
Ce dont les Français n’ont plus idée
Il faut autant d’audace, d’imagination, d’inventivité, de créativité et de goût du risque pour rééditer que pour éditer. Mis à part le cas le plus courant de la réédition en format de poche un an après la parution en édition originale, c’est à chaque fois un pari. Comme un défi que l’éditeur se lance à lui-même. Il s’agit le plus souvent de révéler à une, ou parfois deux, générations de lecteurs une œuvre qu’ils n’ont pu croiser en son temps faute de maturité. Les éditions Séguier en donnent un bel exemple ces jours-ci en relançant en librairie sans en soustraire ni y rajouter la moindre virgule La Fausseté des vertus humaines (560 pages, 22,50 euros) originellement publié en 1996 (et la première fois en 1678). Cinquante-six chapitres dans lesquels elles sont pulvérisées après avoir longtemps trompé leur monde sous le masque de l’illusion et de l’hypocrisie, qu’il s’agisse de la tempérance, de la pudeur, du mépris de la mort, de la gravité, de l’indulgence comme de la clémence, de la prudence, de la douceur, de la reconnaissance et même, ô surprise, de la « débonnaireté ». De quoi inviter à faire un pas de côté et à se méfier lorsqu’elles nous assaillent en souriant avec une certaine assurance.
Ce livre peu connu d’un moraliste du nom de Jacques Esprit (1611-1678), académicien qui collabora à l’élaboration de ses maximes par le duc de La Rochefoucauld, régale par son iconoclasme et son irrévérence sans que jamais son style ferme et tenu n’en souffre. Un bonheur n’arrivant jamais seul, cet ouvrage dont la nouvelle couverture reproduit opportunément le tableau de Lorenzo Lippi « Allégorie de la simulation » (vers 1640), est précédé d’un bienvenu « Traité sur Esprit » signé par son exhumateur, l’un des écrivains français les plus intimement familiers du Grand Siècle, Pascal Quignard. Bien davantage qu’une simple préface, l’éditeur nous offre là un véritable essai d’une cinquantaine de pages sur ce biterrois au patronyme prédestiné qui avait nourri la folle ambition de prendre à contre-pied la morale humaniste dans sa totalité. Il voulait être l’opposé de Sénèque-le-sermonneur en posant comme postulat que tout le monde ment et se ment. Dès lors, il est aisé de considérer que nos vertus ne sont que des vices déguisés… Le genre de livres que l’on aimerait offrir en visitant ses amis à condition de s’assurer auparavant de leur absence de susceptibilité.
L’autre réédition que l’on se plait à saluer en cette « petite rentrée » ne nous fait pas quitter l’époque. Hommage à notre langue magnifiée par les gens lettrés sous l’oeil du roi, société de grandeur malgré les guerres, violences et misères, elle nous engage à ne plus éprouver de honte à dire tout haut son goût pour la langue du Grand Siècle. C’est qu’elle se porte mal en nos temps de vulgarité triomphante. Une odeur de naphtaline nimbe le souci de la langue ; il n’en faut pas davantage pour passer pour affecté. Louons donc les éditions du Cherche-Midi d’avoir rassembler dix portraits d’Ambroise Paré à Saint-Simon sous le titre Grandeur de l’esprit français (1380 pages, 39 euros) et la signature de Jean-Michel Delacomptée (1948). D’authentiques tableaux vivants brossés dans une langue splendide, ce qui est bien le moins pour ressusciter La Fontaine, Racine ou Bossuet. Toute autre manière les eut offusqués. Pour la plupart publiés entre 1992 et 2012 chez Gallimard dans la regrettée collection « L’un et l’autre » dirigée par J.B. Pontalis, ils témoignent ce que Delacomptée y a créé son propre genre, ce qui est donné à peu d’écrivains de Tite-Live à Sainte-Beuve en passant par La Bruyère et Mme du Deffand. En effet, ses portraits littéraires ne relèvent pas de la biographie mais de quelque chose d’hybride convoquant une érudition d’historien et une acuité d’essayiste afin de les soumettre aux règles du récit bien tempéré. Il n’est pas de plus bel et de plus savoureux hommage (car il a la dent dure) à l’éclat et l’élégance de la langue française à son meilleur- et il y a une certaine cruauté à faire figurer un tel volume en pleine floraison de premiers romans qui ne peuvent que souffrir de la comparaison. D’autant qu’il est enrichi d’une préface de Chantal Thomas qui rend parfaitement justice à son culte du détail, à sa défiance vis-à-vis du « carcan chronologique » et à la liberté dont il use pour emmener son lecteur dans une autre temporalité. Louons un livre si élevé qu’il nous permet de changer de contemporains. C’est peu dire à quel point ce livre qui en contient tant d’autres est une merveille.
La manière Delacomptée est avant tout une écriture très soignée mais dans la légèreté et la grâce, appuyée sur une connaissance sans faille du milieu, baignée par une puissante imprégnation de l’époque. une sorte de portrait en vérité, un peu dans l’esprit du Saint-Simon l’admirable que donna José Cabanis en 1974, traversée des âges et hommage à ce qui se perd, donc, avant tout, à notre langue. L’essentiel de la vie y est bien mais par petites touches, loin de tout souci d’exhaustivité. S’agissant de Bossuet par exemple, il ressuscite à sa façon l’exceptionnel écrivain, mais ne conservant qu’en arrière-fond l’évêque de Meaux, le conseiller d’État ordinaire, le précepteur du Dauphin, le premier aumônier de la duchesse de Bourgogne, le conservateur des privilèges apostoliques de l’Université de Paris, le supérieur du collège royal de Navarre même s’il lui suffit d’une phrase ou d’un paragraphe pour les faire revenir.
L’oeuvre de Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704) ne souffrait pas la fiction. On y chercherait en vain un roman, une tragédie, un poème. Trop frivole, trop futile. Alors que les Sermons du Carême du Louvre, les Oraisons funèbres, notamment les plus fameuses, celles d’Henriette de France, d’Henriette d’Angleterre ou de Marie-Thérèse d’Autriche, resteront comme des modèles d’éloquence (« Madame se meurt, Madame est morte…« ), et que l’intensité poétique des Élévations sur les mystères marqueront à jamais ceux qui les lurent. Tous les canons du parler y sont contenus. Bossuet était du genre à lire les Pères de l’Église en grec avec la traduction latine en regard afin de la reprendre si elle dérapait. Bien qu’il se situât dans le camp des Anciens dans leur querelle contre les Modernes, il entendait secouer la langue pour lui retirer ce qu’elle pouvait avoir de pétrifié et de jargonnant en dépit de son activisme politique : sa lutte pour « le maintien de traditions authentifiées par leur poussière » et cette idée que la vérité d’un événement tenait à sa proximité avec son origine : » L’ancienneté validait ce que la nouveauté viciait ». Aujourd’hui, un tel écrivain passerait pour « réac » ou même « facho » et serait aussitôt liquidé car tout le monde n’a pas comme Bossuet le caractère si naturellement porté à la controverse, et les armes pour y triompher.
Tout pour la langue, cette langue de feu d’une implacable exactitude, un français d’excellence qui se voulait langue orale pensée par l’écrit, dont tous les aspects retenaient son attention, mais comme il n’était pas qu’un évêque de mots, que dire de sa pensée ? Héraut de la monarchie absolue, catholique dogmatique non moins absolu, négationniste des violences faites aux protestants, théologien obtus. Et prédicateur, ce qu’il faut entendre en conservant à l’esprit que la fonction valait prébendes et que le roi finançait généreusement la chaire. A ses yeux fort raides, tout affaiblissement de l’Eglise faisait le lit des libertins, rien de moins. Il faut comprendre sa haine des Anglicans comme une immense frayeur provoquée par leur refus de l’autorité et l’intense désir de neuf. Même la traduction en français que ceux de Port-Royal firent de l’Ancien Testament lui paraissait trop élégante, c’est dire. Mais que ne lui pardonnerait-on au nom de ses circonstances atténuantes : une vraie nostalgie des temps bibliques, la sincère conviction que la société des hommes des tous débuts était pure de ce qui la souillera par la suite et dont son siècle lui offre le terrible spectacle (les libertins bien sûr mais aussi le théâtre qu’il abhorrait). Et puis quoi, notre jugement sur son intransigeance s’atténue dès qu’on la met en balance avec l’extrême dureté de son meilleur ami, l’abbé de Rancé, qui fonda la Trappe dans la haine passionnée de la vie quand Bossuet, qui y séjournait parfois, n’aurait pour rien au monde renoncé au confort de ses propriétés et à l’affection de sa famille.
Jamais procureur, Jean-Michel Delacomptée a ceci de remarquable que son admiration demeure critique de bout en bout. Il se garde bien de verser dans l’hagiographie. Il s’est glissé en Bossuet comme Bossuet le fit en l’apôtre Paul lorsqu’il eut à composer son panégyrique. Il faut dire qu’avec Bossuet, le dossier est lourd. On ne prend guère partie dans l’hostilité qu’il nourrissait pour Mme de Lorraine, abbesse de Jouarre, la question de l’autorité épiscopale sur son établissement nous atteignant au fond assez peu. Mais dans l’affaire du quiétisme de Jeanne Guyon, autre cas d’insoumission, on se range plus volontiers du côté de M. de Cambrai que de celui de M. de Meaux, avec Fénelon plus naturellement qu’avec Bossuet, le Cygne plutôt que l’Aigle. Dans la violente polémique qui l’opposa au philologue Richard Simon, grand polyglotte et prêtre de l’Oratoire, on ne se sent pas davantage solidaire de Bossuet « crispé sur sa crosse et buté sous sa mitre ».
Jean-Michel Delacomptée n’en a pas moins composé un essai admirable, écrit en totale osmose avec les livres de ce temps-là, leur esprit et non leur lettre, un temps où il se souvient qu’on parlait d’oeuvres et non de textes. A croire qu’il l’a écrit au deuxième étage de la maison de la rue Neuve-Sainte-Anne à Paris où l’orateur sacré vivait lorsqu’il n’était pas à Meaux. On se prend à relire certaines pages, celles sur le salut par le silence notamment, et quelques lignes très personnelles, discrètement autobiographiques, qui sont une clé inattendue. De Bossuet on n’a retenu que la morale sévère. Est-ce ce qui rend pessimiste son inspiré portraitiste qui prévoit qu’en 2027, année du quatre centième anniversaire de sa naissance, il faudra se battre pour rappeler le prosateur qu’il fut et exiger sa célébration ? Inutile d’attendre cette date pour comprendre que sa prose est une langue si classique que les Français l’entendent désormais comme une langue étrangère.
Autre exemple, Saint-Simon. Notre auteur ne serait pas lui-même s’il n’avait organisé son affaire autour d’un point focal. Non un point de détail mais un moment isolé de manière privilégiée et arbitraire. Toute son énigme (Chantal Thomas utilise le mot en titre de sa préface) se ramasse entre 1739 et 1740 ; le duc de Saint-Simon vient d’achever la « Note sur la maison de Saint-Simon », hommage au lignage auquel il se vouait jusqu’alors ; il s’apprête à faire subir le même traitement à la Maison de La Rochefoucauld quand il modifie sa route et s’élance dans l’invention de son grand œuvre : les Mémoires, un océan de mots. 2854 pages plus loin, et dix ans après, il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps. L’auteur s’est longtemps demandé quelles raisons avaient profondément motivé ce saut décisif ; de même, on ne saura jamais vraiment ce qui s’est passé à la charnière de 1908-1909 pour que Proust, grand admirateur de Saint-Simon, passe insensiblement d’un projet de livre mêlant plusieurs genres (essai, souvenirs, récit) à un projet de roman, et de Sainte-Beuve à Combray. « A partir de quel moment un écrivain, chargé d’un projet longuement fermenté mais qui lui résiste, finit par se lancer et, d’une traite, le réalise ? Par quels méandres, et en quels circonstances, advient soudain ce qui se refusait à lui jusqu’alors ? » s’interroge l’auteur en explorant l’incertaine puissance censée agir son attitude.
Il n’entend pas nous le démontrer mais nous en éclairer par des intuitions, des chemins de traverse, des pistes oubliées qui tiennent le plus souvent à un mot chu et ramassé, ou un détail griffé dans le tissu de sa vie, toutes choses insignifiantes sous d’autres plumes mais qui prennent une allure nettement plus convaincante lorsqu’elles sont gouvernées par un tel souci de la langue. En trois traits, il brosse un portrait : dos rond, oeil de verre, ourlet démesuré des lèvres. Au passage, Jean-Michel Delacomptée nous livre l’argument d’une pièce de théâtre rêvée (avis aux amateurs !) : les trois jours et trois nuits au cours desquelles Saint-Simon, enfermé en huis clos avec le Régent, s’employa à le convaincre de rompre avec Mme d’Argenton qui l’asservissait, afin de reconquérir l’affection du Roi, son oncle. Le Régent, Philippe d’Orléans était son ami d’enfance et le demeura ; il avait d’ailleurs, dès l’entame de son projet, fixé la borne du souvenir à la mort de celui-ci. On le disait sociable, épris de conversation, passionné de protocole et de rituels, expert en grandeurs d’établissement, ce qui nous vaut de belles pages sur la comédie du tabouret ou le cérémonial public de la chaise percée.
La vraie grandeur selon lui ne devait pas être assise sur la fortune. Le duc n’était guère préoccupé de posséder des biens ou de jouir des plus hautes fonctions ; d’ailleurs, il en refusa maintes fois et des plus brillantes ; on dira que c’est plus facile lorsqu’on est né Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, pair de France, seigneur de nombreux fiefs, duc de Ruffec, comte de Rasse, gouverneur de Senlis, héritier des ville, citadelle et comté de Blaye en Gironde, préférant à tous ces lieux son château de La Ferté-Vidame à vingt-cinq lieues de Versailles. Grand cas est fait de l’ambassade extraordinaire qu’il conduisit en Espagne, sous la Régence afin d’y marier Louis XV, onze ans, à l’infante d’Espagne, trois ans. On ne trouve qu’une seule occurrence du mot « pute » sous la plume de Saint-Simon : « Cette pute me fera mourir » soupirait Marie-Thérèse, reine de France, épouse de Louis XIV, en regardant le Roi s’afficher avec la Montespan. Une édition partielle des Mémoires, publiée avec cette phrase pour titre, a fait un tabac en librairie il y a quelques mois. Au vrai, Saint-Simon piétine la syntaxe comme du bon raisin, avec un amour de la langue qui ne relève pas seulement de l’expertise ; il prend des libertés avec la grammaire ; il ne se relit pas quand bien écrit-il volontiers à la diable ; il ne se pique pas de bien écrire, noircit le papier en toute liberté, mais n’en demeure pas moins l’un des rares mémorialistes à être lu et relu, outre ses informations sur la vie de cour (souvent puisées dans le Journal de Dangeau) et ses anecdotes vachardes (son tableau du règne du Roi-Soleil est le plus cruel des monuments dans une chronique des dérèglements de la cour et du royaume qui n’en manque pas) pour la seule grâce de son style.
L’hommage du portraitiste est à sa mesure car Jean-Michel Delacomptée, qui écrit en parfait accord avec la langue de ce temps, jamais ne verse dans le pastiche ni l’affectation. N’espérez pas trouver dans ce livre une analyse serrée de l’œuvre. Plutôt le reflet d’un instant biographique, mais qui en dit bien davantage en si peu de pages sur l’âme du gentilhomme campagnard de la Ferté-Vidame que tant de thèses obèses. Alors, pourquoi Saint-Simon (1675-1755) est-il passé vers 1739 de sa « Note sur la maison de Saint-Simon » à ses Mémoires, de la dette aux ancêtres à l’émancipation par le « Je », et de la politique à l’émotion ? « L’appel de la vérité, je crois. Et la grandeur ». Voilà tout.
Qu’importe au fond la vraie raison si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains. Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ? Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens. La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée. Il y a quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament dont nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier. Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?
1 345 Réponses pour Ce dont les Français n’ont plus idée
La plaque placée dans l’article de Pierre Assouline évoquant le transfert des deux adversaires irréductibles , Bossuet et Fénelon dans le même édifice au séminaire de St Sulpice se charge d’un comique rétrospectif quand on voit que l’auteur de cette double translation est le Cardinal de Noailles, que l’époque suspectait ( faussement, mais allez le prouver) de Jansénisme…Ces accusations là avaient la vie dure, et l’on connaît un livre allemand de prières à la vierge, parfaitement catholique, qui fut attaqué fin dix septième par les Catholiques comme Janséniste, et par les Jansénistes comme catholique! La conséquence la plus directe fut la censure de Marie d’ Aggreda par La Sorbonne, qui n’avait pas vu le précédent coup venir. On ne dira pourtant pas que Marie d’Aggreda était Janséniste, dans la très catholique Espagne…
Ingeborg
Le Christ comme l’homme des chagrins, détail après 1537.
Lucas Cranach le Vieux.
Monsieur Popol, j’ai trouvé votre petit texte du céleri Rémoulade très coquin. Je suis toute émoustillée.
pauvres poules
Les États-Unis signalent la première épidémie de virus H5N9 « hautement pathogène » chez les volailles. Faut-il s’inquiéter ?
WOKISME
Tout mari qui ne s’écrie pas « Yeah Yeah » en accord avec les dires de son épouse/compagne/infirmière/bergère
est un rebelle égaré.
OUT !
Le seul bonheur, dans le chaos d’une Révolution, est que tout ce qui est nul est valorisé !
« Ontologie de la race
par Alain Policar , le 3 février »
https://laviedesidees.fr/Hardimon-Repenser-la-race
https://www.academiedesbeauxarts.fr/la-maison-atelier-lurcat
JJ-J
Tout près du parc Montsouris…
.
@Ahahahaha !!!
Euh…non !…Rien
Calmos sur l’inhalation de gaz hilarant à trottinette
trottinette éléctrique, Musk oblige
16.14 Il a essaimé un peu partout, ce Lurçat… Apparemment il est également près de chez vous… Merci Ch.
J’ai toujours aimé la cédille dans son nom. C’est assez rare dans nos contrées, je crois. Non ?
14.34, pas mal ce nouveau tableau de Paul Klee, Mimi. Merci Pimpon 🙂
c’est sympa tous ces auteurs qui parlent de vérité et de raison sur un continent qui s’est totalement éloigné de tous ces trucs pour tomber dans des croyances qui ne tiennent pas debout.
comme l’a montré l’attitude de l’Europe face au conflit en Ukraine : au lieu de calmer le jeu l’Europe a pltôt sombré dans la folie en alimentant un conflit qui a envoyé des centaines de milliers de jeunes à la mort.
je veux dire ce genre d’article n’est plus du tout crédible !
il est tellement éloigné des réalités du monde que c’est l’équivalent des histoires qu’on raconte aux gamins pour les endormir.
et effectivement le peuple européen est un peuple de gamins à qui ont raconte des histoires qui ne tiennent pas debout pour les endormir.
il faut écouter la conversation d’une heure entre Tucker Carlson et Piers Morgan, le premier est un réaliste qui refuse de se mentir et l’autre vit dans un monde parllèle.
il y a même des moments dans cet entretien où ça en devient gênant, pas que pour Piers Morgan, mais pour nous, de se voir carrément humiliés par un type juste parce qu’il dit des évidences :
un autre extrait assez drôlatique de leçon sur la démocratie et la dictature :
Quelles mises en scènes ; keupu c’est celui de droite ou celui de gauche ?
Je préfère Benny Hill
je crois que vous êtes devenu un européen total maboule. Il est temps de vous stopper dans vos délires, je pense, au sujet de la démocratie et de la dictature, comme si cette « distinction » manichéenne avait encore le moindre sens, si elle en avait jamais eu.
Il faudrait que le président A. Tebboune se calme un peu, comme dirait Jean-Pierre C, « le plus grand intellectuel français », d’après lui. Et qu’il libère de ses geôles son grand écrivain, Boualem Sansal.
Allons bon ; pour parfaire la série, une petite cuillère de relativisme qui voudrait passer pour un sens de la nuance
maboul
Le Déluge, c’est Maboul
Le mot « Maboul » est un un mot familier signifiant « fou ». Il vient de l’arabe ma’hbul, « fou, sot, stupide ». Mais en hébreu, Maboul, sans H, c’est le Déluge.
quand même un lien;
http://www.judeopedia.org/blog/2010/10/08/le-deluge-cest-maboul/
Frida Kahlo, The Bus, 1929
https://niood.com/wp-content/uploads/2023/10/Why_Is_Frida_Kahlos_The_Bus_So_Famous-niood.jpg
Il faudrait que le président A. Tebboune se calme un peu, comme dirait Jean-Pierre C, « le plus grand
Las, je crois qu’il fait chasser toutes les chimères : certaines personnes ne se calment pas par e qu’elles sont déchaînées.
Espérons pour Boualem, une brève accalmie qui permettra de.
Sinon, la rage, la peste, le choléra, y a pas grand chose à faire, si ce n’est se protéger et fuir.
rose, pour m’éclairer votre commentaire zujourd’hui sur votre mère et vous, et votre soeur…,j’ai recherché :
*Kafka lorsqu’il écrit dans son Journal, le 27 janvier 1922 : « Écrire, c’est sauter hors du rang des assassins. »
acceptez que je ne le commente pas maintenant là.
Bonsoir
Oui, je cuide.
C’est la raison pour laquelle, même si nous nous rencontrons demain une petite heure, sans ma maman, c’est publiquement que je parlerai de l’aînée et de ma mère, parce qu’il est essentiel pour moi que cela soit public et absolument pas dans la sphère privée.
*Kafka lorsqu’il écrit dans son Journal, le 27 janvier 1922 : « Écrire, c’est sauter hors du rang des assassins. »
Cela, c’est une citation magnifique, au même titre que lorsque vous écriviez plus haut « allons, la douceur angevine »
Chacune de nos références, si différentes.
Mais, avec et grâce à/ à cause de Clopine, j’ai appris combien c’était horrible cette publication publique des faits. Il n:y a pas de choix je cuide : je saute hors du rang des assassins lorsque je raconte ce qui se passe.
Bonne soirée à vous,
La divulgation extraterrestre est imminente. Peut-être demain. En tout cas au premier semestre 2025. Tout sera dit au grand public : nombre de races, nombre d’entités biologiques, robotiques et mixtes, emplacement des bases terrestres, technologies, intentions, accords déjà passés,
Moi, ce que je sais de source sûre, et je suis en plein dedans, c’est que nous vivons une mutation essentielle en 2025.
Année du serpent de bois.
Quand on sortira de la zone de confort, lorsque l’on est athé, on ne lira pas Après dieu.
Sinon, c’est un bout de mer plutôt qu’un canal
https://maps.app.goo.gl/na9LxPaVx2r7T3Az7
Olivier Rolin.
Être pauvre, solidaire, vivre selon une structure moyenâgeuse, dans le Nord.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/aisne/saint-quentin/alternative-a-l-ehpad-pour-les-seniors-modestes-les-beguinages-un-habitat-collectif-typique-du-nord-de-la-france-ne-au-moyen-age-3100306.html
@Un Grand siècle en Asie dont a encore idée ?
« Il existe des moments dans l’Histoire où une civilisation fait face à sa propre démesure.
Le Japon des Tokugawa en 1670 nous offre peut-être le plus fascinant des exemples.
Imaginez : en un siècle, la population a triplé. Les forêts millénaires ont disparu sous la hache des bûcherons. Les sols s’érodent. Les rivières débordent. Les montagnes glissent.
Une civilisation au bord du précipice.
C’est dans ces moments que se révèle la vraie nature d’une culture. Face à l’abîme, deux voies s’ouvrent toujours : continuer la fuite en avant, ou inventer un nouveau rapport au monde.
Les Tokugawa ont choisi la seconde voie. Non par idéalisme, mais par lucidité.
Ce qu’ils ont créé est fascinant : un système complet de limitation volontaire de la puissance collective. Une révolution silencieuse qui allait transformer leur rapport à la Nature.
Là où nous imaginons la limitation comme une contrainte, ils en ont fait un art.
Là où nous voyons la modération comme une faiblesse, ils en ont fait une force.
Là où nous fuyons les limites, ils les ont embrassées.
Cette sagesse ne s’arrêtait pas aux forêts. Les Tokugawa avaient compris quelque chose de fondamental sur la puissance : une fois libérée, elle devient impossible à contrôler.
Ils ont donc fait l’impensable : interdire les armes à feu, limiter drastiquement le commerce extérieur, réguler la taille des navires, encadrer strictement les marchands. Une civilisation entière qui choisit consciemment de ne pas maximiser sa puissance.
Puis vinrent les navires noirs américains. L’humiliation. La peur d’être dominé.
En quelques décennies, le Japon bascule dans l’autre extrême. L’ère Meiji ouvre la course effrénée à la puissance industrielle et militaire. Une fuite en avant qui culminera dans le désastre de la Seconde Guerre mondiale.
Aujourd’hui, le Japon incarne toutes nos contradictions modernes : une étiquette sociale raffinée dans un capitalisme féroce, des rituels de modération dans une société de surconsommation, une esthétique de la simplicité dans le pays des gadgets électroniques.
L’expérience Tokugawa nous enseigne quelque chose d’essentiel : la limitation volontaire de la puissance n’a fonctionné qu’en circuit fermé, protégé du monde extérieur.
Dans notre monde globalisé, le défi n’est plus national mais universel : comment inventer une sagesse de la limite qui transcende les frontières ?
Des idées ?
D’autres exemples de limitations volontaires de puissance ? »
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Hésiode, Des Travaux et des jours ; la bonne Eris et la mauvaise Eris … ça ne rajeunit personne mais s’avère d’une justesse toujours renouvelée
“… lorsque l’on est athé, on ne lira pas Après dieu.”
Qu’est-ce que c’est que ça ? Depuis quand ne peut-on pas lire ce que l’on veut ? Mystères !
« Oh, God said to Abraham, « Kill me a son »
Abe said, « Man, you must be puttin’ me on »
God said, « No » Abe say, « What? »
God say, « You can do what you want, Abe, but
The next time you see me comin’, you better run »
Well, Abe said, « Where d’you want this killin’ done? »
God said, « Out on Highway 61 »
Well, Georgia Sam, he had a bloody nose
Welfare department, they wouldn’t give him no clothes
He asked poor Howard, « Where can I go? »
Howard said, « There’s only one place I know »
Sam said, « Tell me quick, man, I got to run »
Oh, Howard just pointed with his gun
And said, « That way, down Highway 61 »
Well, Mack the Finger said to Louie the King
« I got forty red-white-and-blue shoestrings
And a thousand telephones that don’t ring
Do you know where I can get rid of these things? »
And Louie the King said, « Let me think for a minute, son »
Then he said, « Yes, I think it can be easily done
Just take everything down to Highway 61 »
Now, the fifth daughter on the twelfth night
Told the first father that things weren’t right
« My complexion, » she says, « is much too white »
He said, « Come here and step into the light »
He said, « Hmm, you’re right, let me tell the second mother this has been done »
But the second mother was with the seventh son
And they were both out on Highway 61
Now, the roving gambler he was very bored
Trying to create a next world war
He found a promoter who nearly fell off the floor
He said, « I never engaged in this kind of thing before
But yes, I think it can be very easily done
We’ll just put some bleachers out in the sun
And have it on Highway 61″ »
( https://youtu.be/8hr3Stnk8_k?si=oKd0JWLJOc6Y3lkA )
Si vous aviez la possibilité de ne pas couper le début de ma phrase, vous auriez une chance millimétrique de comprendre ce que je signifie :
rose dit: 4 février 2025 à 22h14
Quand on sortira de la zone de confort,
Je vous en crois capable.
C’est vrai que le Groenland cela ne suffisait pas.
Allons-y pour la bande de Gaza.
On va réduire des gens en esclavage sous l’autorité des américains :XXI ème siècle.
Pourtant, en France, on a l’exemple des casques bleus en Afrique et des résultats obtenus.
Le complet contraire du Japon ci-dessus et de la limitation de sa puissance.
Lorsque un grand taré rencontre un autre grand taré belliciste.
Live dur Le Monde.fr.
Sur le Monde fr.
Nous avons la chance inébranlable, que, dans la nuit, l’Arabie saoudite démente formellement les propos de ce grand dingo.
Quelle zone de confort ?
Pour saluer Karim Aga Khan IV, imam modéré philanthrope, décédé hier à Lisbonne.
@ »Kafka lorsqu’il écrit dans son Journal, le 27 janvier 1922 : « Écrire, c’est sauter hors du rang des assassins. »
acceptez que je ne le commente pas maintenant là. »
Au contraire, Dr Lecter, nous sommes tous yeux ouverts , pour lire ce que vous voulez faire écrire à Kafka, qu’il n’a pas fait, à l’adresse d’une déséquilibrée en plein craquage mental et qui était en suivi psychiatrique, il n’y a pas si longtemps.
Au fait, l’entrée du journal de Kafka que vous daubez est au 27 JANVIER 1922, et pas plus tard.
Bonne journée.
Le journal, ici:
https://www.projekt-gutenberg.org/kafka/tagebuch/chap013.html
rose, et l’Ukraine en étau entre deux des super prédateurs, VZ trouverait « normale » la proposition américaine, sa sécurité en échange des terres rares? Encore faudrait-il que la Russie souffre un renoncement à la guerre et laisse faire .
Ecouter à propos de l’aphorisme traduit de Kafka ( c’est pas tout à fait ça ):
MS, qu’on aime ou pas Clopine, le fait est que des milliers de dépressifs sont suivis par des psy et ou ont fait un séjour en service. De l’autre coté, nombre de sociopathes, psychopathes et autres nuisibles échappent à l’étiquetage et vivent dans le réconfort de leurs nuisances sans être inquiétés.
Que la béret évite de s’immiscer dans un commentaire auquel elle ne comprend rien ; qu’elle laisse clopine en dehors de ça, qui ne l’a concerne pas.
En revanche j’espère que » je cuide » a la conscience tranquille.
Bouh
qui ne la concerne pas.
B,
Il me semble qu’elles se situent toutes deux entre solitude et communauté, ici le monde anonyme de la RdL. Des fragments de non écrit, des effilochures d’une douleur qui veut sauter hors du silence de la vie en société ou chacun garde sous le masque sa vérité, ou chacun fait semblant d’être cohérent. Ce sont des fictions non écrites qui appartiennent encore au silence brouillé de l’inconscient.
La zone de confort c dit dans un com ci-dessus par quelqu’un qui écrit « lisez en sortant de votre zone de confort ». Je n’irai pas chercher. Grosse journée comme hier.
nuisibles échappent à l’étiquetage et vivent dans le réconfort de leurs nuisances sans être inquiétés.
Toxiques.
Ils jouissent.
Je pense aux enfants harcelés, qui mettent fin à leurs jours, leur souffrance.
B.
Je n’ose pas même parler de l’Ukraine et du gâchis phénoménal.
Mais, moi la première, on attendait que Trump mette fin aux guerres. À quel prix ?
Sasseur, je vous faisais part de mon avis, je conserve comme chacun la liberté de réagir à l’une ou l’autre des interventions. La vôtre comme d’habitude chargée de bienveillance et de compréhension. Il y a aussi ceux qui réussissent leur suicide.Les dépressifs offrent cet avantage qu’ils n’ont pas pour habitude de tuer les autres, ils se suicident.
» Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. »
Parce que Sasseur comprend même les choses qu’elle ne peut expliquer, dont elle ne livre aucune explication claire , la citation est un faux, écouter les 3 minutes sur fr cul, j’ai cherché car je ne saisissait pas la signification de cette belle affirmation.
Saisissais.
Regarde moi cette vieille sotte qui ne sait plus sur quel blog errer, après les avoir tous épuisés.
Passou, je ne pas si Esprit vous l’a proposé, et comment l’aurait-il pu, mais en fausse vertu, dénonçons les fausses sollicitudes à l’époque du Web. Ces prédateurs/trices , ces oisifs, obscènes désœuvrés, ont laissé mourir seul leur meilleur » ami « ; tous alzheimer,
ils auront de peine a s’en souvenir.
Dégueulasses.
Regarde moi cette vieille sotte qui ne sait plus sur quel blog errer
Sniff! ( bien que je ne sois pas certaine de l’adresse).
Le vent
Tentative de restitution d’un retable baroque. P 85.
bonne journéee.
Spindlermühle, Kafka y a écrit « le château »
ET Mainyenant,ça suffiy de vos yeux wide « chut » -elle ferme les lèvres dy kasque avec l’annulaire droit voud êtes comme ma maeatre qui, un soir que je lui dis que j’avais trop mal à la tête me retoutrna une paire de claques:la nuit, une maladie grave fut confirmée par une ponction lombaire;
bonne journée
zut ç l’ordi , _ça suffit maintenant
les lèvres du masque
vous êtes comme ma marâtre me retourna
Dernière mise à jour de mon guide
Cimetière de Montmartre
25e division
Bertrand Blier (1939-2025)
Fils de l’acteur Bernard Blier, il fit une entrée fracassante au cinéma grâce à son film Les Valseuses (1974), avec Gérard Depardieu, Patrick Dewaere et Miou-Miou. S’imposant par la suite comme un cinéaste iconoclaste et provocateur, remarquable pour ses dialogues truculents ciselés à la manière de Michel Audiard, notamment dans Buffet froid (1979) ou Tenue de soirée (1986).
(Il est désormais voisin de tombe de Claude Simon…)
ce n’est pas une si mauvaise compagnie.
et quand je précise qu’une maladie fut confirmée, c’était moi qui souffrais,mais ma marâtre était aussi
malade, un autre genre de maladie dans le DSM,pour sur!
Bref, » je cuide », autre maboul pervers et manipulateur, qui se sert du réseau et en détourne l’usage. Que de clients en souffrance pour le psychiatre.
JJ-J Désolé mais votre commentaire sympa à propos du texte Ingeborg, je l’ai approuvé dès que je l’ai reçu, mais il y a un retardet pas mal de délai pour qu’il apparaisse sur le blog . C’est aussi le cas pour des commentaires de Christiane.
Les ruines du businessman
Trump, gentil organisateur de club de vacances ou promoteur immobilier ?
Il assure que les Palestiniens « adoreraient » quitter la bande de Gaza.
Le président américain a proposé de faire « tout simplement le ménage » dans la bande de Gaza et de transférer ses habitants dans des lieux « plus sûrs » comme l’Égypte ou la Jordanie.
« Nous en prendrons possession et serons responsables du démantèlement de toutes les bombes dangereuses qui n’ont pas explosé et de toutes les armes », a déclaré plus tôt le président américain lors d’une conférence de presse aux côtés du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, en soulignant que les États-Unis allaient « aplanir la zone et se débarrasser des bâtiments détruits », afin de développer économiquement le territoire palestinien.
« Ce n’est pas une décision prise à la légère », a-t-il dit, répétant son vœu de faire de Gaza la « Côte d’Azur du Moyen-Orient ».
Il a parlé d’un projet « à long terme » et dit avoir parlé à d’autres pays dans la région qui ont « adoré » l’idée, répétant son vœu de faire de Gaza la « Côte d’Azur du Moyen-Orient ».
Du coup, Benyamin Netanyahou a salué en Donald Trump « le meilleur ami qu’Israël ait jamais eu à la Maison Blanche », tandis que le Hamas dénonce un plan « raciste » visant à « éradiquer la cause palestinienne ».
Après, avec l’aide des fonds de pension américains, il pourra s’attaquer au Liban et en refaire la Suisse du Moyen Orient ?
9.30, je trouve votre « Eros inconsolable » sur une tombe anonyme comme une invitation sodomitiste chez les amalgophiles qui peuplent les cimetières.
En avez-vous bien conscience ? – Pour un complément d’info à votre reportage, cet excellent lien Lit-Quid :
https://savoirsdhistoire.wordpress.com/2018/02/20/lagalmatophilie-le-vice-des-peloteurs-de-statues/
Heureusement qu’Edel est là pour assurer le sav de son blog en panne, sinon ses suiveurs vont encore crier à la censure.
lire supra : agalmatophilie ou pygmalionisme… @ Cuid -> c’est un genre de paraphilie.
Merci Paul pour cette précision (9.55).
crier à la censure… Ou saumur à la criée.
De quoi semelle t elle ?… Evidemment, on le sait bien, c’est dur de se sentir exclue de tous côtés et de se raccrocher par l’injure erga omnes. Un autre syndrome paraphylique bien connu, proche du sadomasochisme virtuel. Inutile de consulter, cela ne se soigne pas. Quant aux injurié.es systématiques, ils ont appris à faire avec cette tache.
on n(a pas dit que la femme de l’allégorie était une égérie:là c’est sur LSP la rigolade sur « la tarte à la crème journalistique, pas Bourdaloue!
Publié le3 février 2025
Marianne Faithfull, une « égérie » bien sûr
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/
bourdaloue
Sa tombe se trouve dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis, à Paris, entre Bastille et le métro Saint-Paul
L’agalmatophilie est un moindre mal, JJJ.
Surtout lorsque l’on sait que le cimetière du Montparnasse est entaché d’une sombre histoire !
« Le sergent nécrophile
Pour clore le chapitre des évènements historiques liés au cimetière du Montparnasse, il nous faut évoquer un fait divers du XIXe siècle. Il s’agit d’un cas de nécrophilie dont le protagoniste est un certain François Bertrand, sergent dans un régiment de la région parisienne. Âgé de 25 ans au moment des faits, en 1848, ce militaire de carrière, licencié en philosophie, bien noté de ses supérieurs, ne pouvait résister au désir de déterrer les cadavres et de les mutiler. Après de nombreuses profanations commises dans plusieurs cimetières et principalement celui du Montparnasse, il fut grièvement blessé à la jambe d’un coup de chevrotine, au cours du piège que la police lui avait tendu. Il parvint néanmoins à s’enfuir et à se rendre au Val-de-Grâce. Confondu quelques jours plus tard, il fut mis aux arrêts. Les 27 et 28 juin 1849, il comparaissait devant le Conseil de guerre qui le condamna à la peine maximale, à savoir un an d’incarcération. Prisonnier modèle, il devait se suicider peu aprés sa sortie.
Auparavant il s’était expliqué, dans une lettre adressée au médecin qui le suivait, sur le besoin irrésistible auquel il succombait : « (…) j’éprouvais autant, je puis dire plus de plaisir en mutilant le cadavre après l’avoir violé, qu’en me livrant sur celui-ci à toutes sortes de profanations. Oui, la monomanie destructive a toujours été plus forte en moi que la monomanie érotique, c’est incontestable, et je crois que je ne me serais jamais exposé pour violer un cadavre si je n’eusse pu le détruire après. » »
https://www.lelezarddeparis.fr/le-cimetiere-du-montparnasse
on ne sait pas si Brassens était agalmatophile
Georges Brassens – Corne D’Aurochs
https://www.youtube.com/watch?v=nC5ulD6XBoc
« Baisse des vols, augmentation des violences sexuelles… La préfecture de police de Paris tire le bilan de 2024 »
Plus tu violes moins tu voles et inversement !
Y aurait-il un non cumul des pulsions ?
Chante gigi, chante. Tu n’es pas le moins dégueulasse de la bande.
Pour ma part, je trouve que violer un cadavre est un acte moins grave que violer sa sœur marie. Dans le premier cas, ça ne fait aucun mal à la victime. Quoique dans le deuxième, y aurait-il vraiment victimation ? Ladite ne serait-elle pas un brin peu ou prou consentante ? Cette question classique en criminologie reste toujours non tranchée pour les harceleuses haineuses se croyant totalement saines d’esprit.
Possible zone de confort ?
Ça bien à part, Federico Zandomeneghi, Au lit,1878*.
https://www.latribunedelart.com/IMG/jpg/federico_zandomeneghi.jpg?26098/6d995c192aef50c828e9bbfe9905710b2087de6d6d1c04b7f55f6938db9a56bd
Rappel :
« Les catholiques revendiquent leur liberté sur la base de nos principes (les principes laïques) et refusent nos libertés sur la base de leurs principes (les principes religieux). »
Gaetano Salvemini (historien et antifasciste).
* Galleria d’Arte Moderna, Palazzo Pitti, Firenze
@ Tu n’es pas le moins dégueulasse de la bande.
Que disions-nous ?… La première du fan-club parmi les égaux. Couchée ! Next.
L’église Saint-Paul-Saint-Louis, précédemment appelée église Saint-Louis-des-Jésuites, je cuide.
Ceux-là mêmes qui avaient fait de l’actuel site du cimetière du Père-Lachaise leur villégiature.
« En 1626, les jésuites de la rue Saint-Antoine acquièrent la propriété pour en faire leur maison de repos.
C’est de là que, le 2 juillet 1652, Louis XIV, âgé de 14 ans, assiste aux combats de la Fronde qui font rage dans le faubourg Saint-Antoine.
C’est en raison de cette visite royale que la colline aurait, d’après certains auteurs, pris le nom de Mont-Louis.
Plus tard, le père François d’Aix de La Chaise, confesseur de Louis XIV depuis 1675, vient souvent s’y reposer. Il contribue largement, grâce aux libéralités du roi, à l’embellissement et à l’agrandissement du domaine auquel son nom reste attaché. »
https://www.lelezarddeparis.fr/le-cimetiere-du-pere-lachaise
Le gigi de la maison poulaga, vieux malade, va consulter , tu as été assez nocif pour ton » ami « .
11.O1 Un conseil récurrent, donc un brin lassant. Seriez-vous épuisée de devoir vous croire obligée de toujours répondre les mêmes sottises ? Oubliez-vous !
Arrête un peu ton cirque, et va consulter.
Hommage à quelques juristes sortant des sentiers battus, par Philippe Artières, au sujet de l’histoire du 50e anniversaire la loi Veil.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2025/02/04/livg-de-plein-droit-de-haute-lutte/
@ »on n(a pas dit que la femme de l’allégorie était une égérie. »
En fait vous n’avez que des conneries à dire.
On n’a pas dit non plus que ce tableau dd Lippi était l’allégorie de la comédie par opposition à la représentation de Melpomène, muse de la tragédie, le masque dans une main, le glaive ensanglanté dans l’autre.
Les Tuche vous font-ils encore rire ?
Pas le glaive, la massue plutôt.
Irrémédiablement répugnante la gigi.
Ce soir, je me fais une saucisse de Montbéliard.
Je n’aime pas trop leur goût de fumé prononcée, Monsieur d.
Je ne t’ai pas sonnée, vieille endive.
Alors là… ça va pas de passer comme ça.
Je vais vous dénoncer au modérateur.
William Marx va donner une tribune à Daoud. Le journal Le Monde a donné une tribune à Daoud.
Personne en France n’a songé à donné une tribune à Saada Arbane.
Ne parlons même pas de lui demander pardon.
Parce que la victime c’est quand même elle.
Par contre ils peuvent pérorer pendant des heures sur les droits des femmes.
Daoud qui raconte quand même sans rire:
« Cette jeune femme malheureuse clame que c’est son histoire. Si je peux comprendre sa tragédie, ma réponse est claire : c’est complètement faux »
et puis un peu plus tard:
« tout le monde connaît son histoire en Algérie, et surtout à Oran ». « C’est une histoire publique »
C’est ce qu’on appelle l’esprit oriental.
https://www.tsa-algerie.com/houris-kamel-daoud-apporte-une-autre-reponse-aux-accusations/
12.11
Serviteur !
Pour moi, ce sera saucisse au couteau avec écrasé de pommes de terre.
C’est moche cette histoire. Vraiment moche.
La littérature c’est comme l’andouillette, ça sent toujours un peu la merde.
Ne pas confondre l’Allégorie de la Simulation de Lorenzo Lippi avec l’Allégorie de la Chasteté de Lorenzo Lotto, ni avec l’Allégorie de la Musique de Filipinno Lippi ; Filippo Lippi, lui, à dédaigné les allégories (que je sache). On peut aussi se demander si l’illustration (au format horizontal) montrée par Pierre Assouline est un allégorie de l’Allégorie de la Simulation de Lorenzo Lippi ?
la mère adoptive de Saâda Arbane, qui est une ancienne ministre de la Santé algérienne, « a raconté son histoire partout ».
ça,je veux bien le croire;
c’est une faiblesse de bien des femmes de vouloir s’approprier ine histoire dans laquelle elles ont eu un certain rôle et de se montrer comme l’actrice déterminante de la « story » qu’elles arrangent
la question qui demeure néanmoins: le livre n’en demeure-t-il pas aussi « intéressant », même si la story subsiste dans son imprécision
C’est moche cette histoire.
peut-être ne devons nous pas trop dramatiser:cette histoire, c’est donc bien toute une histoire avec de nombreux acteurs,comme la vie, c’est la vie
Saucisse de morteau au couteau, excellente association terre-mer.
« L’industrie bordelière est surtout basée sur les activités prostibulaires de beaucoup de femmes qui se vénalisent. »
Erica-Marie Benabou (La Prostitution et la police des moeurs au XVIII siècle).
14.45 Répugnant irrémédiab’ ce BP dans ses obscènes citations. Elles ont bon dos, ses putes borgnes, des victimes du sadique micheleffroi, sans aucun doute.
Que peut le féminisme contre la pornomondialisation ? Rien.
Le musée sur l’histoire de la cryptographie – écriture chiffrée et sécurisée –, situé dans l’Etat américain du Maryland. (Karl Merton Ferron/TNS. Getty Images)
bonsoir
Il faudrait peut-être, puisque Jacques Esprit il y a , s’intéresser au milieu où évolue La Rochefoucauld. Cousin avait noté la Comtesse du Maure, Delacomptee Jacques Esprit. Qui d’autre ?
Un musée du Maryland, géré par la NSA, a volontairement dissimulé des panneaux retraçant l’apport de femmes et de personnes racisées à la cryptographie. Après un tollé, l’établissement a évoqué une «erreur» commise dans la précipitation pour répondre aux récents décrets présidentiels.
Karl Merton Ferron/TNS. Getty Images
Pourquoi des portraits de femmes et de personnes issues de minorités ethniques exposés dans un musée aux Etats-Unis ont-ils été dissimulés?
libé
Fort bel article. Félicitations !
Les sottises de Trump continuent de défrayer la chronique: après Panama, le Mexique, le Groenland, le Canada (!), voici qu’il veut chasser les Gazaouis de leur terre ancestrale pour en faire une nouvelle Riviera ! Et Netanyahou d’approuver !
@Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?
Un modeste prolongement :
https://www.aphg.fr/Demi-Journee-d-Etude-Enseigner-les-Lumieres
Depuis le début de l’année 25, totomlatomate a signé huit comptes-rendus de lectures sur son blog… Un peu de tout et de n’importe quoi… A la différence de l’année 2024, temps de vaches maigrichonnes, elle n’a plus le temps de les signaler à l’RDL de Passoul.
Faut bien dire que les vulcanismes littéraires ne passent plus forcément par chez lui.
Ça ne se met pas au pluriel de cette façon, compte-rendu, Madame Gigi. Je me demande où vous avez été à l’école.
Tonton la 🍅, ça n’a jamais volé bien haut à mon humble avis.
Ceci-dit, Madame Ricaud-Veyre, compte-rendu au pluriel s’écrit bien comptes-rendus. Je me demande pourquoi vous venez ainsi chercher noise à Monsieur JJ, qui de plus n’est pas une dame.
Ce n’est pas une dame, la Gigi ?
Vous me faites marcher.
Non. C’est un Monsieur, Gigi.
Merde…
Et puisque c’est déjà demain Rosas danst Rosas:
Rosas.
Superbe gestuelle, décor daté, énergie prégnante.
Magnifique.
Tremendously : énormément.
Excellente journée à vous,
RIVIERA
Le Gros Canard va transformer GAZA en paradis pour touristes friqués…
Cet homme est un génie ! Porquerolles Gaza, voila un avenir pour la population ensoleillée de la Mer Nostre ! Bien meilleur projet que l’escapade en Israel du mois d’octobre. Gaudeamus !
En vrac,
Quasiment sympathique, on peut évoluer :
https://www.instagram.com/reel/DFm7OTsgdne/?igsh=eWZrMHJxOGU1dWd6
Je n’ai pas compris (alors que je viens à peine de comprendre le terme) pourquoi va -t’on vers un monde sans fact-checking.
—–
Dégoûtée à donf par un jeune couple français/juif qui soutient plein block le projet délirant de Trump. Je confierai trois mois les quatre mômes équilibrés aux grands-parents, en colonie de vacances qu’ils quitteront, eux, un jour, et enverrai le couple, séparé pour ces trois mois travailler à Gaza : un au nord, l’autre au sud. À ce jour, ils me font gerber : leur moi-je, leur moi-nous. Et les Palestiniens sont des animaux. On vous emmerde, gros connards : vous n’êtes pas le centre du monde.
Ils sont heureux, c clair. Mais cons comme des manches à balai.
Agnès Varda et ses balais apportés par ses amis pour son anniversaire.
—-
Vu directeur, directrice adjointe, docteur, cadre de santé, psychologue, infirmière de garde.
Baudruche dégonflée : je me suis présentée comme une anti-Ehpad, revendication politique.
Le docteur est formidable. Deux cela ne forme pas une cabale, il est vif et intelligent.
« Et les Palestiniens sont des animaux. On vous emmerde, gros connards : vous n’êtes pas le centre du monde. » (rose)
Allons allons, chère Rose… ! Vous le savez, nous sommes tous des animaux !!!
D’espèces différentes entre elles, naturellement : des lions, des tigresses, des tortues, des putois, des charognards, des moutons, des chèvres … !
L’ignorance est le plus grand des mépris.
C’est pas gagné dit l’une. C’est gagné dit l’autre.
Ma mère a eu une poussée en janvier de 20000 globules blancs. Infection. Plus bronchite carabinée.
Mardi midi, elle a recommencé à manger : deux beignets de calamars, succulents, chauds et crispy, un quart de petit morceau de blanc de poulet, plus une petite verrine de riz. Deux càc de yaourt. Deux morceaux d’ananas frais.
Elle a passé le cap.
Je ne tourne pas la page.
Je ne suis pas encore libre, et non.
On va aller au cinéma, et oui. Et manger à restaurant italien préféré en ville.
Précision : hier, à trois heures d’intervalle, ai commis, avec la même personne formidable, il forme une équipe, deux lapsus révélateurs, crénom, Freud, reviens.
Ma fille// mon mari.
Je précise : ma maman// mon père.
Rose, remets tes pendules à l’heure fissa.
Nota : je ne suis pas une petite fille immature qui n’a pas coupé le cordon ombilical avec sa mère.
Non.
Et pourtant, à Syracuse, vers 15h, ai téléphoné à ma mère pck elle était malade. Trois fois. Je ne donne pas les détails, très laids.
Lorsque Valérie m’a téléphoné le soir pour me raconter précisément ce qui s’était passé, je lui ai dit « je sais ».
Je sais parce que je le savais.
Ne cherchez pas.
C’est l’amour.
On peut aimer, être autonome, mâture et indépendant. J’ai solidement tranché le cordon ombilical d’avec ma mère : je l’aime autant. Mais c tranché. Célavi.
Quelques précisions pour les gens en évolution (à ce sujet, B.est B. et personne d’autre) :
Chacun et chacune peut se faire et s’inventer son roman personnel et se construire son histoire à sa façon, avec toutes ses fioritures, dont il a besoin pour vivre et se justifier :
néanmoins, ce qui est fait est fait et pas effaçable : c’est fait.
Ce qui est dit est dit, et pas effaçable : c’est dit.
Évidemment que l’attitude intelligente est de reconnaître s’être trompé. S’enferrer dans ses propres erreurs n’a jamais aidé personne à se sortir de l’hameçon.
Je suis chrétienne.
Je ne pardonne pas.
Au moindre millimètre de tentative de me porter tort, je réagis : nul ne me maltraitera. Dingue l’énergie que cela dégage, ce changement d’attitude.
Nota bene : ton père est mort. Tu ne l’as pas vu pendant plus de vingt ans.
Moi, je me suis occupée de lui pendant six ans, et du mien de père pendant trente cinq ans d’affilée avec constance et loyauté : les actes sont inscrits. Les non actes n’existent pas. Je me donne encore trois jours. Puis, j’efface toutes ces coordonnées de mon répertoire : on ne refait pas l’histoire. J’étais là, tu n’étais pas là.
Six ans, trente cinq ans, cela ne se rattrape pas. Avec tes talons hauts, connasse.
Vous êtes JC. Pas moi.
Les sottises de Trump
Quelqu’un ici il y a quelques jours écrivait de lui pour le résumer ou le définir: Personnalité puissante. etait-ce élogieux, admiratif, constatatif? Le fait est qu’il semble outrepasser le Pouvoir qui lui a été confié par le vote.
« C’est pas parce qu’on est vieux, qu’il faut nous abandonner ».
Mélissa et Fernande.
Mélissa sait, comme moi, ce qui est précieux.
https://www.instagram.com/reel/DFfqzo7srvV/?igsh=cHd3dTBrZzViNDg1
Ma maman, le 1 janvier à 16 h, me disant à Syracuse » je suis abandonnée ». Ayant passé les 24 et 25 décembre, le 31 décembre et le 1er janvier, seule, dans son EHPAD.
Le 13 décembre, douze jours avant Noël, trois morveux chez le notaire, deux ayant raflé les économies de 64 ans de vie de couple, la troisième, dépouillée de son héritage par sa fratrie, défendant ses droits.
Trump est une baudruche.
Il suffit d’une épingle.
Il fait miroiter des mirages. Pas d’oasis à son horizon.
Je vais cuisiner une poule au pot. D, sacrifiez-vous de temps en temps une de vos poules pour le pot? C’est très bon et peu coûteux et puis ça me rappelle l’école primaire et ce qui nous était dit de l’ambition sociale d’Henri IV. .
Les USA connaissent actuellementle meme probleme que la Russie avec les oeufs, ils deviennent très chers et très rares, des gangsters ont perpétré un casse pour voler des centaines de milliers d’oeufs qui vont leur rapporter une petite fortune. (Grippe aviaire, abattage ).
Le Gros Canard va transformer GAZA en paradis pour touristes friqués
pensez-vous qu’il affaiblira Musk quand il n’aura plus besoin de lui un peu comme Poutine s’est séparé de Prigogine sans le tuer tout à fait toutefois? Les voitures électriques ne semblent pas trop plaire à Trump .
@ »Ne pas confondre l’Allégorie de la Simulation de Lorenzo Lippi avec l’Allégorie de la Chasteté de Lorenzo Lotto »
Allégorie du vice et de la vertu ?
Allégorie, concept très intéressant, » rébus visuel » plus qu’enigme.
Une excellente critique du dernier roman d’Echenoz, signée par Françoise Guichard, sur le blog Cinéma et littérature :
« Bristol, quel étrange titre… ce Bristol-ci n’est ni la ville anglaise, ni un hôtel de luxe, pas davantage le papier cartonné des cartes de visite à l’ancienne — juste le nom du protagoniste de ce dernier roman de Jean Echenoz, un personnage de papier donc, mais pas anglais, et encore moins luxueux !
Car Bristol est cinéaste, mais du genre tâcheron. Robert de son prénom (ce qui nous laisse deviner son âge…), il vivote de navet en nanar et de petit budget en tout petit budget. Pas un artiste donc, même pas un honnête artisan. Un bricolo condamné aux adaptations de romans de gare assez tartignoles (aventures, exotisme et amour) comme « Nos cœurs en purgatoire » d’une nommée Marjorie des Marais (j’adore ce nom, qui fait délicieusement écho à Mélissa da Costa…) sur lequel il est précisément en train de travailler — ladite Marjorie que l’on retrouvera plus tard, mais n’anticipons pas, comme dit Beckett, et revenons au début de l’œuvre, qui commence… par une chute. On sent tout de suite que le cher Echenoz va nous balader, et pour notre très grand plaisir :
« Bristol vient de sortir de son immeuble quand le corps d’un homme nu, tombé de haut, s’écrase à huit mètres de lui. Bristol n’y prête pas attention et se dirige vivement vers la Seine. C’est un premier matin d’automne, trop tôt pour lui, trop frais pour la saison, neuf heures dix et six degrés Celsius. »
Ce n’est pas sans évoquer le célèbre « trente-trois degrés boulevard Bourdon » par quoi débute le génial Bouvard et Pécuchet de Flaubert, et il y a un peu de ça. Nous sommes rue des Eaux (Paris XVIe), où se trouve l’immeuble cossu où vit notre cinéaste et dont la présidente du Conseil syndical, Michèle Severinsen, « corps majestueux d’ancienne actrice contenu dans un peignoir à motifs lilas » tente obstinément de maintenir le standing. Nous la retrouverons plus tard elle aussi — mais n’anticipons toujours pas.
Je vous devine déjà, amis lecteurs : et l’intrigue, dans tout ça ? Disons qu’elle se développe en mode marabout-bout de ficelle-selle de cheval, pour retomber sur ses pattes (si j’ose dire) page 192, à la fin de l’œuvre, où nous apprendrons enfin l’identité du mystérieux défenestré de l’incipit — à ceci près que ça n’a plus grande importance à ce stade d’un récit où le malicieux écrivain a joué, pour notre plus grand plaisir, avec tous les stéréotypes romanesques possibles : actrices foldingues, nymphomanes et/ou dépressives, acteur bellâtre, la ville de Nevers (coucou Marguerite Duras), un chauffeur de maître fort inquiétant, une romancière à l’eau de rose assez pénible, un bungalow colonial (coucou Alain Robbe-Grillet), un tournage catastrophe en Afrique sub-saharienne (où le meilleur acteur est l’éléphant), un leader indépendantiste africain et lettré, un petit flic parisien tout droit sorti de chez Simenon, et j’en passe… Echenoz s’amuse beaucoup, et nous aussi, même quand il joue à nous décevoir, comme dans cette scène érotique (p. 37):
« Ça faisait longtemps, Robert, dis donc, fait observer Geneviève en enroulant ses bas jusqu’aux talons, les expédiant au loin suivis de son soutien-gorge avant de marcher vers le lit où elle renverse le corps de Bristol, s’allonge sur lui, le serre contre elle puis s’en écarte pour défaire la ceinture de cet homme, dézipper sa fermeture-éclair et tout ce qui s’ensuit, le reste à l’avenant. »
Suivi d’une belle ellipse narrative : « Après qu’elle est partie, Bristol rhabillé… », et nous restons sur notre faim, hilares et ravis.
Imaginez l’enfant métaphorique et surdoué de Denis Diderot (Jacques le fataliste) et Jean-Patrick Manchette, et vous obtenez Echenoz, maître es intrigues désinvoltes, qui mêle polar, vaudeville, roman d’aventures, road-movie, cinéma populaire, pour nous donner à lire un grand roman d’amour : l’amour du roman. »
Echenoz, dans la bibli d’Augustin hier.
Et ce fut le triomphe de l’humour.
En revanche, Foenkinos, quel hâbleur, quel flagorneur ; on aura assez compris, qu’il n’avait rien lu avant ses 19 ans.
Strepitosa : incroyable.
Buena giornata
Échenoz surdoué ? 🤔
Les gens qui ont un enthousiasme délirant.
Le tableau se serait intitulé » Femme au masque » :
Ce tableau avait pour titre: Femme au masque . C’est une certitude.
Les chrétiens doivent pardonner, à ceux qui demandent le pardon. C’est dans le notre Père. A tel point c’est important. Ça ne veut pas dire oublier. Il ne faut pas oublier.
L’allégorie se donne pour etre une représentation symbolique de notions abstraites, en l’occurence pour ce tableau il s’agirait de l’hypocrisie, la cruauté , que sais-je encore quand je n’y vois qu’une très jeune femme plutôt détachée, sereine, posée ( les analystes y observent un certain mépris) qui pour moi s’offre aux regards en déposant son masque, elle offre une grenade, fruit lui-même chargé de symboliques dont je retiens la fécondité qui s’accorde à la jeunesse du modèle.
21.21 / « Ce masque symbolise ce qui m’abstrayait de toute perception ou jugement du monde. Devenue mûre, devenue femme, j’ai accès à la conception, à la connaissance, à la compréhension de ce monde. Mon regard est affranchi. Je vous le signifie, je suis libre et lucide. Je suis femme »
(… a proposé quelqu’un)
Je suis moi et je me suis …
Ceux qui consciemment ne demandent pas pardon de fautes dont ils ont nécessairement conscience font un blasphème contre l’Esprit Saint.
À ceux-là il n’est pas pardonné.
Les affirmations et certitudes que vous proferez, Rose, n’ont de crédibles que votre parole soumise à l’autofiction de votre vie répandue ici au rythme de votre inspiration. Vous n’avez pas d’ordre à donner.
D, vous êtes fatigant, horripilant avec vos sentences moralisatrices et vos citations incomprises. Appliquez tout ce fatras à vous-même et foutez-nous la paix. Les endives, les poules, ça passe encore mais le reste est aussi indigeste que la moraline de Rose. La barbe, y la fin, de tous ces fâcheux qui se sentent autorisés à condamner les autres en se prenant pour des saints !
« En 1988, un consensus d’analystes modifie le titre de ce chef d’œuvre de Lorenzo Lippi , originellement intitulé « Femme au masque » et le nomme « Allégorie de la simulation »,
Citation du lien donné par B.
Il serait très intéressant de savoir sur quoi se fondent ces « analystes » pour rebaptiser ce tableau connu jusqu’alors comme « Femme au masque »…
D’un titre factuel on passe à une interprétation peut-être totalement arbitraire.
8.22, Je me souviens (n° 264) du temps où, vendeur de journaux saisonnier dans les campings de Royan et de Meschers durant l’été 1981, je lisais le Zarathoustra de Nietzsche alors que je ne savais pas encore que Richard Strauss avait été introduit dans le prologue du film de Kubrick, 2001 Odysseus. La « fin de l’homme » annoncée par Foucault dans « Les mots & les choses » faisait écho en moi à l’Homme surmonté (ou Surhomme) qui n’avait jamais pu véritablement naître au monde après le mort de Dieu. Pendant ce temps, le roumain Cioran, passé à un nouvel état de décomposition avancée, nous concoctait son « Inconvénient d’être né », ce qui nous consolait des visages de sable dessinés sur la plage, durant nos pauses de vendeur à la criée entre 14 et 16 heures, avant la baignade journalière dans l’océan et la reprise du boulot jusqu’à 19 h.
(***Ce souvenir fait partie de l’histoire universelle du rapport des êtres humains à la littérature de leurs semblables. Pourquoi ne serait-il pas parcouru à ce titre avant d’être effacé ? Vous le savez : « ce qui est triste dans l’IA, c’est que ses artifices ne sont pas très intelligents » -> selon Jean Beau Drillard).
Quand vous étiez vendeur de journaux saisonnier dans les camping, vous souvenez-vous du slogan commercial que vous deviez crier à tue tête, JJJ ?
8.53 Je ne crois qu’elle donne le moindre ordre à quiconque que ce soit. Elle se flagelle et se morcelle en permanence, si on lit bien ses « autofictions » réalistes, plutôt qu’elle ne « moralise » (mort à Lise).
Mais quelle mouche vous a donc piquée, ce matin ? Et puis, D. -qui s’entretient surtout avec la moitié de son dicodylédone- est toujours aussi vert, non ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dicotyl%C3%A9done
Bon. Puisque Christiane ne m’aime pas, je quitte ce blog.
Monsieur D., Christiane à raison.
Vous n’êtes pas ici pour nous faire morale sans arrêt. Si cela nous plaît d’aller en Enfer avec Monsieur ranoto et Monsieur Hicé, nous y allons. Et nous y passerons du bon temps, même s’il y fait très chaud paraît-il.
Avez-vous dit « Enfer » ?
« Il fit œuvre de missionnaire. Mais, de ses débuts, il eut peu de succès en essayant de convaincre ses pupilles de leur responsabilité dans un crime commis au commencement de la création, un crime que, tel qu’ils le comprenaient, ils étaient tous disposés à reprendre à leur compte (ils portaient même des amulettes pour les y aider). Il ne les convainquit pas d’avantage qu’un homme était mort sur un arbre pour les sauver tous : action qu’un vieil Indien, si la traduction de Gwyon était correcte, considérait comme une « criante présomption ». Il compta peu de conversions, et elles furent en général parmi les femmes, créatures faibles et malades, en transit entre ce monde et l’autre, qui acceptaient le paradis qu’il leur était offert comme des enfants s’inscrivent pour une sortie dans un parc d’attractions. Encore un vieil guerrier endurci n’accepta-t-il de se convertir que s’il était sûr de finir dans l’Enfer vivant décrit par Gwyon : cela paraissait mieux la place d’un homme ; et, en entendant les références sanglantes de ce candidat plein de zèle (qui offrait d’ajouter le scalp de son mentor à sa collection en manière de garantie), le missionnaire l’assura qu’il serait exaucé. »
William Gaddis, Les Reconnaissances
Un sympathique curé avec qui je faisais de l’escalade appelait sa paroisse « l’auberge du merle blanc ». Il faut dire que l’humour devait être un héritage familial, puisque l’un de ses grands-oncles poètes avait écrit une ode au ver solitaire.
9.19 / Je me souviens que je criais ‘à peu près) :
« Demandez Sud’Ouest !… toutes les nouvelles du pays… Et toutes les photos du mariage de Charles et Diana ! »
On était vers la fin de juillet 1981, et jamais on n’avait vendu autant ce journal ainsi que « Paris Match » et « Point de vue/images du monde », cet été-là. Les campeurs de nos campings populaires en redemandaient tant et plus. Cette ferveur des vacanciers me médusait et m’amusait. Jamais je n’avais ouvert ce type de journaux, il me fallut bien m’y coltiner pour participer à leur plaisir. Et puis, la gauche venait d’arriver au pouvoir, le petit monde des vacanciers de la 5e semaine, était encore total euphorique. Je n’oublierai jamais ce moment de grâce et de ferveur collective dans ma vie. Ces deux mois de job de juillet et août 81, plutôt bien rémunérés, furent inclus dans le calcul de ma retraite à taux plein, alors que j’avais perdu mes feuilles de paie. La CARSED en avait gardé la trace quand j’ai dû m’attacher à reconstruire les étapes de ma vie de labeur, il y a trois ans. Ces souvenirs oubliés se sont incrustés depuis… ils furent réactivé le jour où je suivi de près les péripéties policières d’intervention à la PP lors de l’accident mortel de la princesse de Galles sous le pont de l’Alma, fin aout 97, 16 ans et un mois plus tard. A cette époque, je ne vendais plus de journaux à la criée dans les campings.
Merci jzmn de m’avoir permis de vous rappeler tout cela.
« « Bristol vient de sortir de son immeuble quand le corps d’un homme nu, tombé de haut, s’écrase à huit mètres de lui. Bristol n’y prête pas attention et se dirige vivement vers la Seine. C’est un premier matin d’automne, trop tôt pour lui, trop frais pour la saison, neuf heures dix et six degrés Celsius. »
Ce n’est pas sans évoquer le célèbre « trente-trois degrés boulevard Bourdon » par quoi débute le génial Bouvard et Pécuchet de Flaubert, et il y a un peu de ça. » »
Mais non c’est plus simple, la chute de l’histoire est au début de l’histoire.
A part ça , Chris Vuklisevic – Du thé pour les fantômes – Folio fantasy
« La barbe, à la fin, de tous ces fâcheux qui se sentent autorisés à condamner les autres en se prenant pour des saints ! » (Christiane)
Je me prends pour un Saint depuis ma confirmation en religion car j’ai senti très tôt que cela permet de dominer facilement les autres gosses du jardin d’enfant … et un peu plus tard, adolescent, ça marche avec les mamans !!!
Il y a des gens qui tuent les autres en se suicidant, ne l’oublions pas… L’histoire de ce type défenestré d’une tour de Notre-Madame et tombé sur un malheureux passant. J’ignore pourquoi il m’a autant marqué, ce fait divers, peut-être l’ai-je inventé…
« la mère adoptive de Saâda Arbane, qui est une ancienne ministre de la Santé algérienne, ‘ a raconté son histoire partout ‘. »
Ça c’est que raconte Daoud.
, je lisais le Zarathoustra de Nietzsche
tout de suite ça renseigne! Vous semblez être une bien courageuse lectrice, quelle idée pour l’été où il est plus courant quand on est jeune et séduisant(e) de piquer une tète dans un frais bassin, d’accepter le Miko que vous propose un beau brun au bar du camping plutôt que de Se prendre la tète avec FN. En fait pas étonnant que vous ayez découragé vos prétendants !
9.40, Ode au ver solitaire… 🙂 c’est aussi une métaphore dans l’histoire de l’affreux pastis de la rue des marles. Un asticot au fond de la bouteille de Ricard « E. Gadda ».
En plus il est joyeusement homophobe.
« Le roman de Kamel Daoud, journaliste au Quotidien d’Oran, décrit ce qu’une ville moyenne de l’Ouest algérien a enduré entre 1994 et 1997, sous la férule d’un seigneur de la guerre homosexuel, que la Propagande (le gouvernement du jour) a nommé maire en guise de reconnaissance et de récompense. »
Et ça se détermine avec ce ton faussement poli. Le public appréciera.
« La lettre est interceptée par les Yeux de la Propagande (la police politique), laquelle informe son protégé de la trahison et de l’ingratitude de celui à qui il avait offert son derrière. »
Je ne commenterai pas le procédé consistant à demander à un bon ami de faire une « recension » (indépendante) de son propre ouvrage dans un journal (ici d’extrême gauche).
10.18, vous avez sans doute raison, mais si j’étais encore djeune, je n’étais pas séduisant du tout, à la différence de djzman. Donc, je me consolais comme je pouvais. Et je n’en pouvais mais. Voili voilà, célavi, Et en plus, les glaces de l’époque n’étaient que de vulgaires Gelatti Motta, chère Mauricette !…
Et vous, B., comment étiez-vous, en 1981 ? Belle et désirable en brusque garçon manqué, j’imagine bien. Je crois que je vous aurais adorée en vous vendant mon sud-ouest, je vous aurais parlé de Nietzsche, et vous m’auriez écouté sans aucun préjugés.
(nota Béré, de Nice => Nietzsche, ça rend saigne… et ça rend un peu dingue aussi, on sait dans quelle encolure équestre ça finit…).
Terminons avec une note plus comique. Le cours de Kamel Daoud à Sciences Po s’appelle… pam… pam…
« Optimiser sa communication écrite avec Kamel Daoud »
L’élite française a le droit au meilleur.
Bon, je sors m’acheter le dernier Richard Powers, et le formidable bouquin de Saviano sur le juge Falcone.
Ces deux-là, je ne les lâche jamais, ce sont deux grands bonhommes dans leurs genres.
Le premier raconte aussi de belles choses sur son amitié avec Bruno Latour, comment celui-ci a contribué à faire bifurquer son œuvre de romancier vers des histoires moins humano-centrées.
Le second est un saint qui crie peut-être en vain dans le désert, mais qui crie, car il sait que, s’il va être fatalement flingué, son combat contre le capitalisme intrinsèquement mafieux n’aura pas servi à rien. « Crie-le » !… Oui, c’est un engagement au péril d’une vie et de bien d’autres… Il est trop tard pour l’abandonner.
Je m’excuse, il s’agit d’une élégie et non d’une ode (au ver solitaire).
L’auteur, Ernesto Ragazzoni, est un intellectuel et un journaliste d’une grande originalité. Né à Orta, sur le lac du même nom, en 1870, après des études à Novare, il s’installe à Turin et en 1900 il est engagé à « La Stampa ». Son travail de journaliste l’amène à vivre à Paris, à Londres, à Bologne et à Rome. Il meurt, rongé par la cirrhose, en 1920. Ses poèmes ont ensuite été publiés dans diverses éditions.
quand on lit cet articlapassou le premier sentiment qui nous vient c’est le regret que cette élite intellectuelle qui, ayant lu tous ces livres savants, savent si bien, du fait de cette immense savance, discerner le vrai du faux, détecter le mesnesonge et la vérité au premier coup d’oeil etc… hé bien que cette élite savante ne nous vienne pas en aide, à nous le petit peuple ignorant et servile, pour nous aider à lutter contre des médias détenus par des oligarques et dont le projet et d’empêcher toute forme d’émancipation de ce petit peuple ignare en nous balançant des fausses informations ou des informations simplistes que chacun, comme je le lis sur ce blog, aime répéter bêtement…
que ces savants nous viennent donc en aide nom d’une pipe pour nous aider à nous libérer et nous émanciper de tous ces mensonges !
, B., comment étiez-vous, en 1981
Je ne sais pas trop, il faudrait un retour des consommateurs. Pas trop moche, pas non plus type top.
10.42 Excuses excusées par vous-même et nous autres. On ne saisit pas trop la différence entre ode et élégie. Donc, pas de souci.
Je m’avise que l’horodateur a une heure de retard. Cette nuit, mauvais rêve lié à mon pot de départ à la retraite. Ils étaient soulagés de me voir déguerpir.
C’est normal, du reste. On aime quand les emmerdeurs.ses se cassent, à la Rdl ou ailleurs. Hélas, ils ne sont pas foule. Faut bien dire que les hargneux.ses sont ceux qui s’accrochent le plus longtemps, comme disait Bob Dylan.
exemple au hasard : ceux qui parlent de souveraineté sont catalogués comme des « souverainistes » et rangés du côté des diables et des méchants…
alors que ces savants savent bien, ayant tous ces livres savants, ils savant du haut de leur savance que le mot « souverainise » ou « souveraineté » n’est pas une insulte.
et pourtant ils ne le disent pas, ils préfèrent la mettre en veilleuse du haut de leur grande lâcheté de peur de se mettre à dos quelques oligarques fâchés de ces remarques…
Elle est sacrément énervée Christiane, contre D et Rose !
Moi perso, je ne m’énerve jamais car personne ne mérite ma colère.
rose,c’est bien que vous commenciez à connaître tout le monde qui travaille à soigner et s’occuper de votre mère;vous non plus, vous n êtes pas seule pour faire face à la maladie et au vieillissement
courage à toutes deux
10.48 / mais on sent que vous ne croyez pas du tout à ce que vous racontez, à vous faire ainsi l’homoncule de l’ignorance demandant de l’aide aux hercules (at home) du savoir critique universel.
Lisez plutôt la chronique de Claude Angeli, un bon « expert » du Volatile de cette semaine, il cause de votre votre fumeuse égérie, Tulsi G.
ou alors ces savants sont assez savants pour se dire dire comme Nietzsche que le mensonge est nécessaire à la vie.
c’est un des arguments de Nietzsche contre les philosophes et leur quête de la vérité.
Nietzsche dit que ces philosophes n’ont pas compris une chose essentielle : le mensonge est un des pilier de l’existence humaine, il nous nourrit et nous aide à vivre autant que l’air que l’on respire !
le mensonge est bienfaiteur alors que la vérité est destructrice… s’il fallait ne retenir qu’une chose de Nietzsche ce serait ça.
de fait tous ces savants qui croient se nourrir de la vérité ne sont que des prédateurs, le pire fléau pour notre espèce.
s’il ne fallait retenir qu’une chose de Nietzsche ce serait celle-là : la vérité est mortifère et le mensonge est vivifiant.
10.48 / Vous avez donc été pas mal consommée, jadis ?… Heureuse femme, de quoi vous plaignez-vous donc aujourd’hui ? De ne plus l’être assez ? Mais la RDL n’en croit rien… Surtout MS, qui vous jalouse comme pas permis le ciel.
Le léZard a succombé à la classe conjuguée de la Callas et d’Angelina Jolie !
RE 10.48 / Vous ne voyez pas qu’il vous drague éhontément par Nietzsche interposé, lui qui ne connait rien à rien ?
Faites-nous ce plaisir, B. ! Cédez à sa tentation et délivrez-nous du mal. Merci.
3J, de ne plus éprouver ce désir. La depression est définie comme étant l’abolition du désir. après il y a toutes sortes de désirs, ca va du Paris-brest à l’envie de pisser.
en 2014 les anglo-américains ont procédé à un changement régime à Kiev pour mettre pouvoir des nostalgiques du bandérisme et du nazisme.
où est le problème ?
pourquoi refuser d’assumer cette vérité historique et préférer se réfugier derrière des arguments bidons comme la défense liberté et de la démocratie ?
Lavrov disait que la dernière fois où il a croisé Blinken ce dernier lui a dit en coulisse qu’il voulait infliger à la Russie une défaire stratégique en Ukraine.
Lavrov se demandait pourquoi ne le disait pas ouvertement préférant se réfugier derrière des arguments bidons ?
se poser une telle question était de la part limite une preuve d’incompétence et de méconnaissance des américains.
l’envie de pisser ne relève pas du désir.
pas la peine d’avoir lu Schopenhauer pour le savoir.
le désir concerne ce que l’on a pas, on imagine que l’on finira par l’avoir on sera heureux, et quand on l’a on se rend compte que non, on est toujours déçu.
ce qui fait dire à Schopenhauer que l’existence n’est qu’une perpétuelle oscillation entre désir et déception.
par contre à aucun moment il ne parle de l’envie de pisser et je ne crois pas que ce soit juste un oubli de sa part…
Polony est peut-être la moins c.nne des journalistes actuels (dont il faut rappeler que la plupart ont été formés par passou dans son école de journalise : j’imagine bien que les premiers de la classe doivent faire partie des plus c.ns aujourd’hui) :
Et vous portiez des culottes courtes en déambulant dans les campings, JJJ ?
Et le désir (universel) de baiser, c’est pas schopenhauerien, puck ?
Un film qui devrait revivifier votre mémoire, JJJ.
Par le même cinéaste dont j’ai parlé plus haut…
https://www.youtube.com/watch?v=Bmp8n85_Kns
Pour SV, car sur sa chaine, on ne peut pas mettre de liens…
https://www.youtube.com/watch?v=h2NSwzeSDHs
Pour 11.07 et les tamaloù ?… A qui le dites-vous, hélas ?… on en est là, itou. Plus guère de libido même dans la phase euphorique de la bipolarité.
On voit bien que vous ne connaissez rien aux plaisirs de l’uranisme.
L’élégie, 3j, se caractérise par une confession autobiographique ou une explosion sentimentale, quelle qu’en soit la forme, mais traditionnellement déterminée par le couplet élégiaque (hexamètre + pentamètre). Tandis que l’ode porte des contenus amoureux, morale ou civil, marqués par une distinction de style caractérisés par une structure métrique élaborée et variée.
Non, j’avais inventé le string avec la sacoche des journaux sur le devant… Cela intriguait et excitait les gens et contribuait à une meilleure rentabilité de vente. Beaucoup s’en souviennent encore. Quand le scandale a éclaté, j’ai dû arborer un pantalon de toile plus décent, un sarouel comme on disait encore, car on n’en avait pas fini avec le power flower chez les prolos tolérants de l’extra vagance en vacances…
11.31, ah merci bien renatom pour cette précision distinctive, je me disais aussi que ma mémoire me jouait des tours. Et que j’allais peut-être encore commettre quelque impair durant mes enseignements à mes arrière petits-neveux férus de rigueur littéraire.
Par exemple, et à propos de l’ode, Horace préfère comme modèle la lyrique éolienne d’Alcée ; mais on trouve parfois des références intertextuelles à Anacréon, Pindare, et ici et là d’autres représentants du lyrisme choral. In fine, mais en moindre mesure, Sappho.
ça barde sur la rdl, Passou ?
C’est comme le réchauffement climatique, ça va pas aller en s’arrangeant pour vos pensionnaires.
Agressivité, sautes d’humeur, accès de colère chez les personnes atteintes d’Alzheimer : comprendre et agir
https://alzheimer-recherche.org/vivre-avec-alzheimer/agressivite-sautes-dhummeur-acces-de-colere/
« j’avais inventé le string avec la sacoche des journaux sur le devant… »
C’était pratique pour le client qui pouvait glisser directement la monnaie dans la fente !
ce que je préfère du « mensonge », c’est sa rime avec « songe »
Voilà maintenant des années que des traitements anti-Alzheimer suivent le long parcours du combattant des essais cliniques pour prouver leur efficacité contre la maladie. Ces deux dernières années enfin de réels succès sont venus récompenser cette persévérance. À leur lumière, nous vous proposons un classement des médicaments, des plus au moins avancés.
https://alzheimer-recherche.org/recherche-et-alzheimer/medicaments-contre-alzheimer-ou-en-est-on/
Le premier de la classe : le lecanemab
La grande dinguerie
« L’instruction d’Israel Katz répond à l’annonce du président américain, Donald Trump, selon laquelle les Etats-Unis envisagent de prendre le contrôle de Gaza, de réinstaller les Palestiniens qui y vivent dans des pays arabes et de transformer l’enclave en « Riviera du Moyen-Orient ». »
Les couples de trente cinq qui ne se sentent plus pisser.
Emmené deux gros bouquins de Paul Loup Sulitzer à E. Il est DCD à 78 ans.
on peut rien vous cacher du mystère de la fente lucrative ! hein 🙂
Les couples de trente cinq ans qui ne se sentent plus pisser, je les exècre.
Le P-L S est désormais en Position Latérale de Sécurité, mais on ne peut plus rin pour lui, célavi.
L’homme descend du singe selon les scientifiques.
La femme descend du songe selon les poètes.
L’enfant descend de l’ange selon les mystiques.
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