de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Ce qui reste après du monde d’avant

Ce qui reste après du monde d’avant

Qui n’a pas connu dans sa vie de lecteur ce cas d’espèce : un bon livre sur un personnage détestable. Faut-il que le premier soit délectable pour ne pas nous dissuader d’aller plus avant dans la découverte du second ! D’Anne de Lacretelle, j’ignorais tout malgré la biographie qu’elle avait consacrée à La Comtesse d’Albany, une égérie européenne (éditions du Rocher, 2008). Qu’est-ce alors qui m’a fait me précipiter sur son Tout un monde. Jacques de Lacretelle et ses amis (330 pages, 22 euros, éditions de Fallois) ? Peut-être l’impression laissée par le feuilletage des toutes premières pages. Il est vrai que, passées huit heures du soir, ça ne court pas les librairies les nouveautés dédiées à « l’abbé Géhel, mon directeur d’inconscience ».

Dès l’incipit, elle se demande : « Peut-on écrire sur ses parents ? ». Sa réponse, qui fait un peu plus de trois cents pages, est brillante, enlevée, drôle. Je n’avais lu depuis longtemps un livre de souvenirs à l’écriture, à la composition, aux effets aussi maitrisés. Dès lors qu’il ne s’agissait pas d’une biographie de papa, l’espoir était permis. La bonne idée fut de faire sourdre une époque à travers des instantanés chus d’un album de famille, et quel ! Les amis de la famille y prennent toute la place : Proust, Gide, Cocteau, Morand, Mauriac, Valéry, Giraudoux, Larbaud… Un tout petit monde en marge d’un microcosme si « décaduc » comme le disait Proust, justement, dans l’un de ses néologismes dont il avait le secret – et encore, tous n’étaient pas des aristocrates, il s’en faut. De la fréquentation de l’auteur de la Recherche et de leur longue correspondance, Lacretelle conserva sa vie durant une certaine empreinte, « un snobisme à la Proust » en ce que tout dans ses références, ses allusions, sa manière se rattachait d’une manière ou d’une autre au passé et à l’histoire. On en connaît quelques uns sur la personnalité desquels l’ombre du narrateur a ainsi déteint durablement et profondément.

Ce défilé, interminable dîner de têtes, marqua l’enfance, l’adolescence, la jeunesse d’Anne de Lacretelle. C’est peu dire que les personnages qui peuplent ce livre se ressentaient « fils de rois issus d’une combinaison mystérieuse et native ». Un groupuscule qui se donne pour une élite. Tout un monde en effet, comme le titre indique, mais un tout petit monde qui doit son éclat posthume à la Recherche du temps perdu. Jacques de Lacretelle, que sa fille surnommait « Zeus », y apparaît en un être avant tout coléreux, mais d’une sale colère débarrassée de toute mythologie qui l’eut transcendé par la foudre, une colère domestique, mesquine, permanente quand elle se voudrait prophétique. Tout est traité dans ces pages avec une légèreté si naturelle qu’elle laisse un drôle de goût lorsqu’elle se traduit par une indulgence coupable pour le peu de qualités humaines de certains (Paul Morand). Avec le recul, ces années 1910/1940 ont quelque chose de « trente glorieuses littéraires » enfiévrées et fécondes malgré la noire parenthèse de la guerre qui n’en a pas moins marqué la période de son empreinte avec de grands livres tels que Le Feu de Barbusse et les Croix-de-bois de Dorgelès. C’est ce qu’on peut se dire à la vue non des palmarès des prix mais des sommaires de revue car ce fut, aussi, leur moment.

La vie de Jacques de Lacretelle  (1888-1985) ? Naissance au château (Cormatin, Saône-et-Loire), deux échecs au bac jamais obtenu, une démission de la banque où sa mère l’avait fait admettre par piston, une jeunesse frivole, un univers cantonné toute une vie durant dans les limites du bon XVIème, un hédonisme affirmé, une sincère quoique naïve dévotion à la littérature, l’entrée à la Nrf grâce à l’insistance de Proust auprès de Jacques Rivière, un premier roman sur l’incommunicabilité qui laissait entrevoir quelques dons (La vie inquiète de Jean Hermelin) suivi d’un roman ambigu sur l’antisémitisme (Silbermann, prix Femina 1922), de L’Amour nuptial et d’une ambitieuse chronique familiale en plusieurs volumes (Les Hauts-Ponts), un pas en politique à droite toute du côté des Croix-de-feu et du Parti social français… Voilà pour l’entre-deux-guerres. Pour l’après guerre, toute une carrière à la direction du Figaro puis du Figaro littéraire où il ne laissa pas que de bons souvenirs. Une vie d’homme de lettres. Ainsi parti, il ne pouvait finir qu’à l’Académie française, (ici son discours de réception), d’autant que deux de ses aïeux l’y avaient précédé. Il y fut élu à la seconde reprise en 1936 au fauteuil d’Henri de Régnier, ce qui nous vaut des pages délectables sur les usages et les coulisses des élections. De là à souhaiter, comme sa fille en a la faiblesse, qu’ « un regard plus scientifique soit jeté sur son œuvre » en la pléiadisant, il y a un pas que seule l’aveuglement filial permet de franchir.

De temps en temps, on tique. Ainsi lorsque l’auteure assure qu’il fallut attendre 1949, et la parution de la biographie de Maurois sur Proust, pour que celui-ci fut révélé « en majesté »,alors que dès les lendemains de son Goncourt en 1919, il fit l’objet de commentaires, de critiques, d’exégèses, d’études et de traductions de l’Angleterre au Japon en passant l’Espagne, pour ne rien dire de la France. De même lorsqu’elle présente Jean Prouvost comme « journaliste confirmé » au motif que l’industriel du textile était également propriétaire de quotidiens et de magazines (confondant au passage Paris-soir et France-Soir qui lui succéda).

Tout cela donne envie de (re)voir l’inoubliable Portrait-souvenir que Roger Stéphane avait consacré à Proust à la télévision le 11 janvier 1962 pour le quarantième anniversaire de sa disparition. Quel plateau ! On y voyait témoigner rien moins que François Mauriac, Jean Cocteau, Paul Morand, Daniel Halévy, la comtesse Greffulhe, Jacques de Lacretelle, Simone de Caillavet, Hélène Soutzo, Philippe Soupault, le duc de Gramont, Emmanuel Berl, Céleste Albaret… Le commentaire avait la voix de Jean Negroni. On y montrait même les manuscrits de la Recherche et leurs paperolles. Certains d’entre eux allaient disparaître peu après. Tous s’exprimaient comme s’ils l’avaient quitté la veille. Ah, l’émotion vraie de la merveilleuse Céleste, si tranchante dans cette foire aux vanités. Jacques de Lacretelle y est particulièrement… détestable. A la fin de ses souvenirs, sa fille Anne y revient et le déplore ; mais, sans le vouloir, elle rapporte l’indignation de son père à l’issue du tournage et cela n’arrange vraiment pas son portrait :

« Mais enfin ! Qui sont ces gens ? Ils vous dérangent, ne savent rien et ne vous laissent même pas de cachet ! Pour qui se prennent-ils, ces malotrus ! »

Et pourtant, Tout un monde est le charme même. Peut-être parce que, malgré le superficiel de sa mondanité, le portrait de Lacretelle y est sans concession et son univers désormais figé dans la naphtaline. Autant de fantômes poudrés échappés du bal de têtes du Temps retrouvé. M’est revenu alors en mémoire le souvenir de mes conversations avec Philippe Soupault à la fin des années 80 dans la maison médicalisée où il vivait, du côté de la porte d’Auteuil à Paris. Sa mémoire était gaie, vive, malicieuse et lorsque l’ancien pionnier du surréalisme en lui évoquait Aragon et surtout Dali, elle se faisait cruelle. Mais je ne le vis plus du même oeil du jour où il m’avoua :

« Depuis la mort  récente d’un ancien groom du côté de Cabourg, moi qui ai eu plusieurs longues conversations avec lui dans un fiacre alors que j’avais à peine plus de vingt ans, je peux dire aujourd’hui que je suis le dernier en France à pouvoir dire qu’il a connu Marcel Proust… »

Au risque de passer pour un dinosaure mélancolique, j’avoue que j’en fus retourné. Nous avançons dans un monde où il n’y aura bientôt plus personne pour goûter ce genre de documentaire et ce genre de livre faute de savoir de qui et de quoi il s’agit à supposer qu’un jour toutes ces choses présentent encore un quelconque intérêt.

(« Château familial de Cormatin »; « Jacques de Lacretelle en 1936 »; « Yolande De Lacretelle, Docterene Grumbach, Jean Cocteau, Francine Weisweiller, Marita Maurois et Jacques De Lacretelle lors d’une réception en 1955 »; « A l’Académie (à gauche) en 1973 avec Jean-Jacques Gautier et Louis Leprince-Ringuet » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

1365

commentaires

1 365 Réponses pour Ce qui reste après du monde d’avant

rose dit: à

Le travail sur les éclairages, les ombres, les textures, les couleurs (Herzog veut retrouver celles de Rembrandt).

Cela semble aussi extrêmement réussi.

La faim également justifie les moyens.

renato dit: à

Oups ! le > leS…

christiane dit: à

Merci, Renato, pour ce lien expliquant comment «Saut dans le Vide» de Klein est né.

christiane dit: à

Merci, Bérénice, pour cette analyse remarquable de « Cœur de verre » de Werner Herzog.

Pat V dit: à

 » et le canoë dans les gorges du Tarn vous pouvez vous rengorger,et faire dégorger,je m’en tape  »

Cela sent vraiment les vacances sur ce blog! 😉 😉 🙂

et alii dit: à

chère christiane, c’est moi qui ai apporté la présence de Werner Herzog et rembrandt;il n’ya plus qu’à googler!j’ai vu des films de herzog dès mes années Aix en Provencedont la mémoire m’est revenue avec eux il faut rendre à César ce qui est à César :je n’ai pas peur de la colère de vos ami-e-s copieurs tricheurs et grossiers qui se prennent pour Dieuet n’ont pas su ajouter soubrettes et gigolos à leur C.V erdélien

et alii dit: à

La première étude parue sur Kaspar Hauser (qui sera préfacée par Françoise Dolto en 1985)

et alii dit: à

: Les archives d’Ansbach possèdent pas moins de mille volumes qui lui sont consacrés, Peter Handke tire de son histoire une pièce de théâtre en 1967 (qui sera mise en scène par Peter Brook en France), Jakob Wasserman un roman (Die Trägheit es Herzens), Verlaine un poème (Sagesse en 1880)
…dans le lien c’était dans la presse pas du verbiage et on en parlait entre ami-e-s

et alii dit: à

ce que rappelle le lien:j’avais une condiciple qui s’appelait Hauser et dont le mari tenait un guichet théatre dans une librairie devenue hyperbranchée je crois;cet homme était juriste, antipathique à souhait , et on élimina une de mes amies qui cumulait dans sa famille et sur sa tête des diagnostics psys; un musicien joue la musique dans une vidéo aixoise que j’ai envoyée;je connais des cuisines pas très ragoutantes de ces « milieux »

et alii dit: à

le musicien de lavideo
Il crée en 2009, avec Jean Ferrandis, l’ENSEMBLE EDGEDE, orchestre à cordes. Dominique de Williencourt a inspiré le livre de Jacqueline de Romilly De la flûte à la lyre. Le luthier Jean Bauer lui a dédié le violoncelle « La Nuit Transfigurée ». Un violoncelle à son nom, en sculpture peinte, a été fait par le sculpteur belge José Chapellier. Il a participé au film de Claude Sautet « Un cœur en hiver ». Depuis l’an 2000, il joue un violoncelle exceptionnel de J. Gagliano (1754) ainsi qu’un archet de F.X. Tourte (1825).
il se faisait accompagner par la fille de mon amie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_de_Williencourt

et alii dit: à

Le 23 juin 2014, la chaîne musicale 3e Gauche lance « Bliss » où l’on peut voir Dominique de Williencourt interpréter un de ses titres au milieu de carcasses de viandes au Marché International de Rungis3,4.

Dominique de Williencourt est parrain de l’association Tournesol, Artistes à l’Hôpital

et alii dit: à

Mais Herzog annonce d’emblée la corruption à venir par un carton reprenant une citation de Georg Büchner : « Le moindre silence ressemble à un hurlement ».

christiane dit: à

@et alii dit: 14 juin 2019 à 15 h 57 min
Alors, bravo ! Je ne connaissais pas du tout cette œuvre.

et alii dit: à

dans le lien,
quand on dit,sur un blog! qu’on s’intéresse au langage
L’Énigme de Kaspar Hauser ne se contente pas de nous raconter une histoire incroyable, de nous faire partager le destin tragique d’un homme : c’est un film qui poursuit l’œuvre du cinéaste en questionnant de manière profonde notre place au monde. L’histoire unique de Kaspar Hauser fait qu’il transporte en lui des questions tenant à la nature profonde de l’homme et de la socialisation : comment acquiert-on le langage ? Comment se construit notre personnalité ? Comment finit-on par se fondre dans la société ?

et alii dit: à

14 juin 2019 à 16 h 36 min
CE N ‘EST PAS MOI, non plus,CHèRE MADAME QUI VIENT DEMANDER DES COMPLIMENTS (dont vous n êtes pas avare )

et alii dit: à

. Le langage passionne Herzog et il a souvent caressé le projet de faire un film recensant les dialectes et les langues du monde entier : pour lui, les multiples langues qui s’éteignent chaque jour sont autant de mondes, de réalités qui disparaissent.

D. dit: à

Ce soir je mange des quenelles au brochet.
C’est vendredi.

et alii dit: à

. La diction si particulière de Bruno S., qui semble parler l’allemand comme une langue étrangère, fait office de barrière : il semble dire à cet entourage qui veut à tout prix le normer qu’il sera toujours Kaspar. Un illuminé, un sot, un fou… qu’importe : il restera Kaspar et gardera ancré en lui cette vision extatique du réel.

et alii dit: à

t: 14 juin 2019 à 16 h 56 min
j’aime pas les quenelles!

christiane dit: à

@et alii dit: 14 juin 2019 à 16 h 00 min
Celui-là, je connaissais.
Puis j’ai vu, en octobre 2006, au théâtre Gérard Philipe à Saint-Denis le « Gaspard » mise en scène par Richard Brunel adapté du « Kaspar » de Peter Handke publié en 1967 qui s’inspirait de Feuerbach. Werner Herzog, lui, en tira un film.
«Nul n’existe en dehors du langage et il n’y a pas un monologue, fût-il halluciné, qui ne s’adresse à un autre», écrivait le metteur en scène Richard Brunel dans sa présentation.
Je garde le souvenir de la torture verbale que subit et vit Gaspard. Le public était installé autour du plateau-scène. C’était très dur. Insupportable. Cette horde de psychiatres violents malmenaient Gaspard titubant, le maintenant dans un enfermement constant. Un véritable acharnement thérapeutique.
La pièce m’avait troublée, le public devenant témoin de cette expérience de maltraitance.
Sur la scène du théâtre Gérard Philippe, Olivier Werner était extraordinaire dans le rôle de Gaspard.
Cette phrase de Gaspard : « J’aimerais devenir comme celui qu’un autre a été un jour » m’a longtemps hantée.
Handke avait dit que sa pièce aurait pu s’intituler « Torture verbale ».

Marie Sasseur dit: à

Un peu de beauté leur fera du bien, d’autant que je n’ai pas souvenir d’avoir lu des commentaires de l’intervenant de 10h17, autres que scato ou vaguement paraphiles.

D. dit: à

hamket, savez-vous que le syndrome de Kessler, envisagé en 1978 par le consultant de la NASA Donald J. Kessler, est la situario dans laquelle le volume des débris spatiaux en orbite basse atteint un seuil au-dessus duquel les objets en orbite sont fréquemment heurtés par des débris, et se brisent en plusieurs morceaux, augmentant du même coup et de façon exponentielle le nombre des débris et la probabilité des impacts. Au-delà d’un certain seuil, un tel scénario rendrait quasi impossible l’exploration spatiale et même l’utilisation des satellites artificiels pour plusieurs générations.

christiane dit: à

Bonsoir DHH,
j’espère vous lire à nouveau, ici. (comme Lavande et Clopine.

D. dit: à

Vous Z’avez qu’à manger autre chose, et alii.

et alii dit: à

A machine-learning method discovered a hidden clue in people’s language predictive of the later emergence of psychosis — the frequent use of words associated with sound. A paper published by the journal npj Schizophrenia published the findings by scientists at Emory University and Harvard University.

P. comme Paris dit: à

et Alii,
commencez à rendre à César ce qui est à César :

pour 16h55, ‎Critique de Olivier Bitoun.
A moins que vous ne soyez ce critique, Olivier Bitoun.

x dit: à

@ Pat V 14 juin 2019
(sans rapport avec le message de 15 h 31 min, mais avec une question posée il y a un peu plus d’un an, sans doute à l’occasion d’un Pour saluer G. Genette)

Peut-on écrire sur son maître ou sur son collègue et néanmoins ami ?
Et si oui, comment (car là est aussi la question) : en le pastichant, en le transposant, en le continuant ?
Sur un mode ludique ou sérieux ?
Sous une forme théorique ou narrative ou fragmentaire ?

Réponses dans le numéro 185 de la revue Poétique.

et alii dit: à

, ‎Critique de Olivier Bitoun.je ne sais pas qui est cet olivier,et indique toutes les sources!je ne voudrais pas qu’on m’accuse de manquements qui ne sont pas les miens;je ne cherche ici aucune conversation avec personne sur aucun sujet

et alii dit: à

sur16 h 55 min,la source toile a été donnée, mais non répétée chaque fois et il n’y avait pas de patronyme ou je ne l’ai pas vu

et alii dit: à

la rédac e »st un collectif sur W.H
QUI VOUS DIT QUE CE N4EST PAS
Jean-Gavril Sluka

et alii dit: à

P coomme, je vous emmerde défendez vos copains, j’ai vu le filmde w.H et connu des critiques quand il n’y avait pas internet mais des gens qui refusaient d’écrire des critiques pour tartempion et je connaissais des professionnels de la traduction de différentes nationalités et polyglottes

et alii dit: à

ou Ronny Chester?

et alii dit: à

DANS LA REDAC ,aussi, Antoine Royer

et alii dit: à

et n’oubliez pas P, de mettre votre nom dans « la meute »!

et alii dit: à

car il y a aussiRecommandé par
Jacques Audiard

hamlet dit: à

« bouguereau dit: 9 décembre 2012 à 11 h 53 min

..y’a des sites consacré a odin en france..même en norvège c’est rare »

@greubou désolé de répondre tardivement à ta remarque, j’ai passé ces 6 dernières années à apprendre le norvégien pour estimer le bien fondé de ton commentaire et pouvoir ainsi te répondre en toute connaissance de cause, et maintenant je peux te dire que sur ce coup tu te mets un peu le doigt dans l’oeil, il existe en Norvège de nombreux sites consacrés à Odin, et je ne pense pas que ce soit le succès populaire de la série Viking qui en soit la seule cause.

et alii dit: à

quant à la bio kinski,on apprend que
En 2013, avec la publication de son autobiographie Kindermund8, la fille aînée, Pola Kinski, accuse son père de l’avoir violée de l’âge de 5 ans à 19 ans9,5. La cadette Nastassja dénonce également un père tyrannique, terrifiant, qui a tenté d’abuser d’elle10.wiki

hamlet dit: à

et alii, merci pour vos commentaires, c’est passionnant.

dommage que vous interveniez aussi peu souvent sur ce blog, vraiment ça remonte le niveau quand on lit.

du coup, si vous me permettez de vous le dire, ne soyez pas aussi timide et n’ayez pas peur d’écrire vos pensées, personne ne va vous manger, lâchez-vous, écrivez plus et plus souvent, et des commentaires plus longs !

sérieux on en redemande…

hamlet dit: à

et alii dit: 14 juin 2019 à 19 h 45 min

ce que vous écrivez là est terrifiant, 5 ans, vous imaginez, on a même vu des cas de viol de nourrissons.

le Christ n’est-il pas mort pour nous sauver de nos péchés ? tant qu’à faire autant qu’il ne soit pas mort pour rien, vous ne croyez pas ?

et alii dit: à

Les relations entre Herzog et Klaus Kinski furent tendues tout le long du tournage. Kinski menaçait régulièrement de mort Herzog. Ce dernier enregistrait systématiquement ses disputes avec Kinski sur bande magnétique. Il avait également acheté une arme pour intimider Kinski quand celui-ci ne voulait pas jouer une de ses scènes.
il doit rester ces enregistrements ?

Jean Langoncet dit: à

@les graphomanes virtuels

« The Scarlatti Tilt » by Richard Brautigan

‘It’s hard to live in a studio apartment in San Jose with a man
who’s learning to play the violin.’ That’s what she told the
police when she handed them the empty revolver.

• What do you think has happened?
• Why did it happen?
• What are the possible relationships between the violin player and the woman?
• How does the story end?
• Is the ending a just/fair/good ending?
• What does the revolver look like?
• What time of day is it?
• What season?
• Describe the setting, the room.

et alii dit: à

@HAMLET it: 14 juin 2019 à 19 h 50 min
vous êtes gentil; moivos interventions me plaisent depuis le début:vous débunkerisés ces conformistes quand même paresseux ou avares de pratiques inspirées;vous avez appris le norvégien? VOUS NE DITES PAS CE QUI VOUS TENTAIT:dommage !je ne connais que palais de glace ;vous l’avez lu en V.O?

hamlet dit: à

et alii dit: 14 juin 2019 à 19 h 55 min

incroyable ! ça me rappelle les règlements de compte entre Terry Gilliam et Michael Palin pendant le tournage de la vie de Brian.

sans compter les disputes entre Ronnie Wood et Keith Richard pendant leur tournée US de 70.

vous savez et alii ces stars sont vraiment parfois insupportables.

et alii dit: à

NON? BIEN SUR? IL YA Sigrid Undset;mais c’est vous Hamlet qui nous la présenterez

et alii dit: à

débunkerisés Z!

et alii dit: à

MAIS voilà que je me trouble donc je vérifie:la femme de P.Auster estaussi d’origine norvégienne Siri Hustvedt dont j’ai lu un livre et qui m’intéresse par sa « carrière »! allez courage Hamlet vous avez du
travail avec le norvégien!

hamlet dit: à

et alii oui j’ai appris le norvégien à cause de ce commentaire de greubou en 2012 où il dit que les sites sur Odin sont rares en Norvège, vous comprenez bien que ça n’aurait pas été possible de lui répondre sans apprendre la langue.

vous imaginez si greubou n’avait jamais envoyé ce commentaire ? à l’heure qu’il est je ne saurais pas parlé le norvégien, ce qui entre nous ne sert strictement à rien, je veux dire de savoir parlé le Norvégien, d’autant plus que je n’y ai jamais les pieds et je ne les y mettrai jamais.

si à l’époque greubou avait affirmé qu’il existait plus de sites internet sur la bossa nova en France qu’au Brésil à cette heure je saurais parlé le portugais, c’est fou non ?

hamlet dit: à

et alii : parlER, bien sûr vous m’aurez corrigER.

hamlet dit: à

et alii, je n’aime pas Paul Auster, et encore moins sa femme.

vous les avez lus ? c’est d’un ennui total.

non, si vous cherchez des nouveaux livres à lire allez voir plutôt sur le site de Paul Edel, vous connaissez ? alors lui il est toujours de bon conseil.

et alii dit: à

bon, hamlet, j’aime la bossa nova ,et autrefois je dansais en faisant le ménage,dansez toujours, c’est la meilleure « thérapie » contre les ankyloses !demandez à Siri Hustvedt: Auster dit qu’elle est merveilleuse, elle vous accompagnera en légèreté dans vos explorations psy !elle ,ses conseils ne seront pas de la frim! allez!

hamlet dit: à

et alii, là où Edel est très bon c’est avec les auteurs italiens, j’en ai découvert des tas grâce à lui, ça n’aide pas vraiment quand on sait parler le norvégien, par contre si vous parlez italien c’est top !

quand je pense que si en 2012 greubou avait dit qu’il a plus de site internet sur la Juventus en France qu’en Italie, aujourd’hui j’aurais pu lire tous ces auteurs italiens en vo, c’est dommage non ?

et alii dit: à

oh ça zut alors, ils sont trop frenchie pour vous,hamlet? DANSEZ! je ne doute pas que vous soyez plein de ressources d’imagination contre les scléroses mentales!

hamlet dit: à

et alii Paul Auster dit que sa femme est formidable ?

vous avez bien lu la phrase jusuq’à la fin ? il devait y avoir un truc après « formidable », du genre « au lit » ou « en cuisine » ou autre chose, non ? je ne pense qu’il parlais de ses livres.

DHH dit: à

@Christiane
Chère Christiane bonsoir
Vos manifestations de sympathie exprimées par deux fois sur ce fil me touchent vraiment et je vous en remercie
J’ai eu la tentation de revenir sur la RDL ; j’avais envie de parler un peu de Romain Gary, beaucoup de Proust et aussi de Silbermann que j’ai redécouvert, et puis j’ai renoncé parce que désormais je m’y sens mal à l’aise
Car je trouve que la personne de grande culture, sans doute de statut universitaire élevé, qui signe Et alii ,et qui alimente en permanence ce blog de manière exceptionnellement riche dans de multiples domaines, en a un peu perverti l’esprit, parce qu’elle fait coexister avec un partage généreux de son savoir un grand mépris, qui s’exprime sans aménité pour ceux, dont moi qu’elle considère, peut-être à juste titre , du haut de son piédestal comme de la piétaille intellectuelle
Mais en face d’une personne jugée peu cultivée et médiocrement intelligente, est-ce un comportement acceptable de la part d’une intellectuelle de haute volée de lui rappeler sa médiocrité avec une condescendance pleine de suffisance et matinée d’’agressivité injurieuse ? , et ce même dans les cas où il y a un fossé qui peut prêter à dérision entre l’idée avantageuse que cette personne se fait d’elle-même et la réalité
.Et il est très inconfortable , pour qui est l’objet de ce mépris ,de prendre le risque ramené avec hargne à son néant, s’il veut faire état d’un savoir, d’un souvenir, d’un point de vue , d’une expérience personnels , bref de faire conversation ,comme on l’aurait fait auparavant sans arriere- pensée dans cet espace du commentarium alors ouvert à un accueil serein et aimable de toutes les interventions fussent-elles maladroites, ou simplistes

;

et alii dit: à

VOUS SAVEZ? HAMLET?je suis d’une vieille génération;il n’y a pas longtemps que j’explore internet ,et la jeunesse autour de moi dans ma famille en est scandalisée!comment,tu vas sur internet ? ON dirait que je les escroque! mais j’ai tenu bon !non, je ne sais pas l’italien, mais je vais parfois sur le blog de P.Edel ;l’italien me manque à cause de la musique! et pourtant, j’ai de la famille italienne, à qui je demande de faire suivre des articles de la toile !aujourd’hui encore , je parlais de mon voyage à Florence à une amie , une lutte avec mon ex mari qui me le gacha;j’ai attrapé la crève sur les marches de la Laurentine ,moi, c’est à l’italien que je devrais me mettre et
je sais qu’il n’est pas trop tard! j’apprends facilement ;bon, vous sortez quand même de MUSIL.
ne les laisser pas dire n’importe quoi! méfiez vous de faire votre blog quand même ,il vous boufferait votre énergie et tous ces vampires
aallez, bonne soirée, j’attends un téléphone sérieux!

hamlet dit: à

DHH dit: 14 juin 2019 à 20 h 35 min

incroyable ce que vous pouvez être tous (toutes?) aussi susceptibles et sensibles aux avis des autres, si vous voulez parler avec Christiane vous venez parler avec elle et voilà !

sérieux vous êtes tous hyper chochottes.

en plus personne ne vient lire ce que vous écrivez ici, c’est juste un petit coin tranquille coupé du reste du monde, vous ne croyez pas que les gens visitent ce blog pour lire les commentaires ? ils viennent lire ce qu’écrit passou, la plupart du temps ils trouvent ça un peu nul et ils s’en vont, et voilà !

closer dit: à

 » j’avais envie de parler un peu de Romain Gary, beaucoup de Proust et aussi de Silbermann que j’ai redécouvert, et puis j’ai renoncé parce que désormais je m’y sens mal à l’aise »

Nous avons envie de savoir ce que vous pensez de ces trois sujets, DHH…

Ignorez les fâcheux!

et alii dit: à

oui, blabla comme vous l’appeliez, WG son nom me revient, est parti parce que ce blog était amène et serein; quand même les gens de ce blog ont la mémoire courte! le jour où j’y ai lu contester à un juif sa judéité, son patronyme, comme une invraisemblance, un fantasme, j’ai senti le sol vaciller, puis on y a écrit que clopine était une garce et comme telle irrécupérable, on voulait la contraindre à écrire sur un grand père, -elle avait déjà son blog- j’ai pensé qu’il n’y avait rien à espérer d’un collectif haineux où chacun était si auto satisfait de ses cuisses, et de son passé;tout un chacun y était le grand poète, le grand peintre et bassinait ceux qui avaient leur blog, la curiosité en éveil ;je ne parlerais pas de déception mais quand les gens passent leur temps à calculer votre age et se trompent, qu’ils vous pretent toutes les perversions, non merci! oui, j’apprécie l’humour d’Hamlet qui sait plaisanter, et n’est pas inculte(une « revue » que j’ai achetée pour m’informer des temps nouveaux)quand on traite Serres de mondain , non merci! j’ai eu un « ami » peintre qui jouissait de sursexualiser sa conversation et qui a fait un AVC le jour d’un vernissage mondain où j’avais avant son attaque signifié que je n’irais pas ;c’est parait-il sa femme qui le représenta:une psy unanimement détestée ;j’ignore ce qu’il est devenu , les galeries sur lesquelles il avait des vues , en tyran, ont capoté;non c’est un style auquel je ne crois pas , et quant aux vieilles dames qui vont suivre des cours pour leurs enfants dans telle ou telle institution, je connais aussi; j’éviteles personnes « de cet acabit » comme on écrit sur la RDL! et le femmes tiennent le pompon depuis « me too » si l’on en croit les articles!

et alii dit: à

pays où la joie dans le malheur des autres a un cours aussi élevé ? Où l’envie est aussi répandue ? Où l’on adore rouler dans le goudron et les cendres, voir les autres pris au piège et tomber. Ce trait de caractère semble être génétiquement [suédois]. On sourit tièdement, évite chaque conflit, tire la couverture à soi, on attaque par-derrière. »

Ces mots, traduits en français, sont ceux de Katarina Frostenson, considérée encore dans son pays comme la plus grande poétesse de sa génération.

Jeune prodige, elle n’avait que 38 ans quand elle est entrée à l’Académie suédoise en 1992. Vingt-six ans plus tard, elle en a été éjectée, victime, écrit-elle, « des envieuses », des « hyènes » et des « mégères », qui les ont couverts d’opprobre, elle et son mari, le Français Jean-Claude Arnault. Victimes aussi de « la meute » qui a suivi dans la brèche, abandonnant libre-pensée et capacité de discernement. le monde

et alii dit: à

conclusion de l’article du monde
L’objectif est de « transformer les structures », surtout pas d’individualiser le problème.

et alii dit: à

e, vous ne croyez pas que les gens visitent ce blog pour lire les commentaires ? ils viennent lire ce qu’écrit passou,
jusque là, vous avez raison, hamlet!
comme on trempe la ponte du pied dans la mer pour prendre la température!
les conseils sur des livres de cuisine, on s’en tape! non mais pour qui elles se prennent avec leurs lampes !
il y a des parents qui ont par erreur donné du café décaféiné à leur enfant au lieu du vrai café prescrit par le médecin pour réduire les tremblements du gosse : du coupà, les médecins étaient ravis,ils pensent tenir la preuve des vertus du café!c’est sur latoile que j’ai lu ça; comme j’adore le café, et une autre jeune femme que je connais je surveille la progression des savoirs en matière de « langages »

et alii dit: à

hamlet, sur la femme d’Auster, il évoquait son travail en « psy, » (pas en écrivain;là moi non plus je ne suis pas fan)mais je suis incapable de vous retrouver les références(et vous vous en moquez surement;ce n’était pas sur la toile);bon l’oiseau ne téléphone pas;tant pis!

et alii dit: à

ah, je retrouve
doutant que le café pouvait faire un certain effet sur la maladie, les médecins avaient prescrit deux tasses de café par jour au jeune garçon, comme le précisent les médecins sur le site de l’Inserm

Les résultats liés à une erreur d’achat
La preuve scientifique a pu être constatée grâce au hasard. « Un jour, les parents de ce jeune patient ont acheté involontairement des dosettes de décaféiné au lieu de dosettes de café, précise le communiqué de l’Inserm. L’enfant de onze ans les a consommées pendant quatre jours, ce qui a entraîné la réapparition des mouvements anormaux et du handicap tels qu’ils étaient avant le traitement par café. Ses parents se sont ensuite aperçus de l’erreur et la reprise du café a permis de faire à nouveau régresser les mouvements anormaux de façon spectaculaire. »

Le personnel médical a pu alors constater une diminution de 90 % des mouvements anormaux liés à sa maladie sur le garçon. « C’est comme si on avait fait un essai en double aveugle dans la vraie vie. C’est-à-dire que ni l’enfant, ni les parents ne savaient qu’il ne prenait pas le café » raconte Emmanuel Flamand-Roze, professeur à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à franceinfo.
https://www.ouest-france.fr/sante/sante-le-cafe-utilise-pour-soigner-un-enfant-atteint-d-une-maladie-orpheline-6394111

et alii dit: à

la pointe du pied :point sur les i! excuses

D. dit: à

Ce que tu ne sais pas, ham-late (jambon tardif), c’est que j’ai des prêtres d’Odin parmi mes ancêtres. Ça t’en bouche un coin, hein ?

et alii dit: à

voilà hamlet une page éaloquente :il n’y a pas que des chochottes conformistes
t. La vérité, c’est qu’il s’est produit en moi un changement à la fin de la quarantaine, après que j’ai lu tous ces livres scientifiques. Mon esprit a commencé à penser différemment. Pas mieux, mais il s’est adapté, je l’ai senti, à ce savoir scientifique. Je ressentais une plus grande flexibilité. Je pouvais évoluer d’un modèle de pensée à un autre. Tout cela m’a enrichi.

Paul Auster. Et il y a aussi la philosophie. Siri a été très influencée par Merleau-Ponty, elle l’a lu et relu sans cesse. Et Kant, Hegel, Leibniz, Spinoza. Tu lis tous ces gens-là tout le temps. Donc tu n’as pas un point de vue clinique, tu as un point de vue métaphysique sur cette question qui te préoccupe, qui est de savoir pourquoi les êtres humains deviennent ce qu’ils sont.

Siri est actuellement en train de mettre la dernière main à un recueil d’essais qu’elle a publiés depuis 2005. Il y en a 40, qui traitent de sujets aussi variés que les neurosciences, la peinture – elle a donné une conférence au Prado sur Goya, au Metropolitan Museum sur Morandi -, la mode, la culture, la politique, la littérature. Vous comprenez pourquoi vivre avec Siri est une grande aventure. Observer cet esprit en alerte permanente…

Quand Siri lit Kierkegaard jusqu’à 3 heures du matin, vous n’en avez pas assez?

Siri Hustvedt – Le fait est que Kierkegaard me rend dingue. Quand je le lis, je dois le mettre de côté assez vite, parce que, vraiment, c’est à devenir fou. Il me réveille la nuit…

Bérénice dit: à

Et alii, d’un autre côté ce n’est pas étonnant car il était lui meme un peu bancal. Bon à part ça je ne peux rien dire de sa philosophie que je n’ai pas assez lu.

Bérénice dit: à

LuE.

christiane dit: à

DHH,
je lis avec attention votre long commentaire de 20h35. Quelque chose vous reste incompréhensible dans les réactions de Et Alii, moi aussi. Oui, « c’est une personne de grande culture, […] qui alimente en permanence ce blog de manière exceptionnellement riche dans de multiples domaines. […] mais fait coexister avec un partage généreux de son savoir un grand mépris », une certaine violence irrépressible, une confusion aussi dans ce qu’il croit avoir lu des commentaires des uns et des autres et de ce qui était réellement écrit.
Je ne crois pas qu’il vous juge intellectuellement comme de la « piétaille ». Qui le pourrait ici ? Vous connaissez l’estime des uns et des autres.
Il me semble que le problème est tout autre. ce problème c’est Clopine. Elle ne supporte pas qu’on vous agresse injustement, exprime l’admiration affectueuse qu’elle vous porte et l’a « envoyé paître » un jour où ne supportait plus son attitude à votre égard.
Pensez-vous qu’il ait oublié que j’ai dit d’elle qu’elle était une « garce » (et ce jour-là, je le pensais vraiment) ou l’attitude moqueuse de Chaloux ou de M.Court à son égard ? Bien sûr que non. Je crois qu’il porte une dévotion à Clopine. c’est joli, frais, pur et ça le rend un peu jaloux ou très furieux.
Voilà.
Bon, quand il déraille, je passe… j’attends qu’il se calme, qu’il revienne dans le dialogue par une question fine de culture – et il en a en réserve !
Il est insupportable mais passionnant, et dans ce lieu, qui n’est pas la vie réelle, j’aime (ayant abandonné mes aspirations « de faire conversation ,[…] sans arrière-pensée dans cet espace du commentarium ouvert à un accueil serein et aimable de toutes les interventions fussent-elles maladroites, ou simplistes », je persiste à venir lire et écrire des petites choses – sans oublier mes citations !
(Cet espace n’a jamais été pour moi paisible. Voilà dix ans que je le fréquente. Des vagues de haine, d’insinuations putrides, de moqueries, de trahisons, de mensonges, j’en ai eu mon lot comme vous, comme d’autres et ça continuera sans doute, mais je passe sur ces moments pénibles, j’oublie… et si je reviens c’est que la balade vaut le coup, absolument, même avec WGG, même avec Et Alii et d’autres que je ne nommerais pas. Elle vaut le coup car dans cette arène, cette nef des fous, se trouvent des moments d’intense ravissement, des aubaines sur le plan culturel, des pépites entre les pages des livres, sur les livres d’images, dans les musées, des paroles vraies, bouleversantes.
Et puis il y a les billets de Passou, toujours imprévisibles, toujours amenant un débat tant il y glisse astucieusement des phrases qui donnent envie de réagir.
Voilà…
Mais ces fils de commentaires sans vous, sans Lavande, sans cette diablesse de Clopine, sans la pétillante Ed qui aime la boxe, c’est un peu une communauté féminine tristounette même si de prestigieux commentateurs continuent de placer la barre très haute par leurs commentaires.
Bonne soirée, chère DHH.

et alii dit: à

pauvre christiane, avec votre interprétation de « dévotion »,comme vous tombez mal! comme c’est mal vu! et ce diablesse pour clopine ne vous relève pas;mais conversez,moi, ça ne m’intéresse pas,ces interprétations, relations, et étiquetage de bulletin scolaire ;l’enfant est cultivé!quelle pitié d’en être restées là! comme vous n’êtes pas intéressantes ,mesdames les retraitées de la vie réelle!moi, je m’en moque de vos discours d’une banalité écrasante; non, je ne suis pas idolatre, et je n’ai jamais rien écrit -ni beaucoup lu sur le blog à clopine, votre problème depuis longtemps!
j’ai autre chose à faire que de justifier mon rejet de vos comédies, à toutes et tous

et alii dit: à

qu’il on ne sait pas qui est ce « il » madame!c’est ce qui est écrit me semble-t-il!
vous êtes chère madame dans une grande confusion!
il est facile de dire que « le problème c’est clopine!pas ceux qui sur ce blog veulent tutoyer des inconnu-e-s d’eux, ceux qui écrivent que sur ce blog « on a des femmes »(sic)
à quoi jouez vous « au juste »,entre vous ? Effectivement ça ne m’intéresse plus, cette absence de référence à des auteurs « classiques » -c’est moi qui ai introduit F.Héritier, et déjà E . Badinter ,et sans « dévotion »!vous les « madames »de ce blog,vous harcelez grossièrement et vous considérez cela comme votre droit (inquisitorial)de ce blog que vous dites « prestigieux »;maintenant, vous pouvez continuer dans votre « entre soi » in et out de ce blog;que voulez vous que j’en ai à faire de vos amitiés! on a vu ce qu’elles donnaient les amitiés de ce blog ! et pas seulement WG!
Badinter donne des dates pour « répondre » au billet;depuis quand êtes vous les patronnes du blog? On dirait plutôt dames patronesses,avec vos histoires de « dévotion » si vous ne pouvez pas vous présenter par des « titres » quant à ce blog, je les soupçonne d’être une comédie que vous vous jouez entre vous face aux autres plus nouveaux à risquer un recours à d’autres propos que ceux que vous préconisez;
vous ne comprenez pas que l’on ait souci des mots et des expressions mais répétez que vous pouvez tout comprendre!bref vous vous prenez pour des lumières intellectuelles et les références ultimes hors desquelles point de salut;je vous souhaite de fécondes rencontres sur blog , ou autres réseaux ,puisque vous tenez pour nul-le-s tous les auteurs qui signent livres et articles et avouent qu’on ne comprend plus,aujourd’hui;bref, vous êtes des exceptions !
moi, je vous trouve inconsistant-e-s ;
ces dites « conversations »me semblent devenues vaines ; et je ne veux pas m’y intégrer;
inventez-vous bien ;valete

et alii dit: à

les mots
dévotion
nom féminin
1.
Attachement sincère et fervent à une religion (en général monothéiste ; souvent la religion chrétienne) et à ses pratiques.
Être plein de dévotion.
synonymes : piété
2.
Faire ses dévotions remplir ses devoirs religieux.

et alii dit: à

pour la précision, Clopine a cru lire que j’apportais de l’eau à son moulin, et que je l’aidais face à vos pressions et oppressions;si elle y a trouvé de l’aide dans mes avis , tant mieux! mais je ne m’inscrivais pas dans une guerre ;je ne suis pas idolâtre et ne cherche pas une « religion » serait-elle sournoise;
clopine a des qualités indubitables de « faire »: elle s’est instruite aussi en images, et à l’ordi, et ne s’est pas contentée de l’expérience psychanalytique qu’elle a dit avoir eue dans sa jeunesse;elle fait preuve d’un authentique désir, et ce n’est pas une souche;

et alii dit: à

les lecteurs qui ont tout compris:
l’auteur siri :a parlé et
elle s’amuse de Mia, son héroïne, des quiproquos nés de lectures trop autobiographiques de son roman, emploie sans cesse le mot «fun», rires éclatants, sourire large et franc, hypnotique. «It was fun», plaisir du rire, du partage, d’une ironie sombre aussi, lorsqu’il s’agit de se jouer des clichés sexistes comme des codes du roman.

et alii dit: à

Les Mirages de la certitude revisite la manière dont l’antique question (jamais résolue) du rapport du corps et de l’esprit a informé la pensée contemporaine, et ce souvent pour la déformer, voire la brouiller, dans les domaines des neuro-sciences, de la psychiatrie, de la génétique, de l’intelligence artificielle ou de la psychologie évolutionniste.

« Les Mirages de la certitude entend explorer l’insoluble problème du rapport corps/esprit qui hante la philosophie occidentale depuis la Grèce antique. En écrivant cet essai, mon souhait était surtout de montrer au lecteur, de la façon la plus claire possible, que les questions portant sur la nature de l’“esprit” par opposition au “corps” restent ouvertes, et sont loin d’être tranchées. Assez tôt, au cours de mes aventures dans le champ des neurosciences, j’ai été amenée à poser des questions simples aux scientifiques que je rencontrais. Pourquoi se servent-ils d’expressions comme “corrélats neuronaux”, ou, plus déconcertant encore, “représentations neuronales” ? De quoi ces neurones sont-ils le corrélat, ou la représentation ? Pourquoi toutes ces métaphores empruntées à l’informatique pour décrire des actions du cerveau ? Leurs réponses étaient tout sauf claires. La problématique corps/esprit est un vaste sujet – c’est le moins qu’on puisse dire. Mais mon intention, à travers cet essai, n’est pas d’en résumer l’histoire, ni de résoudre la question : il s’agit bien plutôt d’attirer l’attention du lecteur sur les différentes façons dont cette vieille énigme philosophique influence les débats contemporains en de nombreux domaines. (…) Je me suis donc donné pour mission de mettre en évidence les myriades d’incertitudes qui subsistent et de montrer que chaque discipline, qu’elle appartienne à la famille des sciences dites “dures” ou à celles que l’on qualifie de “molles”, est en partie tributaire d’éléments qui transcendent les frontières de la rationalité – à savoir le désir, la croyance, et l’imagination. »

S. H.

Bérénice dit: à

Et Alii, j’ai regardé cette grande librairie et je me souviens que l’auteure que vous admirez m’avait paru un peu envahissante, tres américaine dans le sens où lorsque sont interviewés des américains tres souvent s’abat un deluge de paroles et à tout propos. Surement est ce que je ne comprends pas cette idée de representation neuronale, c’est pour moi avant d’effectuer quelques recherches la representation qu’ont nos neurone d’un fait, d’une chose, d’un être sans que nous en soyons conscients. Des theses accessibles, un lien pour une approche :

https://lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d_12/d_12_cl/d_12_cl_con/d_12_cl_con.html

rose dit: à

et alii dit: 14 juin 2019 à 16 h 20 min

Mais Herzog annonce d’emblée la corruption à venir par un carton reprenant une citation de Georg Büchner : « Le moindre silence ressemble à un hurlement ».

Séquence souvenir :
Un jour, un de mes élèves que j’aimais bcp et soutenais particulièrement, il y a dix ans environ, en classe de troisième dit « un silence assourdissant ».
Qq jours plus tard, je le complimente pour la formule et lui demande d’où vient elle.
Il me répond que c’est moi qui l’ait employée. Je crois l’avoir empruntée sur ce blog de pierre Assouline.

Un silence assourdissant.

Une petite jeune fille africaine, très intelligente, (dont un notaire aurait bien fait son plat principal) dit à la procureur  » ne me demandez rien sur ce qui s’est passé dans mon pays, je ne peux pas le raconter ». Ce n’est pas racontable rajoute’t’elle.

rose dit: à

C’est dans une série. Américaine ?

DHH

J’aurai grand plaisir à lire ce que vous diriez sur/de Romain Gary.

Ne vous bilez pas ; les jugements péremptoires n’engagent que ceux qui les portent (comme moi avec mon Daesh à Palmyre). Continuez, nous sommes heureux de vous lire, vous avez pleine place ici, fauteuil rouge, rang d’orchestre.

Avec toute ma sympathie,

poussière dit: à

me demande très sérieusement ce qu’il y a avant du monde d’après

Lavande dit: à

Christiane : et alii est une femme.
Et alii : le commentaire de Passou le 13 juin à 13h44 est un commentaire de Christiane qui avait dû être effacé par erreur et qu’il recopie (voir signature).

renato dit: à

Les mondes se suivent apparement divers, mais toujours risibles rétrospectivement…

Lavande dit: à

Christiane : et alii est une femme.
Et alii : le commentaire de Passou le 13 juin à 13h44 est un commentaire de Christiane qui avait dû être effacé par erreur et qu’il recopie (voir signature).
Pas toujours faciles les échanges !

poussière dit: à

C’est pas drôle renato. Enfin on verra ça plus tard.

Alexia Neuhoff dit: à

DHH dit: 14 juin 2019 à 20 h 35 min
« Car je trouve que la personne de grande culture, sans doute de statut universitaire élevé, qui signe Et alii ,et qui alimente en permanence ce blog de manière exceptionnellement riche dans de multiples domaines, en a un peu perverti l’esprit, parce qu’elle fait coexister avec un partage généreux de son savoir un grand mépris, qui s’exprime sans aménité pour ceux, dont moi qu’elle considère, peut-être à juste titre , du haut de son piédestal comme de la piétaille intellectuelle »
Vous ne manquez pas d’humour ou d’ironie. Si bombarder un espace de commentaires de liens pêchés sur la Toile relève d’une « grande culture », c’est alors à la portée d’un enfant de dix ans. Quelques mots-clés et un moteur de recherche y suffisent. M. Assouline himself s’est fendu d’un compliment à ce propos, ce qui a eu pour effet de décupler le pilonnage. Il n’est pas inutile de flatter le fournisseur –quasi exclusif- qui vous permet de faire du chiffre.
Comme vous ne manquez pas de perspicacité en matière de lecture, vous aurez constaté qu’il y de grandes différences entre ce qui est emprunté ici ou là et copié tel quel, et ce qui provient de ses propres productions/élucubrations. Son vrai visage est dans ses scribouillages.

renato dit: à

Je n’ai pas dit que c’est drôle, poussière, mais que c’est risible. Songez, par exemple, à l’état de propreté des espaces publics fin XIXe — éjections équines, canines… et non seulement — et à la petite traîne qui complétait les jupes…

Alan B. dit: à

Imaginez un « B » au lieu d’un « C » & un Jacques de Labretelle au lieu du petit Zeus des réacs réunis. Tout en aurait pu en être été changé. Vive l’onomastique contrefactuelle!

christiane dit: à

@Lavande dit: 15 juin 2019 à 8 h 30 min
Bonjour, vous écrivez : « et alii est une femme. »
Effectivement si on s’en tient à l’accord des participes passés dans ces commentaires. Je n’y crois guère. Cette personne s’exprime de plus en plus comme WGG, a les mêmes références. Est-ce lui ou quelqu’un qui le continue par amitié ? mystère… Les personnes sous pseudos sont de sexe indéterminé.

Vous écrivez ensuite à Et Alii : « Et alii : le commentaire de Passou le 13 juin à 13h44 est un commentaire de Christiane qui avait dû être effacé par erreur et qu’il recopie (voir signature) »

Votre remarque est bien venue. Oui, j’ai senti dans son remerciement qu’il avait fait erreur sur l’expéditeur ! (Pourtant Passou ne s’exprime pas de cette manière comme l’a souligné, avec un humour acide, Sasseur, immédiatement après son apparition.)
Mon commentaire ne s’était pas effacé par erreur, il disparaissait à l’envoi et si j’essayais de le renvoyer, l’indication « doublon » apparaissait. Ne comprenant pas ce qui se passait, après quelques essais infructueux, j’avais demandé de l’aide à Passou.
(Quelques commentateurs, ici, ont signalé ce blocage à plusieurs reprises. Est-ce un caprice de l’algorithme qui gère, je crois, la mise en place des commentaires ? C’est possible.)

Un peu plus tard, j’avais quand même pu envoyer deux lignes à Et Alii pour lui signaler que mon commentaire, à lui adressé, sur Thomas Gleb ne passait pas. Il m’avait répondu – ayant encore une fois mal lu un commentaire – que « son lien » passait bien. Il l’avait d’ailleurs remis. (Lien que j’avais déjà eu beaucoup de plaisir à découvrir, T.Gleb étant un créateur qui m’émeut particulièrement. (Cette tapisserie, dans l’oratoire de l’hostellerie de La Sainte Baume avait provoqué des réactions vives, pas toujours positives…)

Bien, ceci étant éclairci, j’ai hâte de vous re -lire, DHH aussi. Vous auriez pu et l’une et l’autre, tellement enrichir les échanges sur les écrivains évoqués…
Je suis lasse, comme vous deux de ces commentaires injurieux et immérités qui vous éloignent de l’espace commentaire de ce blog.

et alii dit: à

pour les perrsonnes qui ne l’ont pas vue, cette grande librairie présentait
des personnes incarnées dans leur corps; un couple d’auters américains,homme et femme identifiables commre tels;
un écrivain français qui avait composé une anthologie d’expressions ressassées qui apparaissaient écrites sur un tableau et qui reviennnent sur la RDL par exemple!
(entre lesquelles une remarque sur le tutoiement! etc ,et qui rendent manifeste ce que devient une « conversation »-ou un échange »-qui en est truffé, rythmé, -ce que les discutants de la RDL auraient pu reconnaître comme une caricature de leur style;
je voudrais faire observer que ces auteurs s’expriment sur leur point de vue sur leur « intimité » et leurs engagements dans la vie publique dans des entretiens publiés sur la toile, qu’lo s’agisse du féminisme, ou de la famille, ou de la religion;ceux qui témoignent ne sauraient être contestés sans contre témoignage d’ un tiers;
il y a eu des précédents sur l’identité sexuelle sur la RDL/exigez vous un examen comme pour les sportives, et comment accepteriez vous celui-ci, ou l’imposeriez vous? En avez vous le droit par vos statuts? UN PORTE PAROLE d’un état parle en tant que tel:en voici un, qui s’est exprimé sur sa judéité: contesterez-vous le lien? OU QUE JE VOUS DISE QUE JE L’AI CONNU d’un on s’en tape?comment donnerez vous du poids et de la cohérence à vos paroles, si ce n’est par un témoignage?
Vous ne vous questionnez pas sur votre fonctionnement, vos narrations, vos oukases : affichez vos statuts, y compris sur les langues et dialectes autorisés!vous harcelez sans en avoir conscience!connaissez vous le lieu de ma naissance, celui de mes parents, comment je les ai connus, ces lieux? vous êtes arrogants et outrecuidants,c’est le moins qu’ on puisse dire et fonctionnez sur moi, moi et moi? VOS envies,comme si les billets comptaient pour du beurre!et pas seulement quant aux patronymes des auteurs évoqués;regardez vous ,et si une video extérieure à la RDL ou un lienvous tendent un « miroir »,OU un lien, je ne suis pas plus responsable du miroir que de votre entente de la langue française

Jacques R. dit: à

Toujours pas le moindre hommage à Michel Serres sur ce blog. je trouve ça un peu étonnant.

christiane dit: à

A propos de ces algorithmes.
L’algorithme de la plateforme du blog de Passou utilise des milliers de signaux pour classer tous les contenus des commentaires envoyés, les rendre visibles ou invisibles. C’est un petit robot capricieux qui parcourt toutes les lignes de l’espace-commentaire et qui décide ensuite lesquelles il accepte. Combien de commentateurs, ici, relisant leur commentaire refusé ou disparu avant publication, n’ont pas compris pour quelles raisons il l’était. En fait, on ne saura probablement jamais pourquoi « l’algorithme » a fait ce choix. Son caractère obscur produit des effets inattendus et indésirables, pas forcément justes. La régulation des plateformes des blogs par des machines nous introduit dans le monde fictif de Borges : Le jardin aux sentiers qui bifurquent,(titre de l’une des nouvelles que l’on retrouve dans le recueil Fictions) :
« Dans toutes les fictions, chaque fois que diverses possibilités se présentent, l’homme en adopte une et élimine les autres ; dans la fiction du presque inextricable Ts’ui Pên, il les adopte toutes simultanément. Il créé ainsi divers avenirs, divers temps qui prolifèrent aussi et bifurquent. »

christiane dit: à

@Jacques R. dit: 15 juin 2019 à 10 h 13 min
Vous écrivez : « Toujours pas le moindre hommage à Michel Serres sur ce blog. je trouve ça un peu étonnant. »
Dans l’espace-commentaire nous en l’avons abondamment évoqué (Et alii en tête), mis des liens, même s’il n’y a eu aucun billet de Passou à ce sujet.

et alii dit: à

L’athlète sud-africaine Caster Semenya après le 1500m du meeting de la Ligue de Diamant de Lausanne le 5 juillet 2018 afp.com/Alain GROSCLAUDE
La double championne olympique Caster Semenya attaque la nouvelle norme de la Fédération internationale d’athlétisme.
Quel traitement pour les athlètes hyperandrogènes ? La question resurgit cette semaine avec l’audience du Tribunal arbitral du sport (TAS) qui examinera durant cinq jours le recours de la Sud-Africaine Caster Semenya contre le nouveau règlement discriminatoire imposé par la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) aux athlètes féminines produisant naturellement beaucoup de testostérone.
https://www.lexpress.fr/actualite/sport/athletisme/sport-l-hyperandrogenie-devant-la-justice_2062853.html

renato dit: à

Autonomie des machines [déja mis en ligne mais peu importe] :

« Au cours d’un projet Facebook, deux bots ont commencé à dialoguer entre eux en employant un langage que les programmateurs n’ont pas pu comprendre ni su déchiffrer. Même si ce fait ne semble pas inquiéter les programmateurs — au moins ceux qui nous invitent à ne pas nous en soucier —, nous ne devrions pas prendre l’expérience à la légère ; devrions plutôt nous poser la question de savoir comment interpréter ce fait ; et aussi si en condition d’incertitude — connaissance limitée des dynamiques futures et des variables en jeu —, des bots pourraient prendre des décisions ; ou si la condition d’incertitude en limitait l’efficacité et en provoquait des conditions de doute ou d’indécision. J’ai imaginé que si n’importe qui peut apprendre les codes de la communication afin de confectionner un objet et persuader le public qu’il vaut la peine de l’acheter, un bot aussi pourrait composer une bagatelle [pour piano par exemple] de bonne facture ; qu’il puisse même pénétrer le mystère de la vérité ! et voilà que finalement libérés des ennuis de la création nous pourrons passer notre temps en le perdant. »

et alii dit: à

Les personnes sous pseudos sont de sexe indéterminé.
et christiane, c’est quoi,un nom de coiffeuse?
Et les « vernissages <qu'une plasticienne de province que j'ai connue appelait un ternissage, ce n'est jamais mondain?

et alii dit: à

c’est bien renato que vous qu’on a charrié sur son histoire, vous montriez le « maintenant » de l’informatique!
j’espère que vous travaillez bien (et allez bien:l’autre jour, j’ai demandé dans un resto sur une petite place du midi une Marie brisard perrier,ce que je prenais pour souffler parfois entre des visites de travail avec un lourd livre à montrer)il n »‘y avait pas de Marie brisard:je n’ai rien pris!)

Jacques R. dit: à

@christiane

Autant pour moi.

et alii dit: à

il a été dit mille et une excuses!la langue
piétaille
nom féminin

(latin populaire *peditalia, du latin classique pes, pedis, pied)

 DÉFINITIONS
Ensemble des hommes de pied dans les armées du Moyen Âge.
Familier. Troupes à pied, par opposition aux troupes montées ou motorisées.
Ensemble de ceux qui occupent des fonctions subalternes, qui ont une situation très modeste.

et alii dit: à

et  » bobonne »,ce n’est pas du mépris?

renato dit: à

Vernissage est un mot plutôt désuet — obsolète ? — : qui vernit encore les tableaux le jour de l’inauguration ?

christiane dit: à

@renato dit: 14 juin 2019 à 18 h 48 min
Renato,
votre lien :
https://pin.it/46qpa56rjbm5jt
est particulièrement bien trouvé.
Erving Goffman, (1922-1982), ce sociologue et linguiste américain d’origine canadienne, étudia dans le prestigieux département de sociologie de l’Université de Chicago avant d’enseigner à Berkeley. Il se passionnait pour les rencontres « face à face »(Les rites et stratégies de l’nteraction), étudiait la manière dont les gens gèrent l’image qu’ils transmettent d’eux-mêmes par leur comportement, leurs relations en public.
La couverture du livre que vous proposez en dit long. Elle pourrait être celle de ce blog !
Ses textes ont un caractère disparate,original, éclectique, ils sont plus littéraires que scientifiques.
Je l’avais découvert dans un hors-série de la revue « Sciences Humaines » en 2002. Ses recherches étaient présentées comme s’il voyait la vie sociale comme une sorte de théâtre, où nous serions des acteurs endossant des rôles, différents selon le lieu où nous serions : travail, soirée mondaine ou intimité du foyer. Ils évoquaient un livre que j’ai emprunté alors à la bibliothèque : La Mise en scène de la vie quotidienne – (Minuit).

Bérénice dit: à

Lavande, le procédé laisse à penser. Homme ou femme, homme et femme , un pseudo commun ou prêté épisodiquement ? Je n’en dis plus rien car le fantôme qu’il abrite me taxe de noms d’oiseaux ou d’autres qualités à travers lesquelles je ne me reconnais pas , je doute que mes neurones s’y reconnaissent non plus.

et alii dit: à

VOUS SAVEZ renato-encore un tic de la novlangue,you know what!-cette plasticienne travaillait alors avec des vieux enjoliveurs de voiture qu’elle récupérait, je ne sais comment;mais c’était chouette

hamlet dit: à

« et alii dit: 14 juin 2019 à 22 h 17 min
Quand Siri lit Kierkegaard jusqu’à 3 heures du matin, vous n’en avez pas assez?
Siri Hustvedt – Le fait est que Kierkegaard me rend dingue. Quand je le lis, je dois le mettre de côté assez vite, parce que, vraiment, c’est à devenir fou. Il me réveille la nuit… »

« vous n’en avez pas assez ? »

cette question est surprenante et attendue.

bien sûr que non, comment le fait de savoir que K. la réveille à 3h du matin pourrait nous suffire ? nous suffire à quoi ? à se dire quoi ? « quelle femme admirable, intelligente… »

comment une remarque qui ne vise qu’à donner une bonne impression de soi pourrait-elle nous suffire ? c’est typiquement de la pensée américaine : que pensez-vous de K. ? wow it’s awesome !

vous avez trouvé ça où ? dans une journal féminin ? Madame Figaro ? Marie-Claire ? ces journaux qui voudraient nous faire qu’une femme est toujours une cruche ?

là encore c’est le signe d’un monde devenu proustien. Quand passou parle du « snobisme » de Proust c’est quoi ce snobisme ?

au début je pensais que Proust était mysogine parce qu’il ne fait pas dire une seule phrase intelligente à ses personnages féminins, on y croise des cocottes riches, des pauvres poules, des aristos bien fringuées même quand elles peignent en tablier, des bourgeoises bas de plafond, la Verdurin pourrait nous sortir : « ah Kierkegaard ! ne m’en parlez pas, cet auteur me rend dingue ! quand je le lis je me réveille à 3h du matin…. »

mais en fait non, il n’est pas misogyne, parce que Proust non plus n’est pas capable de nous pondre une seule phrase intelligente, il ne vaut guère mieux que Rachel.

sauf que quoi ? tout est dans la senxibilité de la perception, le regard, l’odorat etc… plus une capacité énorme de psychologue + un talent prodigieux d’écriture, et voilà de quoi nous faire avaler la pilule de cette absence de pensée.

et quand je dis que notre monde est proustien, à savoir que toute notre intelligence se situe dans la perception au détriment de la pensée ce n’est pas une critique, si nos sociétés tendent vers ça c’est simplement parce que nous ne pouvons pas faire autrement, on le voit, l’empilement de tous ces discours sur la relation de l’individu à la question du bien commun, autonomie, liberté etc… les gens sont perdus, du coup on remplit le vide en accumulant des liens comme sur ce blog, comme si nous allions trouver une bonne réponse parmi cette multiplicité.

Et proustienne aussi du fait de l’avantage donné à la forme, je ne sais plus qui avait dit « il écrit comme un Dieu », et voilà : Dieu est dans la forme, qu’importe l’absence de pensée si notre Dieu incarne la beauté du style, et voilà et alii, alors non je n’en ai pas assez avec ce qui dit cette femme.

et alii dit: à

trouver un surnom :comment donne-t-on un surnom? pourquoi?

christiane dit: à

Jacques R. – 11h13
C’est sur la deuxième page des commentaires du billet de Passou du 31 mai « Des Italiens se mobilisent pour sauver… l’Histoire ».
Ça commençait ainsi :

et alii dit: 1 juin 2019 à 22 h 07 min
Le philosophe et académicien Michel Serres est mort

christiane dit: 1 juin 2019 à 22 h 22 min
Oui, Et Alii, je viens de l’apprendre…
Il y a seulement 7 jours, sur France Inter :
https://www.franceinter.fr/emissions/questions-politiques/questions-politiques-26-mai-2019

et ça continue avec différents intervenants sur les pages suivantes.

renato dit: à

Merci et alii, je suis plutôt embêté, car je dois persuader un vieux collectionneur qu’en cédant un Klee que je lui ai vendu il y à 40 ans de là, à une jeune femme — 35 ansquand même — qui commence maintenant sa collection, il ouvre une possiblité de réinterprétation du travail de Klee ; mais lui il semble plus intéressé à son Klee que à une évolution de la manière de le regarder. Bon, je me suis donné une semaine : il faudra que je fasse preuve de virtuosité réthorique…

Pourquoi ne pas passer au gin tonic ? Le rapport gin eau-tonique est bien équilibré pour ceux qui veulent rester lucides.

et alii dit: à

15 juin 2019 à 11 h 26 min
HAMLET,figurez-vous que les journaux féminins en bibliothèque sont lus et empruntés par des hommes;je n’en ai pour ainsi dire pas lus;c’est surement par un journal littéraire ou comme l’obs que j’ai appris le mariage de Auster :dont j’avais lu des livres )avec sa savante femme norvégienne (ça c’est vous qui l’avez fait sortir!)et comme les gens qui parlaient toujours neurones m’énervaient,j’ai cherché à m’instruire et comprendre où on en était maintenant;et pour le blog cherché sur la toile des articles pour tous!
cette femme n’est surement pas une parfaite cruche,comme on dit, et a de l’expérience, même de l’enseignement ;vous trouverez ce qui peut vous intéresser et titiller ce blog assoupi dans sonauto satisfaction et ses certitudes (sexuelles notamment,qui est son problème)
j’ai connu un médecin, devenu traducteur par hasard qui me raconta qu’il s’adressait toujours aux journaux féminins pour faire connaître son travail;
je vous retrouverai son nom dans ma mémoire(mon cerveau),il faisait faire par ses enfants son travail et mailing politique!je n’ai pas voulu m’intéresser à sa famille ni à lui personnellement, dont j’ai donné un livre à une bibliothèque

Marie Sasseur dit: à

@Et Al

Le chahut monte…

Alors Mallarmé, réveillé comme un dieu, émergeait de sa lecture, donnait dans l’air chargé de fritures un coup sec de la tête, empoignait, de cette main qui avait débouché un flacon poétique d’un prix inconcevable, une règle filetée de cuivre, je l’ai vue de près, cette règle, et projetait sur trois tons: «Assez, assez, assez ! J’ai dit !»

De J. Drillon, via L-P. Fargue qui a RENCONTRE Mallarmé, via sasseur, lol.

https://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20141121.OBS5808/mallarme-prof-d-anglais-et-martyr-de-l-education-nationale.html

et alii dit: à

je viens de regarder très vite:ce médecin « traducteur épisodique » s’appelait Maurice Wajdenfeld,et il s’était intéressé à Janusz Korczak, ( le roi des enfants ») je crois qu’il y a eu une association sur ce pédagogue et qu’on édita un timbre à son effigie mais je n’ai pas le temps de chercher maintenant, à l’époque où j’ai rencontré ce médecin qui a connu la guerre en France, -sa femme était française-j’ai vu des papiers, ce timbre;j’ai oublié l’histoire de cet homme qui s’entendait(son patronyme) comme Wajda,ce qui le faisait gamberger!mais pas ses interlocutrices!

et alii dit: à

le livre traduit(là, je me souviens bien qu’il avait trouvé une édition originale » sur les quais:
Le Roi Mathias Ier (titre original: Król Maciuś Pierwszy) est un roman d’apprentissage de l’écrivain et pédagogue polonais Janusz Korczak paru en 1922 à Varsovie. Considéré comme un classique de la littérature jeunesse, il est publié pour la première fois en France en 1967, aux Éditions Martineau.

et alii dit: à

sur l’auteur pédagogue:
dans une bio sur la toile
11-1940 — Le 29, Dom Sierot est déménagée dans le Ghetto de Varsovie. Janusz Korczak affronte la Gestapo, est jeté en prison, en est libéré par les trafiquants au bout d’un mois. Son ultime combat consiste à mendier pour nourrir les enfants et à se battre pied à pied, pendant presque deux ans, pour préserver la dignité des enfants. Il tient son •Journal du ghetto, un témoignage unique sauvegardé de justesse. Cinquante ans plus tard, un livre entier de ses notes sera retrouvé anonymement.
07-1942 — Sentant venir les derniers moments, Korczak fait jouer aux enfants Amal, ou la lettre du roi, pièce de théâtre de Rabindranath Tagore [web 1 – 2], une grave et belle réflexion sur la mort d’un enfant (« Passeur emmène-moi sur l’autre rive du fleuve »). Les Nazis commencent la « liquidation » du Ghetto le 22 juillet : malade et épuisé, Korczak note que c’est le jour de son anniversaire.
08-1942 — Déportation massive des orphelinats : parmi les innombrables cortèges formés à travers le ghetto, on a pu voir Janusz Korczak, Stefa, les éducateurs et leurs deux cents enfants être emmenés dans les trains du camp d’extermination de Treblinka, où tous, aussitôt arrivés, furent assassinés.

j’arrete;

Marie Sasseur dit: à

T’imagine, toi lecteur, le pisse-vinaigre de Lacretelle des beaux-quartiers proustiens du VIIIeme, en deçà du perif’, comme le sont les « quart-mondistes, tiers-mondains » de la bobo league du XXIème (siècle) donner du « mon Seigneur » a Silbermann?

Non, et tu as bien raison.

Sais-tu que Cohen est un aptonyme, comme Mr Drillon en rappelle la definition, dans son papier collė ?

Cohen veut dire prêtre en hébreu, et Pagnol et Cohen, tous deux ayant fréquenté le MÊME lycée, (Marseille ) s’en sont beaucoup amusés.

Marie Sasseur dit: à

08-1942 — Déportation massive des orphelinats : parmi les innombrables cortèges formés à travers le ghetto, on a pu voir Janusz Korczak, Stefa, les éducateurs et leurs deux cents enfants être emmenés dans les trains du camp d’extermination de Treblinka, où tous, aussitôt arrivés, furent assassinés.

j’arrete;

Oui, je pense que c’est mieux, Et Al.

Marie Sasseur dit: à

Nicolas Sarkozy a inauguré une rue Simone Veil vendredi à Belfort, rendant hommage à l’ancienne ministre dont le « combat » contre l’antisémitisme et le racisme est toujours d' »actualité », et réaffirmant pour sa part que la vie politique n’était « plus [son] quotidien ».

L’ex-chef de l’État était présent à l’invitation du maire (LR) Damien Meslot, aux côtés de Pierre-François Veil, troisième fils de l’ancienne présidente du Parlement européen (1979-1982), survivante du camp d’extermination d’Auschwitz.

https://www.la-croix.com/France/Politique/A-Belfort-Sarkozy-inaugure-rue-Simone-Veil-redit-politique-plus-son-quotidien-2019-06-14-1301028878?from_univers=lacroix

Marie Sasseur dit: à

Romain Gary et Simone Veil, les deux grands zappes de la rdl.
Alors on promeut des Lacretelle, ckomça.

Phil dit: à

1917, la station de métro « Berlin » est débaptisée en « Liège », Proust et Lacretelle maniaient le bouchon dans les salons du Ritz, seul Léautaud resté lucide proposera de déboulonner la place des Victoires.

de nota dit: à

Korczak a écrit le droit de l’enfant au respect, c’est un texte qui pourrait être obsolète, eh bien non, de même, Montaigne est actuel quand il s’oppose aux châtiments corporels…mais  » tout le monde » aime les enfants! Et la lecture de Montaigne ou de Korczak est certainement superflue.

Bérénice dit: à

Etalii, vous estampillez les utilisateurs du blog en leur attribuant une « autosatisfaction » , je crois que si des hommes et des femmes le fréquentent c’est pour y puiser et non pour s’y mirer avec comme on peut supposer une attente, un besoin, un desir inavoués ou dissimulés du type admirez moi. Et vous ?, si nous autres sommes autosatisfaits pour blog autosatisfaisant, ne seriez vous pas l’homme ou la femme sandwich assurant son auto promotion et bien qu’anonyme cherchant à éblouir si ce n’est captiver aidé d’un rouleau papyrus interminablement déroulé sans que vous acceptiez toujours sauf exceptions les reactions ou de réponses à vos multiples passionnants envois. Je ne vote pas pour votre poisson pilote et si vous ne vous confondez pas vous exhalez de temps en temps la meme négativité nauséabonde .

Bérénice dit: à

De nota, si lire servait à guérir…

DHH dit: à

@alexia 20 h 47
vous exprimez des doutes sur la réalité de la culture dont et alii fait ici étalage
Vous formulez l’hypothèse que je n’osais pas exprimer
Cependant un détail me retient d’y croire tout à fait : Quelle motivation peut pousser une personne à faire étalage d’un savoir qui n’est pas le sien pour briller auprès de gens qu’elle ne connaît pas ?
Sur l’identité WGG et Et Alii je n’y crois pas :d’abord par ce que WGG était un personnage dont la culture s’exprimait sur le blog d’une manière qui n’apparaissait jamais pas comme le déversement d’un fatras wikipédiesque ;de plus sauf avec ceux qui en avaient fait leur souffre-douleur ,avec qui il l se montrait agressif, il était amical et bien veillant et fort d’une certaine générosité qu’on découvrait quand il parlait de son travail de prof
En fin parce que WGG est un homme et qu’à l’évidence Et alii est une femme. Vérité qui s’impose a partir de ses post non seulement parce qu’elle évoque son ancien mari , donc une relation ancienne et nécessairement -époque oblige-hétérosexuelle, mais surtout parce qu’elle a vu dans une femme, moi en l’ »occurrence, une jalouse du statut de star qu’elle aurait acquis ici en m’en dépossédant. Fondée ou pas une telle opinion ne peut être qu’une pensée de femme

et alii dit: à

je ne suis pas responsable si certains reconnaissent leurs attentes quant à ce blog;je me souviens d’une bibliothécaire qui répondait systématiquement:vous avez regardé sur internet?
INTERNET n’est pas mon réflexe et surtout pas la RDL DES « petits chéris »à WGG qui a préférer la quitter;il avait ses raisons , je suppose,et ce n’est pas moi qui les contesterait;il y a quand même d’ autres interlocuteurs que ceux et celles(!) de la RDL,avec cette psychologie de gargotte,qu ils elles veulent imposer, quoiqu’en dise le billet sur « la jalousie et les jalou-ses, les mécanismes de « projection », et autres tentatives primitives de « divination »!
portez vous bien,avec votre slipmania, je ne suis pas à Paris où j’ai le plus de souvenirs -mais enfin,ça va!les beaux jours sont là, et tant mieux!

Jazzi dit: à

Il est évident que Et alii n’est ni cultivée, encore moins intelligente et n’est pas WGG. Avec l’étalage de ses liens tout azimut, elle fait songer à ces vieux militaires bardés de décorations et rien moins qu’héroïques.

55 000 euros pour la semaine de location de la villa des Poiriers par les Obama à Villeneuve-les-Avignon. Une famille modèle pour un remake de « Parasite » ?

Marie Sasseur dit: à

Des vieilles donneuses de leçons, plutôt,et qui ne savent pas lire.
Des qui ne feront jamais mentir le principe de peter.

Marie Sasseur dit: à

Le prof mytho qui copiait des pans entiers de liens sans en donner la référence, et c’est ça un prof cultivé, pour les cretins.

et alii dit: à

je n’ai pas identifié des stars sur ce blog;WGGracontait ses histoires généalogie, ses amours :il s’en est fait remontrer;il avait un blog personnel, j’ignore s’il le tient toujours; c’est l’idée de cerain-es qu’on les envie:grand bien leur fasse;mais elles ne sont pas les premières à se croire « désirables »!ce n’est pas de google que j’ai appris à rencontrer certaines personnes, sans y tenir d’ailleurs;j’ai une expérience professionnelle qui m’obligea à une autre souplesse mentale!connu des gens qui sont mort-e-s jeunes, d’origines différentes;hier une jeune femme d’origine vietnamienne -dont je n’avais pas remarqué qu’elle était enceinte-me racontait qu’elle a un neveu sans doute autiste(elle ne prononça pas le mot, toute à sa peur sans doute pour les enfants qu’elle désirait encore(jusqu’à ce qu’il y ait des filles a-t-elle précisé) chacun ses expériences, ses rencontres comme ses lectures;je ne cherche surement pas des « conseillers »spéciaux:je les laisse aux autoproclamées « stars »!c’est l’époque qui instille ce style; eh bien que les gens jouent les mémés, les nounous, les tontons et les teutons pour un peuple infantilisé en petits chéris ! bonnes histoires et bonnes rencontres !je ne vous demande pas d’adresse

renato dit: à

Le monde d’avant ? un parfum de cire museifiée.

et alii dit: à

allons 15 juin 2019 à 13 h 39 minil ya sur ce blog des gens qui refusent les liens et d’autres qui ne viennent que pour ça!on appelle cette pratique de la loi le « double bind » je crois avec le jeu de mots sur la pratique des chercheursle « double blind » en double aveugle;j’en ai présenté une variant interprétée comme telle par des professionnels sur les vertus de la caféine contre les tremblements-voyez les titres de la femme deP.Auster;oui j’ai connu des grand-e-s malades, Parkinson(et c’était un  » dentiste »-j’avais très peur et impossible de refuser(de faire le cobaye!son frère et lui ont laissé leurs noms à des lieux d’enseignement de leur art,et c’étaient des parents lointains)donc je n’ai pas cherché dans google , je vois apparaître parfois dans des infos sur toile quelque chose qui fait tilt dans mon expérience;portez vous bien bonne chance!

Marie Sasseur dit: à

J’ai incidemment vu une « star » du blog en photo nature, et je dois dire que le regret manifesté ici, et pesamment réitéré, comme celui Lennie Small le quasi-debile, raconté par Steinbeck, qui voulait toujours avoir une souris pour lui « peter » la tête, m’a fait bien rire.

hamlet dit: à

peu d’intellectuels ont cent pour cent juste durant toute leur vie, prenez un type comme Aragon, malgré toutes ses erreurs il avait tout de même été sacrément visionnaire quand il a dit, il y a très longtemps : « la femme est l’avenir du foot ».

et alii dit: à

voyez que le double bind n’est pas un concept récent:
wikiUne double contrainte (de l’anglais double bind) est une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles. Si la personne est ou se sent prisonnière de la situation (notamment un enfant), cela rend le problème insoluble et engendre à la fois trouble et souffrance mentales. Une double-contrainte peut se produire dans toute relation humaine comportant un rapport de domination, et particulièrement dans la communication émanant du ou des « dominants ». La forme la plus connue de double contrainte est celle de l’injonction paradoxale!
internet vous en dira plus long sur les auteurs qui en ont fait une ressource narrative!
double-blind adjective
dou·​ble-blind | \ ˌdə-bəl-ˈblīnd \
Definition of double-blind
: of, relating to, or being an experimental procedure in which neither the subjects nor the experimenters know which subjects are in the test and control groups during the actual course of the experiments
— compare OPEN-LABEL, SINGLE-BLIND

Marie Sasseur dit: à

Et Al a 13h52, moi je ne crois plus personne ici qui se revendique sachant sur les pratiques du blog; je sais à quoi m’en tenir.

et alii dit: à

The first known use of double-blind was in 1950
See more words from the same year

Alexia Neuhoff dit: à

« Quelle motivation peut pousser une personne à faire étalage d’un savoir qui n’est pas le sien pour briller auprès de gens qu’elle ne connaît pas ? » DHH
Bonne question, DHH. Il ne vous aura pas échappé que ce personnage ne paraît guère équilibré mentalement. Vous aurez, au passage, noté ses nombreuses références au domaine psy. Par ailleurs, l’expression sur un média virtuel permet ces fabulations qui consistent à s’inventer une sorte de roman personnel. Pour le reste, difficile de chercher de la logique là où il n’y a pas de cohérence. Il faut croire que cela lui fait du bien…
D’accord avec vous : impossible de le confondre avec WGG quoique la tendance au même délire le saisissait aussi. Déjà d’un point de vue orthographique , WGG commettait d’énormes fautes d’accord qu’on ne retrouve pas ici. Et, en effet, il pouvait argumenter sans recourir perpétuellement à wikimachin.

Bérénice dit: à

Etalii 13h42: je m’arrête sur le mot désir(sans aller plus loin dans votre post) le désir éprouvé quelquefois meme pas conscientisé n’est pas toujours celui de se rendre, d’apparaître, de se vouloir désirable. L’admiration recherchée et donc le désir ou la volonté de susciter l’admiration ou tout autre sentiment se passe assez bien du désir de l’autre. A moins que vous ne soyez pas capable d’éprouver des sentiments de cette gamme . Ce n’est pas parce que vous admirez, éprouvez du respect, que vous désirez être cet autre qui les suscite ou que vous désirez carrément cet autre qui les génère.

Bérénice dit: à

Ou encore,que vous tentez de paraitre desirable à cet autre pour qui vous éprouvez de l’admiration et en réponse.

Bérénice dit: à

13h58 est ce que l’usage habituel de l’injonction contradictoire par un parent n’est pas à l’origine de troubles psychotiques ou de la personnalité entre autres causes puisque vous semblez en connaitre un rayon?

Bérénice dit: à

13h57 étonnant qu’etalii ne se fende pas en réponse humoristique d’un « je vous emmerde », hier matin il n’en était pas avare et je peux comprendre qu’il garde farouchement sa liberté d’expression.

et alii dit: à

ce qui était écrit par WGG sur la RDL sur le double bind sous un très bon fil (billet) de P.Assouline
Dans cette nouvelle de Kafka, on ne peut pas dire CE QUI EST VRAIMENT DIT (quod vere dictum est, en latin). On ne peut pas PARTAGER (teilen, en allemand, le vrai du faux). C’est ce qui constitue un jugement qui équivaut à une condamnation pour celui qui est victime d’un tel comportement à « double bind ».

Ce qui fait l’originalité de Kafka, c’est qu’il s’est ensuite servi de cette structure père/fils comme clé pour lire le monde. Tous ces grands romans (Le Procès, Le Château mettent en œuvre des structures et des comportement à « double bind ». On vit dans un tel monde (crise de civilisation).
https://larepubliquedeslivres.com/quand-lautre-est-un-pervers-narcissique-2/comment-page-2/

hamlet dit: à

et alii dit: 15 juin 2019 à 13 h 57 min

votre lapsus entre « double bind » et « double blind » est fort intéressante, « bind » c’est lier deux choses entre elles, « blind » c’est ce délier de ce que l’on ne voit pas, « double blind » étant le nom à ces expériences médicales où l’on donne à certains un médicament et à d’autre un placebo, contraintes contradictoires et en double aveugle se rejoignent dans nos sociétés.

quand des films comme le film coréen « Parasite » sont à l’affiche, il est plus intéressant de lire toutes les critiques que de voir le film lui-même, on retrouve dans (chez) ces critiques ces notions de double bind et double blind.

en fait personne ne sait vraiment à quoi notre monde devrait ressembler.

et alii dit: à

: 15 juin 2019 à 14 h 03 min
je ne déverserai pas des tombereaux d’insultes comme wgg sur ses contradicteurs avant de prendre la poudre d’escampette,mais depuis quand ce que vous nommez savoir vous est-il propre?Y Compris sur votre jour et votre lieu de naissance, alors les accords du participe passé, vous les avez appris de quelqu’un, même les mots de votre langue dite maternelle; et quand vous allez à la fac, même si c’est pour draguer, vous en retenez « des choses »,vous êtes des cruches incapables de penser votre expérience!

et alii dit: à

hamlet votre lapsus
non c’est un classique!

et alii dit: à

ce que j’ai trouvé sur la toile
C’est donc en allant plutôt par ici, à peu près vers le nord-nord-est (mais on peut aussi aller par là, si on préfére) qu’on découvre que l’escampette est un diminutif de ‘escampe’ qui, au XVIe siècle, désignait la fuite, mot lui-même issu du verbe du XIVe ‘escamper’ qui voulait dire ‘fuir’ (mais qui était considéré comme un mot vulgaire).
De nos jours, le mot ‘escampette’ n’est plus utilisé que dans cette locution qui date du XVIIe siècle.

Marie Sasseur dit: à

L’amant de Visconti est mort.

hamlet dit: à

et Alii me parait au contraire être une personne très équilibrée, peut-être même trop équilibrée, c’est juste une personne qui besoin de faire le tri dans toutes ces informations stockées dans son cerveau, non pas que ces informations soient très nombreuses, mais elles ne sont pas dans le bon ordre, ce qui peut donner effectivement cette impression d’un bug dans le logiciel.

mais ce bug existe bien à plus grande échelle, à l’échelle du monde, un flux trop important d’inforamtions arrivent trop vite, on n’a pas le temps de les mettre en ordre, cela donne l’impression que le logiciel patauge dans la semoule.

non, au regard du monde qui nous entoure je dirais même que et Alii est peut-être, parmi les personnes ici présentes, celle qui est le plus en phase avec notre monde, un monde où des algorithmes contradictoires s’entrechoquent.

christiane dit: à

@DHH
Cela fait du bien de vous lire à nouveau avec cette pensée argumentée, reconnaissable. Dommage que ce soit pour évoquer et alii. A vrai dire, homme ou femme, WGG ou pas, je m’en moque pourvu qu’il (elle) ne recommence pas à vous injurier.
Alexia fait des remarques pertinentes, Bérénice aussi. Je maintiens quand même les suppositions que j’ai émises quant à l’agressivité de et alii à votre égard.
Si et alii n’avait pas interrompu le fil des échanges pour s’en prendre si violemment à vous, nous n’en serions pas là !
Je retiens le délectable commentaire d’hamlet à 19h50 (et suivants) dont et alii n’a pas discerné l’ironie (20h02)… Le bouquet final étant l’invitation qu’il vous adresse à 20h46 à revenir dans ce « petit coin tranquille » que serait la RDL ! Je ne me lasse pas de lire ce trublion fascinant.
Il serait temps de laisser ce brouet reposer pour retrouver la joie de parler littérature.
Vous écriviez :
« j’avais envie de parler un peu de Romain Gary, beaucoup de Proust et aussi de Silbermann que j’ai redécouvert, et puis j’ai renoncé parce que désormais je m’y sens mal à l’aise. »
Alors, là, j’ai hâte de vous lire…

hamlet dit: à

chose assez marrante, c’est que dans le service psychiatrique où je réside maintenant, parfois je me ballade dans le couloir et je regarde par les fenêtres pour voir si quelqu’un pianote sur sa tablette, en fait non ils regardent tous le foot à la télé, il n’y a que moi qui suis branché sur le web, en fait il n’y as pas de connexion wifi dans l’hopital psy, du coup j’utilise mon téléphone et je le planque vite dès qu’un infirmer se pointe, parce que c’est pas autorisé, il parait que c’est pas bon pour les névrosés psychotiques.

et alii dit: à

qui besoin de faire le tri dans toutes ces informations stockées dans son cerveau, non pas que ces informations soient très nombreuses, mais elles ne sont pas dans le bon ordre, ce qui peut donner effectivement cette impression d’un bug dans le logiciel.
ça, c’est vrai sauf qu’avec l’âge , l’expérience, elles sont très nombreuses et qu’il faut les intégrer!je viens à peine de survoler le monde, pas vu les mails et j’ai sommeil!je pense que si je me couche un peu, je me sentirai mieux, je fumerai moins travaillez bien, et pas d’apocalypse pendant ma sieste svp!

Ed dit: à

Est-ce que et alii fait pipi ?

et alii dit: à

moi, je maintiens qu’une femme qui considère l’oeuvre des+ou- grands psys comme du verbiage et calcule une autre femme en mettant sa vie génitale par rapport à celle d’une autre femme (clopine)et n’a aucun regard critique sur la culture du judaïsme par les juifs eux-mêmes n’est surement pas un modèle d’intelligence et à admirer! pour notre temps;quand elle se revendique en sus comme talentueuse en littérature psychologique, c’est inquiétant de la voir en thérapeute conseil!qu’on la laisse causer soit!mais de là à s’asservir à ses envies,comme si on n’avait jamais rencontré d’autres personnes, surement pas!
pour les gens qui ont besoin de se réclamer du judaïsme, il y a des lieux d’études où ils verront quelques juifs dans l’exercice de leur magistère avec du public expérimenté (exemple AKADEM, qui donne des cours, met des videos de conférences à Paris)

et alii dit: à

dont et alii n’a pas discerné l’ironie (20h02)
qu’estce que vous en savez?qui avant moi a écrit avoir Hamlet à la bonne depuis longtemps?hamlet propose depuis longtemps un regard sur les billets en taquinant P.Assouline sans grossièreté,ce n’est pas peu!

Ed dit: à

La volonté de briller, que ce soit devant des gens que l’on craint ou comme ici que l’on ne connait pas, est très répandue. Des blogs aux dîners en passant par les réseaux sociaux, ça s’appelle le besoin de reconnaissance et je ne pense pas que DHH en soit exempte. Tout n’est qu’une question de degré ensuite, et chez et alii et feu WGG, il était particulièrement élevé.

Bérénice dit: à

Christiane, j’ai suivi cet échange hier soir , je n’ai pas eu le meme sentiment que vous.

Phil dit: à

crises de nerf et talons aiguilles chez le prestigieux passou, Almodovar rhabillé
lequel des amants de Visconti a cassé sa pipe, miss sasseur ?

Bérénice dit: à

15h09 je pense qu’ils s’en passent aisément et qu’ils en ont les moyens. Peut être était ce un peu moins clair pour WGG qui se déplaçait entre fonction pédagogique, généalogie foisonnante , désir hégémonique et mépris total en désespoir de cause avec un trait obsessionnel .

et alii dit: à

je ne vois pas en quoi il est brillant d’avoir suivi tel séminaire de traduction pour ds’initier aux bonnes pratiques ou d’avoir un parent(ascendant ou descendant )vivant et travaillant à l’étranger par exemple ; si d’aucun-e-s viennent ici pour parler de backrooms ou de slips, c’est encore leur question:je ne vois là rien de brillant;vous êtes piégés par le star système qui prend les gosses de plus en plus jeunes

Delaporte dit: à

Zeffirelli était un cinéaste très académique, le contraire de Godard. Il s’appuyait toujours sur des grandes oeuvres, Shakespeare notamment, mais aussi les évangiles. L’amant de Visconti, c’était un éphèbe quand il était jeune, a conduit sa carrière avec férocité. Je ne me souvenais plus que c’est lui qui avait réalisé La Mégère apprivoisée avec Burton et Taylor. Ce film, que j’ai vu quand j’avais neuf ou dix ans, m’avait paru magnifique, à l’époque. Plus tard, j’ai vu son Jésus de Nazareth. C’est là que les problèmes ont commencé, avec cette adaptation trop lisse, qui en d’autres temps l’aurait conduit au bûcher de l’Inquisition, à mon sens !

et alii dit: à

un psy juif souvent invité et qui a appris l’hébreu et le judaïsme y compris dans un contexte d’étude en Israêl, c’est Gérard Haddad,de formation ingénieur agronome avant de faire psychiatrie; pas du verbiage!
vous savez googler?je l’ai entendu dans différents lieux dont akadem,et j’ai lu ses livres ;ce n’est pas « un savoir personnel » non plus, mais des expériences personnelles surement!

Delaporte dit: à

Zeffirelli était à moitié antisémite (et jaloux) :

Quand le cinéaste Martin Scorsese traitera le même sujet dans La Dernière Tentation du Christ, Zeffirelli prendra position sur le mode polémique contre le film de son confrère américain, le qualifiant de « pur produit de la chienlit culturelle juive de Los Angeles qui guette la moindre occasion de s’attaquer au monde chrétien ». Wikipédia

et alii dit: à

pour celles qui se reconnaissaient quand j’ai écrit « qui savent tout »
haddad
Une femme ne naît pas alcoolique, elle le devient. Parce qu’un jour, quelque chose qui relève de sa fonction symbolique dans l’ordre de la procréation s’est trouvé bafoué. Telle est la thèse, clef d’interprétation d’un mal de plus en plus répandu, que Gérard Haddad avance dans ces récits-essais. Elle lui a été transmise par des femmes venues le consulter ou dont il a lu l’histoire, ou encore ai travers des témoignages de confrères.

hamlet dit: à

« pur produit de la chienlit culturelle juive de Los Angeles qui guette la moindre occasion de s’attaquer au monde chrétien »

on ne peut pas dire que ce n’est pas vrai, et pas qu’à los Angeles, durant des siècles les juifs se sont attaqués aux chrétiens, au moyen-âge dès qu’il y avait une épidémie ou un gain qui disparaissait les juifs en profitaient pour aller massacrer les chrétiens qui à l’époque vivaient dans ce qu’on appelle des ghettos, en Europe du nord ces pogroms contre les chrétiens perpétrés par le juifs se sont poursuivit jusqu’au début du 20è s., et selon certains historiens c’est même pour ces raisons que la Pologne a envahi l’Allemagne en 1938.

christiane dit: à

@Bérénice dit: 15 juin 2019 à 15 h 12 min
quel sentiment avez-vous eu ?

Delaporte dit: à

Bientôt, ce cadavre d’hamlet va nous dire que sous le IIIe Reich, ce sont les juifs qui ont attaqué les gentils et que tonton Adolf a fait de la légitime défense, contre son gré. Hitler, connais pas !

Bérénice dit: à

Qu’ils s’entendaient et s’ amusaient.

hamlet dit: à

et alii, vous qui semblez tout connaitre il y a un truc que j’essaie de trouver depuis des années et je n’y arrive pas.

en fait c’est simple, je voudrais savoir pourquoi au fil de ces dernières années l’écart entre les plus riches et les plus pauvres augmente ? pourquoi il y a 20 ans 10% de la population possédait 90% des richesses, aujourd’hui 5% possède 95% et dans 10 ans 1% posséderont 99% ?

sérieux je pense qu’il doit y avoir une raison d’ordre psychanalytique mais je n’arrive pas à trouver laquelle.

je sais que c’est moins important que les problèmes de maternité chez les femmes alcooliques mais je pense que quelque part c’est quand même lié.

Bérénice dit: à

Hamlet nous donne une histoire à l’envers. Pour cautionner Zeffirelli.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 15 juin 2019 à 13 h 35 min
55 000€… ahurissant ! ajoute les frais de protection, la nourriture, les cuisiniers et autres « serviteurs »… je comprends ta comparaison.
la maison a-t-elle un sous-sol ?

Bérénice dit: à

Hamlet comme c’est foutu, les riches se rassurent comme ils peuvent, avec de pauvres moyens ou les mêmes que ceux des pharaons pour se donner une chance d’accéder à une vie éternelle. Comme si la richesse pouvait les protéger d’une absence de futur, angoisse de mort ? ou comme les obèses se protègent des atteintes extérieures avec en plus pour ces riches ce qu’il faut de cynisme pour pouvoir se regarder dans un miroir néanmoins? Arrêt du developpement au stade anal?

de nota dit: à

La suite royale au Plaza Athénée coute 25.000 euros la nuit, alors 55.000 euros pour une semaine de location, c’est de la petite bière.

renato dit: à

Zeffirelli était plutôt ennuyeux, une production très middle class, enfin : propret et tous ces genre de choses.

christiane dit: à

@Bérénice dit: 15 juin 2019 à 15 h 51 min
Cela me rappelle un conte de Philippe Dumas (Le petit chaperon bleu marine extrait des Contes à l’envers – École des Loisirs – 1977) que les enfants prisaient encore plus que le conte de Perrault.

Le Petit Chaperon rouge est devenue grand-mère et vit à Paris, dans le treizième. Elle raconte souvent son histoire aux vieilles dames de son quartier.
Sa petite fille, Lorette, appelée le Petit Chaperon bleu marine, doit apporter de la laine à sa grand-mère mais elle se trompe de station de bus. Elle se rend à la ménagerie du Jardin des Plantes et parle au loup. En effet, elle envie les aventures de sa grand-mère. Elle le libère après lui avoir donné l’adresse de sa grand-mère. Arrivée chez sa grand-mère, elle pense avoir affaire au loup, menace sa grand-mère d’un couteau et la conduit au jardin des Plantes…
Les gardiens la libéreront tandis que le loup, libre, quittera très vite Paris. Le Petit Chaperon bleu marine se fera sérieusement réprimander mais se réjouira d’être devenue célèbre. Le loup, quant à lui, deviendra chroniqueur mondain et n’hésitera pas à enjoliver un peu son aventure…

Delaporte dit: à

La villa d’Obama à 55 000 €, c’est abusif. Cela donne envie de faire la révolution. Et Obama était prétendument démocrate ? Quelle honte ! Des vacances de milliardaire pour un homme de gauche ! On regrette le temps des anciens quakers, fondateurs de la révolution américaine, beaucoup plus sévères et sobres, que ce Obama qui dépense sans compter, et qui mériterait d’être passé à la casserole par une Ulrike Meinhof ressuscitée. Décidément, les Amerloques n’ont pas de chance ! Après Obama, voici Trump, et aussi vite on se rend compte que c’est blanc bonnet et bonnet blanc ! Ou plutôt, bonnet noir (pour Obama).

et alii dit: à

hamlet, qu’est ce que j’aimerais savoir sinon répondre à votre question au moins vous mettre sur la voie pour celles qui vous permettraient d’approcher
des ‘solutions » , des provisoires, bien sur, mais avec des articles bien à propos, incontournables, une bibliographie inattaquable:ah vous voulez me rendre indigne, que je pleure, rougisse, n’aie plus que des nuits-et des siestes-blanches!misère de misère de moi, je vais prendre un café à votre santé!

DHH dit: à

@hamlet
comme vous avez raison !
et ça continue, ils sont partout évinçant les chrétiens de toutes les places par leurs manœuvres tordues et malhonnêtes bien connues, tous si dominateurs et surs d’eux

et alii dit: à

hamlet, il faudrait que vous alliez vous dans un de ces séminaires savant, et quelorsque vous vous y sentirez à l’aise avec le »maestro »,vous le lanciez pendant une pause à la buvette,ou un moment de ce genre, à argumenter avec vous, et qu’il voie que vous tenez la route;choisissez bien votre compère ,séduisez le qu’il ne vous la joue pas avec des stades oral, de foot, et de java:pensez bossa nova avec ce pseudo boss et ça sera sur les rails!j’y crois , ça fera des étincelles à faire pleurer les jargonneurs de kabbala de tout ignorer:bon j’attends!

hamlet dit: à

55.000 euros la semaine ? oui ils ont fait un prix spécial parce qu’il est de gauche, c’est un démocrate, pour un républicain la semaine est à 60.000 euros.

c’est la différence limite scandaleuse entre la gauche et la droite, ceux de droite paient plein tarif, et ce deux poids deux mesures perdurent depuis la fin du siècle dernier.

si révolution il y a c’est contre ce type d’abus qu’on doit s’indigner, vraiment pas normal qu’à droite on paye plus cher.

x dit: à

@Renato
Dans « ce genre de choses » : le joli, le lisse et le « léché ».

Mais de temps en temps, c’était reposant ; v. le paragraphe très drôle qu’Arbasino consacre à une de ses mises en scène (Aida à Busseto, janvier 2001):

« Il mini-grandioso spettacolo di Franco Zeffirelli appare straordinariamente trasgressivo. Non si svolge infatti in un ospedale, in un carcere, in un Lager, in un manicomio, in una stazione di servizio o in una tavola calda, come nella prassi esecutiva attuale di quasi tutte le opere. Ci troviamo infatti nel più puntuale Egitto archeologico e operistico, rivisto nel gusto visivo del Secondo Impero (non faraonico ma parigino). […] Così, anche Aida e Amneris e Radames e Amonasro, e tutti gli altri, non sono divi rock né immigrati emarginati né ss naziste né ebrei da S h o a h né arabi o palestinesi di Arafat né tossicodipendenti da comunità né spacciatori marocchini né etiopi d’oggi che massacrano eritrei o nubiani o somali contemporanei. Tendono, piùttosto, a coincidere con i personaggi creati e messi a punto da Verdi. »

Le spectacle miniature de Franco Zeffirelli est extraordinairement transgressif. Il ne se déroule pas dans un hôpital, dans une prison, dans un Lager, dans un asile, dans une station-service ou dans une cafétéria, comme il est d’usage actuellement pour la plupart des mises en scènes d’opéra. Nous sommes en fait dans l’Égypte archéologique et lyrique la plus précise, revisitée dans le goût visuel du Second Empire (pas pharaonique mais parisien). Ainsi, même Aida et Amneris et Radames et Amonasro, et tous les autres, ne sont ni des rock stars, ni des immigrants marginalisés, ni des nazis, ni des ju.fs de la S h o a h, ni des Ar.bes, ni des Palestiniens d’Arafat, ni des toxicomanes en foyer d’accueil, ni des trafiquants marocains ou contemporains éthiopiens qui massacrent les Érythréens ou les Nubiens, ni des Somaliens contemporains. Ils ont tendance à coïncider avec les personnages créés et développés par Verdi.

hamlet dit: à

25 mille euros la nuit au Plaza Athénée c’est pas cher la nuit, on doit trouver plus cher que ça ailleurs, sinon à ce prix je vois pas trop l’intérêt d’être riche.

Patrice Charoulet dit: à

ANGE SCALPEL

Je tombe par hasard sur un blog, parmi des millions de blogs. Ce blog pour l’essentiel est philosophique, parfois littéraire, parfois humoristique, et du plus haut niveau. Je cherche le nom de l’auteur : Ange Scalpel. Pseudonyme incontestable. Je suis quasi indigné. On connaît mon peu de goût pour les commentateurs qui utilisent non leur patronyme mais un pseudonyme. J’ai cru comprendre, on le m’a dit et redit, que la terre entière est devenue la terre des pseudonymes. On m’a dit les raisons de ce phénomène. Mais qu’un auteur (excellent) de blog utilise un pseudonyme me semble le bouquet. J’ai fait de très longues recherches pour savoir qui était caché sous « Ange Scalpel » et j’ai trouvé !
Ange Scalpel est Pascal Engel, universitaire, auteur de plusieurs livres, et qui est marié à Claudine Tiercelin, professeur de philosophie au Collège de France.
Je remercie Pascal Engel de nous offrir un blog de si haut niveau, mais je ne le félicite pas de se transformer en Scalpel.

hamlet dit: à

x dit: 15 juin 2019 à 17 h 09 min

très drôle et tellement vrai, si rare les mises en scène qui coïncident avec l’oeuvre jouée.

d’habitude les mises en scène coïncident plutôt avec ce que le metteur en scène a à dire, ses engagements personnels, ses envies et ses opinions, encore qu’on peut tomber sur une coïncidence, mais c’est plutôt lié au hasard.

hamlet dit: à

« Patrice Charoulet dit: 15 juin 2019 à 17 h 25 min

ANGE SCALPEL »

ange scalpel c’est pas un pseudonyme c’est un acronyme, je suis désolé mais c’est vraiment pas pareil.

c’est comme si j’appelais mon blog « METHAL »

Delaporte dit: à

« ils sont partout évinçant les chrétiens de toutes les places par leurs manœuvres tordues et malhonnêtes bien connues, tous si dominateurs et surs d’eux »

DHH, apparemment vous semblez vous attaquer aux chrétiens, mais vous n’expliquez même pas pourquoi. Libre à vous de ne pas les aimer, si au moins vous vous exprimiez autrement qu’avec ce charabia. Je sais que vous le pouvez, d’habitude vous êtes claire et intelligente. Mais pas là.

hamlet dit: à

Delaporte dit: 15 juin 2019 à 17 h 42 min

et vous, vous en tenez une sacrée couche.

il est si vrai qu’on reconnait justement l’idiotie à cette incapacité à discerner l’ironie, à tout prendre au premier degré.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*