la semaine prochaine et qui sera en accès libre8. En deux mots, il s’agit d’utiliser le même procédé que celui qui a prévalu à la création de la sécurité sociale : le pôle socialisé du médicament doit être financé par la cotisation (comme l’ont été les CHU par exemple), et sa gouvernance doit être décentralisée au maximum à l’instar des caisses départementales de la sécurité sociale. Ainsi, c’est une proposition qui va dans le sens du pôle public du médicament mais en allant un cran au dessus dans la socialisation, en particulier pour se protéger d’une privatisation ultérieure, pour mettre sous le contrôle collectif citoyen un outil de production et de recherche dans le droit fil de la république sociale de Jaurès. Car nous pouvons constater que l’édifice qui a le mieux survécu aux politiques néolibérales depuis 40 ans, c’est bien la sécurité sociale, parce que son logiciel intrinsèque est en réalité anti-capitaliste, donc communiste au sens de Frédéric Lordon9. C’est un « déjà-là » intégré à notre société, qui fonctionne massivement (500 milliards d’euros pour la seule sécurité sociale) et qu’il « suffirait » d’étendre, nous savons faire et l’avons déjà fait par le passé. Cela permettrait de briser les logiques de défiance, légitime dans le contexte, qui ne feront que se renforcer à mesure que la coercition se renforcera.
Nous savons depuis Machiavel que l’art de gouverner est d’arriver à orienter la colère vers des causes accessoires. Or, plutôt que de l’alimenter par des informations erronées, il paraît plus judicieux d’essayer d’orienter cette saine colère en l’imbibant de propositions constructives tant il a été criant qu’un tel pôle socialisé du médicament a manqué pendant les phases passées et futures de cette pandémie. Nous devons également garder à l’esprit que nous entrons dans une nouvelle ère qui sera faite de pandémies récurrentes10 . Le gouvernement actuel a montré son incapacité complète en la matière, nous avons intérêt à nous y préparer autrement dès 2022.
Notes :
1- https://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/040620/hydroxychloroquine-3-des-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent-lancet
2- Voir par exemple, F.Stambach, J.Vernaudon, F.Pierru, Politique de vaccination: l’inversion des priorités?, LVSL 4 février 2021
3- comme le confirme la dernière publication de la revue indépendante Prescrire
4- P.Nicot, J.Doubovetzky, F.Stambach. La pharmacovigilance : une mission indispensable des médecins de terrain, Médecine thérapeutique 2015
5- Olivier Maguet, L’affaire Solvadi: la santé hors de prix, Raisons d’agir 2020
6- https://fr.wikipedia.org/wiki/Rofécoxib
7- Le collectif Formindep « pour une formation médicale indépendante au service des seuls professionnels de santé et des patients » a été lancé en mars 2004, https://formindep.fr/
8- F. Stambach, J. Vernaudon, Pour un pôle socialisé du médicament, Pratiques – les cahiers de la médecine utopique, août 2021
9- Frédéric Lordon, Figures du communisme, La Fabrique 2021
10- Voir Benjamin Coriat, La pandémie, l’anthropocène et le bien commun, Les Liens qui libèrent 2020, dont les données ont été confirmées fin 2020 par le rapport de l’Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services
j’ai loué dans une copropriété où i y avait en sous sol une vaste pièce pour étendre le linge :on y faisait connaissance entre femmes(je n’y ai jamais vu d’hommes)et c’était très pratique
et puis ça fait de belles photos :
Le séchage sur corde à linge entre deux bâtiments dans quartier de Castello – Venise, Venezia, Italie, Europe – ID de l’image: CF3Y0E
https://www.alamyimages.fr/photo-image-le-sechage-sur-corde-a-linge-entre-deux-batiments-dans-quartier-de-castello-venise-venezia-italie-europe-43727614.html
L’odeur des larmes de Messi.
40M€ par an !
Qui dit mieux ?
moi personnellement je l’étends à un endroit de ma salle de bain et c’est sec en quelques heures, sauf peut-être l’été en cas de climat chaud / humide à l’extérieur.
enfin, on le tient, le syndrome de Proust!
« ). Cela tient notamment au fait que la mémoire olfactive enregistre en
même temps que le stimulus tout son contexte sensoriel et émotionnel, phénomène connu sous le nom
de syndrome de Proust. Plusieurs régions cérébrales qui participent au traitement du message olfactif
marquent l’odeur d’une valeur affective (Candau 2010a), réunissent diverses informations sensorielles
et jouent ainsi un rôle central pour la mise en mémoire de souvenirs qui ne sont jamais purement
olfactifs, ce que suggère fort bien leur expression en langue (Candau 2010b)
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01736668/document
s. Le parfum
Nahema, affirme son créateur Jean-Paul Guerlain, a été construit comme un morceau de musique, en
cherchant à recréer le rythme lancinant du Boléro de Ravel
Hier, au parc de Bercy, un jeune noir, probablement SDF, lavait consciencieusement son linge à la borne fontaine.
Il a ensuite roulé ses vêtements trempés et les a rangés dans un sac.
Je lui ai dit en passant qu’il allait falloir les étendre !
Plus loin dans le jardin, une jeune femme blanche assise sur un banc donnait le sein à son enfant.
on collectionne des miniatures de flacons de parfums;
Mesflacons.com ne propose que des produits pour collections, pour l’essentiel miniatures de parfum.
j’aime tellement le parfum qu’autrefois, à Paris il y avait une sortie de métro qui donnait sur une boutique sephora; c’est celle que je prenais et passais « tester »avec le carton adhoc des parfums; et parfois, je m’en vaporisais!
les vendeurs observaient; et savaient
Je ne sais comment sécher mon linge souillé par les régurgitations de BB. Je préfère avancer sur le dossier de la pharmacovigilance, d’ailleurs j’ai trouvé un papier intéressant pour B. à la plage.
Je me demande bien ce que vous pourrez en penser en tant qu’ex infirmière…
Prsonnellement je me sens censément quelque affinité avec la démarche de ce médecin sensé, apparemment éloigné des humbles et des pauvres…
https://blogs.mediapart.fr/frederick-stambach/blog/070821/mortalite-supposee-des-vaccins-et-perspectives-pour-en-sortir
Bien à vous, (9.8.21@10.39)
c’est une femme , »cousine » du côté de mon père , qui m’offrit ma première bouteille de parfum, un parfum que j’ai gardé longtemps; jusqu’au jour où mon ex-mari l’offrit à son assistante; j’en fus si contrariée que je changeai de parfum ;
cette cousine avait le même patronyme que nous et qui était une référence pour moi; sa fille a fait des études d’art et dans ce champ des traductions;
mon parfum relevait alors pour moi de mon identité
d’ailleurs pas que « mon » parfum; certains parfums
je me souviens d’une bibliothèque qui le vendredi commençait à sentir le poisson à 11h ; les bibliothécaires se cuisinaient leur repas dans un local adjacent: ça me dégoûtait; j’ai changé de planning
Fallait offrir les cigares de votre ex-mari à votre amant, et alii !
L’on voit quelquefois une espèce de colle de poisson nommée livre, parce qu’elle ressemble à l’extérieur à la couverture d’un livre, elle est faite de membranes grossieres & difficiles à manier.
d’ici, j’en redoute l’odeur
Vous vivez dangereusement dans les jardins de Mme Hidalgo, Jzmn !
J’ai pensé hier que votre guide du lézard bleu allait faire un carton dans trois ans pour les JO… Vous rapporter enfin le jackpot du pactole baroz, quoi !… Quel sens de l’à-propos, avez. Merci qui ?…
jusqu’au jour où mon ex-mari l’offrit à son assistante;
Voilà donc ce qui arrive lorsque l’on étale trop son linge?
Le goût de l’ Olympe, hic, à Paris.
Un futur best-seller pour vous Jazzi! 😉
Enfin nous parler de ces athlètes musculeux et rieurs, Jazzi!
il est difficile d’interdire à son mari l’entrée de la salle de bain commune, surtout lorsqu’on l’exhorte
à se doucher, ce qu’il déteste ;
les erdéliens redouteraient-ils le verbe cocotter?
on se demande pourquoi
@ mlsl, soy mdr…
– > non, elle étalage pas trop son linge en famille, racontpatavi, sauf à l’rdl… Vu qu’elle reste collée au sujet du jour proposé par passoul, voilà tout, faut pas croire…
(jepensevoilàdesaproblématiquejepense).
un autre sujet : félicitons le belle Océane de Cherbourg au handball, ce sport collectif qui sent si bon la startup France qui gagne :
https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/une-cherbourgeoise-en-equipe-de-france-de-handball_37780958.html
Cependant, une question est fréquemment posée : les haies brise-vent peuvent-elles atténuer les odeurs émanant des installations bovines et, si oui, comment? Même si les publications sur le sujet sont peu nombreuses et qu’elles relèvent de considérations théoriques, elles sont toutefois unanimes : les haies brise-vent peuvent réduire la dispersion des odeurs émanant des installations bovines.
Les odeurs sont généralement associées à des gaz légers, qui se dispersent sous l’action des vents dans l’atmosphère. Les haies brise-vent réduisent la vitesse du vent et, par conséquent, la vitesse de déplacement des odeurs. Les composés responsables des odeurs peuvent ainsi être dégradés avant d’atteindre les zones habitées. De plus, les végétaux agissent comme un filtre qui peut absorber une partie des odeurs.
https://www.agrireseau.net/bovinsboucherie/Documents/brisevent.htm
Mufle et sale, vous l’aviez trouvé dans quelle pochette-surprise votre ex-mari, et alii !
régine:
Régine « Patchouli Chinchilla »
https://www.google.com/search?q=patchouli+chanson&oq=patchouli+chanson&aqs=chrome.0.0i512j69i57j0i22i30l7.11505j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8https://www.google.com/search?
L’histoire du patchouli est faite de voyages. Originaire d’Indonésie et de Malaisie, le patchouli est une plante qui s’apparente à un arbuste d’un mètre de haut environ. Portée par une tige velue, cette plante est ornée de fleurs blanches aux nuances violettes. Elle possède également de grandes feuilles duveteuses qui ressemblent à celles de la menthe. Fraîche, la plante ne dégage presque pas d’odeur. Il faudra procéder au séchage de ses feuilles pour commencer à sentir son parfum si caractéristique. Le patchouli s’utilise à des fins médicinales, en cuisine et même en magie pour favoriser la réussite financière ou amoureuse ! Encore aujourd’hui, on le cultive en Indonésie mais aussi en Chine et aux Philippines.
De la feuille à l’essence
L’essence de patchouli est l’une des matières premières naturelles les plus utilisées en parfumerie avec les agrumes. Chaque année, la
Régine, de son vrai nom Régina Zylberberg, également connue sous son nom d’épouse Régine Choukroun, chanteuse française, née le 26 décembre 1929 à Anderlecht en Belgique. Elle a commencé par la boîte de nuit
c’est donc mon histoire belge
keupu ça sent comme pseudo, non ?
Lavande sentait aussi.
une vraie histoire belge :
Laurence Fanuel
Parfumeuse dans les grandes
maisons de parfumerie, Belge,
née en 1969
PhD Biochimie, plasticienne
olfactive, peintre,
comédienne
33, Rue Michelet 93100 Montreuil
P.Assouline,mettez vous à jour:
Fini le petit sapin dans la voiture! Créer votre sent bon avec le parfum de votre choix!
sur que ça plaira à rose:
https://www.trucsetbricolages.com/trucs-et-astuces/fini-le-petit-sapin-dans-la-voiture-creer-votre-sent-bon-avec-le-parfum-de-votre-choix
Dégager constamment une odeur de poisson pourri, c’est très invalidant. C’est le calvaire au quotidien de ceux qui souffrent de trimethyliaminurie. Nous en parlons avec le docteur Jean-Jacques Erbstein :
c’est putoyable, je dis bien putoyable
Fish-Odor Syndrome, syndrome de l’odeur du poisson pourri
https://www.francebleu.fr/emissions/conseil-sante-bien-etre/sud-lorraine/la-trimethyliaminurie-ou-le-syndrome-de-l-odeur-de-poisson-pourri
confirmation du message de BLOOM/
Dans le même temps, la préfecture de la Moselle a annoncé dans un communiqué l’ouverture d’une enquête par le parquet de Metz. Le préfet Laurent Touvet «condamne avec la plus grande fermeté ce message», a déclaré la préfecture. Interrogé par l’AFP, celui-ci a précisé qu’il s’agissait d’une enquête de flagrance confiée au commissariat de Metz.
Le vrai visage du fn
« Une ancienne cadre du Front National
Une photo diffusée sur les réseaux sociaux montrait en effet une jeune femme brandissant la pancarte incriminée sur laquelle sont inscrits les noms de plusieurs responsables politiques, hommes d’affaires et intellectuels, dont certains sont juifs. »
la personne tenant cette pancarte serait Cassandre Fristot, enseignante, et a été cadre du Front National avant de quitter le parti en 2013. Conseillère municipale de la commune de Moselle de Hombourg-Haut entre 2014 et 2020, cette personne s’était présentée aux municipales de 2020 sous les couleurs du Parti de la France, fondé par d’anciens frontistes.
bloom a oublié aussi de signaler l’ancien bidasse delawarde, a l’origine de ce ces pancartes.
Ne plus se demander « qui » ils sont
Sur cette question, la voie de la sagesse
https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/07/11/serge-et-arno-klarsfeld-les-juifs-doivent-se-tenir-a-l-ecart-de-l-extreme-droite_6087916_3232.html
les odeurs émanant des installations bovines
Rien ne vaut les pets de canards gavés!
Rien d’etonnant à cette pancarte
Les manifestants de ces jours-ci venaient d’horizons divers et etaient porteurs de revendications hétéroclites .
l’antisemitisme , dans un rôle qu’il a souvent joué, est un excellent thème fédérateur pour assurer « la convergence des luttes »
Fini le petit sapin dans la voiture!
Oui, mais quand ça sent la sapin, ça sent la fin.
Rien d’etonnant à cette pancarte
Ben voyons
Les manifestants de ces jours-ci venaient d’horizons divers et etaient porteurs de revendications hétéroclites .
Ben voyons.
C’est en général aujourd’hui l’antiislamisme qui tient cette fonction, DHH.
l’antisemitisme , dans un rôle qu’il a souvent joué, est un excellent thème fédérateur pour assurer « la convergence des luttes »
Pauvre conne
Ça sent le roussi.
Une obsession
https://mobile.twitter.com/home
Petit rappel. L’alliance de la carpe et du lapin ne date pas d’hier
“(…) Il insiste en particulier sur les convergences – mises en lumière dès 2002 dans nos colonnes – entre les extrêmes droites israélienne, juive française et française tout court, au nom du combat commun contre l’islam. (…)”
https://www.monde-diplomatique.fr/2006/06/VIDAL/13591
Apparemment ça ne fédère pas beaucoup de monde DHH. Une personne avec une pancarte, qui a quitté le FN depuis 8 ans et a été virée par Louis Alliot 2 mois après avoir été embauchée…Pas d’amalgame qu’ils diraient, ceux qui criaient « Mort aux juifs » il n’y a pas si longtemps.
En attendant, le curé assassiné par le même immigré qui avait mis le feu à la cathédrale de Nantes, tout le monde s’en fout.
Curieux, finkie n’a pas encore réagi à la manif de ses amis, en vacances, peut-être.
DHH?OUI? « THEME FEDERATEUR » COMME VOUS LE DITES BIEN
PARCE QUE C’ EST CA , et qui a marché; je l’appréhendais, avec le covid, surtout quand sont apparues les « étoiles jaunes »;c’était fatal!
espérons que les français vont réagir!
Hey Jeannot Lapin ! une question : est-ce que ça t’arrive parfois de t’intéresser à d’autres pays qu’Israël ?
la réponse : non !
et maintenant pose toi cette question : pourquoi n’interesse-je point à d’autre pays dans le monde qu’Israël ?
parce que je sais pas si tu sais m!aos des pays il y en a 200 autres !
et sur ces 200 tu vas en trouver pas mal où c’est bien plus le bordel qu’en Israël si tu vois ce que je veux dire.
voilà : commence par fiare une petite introspection sur toi-même et arrête de nous casser les burnes avec tes obsessions dieudonnesques à la Roger Waters !
Le ministre des cultes a tweeté et se rend sur place, closer.
Il est grand temps, comme y invitent les Klarsfeld, de remettre l’aplomb la République.
« En attendant, le curé assassiné par le même immigré qui avait mis le feu à la cathédrale de Nantes, tout le monde s’en fout. »
Roo water closet, t’as pas vu ? ta Madone de Montretout s’est fendue d’un tweet orgasmique.
Le sacristain en instance d’expulsion et tout juste sorti de l’hôpital psychiatrique, trop tôt, refugié en instance d’expulsion aura du mal à faire valoir la perte de discernement.
Keupu, une piste avec l’article du Monde diplomatique ci-dessus. Vous ne vous sentez pas concerné. Par ailleurs, qu’Israël se trouve mise au ban des nations par l’ ONU aux côtés de (voir les dossiers à l’ordre du jour sur le site de l’organisation) … ne vous préoccupe pas ?
et pusi arrêtez donc avec toutes toutes vos explications psychanalytiques ! ras le bol de Lacan !
parce que si on suit vos raisonnements psychanalytiques alors on en déduit que Charles Bovary représente le médecin figure tutélaire de son père d’où le fait qu’il ne le loupe pas et que l’autre pharmacien serait la figure du frère qui n’a pas loupé ses études et est devenu toubib comme son père.
et à partir de là on en déduirait que Bovary serait juste le livre d’un type qui n’a pas pu devenir chirugien comme son père ?
Bovary serait le livre d’un raté incapable de compter jusqu’à 3 sans ses doigts ?
sérieux ! faut pas prendre les gens que pour des imbéciles alors vos critiques psychanalytiques vous pouvez vous les carrer où vous savez parce que Bovary est un chef d’oeuvre de notre littérature national.
ou pour le dire autrement Bovary est à la littérature ce que Teddy Riner est au judo, ce qui n’est pas rien !
@espérons que les français vont réagir!
Surtout ceux qui ont confiance en les valeurs de la republique française et les défendent.
Curieux, finkie n’a pas encore réagi à la manif de ses amis, en vacances, peut-être.
Déjà qu’il a un mal fou à dénoncer la pedocriminalite . Alors les nationalistes identitaires, xénophobes, pour lui ca va être mission impossible.
Jean Langoncet dit: à
Keupu, une piste avec l’article du Monde diplomatique ci-dessus
»
le prblème mon Jeannot c’est que dans le monde diplo, contrairement à toi : il ne parle pas que d’Israël.
alors soit tu lis ce journal du début à la fin et tu parles des problèmes communautaires au Mali soit tu te trouve d’autres références qui te correspondraient mieux.
si tu vois ce que je veux dire…
puck, SVP arrêtez un peu !
Ça sent le cramé.
@Marie sasseur
je serais « une pauvre conne ».soit
Que vous me preniez pour une imbécile ,c’est votre droit
Qu’en cela vous soyez dans le vrai, pourquoi pas? Cela se discute et vous rencontreriez sans doute pas mal de gens, notamment en dehors de la RDL, pour vous approuver
Mais que vous exprimiez ce jugement sous la forme d’une insulte sommaire et vulgaire ,cela déconsidère une personne qui se veut un esprit distingué ….alors que vous pouviez relever « une approche discutable ,parce que sommaire car manquant de perspective historique faute d’une culture suffisante »
une critique qui dirait la même chose que « pauvre conne » aussi peu flatteuse pour son objet, mais tellemnt valorisante pour celle qui l’aurait formulée,en ayant l’air d’avoir pensé un diagnostic
@ DHH – > Méditons ensemble les petites leçons de morale chrétienne du lundi selon SMS, frisant toujours les bonnes odeurs de sainte nitouche. Aujourd’hui, leçon n°1 : » la miséricorde »… (Prière de ne pas rire).
wiki-wika = > La miséricorde est une forme de compassion pour le malheur d’autrui à laquelle s’ajoute la notion de générosité, de bonté gratuite (pape François).
Keupu, puisque vous me faites du pied, voici l’article (restera à lire le livre) :
“ M. Ariel Sharon ne s’était pas contenté d’appeler les Juifs de France à quitter un pays prétendument atteint d’« antisémitisme galopant » : son gouvernement a tenté d’organiser la venue de trente mille d’entre eux. Les journalistes Cécilia Gabizon (Le Figaro) et Johan Weisz (Radio Shalom) racontent cette opération « Sarcelles d’abord » et son échec relatif : on compte moins de deux mille cinq cents immigrants par an, dont un tiers d’ailleurs reviennent.
Le livre décrit les activités des dizaines d’envoyés de l’Agence juive, la manière dont ils mettent à profit les violences antijuives comme les discours antisémites de certains islamistes, mais aussi les relais dont ils bénéficient au sein d’une partie de la communauté juive radicalisée. Il insiste en particulier sur les convergences – mises en lumière dès 2002 dans nos colonnes – entre les extrêmes droites israélienne, juive française et française tout court, au nom du combat commun contre l’islam. Après celle de Guillaume Weill-Raynal (Une haine imaginaire ?, Armand Colin, Paris, 2005), cette nouvelle enquête questionne la complaisance dont le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) fait preuve à l’égard de ces phénomènes.”
Maintenant, je vous invite à parcourir le compte Twitter de Me Goldnadel et à écouter les émissions télévisées de M. Zemmour, par exemple.
@et alii
êtes vous sure que Régine s’appelait Zylberberg?
je croyais qu’elle s’appelait Biderman comme son frère le fabriquant de pantalons
Jeannot : tu crois vraiment qu’aujourd’hui, dans le monde, le plus gros problème posé par l’immigration c’est les juifs qui quittent la France parce qu’ils ont peur que leur gamine se fasse flinguer dans une cour de récréation ou leur grand mère soit balancer par la fenêtre ?
y’a donc que des obsédés sur ce blog ? quand c’est pas Lacan c’est Flaubert ! et quand c’est pas Flaubert c ‘est le juifs ?
faut aller vous faire soigner !
Que vous me preniez pour une imbécile ,c’est votre droit
Loin de là deachach, je vous considère comme une parfaite calculatrice, au discours tellement formaté qu’il en devient risible, et qui a » ses » leçons de français, un peu particulières, à donner.
Et pas vraiment compatibles avec les valeurs républicaines.
un malheureux fait divers… de sacristine…
L’emm…, c’est que l’auteur n’était point un nouvel Omar et que la victime ne fut point un prêcheur d’islam radical… Et surtout,… aucun juif dans cette histoire ?… ça t’étonne pas un brin, SMS !
Enfermé plus longtemps ? Yes…!, aurait sûrement fini par oublier la poudre arrêt-curé !… (ou quand l’odieux confine al’ éric Zemmour).
« C’est d’ailleurs ce qu’il s’est passé pour le vaccin Astrazenecca, car les décès ont concerné des jeunes patients en bonne santé par thrombo-phlébites cérébrales ou embolies pulmonaires, ce qui est très rare dans cette tranche d’âge. »(pharmacovigilance)
J’aurais bien aimé entendre ceci de voix vive sur les chaines d’information !!!!
DHH, j’ai donné le nom indiqué par wikipedia,sans chercher au-delà; c’est une femme qui me semble intéressante, a su se créer une « image » pour la carrière qu’elle a souhaitée, pas si facile que ça ; il faudrait vérifier avec d’autres sources
Keupu, vous n’êtes pas le plus gros problème du Monde mais vous pouvez vous faire aider. Avez-vous essayé l’aromathérapie (aromathérapie athée me suggère le correcteur) ?
ça t’étonne pas un brin, SMS !
Que l’église ne puisse rien de plus que la loi française ne permet, pour le cas désespéré ce sacristain refugié rwandais en instance d’expulsion, coupable d »incendie volontaire de la cathédrale de Nantes et qui a maintenant reconnu le meutre du curé qui l’a recueilli au sortir de son internement psychiatrique ?
Il y a des dilemmes qui dépassent l’entendement humain. Et des questions sans réponse.
Sauf que monsieur le curé semble avoir cristallisé tous les espoirs déçus, paix à son âme.
@et alii
verification faite
vous aviez raison
son frere né comme elle ZYlberberg se faisait appeler Biderman
Sur ce grand industriel,mort recemment du Covid, beaucoup d’articles sur internet notamment l’un trouvé sur la Regle du jeu
l’aplomb la République > d’aplomb la République
(petit rappel : « « la France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances (…) https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/comment-la-constitution-protege-t-elle-la-laicite#:~:text=Le%20premier%20alin%C3%A9a%20de%20l,les%20croyances%20(%E2%80%A6)%20%C2%BB. )
il y a aussi des contrefaçons de parfums ; à PARIS? J’EN AI VU LE SOIR DANS LA RUE ET à Vintimille, des tablées
@ A Paris la quasi-totalité des copropriétés et bailleurs interdisent le séchage du linge visible depuis les balcons / fenêtres.
ici on sèche le linge entre trois cocotiers. Il y en a encore douze sur ma propriété, donc pas trop de problème……..
LE VOL DES PETITES CULOTTES
https://www.birdsdessines.fr/bds/2020/04/08/mister-blues_le-vol-des-petites-culottes_1586331354.png
souvent mon ex-mari me donnait à laver ses pantalons de tissu genre tergal sans en avoir vidé les poches; comme je ne le faisais pas avnt de les mettre à la machine,je peux vous assurer que j’ai lavé PASCAL ET VOLTAIRE ET les ai mis à sécher dans le jardin sur le fil avec une pince « célinienne »; ils se lavent et sèchent très bien , sans perdre un chiffre ou une lettre
avant; seul problème, il y avait parfois des serviettes en papier de couleur dans la poche , et les billets en prenaient la couleur ;ils rougissaient !
(je ne les repassais pas)
JJJ a écrit:
« C’est une synthèse « engagée » d’un médecin éclairé qui ne s’en laisse pas accroire par les sociologues et les journalistes anti ou provaxx… »
Un article À ENCADRER !!!
« Francis Carco n’écrivait-il pas dans son livre « Nuits de Paris » : » Il (le cirque Medrano) répand comme l’armoire aux fruits, une odeur riche et douce qui, aussitôt vous rappelle vos jeunes années et vous console de tous vos maux… mais, l’odeur des fruits se mêlent à une autre odeur qui est celle du crottin et le plaisir augmente. »
Jean Cocteau (voir blog09/12/2010) dans la préface à 14 lithographies de Marcel Vertes (voir blog11/11/2012) n’écrivait-il pas: « Tous nous avons gardé le souvenir d’un monde bariolé, illuminé, isolé de l’ombre, enveloppé d’une prestigieuse odeur d’écuries, de ce sol en tapis-brosse où le crottin d’or aidait à fleurir les clowns et les acrobates. »
Il existe une solution pour chasser l’odeur de peinture à l’huile : il suffit de mélanger une petite cuillère d’extrait de vanille dans le pot de peinture.
La peinture sera toute aussi efficace, mais l’odeur désagréable aura disparue, et vous sentirez un léger parfum de vanille à la place !
En attendant, le curé assassiné par le même immigré qui avait mis le feu à la cathédrale de Nantes, tout le monde s’en fout.
La presse fait part du malheureux événement qui montre aussi que la psychiatrie malgré l’accroissement dans la population de déséquilibrés manque de moyens pour les suivre de façon efficace surtout quand en plus ils sont passés à l’acte, font l’objet d’un contrôle judiciaire et pour lesquels visiblement il n’existe pas de structures adaptée. La bonté chrétienne chez les fous ne paye pas. Qui sait ce que ce rwandais a vu, perçu de l’horreur dans son pays. La maladie psychiatrique ne porte pas de pustules, ne se voit pas, n’est pas contagieuse mais dans certains cas l’entourage court tout de même le risque d’être victime. Quel âge a l’agresseur, quel est le diagnostic des psy?
le nard:
L’huile de nard est extraite du rhizome de Nardostachys jatamansi auct. (Nardostachys grandiflora DC.). Cette plante pousse dans les montagnes himalayennes au Népal, ainsi qu’en Inde, au Bhoutan, et en Chine avec Nardostachys chinensis Batalin (considéré comme un synonyme), qui est souvent appelée nard chinois [Nardostachys sinensis (sic)]. Le genre Nardostachys appartient à la famille des Valérianacées, dont fait aussi partie la Valeriana celtica, une plante alpestre au parfum capiteux, appelée également nard celtique.
Cette plante est un ingrédient connu de la médecine traditionnelle ayurvédique, employée entre autres pour faciliter la repousse des cheveux. Elle est, en dehors de ses applications en parfumerie, utilisée pour fabriquer de l’encens et comme sédatif.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nard_(parfum)
« D’après une enquête de La Croix, Emmanuel Abayisenga est un Rwandais venu se réfugier en France il y a huit ans. Il vient d’une famille Hutue dont certains membres ont pu prendre part au génocide contre les Tutsis en 1994. Son père a d’ailleurs été exécuté en représailles lorsqu’il est revenu dans son village d’origine. Emmanuel Abayisenga aurait, lui, pu continuer à vivre normalement, mais aurait subi des violences lorsqu’il est devenu policier au Rwanda. »
Le Parisien
J’avais déjà écrit ici ce qu’il convenait de faire à de tels gens.
Et Alien? allô, non mais allô, quoi.
Un peu d’aromathérapie.
« En Égypte ancienne, les parfums et les huiles naturelles faisaient partie intégrante des cérémonies religieuses. Ils étaient utilisés pour purifier l’air et pour les offrandes aux divinités.
Le parfum et la toilette personnelle étaient considérées comme si importants qu’ils avaient, dans la religion égyptienne, leur propre déesse : Nefertem. L’encens et les huiles parfumées étaient souvent utilisés dans les enterrements de personnes des classes aisées ; un récipient décoratif contenant du parfum a d’ailleurs été retrouvé dans la tombe du roi Toutânkhamon.
Les huiles essentielles étaient généralement réservées aux divinités et à la royauté, car à l’époque, leur production était très coûteuse.
Le kyphi était un type d’encens communément utilisé comme médicament ou lors des cérémonies religieuses. Le kyphi n’avait pas de recette précise, mais contenait généralement des ingrédients comme la myrrhe, le mimosa, la cannelle et la menthe. Les prêtres égyptiens, qui préparaient ces mixtures, sont considérés comme les premiers parfumeurs du monde »
https://fr.lush.com/article/des-senteurs-vieilles-comme-le-monde-histoire-des-huiles-essentielles
Je m’en souviens très bien. Mais les pendre par les pieds une journée durant, êtes vous sûr que la peine est suffisamment dissuasive ?
quand j’étais jeune, on découvrit dans ma famille le nuoc mam avec l’horreur d’occidentaux pas initiés :
Son odeur saisissante peut rebuter au premier abord -surtout des narines occidentales! Mais la sauce fait merveille une fois diluée et mélangée: elle n’est pas destinée à être consommée seule, c’est un condiment!
depuis je me suis habituée à manger asiatique comme c’est servi dans les restos ;
https://www.lexpress.fr/styles/saveurs/le-nuoc-mam-sauce-de-poisson-miracle-du-vietnam_1223334.html
Huiles essentielles. On attribue au médecin alchimiste persan Jabir ibn Hayyan l’invention, au xe siècle, de l’alambic. Zut, un iranien
tabac:
Mais ce qui distinguait ce tabac des autres, ce n’était pas sa texture ou la couleur des fibres hachées, mais bien son parfum particulier. Car, il s’agissait bien d’un parfum ou d’un arôme qui sensibilisait à la fois les récepteurs du nez (l’odeur) et de la bouche (le goût). Celui d’un subtil mélange de différentes feuilles de tabac aux origines variées, mélangées à un jus dont la composition n’était connue que du fabricant.
Je me rappelle fort bien quand, au cours de ma jeunesse, je m’étais laissé envoûter par les subtils accords odorants dégagés par la combustion de ce tabac. D’ailleurs, le fumeur d’Amsterdamer savait que par les fumerolles qu’il dégageait, il laissait un sillage olfactif fort reconnaissable, même pour un non initié.
c’est exact! c’est mon souvenir
Enfin, tant que c’est pas un iranien qui a inventé l’alambic charentais, on peut continuer de siroter notre fine à l’eau sans mauvais arrière goût qu’ils diraient J J-J et keupu
Il est vrai que l’odeur caractéristique de ce tabac relevait en termes d’expression linguistique de l’expertise olfactive. Cependant, je me rappelle que c’étaient plus particulièrement les odeurs de miel, de caramel et de pain d’épices qui retenaient mon attention. Il y avait aussi tous ces parfums d’épices que l’on trouvait dans certaines pâtisseries. Et c’est sans aucun doute, dans les moments les plus intimes lorsque je me retrouvais seul à fumer une pipe que s’exprimait tout un environnement odorant de senteurs suaves et sucrées qui excitaient mon odorat et compensait largement et heureusement le goût, plus âcre et plus empyreumatique, qui subsistait dans la bouche.
http://marc-pages.net/2020/07/l-amsterdamer.html#:~:text=D'ailleurs%2C%20le%20fumeur%20d,m%C3%AAme%20pour%20un%20non%20initi%C3%A9.&text=Il%20est%20vrai%20que%20l,linguistique%20de%20l'expertise%20olfactive.
Ils pourraient même être incités à inviter toute l’erdélie à un apéro fraternel et sans remords.
« on s’en prend à un prêtre, on s’en prend à la France » capté en passant. bonne soirée aux ignorants bouffeurs d’info.
à propos, hier soir à l’émission O Fantástico, le Brésil entier a pu admirer à sa juste valeur le jeste du français Morhad Amdouni au marathon.
Avec en plus le même jour 200’000 crétins anti-vaccination, et un prêtre assassiné, ça fait beaucoup, ça fait trop.
mais bon cela ne me regarde pas direz-vous.
Dorénavant, je m’intéresserai exclusivement à ce que D mangera « ce soir ».
Dormez tranquilles
@bonne soirée aux ignorants bouffeurs d’info.
Mal dit, préférer: dévoreurs de présent.
Cela dit je ne vous souhaite rien, ni nuit, ni rien.
Plutôt qu’un trop-plein d’informations, c’est d’un vide presque absolu et de son rabâchage qu’il s’agit Claudio Bahia. M’en va sur la piste du yage.
@ merci Jean C. du Lagon, pour votre hommage à mes ancêtres en ligne paternelle directe, inventeurs de l’alambic charentais, le seul, le vrai ! anéfé… (RPTV) – Je puis vous garantir que nous sommes bien, comme la famille Mitrand, des « français de souche non rastaquouère », comme aurait le Pr Destouches, docteur ès médecine des pauvres,
http://www.pediacognac.com/la-distillation-dela-distillation-enla-distillation/die-charentaiser-brennblasethe-charentais-potstilllalambic-charentais/
Bàv,
Et alii
Merci pour le petit sapin à l’antique.
Ds ma portière longtemps ai eu une tranche de cade.
Chez moi, UESS. Université européenne des senteurs et des saveurs.
Bcp de jeux olfactifs mis en place.
(Peut-on déposer une odeur ou un goût en tant que marque ?
Les signes olfactifs ou gustatifs doivent, comme toutes autres formes de marques, être représentés afin que les autres personnes puissent en déterminer l’objet et l’étendue.
Cette condition est techniquement très difficile à remplir et ne permet donc pas qu’une odeur ou un goût soient protégeables à ce jour.
https://www.youtube.com/watch?v=M_ciiCyxOJA )
Le processus complet qui a abouti à keupu sur la RdL, expliqué scientifiquement.
Pour B:
https://www.arte.tv/fr/videos/098213-000-A/anna-netrebko-et-rolando-villazon-chantent-la-traviata/
Je crois que la version intégrale sans bavardages existe aussi sur le site de Arte Concert.
@ sans mauvais arrière goût qu’ils diraient J J-J et keupu
… encore un contaminé du CovidRDL21, un brin lourd, toujours…
(Ràv avec KP ni SMS)
@ merci D. pour votre lien sur les Furtifs !…
Passionnel pour les enfants de la science rdl !
Pourquoi les souler avec le dernier quart de la dernière seconde de l’année Macron ?… Entrons en résistance avec l’aide de Dieu, face à cet incroyable complot de l’Univers contre les Créatures faites à son image…., Ou laissons tomber la neige sur le lapin blanc de Meudon..
Les portes de la perception rapportées par Ouest-France, le journal : Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l’homme telle qu’elle est : infinie. Car l’homme s’est refermé sur lui-même jusqu’à considérer toute chose par les brèches étroites de sa caverne. William Blake
Voir sur https://citations.ouest-france.fr/citation-william-blake/portes-perception-etaient-nettoyees-chaque-112876.html
Mais qu’en pense Paul Edel ?
@ ouf Jibé – « Le millième doudou a été certifié à Zanzibar (106 bars) par l’Office Informel des Enfants Crédibles »… (OIEC), p. 929, éd. folio
Bàv, ***trois étoiles viennent de dévider le fil…, et le Parti des Furtifs de s’auto-dissoudre. Tout va bien : Tishka est heureuse vers Marseille.
@Peut-on déposer une odeur ou un goût en tant que marque ?
Les signes olfactifs ou gustatifs doivent, comme toutes autres formes de marques, être représentés afin que les autres personnes puissent en déterminer l’objet et l’étendue.
Cette condition est techniquement très difficile à remplir et ne permet donc pas qu’une odeur ou un goût soient protégeables à ce jour.
Dans ces conditions, en quoi consistent les « marques » revendiquées par les parfumeurs et autres enfumeurs ?
@Dorénavant, je m’intéresserai exclusivement à ce que D mangera « ce soir »
Le verbe a sa part à prendre.
Du D. en médaillon, ouin d’huile essentielle de coco bénite, lardé de pattes de homard confites ; tout de suite on imagine des choses
« Ce dont il y a vue, ouïe, perception, c’est cela que moi je préfère »
Héraclite, version rapporté dans l’édition des fragments parue au PUF supervisée par Conche
rapporté > rapportée (ed.1986)
l’antisemitisme , dans un rôle qu’il a souvent joué, est un excellent thème fédérateur pour assurer « la convergence des luttes »
—
Cela vaut églement au Moyen Orient, DHH.
C’est ce que dit Ayman Mohammed Rabie al-Zawahiri, leader d’al-Qaida: certes, les musulmans se foutent sur la gueule entre chiites & sunnites, etc, mais l’Oumma, la communauté des croyants en son entier ne peut que se retrouver dans la haine des juifs, la mort d’Israël etc.
Un drôle de zig, cet al-Zawahiri : aux « Protocoles des Sages de Sion », texte disponible partout dans le monde arabe mais en lequel il n’a qu’une confiance très modérée car c’est « probablement » un faux, il préfère un autre livre qui, selon ses propres dires, permet de véritablement bien connaitre les juifs pour ce qu’il sont: « Mein Kampf ».
On est soulagé.
au PUF > aux PUF
@On est soulagé.
Les gens de lettres sont peu regardants sinon tolérants
« aromathérapie athée me suggère le correcteur »
Jeannot c’est quoi ces propos islamophobes ?
Jeannot il faut que tu comprennes un truc : Israël veut la paix !
ça marche mieux en anglais : Israël only wants peace !!! piece of Egypt, piece of Jordany, piece of Syria, piece of Lebanon etc…
et ça c’est ce qu’on appelle de l’humour juif.
@Un drôle de zig, cet al-Zawahiri : aux « Protocoles des Sages de Sion », texte disponible partout dans le monde arabe mais en lequel il n’a qu’une confiance très modérée car c’est « probablement » un faux, il préfère un autre livre qui, selon ses propres dires, permet de véritablement bien connaitre les juifs pour ce qu’il sont: « Mein Kampf ».
Faut-il le prendre au sérieux aujourd’hui comme il eut fallu prendre au sérieux le Céline des pamphlets d’avant 40 ? Existe-t-il un second degré de la perception ?
@ SMS…, un nouvel hommage de GAG à Carl Seelig, en attendant Godot,
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/08/06/promenades-walser-seelig/
BN
@ Israël veut la paix !
J’ai bien compris. Israël veut la paix et mène une guerre ethnique et raciale pour avoir enfin la paix tant attendue ; car Israel est un état juif depuis 1948, oui ou non ? Alors quel sort réserver aux palestiniens qui occupent ces terres depuis au moins aussi longtemps que n’importe lequel des prétendants à leur expropriation, c’est à dire depuis toujours ?
@ JL, Précisons sa pensée sur les juifs…. dans (un) « Mein Kampf » historicisé, traduit et remastérisé sous la supervision de l’internationale des Presses universitaires de Bagdad, à partir des hadiths du Prophète Muhammad, et dûment contrôlée par le spécialiste français Michel Onfray.
On ne compte plus les reconvertis du PAF très bien payés
@Alors quel sort réserver aux palestiniens qui occupent ces terres depuis au moins aussi longtemps que n’importe lequel des prétendants à leur expropriation, c’est à dire depuis toujours ?
C’est très simple. Ce sont des arabes. Il appartient donc à leurs frères arabes des pays voisins de les accueillir.
(Sharon est toujours dans le coma ?)
(et Schumacher ?)
tous les internautes l’ont découvert mais rappelons le:Enlever les odeurs d’urine sur un tapis ou de la moquette
Pour neutraliser les odeurs d’urine de chat ou de chien sur de la moquette, préparez un mélange de vinaigre blanc et d’eau que vous viendrez vaporiser sur la zone. Patientez pendant une dizaine de minutes avant de frotter avec une éponge humide. Rincez à l’eau et laissez sécher.
Il est possible d’utiliser également le bicarbonate de soude, qui va venir nettoyer la tache sur des surfaces comme une moquette ou un tapis. Saupoudrez directement le produit sur l’urine et laissez agir plusieurs heures. Terminez par aspirer le tout.
Le citron est également efficace pour neutraliser les odeurs d’urine des animaux : il peut être utilisé en jus de citron ou en l’état. Versez du jus de citron sur la tache ou frottez un demi-citron sur la zone pour éliminer les mauvaises odeurs.
https://amapa.fr/astuces/enlever-odeurs-urine-chat-chien/
quand j’étais jeune, on découvrit dans ma famille le nuoc mam avec l’horreur d’occidentaux pas initiés :
Et alii
Parce que l’on nous disait que c’était du poisson pourri.
Comme le garum romain.
ça marche mieux en anglais : Israël only wants peace !!! piece of Egypt, piece of Jordany, piece of Syria, piece of Lebanon etc…
et ça c’est ce qu’on appelle de l’humour juif.
Puck
C excellent 😀
Pièce if Palestine aussi, ou tout le bout ? (la bande côtière)
Pièce of Palestine
Jean Langoncet dit: à
On ne compte plus les reconvertis du PAF très bien payés.
Et ceux de la FIFA, l’Uefa etc. ?
Mon propos s’appliquait à M. Onfray, entre autres chroniqueurs tv des chaînes dites d’information qui font appel à des intellectuels pour commenter les faits de société (celles qui ont remplacé Dallas, Sarsky et Hutch, Magum et autres séries tv. dans votre agenda). À qui faites vous référence, vous, rose ?
(J’ai piece of my heart sur le bout des doigts, mais l’envoyer, en la circonstance, serait inconvenant)
celles qui ont remplacé > celles qui ont remplacé dans leurs programmes
A plus loin pour développer le fragment d’Héraclite visé plus haut, qui est avant tout un appel aux sens, autrement dit à la meilleure des raisons ; pour évoquer la physiologie du goût bien ordonnée selon Brillat Savarin qui a bien des charmes et la figure de Jim Harrison, l’écrivain américain friand de vins fins logés en gros calibres. En attendant, un bras d’honneur décidé aux prétendus identitaires de tous poils.
@Du D. en médaillon, ouin d’huile essentielle de coco bénite, lardé de pattes de homard confites
Un peu de mayo montée à la fourchette serait bienvenue pour accompagner la chose, mais c’est très mauvais pour la ligne ; trop d’huile
@ SMS
?
« Un grand méconnu, Carl Seelig
par Georges-Arthur Goldschmidt
6 août 2021 »
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/08/06/promenades-walser-seelig/
@ @ SMS…, un nouvel hommage …
à R. Walser.
Traduction de » Wanderungen mit Robert Walser » par Marion Graf.
« Cette nouvelle édition, avec index commenté, photographies et postface, est proposée par Lukas Gloor, Reto Sorg et Peter Utz (ces deux derniers de la Section d’allemand). Une traduction en français par Marion Graf est publiée simultanément (Carl Seelig: Promenades avec Robert Walser). »
https://wp.unil.ch/labelettres/carl-seelig-wanderungen-mit-robert-walser/
Merci de l’info, qui fait resurgir cette odeur qui ne me quittera jamais, l’odeur d’un paysage de neige, et de parfums de terre sublimés par la neige qui fond.
a very small piece of the Middle East (O,5%), but gets pissed on from all sides.
Heureux de voir que Georges-Arthur Goldschmidt est toujours aussi vif !
ROBERT WALSER
Signe extérieur de richesse
« Un matin, l’envie me prenant de faire une promenade, je mis le chapeau sur la tête et, en courant, quittai le cabinet de travail ou de fantasmagorie pour dévaler l’escalier et me précipiter dans la rue. » Ainsi commence le récit de l’écrivain suisse Robert Walser (1878-1956), titré La Promenade et datant de 1917, qui nous conduit à travers les rues, les faubourgs et la proche campagne environnante d’une ville qui ressemble étrangement à Berlin. Le récit de ses déambulations, du matin jusqu’au soir, nous le montre évoluant au milieu de situations cocasses et condensées, comme dans un rêve. Entre autres multiples aventures, le narrateur, au cours de ses errances, doit aller plaider, dans l’après-midi, sa cause d’écrivain pauvre auprès du directeur des impôts, afin que celui-ci consente à maintenir sa « solvabilité au niveau le plus bas possible. » Mais pour ce faire, il doit se justifier, au préalable, de sa pratique effrénée de la promenade !
« Le directeur ou taxateur déclara :
– Mais on vous voit toujours en train de vous promener !
– La promenade, répliquai-je, m’est indispensable pour me donner de la vivacité et maintenir mes liens avec le monde, sans l’expérience sensible duquel je ne pourrais ni écrire la moitié de la première lettre d’une ligne, ni rédiger un poème, en vers ou en prose. Sans la promenade, je serais mort et j’aurais été contraint depuis longtemps d’abandonner mon métier, que j’aime passionnément. Sans promenade et collecte des faits, je serais incapable d’écrire le moindre compte rendu, ni davantage un article, sans parler d’écrire une nouvelle. Sans promenade, je ne pourrais recueillir ni études, ni observations. Un homme aussi subtil et éclairé que vous comprendra cela immédiatement.
« En me promenant longuement, il me vient mille idées utilisables, tandis qu’enfermé chez moi je me gâterais et me dessécherais lamentablement. La promenade pour moi n’est pas seulement saine, mais profitable, et pas seulement agréable, mais aussi utile. Une promenade me sert professionnellement, mais en même temps elle me réjouit personnellement ; elle me réconforte, me ravit, me requinque, elle est une jouissance, mais qui en même temps a le don de m’aiguillonner et de m’inciter à poursuivre mon travail, en m’offrant de nombreux objets plus ou moins significatifs qu’ensuite, rentré chez moi, j’élaborerai avec zèle. Chaque promenade abonde de phénomènes qui méritent d’être vus et d’être ressentis. Formes diverses, poèmes vivants, choses attrayantes, beautés de la nature : tout cela fourmille, la plupart du temps, littéralement au cours de jolies promenades, si petites soient-elles. Les sciences de la nature et de la terre se révèlent avec grâce et charme aux yeux du promeneur attentif, qui bien entendu ne doit pas se promener les yeux baissés, mais les yeux grands ouverts et le regard limpide, si du moins il désire que se manifeste à lui la belle signification, la grande et noble idée de la promenade. […]
« Enfin, bref : je gagne mon pain quotidien en pensant, ruminant, creusant, fouillant, méditant, versifiant, cherchant, examinant et en me promenant, et j’en bave autant qu’un autre. Tout en faisant peut-être les mines les plus réjouies, je suis extrêmement sérieux et consciencieux, et, quand je n’ai l’air d’être rien qu’exalté et tendre, je suis un professionnel irréprochable. Puis-je espérer, ayant fait devant vous cette déclaration détaillée de mes aspirations visiblement honnêtes, vous avoir amplement convaincu ?
Le fonctionnaire dit : « bon », et il ajouta :
– Votre requête tendant à obtenir notre accord pour que soit fixé au niveau le plus bas le taux de votre imposition va être examinée. La réponse y afférente et prochaine, qui conclura par la négative ou positivement, sera portée à votre connaissance. Pour nous avoir fait aimablement un rapport véritable et des déclarations aussi sincères qu’empressées, nous vous remercions cordialement. A présent vous pouvez vous retirer, afin de gentiment continuer votre promenade. »
(« La Promenade », Traduit de l’Allemand par Bernard Lortholary, Editions Gallimard, 1987)
Etrange texte prémonitoire que La Promenade, où à la fin du récit, tandis que la journée s’achève, le narrateur s’étend sur le sol, à l’abri d’un arbre proche d’une rive, épuisé et en pleine méditation : « Considérant la terre, l’air et le ciel, je fus saisi de l’idée morose, irrésistible, qui me contraignait à me dire qu’entre ciel et terre j’étais un pauvre prisonnier, que tous nous étions lamentablement enfermés de la sorte, que pour nous tous il n’y avait nulle part un chemin menant dans l’autre monde, sinon ce chemin unique qui nous conduit à descendre dans le trou sombre, dans le sol, dans la tombe. » Etrange, en effet, quand on sait qu’en 1929, Robert Walser sera définitivement interné dans un asile d’aliénés, et que, au lendemain de la nuit de Noël 1956, on le retrouvera mort, allongé dans la neige, son chapeau soigneusement posé près de son corps !
@ @ SMS…, un nouvel hommage …
à R. Walser.
Et merci à Passou, d’abord; lecteur de R. Walser, sans qui etc.
@Bloom
merci de ces informations
C’est une belle leçon de rigueur intellectuelle que nous donne Mohammed Rabie al-Zawahiri, en faisant courageusement état de ses réserves sur les Protocoles, et en affirmant sa volonté de ne se référer qu’a des sages dont l’autorité est incontestable, seuls dignes de sa confiance
il y a quelque temps Jazzi nous avait joliment parlé de la version niçoise du garum le pissalat, qui donne son nom a la , pissaladière et que requiert la recette authentique de cette tarte salée
pour dire bonjour (en fumant ma 1 cigarette)
une citation que je suis désolée de rappeler ,mais qui a quand même une page sur la toile:
« « Le bruit et l’odeur » est une expression extraite d’un discours de Jacques Chirac prononcé le 19 juin 1991 et connu comme Le Discours d’Orléans. Il s’agissait d’un dîner-débat du RPR à Orléans, devant 1 300 militants et sympathisants. Chirac était alors président du Rassemblement pour la République (le RPR) et maire de Paris, et ce discours portait sur un éventuel recadrage de la politique d’immigration française. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_bruit_et_l%27odeur_(discours_de_Jacques_Chirac)
@a very small piece of the Middle East (O,5%), but gets pissed on from all sides.
C’est justement caractériser le sort des palestiniens, mais il semble que les territoires occupés, chaque jour plus morcelés par l’occupant, représentent bien moins de 0,5% du moyen orient.
Avec une bonne salade de mesclun !
RECETTE DE LA PISSALADIÈRE
La pissaladière, que l’on peut acheter en part individuelle dans toutes les bonnes boulangeries de la ville, était une des spécialités dont nous régalait régulièrement notre adorable maman. Préparez une pâte à pain en pétrissant de la farine avec un peu d’eau et une petite cuillerée de levure. Aplatissez la pâte au rouleau de manière à lui donner une forme rectangulaire d’un demi-centimètre d’épaisseur. Déposez la pâte sur une plaque à tarte préalablement graissée à l’huile. Faites revenir des oignons émincés dans de l’huile, mais sans les faire roussir, de façon à obtenir une purée compacte. Mélangez alors la préparation avec deux noisettes de pissalat (de peis salat, poisson salé. Condiment pâteux, de fabrication traditionnelle à Nice et à Antibes, obtenu à partir d’une macération au sel d’alevins de sardine – la poutine – et d’aromates. Devenu rare, le pissalat, qui a donné son nom à la pissaladière, est remplacé de plus en plus aujourd’hui par de la crème d’anchois). Salez et poivrez. Piquez la pâte avec une fourchette et étalez la mixture sur laquelle il n’y a plus qu’à ajouter quelques filets d’anchois dessalés et une poignée de petites olives noires niçoises. Faites cuire au four doux durant environ une demi-heure.
Bon appétit !
« C’est très simple. Ce sont des arabes. Il appartient donc à leurs frères arabes des pays voisins de les accueillir. »
sûr que si un pays occidental avait laissé des réfugiés dans des camps épouvantable durant plus de 60 ans il se ferait appeler Simone.
JULES ROMAINS
L’odeur de la Niçoise
La Douceur de la vie (1939), le 18e des 27 volumes qui constituent la vaste fresque romanesque « unanimiste » des Hommes de bonne volonté de Jules Romains, se déroule essentiellement à Nice, la ville et le comté. Promenons-nous, ici, dans le vieux Nice, le lieu de prédilection de Jules Romains, qui enseigna à Nice de 1917 à 1919, et qui, outre le pittoresque, en appréciait la forte sensualité de ses habitantes.
« Je me suis promené dans le marché du cours Saleya. J’ai acheté un hecto de noisettes (ici l’hecto a détrôné le quart de livre et se prononce etto) que j’ai mises dans ma poche pour les manger le long du chemin. Je me suis insinué à travers la place de la Préfecture, fort encombrée d’étalages et d’éventaires, abondante en soleil et en criailleries, et que le palais du fond, qui à l’air de la résidence d’un gouverneur sous les tropiques, rend à point coloniale. Puis j’ai piqué dans les rues fraîches, où les odeurs de légumes croupissent gentiment dans l’air humide ; c’est le point subtil où la balayure reste champêtre, où le fond de poubelle garde une parenté avec le jardin, où la pourriture n’est que de la maturité en surnombre, et fleure encore la chose comestible.
J’ai revu mes chères boutiques, dans leur prospérité du matin. Il y avait des débits de vin et d’huile au litre, fort ténébreux, car le peu de lumière qui y pénètre n’y rencontre que des douves brunes et violettes, ou par endroits du métal gras oint de vieille huile, incapable de reflets. On finit par y distinguer le contour d’énormes tonneaux, qui font penser que le vin est un don de la nature, sortant du rocher comme l’eau des sources.
Les profondeurs des épiceries, entre les tours ajourées et les colonnes, étaient plus claires ; car les moellons de savon ont une blancheur toute voisine de l’albâtre ; et les cylindres qui contiennent haricots ou petits pois éclatent de rouge, de jaune ou de vert. Quand en outre les boîtes de sardines sont posées de chant, les unes sur les autres, le motif qu’elles forment ainsi brille comme une cuirasse d’argent.
Des femmes se pressaient, furetaient, bavardaient, patientaient, entre les tours et les colonnes. Elles sont brunes, volontiers replètes, mais vives, et sans vulgarité. Quelques-unes sveltes et nerveuses. On imagine l’odeur de leur peau (on la sentirait en s’approchant) : épicée, un peu orientale, plus dépaysante que déplaisante. Il doit en être ici de la négligence corporelle comme de ces résidus potagers qui traînassent dans les recoins et dont les fermentations condimentent la pénombre.
La place Sainte-Réparate semblait satisfaite, dans son bain de soleil, comme si toute une ville, bien close dans ses limites, y eût reconnu et fêté son centre naturel. Je n’ai pas omis de m’arrêter au kiosque. La petite vendeuse était là, et m’a souri, comme si j’étais son meilleur client. J’ai voulu faire le grand seigneur. J’ai acheté, outre les deux journaux locaux du matin, un journal de Paris, de la veille, et même une carte postale illustrée, représentant la cathédrale, que j’enverrai à Jerphanion. Je crois que l’effet a porté. La petite vendeuse m’a remercié par plusieurs sourires et œillades gracieuses, sans oublier un « merci, monsieur ! » répété au moins trois fois. Même dans la dureté des temps, le faste ici est encore abordable. Ma petite vendeuse est aussi plaisante à la lumière du grand jour qu’à celle du soir. Le soleil ne pénètre pas dans sa boîte, mais y envoie toutes sortes de reflets. Elle est frisée comme une bergère de trumeau. Elle a des lèvres grenat, un peu allongées, mais fines et enfantines, dans un teint mordoré, presque mat ; elle fait voir ses dents quand elle sourit ; deux incisives du haut sont un peu irrégulières. Son buste est déjà bien plein. Elle a des mains un peu courtes et rondes avec le poignet faiblement marqué. Je lui donne seize ou dix-sept ans. »
(« La Douceur de la vie », Editions Flammarion, 1958)
Plus simple encore keupu. Puisque la Palestine n’est pas encore rayée de la carte, les palestiniens y sont chez eux.
à Pierrelatte
Visite entièrement gratuite du parc floral, musée, distillerie, collections d’alambics, ateliers de création, chaines de fabrication et d’embouteillage. 6000 m² de visite.
Fragonard:
Pionnier dans le domaine, Jean-François Costa commence sa collection d’objets d’art de parfumerie dans les années 1950, à une époque où le parfum ne suscitait pas la curiosité qu’il rencontre de nos jours. Au départ par intérêt professionnel, il devient rapidement un collectionneur incontournable, constituant un ensemble unique au monde tant par la qualité des pièces que par leur nombre et leur diversité : appareils de distillation, objets d’art de l’Antiquité au milieu du XXe siècle.
Formées par leur père et tout aussi passionnées, Agnès et Françoise perpétuent son travail et continuent à enrichir très régulièrement les collections du musée par de nouvelles acquisitions.
rose, que savez-vous sur le chèvrefeuille.
« a cueillette et la culture de plantes à parfum, aromatiques et médicinales ont forgé au cours des siècles passés, une part importante de l’identité de la montagne de Lure et plus largement de la haute Provence.
Artemisia museum vous emmène à la découverte des plantes à parfum, aromatiques et médicinales de la montagne de Lure, site classé Unesco.
Le parcours permanent vous entraine sur les chemins des herboristes, à la découverte de la biodiversité locale, des distilleries de lavande et d’alcool, des fabricants de cosmétiques et de parfums sur plus de 250 m² d’exposition.
@Jean Lengoncé
L’HISTOIRE ? DES HISTOIRES DRÔLES !
La Palestine n’est pas rayée de la carte car c’est un pays de papier, virtuel et récent, qui n’existe pas.
La situation est bloquée dans ces contrées inintéressantes au possible parce que :
– les regroupés d’Israël ont des amis juifs occidentaux bourrés de fric et de têtes nucléaires
– les palestiniens de Nulle part ont des amis arabes bourrés de fric mais dépourvus de têtes nucléaires.
En outre, tous les bolos du monde s’en foutent complètement que les « palestiniens » aient un pays mal géré ou non ! Depuis bien longtemps, nos couillons sont moins cons qu’il n’y parait…
La fête aux miasmes chez le prestigieux passou…un vigilant de passage n’aura pas oublié de mentionner l’opinion dite « nauséabonde », invention brevetée radiofrance des années nonante, reprise ad nauseam par le cortège pense-creux.
LES PROBLEMES VRAIS…
« La circulation vers Saint-Tropez est infernale, découvrez notre enquête ! » (Var Matin)
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ouin > oint !
cixous :
sur Ruines bien rangées
ces femmes dont le corps même est habité par une histoire torturée et torturante ; ces femmes dont les blessures sont l’espace d’où écrit Cixous, dont le livre est une réponse « militante » à une « odeur humaine parfois nauséabonde »…
sur
https://www.nonfiction.fr/article-10589-helene-cixous-ou-les-ruines-de-la-memoire.htm
à Nantes,lecture de Pessoa
» Les « personnages » de l’œuvre de Pessoa sont des miroirs de la société et il me semble que partager ces textes au cœur de la cité, avec la lumière, les bruits, les odeurs de la cité, pourra donner encore plus de sens et de concret à son écriture.
https://www.nonfiction.fr/article-9961-nous-autres-le-pessoa-monde-de-victor-de-oliveira.htm
Covid-19 : face à une situation « dramatique », la Martinique passe à un confinement strict mardi pour une durée de trois semaines.
Le préfet invite tous les touristes à rentrer chez eux car leur sécurité n’est plus assurée.
0n me menace de me manger avec une mayonnaise et le commentaire reste.
Je propose une mayonnaise à l’huile de foie de morue et on me censure?
Voilà où on en est. Je quitte ce blog définitivement.
Phil dit: à
La fête aux miasmes chez le prestigieux passou…un vigilant de passage n’aura pas oublié de mentionner l’opinion dite « nauséabonde », invention brevetée radiofrance des années nonante, reprise ad nauseam par le cortège pense-creux.
Oui Phil, comme si une pensée pouvait sentir!
cixous :
sur Ruines bien rangées
Encore une marotte!
@Dédé
S’il reste un peu de mayonnaise à l’huile de foi de mauresque, j’achète ! Je fais bâtir au fond du jardin, près de la fosse septique, une Chapelle Œcuménique ta mère bourrée de reliques savoureuses …
mais n’oublions pas CONDILLAC ET SA STATUE? ODEUR DESAINTET2 DECONDILLAC OU NON//
L’odorat de Condillac, sans distance ni contour
https://www.lemonde.fr/livres/article/2009/08/06/l-odorat-de-condillac-sans-distance-ni-contour_1226149_3260.html
Et lorsque une fois lavés les verres et couverts sentent le freschin?
La mauvaise odeur du propre.
– Je sens la chair fraiche, te dis-je encore une fois, reprit l’Ogre, en regardant sa femme de travers, et il y a ici quelque chose que je n’entends pas. «
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