Javier Cercas à la recherche du point aveugle
Le roman sans fiction, cet écrivain n’est pas le premier à s’y frotter mais il est de ceux qui lui donnent ses lettres de noblesse. Né à Càceres (Estramadure) en 1962 mais barcelonais depuis l’âge de 4 ans, Javier Cercas a d’abord enseigné la littérature hispanique à l’université de Gérone avant de se consacrer entièrement à l’écriture. Empruntant tant au roman, au récit historique, au portrait, au reportage, à l’interview et à l’enquête journalistique, sa manière lui a permis de grandes réussites, encensées tant par la critique que par le public en Espagne mais aussi dans de nombreux pays. En témoigne la fortune des Soldats de Salamine ((2001), d’Anatomie d’un instant (2009) et de L’Imposteur (2015). Des livres souvent hantés par la guerre civile, de même que le tout dernier qui vient de paraître en espagnol. Outre son premier roman Le Mobile (Actes sud, 96 pages, 13 euros) publié ces jours-ci en français longtemps après, il publie également un passionnant recueil d’essais Le Point aveugle (368 pages, 20 euros) où l’on croise les ombres familières de Cervantès, Leiris, Flaubert, Vargas Llosa ou de Borges. Ses livres sont traduits de l’espagnol par Elisabeth Beyer et Aleksandar Grujicic. Il nous a reçu chez lui le mois dernier.
Et vous, vous savez ce que c’est un roman ?
C’est… une bonne question ! En fait, la réponse est facile : un roman, c’est tout ce qui se lit comme tel. Même l’annuaire des téléphones ! C’est le centre de ce que j’appelle le point aveugle, ce point sur le disque optique à travers lequel on ne peut rien voir. Ce déficit visuel, ou si vous préférez cette zone d’obscurité, est au cœur de la littérature. Paul Valéry l’a écrit quelque part : ce n’est pas l’auteur qui fait le chef d’œuvre, c’est le lecteur qui y entre et se l’approprie, mais un lecteur vigilant et il utilise à son propos cette expression géniale : « l’innocence armée », ou encore « l’ingénuité armée », bref, cette faculté qui permet au lecteur de déceler dans un livre ce que son auteur n’était pas tout à fait conscient d’y avoir mis. Le point aveugle est une brèche qui permet au lecteur de s’engouffrer dans l’espace créé par l’ambiguïté. Cervantès savait ce qu’il faisait en écrivant les aventures de Don Quichotte mais n’était pas conscient de la manière dans laquelle nous les lisons aujourd’hui.
Etrangement, dans votre recueil d’essais Le Point aveugle, vous vous interrogez beaucoup sur la nature du roman alors que vous n’en avez pas écrit à proprement parler.
Kundera parle des deux temps de l’histoire du roman : primitif avec Cervantès et à sa suite Sterne, Fielding, Diderot, Rabelais et tous ceux qui ont compris l’incroyable nouveauté de Don Quichotte : la permission accordée d’écrire de la fiction dans une totale liberté ; puis il y eut un deuxième temps que l’on peut qualifier de flaubertien, qui réclame qu’on le considère à l’égal d’un art sérieux, car pour ceux cités précédemment, le roman n’était qu’un divertissement. Flaubert avait l’ambition de hisser le roman à un stade aussi élevé que la poésie ou la tragédie, d’en faire un genre noble. Il l’a donc voulu pensé, construit, cérébral, géométrique, trahissant la leçon de liberté de Cervantès. Mon idéal du roman tel que je l’ai mis en pratique dans mes livres opère la synthèse des deux : il emprunte à tous les genres sans se gêner mais avec la rigueur sans laquelle on ne peut composer après Flaubert, celui qui a tout changé.
Mais pourquoi Cervantès n’a-t-il pas eu d’héritiers dans sa propre langue ? Il a bien une descendance mais ailleurs
C’est d’autant plus étrange que lorsqu’un livre connaît un énorme succès commercial, il suscite aussitôt des imitations. Or il n’y en a pas eu en Espagne pendant trois siècles. La réponse se trouve dans l’épilogue du roman. Cervantès a créé une forme nouvelle d’ironie, qui n’est pas celle de la Grèce antique, et relève davantage du paradoxe. Le Quichotte est de toute évidence un fou mais doté d’une grande sagesse, d’une véritable intelligence, d’une belle lucidité. Son ironie, c’est la possibilité d’une vérité contradictoire. Mais pourquoi toute cette réussite littéraire n’a-t-elle pas fait d’émules en son temps et son pays ? Parce que les Espagnols l’ont lu comme un livre essentiellement comique. Leur lecture a été très réductrice : elle a retenu la drôlerie du personnage aux dépens et à l’exclusion de sa dimension tragique et pathétique. C’est d’autant plus regrettable que la leçon de Cervantès, c’est justement que la vérité est polyédrique, ambiguë, chose impossible à comprendre pour l’Espagne des lendemains du Concile qui était fermée, monolithique, totalitaire. Dans le même temps, la France et l’Angleterre ouvraient les esprits aux interprétations contradictoires. Je crois sincèrement que le roman est une arme de destruction massive contre la vision totalitaire du monde. Ceux qui prétendent détenir une vérité absolue sont prêts à vous tuer pour l’imposer. Les fanatiques ont horreur du roman.
Alors, les héritiers de Cervantès, où sont-ils ?
Mario Vargas Llosa est à mes yeux le grand romancier classique de la langue espagnole contemporaine. Mais il demeure plus proche de Flaubert que de Cervantès. Et puis Milan Kundera… De toutes façons, tout romancier doit payer sa dette à Cervantès. Même s’il ne l’a pas lu ! Et même si, comme Martin Amis, il méprise la qualité de Don Quichotte et le trouve trop long ; il juge que nombre de pages sont superflues parce qu’il ignore le cocido, ce plat typique de chez nous dans lequel on met absolument de tout, une sorte de pot-au-feu à base de pois chiches, de différents légumes et de plusieurs viandes, ce qui donne quelque chose de délicieux et plébéien. Ce roman est un monstre omnivore, il avale tous les genres. Or je crains que nous n’utilisions pas toute la liberté que Cervantès nous a donnée avec tout ce qui la fonde : l’ironie, le scepticisme, la tolérance. C’est là mon seul dogmatisme !
Un cocido littéraire, votre Anatomie d’un instant, votre livre sur le coup d’Etat raté du 23 février 1981 ? Je dis « livre » faut de dire….
Il est vrai qu’il est un peu chronique, un peu essai, un peu reportage, un peu roman historique, un peu tout. Un roman en principe, c’est une fiction. Avec celui-là, j’ai pris la liberté d’écrire un roman sans fiction. De toute façon, le roman est par essence un genre hybride. Ce fut également le cas pour L’Imposteur et pour celui que je viens d’achever et que je publierais en février en Espagne. Tous des romans sans fiction. C’est l’équivalent de la non fiction novel telle que Truman Capote l’a définie pour De sang froid : une forme narrative qui a recours à toutes les techniques de l’art de la fiction tout en demeurant absolument factuelle. Le prochain particulièrement qui est le livre que j’ai toujours voulu écrire, dès le début. C’est une histoire très personnelle puisqu’elle tourne autour du passé franquiste de ma famille, des petits propriétaires d’Estramadure ; la figure centrale en est un jeune homme de 17 ans, grand lecteur à qui son maître avait révélé Ortega et Unamuno ; il est pourtant devenu phalangiste, il s’est engagé, s’est battu et il est mort au combat lors de la plus grande bataille de l’histoire de l’Espagne. J’étais honteux de ce passé, le nôtre, dont ma mère m’avait souvent parlé. Le destin de ce garçon, les raisons de son basculement m’ont hanté car je ne les comprenais pas ; de plus, on a toujours dit que c’était l’oncle de ma mère jusqu’à ce qu’on apprenne, entre tous les non-dits, qu’il était son frère aîné…. Dès qu’on parle de soi, on entre dans le mensonge. Marco, l’antihéros de L’Imposteur, s’était inventé un passé de héros afin de cacher sa vie dure et grise de franquiste. Il n’avait été ni brave, ni courageux, rien. Après la guerre, le général de Gaulle ne disait-il pas que « les Français n’ont pas besoin de la vérité » ? Je n’étais pas capable d’affronter mon passé familial. En fait, j’étais paralysé par un problème littéraire : j’avais l’histoire mais elle était toujours à la recherche de sa forme. Dans Les soldats de Salamine et dans Anatomie d’un instant, l’Histoire et la fiction se livraient à une lutte ; dans L’Imposteur, à une bataille ; dans le prochain, elles dialoguent enfin.
On sent qu’il vous a marqué, l’imposteur de L’Imposteur…
C’est mon Moby Dick. C’est le bien et le mal à la fois. Le point aveugle de cette histoire, c’est de se demander pourquoi il a fait ça, pourquoi il a menti sur son passé et pourquoi tout le monde a bien voulu le croire. Et dans Anatomie d’un instant, c’est de se demander pourquoi Adolfo Suarez, le chef du gouvernement, est demeuré assis droit à son pupitre quand les putschistes de la Garde civile ont envahi le Parlement et qu’ils ont commencé à tirer à la mitraillette. Tous les députés se sont terrés sauf le vice-présent du gouvernement Manuel Gutierez Mellado, un ancien général franquiste qui en avait vu d’autres et Santiago Carrillo, le leader communiste endurci par la guerre et les décennies de clandestinité. Les députés de l’époque me détestent depuis ce livre : ils me reprochent d’avoir insinué qu’ils étaient des lâches. Mais j’en aurais fait autant qu’eux, je me serais carrément caché au sous-sol si j’avais pu ! Tout mon livre pose cette question de l’attitude de Suarez et je n’ai pas vraiment trouvé de réponse claire et univoque. L’énigme est non seulement intacte mais elle s’est épaissie avec ce livre. Tant mieux car le romancier, c’est celui qui ajoute de la complexité au monde. Pour mieux la déchiffrer, il doit rendre cette énigme insoluble. Quand le politicien tend à tout simplifier, le romancier décèle un problème là où personne ne le voit ; il nous complique la vie. J’ai voulu montrer que l’attitude d’Adolfo Suarez constitue l’essentiel de sa vie mais aussi de celle de son pays. Pareil pour Marco l’imposteur. Tout le monde savait dès 2005 grâce à un historien qui a montré que quelque chose dans sa biographie dysfonctionnait. Alors on l’a aussitôt diabolisé au lieu d’y aller voir, de peur d’y découvrir une certaine Espagne. Pareil pour Manuel dans mon prochain livre qui prend à rebrousse-poil une vision rétrospective de l’Histoire où tout le monde a été républicain ou anti-franquiste.
Est-ce cela qui vous a fait écrivain ?
Je viens d’un village pauvre d’Estramadure. Quand j’ai eu 4 ans, ma famille s’est installée à Barcelone où mon père était vétérinaire. Nous étions matériellement appauvris et déracinés car ce n’était pas chez nous, d’autant qu’on y parlait une autre langue que le castillan ; mais quand nous retournions au village, nous étions à nouveau des gens importants. Or sans ce sentiment du déracinement, cette sensation d’être devenu un orphelin, je ne serais probablement jamais devenu un écrivain. Pavese disait : la littérature est une défense contre les offenses de la vie, ou quelque chose comme ça. Elle m’a protégé ; elle a été mon instrument de survie. Ce livre vient du plus profond de ma vie puisqu’il me vient de ma mère à partir d’une histoire qui a baigné mon enfance par sa bouche. Or, dès lors qu’on est loyal avec ses obsessions, plus la littérature vient du plus profond, meilleure elle est. Je ne sais pas et j’écris pour savoir.
Votre famille est restée franquiste après la guerre civile ?
En cela, elle est très espagnole puisqu’elle relève du « franquisme sociologique ». Pendant quarante ans, comme la plupart des Espagnols, elle a accepté le franquisme. La contestation était inexistante sauf dans les derniers temps. Après seulement, j’ai découvert dans les livres que dès les lendemains de la guerre, ceux qui y avaient participé du côté des vainqueurs avaient été très déçus. Aussi quand la démocratie est arrivée au moment de la transition des années 80 tout le monde ou presque l’a acceptée. Mais jusque là, le sport national des Espagnols, ce n’était pas le football mais la guerre civile, remplacée le cas échéant par le coup d’Etat, ce qu’a exploré Anatomie d’un instant. Tout Espagnol a sa propre théorie sur le coup d’Etat du 23 février 1981. Sinon il n’est pas espagnol !
Quel est le point aveugle de ce prochain livre ?
L’écrivain qui n’a pas le courage de trahir ses propres théories n’est pas un véritable écrivain. Quand j’écris, j’oublie tout ce que je sais, à commencer par les théories car elles empêchent d’écrire, pour me mettre entièrement au service de mon livre. Le point aveugle y est très évident, il vous sautera aux yeux… lorsque vous le lirez ! Mais moi, il ne m’est apparu que lorsqu’on me l’a dit. Car celui qui écrit est dans un état de semi-conscience, il cherche à donner du sens à une forme. Là, je me suis lancé à la recherche des traces d’un anonyme de l’Histoire pour tenter de comprendre ses motivations. Alors le point aveugle ? La vérité, c’est la recherche de la vérité sur ce personnage.
Dans Le Mobile, votre premier roman écrit en 1987 mais qui paraît aujourd’hui seulement en France, Alvaro le narrateur, c’est vous ?
C’est moi. Mais quel échec, ce livre ! J’étais inconnu ; il s’en est vendu une cinquantaine d’exemplaires dont quarante ont été achetés par ma mère. C’était un recueil de nouvelles d’apprentissage ; il y en avait cinq, j’en ai retirées quatre et c’est devenu un roman. Quand on débute, on veut toujours s’afficher comme écrivain. On se repend toujours de son premier texte. C’est presque le cas…
Tout écrivain est un intellectuel ?
Il ne l’est que dès lors qu’il intervient dans la vie publique mais au même titre qu’un architecte, un professeur ou tout autre. Mais sa qualité d’écrivain ne lui confère pas automatiquement un statut d’intellectuel. Voltaire est à mes yeux le premier intellectuel avec l’affaire Calas. Il réunit les deux caractéristiques : le travail en solitaire d’un côté, la présence publique de l’autre. C’est très français. Ma génération entretient des rapports compliqués avec la figure de l’intellectuel. Quand j’étais jeune, je voulais surtout ne pas en être car il était déprécié, discrédité, dénué du moindre prestige. Camus disait que les idées trompées baignent toujours dans le sang alors que nombre d’intellectuels ont été d’une telle frivolité et d’une telle vanité ! Heidegger et les autres : tant d’intelligence au service de tant de barbarie. Sartre et la littérature dite engagée m’horrifiaient. Je trouvais ça populiste et démagogique. Mais depuis, j’ai évolué. Je revendique désormais une sorte de littérature engagée au sens où l’entendait Michel Leiris : la littérature comme tauromachie. Quelque chose de sérieux, ambitieux, total qui veuille changer le monde, qui engage complètement et non juste un jeu. La littérature doit démasquer la réalité cachée derrière les apparences. En ce sens, Kafka et Borges ont été et sont demeurés mes héros car leur littérature est très politique. Et quel plus grand engagement que le leur ?
Avez-vous le souci d’être compris lorsque vous écrivez ?
Je ne pense pas au lecteur car celui-ci n’existe pas. Chaque lecteur est différent. Au fond, le seul lecteur que je connaisse, c’est moi, et j’ai envie de le satisfaire, en espérant qu’il y en aura d’autres comme moi. Mais il m’est impossible d’écrire pour un autre que moi.
Mais quand vous dites d’un personnage qu’ «elle avait un geste de dévouement digne de Florence Nightingale », vous vous doutez, tout de même, qu’en Espagne et en France, nul ne sait à quoi vous faites allusion à moins d’avoir une solide culture historique anglaise et d’avoir lu Eminent Victorians …
J’ai écrit cela quand j’étais jeune. A l’époque, je la connaissais par un livre en espagnol que mon père m’avait offert sur les héros de l’humanité. Ca m’avait marqué. Elle était l’équivalent de mère Teresa de Calcutta. Mais au fond, qu’importe. Je veux toujours écrire le meilleur livre possible, advienne que pourra. La première obligation de l’écrivain, c’est de se créer une tradition littéraire, en faire une lecture intéressée, s’y inscrire et voir ce qu’il peut y faire. Le philosophe Eugenio d’Ors disait que ce qui n’est pas tradition est plagiat. Picasso dit que l’originalité, ce n’est pas ressembler à personne mais ressembler à tout le monde. Pendant mes études, j’ai beaucoup lu la littérature, le théâtre et la poésie de l’âge d’or espagnol, les Gongora, Lope de Vega, Quevedo et les autres. Cervantès les avait lus et les a transformés. Il avait également avalé Pétrarque. Je crois qu’il ne suffit pas de tuer le père : il faut dévorer les maîtres en cannibale, mais en y ajoutant de la sauce piquante. Après seulement on peut écrire ce qu’ils n’ont pas écrit tout en sachant que sans eux on n’y serait pas arrivés. Sans les Vies imaginaires de Marcel Schwob, Borges n’aurait pas été ce qu’il fut. Il ne suffit pas de dévorer : il faut ensuite rendre hommage comme on ferait une déclaration de soumission.
Et vous, Flaubert ?
Au début, certainement. Mais ma chance, c’est qu’outre Cervantès et les écrivains du post-modernisme américain (Robert Coover, Donald Bartheme) qui étaient des expérimentateurs, ma langue natale m’a permis d’avaler tous les grands latino-américains. Mais ils ont tous fait ça. L’incipit de Cent ans de solitude est une phrase qu’on trouve presque mot à mot au milieu de Pedro Paramo de Juan Rulfo que tous admirent. Une imprégnation légitime. La tête de Cervantès était saturée de littérature. La littérature relève du cannibalisme.
(Photos Passou à Barcelone)
1 403 Réponses pour Javier Cercas à la recherche du point aveugle
« Combien de médiocres livres auraient été ici chroniqués si leurs auteurs n’avaient eu de l’ambition ? »
Tu penses au bouquin de Reinhardt, JC ?
Hier soir, sur le site du « Monde.fr », j’avais le choix entre suivre le dépouillement de la primaire et lire un article (de fond) sur le plaisir anal. On devine sans peine où alla ma préférence. Toutefois, pour le lire, je mis un vieux masque de Sarko, quelque peu grimaçant, relique du dernier Carnaval. Je ne sais pas pourquoi, sa tronche me fit penser à la mort de Richard III (voir la version hard dans « les Rois maudits »). Sur ce j’apprends que Jibé répondait toujours présent aux invitations de Joël Le Theule. On n’en sort pas, ou plutôt on n’arrête pas d’y re-rentrer.
D’ailleurs, Phil, une perle ce n’est qu’une saleté présentable….
JiBé,
j’ai confiance dans le programme de Fillon !
Il me sera désormais possible d’attaquer Eric le Bougre pour malfaçon mensongère et tromperie sur l’objet du contrat commercial livresque…
Tout compte fait, tout comte fait, Jeanjean…. tu n’es qu’une bête. De somme, de sommités.
« j’ai confiance dans le programme de Fillon ! »
Oui, et de nota a intérêt à retrouver fissa du boulot !
Je me demande, car ma perversion non-euclidienne est aussi infinie que la bêtise du Grand Albert qui voyait Dieu là où il n’a que vide, combien de temps Carla, dépitée, va résister à mes assauts intellectuels …
Jean, la partie invitante de ce diner était un ami commun, banquier de son état, qui vivait à l’époque avec un jeune et brillant ingénieur communiste. Ce dernier, qui avait fait X, était le conseiller occulte de Joël Le Theule, du temps où il était ministre des Transports. En ce temps-là, je vivais avec un fringant jeune patron de presse. J’avais un chat siamois, très snob, du nom de Lotus. Quand mon ami et moi devions nous absenter de Paris, je le mettais en garde chez cet ami banquier. Un jour, alors que mon chat avait chié sur le canapé de cet ami, il reçu Joël le Theule, qui s’installa confortablement sur ledit canapé et en fut pour ses frais.
Quittons nous sur une promesse politique, à connotation culturelle, figurant dans le programme conservateur de François Premier.
Il semble que Christiane Taubira, une cycliste connue, serait nommée Gouverneur de Guyane, et Président du Comité directeur du Bagne de Cayenne, réactivé en urgence pour servir la République, une et indivisible.
Les bonnes nouvelles étant rares : réjouissons nous….
Quoique figurant sur la liste des ennemis héréditaires que Georges Pompidou gardait toujours dans sa poche, suite à l’affaire Markovitch, Joël Le Theule, homo discret, était un parfait gentleman. Fils d’une famille modeste, agrégé d’Histoire-Géo à 24 ans, c’était un Gaulliste de conviction. Ministre, il vivait à Paris dans un modeste studio, dont il payait le loyer de sa poche.
le conseiller occulte de Joël Le Theule (Jibé)
occulte la vieille ?
Et, d’une certaine façon, François Fillon est l’héritier que Joël Le Theule, son parrain en politique, s’était choisi…
Le choix semble t-il va être entre Fillon et Marine le Pen.
D. semble avoir choisit depuis longtemps cette dernière.
Ce qui n’en veulent pas, comme moi, ne pourront que voter contre, c’est-à-dire Fillon ?
Mais attendons encore un peu pour voir…
J’avais un chat siamois, très snob, du nom de Lotus (Jibé)
Pour des raisons un peu longues à énumérer, je m’intéresse vivement à la sociologie des chats. Marielle Macé, dans son récent « Styles / Critique de nos formes de vie » consacre un chapitre aux styles animaux. Parmi eux,incontestablement, les chats tiennent la corde question style, ou plutôt styles au pluriel car chacun d’eux a le sien. Tous vérifient, en tout cas, les considérations de Balzac, Baudelaire ou Barbey sur le dandysme, aussi bien que les analyses bourdieusiennes de la distinction.
Ceux qui…
Pour en savoir plus sur mon style, c’est là, Jean !
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_des_chats-353-1-1-0-1.html
Jean, si cela vous intéresse, je peux vous raconter des trucs de ouf sur les chats. Ils m’ont accompagnée toute ma vie, et certains d’entre eux se sont montrés carrément exceptionnels…
En ce moment, je vis avec Victor Mowgli dit « Roucky », qui est totalement inadapté à la vie aux champs. Alors, vous imaginez ce que cela donne, chez nous !
D’autant que le second, Attila dit « Blacky », n’ayant pas supporté l’arrivée de Roucky, en a carrément pris la clé (des champs, suivez donc un peu, zut !) et ne nous accorde qu’une attention intéressée, cynique et peu conviviale.
Roucky a une fourrure de soie, Blacky, de velours.
Et chacun d’eux est à lui seul un livre de sociologie féline…
JC….. dit: 21 novembre 2016 à 8 h 15 min
_______
Pas mal !
Oui, occulte, et sans aucune trivialité, Jean. Ce jeune ami ingénieur, militant communiste convaincu, par ailleurs passionné de musique, qui vivait avec un banquier, ce qui lui permettait de disposer dans leur confortable appartement, d’un impressionnant salon de musique, voyait secrètement, une fois par semaine, Joëlle Le Theule, alors en plein conflit avec la… CGT ! Chacun ses contradictions ou ambitions ? Ce jeune ami, fut emporté par le Sida, à la fin des années 1980. Son ami banquier, qui vient de fêter ses 80 ans, s’est retiré dans une magnifique propriété de la campagne grassoise, où je lui ai rendu visite l’été dernier. Il vit désormais avec un jeune avocat d’origine russe, gérontophile, qu’il a épousé, et qui a ouvert un cabinet à Cannes, où il gère principalement les intérêts, sur la Côte d’Azur, de ses compatriotes milliardaires, souvent d’anciens communistes…
Pour ma part, j’ai toujours préféré « le chat dans tous ses états »
http://www.babelio.com/livres/Hue-Le-chat-dans-tous-ses-etats/90004
au « goût des chats ».
… autrement dit, préféré hue à dia. Quant à françois f.ion, il ne fera pas un pli face à l’alain jupp.é soutenu par Pécres.se Mo.rizet, et après…, viva l’aventuraaa.
Il fraudait qu’Aux Amandes dix, restant sur le fil du rasoir d’Okham, nous envoie une fiche sur « la bâtarde » de Violette Leduc, un roman qu’il n’aura sans doute pas vraiment aimé et dont nous avons un peu oublié la texture. Sinon , on peut toujours jeter un dernier coup d’œil sur l’Imposteur vu par la Zone, si on entend bien rester dans le vif du sujet encore 5 minutes.
http://www.juanasensio.com/archive/2015/11/02/l-imposteur-de-javier-cercas-gregory-mion.html
Bonne journée politico-littéraire mondaine !
Avertissement : toute ressemblance entre le chat de Clopine, dénommé Attila, et celui qui, un temps, signait de ce pseudonyme ici même, n’est que pure coïncidence !
Pour ma part, j’ai toujours préféré « le chat dans tous ses états »
http://www.babelio.com/livres/Hue-Le-chat-dans-tous-ses-etats/90004
au « goût des chats ». Autrement dit, préféré hue à dia.
Monsieur Jibé, sachez que nous ne dirons rien à M. Fillon de vos moeurs et de celles de vos amis qu’il trouverait certainement aux antipodes de sa chère morale de fervent catholique (si prompte à condammner ce que certains de ses fidèles serviteurs pratiquent allègrement au Saint-Siège ou en Irlande, par exemple).
Allez-en paix et éclatez-vous avec qui bon/beau vous semble, cher moniseur Jibé.
Le programme de Fillon me paraît inquiétant à bien des égards. Il veut renégocier Schengen. Introduire des quotas pour les immigrés. Faire enseigner deux matières aux enseignants. Pour le brevet, une dictée de trente lignes, rien de moins! C’est de la folie, c’est n’importe quoi, ça n’a strictement aucun sens.
Bref c’est un programme à la Trump et aussi bête. Et il ne s’attaque pas aux vrais problèmes. Par exemple Attali prône depuis des années de détourner les 50 milliards dévolus aux syndicats pour les donner aux chômeurs afin de se former en étant rémunérés. C’est quand même mieux que de permettre à la CGT de se payer des salles de bains avec robinets en or…!
Le programme de Fillon est extrêmement dangereux à bien des égards.
Fillon, en cela typique de la droite catholique la plus dénuée de bon sens, prétend résoudre le problème du chômage par l’intimidation et des mesures de répression des chômeurs. On est en plein délire paranoïaque avec ces gens-là.
Alors que la solution en partie du chômage, c’est évidemment la formation des chômeurs en détournant à leur profit une partie de l’argent dévolu aux syndicats pour rémunérer les chômeurs en leur allouant un salaire pendant leur formation. Ça c’est une vraie et bonne mesure, juste, humaine et profitable au bien général de la nation.
Monsieur Mohawk, si vous connaissiez les moeurs de monsieur Fillon !
Moi, j’ai un livre (qui me vient de Marusa qui avait une chatte dénommée Joséphine, très câline) sur les chats et la peinture, où on voit des chats s’adonner au plaisir de peindre de belles toiles, parfois très réussies.
Il y a des discours vraiment très drôles. Camba ironise sur la « gueule de bois » de la gauche qui est allée à la primaire voter Juppé, un peu comme beaucoup de journalistes métaphysiquement pas finis, donc si j’ai bien compris pour rassembler la gauche il faut culpabiliser son électorat, je ne suis pas aller voter et la semaine prochaine je ne serais pas là mais ma solidarité va à ceux à qui l’on propose de se flageller, voyez vous je m’interroge quand au vol des techniques adverses par des responsables politiques dont la débâcle incite à une inversion des valeurs, comme tout le monde ne le sait pas encore j’ai une grande propensions à me flageller le matin au réveil, un peu comme ce bon sauvage dans la réserve où l’a parqué Huxley. La moraline de gauche c’est comme un petit loucoume sucré auquel on ne peut résister, je vais en reprendre une part.
WGG, voteras-tu Fillon ou Le Pen, là est la question qui risque de se poser, le reste est littérature ?
Libre à vous, Janssen J-J, de préférer la pesanteur à la grâce !
Je ne vote plus depuis 2002. Aucune élection. Je laisse le navire prendre l’eau jusqu’à sombrer. Je ne crois plus du tout au bulletin de vote. De toute façon, la gauche est complètement foutue. Et Fillon me semble aussi dangereux que Le Pen. Si ça continue comme ça, c’est la révolte populaire qui gronde.
Wgg, 4 milliards sont alloués aux syndicats, pas 50!
Stéphane Mallarmé
Plainte d’automne
Depuis que Maria m’a quitté pour aller dans une autre étoile – laquelle, Orion, Altaïr, et toi, verte Vénus ? – j’ai toujours chéri la solitude. Que de longues journées j’ai passées seul avec mon chat. Par seul, j’entends sans un être matériel, et mon chat est un compagnon mystique, un esprit. Je puis donc dire que j’ai passé de longues journées seul avec mon chat et, seul, avec un des derniers auteurs de la décadence latine ; car depuis que la blanche créature n’est plus, étrangement et singulièrement j’ai aimé tout ce qui se résumait en ce mot : chute. Ainsi, dans l’année, ma saison favorite, ce sont les derniers jours alanguis de l’été, qui précèdent immédiatement l’automne, et dans la journée l’heure où je me promène est quand le soleil se repose avant de s’évanouir, avec des rayons de cuivre jaune sur les murs gris et de cuivre rouge sur les carreaux. De même la littérature à laquelle mon esprit demande une volupté sera la poésie agonisante des derniers moments de Rome, tant, cependant, qu’elle ne respire aucunement l’approche rajeunissante des Barbares et ne bégaie point le latin enfantin des premières proses chrétiennes.
Je lisais donc un de ces chers poèmes (dont les plaques de fard ont plus de charme sur moi que l’incarnat de la jeunesse) et plongeais une main dans la fourrure du pur animal, quand un orgue de Barbarie chanta languissamment et mélancoliquement sous ma fenêtre. Il jouait dans la grande allée des peupliers dont les feuilles me paraissent mornes même au printemps, depuis que Maria a passé là avec des cierges, une dernière fois. L’instrument des tristes, oui, vraiment : le piano scintille, le violon ouvre à l’âme déchirée la lumière, mais l’orgue de Barbarie, dans le crépuscule du souvenir, m’a fait désespérément rêver. Maintenant qu’il murmurait un air joyeusement vulgaire et qui mit la gaîté au cœur des faubourgs, un air suranné, banal : d’où vient que sa ritournelle m’allait à l’âme et me faisait pleurer comme une ballade romantique ? Je la savourai lentement et je ne lançai pas un sou par la fenêtre de peur de me déranger et de m’apercevoir que l’instrument ne chantait pas seul.
Pour une fois, WGG, je suis entièrement d’accord avec vous. Fillon, qui a passé sans vie dans les ministères, petit gars du sérail politicien dans toute sa splendeur, est un réactinnaire de première bourre, partisan du rétablissement de la peine de mort, homophobe, religieux, conformiste et, économiquement parlant, néo-libéral à la c..on. D’avoir été le petit soldat de Sarkozy est son plus beau titre de gloire, c’est dire.
définitivement, choisir au second tour entre Fillon et Le Pen, ce n’est même pas avoir à décider entre fromage ou dessert. C’est le même plat, ici avec un habillage cache-sexe « normalisé » pour rassurer le bourgeois dont on va évidemment préserver les intérêts, là avec le criard et la vulgarité d’un populisme qui fait appel au pire chez l’homme : ce sera sans moi !!!
(et pendant ce temps-là, la banquise fond…)
Mon calcul est le suivant :
((tv.I (ttpd+ttpg)-P)xevd)x ((tv.I (ttpd+ttpg)-P)xevg)
une fois appliquées les incertitudes, il donne MLP vainqueur au 2nd tour avec 2 à 5 millions de voix.
Pas compliqué.
Fillon veut rendre les chefs d’établissements responsables de la carriè!re des enseignants. Mesure catastrophique ; ça va devenir une immonde foire d’empoigne ; ça va être l’horreur.
Il veut renforcer les liens entre l’école et le monde du travail. Philosophie utilitariste de l’éducation dont tout le monde sait les insuffisances et les limites.
« découvrir des œuvres d’art (ce qui contribuerait à renouveler l’éducation artistique et culturelle, par exemple en apprenant aux élèves à regarder un tableau représentant une scène historique) » (Fillon), comme si la peinture se résumait à la vieille peinture historique… On va devenir comme les Polonais avec leur catholicisme ringard, puéril et réactionnaire (contre lequel s’est précisément révoltée dans les années 1920 la génération de Gombrowicz et de Czapski, qui était écrivain et peintre, qui ne voyaient la peinture qu’à travers l’Histoire !
C’est une immense régression ! C’est épouvantable cette France-là ! Oh fou ! Oh feu ! Fillon veut mettre le feu à la maison France !
« Je laisse le navire prendre l’eau jusqu’à sombrer. » (WGG)
« choisir au second tour entre Fillon et Le Pen : ce sera sans moi !!!(Clopine)
L’avenir sera blanc, blanc, blanc, ainsi que le préconise JC…
L’économiste J. Attali affirme que « les 32 milliards de la formation professionnelle sont mal utilisés, gaspillés, et souvent utilisés par le Medef et les syndicats pour financer leur propre budget et non pas pour la formation des chômeurs qui n’en ont rien ». Vrai ou faux ? Réponse ici :
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/jacques-attali-dit-il-vrai-sur-l-argent-de-la-formation-professionnelle_1739925.html
Les votants de gauche comme ceux du FN ont voté Fillon bien sûr et non Juppé, la remontée du roi de la rillette permettait d’éliminer l’agité dès le premier tour, une aubaine à ne pas manquer.
Les plus optimistes à droite espéraient Un peu plus de 3 millions de votants ils en ont eu plus de 4, mais d’où viennent ces petits nouveaux ?
Un peu plus de 15% de gauche, un peu moins de 10% du FN.
Calculons avec le matheux varois : 1 million contre Sarko et pour Fillon, le compte y est.
Comme maintenant ils s’en foutent et ne voteront pas la semaine prochaine il faudra reprendre la calculette.
Fillon veut faire la promotion de l’apprentissage d’une langue étrangère au primaire. Mais ne voit que l’anglais. L’allemand tend à devenir une langue morte en France ! C’est effarant en Europe qui est née de la réconciliation franco-allemande !
Et il prétend installer un gouvernement de l’Europe. Alors que l’Allemagne dirige l’Europe, on n’apprendrait quasiment plus l’allemand. On est chez les fous.
« Le programme de Fillon sur l’éducation : école plus tôt et promotion de l’apprentissage
Pour les plus petits, François Fillon veut instaurer l’instruction obligatoire un an plutôt. « Parce que tout commence là », affirme-t-il. Ainsi, tous les petits Français seraient attendus sur les bancs de l’école non plus à partir de six ans, mais à partir de cinq ans. Il estime également qu’il est nécessaire de réaliser régulièrement des tests afin de déterminer quels sont les élèves en difficulté. Par ailleurs, l’ex-Premier ministre compte également revenir sur la réforme des rythmes scolaires. Enfin, il est en faveur du retour des devoirs à la maison et souhaite supprimer l’interdiction actuellement en vigueur.
Côté collège et lycée, François Fillon souhaiterait que les deux examens du secondaire, le brevet et le baccalauréat, soient organisés plus tard qu’ils ne le sont actuellement, soit en juillet. La période scolaire se verrait ainsi allongée de quelques semaines, jusqu’à la fin juin. Le candidat à la primaire de la droite et du centre veut également autoriser les directeurs à virer les élèves les plus perturbateurs de leur établissement. Il va même plus loin en affirmant que ces derniers pourraient même avoir le droit de confier ces élèves à des établissements chargés de les remettre dans le droit chemin. Enfin, pour lui, chaque établissement devrait être en droit de décider si les élèves doivent mettre ou non l’uniforme. »
« Côté emploi justement, François Fillon joue à plein la carte libérale. Il veut s’attaquer à un Code du travail trop lourd et l’alléger considérablement pour en garder la substantifique moelle : une poignée de grands principes, le reste étant décidé par accord d’entreprise ou négociation de branche. S’il prône les 39 heures pour les fonctionnaires, François Fillon veut que la notion de durée légale du travail disparaisse pour le privé. L’ancien Premier ministre veut aussi instaurer le « contrat de travail unique à droits progressifs », pour que la protection des salariés soit fonction de leur ancienneté. Il souhaite également aligner le régime fiscal des commerçants, artisans et indépendants sur celui des auto-entrepreneurs. Pour lutter contre la peur de l’embauche chez les patrons, il veut instaurer un nouveau motif de licenciement : le motif de « réorganisation ». Un terme vague qui promet d’être débattu jusqu’aux prud’hommes s’il entre en vigueur. Enfin, il entend instaurer l’allocation sociale unique « pour que les revenus du travail soient toujours supérieurs à ceux de l’assistance ».
« Sur la retraite, François Fillon entend prendre en compte l’espérance de vie et ainsi reculer l’âge légal de départ à la retraite à 65 ans. Il souhaite également harmoniser les différents régimes « pour maintenir le pouvoir d’achat des retraités » et « par souci d’équité entre les Français ». Concrètement, le calcul dans le public se fera comme dans le privé : les 25 meilleures années seront prises en compte et les primes seront intégrées à la pension de retraite. S’il était élu, François Fillon aurait par ailleurs recours au référendum pour entériner la fin des régimes spéciaux. »
Indéniablement, une politique de droite libérale.
D. pourrait-il nous résumer le programme de Marine Le Pen ?
Autant que l’on sache à quoi s’en tenir dans les années à venir !
Mais voyons, Jibé, remmettre les élèves dans le droit chemin en mettant tous les perturbateurs dans des établissements à part, c’est courir à l’enfer. Tu ne comprends pas ça ? C’est pas comme ça du tout qu’il faut s’y prendre. On le sait bien. Ce ne sont que des vues de l’esprit, des mesures d’annonce, démagogiques à souhait qu’il ne mettra jamais en application parce que c’est tout simplement infaisable et beaucoup trop dangereux pour tout le monde.
Le programme Fillon c’est le programme d’une France complètement désemparée qui ne sait plus quoi faire pour revenir en arrière, et qui est vouée à l’échec face à la grande vague de la mondialisation irréversible. Fillon n’a aucune chance à moyen terme. Il faut espérer que les Français le comprennent très vite pour nous éviter le pire pour la France. Fillon c’est le pire ! Aussi pire que Le Pen si je puis dire.
Le seul recours viable pour la France sans trop de dégâts, c’est Juppé, compte tenu que la gauche est morte.
Mais je ne sais pas si Juppé peut remonter la pente en seulement une semaine. Il y a de quoi être sceptique.
Je pense néanmoins que Juppé conserve des chances non négligeables de repasser devant Fillon. En raison des options délirantes de Fillon en matière de politique étrangère. L’alliance avec Bachar El Assad, ça ne passera pas auprès des braves Français, c’est pas possible. Ça c’est un gros boulet que s’est mis Fillon au pied. Il y en a d’autres. Donc rien n’est perdu pour Juppé.
Je pense que les votants ont voulu au premier tour d’abord se débarrasser de Sarko définitivement. Ils ont adopté la bonne stratégie en votant Fillon. Maintenant, ils vont voter Juppé au deuxième tour pour recentrer l’orientation du projet pour la France. Le peuple français est un peuple intelligent ! C’est ça qui va se passer à mon avis.
On va le savoir très vite, en effet, WGG ?
Mais dans tout ça, pour moi, la priorité restera toujours la venue de l’extrême droite au pouvoir.
Monsieur Mohawk, si vous connaissiez les moeurs de monsieur Fillon !
—
Cher Monsieur Jibé, je ne vous demanderai pas de révéler quoi que ce soit pour l’instant, n’étant pas très friand des misérables petits tas de secrets.
En revanche, je vous fais confiance pour, le moment venu, initier un Fillongate ou un Fillonleaks qui fera l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel bleu horizon.
En tous cas, sur le plan politique, c’est la Grande Regression qui s’annonce. Il va falloir se préparer à 5 années de disette & de troubles graves. C’est Daech & la mafia russe qui doivent se frotter les mains sales.
Quand l’épistémé passse en 50 ans des Sartriens aux Sarthiens, on est fondé à mettre en doute la notionde progrès linéaire façon Hegel, la Raiosn dans l’Histoire. C’est plutôt Hanah Arendt qui a raison avec sa notion de progrès en spirale.
Il est clair que les Français ne voulaient pas d’un second match Sarko-Hollande et que ce dernier va se retirer discrètement sur la pointe des pieds…
la priorité restera toujours DE CONTRER la venue de l’extrême droite au pouvoir.
Quel lapsus !
Ce « w » dans votre pseudo me rappelle quelqu’un monsieur Mohawk…
Comment m’as-tu reconnu, Jibé ?
Si, comme attendu, Juppé est battu, Bayrou pourrait s’amuser à rendre le second tour moins certain, si la gauche avance un candidat unique et crédible, pour elle déjà un tour de force, farce si c’est l’homme de la rue du cirque.
On s’italianise, en fait.
Gaulois toujours à courir derrière les Romains.
AO
Widergänger dit: 21 novembre 2016 à 12 h 21 min
Je pense néanmoins que Juppé conserve des chances non négligeables de repasser devant Fillon
–
Bien entendu. Non bégligeables.
Giscard,
Sarko,
Hollande,
une seule mandature.
Les leaders politiques sont fragiles et inconséquents. La France est un pays difficile à gouverner mais le peuple est sain d’esprit et intelligent. Il ne s’en laisse pas compter. Le bon sens l’emporte finalement.
C’est pourquoi je pense que Juppé va trouver les mots qu’il faut pour écarter de la course au pouvoir cet effroyable Fillon en dépit de sa bonne tête. La raison va l’emporter. Sinon, on court à la guerre civile à terme.
Georges PérWec?
Écoutez, je vais faire baisser votre tension à tous : Fillon ne sera pas élu. Et quand bien même il le serait par un extraordinaire accident, il est bien meilleur que Juppé.
« si la gauche avance un candidat unique et crédible »
Beaucoup trop de si, oursivi. Pour le candidat unique, avec Macron et Valls aux basques, c’est déjà impossible, quand à la crédibilité, ç’est hautement improbable ! Hollande s’épargnera l’humiliation de Jospin…
Maintenant vous pouvez discuter littérature en paix.
Non, pas Georges Perec (sans accent et sans souvenir d’enfance) Mohawk…
Oui, et continue à prédire l’élection de Marine Le Pen, D., c’est la meilleure façon de l’empêcher d’être élue, merci.
Une piqure de Baudelaire ?
Les Chats
Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
Amis de la science et de la volupté,
Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ;
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
« Oui, et continue à prédire l’élection de Marine Le Pen, D., c’est la meilleure façon de l’empêcher d’être élue, merci. »
Jibé, je te rappelle que D avait prédit la victoire de Trump!
« son frangin est un pianiste de jazz « !
ah ben alors! très convaincant en effet!
« sa chère morale de fervent catholique »
qu’il ne manque pas de mettre en pratique on n’en doute pas le moins du monde
« un programme à la Trump »
et il est bien coiffé lui aussi
« ça va être l’horreur »
les beaufs seront encore plus contents
Monsieur Wicktor? (qu’allait-il faire dans la 5e avenue…)
En résumé, et contrairement à ce qu’affirme Alain Juppé, il est tout à fait « possible » de supprimer 500 000 postes dans la fonction publique comme le propose François Fillon. Pour arriver à cet objectif, le plus élevé de ceux proposés par les candidats à la primaire de la droite, aucun secteur ne serait épargné et les recrutements seraient en grande majorité gelés. (Le Monde)
Plus de nouveaux profs durant 5 ans ! Heureusement que je me tire de cet enfer dans moins de cinq ans…! Le métier de prof est promis à l’enfer.
Les extraits du programme de Fillon donné par Jibé montre son caractère irréfutable. Rien que du bon sens. En gros, c’est du Schroeder 2010, celui qui a sauvé l’économie allemande.
Rien à dire…
Les extraits du programme de Fillon donné par Jibé montre son caractère irréfutable.
—
Fillon, l’élu de la Providence, Fillon le (mal-e) nécessaire (qui ne peut pas ne pas être, l’inverse du contingent);, Fillon l’élu des dieux…
Toujours très drôles, les construcitons disursives téléologiques, volontaristes ou solispistiques.
Bref, l’Idéologie.
Il y a des historiens ici? Il va falloir se mettre au boulot, par quoi commence t’on? Clovis? Il avait un petit nom? Du genre Clovis le bien aimé?
Je ne pensais pas que closer était si bête. Les gens se révèlent.
Merci Jibé pour cette Plainte d’Automne. Je ne connaissais pas les poèmes en prose de Mallarmé.
Jibé, tu voterais Fillon malgré ça (wiki) :
« En juin 1981, il est élu député de la 4e circonscription de la Sarthe dès le premier tour, avec 50,14 % des voix, et reprend ainsi le siège de député de Joël Le Theule. À 27 ans, il est alors le benjamin de l’Assemblée nationale12.
Bien que son mentor en politique Joël Le Theule ait été notoirement homosexuel, François Fillon vote comme l’ensemble de son camp politique contre l’abrogation de l’alinéa 2 de l’article 331 du Code pénal, qui faisait de l’acte impudique avec un mineur de même sexe une circonstance aggravante13, le 20 décembre 1981 à l’Assemblée nationale (le retrait de cette disposition est cependant voté par la majorité de gauche)14. »
Si Fillon réussit à être élu et à mettre en place son programme (qui n’est rien d’autre que l’ensemble des mesures qui ont permis à l’Allemagne, à la GB, au Canada, à la Suède et à d’autres, de diviser leur taux de chômage par deux et de rétablir leurs finances publiques, tout le reste venant par surcroît), il aura bien mérité de la patrie.
Les délires de Clopine (homophobe, partisan de la peine de mort et autres mensonges) ne sont qu’un tissu de fantasmes.
Voir le comparatif Fillon/Juppé sur le site du Monde. Très peu de choses les séparent en réalité.
…
…faite ce qui vous plait, vous en aurez pour votre faux-argent,!…aux changes,!…
…
…l’inventeur de l’imprimerie, Gutenberg,!…
…
…juste à mouler, les caractères des monnaies romaines, à les alignes, pour faire textes,!…
…Charlemagne en fit des codes,!…ces papyrus lettrés sur cires en boites,!…Ah,!Ah,!…
…héritages, des collections, un minimum, pour faire son école tout seul,!…arbalètes et stratégies des vigies,!…champêtres,!…
…
…l’ère des nouveaux châteaux-forts,!…
…etc,!…
Vous êtes grotesque Clopine, cette histoire qui remonte à 35 ans, Fillon s’en est expliqué. Il s’agissait à l’époque de s’opposer aux socialistes de façon systématique. Toute l’opposition de droite se battait pied à pied contre le pouvoir. Combien de fois la gauche ne s’est-elle pas comporté de la même façon? Ce n’est peut-être pas une façon très constructive de faire de la politique, mais c’est ainsi en France…On ne va pas en parler pendant 100 ans!
Le comparatif:
Wgg,
je ne m’explique pas votre démarche, je connais des gens qui ne votent pas et qui si je les appelais là tout de suite maintenant seraient bien incapables de me dire qui a gagné le premier tour de la primaire de la droite puisqu’ils ne savent même pas qu’il y avait une primaire. Alors pourquoi passer tant de temps à réfléchir à un exercice auquel vous ne participez pas plutôt que de vous adonner au bonheur de vivre?
@12.48 « Il ne s’en laisse pas compter »…, Wgg règle ses comptes en nous racontant des histoires de science politique édifiantes pour les mômes, avant d’aller les coucher.
@11.21 Entre la pesanteur et la grâce, la pesanteur a toujours triomphé, même si toute l’ entreprise de Simone consista à se demander comment pouvoir y échapper. Pour les chats, c’est pareil : les gros matous lourds ont toujours foutu des roustes aux chats efféminés. Mais quand on leur coupe les roubignoles à tous, ils ont tendance à devenir pareils, une grâce pesante qui n’échappe pas aux clébards.
@12.58 Quant à la bonne poésie (t)chateuse, je préfère retourner aux piqûres de Verlaine (Femme et chatte).
Elle jouait avec sa chatte,
Et c’était merveille de voir
La main blanche et la blanche patte
S’ébattre dans l’ombre du soir.
Elle cachait – la scélérate ! –
Sous ces mitaines de fil noir
Ses meurtriers ongles d’agate,
Coupants et clairs comme un rasoir.
L’autre aussi faisait la sucrée
Et rentrait sa griffe acérée,
Mais le diable n’y perdait rien…
Et dans le boudoir où, sonore,
Tintait son rire aérien,
Brillaient quatre points de phosphore.
Restons calmes, Clopine, et allons à l’essentiel. L’essentiel, c’est d’éviter l’aventure Le Pen.
Pour le reste, on avisera au cas par cas.
Widergänger dit: 21 novembre 2016 à 13 h 36 min
« Je ne pensais pas que closer était si bête »
il les accumule
Fillon ou Juppé, du pareil au même ou presque : la France moisie comme le dit Philippe Sollers
Il n’y a pas de chats efféminés, JJJ., que des félins-félines ! Mes préférés sont les chats de gouttière, plutôt efflanqués et pas mal batailleurs…
@ Jibé
C’est quand que tu vas arrêter de produire des apéritifs (Le Goût de…) et passer au plat principal de tes Mémoires?
Ceux-là sont étonnants, JJJ !
http://img0.ndsstatic.com/chaton/les-chats-sans-poils-un-chaton-sphynx_187190_w620.jpg
Pablo, en tout j’aime la légèreté, pas les gros pavés. Mes mémoires, je les distille ici depuis dix ans déjà, par petites doses.
Ce qui est le drôle est la façon dont l’histoire offre des double-fonds à chacun de nos actes.Si Chirac reste le seul avec Tonton a avoir gagné deux fois, c’est grâce à sa bévue du printemps 97 où il offrit presque le pouvoir à Jospin…
S’inventant presque inconsciemment volontairement, un parcours tout similaire à son vieille ennemi roi de Jarnac, avec la mise aux manettes, devant assumer les erreurs incontournables que l’exercice du pouvoir impose.
Chez Jospin, ce fut son angélisme idéologique qui le perdit, même contrebalancé par un très bon bilan économique. Si Chirac n’avait pas promu Jospin en 97, il ne serait repassé en 2002. Il y a toujours plus de coups que ceux comptés dans le billard.
AO
son vieil, c’était pas Tata…
Un pneu mon eveu.
@ Jibé
« Mes préférés sont les chats de gouttière… »
N’ayant eu que ça, moi aussi je disais ça avant. Mais il y a un an, ma dernière chatte étant morte d’un infarctus (elle était couchée sur un lit, je passe et la caresse, je vais diner, je repasse et la caresse à nouveau… et elle ne ronronne ni bouge plus), le patron de ma fille, très content avec elle, qui venait de commencer à exercer comme véto dans son cabinet, pour Noël lui a offert un Exotic sorthair pur race (1 200 euros sur le marché), tout noir avec les yeux orange clair et d’un caractère bon enfant incroyable (il se laisse tripoter dans tous les sens, il cherche toujours la compagnie humaine, il est toujours couché sur le coussin que je lui ai mis sur l’imprimante que j’ai sur le bureau – de temps en temps, il descend, il s’étire, il réclame des caresses et il remonte sur son coussin).
Et en septembre dernier, rebelote, à nouveau son patron (un fou d’animaux qui a 3 chiens, 4 chats et 1 cheval), content que grâce à elle le cabinet n’ait pas fermée cet été et voyant qu’elle était amoureuse de son chat, lui a offert un deuxième, une femelle Exotic sorthair aussi, qui est le contraire du mâle: petite, vive, curieuse, dominante et toujours prête à jouer.
Du coup autant ma femme, que ma fille, que moi on est tombés amoureux de cette race de chats.
https://fr.123rf.com/photo_8651750_exotic-shorthair-chaton-3-mois-assis-en-face-de-fond-blanc.html
J’ai oublié de dire que les Exotic shorter ont un poil incroyablement doux.
Avant, j’avais beaucoup de mal à comprendre les amateurs des chats de race. Maintenant, j’ai compris.
Exotic sorthair
Fillon, c’est pareil que Pétain (coup) : travail , famille patrie, c’est reparti comme en 40, bordel !
L’essentiel, c’est d’éviter l’aventure Le Pen.
—
Baroz, tu n’as pas l’impression de faire un saut en arrière, en avril 2002? Pas sûr que cela soit suffisant pour motiver les troupes.
De plus en plus de personnes semblent en faveur d’une politique du pire qui consiste à penser que le meilleur moyen de se débarrasser du FN serait de lui laisser la barre. Il y aurait de la casse (il y en aura, de toutes façons), mais au moins, la preuve du pudding serait dans le fait qu’on l’a mangé.
Jeu dangereux, mais pas totalement inenvisageable, au vu de l’aliénation généralisée.
Fillon,fils de Pétain, Lacenaire?
J’ai l’impression que parler des chats, ça calme les nerfs à tout le monde. Moi, ça me les foutrait plutôt en pelote, vu que je n’aime pas trop ces animaux, à la différence des teckels. Je ne crois pas que Wgg ait un chat sans poil comme cette horreur dont on nous a montré l’image (@14.39). Faut-il être pervers pour aller caresser ça ! Et puis les chats sur les imprimantes vargas-xerox, c’est d’un convenu littéraire ! Enfin les mémoires au compte-gouttes via le blog de la rdl, c’est pas bête comme idée, pas vraiment léger, plutôt d’une insoutenable légèreté. On aimerait les voir publiés en un seul volume, d’autant qu’on n’a pas lu le centième des interventions sur les goûts des autres, on ne lit que des pièces rapportées sur l’immense amour de soi-même et d’inlassables curiosités de gardienne sur l’hétérosexualité des gens.
Maréchal, maréchal… I va faire pour les campagnes halor… Ca va dégrouper sec !
D’autant que si la terre ne ment pas, elle n’en est pas moins fort humide…
Ici, ils sont rentrés dans leur période Drucker.
« Et vous, vous aimez les chiens ? »
Non, ils aiment les chats, c’est plus snob de nature un chat. Et puis, dans le regard vide de ces félins de bazar, on peut toujours se croire Mallarmé ou Schrödinger. Cela vous regonfle un moi, un chat.
chAO
Pablo, je ne suis pas contre les chats de race non plus, bien que je ‘aime pas trop les gros chats angora aux allures de grosse pelote de laine mohair, tel celui que mon éditeur a mis en couverture de mon « Goût des chats »
J’ai eu un très beau siamois et aussi un élégant chartreux
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chartreux_(chat)
@bloum, « Jeu dangereux, mais pas totalement inenvisageable, au vu de l’aliénation généralisée dont je fais partie ».
Tout de suite les grands mots !…
Oui, on sent que beaucoup de gens s’attendent à ça, et qu’ils seraient même capables de s’aventurer dans une prophétie autoréalisatrice, comme de prétendus socialistes sont allés payer 2 euros pour foutre la merde dans les urnes de la droite rien que pour éjecter sarko, comme s’il avait pas fait son boulot lui-même.
Ont bonne mine ast’heure d’avoir ramené fion et de regretter son programme ultra libéral. Tu vas voir que bientôt, MLP et son giton vont passer pour de gentils centristes mesurés, à côté des fion-juppé ! Ce n’est pas de l’aliénation, voyons. Non, c’est toute une population qui découvre les joies du pocker menteur aux Ramigeaux comme à la Rémigeasse.
Eh bien moi, j’ai un setter irlandais.
Non, non, oursivi, on aime aussi les chiens. J’en ai eu une durant seize ans, Heidi, dont j’ai beaucoup parlé ici, notamment au moment de sa mort, qui m’a laissé inconsolable et inconsolé…
@bloum, « Jeu dangereux, mais pas totalement inenvisageable, au vu de l’aliénation généralisée dont je fais partie ».
Tout de suite les grands mots !…
Oui, on sent bien que beaucoup de gens s’attendent à ça, et qu’ils seraient même capables de s’aventurer dans une prophétie auto-réalisatrice, comme ces prétendus socialis.tes sont allés payer 2 euros pour fo.utre la m. dans les urnes de la droite rien que pour éjecter sark.o, comme s’il avait pas fait son boulot lui-même.
Ont bonne mine, ast’heure, d’avoir ramené fi..on et de regretter son programme ultra libéral. Tu vas voir que bientôt, MLP et LP vont passer pour de gentils centristes mesurés, à côté des fi..on-jupp.é ! Ce n’est pas de l’aliénation, voyons ! Non, c’est toute une population qui découvre avec frisson les joies du pocker menteur aux Ramigeaux comme à la Rémigeasse. Pourquoi cela ne serait-il réservé qu’à ceux qui éprouvent de la phobie administrative ?
Bloom, Marine à la tête du pays, pense à l’honneur de la France à l’étranger !
Le chat
Je souhaite dans ma maison :
Une femme ayant sa raison,
Un chat passant parmi les livres,
Des amis en toute saison
Sans lesquels je ne peux pas vivre.
Apollinaire
« Et puis les chats sur les imprimantes vargas-xerox, c’est d’un convenu littéraire ! » (Janssen J-J)
On voit que tu ne connais pas les chats: ceux eux qui choisissent leurs endroits préférés. Une imprimante (Samsung) sur un bureau est un endroit haut, d’où on domine l’espace de la pièce. C’est ça l’instinct félin.
@ oursivi
« Non, ils aiment les chats, c’est plus snob de nature un chat. Et puis, dans le regard vide de ces félins de bazar, on peut toujours se croire Mallarmé ou Schrödinger. Cela vous regonfle un moi, un chat. »
Tu délires, mon pote. C’est beaucoup plus simple que ça: en ville avoir un chien c’est plus compliqué qu’avoir un chat.
L’insoutenable regard des chats, Nicolas !
Un jour, à l’époque de la rédaction de mon « guide des cimetières parisiens », comme je déambulais dans l’un d’entre eux : le petit cimetière Saint-Gervais (20e arr.). J’avise un énorme tombeau où, à hauteur de mollets, se trouvait un petit oculus orné d’une grille en fer forgé. Je m’accroupis pour regarder à l’intérieur. Soudain, dans l’obscurité la plus totale, j’aperçus deux yeux jaunes qui me fixaient. Je fis un bon en arrière, avant de comprendre que c’était un chat !
Bloom, Marine à la tête du pays, pense à l’honneur de la France à l’étranger !
—
J’étais au Pakistan en avril 2002, Baroz, séparé de ma femme et de mon premier enfant depuis le 20 septembre 2001. Mes collègues européens m’ont fait le salut hitlérien le 22 avril au matin, soi-disant pour rire. Mes amis pakistanais,goguenards, m’ont assuré que je pouvais toujours me réfugier chez eux. J’ai eu un peu honte.
En revanche, j’ai éprouvé une grande la fierté après le discours de de Villepin à l’ONU, malgré les centaines de mails de haine que j’ai reçus de nos « amis » australiens (« collaborators, as in 1940, etc.). Tout ce que Sydney comptait d’artistes, de créateurs, d’intellos, était dernière nous.
L’ouverture du Festival du Film Français a été l’occasion pur David Stratton, le Pierre Technia australien, de rappeler les valeurs d’universalisme & de culture dont notre pays était porteur.
Depuis, le monde a changé, notre action culturelle est passée au second, voire quatrième ou dixième plan, on ne jure plus que par le digital & la réalité virtuelle, merci NS et FH…
Et puis la France fait peur, Paris surtout, synonyme d’insécurité absolue; ces derniers temps, les journaux indiens trouvent un malin plaisir à relater les déboires de la deuxième actrice indienne à se faire agresser en bas de son hôtel parisien en un mois…La France d’aujourd’hui ne fait plus rêver du tout. Nette impression de ramer contre le courant…
petite précision, Pablo. En tant que lecteur, je ne suis pas contre les gros pavés. A condition qu’ils tiennent au corps. Mais je suis trop paresseux pour en écrire. Je viens d’en commencer un : « Gros temps sur l’archipel » de Valerino Nemésio, dont la critique affirme que c’est l’un des trois chef-d’oeuvres absolus de la littérature portugaise. ça se passe aux Açores. Les deux autres, que j’ai déjà lus, sont « Les Maia » de Eça de Queiroz et « Amour de perdition » de Camilo Castelo Branco.
Mon chat, un gros rouquin, refuse que je lise, ce qu’il veut c’est courir après sa sourie accrochée à un bout de ficelle ou dormir sur mon livre, et si je lui résiste il prend un malin plaisir à escalader la bibliothèque en passant derrière la lampe qu’il fait tomber ainsi que les statuettes en bois, une boite qui n’a rien à faire là et la lampe de chevet du haut si vraiment il se fait chier. Moralité j’aurais dû prendre un chien.
« Nette impression de ramer contre le courant… »
Courage, ne lâche rien, Bloom, JC te regarde et espère te voir tomber !
Essai sans blog ; quelle misère !
16.10 je faisais simplement allusion au gros chat de la plantureuse du lieutenant Violette Retancourt, personnage central des polars de Fred Vargas. On a la culture qu’on peut. Sinon, en effet, je n’ai pas d’idées sur la place des chats au foyer.
Marine à la tête du pays, pense à l’honneur de la France à l’étranger !
I faut bien se dire que lorsqu’on croise trois gus dans la rue, il y en a un ou deux pour…
« je n’ai pas d’idées sur la place des chats au foyer. »
Très simple, JJJ. : un chat n’est jamais chez nous, c’est nous qui sommes chez eux !
Courage, ne lâche rien, Bloom, JC te regarde et espère te voir tomber !
—
T’inquiète, Baroz, on a le cuir épais dans la profession. Un de mes collègues de 25 ans a véu le tremblement de terre du Népal il y a presque 2 ans: elle a tout géré avec les 5 personnels de l’ambassade.
Perso, je ne m’épanouis jamais autant que dans l’adversité (quand on me dis ‘casse toi , pov c.on’, rentre dans ton pays’, comme ce fut le cas récemment, j’ai tout de suite un projet de coopération qui me vient).
C’est juste un contexte qui n’est pas porteur…
UnE de mes collègues, oeuf corse.
Jibé dit: 21 novembre 2016 à 15 h 44 min
Dont acte, donc tact.
Pablo75 dit: 21 novembre 2016 à 16 h 17 min
Si tout tient à son aspect pratique, essayez plutôt l’animal en peluche, c’est remarquablement propre et très facile à vivre.
Ton paote.
Eluard aussi, pour le chat :
Pour ne poser qu’un doigt dessus
Le chat est bien trop grosse bête.
Sa queue rejoint sa tête,
Il tourne dans ce cercle
Et se répond à la caresse.
Juppé en politique ressemble à un best-seller qui se vend mal.
@ oursivi
« Si tout tient à son aspect pratique, essayez plutôt l’animal en peluche, c’est remarquablement propre et très facile à vivre. »
Quel humour ravageur…
Si tu ne sais pas lire sans traduire, la prochaine fois essaie de traduire mieux (« en ville avoir un chien c’est plus compliqué qu’avoir un chat » = « Si tout tient à son aspect pratique » c’est une traduction de cancre).
« Fillon ou Juppé, du pareil au même ou presque : la France moisie comme le dit Philippe Sollers »
Dans la tête flasque de Sollers, la France moisie était celle des électeurs qui votaient aux extrêmes. Sollers a soutenu en son temps Balladur. C’est ce que Sollers appelle donc « France moisie » qui va faire chuter Fillon aux élections, et qui sera le salaire évident d’une politique ultra-libérale dont le peuple aujourd’hui ne veut évidemment plus – sans être pour autant la « France moisie », mais au contraire la France qui comprend et qui réagit intelligemment.
Les chats les plus géniaux sont chez TS Elliot, Macavity, par exemple
Macavity, the Mystery Cat
Macavity’s a Mystery Cat: he’s called the Hidden Paw—
For he’s the master criminal who can defy the Law.
He’s the bafflement of Scotland Yard, the Flying Squad’s despair:
For when they reach the scene of crime—Macavity’s not there!
Macavity, Macavity, there’s no one like Macavity,
He’s broken every human law, he breaks the law of gravity.
His powers of levitation would make a fakir stare,
And when you reach the scene of crime—Macavity’s not there!
You may seek him in the basement, you may look up in the air—
But I tell you once and once again, Macavity’s not there!
(…)
Mungojerrie And Rumpelteazer
Mungojerrie and Rumpelteazer were a very notorious couple
of cats.
As knockabout clown, quick-change comedians, tight-rope
walkers and acrobats
They had extensive reputation. They made their home in
Victoria Grove–
That was merely their centre of operation, for they were
incurably given to rove.
They were very well know in Cornwall Gardens, in Launceston
Place and in Kensington Square–
They had really a little more reputation than a couple of
cats can very well bear.
(…)
D’ailleurs, quand on commence à raisonner avec un concept pourri comme « France moisie », on s’emmêle vite les pinceaux, et ça ne donne rien. Tout y contribue, actuellement. La situation politique est en train de devenir un non-sens.
@Jibé
Je ne connais pas Valerino Nemésio.
Camilo Castelo Branco (qui s’est suicidé à 65 ans en 1890) est connu dans l’ésotérisme pour avoir « dicté » à une médium brésilienne un livre contre le suicide intitulé « Mémoires d’un suicidé » (publié en 1955) – je l’ai en version espagnole, mais je ne l’ai pas lu.
Clopine, définitivement un cas à part… dit: 21 novembre 2016 à 13 h 58 min
Coup bas d’une rare sottise, comme d’hab.
Fillon n’est pas vraiment mon agence tass de thé, avec ou sans poutine en poudre, mais lui faire reproche d’un comportement vieux de 35 ans…
Si cela se trouve, il a pissé au lit jusqu’à l’âge de deux voire trois ans…? Et vous-même ?
S’il faut remonter aussi loin pour trouver de quoi vous défriser, elle est raide celle-là, surtout dérisoire.
Quand vous votiez pour l’homme qui en 41 serrait la main de Pétain et bien après resta copain – pas pote Pablo – avec Bousquet, vous sembliez avoir moins d’exigences..?
Ou alors, vraie gauchiste, vous votiez communiste, comme ceux ayant entériné le pacte Molotov-Ribbentrop ?
Certaines indignation sont à géométrie variable, comme le reste.
Comme cette tartufferie de nous ressortir l’incontournable ânerie de disqualifier quelqu’un car ne serait pas hostile sur le principe à l’application de la peine de mort dans des cas extrêmes et peu nombreux, quelle sinistre aveuglement.
Il y a eu cinq exécutions sous sept ans de Giscard, la dernière il y a quarante ans, celle d’un homme qui suite à un accident voulut prostituer sa femme qui se rebellant, fut éventrée après moult supplices dont je vous tairai le détail.
En ce même laps de temps d’une quarantaine d’années – damnée, dirons certains – on a continué à rouler à la vitesse de croisière relativement stable de 800 à 1500 homicides (pas mal ne sont pas vus, des disparitions, des crimes maquillés en suicide…) l’an, soit depuis environ 50000 personnes assassinées depuis cette dernière exécution. 5 criminels passés à la casserole d’un côté, 50000 innocents trucidés de l’autre, et on ne parle que des premiers… à ce stade cela ne relève plus de la tartufferie – même aux pommes – mais de la psychiatrie légère, que d’aimer à ce point lâcher la proie pour l’ombre.
Même chose au niveau international.
Prenez tous les laudateurs (dont je suis partiellement i.e. en moins myope) d’Obama qui se sont tous auto-congra tue les, de ses prises de position sur l’abolition de la peine de mort, là qu’il a accéléré un usage massif des drones armés, qui même si sont entre les mains de gens essayant de limiter la casse question effet de bord, les Américains ne sont pas des Russes, encore moins des Arabes, tuent largement plus de civils innocents que l’ensemble des gouverneurs réactionnaires réunis (et qui eux tuent à 99% des assassins, laissons 1% au doute, des erreurs il y en a eu, en aura, toujours, mais moins systématiquement que dans les politiques d’élimination étatiques).
La politique est une énorme poupée russe faite de tartuferies successives.
Mais moins que beaucoup d’opinions qui se croient éclairées.
AO
Quand on a été maoïste assez longtemps, comme Sollers, on peut certes baser ses raisonnements politiques sur des formules lapidaires comme « France moisie ». Et cela reste criminel, mais tellement à côté de la plaque.
Je préfère Sollers dans ses excès à Delaporte dans son vide intelectuel
Delaporte se complaît à défendre la « France moisie ». Il est donc moisi lui-même ! C’est assez affligeant de voir ça sur la rdl ! Y a vraimentd e tout sur la rdl. Même le pire. Et encore, comme dirait Passou, on ne voit pas tout…
« Les chats les plus géniaux sont chez TS Elliot, Macavity, par exemple. »
(Bloom)
Il y a aussi Beppo (1970-1985), le chat le plus célèbre de Borges (qui a pris le nom du chat de Lord Byron), auquel il a dédié un poème (en hendécasyllabes avec accent en 6ème – le vers espagnol le plus beau et le préféré de beaucoup de grands poètes, dont Borges):
« El gato blanco y célibe se mira
en la lúcida luna del espejo
y no puede saber que esa blancura
y esos ojos de oro que no ha visto
nunca en la casa son su propia imagen.
¿Quién le dirá que el otro que lo observa
es apenas un sueño del espejo?
Me digo que esos gatos armoniosos
el de cristal y el de caliente sangre,
son simulacros que concede el tiempo
un arquetipo eterno. Así lo afirma,
sombra también, Plotino en las Ennéadas.
¿De qué Adán anterior al paraíso,
de qué divinidad indescifrable
somos los hombres un espejo roto?
Borges a eu d’autres chats moins connus que Beppo, dont un qui s’appelait Odín. Et il a écrit d’autres poèmes sur les chats, dont ce très beau sonnet:
A un gato
No son más silenciosos los espejos
ni más furtiva el alba aventurera;
eres, bajo la luna, esa pantera
que nos es dado divisar de lejos.
Por obra indescifrable de un decreto
divino, te buscamos vanamente;
más remoto que el Ganges y el poniente,
tuya es la soledad, tuyo el secreto.
Tu lomo condesciende a la morosa
caricia de mi mano. Has admitido,
desde esa eternidad que ya es olvido,
el amor de la mano recelosa.
En otro tiempo estás. Eres el dueño
de un ámbito cerrado como un sueño.
Ce sonnet a l’une des plus belles fin de sonnet qui existent en espagnol:
« Tu habites un autre temps. Tu es le maître
d’un espace fermé comme un rêve. »
(« Ámbito » est un très bon mot espagnol – Vicente Aleixandre l’a choisi comme titre de son premier livre de poèmes – que traduisent mal les mots « espace » ou « domaine »).
La deuxième partie de mon post sur les chats de Borges (avec un sonnet en espagnol) ne passe pas. L’algorithme de ce site est très étrange. Il faudrait que Passou nous dise quels mots sont interdits.
Enfin comme dirait Cocteau, du moment qu’il n’y a pas de chats policiers…
[Essai pour savoir si le mot interdit est en espagnol]
Borges a eu d’autres chats moins connus que Beppo, dont un qui s’appelait Odín. Et il a écrit d’autres poèmes sur les chats, dont ce très beau sonnet:
Ce sonnet a une des plus belles fin de sonnet qui existent en espagnol:
« Tu habites un autre temps. Tu es le maître
d’un espace fermé comme un rêve. »
(« Ámbito » est un très bon mot espagnol – Vicente Aleixandre l’a choisi comme titre de son premier livre de poèmes – que traduisent mal les mots « espace » ou « domaine »).
Alors là, mystère total: l’algorithme modérateur de ce blog n’aime pas un mot espagnol d’un sonnet de Borges et je n’arrive pas à savoir lequel.
Quand Macron dit que les partis politiques sont profondément malades, il n’a manifestement pas tort.
Je dirais même que c’est le rapport de la société toute entière au politique qui est en phase terminale. On a le sentiment que les citoyens se comportent comme des rats dans le labyrinthe qu’on leur propose et qu’ils parent au plus pressé avec des revirements brutaux histoire de sauver ce qui peut encore l’être de liberté et de démocratie dans ce pays qui semble au bord du précipice.
« Enfin comme dirait Cocteau, du moment qu’il n’y a pas de chats policiers… » (Sergio)
C’est moche d’abimer les belles citations. Cocteau disait: « Je préfère les chats aux chiens, parce qu’il n’y a pas de chats policiers. »
La France n’a pas besoin d’ambassade au Népal, Bloom. Ce personnel sera reaffecté sûr des poses prioritaires en métropole, après stage de reconditionnement.
« il n’y a pas de chats policiers » (de cocteau ?)
Ras le bol de ce poncif. Si, justement il y en a… par ex., dans le polar de fred vargas où un drone suit à distance le chat de violette retancourt qui va galoper jusqu’à Adamsberg, prisonnier des forces du mal et permettre à sa brigade de le sauver, hein. Certains chats entrainés par la bridage féline sont de meilleurs renifleurs que leurs collègues canins, mais la différence, c’est que les policiers ou les délinquants n’arrivent pas toujours à les faire obéir à leurs ordres, pour trouver la drogue. Mais quand ils cherchent vraiment, ils en trouvent beaucoup plus.
Cats & writers
https://www.buzzfeed.com/harpercollins/16-famous-writers-and-their-cats-9npd?utm_term=.kiJQ9RgD2#.spmjZAy4v
Ce soir je mange des tortillas avant d’embarquer dans une navette qui me conduira dans un vaisseau-mère mouillant en périphérie du Soleil.
Il s’agit ensuite d’un petit périple dans certaines systèmes stellaires d’Andromème où j’ai des choses à rapporter et à expliquer. Vous ne le rverrez donc pas de sitôt, en tout cas pas avant l’élection de Marine Le Pen que je trouve de plus en plus sexy soit dit en passant.
Hmm…
All Along the Watchtower
ALBUM : « JOHN WESLEY HARDING » – 1968
Ne cherchez plus le sens de ce texte, Dylan lui-même a avoué que l’histoire commençait par la fin de la chanson. La signification générale en est qu’il a tourné la page de la révolte contre la farce de la vie pour donner un nouveau sens à sa destinée. La tour de guet de la ville fortifiée doit être l’image de l’état moral de l’homme ou du corps politique. Le duo formé par le bouffon et le voleur sage est-il piégé ou exilé de la ville fortifiée de l’humanité? « La question est la réponse ». Dans George Jackson, Dylan dira que certains d’entre nous sont prisonniers, d’autres gardiens, mais que ça ne change pas grand-chose. A cette date, il devait estimer que les hommes d’affaires buvaient ses gains et que critiques et auditeurs piétinaient son sol. Une introduction menaçante à la guitare, un chant et un climat résolument « Rock » pour un dialogue entre deux personnages archétypiques qui semblent être les esprits contradictoires de Dylan lui-même.
Jimi Hendrix tomba amoureux de cette chanson à la première écoute, et sa version fit beaucoup pour sa popularité. Dylan a reconnu s’en être inspiré lorsqu’il la joua en public en 1974 avec The Band, et il l’a jouée plus de mille fois depuis, en variant sans cesse les arrangements et le tempo. Un autre grand admirateur de Dylan, Neil Young, l’a mise à son répertoire en 1992 pour les trente ans de carrière de Bob Dylan, et continue à en faire une version tout aussi incendiaire que celle de Hendrix.
All Along the Watchtower Tout au long de la tour de guet
« There must be some way out of here, » said the joker to the thief,
« There’s too much confusion, I can’t get no relief.
Businessmen, they drink my wine, plowmen dig my earth,
None of them along the line know what any of it is worth. » « Il doit y avoir un moyen de sortir d’ici », dit le bouffon au voleur,
« Il règne une trop grande confusion, je ne ressens aucun soulagement.
Les hommes d’affaires boivent mon vin, les laboureurs creusent ma terre,
Personne à l’horizon ne sait ce que tout cela vaut. »
« No reason to get excited, » the thief, he kindly spoke,
« There are many here among us who feel that life is but a joke.
But you and I, we’ve been through that, and this is not our fate,
So let us not talk falsely now, the hour is getting late. » « Aucune raison de s’énerver », répondit gentiment le voleur,
« Beaucoup ici parmi nous pensent que la vie n’est qu’une farce.
Mais, toi et moi, nous sommes passés par là, et ce n’est pas notre destin,
Alors, ne parlons plus à tort maintenant, il commence à se faire tard. »
All along the watchtower, princes kept the view
While all the women came and went, barefoot servants, too. Tout au long de la tour de guet, les princes continuaient à regarder
Tandis que toutes les femmes allaient et venaient, les serviteurs aux pieds nus, aussi.
Outside in the distance a wildcat did growl,
Two riders were approaching, the wind began to howl. Dehors au loin un chat sauvage gronda,
Deux cavaliers approchaient, le vent commença à hurler.
Traduction de Pierre Mercy et Gérard Poillet, notes de Pierre Mercy et François Guillez
@ D.
« Ce soir je mange des tortillas avant d’embarquer dans une navette qui me conduira dans un vaisseau-mère mouillant en périphérie du Soleil. »
Elle appartient à laquelle des dizaines de races d’extraterrestres que visitent notre planète?
oursivi dit: 21 novembre 2016 à 17 h 21 min
Rassurez moi : vous ne souffrez pas de confusion mentale, Oursivi?,ça me rassurerait parce que j’ai rien compris, j’aurais tendance à vous dire: c’est sûr c’est comme tout le reste!.
Delaporte se complaît à défendre la « France moisie ». Wgg
Ce n’est pas exactement cela, vous n’avez pas compris. Je pense que, lorsqu’on pose le débat sur des concepts dégénérés, rien de constructif ne peut en sortir. La vacuité, ici, c’est celle de croire que la « France moisie » apporte quelque chose, alors que, selon moi, cela ne veut pas dire grand chose : c’est juste, comme souvent chez Sollers, le fruit d’un petit caprice (un « caca nerveux ») bien digne de l’Ancien Régime dans ce qu’il avait de pire, du style : « Qu’ils mangent de la brioche ! »…
« Je préfère Sollers dans ses excès à Delaporte dans son vide intelectuel »
Le vide intellectuel, c’est celui de Sollers. La droite ultra-libérale, représentée par Fillon, s’incarne dans ce vide intellectuel par le mépris de la démocratie. Le système démocratique demande à ce qu’on se réfère à lui autrement que par le mépris envers une certaine frange d’individus, de citoyens, qui justement… forment la majorité silencieuse de cette démocratie.
Sur le regard du chat, Derrida, je vous le cite un coup juste pour le plaisir de son regard lubrique, depuis devant mon chat je fais l’hélicoptère…parce qu’il a l’air d’aimer ca.
« Souvent je me demande, moi, pour voir, qui je suis – et qui je suis au moment où, surpris nu, en silence, par le regard d’un animal, par exemple les yeux d’un chat, j’ai du mal, oui, du mal à surmonter ma gêne.
Pourquoi ce mal?
J’ai du mal à réprimer un mouvement de pudeur. Du mal à faire taire en moi une protestation contre l’indécence. Contre la malseance qu’il peut y avoir à se trouver nu, le sexe exposé, à poil devant un chat qui vous regarde sans bouger, juste pour voir. »
On peut d’ailleurs être certain pour qui un animal répugnant comme Sollers va voter aux élections : tout naturellement pour Fillon, après avoir été autrefois un partisan de Balladur.
Je connais cette conférence de Derrida à Cerisy. Mais ce qu’il dit n’engage que lui. Je n’éprouve pour ma part nullement cette gêne qu’il décrit, de se retrouver à poil devant un chat. Je me souviens même de la chatte de Marusa, Joséphine, qui venait me voir à la porte de la salle de bain et se blottir contre moi la nuit en ronronnant comme pour me consoler alors que Marusa venait de décéder deux jours plus tôt comme si elle avait compris la tragédie intime qui venait de se produire. J’ai été obligé d’abuser de sa confiance pour réussir à la mettre dans son panier dont elle avait horreur pour pouvoir la transporter à Montréal chez la compagne le l’ex-mari de Marusa qui a bien voulu la recueillir chez elle. Il paraît qu’elle l’a mordue en sortant de sa cage. Et elle miaulait comme une désespérée, la pauvre, quand elle est partie définitivement de chez Marusa à vous fendre le cœur. C’était pas drôle.
Entre Langoncet qui croit nous faire plaisir en rabâchant les rengaines de ce taré de Dylan, et Delaporte qui défend la démocratie alors que nous savons tous qu’elle est morte …. on est bien barré, ce soir !
Pourquoi ne l’as-tu pas prise avec toi, WGG ?
« et Delaporte qui défend la démocratie »
Il me semble en effet que nous vivons en démocratie, qu’on a trop tendance à l’oublier, mais que les citoyens un jour vont s’en rappeler et qu’alors ça va faire très mal…
JC vous êtes beaucoup trop prévisibles pour avoir l’air intelligent.
Nicolas, être intelligent c’est perdre un temps fou !
Delaporte ! ouvrez les yeux : nous ne vivons pas en démocratie !
Certains croient que la démocratie est une sorte de cauchemar, qui heureusement n’existe pas. Mais attention au retour du refoulé !
Je suis d’accord avec vous, c’est sans doute pour cela que vous perdez votre temps ici.
Emmener cette chatte de Montréal à Paris, ce n’était pas envisageable pour moi. Marusa avait déjà bien du mal à la confier à sa voisine de palier chaque fois qu’elle venait à Paris, alors ! Chez la compagne de Marc, l’ex-mari photographe de Marusa, elle était bien plus heureuse qu’à Paris. Je n’aurais eu personne à qui la confier chaque fois que je pars en voyage.
J’adore venir jouer avec les bambins turbulents du Bac à Sable à Passou … Laissez vous aller, Nicolas, vous me semblez un peu figé !…
Picador 1er, à propos de la primaire de la Droite et du Centre vient de saluer un exercice démocratique, de belle tenue.
On comprend assez mal cette sortie, pour qui manie la rouerie avec talent.
Mais en complétant son propos, on comprend qu’il se plaint de « l’appareil » politique qui mécaniquement fait sortir des polichinelles ? de la machine, dans le casting des candidats de sa « famille » politique.
Une petite histoire drôle, elle se passe dans la Sarthe, dans une bourgade où le candidat arrivé en tête de la primaire de la Droite et de Centre à récolté 91% de votes- un score soviétique !- Un interviewé déclare qu’il ira de nouveau pour le second tour de cette primaire mettre un bulletin Fillon.
Même si ce n’est pas pour lui qu’il va voter, tient il à préciser.
Une manoeuvre tactique visant à promouvoir le pen club au second tour ?
Que nenni.
L’interviewé dit qu’en fait c’est pour madame Fillon, qu’il va voter. En substance: elle vient aider à la banque.
une ultra libérale ?
Yes, de la banque alimentaire.
Et l’interviewé de poursuivre: « elle ne pousse pas la chansonnette à la télé. »
Encore un coup dur pour le Nobel de littérature, enfin, non, pour Raphaël, les consonnes et les voyelles, koi.
Bon c’est pas tout ça… Ce qui me fait doucement rire c’est de comparer Schröder à Fillon, parce qu’en France, ironiquement ce sont les retraités qui votent le plus pour la conduite économique du pays https://www.google.fr/amp/www.la-croix.com/amp/1200757161?client=safari
Bonne soirée
Les gagnants rêvent de se voler la vedette (deux semblent avoir pris le dessus)
http://mitchul.i.m.f.unblog.fr/files/2009/11/sinep97breligion.jpg
@ « un chat n’est jamais chez nous, c’est nous qui sommes chez eux »
Chez lui, plutôt, non…?
Voilà encore avec un nouveau poncif, y’en a encore beaucoup des comme ça ? Quel ennui, ces histoires de chats et de fill.ons…. Il vous prépare du Gourmet avec des étoiles néolibérales, celui de la couverture ?
Tiens, pour nous changer un peu. Je viens de tomber par hasard sur un texte « la souris rouge » où Aragon s’en prend aux poèmes de Mauriac (et à l’Adieu à l’adolescence). On dirait de l’angélorinaldisme avant la lettre, c’était du temps où on croyait encore au pouvoir révolutionnaire de la poésie, quelle niaiserie ! (comment a-t-on pu écrire des sotties pareilles) :
« Qu’on nous comprenne. Mauriac n’est rien, mais il n’est pas possible, il est trop simple de nier que ceci soit pour lui, càd une catégorie assez considérable d’hommes et de femmes, la poésie, une poésie au moins : la question n’est pas de savoir ce qu’elle vaut, mais ce qu’elle signifie » (…) goût de l’enfance, des parents qui gagnent l’argent, à l’abri des événements sociaux qui ne l’intéressent pas tant que ce qui le fait pleurer. Cette poésie du regret, du retour au passé, à l’enfance, est avant tout symptomatique de la crainte qu’a toute une catégorie sociale dont m. Mauriac est le porte parole de voir à jamais disparaitre ses privilèges, ses propriétés, la bonne vie poétique à bâiller sur des albums et dans les housses du salon maternel ».
Où sont passés les agents de la classe ouvrière communiste, à part chez Mme Le P.en-Club ?
Je constate que Wgg n’a rien à nous dire au sujet de la démocratie, et qu’il préfère nous parler de la chatte de son amie. Libre à lui !
19.28 On n’y comprend rien à cette histoire de chatte Marusa. On n’a pas idée d’appeler les animaux de la sorte, franchement, pourquoi pas Maruschka Déïdéguère pendant qu’on y est ?
Delaporte, prenez-la !
à 19 h 50 min, excellent. A et D aurait ri.
Déjeuner d’amis ce midi. Nous nous demandions si Fillon n’était pas seulement une grosse baudruche, immodérément gonflée pour virer Sarko, et qui pètera dimanche prochain.
A suivre.
Jean Langoncet, enjoy !
Mais pour cela, il faut le bon « objectif ».
Marusa s’est peut-être réincarnée en chatte. Qui peut savoir. Mais alors c’est un gros chat, pour laisser de grosses traces dans la neige sur les hauteurs de Bergün et en plus un gros chat qui connaît l’italien pour écrire dans la neige : TI AMO.
Mais si on réfléchit bien, avec la mécanique quantique ce genre d’événement bizarre est tout ce qu’il y a de possible. En tous les cas le mystère reste intact. Et, pour moi, je vais sans doute vous paraître complètement fêlé (vous me direz, on le savait déjà…) mais je suis intimement convaincu que c’est un bon tour que Marusa m’a joué en provenance de l’au-delà. À l’aller, il n’y avait rien dans la neige ; je suis allé me recueillir et prier à même pas cent mètres de là àdans la vieille église de Stuls qui contient des fresques du XIIIè ou XIVè siècle peintes par un élève de Giotto. J’y suis resté une petite demi-heure peut-être. Et en passant sur la route pour regagner Bergün dans la vallée, il y avait ces pas descendus de la forêt au sommet de la montagne et cette inscription mystérieuse qui n’était pas là une demi-heure auparavant ! Et juste à ce moment où j’étais là pour mettre en terre ses cendres. Trop de coïncidences pour que ce soit un simple hasard. C’est ce qu’André Breton aurait appelé un hasard objectif sans conteste. Et il y en a eu d’autres dans ma vie notamment en Pologne quand je suis allé sur les traces de mes ancêtres, il s’est passé des choses très bizarres. Non, je vous assure, je ne suis pas fou du tout…!
Sur le site Europe-Israël, ils annoncent Fillon gagnant à 80% contre Juppé. J’espère qu’ils se trompent.
Blabla, un gamin amouteux est passé par-là pendant que tu « priais » (quel dieu?) et tu as pris ce hasard comme un signe. Plus l’homme vit, moins il a besoin de se perdre dans ces sornettes. Et si le hasard objectif de Breton existe, nul ne peut le nier, il n’a pas plus de signification qu’une averse ou une rafale de vent.
amoureux.
Personne ne parle italien à Stuls ni à Bergün, à part le frère de Marusa. Et Stuls, c’est un tout petit hameau perdu dans la montagne avec une petite dizaine de chalets, c’est tout. Il n’y a aucun chemin dans la forêt pour grimper vers le sommet. Il y avait près d’un mètre de neige déjà fin octobre cette année-là. Et les pas dans la neige descendaient et remontaient jusque dans la forêt. Et il y a eu un autre témoin qui a rapporté ce fait étrange au frère de Marusa, un témoin, une femme, qui se promenait sur cette même route un peu après mon passage. Il n’y a pas d’enfants dans ce petit hameau, c’est trop haut pour se rendre à l’école tout en bas dans la vallée à Bergün. C’est très mystérieux.
Disposez-vous d’une bibliographie specialisée, dear Baroz? Il y a en effet dans le pavé de Némésio une puissante scène d’inversion à faire mettre les voiles de Ronaldo vers les Açores.
Vraiment beau souvenir Widergänger, mais comme l’a écrit Yourcenar sur les traces à rebours de ses disparus, il ne nous appartient pas de comprendre le sens de ces visions gratifiantes.
Mais ce n’est pas une simple vision, Phil. Ces traces étaient bien réelles, les pas s’étaient réellement enfoncés dans la neige, et l’inscription était bien réelle aussi, en italien. Seule Marusa parlait l’italien avec son frère, puisqu’ils sont les descendants d’un maçon italien devenu entrepreneur et constructeur de chalets. Une preuve sans doute que la mécanique quantique ne ment pas quand elle parle de retour dans le passé des particules élémentaires quand on les regarde ou quand elle parle de téléportation des particules d’un lieu à un autre à travers des millions d’années lumière instantanément, ce qui plongeait Einstein dans un abîme de perplexité. Il y a même eu une expérience de physique avec un photon téléporté qui prouve qu’au moins pour une particule comme un photon la téléportation existe bel et bien, conformément à la théorie de la mécanique quantique. Ce qui expliquerait aussi la présence sur terre d’extraterrestres venus de très loin, qui se seraient téléportés sur notre planète. Il y a maintenant trop de preuves qu’il y a eu des événements de cet ordre sur terre depuis plus d’un demi siècle.
par exmple WGG pouvez vous nous garantir que françois fillon est un extraterrestre, ça me rassurerait
Je crois volontiers à ces traces que vous décrivez, Widergänger, les visions ne sont pas tous des mirages. « Schnee von gestern » (neige d’antan) est un beau livre de Gregor von Rezzori.
Le miracle n’est pas que les mots « Ti amo » apparaissent dans la neige (les livres sur la synchronicité chère à Jung – comme celui du physicien quantique David Peat – sont pleins d’exemples dans le genre).
Le vrai miracle c’est qu’une femme ait aimé Widergänger.
(J’avoue que j’ai du mal à croire).
Référence à une fameuse photo de McQueen (avant Le Man & Le Mans)
http://images.junostatic.com/full/CS465056-01B-BIG.jpg
Blabla, tu te racontes des histoires. Il y a les chansons (ti amo, en est une). Comment peut-on s’occuper l’esprit avec de pareilles sornettes? Selon Guénon, les apparitions, ou périsprits, ne sont que des coquilles vides qui peuvent encore apparaître jusqu’à deux ans après la mort. cf L’Erreur Spirite.
Duquesne Whistle
WRITTEN BY: WORDS BY BOB DYLAN WITH ROBERT HUNTER WRITT
https://www.youtube.com/watch?v=mns9VeRguys
Pablo, c’était peut-être un message à transmettre à quelqu’un d’autre.
Non, malheureusement, Fillon, me semble bien trop humain et bien trop simpliste et bête pour tout dire pour être un extraterrestre.
Mais je crois à la présence d’extraterrestres sur terre. Il y en a au moins deux preuves à mes yeux. Deux preuves assez solides. La première a eu lieu sur la chaîne franco-israélienne à Jérusalem en direct. Un jour, ils ont invité un magicien qui était un jeune homme d’origine française, un Juif français qui avait fait son Alya et se produisait sur la scène des théâtre pour faire des tours de magie. Il en réalisa un assez sidérant sur le plateau. Il a bandé les yeux de deux journalistes, il a frotté le nez de l’une et c’est l’autre qui était à deux mètres qui a senti quelque chose sur son nez. Il fait aussi exploser un verre de cristal sur scène en demandant à la salle de pointer un doigt vers le verre, et le verre explose réellement. Vous me direz, il y a peut-être un trucage, mais en tout cas, c’est fort impressionnant. Parce qu’aucun être humain n’est capable de choses pareilles. La deuxième preuve fut fournie par une cosmonaute américaine qui lors d’une conférence à la Nasa à propos d’événements étranges qui s’étaient déroulés autourd e la navette et avait même retardé son retour sur terre, était sur le point de révéler au public des journalistes présents dans la salle de presse ce qu’elle avait vu. Et précisément à ce moment-là, elle s’est effondrée derrière son pupitre mais tout en restant consciente. Ses collègues astronautes l’ont alors aidée à se relever pour qu’elle puisse poursuivre son exposé, et à nouveau elle s’est littéralement écroulée, ne tenant plus sur ses jambes. Or, l’entraînement subi par de tels personnels surentraîné rend peu crédible un malaise à répétition de cette sorte. La seule explication que je vois, c’est que dans la salle se trouvait un extraterrestre (sans doute de connivence avec le gournement américain qui fréquente depuis des lustres le monde extraterrestre dans le plus grande secret depuis Roswell) et qui a exercé sur cette astronaute trop curieuse et trop audacieuse son pouvoir de télépathie pour la faire tomber dans les pommes et ainsi l’empêcher de témoigner de ce que toute l’équipe de la navette avait pu observer comme événements très étranges se déroulant autourd e la navette durant leur vol.
sans doute de connivence avec le gournement américain
Au bas mot!
Avec Blabla, on croit toujours qu’on est arrivé au fond du trou. Mais invariablement il y a encore un escalier qui descend. Incroyable.
Yep 😉
american cool
http://www.e-torch.org/wp-content/uploads/2014/02/steve-McQueen-2.png
Un témoin fiable (ancien membre de la CIA) a récemment témoigné devant une caméra (parce qu’il se savait condamné à mort par un cancer) qu’il a vu des corps d’extraterrestres morts après le crash de Roswell, qui avaient été transportés là pour être examinés.
Il y a cent ans jour pour jour mourait François-Joseph de Habsbourg. Un événement qui porte jusqu’à Fillon issu des terres qui appartenaient aux princes de Craon.
WGG complotiste ! arrêtez de faire la leçon à qui que ce soit, vous avez touchez le fonds! vous oubliez de nous parler du FAKE de la soucoupe volante de l’esplanade des mosquées, vous êtes finalement un adorable naïf WGG.
j’ai un copain au GEIPAN du CNES à Toulouse, je vais lui soumettre votre cas!
D’ici que Fillon soit une réincarnation de François-Joseph, on n’est pas sorti de l’auberge autrichienne…
Les Beauvau-Craon ont un château à Haroué, c’est presque Arouet… Fâcheuse coïncidence, n’est-il pas ?
S’ils sont tous comme vous au GEIPAN, ça doit pas être triste !
Cercas est un bel ecrivain mais maladroit sur la théorie
À l’esplanade des mosquées, ce n’était pas du tout une soucoupe volante. C’était un engin auréolé de lumière blanche, une sorte de boule de métal avec de l’air ionisé tout autour lumineux, qui est venu prendre deux photos du Mont du Temple exactement. On voit les deux flashes lumineux dans la nuit. Oui, c’était un engin extraterrestre, il n’y a pas de doute à mes yeux. Mais inhabité. Une sorte d’appareil photo en somme mais téléguidé par des extraterrestre quelque part dans la nuit au-dessus. L’engin devait utiliser un type de moteur inconnu sur terre, qui se sert des ondes gravitationnelles dont Einstein avait fait l’hypothèse et qu’on a pu mettre en évidence expérimentalement en 2015, un siècle après l’invention de la Relativité générale d’où elles découlent. L’onde gravitationnelle mesurée sur terre était le résultat d’un événement survenu il y a 1,7 milliards d’années-lumière. Un choc gigantesque entre des étoiles énormes selon les mesures qui ont été faites.
« . Il fait aussi exploser un verre de cristal sur scène en demandant à la salle de pointer un doigt vers le verre, et le verre explose réellement. Vous me direz, il y a peut-être un trucage, mais en tout cas, c’est fort impressionnant. Parce qu’aucun être humain n’est capable de choses pareilles. »
par contre il y a bien un être humain capable de me faire exploser de rire et c’est sans trucage…
pourtant McQueen veille à tout ; devant et derrière
http://www.ina.fr/video/CAF97021475
Je suis d’accord avec Paul. Les écrivains qui allient les deux sont assez rares. Flaubert en était. Et ce qu’il dit est plus profond que n’importe quel discours universitaire théorique sur l’art du roman et la littérature. C’est pas du même ordre.
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