de Pierre Assouline

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La République des livres
Bojangles bien arrivé, Bourdeaut aussi

Bojangles bien arrivé, Bourdeaut aussi

Ce titre pourrait être le texte d’un télégramme, ô combien énigmatique pour les non initiés. Mais attendez encore quelques semaines et ils seront de plus en plus nombreux moyennant quelques prix littéraires bien mérités. C’est que En attendant Bojangles (157 pages, 15,50 euros, Finitude) d’Olivier Bourdeaut a déjà fait du chemin depuis que Jérôme Garcin l’a signalé avec un enthousiasme contagieux dans l’Obs. Et l’on se prend déjà à rêver qu’après cette révélation, le livre, son auteur et sa maison d’édition iront loin….

Imaginez un jeune agent immobilier épris de littérature, qui aimerait écrire mais n’ose pas trop, écrasé par le poids de sa bibliothèque. Viré par son employeur, un marchand de biens nantais, il trouve abri chez son frère pour écrire pendant deux ans un roman sombre et cynique. Il l’envoie par la poste à plusieurs éditeurs qui l’encouragent à persévérer sans pour autant le publier. Il se réfugie alors chez ses parents en Espagne pour écrire en sept semaines une autre histoire, aux antipodes de la première, gaie et lumineuse même si elle s’achève dans la mélancolie. Il s’y lâche et s’y fait plaisir en envoyant ses personnages chasser les mouches au harpon

Il l’expédie aux éditeurs et donne la préférence non au plus important mais à celui qui a dégainé le premier, une petite maison indépendante sis à Bordeaux qui lui mitonnera un livre aux petits oignons sous une belle couverture illustrée par Valeriy Kachaev. Avant même sa parution dix éditeurs étrangers l’achètent alertés par une scout littéraire allemande qui l’avait repéré. Tel n’est pas le thème de ce premier roman, mais l’histoire même de sa publication.

Alors, de quoi s’agit-il ? Un couple s’aime passionnément sous les yeux de leurs fils, un adolescent spectateur à défaut d’être acteur de leur existence décalée, à l’ouest de beaucoup de choses ; pour autant, il ne s’en ressent pas exclu. Le petit narrateur n’est pas mal non plus, délateur à l’école, en butte à une maitresse qui se demande à voix haute ce qu’il aurait fait en 39, à quoi il refuse de répondre puisqu’il chausse du 33. D’autres personnages valent également le détour : l’Ordure , Bulle d’air qui passe ses journées à écraser le papier bulle de déménagement jusqu’à déménager un peu de la tête elle aussi. Il est vrai qu’il est à bonne école avec le type de conseil que lui prodigue son père, un homme que la folie du monde fait rire chaque fois qu’il lit son journal, boit les cocktails au goulot et met le feu à sa pipe pour rester éveillé :

 « Mon petit, dans la vie, il y a deux catégories de personnes qu’il faut éviter à tout prix. Les végétariens et les cyclistes professionnels. Les premiers, parce qu’un homme qui refuse de manger une entrecôte a certainement dû être cannibale dans une autre vie. Et les seconds, parce qu’un homme chapeauté d’un suppositoire, qui moule grossièrement ses bourses dans un collant fluorescent pour gravir une côte à bicyclette n’a certainement plus toute sa tête. Alors, si un jour tu croises un cycliste végétarien, un conseil mon bonhomme, pousse-le très fort pour gagner du temps et cours très vite et très longtemps »

Leur vie est une fête ; d’ailleurs, ils n’ont de cesse de la danser, encore et encore sur un air de Nina Simone Mr Bojangles :

I knew a man bojangles/ Always danced with worn out shoes/ The silver hair, a ragged shirt/ And bare ragged paints/ The old soft shoe/ He jumps so high/ He jumps so high and/ Then he lightly touches down…

Du jazz souvent mais aussi du tango, du rock, du flamenco jusqu’à plus soif, danser sur des musiques qui lui ressemble à elle, à la fois tristes et gaies, le père toujours prêt à suivre la mère dans ses embardées et ses obsessions de plus en plus inquiétantes, tout de même. Et il y en a avec cette femme qui voussoie tout le monde à commence par les siens, jusqu’à son oiseau baptisé Mlle Superfétatoire qu’elle tient en laisse lorsqu’elle fait ses courses. Ils vivent avec des rires d’enfants comme les grands en ont parfois. Ces parents gentiment brindezingues et délicieusement timbrés s’adorent, s’admirent, s’étourdissent à la folie, laquelle, après bien des fugues depuis la clinique où on tente de la soigner pour hystérie, bipolarité et schizophrénie, finit par emporter la mère.

 « Il n’y avait pas d’espace pour nous entre ses problèmes et elle, la place était imprenable »

Extravagant, léger, pétillant, loufoque, bouleversant, fantaisiste, plein d’esprit, gai, doux, poétique… : tout ce que l’on a dit et écrit de ce roman est juste. Tout à fait cela. L’allégresse est telle qu’on se retient à chaque page de chanter ce qu’on lit ; alors on le fredonne le sourire aux lèvres. Rien d’autobiographique, guère de sources familiales, ce qui est rare pour un premier roman, malgré l’épitre dédicatoire :

 « A mes parents, pour ce mélange de patience et de bienveillance, témoignage quotidien de leur tendresse ».images

On se dit que ça commence mal, étant entendu qu’on ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments. Mais juste en dessous, une citation de Charles Bukowski jugeant bien ennuyeuse une vie sans folie, nous remet aussitôt sur le droit chemin tordu. Il est beaucoup question, dans les commentaires que ce premier roman a suscités, de l’influence du Boris Vian, celui de L’Ecume des jours davantage encore que celui de L’Arrache-cœur. J’y ai pour ma part repéré non l’influence (que sait-on des lectures d’un inconnu ?) mais le ton, l’esprit, l’allant tant d’Alexandre Vialatte dans ses chroniques et que de Jacques Perret dans ses nouvelles. Las ! Disons que c’est du Bourdeaut. L’atmosphère rappelle une France qui n’existe plus, celle des temps de relative insouciance. Espérons que l’on n’aura jamais à dire que c’était notre avant-guerre.

Chacune des phrases de ce merveilleux petit livre suffirait à en refléter l’esprit, mais une plus que d’autre tant elle réussit à être légère dans la gravité :

 « Comment font les autres enfants pour vivre sans mes parents ? »

Je n’avais pas lu depuis longtemps quelque chose d’aussi savoureux que En attendant Bojangles. Un charme fou. Dans cette rentrée, il n’y a guère d’autre que Envoyée spéciale (312 pages, 18,50 euros, éditions de Minuit) de Jean Echenoz, ses personnages qui tournent le dos à leur reflet, ses pavements d’allées de cimetières entretenus à la pince épilatoire, ses stations de de métro où quarante-sept marches réparties en trois inégales volées hissent les voyageurs vers le boulevard…. Le point commun entre le déjà vieux briscard et ce jeune premier ? L’humour bien sûr, mais surtout la légèreté, inaccessible étoile. Ces deux-là, en se faisant plaisir nous font plaisir. Pas de secret : ce qui a été écrit le sourire aux lèvres se lit le sourire aux lèvres. Même si in fine, la voix de Nina Simone et les paroles de Mr Bojangles rappellent tout ce que cette chanson a de profondément mélancolique.

(Photos D.R.)

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

781 Réponses pour Bojangles bien arrivé, Bourdeaut aussi

closer dit: à

« Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ? Quelqu’un le sait-il ? »

Trop charmante, trop bosseuse, trop proche de Valls…Elle faisait de l’ombre à certaines…

bouguereau dit: à

Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ?

en tout cas la langue française c’est vraiment une langue de pute

bouguereau dit: à

..dracul entre le biftek et les frites il préfère l’arabie saoudite

bouguereau dit: à

..il rêve de prendre sa place

bouguereau dit: à

Renato, vous jouez au plus fin

si rénato était un chameau..

bouguereau dit: à

..et d’autre le chat d’une aiguille

bouguereau dit: à

..ça frait du vilain!

Widergänger dit: à

Oui, merci, je comprends mieux avec ce qu’en dit le grand Jack Lang…

C’est bien ce que disais l’autre jour. La France, notre pauvre pays, est devenu un sacré foutoir. C’est n’importe quoi maintenant dans ce pays.

Une anecdote qu’on m’a rapporté à propos des stages qu’on est obligé de subir pour la réforme Belkacem.

Les inspecteurs ont dit que le contenu importait peu aux fameux EPI. Comme on demande dans la deuxième partie du stage aux collègues de construire des EPI, certains en ont construit sur le thème de la laine et la fabrication d’un tricot puisqu’il faut que tout l’EPI aboutisse à une réalisation concrète.

Alors, ils ont décliné tout le thème : la laine vient des moutons (où élève-t-on des moutons ? géographie), ils y ont associé le texte de Rabelais sur les moutons de Panurge, etc… Il paraît que les inspecteurs faisaient une salle gueule.

Jibe dit: à

Photo 2 : étrange doigt blanc sur fond de dos noir, un extra terrestre, D. ?

D. dit: à

Écoutez, JB, les extraterrestres, ce sont des choses sérieuses. Je n’ai pas l’habitude de plaisanter avec, et, même pour vous satisfaire, je le ferai jamais.
Simplement, selon mes dernières informations, ils seraient nombreux en ce moment à travailler à la BCE et à la Banque de France. Je préfère cependant mettre cela au conditionnel, par précaution.

le pape dit: à

J C….. dit: 15 février 2016 à 6 h 09 min
Adieu Christiane : je ne t’oublierai jamais !
(…je vais passer une annonce sur e-bay et vendre mon scooter rose : la peinture est offerte, mes œuvres complètes dans la boite à gants…)

Ne faites pas attention christiane il cherche à vous culpabiliser, c’est typique des curés

elisabeth dit: à

12 h 08 min
« Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée »
« Elle faisait de l’ombre à certaines… »

le con cierge avec sa petite lorgnette croit tout savoir

le chat en salle dit: à

les inspecteurs (de l’orthog.) faisaient une salle gueule face au chat d’une aiguille, sur la toile.

D. dit: à

Je ne le dirige contre personne, mais il est nécessaire que ça sorte :
Ta gueule raclure bitocu enlecudkeupu.

Voilà, c’est fait. C’est meilleur que le Yoga et le Tai-chi réunis.

Effort de pensée? dit: à

 » Ce que je veux dire c’est que cette chanson est significative d’un certain etre au monde »
Attention, Bobine pense….

D. dit: à

Widergänger dit: 15 février 2016 à 11 h 51 min
Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ? Quelqu’un le sait-il ?

Vous êtes sérieux, Michel ?
Il existe des faits. Elle a reçu l’instruction de prendre conseil auprès de Jack Lang et elle ne l’a pas fait. Elle a reçu l’instruction de se montrer au spectacle et elle l’a dedaigné. Et j’en passe d’autres…

D. dit: à

Audrey, elle, était aux Victoire de la Musique le lendemain-même de sa nomination. Et elle a su paramétrer la box de son bureau toute seule : redirection de ports, passerelles DNS, adresses MAC, voip, tables de routage.

Sergio dit: à

Un scooter rose faut i mettre une ombrelle carrée, une sorte de dais, ce sera beaucoup plus seyant…

D. dit: à

Autrement dit, la sortie de l’Euro, qui se prépare sérieusement dans les mentalités doit surtout s’organiser et se décider. Sinon elle se fera en plein désordre de crise majeure, avec de beaucoup plus lourdes conséquences qu’en l’ayant organisée. Cette crise est, assez probalement, pour septembre si on continue à se tourner les pouces.

D. dit: à

Bien évidemment il existe des entités qui, ayant largement profité de la situation ces dernières années, au détriment des plus pauvres et des salaires en général, freinent des quatre fers : elles ont encore quelques mois pour se faire beaucoup de pognon. Plus l’échéance de sortie de l’Euro reculera, plus elles empocheront directement ou indirectement de gros intérêts d’emprunts, et elles feront tout pour que de nouveaux soit contractés, en ayant inscrit elles-mêmes dans le marbre les clauses qui les protégeront au moment ultime, quoiqu’il arrive.

rolando dit: à

depuis qu’il s’est fait largué par notre cri-cri, la brêle de PQ se fait encore plus petit… évanoui !

Sergio dit: à

rolando dit: 15 février 2016 à 16 h 11 min
depuis qu’il s’est fait largué

« Derrière tout grand homme, il y a une femme » : qui c’est qu’a dit ça ? Ce serait pas encore le Nabulione ? Il en a fait des recueils complets…

D. dit: à

Si ce que je vous raconte ne vous intéresse pas, dites-le tout de suite, je m’en irai d’ici et je trouverai facilement un accueil favorable et chaleureux ailleurs, toutes choses qui ont toujours fait cruellement défaut ici par la fautes de quelques-uns et quelques-unes.

JC..... dit: à

Pour saluer MIMI VON MAURLAW

Entrée en agonie ce matin à 8 heures, notre vieille chatte en est sortie par le haut à midi. Direction : la Grande Porte du Paradis des félins…

Elle était des nôtres depuis 18 ans, et nous l’avons accompagnée jusqu’au bout dans sa mort naturelle et paisible. Désormais, elle repose dans le jardin de la villa, sous un arbre protecteur, et nous sommes tristes.

D. dit: à

C’est quand même rassurant de constater que JC a un cœur.
La perte d’un animal auquel on s’était attaché est toujours très douloureuse.
Il faut faire un deuil de quelques semaines et, surtout, en prendre un autre.

Lucien Bergeret dit: à

C’est triste. (Je suis sérieux)

bouguereau dit: à

JC a un cœur

..et c’est pas du mou d’veau

bouguereau dit: à

C’est triste. (Je suis sérieux)

sérieuse !

bouguereau dit: à

« Derrière tout grand homme, il y a une femme »

avec un gode ceinture (je suis sérieux)

punir mon beau souci dit: à

Il a enterré son cœur avec son châs ? Il va prendre un autre deuil ? voui, c triss, ces paradis pour félins jihadistes.

bouguereau dit: à

Il faut faire un deuil de quelques semaines et, surtout, en prendre un autre

il te manque derrière toi une femme bien outillée dédé..tu comprendrais mieux jicé

Lucien Bergeret dit: à

« sérieuse ! » (bouguereau)

Vous avez raison mais… pour une fois que je peux parler de moi au masculin, j’entends ne pas m’en priver.

bouguereau dit: à

danser sur le pavé mouillé c’est bien du chiqué tiens..

bis repetita dit: à

il nous a déja fait le coup de la chatte l’année dernière, ce bourreur de mou, besoin de se faire plaindre

bouguereau dit: à

pour une fois que je peux parler de moi au masculin, j’entends ne pas m’en priver

je vais te faire une confidence lulu..il m’arrive assez souvent de parler en m’accordant au genre de la personne à laquelle je m’adresse..oui les psychiatres tiquent..dailleurs c’est ce qui me les a rendu suspect

bouguereau dit: à

les psychiatres tiquent

les..les..je suis de marseille là..j’ai du en rencontrer un ou deux au bar..le premier l’a remarqué lors que je parlais à sa fille..il a rit bêtement..sa fille a renchérie..et raf..ça a eu l’effet escompté..j’aime bien le mot escompté..ça crédite

bouguereau dit: à

ça a eu l’effet escompté..

..c’est pas calculé hin lulu !..enfin je veux dire quc’est spontané..elle avait un beau cul..t’as pas besoin de pied à coulisse pour ça..dailleurs si qu’il fallait un pied a coulisse ça srait rapé qu’il dirait dédé..et à l’oeil nu

Bloom dit: à

« Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ? Quelqu’un le sait-il ? »

Elle a buché pour rattraper son retard rapport à Modiano. Elle s’est mise à tout lire & s’est désintéressée de son ministère. Qui bute sur Modiano se fait virer presto.
Elle croit même que Shakespeare est Modiano & Jean de Gand, le nom du patron d’une boutiques obscure spécialisé dans le cuir.
A Delhi, elle était un peu fanée, comme qui dirait déjà remaniée.
Elle se consolera avec Versailles, comme Albanel et Marie-Antoinette avant elle.

gérard-Jean dit: à

JC….. dit: 15 février 2016 à 17 h 11 min
Pour saluer MIMI VON MAURLAW

Toutes nos condoléances. Un squatteur blanc aux yeux bleus (si, si, ça existe), dénommé « L’Affreux du Bengale » se joint à nous.

les voisins dit: à

bis repetita dit: 15 février 2016 à 17 h 51 min
« il nous a déja fait le coup de la chatte l’année dernière, ce bourreur de mou, besoin de se faire plaindre »

avec son klebs aussi d’ailleurs.
il sait plus quoi dire pour attirer l’attention

dom dit: à

« c’est pas du mou d’veau »

gros bêta, pov nouille

l'HP hurk dit: à

bouguereau de r’tour a l’R d’êt remonté à bloque, sait encor’ copier des images de cu dédé, à donf la form’, bienvouèlcome

Chaloux dit: à

« Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ? »

En tout cas, elle a beaucoup travaillé.

Chaloux dit: à

Je me disais, Alba n’a pas écrit de sonnerie.

Pouvez pas imaginer ma tristesse.

Et pourtant si:

« une salle gueule. »

« Pour sauver leurs compatriotes sunnites, les Saoudiens »

Adoptez un prof de collège, vous ne serez jamais déçus!

la vie dans les bois dit: à

Fleur Pellerin à perdu son dernier arbitrage. Politiquement correcte, on peut dire qu’elle sourit jaune. Mais danser sur  » I will survive « , peut lui apporter un rôle de figurante, dans je ne sais plus quel film. Peut-être pas celui qu’ elle souhaitait…

la vie dans les bois dit: à

En hollandie c’est la valse. Et mrs Pellerin brave fonctionnaire de ce s.y.s.t.e.m.e ne fera pas pleurer Margot, même avec un tel prénom. Souvenir d’un entretien dans le mag litt. Ce devait être l’effet Dim.

Sylvette dit: à

« Pourquoi Fleur Pellerin a-t-elle été remerciée ? »

Le monde manque tellement de miséricorde.

Bloom dit: à

The Trump candidacy ought to remind us of the ancient reality that politics is not necessarily the home of the rational—a truth to be found in the pages of Suetonius. I point to Marx’s The Eighteenth Brumaire of Louis Bonaparte, from 1852. It is a study of the aftermath of the revolution of 1848 in France. Louis Bonaparte was a laughable character, but in the aftermath of the revolution public life was unsettled, and it was not clear what sort of government France was going to have. The laughable character happened to be the great Napoleon Bonaparte’s nephew, and this sufficed to bring him to power. The stupid peasants voted for him. He established a dictatorship. It was absurd, but it happened. The story of Louis Bonaparte was the occasion for Marx’s remark about history taking place twice, the first time as tragedy (Napoleon), the second time as farce (the nephew). Marx wanted to draw from these events a lesson about the class struggle, but I think that he stumbled on a different and eternal truth, which has to do with the place of theater—of tragedy and farce, theatrical genres—in political life. Reality TV, in Trump’s version of it, is our modern farce. There are people who demand their daily farce: This was Marx’s unwitting discovery. They insist on being entertained. About the realities of their own political situation, those people may understand nothing. They understand a personal reality, though. They want to sit in the audience and laugh and cry. Especially they want to shake their fists at villains. They want to boo and hiss. They want to tremble in loathing. If someone comes out on stage who is capable of making them do so, they will clap. It is pathetic.
Pa

Bloom dit: à

Paul Berman, Tablet.

renato dit: à

« Merci, ne pas me faire de procès en intolérance, et surtout de ne pas faire semblant de croire que la pertinence, le respect, l’adéquation n’ont rien à voir avec une quelconque « légitimité »… »

Un procès en intolérance? jamais car chacun jouit du droit de penser, croire, dire, tout ce que bon lui semble.

Cela dit, la séquence « pertinence, respect, adéquation » reste suspecte parce que, justement, chacun jouit du droit de penser, croire, dire, tout ce que bon lui semble.

bouguereau dit: à

The stupid peasants voted for him

..quelle bande d’hanculés hantisémites ceux là..

bouguereau dit: à

chacun jouit du droit de penser, croire, dire, tout ce que bon lui semble

bon bon..le mal rénateau..le mal ! surtout chez la femme de province avec string lavé à l’eau calcaire qui lui gratte

dom dit: à

« The laughable character  »

le show était devenu trop monotone et les humoristes pros se font trop rares

bouguereau dit: à

Que sont devenus les gros lecteurs

et les grosses lectrices à l’eau calcaire..pfuit !

bidochon dit: à

« They insist on being entertained.  »

Au prix qu’est la redevance tévé, ya intérêt !

Clopine, définitivement un cas à part dit: à

Ah, Renato, vos soupçons… sont surtout la marque d’une lecture de mes propos « au pied de la lettre » qui ne peut venir qu’un d’un souci : celui de la « petite bête », ou plutôt des poux que vous venez à l’envi chercher sur ma pauvre tête. Mais enfin : c’est un sport local, ici, et puis… ce n’est pas moi que cela démange le plus…

consultant chevronné dit: à

 » It is pathetic. »

ça rapporte, peu importe le reste

bouguereau dit: à

on peut dire qu’elle sourit jaune

..excellent!

bouguereau dit: à

ce n’est pas moi que cela démange le plus…

..vdqs et dsk rénateau

bis repetita dit: à

Donc, JC nous a refait le coup de la chatte déjà morte l’année dernière comme son chien Dédé miraculeusement ressuscité… et il y en a qui gobent ses mensonges répétés pendant qu’il affiche son chagrin de malheureux pervers

renato dit: à

… « petite bête »? quelle petite bête?

bouguereau dit: à

moi non plus je le prendrais pas bien rénateau..

pat dit: à

9 h 42 min

traduc automatique?

rose dit: à

non ce n’est pas traduc automatique : j’ai un élève qui écrit comme ça en quatrième : c’est la réforme nvb.
Quand il recopie Montesquieu ^^… pour répondre à la question posée, c’est pas mal. Sinon sait stil « elle c’est pa qu’elles avait était avent au part à dit »

enfin c’est pire, mais par décence pour lui et par pudeur excessive je me garde bien d’aller chercher sa copie et d’en recopier des passages

rose dit: à

sinon, hier j’ai regardé ma ministre de tutelle : sans le son :
je l’ai vu rire en hochant la tête doucettement à ce qu’elle dit avec humour ont dit les journalistes.
Je me suis dit :
incapable d’être une oratrice sans texte sous les yeux (nulle donc) loin de Mme Taubira qui a l’éloquence grise (quand elle a peur noire sinon)
je me suis aussi dit :
bravo la petite beurette d’accepter d’être utilisée ainsi : elle gravit les échelons d cela république grâce à un système -archi défaillant certes- puis elle démolit le dit système pour mettre en place pire c’est à dire exclusif. Elle applique ce qu’ont préparé les autres antérieurement : on sélectionne et on divise ; aux pauvres l’absence de culture de réflexion et d’esprit critique, ceci d manière concomitante avec la perte de l’orthographe, du latin et du grec et aux riches l’excellence.

Et enfin j’me suis dit pourquoi Fleur et pas elle ?

Parce qu’elle est incroyablement soumise, petite fille sage, passive inféodée au grand mou sans faire de remous.

Je ne la plains pas, ni ne la juge, ni ne la traite de p…. de sa race. En tout cas, sa race, elle l’enterre : finie l’égalité des chances.

rose dit: à

enfin si ça vous dit je peux vous recopier Montesquieu dans le texte si ça peut vous rendre heureux.

Et aujourd’hui je la vois monter les marches d l’Elysée vêtue de noir – alors qu’elle n’a aucune classe, -rire soi-même du texte que l’on énonce c’est digne d’un bourvil et des gendarmes à saint tropé- et chaussée de rouge et là, clac, pan dans le mille, quand tu es chaussée de rouge et pire les cheveux teints en rouge c’est que quelque part elle sait.

Si elle sait et qu’elle commet tant d’insanités c’est pire que si elle commettait sans le savoir.

Tu regardes les chaussures des gens, tu sais beaucoup sur eux.

rose dit: à

L’éloquence est équivalente à la matière, oui je le pressens

rose dit: à

>Widergänger

nous on a eu affiché un truc soufflant : à gauche en format A4 des gestes/une gestuelle d’EPS, à droite en // un questionnaire de sciences et vie de la terre concernant l’éducation à la sexualité : c’était fendant ! Et c’était le contenu d’un/ une ? EPI.

pat dit: à

L’imitation de T par J Depp semble réussie ..et sert les deux ! (les trumpettes de la renommée)

que sais-je dit: à

« elle est incroyablement soumise, petite fille sage, passive inféodée au grand mou sans faire de remous. »

ah bon vous croyez

rose dit: à

Voilà, je corrige mes dernières copies avec une bonté d’âme qui m’étonne moi-même : quand c’est nul, j’écris faible. Quand c’est très nul, j’écris très faible.
Je vais étudier le grec, pas le latin : je suis fan de grec. Et l’allemand l’espagnol et l’italien. Je serai peut-être nulle. J’espère toutefois arriver à une compréhension mutuelle avec les interlocuteurs que je rencontrerai.

Ai fini de relire le hibou et la baleine de Nicolas Bouvier, truffé d’iconographie. Ai lu avec émotion Jeanne publié par Bernard de Fallois après le décès de Jacqueline de Romilly.
Ai hier, ai attaqué l’éthique à Nicomaque d’Aristote.
Monsieur Richard Bodéüs 35 pages de présentation de votre traduction c’est trop : on a envie besoin désir de plonger dans le texte. Je vous ai court-circuité sachez-le. Et pas que vous.

rose dit: à

non je ne le crois pas , je la regarde sans le son : je l’ai trouvé infiniment petite file sage pas de rébellion pas de caractère obéissante. J’ai pensé à l’intelligence brillante des femmes juives que j’admire à leur liberté à leur insoumission splendide et je me suis dit, in petto : elle n’a rien de tout cela.

Je ne suis sûre de rien : je dirais -comme ça- ce n’est pas une femme de caractère. Je rajouterai elle est obéissante, servile je la ressens comme cela, sans jamais s’opposer. Peut-être ai-je tort. Que nous dit elle de nouveau ? Que nous apprend-elle de neuf ?
Que dalle.
Autant le dire.
Revalorise-t-elle notre profession ?

Non : autant le dire : en même temps que sa race, elle nous enterre, nous les profs. Vivants.
Normal qu’on se rebiffe : vous aimeriez, vous être enterré vivant ?

C’est une traitre à mes yeux.
Une double traitre : traitre envers ses origines, qu’elle bafoue : il s’appelle bilal mon élève déjà il est touché, grâce à nvb il sera coulé et maçon (bien qu’il y ait d’excellents maçons, mais lui sera un maçon bouché, inculte).
Or, ses origines, à mes yeux, il faut les encenser haut et fort.

Et puis, et surtout, elle est traitre pour tous ceux qu’elle représente, les enseignants, de la maternelle à l’Université, et au lieu de s’adresser à l’Académie Française, à laquelle je voue grand respect suranné, elle ferait mieux de s’adresser à nous les profs et de cesser de nous prendre pour des couillons.

Que nous ne sommes pas.
Et ça, las pour elle,(avec ses laides chaussures rouges signalant une victoire sommaire et hypothétique, pas inscrite dans la durée, éphémère conviendrait), elle ne l’a pas encore compris que ses troupes sont composées de gens intelligents, voire plus.
Pauvre nvb : pour un chef être estimé par ses pairs c’est primordial.
Plutôt que bêtement courber l’échine devant grand mou premier. Qui me questionne : il consomme les femmes, les utilise, les jette. A son entier bénéfice.
Que lui restera-t-il à lui ?

rose dit: à

Quant à Fleur , je l’ai vécue, l’éviction et de la pire manière qui soit, c’est à dire ni dite, ni par sms, juste suggérée.

Je ne suis pas petite fille sage, n’ai pas courbé l’échine et ne suis pas inféodée.

C’est une terrible souffrance ; pourquoi ? Parce que tu sais que tu es à ta place mais que si on ne veut pas de toi – un de mes collègues me l’a dit longtemps après en ses termes  » on ne veut pas de toi », comme au rectorat une m’a dit après le décès du père de mes enfants « vous n’existez pas »; Il y a des gens comme ça dans la vie : toi tu émerges à peine, tu viens de creuser des années pour émerger de la tombe dans laquelle tu as été enterrée vivante, tu possèdes l’ombre d’un souffle et on te dit successivement
vous n’existez pas
puis quelques années après un te dit
on ne veut pas de toi.
Blanc

Clopinambourose dit: à

Que deviendrait la RDL sans le soldat Rose et la Clopinette ??? C’est du solide, du grassouillet, bien que parfois un peu lourd à digérer…

rose dit: à

blanc

rose dit: à

blang

rose dit: à

tu sais que, si on ne veut pas de toi c’est parce que tu ne cèderas pas, tu n’accepteras pas l’inacceptable et tu diras ce qu’il y a à dire.

JC..... dit: à

Najat Valaud Belkacem n’est qu’une image, une image de propagande, de même que nous ne sommes plus, nous le peuple hexagonal, qu’une image bistrée, ensuifée de lâcheté ..

rose dit: à

Normal donc que Fleur le prenne mal à ce jour, mais elle en tirera tous les avantages ensuite. Sale petit moment à passer, provisoire.

P.S ces gens qui ont différents problèmes de digestion, c’est le foie : hormis les artichauts et les citrons et les fleurs d’hémérocalle, et Sophie Calle itou
prenez grand soin de vous, l’intestin le gros le petit, le pancréas, le foie ce sont des organes qui ne pardonnent pas. La vésicule biliaire pas plus.

rose dit: à

d’accord avec vous JC : c’est ce que je vis mal : une femme, une femme jeune, donc deux choses la femme et la jeunesse et les deux je les estime grandement et par derrière paf prends-toi ce grand coup de couteau entre les omoplates.
L’image de la diversité , féminine, jeune & au gouvernement.
De la poudre aux yeux destinée à calmer certains esprits échauffés.
Je ne dis pas que d’un homme et vieux je l’aurais mieux pris mais le coup aurait été plus franc moins lâche.

Clopine, définitivement un cas à part dit: à

Rose 11:18 : mais il suffit de souffler sur ces paroles-là : ne plus jamais leur ouvrir la porte, elles ne pourront plus s’engouffrer mais devront s’envoler. C’est l’appel d’air de votre propre désarroi qui fait éclore ce genre de jugement, et puis, après tout, demain est un autre jour. M’enfin, je dis ça…

closer dit: à

Rose ne vient pas souvent (hélas) mais quand elle vient ça décoiffe!

JC..... dit: à

Il est facile d’imaginer derrière un beau visage le crâne osseux qui le sous-tend. Regardant plus loin encore, on peut souvent entrevoir les idées qui se bousculent et sont prêtes à passer dans le regard de ce visage.

Chez Najat Valaud Belkacem, entrevoir, deviner, le crâne ne présente aucune difficulté… mais si vous poussez l’expérience plus loin, on touche au vide absolu de l’éponge sans aucune personnalité.

JC..... dit: à

Revenons à cet usage rabelaisien de la truculence, délicieusement vulgaire, qui nous fait tant défaut en ces temps de doxa gelée.

A estimer l’une des deux … Hélène Carrère d’Encausse l’emporte facilement sur la bergère Najat Valaud Belkacem !

Bien entendu, si vous éteignez la lumière et bâillonnez la victime, la donne change…

D. dit: à

Ce soir je me fais une raclette. Tout seul, je précise. Tout seul avec mon gros chat qui aime bien ça aussi. Un petit blanc pour faire descendre, Pujadas à la télé, c’est ça le bonheur, le vrai.

frédé dit: à

faire ministre ça paie, ça garantit une bonne méga retraite – ils et elles veulent tous faire ministre au moins quelques mois ou semaines

les voisins dit: à

11h51 « vide absolu de l’éponge sans aucune personnalité »

tout le portrait du sicilien de pq

Jibé dit: à

« Pujadas à la télé, c’est ça le bonheur, le vrai. »

Pas même une petite branlette, après, dédé ?

Jibé dit: à

rose et WGG, combien de réformes et de ministres avez-vous vu passer ?
Vous tiendrez bien jusqu’à la retraite, et vous en verrez passer d’autres, tenez bon ! Et continuez à faire votre job du mieux que vous pouvez : adaptez-vous et restez jeunes, la retraite, c’est du boulot !

Sergio dit: à

Hau pied de la lettre, au pied de la lettre… La lettre Tavarès, ou la lettre volée de Lacan ? Y a une nuance bon Dieu !

D. dit: à

Jibé dit : 16 février 2016 à 14 h 35 min

Raclette, JB, raclette. Comprenez-vous le sens de mot ? De la tome de Savoie fondue, du jambon de pays, des pommes de terre.

D. dit: à

Je sens que je donne des idées à beaucoup. Ce soir il y aura un paquet de raclettes à droite et à gauche.

Forme et réforme dit: à

rose dit: 16 février 2016 à 10 h 34 min
non ce n’est pas traduc automatique : j’ai un élève qui écrit comme ça en quatrième : c’est la réforme nvb.

A force d’à force les profs vont vraiment finir par nous faire croire qu’ils sont plus c.ns que leurs élèves.

Forme et réforme dit: à

JC….. dit: 16 février 2016 à 11 h 51 min
Chez Najat Valaud Belkacem, …….on touche au vide absolu de l’éponge sans aucune personnalité.

Vous de direz la co..erie des grands-parents n’a rien à leurs envier.

Edam dit: à

D. dit: 16 février 2016 à 15 h 07 min
Raclette, JB, raclette. Comprenez-vous le sens de mot ? De la tome de Savoie fondue

Pauvre D. dès que l’aligot n’est plus à son menu il ignore le goût du fromage.

bis repetita dit: à

On attend, comme l’an dernier, la résurrection de la chatte de JC ; on a déjà eu celle de son chien Dédé

Sergio dit: à

Ha ben voilà j’en étais sûr il y a des anti-auvergnats ! Ils se rassemblent ils pullulent… On va quand même pas aller se coller dans le désert y a tout le monde y a plus de place !

A Détrauhitte, peut-être…

Widergänger dit: à

rose dit: 16 février 2016 à 10 h 49 min
______
Oui, on a vraiment touché le fond. Ce gouvernement de m… a vraiment foutu ce pays sans dessus dessous.

Widergänger dit: à

Moi, je vais faire un séjour en Suisse pour essayer de comprendre leur foutu Plattdeutsch. C’est vraiment des « oufs » ces Suisses : par exemple pour dire la préposition « auf, ils disent « uf » à Bergün. C’est à peu près tout ce que je comprends… et puis ischgut : es ist gut. Et d’une vallée à l’autre, ça change. Si t’apprends le Plattdeutsch parlé à Bergün, pas sûr que tu comprennes le Plattdeutsch parlé à Davos… Sont complètement uf ces Suisses. Heureusement chez les Broggi, ils parlent pointu quand je suis là…

rose dit: à

Tous ceux qui participent à dégommer les profs participent à ce qu’il est de bon ton de faire ; croyez-vous supérieurs, vous serez inférieurs
Peu me chaut : ce qui compte c’est la conscience de ce que je fais et comment je le fais.

merci Widergänger de votre acquiescement
merci Jibé de votre soutien ; j’y suis, à la quille, je vous dirai la suite.

bernadette dit: à

16h49

Ils nous ont volé notre place de droit divin au palais, la revanche ne saurait tarder

Widergänger dit: à

T’inquiète, mon Baroz, chéri, quand je serai en retraite tu viendras me consoler…

Wilhelm Tell dit: à

WG
d’une vallée à l’autre, ça change.

Doivent à peu près se comprendre tout de même d’une vallée à l’autre

rose dit: à

Bonnes vacances Widergänger

>Clopine
ce n’est pas comme cela que je fonctionne : je ne chasse ni ce qui est dit, parce que c’est dit, ni ce qui est fait parce que c’est fait.
Je tente toujours de comprendre et ma part de responsabilité et comment je me situe dans le conflit;
Au rectorat, la fille qui m’a dit cela a continué en disant ah, c’est vrai, je devrais me marier (de facto, pour se protéger).
A l’école internationale, cela s’est passe en deux temps :
premier temps j’avais en classe la fille de mon collègue. Or cette gosse était une simple ordure : oui à douze ans certains gosses ont tellement intégré les injonctions atroces de leurs parents qu’ils peuvent être eux aussi atroces.
Donc, un an plus tard, lorsque mes élèves furent bacheliers, et qu’il m’a dit cela en face à face, sans témoin, je savais que ce type était une ordure;
Et c’était un cadeau que l’on ne veuille pas de moi dans un tel marigot.
Sa suite à lui sera.
Sur ses actes je ne dis rien, je les ai subis.
Il lui faudra bien du courage.

rose dit: à

moi, je n’ai jamais eu de place de droit divin nulle part, je ne me sens donc pas concernée et heureuse de cela, reprenez votre balle, elle vous appartient

Widergänger dit: à

On a déjà eu des échos de notre inspectrice de lettres qui fait la prestation pour la réforme de m…

Elle a commencé par dire que le français était une matière pas plus importante que les autres parce qu’elle est transversale et que dans les autres matières on l’utilise aussi…

On voit bien par de tels propos l’esprit de cette réforme de m… , il ne s’agit plus du tout de transmettre la culture à travers des textes de littérature mais d’apprendre simplement à savoir lire des consignes, singes de parfaite c… L’Ecole est en ruines.

J’ai mon stage jeudi toute la journée. On s’est promis avec mes collègues devant cette inspectrice de m…, si elle nous sort ce genre d’horreur de faire un raffut du diable. Ils vont voir de quel bois on se chauffe tous ces salopards qui sont prêts à vendre la République pour trois séances de lèche-c…

dom dit: à

bis repetita dit: 16 février 2016 à 16 h 14 min
« On attend, comme l’an dernier, la résurrection de la chatte de JC ; on a déjà eu celle de son chien Dédé »

Surtout qu’il n’en n’a jamais eu

Widergänger dit: à

Non, pas toujours justement… La Suisse est un pays étrange de toute façon. Les Suisses allemands ne connaissent rien des Suisses de Genève et s’en foutent d’ailleurs royalement. Et réciproquement.

rose dit: à

>clopine

le second temps s’est passé en Suisse en marchant.
J’étais en haute engadine, où je n’ai jamais rêvé d’être richissime en ces temps là et je marchais au tour de plusieurs lacs.
Puis, incidemment, par le plus grand des hasards, il s’est avéré que j’ai traversé le village, béni des dieux, dans lequel fut tourné le Heidi de mon enfance. La petite fille, et son grand-père dans la montagne.
et là je carburais à cent douze à l’heure dans mon cranibus « tu regrettes ou tu regrettes pas, rose de ne plus travailler à l’école internationale ? Et pire question, tu regrettes ou tu regrettes pas rose d’avoir grand ouvert tas gueule, rose et d’avoir dit ce que tu avais à dire ?

Et bien Clopine, l’évidence est tombée : je ne regrette rien.

D. dit: à

Hommage à Boutros Boutros-Ghali, un homme de paix défenseur de la francophonie.

rose dit: à

Je ne suis pas sûre de résister à une torture physique e tue préfère ne pas avoir à y goûter mais autrement je sais résister Clopine;

Maintenant, si j’avais risqué un vrai chômage e pointer à pole emploi et être mise au rancard alors que j’ai beaucoup de choses à transmettre, j’aurais surement souffert.
Mais cela n’a pas été le cas ; j’ai payé, cher ma vacation annuelle dans un établissement d’excellence. Au retour, j’ai eu droit à trois fois le même niveau de classe avec 22 élèves de plus que mes collègues et j’ai eu droit à nombre d’élèves caractériels en difficulté etc paumés à l’ouest alors que nous vivons à l’est.
J’ai serré les dents et assumé.

rose dit: à

et je préfère ne pas avoir

rose dit: à

Parce que j’ai serré les dents et assumé, depuis, l’an dernier en juin 2015 et cette année à la rentrée 2016 on me flanque tous les élèves paumés de la terre et on donne les classes de stud à d’autres.
Lèches-culs.
Les gens peu intelligents, les menteurs surtout se coupent incessamment.
Tu ne mens pas, tu ne triches pas tu ne te coupes pas irrémédiablement.

Widergänger dit: à

Jeudi, j’écoute cette inspectrice de m… et samedi, mes petits chéris, je suis bien au chaud à Bergün, le nez dans le vent pour humer le bon crotin des vaches de Bergün dans les étables… Et lundi, ziouhou, sur les pentes enneigées… 60cm sur les pistes, seulement 20 cm dans le village. C’est dingue. Non seulement ils nous foutent dans la m… avec ce gouvernement de m… mais en plus D.ieu s’en mêle… M….! M….!

Faudra qu’une année, j’aille passer mes quinze jours au Kurhaus de Bergün, un vieil hôtel dans le genre de la belle époque, entièrement refait à neuf il y a quelques années dans le style d’époque. On a l’impression d’être dans le film de Visconti (Mort à Venise, mais sous la neige). C’est le pied. Mais faut aligner dans les 4000€ pension complète pour 15 jours…

rose dit: à

>Widergänger à 17h04
on nous a dit le contraire : priorité absolue aux mathématiques et à la langue française et haro sur le reste tout particulièrement les langues vivantes et mortes.
Tout, absolument tout, sera désormais prétexte à tout axer sur le français et les maths mais en jouant aux EPI. Tout ramènera incessamment à la maitrise de la langue et des mathématiques.

Votre inspectrice compte-t-elle noyer le poisson de manière à dépasser le courroux de ses interlocuteurs ?

La réforme nvb c’est un essaimage diffus de notions floues recentrées sur apprendre à lire, à écrire et à compter.
Et en profiter pour tirer vers le bas tout le monde sauf ceux qui seront allés voir ailleurs ce qui se passe, et pendant qu’on fera joujou sur la santé, ailleurs les apprentissages fondamentaux seront de très haut niveau.
Et pan dans le baba.

Un attrape-couillon.

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Je constate qu’une fois de plus la Clinique du Père Passou est pleine à craquer d’âmes affligées qui viennent y trouver réconfort, dans le plus pur style freudien: le thérapeute écoute, les patients se vident le coeur, et tout ça met un baume là où il faut. Continuez, mieux vaut cracher sur les autres que de les mitrailler façon mahométan en furie.

rose dit: à

Bah le crâne ce n’est pas si facile, le front pas plus, les lunettes non plus, et la taille du cerveau non plus ce ne sont pas des critères : mais assez d’accord sur l’absence de personnalité ; je crois servile c’est le mot qui me vient. Servile.

Widergänger dit: à

Certes, Bibi, t’iras loin, monsieur le Duc…

Widergänger dit: à

La Belkacem c’est le pur produit de cette époque de m…

Widergänger dit: à

En tout cas, on s’est promis de lui faire honte… Mais est-ce vraiment possible avec ce genre d’engin…

rose dit: à

Je ne suis pas affligée du tout bihoreau ; jardin rempli des fleurs des champs ; perspectives de villégiature en vue, même si c’est en camping. Tant pis pour le dos et plutôt de bons bouquins à lire.
Non, simplement souffrance au travail.
Faudrait ne pas le dire ?

Après, tu te demandes pour les mahométans mais moi je crois sincèrement qu’eu égard à tout ce qui est admis alors que c’est inadmissible, tout cas qui est jugé pas grave alors que c’est hyper grave, tout ce dont tout le monde se fout alors que un qui écouterait ce serait byzance, tout cela pousse à la folie des dits mahométans qui en sont, il faut y croire, à vouloir réenvahir cordoue alors qu’ils ont déjà été foutus dehors.

Et quand vous situez le début du terrorisme à M. à Toulouse, il y a eu bien avant. La déconstruction de l’école elle a commencé sous Mitterrand. Palier de décompression par palier de décompression.

Et, ici, je ne me sens pas du tout en clinique, plutôt moins que toi d’ailleurs.

rose dit: à

D’accord avec vous Widergänger : c’est le coup d l’huile de foie de morue donnée à pleine cuillère pour des raisons de santé. Et tous les arguments sont bons

Widergänger dit: à

Bien sûr, rose. Ça fait trente ans que ces trous du c… n’ont de cesse de détruire l’Ecole de la République. On va vers la barbarie à visage humain…

dom dit: à

Widergänger dit: 16 février 2016 à 17 h 07 min

ils ont une ou plusieurs chaînes en schwyzerdütsch je ne sais pas de quelle région ou ‘vallée’
Ya des dicos deutsch-plattdeutsch
Et http://www.lexilogos.com/suisse_alemanique_dictionnaire.htm
L’allemand Hochdeutsch est obligatoire en Suisse- Les Suisses allemands sont les plus nombreux
Genève est cosmopolite, avec entre autres beaucoup de frontaliers qui viennent juste pour la journée
Quant à l’allemand autrichien….

dom dit: à

le Plattdeutsch en Suisse… mon Dieu…

oui vous avez raison mais on a compris

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

rose 17 h 35

Votre propos illustre la déliquescence qui sape trop de Français: grossiers et vulgaires, sans doute à cause des âneries télévisuelles qui semblent les fasciner. Continuer votre cure, elle me sera utile pour la thèse que je prépare et que j’entends bien terminer vers 2030…

dom dit: à

« mieux vaut cracher sur les autres que de les mitrailler façon mahométan en furie. »( Bihoreau, duc de Bellerente dit: 16 février 2016 à 17 h 26 min)

Drôle de mentalité ! Chute de la maison bilho ! au lieu d’aller à confesse !

Jibe dit: à

Les temps changent, les prof comme les agriculteurs sont condamnés l’agro industriel des nourritures alimentaires et spirituelles !
Mais rassurez moi, rose et WGG, ils n’ont tout de même pas touché à vos temps de vacances ?

rose dit: à

C’est vrai Bihoreau je plussoie avec vous : bien trop de films pornographiques aussi. Comment peut-on être féministe parce que je n’en doute pas qu’on le soit, et s’abreuver de films pornographiques ?
Vulgarité etc sont si désolants, injures au tout venant aussi !

Widergänger dit: à

Mon jiji, mon bébé, encore heureux qu’y s’y touchent pas ! Manquerait plus qu’ça, les vaches !

lecteur dit: à

Widergänger dit: 16 février 2016 à 17 h 36 min
l’info était déjà dans au moins un canard suisse et/ou belge

rose dit: à

>Jibé je vous rassure : notre salaire est divisé au prorata des jours de congé sinon nous émargerions comme un député croyais-je et à nous grands hôtels et spa de luxe ; donc nous gardons nos jours de congés avec abonnement au camping du coin et salaire 35 % inférieur à ceux de la fonction publique : le saviez-vous ? Pas jaloux, si ?

rose dit: à

Et les temps de vacances nous permettent de râler Jibé ; quand on a le nez dans le guidon pas le temps.

on le voit venir dit: à

Widergänger dit: 16 février 2016 à 17 h 59 min

après jb va dire que les profs sont tout le temps en vacances et n’ont rien à faire, qu’être prof c’est pas bosser etc

rose dit: à

j’adore :
et si, par hasard, sur la vie de ma mère, je regarde arte cinq minutes

ouarf

rose dit: à

être prof c’est passer sa vie à se remettre de quand t’es prof

rose dit: à

c’est vrai : j’ai un bon boulanger qui serait intéressé par la recette de la tresse au beurre
c’est dommage ici de lire ça

le paysage est gâché

Forme et réforme dit: à

rose dit: 16 février 2016 à 16 h 56 min
Tous ceux qui participent à dégommer les profs

Mais tous ceux qui comme vous participent à dégommer tous les politiques participent, au premier chef, à la situation que vous sembler critiquer.
Vous en êtes les (la) premiers responsables.

djeun toujours dit: à

« Pour ma part, j’ai la chance d’avoir un bon médecin du travail dans mon collège, il m’écoute et m’évacue bien. »

Trop cool ! carrément top!

Widergänger dit: à

Oh, c’est sûr que le jiji à son bébé, il est tout à fait capabe de dire des horreurs pareilles… C’est qu’on le connaît notre jiji !

Théorie de l'évolution dit: à

Widergänger dit: 16 février 2016 à 17 h 29 min
La Belkacem

Un poil de racisme peut-être ?
Bientôt l’antis.mitisme ? (mais non je blague WGG)

gérard-Jean dit: à

Soirée en l’honneur d’Edmonde Charles-Roux le 18 mars par Les Amis de l’Humanité et la fondation Triolet-Aragon

Les amis de l’Humanité ? J’y crois pas. Qu’on soit ami des Chats, je le comprends d’autant mieux que j’en suis. Mais Ami de l’Humanité !!! Comme si nous ne savions pas bien qui nous sommes.

gérard-Jean dit: à

« Dans l’air du soir » : 1ère des 3 émissions consacrées à Staline et la musique

Voilà qui promet d’être intéressant. Parce que, tyran ou pas, question musique, il a été plutôt gâté, le bougre. Prokofiev, Chostakovitch, excusez du peu. Ce qui m’aura toujours étonné, c’est qu’un Chostakovitch, tout en s’inclinant devant les exigences des officiels du réalisme socialiste, a tout de même écrit de la musique digne de son génie. C’est une énigme que cette série d’émissions va peut-être aider à éclaircir.

bouguereau dit: à

il m’écoute et m’évacue bien

un lavements au vinaigre de framboise tiède et un tour en vélo électrique..c’est divin qu’il dit clément rosset

bouguereau dit: à

a tout de même écrit de la musique digne de son génie. C’est une énigme

pas qu’en musique..qu’est ce qui fait exactement ton enigme..que sous george bush ou netaniaou il aurait été inspiré davantage..

christiane dit: à

Quand Rose passe, c’est un grand vent sur les Alpilles, le mistral, sur cette terre fière et sauvage entre Luberon et Ventoux. Traverser la Montagnette avec Rose… ça sent bon la Provence ! thym, romarin, sarriette, origan, serpolet et surtout la lavande aspic !
L’avenir comporte bien des incertitudes mais elle est là, notre Rose, source pérenne… gaudre bondissante… aigle de Bonelli… musaraigne agile… lézard ocellé mais aussi grillon, cigale, criquet, libellule…
Yala !

Pauvres Alpilles dit: à

christiane dit: 16 février 2016 à 18 h 59 min
Quand Rose passe,

Tout son subconscient marinettiste s’étale.

D. dit: à

gaudre bondissante… aigle de Bonelli… musaraigne agile… lézard ocellé mais aussi grillon, cigale, criquet, libellule…

au moins tout ça.

Sergio dit: à

gérard-Jean dit: 16 février 2016 à 18 h 35 min
Ce qui m’aura toujours étonné, c’est qu’un Chostakovitch, tout en s’inclinant devant les exigences des officiels du réalisme socialiste, a tout de même écrit de la musique digne de son génie.

Ce pourrait être plutôt le contraire, on devient facilement sec devant une commande ; alors quand en plus c’est à ce point de politique et que la vie est en jeu, ça peut bien être encore pire. Mais les trucs qu’on fait « pour rien », c’est-à-dire les seuls importants, à mon avis les mécanismes de genèse peuvent bien rester intacts…

Il y a des types qui ont réussi à écrire et même à peindre dans les camps, là c’est quand même fort…

D. dit: à

Je comprends pas tout ces gens qui étalent leur vie ici comme si on était chez le psychanalyste.
Est-ce que j’étale ma vie, moi ?

faites des lumas dit: à

L’ami du journal l’Humanité se confond souvent avec la pulsion amicale qu’il porte au genre humain. Seuls ceux qui font instinctivement le lien sont harmoniques et bienheureux(Edmonde).

JC..... dit: à

Est-ce que j’étale ma vie, moi ?
Non, ton idylle vespérale avec puja est bien insuffisante pour remplir l’étalage de ta vie. Tes pâtes extra terrestres sont-elles assez cuites ?

bouguereau dit: à

quand qu’on est toujours a nuker les astéroides de l’apocalispe par la puissance des sphincters temporaux on a pas l’temps pour le mistral gagnant dédé..c’est mathématique

Pax urbana vs Lex mercatoria ? dit: à

Hommage à Thérèse Clerc, une grande Babayaga !
Si vous n’aimez plus la littérature grecque et latine qu’on vous oblige à enseigner à l’EN, engagez vos élèves dans les voies de la police, on se bouscule au portillon, au moins vous ferez œuvre utile à bien les former au droit de la force et à la force du droit, au respect des citoyens et au bon discernement pour dénouer les situations sociales compliquées. Voilà un bon chantier de reconversion.

rose dit: à

Ca me fait de la peine que tu n’étales pas ta vie toi…
Bisous tiens !

Réponse concernant la politique : trouvée dans les préambules, longs comme un jour sans pain de Ethique à Nicomaque.
Aristote dit
« (…) de sorte que cette fin doit être le bien humain.
Si même, en effet, il s’avère identique pour un seul homme et une cité, le meilleur objectif, en tout cas, et le plus achevé, parait de saisir et de préserver le bien de la cité ; car si l’on peut des féliciter quand il est à la portée ne serait-ce que d’un seul homme, malgré tout, il est plus beau et plus divin de le voir à la portée de nations et de cités.
2 in la connaissance du bien suprême : oeuvre de la politique

ceci cité, mon désintérêt de la politique vient du bien à destination, non pas de la cité, ni du bien public mais d’êtres honteusement individuels qui dirigent vers eux-mêmes les avantages de leur fonction politique.
Ce qui ne m’empêche pas d’être en train de construire une proposition de loi pour l’Assemblée Nationale : si je convaincs un député maire de gauche, vous saurez que l’idée vient de rose, ici bas, et que je n’en tirerai aucun avantage particulier mais que ce sera dirigé vers le bien public et la cité. Le rendez-vous fut pris hier, et le livre attaqué au soir.
S’il me dit son désintérêt, ce sera renvoyé aux calendes grecques, mais nous y arriverons ultérieurement.
Bises

heidi-hebdo dit: à

Bal tragique à Bergün : le gnome était cancérigène!

Pauvres Alpilles dit: à

rose dit: 16 février 2016 à 20 h 20 min
mon désintérêt de la politique

Mais vous ne parlez que de ça.
Pour dégommer, comme marinette.

rose dit: à

écoutez, pauvres alpines, l’alcool, vos obsessions, votre absence absolue d’empathie, votre manière d’exister dans le dégommage permanent, font de vous un être frustre/rustre profondément malheureux : hormis l’EN et nvb, je ne dégomme pas grand chose. Et sur votre « vous en parlez tout le temps » tout est politique y compris le 13 novembre.
Votre argumentation faiblarde ne tient, elle, que sur dégommer tout le monde pour vous hausser quelque peu au niveau de la vitre.
Consacrez-vous quelque estime à vous-même.
De plus, puisque sur le plan du savoir vous n’arrivez pas à franchir le pas, puisque votre quotidien (conjugal, travail ?) vous plombe gravement, il vous reste une voie celle de l’habitude.

Prenez l’habitude de penser du bien d’autrui ; commencez par une saine neutralité, une tolérance aux idées autres que les vôtres (catastrophiques de manière notoire), puis doucement, laissez l’autre revenir à de meilleurs sentiments envers vous : il éprouve sa propre détestation de lui-même. Vous verrez c’est comme l’amour : aller-retour, un paris-brest quoi.

Ici, vous avez christiane lavande clopine dhh qui sont talentueuses dans l’exercice d’altruisme.

Puis, comme vous vous laissez aller sur une balançoire, le mouvement vous bercera, vous ferez de moins en moins d’efforts ; un jour, bien lointain, vous revenez de loin, mais vous êtes revenu hypra sensible mais revenu, un jour vous aurez acquis la force de l’habitude.
Vous aurez fait le premier pas.
Après, faudra, acte d’enfer, passer la seconde jambe devant la première pour avoir quelque chance d’avancer.

Grande confiance je vous fais ; ^pardon^ de vous avoir autant importuné ; si un jour, vous faites de même, concernant votre chère et tendre épouse, votre travail de forçat, les transports parisiens et autres désagréments de votre vie quotidienne, je tâcherais à vous lire de mettre autant de patience que vous aujourd’hui.

Christiane je vous embrasse

merci pour le petit ruisseau, je l’appelle le ru de mon côté

bises à vous

rose dit: à

« L’impossibilité du travail bien fait
Le cœur du problème est ailleurs. Il se trouve dans l’impossibilité du travail bien fait. Des personnes qui souhaitent travailler dans les règles de l’art se heurtent à des organisations qui sacrifient la qualité du travail, dans tous les secteurs : l’industrie, les services ou encore le milieu universitaire. Ces conflits de critères refoulés viennent s’enkyster dans le corps et la tête de chacun.
Le problème devient alors personnel, mais il est politique dans ses causes, tout comme dans ses conséquences. L’auteur de Le travail peut-il devenir supportable ? évoque le cas Volkswagen, « une organisation du travail qui fonctionne comme la Corée du Nord : on ne peut pas parler sous peine d’être éliminé, et on finit par abîmer l’entreprise, ainsi que la planète. Et là, on accorde aux salariés le droit de faire des aveux : c’est le comble de la perversion politique ! On les contraint à ravaler leur expérience, et quand on arrive au drame on leur demande de confesser des tricheries qu’ils ont été amenés à faire justement parce que la parole était censurée. »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2016/01/24/soufrance-au-travail-oubliez-le-psychologue_4852707_1656994.html#LhCmXY51YQB8fjYO.99 »

tenez c’est pour vous : mais je pense que vous, vous n’avez aucun empêchement pour faire bien votre travail au sein de votre entreprise magnifique, et sur ce, je surseois

salut à tous, aux patients et aux impatients

gérard-Jean dit: à

Widergänger dit: 16 février 2016 à 17 h 29 min
La Belkacem

Il la prend pour une Palestinienne, peut-être ? Ou alors pour la Berma…

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Je me retiens à quatre mains pour ne pas sauter de joie à l’annonce que le Nain teigneux est inculpé. À combien d’indulgences ai-je droit?

D. dit: à

Le problème de certaines personnes, c’est leur ego surdimensionné.

Pauvres Alpilles dit: à

rose dit: 16 février 2016 à 21 h 06 min
« écoutez, pauvres alpines »

Vous êtes adepte de Chaloux ?

« l’alcool, vos obsessions, votre absence absolue d’empathie, votre manière d’exister dans le dégommage permanent, font de vous un être frustre/rustre profondément malheureux »

On se connait ? Vous avouez souvent avoir bu un peu plus que de raison, mais je ne me souviens pas que c’était ensemble, perso ‘aime les femmes qui tiennent l’alcool.

« puisque votre quotidien (conjugal, travail ?) vous plombe gravement »

Euh, n’est-ce pas ce que vous nous expliquez chaque jour de déprime ? Belle introspection.

« Ici, vous avez christiane lavande clopine dhh qui sont talentueuses dans l’exercice d’altruisme »

Recherche active (sans raisons apparentes) de soutiens féministes qui dénotent une vraie peur (mais je peux me tromper) de l »homme ».
Pas grave, mais quand même.
D’autre part, vous faites une très notable erreur d’analyse sur la réalité de vos « consoeurs » car si Lavande et christiane ont un véritable respect d’autrui, Clopine et DHH n’ont de respect que pour elles-mêmes

« votre chère et tendre épouse »

L’ancienne, la nouvelle, la future ? Soyez précise pour une fois.

Un gros poutou.

rose dit: à

pour celui ou celle qui a eu fait cette remarque sur la neige « mais que devient le blanc lorsque la neige fond ? » cette note d’Aristote
 » Mais ce n’est pas non plus parce qu’il serait éternel qu’un bien serait davantage un bien, si tant est que la blancheur qui dure longtemps n’est pas davantage ce qu’elle est que la blancheur éphémère. »

Widergänger dit: à

C’est dans quel bouquin d’Aristote, rose, cette merveille… ?

Widergänger dit: à

Cette fameuse phrase, qui passe pour être de Shakespeare, pose aussi sans le dire le problème de l’authenticité qui découle de ce que Heidegger appelle l’être-pour-la-mort.

Non seulement, comme le dit Aristote, le blanc n’en est pas moins blanc pour être éphémère, mais c’est son être-pour-la-mort qui, dans sa disparition même lui confère sa blancheur propre. Dans la disparition du blanc, nous anticipons la mort qui révèle à la conscience que sa possibilité la plus extrême — la mort — équivaut à l’exténuation de toutes ses possibilités. Autrement dit, elle équivaut à ce renoncement à soi que constitue, pour une réalité comme l’homme dont l’être est d’être toujours au-delà de soi-même et, sur le mode du « pas encore », toujours en cours d’achèvement, toujours inachevé (d’où certainement le caractère si émouvant des œuvres inachevées, et l’importance dans la modernité de l’esthétique de l’inachèvement), l’atteinte d’un moment — l’instant fatidique de la mort — où ne subsiste nul possible. En ce sens, l’anticipation de cette possibilité indépassable qu’est la mort, contraint l’existant à assumer l’être qui lui est absolument propre, c’est-à-dire en clair le contraint à l’authenticité.

Sans la perspective de la mort, le Dasein ne peut atteindre l’authenticité. D’où cette fameuse phrase dite de Shakespeare mise en exergue par notre Passou chéri à son bouquin qui nous parle précisément, à propos de l’homme, de la possibilité ou non, faite par la science contemporaine, d’être authentique ou pas. Le transhumanisme pose effectivement — et là notre grand Passou adoré pose le grand problème métaphysique fondamental, mes petits chéris, de la possibilité ou non de l’authenticité dans l’avenir de l’homme à travers l’invention de l’immortalité. L’immortalité rend impossible toute authenticité ; le transhumanisme ne peut pas fonder une recherche de « l’homme authentique », qui perd tout sens, et ne peut être fondé, en vérité, que sur le mensonge, l’inauthentique, la perversion de l’être.

La réalité humaine est à la fois rejetée, à partir de l’anticipation de la mort, vers la possibilité qui lui est propre (et qui définit son authenticité), à savoir le choix des possibles, et convoquée à opérer ce choix en optant pour celles des possibilités qui, en-deça de la mort de la dernière et ultime (la mort), lui offrent la possibilité effective d’exister en tant qu’être hors-de-soi, comme un être des possibles, et non comme une chose.

Ainsi, le transhumanisme avec son fantasme d’immortalité rendrait caduque la réalité humaine qui est d’être-hors-de-soi, en d’autres termes, sa liberté.

Voulant libérer l’hommed e la mort, le transhumanisme l’y enfermerait. Tel serait le destin tragique de l’évolution de l’humanité si le transhumanisme devait triompher un jour.

Notre Passou chéri pose en effet les bonnes questions. Cela fait-il de son roman un bon roman ? C’est une autre question, que je me garderais bien de traiter, vous pensez bien, mes pauvres chéris…

Widergänger dit: à

Ce problème de l’authenticité était d’ailleurs déjà traité par Tarkovsky dans son très beau et très grand film, Solaris. Authentique chef-d’œuvre.

rose dit: à

C’est dans Ethique à Nicomaque, juste après le préambule. J’en bave Widergänger : je relis quatre fois chaque paragraphe, j’avance je recule je relis. J’espère finir et ne pas me décourager.

Ici, sur ce blog magnifique quelqu’un s’était posé la question de où va le blanc lorsque la neige fond. C’est la question qui fut magnifique.

Ceci est une amorce de réponse.
Je dirai, pardon de ma présomption, que le blanc a été même s’il n’est plus ; et que peu importe la durée puisqu’il a été blanc (comme neige).

Et, si vous aviez envie de rire, nous pourrions visionner la lessive qui rend le blanc plus blanc et antiredéposition du sieur Coluche.
Un grand éclat de rire, et nous reprendrions notre cours, chacun d’entre nous.

rose dit: à

je préfère mes petits chéris à mes pauvres chéris
bonne soirée

rose dit: à

il parle aussi de Sardanapale et là on cesse tout sourire

Widergänger dit: à

La nuance est d’importance, rose, parce qu’elle suggère une réponse cachée à la question posée…

Widergänger dit: à

De toute façon, le monde est si beau qu’il ne peut être que d’origine divine.

Que le ciel soit bleu et la neige blanche est si extraordinaire que tout cela dépasse de beaucoup nos pauvres esprits infirmes sinon pour nous extasier devant ce qui nous dépasse.

relookeuse professionnelle dit: à

Bravo. Vraiment. Le sans histoire c’est ce qu’on va finir par vraiment chercher, à force.

relookeuse professionnelle dit: à

Ne serait-ce que pour ne plus tomber sur du tout trouvé.

Widergänger dit: à

Que l’univers ait été créé pour qu’une créature comme l’homme, dans cette immensité démente, se pose la question de la disparition du blanc de la neige est quelque chose de fabuleux, qui nous fait toucher du doigt le caractère divin du monde.

rose dit: à

Ah !
Mais pour l’instant je ne pourrai pas le lire et donc impossibilité d’y répondre (et je ne sais ce qu’est le golem non plus )

d’accord avec vous Widergânger, mais si laid aussi et cela nous rend perplexe.

Mon prochain livre sera celui d’un dominicain qui remet en cause l’existence de dieu, mais je voudrai bien ne pas lâcher Aristote.

Widergänger dit: à

L’Ethique à Nicomaque, c’est en effet un de ces livres fondamentaux, qui a tant inspiré l’Occident depuis 2500 ans. Comment comprendre Molière et l’idéologie de « l’honnête homme » à son époque sans parler de l’Ethique à Nicomaque ? Comment comprendre le rire qu’inspire Alceste — fondé bien davantage sur le ridicule que sur un défaut à corriger — sans Aristote et son Ethique à Nicomaque ? Impossible.

Et c’est ça que ces voyous qui nous gouvernent veulent mettre au rencard ! Ce sont tout simplement des barbares.

rose dit: à

Pauvres Alpilles dit: 16 février 2016 à 22 h 00 min
rose dit: 16 février 2016 à 21 h 06 min
« écoutez, pauvres alpines »
je prends la peine de vous répondre, ceci parce que vous êtes timide et moi aussi.

Vous êtes adepte de Chaloux ?
Non, je ne le connais pas ; sais seulement qu’il est le grand guerrier auquel s’affronte Widergänger et je ne suis pas leurs combats, cela me dépasse.

« l’alcool, vos obsessions, votre absence absolue d’empathie, votre manière d’exister dans le dégommage permanent, font de vous un être frustre/rustre profondément malheureux »

On se connait ? Vous avouez souvent avoir bu un peu plus que de raison, mais je ne me souviens pas que c’était ensemble, perso ‘aime les femmes qui tiennent l’alcool.

Non, j’ai pris une cuite à vingt ans, lors d’un mariage où j’avais mis une robe blanche au décolleté carré brodé d’oiseaux rouges en bas ; cuite au champagne parce que je n’avais pas dansé de la soirée. Depuis, jamais je n’ai recommencé.
Pourquoi ? Parce que j’ai l’alcool triste; Or, sans alcool, j’ai ma dose de tristesse donc pourquoi en rajouter une couche épaisse ; je suis désolée, je ne suis pas atteinte de cette maladie grave là.

« puisque votre quotidien (conjugal, travail ?) vous plombe gravement »

Euh, n’est-ce pas ce que vous nous expliquez chaque jour de déprime ? Belle introspection.
Non plus. J’aime mon boulot ; corriger les copies est une tâche ardue, pénible et difficile et j’y mets toute ma conscience professionnelle. J’avoue que c’est comme grimper l’Everest corriger des copies de collégiens.

« Ici, vous avez christiane lavande clopine dhh qui sont talentueuses dans l’exercice d’altruisme »

Recherche active (sans raisons apparentes) de soutiens féministes qui dénotent une vraie peur (mais je peux me tromper) de l »homme ».
Pas grave, mais quand même.
Non, je n’ai pas peur de l’homme et je ne le méprise pas non plus. Ceux de mon entourage évoluent tellement que j’en suis sidérée ; je ne pensais pas que les relations hommes femmes auraient de tels changements en ce début du XXIème siècle et j’en suis agréablement surprise;
Les femmes vivent la sonorité; Avec quelques hommes je découvre aussi la fraternité : ce sont des choses heureuses à découvrir.

D’autre part, vous faites une très notable erreur d’analyse sur la réalité de vos « consoeurs » car si Lavande et christiane ont un véritable respect d’autrui, Clopine et DHH n’ont de respect que pour elles-mêmes.

Je ne les considère pas ainsi ni l’une ni l’autre; Si leur intérêt d’autrui, étranger à leur cercle d’amis ou de famille paraît distant, toutefois je les ressens comme attentives chaleureuses et dévouées à leurs cercles proches. On ne peut pas toujours, en tant que femmes, s’intéresser à l’universel. En tant qu’homme non plus d’ailleurs.

« votre chère et tendre épouse »

L’ancienne, la nouvelle, la future ? Soyez précise pour une fois.

L’actuelle.

Un gros toutou.

J’avais lu un gros poutou ; je croyais donc mériter une bise affectueuse de votre part ; Il n’en est rien, c’est tant pis pour moi.

Vous m’agressez alors que je ne vous ai pas agressé ; je ne fais que répondre à vos complaintes. Dommage de passer autant de temps en agressions infructueuses.

relookeuse professionnelle dit: à

« je préfère mes petits chéris à mes pauvres chéris »

La fragilité de vos préférences y reste lisible: vous n’êtes pas une fondue et c’est très clair.

rose dit: à

les femmes vivent la sororité

bonne soirée

oui Widergänger je l’ai attaqué courageusement et j’y retourne de ce pas

bonne fin de semaine à vous

rose dit: à

c’est parce que dans pauvre il y a une telle connotation péjorative que cela m’insupporte grandement, être pauvre c’est grave, autant que d’être inculte autant que vivre dans un territoire en guerre

alors que petits reste hypocoristique envers et contre tout,

bonne soirée

Effort de pensée? dit: à

Mille fois oui pour un grand texte comme l’éthique à Nicomaque!
Et la Poétique, alors…
Pour Chostakovitch, le film « le Prince et le Bouffon » rend bien compte du jeu complexe de fascination et d répulsion entre l’un et l’autre.
il y a un roman de Ramuz se passant dans deux vallées, qui s’intitule La Séparation des Races, preuve que le tableau de Wiederganger n’est pas si poussé au noir que cela…

Vive ??? dit: à

Si vous voulez sortir (!) un moment de l’obstination entre fascination et répulsion, je peux vous proposer une perle distribuée gratuitement à tout le monde sur fond noir bien lourd:

« Edward Snowden, connu pour sa concision (…) »

Pour valoir de l’or trouver de quoi faire du bruit en disant juste ce qu’il faut. Mais pas trop.

Bonne nuit…

MC dit: à

On connait aussi Bachar El Salad pour les Nuls;
Les tintinophiles me pardonneront, comme à JC Yolan.
MC

MC dit: à

Une perle des services de Fleur Pellerin, trouvée dans le Journal des Arts à propos de la directrice du Grand Palais :
« un mandat de cinq ans, renouvelable en deux fois trois ans »
Sans commentaires.
MC

Vive ??? dit: à

Et si une autre chaîne veut placer sa pub on fait de la place.

JC..... dit: à

Pour une fois pas d’accord avec MC

C’est le « mandat » qui est renouvelable, pas la durée, cinq ans au départ, puis deux fois trois ans de poursuite possible.

Très clair, pour un technocrate dans mon genre …

JC..... dit: à

Sorti des guerre entre cités grecques et autres, on a eu l’empire romain quelque temps… et depuis rien ne va plus !

Le Chrétinisme des guerre de religions en Europe, puis l’Utopie des révolutionnaires conduisant à la Terreur, aux massacres de Vendée, à la guerre civile en France, pour finir dissoute dans l’impérialisme napoléonien…. on enchaine brillamment avec le colonialisme, pour se régaqler avec l’impérialisme nationaliste de WWI, Qui me tout le monde par terre.

Que faire pour se distraire ? on trouve le remède : le fascisme européen, nazisme d’épuration, d’extermination, Espagne, Italie, Japon, la guerre nucléaire WWII, puis le communisme fou de Stalin et clônes divers, les famines, les goulag et la guerre froide …ça roule, maboul !

On se croyait tranquille !

Voila qu’éclate sous nos yeux d’humanistes faibles, lâches, aveugles, la nouvelle guerre : WWIII ! La noble entente du capitalisme mondialisé qui défend le consumérisme achevé contre l’agressivité djihadiste des islamistes fou de soumission à la divinité théocratique !

Pas belle la vie ?….

Constat : il y a bien peu d’humanité dans l’homme.

JC..... dit: à

Dernière catastrophe : l’icône TAUBIRA vend deux fois moins de fiente livresque que l’icôn SARKOZY ! Elle se fait un sang d’encre, parait-il….

JC..... dit: à

« Soirée en l’honneur d’Edmonde Charles-Roux le 18 mars par Les Amis de l’Humanité et la fondation Triolet-Aragon »

Cela remet à sa place notre égérie defferrisée, icône mondaine d’époque, gonflée par les crapules journalistiques de l’Humanité, eux qui furent les hérauts du communisme tyrannique soviétique, ignorant goulags, famines, épurations ethniques staliniennes criminelles …

L’Humanité ment ! L’Humanité ment tout le temps !
(espérant que ce second message plus mesuré que le premier ne sera pas censuré par Anastasie !)

renato dit: à

« C’est une énigme que cette série d’émissions va peut-être aider à éclaircir. »

Il n’y a aucun énigme car les conditions politiques n’ont aucune emprise sur le talent, si talent il y a, car le musicien est soumis aux exigences de la matière qu’il travaille, et puisque Chostakovitch était un musicien talentueux soutenu par une considérable culture musicale…

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