Ce qui pouvait arriver de mieux à Galdós
Avez-vous lu Galdós ? Moi non plus. Gageons déjà que les Espagnols du XXIème siècle ne doivent pas être si nombreux à lire Fortunata y Jacinta, même s’ils certainement encore nombreux à l’avoir lu ; alors les Français… Il est vrai qu’il a été peu traduit chez nous, bien que Luis Buñuel ait porté ses romans à l’écran dans Nazarin, Viridiana et Tristana. Benito Pérez Galdós (1843-1920) est pourtant ce qu’il est convenu d’appeler un classique. Cette année, à l’occasion du centième anniversaire de sa mort, il est l’objet d’une belle polémique dans les colonnes du quotidien El Pais, entre deux des meilleurs écrivains espagnols d’aujourd’hui.
Tout en ayant passé une bonne partie de sa vie d’universitaire à exposer son importance historique et ses mérites littéraires, Javier Cercas a osé écrire qu’il l’aimait moins qu’il ne l’est permis d’ordinaire s’agissant d’un grand auteur loué et consacré. Il lui reproche de trop suggérer au lecteur ce qu’il doit penser, d’adopter un ton paternaliste vis à vis de lui ; il va jusqu’à le rendre responsable du retour actuel de la littérature espagnole au réalisme didactique, moraliste et édifiant ; ce ne serait donc pas un service à lui rendre que de le hisser au niveau des Dickens, Flaubert et Tolstoï, comme on le fait couramment car c’est trop haut pour lui.
Quelques jours après, dans le même journal, Antonio Munoz Molina lui a répondu qu’il avait parfaitement le droit de ne pas goûter le génie de Galdós, mais pas celui de le réduire à sa caricature. Ni d’ignorer que son engagement partisan au cœur de ses romans se justifiait par sa forte conscience politique. A cette réponse, Javier Cercas répondit tout aussi fermement, jugeant que, si lui-même sous-estimait Galdós, il n’était pas impossible que son duelliste le sur-estime. Mais il n’a pas apprécié que Munoz Molina ait osé écrire que les critiques de l’intouchable classique adoptaient une telle posture pour paraître modernes, ce qu’il jugea « insultant ».
Bien que le reproche d’ignorance soit une constante dans les polémiques littéraires, ceux-là n’en sont pas venus à échanger des noms d’oiseaux, ni à céder à l’injure et à l’attaque personnelle ou à chercher à délégitimer l’adversaire. Du moins, pas encore. Car si la querelle se poursuivait, il en faudrait peu pour qu’elle se joue sur le théâtre des passions, qu’on s’envoie des citations des maitres à la figure, que l’on se dégrade mutuellement pour le malin plaisir des spectateurs car toute polémique publique est spectacle, que l’on privilégie l’argument d’autorité sur l’exercice du jugement et que l’on se disqualifie mutuellement en décrétant l’incompétence de l’autre, comme il est d’usage dès qu’une querelle littéraire est menacée d’emballement. Or celle-ci est riche d’enseignements car elle interroge à nouveaux frais la notion même de classique.
Un texte classique nous parvient précédé par sa légende, riche et lourd des commentaires qu’il a suscités. Il est de ces livres qu’on ne lit pas nécessairement mais qu’on relit volontiers. Dans un article de L’Espresso (28 juin 1981) intitulé « Pourquoi lire les classiques », Italo Calvino tenait que le lecteur éprouvait un plaisir tout différent à découvrir un classique à l’âge mûr plutôt que dans sa jeunesse : appréciation des détails, repérage des niveaux, distinction des sens…. L’écrivain italien en donnait une définition qui tient toujours :
« Est classique ce qui persiste comme rumeur de fond, là même où l’actualité qui en est la plus éloignée règne en maître. Un classique est un livre qui n’a jamais fini de dire ce qu’il a à dire”.
En France, les classiques sont toujours consacrés comme symbole de l’universel intemporel, mais de plus en plus enrôlé dans la discipline mémorielle de la commémoration. Les controverses sur l’identité nationale en ont fait un enjeu de mémoire. Inutile de remonter à la grande tradition médiévale de la disputatio, érudite, savante et essentiellement orale. Non plus qu’à la Querelle du Cid (1637) lorsque Corneille se voyait reprocher de n’avoir pas respecté la règle des trois unités, de n’avoir pas su choisir entre tragédie et comédie et d’avoir écrit une pièce d’inspiration espagnole en pleine guerre contre l’Espagne. Plus près de nous, une fameuse controverse a laissé des traces durables. Raymond Picard, professeur à la Sorbonne et éditeur des œuvres de Racine dans la Pléiade face à Roland Barthes, auteur d’un essai Sur Racine (1963) qui mit le feu aux poudres. La Sorbonne contre l’Ecole pratique des hautes études, la critique universitaire contre ladite Nouvelle Critique, la Réaction contre le Progrès –même si l’affaire était plus complexe et nuancée. La controverse, des plus vives, s’emballa peu après via des articles qu’ils publièrent dans la presse jusqu’en… 1967, chaque bretteur étant soutenu par un camp, l’un accusant l’autre de jargonner inutilement et d’avoir fait des contresens sur la langue de Racine.
Javier Cercas et Antonio Munoz Molina n’en sont qu’au début de leur controverse. C’est tout le mal qu’on leur souhaite. Pour le plus grand profit des lecteurs, et de Galdós. D’autant qu’Andrés Trapiello, l’un des plus brillants auteurs espagnols, vient de s’en mêler en louant la « modernité » de Galdós. Au vrai, on ne perd jamais son temps à réviser les critères qui ont hissé un écrivain au rang de classique. A remettre en cause le statut de la statue. Au cours du XXème siècle, nombre d’écrivains espagnols se sont déjà affrontés autour des mérites de Galdós. Comme le fait remarquer Javier Cercas :
« Cela prouve qu’il est vivant. C’est ce qui peut arriver de mieux à un classique ».
Au fond, si les classiques méritent notre affection pour le bonheur qu’ils nous donnent, il faut les traiter sans déférence et sans crainte de ce que la postérité dira de notre légèreté. Ne jamais oublier ce qu’en pensait Paul Valery :
« La postérité, c’est que des cons comme nous ».
P.S. du 19 avril : Et Mario Vargas Llosa vient d’ajouter son grain de sel à la polémique…
(Photos D.R.)
1 347 Réponses pour Ce qui pouvait arriver de mieux à Galdós
J’lui montrerai dans deux mois 🤢
Jazzi dit: à
« Halte au patriarcat virus »
Vous ne leur avez …
Non non.
Je ne suis pas ce style de femme.
J’vous dirai même pas besoin nous nous sommes comprises. Pas compris pkoi elles étaient émues en me voyant. Mes.ch’veux blancs. Elles étaient jeunes et super jolies.
Moi, j’me bats pas.
J’lji montrerai Les feux de l’amour.
L’est bien foutue de se trouver un moins estropié que les autres.
J’lui ferai la robe blanche.
Ouais, résumer 3000 ans en une phrase ça fait pas mal d’oublis, mais du coup y’a des roux et des blondes avec des gueules d’irlandaises. Ça a l’air sympa. La Corse ça a l’air chiant.
Moi aussi je connais un de la Vega, Don Diego.
https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Capistrano2.jpg#mw-jump-to-license
Petite, j’le kiffais grave.
Au moins un, y a la morgue.
Qui est le moins deux. Mais qu’on appelle moins un.
Mon père, qui était un patriarche à l’ancienne, dont nous ne voulons plus demain, je le remercie, six pieds sous terre, de m’avoir transmis le goût du travail bien fait, de la noblesse du travail, et de l’ardeur à bien réussir sa tâche.
Je le remercie surtout de ne pas m’avoir laissé en héritage un, deux, trois et plus si affinités EHPAD à gérer.
Je le remercie enfin parce que les bourses s’écroulent, le pétrole aussi, et Messaouda et moi nous nous écroulons de rire, parce que comme nous n’avons rien, hormis notre coeur bien plein, et bien nous n’avons rien à perdre. Fortunée, oh.
>Christiane
Je pense que vous n’êtes pas jalouse de moi, bien autre chose à faire, et moi pas jalouse de vous, bien d’autre souci en tête. Bonne suite à vous,
Je suis un gros bosseur.
Habitude ?
Inné ?
Acquis ?
Un plaisir ?
Une dépendance ?
Sais pas fonctionner autrement ?
Comment devient-on un gros bosseur ?
<M. Salomon a par ailleurs annoncé un nouveau « regroupement de cas » à Ajaccio, en Corse, où 38 cas ont été recensés. Six foyers avaient déjà été identifiés en Haute-Savoie (La Balme et Les Contamines), dans l’Oise, le Morbihan, le Haut-Rhin et avec le groupe de touristes de retour d’un voyage en Egypte.
Aujourd’hui, la fille d’une pensionnaire temporaire est arrivée retour de Corse depuis quinze jours.
Depuis trois jours, lavage des mains au gel, prise de temoérature. Grand sérieux des procédures appliquées.
Réelle conscience du danger de la situation.
Prise de température de chaque visiteur.
« Mais le doute subsiste sur la conduite à tenir en cas de passage en phase 3, soit lorsque le virus circulera activement sur l’ensemble du territoire. « Comment voulez-vous isoler un patient atteint d’Alzheimer ? On risque d’être maltraitant », alerte Florence Arnaiz-Maumé. « Devra-t-on libérer des places spécifiques dans les hôpitaux ? Certaines personnes rentreront-elles à leur domicile si leur état le permet ? Le ministère est en train de réfléchir, mais cela sera sûrement au cas par cas », explique Annabelle Vêques, directrice de la Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées (Fnadepa). »
Il nous a été dit que le Samu ne viendrait pas emmener les personnes âgées à l’hôpital mais qu’elles seraient soignées et/ou mises à l’isolement sur place.
Si ma mère ne sort pas rapidement, je vais demander à aller travailler en tant que bénévole dedans.
Et cesser de critiquer.
Comment devient-on un gros bosseur ?
En quittant la Corse.
Viennent de boucler l’Italie à double tour.
Nicolas, compte tenu que l’occupation de la Sicile commence entre le 17e à 15e millénaires avant le présent, préhistoire bien à part, il y a dans son histoire diverses époques — colonisations, dominations — : phénicienne ; greque ; romaine ; ostrogothe ; byzantine ; islamique ; normanne ; souabe ; angevine ; aragonaise ; puis il y eu les Piémontais, les Autrichiens, les Bourbon-Siciles. À un moment les Carthaginois sur la côte occidentale. Il y eut aussi des influences juives et de relations avec l’Afrique… Enfin, un incroyable patchwork que, in fine, donne une image plutôt homogène.
Nicolas, c’est le frère de sa soeur !
Je demande à voir.
Janssen J-J dit: « Je vous présente toutes mes excuses Ch. En effet, vous n’auriez jamais écrit de telles inepties… »
Heureuse que vous le reconnaissiez ! M.Court n’a pas tort quand il souligne les énormités qu’elle peut écrire, uniquement pour se faire remarquer. L’intention de Jazzi était belle (la photo) mais la biographie que vous avez mise en ligne est bien meilleure que celle de Babelio.
A ne pas rater les quatre billets que Juan Asensio réserve à Vincent La Soudière sur son blog. Remarquables.
Bon, pour terminer par la profondeur de cet être, et oublier les inepties de CT, cet extrait d’une autre lettre (119) datée du 16 mars 1971 (p.266):
« J’ai emporté assez peu de livres (une quarantaine) : la correspondance de Baudelaire, l’œuvre de Kafka, quarantaine), des livres d’Antonin Artaud, les Confessions et les Rêveries de jean-Jacques, des Callois, des Gide,des Henry Miller, quelques recueils de poèmes (Lorca en espagnol, René Char, les poèmes de Jean de la Croix ; je ne me pardonne pas d’avoir laissé à Paris Saint-John Perse) et tiens-toi bien… l’inévitable Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn Arabî d’Henry Corbin que je traîne après moi depuis des années comme un « boulet », qui m’encombre, qui m’agace, que je ne lirai sans doute jamais et dont pourtant je ne puis me séparer, comme un fétiche (tu peux rire à gorge déployée…) Je souffre de l’absence de musique ; mon transistor ne reçoit plus les ondes de France-musique, et quelle que soit la position de l’aiguille sur le cadran du poste, je ne trouve que fanfares hideuses et chansons mielleuses du Danemark ou d’Allemagne. lu Les Plaisirs et les Jours, et Jours tranquilles à Clichy d’Henry Miller – histoires de bordels parsiens assez ennuyeuses, sauf trois pages fulgurantes décrivant son ami Carl.
Que je te parle enfin d’un mince ouvrage de Michaux, paru il y a une vingtaine de jours : c’est une petite plaquette de 35 pages, à couverture rouge, éditée par l’Herne, et qui a pour titre POTEAUX D’ANGLE. Un « style » très différent de son style habituel. Le soir de mon départ, Michaux me disait qu’il avait eu « un extrême souci de la forme » en composant ce texte. (Oh oh… ne serait-on pas un peu plus « écrivain » qu’on veut bien le dire ?) Sa prose – un peu cassée de temps en temps (c’est l’ancien Michaux) – est admirable. C’est Monsieur Michaux et il a soixante-douze ans… On a la liberté de tout dire, après qu’on a été « reconnu »… Je t’en transcris quelques passages sur une feuille annexe. »
(Je crois que Raymond, DHH et Et Alii apprécieront aussi cette malle de livres emportée par Vincent la Soudière !)
@ Rose
« Je suis un gros bosseur. Habitude ? Inné ? Acquis ? Un plaisir ? Une dépendance ? Sais pas fonctionner autrement ? Comment devient-on un gros bosseur ? »
C’est simple: en naissant Taureau (comme Machiavel, Hume, Kant, Kierkegaard, Balzac, Marx, Galdós, Freud, Wittgenstein… et tant d’autres gros bosseurs).
Rose>Christiane : « Je pense que vous n’êtes pas jalouse de moi, bien autre chose à faire, et moi pas jalouse de vous, bien d’autre souci en tête. Bonne suite à vous, »
Mais non, amie. Pas de problème.
Votre ami Et alii m’exaspère parfois mais je suis heureuse que toujours il cherche de vos nouvelles et à vous réconforter.
Je vois que la situation se complique à L’EHPAD avec cette épidémie. Être bénévole ? Belle idée, pour un temps… Bon courage.
Ici, tout va bien. Je lis beaucoup… (ne riez pas !)
BWV 1002, Partita n 1 :
>christiane
Je ne ris pas ; vous estime et vous apprécie grandement.
Peut-être, mais ce n’est qu’hypothèse, et alii et moi serions deux cabossées par ka vie ? Et cela les lie, les deux ?
Rose, je ne comprends pas ce que vous reprochez à ce qu’a écrit votre mère.
Futur simple de l’indicatif
je voudrai
tu voudras
il voudra
Présent du conditionnel :
je voudrais
tu voudrais
il voudrait
Employé notamment pour demander poliment, exprimer un souhait : ce qui me paraît parfaitement approprié ici.
L’emploi du futur me semble dans ce cas précis impossible avec ce verbe « vouloir ».
Si ce qui vous tracasse concerne l’effet sur ses interlocuteurs, si vous souhaitez que votre mère formule un ordre et pas une demande (trop humble, trop soumise ?), alors il faut utiliser le présent de l’indicatif : je veux savoir.
(Et si ce dernier paragraphe vous hérisse le poil (non mais, ce petit x, quel culot de me donner des ordres, de quel droit, etc.), c’est bien que la demande polie ou la suggestion « atténuée » passent mieux. Qu’un « il faudrait / il vaudrait mieux [conditionnel] utiliser telle forme » tout comme un « Je voudrais [conditionnel] savoir » mettent de l’huile dans les rouages.]
Madame DHH est appelée en renfort.
Christiane
C’est plus que elle me réconforte ; c’est être à mes côtés sans me lâcher.
X
Je voudrais c’est un hypothétique qui a peu de chances d’advenir.
Je voudrai c’est un futur de l’indicatif qui appartient au réel et a toutes les chances d’advenir.
Jazzi dit: à
Nicolas, c’est le frère de sa soeur !
Jazzi
Mais de quelle soeur ?
Et de qui le patient zéro ?
Toujours pour Rose : le problème de la confusion entre le futur de l’indicatif et le conditionnel présent semble limité à la première personne du singulier.
Je me souviens que vous aviez contesté il y a quelque temps la différence de prononciation entre le é fermé pour la terminaison du futur -ai et le è ouvert pour celle du conditionnel -ais, que je proposais comme simple « truc » pour s’y retrouver.
Il est bien possible qu’elle n’existe pas dans le sud ou qu’elle soit en voie d’effacement un peu partout (à Paris on ne peut plus faire à l’oreille la distinction entre le « in » et le « un », le brin et le brun).
Dommage, ça aidait.
Byzantin ? Pédant ? Inutile ?
Sauf quand des petits malins viendront nous dire :
— ah mais vous m’avez mal entendu, mal compris, brave gens.
Je n’ai jamais dit : « je veillerai à la sûreté de mes administrés, j’abaisserai le tarif de la cantine scolaire et je ferai installer la fibre » !
Je n’ai pris aucun engagement d’aucune sorte, fait aucune promesse. J’ai simplement indiqué que si j’avais le temps, si les circonstances étaient favorables, si toutes les conditions étaient réunies, si des sommes considérables tombaient par miracle dans l’escarcelle de la municipalité, éventuellement donc, je veillerais, j’abaisserais le tarif, je ferais installer …
(Je ne vous la fais pas au discours indirect, ça embrouillerait tout.)
« L’Homosexualité mal assumée », entrainant du coup « la compassion », on se demande pourquoi, comme si le texte n’était pas assez fort pour se défendre lui-même, ce n’est pas Christiane, c’est et ce ne peut être que Clopine dans toute sa lourdeur, JJJ!
Carême mort de maladie liées au sucre, c’est intéressant et tout à fait possible si on se souvient de son Pâtissier Royal et de ses planches montrant de pantagruéliques et néo-classiques gateaux, avec ponts suspendus , temples en sucre, et montagnes romaines en pates diverses.
Sur Careme, la biographie à quatre mains de Philippe Alexandre et Béatrice de l’Aulnoy est une bonne présentation du personnage, sauveteur in extremis d’une cuisine royale que Tricoteuses et Sans-Culottes à courte vue auraient bien enterré. Que serait devenue la cuisine française sans Careme pour la maintenir, et Talleyrand pour en assurer l’exportation?
Bien à vous.
MC
Bien à vous.
MC
X
Nous n’avons pas de é ouvert. Ils sont tous fermés.
Par contre, j’espère vous réjouir en vous annonçant que nous n’avons pas de o fermés. Ils sont tous ouverts.
J’ai une amie au trou du coccyx du monde, que j’appelerai demain, parigote d’origine qui ne peut s’empêcher lorsque je parle de souligner -en se moquant gentiment- tous les o ouverts. Elle le redis avec mon accent, ouvert.
Je ne sais comment vous l’écrire, je vais chercher l’API.
Nota : pour moi, le conditionnel est, tel que vous le signalez, une formule de politesse. Usé pour la courtoisie.
pour qui veille tard ou se lève tôt,colette magny
Par exemple, Pose cette rose !, phonologiquement /poz sɛt ʁoz/, est souvent réalisé en français du nord-ouest parisien [poːsɛtˈʁoːz], en français du sud-ouest [pɔˑzəsɛtəˈʁ̥ɔˑzə], en français de Corse [poːzəsɛtəˈʁoːzə], en français picard [pɔsɛtˈʁɔz], en français de Lorraine/Champagne/Bourgogne [poz’sɛːtʁoːz] (ces réalisations régionales sont des occurrences [etc.]
Ça marche pas la transcription.
Je refais demain.
Chez nous, c’est comme chez les picards.
Tout l’temps.
Elle le redit, la vilaine.
Moi j’la faisxredoublerbpck j’la veux encore une année dans la classe.
Mon père, j’m’demande bien s’il a su combien il a été aimé par ma mère.
Ce grand couillon.
L’autre jour, à la sieste, il m’a demandé d’aller la chercher et de lui amener.
NON.
Grand couillon.
Tiens le toi le pour dit.
NON.
Ah ça a marché la transcription, crénom.
Donc les o ouverts.
Et je réalise dans cette (de cette rose) que pck c’est un féminin dans ce cas particulier le é est ouvert en è. C’est rare hein, n’abusez pas. Tous les é sont fermés d’ordinaire.
Ah ça a marché la transcription, crénom.
Donc les o ouverts.
Et je réalise dans cette (de cette rose) que pck c’est un féminin dans ce cas particulier le é est ouvert en è. C’est rare hein, n’abusez pas. Tous les é sont fermés d’ordinaire. C’est dit. C’est écrit.
rose,
bonsoir;
je me permets de vous dire que contrairement à la conviction soutenue pour dieu sait quelle raison, par
la contributrice de ce blog christiane, je ne suis pas un homme,(ni trans)même juste une femme née de sexe féminin ,et que son insistance à « réclamer »dieu sait quoi pour en avoir la preuve, et publique, est inutile;elle et ses ami-e-s qui la conseillent sont donc des provocateurs obscènes et borné-e-s qui me dégoutent,des jalou-x-ses quelle que soit la raison et si elle est sexuelle , ce que j’ignore ; vous formez un groupe qui m’écoeure à profiter d’internet , et du blog de P.Assouline pour calomnier ouvertement et déblatérer sur une personne faute d’avoir établi -proposé- une « interprétation »incontestée de vos échanges pour l’anéantir et aucune autre connaissance mieux assurée à vos yeux que du sexe; faute d’être comme de l’espèce de cet ange qui attaque JACOB, la nuit, et le blesse; puisque voilà la référence textuelle, médicale, anatomique et culinaire dont vous aimez vous recommander et que vous voulez imposer en français(sans dire dans quelle traduction évidemment)pour vous faire bien voir de P.Assouline, c’est bien connu;alors , médicalement, je vous préviens qu’il y a une douleur dont les médecins disent qu’elle mime-sic- la sciatique (sans que le malade y puisse rien, oeuf corse),pour votre avidité et jalousie de « savoir-s- » -you know!-(know, knee,knack kkk!!!)
vous m’écoeurez par votre bêtise aussi!
tout le mal que je peux vous vouloir, c’est de trouver un bon « miroir », ou un bon « marteau » si vous allez chez les juifs à pourrim (et y buvez? boire jusqu’à ne plus pouvoir distinguer entre les mots “maudit soit Haman” et “béni soit Mordékhaï”.
mon écoeurement n’est pas génétique!
comment des femmes de votre « acabit »(disent les
bottomerdéliens à fixette )pourraient-elle être mes amies !
trouvez -en des ami-e-s pour renouveler la RDL qui ressasse pitoyablement;
pourraient-elles
Et alii
J’vous ai lu. Et relu.
Comme on est soi-même, on voit les autres. C’est relou.
rose, vous êtes peut-être un homme , arrangez vous en, ce n’est pas mon affaire; le petit prince de l’université, j’ai déjà supporté,, et si vous êtes une femme cultivez-vous aussi ; alors ciao
Voilà le plan bleu déclenché par olivier véran au travers de l’ARS
https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/sites/default/files/2016-12/Le_guide_plan_bleu.pdf
.
Si nous étions informés, nous n’aurions pas besoin de chercher, la nuit entière pour comprendre.
L’espace dans lequel vit ma mère est appelé protégé. Non pas suite à notre départ précipité de Poitiers, mais suite au fait qu’elle est désorientée.
D’ailleurs cet après-midi, elle m’a dit que dans sa chambre (13,45 m²), elle se sentait en sécurité.
Rose, je reviens à l’ordinateur et trouve votre réponse.
Il est vrai que les grammairiens ne considèrent plus le conditionnel comme un mode (ce qui est logique notamment dans le cas du discours indirect avec « futur du passé ») ; ma terminologie retarde.
Je pense que le sémantisme de « vouloir » complique les choses — mais aussi l’espèce d’aimable « feinte » de la politesse (« s’il vous plaît » affecte aussi de rendre plus hypothétique le service demandé).
moi, je crois P.Assouline quand il dit qu’il est espagnol aujourd’hui, jour de pourim !si vous aimez cricri, tant mieux , voyez-vous, moi, pour vous saluer, je vous signale que j’ai déjà exposé comme artiste aussi, et d’autres choses aussi de cet ordre , et envoyez paître les dames à psy à ces occasions!
bravo x essayez optatif!
envoyé paître les dames à psy ;je me souviens d’ un homme qui tenta le jeu psy j’ai vite compris qu’il n’avait aucun pouvoir sur « l’espace »
Page 33 sur 98 du plan bleu.
Et alii
Je ne tiens pas à entrer en une quelconque disputatio envers vous.
AUTRES DESCRIPTIONS DE L’ETABLISSEMENT
Personnels
Présence d’une infirmière H24 : oui / non
Gestion des décès
Capacité de conservation des corps :
Nombre de chambres mortuaires :
Nombre de cellules réfrigérées :
Nombre de lits réfrigérés :
Autres (à préciser) :
Nombre de décès annuels :
2010 :
2011 :
2012 :
2013 :
Autres conventions
Déchets d’activité de soins à risque infectieux (DASRI)
Autres déchets (changes/protection)
Pharmacie
Laboratoire
Sociétés de prestations diverses
Equipe mobile de soins palliatifs (EMSP)
arretez avec votre disputatio! quelle vanité! c’est comme description : alors la morgue ?
c’est un comble que vous continuiez!
moi, je me renseigne:
« Vous avez été bercé trop près du mur ou quoi monsieur ? Vous comprenez pas que je m’en fout de votre cours ? »
Il a déraillé complet il m’a mit dehors et en sortant j’ai hurlé « VA FANCULO COGLIONE ! » :rire:
Toute la classe a éclaté de rire 😎
J’y mettrai plus les pieds dans son cours :ok:
Chaldean Numerology
The numerical value of vafanculo in Chaldean Numerology is: 4
Pythagorean Numerology
The numerical value of vafanculo in Pythagorean Numerology is: 5
>Et alii
Coglione je me demande bien si ce n’est pas le lapin.
Eh bé (fermé).
Vous faites partie des gens qui avancent les yeux fermés ?
>p’tit tixe
Modalisation
Voeu pieux
Manière d’obtenir kekchoz
Moins frontal que le futur, le conditionnel.
Dans les prisons aussi, le droit des visites familiales est suspendu. Cela crée des situations explosives.
Pour certains patients aussi, c’est difficile à vivre.
Faisons appel à nos forces vives, c’est le cas de le dire.
rose, demandez-vous tant que vous voulez;
je suis occupée ; maintenant assez de bottomerdélien-ne-s;je ne prive personne;
Rencontre avec Nicole Lapierre, 11 mars « Faut-il se ressembler pour s’assembler ? »
18 FÉVR. 2020 PAR LOÏC CÉRY ÉDITION : INSTITUT DU TOUT-MONDE
Rencontre avec Nicole Lapierre à l’occasion de la parution de son livre « Faut-il se ressembler pour s’assembler ? », Paris Maison de l’Amérique latine Mercredi 11 mars 2020, 19h. Dans le cadre de « Coïncidences » (Maurice Olender, François Vitrani). En collaboration avec l’Institut du Tout-Monde.
je ne lis pas l’espagnol ;
. Il lui reproche de trop suggérer au lecteur ce qu’il doit penser, d’adopter un ton paternaliste vis à vis de lui ; tout est dans le « trop » too much !
le fait est que ça ne passe pas toujours, ce ton de petit(e) maître(sse) qui s’y croit!
et qui ose venir jusque chez vous en personne rançonner !parler Q! non, P.ASSOULINE, trop d’hypocrisie tout ça !
si rose est elle(?)aussi incapable de penser des gens différents d’elle(?)c’est vraiment mal emmanché !
quoi?la RDL
très peu attirée par la psychologie bottomerdélienne , j’apprécie internet pour me faire une idée , de choisir ; j’ai lu TAMMETT dès la sortie du « jour bleu » (que j’ai offert)
je ne suis pas du tout avide d’intimité à la manière agressive selon moi erdélienne ; puisqu’il y a des gens qui aiment les maths, voilà un entretien de Tammet où l’on peut juger de sa performance linguistique ;
Rencontre avec Daniel Tammet, un passionné des mathématiques, qui doué de synesthésie, voit les chiffres en couleurs et en images, qui lui racontent des histoires.
C’est au Pôle Camille Claudel de Sorgues, que j’ai rencontré Danniel Tammet au moment du tea-time. Accueillie avec une grande sympathie, nous échangeons, de lui à moi, de la conférence sur les mathématiques qu’il va présenter dans le cadre de la fête de la science.
Génie des nombres, hyper-polyglotte, contributeur à la recherche scientifique, mais surtout poète des nombres et écrivain (« Je suis né un jour bleu »), Daniel Tammet se sent aujourd’hui artiste.
Cible de curiosité médiatique et publique, Daniel Tammet raconte quelque peu sa souffrance et sa sensibilité, sa solitude et son intériorité qu’il a vécu, conséquences de symptômes du syndrome d’ « autisme asperger », ce qui fait sa force d’aujourd’hui.
Ainé d’une fratrie de neuf, qui a grandi dans un milieu populaire, Daniel Tammet se nourrit de littérature depuis son plus jeune âge. Une culture « gratuite », accessible, qui lui permet aujourd’hui de traduire des lectures scientifiques et d’écrire de la poésie, la poésie des nombres dans l’univers.
Aujourd’hui, Daniel vit en couple à Paris, a une vie sociale normale et travaille sur un nouveau projet d’écriture.
https://www.youtube.com/watch?v=C5NOG7WqCPw
autre mot typique de la culture « sublime »: génial-e!
rose: a écrit que c’était elle qui était géniale;
donc on a compris le wow!
je me sens bien mieux avec Tammet qu’avec la journaliste qui l’interroge;c’est lui qui fait tout « l’effort »;alors à côté de ça les bottomerdéliens à fixette, madame Double Hélice (à son Watson misogyne avéré etc!D H H peut y aller de sa génialité monolingue!
vale!
Franck Riester en quarantaine à son domicile, frappé par le coronavirus
Je n’ai jamais écrit ça.
Avoirble don de double vue c’est quelque chose.
Lu sur LSP blog du monde.fr
Ses œuvres ont eu du succès, si l’on en juge par le nombre de copies qui ont circulé, puis elle sont tombées dans l’oubli. La Fontaine n’a pas eu connaissance de ses fables.
Ses lais et ses fables se trouvent dans le commerce, parfois en version bilingue, et c’est un enchantement que de les lire.
Elle a été redécouverte par des érudits du XIXesiècle, merci à eux, mais n’a jamais figuré dans les programmes scolaires. Pensez, une autrice, mot que notre logiciel de correction souligne d’ailleurs en rouge…
Si, en cinquième, où le moyen-âge est au programme, avons étudié Marie de France et l’avons déclamé en déambulant sous la charmille des arbres entrecroisés par leurs branches, dans un jardin médiéval.
si rose, vous avez écrit que « de la famille »(votre fratrie)c’est vous qui étiez géniale, avec toute la modestie -appelée humour par gros temps-habituelle des erdélien-ne-s!
Bon ben, si je l’ai écrit et que vous l’avez dans vos fiches, c’est que c’est vrai.
Vous devriez être content et alii.
Année LvB, op 53 :
Ne crois pas l’avoir écrit ainsi. Pense avoir écrit « des trois, je suis la plus réussie » et ça c’est une évidence. L’aînée est un cas pathologique gravement atteint. 45 ans de silence pour ensuite s’acharner. Faut-il avoir la dent dure.
Et le cadet millionnaire ou presque qui dépouille soeur et nièces sous le prétexte que je suis riche et qu’elles ont un métier. Bon, c’est vrai précédé de solides études, payées par maman toute seule. Être pauvre comme lui, c’est terrible.
Je ne leur souhaite pas de mal. Juste une fin de vie en EHPAD. EHPAD qui d’ici là avec la crise auront diminué de moitié. Seules les pompes funèbres auront fait fortune.
Et moi, au milieu, avec JiCé dans un grand champ de marguerites, sommes heureux. Cool. Pacifiques.
Le nom a été donné par Magellan après le passage du cap Horn. In situ, l’est pas du tout. Grosses vagues, coups de vent. Roitelets nains et agressifs.
Premier cas de covid 19 dans les AHP, après tout m’monde.
Rentent la Creuse et la Lozère.
Premier cas de covid 19 dans les AHP, après tout l’monde.
Restent la Creuse et la Lozère.
Et l’argent, il protège qui là ?
Dites « auteure », Rose, c’est tellement plus euphonique qu’autrice!
NB: Quelle mouche a piqué Christiane pour croire que et alii est un homme?
Le conditionnel est un mode mal nommé ,il devrait s’appeler éventuel ;c’est le mode du POSSIBLE par opposition a l’indicatif qui est le mode de la chose REELLE et le subjonctif qui est le mode de la chose PENSEE ;
Avec ce sens indiquant le possible il a en conséquence plusieurs valeurs grammaticales
1)Verbe principal d’une phrase conditionnelle ;si tu venais ,je SERAIS heureuse
2) fait qu’on rapporte avec des reserves :le coronas virus TUERAIt moins que la grippe
3) les situations imaginaires :on va jouer :je SERAIS la pricesse
4) le futur dans le passé (dont le locuteur ne peut affirmer qu’il s’est realisé) :il m’a dit qu’il VIENDRAIT le lendemain
5)enfin pour ajouter un effet d’atténuation a une affirmation :Je VOUDRAIS je POURRAIS ,je PENSERAIS plutôt que …
Tel est le point de vue de quelqu’un qui ne connaît qu’une langue mais s’efforce de bien la connaître
C’est quand même rigolo, malgré tout, la Rdl… Voici un billet de notre hôte qui salue (avec une nuance d’agacement, dans le genre « pourquoi y arrivent-ils et nous…pas ?) une polémique littéraire qui ne conduit PAS (enfin, pour l’instant), à la foire d’empoigne habituelle. Qui est exempte (au moins, jusqu’à présent), des attaques personnelles, jugements de valeur, tentatives de décrédibilisation de la parole d’autrui…
Et voilà tous les erdéliens qui applaudissent à tour de bras ce billet « remarquable », « superbe », bref un consensus non mou se répand sur le blog, et on assiste à ds hochements de mentons, tous plus approbatifs les uns que les autres…
Sauf que, toujours sur le même fil, et à propos d’un auteur que nul ne connaît vraiment et qui vient juste d’être redécouvert, j’émets une hypothèse. Oh, une simple hypothèse, hein, qui, si ça se trouve, ne tient pas à l’examen des textes (mais soulignons que personne ne les a vraiment lus, les textes en question…)
Alors, que va-t-il se passer, hein ? Comme chez nos voisins espagnols, une controverse, citations à l’appui et démonstrations idoines, va-t-elle courtoisement s’engager ?
Comme les hochements de menton semblaient l’indiquer ?
Eh bien, cela s’est réduit à un seul adjectif : « inepte ». Court et Christiane, collés de près par JJJ, en choeur, eux qui se drapent pourtant dans la posture d’intellectuels donneurs de leçons, n’ont su produire que ceci : inepte, sans plus d’explications
(peut-être que les explications, à savoir qu’ils étaient profondément choqués qu’on puisse même imaginer un penchant hommosexuel chez un pauvre diable tourmenté d’une foi destructrice, ne révèlent trop une sorte d’homophobie cachée, mmmhhh ? Bref.)
Appliquons la recette à Mrs Cercas et Molina. Le premier dit quelque chose ?
« stupide », réplique le second.
Et hop, passez muscade…
C’est dingue le problème des miroirs, sur la rdl. Ils ne produisent qu’un seul reflet fidèle : celui de l’acrimonie. Par contre, le recul…
Wouarf.
(bon d’accord, je sors)
close,merci de voir dans ce ficelage de christiane une sorte d’acharnement suiviste dans l’esprit de meute ;elle s’imagine m’avoir aussi dépouillée de ma judéité (sa pathologie de s’en considérer la « propriétaire » et d’en avoir la maîtrise comme de la « bonne psychologie » ,et de la « bonne philosophie »;
elle, ça ne l’impressionne pas de voir un homme comme Tammet se construire, apprendre tant de langues(comme il parle bien le français!vidéos) relever tant de défis,s’expliquer sur lui-même si simplement(sa synesthésie)-ici on m’a dit qu’on voulait comprendre comment je fonctionnais pour me faire fonctionner en vraie juive :selon la RDL
C ‘est tout ça qui me dégoute, ce refus haineux et
dominateur;
je ne prétends pas « aimer » Tammet considéré par beaucoup comme « un génie », mais je reconnais sa démarche exceptionnelle comme la sienne,et elle m’impressionne;
@ c’est et ce ne peut être que Clopine dans toute sa lourdeur, JJJ!
Bonjour MC… Oui, sa lourdeur légendaire qui fait partie intégrante de la RDL et qu’on doit admettre à défaut de la comprendre, tel un mystère au catéchisme d’antan.
Vous la reconnaîtriez entre mille, votre lourdaude CT… L’avez dans la peau, n’est-ce pas, pesante comme cette paysanne allant au bal.
(cette nuit…, vous m’avez visité avec elle dans un songe à la swedenborg, et avec son chien).
Bien à vous, cher MC.
(un petit rappel de J J-J)
@ CT / à propos d’un auteur que nul ne connaît vraiment et qui vient juste d’être redécouvert, (mais soulignons que PERSONNE ne les a vraiment lus, les textes en question…) //// en dehors d’au moins 3 erdéliens, ce qui constitue une bonne moyenne, si on y rajoute l’ex erdélien Asensio… etc
CT… ou… mon nom de Personne dans la baie de Chaville et dans Calcutta Désert… (wouarfl !)
Et elle insiste !
Eh Clopine
J’ai vu Cyrille.
Z’avez vu ?
Clopine, vous avez raison!le billet me plait mille fois ;je n’ai pas lu l’auteur, mais il situe la question de « polémiquer »,pas dans la « paideia » de façon générale, -et on en a vu dans- à l’intérieur de – le judaïsme aussi(à cause de la menace de la conversion? Tammet s’est converti au christianisme-intéressant ,non?-avec Maîmonide, avec les kabbalistes(https://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1965_num_167_2_8163;
non dans la paideia (un mot grec:https://www.philolog.fr/paideia-encore-et-toujours-werner-jaeger/)mais sur la scène publique, le théatre de l’enseignement
bonne journée travaillez bien soyez prudents
ON peut ne pas aimer la personnalité de CT ,et voir l’expression d’ une certaine naïveté dans sa posture conformiste de féministe radicale gaucho-ecolo, mais traiter de lourdaude quelqu’un d’aussi cultivé et doté d’une telle facilité d’écriture cela déconsidère ceux qui portent ce jugement
trop tard christiane, je ne suis pas un travelo;on a compris le coup des pianos de CHALOUX que vous attaquiez!
DHH, merci, mais ça n’en vaut pas la peine, vous savez… Plus ça continuera (« lourdaude » après « inepte ») plus la contradiction entre « bravo Assouline pour votre billet qui célèbre l’aménité et la bienveillance » et « voici pourtant ma pratique : je balance deux insultes et jugements de valeur à la figure de Clopine et basta » devient évidente, que dis-je ? Aveuglante…
La moralité ?
Tout le monde n’est pas Molina ou Cercas…
Tout le monde n’a pas de recul sur ses opinions…
Tout le monde ne peut tenir une discussion argumentée..
Et l’on va pouvoir s’attendre à lire que Christiane vient de se taper l’entièreté de l’auteur en question.
et vous remarquerez l’absence d’insultes de ce mail. Pourtant, je saurai parfaitement le faire, si je voulais…
Je me retiens !
Allez, zou, bises. Le temps est frais, aujourd’hui, sur l’île de Ré.
Je m’en vais chercher les autres notes, il m’en manque 6 pour trouver l’accord…
je ne suis certainement pas une « dévote »(le mot de la jalouse instit) de CLOPINE, mais de là à contredire ici sa remarque si judicieuse, certainement pas!a priori , elle est amplement respectable d’être ouverte au monde a priori, de s’essayer à y participer et d’y partager!
Se prenant pour une blanche colombe, l’Esprit Saint en pays de Bray, la lourde enclume tente de s’élever, échoue, comme toujours, et se ramasse une gamelle le nez dans sa bouse de vache en fin de carrière.
Dieu qu’elle est sotte …et distrayante !
Clopine , s’ils avaient vraiment fait du psychodrame avec des professionnels ,ils ne se cabreraient pas sur les opinions politiques et ne parlons pas « du corps » et de son expression! continuez de travailler, travailler en y prenant du plaisir, comme eux dans l’injure et l’insulte!vous avez votre vie, votre fils, c’est plus qu’il n’en faut pour vous ouvrir les yeux
Mais enfin, DHH, relisez la deuxième partie du commentaire qu’elle adresse à Jazzi. « Lourdaude » est un euphémisme, j’aurais dit « quinze tonnes » ! Elle a l’esprit tellement infesté de son anti-cléricalisme primaire qu’elle se donne des raisons fallacieuses de ne surtout pas lire ce livre, ni découvrir l’homme, pour des raisons obscures où l’art se confond avec je ne sais quoi de ses souvenirs de catéchumène. Le problème n’est pas du tout celui de l’hypothèse de l’homosexualité ! (bien que ce soit son obsession…)
Qu’elle ait une belle plume, cela n’a rien à voir ! il serait temps qu’elle lise d’autres livres que celui de Proust. Marre de ses pommiers en robe de bal, de ses « moi je », de ses compliments dont elle se couvre répétant en se trémoussant ce qu’on lui a dit de son écriture.
Votre amitié a des œillères. Et Alii en profite pour se rapprocher de la pauvre incomprise. Grand bien leur fasse…
Et je passe sur les tombereaux d’injures et de suspicion qu’elle a déversé à profusion sur mes commentaires et ma personne qu’elle ne connaît pas, allant jusqu’à inventer que lui avais fait une cour empressée ou à envoyer des mails me calomniant à PMB et peut-être bien à Chaloux. ! Non, mais ! le troll c’est elle. La lourdaude aussi. les inepties aussi.
déversés
@ DHH
La question n’est pas de savoir si on est ami.e ou ennemi.e de CT, elle est de savoir si CT est ojectivement « lourde » (reloue) quand elle s’enfonce à vouloir avoir raison, alors qu’elle sait avoir parfaitement tort.
Sa lourdeur tient en son orgueil démesuré et à son absence d’humilité, accusation dont elle proteste pourtant comme de la confiote sur une tartine beurrée afin d’obtenir qu’on la rassure (!). Voilà exactement où se niche sa lourdeur.
Sa prétendue aisance d’écriture la rendrait légère, à vos yeux ?…, Ce n’est vraiment pas un service à lui rendre, DHH. D’autant que, comme par hasars, elle se paie aussitôt le luxe de renoncer à votre défense, en jubilant intérieurement, et tout en continuant à vouloir se donner en martyre incomprise de la rdl!)…
Son aisance d’écriture… (sic), c’est votre « pb » personnel, DHH, et vous le savez fort bien.
Je conlurais donc que vous êtes infiniment moins lourdaude qu’icelle, quelle que soit votre prétendue difficulté à écrire.
Non, décidément y’a pas photo entre vous !
CT peut être parfois attachante, mais dans l’ensemble, elle restera toujours insupportablement lourdaude dans son rôle de composition singularisant… A fort bin assimilé les mécanismes de la Distinction…
(ce dont chaque erdélien conviendra icite avec 1 mimimum d’honnêteté intellectuelle).
Bon, je sors m’aérer. Hein ! Cette femme faible est épuisante.
certes dear Christiane, l’anticléricalisme viscéral de Dame Clopine restera un des nombreux mystères du prestigieux blog à passouline. Une « vertu » qui lui eût donné une place de producteur à franceculture depuis belle lurette, si bons leviers actionnés.
Lorsque la question de la formation au psychodrame se pose, cela implique d’avoir participé à un groupe d’évolution personnelle par l’analyse de groupe et le psychodrame, et d’avoir pu y effectuer un travail psychique que les entretiens permettent de clarifier et d’évaluer. Le groupe de formation au psychodrame se déroule selon dix week-ends de seize heures de séances sur deux années. Il ne varie pas dans sa composition.
3Avant d’aborder les caractères spécifiques de ce groupe, quelques mots sur les étapes qui précèdent.
4Ce que je souhaite montrer brièvement, c’est que le psychodrame est présent dans tous les groupes que nous pratiquons, mais de façon différente.
5Trois remarques éclairent les raisons de ce dispositif :
la pratique du psychodrame à l’ifagp est liée à la pratique de l’analyse de groupe. Cela bien entendu confère sa singularité à la formation. Les personnes qui ont une demande de formation sont, pour la plupart, des personnes qui souhaitent mettre en place des groupes de psychodrame avec des adultes, des enfants, dans leur institution, groupes thérapeutiques utilisant le psychodrame. Certaines ont effectué une psychanalyse individuelle, d’autres un parcours thérapeutique avant d’aborder la situation de groupe ;
la référence psychanalytique de notre pratique du psychodrame de groupe signifie que la visée de notre travail est l’analyse des processus inconscients développés au sein du groupe. Le psychodrame au cours des séances d’analyse de groupe permet une approche complémentaire des scènes psychiques actualisées dans la situation de groupe. Pour ceux qui sont engagés, ou ont été engagés, dans une psychanalyse individuelle, il s’agit d’un autre mode d’approche et d’une remise en chantier des acquis de leur analyse ;
les participants dans un groupe de formation au psychodrame viennent avec une demande de formation. La prégnance de ce désir fait l’objet d’un questionnement au cours d’entretiens préliminaires où il s’agit de décider de la réponse à donner à cette demande de formation. Par ailleurs, son analyse en cours de groupe, au moment où ce désir peut se révéler moteur et/ou obstacle à la démarche entreprise, s’avère fructueuse dans la perspective de l’éventualité d’une pratique thérapeutique. »
rien à voir avec votre groupe sanguin
https://www.cairn.info/revue-de-psychotherapie-psychanalytique-de-groupe-2007-1-page-53.htm
le but du psychodrame n’est pas d’être connu-e :c’est celui -entre guillemets-avancé par MONTAIGNE dans ses essais dit-il
la méthode du psychodrame s’offre comme une voie/une voix de résistance.
Celle du jeu, du plaisir du jeu, de l’empathie, même si c’est pour se mettre en contact avec des vécus douloureux, des problèmes complexes, des deuils difficiles. Elle se propose comme une amie transversale aux théories, aux techniques, aux outils. Elle permet, par le jeu, de se mettre davantage en contact avec soi, comme thérapeute, enseignant, coach pour mieux rejoindre son patient/son client.
Depuis la nuit des temps (dans la tragédie grecque par exemple), la représentation scénique et le jeu rituel autour des difficultés, des problèmes et questions qui nous touchent, font partie de notre humanité. Un psychiatre, J.L.Moreno, au début du 20ème siècle, en fait une méthode thérapeutique dont les principes de base sont la spontanéité, la présence et la participation empathiques de spectateurs-acteurs, ainsi que la conduite de la séance par un meneur de jeu. Il la baptise « psychodrame ».
Cette méthode convient tant à des buts thérapeutiques que pour former des professionnels à la relation d’aide, à l’animation de groupes, à l’exploration en groupe de questions familiales, pédagogiques, éducatives, sociales.
http://www.mieux-etre.org/Faire-l-experience-du-psychodrame.html
Phil dit: à
certes dear Christiane, l’anticléricalisme viscéral de Dame Clopine restera un des nombreux mystères du prestigieux blog à passouline.
Amors que c’est le plus beau passage de Cyrille avec les candélabres devant les vitraux de la cathédrale de Saint Flour. Et la musique sacrée. Tout le monde se la boucle.
Clopine.
Jazzi.
moreno:le roumain selon wiki
Moreno entame des études de philosophie avant de s’orienter vers la médecine1. Il se consacrera également au théâtre et mettra ultérieurement en scène ses fantasmes personnels et les pathologies de ses patients, ce qui lui permettra de jeter les bases du psychodrame2. En effet, lors d’une séance pendant laquelle une actrice était invitée à jouer ses problèmes de couple, Moreno découvrira les effets bénéfiques de la catharsis : « Les scènes de théâtre font disparaître les scènes de ménage », observe-t-il3. Ces observations sont étroitement liée avec la psychanalyse. À cet égard, il rencontre brièvement Freud en 1912, à la sortie d’un cours sur les rêves télépathiques, mais le courant ne passe pas entre les deux hommes. Moreno aurait déclaré : « Et bien docteur Freud, je commence là où vous vous arrêtez. Vous rencontrez les autres dans le cadre artificiel de votre cabinet, je les rencontre chez eux, ou dans leur milieu habituel. Vous analysez leurs rêves, j’essaye de leur insuffler le courage de rêver encore. » 4.
Dès 1913, il commence à s’intéresser aux populations défavorisées. Il aide notamment les prostituées de Vienne à s’organiser et à se prendre en charge collectivement5.
En 1917, il devient médecin à Vienne et exerce pendant la Première Guerre mondiale de 1914-1918 au sein du camp de réfugiés sud-tyroliens de Mittendorf an der Fischa (Gramatneusiedl, en Basse-Autriche). Cette expérience initiera les fondements de la sociométrie : il essayera de regrouper des réfugiés par centres d’affinités et d’intérêts, ce qui les aidera à mieux survivre et à surmonter leur détresse affective.
Après la guerre, il est médecin du travail pour la municipalité de Vienne, ainsi que dans une usine de textiles, la Kammgarnfabrik. Il soigne gratuitement les patients à Bad Vöslau de 1918 à 1924. Il fréquente aussi assidûment les cafés de Vienne et crée en même temps la revue Daimon (1918-1922), à laquelle vont collaborer notamment Max Brod, Martin Buber, Arthur Schnitzler, Franz Werfel, Oskar Kokoschka, Alfred Adler.
moreno
En 1936, il travaille comme médecin à New York puis à Beacon, à l’hôpital puis en libéral. Il crée une clinique psychiatrique privée dotée d’un théâtre thérapeutique avec l’aide de Gertrude Franchot Tone et travaille avec la sociologue Helen Jennings sur les regroupements de prisonniers par affinités. Il crée la maison d’édition Beacon House et publie des articles sur la théorie des rôles et de la spontanéité créatrice. Il assure des enseignements à l’université de New-York[Laquelle ?] et donne des discours et des conférences. Il élabore sa théorie du psychodrame humaniste.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à la suite du 2e Congrès international de criminologie de Paris qui se tient en octobre 1950 en même temps que le Congrès international de psychiatrie, Moreno se rend à Paris, invité par Juliette Favez-Boutonier, responsable de la section de psychothérapie de ce congrès de psychiatrie. Il prend des contacts, surtout avec des psychanalystes, fin 1950 et avril 1951, en vue de regrouper ceux qui s’intéressent aux méthodes de groupe.
Il fonde le « Conseil international de psychothérapie de groupe » et organise des rencontres entre praticiens de ces nouvelles sciences, ainsi qu’avec les sociologues Georges Gurvitch, Jean Stoetzel… Pendant plus de vingt ans, il participera à de multiples congrès (psychothérapie de groupe, psychodrame, sociométrie…).
En 1967, la clinique de Moreno, à Beacon, ferme ses portes mais les séminaires de formation continuent durant plusieurs années. En 1973, il fonde l’« Association internationale de psychothérapie de groupe » (IAGP). Moreno était l’époux de Zerka T. Moreno (1917-2016), également psychothérapeute, avec laquelle il a longtemps travaillé.
DHH
Le conditionnel est un mode mal nommé ,il devrait s’appeler éventuel ;c’est le mode du POSSIBLE par opposition a l’indicatif qui est le mode de la chose REELLE et le subjonctif qui est le mode de la chose PENSEE ;
Avec ce sens indiquant le possible il a en conséquence plusieurs valeurs grammaticales
1)Verbe principal d’une phrase conditionnelle ;si tu venais ,je SERAIS heureuse
2) fait qu’on rapporte avec des reserves :le coronas virus TUERAIt moins que la grippe
3) les situations imaginaires :on va jouer :je SERAIS la pricesse
4) le futur dans le passé (dont le locuteur ne peut affirmer qu’il s’est realisé) :il m’a dit qu’il VIENDRAIT le lendemain
5)enfin pour ajouter un effet d’atténuation a une affirmation :Je VOUDRAIS je POURRAIS ,je PENSERAIS plutôt que …
Tel est le point de vue de quelqu’un qui ne connaît qu’une langue mais s’efforce de bien la connaître
Merci DHH
pris sur wiki:elle a été un best seller:
Anne Ancelin Schützenberger naît le 29 mars 1919 à Moscou. Elle grandit à Paris où elle obtient son baccalauréat mathématiques et philosophie, puis elle s’inscrit à l’université, en droit, puis en psychologie3.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle participe à la Résistance. Sa maison est incendiée par des soldats allemands le 6 juin 1944 dans le centre de la France3.
En 1948, elle épouse Marcel-Paul Schützenberger. Le couple a un enfant en 1950.
En 1950, elle reçoit une bourse Fullbright pour se spécialiser en psychologie sociale et dynamique des groupes aux États-Unis pendant trois ans. De 1951 à 1952, elle participe à plusieurs stages à l’Institut Moreno (Beacon, New York). Elle obtient le diplôme américain « TEP » (Trainer Educator and Practitioner) et le diplôme Director of Moreno Institute.
Elle réalise une analyse avec Robert Gessain, puis avec Françoise Dolto et se forme au psychodrame avec Jacob Levy Moreno3.
Zurbarán, Nature morte aux citrons :
ma kiné qui travaille en institution et a des ami-es âgées , et des enfants me parle parfois de son livre qu’elle tient de ses parents, enseignants;elle ma kiné ,très chrétienne -et qui va a la messe sic, elle me l’a dit un jour par hasard- a toujours sa mère, qui est très active
@ dirfil et DHH : l’anticléricalisme viscéral de CT restera un des nombreux mystères /// sa posture conformiste de féministe radicale gaucho-ecolo, /// etc.
Je ne voix pas en quoi il y aurait en soi « mystère » à propos de telles convictions desquelles je me sentirais plutôt proche.
Mais la question n’est évidemment pas là non plus. La « posture » fait question… si de telles valeurs conduisent au fanatisme, bien évidemment. Est-ce le cas chez cette créature un brin lourde, engluée à Lubrizol-ambré ?
son livre: celui d’anne ancelin aïe mes aïeux:c’est un classique aussi!
renato, merci pour les citrons! vous savez bien que j’en raffole , à sucer, pour me nettoyer les mains et les ongles;pas trop dur, pour vous le corona?
SOYEZ PRUDENT,pas de témérité avait une fois dit P.Assouline
« Vous devriez être content et alii. »
rose et Christiane, qu’est-ce qui vous fait dire qu’et alii est un homme ?
Clopine adore émettre des hypothèses d’interprétation sur les motivations d’auteurs qu’elle a lus ou pas. Elle dispose de deux boutons: sexualité et domination sociale. Suivant l’humeur elle appuie sur l’un ou sur l’autre et la réponse jaillit, aussi simpliste que prévisible.
JB est un peu comme elle, sauf qu’il n’a qu’un bouton: sexualité.
Je ne voix pas en quoi il y aurait en soi « mystère »
mais si, dear JJJ. where does it come from ? Viol, rencontres weinsteiniennes ? Dame Clopine bouffe du curé comme une bolchévik, ça pathologise.
prenez la marie sasseur, qui se met à baver après l’apéritif..un autre mystère !
Cette histoire d’amour contrarié par la vocation religieuse me fait penser aux « Deux Etendards » de Rebatet. J’en ai lu un peu plus de cent pages puis j’ai abandonné.
DHH se souvient peut-être des grandes lignes de l’histoire ?
» j’en raffole , à sucer »
A l’unanimité du jury, le prix citron* est attribué à et alii !
*Le prix Citron. Événement mondain parisien toujours très attendu à partir des années 1950, le prix Citron est décerné chaque année à une célébrité réputée pour son supposé mauvais caractère.
Jazzi
Pck moi j’l’m bcp et cui pas lesbienne.
Si et Lalie l’est une femme, l’a ses règles parce que souvent les nerfs. L’est vénère.
Si El Ali l’est un homme, j’ai toutes mes chances, ce qui me change de mon four banal.
« JB est un peu comme elle, sauf qu’il n’a qu’un bouton: sexualité. »
C’est la faute à Freud, closer !
Et toi, quels sont tes boutons ?
son supposé mauvais caractère.
supposé! croyez vous que je doive m’y essayer pour avoir le prix? J’aime les oranges aussi,et les kiwis !
Il y a longtemps qu’et alii n’a plus ses règles, rose !
« croyez vous que je doive m’y essayer pour avoir le prix ? »
A condition d’être célèbre, et alii !
, l’a ses règles parce que souvent les nerfs
ça c’est un préjugé d’antan! et puis croyez-vous cher ange que je vais avoir un enfant pour rire comme Sarah(O.K. C4EST LE JOUR D4Esther,mais il y a un rapport numérique 127 et vlan D)
J’ai tout un clavier JB!
Le premier c pas l’bon. S’appelle Les Camoëns (sssss).
Alors, au pied du Garlaban dans un décor féerique, hauts pins, falaises calcaires, ai pris la route de la Germaine puis celle de la Treille.
Quand on entre, c’est la première couverte de fleurs de cailloux et d’une sculpture en galets géniale.
Inscrit
MARCEL PAGNOL
1895-1974
FONTES AMICOS
UXOREM DILEXIT
J’y suis.
Mon Marcel.
VOUS SAVEZ? J.B.
mon fils enfant disait à ses copains et ses copines
« ma mère, elle ne me gronde jamais, je la fais rire avant! »et ce n’était pas faux
Tout en bas du tombeau , recouvert de fleurs et de cailloux
ET LES SIENS
À droite un gros caillou en coeur :
Dessus inscrit
GRATIAS
TIBI VALDE,
TE AMO.
D.B.
@ la marie sasseur, qui se met à baver après l’apéritif..un autre mystère !
Un autre mystère ? que nenni !… C’est l’renato qu’a fini par la rendre alcoolo avec ses jeans toniques ritaliens 🙂 Trop fort… Depuis qq temps, havons une paix royale le souar !… Dessoule pu au darkweb…
Marcel Pagnol aussi n’avait qu’un seul bouton, closer :
« Quand le rideau se lève, la question est : baiseront-ils ? S’ils baisent, c’est une comédie ; s’ils ne baisent pas, c’est un drame. »
Quid des tombes de Jean Giono et d’Henri Bosco, rose ?
Citron, excellent exégète de Balzac. Hessel dirait, Pressez-vous
@ ce qui me change de mon four banal.
Je voudrais pas dire, mais la banalité du four, c’est pas comme la banalité du mal chez Hannah Arendt…
L’est vraiment très mauvaise, et limite, je sais… mais c’est etaline, le troll d’une vieille copine juive sans règles et sans morale qui me l’a soufflée. Hein ?
Jazzi dit: « rose et Christiane, qu’est-ce qui vous fait dire qu’et alii est un homme ? »
Pour Rose, je ne sais.
Jazzi, les blogs (et peut-être les réseaux) sont un terrain propice pour certains au changement de personnalité (Chaloux intellectuel cultivé, musicien passionné / commentateur souvent vulgaire).
Par ailleurs, la plupart des pseudos sont asexués. Seule l’écriture, les accords de participe passé, les dires sur le mode confidence (femme- mari – compagnon ou compagne – enfants, etc…) sont des repères qu’il nous appartient de saisir comme reflets de la réalité ou pas.
Et à vrai dire, cela m’est indifférent.
Plus intéressant est la part féminine chez un homme et la part masculine chez une femme, les désirs non aboutis qui provoquent des fixations dans le langage (ex : homosexualité chez certain(e)…)
Quant à Et alii, c’est tardivement que cette personne sous pseudo a déclaré être une femme. Au moment précis ou beaucoup se demandaient si ce n’était pas sous un nouveau pseudo (il y en a eu tant) de WGG qui avait disparu du fil des commentaires.
Là, le ton avait changé et nous étaient proposés enfants et famille d’une façon prolifique.
Ce qui m’a conduite dès le début à ressentir intuitivement le passage de WGG en Et Alii. Ce sont des références intellectuelles en matière de philosophie et de littérature mais sous une forme nouvelle qui m’ont confortée dans cette impression, puis étonnée. Les longs commentaires de WGG qui faisaient mon admiration, ses marottes aussi (Heidegger) avaient disparu, remplacés par des citations, des liens.
Une grande curiosité intellectuelle aussi.
Une grande prétention également (tout savoir sur tout et en majesté !).
Une fixation sur la Shoah dont les deux se pensaient les seuls dépositaires.
Un foutu caractère. L’injure facile.
Mais je pouvais dialoguer de temps en temps avec WGG. Avec Et Alii, c’est peine perdue.
Si l’un est l’autre, une maladie aura amoindri et rendu confus le deuxième. Ça fait mal au cœur toute cette incohérence pétrie de tant de savoir.
Mais, Jazzi, je ne cherche pas à savoir, ni à avoir des preuves. Je continue seulement à m’adresser à Et Alii comme je le reçois : un homme… misogyne, misanthrope, savant et fou.
Je te trouve bien plus sain avec ta calme présentation d’homosexuel fidèle à son ami mais… je te trouve fatigant à vouloir à tout prix voir un homosexuel sous chaque homme qu’on évoque ici (écrivains- cinéastes – artistes…)
« Citron, excellent exégète de Balzac »
Et de Giono, Phil !
« Quand le rideau se lève, la question est : baiseront-ils ? S’ils baisent, c’est une comédie ; s’ils ne baisent pas, c’est un drame. »
Et s’ils baisent en groupe, c’est un psychodrame, me souffle et alii !
« je te trouve fatigant à vouloir à tout prix voir un homosexuel sous chaque homme qu’on évoque ici (écrivains- cinéastes – artistes…) »
Et pourtant, en tant qu’homo, Christiane, je m’empêche !
« la banalité du four » c’est un détail de l’histoire de rose, JJJ !
Mais au juste, qu’est-ce qu’il a prouvé Magellan (sur le billet d’à côté) ?
Phil-opede doit confondre avec ses habitués du piconbiere, qui squattent ici, le râtelier mal lavé.
Inutile de supputer. La vérité est plus simple: vous m’ennuyez tous ( les vieux branleurs de la rdl) à mourir, je passe vite fait, et surtout surtout : vous ne manquez pas a mes journées. Ça va mieux ?.
Franchement entre nous, si vous faites preuve d’un minimum d’honnêteté, vous pensez vraiment que si toutes les religions disparaissaient demain le monde s’en porterait plus mal?
Pierre Citron est enterré à Montjustin, un petit village du Lubéron, redécouvert par Jean Giono, où Cartier-Bresson, cher à Passou, est également enterré.
Maison à vendre !
https://vimeo.com/387220946
Jazzi dit: à
« Citron, excellent exégète de Balzac »
Et de Giono, Phil !
« Quand le rideau se lève, la question est : baiseront-ils ? S’ils baisent, c’est une comédie ; s’ils ne baisent pas, c’est un drame. »
Et s’ils baisent en groupe, c’est un psychodrame, me souffle et alii !
Excellent
😂🤣😅
c’est ça, ALMS… continue à décuver en jetant un œil de temps à autre icite, défoiq. Tu nous ennuies. Reste là-bas, au DKWB du grand paradis blanc, tu verras qu’on y est pas.
Sais parfaitement à quoi m’en tenir sur l’histoire du four banal de rôz. Inutile de devenir grossier, en +, jzmn. Méditez Ch., elle a raison, comme souvent, un brin.
« Le féminisme est une cause primordiale aujourd’hui, pour laquelle il faut agir, aussi bien dans sa vie que dans les lois et les institutions. On a trop longtemps considéré avec indulgence le harcèlement ou le viol. Cela n’est pourtant pas une raison pour faire et dire n’importe quoi. Il est catastrophique pour cette cause qu’elle soit confisquée par une poignée d’activistes qui la déshonorent. Au premier rang desquelles celles qui ont manifesté contre Polanski, notamment Adèle Haenel, Florence Foresti et Virginie Despentes. Bien entendu, Plenel applaudit, chaque fois qu’il y a une saloperie à soutenir, il est là. Quant aux Diafoirus qui signent des tribunes dans « Libération », genre Preciado, on explose toutes les limites du grotesque pseudo-intellectuel. Je m’étonne aussi de la teneur de la chronique plus que discutable consacrée à cette affaire, sur ce site, par Elisabeth Philippe, que son grenier regorge de grain, que sa barbe soit fluviale (oups, non). Donc.
Virginie Despentes, les César et le retour de bâton
1° Je réaffirme ici, comme pour l’affaire Matzneff, qu’un artiste qui commet un méfait, et notamment un crime aussi grave qu’un viol, doit répondre de ses actes devant la justice. Pour autant, le censurer en tant qu’artiste, lui refuser des prix ou des récompenses, c’est ouvrir la voie à tous les débordements possibles contre la liberté de création. L’histoire de l’art grouille de salopards qui ont aussi été de grands artistes, et la morale n’a pas à s’immiscer dans la création. Adèle Haenel a déclaré que Céline était son auteur préféré. Céline appelait à tuer les juifs, ça n’a pas l’air de lui poser problème. Faudrait savoir. Peut-on séparer l’homme et l’œuvre pour certaines causes, et pas pour d’autres ?
2° Supposons que l’on néglige ce premier argument. Si l’on parle de l’homme Polanski, que lui est-il reproché ? En 1977, il a été reconnu coupable aux Etats-Unis d’une relation sexuelle avec mineure (relation sexuelle facilitée par la prise de drogues, que l’on pourrait qualifier de viol, mais ce chef d’inculpation n’a pas été retenu) en 1977. Il a été condamné à une courte peine de prison, qu’il a purgée. La victime demande depuis longtemps qu’on cesse de le poursuivre avec cette affaire. Le féminisme consisterait donc à considérer que la prescription n’existe jamais ? Que le pardon n’existe jamais, quarante-trois ans après les faits, même contre la volonté de la victime elle-même ? Elle est impitoyable, votre justice, elle ressemble plus à une justice totalitaire qu’à une justice démocratique. Quarante-trois ans après, on ne peut pas foutre la paix à un homme de quatre-vingt-sept ans ? Le vieillard doit subir jusqu’à sa mort l’opprobre d’un acte commis quand il avait quarante ans ? Et puis quoi ? Il faudra aussi aller cracher sur sa tombe
3° Oui, mais ça n’est pas tout, plusieurs femmes l’accusent de viol. Deux remarques : d’abord ces accusations portent également sur des faits qui auraient été commis il y a plus de quarante ans, donc prescrits. Ensuite, même si on considère qu’on a trop longtemps négligé la parole des femmes victimes de viol, une accusation n’est pas une preuve de culpabilité, sinon, là encore, notre justice sombre dans l’arbitraire. Je cite une tribune publiée au sujet de l’« affaire Polanski » dans « Le Monde » par plus de cent femmes, toutes avocates pénalistes. Cent femmes, pas les gardiens du vieux monde et de l’« hétéropatriacat » :
« Aucune accusation n’est jamais la preuve de rien : il suffirait sinon d’asséner sa seule vérité pour prouver et condamner […]. Il est urgent de cesser de considérer la prescription et le respect de la présomption d’innocence comme des instruments d’impunité : en réalité, ils constituent les seuls remparts efficaces contre un arbitraire dont chacun peut, en ces temps délétères, être à tout moment la victime. […] Il est faux d’affirmer que l’ordre judiciaire ferait montre aujourd’hui de violence systémique à l’endroit des femmes ou qu’il ne prendrait pas suffisamment en considération leur parole. Nous constatons au contraire, quelle que soit notre place à l’audience, qu’une inquiétante et redoutable présomption de culpabilité s’invite trop souvent en matière d’infractions sexuelles. Ainsi devient-il de plus en plus difficile de faire respecter le principe, pourtant fondamental, selon lequel le doute doit obstinément profiter à l’accusé. »
C’est ça votre justice, c’est ça le monde nouveau que vous appelez de vos vœux, Despentes, Haenel, Preciado et consorts ? Toute accusation est une preuve, et aucune prescription n’est possible ? On a pratiqué ça, jadis. Ça s’appelait la loi de Lynch.
4° Certaines personnalités du monde du cinéma se sont rendues coupables d’actes qui s’identifient furieusement à des violences machistes, mais là, curieusement, vous ne dites rien. Ladj Ly, au même festival de Cannes, a été récompensé par le prix du jury. Il a été condamné en 2012, en appel, à trois ans de prison ferme pour enlèvement et séquestration. Il s’agissait de punir un homme qui aurait eu des relations avec la sœur d’un de ses amis. Une femme, ça se surveille, ça n’a pas le droit d’avoir des relations sexuelles qui déplaisent à son frère. Elle a d’ailleurs été lourdement battue par celui-ci. C’est pas du bon patriarcat, ça ? Et c’est tout frais, ça n’a pas quarante-trois ans, les faits remontent à 2009. Mais là, pas de manifestations, pas de vannes bien dégradantes de Florence Foresti, pas de claquage de porte, pas de tribune dans « Libération ». Pourquoi ? Joey Starr a été condamné à la prison en 1999 pour avoir cassé le nez d’une hôtesse de l’air ; la même année 1999, puis en 2009, il est condamné à de la prison ferme pour violences conjugales. Il a remis des Césars, il a été nommé pour des Césars. Où étiez-vous ? Où étaient vos indignations et vos tribunes ?
5° Après le massacre de Charlie, Virginie Despentes a publié dans « les Inrockuptibles », comme le rappelle ici Elisabeth Philippe, pour l’en excuser et dire qu’on y a rien compris, un texte où elle exprime son empathie pour les victimes et pour les tueurs :
« J’ai été “Charlie”, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser leur visage. J’ai aimé aussi leur désespoir. »
« Je les ai aimés pour leur maladresse – quand je les ai vus les armes à la main semer la terreur en hurlant “On a vengé le Prophète”. »
C’est beau, cette faculté d’empathie, cette manière généreuse de mettre sur le même plan les victimes et les tueurs. Il y a du bon des deux côtés (ah, « mourir debout plutôt que de vivre à genoux » !) et du mauvais des deux côtés. ça me rappelle l’immortelle réplique d’OSS 117 dans « Rio ne répond plus » : « Juifs, nazis, il y avait des torts des deux côtés, non ? » Mais cette merveilleuse capacité d’empathie, qui fonctionne pour des tueurs fanatiques religieux, ne s’applique donc pas à Polanski ? Et pourquoi ? Il a fait pire ? Il ne mérite aucune empathie, lui ? Là encore, il faudrait savoir, vos belles convictions si fortement proclamées me paraissent à géométrie variable.
6° Les frères Kouachi avaient des circonstances atténuantes, pauvres gamins de banlieue victimes du racisme et tout ça. Polanski, pas de circonstances atténuantes ? Rien ? Sa mère est morte en déportation quand il était gamin, son père était en camp de concentration, il a connu le ghetto de Cracovie et l’errance en Pologne occupée à l’âge de dix ans, quand il en a trente-six sa femme, près d’accoucher de leur enfant, se fait massacrer, mais votre justice, qui ne connaît ni le pardon, ni la prescription, ni la présomption d’innocence, ne lui accorde non plus aucune circonstance atténuante. On a vraiment envie de vivre dans un monde régi par votre justice de meute.
L’art n’est pas là pour nous faire la morale, par Pierre Jourde
Alors pourquoi ? Pourquoi Polanski coupable, totalement et à jamais, sans empathie, sans rien, et pas Céline, ni Joey Starr, ni Ladj Ly ni les Kouachi ?
Il y aurait bien une réponse, et elle serait évidente à donner, si on raisonnait comme vous et vos amis, par amalgames, raccourcis, généralisations abusives et décrets sans appel. Céline n’a jamais appelé qu’à tuer qu’à tuer des juifs, n’est-ce pas. Et un petit juif qui a réussi, quel merveilleux bouc émissaire. Vous voyez comme ce serait facile ? Comme ce serait facile de gueuler, de signer des tribunes incendiaires et de claquer des portes, en dénonçant votre meute à qui il fallait un bouc émissaire, un juif.
Mais on ne le fera pas, parce qu’on refuse d’être aussi péremptoire, aussi impitoyable et aussi stupide que vous. Vous n’êtes heureusement pas le monde qui vient, vous n’êtes que les scories et les ratés du féminisme, du vrai, qui ne se reconnaît pas dans les caricatures terrifiantes que vous en donnez. »
Pierre Jourde.
Four banal
Cf Faire un four ; à l’opposé de faire un tabac
Banal moyen-âge : four collectif.
Jeux de mots pour gens bêtes.
——-
Conversation 45 mn au cimetière. Je sais tout sur Pagnol.
Je vais manger d’abord.
Salade patates echalotes saumon frais cornichons.
Miam.
Passou, bonjour.
Moi j’attends un p’tit kekechose sur Ramuz, suite à la réédition de son voyage à Paris.
Pour les municipales, une fois ?
https://evenements.payot.ch/evenement/pierre-assouline-geneve-rive-gauche/
à Et Alii comme je le reçois : un homme… misogyne, misanthrope, savant et fou.
c’est tout, rien que ça, avec mon pseudo pluriel?
sur ce blog il faudrait bête !
bête comme le catoblepas que j’ai vu de retour!
c’est quand même assez mal vu parce qu’on n’est pas misogyne parce qu’on ne relève pas toutes les calomnies intéressées d’une instit en mal d’intimité ,ou d’accusations de racisme parce qu on ,n’a pas frayé avec tous les sepharadim qu’on a connus!
allons oui, je suis raciste, je n’aime que ce qui n’est pas « comme » , j’ai trop à faire pour rediscuter mon intimité! et quant aux savoirs, you know, ça ne me mets pas en état second;je choisis,moi aussi, sans donner de notes et de bons points:là où j’ai fréquenté en primaire, il n’y avait que le tableau d’honneur et « la croix »un jour, j’étais malade et je ne voulais pas être absente, on m’a dit, la croix tu l’auras sur le ventre:je n’ai pas compris alors mais on m’a expliqué! donc les bannières et fanions, et chiffons rouges , et arènes ne m’excitent pas plus que les jolis culs des toreadors de tous les sexes
et de toutes les confessions :plutôt lire Leiris!
sur libé:LEIRIS PAR LES CORNES
Par Mathieu Lindon
Rose, vous avez parfaitement raison : le passage, dans le documentaire Cyrille, où il allume un cierge est particulièrement émouvant. Mais comme tout le film est émouvant…
Et puis, vous savez, ce doit être mon penchant caricaturalement anticlérical (mais ici, je me mange tant de propos caricaturalement anticlopiniens que baste, hein !), mais je n’ai pu m’empêcher, à ce passage du film, de trouver Cyrille bien angélique, de croire ainsi à la vertu d’un lieu dirigé par un clergé qui a pour dogme… La condamnation sans ambiguïté de l’homosexualité (même s’il paraît que Rome n’est qu’un repère de vieux homosexuels méprisant ouvertement les femmes), et qui se mêle sans arrêt de ce qui se passe sous la ceinture… Contradiction, quand tu nous tiens.
Mais MERCI A VOUS, Rose, d’avoir apprécié le film après avoir fait l’effort d’aller le voir. J’appréhendais tant vos retours, à Jazzi et à vous.
Dire à Jourde que, pof, ça y est, il a franchi le point Godwin, et fait l’amalgame entre féminisme et antisémitisme (faut le faire). Et s’il le positionnait en tant que militant, peut-être priviligierait-il les actions les plus « porteuses », les plus « médiatiques », celles qui ont le plus de chance d’avoir un retentissement immédiat et le plus répandu possible ? Joey Starr est connu en France, le réalisateur des « misérables » est particulièrement hexagonal : rien à voir avec la renommée international de Polanski.
Et ce « calcul » s’avère particulièrement pertinent, à voir le ramdam que cela fait. Faut qu’elles continuent ainsi, les filles, même s’il est légitime de se poser la question « si la fin justifie les moyens »…
Où ai-je été grossier, JJJ. Et je n’ai pas besoin de Christiane pour m’éditer !
Pas faux, le Pierre Jourde. D’où la consécration de son « J’accuse » par les hommes et les femmes de bonne volonté…
Ce qui est surtout triste, c’est que le Cyrille, quand il parvient à économiser trois sous, il les investit aussitôt dans un bouquet de fleurs artificielles, blanches, les fleurs, pour le porter sur la tombe de sa petite maman !
Jazzi dit: à
Mais au juste, qu’est-ce qu’il a prouvé Magellan (sur le billet d’à côté) ?
Que la terre est ronde mais surtout qu’il y a un passage pour aller d’un océan l’autre.
Il a trouvé ce qui se nomme le détroit de Magellan au-dessus du Cap Horn et de la Terre de Feu.
Sous la Patagonie, (Argentine) et la cordillère des Andes et les fjords(Chili).
Ouaip.
70 euros.
Tombe déjà bien fleuri. Mais il a le blues.
bien fleurie
« il a le blues »
Un peu trop mortifère, le blues, hélas, rose !
@de nota
merciJe suis certaine qu’il y en a beaucoup ici qui se sont reconnus dans cet impeccable texte de Jourde et qu’ils auraient aimé l’avoir écrit, qu’il s’agisse du message qu’il veut transmettre comme de l’irréfutable argumentation sur laquelle il repose .
Il est intéressant en particulier de noter que Jourde croit utile d’ invoquer , pour d’ailleurs la récuser, l’explication de l’ostracisme subi frappant Polanski par l’antisémitisme . Sans doute, en écartant cette explication, a-t-il voulu marteler son message, à savoir qu’il convient de bien reconnaître dans le traitement réservé à cet immense cinéaste les effets du dévoiement monstrueux d’un féminisme bêtifiant, porté par des personnes abreuvées de cliches simplistes et mal digérés , qui se prennent a bon compte et sans risque pour des Pasionaria
Et, ce que montre aussi, et fort bien Jourde, par la a superposition de ce féminisme radical avec une autre mode idéologique relevant elle aussi du « politiquement correct ,ces militantes deviennent, au mépris de toute logique, sélectives dans leur sévérité et leur détestation , se montrant prêtes à toutes les indulgences, lorsque les méfaits quelles condamnent sans appel, sont le fait des « dominés »
Leur discours sont tissus d’idées toute faites, parfois incompatibles entre elles, mais chic et « dans le vent » : Mutatis mutandis on a là une réécriture des Précieuses ridicules
Non vous n’avez rien compris, degré d’empathie zéro. « Le féminisme est une cause primordiale aujourd’hui ». Vient de se réveiller, et encore si peu…
Et je n’ai pas besoin de Christiane pour m’éditer !
avez-vous jamais imaginé que l’inverse justement ait été rêvé ? Que vous apparaissiez, vous, J.B.comme le bon conseiller et « l’occasion » en quelque sorte de sauter le pas?
Bonne journée!(je veux le prix corokiwi)!
le devoir zacompli
clotorpommen et clopin fouilletrou
zont béa davoir zélevé clopinounours
zavec…………… leurs valeurs…….
bon zang
bon dieu
mais que fait la dassss
atrop tardé le zuze des tutelles ne pouraplus
ze zera du rezzor de la spa
Non, je n’imagine pas cela, et alii…
évidemment ,tout n’est pas « conscient »comme on dit mais vous n’êtes pas un « gamin » à ne pas savoir décider en votre for intérieur;
votre kiwi!
Ed, un autre film militant actuellement sur les écrans, que je n’ai pas cru bon de devoir aller voir cette semaine !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19587167&cfilm=276280.html
@ Jeux de mots pour gens bêtes.
C’est mon cas, la bêtise, parfois je reste 1st degree en banalité.
Et jzmn fait semblant de pas tjs kprdre les bipolarités et hybridations psycho-sexuelles. Que les névroses mystiques n’ont parfois rien à voir avec le sexe, contrairement à ce que croyait SDB.
Que ce coronavirus, qui est un réel et gros problème, ne detourne personne des objectifs prioritaires pour les Français : virer tant Macron que Hidalgo par tous les moyens légaux.
Remember.
Rappelez-le à ceux de votre entourage ayant la mémoire courte ou sujets à distraction.
C’est loin d’être inutile.
Et allez voter quoiqu’il arrive, même avec un masque chirurgical. Nombreux.
Que Philippe se prenne une belle veste à Rouen, aussi. Très important.
Remember.
Au Havre.
Remember 49.3
DHH, je réfléchissais hier soir au problème qui s’ expose et se manifeste. Pourquoi à l’avenir pour tenter de remédier à la « fetichisation »
d’un homme ne pas recourir aux mêmes règles qui régissent le monde politique quand un politique est déclaré inelligible . Pourquoi ne pas appliquer ce principe au monde de l’art et concernant la remise de prix, récompenses, distinctions, en englobant toutes natures des délits dont aient pu se rendre responsables les artistes. Une inéligibilité pas forcément définitive mais qui sanctionnerait un manquement à l’éthique que réclament les féministes. Ceci sans volonté de réduire à néant ce qui peut être retenu des revendications liées aux injustices et violences que trop souvent et de trop nombreuses femmes vivent encore aujourd’hui .
dhh
tréz indugente zavec clotrpomme
………..une certaine naïveté dans sa posture de féministe radicale gaucho-écolo………………..
mé comme moizé vouz la zuauvez des zeaux du fait de za ………..facilité d’écriture……………..
rézte kavec jourdedenota vouz voila kevouzerré les rangs doignons
é zoudain
feu zur le gauchoécolo radical antititique
pour zauver, zausi ridiculement quueue foresti le
voyeé tré petittt
………l’immense cinéaste…………………..
violanskiki
brefz
ne vouzauré pas zété plusimple de comprendre
dès ledébu zché clotopinne lezitance de
°°°°un certain .fanatisme. dans sa posture de
féministe..naïve..gaucho-écolo°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
zé a lécruiture navrante
lacan dizait
….l’hystérique est une esclave qui cherche un maître sur qui régner…………………………
zavé pas tort
°°°réver de régner zue le patriarcat blancoz,°°°°°°
°°° é zoulmise futur ezclave dé pseudo dominés°°°°°°°°°zopprimés mizérabliliz dé bosquets et monfermière°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
d
ne perdé paz de temps
on compte zur vouz pour la vacczin
ed
en fait zune condition
zzine qua non
zo printemps
mai moi de marie
pour votre union
Il y a pourtant une très bonne chose dans la future loi sur les retraites, D. : 1 000 euros au minimum pour tous !
Ceux qui ont vaillamment cotisés 30 ou 40 ans pour des caisses non deficitaires n’ont pas à se faire voler, Jazzi. Déjà que, volés, ils le sont déjà de tous côtés.
C’est aussi ça la justice sociale.
Et sans justice sociale pas de paix sociale.
Et sans paix sociale, pas de paix pour Macron et sbires.
C’est tout simple.
Oui, DHH.
Voilà ce que j’appelle de l’écriture ! Vous ne parlez pas pour vous écouter parler et admirer votre talent mais parce que vous avez VRAIMENT quelque chose à dire de vrai, de sincère.
Le passage le plus fort dans le texte de Jourde est, pour moi, ce rappel :
« 5° Après le massacre de Charlie, Virginie Despentes a publié dans « les Inrockuptibles », comme le rappelle ici Elisabeth Philippe, pour l’en excuser et dire qu’on y a rien compris, un texte où elle exprime son empathie pour les victimes et pour les tueurs :
« J’ai été “Charlie”, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser leur visage. J’ai aimé aussi leur désespoir. »
« Je les ai aimés pour leur maladresse – quand je les ai vus les armes à la main semer la terreur en hurlant “On a vengé le Prophète”. »
C’est beau, cette faculté d’empathie, cette manière généreuse de mettre sur le même plan les victimes et les tueurs. Il y a du bon des deux côtés (ah, « mourir debout plutôt que de vivre à genoux » !) et du mauvais des deux côtés. ça me rappelle l’immortelle réplique d’OSS 117 dans « Rio ne répond plus » : « Juifs, nazis, il y avait des torts des deux côtés, non ? » Mais cette merveilleuse capacité d’empathie, qui fonctionne pour des tueurs fanatiques religieux, ne s’applique donc pas à Polanski ? Et pourquoi ? Il a fait pire ? Il ne mérite aucune empathie, lui ? Là encore, il faudrait savoir, vos belles convictions si fortement proclamées me paraissent à géométrie variable. »
D’autres, ici, sur ce blog font aussi des amalgames dérapant. Pensez-y quand vous êtes sous le charme de certaine belle plume…
Drôle de conception de la justice sociale et de la solidarité nationale, D. !
Ça a l’air nul, jazzi. Le documentaire dont je parlais est bien mieux.
Une autre bonne chose dans les réformes actuelles, D., la suppression progressive de la taxe d’habitation…
on dirait une bonne nouvelle:
Des scientifiques du Laboratoire des maladies neurodégénératives (CNRS/CEA/Université Paris Saclay) et du Neurocentre Magendie (Inserm/Université de Bordeaux) viennent de mettre en évidence le rôle déterminant que joue une voie métabolique dans les troubles de mémoire de la maladie d’Alzheimer. Leurs travaux, parus ce mardi 3 mars 2020 dans Cell Metabolism, montrent également qu’un apport en acide aminé particulier, sous forme de complément alimentaire, restaure la mémoire spatiale atteinte de façon précoce chez des souris modèles de la maladie.
Le cerveau consomme une grande partie de l’énergie disponible dans notre organisme. Son bon fonctionnement repose sur une étroite coopération entre les neurones et les cellules de leur environnement, en particulier les astrocytes. La phase précoce de la maladie d’Alzheimer est caractérisée par une réduction de ce métabolisme énergétique, mais on ignorait si ce déficit pouvait contribuer directement aux symptômes cognitifs de la maladie d’Alzheimer.
Jazzi, sous prétexte d’une annonce, universel le système, des régimes spéciaux absolument autonomes, non déficitaires sont voués à cotiser 4 fois plus pour à le fin percevoir des nefles. Pourquoi epargner dans ce cas certains corps comme la police, les pilotes, les militaires? Parce qu’economiquement ils sont stratégiques , instantanément indispensables.
Je crois qu’Emanuel Swedenborg (une fois convaincu de ce que Dieu, le Christ, les anges et les dragons parlaient à sa raison onirique), se mit alors à interpréter ses rêves tout différemment qu’auparavant. Souffrant de narcolepsies, et dit-on, de la maladie du sommeil, inaugurant peut-être quelque chose comme une forme de schizophrénie (interprétation du XXe s.), quoiqu’il en soit, aux alentours de 1743-44, après l’épisode de sa grande Illumination, il entreprit d’interpréter systématiquement ses rêves avec la même rigueur qu’il avait étudié empiriquement les sciences de la nature. Et s’il bascula théosophe à ce moment de sa vie, « en allant à Dieu par la force de la science » (R. Boyer), ses rêves lui enseignèrent la nécessité d’explorer désormais à titre définitif le monde supra sensible et le surnaturel comme il avait étudié le monde matériel.
On perçoit bien alors les fragments de ses rêves progressivement diminuer au fur et à mesure de leur interprétation permanente entre deux plongées oniriques (signifie que…). Cette démarche est tout à fait fascinante et caractéristique,… analogue à la mienne depuis des plombes. Sans toute la chape de plomb de l’idéologie freudienne de bazar conduisit-elle à faire oublier Swedenborg, pourtant ce dernier resta solidement amarré à Descartes, n’en déplaise. De sorte qu’entre le 18e et le 21e s., d’évidence a circulé en nos rêves et en leur transcription quelque chose d’un invariant besoin d’autoanalyse chez les sujets disposés les prendre au sérieux sdans les confier à un imbécile assis derrière un divan. Le sexe défoulé, n’en déplaise à jzmn et autres CT, n’y est qu’accessoire, comme l’ont bien vu Onfray d’un côté, Lahire de l’autre,… pas autre chose de plus, comme chez ES, qu’une vulgaire tentation ou pulsion démoniaque auquel Dieu aiderait à mettre fin pour peu qu’on mette un peu de bonne volonté dans le ménage de son for intérieur (sic).
Au vu de la correspondance actuelle allii – jzmn, cela donne en effet ce type de boutons-pression : « vous n’êtes pas un « gamin » à ne pas savoir décider en votre for intérieur ».
C’est exactement ce que pensait Swedenborg, qui savait diriger ses rêves dans le sens qu’il estimait devoir plaire à Dieu pour parler aux classes éclairées de son temps, de plus en plus inquiètes de l’expansion du doute cartésien relayé par les Lumières.
—-
Ajoutons pour l’anecdote que le grand Suédois prédit et annonça deux mois à l’avance la date exacte de sa mort à Londres à John Wesley, le chef des méthodistes, c’est-à-dire le 29 mars 1772, jour où « il rendit l’esprit ».
———
Si vous voulez à tout prix du sexe, sachant la rdl avide et prude en ces sujets, en voici un assortiment non représentatif :
(22-23 avril 1744 – Rêves pénibles : de chiens qui disaient être sans compatriotes et qui me tétaient le cou sans me mordre : de plus, comment je voulus copuler avec deux d’entre eux sans parvenir à éjaculer. Le matin, je sombrai dans d’affreuses pensées, comme le jour précédent : le Malin m’avait pris, avec la consolation toutefois qu’ils restait au dehors et me lâcherait bientôt. Alors que j’étais dans des pensées condamnables, les pires qui se pussent trouver, au moment même, Jésus-Christ s’imposa fermement à mes yeux intérieurs et je fus investi de l’action du Saint-Esprit, si bien que je pus en déduire que le diable était parti.. Le jour qui suivit je fus assailli de temps à autre par de doubles pensées et en lutte, après le dîner j’eus l’esprit calme pour la plupart et pensai à Dieu, bien que ce fût dans l’ordre temporel ; je voyageai alors jusqu’à Leyde ».
____________
J’ignore si MC pourra apporter quelques précisions féministes supplémentaires sur tous ces points. Je l’espère. Mais je voudrais bien le remercier de m’avoir utilement aiguillé. Bien à vous,
J J-J
Question oiseuse mais dépourvue de méchanceté :
Je me suis demandé, Clopine, comment vous auriez réagi si, par exemple, l’attribution des bourses de recherche avait été affectée par une exigence de parité hommes/femmes et qu’on avait dit à votre fils : « nous sommes désolé-e-s, votre sujet de thèse était fort intéressant, votre démarche semblait solide, mais là il nous fallait une femme, nous avons déjà trop d’hommes. »
Entre amour maternel et légitime fierté d’une part et militantisme revendiqué de l’autre… Auriez-vous accepté de gaieté de cœur le sacrifice (lourd de conséquences) du Clopinou pour l’avancement de la cause ?
Et puisqu’il s’agit seulement d’un exercice de pensée, poussons la supposition jusqu’au bout : même si les aptitudes de la personne qui aurait causé, certes involontairement, son élimination (mais en aurait néanmoins bénéficié) ne vous paraissaient pas (non plus qu’à ses pairs) particulièrement éclatantes ?
On peut imaginer d’autres situations (Clopin et/ou Clopinou veu-len-t faire de la politique et figurer sur une liste verte, seront-ils en position éligible ?)
On peut aussi (car le problème ne se limite pas au « féminisme » compris comme communautarisme) faire varier les catégories de répartitions des places, des quotas :
— race caucasienne ou non
— religion déterminée en fonction des origines et absence de places réservées aux libres penseurs, voilà le Clopinou classé catholique par défaut
— genre
— orientation sexuelle
pas de bol, il ne coche pas les bonnes cases (certes créées dans un souci de compensation), et il ne peut compter que sur son intelligence et son travail. Mais il jouit de tels privilèges par ailleurs, n’est-ce pas, que personne ne pleurera sur son cas (en dehors de sa famille et de ceux qui le connaissent personnellement, l’apprécient et savent bien que ces catégories ne le définissent pas).
Au fait, avez-vous lu le Chevillard du jour ? ça va dans le même sens, l’humour en plus.
P.S. ou N.B. Vu de loin et sans connaissance particulière du milieu, il me semble que si l’on parle de pouvoir dans le monde du cinéma, il se situerait davantage du côté des producteurs (des distributeurs ?) que des réalisateurs.
P.P.S. ou N.B. 2 J’ai découvert l’existence de la « tendance » en même temps que son appellation (dans un roman, Envoyée spéciale de Jean Echenoz, où il s’agissait d’un homme, un dignitaire nord-coréen) : starfucker / STRFKR (c’est aussi un groupe).
Les deux vieilles almées à leur Pépère recommencent à se gourmer pour savoir laquelle des deux remporte la médaille catégorie « danse du ventre ».
Moi je dis : tout le monde a gagné!
Hurkhurkhurk!
Moi je ne suis pas d’accord avec le texte de Pierre Jourde pouŕ une raison bien simple.
Il reprend, par A + B l’argumentaire de Polanski lui-même qui l’a poussé à réaliser J’accuse. Pas vu encore.
Rien des actes monstrueux de Polanski n’a à être relié à sa judéité.
C’est vrai, gare aux amalgames.
Puisque le précédent Charoulet autorise à citer d’autres blogs pour l’édification de celui-ci, je vous propose ce texte de Jérôme Leroy (dans la catégorie « Si si, les bolchéviques ont de l’humour »)
Séparatisme: soutien total à Emmanuel Macron
Merci, président Macron, de vous lancer dans cette lutte contre le séparatisme d’une partie de la société française !
Depuis combien de temps gangrènent-ils le vivre ensemble, ces gens qui sont surtout français par leurs papiers mais obéissent d’abord à leur propre Dieu et vont le célébrer en pèlerinage dans de petites îles lointaines ? Ces gens qui se sentent plus proches d’étrangers qui croient au même Dieu qu’eux plutôt que de leurs propres concitoyens qu’ils ne veulent plus voir, qu’ils considèrent même comme des ennemis ?
Depuis combien de temps n’envoient-ils plus leurs enfants dans les écoles publiques mais dans leurs propres établissements scolaires où leurs rejetons se retrouvent dans un entre-soi toxique, protégés de l’extérieur, pour célébrer des valeurs opposées à la liberté, l’égalité et la fraternité, ces idées universalistes qui vont à l’encontre de leur foi obscurantiste ?
Depuis combien de temps a-t-il fait sécession, ce petit groupe, car il a fait sécession, ne nous voilons pas les yeux. Non seulement, ils ont leurs propres écoles, mais ils ont aussi, dans certains quartiers, créé leurs propres lois. Ce sont des quartiers protégés par des barrières, des quartiers où il faut montrer patte blanche à des gardiens pour pouvoir entrer, des quartiers où, disons le mot, ne règne plus l’état de droit.
Depuis combien de temps ne respecte-il plus un des piliers de la démocratie qui est le consentement à l’impôt ? Ce groupe a créé une véritable économie parallèle et dissimule l’argent qu’il a gagné dans divers trafics. Ce groupe utilise des procédures opaques et il est impossible pour le fisc français de lui demander des comptes.
Depuis combien de temps ces Français séparatistes ont-il leurs propres magasins, leurs propres marques de vêtements, de bijoux, de voitures qui leur permettent de se reconnaître entre eux au premier regard et surtout de se distinguer des autres, de ceux qui continuent à mener une vie ordinaire, pauvre, triste, loin du vrai Dieu. Oui, ils se reconnaissent au premier regard, parfois de manière imperceptible car ils pratiquent la dissimulation avec un art consommé, c’est même un des piliers de leur religion. Ils savent qu’ils sont critiqués, souvent détestés par les autres. Ils savent qu’ils sont dénoncés dans certains journaux comme le pire malheur de la France. Heureusement pour eux et hélas pour nous, de puissantes associations les protègent et des journalistes favorables leur laissent la parole et les interrogent de manière complaisante, même quand ils ont été reconnus coupables et viennent de sortir de prison.
A chaque saison de l’année, ils ont leurs endroits réservés pour leurs femmes et leurs enfants. L’été, ils privatisent littéralement les plages afin de ne pas se baigner avec les pauvres.
Assez habilement, d’ailleurs, quand ils sentent que les gens, à force de souffrance, se révoltent contre leur sécession, ce petit groupe détourne habilement la colère sur d’autres groupes. Ils vont mettre en accusation les Musulmans, les jeunes des cités, ils vont conspuer et faire tirer au LBD sur les gilets jaunes qui réclament une part du gâteau, ils vont dénoncer le pouvoir occulte des syndicats qui font descendre dans la rue des centaines de milliers de personnes refusant les régressions sociales comme la réforme des retraites. Des réformes uniquement mises en place pour sauver leurs propres privilèges et leur propre foi dans le seul vrai Dieu qu’ils connaissent : le Profit.
Alors, oui, monsieur le Président, merci ! Et entrez vite en croisade contre le séparatisme qui nous menace tous : le séparatisme des riches.
Le Chevillard du jour :
mardi 10 mars 2020
4280
Mâle blanc hétérosexuel de 55 ans, j’ai appris tout récemment que j’étais le maître du monde… hé, hé… depuis, j’arpente les rues comme une armée d’occupation, le menton arrogant, les poumons gonflés de cette toute-puissance… hé, hé, maître du monde tout de même… je promène sur les choses un regard condescendant… empli du sentiment en effet qu’il ne tient qu’à moi de faire main basse sur tout ce que j’avise… l’argent des banques, les filles et les fleurs, c’est à moi… hé, hé… et que je peux demander au manant que je croise de cirer mes chaussures si cela me chante… Puis je rentre chez moi, un peu plus honteux et mécontent chaque soir de n’avoir pas su vraiment profiter de mon terrible pouvoir aujourd’hui non plus…
…mais demain, hé, hé…
…demain, hé, hé, hé…
X, votre histoire de parité ne tient pas. Dans ce genre de fonctionnement la reponse ne serait pas justifiée, ce serait une espece de concours où tout les candidats sauraient que les 10 meilleurs projets masculins et 10 meilleurs projets féminins seront retenus. C’est du moins l’idee que j’en ai.
Renato nous offre de Zurbarán, « Nature morte aux citrons ».
Ah, ces citrons de l’école flamande ! Peinture baroque éblouissante.
Et quand ils sont partiellement pelés et qu’une torsade de leur écorce granuleuse se déroule, dévoilant une couche interne blanche et spongieuse, et le mamelon cerné d’une aréole…
Un délice à peindre…
Il faut aller du plus foncé au plus clair. Poser d’abord les ombres et les valeurs foncées.
Les parties vertes du citron pas encore arrivé à maturité ? un bleu outremer associé à du jaune de cadmium.
Sur la palette du jaune « citron » associé à du jaune cadmium, de l’ocre jaune pour les ombres claires et un soupçon de vert (avec une pointe de rouge) et d’orangé de cadmium pour les ombres. Pour finir quelques touches délicates de blanc de titane plus ou moins cassé avec du jaune de cadmium pour traduire la lumière et les rehauts, posées légèrementavec la pointe du pinceau..
Saisissante proximité. Amertume aussi…
J’ai aimé retrouver des jaunes citron éclatants dans la peinture de Nicolas de Staël à son retour de Sicile. Des paysages où les violets et les jaunes citron éclatent dans la stridence de l’été.
“On ne peint jamais ce qu’on croit voir, on peint à mille vibrations le coup reçu, à recevoir…” écrit de Staël…
Merci pour ces images qui sont comme une respiration au milieu de ces salves de mots.
x dit: « C’est vrai, gare aux amalgames.
Puisque le précédent Charoulet autorise à citer d’autres blogs pour l’édification de celui-ci, je vous propose ce texte de Jérôme Leroy… »
FORMIDABLE !
Hachette renonce à publier Woody Allen… bientôt, on va renoncer à publier Victor Hugo (les soubrettes), Verlaine (et Rimbaud), André Gide (les petits garçons) et qq autres
Jazzi, Delaporte te traitait de feignasse, je ne me permettrais jamais cela en tout cas, surtout au vu des nombreux ouvrages que tu produis et qui demandent évidemment beaucoup de teavail. Mais tu n’as pas à rendre responsable de tes trous de carrière ceux qui, souvent par prévoyance, n’ont pas choisi cette « diversité » professionnelle.
Il y a là-dessous une question de loyauté.
Chouette ! revoilà l’affreux Chaloux ! ça manquait !
En termes plus crus : les fourmis n’ont pas à racker pour les cigales.
T’as cotisé du temps du Negresco ?
d’un invariant besoin d’autoanalyse chez les sujets disposés les prendre au sérieux sdans les confier
c’est un peu mon avis et les premiers rêves qui m’intéressèrent-j’étais en primaire-m’étaient inspirés pas DICKENS surtout,Twain aussi
Chaloux, avez-vous déjà fait vous-même la danse du ventre ?
comme je veux le prix kiwi, je m’inquiète,je me souviens soudain que c’est aussi une marque de cirage! et j’en ai fait de belles avec du cirage! notamment cirer des gants de cuir (et quand on ne les enlève pas pour serrer la main de quelqu’un!)
@ Rien des actes monstrueux de Polanski n’a à être relié à sa judéité.
Si ! l’implicite de LEUR propension à abuser de LEUR entourage immédiat, avec Freud en prototype, comme j’ai pu l’entendre murmurer à la sortie du film et des Césars et lire dans des écrits aussi divergents que ceux de M. O et d’E. R.
Les détestations font partie du folklore du Zoo, c’est une espèce de patrimoine culturel (Kulturbesitz), inutile d’y prêter attention.
Aldo Ciccolini plays Goyescas (complete), Granados
https://www.youtube.com/watch?v=KJM8B_prSW8
ceci conviendrait-il à MAGELLAN?
“I delve into the act of painting with a minimum repertoire of visual elements aiming for a maximum visual intensity,” Drinkwater writes. “Ideas and images appear through the making of the work, language becomes unnecessary, I let the work speak for me.” To see more of these cool maps and other paintings by Shane Drinkwater, follow the artist on Instagram. (via This Isn’t Happiness)
https://www.thisiscolossal.com/2020/03/shane-drinkwater-astronomical-maps/
Maintenant j’ai décidé de quitter ce blog.
Rose, transposez en U.R.S.S. d’autrefois, en Chine ou en Corée du Nord, pour voir ce que ça donne, comme ça, à l’oreille :
Tout accusé sera présumé coupable.
C’est à lui qu’il incombera de prouver son innocence, sans avoir recours à un avocat ou à des témoins de la défense (forcément vendus).
Ceux qui se présenteront seront d’emblée considérés comme suspects. Ils seront associés à la peine encourue par le criminel.
Tout ce que dira un coupable présumé qui osera clamer son innocence pourra être retenu contre lui au titre d’outrage et lui vaudra un régime aggravé après sa condamnation formelle (procédure rétrograde et bourgeoise dont on déplore la survie. Une procédure de substitution par vote sur Facebook est à l’étude.)
Inversement la signature précoce d’aveux inconditionnels sera prise en considération (à cet effet le tribunal, dans sa grande mansuétude, mettra à la disposition du présumé coupable quelques feuilles blanches dûment tamponnées que celui-ci pourra signer ; le tribunal se chargera de les remplir a posteriori. L’ordre dans lequel ces opérations seront effectuées n’a aucune importance : puisqu’il est coupable, l’accusé connaît nécessairement ses crimes).
En revanche, tout accusateur sera le bienvenu.
Il n’y a plus de prescription.
Les faits mais aussi les simples indices remontants à la petite enfance ou à l’adolescence seront pris en considération. Mieux : les prédispositions génétiques pourront être invoquées par l’accusation (jurisprudence Sarko.)
Il est strictement interdit de chercher à établir la réalité des faits reprochés au présumé coupable. Leur monstruosité suffit.
La carrière des procureurs sera accélérée pour services rendus à l’humanité.
L’attitude du public sera notée et ceux qui n’acclameront pas la grande lucidité du tribunal-populaire-aux-jugements-par-définition-infaillibles se verront interdire l’accès aux blogs et aux réseaux sociaux.
Personne pour saluer Max von Sydow
ah ! la peinture racontée par cri cri, quelle rigolade…
Je voudrais demander à « x », qui parle de « bourse de recherche » attribuée à Clopinou, auquel de mes commentaires, de mes écrits sur internet, il fait allusion ?
Je voudrais savoir CE QUI LUI PERMET DE FAIRE ALLUSION à ce type d’études ? Et de financement ?
J’AIMERAIS COMPRENDRE D’OU IL TIRE CE GENRE D’INFORMATIONS ?
Parce que, si je ne m’abuse, je n’ai JAMAIS fait allusion ici à une quelconque « bourse de recherche » ???
Et je pense que tout cela devient vraiment très grave, et significatif d’une dérive de ce blog telle que là, je ne peux plus suivre.
Je souhaite avant tout protéger les miens.
Si des erdéliens semblent avoir des informations que je n’ai JAMAIS rendues publiques ici…
Je vais en tirer immédiatement les conclussions qui s’imposent.
Donc, je ne veux voir ici qu’une seule chose : une réponse claire, circonstanciée, avec citation, date, ou mieux copier coller de mes mots à moi.
Si je ne comprends pas comment « x » a eu connaissance de faits que je n’ai communiqués, et encore, en mail privés, qu’à deux personnes de ce mail, j’en tirerai les conclusions qui s’imposent.
Je ne rigole pas.
On vit une épqoque effrayante.
Surtout depuis que D. a quitté ce blog.
Et je trouve monstrueux les « murmures » entendus par JJJ. Perso, je suis féministe depuis mes 18 ans. JAMAIS dans aucun groupe femmes, aucune manifestation, aucun des livres lus, aucuns des articles parcourus, aucune communication scientifique ou autres, je n’ai lu la moindre ligne qui permettrait d’associer féministe et antisémitisme. JAMAIS, en plus de quarante ans ! Une des caractéristiques du féminisme et d’avoir mis au jour que le machisme ou la domination masculine sont des phénomènes universels !!!
Polanski est juif, rescapé de la shoah.
Simone Veil aussi.
Dénoncer les crimes sexuels de Polanski, ce serait antisémite pour l’unique motif que les féministes l’ont pris pour « cas exemplaires », alors qu’elles auraient pu prendre pour cible des légions de types semblables (Joey Starr…) ?
C’est un argument totalement fallacieux, et personne ne semble entendre que cette cible-là, par sa notoriété, était la mieux choisie…
Et puis, de toute façon, je me souviens encore de la réaction de la RDl à mon égard quand j’ai commencé, au moment de l’affaire DSK, à avancer que DSK était peut-être coupable…
Quelques uns d’entre vous s’en souviennent-ils ?
Quelle fut la réponse ?
CLOPINE TAISEZ-VOUS !!!
J’ai bien peur que le papier de Jourde ne soit un effet de la même cause…
Accuser le thermomètre, pour éviter de se positionner sur la cause de la fièvre.
@ Je souhaite avant tout protéger les miens.
La seule solution serait de n’en avoir jamais parlé. Il me semblait également avoir vu passer cette histoire de bourses d’étude.. Mais je vais quand même pas aller rechercher ni où ni quand. Et puis quoi encore !? x n’a pas dû l’inventer non plus…
Pas la peine de mettre des menaces en majuscules pour arrosser les arrosseuses, cela n’a jamais impressionné personne.
Désolé pour ce grain de missel pour les fidèles. Wouarfl. Bon, je sors, ah ah oh, dois aller m’acheter de la mousse à raser et de la barbapapounet. Bonne suite à vous.
(NB : JJJ n’est pas petitixe, a’ttation !)
CLOPINE? VOUS M’EFFRAYEZ:je me souviens l’avoir lu sur ce blog cette histoire de bourse et de Clopinou, et je ne communique avec personne en dehors du blog;vérifiez vous qui savez les dates;je crois que vous avez fait allusion à un diner avec de vos amis (là je n’affirme pas) ne laissons pas ça créer un contentieux
avant les courses…
Vous êtes vulgaire et pitoyable quand vous voulez la jouer à la courroucée, quel cinéma !
Sortez de votre fanatisme féministe et essayez d’écouter les « murmures » du monde…
La lèpre antisémite n’a jamais été aussi répandue aujourd’hui et issue de partout en ce moment. Pourquoi nier qu’elle soit absente au sein même d’un quarteron de Falbalas gauloises prétendument intransigeantes et propres ?
Balayons chacun partout, et protégeons nos progénitures des influences délétères du coronavirus antisémite qui se murmure dans les postillons de chacun.e
PEUR
Beaucoup de gens ont peut, me dit-on, du coronavirus.
L’année dernière, la route a tué 3000 personnes, la grippe a tué 10 000 personnes et le tabac a tué 70 000 personnes.
Si l’on est amateur de probabilités et de statistiques- c’est mon cas- il d’abord avoir peur de de la grippe, de fumer des cigarettes et de monter dans une voiture.
voyez-vous, je ne fais de « grace »à personne sur ce blog, même si hamlet m’a provoquée, et que l’on m’a accusée d’appeler « mon »renato à trouver à dire et redire parce qu’il joue très bien ici, nous soulage, mais j’ai lu cette histoire de bourse sur le blog en vous suggérant des « réserves » sur votre vie personnelle si vous ne vouliez pas en patir; vous vous êtes moquez de moi derechef , mais là, c’est trop de menacer :c’est aux scouts que vous avez appris ça? Chez Onfray? a Rouen? CE N’EST PAS « CA BACKLASH EN BON FRANCAIS? » ça après LSP? C’EST DES TROLLS » dites vous aux « petits joueurs » c’est peut-être de la « pensée » aussi COMME VOUS EN DEMANDEZ DANS le BUFFET DE HEIDEGGER?
Moquée
Raymond,
ce soir, sur Arte, premier volet d’une série documentaire, d’O.wieviorka et d; korn-brzoza (2018), rediffusée.
« Les coulisses de L’Histoire » : l’invasion foudroyante de l’Europe occidentale (Belgique, Pays-Bas et France), déclenchée le 10 mai 1940.
Vous, c’était celle d’avant (14-18) en ces poèmes émouvants que je relis.
Les guerres se suivent. Les mères se ressemblent tant…
Permettez-moi de recopier ici celui que vous dédiez aux mères.
Mères
« Divinités prosaïques encloses dans la nuit des cuisines
Tabliers bleus ou blancs – puis à trente ans noirs –
Nous avons langé les petits tendresse
Leur offrant inépuisables l’élémentaire Angoisses apaisées au puits d’amour et source intarissable du lait de vie
Il en a fallu des pas des peines des nuits
C’est fou ce que c’était prenant cette tendresse à pleins bras
Notre corps entier s’est crevé à la tâche de les faire croître
Rituels fêtes danses sérieux et surtout respect nous leur avons tout appris
Tout – respect et encore respect – ce n’était jamais assez
Éduqués à la dure
Ils ont été tirés vers le haut
Ainsi nous sommes nous fanées à contrarier leurs désirs il les fallait obéissants
Puis un matin une aube d’été sans pourquoi
Nous les avons vus partir – souvenir très net du mouchoir ruisselant –
On les barde de ferraille sur la tête aux bras
Ils creusent – les avions-nous seulement conçus pour ça –
Tombes et tranchées
Tranchées et tombes
Les lettres étaient boueuses
Pleines d’amour pour nous lointaines et de haine envers les Germains à deux pas
Fusées de détresse dans la nuit de l’Ailette
Qui éclairaient leurs bouilles épouvantées
Et dans la pluie des obus s’engloutit le respect imprimé à leurs fronts
Aujourd’hui assises dans le square pacifié les mères murmurent doucement les prénoms
Caressent les minois balancent tranquillement les petits corps qui s’envolent
C’est un chant qui se souvient de ce qui aurait pu être
La guerre n’est plus de saison
Les hommes se cherchent un nouveau rôle sur les rives de cet automne
Mais il est tard et les mères de novembre là-bas n’attendent plus de merci »
(recueil de la revue « Poésie en voyage » tiré à deux cents exemplaires (2018). Raymond Prunier Poèmes 14/18 éd. La Porte.
(en première page une photo : graffiti encore visible sur la façade d’une maison de Mons-en- Laonnois, témoignant de l’occupation allemande de ce village. (On peut lire Novembre 1917).
Le printemps de la Poésie se souvient-il de cet automne-là… Une poésie simple comme lorsqu’elles se racontent, entre deux silences, ce temps-là…
Commentaire de Jazzi, 1 septembre 2019.
« Hier, Clopine, nous a donné, à travers ses « Choses vécues », un excellent petit billet d’humeur impressionniste que l’on pourrait résumer à une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle.
Seule la mauvaise nouvelle, Clopinou n’a pas obtenu sa bourse, a retenue toute l’attention des commentateurs.
Chacun y allant de ses connaissances savantes sur les études supérieures. »
ah, CHAROULET? CE N’EST PAS LE JOUR!je fume, j’ai une BPCOet j’ai lu que j’étais en première ligne pour le virus et ne veux pas poser la cigarette ;donc adagio!
La parano ne s’arrange pas et pourtant ça se soigne.
La pauvre vieille Alzaïméroclopine ne se souvient pas qu’elle nous a pompé l’air avec la bourse de son rejeton pendant plusieurs jours, pour finalement nous apprendre que non il ne l’aurait pas. Elle ne souvient pas de ses poèmes ni de toutes les sottises déposées par ses soins ici-même.
JE NE RIGOLE PAS!
Euh… si, un peu quand même…
Clopine,
vous êtes amnésique ?
Vous avez raconté sur ce blog votre colère dans un long commentaire quand Clopinou n’a pas eu le renouvellement de sa bourse. Lavande vous avait répondu que dans leur laboratoire de recherches il ne prenaient jamais d’étudiants non-boursiers car leur situation était trop éprouvante, liant leurs études à des travaux alimentaires pour vivre. Vous aviez ajouté que le jury l’avait trouvé trop sûr de lui (enfin, quelque chose comme cela…) et que vous seriez obligés, vous les parents, de prendre totalement en charge la suite de ses études (logement, nourriture, frais divers…)
oui, je suis une mère en colère;mon fils me met un
MAIL qu’il viendra me voir en fin de semaine du canada, alors que je l’ai prévenu que c’était impossible pour moi, et qu’il ne prenne pas de risque
quand même les avions refoulent;c’est presque pénard le canada, le virus n’y circule pas comme en Europe-il voulait même aller voir un fabricant en CHINE! OUI: EN CHINE!et je mail des articles , des extraits de mes conversations avec des gens informés en première ligne et qui ne savent rien de sur;non monsieur mon fils dit qu’il vient! et je m’inquiète comme une idiote parce qu’il n’en fera qu’à sa tête et sera refoulé par d’autres que moi!
voilà le destin des mères!
OUF !
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