Bojangles bien arrivé, Bourdeaut aussi
Ce titre pourrait être le texte d’un télégramme, ô combien énigmatique pour les non initiés. Mais attendez encore quelques semaines et ils seront de plus en plus nombreux moyennant quelques prix littéraires bien mérités. C’est que En attendant Bojangles (157 pages, 15,50 euros, Finitude) d’Olivier Bourdeaut a déjà fait du chemin depuis que Jérôme Garcin l’a signalé avec un enthousiasme contagieux dans l’Obs. Et l’on se prend déjà à rêver qu’après cette révélation, le livre, son auteur et sa maison d’édition iront loin….
Imaginez un jeune agent immobilier épris de littérature, qui aimerait écrire mais n’ose pas trop, écrasé par le poids de sa bibliothèque. Viré par son employeur, un marchand de biens nantais, il trouve abri chez son frère pour écrire pendant deux ans un roman sombre et cynique. Il l’envoie par la poste à plusieurs éditeurs qui l’encouragent à persévérer sans pour autant le publier. Il se réfugie alors chez ses parents en Espagne pour écrire en sept semaines une autre histoire, aux antipodes de la première, gaie et lumineuse même si elle s’achève dans la mélancolie. Il s’y lâche et s’y fait plaisir en envoyant ses personnages chasser les mouches au harpon
Il l’expédie aux éditeurs et donne la préférence non au plus important mais à celui qui a dégainé le premier, une petite maison indépendante sis à Bordeaux qui lui mitonnera un livre aux petits oignons sous une belle couverture illustrée par Valeriy Kachaev. Avant même sa parution dix éditeurs étrangers l’achètent alertés par une scout littéraire allemande qui l’avait repéré. Tel n’est pas le thème de ce premier roman, mais l’histoire même de sa publication.
Alors, de quoi s’agit-il ? Un couple s’aime passionnément sous les yeux de leurs fils, un adolescent spectateur à défaut d’être acteur de leur existence décalée, à l’ouest de beaucoup de choses ; pour autant, il ne s’en ressent pas exclu. Le petit narrateur n’est pas mal non plus, délateur à l’école, en butte à une maitresse qui se demande à voix haute ce qu’il aurait fait en 39, à quoi il refuse de répondre puisqu’il chausse du 33. D’autres personnages valent également le détour : l’Ordure , Bulle d’air qui passe ses journées à écraser le papier bulle de déménagement jusqu’à déménager un peu de la tête elle aussi. Il est vrai qu’il est à bonne école avec le type de conseil que lui prodigue son père, un homme que la folie du monde fait rire chaque fois qu’il lit son journal, boit les cocktails au goulot et met le feu à sa pipe pour rester éveillé :
« Mon petit, dans la vie, il y a deux catégories de personnes qu’il faut éviter à tout prix. Les végétariens et les cyclistes professionnels. Les premiers, parce qu’un homme qui refuse de manger une entrecôte a certainement dû être cannibale dans une autre vie. Et les seconds, parce qu’un homme chapeauté d’un suppositoire, qui moule grossièrement ses bourses dans un collant fluorescent pour gravir une côte à bicyclette n’a certainement plus toute sa tête. Alors, si un jour tu croises un cycliste végétarien, un conseil mon bonhomme, pousse-le très fort pour gagner du temps et cours très vite et très longtemps »
Leur vie est une fête ; d’ailleurs, ils n’ont de cesse de la danser, encore et encore sur un air de Nina Simone Mr Bojangles :
I knew a man bojangles/ Always danced with worn out shoes/ The silver hair, a ragged shirt/ And bare ragged paints/ The old soft shoe/ He jumps so high/ He jumps so high and/ Then he lightly touches down…
Du jazz souvent mais aussi du tango, du rock, du flamenco jusqu’à plus soif, danser sur des musiques qui lui ressemble à elle, à la fois tristes et gaies, le père toujours prêt à suivre la mère dans ses embardées et ses obsessions de plus en plus inquiétantes, tout de même. Et il y en a avec cette femme qui voussoie tout le monde à commence par les siens, jusqu’à son oiseau baptisé Mlle Superfétatoire qu’elle tient en laisse lorsqu’elle fait ses courses. Ils vivent avec des rires d’enfants comme les grands en ont parfois. Ces parents gentiment brindezingues et délicieusement timbrés s’adorent, s’admirent, s’étourdissent à la folie, laquelle, après bien des fugues depuis la clinique où on tente de la soigner pour hystérie, bipolarité et schizophrénie, finit par emporter la mère.
« Il n’y avait pas d’espace pour nous entre ses problèmes et elle, la place était imprenable »
Extravagant, léger, pétillant, loufoque, bouleversant, fantaisiste, plein d’esprit, gai, doux, poétique… : tout ce que l’on a dit et écrit de ce roman est juste. Tout à fait cela. L’allégresse est telle qu’on se retient à chaque page de chanter ce qu’on lit ; alors on le fredonne le sourire aux lèvres. Rien d’autobiographique, guère de sources familiales, ce qui est rare pour un premier roman, malgré l’épitre dédicatoire :
« A mes parents, pour ce mélange de patience et de bienveillance, témoignage quotidien de leur tendresse ».
On se dit que ça commence mal, étant entendu qu’on ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments. Mais juste en dessous, une citation de Charles Bukowski jugeant bien ennuyeuse une vie sans folie, nous remet aussitôt sur le droit chemin tordu. Il est beaucoup question, dans les commentaires que ce premier roman a suscités, de l’influence du Boris Vian, celui de L’Ecume des jours davantage encore que celui de L’Arrache-cœur. J’y ai pour ma part repéré non l’influence (que sait-on des lectures d’un inconnu ?) mais le ton, l’esprit, l’allant tant d’Alexandre Vialatte dans ses chroniques et que de Jacques Perret dans ses nouvelles. Las ! Disons que c’est du Bourdeaut. L’atmosphère rappelle une France qui n’existe plus, celle des temps de relative insouciance. Espérons que l’on n’aura jamais à dire que c’était notre avant-guerre.
Chacune des phrases de ce merveilleux petit livre suffirait à en refléter l’esprit, mais une plus que d’autre tant elle réussit à être légère dans la gravité :
« Comment font les autres enfants pour vivre sans mes parents ? »
Je n’avais pas lu depuis longtemps quelque chose d’aussi savoureux que En attendant Bojangles. Un charme fou. Dans cette rentrée, il n’y a guère d’autre que Envoyée spéciale (312 pages, 18,50 euros, éditions de Minuit) de Jean Echenoz, ses personnages qui tournent le dos à leur reflet, ses pavements d’allées de cimetières entretenus à la pince épilatoire, ses stations de de métro où quarante-sept marches réparties en trois inégales volées hissent les voyageurs vers le boulevard…. Le point commun entre le déjà vieux briscard et ce jeune premier ? L’humour bien sûr, mais surtout la légèreté, inaccessible étoile. Ces deux-là, en se faisant plaisir nous font plaisir. Pas de secret : ce qui a été écrit le sourire aux lèvres se lit le sourire aux lèvres. Même si in fine, la voix de Nina Simone et les paroles de Mr Bojangles rappellent tout ce que cette chanson a de profondément mélancolique.
(Photos D.R.)
781 Réponses pour Bojangles bien arrivé, Bourdeaut aussi
Merci pour nous avoir mis ces bulles Me Passoul, ces brins de pétillance sous les yeux en dépit du mercure sous la langue pour les beaux jours à venir.
Mais oui, mais c’est bien sûr… il est passé à La Grande Lib., O. Bourdeaut… je me disais bien…
Besoin de légèreté, bien évidemment : quand on en trouve quelque part, il ne faut pas laisser passer.
Dans la même veine, Gauchard est bien aussi http://vendangeslitteraires.overblog.com/2016/01/enferme-avec-fra-angelico-ca-va-un-moment.html
Je reconnais cette photo : c’est moi et Bérénice, il y a trois ans. J’ignorait qu’on nous avait photographié à notre insu…
Et les seconds, parce qu’un homme chapeauté d’un suppositoire, qui moule grossièrement ses bourses dans un collant fluorescent pour gravir une côte à bicyclette
–
…ben il se trouve que j’en connais un, qui commente ici de temps à autres. Par charité, je ne donnerai pas son pseudo.
Vendu.
C.P., qui est végétarien, n’a rien d’un cannibale !
C’est pas gentil de traiter notre hôte ainsi, Clopine !
Chantal Bis, pourquoi Henri ne vient-il plus commenter ici ?
Vendue toi-même, eh, pour qui quest-ce prend, l’autre…!
Un Bourdeaut(aud) nantais et écrivain.
Notre Pierre-Marie ne va pas s’en remettre.
11.24 Je vous traduis les nouvelles défraichies d’hier, même si je ne suis pas d’accord avec cette prétendue découverte. «Observation des ondes gravitationnelles à partir d’un BP Abbott binaire Black Hole fusion et al (Collaboration scientifique LIGO et Virgo Collaboration) * (reçue le 21 Janvier 2016. publié le 11 Février 2016) Le 14 Septembre, 2015at09: 50: 45 UTC les deux détecteurs de l’Observatoire Laser Interferometer Gravitational-wave observent simultanément un signal des ondes gravitationnelles transitoire. Le signal balaie vers le haut dans la fréquence de 35 à 250 Hz avec une souche ondes gravitationnelles pic de 1,0 × 10-21. Il correspond à la forme d’onde prédite par la relativité générale pour la Inspiral et la fusion d’une paire de trous noirs et l’effet de sonnette du seul trou noir résultant. Le signal a été observée avec un filtre adapté rapport signal sur bruit de 24 et un taux de fausses alarmes estimée à moins de 1 cas pour 203000 années, ce qui correspond à une portée supérieure à 5.1σ. La source se trouve à une distance de luminosité de 410þ160 -180 Mpc correspondant à un décalage vers le rouge z ¼ 0.09þ0.03 Dans le cadre de la source, les premières masses des trous noirs sont 36þ5 -4M⊙ et 29þ4 -0.04. -4M⊙, Et la finale masse du trou noir est 62þ4 -4M⊙, with3.0þ0.5 -0.5M⊙c2 rayonnée en ondes gravitationnelles. Toutes les incertitudes définissent 90% intervalles de crédibilité. Ces observations démontrent l’existence de systèmes de trou noir de masse stellaire binaire. Ceci est la première détection directe des ondes gravitationnelles et la première observation d’un binaire trou fusion noir. »
« Comment font les autres enfants pour vivre sans mes parents ? » moi, je veux bien les leur laisser pour aller danser l’tango avec béré.
A vous lire, Passou, on a l’impression qu’il s’agit là d’un roman pour rire !
Tant d’enthousiasme pour une simple pochade, rien de plus ?
Légère modification de la devise républicaine : Liberté (on verra). Egalité (réelle). Fraternité (quoi?).
Inconstant et ingrat D.
Hier vous répondiez à WGG que les ondes gravitationnelles étaient connues depuis longtemps et aujourd’hui vous vous appesantissez sur le sujet.
De même que vous étiez heureux quand Clopine (« pour qui quest-ce prend, l’autre…! ») se penchait avec bienveillance sur vos manuscrits !
De source sûre, il semblerait que PA, dans le métro, photographie les gens à leur insu en faisant mine de consulter son smartphone. Il aime beaucoup la photo et réussit souvent de talentueux clichés. Certes, mais il se trouve que les gars de la DGSE rue Mortier font un peu pareil, d’après l’amicale source d’Echenoz. Cela dit, n’allons tirer aucune leçon malveillante de notre hôte, on est ici chez lui, et c’est le robot qui veille.
J’ai l’impression que vous me confondez avec Lulu, Jibé…?
Nous sommes pourtant deux entités biologiques parfaitement distinctes lune de l’autre.
Tant d’enthousiasme pour une simple pochade, rien de plus ?
C’était surtout pour rendre un sacré service à Garcin Jérôme. Il faut savoir décoder Jibé !
Cela-dit, je confirme que les ondes gravitationnelles sont connues depuis longtemps. Et en plus j’en produit comme je veux et quand je veux, et depuis fort longtemps, Monsieur Jibé-Attila-Veneziano-Barozzi aux multiples pseudonymes.
On attend impatiemment ce que « quand le jazz est là » va nous révéler sur Bill « Bojangles » Robinson
« deux entités biologiques parfaitement distinctes lune de l’autre »
On dit toujours ça pour se dédouaner, mais avec moi ça prend pas.
Le vrai sujet en ce moment pour les banques européennes, ce sont les créances douteuses italiennes.
la légèreté, inaccessible étoile.
C’est joliment dit.
Je demandais, sur le fil précédent : » Qui nous rendra la légèreté ? « . Eh bien, voilà.
Je vais vous dire, JiBé, j’ai lu et relu les 16 pages du rapport publié hier dans la Physical Review Letters et j’ai observé qu’il y avait 1 chance sur 10 pour que ce qui a été détecté ne soit pas une onde gravitationnelle produite par les trous noirs binaires.
J’aimerais que JC me confirme cela, je ne vois pas qui d’autre ici est capable de le faire, Marcel, peut-être, mais ses passages sont devenus tellement rares.
Bref, 1 chance sur 10 de s’être trompé, c’est beaucoup scientifiquement parlant..
Maintenant, c’est peut-être moi qui comprend mal et me trompe.
Ce sera tout pour moi jusqu’à demain sinon certains vont pleurnicher en disant que je parasite ce blog. Donc arrêt des émissions.
A l’intention de Jibé : 12 février 2016 à 13 h 10
Pourquoi Henri ne vient-il plus commenter ici ?
Il écrit Henri !
Préfère Le Livre des Visages, il publie sur son profil… de temps à autre…
Là, pas de noms d’oiseaux qui fusent, de tirs à bout portant, de rosseries diverses… Enfin, j’en sais rien… j’y suis pas.
Et puis il lit (voir le blog) et il n’en finit pas de savourer ses vins (et ceux des autres, aussi…)
Mettez-lui un commentaire sur sa lecture d’Echenoz, il appréciera !!!
http://vendangeslitteraires.overblog.com/2016/01/la-creuse-pyongyang-il-y-a-un-pilote-dans-l-avion.html
Faut se méfier des petits pavés, c’est là que les talons se coincent le mieux…
Quand même, ceux de Casse-pipe… Là c’est les sabots des chevaux, qui s’y coincent ! Ou le sabre à Ferdine… I reste planté !
Pour l’inaccessibilité des étoiles, c’est ici, gérard-Jean
https://www.youtube.com/watch?v=aeUHNktbL4E
L’essentiel c’est qu’il aille bien, Chantal bis, merci.
Hélas, il faut acter la démission de Mme Dounia Bouzar qui avait quand même fait du bon boulot sur la prévention des dérives sectaires liées au jihadisme
http://www.cpdsi.fr/wp-content/uploads/2016/02/CP_CPDSI_1_fevrier2016.pdf
Elle affirme ne pas pouvoir aller plus loin, vu l’entêtement du gvt à vouloir constitutionnaliser la DDN et l’état d’u. Cette démission est d’autant plus regrettable et mal inspirée que tout le monde sait que l’affaire va finalement capoter.
Saperlipopette !
» qu’un homme chapeauté d’un suppositoire, qui moule grossièrement ses bourses dans un collant fluorescent pour gravir une côte à bicyclette n’a certainement plus toute sa tête »
Notre D. est devenu le héros par défaut d’un nouveau roman !
Après le fatal nouveau roman, le roman nouveau disjoncte .
Pas notre avant-guerre, notre belle époque ! Maintenant ça fait longtemps…
J’avais regardé aussi cette émission de la Grande Librairie où il y avait Olivier Bourdeaut, parmi d’autres…
L’histoire de ces parents qui s’aiment à la folie, en essayant chaque jour de tuer l’ennui avait quelque chose de décalé, comme il était dit: une façon de nier la réalité.
Si tous les auteurs, influents putatifs cités dans le billet concernent le « style », encore que je ne comprends pas trop pourquoi ils viennent là comme un cheveu au milieu de la soupe, c’est en dernière date, plus à » Canada » de R. Ford que cette histoire racontée par O. Bourdeaut ( pas lue) de parents qui s’aiment, dans la légèreté, l’inconscience, voire l’irresponsabilité, m’a fait penser.
Les carnets de la mère ici, ceux du père, là.
Il est super ce slow de la mort qui tue.
https://www.youtube.com/watch?v=eAW3y5l6Dm4
le lien était déjà dans le billet du jour, merci lvdb
J’avions vu, mais peu cliquent…
Pour les Valentins et Valentines:
« Que sait-on de l’amour indomptable si l’on n’a entendu Nina Simone menacer de cette voix de madrépore I pull a spell on you, ou, l’ayant entendu, si l’on n’a senti son cœur se dilacérer millimètre par millimètre ? »
In » murmures.. » dans la « Misère de la librairie ». 😉
la vie dans les bois dit: 12 février 2016 à 19 h 41 min
J’avions vu, mais peu cliquent…
La fatuité de la Tique est encore plus impressionnante que celle de Chaloux.
Elle en est arrivée à penser que ses commentaires sont plus lus que le billet.
La tête gonfle mais le cerveau se contracte.
@20h45
je ne sais d’où vous vient cette obsession pour les insectes, mais.
Mais voilà un petit récit pour vous, ils en causaient dans l’autoradio tout à l’heure; c’est également un petit récit pétillant de la rentrée 2016, à offrir à votre morpion préféré, uhuh.
« Marc Giraud a la plume joyeuse. La plupart de ses livres consacrés à la vie des plantes, des animaux et des insectes véhiculent des descriptions amusantes, ainsi que des commentaires souvent à la limite du sérieux et pourtant scientifiquement exacts. Cet humour bien troussé rend la lecture de ses ouvrages parfait pour étudier les sciences naturelles sans effort. Ou comment apprendre les sciences naturelles en s’amusant… »
la vie dans les bois dit: 12 février 2016 à 21 h 02 min
je ne sais d’où vous vient cette obsession pour les insectes,
Mais si ma Tique répugnante tu ne le sais que trop.
Un jour une mouche à me.dre a tenté d’envahir la cité des carillons, en vain, mais l’odeur lui est restée.
Jibé dit: 12 février 2016 à 21 h 11 min
Attention baroz, les pseudos peuvent être trompeurs, le garçon est peut-être une dame.
Etes-vous vraiment prêt à un tel sacrifice ?
@21h10, sorry, pour vos déboires scatos, vous avez d’autres interlocuteurs, ici.
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Je cherche d’autres extraits en partage, pour me faire une idée, autre que Nina Simone, mise 4 fois en lien dans le billet.
« Je voyais bien qu’elle n’avait pas toute sa tête, que ses yeux verts délirants cachaient des failles secrètes (..). Je m’étais dit bêtement que ma vie professionnelle était couronnée de succès, que j’étais presque riche, que j’étais plutôt beau mâle et que je pouvais aisément trouver une épouse normale, avoir une vie rangée, tous les soirs prendre un apéritif avant le dîner et à minuit me coucher. Je m’étais dit que j’étais moi aussi légèrement frappé de folie et que je ne pouvais décemment pas m’amouracher d’une femme qui l’était totalement, que notre union s’apparenterait à celle d’un unijambiste avec une femme tronc, que cette relation ne pouvait que claudiquer, avancer à tâtons dans d’improbables directions. (…) Et puis, sur les notes d’un morceau de jazz, me passant autour du cou son étole de gaze, elle m’avait attiré vers elle, violemment, d’un coup, nous nous étions retrouvés joue contre joue. J’avais réalisé que je me posais encore des questions à propos d’un problème qui était déjà tranché, je glissais vers cette belle brune, j’étais déjà sur la rampe, je m’étais lancé dans la brume, sans même m’en rendre compte, sans avertissement, ni trompe… »
Et alors, je ne sais pas. Cette comparaison avec un livre de Richard Ford me fait pencher pour l’abstention.
Tique ou Morbac, des bestioles qui n’ont pas la même fonction à la rdl mais qui s’accrochent quand même
@21h30
Quel est votre problème ?
Vous avez votre caleçon de cycliste qui vous monte au suppositoire de la tête ?
Le romanesque de l’histoire c’est bien entendu la Bonne Fée, cette « scout littéraire allemande » – description laconique qui laisse rêveur…
« Imaginez un jeune agent immobilier épris de littérature, qui aimerait écrire mais n’ose pas trop, écrasé par le poids de sa bibliothèque. »
La bibliothèque, bouffée par les termites.
Et l’éditeur se lâche aussi, questions bestioles.
« Durant dix ans il travailla dans l’immobilier allant de fiascos en échecs avec un enthousiasme constant. Puis, pendant deux ans, il devint responsable d’une agence d’experts en plomb, responsable d’une assistante plus diplômée que lui et responsable de chasseurs de termites, mais les insectes achevèrent de ronger sa responsabilité. Il fut aussi ouvreur de robinets dans un hôpital, factotum dans une maison d’édition de livres scolaires – un comble – et cueilleur de fleur de sel de Guérande au Croisic, entre autres. »
http://www.finitude.fr/index.php/auteur/olivier-bourdeaut-2/
Hum ! Comprends gudahl à cette histoire de suppositoire… Passeque le CX dans l’air aérien où y en a plus comme par exemple au Galibier ou au Signal de Botrange, i peut pas être pareil que le CX tout bonnement dans les viandes, pour bien corroborer l’acuité de mon propos comme dirait Robert Bidochon. Donc faut refaire les plans du suppôt et ensuite l’extraire à l’imprimante 3D…
Un roman qui va bien avec l’air du temps.
Entre N.-D. des Landes, le camp de Calais, les déclarations de la nouvelles ministre du logement, le n’importe quoi de la réforme Belkacem sans parler de la réforme de l’orthographe qui, paraît-il n’en est pas une, la France s’achemine lentement vers un gigantesque foutoir, mes pauvres chéris…
Au moins avec Emmanuelle on va bien s’amuser.
Franches rigolades en perspective.
Vous avez une CX, Sergio ? Confortable, mais elle pompe un max.
D. dit: 13 février 2016 à 1 h 00 min
Vous avez une CX
Non non non non pas beau.
Mais à un moment, il y avait sur Nancy un petit marché de la Jaguar (berline) à six mille euros, trois ou quatre modèles qui tournaient dans le bled ; je commençais à les connaître, à les avoir repérées, puis finalement j’ai laissé tomber…
Tout à fait, Sergio, il y a les moulés qui pédalent en danseuse de cabaret.
Et ceux qui fendent l’air.
Du temps où la matière première était chère en littérature, encre, papier, scribe, copiste ou imprimeur, on n’écrivait que si l’on avait quelque chose à dire.
Comme on dispose aujourd’hui de moyens d’expression peu couteux, numérique éphémère, autonomie, tout le monde parle par écrit, pour ne rien dire du tout.
Alors… c’était mieux avant …?
Faux problème mais bonne question ! « Les Perses » d’Eschyle ou « Merci pour ce moment » de Valéria von Rottweiler …
« L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours. »
(Le titre de la chronique me fait penser au mot de Coluche : »Ariane, troisième détecteur de vase, bien arrivé ».)
Si l’anecdotique Garcin, qui passe son temps à dézinguer les bons voire les grands écrivains, lui trouve des qualités, l’auteur devrait en concevoir une légitime inquiétude, d’autant que le poussif extrait cité n’incite pas franchement à lire le reste.
Bref, pensons à autre chose.
(Lu 120 pages de Proust, Une Vie à s’Ecrire de Jérôme Picon, Flammarion, qui -jusque là- n’apporte rien à un proustien moyen, mais qui du moins se lit.)
Bon week-end,
Posons la question autrement, à la lecture des « critiques » de ce nouveau roman de Boris Vian..
Y aurait-il une édouardlouisation de la littérature branchée parisienne ?
Le problème vient surtout, étant donnée l’étroitesse du milieu dit « littéraire », qui semble le plus souvent très éloigné de toute littérature, de ce que les critiques doivent rester crédibles entre eux et que le reste n’a pas la moindre importance du moment que la ménagère de moins de cinquante ans suit le flûtiste jusqu’au bord du fleuve.
« du moment que la ménagère de moins de cinquante ans suit le flûtiste jusqu’au bord du fleuve »
Soyez cohérent: jusqu’au bord de la Seine.
« Cohérent » : jusqu’à la caisse.
Je n’ai pas écrit « Paris » parce que je me demande jusqu’à quel point Paris a encore de l’influence sur Paris. Comme capitale des nouvelles barbaries, c’est possible, pour le reste beaucoup moins. Temps pour relire le livre de Michel Henry.
Bonne journée,
GRAND CONCOURS LITTERAIRE DU WEEK END
Les anciennes gloires de la BD, les Pieds Nickelés Filochard, Ribouldingue, Croquignol, sont vivants de nos jours, supportés par d’illustres personnalités nationales :
– hommes politiques
– écrivains
– critiques littéraires
Lesquels ?
(premier prix : une semaine en camping-car à Calais ; second prix : deux semaines ; troisième prix : trois semaines …)
Bien entendu, sont hors-concours les hommes politiques suivants, tout à fait représentatifs de ce qui se fait de mieux comme Pieds Nickelés modernes : HOLLANDE, AYRAULT, BAYLET, qui sont déjà récompensés par notre profond mépris citoyen…
Madame Verniglia est complètement aphone… mais à lecture des commentaires de JC elle lève vigoureusement le majeur de sa main droite avec un pétillement dans les yeux et un sourire sardonique
« Ripostes » du samedi matin (FC). J’étais bien étonné de l’échange courtois bien qu’un peu aigre-doux entre Le Goff et Caillé, alors qu’il me semblait bien avoir voisiné naguère dans un ouvrage commun. Vérification faite, c’est exact :
http://www.persee.fr/doc/homso_0018-4306_1996_num_121_3_3486
Ils sont aujourd’hui en désaccord sur la manière de se poster face à l’hubris de l’économie mondialisée, de la fin de la croissance vu la raréfaction des ressources de la terre. A la fin de l’émission cependant, ils ont pu clarifier leur propre histoire intellectuelle sur la question des messianismes rétrospectifs et prospectifs discutés. Un échange fort éclairant somme toute, sur des préoccupations parcourant nos consciences occidentales augmentées, bien éloigné du pichrocolisme de bazar de la réforme cirgonflexe qui tient encore le haut du pavé chez quelques attardés ici. A leur décharge, convenons que le dernier roman recensé sur la Seine n’a pas vraiment de quoi faire se soulever les masses populaires non plus.
Vers où diriger le majeur de cette étudiante, sinon au plus intime de ses convictions ?
« …/… de quoi faire se soulever les masses populaires non plus. » (Javert, étalon)
Même le PCF ne peut plus faire se soulever les masses populaires, même Mélenchon piège à c.ons ne peu plus, même Marine la Blondasse ne soulève pas les masses : les masses ont disparu !
Reste des loups solitaires se prenant pour des individus…
SAINT VALENTIN
« Le président pakistanais Mamnoon Hussain a appelé la jeunesse de son pays à ne pas célébrer la Saint-Valentin. L’origine catholique de cette fête, et son catactère occidental, irritent les conservateurs de ce pays très majoritairement musulman.
A Peshawar, capitale de la province du Khyber-Pakhtunkhwa, l’assemblée locale a voté à l’unanimité en fin de semaine une résolution interdisant la fête des amoureux. »
Les choses sont claires.
Amoureux, mes frères, mes soeurs ! vous souhaitez fêter votre folie, nager dans l’érotisme fêtard, barboter en dehors des règles dans le stupre joyeux de l’amour gai, vivre normalement sans ces tyrans de carton-pâte ? … convertissez vous !
Ce n’est pas « Ripostes » mais « Répliques », mon bon Javert…
On veut de l’Amour, JC !
Qu’est-ce qu’ils ont nos distingués théoriciens-practiciens (critiques et écrivains) littéraires : Golem pour Passou, Vampire chez Paul Edel !
A croire que pour eux, la littérature du XXIe siècle devra être horrifico-fantastico-monstrueuse ou ne sera pas ?
L’ombre de l’auteur du monstrueux roi des Aulnes rôde encore ?
Déjà que les fous d’Allah cherchent à nous terrifier avec leur Dieu de sang, dépouillé de toutes traces d’amour pour ses créatures !
Vive la saint Valentin !
Pour ceux qui lisent au lit et qui voudraient que ce soit encore plus « culturel » :
Si la chambre Van Gogh est prise, neuf autres tableaux où passer la nuit :
JiBé,
Le problème est que l’amour est une faiblesse !
Regarde Fleur Pellerin : elle aimait la France à un niveau bien supérieur à celui du bolo né en Basse Bretagne, ou dans les Hautes Alpes….
Résultat, c’est un modèle d’intégration, c’est une « héroine »… elle ne ment pas, elle est humaine…. Elle aime la France, mais la France des crapules ne l’aime pas !
Intermittences….
Quittons nous sur la naissance d’une cinquième religion, ce matin, ici même ! …
Nous avions :
– juiverie lamentable
– christianisme castrateur
– islamisme dément
– bouddhisme impuissant
Nous avons désormais :
– cupidonisme orgasmique
Grand-prêtre mondial : Jacques Barozzi
(Envoyez vos dons en espèces, poste restante, Porquerolles France)
« Vive la saint Valentin ! »
Yes, mais dans ce roman cul-cul la prââline pour ados attardés, prisé de la critique parisienne, autant que par les adeptes du « roman familial », on fête la sainte Georgette.
Je préfère le madison.
https://www.youtube.com/watch?v=6qxm7f8_Urc
« Tu sais qu’elle ne jure que par le jazz. -Je dois t’avouer, dit Pat en baissant le nez, que depuis six mois j’ai acheté une trompette de jazz et que je prends des leçons […] Il y aura comme guitariste Chaput et les trois autres ont déjà fait tous les tournois de jazz […] Ils entendirent une note sortie du gosier d’une trompette, note tenue, suraigüe, étincelante […] Un stomp allègre dont les notes cuivrées s’égrenaient, magnifiquement soutenues per un fond de contrebasse, guitare, piano et batterie […] Quelques brefs éclats du cuivre et du saxo, et un fox irrésistible entraînait dans un mouvement rythmé […] Venez répéter au Hot Club avec nous. C’est sympa, vous y trouverez Ekyan, Chiboust et les autres […] Jacques, rue Chaptal, attendit dans la discothèque […] C’était Joseph Reinhardt qui entrait. Jacques écoutait un disque de la collection du HCF. Delaunay, assis à son bureau […] Pat détaillait les premières mesures d’un air léger mis à la mode récemment par le quintette, et les cinq se perdaient dans une improvisation magistrale […] Tenez, dit Delaunay, en tendant un saxo à Pat […] Pat exécuta un contrechant magnifique au solo de Barelli. La batterie s’était déchaînée et dans la petite cave […] Spectateurs qui oscillaient, possédés par le swing terrifiant qui émanait du jeu de Pat. Le morceau allait se terminer, trompette et saxo, quand débuta un chorus de clarinette. Rostaing était arrivé, accompagné de (illisible) qui prit le chorus d’après sur son saxo ténor et ils finirent l’air dans un mouvement puissant, sous les applaudissements […] Pour la première fois en France, l’orchestre de Pat du Mont va jouer pour vous quelques morceaux de jazz. Tout d’abord, voici En swinguant à Pleyel. Le morceau, excellent, comporta un solo de trompette de Pat […] Dans le morceau suivant, après un éclatant début de l’orchestre, on pouvait entendre une série de solos de Pat, séparés par des breaks de batterie destinés à lui permettre de changer d’instrument […] Les vieux vendeurs de programmes eux-mêmes s’agitaient, frénétiques, emportés par le démon du swing […] Avec cinq donzelles des plus swing ».
http://litteratureetjazz.blogspot.fr/search/label/VIAN%20Boris
C’est pas de votre Faust.
P’tain, ce qu’écrit le Boris…. c’est nul ! minable ….vieux… et pourtant, il mérite de rester vivant éternellement, le bougre.
Mais pas pour cet extrait de m.erde !
Alors z’avez vu le Golem de l’Assouline à lgl, mes petits chéris ?
De Paris vient de partir un cortège funèbre d’ambulances et d’infirmiers psychiatriques, avec comme objectif neutraliser Mutti Merkel, manifestement devenue folle car atteinte de migrationnite aigue.
Terrible pour une femme aussi remarquable de se pisser dessus à ce point là. La vieillesse est un naufrage …. européen.
Ce qui est drôle dans l’émission LGL, c’est que notre Passou est assis à côté d’une véritable bombe sexuelle et qu’il fait semblant de s’intéresser à son roman…hyper drôle…
Javert est-ce que ta danseuse, un peu crado, de 13h48 aurait un extrait plus, disons moins, enfin tu vois, quoi.
Mets-y les formes. Rue des ravissantes, on a l’ouïe fine.
Ce qui est drôle aussi, c’est que notre bon Passou est assis juste en face de Carrère, qu’il a largement contribué à évincer du Goncourt…. Et petite cerise sur le gâteau, la deuxième partie est consacrée à BHL, le grand copain de notre Passou…
Ce Busnel, mes petits chéris, c’est un vrai roublard…
Le poltergeist a enfourché son vélo dégonflé…
« les paroles de la chanson Mr Bojangles »
Please, Angel, dance.
Widergänger dit: 13 février 2016 à 13 h 56 min
Ce qui est drôle dans l’émission LGL, c’est que notre Passou est assis à côté d’une véritable bombe sexuelle et qu’il fait semblant de s’intéresser à son roman…hyper drôle…
–
une blonde gravitationnelle ?
Ouais, elle émet des ondes golémisées qui disent : EMET, EMET, EMET…
Belle réplique d’Annelise Roux au détritus de JC sur la République du Cinéma… et paf !
Le plus drôle de l’émission « la grande librairie », c’est l’étonnant masque de terre cuite qui parle : BHL explique –toujours avec sa manière de prêcheur emphatique- Moïse et quelque chose d’assez obscur , qu’il « voit des voix »,un truc auquel j’ai rien compris.
Plus drole encore, les malicieux cadreurs de l’émission qui ne ratent rien du profil parfait de Camille de Peretti, jolie femme brune , à chemisier blanc ; sa mini- jupe élégante, toute en lignes blanches et noires , qui met en valeur ses admirables jambes tres pub pour Dim.. ça s’achève par des talons aiguilles bien choisis. L’insistance des cameras sur cette fille superbe rejette un peu en arrière plan tout ce qui disent les invités. C’est la dynamique du spectacle télévisé.Allez parler de votre bouquin à côté d’une Sharon stone.. la guerre de troie a été déclarée pur une superbe nana..
Et Busnel plutot amusé de tout ça et de mettre des ennemis en face à face obligés de se sourire… Et puis cerise sur le gateau le belappartement d’Echenoz, tres clean avec sa lampe pipistrellesur une table-bureau en bois chaud ,après que la femme de ménage ait passé avec chiffons et encaustique.
Annelise Roux : sensibilité, discernement, mesure, charme, intelligence utilisée à bon escient : tant de choses qui l’éloignent de JC.
« L’insistance des cameras sur cette fille superbe rejette un peu en arrière plan tout ce qui disent les invités »
… pas pour les spectateurs.
J’ai vu ce matin sur les présentoirs un bouquin, encore un, qui fait dans le sensationnel.
http://www.albin-michel.fr/Jean-Moulin-l-ultime-mystere-EAN=9782226319166
un peu d’énervement. Sans plus.
D. dit: 13 février 2016 à 15 h 40 min
en effet
« assis à côté d’une véritable bombe sexuelle »
attention à ne pas froisser – daaphnée la vengeance sera terrible
« L’insistance des cameras sur cette fille superbe rejette un peu en arrière plan tout ce qui disent les invités »
Paul Edel, qui devait rêver devant sa télé de romaines anorexiques.
En fait, il y avait un plan fixe, terrible.
La jeune femme regarde envoûtée, Gustave de profil.
Comme elle s’est pris un scud, après, cela est passé inaperçu.
Profitons de la mi-temps :
Sensibilité, discernement, mesure, charme, intelligence utilisée à bon escient, Annelise Roux à ses vertus, j’ai les miennes …
On appelle ça, la diversité.
Paul Edel plus versé dans la pub collants ne nous dit rien.
Mais c’est sympa, ça !
Camille de Peretti a aussi écrit sur la Marquise.
Je ne sais pas pourquoi…
Camille de Peretti m’est infiniment sympathique.
Les incultes qui, à la tête de l’État, ne pensent qu’à leur réélection, choisissent comme ministres de la Culture des femmes qui sont supposé tout savoir, avoir tout lu, vu, entendu. Siège éjectable. Le Général garda Malraux pendant toute sa présidence, malgré des couacs embarrassants.
Les Français ont voté Hollande pour se débarrasser du Nain teigneux. Qui les débarrassera de Bisounours? Misère…
« Qui les débarrassera de Bisounours? »
FH pas assez réac pour bilho
Le problème est plus large que cette présence incongrue du Petit Bedonnant qui gêne à l’Elysée, se croyant toujours à Solferino.
Il faut débarrasser la France des Français !
Par bonheur, le process engagé sous Giscard est en cours …
Débarrasser la France des Français? Vaste programme…
Paul Edel dit: 13 février 2016 à 15 h 40 min
la guerre de troie a été déclarée pur une superbe nana..
D’où l’intérêt du Blitz, parce que dix ans après… Enfin ça va s’arranger, maintenant on va vivre six siècles…
Croyez vous qu’une guerre de Troie puisse être déclarée pour une superbe nana comme Hélène, embarquée au Ciel par le juvénile Paris, niais parmi les brutes ?!…. Tiré par le chignon, ce truc homérique. On est dans la com, là ! Complètement dans la com. hellène !
Soyons raisonnables, géopolitiquement !
Donnons tout notre appui au tyran de Syrie Bachar al Assad afin que la terreur non-chaotique règne à nouveau dans ce pays, merveille du monde antique.
Donnons tous notre appui aux kadhafistes libyens qui tentent de reconstituer un clône de notre cher Mouammar, homme d’ordre terroriste, à partir de ses restes sanglants.
Il y va de notre civilisation.
Fabius-escroc était trop psychorigide pour le faire, Ayrault-zéro est celui qui réalisera ce projet salvateur !
JC….. dit: 13 février 2016 à 18 h 40 min
Fabius-escroc
jc le petit provocateur fhaine
Je rappelle que, bien qu’ayant été chacun de confession juive, Antoinette Sachs n’eut jamais rien à voir de près ni de loin avec l’ignoble Maurice Sachs.
http://salon-litteraire.com/fr/histoire/review/1938638-antoinette-sachs-une-fidele-d-entre-les-fideles
Décidément, vous en êtes encore là, ici… Je n’ai pas vu l’émission, ni ne connaît Camille de Peretti, mais franchement, C’est pathétique, parce que vous ne vous rendez même pas compte de votre machisme,et surtout de son côté minable… Ah là là.
« l’ignoble Maurice Sachs »
…Qui a tout de même laissé quelques grands livres.
Quelle confrérie de concierges illettrés cette république…
Chaloux dit: 13 février 2016 à 20 h 17 min
Quelle confrérie de concierges illettrés cette république
Clopine, définitivement un cas à part… dit: 13 février 2016 à 20 h 16 min
et surtout de son côté minable
Clopine, Chaloux.
Les ego sont lachés et la gaieté passe un mauvais week-end.
Ah, si Onfray n’avait pas été beau gosse on n’en serait pas là.
Et BHL hein !
T’en pense quoi toi de la chemise de BHL ?
@19 h 15 min
Manifestement vous n’avez pas non plus regardé le Grande Librairie, jeudi soir.
Elle est en replay. J’ai donné le lien sur le fil précédent.
Mais si Camille de Peretti vous intéresse, je reviendrai bien volontiers en dire quelques mots, lorsque j’aurai pu lire un petit livre de cette écrivain.
Elle a dans cette émission présenté le sujet de son roman de manière très impliquée. Et pour cause.
J’ai trouvé cela très classe.
Miroir, mon beau miroir dit: 13 février 2016 à 20 h 21 min
Guette-au-trou ne prend jamais de vacances. Une insulte et une trouvaille de cornichon répétées ad nauseam : il est au taquet…
@ 19 h 08 min
Ce livre de Péan est un roman. Autant dire que les bâtards de l’Histoire vont se compter.
la vie dans les bois dit: 13 février 2016 à 20 h 35 min
je reviendrai bien volontiers en dire quelques mots
Non, non, merci, n’en faites rien, ne vous donnez pas ce mal,
on se fout de votre avis, en tout.
Etre ou ne pas être dit: 12 février 2016 à 13 h 16 min
Je suis nantais quand j’y vais (souvent) et écrivain quand j’écris !
La jalousie est une perte de temps.
(Et merci pour la pub, toubib !)
Chaloux dit: 13 février 2016 à 20 h 37 min
ad nauseam
Et vous vous y connaissez Chaloux,
avec des longueurs je vous l’accorde.
Miroir, mon beau miroir dit: 13 février 2016 à 20 h 45 min
Toi mon pauvre ami, ce ne sont pas des longueurs, c’est l’agonie d’un bègue décérébré…
Ce patronyme s’écrit de diverses manières, mais a une seule origine : une forme ancienne de « bordel ».
J’ai oublié quel conseiller enjoignait quel roi médiéval de s’occuper des affaires du royaume plutôt que d’aller traîner dans les bourdeaux hors la ville.
Ma sainte grand-mère n’a jamais su ça sinon, elle nous aurait quittés plus tôt.
Chaloux dit: 13 février 2016 à 20 h 49 min
c’est l’agonie d’un bègue décérébré
Toujours l’insulte à la bouche, le Chaloux va trottinant.
@ 20 h 43 min
Camille de Peretti a le même âge qu’Olivier Bourdeaut.
l’agonie d’un bègue décérébré…
________
Beau titre pour un roman…
Miroir, mon beau miroir dit: 13 février 2016 à 20 h 53 min
Essuie derrière toi, avant de sortir. ce sera plus correct. Et accessoirement lâche-moi.
@ 20 h 43 min
mais Camille de Peretti a plus de choses en commun avec Amélie Nothomb.
Chaloux dit: 13 février 2016 à 20 h 54 min
Essuie derrière toi, avant de sortir
Ah l’humour !
la vie dans les bois dit: 13 février 2016 à 20 h 54 min
Camille de Peretti a plus de choses en commun avec Amélie Nothomb.
Euh!!!!!!!!!! ???????????
Camille possède un chapeau ?
« C’est pathétique, parce que vous ne vous rendez même pas compte de votre machisme »
Je ne vois pas ce qu’il y a de machiste à être en admiration devant la beauté d’une femme, surtout si on lui reconnaît d’autres qualités plus intellectuelles par ailleurs…
Vous crevez de jalousie, Clopine.
Lisez cette interview remarquable de Camille de Peretti:
http://www.elle.fr/Societe/Interviews/Autisme-mon-fils-ma-bataille-2938214
Relire une dernière fois, sur ce livre de Mr Bricolage:
« Extravagant, léger, pétillant, loufoque, bouleversant, fantaisiste, plein d’esprit, gai, doux, poétique… : tout ce que l’on a dit et écrit de ce roman est juste. Tout à fait cela »
et réécouter Mr Bojangles, le plus mieux bien.
https://www.youtube.com/watch?v=7t-2GeZFDdc
On lirait bien le livre d’Edwards. La petite Peretti a beau être mignonne, elle ne méritait tout de même pas que Paul Edel brûle pour elle son avant-dernière goutte de testostérone, par écran interposé de surcroît.
La prestation muette de Pierre Assouline, très réussie.
« Je me suis documenté, comme vous Camille », excellent.
On regrette que la réflexion sur la solitude, qui rappelle les beaux livres de Marie-Madeleine Davy, soit écourtée.
…
…depuis,quelques jours,!…une constatation personnelle,!…Van Gogh,…copiait,…Millet,…
…
…le reste,…un peintre de surfaces,!…couleurs vives sorties des tube,!…et faire de la tapisserie d’effets de contrastes empattés en reliefs,!…
…
…quel esprit tourmenté,!…même pas,!…
…s’en remettre à l’effet de contraste sur surfaces,!…
…
…le contraire du style sérigraphique,!…
…tout ses plats posés une à une en aplats,!…
…
…Oui,!…Porqueroles existe,…une photo des environs de 1900,!…
…
…nous somme au demeurant,!…devant le fait accomplis,!…de prévoir un système de déchéance des personnalités au pouvoir, comme une usurpation de fonction et abus du pouvoir,!…dans le fait accomplit, d’avoir déroger aux promesses électorales,!…les chambres doivent s’autorisés la rétrogradations des personnes qui trahissent, leurs partis leurs fonctions, en fonctions du peuple gouverné en » magistère dans les misères « ,!…
…
…et encore mieux, il faut établir le salaire égal pour tous, hommes femmes et ce dans toutes les stratifications sociales, comme marque de respect et d’égalité, envers notre humanisme héréditaire d’être nous même,!…au dessus de nos persécuteurs du profit, comme victime du brigandage des votes électoraux,!…jeux sanglants de duperies du pouvoir,!…par ce système de tyrans diaboliques à renverser au plus tôt,!…
…
…demain, c’est déjà trop tard,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…
Un chapeau sur un chignon d’un mètre cinquante de haut, c’est encore plus acrobatique qu’un curé sur un toit comme dirait le camarade Botazzi…
En expliquant l’incipit des Choses de Perec, je me suis dit que le parallèle avec le poème de Baudelaire « La chambre double » était pertinent.
Mais à la dualité bien visible de la chambre, symbole de l’idéal d’un côté et du Spleen de l’autre, on voit alors que Perec mêle étroitement dans une même coulée une projection imaginaire d’un cadre présenté comme un idéal de confort bourgeois une ironie qui le mine de l’intérieur, sorte d’équivalent du Spleen baudelairien. C’est très habilement fait par Perec. Chaque phrase est écrite pour construire cette fondamentale ambiguité qui n’est guère lisible lors d’une première lecture naïve. Ainsi « l’œil », premier mot du récit, signale autant la focalisation interne du récit d’une sorte de visiteur anonyme (espèce d’équivalent moderne et approprié de la figure du touriste pour présenter au lecteur Verrières dans Le Rouge et le Noir de Stendhal) que l’œil d’une conscience qui juge avec une certaine distance critique cet intérieur bourgeois, équivalent, mais déformé et ironique, de la philosophie de l’ameublement, chez Edgar Poe, que Baudelaire met en scène dans « La chambre double » à la semblance de son maître en la matière. On ne se rend pas compte de prime abord, ici, chez Perec, tellement c’est bien composé, combien la description est au service d’une malicieuse et méchante méditation sur l’idéal de la vie en ce début des années 60, où naît la société de consommation et où les choses commencent à envahir notre univers au point de le rendre oppressant tout en visant un idéal de bonheur. Cette ambiguité essentielle crée une atmosphère d’inquiétante étrangeté qui est le fruit d’un grand art, un art ciselé au micron près. En le relisant, j’ai été frappé par le travail de ciselure (précision du vocabulaire, rythme des phrases sinueuses, souvent labyrinthiques, comme autant d’indices du mal au sein de cette recherche éperdue du bonheur), les allusions à Flaubert et son héros Frédéric, anti-héros par excellence et raté de première ordre, etc..
… une « trompette de jazz »?
! c’est quoi une « trompette de jazz »? un bugle, un cornet une trompette? bon, étant donné le contexte je suppose qu’il s’agit d’un bugle, mais un minimum de précision aurait été bienvenue…
Aujourd’hui, 14 février, Saint Valentin, la Fête des Amoureux s’impose à nous comme un moment à ne pas louper sous peine de représailles.
Dites lui : « JE T’AIME, MON AMOUR »
…un mensonge de plus ou de moins !…..
« Ils entendirent une note sortie du gosier d’une trompette, note tenue, suraigüe, étincelante […] »
Avec ça on écarte le bugle, mais alors il s’agit d’une trompette sib ou d’un cornet? voyons, puisqu’il dit qu’il prend des leçons il pourrait s’agir d’un cornet… c’est vrai qu’un dessin aurait aidé… c’est aussi vrai qu’un dessin demande plus de précision que ce quelques mots alignés (à ce propos voir Nabokov)…
Aujourd’hui, JC, on ne fête que les Valentins.
Le reste est une opération commerciale dont les gogos sont victimes…
un air de Nina Simone Mr Bojangles :
Jamais aimé Nina Simone. Affaire de timbre de voix, côté hommasse. Souvenir pénible d’un concert à la pinède Gould. Le charme du lieu ne parvenait pas à contrebalancer la laideur de la voix.
Jamais autant qu’avec Nina Simone le mot « boeuf » pour désigner une impro jazz ne m’a paru aussi approprié, mais malheureusement dans une acception péjorative.
Dites lui : « JE T’AIME, MON AMOUR »
Je t’aime, JC, mon amour.
« Aujourd’hui, JC, on ne fête que les Valentins. Le reste est une opération commerciale dont les gogos sont victimes… » (Dédé le Martien)
Non ! C’est pas possible ! … ah ! ils m’ont bien eu….. Gogo, le bolo !…. mon Dieu, mon dieu !
« Je t’aime, JC, mon amour. » (Javert, étalon)
Moi aussi, mon bébé, je t’aime !
Préférer, pour le tube sur le danseur Bojangles, Samy Davis Jr à Nina Simone, une interprète à la voix effectivement déplaisante.
21.24 les livres de M-M. Davy sur la solitude existentielle de ses personnages historiques, furent de belles méditations, quoiqu’un peu usagées aujourd’hui, convenues du moins. Elles s’expliquaient assez par le dépit amoureux dont cette icône protestante souffrit longtemps à l’égard du cardinal Baudrillart, pas très sympa avec elle. De l’histoire très ancienne Chaloux, pas de quoi nous faire le coup du ténébreux incompris par manque de Valentine. Quant à votre ‘culture littéraire’, elle reste tout à fait dans la moyenne de celle qui sévit à la rdl. La preuve, vous en êtes ! pas de quoi se singulariser par rapport à wwgmichellvdbalbapejcdclopcrisdafetc et autres trolls.
Fini le livre cette nuit – bon.
J’ai été faire un petit tour sur la toile pour en savoir plus sur « M. Bojangles ». D’abord, un petit mensonge par omission du livre : ce n’est PAS « une chanson de Nina Simone », c’est une chanson interprétée par Nina Simone, nuance.
L’interprétation de Sammy Davis Junior est effectivement tout aussi légitime. Cette chanson, c’est un numéro de claquettes au-dessus d’un précipice : la fameuse élégance qui, devant une situation catastrophique, reviendrait à faire de l’humour, à « danser dessus » – le sourire devant le désespoir.
Sammy et Simone partageaient tous les deux, au plus haut point, cette nécessité : ex-aequo, donc… (le reste est une affaire de goût).
Pas pu découvrir l’interprétation d’un Arlo Guthrie, lunaire interprète étiqueté 1970 à fond la caisse : je ne vois pas trop le rapport entre « Alice’s restaurant » et « M. Bojangles », ça m’aurait pourtant intéressée…
Maintenant que j’ai débroussaillé, quid de ma lecture ?
Euh, ben…
Plus qu’à Vian, ça m’a renvoyée à un roman (en trois copieux tomes cependant), lu il y a longtemps et que je croyais tombé dans l’oubli sans fond des étagères obscures de ma mémoire : ça s’appelait « Vie d’un Païen », de Jacques Perry, il y avait dedans le récit d’une aventure avec une femme que le héros « percute » dans la rue et dont il partage la vie dans l’ignorance la plus absolue de ce qu’elle est (son identité, ce qu’elle faisait avant, etc.) – cette ignorance étant le gage de la possibilité de leur histoire. Torride, évidemment l’histoire en question, et se terminant comme elle avait commencé : l’absence définitive…
Ici, vous remplacez l’ignorance par la folie, et le tour est joué.
Bon, vous me direz que ma déception me fait être injuste. Le tour de main de M. Bojangle vient du regard de l’enfant sur tout ça, le récit se déroulant à deux voix : celui du père-mari, celui de l’enfant.
Oui.
Mais en aucun cas l’héroïne n’est crédible. Enfin, à mes yeux. C’est un livre qui date, (c’est peut-être pour ça que Perry m’est remonté en surface ?) un livre du vingtième, je ne dirai pas finissant, même pas : un roman de 1950.
Ca a du charme, notez. Plein de charme. Et puis ça fait du bien, des héros non culpabilisés par l’ambiance actuelle, et se pintant la tronche (en entraînant le mioche, d’ailleurs), avec autant de bonne grâce et d’appétit qu’une employée de bureau fonçant sur son sachet de fraises tagada (hit absolu de la fonction publique !) avant de taper son premier compte-rendu de la journée.
Sauf qu’il faut être condamné à mort pour s’autoriser une telle légèreté : ça plombe un peu.
Je ne regrette pas ma lecture, non… Mais j’aurais voulu… Il faudrait… Oh, le fond de ma pensée est simple : pour qu’une héroïne soit lumineuse et gaie, faut-il vraiment qu’une fois encore, elle meurt au troisième acte ?
« une opération commerciale dont les gogos sont victimes… »
gauchiste! bobo! ideologue !
« une opération commerciale dont les gogos sont victimes… »
Stalinien!
Clopine, le rapport entre « Alice’s restaurant » et « M. Bojangles » est peut-être… Arlo Guthrie La version d’Arlo Guthrie est peut-être celle qui reflète le mieux l’ambiance Flower Power de 1968
http://noutnoute.skyrock.com/2265969795-Arlo-Guthrie-Mr-Bojangles.html
Malheureusement le lien pour écouter ne mène nulle part.
Sinon, vous avez décidé de compléter la réforme de l’orthographe par la mort du subjonctif ? « faut-il vraiment qu’une fois encore, elle il meurt au troisième acte ? » -o)
« Oh, le fond de ma pensée est simple ».
En effet !… tout ce verbiage pour en arriver à de telles platitudes
Wrong way, Lucy : on ne donne pas de leçons à une Clopine, on en reçoit et on en sourit d’aise….
pour celles qui n’aiment pas nina simone, malgré la StV., n’en dégoutons pas les autres, et allons plutôt voir du côté de mahalia jackson. Elle provoque en général des phéromones d’amour du prochain dont on a bien besoin.
https://www.youtube.com/watch?v=OLZcoDsPUkI
Que Mahalia Jackson ramasse du coton et qu’on n’en parle plus, bon dieu de dieu !
« Malheureusement le lien pour écouter ne mène nulle part. » (Lucy)
Forcément, comme dirait Martin, ces chemins ne mènent nulle part. Les imbéciles du Flower Power de 1968 ont sombré avec l’âge, comme sombrent les imbéciles du Climat Power EELV de 2016 !
Plus les idéologies sont stupides, plus vite elles coulent … malgré l’amour du capitaine de pédalo. Il faut bien que les enfants rêveurs s’amusent…
Le plus m’as-tu vu :
Bill « Bojangles » Robinson, King of the day
http://www.youtube.com/watch?v=NusZgfCQ634
Vivement Camille de Peretti porte-parole du gouvernement!
gardel dit: 14 février 2016 à 13 h 13 min
« Vivement Camille de Peretti porte-parole du gouvernement! »
Ob sé dé !
JC….. dit: 14 février 2016 à 11 h 59 min
triste fin – surplus de brêles à pq
http://p8.storage.canalblog.com/85/56/177230/15304969.jpg
Condamné à mort, condamné à mort… Si c’est par contumace, encore !
Le gus qui se fait gauler à compter les marches sûr i va au ballon…
Lavande dit: 13 février 2016 à 21 h 05 min
MERCI pour ce témoignage grave et lucide. Que de tendresse, d’endurance, de combattivité de la part de ce couple.
Y a plus personne qui postent ils ont tous déserté sur le site de la brune, là… Et ça y va, hein !
cricri en but à ses cochonneries en levrette qui sentent bon le bouc émissaire tétu..elle copie lassouline mais elle yarrive pas
Oui, Christiane ; cela nous change des aboiements de votre copain JC Topor
boit les cocktails au goulot
.. »salo de pasolini » que ça s’appelle..n’importe quoi direc du shaker..plein le plastron..même dsk me trouve dégueu
« Comment font les autres enfants pour vivre sans mes parents ? »
..comme la police sans 51
L’atmosphère rappelle une France qui n’existe plus, celle des temps de relative insouciance
..c’est le jenfoute absolute et au goulot par les temps qui courent
..le babtou..toujours ses pognes sur la femme noire
L’allégresse est telle qu’on se retient à chaque page de chanter ce qu’on lit
..bitocu madame bertrand..mais je m’égare lassouline est un inconnu..que sais je de ce qu’il lit
Un couple s’aime passionnément sous les yeux de leurs fils, un adolescent spectateur
..un branleur
Oui, Rolando. Ce témoignage est très proche de celui de Sandrine Bonnaire dans le beau film-documentaire qu’elle a présenté en 2006 : « Elle s’appelle Sabine ».
Un portrait de sa sœur, autiste, réalisé patiemment avec les photos et les petits films qu’elle a tournés sur une période de 25 ans, et se terminant par un reportage pudique sur sa vie aujourd’hui dans une structure adaptée. ‘Le film évoque une personnalité attachante dont le développement et les dons multiples ont été broyés par un système de prise en charge défaillant. Après un passage tragique de cinq longues années en hôpital psychiatrique, Sabine reprend goût à la vie, même si ses capacités restent altérées, dans un foyer d’accueil en Charente. »
J’apprécie donc les efforts de ces parents auprès de leur jeune enfant autiste.
Quant à JC…
Tiens c’est marrant le type de 10h18 m’a piqué mon pseudo!
Je plaisantais, évidemment. Beaucoup apprécié cette intervention.
« à wwgmichellvdbalbapejcdclopcrisdafetc et autres trolls. »
Et moi, je suis pas nominé !
« Bannie de son ministère, Fleur Pellerin invoque #Shakespeare, et sourit »
J’ai pas compris son message, vous oui ?
http://www.causeur.fr/tariq-ramadan-islam-nationalite-francaise-36708.html
Très bel article de Causeur contre le sinistre Ramadan. Merci de nous l’avoir fait connaître.
Bouguereau est revenu. Je vais m’endormir heureux ce soir.
Bitocu. Lassouline. Keupu. Jeanfoute. Plein le plastron. Bouguereau, je t’adore, ne nous laisse plus.
« Depuis 10 ans, des Juifs sont tués par un antisémitisme français » (Klarsfeld)
Par i24news
Publié: 14/02/2016 – 20:47, mis à jour: 21:13
Paris/Jaffa présenté par Eléonore Weil – 14/02/2016
http://www.i24news.tv/fr/actu/international/102875-160214-depuis-10-ans-des-juifs-sont-tues-par-un-antisemitisme-francais-klarsfeld
Un pot de chambre, pour trouver ça, encore ! Bernardaud ça m’étonnerait… Reste plus qu’à éventrer un bidon dde deux litres ça devrait suffire… Mais de la Motul, hein ! Ca sentira la mécanique dans toute la piaule…
christiane dit: 14 février 2016 à 20 h 13 min
« Oui, Rolando …/… Quant à JC… »
Souvent femme varie, bien fol est qui s’y fie ! Il aura suffit d’un gigolo rigolo Rolando pour mettre à mal, le lendemain de la Saint-Valentin !, une relation affective puissante qui m’avait conduit à faire repeindre mon scooter rose… !
Ce « Quant à JC », après une tirade sur l’autisme, détruit ce qui fit de nous les Romeo et Juliette du IIIème millénaire…
Adieu Christiane : je ne t’oublierai jamais !
(…je vais passer une annonce sur e-bay et vendre mon scooter rose : la peinture est offerte, mes œuvres complètes dans la boite à gants…)
« L’interprétation de Sammy Davis Junior est effectivement tout aussi légitime. »
Par quels critères on définit une interprétation légitime ou pas légitime?
En Iran, les mariées ont moins de neuf ans
« Le Comité des Droits de l’Enfant des Nations Unies (CRC) qui réunit régulièrement ses dix-huit experts indépendants pour suivre cette question à travers le monde, a procédé à l’examen des lois dans quatorze pays dont l’Iran.
Dans leur rapport final du 4 février, les experts s’alarment de la législation en Iran qui légitime le viol conjugal, la peine de mort et la torture des mineurs. Les experts dénoncent la discrimination dans les Codes pénal et civil du régime iranien qui fixent l’âge de la responsabilité pénale à 15 ans pour les garçons mais à 13 ans pour les filles. »
« J’ai pas compris son message, vous oui ? »
Voir ici:
https://www.facebook.com/fleurpellerin/posts/842541665854787
Merci WG, mais ce qui est admirable surtout est l’incroyable courage dont la mère de l’auteur a fait preuve.
Les droits de l’enfant en Iran ? Article éclairant…
Élégance contre opportunisme politique, Renato. Mais au-delà de cette sphère de privilégiés des travailleurs licenciés sans ces indemnités à faire trembler le Pôle-emploi !
Utilisons l’arme suprême, la vulgarité, un outil de lutte trop souvent inemployé :
Les Iraniens molahtisés épousent des fillettes de neuf ans parce qu’ils en ont une toute petite qui ne fait pas mal….
6:09
Les points de suspension peuvent, en fonction des circonstances et du sujet abordé, apporter un large éventail de nuances au sens d’une phrase. Ils peuvent être le signe d’une certaine hésitation, d’une indécision ou d’une réticence. Ils peuvent aussi symboliser une situation ou une action inachevée. Dans tous les cas, il sera fait appel à l’imagination du lecteur pour deviner quel est le sens le plus probable dans le contexte de la conversation. Ce peut être aussi une volonté de l’auteur de ne pas dire exactement le fond de sa pensée.
Bien, voilà maintenant JC suspendu, bientôt le début de la fin pour cet olibrius de PQ
Les points de suspension, ça veut tout simplement dire à suivre. N’écoutez pas Christiane, elle a le don de compliquer les choses et d’en faire des tonnes.
Renato, vous jouez au plus fin, là, en faisant semblant de croire que je dénie le droit d’interprétation. Bien évidemment, tout le monde a le droit d’interpréter tout, à sa façon (et surtout une chanson, pardine…) Par contre, j’intervenais pour dire que la chanson en question est significative d’une certaine posture au monde. Et cette posture (employer, pour contrer l’insupportable d’une situation, l’arme de la légèreté et du déni par l’humour), aussi bien Sammy Davis que Nina Simone (se souvenir de sa chanson « je n’ai rien… sinon mon corps… ») l’ont adoptée : il y a donc une adéquation « légitime » de leur intréprétation de la chanson.
Exemple d’une appropriation « illégitime », à mon sens. La (superbe) chanson « ederlezi » « revisitée » (mon c…) par Camilla Jordana, star variétoche, avec choeurs à l’appui (eh oui, c’est un peu juste jeune fille… ), mais ces choeurs sont juste à l’unisson, hein, aucun travail de voix là-dedans, appauvrissant ce chant tzigane de manière à passer à la télé le soir. Pauvre temps des gitans…
Maintenant, on peut cependant applaudir, hein, car superficiellement « ça passe »…
Merci, ne pas me faire de procès en intolérance, et surtout de ne pas faire semblant de croire que la pertinence, le respect, l’adéquation n’ont rien à voir avec une quelconque « légitimité »…
tralalère.
Si la ligne de commentaire était payante, Clopine ferait sûrement plus court.
Si Clopine chantait une chanson de sa composition en jouant du tambourin, je crois qu’on s’en irait vite-fait.
En faire des tonnes, détonne en effet car elle a beaucoup de commisération pour ce pantin qu’elle tutoie par ailleurs, alors ? révélation ou fin de vénération ?
Merci, renato. C’est plus clair mais pas moins prétentieux de la part de la petite Fleur !
Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ? Quelqu’un le sait-il ?
Si Clopine
la plume appartient a n’importe quel cul dédé
souhaiter la mort des vaches sans rêver de prendre leur place
entre biftek et frites on alterne mon garçon
Quelqu’un le sait-il ?
à quoi bon, dédé va le garder pour lui
Si la ligne de commentaire était payante
avec bonne clopine c’est toujours les autes qui casquent dédé
C’est le début de la fin de l’Arabie Saoudite :
Analyse: la grande entrée de l’Arabie Saoudite dans le bourbier syrien
Par i24news
Publié: 15/02/2016 – 12:06
Pour sauver leurs compatriotes sunnites, les Saoudiens forment une coalition et entre dans la mêlée
Un convoi de plus d’une centaine de Humvees (véhicules militaires de fabrication américaine) a récemment été repéré par une vidéo près de la ville saoudienne de Qurayat, à environ 30 kilomètres du poste frontière de Al-Haditha, qui sépare le royaume de Jordanie.
Al-Haditha, qui est le plus important poste frontière terrestre du royaume saoudien, a déjà été utilisé comme principal point de passage pour les marchandises venant du nord, transitant par l’Arabie saoudite vers les pays du Golfe, ainsi que pour les personnes faisant le pèlerinage annuel à La Mecque, venant d’aussi loin que la Turquie, la Syrie, et même de Russie.
http://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/102910-160215-analyse-la-grande-entree-de-l-arabie-saoudite-dans-le-bourbier-syrien
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