
Ce dont les Français n’ont plus idée
Il faut autant d’audace, d’imagination, d’inventivité, de créativité et de goût du risque pour rééditer que pour éditer. Mis à part le cas le plus courant de la réédition en format de poche un an après la parution en édition originale, c’est à chaque fois un pari. Comme un défi que l’éditeur se lance à lui-même. Il s’agit le plus souvent de révéler à une, ou parfois deux, générations de lecteurs une œuvre qu’ils n’ont pu croiser en son temps faute de maturité. Les éditions Séguier en donnent un bel exemple ces jours-ci en relançant en librairie sans en soustraire ni y rajouter la moindre virgule La Fausseté des vertus humaines (560 pages, 22,50 euros) originellement publié en 1996 (et la première fois en 1678). Cinquante-six chapitres dans lesquels elles sont pulvérisées après avoir longtemps trompé leur monde sous le masque de l’illusion et de l’hypocrisie, qu’il s’agisse de la tempérance, de la pudeur, du mépris de la mort, de la gravité, de l’indulgence comme de la clémence, de la prudence, de la douceur, de la reconnaissance et même, ô surprise, de la « débonnaireté ». De quoi inviter à faire un pas de côté et à se méfier lorsqu’elles nous assaillent en souriant avec une certaine assurance.
Ce livre peu connu d’un moraliste du nom de Jacques Esprit (1611-1678), académicien qui collabora à l’élaboration de ses maximes par le duc de La Rochefoucauld, régale par son iconoclasme et son irrévérence sans que jamais son style ferme et tenu n’en souffre. Un bonheur n’arrivant jamais seul, cet ouvrage dont la nouvelle couverture reproduit opportunément le tableau de Lorenzo Lippi « Allégorie de la simulation » (vers 1640), est précédé d’un bienvenu « Traité sur Esprit » signé par son exhumateur, l’un des écrivains français les plus intimement familiers du Grand Siècle, Pascal Quignard. Bien davantage qu’une simple préface, l’éditeur nous offre là un véritable essai d’une cinquantaine de pages sur ce biterrois au patronyme prédestiné qui avait nourri la folle ambition de prendre à contre-pied la morale humaniste dans sa totalité. Il voulait être l’opposé de Sénèque-le-sermonneur en posant comme postulat que tout le monde ment et se ment. Dès lors, il est aisé de considérer que nos vertus ne sont que des vices déguisés… Le genre de livres que l’on aimerait offrir en visitant ses amis à condition de s’assurer auparavant de leur absence de susceptibilité.
L’autre réédition que l’on se plait à saluer en cette « petite rentrée » ne nous fait pas quitter l’époque. Hommage à notre langue magnifiée par les gens lettrés sous l’oeil du roi, société de grandeur malgré les guerres, violences et misères, elle nous engage à ne plus éprouver de honte à dire tout haut son goût pour la langue du Grand Siècle. C’est qu’elle se porte mal en nos temps de vulgarité triomphante. Une odeur de naphtaline nimbe le souci de la langue ; il n’en faut pas davantage pour passer pour affecté. Louons donc les éditions du Cherche-Midi d’avoir rassembler dix portraits d’Ambroise Paré à Saint-Simon sous le titre Grandeur de l’esprit français (1380 pages, 39 euros) et la signature de Jean-Michel Delacomptée (1948). D’authentiques tableaux vivants brossés dans une langue splendide, ce qui est bien le moins pour ressusciter La Fontaine, Racine ou Bossuet. Toute autre manière les eut offusqués. Pour la plupart publiés entre 1992 et 2012 chez Gallimard dans la regrettée collection « L’un et l’autre » dirigée par J.B. Pontalis, ils témoignent ce que Delacomptée y a créé son propre genre, ce qui est donné à peu d’écrivains de Tite-Live à Sainte-Beuve en passant par La Bruyère et Mme du Deffand. En effet, ses portraits littéraires ne relèvent pas de la biographie mais de quelque chose d’hybride convoquant une érudition d’historien et une acuité d’essayiste afin de les soumettre aux règles du récit bien tempéré. Il n’est pas de plus bel et de plus savoureux hommage (car il a la dent dure) à l’éclat et l’élégance de la langue française à son meilleur- et il y a une certaine cruauté à faire figurer un tel volume en pleine floraison de premiers romans qui ne peuvent que souffrir de la comparaison. D’autant qu’il est enrichi d’une préface de Chantal Thomas qui rend parfaitement justice à son culte du détail, à sa défiance vis-à-vis du « carcan chronologique » et à la liberté dont il use pour emmener son lecteur dans une autre temporalité. Louons un livre si élevé qu’il nous permet de changer de contemporains. C’est peu dire à quel point ce livre qui en contient tant d’autres est une merveille.
La manière Delacomptée est avant tout une écriture très soignée mais dans la légèreté et la grâce, appuyée sur une connaissance sans faille du milieu, baignée par une puissante imprégnation de l’époque. une sorte de portrait en vérité, un peu dans l’esprit du Saint-Simon l’admirable que donna José Cabanis en 1974, traversée des âges et hommage à ce qui se perd, donc, avant tout, à notre langue. L’essentiel de la vie y est bien mais par petites touches, loin de tout souci d’exhaustivité. S’agissant de Bossuet par exemple, il ressuscite à sa façon l’exceptionnel écrivain, mais ne conservant qu’en arrière-fond l’évêque de Meaux, le conseiller d’État ordinaire, le précepteur du Dauphin, le premier aumônier de la duchesse de Bourgogne, le conservateur des privilèges apostoliques de l’Université de Paris, le supérieur du collège royal de Navarre même s’il lui suffit d’une phrase ou d’un paragraphe pour les faire revenir.
L’oeuvre de Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704) ne souffrait pas la fiction. On y chercherait en vain un roman, une tragédie, un poème. Trop frivole, trop futile. Alors que les Sermons du Carême du Louvre, les Oraisons funèbres, notamment les plus fameuses, celles d’Henriette de France, d’Henriette d’Angleterre ou de Marie-Thérèse d’Autriche, resteront comme des modèles d’éloquence (« Madame se meurt, Madame est morte…« ), et que l’intensité poétique des Élévations sur les mystères marqueront à jamais ceux qui les lurent. Tous les canons du parler y sont contenus. Bossuet était du genre à lire les Pères de l’Église en grec avec la traduction latine en regard afin de la reprendre si elle dérapait. Bien qu’il se situât dans le camp des Anciens dans leur querelle contre les Modernes, il entendait secouer la langue pour lui retirer ce qu’elle pouvait avoir de pétrifié et de jargonnant en dépit de son activisme politique : sa lutte pour « le maintien de traditions authentifiées par leur poussière » et cette idée que la vérité d’un événement tenait à sa proximité avec son origine : » L’ancienneté validait ce que la nouveauté viciait ». Aujourd’hui, un tel écrivain passerait pour « réac » ou même « facho » et serait aussitôt liquidé car tout le monde n’a pas comme Bossuet le caractère si naturellement porté à la controverse, et les armes pour y triompher.
Tout pour la langue, cette langue de feu d’une implacable exactitude, un français d’excellence qui se voulait langue orale pensée par l’écrit, dont tous les aspects retenaient son attention, mais comme il n’était pas qu’un évêque de mots, que dire de sa pensée ? Héraut de la monarchie absolue, catholique dogmatique non moins absolu, négationniste des violences faites aux protestants, théologien obtus. Et prédicateur, ce qu’il faut entendre en conservant à l’esprit que la fonction valait prébendes et que le roi finançait généreusement la chaire. A ses yeux fort raides, tout affaiblissement de l’Eglise faisait le lit des libertins, rien de moins. Il faut comprendre sa haine des Anglicans comme une immense frayeur provoquée par leur refus de l’autorité et l’intense désir de neuf. Même la traduction en français que ceux de Port-Royal firent de l’Ancien Testament lui paraissait trop élégante, c’est dire. Mais que ne lui pardonnerait-on au nom de ses circonstances atténuantes : une vraie nostalgie des temps bibliques, la sincère conviction que la société des hommes des tous débuts était pure de ce qui la souillera par la suite et dont son siècle lui offre le terrible spectacle (les libertins bien sûr mais aussi le théâtre qu’il abhorrait). Et puis quoi, notre jugement sur son intransigeance s’atténue dès qu’on la met en balance avec l’extrême dureté de son meilleur ami, l’abbé de Rancé, qui fonda la Trappe dans la haine passionnée de la vie quand Bossuet, qui y séjournait parfois, n’aurait pour rien au monde renoncé au confort de ses propriétés et à l’affection de sa famille.
Jamais procureur, Jean-Michel Delacomptée a ceci de remarquable que son admiration demeure critique de bout en bout. Il se garde bien de verser dans l’hagiographie. Il s’est glissé en Bossuet comme Bossuet le fit en l’apôtre Paul lorsqu’il eut à composer son panégyrique. Il faut dire qu’avec Bossuet, le dossier est lourd. On ne prend guère partie dans l’hostilité qu’il nourrissait pour Mme de Lorraine, abbesse de Jouarre, la question de l’autorité épiscopale sur son établissement nous atteignant au fond assez peu. Mais dans l’affaire du quiétisme de Jeanne Guyon, autre cas d’insoumission, on se range plus volontiers du côté de M. de Cambrai que de celui de M. de Meaux, avec Fénelon plus naturellement qu’avec Bossuet, le Cygne plutôt que l’Aigle. Dans la violente polémique qui l’opposa au philologue Richard Simon, grand polyglotte et prêtre de l’Oratoire, on ne se sent pas davantage solidaire de Bossuet « crispé sur sa crosse et buté sous sa mitre ».
Jean-Michel Delacomptée n’en a pas moins composé un essai admirable, écrit en totale osmose avec les livres de ce temps-là, leur esprit et non leur lettre, un temps où il se souvient qu’on parlait d’oeuvres et non de textes. A croire qu’il l’a écrit au deuxième étage de la maison de la rue Neuve-Sainte-Anne à Paris où l’orateur sacré vivait lorsqu’il n’était pas à Meaux. On se prend à relire certaines pages, celles sur le salut par le silence notamment, et quelques lignes très personnelles, discrètement autobiographiques, qui sont une clé inattendue. De Bossuet on n’a retenu que la morale sévère. Est-ce ce qui rend pessimiste son inspiré portraitiste qui prévoit qu’en 2027, année du quatre centième anniversaire de sa naissance, il faudra se battre pour rappeler le prosateur qu’il fut et exiger sa célébration ? Inutile d’attendre cette date pour comprendre que sa prose est une langue si classique que les Français l’entendent désormais comme une langue étrangère.
Autre exemple, Saint-Simon. Notre auteur ne serait pas lui-même s’il n’avait organisé son affaire autour d’un point focal. Non un point de détail mais un moment isolé de manière privilégiée et arbitraire. Toute son énigme (Chantal Thomas utilise le mot en titre de sa préface) se ramasse entre 1739 et 1740 ; le duc de Saint-Simon vient d’achever la « Note sur la maison de Saint-Simon », hommage au lignage auquel il se vouait jusqu’alors ; il s’apprête à faire subir le même traitement à la Maison de La Rochefoucauld quand il modifie sa route et s’élance dans l’invention de son grand œuvre : les Mémoires, un océan de mots. 2854 pages plus loin, et dix ans après, il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps. L’auteur s’est longtemps demandé quelles raisons avaient profondément motivé ce saut décisif ; de même, on ne saura jamais vraiment ce qui s’est passé à la charnière de 1908-1909 pour que Proust, grand admirateur de Saint-Simon, passe insensiblement d’un projet de livre mêlant plusieurs genres (essai, souvenirs, récit) à un projet de roman, et de Sainte-Beuve à Combray. « A partir de quel moment un écrivain, chargé d’un projet longuement fermenté mais qui lui résiste, finit par se lancer et, d’une traite, le réalise ? Par quels méandres, et en quels circonstances, advient soudain ce qui se refusait à lui jusqu’alors ? » s’interroge l’auteur en explorant l’incertaine puissance censée agir son attitude.
Il n’entend pas nous le démontrer mais nous en éclairer par des intuitions, des chemins de traverse, des pistes oubliées qui tiennent le plus souvent à un mot chu et ramassé, ou un détail griffé dans le tissu de sa vie, toutes choses insignifiantes sous d’autres plumes mais qui prennent une allure nettement plus convaincante lorsqu’elles sont gouvernées par un tel souci de la langue. En trois traits, il brosse un portrait : dos rond, oeil de verre, ourlet démesuré des lèvres. Au passage, Jean-Michel Delacomptée nous livre l’argument d’une pièce de théâtre rêvée (avis aux amateurs !) : les trois jours et trois nuits au cours desquelles Saint-Simon, enfermé en huis clos avec le Régent, s’employa à le convaincre de rompre avec Mme d’Argenton qui l’asservissait, afin de reconquérir l’affection du Roi, son oncle. Le Régent, Philippe d’Orléans était son ami d’enfance et le demeura ; il avait d’ailleurs, dès l’entame de son projet, fixé la borne du souvenir à la mort de celui-ci. On le disait sociable, épris de conversation, passionné de protocole et de rituels, expert en grandeurs d’établissement, ce qui nous vaut de belles pages sur la comédie du tabouret ou le cérémonial public de la chaise percée.
La vraie grandeur selon lui ne devait pas être assise sur la fortune. Le duc n’était guère préoccupé de posséder des biens ou de jouir des plus hautes fonctions ; d’ailleurs, il en refusa maintes fois et des plus brillantes ; on dira que c’est plus facile lorsqu’on est né Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, pair de France, seigneur de nombreux fiefs, duc de Ruffec, comte de Rasse, gouverneur de Senlis, héritier des ville, citadelle et comté de Blaye en Gironde, préférant à tous ces lieux son château de La Ferté-Vidame à vingt-cinq lieues de Versailles. Grand cas est fait de l’ambassade extraordinaire qu’il conduisit en Espagne, sous la Régence afin d’y marier Louis XV, onze ans, à l’infante d’Espagne, trois ans. On ne trouve qu’une seule occurrence du mot « pute » sous la plume de Saint-Simon : « Cette pute me fera mourir » soupirait Marie-Thérèse, reine de France, épouse de Louis XIV, en regardant le Roi s’afficher avec la Montespan. Une édition partielle des Mémoires, publiée avec cette phrase pour titre, a fait un tabac en librairie il y a quelques mois. Au vrai, Saint-Simon piétine la syntaxe comme du bon raisin, avec un amour de la langue qui ne relève pas seulement de l’expertise ; il prend des libertés avec la grammaire ; il ne se relit pas quand bien écrit-il volontiers à la diable ; il ne se pique pas de bien écrire, noircit le papier en toute liberté, mais n’en demeure pas moins l’un des rares mémorialistes à être lu et relu, outre ses informations sur la vie de cour (souvent puisées dans le Journal de Dangeau) et ses anecdotes vachardes (son tableau du règne du Roi-Soleil est le plus cruel des monuments dans une chronique des dérèglements de la cour et du royaume qui n’en manque pas) pour la seule grâce de son style.
L’hommage du portraitiste est à sa mesure car Jean-Michel Delacomptée, qui écrit en parfait accord avec la langue de ce temps, jamais ne verse dans le pastiche ni l’affectation. N’espérez pas trouver dans ce livre une analyse serrée de l’œuvre. Plutôt le reflet d’un instant biographique, mais qui en dit bien davantage en si peu de pages sur l’âme du gentilhomme campagnard de la Ferté-Vidame que tant de thèses obèses. Alors, pourquoi Saint-Simon (1675-1755) est-il passé vers 1739 de sa « Note sur la maison de Saint-Simon » à ses Mémoires, de la dette aux ancêtres à l’émancipation par le « Je », et de la politique à l’émotion ? « L’appel de la vérité, je crois. Et la grandeur ». Voilà tout.
Qu’importe au fond la vraie raison si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains. Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ? Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens. La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée. Il y a quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament dont nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier. Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?
1 345 Réponses pour Ce dont les Français n’ont plus idée
RUGBY à XV, TOURNOI DES Six NATIONS
SCOTLAND-IRELAND
Ayant pour amis plusieurs Ecossais et quelques Ecossaises, nous prions tous ensemble pour que notre nation-sœur, l’Ecosse, triomphe cet après midi des vipères irlandaises !
Aide nous Sainte Thérèse !
@La majorité des Cantons a rejeté l’initiative pour la responsabilité environnementale.
Sur ce thème, il existe des initiatives publiques au niveau cantonal, comme par exemple cette application gratuite mise à la disposition des porteurs de projets dans le Valais : https://www.boussole21.ch/
Eventuellement, Office fédéral du développement territoriale ; Évaluation de la durabilité :
https://www.are.admin.ch/are/fr/home/developpement-durable/evaluation-et-donnees/nachhaltigkeitsbeurteilung.html
« Les électeurs n’ont pas voulu envoyer le pays dans le mur, a déclaré Monika Rühl, directrice d’Economiesuisse, à la télévision SRF. L’organisation patronale s’est engagée à réduire les émissions de gaz à effet de serre à zéro d’ici fin 2025. « Les Suisses veulent des solutions pragmatiques. Et nous voulons continuer sur cette voie. La protection du climat reste une question importante et les entreprises doivent penser à long terme », a-t-elle ajouté. »
Un débat démocratique à son meilleur
Vu de gauche
« La majorité des Suisses considèrent l’initiative sur la responsabilité environnementale comme « une mauvaise solution aux défis actuels de la politique climatique », a annoncé le PS dimanche sur le service de messagerie courte Bluesky. Cependant, les dernières votations sur le climat ont montré que la protection du climat reste une préoccupation importante pour la population.
Selon le PS, il est essentiel d’investir massivement dans la transition énergétique et de redoubler d’efforts pour lutter contre la destruction de l’environnement. « Nous devons agir là où les émissions sont générées : transports, bâtiments, industrie. Pour y parvenir, nous avons lancé l’initiative du Fonds pour le climat avec les Verts » »
la source
https://www.cdt.ch/news/svizzera/bocciata-liniziativa-per-la-responsabilita-ambientale-384510
Les émissions sont également générées massivement par un mode d’agriculture désastreux qui depuis près d’un siècle détruit gravement la planète et notamment ses sols initialement fertiles sous le prétexte de nourrir la population mais en réalité permettre la domination de dizaines de multinationales.
Cela ne concerne ni le transport, ni le bâtiment ni l’industrie. Et pourtant c’est ce qui devrait apparaître en numéro 1.
chaloux : je ne regrette rien.
https://www.youtube.com/watch?v=rzy2wZSg5ZM
Les émissions ne sont qu’un aspect de la question …
Expression d’un compromis entre les intérêts de 193 pays, l’Agenda 2030 international se décline en 17 objectifs de développement durable (ODD). Les 17 ODD sont précisés par 169 cibles formant la substance de l’Agenda 2030.
Ces cibles sont des sous-objectifs concrets qui pavent la voie vers un futur durable. Si leur portée se veut universelle, leur pertinence peut varier d’un pays à l’autre. Elles doivent donc être déclinées dans les contextes nationaux, régionaux et locaux pour être mises en œuvre.
@Chaloux Comment vas-tu ? Ça tombe bien je n’ai pas adoré les derniers livres, surtout Western !
#JJJ Ça fait longtemps que je ne suis plus l’actualité de Michel Onfray. Il est trop de mauvaise foi pour m’intéresser
Life’s a Gas
ce qui file les boules au peuple américain c’est par exmple quand USAID refile 5 milliards de dollars (dixit Victoria Nuland) pour financer le coup d’état et le changement de régime à Kiev en 2014, cet argent est dépensé sans demander l’avis des contribuables américains qui ont filer ce pognon à USAID.
le contribuable américain paye des impôts, une partie de ces impôts va à l’USAID et sert à financer des coups d’état aux 4 coins de la planète sans l’accord de ceux qui refile l’argent.
en fait non, ça ne marche pas comme ça dans une démocratie : le peuple paye des impôts pour financer la santé, l’éducation etc… et pas des changements de régime à la c.n dont les américains n’ont rien à cirer simplement parce qu’un taré a écrit une doctrine à la c.n !
il faut que les démocraties reviennent aux fondamentaux parce que là ça part complet en vrille..
autre exemple : USAID est le 2ème contributeur financier de la BBC.
déjà je serais anglais ça me foutrais les boules parce que cela signifie que mon média d’état n’est plus souverain en démendant de l’argent des autres.
et je serais américains çàa me foutrait aussi les boules de savoir que mes impôts servent à financer la BBC dont aucun américain n’a rien à cirer !
À propos de Pavese, en it. :
si un type devait écrire un bouquin sur les fausses vertus il le ferait au niveau européen et il ferait un ouvrage en 10 tomes de 3000 pages !
exemple : le combat antifasciste si cher à nos démocrates : sans regarder aujourd’hui du côté du bataillon Azov il y a eu de sacrés précédents.
exemple de l’exemple : sur les 3 fondateurs de l’union européenne on trouve l’ancien juriste personnel d’Hitler et un collaborateur de la première heure, déjà c’était un bon début.
ensuite l’épisode croate avec l’épuration ethnique de presque un demi million de serbes de Croatie par des types qui se revendiaueint directement du nazisme.
le président croate de l’époque a écrit un bouquin dans lequel il dit que la Shaoh n’a jamais existé !
et l’aéroport de la capitale croate porte son nom !
et ça ne dérange pas le moins du monde nos défenseurs de la liberté et de la démocratie…
pour Milosavic il a fallu attendre 15 ans pour que les types de la CPI avouent qu’il n’y avait aucune charges contre lui et que les crimes qu’on lui reprochait au Kosovo avaient commis par des milices néo nazis albanaises !
ezt là non plus ça ne dérange pas nos vertueux démocrates anti fascistes !
sérieux on pourrait en faire un sketch.
je sais pas trop ce qu’en dirait Saint Simon, mais quand on vit dans une telle hypocrisie de fausses vertus, à la longue, il y a forcément un jour où la réalité vous revient dans la tronche, et sur ce coup je suis sîur que Saint Simon serait de mon avis !
pour l’aéroport de la capitale croate qui porte le nom d’un nazi révisionniste sans que ça dérange nos démocraters européens il faut bien voir qu’on a changé le nom de rues ou d’universités (ex Alexis Carrel) dans des villes françaises pour mille fois moins que ça.
ver
es vers dans nos assiettes ? À partir de ce lundi 10 février 2025, l’Union européenne autorise l’intégration de poudre de larves de Tenebrio molitor, plus connu sous le nom de ver de farine, dans divers produits alimentaires. Une petite révolution pour l’industrie agroalimentaire, qui y voit une source alternative de protéines, et un test grandeur nature pour les consommateurs européens, peu habitués à ingérer des insectes.
@ 11.14 /// Il doit y avoir un malentendu JJJ.
Certainement, si vous le dites, veuillez bien accepter mes excuses… J’ai dû confondre avec une autre malandrin de la chaine.
Chez mon beauf, j’ai appris tantôt cette histoire de rillette qui m’avait échappé… Je devrais sortir plus souvent, ici à l’RDL on n’est au courant de rien, sauf de toujours les mêmes stupidités ressassées.
https://actu.orange.fr/societe/insolite/rillette-est-sauvee-le-sanglier-finalement-autorise-a-rester-avec-sa-maitresse-magic-CNT000002hmwot.html
OUfl, enfin Pdt Macron va nous sortir de la mârdre !
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/en-marge-du-sommet-sur-l-ia-la-france-capte-des-dizaines-de-milliards-d-euros-d-investissements-20250209
Les bêtises de Cambrai ?… On a toujours adoré ce genre de pastilles pour nous faire passer la pilule. Hein ?
Mémoricide ? Voir Philippe de Villiers, le vent en pourpre…
https://fr.wiktionary.org/wiki/m%C3%A9moricide
Ta gueule, Chatgepetto !
« cette histoire de rillette qui m’avait échappé… »
Lisez cette marque de prestige à l’envers, JJJ.
Aie !
DIOR HOMME
Pour info, il ne peut pas y avoir (encore) de femme évêque catholique puck.
C’est bon, les rillettes.
Ni de prêtre. Et il n’y aura jamais.
Je ne serais pas aussi catégorique, D., car la plus haute autorité en matière d’interprétation biblique, la Commission biblique pontificale, a statué dès 1976 que le Nouveau Testament ne se prononce pas sur l’ordination des femmes à la prêtrise et que, par conséquent, les déclarations du Nouveau Testament n’impliquent aucune interdiction des femmes prêtres ; le plan de salut du Christ n’est pas non plus bouleversé ou déformé par l’autorisation de l’ordination des femmes. Rappelez-vous éventuellement Mt 15:21-28… (les objections de la Cananéenne). Enfin, ce n’est qu’une question de temps.
Vous ne comprenez rien à tout cela, renato. Je n’ai pas envie de perdre mon temps. Dieu est Père, Fils et Saint-Esprit. Non pas fille mais fils, donc.
Le prêtre est alter Christus. Il est donc un homme. Les femmes atteignent la sainteté dans l’Eglise de multiples façon, autant que les hommes. Et même des titres tels que docteur de l’Eglise ou patronnes de nations entières. L’Eglise fait toute leur place aux femmes depuis son origine.
A commencer par la Sainte Vierge Marie, qui a le titre de Mère de Dieu.
Aucune créature ne possède aussi haut titre dans L’Eglise.
Je rappelle qu’être chrétien, qu’il s’agisse de clercs ou non, consiste à suivre le Christ, y compris dans ses souffrances, non pas satisfaire des volontés propre en recherchant des positions et rangs.
Bonne nuit, renato, dormez bien avec tous vos évêques en robes. Vous serez simplement dans une autre église que celle du Christ. Question de choix.
Le livreur de l’Apocalypse nous rappelle parfois ces choix.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous,
Sainte Geneviève, patronne de Paris, priez pour nous,
Sainte Jeanne d’Arc, priez pour nous,
Sainteté Thérèse de Lisieux, priez pour nous.
Car le Ciel vous appartient pour l’Eternité.
Me livre de l’Apocalypse ! Ses choix !
Bon enfin vous avez compris.
Que dire à un obtus ?
Noble Puck,
Nous sommes d’accord avec toi.
Il n’est pas meilleur chemin qui mène au Mal que celui de la Vertu manipulée par des crapules au service du Vice tout puissant.
Bonne semaine de souffrances, par Lucifer !
@ »il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps. »
En revanche, Passou bonjour, wikipedia en dit un peu plus sur ce chef d’œuvre de ce courtisan roidi dans une hiérarchie.
Dommage que vous ne relativisiez pas cet engouement pour un système, une organisation, que l’on ne trouve plus guère aujourd’hui que dans des régimes autocritique.
Cela fait de ce billet un regret pour la belle langue, très manichéen et surtout historiquement réducteur, donc assez faux.
Pour ceux qui n’ont pas idée de ce qu’ils ont » perdu « :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Rouvroy_de_Saint-Simon
Lol
régimes autocrAtiques.
https://theconversation.com/ne-pas-lire-les-livres-imposes-au-college-ou-au-lycee-cest-grave-247403
JJJ,
Vous notiez ce lien intéressant donné par MS à 6h39 sur cette page où vous invitiez au débat.
C’est un lien effectivement très riche ay propos de lecture imposée à l’école.
Quelques souvenirs, donc, plus qu’un débat.
A la Maternelle, découverte des albums présentés par l’enseignant ou découverts librement par les enfants dans le coin bibliothèque de la classe. Écoute aussi de contes lus par l’enseignante. Fréquentation de la bibliothèque municipale. Dialogue avec les parents, très importants dans ce domaine.
C’est le temps de ja découverte de l’écriture (livres, étiquettes, tracés de l’enfant, l’écriture dans la ville (affiches, consignes…).
Tout devient plus complexe ay l’école élémentaire qui suit la maternelle, où dans le cycle III (CM) apparaît cette fameuse lecture imposée à certaines heures de la vie de l’écolier. Le choix, souvent des romans de la littérature enfantine, primés pour leur qualité. Là deux façons de les utiliser : soit les distribuer au moment du partage ( lecture suivie de débats) soit les laisser à l’écolier mais se re5ouver en classe autour d’une page ou d’un chapitre indiqués.
Ce qui est difficile, alors, c’est de suivre le rythme de lecture de chaque enfant, son envie de découvrir plus avant le déroulement de l’histoire. Le choix des livres, également. Une pratique individuelle et libre de la lecture doit accompagner ces lectures imposées. Elles entrent parfois en classe si l’élève veut partager ses découvertes . Des animations ay la bibliothèque municipale ou à l’école dont les bienvenues.
N’ayant que très peu enseigner au collège, il faudrait là d’autres témoignages .
Ne pas oublier aussi la Pressé enfantine, abondante dans les kiosques et prisée des enfants.
Une anecdote pour clore : la réaction d’une enfant de quatre ans lors d’un atelier bibliothèque à l’école. Contrairement aux autres élèves cette petite fille explorait « le coin des grands », dont les étagères réservées aux romans. Elle était en larmes au milieu d’un amas de livres ouverts. Je ne saurais jamais lire, disait-elle entre deux sanglots, il y a trop de lettres.
Ce fut une joie de la rassurer, de l’émerveiller en lui ouvrant la porte de ce monde par la clé de l’alphabet, la découverte des mots, des syllabes, de l’écriture. Au cours préparatoire, elle fut la première à lire couramment et à dévorer les livres, ay couvrir aussi des feuilles d’une écriture encore balbutiante.
Un dernier souvenir, d’élèves et non d’enseignante, j’ai aimé les dictées qui m’ont fait découvrir tant d’auteurs et mes Lagarde et Michard qui ont structuré pour moi l’histoire de la littérature avec des extraits et des notices excellentes.
à/ay
Souvenirs antérieurs à l’année 2005. Depuis, les habitudes des enfants ont bien changer car la part des écrans l’emporte souvent sur celle des livres…
Voilà que les medias nous parlent en bonne place des résultats du « Super Bowl »!
Qu’est ce qu’on en a à faire?
Les commentaires plus haut sont tellement cons qu’on a scrupule à perdre son temps à y répondre.
C’est le genre de personne qui dirait volontiers que la démocratie athénienne n’existait pas parce qu’il y avait des esclaves qui en étaient exclus…Donc, aux chiottes Solon et Périclès et rasons le Parthénon pour faire bonne mesure…
Peut-être que Passou a eu le tord d’aller un peu sur le terrain des idées politiques et religieuses de Bossuet et de Saint Simon. On s’en fout royalement (si j’ose dire), on les lit sans y penser tant ces débats ne nous concernent plus.
@ jzmn / DIOR HOMME
EMMOH ROID ? -> ah voui, le célèbre mal au cul de basse fosse !
8.05, Vous contrôlez de moins en moins votre écriture, Cl. (cons, chiotte, tord, s’en fout…) J’aimais mieux celle d’avant. Quand le droite libérale redevient ce qu’elle est…, oui, elle devient vulgaire, alors que la gauche n’a jamais eu aucun scrupule à l’être
Ne répondez pas à ceci, closer, vous perdriez votre temps et ce ne serait pas digne. A de plus hauts objets, élevez vos désirs… Bon lundi à vous.
Que dire à quelqu’un fermé à l’Esprit Saint qui Seul peut nous donner la compréhension des écritures saintes ?
Les talibans catholiques sont une réalité et il sont obtus comme le modelé orientale, c’est un état de l’esprit ; le Saint-Esprit n’est qu’une opinion.
(si j’ose dire
avez grand tort, dear Closer, de vous priver de la rhétorique religieuse de ces puissants écrivains. L’indexé Gide ne cessait de relire les sermonts de Bossuet, jusqu’au Congo, sur le dos carressant de ses négrillons.
à l’oeil
Cette locution est née au XIXe siècle et faisait référence au fait qu’un commerçant pouvait faire crédit à un client sur sa simple apparence, donc sur un simple coup d’oeil et le jugement qui en découlait.
Cher Passou,
Voyez vous plutôt que de servir la soupe à quelques laquais nostalgiques d’une France royaliste et catholique, celle qui va communier à genoux a st nicolas du chardonnet avec toute la sainte famille de l’extrême droite française, au travers des écrits, ragots et potins à la cour, d’un courtisan d’ancien régime, tout raide dans sa hiérarchie militaire, optez plutôt pour Saint Simon, le seul qui vaille.
Optez pour la parabole des talents, à l’heure où l’ogre de Free s’apprête à lever des légions de « brouteurs » pour faire avancer » le chat » , à la veille d’une rupture anthropologique majeure, que ne faites vous là, à regretter les ronds de jambes emperruqués ?
Soutenez les vrais talents !
oeil
Familier. Qui est très voyant, destiné à éblouir : Une décoration tape-à-l’œil.
Gigi la chiasse qui se permet éhontément de juger les commentaires des autres en jouant à l’arbitre des élégances !!!
Mais non ma gigi, tu es juste le pitre rance, parangon de toutes les déchéances.
Vieille fiotte de merde.
parabole ci-dessus:
car les hommes qui se distinguent dans les travaux d’une utilité positive sont de véritables anomalies, et la nature n’est pas prodigue d’anomalies, surtout de celles de cette espèce.
ça c’est pensé!
pas rien à cirer de la finale du super blowl : elle donne la températue le l’Amérique.
exemple : cette année Trump a été ovationné comme eprsonne avant lui alors que Taylor Swift qui devait faire gagné Harris a été huée par le public !
et ceux qui ont écouté Chris Stapleton chanter l’hymne l’an dernier on compris que Trump allait remporter les élections, cette version de Stapleton est le plus belle version que j’ai écoutée, elle rappelle celle d’Hendrix à Woodstock : une version triste limité désespérée comme Batman dans ses dernioers films, mais qui au delà de ce désespoir laisse entrevoir d’un espoir que l’Amérique puisse redeveir ce qu’elle a été une nation vraie et fière d’elle-même :
Je suis une anomalie..
7.17 @ C. P, – Je me souviens de cet essai d’une universitaire Hélène MERLIN-KAJMAN (« Lire dans la gueule du loup, essai sur une zone à défendre : la littérature »). Très brillant, de haute facture, cet essai m’avait rendu heureux par des exemples bien inspirés sur la transmission pérenne de la lecture à ces enfants affamés mais de moins en moins aidés par les parents, tant on les laisserait hébétés toute la journée devant des écrans – Au constat de cette crise de la transmission de la littérature dans les sociétés démocratiques d’aujourd’hui, cette femme entendait défendre « une zone mise en danger ». D’après elle, la littérature ne serait rien sans l’apprentissage premier des histoires lues aux enfants par leurs parents, avant que ceux-ci ne deviennent capables de lire seuls, à leur tour. Elle plaidait pour promouvoir un nouvel usage de la littérature à inventer dans nos sociétés « fondées sur le respect de l’individu, la valorisation de son autonomie et de sa liberté de conscience et de sentiment ». Elle s’interrogeait et interrogeait les valeurs cognitives, esthétiques, voire thérapeutiques à mettre en œuvre pour restaurer ce qu’elle appelait un « partage transitionnel », pour que les textes littéraires tissent à nouveau des liens entre nous autres, les néo parents et les néo enfants.
Je ne me sentais pas directement concerné par cet essai, mais dès lors qu’on a plein de petits neveu ou nièces qui viennent observer votre bibliothèque et vous demandent de leur lire des histoires, vous ne pouvez plus trop vous dérober.
« la littérature ne serait rien sans l’apprentissage premier des histoires lues aux enfants par leurs parents »
Aucun souvenir que l’un ou l’autre de mes parents ne m’ait jamais lu ou raconté des histoires.
optons plutôt pour Saint Simon
à qui le dites…vous « personnage en fausse détrempe, le crâne lui fumait », SS. Tout le blog à passou, je cuite.
« entrevoir un espoir que l’Amérique puisse redevenir ce qu’elle a été une nation vraie et fière d’elle-même »
Actuellement c’est plutôt la honte, puck !
Pour ma part, je ne serais pas fier d’être Russe ou Américain…
« à l’oeil »
Ce n’est pas faire crédit mais donner gratuitement, et alii !
rappel:
Un brouteur est un escroc opérant sur Internet, notamment sur les réseaux sociaux. Le phénomène d’escroquerie en ligne ou « broutage » est apparu dans les années 20001.
Selon les pays, notamment en Côte d’Ivoire, les escrocs se nomment entre eux « barasseurs »10. Ils utilisent l’expression « bara » (qui se traduit « travail » en nouchi) pour désigner l’arnaque d’un « client » ; un « client » désignant la victime11.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Brouteur_(Internet)
à l’oeil,
bien sur je ne débattrai pas avec un habitué , obsédé même, de la gratuité pour lui!
faites une « enquête » sur ce qui est enseigné sur à l’oeil, enquête payée par votre , votre quoi au fait?
Et moi qui croyait qu’un brouteur était un praticien du cunnilingus, et alii !
Le philopède, vulgaire valet à moumoute,
d’une inculture crasse, s’est senti visé ?
Mon message non seulement bien envoyé, a donc été bien reçu.
Les brouteurs ? Ce sont les tontons codeurs…
AH AH, IL VOUS A DIT « TIENS ,prends le, tu me le paieras demain, enfin, quand tu pourras »,
et toi, tu n’y es jamais retourné!
bref, tout benef, gratos!
c’est une trop vieille histoire,tes « courses »
moi qui croyaiS
les lettres du clavier sont prépayées sans doute?
INTERNET DIXIT
, le terme de « brouteur » provient du français de Côte d’Ivoire, « en référence au mouton, qui se nourrit sans effort »9, et à l’expression « couper l’herbe sous le pied » qui signifie voler, tromper dans l’argot nouchi1.
Ils vont faire brouter le chat.
ce matin, je songeais que j’avais « enseigné » le français à une secrétaire d’OLOF PALM
Sven Olof Joachim Palme, né le 30 janvier 1927 à Stockholm et mort assassiné le 28 février 1986 dans la même ville, est un homme d’État socialiste réformiste suédois qui est à deux reprises Premier ministre de Suède (ministre d’État), de 1969 à 1976 et de 1982 à sa mort. Il dirige de 1969 à sa mort le Parti social-démocrate suédois des travailleurs (SAP)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Olof_Palme.
la secrétaire de Palm
était venue en France;avec moi, elle lisait donc des journaux français
« moi qui croyaiS »
Merci, je cuistre !
I Only Have Eyes for You est une chanson écrite par Harry Warren et Al Dubin pour le film américain Dames sorti en 1934. Dans le film, elle est interprétée par Dick Powell1,2,3,4,5.
Ensuite, la chanson devient un hit pour Ben Selvin et son orchestre (avec Howard Philips au chant)1,6 et pour Eddy Duchin et son orchestre (avec Lew Sherwood au chant)6.
https://fr.wikipedia.org/wiki/I_Only_Have_Eyes_for_You_(chanson)
on disait autrefois
« gentil avec un oeil,et j’en ai deux »
Jazzi, 9h55.
Comment as-tu découvert la lecture ? Quel a été ton premier livre ?
« C’était un oeil aux deux bouts d’une main, l’oeil qui discernait avant d’opérer, et l’oeil qui conduisait la main qui maniait le bistouri. C’était la main qui amputait, celle qui fixait les prothèses, et la main qui tenait la plume pour enregistrer en français l’immense savoir accumulé grâce à la même main guidée par cet oeil même. C’était tout cela, Ambroise Paré, la main qui tranche et la main qui panse. La main qui soustrait et la main qui ajoute. La main qui fabrique, la main qui écrit. La main du vif-argent, de la ligature, de l’huile, et celle de l’encre dispensée par la plume. L’intelligence, la bonté tout entières dans la main. »
Jean-Michel Delacomptée.
L’inventeur de la méthode expérimentale, tout simplement. Il faut être un(e) parfait(e) abruti(e) pour y voir une négation de la science.
Tout est là et c’est à l’oeil, comme ne dirait pas et alii, Christiane !
Inventaire n° 3 : Les fragments d’une bibliothèque reconstituée
Je n’ai pas accédé à la littérature à travers les livres pour la jeunesse.
Ce n’est que tardivement, que j’ai lu, avec profit, le Pinocchio de Carlo Collodi ou Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll.
Au commencement, je me délectais exclusivement de la lecture de magazines illustrés. Principalement de Blek le Roc, dont la sauvage virilité adolescente complaisamment exposée au fil des pages ne manquait pas de me troubler, et Frimoussette, plutôt destiné à émouvoir la sensibilité des petites filles. Je me souviens pourtant d’avoir possédé des exemplaires de la Bibliothèque Verte et de la Bibliothèque Rose, mais je serais bien incapable d’en citer le moindre titre, à l’exception toutefois des Malheurs de Sophie de la comtesse de Ségur.
Mes premiers textes marquant remontent à l’école primaire, où l’on nous faisait apprendre par coeur les fables de La Fontaine. Sans parler de la Bible, que nous enseignaient les dames du catéchisme.
En entrant au collège, j’appris que l’on pouvait, avec l’étude de L’Iliade et de L’Odyssée d’Homère, être auteur sans écrire une seule ligne.
Avec la pratique de la rédaction, je passais, avec ravissement, du simple statut de lecteur à celui d’écrivain. Non sans difficultés toutefois : le professeur de Français nous ayant demandé de rédiger notre devoir sous forme « dialoguée ». Un terme dont je ne connaissais pas la signification et qui me laissa de prime abord honteux et perplexe. Jusqu’à ce que, en lorgnant sur la copie de mon voisin, qui lui avait parfaitement compris, j’en devine le sens. J’aimais parcourir en classe, année après année et de siècle en siècle, les pages illustrées du Lagarde et Michard. Je m’étonnais du fait que Molière et Voltaire avaient pris un pseudonyme, plutôt que de se faire connaître sous leur vrai nom.
Très vite j’éprouvais le désir de lectures extra-scolaires et me mis à acheter mes premiers livres de poche et en emprunter d’autres à la bibliothèque municipale. A l’époque, mes choix étaient assez éclectiques. Je lisais avec délectation les romans en vogue de Guy des Cars. Par la suite, je devins plus sélectif. C’est alors que je découvris les contes de Guy de Maupassant, que je lus en intégralité, ainsi que ses rares romans Bel Ami et Une Vie. Depuis, je considère que c’est avec cet écrivain que je suis vraiment entré en littérature.
Pour mes dix-sept ans, Hector, mon meilleur ami, m’offrit trois beaux exemplaires à la couverture cartonnée recouverte d’une élégante toile rouge : les Poésies de Lamartine, les Poèmes saturniens de Paul Verlaine et Les filles de feu de Gérard de Nerval. Ce dernier titre, en prose, eut ma préférence.
De ma première bibliothèque, je pourrais encore citer de mémoire Le Meurtre de Roger Ackroyd d’Agatha Christie, La maison du canal de Georges Simenon ou encore le Malatesta d’Henri de Montherlant, dont la lecture m’exalta un temps, et Un cœur simple (in les Trois contes) de Gustave Flaubert, qui m’épate toujours autant aujourd’hui.
En première et en terminale, je lus la trilogie romanesque des Chemins de la liberté de Jean-Paul Sartre, ainsi que l’essentiel de son théâtre : Huis-Clos, Les Mains sales, La Putain Respectueuse… J’en fis tout autant avec les récits autobiographiques de Simone de Beauvoir : Les Mémoires d’une jeune fille rangée, La Force de l’âge et La Force des choses. J’adhérais alors à la philosophie existentialiste. En revanche, je fus moins convaincu par les romans, les nouvelles et le théâtre de l’absurde d’Albert Camus. De L’Etranger, je me souviens seulement que le héros fait l’amour avec une putain, juste après avoir enterré sa mère, et qu’il finit par tuer un arabe anonyme sur une plage d’Alger. En ce temps-là, j’appris par coeur Ma Bohème et Le Dormeur du val d’Arthur Rimbaud et des bribes des Fleurs du mal de Charles Baudelaire.
Durant ma première année de Droit à la fac de Nice, je me souviens d’avoir volé La Philosophie dans le boudoir du marquis de Sade à l’étal d’une librairie de la rue de France. L’audace du propos et la beauté de la langue m’incitèrent à acheter ensuite Justine ou les Malheurs de la vertu.
Les révélations du Pavillon des Cancéreux d’Alexandre Soljenitsyn mirent un terme à mes véléïtés pro communistes. Ce qui ne m’empêcha pas d’acheter et de lire Le Programme commun et de me considérer toujours de gauche. D’autant plus que je venais de lire avec exaltation la trilogie auto fictive centrée autour de Jacques Vingtras de Jules Vallès : L’Enfant, Le Bachelier et L’Insurgé. Cette même année je découvris Le Procès-verbal de J. M. G. Le Clézio et les premiers romans de Patrick Modiano. Avec une nette préférence pour le second. C’est à cette époque également que je m’initiais à la psychanalyse à travers la lecture de Freud.
L’année suivante, à Paris, je fréquentais assidûment la librairie Le Divan à Saint-Germain-des-Près. J’y achetai L’Année de l’éveil de Charles Juliet quand vint ensuite pour moi le temps tant redouté d’accomplir mon service militaire. Je fus affecté au régiment de cavalerie de Carpiagne, vaste casernement isolé en pleine garrigue entre Cassis et Marseille. N’ayant pas réussi à me faire réformer, j’en profitai néanmoins pour lire l’intégralité de La Recherche du temps perdu de Marcel Proust, ainsi que Les Mémoires d’Adrien et L’Oeuvre au noir de Marguerite Yourcenar. Des oeuvres particulièrement roboratives, qui m’aidèrent efficacement à tuer le temps et prendre mon mal en patience. De retour à Paris, où je pus enfin m’établir définitivement, je suivis alors avec délectation le savoureux feuilleton littéraire d’Angelo Rinaldi dans L’Express.
Depuis, je n’ai cessé de lire, et parfois d’écrire, jusqu’à ce jour.
Très tôt, j’ai considéré que les livres étaient mes plus fidèles amis.
De l’amas de mes lectures et devant l’impossibilité de tous les répertorier ici, je me contenterai de citer, en vrac et dans le désordre, ceux qui ont eu la plus forte résonance en moi : La Vie mode d’emploi de Georges Perec, Paysage de fantaisie de Tony Duvert, Tricks de Renaud Camus, A l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie d’Hervé Guibert, Le Livre de préfaces de Jorge Luis Borges, Les Mémoires de Casanova, l’Ulysse de James Joyce, La conscience de Zeno d’Italo Svevo, La Confusion des sentiments de Stefan Zweig, En attendant Godot, de Samuel Beckett, Le Malheur indifférent de Peter Handke, Paris est une fête d’Ernest Hemingway, Tendre est la nuit de F. Scott Fitzgerald, Jours tranquilles à Clichy de Henry Miller, Sur la route de Jack Kerouac, Les Trois Sœurs d’Anton Tchekhov, Jacques le fataliste de Denis Diderot, Les rêveries du promeneur solitaire de Jean-Jacques Rousseau, Don Quichotte de Cervantes, Les Illusions perdues d’Honoré de Balzac, Le Journal de Paul Léautaud, La correspondance de Flaubert, La Divine comédie de Dante, Le Journal de Jules Renard, Ubu roi d’Alfred Jarry, les Souvenirs d’égotisme de Stendhal, Les villes invisibles d’Italo Calvino, La Promesse de l’aube de Romain Gary, Les Pensées de Pascal, les Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand, L’art du roman de Milan Kundera, Le Voyage au bout de la nuit de Céline, Le Paysan de Paris de Louis Aragon, Le Spleen de Paris de Charles Baudelaire, Les Syllogisme de l’amertume de Cioran, Les Nouveaux écrits de Rodez d’Antonin Artaud, Les Confessions de Saint-Augustin, La Métamorphose de Franz Kafka, La Montagne magique de Thomas Mann, L’arrêt de mort de Maurice Blanchot, Façons d’endormi Façons d’éveillé d’Henri Michaux, le Miracle de la rose de Jean Genet, Une saison en enfer d’Arthur Rimbaud, Les chants de Maldoror de Lautréamont, Le livre de l’intranquillité de Fernando Pessoa, Choses vues de Victor Hugo, Kaputt de Curzio Malaparte, La vie heureuse de Sénèque, Les Essais de Montaigne, Nadja d’André Breton, Confession d’un masque de Yukio Mishima, Zazie dans le métro de Raymond Queneau, Papiers collés de Georges Perros, Le Piéton de Paris de Léon-Paul Fargue, Variété I et II de Paul Valéry, La Règle du jeu de Michel Leiris, Souvenirs et voyages d’André Gide, les Poèmes de Constantin Cavafy, Tête d’or de Paul Claudel, Alcool d’Apollinaire, Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes, les Poèmes de Stéphane Mallarmé, Noces d’Albert Camus, Le Banquet de Platon, Le fleuve Alphée de Roger Caillois, Dimanche m’attend de Jacques Audiberti, Pour un nouveau roman d’Alain Robbe-Grillet, La Vie matérielle de Marguerite Duras, Le Livre blanc et autres textes de Jean Cocteau, Sur la brièveté de la vie de Bossuet, Les Caractères de La Bruyère, La Ballade de la geôle de Reading d’Oscar Wilde, Le Hussard sur les toits de Jean Giono, l’Éloge de la folie d’Érasme, le Discours de la méthode de Descartes, les Lettres Persanes de Montesquieu…
https://www.lelezarddeparis.fr/inventaire-1
Jazzi,
Merci. Ton itinéraire est passionnant. Pinocchio et Alice pour ouvrir des premiers livres, des magazines, l’école, le catéchisme pour la Bible, les fables de La Fontaine, et après, tous les autres. Quel itinéraire magnifique. Et Hector, déjà. Ça c’est une vraie amitié. Je suis contente d’avoir croisé son chemin par hasard lors de la promenade des fontaines.
Donc toute la série d’ouvrages que tu as mis au monde en croisant de façon originale tes lectures, tes écrivains c’est comme tisser la vie. C’est beau. Merci, Jazzi.
11.08 J’ai lu entre autres littératures non françaises bien plus nombreuses, les mêmes bouquins que les vôtres, mais pas dans cet ordre, à l’exception de :
– Tête d’or, de Paul Claudel
– L’arrêt de mort, de Maurice Blanchot,
– Façons d’endormi Façons d’éveillé, d’Henri Michaux
Bon, je vais tâcher de me rattraper. Quoique je ne les sente pas trop, ces trois là. Pour l’instant, je découvre genèse d’un sociologue, la biographie de jeunesse de Pierre Bourdieu (par Victor Collard), et l’impressionnant et passionnant travail de Roberto Saviano sur le juge Giovanni Falcone.
water closet, ce vieux reître à la solde d’idéologie obscurantiste , nationaliste identitaire parisienne, a une drôle d’idée de la science … manuelle, lol.
Pour être sorcier, il faut d’abord être savant comme disait … un prix Nobel de Physique. Rien que ça…
Que de lectures que de lectures, dear Baroz.. »si jeune et si tard », Voiture (l’outsider de Bossuet..). De quoi virer pédé, dixit la soeur castrée du blog à passou.
@ Ce dont les Français n’ont plus idée.
Surtout ceux qui n’étaient pas du royaume de Dieudonné ( gaffe piège), Passou.
Je vous dis ça car l’autre jour, j’ai fait de l’exploration comme d’autres , dont des historiens, pratiquent l’Urbex…
Figurez-vous que chemin faisant, j’ai approché les vestiges de monuments défensifs du XIIeme siècle, qui ont servi, aussi, à combattre le roi versaillais… Dieudonné, donc.
Alors français, oui mais pas comme à Versailles !
Et qui étant donné leur apport à l’academie, parlaient sans doute mieux le français que les versaillais, – ou ceux qui te recrachent deux tirades de Corneille hâtivement repompées sur le net, comme les cancres, mauvais élèves, fumistes !
https://www.lhistoire.fr/carte/les-guerres-de-louis%C2%A0xiv-1667-1713
« Très tôt, j’ai considéré que les livres étaient mes plus fidèles amis. »
Parallèlement, il y a eu aussi, très tôt, la découverte du cinéma dont je dirais, plus sûrement, qu’il est mon vice impuni, celui qui me donne ma dose quasi quotidienne de fiction…
WIKI:
Jean-Michel Delacomptée est un écrivain français, auteur d’essais, de portraits littéraires et de romans, né le 25 avril 1948.
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Une sacrée compétence en sciences et médecine, effectivement…
IL ne faut pas désespérer les imbéciles, mais enfin, y’a du boulot , du pré-requis, pour certains sujets…
Rions un peu
Où va se loger l’antisémitisme …
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est présenté lundi devant le tribunal de Tel Aviv dans le cadre de son procès pour corruption.
Une première dans l’histoire d’Israël, où jamais un chef de gouvernement en exercice n’avait été jugé pour de telles accusations.(…)
(A part s’accrocher aujourd’hui à un plan Trump foireux, quel est au fond le bilan pour le pays de la main basse de Netanyahu et des suprémacistes ethniques et religieux sur Israël ?)
Étonnant, Jazzi, j’aurais juré que tu avais commencé par le fameux «Totor enc… Tatave ».
Tout le monde peut se tromper!
@ »Actuellement c’est plutôt la honte, puck !
Pour ma part, je ne serais pas fier d’être Russe ou Américain… »
détrompe toi Jazzi…
si on remprend l’article de passou sur les fausses vertus, l’incarnation de ces « fausses vertus » c’est le pari démocrate américain.
les démocrates voulaient se faire passer pour le camp de la vertu face à Trump, le camp du vice.
au fil des jours on se rend compte que le parti démocrate était devenu le parti le plus corrompu et le plus hypocrite de l’histoire de ce pays (les comptes de l’USAID sont là pour encore le démontrer).
et pas seulement parce que c’était devenu le repère des pédophiles et des prédateurs sexuels comme Bill Gates, Puff Daddy ou Bill Clinton, protégés par le système.
dans le camp républicain il y a aussi bien sûr des corrompus la différence est de présenter comme le camp de la vertu parce qu’on défend la cause des homos ou des réfugiés.
un peu comme ce qui était arrivé au ps en France la défense des nobles causes était devenu pour les démcrates américains un paravent qui ne fonctionnait plus, une mauvaise pièce de théâtre, mal écrite avec de mauvais acteurs qui jouent mal leur rôle.
la honte pour les américains c’était ce parti démocrate avec une candidate ayant toujours revendiqué ses origines indiennes et qui du jour au lendemain était devenue une noire qui parlait comme Obama : ça c’est la honte !
la honte c’est aussi tous ces présentateurs vedettes qui se présentaient aussi comme les défenseurs des nobles causes : aujourd’hui parce que chacune de leur intervention était moquée dans des vidéos virales.
ce type qui a chanté au super bowl de 2024 : Chris Stapleton est un type qui vient de l’Amérique profonde, une espèce de « red neck » du Kentucky, le fait que par la sincérité de sa voix ce type a fait une des plus belles interprétations de l’hymne américain ça a été un truc a redonner leur fierté à ces millinos d’américains dont les démocrates se foutent bien que ce sont ces gens qui ont donné leurs vies dans des guerres où ils se sont faits enflés par les néoconservateurs : des milliers de parents ont perdu leur enfant à cause des mensonges des néoconservateurs, cela explique la haine que les américains ont maintenant pour ces gens !
Jazzy le problème est que la vérité sur les US tu ne la trouveras pas en lisant le Monde ou Libé ou tous ces médias institutionnels, du coup en lisant ou en écoutant ces médias tu vis comme le mec dans the Truman show !
au point de ne même plus savoir où se trouve le camp de la honte !
c’est beau ce que j’écris : je suis une espèce de Saint Simon de notre époque…
avec des « qui » et des « que » en plus…
mais j’adore les « qui » et les « que »…
Communiqué de la maison d’édition Fayard :
« Un penseur entre dans l’Histoire !
Dans le grand salon de la Sorbonne, Christian Jambet, élu à l’Académie française en 2024 au fauteuil de Marc Fumaroli, a reçu son épée d’académicien des mains de son ami l’académicien Daniel Rondeau. Il y a fait graver sa devise, extraite d’un vers du poète persan Rumi : « L’aimé est tout, l’amant est le voile. »
Philosophe et orientaliste de renom, il est l’auteur de plusieurs ouvrages majeurs publiés chez Fayard, dont « L’Acte d’être. La philosophie de la révélation chez Mollâ Sadrâ ».
Un moment fort pour célébrer un esprit brillant, dont l’œuvre éclaire avec finesse la pensée, la philosophie, la métaphysique et la mystique persanes. »
« Jazzy le problème est que la vérité sur les US tu ne la trouveras pas en lisant le Monde ou Libé »
J’y ai un peu pigé jadis, mais je ne les lis plus depuis belle lurette, puck.
Seulement Le Parisien.
comme Dickens a manqué à votre jeunesse!
« Le patriotisme est le dernier refuge des scélérats : ceux qui n’ont pas de principes moraux se drapent généralement dans un drapeau, et les salauds se réfèrent toujours à la pureté de leur race. L’identité nationale est le dernier recours des dépossédés ».
Umberto Eco, Le cimetière de Prague
« comme Dickens a manqué à votre jeunesse ! »
Pas à la mienne, et alii.
Dickens je l’ai surtout vu adapté pour la télé et le cinéma.
on a écrit que le christianisme était une culture de « la vue » de l’oeil en somme,alors que le judaisme était plutôt une culture de « l’écoute » « l’entendu »
Qui est « on », ici ?
Dans le domaine des études antiques règne une sorte de doxa qui oppose monde grec et judaïsme à propos de l’audition. Selon une tradition qui culmine avec Aristote, le monde grec privilégierait le voir sur l’entendre. Au contraire, le judaïsme s’opposerait en tout à ce « visiocentrisme » en promouvant un Dieu que nul ne saurait voir. Le christianisme qui promeut le Christ, image du Dieu invisible, devrait-il changer les choses ? En réalité, Ancien et Nouveau Testament ne s’opposent pas : judaïsme et christianisme s’accordent à penser que c’est essentiellement l’ouïe qui est le sens du religieux. C’est en effet elle qui est première, elle qui commande les autres sens : pour ces deux religions, entendre fait voir et fait agir.
inIII. Auditions et spiritualité
https://journals.openedition.org/pallas/2715
« Étonnant, Jazzi, j’aurais juré que tu avais commencé par le fameux «Totor enc… Tatave ». »
Proust je l’ai lu à l’ombre des jeunes hommes en rut, Chaloux.
https://www.lelezarddeparis.fr/un-cavalier-dans-la-garrigue
Je n’aimais pas l’œuvre d’Eco, notamment « Le nom de la Rose »,oeuvre vulgair, facile, fourre-tout et très irrévérencieuse pour Dieu et l’Eglise.
Mais après avoir lu certain que vient de citer renato, mon opinion sur Eco passe de la retenue au mépris.
ce que vient
Terminée en VO la trilogie de David Lodge sur le monde universitaire de la fin des années soixante jusqu’aux années 80.
Passionnante, toujours très bien informée. On ne lâche aucun des trois romans, qui vont de la franche satire très drôle, hilarante même parfois (le premier, « Changing places », « Changement de décors » en traduc.) à une analyse plus nuancée et plus approfondie, qui sort de l’Université pour la confronter au monde de l’industrie et de la finance à l’ère thatchérienne.
Pour ce dernier volume, « Nice work », « Jeu de société » (1988), l’auteur a dû beaucoup travailler sur le monde du business qui lui était sans doute à peu près inconnu au départ. La réussite est totale. La rencontre entre une jeune universitaire marxiste et féministe, spécialiste du roman industriel du 19ième siècle et un directeur d’entreprise métallurgique qui ne lit rien en dehors de ses rapports et des journaux financiers est étonnante de vérité. Lodge force parfois le trait pour nous faire sourire mais évite toute caricature d’un milieu ou de l’autre. Il évoque même, ce qui était nouveau à l’époque, l’irruption de la finance pure, des produits dérivés, du règne des traders qui deviennent millionnaires en quelques clics. Le monde de l’industriel est lui même largué par l’irruption du virtuel…
Le scénario est admirablement ficelé; on attend toujours la suite; les inattendus ne manquent pas, mais nous ne sommes pas pour autant dans le roman feuilleton! L’humour et le détachement britanniques au sommet.
Et comme votre opinion ne vaut même pas le poids de le fiente d’un moineau qui s’échappe….
Variante sur la phrase d’Eco citée par renato:
« Le progressisme est le dernier refuge des scélérats : ceux qui vivent sans principes moraux se drapent généralement dans la morale, et les salauds se réfèrent toujours à la pureté de leurs intentions. Le progressisme mondialiste est le dernier recours des dépossédés ».
…qui promeut le Christ, image du Dieu invisible…
–
Le christianisme ne promeut rien. Il est foi en Dieu Père, Fils et Saint Esprit ; le Fils incarné, mort sur la croix et ressuscité des morts pour sauver les pécheurs et les faire vivre éternellement. Jésus a en effet dit « qui m’a vu à vu le Père ». Il est possible de s’arrêter sur l’image mais c’est l’amour du sacrifice de rédemption qui est le point central, donc l’acte de se donner, bien avant toute considération sur les sens de l’ouïe qui permet d’écouter ou de l’adaptation vue qui permet de voir.
Ce n’est pas que ce soit absolument faux, c’est que ça passe à côté du principal.
ou de la vue qui permet de voir.
Évidemment, pour ceux qui s’opposent à l’amélioration de la condition humaine, le progressisme est un fléau, et il importe peu qu’ils penchent à droite ou à gauche.
@ »J’y ai un peu pigé jadis, mais je ne les lis plus depuis belle lurette, puck.
Seulement Le Parisien. »
c’est pareil : un outil de propagande des fausses vertus.
la différence entre l’époque de Saint Simon et le nôtre ce sont les mécanismes visant à faire croire que les fausses vertus sont de vraies vertus.
exemple : l’Ukraine : on a fait croire qu’il s’agissait d’un combat pour la liberté et la démocratie aujourd’hui on commence à voir qu’il s’agissait en fait de récupérer des richesses naturelles.
un parlementaire allemand l’avait dit de façon assez claire au tout début de la guerre : « si on perd le Donbass il faudra arrêter la production des voitures électriques ».
sauf qu’une guerre où l’on dégomme tout un peuple pour le lithium c’est moins vertueux qu’une guerre pour la démocratie.
c’est peut-être pour ça que les écolos allemands veulent entrer en guerre contre la Russie : ils sont prêts à déclencher un conflit nucléaire pour faire rouler les gens en voitures électriques.
j’ai un truc que Saint Simon et Bossuet n’avaient pas : l’humour…
peut-être plusieurs d’entre vous seront-ils intéressés par
Le Saint Thomas du Caravage une incarnation du voir
https://www.revue-etudes.com/article/le-saint-thomas-du-caravage-une-incarnation-du-voir/18020
c’est une des qualités de Trump : dire on vous refile de l’argent si on récupère vos richesses naturelles.
alors que jusqu’à lui personne n’osait le dire.
surtout Biden et Blinken : les 2 rois des faux derches.
Une fiente de moineau tombant sur la terre du jardin et nourrissant celle-ci m’apparaît très bénéfique comparée à la plus petite des idées exudée par notre crapaud milano-colmartois. Alors imaginez ce qu’il en est des plus « grandes » !
pensons à l’expression biblique »viens et vois »
Vous vous rendez compte ? Après avoir eu De Gaulle, cette saloperie qui se permet d’écrire : « Le patriotisme est le dernier refuge des scélérats : ceux qui n’ont pas de principes moraux se drapent généralement dans un drapeau (…).
Ah oui ? Celui de la France libre aussi ? Pauvre naze.
Oui oui, je suis d’accord, et alli. C’est important. L’aveugle qui de nouveau voit, Zachée qui monte dans un arbre pour voir Jésus.
Le léZard est indéniablement gréco-chrétien, ainsi qu’en témoigne son dernier épisode des Hommes nus de Paris !
Tu es orthodoxe, Jazzi ?
Toujours à côté de la plaque, le pseudo chrétien, et incapable de prendre en compte les situations. Si l’UE devait subir une attaque, j’entrerais immédiatement en résistance. Un type insignifiant et superstitieux ne peut pas en comprendre les raisons, trop pris par sa petitesse.
Un trait d’humour :
L’UE ? Mais ce n’est pas votre pays, l’UE ! Votre pays c’est l’Italie. Et le mien est la France. Si la France est attaquée. Je défends la France. évidemment !
renato, le patriote sans patrie. Elle est bien bonne, celle-là encore… warff !
J’ai hérité de mes ancêtres mon fédéralisme, ce qui fait de moi un Européen d’origine italienne. Je sais que cela peut être difficile à saisir pour vous.
CELA DIT? P.Charoulet nous expliquera le pluriel d’oeil de perdrix
https://urgo.fr/conseils/comment-soigner-cors-oeils-de-perdrix-et-durillons/
L’Europe n’est ni une nation ni un état. Je ne suis pas un Européen.
Je suis un Français.
Je respecte ce que mes ancêtres on fait et pourquoi, souvent, ils se sont battus.
La cuide est dans l’ œil du Cyclone! 🙂
Sept pages complètes dans le Littré à propos de l’ œil!
A l’oeil nu…
ont fait, en passant
Et me voilà à pleurer de bonheur.
23 ans, 23 ème
https://www.instagram.com/reel/DF3HBintELe/?igsh=MTNybDVpeGQxZzM3NQ==
Ce que fabriquent les médias : du vent (dée-globe).
La candidate Violette Dorange arrive (enfin !) 25ème, c’est-à-dire presque dernière mais est adulée par la foule, préalablement manipulée par les médias. Cherchez l’erreur.
Il y a taper de l’ œil et taper à l’ œil, ce n’est pas la même chose!
Avec de tels idiots, l’idée même d’une entité territoriale compétitive est une utopie, mais finalement, quand on a affaire à des gens sans épaisseur, c’est comme ça que ça se passe.
taper de l’ œil ???
au doigt et à l’oeil »
Cette expression, apparue au cours du XXe siècle, s’appuie sur l’image de l’animal (notamment du chien) qui répond exactement aux ordres que son maître lui donne, que ce soit par le geste ou le regard.
Au Moyen-Age, on utilisait l’expression « de bon oeil », qui signifiait « avec franchise ». Ensuite, du
Bon pied bon oeil
XVIe au XVIIe siècle, on employait « aller de bon pied » pour dire que l’on marchait à bonne allure. C’est au XVIIe siècle qu’est née l’expression « bon pied bon oeil » dans laquelle le « bon pied » symbolise la stabilité et la rapidité et le « bon oeil », la vue perçante. Avoir « bon pied bon oeil » signifie donc que l’on est en bonne santé, que l’on reste vif malgré l’âge.
Spengler semble connaître un regain de popularité, ce qui n’est pas surprenant compte tenu du nombre d’individus peu éclairés qui évoquent la crise de l’Occident uniquement parce qu’ils ont de la difficulté à s’adapter aux changements.
Christiane, si vous passez par ici, la première version de La Cage de Giacometti :
https://www.fondation-giacometti.fr/en/database/182527/the-cage-first-version
@ »tu es orthodoxe »
excellent D. ! le grec chrétien est souvent un orthodoxe.
sauf que pour Jazzi il s’agissait plutôt de réunir Athènes et Jérusalem à travers les statues de mecs à poil genre retour à l’Humanisme de la Renaissance comme preuve du lien entre Athènes et Jérusalem genre Saint Thomas oui Descartes comme quoi le chemin de la Raison peuvent aussi mener à Dieu…
en fait non Athènes et Jérusalem sont inconciliables parce que la foi et la raison sont comme l’eau et l’huile elles ne se mélangent pas contrairement aux mecs à poil à Jazzi.
autrement dit il faut choisir entre la vérité de Dieu et celle de Michel Onfray.
autrement dit il faut choisir entre l’arbre de la Vie et l’arbre de la Connaissance comme au début de la Bible où la boulette d’Adam et Eve est d’avoir choisi l’arbre de la Connaissance, donc la voix de la Vérité, donc celle d’Athènes, donc celle qui ne peut pas mener à Dieu !
d’où la question de Dieu posée à Adam « où es-tu ? » la même que Dieu pose à Job « où étais-tu ».
autrement dit quel donc cet animal qui pose à poil dans des statues et que l’on appelle l’Homme.
parce qu’il ne viendrait à aucun autre animal de poser à poil, d’où cette question de Dieu qui se demande d’où sort donc cet animal ? à quel ordre de la nature appartient-il ?
non Athènes et Jérusalemn représentent bien deux mondes inconciliables
sauf pour Jazzi qui a encore tout compris…
Je ne vois pas ce qui autorise quiconque à détourner les écrits de Umberto Eco, pour lui faire dire tout autre chose que l’extrait sorti du contexte. Sans périphrase ni plagiat ni propos obscurs, il a su dire à quoi on reconnaît le fascisme et la puissance de nuisance de quelques ignorants qui zonent sur le net des réseaux asociaux.
S’il y en a qui n’ont pas compris où on va avec le chat (*), qu’ils en restent à Bossuet, triste bonhomme qui ne souffre pas la comparaison avec Sénèque, au sujet des masques… cf lien donné sur ce fil.
Chacun ses urgences…
(*)
Tapez Oswald ONFRAY et Michel SPENGLER, et vous obtenez sans mal ce vieux papier d’un « grincheux » revigorant :
https://shs.cairn.info/revue-du-crieur-2015-1-page-90?lang=fr
taper de l’ œil ???
@Je cuide,
le Littré vous en donne la définition dans les sept pages en double colonne 20 X 27,5 cm.
J’y retourne, bonne soirée!
@ je cuide,
Taper de l’œil, dormir profondément. Populairement. Se battre l’œil de quelqu’un, de quelque chose, ne pas s’en soucier (locution dite par moquerie à l’imitation de battre sa coulpe).
Sinon, j’adore le petit œil et le gros œil de certains caractères typographiques, le garamond gros œil, par exemple.
Un caractère qui est imprimé dans les livres de la Pléiade.
Elon Musk épluche les comptes de l’USAID avec 3 jeunes hackers de 19 ans dont un a pour pseudo « Big Balls ».
même les meilleurs scénaristes n’auraient pas osé.
@ etalii, (16.39) et puck (17.38)
C’est quoi un mogul ? – > Voici quelques pistes :
***Mogul est un mot anglais, traduction de moghol ; la figure historique du Grand Moghol et de son pouvoir en Inde a été reprise pour désigner un magnat de la presse ainsi que le Magnat du business (en).
***Le mot « Mogul », utilisé aujourd’hui comme un compliment, était à l’origine péjoratif. Provenant du mot persan signifiant « Mongol », il était utilisé pour ridiculiser les capitalistes qui affichaient leur richesse et affichaient des valeurs antidémocratiques.
***Si vous êtes le genre de personne qui aime être aux commandes, vous rêvez peut-être de devenir un magnat, c’est-à-dire un homme d’affaires puissant . Le mot magnat peut désigner n’importe quelle personne puissante : un magnat de studio est un gros bonnet de l’industrie cinématographique, par exemple.
Par extension*** : les « moguls de la Silicon Valley » à la tête des GAFAM,… en conférence épiscopale chez Macron,
au Congrès une député républicaine a devant elle 3 responsables de l’USAID.
elle leur fait la liste des dépenses de l’USAID en leur demandant si pour eux cette dépense va dans l’intérêt de leur pays et ils doivent répondre par oui ou par non.
c’est absolument génial !
du genre : 2 millions de dollars pour monter des opéras transgenres en Colombie : cela représente un intérêt pour les USA ?
elle fait la liste de toutes les dépenses bidons de l’USAID, sur les 3 il y en a 2 qui répondent systématiquement « non » et le troisième répond « je ne peux pas me prononcer » celui-là il faudrait lui refiler une médaille.
merci closer
les yeux noirs
https://www.youtube.com/watch?v=DMDcLKUBuuE
Merci, Renato.
A la Fondation, proche, j’ai longuement observé ces statuettes en bronze dont une des versions de La Cage. Deux silhouettes enfermées dans du vide et pourtant ces quatre barreaux ferment l’espace. Le socle épais pour dire que c’est vrai. Comme si la prison était dans sa tête… Elle écarte les bras dans une tension douloureuse et le pire est qu’ils sont deux. L’homme réduit à une tête tourné de l’autre côté. Seuls à deux comme dans les toiles de Hopper ou les romans de Duras. Son atelier était dans une proche. Ils l’ont reconstitué à la fondation. Une très belle maison dans une petite rue calme proche du cimetière. Je pense ay cette photographie émouvante prise par Cartier Bresson. Il traverse le carrefour sous la pluie s’abritant sous son imper, la tête comme sous une cape. Cet homme est un artiste qui n’en finissait pas de se battre avec la matière pour comprendre ce qui ne peut être compris : la solitude de l’homme face à l’infini. Où est la cage ? Où sont nos prisons ? Merci pour cette photo donnant accès à cette cage.
Les Yeux noirs (en russe : Очи чёрные, Otchi tchornye) est une célèbre romance traditionnelle populaire tzigane russe du XIXe siècle, et un standard de jazz manouche.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Yeux_noirs_(chanson_russe)#Quelques_interpr%C3%A8tes
Incidemment, Charles Enderlin, Le grand aveuglement : https://www.babelio.com/livres/Enderlin-Le-Grand-Aveuglement/1737742
L’administration Trump, curieusement, lève le voile sur les intensions et les actes de Netanyahu et des sionistes religieux qui semblent ne connaître aucune limite ; au grand dam du pays. Cette « mise en lumière » représente pour Trump une menace bien plus tangible que celle de l’Iran
une des affaires les plus tartignoles qui réapparait à l’occasion de l’épluchage des comptes de l’USAID c’est l’histoire des Clinton et Haïti.
après une visite pleines de promesses de Hillary Clinton et George Soros à Haïti la Clinton Fondation avait récupéré plusieurs millions de dollars destinés aux hopitaux haïtiens, ces derniers n’ont vu la couleur que de 2% de cet argent !!
sans doute que les nouveaux Saint Simon qui démasquent aujourd’hui les fausses vertus et les vraies corruptions s’appellent Elon Musk, Donald Trump et Big Balls…
les yeux noirs suite
Les paroles sont écrites en 1843 par le poète écrivain romantique ukrainien Yevhen Hrebinka (1812-1848), dédiées à sa première épouse Maria Vassilievna. Le poème a été publié pour la première fois dans la gazette littéraire russe Literatournaïa gazeta le 17 janvier 1843. La musique très émouvante, pleine d’allégresse, de joie, de mélancolie, et de nostalgie, est inspirée d’une valse du compositeur russe-allemand Florian Hermann, avec des arrangements de Sergueï Gerdel, publiée le 7 mars 1884, dont les partitions originales ont été perdues.
@ »L’administration Trump, curieusement, lève le voile (…) »
pourquoi curieusement ?
je te rappelle Jeannot que Trump a traité Nétaniaou de fils de p.te parce que (faisant référence à l’Irak) il avait entraîné les US dans une guerre inutile.
si Trump l’a insulté pour l’Irak sûr qu’il ne va pas le laisser faire la même chose pour l’Iran.
@Incidemment, Charles Enderlin, Le grand aveuglement
Israël. L’agonie d’une démocratie
https://youtu.be/XUE2scIrnQc?si=YpRoMLrTvL_vrfD_
« Le Déclin de l’Occident » de Spengler a été traduit de l’allemand au français par un certain Mohand Tazerout. Un algérien ! Aucune autre traduction hormis celle-ci.
Bizarre non ?
Cette extraordinaire photo pour vous , Renato.
C’est extrêmement bizarre en effet.
@Israël. L’agonie d’une démocratie
https://youtu.be/XUE2scIrnQc?si=YpRoMLrTvL_vrfD_
Résistants, levez vous !
renato est fâché, Christiane. Il n’aime pas avoir tort. Il ne vous répondra pas.
Moi je ne me sens pas seul devant l’infini. Bien au contraire.
Elle est bien bonne, celle-là, encore…
Curieux mais amusant de voir Marie Sasseur fouiller dans wiki, pour exhumer la parabole du St Simon du Dix Neuvième, enfoncer gaillardement l’ancêtre, et soutenir que les autres ont les mêmes sources de documentation qu’elle pour Corneille. En doute-t-elle par hasard? Il faudrait peut-être introduire dans son cerveau cette dimension de doute, ayant en face d’elle quelqu’un – mais le sait-elle?- qui passa trois diplômes sur Corneille….A une époque où l’on en citait et apprenait les vers. Le moyen de faire l’un sans l’autre???
( Vous avez entendu plan de départs « volontaires » ? https://youtu.be/7b_7IgNHClg?si=1GrDRx0ilG9NSBkz&t=316 )
Dépenser des milliards pour ça :
Franchement ?
(On se contente pas de pisser dans la piscine, on pisse du plongeoir …)
Ohff, ce ne sera que la dixième fois que je poste sur ce blog, cette parabole de Saint Simon, le seul qui vaille et si wikisource n’est pas assez gratuit, qu’ils cherchent ailleurs. On a vu de quoi le vieux MaCaque était capable.
Les vieux alcoolisés sur ce blog , qui du latin ne connaissent que la messe, n’impriment plus depuis longtemps.
En lisant l’Assasseure, ce qui frappe surtout c’est le parfait néant de sa pensée. A part son obsession libidineuse « des jeunes » (les pauvres doivent osciller entre fous-rires et crises d’angoisse!), son actuel « haïssons Versailles » et son sempiternel « du passé faisons table rase », c’est le vide complet. Impression d’avoir à décortiquer interminablement l’échantillon singulièrement grossier et répugnant d’une variété de fruit de mer aux vapeurs méphitiques, pour constater au bout du compte qu’il est totalement creux. L’Assasseure se contente de crier ce qu’on lui répète, elle n’est que la chambre d’écho des propos des pires demeurés d’aujourd’hui. Mais elle est aussi une énigme: les nigauderies de cette misérable créature ne sauraient être l’œuvre d’un cerveau humain.
Acheté Cabale à la cour, Adieu Montaigne et La Bruyère portrait de nous-mêmes de Jean-Michel Delacomptée. Un auteur qui se lit mais surtout se relit. Je constate avec plaisir qu’il y a encore pas mal de titres non encore lus. Je vais m’y atteler.
La Bruyère est un auteur que j’ai toujours brûlé de lire mais dont je ne suis jamais venu à bout! Allez, on s’y remet!
Ed, il ne faut pas confondre la caricature imbécile d’Onfray fabriquée par les médias avec ce qu’il écrit. J’ai surtout l’impression que nous avons perdu l’habitude d’une telle rigueur (je parle de ses livres) et qu’elle peut heurter. Cela dit, et c’est vrai de tout écrivain ou penseur, personne ne peut-être absolument de son avis sur tout. J’espère que tes chats vont bien, et toi aussi.
L’huissier véreux a le niveau intellectuel d’un collégien en échec scolaire, mais le vocabulaire d’un charretier un peu sale sur lui.
Ce papa m’a dit a été viré de ce blog pour diffamation publique, on ne le dira jamais assez.
Correction
Marie Sasseur dit: 3 février 2025 à 8h03
Esprit es-tu là.
« III. La déformation malicieuse des arguments de Sénèque, leur réutilisation dissimulée, les attaques personnelles auxquelles se livre Esprit pourraient laisser croire à une entreprise de démolition assez vaine et gratuite. En réalité, les divergences entre Sénèque et Esprit ont un caractère profond. La critique de la clémence de Sénèque procède notamment de l’anthropologie pessimiste d’Esprit, qui concerne d’abord l’absence de toute sincérité : Sénèque écrit dans le De Clementia que « nul ne peut porter un masque longtemps 56 » ; pour Esprit au contraire, il est pratiquement impossible à un homme d’ôter son masque et de découvrir sa nature au grand jour 57. Plus profondément, la notion de progrès moral est mise en doute : un homme dépourvu de la grâce, que sa volonté est impuissante à obtenir à elle seule, ne saurait se corriger car ses inclinations naturelles sont trop fortes. »
Merci, Christiane, pour ce rappel. J’avais publié cet article sur mon blogue en 2011, et j’aime beaucoup le relire. Je trouve intéressante sa manière d’expliquer son projet : « L’idée de faire une peinture ou une sculpture de la chose telle que je la vois ne m’effleure plus. C’est comprendre pourquoi ça rate que je veux ». Le mot « comprendre » représente ici son projet. Intéressante aussi, cette photo de son atelier, avec le squelette du petit oiseau qui rappelle une sculpture.
https://lesempio.blogspot.com/2019/02/alberto-giacometti-wall-at-studio_36.html?q=Alberto
philomag!
« « Je voudrais arriver à faire un cours comme Bob Dylan organise une chanson », déclare Gilles Deleuze dans les Dialogues. »
https://www.philomag.com/articles/bob-dylan-barde-folk-ou-revolutionnaire
relire > “relire »
Je cuide
Vous avez fait une recension très développée autour des yeux
Les Yeux bleus cheveux noirs
Roman de Marguerite Duras
Pour saluer Maaria Tipo et en souvenir de son extraordinaire clarté :
« sauf que pour Jazzi il s’agissait plutôt de réunir Athènes et Jérusalem à travers les statues de mecs à poil genre retour à l’Humanisme de la Renaissance comme preuve du lien entre Athènes et Jérusalem genre Saint Thomas oui Descartes comme quoi le chemin de la Raison peuvent aussi mener à Dieu… »
Bravo, puck !
Il s’agissait aussi d’enchaîner avec le commentaire précédent de et alii sur le voir et entendre dans le monde grecs, le judaïsme et le Chrisianisme :
« Dans le domaine des études antiques règne une sorte de doxa qui oppose monde grec et judaïsme à propos de l’audition. Selon une tradition qui culmine avec Aristote, le monde grec privilégierait le voir sur l’entendre. Au contraire, le judaïsme s’opposerait en tout à ce « visiocentrisme » en promouvant un Dieu que nul ne saurait voir. Le christianisme qui promeut le Christ, image du Dieu invisible, devrait-il changer les choses ? »
@Marianne
renato, la citation d’Eco était une caricature grossière qui ne méritait pas autre chose en retour qu’une autre caricature (moins contestable cependant).
Bon rappel de D: de Gaulle était patriote, Clemenceau aussi et bien d’autres, très respectables.
Maria Tipo, certes du beau piano, pour moi terriblement fastidieux. Mais il est amusant de l’entendre quasi beethovéniser Scarlatti. Pablo, tu apprécies?
Bien sûr qu’on les fera les explications de texte de la représentante Tupperware-statue du commandeur en fromage blanc. Qu’y trouvera-t-on? À peine quelques asticots pas dégoûtés.
Le néant de la pensée de Marie Sasseur…oui il y a de ça. MC
A noter que le Lippi figure en couverture du Menteur. Vous savez, cette pièce de Corneille qu’il qualifiait lui-même de « contrebande d’Espagne »….
Pour moi, Eco n’a écrit qu’un seul bon roman, le premier. Après ce coup de génie il est très vite devenu fastidieux. Je me souviens avoir lu chez mon médecin, dans un Express qui trainait dans la salle d’attente, un entretien qui n’était qu’un tissu d’âneries méprisantes, notamment envers les autodidactes, démontrant qu’il n’avait rien compris à certains aspects humains. Mais c’était un brillant causeur, comme d’Ormesson, plus brillant encore, c’est ce qui à mon avis l’a sauvé. Je me souviens d’un Apostrophes dans lequel d’Ormesson, croyant citer Milozs (le grand) avait cité Baudelaire. Assistance pétrifiée mais personne n’avait osé le corriger, ce qui eût été l’équivalent d’un soufflet. Eco, lui, n’aurait pas cité à tort et à travers, c’est certain. J’avais trouvé grotesque sa réécriture du Nom de la qrose.
Qu’est-ce qui t’arrive, jazzi!?
Tu t’es fait greffer un 4ème neurone ? Impressionnant ! 😶
De la rose…
C’est amusant de lire qu’on se mobiliserait pour l’Europe alors que les conflits pourraient y resurgir. On sait maintenant de quoi est capable l’Allemagne.
l’échantillon singulièrement grossier et répugnant d’une variété de fruit de mer aux vapeurs méphitiques,
–
Beuark…🤮
Pourquoi s’evertuer à répondre aux imbecillités du même.
J’ai commenté ce billet, Passou, qui effectivement, et comme vérifié, est un peu de la soupe pour l’extrême-droite. Dommage que pas grand monde ne vous conteste ces choix.
Et en bonus, de la nostalgie a l’endroit d’Ambroise Paré, » c’était mieux avant », par un écrivain fictionneur de biographies, on peut dire que vous rassurez des Raoult , ils ont encore de l’avenir…sur le net.
Sur ce , à bientôt Passou, disons fin de semaine, vous êtes à l’affiche jeudi non ?
J’ai pas trop envie d’écouter Cohen, mais du Mike Brant, ça vous va ?
D , vous dîtes :
Moi je ne me sens pas seul devant l’infini. Bien au contraire.
Comment faites vous ?
Pour vous cette pensée de Pascal.
« Qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout. » ( Pensées, 185)
Closer, j’ai déjà expliqué au pseudo-chrétien* qu’il faut tenir compte des situations. Je n’ai donc pas besoin de me répéter.
* pseudo-chrétien c’est quelqu’un qui devrait essayer d’être chrétien avant de se dire catholique.
Pascal qui ? J’en connais plusieurs.
Non mais bien sûr, Christiane. Moi c’est la voûte étoilée qui me trouble.
Mais ce trouble n’est pas sentiment de solitude, bien au contraire. Plutôt de sérénité totale.
Il ne m’étonnerait pas que beaucoup ici ressentent la même chose.
Johnny thunders as tears go by
Ah ces anglais ! (Il est américain, tant pis)
Pour moi, la découverte de la littérature c’est d’abord la Comtesse de Ségur, Auberge de l’ange gardien et général Dourakine, que j’ai relus en boucle pendant des mois (je partage avec José Cabanis la joie d’être ému aux larmes lorsque j’entends parler intelligemment de la comtesse). Juste après, Le livre de mon ami d’Anatole France. Je teste persuadé que cette lecture m’a ouvert Proust. Il y a quelques années, une dame à nom historique m’a fait don des pléiades de France appartenant à son défunt père. Ce serait une idée de le relire.
Je relis de temps en temps la comtesse en « Bouquins ». Je ne m’en lasse pas.Michel Tournier a écrit un excellent texte sur le plus étrange (et assez glaçant) de ses romans, La fortune de Gaspard, qui fait un peu penser aux temps difficiles de Dickens.
Quant à Dickens, je l’ai découvert très tard, vers 35 ans, assez déçu par David Copperfield. Heureusement, un ami extrêmement lettré, vivant en demi-rentier, m’engage à lire Les grandes espérances. Éblouissement absolu. Ensuite, j’ai lu d’autres romans à la file, tout en en gardant quelques uns pour ne pas épuiser cette passion trop vite. Il serait temps de les lire.
Les gens qui ne comprennent pas que, un seul autodidacte vaut dix mille savants.
https://www.instagram.com/reel/DFsvkIuA4Be/?igsh=MTdyN2dyd2w0cjN0ZA==
Celui qui, en cherchant un sens à sa vie, croit donner du sens à sa recherche de sens.
Mais la vie ne fait pas sens, ni ne saurait faire sens la recherche d’un sens.
L’insensé sens de la vie est son seul sens.
Marie Sasseur dit: 10 février 2025 à 9h43
Je suis une anomalie..
–
C’est pas grave.
Il n’y a rien de meilleur que de ne pas épuiser une passion trop vite.
Pauvre Assasseure, l’objection (et souvent l’abjection) par l’imbécilité. Des lieux communs d’élève de seconde pas trop douée pour la réflexion dans un cerveau desséché par les années. La misère humaine à son Zénith. Bref, une vieille sotte lobotomisée, catégorie qui , il est vrai, ne manque pas ici.
La Voie lactée se contemple à deux, de préférence après l’amour.1
J’aimais beaucoup moi aussi l’œuvre de la Comtesse de Ségur, mais ça fait un bon moment que je n’ai pas rouvert l’un de ses livres. Enfant, j’en avais de la bibliothèque rose, du début du siècle, qui avaient été lus par deux générations avant moi. J’aimais beaucoup l’odeur qui s’en dégageait.
Les malheurs de Sophie, les petites filles modèles… je me sentais aussi très en phase avec cette aristocratie de la fin Xixème. Seule l’époque m’éloignait de cet univers.
Ce qui m’amuse le plus chez D., c’est qu’il parvient à nier l’interprétation des textes de la Commission Biblique Pontificale, qui déjà en 1976 a établi que le Nouveau Testament ne prend aucune décision sur l’ordination des femmes au sacerdoce, et que donc les déclarations du Nouveau Testament n’impliquent aucune interdiction des femmes prêtres ; que le plan de salut du Christ n’est pas non plus vaincu ou déformé en autorisant l’ordination des femmes.
@C’est pas grave.
Une chance tu veux dire, un talent… D’ailleurs merci de me permettre de le dire, hasard de la journée, et ses bonnes nouvelles. Et dis-toi, j’ai le triomphe modeste…et la joie énorme.
Bonne suite et bonnes lectures !
507 romans pour cette rentrée et Ambroise Paré…
De Ptolémée l’astronome
Anth. Pal. IX, 642
Mon temps est éphémère, et ma mort arrêtée,
Mais lorsque je contemple le ciel rempli d’étoiles,
Quittant la terre épaisse, l’immensité sans voile
Me gave de son miel et je me sens un dieu.
La barque du passeur, et les cyprès qui dansent,
Abolissent l’adieu,
Suspendent la créance,
Me laissant un instant goûter l’Eternité
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