Seul le fauve marque la mesure
Parfaitement conscient que le présent de la tauromachie est de plus en plus incertain, du moins dans le sud de la France et dans les parages de Nîmes, en raison des pressions des défenseurs des animaux, Bartolomé Bennassar ose tout de même un portrait passionné d’un très grand torero. Rien moins que Antonio Ordonez, celui-là même qui avait inspiré son héros à Hemingway dans L’été dangereux, réflexion en creux sur le courage, la fierté, l’honneur lorsqu’il s’agit d’affronter la mort en face.
Historien et hispaniste renommés, il affiche d’emblée la couleur : « Je suis un très vieil aficionado ». Ainsi débute Antonio Ordonez. La magie du souvenir (103 pages, 18 euros, éditions de Fallois)Il se souvient des dates, des noms, des lieux, des détails, des péripéties d’innombrables corridas des deux côtés des Pyrénnées. D’autres toreros qu’Ordonez aurait pu recevoir son hommage : Dominguin, Belmonte, Litri mais s’il l’a choisi, lui et nul autre, c’est que celui-ci lui a offert « des moments de rêve, voire d’extase ». Et Dieu qu’il a eu l’occasion de le voir en action puisqu’à Partir de 1957, la préparation de sa thèse sur le Siècle d’or espagnol l’obligea, enviable contrainte, à séjourner à maintes reprises au pays des arènes. Nul doute après l’avoir lu qu’il le considère comme un artiste, ne fût-ce que par sa gestuelle.
Ce qu’il attend d’une corrida ? Qu’elle provoque en lui cette sensation étrange née d’une improbable rencontre entre « une force explosive, brutale, soudain ralentie, contenue, et ce geste d’une lenteur irréelle et d’une douceur infinie »
On s’en doute, les hommes plus que les bêtes ont la part belle dans ces pages ; on y croise souvent des toros dépourvus de panache, qui chargent avec réticence, et des toreros aux cadences élégantes. Les pro en sortiront comblés et les anti toujours pas convaincus. Espérons qu’ils seront au moins sensibles aux pages superbes sur le temple, accord entre le rythme de l’homme et la charge de l’animal qui permet au premier de freiner la seconde, bien que Paco Camino ait jugé toute cette histoire digne d’une fumisterie : « Seul le fauve marque la mesure ». Pourtant, que ce soit du côté des afionados, des experts comme des toreros, il en est pour évoquer le temple comme quelque chose qui ne s’apprend ni ne s’enseigne, une grâce sans égal, un don de Dieu. Il est vrai que, signe de la domination du torero, sa maitrise n’est rien moins que l’art du temps et la capacité à l’arrêter à l’instant où a vie s’apprête à basculer dans la mort.
Autre son de cloche, celui d’Eric Baratay dans Biographies animales ( 297 pages, 22 euros, Seuil). N’allez pas croire que Eric Baratay n’en a qu’après la corrida, les toreros et les aficionados. Plus large est sa palette, et ses passions sont plus nombreuses que ses obsessions. Chose assez rare dans le milieu universitaire, cet historien a choisi de se spécialiser dans le passé des animaux. Il a tendance à voir le monde du point de vue de l’animal. Ce qui peut donner de très beaux résultats si l’on en juge par les héros de son dernier essai. Tous n’étant pas des chats Bébert et n’ayant pas eu Louis-Ferdinand Céline comme maître, il leur rend justice en leur construisant une biographie, Consul et Meshie, deux chimpanzés humanisés ; Bummer et Lazarus, deux chiens errants ; Warrior, cheval engagé à mort dans la première guerre mondiale ; Modestine, l’ânesse de Stevenson ; la fameuse girafe de Charles X ; sans oublier bien sûr Islero, l’un des plus célèbres toros de combat d’Espagne, celui à qui sa presbytie et ses cornes affûtées ont fait si bien perdre son centre de gravité qu’en 1947 il a embroché à mort le dieu vivant des aficionados, le non moins célèbre Manolete. Plus d’une demi-siècle après, on en parle encore dans les plazas de toros bien au-delà de Linares où se produisit ce retournement de situation imprévu.
Eric Baratay éprouve une telle empathie pour ses personnages qu’il ne se contente pas de plaider leur cause : il parle à leur place, leur prête sa voix, ses affects, sa puissance de raisonnement à la manière du Kafka de La Colonie pénitentiaire qui tendait à exprimer « une vérité de singe ». Il ne nous laisse rien ignorer de ce qu’il vit, ressent, subit, perçoit en tant qu’animal sans chercher à nier la part d’anthropomorphisme et d’anthropocentrisme de sa démarche de restitution d’une existence. Pour autant, il ne verse pas dans le mauvais roman puisque ses récits, d’une écriture très tenue dénuée d’un pathos et d’un lyrisme qui seraient déplacés, prennent leurs sources dans les archives sans que jamais l’effort documentaire ne se fasse sentir. Pour en rester à la corrida, le chapitre qu’il consacre à Islero est un modèle du genre.
(« Le torero basque Ivan Fandino un instant avant d’être encorné à mort alors qu’il effectuait un quite (passe avec une cape) à la corrida de l’Aire-sur-l’Adour (Landes) il y a quelques jours » photo Afp)
1 157 Réponses pour Seul le fauve marque la mesure
« Tariq Ramadan est le pervers islamique par excellence. Il n’est pas jésuite mais il aurait pu l’être. »
Autre lieu commun stupide de Wgg sur les jésuites, qui sont, pour les meilleurs d’entre eux, connus pour leur esprit de finesse. Le pape actuel en est.
Ne connais rien à Bram.
Pourriez nous mettre qq toiles widergänger pour que l’ on découvre.
Les jésuites sont brillants et stratèges.
les jésuites sont connus pour réveier des carrieères psychanalytiques
« Tu ne m’impressionnes nullement, mon pauvre cloporte de Delaporte. »
Wgg s’envoie des fleurs lui-même, spectacle époustouflant et peu ragoûtant d’un esprit qui pense par « approximations de citations » comme le majestueux cloporte qu’il prétend être !
réveiller
excuses
Oui, ce n’est pas une preuve d’intelligence de dire, comme Wgg, du mal des jésuites.
Quand on parle se Soufisme, comme Delaporte, qui ne sait pas de quoi il parle comme la plupart des Européens déchristianisés, décervelés, flottant dans le vide sidéral de leur médiocrité, on parle en fait de deux courants assez différents.
Depuis les origines du Soufisme, deux tendances principales se sont développées qu’il ne faut pas confondre : l’une qui vient du Nord de l’Iran, du Khorassan, de tradition horassanienne avec le Maître Bayezid-i Bestamî, et l’autre courant soufi, d’origine irakienne, avec le Maître Cuneyd-i Bagdadî.
Mais dire du mal des Jésuites n’a strictement rien à voir avec le fait d’être intelligent ou pas !
Pascal en a dit le plus grand mal ! Et ils furent expulsés du royaume de France !
Pauvre imbécile !
…et WGG est si peu de choses devant le pape.
Faut-il le rappeler.
Vingt ans père jésuite, vingt ans psychanalyste, désormais théoricien et praticien de l’hypnose, tel est François Roustang, personnage inclassable dans le paysage contemporain de la psychanalyse, à moins que ce ne soit de la philosophie. Les éditions Payot ont l’heureuse idée de reprendre en poche une partie de son œuvre. L’homme est éclectique et fécond.
Il ne s’agit nullement d’approximation de citation, mais de l’esprit de la lettre, c’est tout, et c’est très banal quand on cite un auteur. Seul l’esprit vivifie. Mais ce crétin de Delaporte s’en tient stupidement à la lettre comme les fanatiques islamiques dont il vante les mérites à travers ce fumeux Tariq Ramadan ! On voit de quel bois ce chauffe ce crétin !
https://www.youtube.com/watch?v=XxYD0pI7Aek
Ecoutons plutôt Messiaen : « Eclairs sur l’Au-delà », ça vaudra mill fois mieux que de lire les stupidités de Delaporte !
Expulsés parce qu’ils étaie t co sidérés comme dangereux et trop puissants.
Comme Attali.
Alors on le fout dehors.
Faut-il rappeler que WWG n’est qu’un petit professeur de collège pendant que François est Pape et souverain, après avoir été successivement évêque, archevêque et porté à la dignité de Cardinal. Alors…pfffffff….chacun à sa place et tout ira bien dans le meilleur des mondes.
étaient considérés
Mon ex boulanger-j’ai rompu fait un pain nommé le khorasan.
Ce pauvre Blabla doit penser à l’au-delà du ridicule, où il réside depuis fort longtemps, sans aucune chance d’en sortir jamais.
Widergänger dit: 24 juin 2017 à 16 h 55 min
« des savants dont je m’honore d’être ! … des dignes professeurs qui se caractérisent par leur immense culture… »
Mais Attali n’est ni dangereux ni puissant !
Non widergänger, il faut vous le dire, même et surtout si vous êtes nommé à Henri IV. Vous me pouvez pas mourir idiot.
Une citation se doit- impérativement- d’être exacte à la virgule près, précise et sur le plan typographique ou bien cernée de guillemets ou bien en italiques. Son auteur doit être cité. Toute troncation partielle devra être signalée par trois petits points ou mieux des crochets cernant trois petits points. Ce sont les règles concernant les citations. Nul n’y déroge.
Ferme ta gueule, chaloux ! T’es aussi minable que Delaporte ! Et c’est pas peu dire ! Pervers, menteur, médiocre lecteur et un vrai trouducul fait homme…
Il est dangereux pck’il se pose comme un maître à penser. Il est puissant pck il est écouté par les puissants de ce monde. Et donc d’autant plus dangereux.
Vous ne connaissez rien, rose ! Ce que j’ai cité du Tractatus dit exactement ce que pense Wittgenstein, c’est tout. Vous êtes aussi stupide que Delaporte. Et ce gros co.nnard n’a même pas discuté à propos de ce que je disais, sur le fond. Il en est d’ailleurs bien incapable, comme vous.
Le pape actuel est argentin tambien
> Widergänger
Merci. C’est ma semaine.
Puissiez-vous vous rétracter comme JC à mon égard. Sinon, je porte lourd.
J’ai beau assumer, c’est lourd. Surtout pour l’épaule gauche.
Je suis totaleemnt opposée au culte de la personnalité que.vous pratiquez pis que pendre envers Attali.
« Non widergänger, il faut vous le dire, même et surtout si vous êtes nommé à Henri IV »
Bobard. Il nous fait le coup tous les ans.
La justification de la citation de travers va avec le reste d’un personnage, qui lit de travers et parle à tort et à travers, généralement de ce qu’il ne connait pas.
Et, last but not least, en terme de jardins, je vous bats à plates coutures.
Pas du tout ! Attali ne s’est jamais posé comme un maître à penser !!!! Vous êtes complètement folle !
Ça n’existe plus d’ailleurs aujourd’hui, les maîtres à penser !
C’est simplement un des cents intellectuels les plus lus et les plus écoutés dans le monde. Le nombre fait ici la valeur de l’homme. Et comme être humain, Attali est en outre un type remarquable, par ses engagements, sa philosophie d’ensemble. Un modèle d’humanité à écouter et à suivre, en tout cas un homme qui inspire un profond respect, une profonde admiration qu’il mérite amplement. On peut toujours en discuter les thèses mais il faut se montrer à sa hauteur. Il m’est arrivé aussi de le critiquer, notamment sur le projet de Belcassetout. L’histoire a montré qu’il avait tort et moi raison. Les EPI ont été abandonnées depuis le changement de chef d’état et de ministre de l’EN. Les profs opposants à ce délire ont été écoutés et l’ancienne ministre a mordu la poussière ! Bien fait pour une fois !
Ferme ta gueule, chaloux. T’es juste un gros con.
Méfiance, Blabla, la mythomanie est aussi une forme de perversion.
Je n’ai aucun culte de la personnalité pour J. Attali. Il m’est arrivé même de le croiser dans un couloir du théâtre du Rond Point pour sa pièce. Il ne me serait jamais venu à l’idée de lui adresser la parole. Je n’ai rien à lui dire. Mais je l’écoute. C’est un authentique penseur de notre époque. Tout ce qu’il a dit de la mondialisation pour l’instant s’est réalisé exactement comme il l’avait prévu. Il a un gros cerveau qui peut traiter des milliards d’informations pour produire une vraie pensée sur le monde. C’est simplement un génie. On peut l’admirer sans pour autant en faire une idole. Les idoles sont interdites dans le Judaïsme.
Certains personnages ont un fond de comique comme certaines casseroles ont un fond de sauce.
Ferme ta gueule, chaloux. T’es simplement une grosse merde, un type profondément méprisable. Bérénice a mis du temps à le comprendre, la pauvre. T’es un gros con comme on en rencontre sur les blogs, où ils fourmillent, des gens insolents, méprisables, de vrais cinglés en liberté. Alors écrase-toi et ferme là pour une fois. Tu nous sâoules avec tes inepties !
Blabla, un grand esprit comme toi devrait s’exprimer avec davantage de mesure.
« Après des études secondaires au collège Victor-Duruy5 (Paris), au lycée Louis-le-Grand et au lycée Henri-IV6 (Paris), il entre en 1994 à l’École normale supérieure. Il y poursuit des études d’histoire, soutient un mémoire de maîtrise sur Le Flambeau des “Mille et une nuits” et l’Orient des Lumières, 1704-1798, sous la direction du professeur Daniel Rivet…, avant d’être reçu, en 1997, premier à l’agrégation d’histoire…
Diplômé en 1998 de l’Institut d’études politiques de Paris, titulaire d’un DEA de droit public obtenu l’année suivante, il choisit finalement l’École nationale d’administration (major de la promotion Mandela) »
Wikipedia
L’histoire a montré qu’il avait tort et moi raison
c’est certain dracul..l’histoire le fait toujours minabe
Certains personnages ont un fond de comique comme certaines casseroles ont un fond de sauce
cette réduction de con de gatteur sait pas cqu’est un fond dsauce..
en terme de jardins
et toi haussi t’es virée rose..même pas bonne pour nettoyer la piscine
Ce que j’ai cité du Tractatus dit exactement ce que pense Wittgenstein, c’est tout
faut staire épicétou..c’est ça qu’il a dit exactement dracul..mais chte pardonne
Les jésuites sont brillants et stratèges
ils ont été copieuzment copié surtout..et haprés moqué..crime trés himparfait dracul..ya du sang partout
Tariq Ramadan est le pervers islamique par excellence. Il n’est pas jésuite mais il aurait pu l’être
tada..cqu’on a dire de plus tordu puant dceux qu’on veut cuire dans l’sang dleur reum on l’met sul compte des jésuites..vieille scie de couillon dracul..même dpuis néron..ça géne pas
mais par exempe y puent des pieds..ça c’est un fait..
« pas hassez » qu’y sont foutu de te réponde..
O. Messiaen, Trois petites liturgies de la présence divine :
https://www.youtube.com/watch?v=CSrsM5WcaTs
Cloporte enclos
cloisonné..ha c’est bien..un vitrail
Wittgenstein n’a pas dit qu’il fallait se taire, il a dit qu’il n’y a pas de mot pour penser le cadre de tous les cadres. Ça n’a rien à voir avec une volonté de se taire ou pas. Trop con pour comprendre.
messian et yavé c’est hencore du dracul
tada..faut le taire..le c’était pour ta grande guiffe dracul..chut..écoute plutôt la musique des sphére
Le Banquet céleste, par le maître lui-même, à l’église de la Trinité où il fut longtemps en charge comme organiste :
https://www.youtube.com/watch?v=FTyvgKdlIZc
C’est tout simplement sublime !
Il en faut de l’amour pour écrire pareille musique !
faire du bruit et péter au concert c’est ça lsublime à dracul..sapré dracul
bouguereau dit: 24 juin 2017 à 18 h 21 min
Cloporte enclos
cloisonné..ha c’est bien..un vitrail
C’était dans l’Oeil ; effectivement dans un numéro avec pas mal de trucs sur Paul Klee. Mais évidemment cela n’à rien à voir avec son style, à moins que je ne déraille du Fleischmann que j’ai jamais eu…
Le Maître dans ses improvisations à l’orgue de la Trinité :
https://www.youtube.com/watch?v=SY7g0ULVl2I
Wgg n’est qu’un gros bonimenteur qui n’est même pas capable de citer la dernière phrase du Tractatus correctement. C’est quand même le début pour une conversation sérieuse. Mais Wgg s’en tient à des « approximations », et les fragments qu’il nous propose sur tous les sujets possibles, dont l’islam, ne sont que des boniments éclatés de pédant incapable d’une pensée cohérente, et qui passe son temps à nous faire croire qu’il est intelligent. Or, tout prouve le contraire. Même sa passion pour Attali. Wgg est un vieux cloporte de l’EN, usé dans l’amertume, et qui pourrit ce blog quand il intervient pour dire ses billevesées incongrues. Qu’il aille plutôt s’instruire, avant de nous casser les pieds.
Et maintenant Volumina de G. Ligeti, autre très grand compositeur du XXè siècle :
https://www.youtube.com/watch?v=wbLcI9-Js0U
… Les fonds de sauce ne se cuisinent pas moins dans des casseroles. Que je sache.
Widergänger dit: 24 juin 2017 à 18 h 46 min
Et maintenant Volumina.
Une nouvelle idée pseudo pour Blabla?
« Ce que j’ai cité du Tractatus dit exactement ce que pense Wittgenstein, c’est tout. » Wgg
Pas du tout, Wgg a cité approximativement Wittgenstein, lui faisant dire autre chose que ce qu’il a dit. Encore une fois, Wgg est totalement à côté de la plaque, surtout quand la discussion devient pointue. Pour des idées générales, du blabla, comme dirait Chaloux, Wgg en est passé maître. Mais quand il s’agit de dire une chose intelligente, c’est là qu’on constate qu’il manque de la plus élémentaire des sciences.
Non, ça dit exactement ce que pense Wittgenstein.
Plus Blabla s’enfonce, moins il supporte la contradiction. Un grand classique.
Et puis free-la, t’es juste un gros nul. Tu ne connais rien à la pensée de Wittgenstein et tu te mêles de me contredire alors que je l’enseigne, pauvre nullité ! Ecrase !
Ce soir je mange des spaghettis bolo-niaise.
ëtre contredit par des crétins de votre acabit…! Ils se la pètent ces deux crétins. Sont même pas capables de penser.
Que ta parole soit impeccable
Je rappelle une énième fois la phrase monstrueuse d’imbécillité de Wgg, qui a choqué tous les internautes cultivés de ce blog :
« Faire des approximation de citation est la preuve au contraire manifeste que non seulement on a lu l’ouvrage en question mais qu’on l’a profondément médité. » (Widergänger)
C’est pas la peine de t’énerver. C’est à l’évidence toi, l’imbécile ! Un gros bouffi de vanité stupide ! Un énorme con comme en rêvait Falubert…
J’avais même assisté au Grand macabre, de G. Ligeti, à l’opéra Garnier. C’était envoutant ! Et tellement que je l’ai vu deux fois.
Immense admiration pour G. Ligeti !
Son autre pièce ici, Lontano :
https://www.youtube.com/watch?v=l2OQbA3r78M
Absolument magnifique ! Toute l’angoisse de notre siècle est dans cette musique.
Et son Requiem est non moins fascinant :
https://www.youtube.com/watch?v=wawSCvuGj4o
@Widergänger
Vous écrivez : « Il a produit un chef-d’œuvre absolu, ce sont ses entretiens avec Bram Van Velde…. »
Oui, un livre très profond. J’ajouterais « Rencontres avec Samuel Beckett », l’homme du silence.
Widergänger dit: 24 juin 2017 à 18 h 54 min
« Tu ne connais rien à la pensée de Wittgenstein et tu te mêles de me contredire alors que je l’enseigne, pauvre nullité ! »
En classe de français collège? Mythomane…
J’avoue tout. Je ne connais pas Falubert.
Toute l’angoisse de notre siècle est dans cette musique
..et djoni qu’est mal dracul..
« Faire des approximation de citation est la preuve au contraire manifeste que non seulement on a lu l’ouvrage en question mais qu’on l’a profondément médité. » (Widergänger)
qu’est ce qu’on bien rprocher a ça dlalourde sinon une déclaration d’intention..les tiennes pu du bec ça tgène pas
Mais évidemment cela n’à rien à voir avec son style
klee y’est un peu collé au plafond..c’est pas la même bête..
17h38, Chaloux plus généralement on s’attache à l’épaisseur du fond des casseroles, leur matière qui jouent un rôle dans le qualité de cuisson. Peu importe ce qu’elles accueillent.
» Les couches d’aluminium sont entre les couches d’inox pour éviter d’être en contact avec la nourriture. Plus vous montez en gamme, plus il y a de couches, ce qui permet de mieux diffuser la chaleur. »
Découvrez en plus ici : https://www.santenatureinnovation.com/les-casseroles-quil-vous-faut/#R9zXuTxWUEDvmWg7.99
Oui, en effet, christiane, les entretiens avec S. Beckett sont remarquables aussi. On se rend compte d’ailleurs ainsi de la proximité de pensée entre Bram et Samuel. Ils étaient manifestement fait pour se comprendre et se rencontrer, et traduisent bien, chacun à sa manière, l’esprit de leur époque, celle où ils ont été actifs en art.
à moins que je ne déraille du Fleischmann
faut wiki pour comprende tes himages serdgio..t’es dans l’coup
Plus vous montez en gamme, plus il y a de couches
c’est que c’est une crème de suprème de con mon larbin..cordon bleu horizon
Mysteries of the Macabre :
https://www.youtube.com/watch?v=sFFpzip-SZk
Génial !
C’est que les couches de co.nnerie, il les superpose, le chaloux ! Et même les sous-couches, sans parler de ses couche-culottes…
Il y a les champignons de couche aussi. De Paris, les pleurotes et tutti quanti.
Génial !
sapré dracul..et qu’est qui mange dédé
https://www.youtube.com/watch?v=dHvYP3oRD2g
Autre version fascinante du Macabre avec Simon Rattle et toujours Barbara Hanningan, qui est absolument géniale (et hypersexy).
Non, les autres ne pensent pas ; c’est plutôt ça la vérité.
Actuellement de véritables petits gangs de racailles sévissent dans certains quartiers périphériques de Paris, autrefois tranquilles, comme le 15ème arrondissement de Paris où je me trouvais cet après-midi, après avoir visité un salon au Parc des Expositions.
Je suis allé prendre l’air dans un square situé à quelques centaines de mètres. Autour : de belles rues, des immeubles de style haussmannien bien tenus, des immeubles des années 70 de bonne tenue également, sans standing particulier.
Au milieu : des logements sociaux voulus par l’équipe Hidalgo. Des jeunes en sortent, certains torse nus, montrant leurs muscles. Audibles à 150 mètres. Ils occupent nonchalamment le trottoir en s’invectivant. Ne bougent pas d’un centimètre quand des femmes avec poussettes souhaitent passer, celles-ci contraintes de descendre dans la rue.
Au square : ils occupent toute une partie, réquisitionnée. Certains font exprès de marcher dans les plantations, de mettre à terre les poteaux des clôtures. Aucun gardien n’intervient. il n’y en a plus, parait-il.
Essayer d’y accéder provoquerait une rixe. Les familles se regroupent ailleurs, où elles le peuvent, près du bac à sable.
Je discute un peu avec des pères et mères de familles : tous confirment l’énorme dégradation de la sécurité et de la qualité de vivre dans le quartier et expriment à mots couverts un sentiment d’indignation et d’injustice car ils savent qu’ils payent pour cela, et cher. Certains veulent quitter Paris, ont fait des démarches pour placer leurs enfants dans le privé à la rentrée. Pas toujours possible devant l’affluence des demandes, et pour cause. Les communes de la première couronne sont devenues plus sûres. Incroyable quand on y réfléchit.
Voilà ce que devient Paris.
Homme ! libre penseur – te crois-tu seul pensant
Dans ce monde où la vie éclate en toute chose :
Des forces que tu tiens ta liberté dispose,
Mais de tous tes conseils l’univers est absent.
Respecte dans la bête un esprit agissant : …
Chaque fleur est une âme à la Nature éclose ;
Un mystère d’amour dans le métal repose :
« Tout est sensible ! » – Et tout sur ton être est puissant !
Crains dans le mur aveugle un regard qui t’épie
A la matière même un verbe est attaché …
Ne la fais pas servir à quelque usage impie !
Souvent dans l’être obscur habite un Dieu caché ;
Et comme un oeil naissant couvert par ses paupières,
Un pur esprit s’accroît sous l’écorce des pierres !
Combien de Dieux logez-vous Chaloux? Dans mon HLM?
bon c’est un peu bourse vide, c’est vous ou moi?
la mythomanie est aussi une forme de perversion.
le mytho s’invente une pseudo-réalité parce que la sienne ne le satisfait pas, n’est pas présentable ou enviable selon des critères qui sont les siens, elle se rapproche du mensonge mais le discours du mytho est plus long, une enfilade dont on se demande quand on la rencontre pourquoi la personne qui est atteinte ne se demande pas comment celui qui écoute pourrait croire à de tels invraisemblances. C’est une façon de se mettre en valeur, peu importe le moyen d’ailleurs comme d’autres troubles c’est la satisfaction d’un besoin qui prime ignorant de la réception que l’auditoire peut en faire.
telles- chez certains comme le rapporte l’article, le discours est si bien construit et instruit qu’il est difficilement repérable comme étant une discours mythomaniaque.
Bon, je viens un peu me disputer avec vous, disputatio
Dans la scolastique médiévale, la disputatio était, avec la lectio, une des méthodes essentielles et omniprésentes d’enseignement et de recherche, ainsi qu’une technique d’examen dans les universités à partir du début du XIII e siècle.
après vin de noix, yaourts maison et arrosage des balconnières ; la journée n’est pas finie.
Demain, je fête l’aïd au consulat. Je n’ai pas fait carrière, moi, mais j’ai le sens de ce qui compte pour de vrai.
nota : vous, gentiment, vous écrivez balconnières : le correcteur automatique, ce grand abruti, écrit en corrigeant baleinières. La patience nécessaire avec les grands abrutis !
Qu’est-ce qu’on peut reprocher à ça ? J’espère, beaucoup de choses. C’est la preuve d’une nullité et d’un pédantisme extraordinaire, c’est carrément la honte. Normalement, des phrases comme ça, on ne s’en relève jamais :
« Faire des approximation de citation est la preuve au contraire manifeste que non seulement on a lu l’ouvrage en question mais qu’on l’a profondément médité. » (Widergänger)
Mais pourquoi Bram Van Velde est il enterré avec Jacques Putman ?
Bon, je viens un peu me disputer avec vous, disputatio
Dans la scolastique médiévale, la disputatio était, avec la lectio, une des méthodes essentielles et omniprésentes d’enseignement et de recherche, ainsi qu’une technique d’examen dans les universités à partir du début du XIII e siècle.
C’est que l’homme, bérénice, se définit avant tout par le désir. Le désir est l’essence de l’homme. Spinoza ne dit pas autre chose, par exemple. C’est déjà la grande idée du Banquet de Platon. Mais on retrouve cette même idée en plein Moyen-Âge dans le grand théoricien de l’amour courtois à la fin du XIIè siècle qui est en vérité l’un des grands textes de l’Occident sur l’amour et le désir. On ne peut que songer à Spinoza quand il écrit notamment : « Amor est passio qædam innata procedens ex visions et immoderata cogitatione forma alterius sexus » (Cap. 1, Quid sit Amor ?) : « L’amour est une passion innée, procèdant de la vue, et une forme infinie de la pensée au sujet de l’autre sexe. »
C’est dire que l’homme est essentiellement homme-de-désir, comme l’a repis en pensée au XVIIIè siècle siècle Saint-Martin, et tout le martinisme qui s’ensuivit. Mais le plus grand penseur du désir, c’est évidemment Spinoza qui définit ainsi l’admiration — et comment ne pas le rattacher à André le Chapelain, à tout le courant de l’amour courtois, à Dante et à l’admiration énamourée que voue l’amoureux à sa dame, à cette « immoderata cogitatio », qui définit précisément l’Amour : « L’admiration est l’imagination d’une chose quelconque dans laquelle l’âme reste fixée parce que cette imagination particulière n’a rien qui la relie aux autres. » L’anneau magique qui rend Yvain invisible symbolise à lui seul ce cercle enchanté qui isole l’imagination, la déconnecte de toute autre réalité que sa dame qui l’envahit et prend littéralement possession de lui. Il y a là déjà, sous forme spatiale et symbolique, une même pensée du désir pour définir l’homme.
C’est que l’homme, bérénice, se définit avant tout par le désir. Le désir est l’essence de l’homme. Spinoza ne dit pas autre chose, par exemple. C’est déjà la grande idée du Banquet de Platon. Mais on retrouve cette même idée en plein Moyen-Âge dans le grand théoricien de l’amour courtois à la fin du XIIè siècle qui est en vérité l’un des grands textes de l’Occident sur l’amour et le désir. On ne peut que songer à Spinoza quand il écrit notamment : « Amor est passio qædam innata procedens ex visione et immoderata cogitatione forma alterius sexus » (Cap. 1, Quid sit Amor ?) : « L’amour est une passion innée, procèdant de la vue, et une forme infinie de la pensée au sujet de l’autre sexe. »
C’est dire que l’homme est essentiellement homme-de-désir, comme l’a repis en pensée au XVIIIè siècle Saint-Martin, et tout le martinisme qui s’ensuivit. Mais le plus grand penseur du désir, c’est évidemment Spinoza qui définit ainsi l’admiration — et comment ne pas le rattacher à André le Chapelain et à tout le courant de l’amour courtois, à Dante et à l’admiration énamourée que voue l’amoureux à sa dame, à cette «immoderata cogitatio », qui définit précisément l’Amour : « L’admiration est l’imagination d’une chose quelco.nque dans laquelle l’âme reste fixée parce que cette imagination particulière n’a rien qui la relie aux autres. » L’anneau magique qui rend Yvain invisible symbolise à lui seul ce cercle enchanté qui isole l’imagination, la déco.nnecte de toute autre réalité que sa dame qui l’envahit et prend littéralement possession de lui. Il y a là déjà, sous forme spatiale et symbolique, une même image-pensée du désir pour définir l’homme.
Jacques Putmann était un galeriste qui a beaucoup aidé Bram van Velde. Le livre qui a été consacré à Bram est préfacé par Charles Juliet, et édité par Putmann. Mais pourquoi se retrouvent-ils ensemble dans la mort ? Je n’en sais rien.
Les entretiens de Juliet avec Beckett, il faut ajouter que leur publication a heurté Beckett. Là, les deux hommes n’étaient pas d’accord du tout, surtout Beckett. Il ne voulait pas que des conversations intimes soient rendues publiques.
Delaporte des chiottes, lisez plutôt le commentaire de Paul Watslawick au Tractatus de Wittgenstein, l’un des plus éclairants que je connaisse du Tractatus, et vous comprendrez pourquoi j’ai pu écrire ça, qui n’a rien que de banal.
Votre disque rayé commence à en indisposer beaucoup. Essayez le Doliprane, ça va passer.
Ils sont enterrés en Arles ensemble.
Jean Proal meurt le 24 février 1969. Il est enterré à Saint-Rémy de Provence, où prendra place à ses côtés, son meilleur ami « Cheko », Georges Item.
C’est drôle deux potes qui sont enterrés côte à côte. J’irai le voir en Arles.
Encore une pure invention de ce connard de Delaporte des chiottes ! Quand il a fini avec une ineptie, il faut qu’il en trouve une autre, le pauvre. Faut consulter un psychiatre, mon brave couillon !
Encore une pure invention de ce co.nnard de Delaporte des chiottes ! Quand il a fini avec une ineptie, il faut qu’il en trouve une autre, le pauvre. Faut consulter un psychiatre, mon brave cou.illon !
Bram et Putman. Ensemble. En Arles.
Rose, étaient-ils amants? volonté du dernier des vivants , pourquoi sinon reposeraient ils ensemble sous une pierre tombale tout ce qu’il y a de plus simple et semblant abandonnée.
« le commentaire de Paul Watslawick au Tractatus de Wittgenstein »
Ce n’est pas une référence très fameuse, même médiocre. Mais cela n’explique en rien, et n’excuse pas votre bourde monumentale.
Vous pourriez argumenter au lieu d vous engueuler. Non ?
Bon, je vais travailler, il fait frais.
Salut
bérénice
pour jean proal grands amis. Deux tombes jumelles. Je ne sais pas où est Suzon l »épouse.
Pour Bram, je ne sais pas.
« Encore une pure invention de ce co.nnard de Delaporte des chiottes ! »
Manifestement, beaucoup de choses échappent à Wgg. Il n’est pas au courant, et s’énerve. Un peu plus d’attention lui serait profitable, le pauvre.
Jean Proal aussi c’est abandonné. Gravement ; j’y suis allée. J’ai gratouillé un peu comme pour Gastounet, la mousse. Pas d’enfants. Personne n’y va.
Mais tout le monde n’est pas capable de connaître l’Amour :
Quar fin’amors mov de gran leialeza
e de franco cor gentil e ben après.
(Pierre Cardinal)
Car l’amour courtoi vient de grande loyauté
et de cœur franc, noble et bien appris.
« franc » n’a qu’un rapport lointain ici avec ce qu’on appelle la franchise : « franc » est une des désignations les plus flatteuses dont puisse être l’objet une personne noble au Moyen-Âge. Elle englobe non seulement la naissance — mais ici en un sens philosophique, au sens inné (innata passio) — mais toutes les qualités qu’elle suppose : courtoisie, politesse, dictinstion, beauté, finesse de l’esprit, intelligence, sens de la justice, droiture, …
@rose dit: 24 juin 2017 à 22 h 36 min
Catherine et Jacques Putman l’ont hébergé de nombreuses années. Ils ont continué de l’héberger dans… leur dernière demeure. Ça me parait naturel…
Cette crasse de Wgg a bien raison de se réfugier dans l’amour courtois, où on lui reprochera moins ses bévues et inepties sur Wittgenstein, le malheureux !
…
…se priver de commentaires,!…
…
…pour ne pas, par tout types de conclusions, finir, pour un pervers,!…
…
…il répond du tic au tac,…il pense comme si, et comme çà,!…est t’il comédie,; tient t’il un rôle, çà lui rapporte combien,!…
…
…c’est pour se mépriser en groupe en solo, pour quelles machinations à dévisser, qui de quoi,!…
…monter la tolérance du franc-parler ?,…
…de quelle région, du monde,!…sur quelles autres pays gouvernés en esclavages pour ‘ les investisseurs, l’oppression par le totalitarisme,!…
…faîte des enfants ?,…d’amours élitistes,!…
…résultats des courses, tout le monde se méprise, et cherche le moyen de nous déstabiliser, pour nous détruire, mon ami, encore un effort,!…
…dite, j »ai ma fiche, à remplir, pour vous déniger, et évincé votre prestige, par le mien,!…
…à nos, inquisiteurs nouveaux pour faire, du social,!…économique,!…
…la nouvelle religion en cours, radotter, pour » exclure « ,…et des montages sur enregistreur,!…
…tous des saints, pour vous calomnier,!…
…
…jaloux,et pervers,!…à la foire des connivences,…il est éligible, tous roi,!…
…
…votre situation, pour en rapporter, et vous amorcer aux divers, morts à crédits,!…
…
…quel interrogatoire par des lèche-culs,du détail monter sur pièce,!…pour fausser, l’opinion des gens pour eux-même,!…
…montons sur l’armoire,!…il n’y a plus de place,!..etc,…Bip,!Bip,!…
…les races d’inquisiteurs, pour faire votre dévisser dans la bourgade,!…
…le suivis, l’éducation de tolérer tout les autres sans exceptions,!…
…Oui,!…et tout ces migrants ou les foutre,!???à qu’elle participation sociale,!…
…quel chez-eux dorénavant, quels chez-eux,!…autre que de se faire exploitez,!…Bip,Bip,!…
…Go,!…
Mais ce n’est nullement une bourde. C’est au contraire le sens même du Tractatus, que vous n’avez pas compris, comme tant d’autres lecteurs d’ailleurs. C’était d’ailleurs une réflexion sur les aporie de la physique, qui vous dépassent tout autant. Vous n’avez que votre misérable disque rayé. Vous relevez de la psychiatrie, pas de la philosophie.
Georges Item est un peintre suisse Il vivait à saint rémy comme jean Proal. Deux hommes simples.
http://www.galerieitem.ch
C’est que l’homme, bérénice, se définit avant tout par le désir.
WGG, dans le cas d’un mythomane il s’agirait de se rendre plus désirable en se couvrant de paillettes, étonnant que les psy ne parviennent que difficilement à remonter à l’origine du trouble qui devrait se situer dans l’enfance, la petite enfance où l’individu présentant cette atteinte pourrait n’avoir logiquement pas répondu au désir de ses parents et aurait souffert d’un déficit d’amour, d’attention, d’affection… C’est à différencier du mensonge et de l’escroquerie car les mytho selon ces rapports ne sont pas conscients de leur invention et s’enfoncent plus profond dans le mensonge pour sauver leur construction si elle est mise en danger.
Le commentaire de Pazul Warslawick est un des plus pertinents qui ait jamais été écrit pour comprendre le Tractatus, ne vous en déplaise.
De toute façon vous n’avez aucune autorité pour en juger. Sinon celle que vous vous octroyez abusivement. Comme tous les crétins qu’on rencontrent ici et qui veulent péter plus haut qu’ils n’ont le cul perché…
christiane
ah oui, c’est le caveau de ses parents
Elle reposera avec son mari dans le caveau de ses parents aux côtés du peintre Bram Van Velde.
merci
« C’est au contraire le sens même du Tractatus, que vous n’avez pas compris, comme tant d’autres lecteurs d’ailleurs. »
N’importe quoi. Je ne me suis nullement exprimé sur le Tractatus. J’ai simplement relevé votre erreur de citation. Vous ne connaissez rien à Wittgenstein vous-même, ce n’est certainement pas avec vous, Wgg, que je vais en discuter !
Mais chez l’enfant, ce n’est pas un trouble, au contraire. On vous explique que c’est ce qui lui permet d’inventer son avenir. Vous n’avez manifestement pas lu l’article.
Et Andrée Putman donc ? Première ou seconde femme de Jacques ?
Mais non, ce n’est pas du tout n’importe quoi. C’est le sens même du Tractatus. Il n’y a pas de cadre pour penser le cadre de tous les cadres de pensée. Vous n’avez même pas compris ça, mon pauvre Delaporte !
Et vous êtes qui d’abord pour m’objecter ? Vous êtes professeur de philosophie ? Non, alors fermez-la.
Moi non plus delaporte, tant pis pour moi.
Moi non plus, je ne discute pas du Tractatus avec un co.nnard de votre espèce. Je vous dis simplement que ce que j’ai écrit du Tractatus correspond exactement fondde la pensée de Wittgenstein. Mais comme vous êtes incapable d’en dire quoi que ce soit, ferma-la.
« Le commentaire de Pazul Warslawick est un des plus pertinents qui ait jamais été écrit pour comprendre le Tractatus, ne vous en déplaise. »
Pas du tout, et encore faudrait-il savoir écrire le nom correctement. Encore un gadget intellectuel pour bobo arriéré qui a des problèmes psychologiques. Il se trouve que j’ai lu cet auteur, par curiosité, et que je l’ai sincèrement vite oublié.
…
…vos rencontres, vos amis, vos connaissances, racontez du faux, du vrais,!…tout et n’importe quoi,!…élever-vous à ces contorsionnistes d’espions de Judas,!…avec Cervantès,!…Dante,…
…faite leurs plaisirs, c’est un nouveau film, bien craché, pour revigorer votre esprit, face à ces journalistes d’obscurantismes à la dualité » gendarmes et voleurs « , les carottes sont cuites,!…avec les petits pois,!…chez vous aussi,!…
…Go,!…
Mais pas du tout ! Le commentaire de Paul Watslawick est remarquable et connu comme tel !
Taisez-vous maintenant, vous lassez tout le monde.
Vous avez oublié Paul Wtaslawick comme vous avez oublié Wittgenstein et tant d’autres. Vous êtes un gros con ! On vous l’a quand même assez dit, ici. Je ne suis pas le seul. Un immonde crétin qui se mêle de ce qu’il est bien incapable de comprendre.
Il y a beaucoup de spécialistes de Wittgenstein aujourd’hui, y compris en France, pour ne pas vouloir inconsidérément allonger la liste d’auteurs annexes, anciens, dont on ne parle plus. Wgg, c’est un sujet qui vous échappe, admettez-le et allez vous coucher. Cela fera plaisir à tout le monde.
Wittgenstein, pour tout dire, je l’avais même glissé dans ma dissertation au concours, voilà près de trente ans ! C’est pas d’aujourd’hui que je connais Wittgenstein. Et j’ai eu une excellente note ! Une dissertation sur la poésie à partir d’une citation de Saint-John Perse. Eh oui, mon pauvre chéri ! T’étais pas encore né à cette époque…
Mais arrêtez un jour de méprisez tout le monde et de regardez de haut quelqu’un qui cite à bon escient un auteur. C’est tellement minable de votre part ! Tellement con ! Tellement prétentieux et stupide ! Vous ne vous en apercevez même pas tellement la haine vous aveugle. Vous êtes en vérité un gros frustré, un homme du ressentiment, un petit con à la Brétécher d’autrefois. Un zouave quoi !
Aujourd’hui, Wgg a fait un pas de plus dans l’ignorance et la bêtise. Aussi bien, il n’est pas à la hauterur du sujet qu’il veut traiter, Wittgenstein !!! même s’il en a vaguement parlé dans un brouillon quand il passait ses malheureux examens. Ce n’est pas comme ça que vous réussirez dans la vie, M. Wgg !
Et j’ai non seulement Wittgenstein mais B. Russel et les problèmes de logiques qui me passionnaint quand j’étais étudiant en maths-physique pour préparer Normale Sup. Alors, vos petites objections de merde, hein, je m’en tape ! Vous n’êtes pas à la hauteur.
Delaporte est de mauvaise foi ! Qui s’en étonne, c’est sa seule arme de défense. Nier l’autre, c’est tout ce que sait faire un pervers narcissique comme lui ! Le pervers narcissique typique.
Je ne sais pas pourquoi mais c’est une catégorie de malade mental qu’on rencontre souvent sur les blogs ; ici, il y a Delaporte, chaloux et j’en oublie.
« quelqu’un qui cite à bon escient un auteur »
Mais vous êtes incapable de citer correctement Wittgenstein, et l’avez avoué imprudemment.
Tu fais quoi, franc hement, dans la vie, Delaporte, pour être aussi butté, aussi borné ?
Tu te caches tellement t’as honte de toi, en plus !
A nouveau, la doctrine de Wgg à propos des citations :
« Faire des approximation de citation est la preuve au contraire manifeste que non seulement on a lu l’ouvrage en question mais qu’on l’a profondément médité. » (Widergänger)
Mais je le cite à bon escient, je dis exactement ce qu’il a pensé. C’est toi qui es incapable de t’en rendre compte. T’as aucune compétence en philosophie. Tu regardes simplement des mots. T’es bête, quoi !
T’as toujours pas répondu à ma question : Tu fais quoi dans ta chienne de vie pour être aussi borné ?
C’est comme l’autre crétin qui se croit sorti de la cuisse de Juppiter et qui joue du piano dans des bastringues ! Tu parles d’une engeance !
Il leur faut un blog pour se venger de leur médiocrité.
Et mes spaghettis alors ?
Bien des rapprochements peuvent encore formulés entre la « joï » des troubadours et la joie chez Spinoza, qui résulte de l’accroissement dans son être, du « contais ». C’est ce que les troubadours appellent justement : « abellir », « melhurar », « enansar », « esmerar » : embellir, rendre meilleur, faire progresser, épurer l’âme.
L’Amour transforme accroît le sentiment d’être et l’affirmation de l’être. C’est exactement la philosophie cachée du fin’amors.
D., tu ne savais pas : è pericoloso spaghetti !
du conatus…
Wgg: è pericoloso Wittgenstein !
Ça suffit, maintenant, Delaporte.
Vous ne faites pas le poids à côté de WGG.
Changez de blog, mon vieux.
« Delaporte.
Vous ne faites pas le poids à côté de WGG. »
Il ferait beau voir (Simone) !
toutes les qualités qu’elle suppose : courtoisie, politesse, dictinstion, beauté, finesse de l’esprit, intelligence, sens de la justice, droiture, …
Ca a l’air chiant.
Facile http://odlp-staging1.s3.amazonaws.com/uploads/2012/10/original_image-2-jpg.jpg
WGG je l’ai lu rapidement – cependant n’est-il pas possible d’envisager cet ensemble comme une incapacité à sortir d’un système enfantin, de défense, qui témoigne d’une impossibilité à passer à la phase suivante et qui s’enracinerait dans un passé lointain et dont il faudrait retrouver les causes.
« La mythomanie traduit une organisation névrotique de la personnalité, qualifiée
d’hystérique. Mais elle peut également être présente lors des troubles psychotiques.
L’hystérie est un type de névrose entraînant des symptômes divers et causée le plus
souvent par le refoulement consécutif au conflit œdipien22
__________________________________________________
Il y a une « jouissance » particulière dans la
mythomanie : se faire croire à soi-même que tous ses désirs sont possibles.
__________________________________________________
Si la réalité, pour le petit enfant, est ce qu’il croit ; pour le mythomane, c’est ce que l’on croit.
__________________________________________________
Le sujet mythomane a-t-il des chances de guérison ? L’analyse psychiatrique, par le biais de
différentes techniques d’anamnèse, peut l’aider à retrouver les causes profondes de son trouble.
————————————————–
Son symptôme paradoxal, qui est la recherche permanente d’un défi à l’autorité, peut l’amener
facilement à des provocations de plus en plus poussées. »
Lorsqu’on a rien à dire, il faut le faire savoir.
Observations marginales.
« La courtoisie voudrait que du parler on fasse quelque chose de plus que du silence ». Enchantements, animations : la chaine et la trame. Du moment où un auteur a produit une œuvre — qu’elle soit nécessaire ou pas, que l’on l’apprécie ou pas —, si l’on veut en parler, on ne devrait pas se concéder le luxe d’ignorer la valeur des contenus-signifiés de sa poétique et des architectures syntactiques qu’ils gênèrent ; ni les questions que l’œuvre suscite : est-elle articulée autour d’un noyau affectif ou idéologique ? est-ce qu’il y a-t-il un centre et une périphérie ? comment se forme sa texture : comment les mots se connectent entre-eux ; comment une phrase continue dans la successive ? il y a-t-il une texture phonique ? il y a-t-il des relations avec une signification plus générale ? est-elle cohérente avec l’exigence historique — positions décisives à l’égards du passé et des circonstances, leur possibilités réelles d’actualisation ? scolies exégétiques, ou pas — « il était une fois » —, qu’est-ce que qu’elle donne à comprendre ? « L’histoire, mère de la vérité » ! certes, mais en s’identifiant à un lecteur attentif de Cervantes confronté au Chisciotte (I, IX) lu à travers les ambiguïtés de l’approche de Menard, on peut se poser la question de savoir si « la vérité historique nous dit ce qu’il advînt ou ce que nous jugeons qu’il advînt » ; chercher une différence entre vraie et fausse perception ce n’est pas toujours utile — en suivant la trace de Blanchot : mirage d’infinies possibilités d’un spécifique monde réel. Ce ne sont pas les seules questions qu’une œuvre suscite, il serait cependant inutile d’épaissir ce contenant dans cet environnement ; il ne serait par contre pas du tout inutile que ceux qui crachent sur un auteur justifient leurs choix ; s’ils en sont incapables, qu’ils s’abstiennent des lectures qui auraient vocation à les contrarier, et dans l’éventuelle impossibilité de s’abstenir, qu’ils arrêtent d’ennuyer le bon peuple avec l’expression de quelques haines recuites.
autorité ?
Professeure de sciences humaines et de littérature comparée à l’Université de New York, elle souligne le caractère impalpable de l’autorité, qui constitue sa force et fait qu’elle l’emporte sur tout autre rapport de domination. La philosophe sera présente au festival Mode d’emploi (2) qui débute lundi en Rhône-Alpes.
Quelle différence entre «être autoritaire» et «avoir de l’autorité» ?
Cette distinction s’est dégradée, mais elle devrait vraisemblablement réapparaître pour toutes sortes de raisons éthiques et politiques. Etre autoritaire implique beaucoup de bruits et de fanfare, de bruits métalliques insupportables comme le claquement des portes de prison. Celui qui a de l’autorité, au contraire, est dans un flux à basse énergie : silencieux, il a une certaine aura, un raisonnement discret. Par exemple, si un intrus indésirable fait irruption dans votre bureau, comment manifestez-vous votre autorité ? Si vous criez sur la personne ou appelez à l’aide la sécurité, vous prouvez simplement votre manque d’autorité. Mais si vous levez imperceptiblement un sourcil et que l’intrus rebrousse chemin, on peut dire que vous avez de l’autorité.
Hannah Arendt soulignait que nous avons perdu le sens de l’autorité, que nous avions tendance à le confondre avec celui de la domination ou de la violence…
On retrouve l’origine de ces distinctions dans une sorte de crypte de nos vies politiques. Quand l’Etat porta des coups à Socrate, on comprit combien les représentants de la posture philosophique pouvaient devenir vulnérables et combien toute pensée restante souffrait gravement d’un manque de reconnaissance et était mise en danger. Arendt désigne la mise à mort de Socrate comme un événement traumatisant pour nous tous. Nous vivons avec ce crime contre ceux qui refusent d’entrer dans le rang et assistons à la transformation de la plupart des philosophes en philosophes d’Etat, voire en «intellectuels publics». La philosophie a ainsi constaté qu’elle était caduque et qu’elle ne pourrait pas se défendre face à un Etat de violence et de répression. Par ailleurs, les philosophes aiment aussi le pouvoir et l’Etat n’a pas accepté cette compétition. Ainsi, le philosophe a presque toujours été vu avec hostilité par l’Etat et l’élimination impitoyable de Socrate en est l’illustration.
Platon réalisa que le philosophe n’avait ni le pouvoir de repousser la violence de l’Etat ni une rhétorique assez persuasive pour toucher les «décideurs», comme l’aurait dit George Bush. Platon, sans utiliser les armes ou les raffinements persuasifs, inventa l’autorité. Il inventa aussi l’enfer (merci, Platon). Il a pensé, et espéré, qu’aucun Etat ne pourrait s’élever contre l’autorité car celle-ci détient un laissez-passer d’inviolabilité. Impalpable, il est difficile de l’évaluer philosophiquement et de la mettre K.-O. politiquement. Mais cela constitue sa force et elle l’emporte sur tous les rapports de pouvoir et de domination.
Partagez-vous l’hypothèse d’une perte d’autorité des politiques ? La politique ne serait-elle plus au pouvoir ? Et dans ce cas, que devient le pouvoir s’il n’a plus d’autorité ?
Il est très difficile, à moins de vivre comme un ermite, d’attribuer aujourd’hui de l’autorité à la politique. Si vous allumez la machine du «renversement des valeurs» prônée par Nietzsche, la destruction de l’autorité apporte à la fois de bonnes et de mauvaises nouvelles. L’émanation spirituelle de l’autorité laisse peu de place à la discussion ou à la résistance véritable. Cependant, les intrigues politiques débiles auxquelles nous sommes confrontés nous désarment, et nous laissent parfois complètement médusés, dans une époque qui requiert une remise en cause critique. Selon Carl Schmitt (que Dieu nous en préserve), la disparition de l’autorité pose un vrai problème parce qu’elle libère toutes sortes de forces pernicieuses laissées sans contrôle ni contrepoids. Et, en fin de compte, même les penseurs les plus progressistes ont tenté de se cramponner à l’autorité et ont souhaité son retour.
Est-il dans le destin de nos sociétés que d’instituer un pouvoir d’Etat et est-il naturel que le pouvoir prenne une forme coercitive ?
Il est difficile d’imaginer une appropriation non coercitive du pouvoir. C’est sa nature même que d’être imposant, de planer au-dessus de nos têtes de manière traumatisante comme Kafka nous l’a montré. Même dans la chambre à coucher et, comme le disait Walter Benjamin, même au cours d’une journée ensoleillée, le pouvoir conserve une emprise invisible et manifeste son étendue de façon destructrice ; et cela même s’il opère d’abord de façon illisible et furtive. L’important n’est pas de souhaiter que la coercition s’efface, mais de développer une relation plus libre avec la dimension coercitive de la facticité de la vie. Comment pouvons-nous obtenir la «vitaminisation» de la politique et les conditions nécessaires pour que nous soyons assez toniques – en tant que corps politique – pour repousser les transgressions inopportunes, qu’elles soient politiques, personnelles ou les deux ?
Sans recourir aux célèbres analyses de Hegel sur la dialectique du maître et de l’esclave, comment expliquer les fondements de la légitimité du chef ?
Hegel était trop intelligent pour arrêter les termes de la prétendue légitimité d’un chef. Quiconque domine court le risque de succomber à la tactique de la prise de contrôle de «l’esclave». Celui qui est aux commandes n’est jamais en sécurité et il est incapable de donner une substance à la légitimité. Hegel savait bien qu’avant la dialectique, une décision violente doit être prise, une décision qui établit la loi, la légalité et les conséquences de la légitimité. L’analyse derridienne de Benjamin soutient que la légitimité se fonde sur une base mystique et que seule la violence fondatrice peut être identifiée comme la cause de l’institution de quelque chose qui ressemble à la légitimité. Le chef est le dernier à être capable d’expliquer sa légitimité et est le plus souvent relégué à la position ignorante de la figure lacanienne du roi idiot et aveugle mais néanmoins puissant.
Quelle doit être la place de l’autorité dans le domaine de l’éducation ?
C’est là que l’autorité resplendit jusqu’à en devenir exemplaire, même lorsqu’elle est confrontée à des modèles d’éducation mis à rude épreuve ou qui ont échoué. Denis Kambouchner ainsi que d’autres auteurs ont écrit des textes fascinants qui relient l’éducation à la question de l’autorité. En tant que germaniste confirmée, je me suis donné comme point de départ des réflexions sur la notion de Bildung («formation»), sur la coercition externe et sur la discipline. Je me suis intéressée aux effets traumatisants de l’intrusion que le vrai savoir implique mais aussi aux aspects de ce que j’appelle la «pédagogie œdipienne» et l’émotion liée au transfert, aux interactions sadomasochistes avec l’enseignant, aux différentes modalités que revêtent les centres de redressement, les lignes à recopier, les cours particuliers et même la tendresse des chuchotements auxquels les maîtresses ont parfois recours.
Historiquement, je m’intéresse à la disparition de la punition corporelle dans l’enseignement, au corps docile ou excité de l’étudiant, à sa promptitude virginale et à d’autres obscénités qui sous-tendent la scénographie et les manipulations de l’acte d’enseigner, souvent de façon à la fois réprimée et répressive. Dans le célèbre système de l’autorité d’Alexandre Kojève, l’enseignant n’a pas de lieu, il se définit relativement aux positions clés du Père, du Maître et du Juge suprême par rapport auxquelles il est une aberration ou peut-être une mutation qui échappe à l’appareil critique. On peut cependant affirmer que l’autorité n’est pas conçue pour appeler des mesures disciplinaires ou des protocoles punitifs d’apprentissage (bien que certains d’entre nous aient profité des coups que nos enseignants étaient assez aimables de nous donner). L’autorité authentique – cette notion aurait besoin d’une déconstruction plus poussée, laissez-moi jouer un instant à la première de la classe – encourage, protège et crée les conditions favorables pour instiller le respect. Elle se démarque fortement de la tradition et se débarrasse de certains fardeaux liés à l’apprentissage répétitif et au poids de l’histoire. Peut-être que l’autorité, encore liée à certains tropes du familialisme et à l’influence encore palpable du patriarcat, n’est pas aussi progressiste et révolutionnaire que j’aimerais qu’elle le soit : une promesse de justice. On peut toujours rêver !
Traduit par Valérie Munson.
(1) «Loser Sons, Politics and Authority», University of Illinois Press, 208 pp., non traduit. (2) Atelier «Redéfinir l’autorité ?» avec Guillaume Caron, vendredi 21 novembre à 18 heures, et débat «Qu’est-ce que l’autorité ?» avec Jean-Claude Monod, samedi 22 novembre à 19 h 30 à l’hôtel de région, à Lyon.
Pfff ! en attente de modération !
Cela dit, Bram van Velde (Samuel Beckett en joueur d’échecs ?) :
http://blogfigures.blogspot.fr/2010/10/bram-van-velde-composition-1966.html
La philosophe est Avital Ronell
image1
« Bibliothèque Médicis », c’est (presque) fini
Le président de la chaîne Public Sénat vient d’annoncer à la fois l’arrêt de l’émission « Bibliothèque Médicis » et le départ du journaliste Jean-Pierre Elkabbach.
« Taisez vous, Elkabbach ! »
Lorsque le 8 h 08 sortira du limbe de la modération : Chisciotte > Quichotte…
Cette marche des fiertés ! Quel ridicule communautarisme exhibitionniste …. Beurck !
Fête au centre, misère aux portes de Paris.
Hier, à vélo, j’ai croisée les chars festifs de la Gay Pride, boulevard de Sébastopol. Un peu plus tard, en revenant en voiture de Roissy, il m’a été donné d’assister au triste spectacle des réfugiés syriens parqués à la porte de la Chapelle. Contrastes de communautés aux problématiques diverses et incompatibles…
Aspen Magazine N° 4 :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/05/aspen-magazine-n-4-marshall-mcluhan.html
En marge de la Gay Pride, à la hauteur du centre Beaubourg, dressé sur un pilier, un prédicateur solitaire, la Bible à la main, hurlait que Dieu condamne l’homosexualité. Un jeune homo, en passant, lui a adressé un baiser en disant : « Amuse-toi bien mon chéri ! »
Sans la moindre méchanceté -car ce n’est pas mon genre- cela me semblerait bien rigolo d’asperger le défilé LGBT au canon à miel puis d’organiser un lâcher festif de quelques millions de fourmis rouges sur ces milliers de fadas pour qui le sens du ridicule n’existe pas …. !
Le canon à miel, ce n’est pas bien méchant !
Je me souviens de ce bon Philippe Régniez, homme exceptionnel au calme rare, à l’ouverture d’esprit exceptionnelle, au bon goût affirmé, pensait lui à les asperger au canon à napalm ….!
symbiose dans le couple franco-allemand créditée par une réforme du code du travail pour la France, annoncée cependant déterminée.
WGG, merci de votre long communiqué , pour moi l’autorité tient en quelques mots:
1 – détenir l’autorité et en user qu’elle soit un pouvoir: enseigner, organiser, légiférer, exiger, sanctionner, surveiller, décider… L’autorité en ces différentes modalité se confond avec un pouvoir obtenu par différents moyens .
2- faire autorité : là il ne s’agit que d’une influence s’appuyant sur un savoir diffusé et reconnu comme vérité qui sera utilisée à différentes fins.
Les tromblons résonnent, le bruit de la pétarade détonne, la foule plastronne sa joie : c’est ici l’annuelle « Fête de la Saint Pierre et des pêcheurs »…
On a même entendu un ou deux islamistes modérés en voie d’intégration, commerce oblige, s’écrier : « Saint-Pierrehou Akbar ! »
L’autoritarisme est un abus du pouvoir obtenu pour installer , diriger, réformer, fonctionner ou faire fonctionner selon une volonté qui ne se soucie que peu des critiques ou des regards critiques extérieurs ou du ressenti des éléments concernés par l’effet des décisions autoritaires. Politiquement,l’autoritarisme, peut être soutenu par une faible majorité voire la Turquie ou mettre en place un système de propagande qui brouillera l’information pour continuer d’obtenir en démocratie la majorité des soutiens à sa politique, voire la Russie. Ce qui est remarquable en Turquie est que malgré la pression exercé par l’Etat, les arrestations arbitraires, une vaste propagande , Erdogan n’ait obtenu que de peu le soutien de sa population pour sa réforme constitutionnelle.
« De toute façon vous n’avez aucune autorité pour en juger. Sinon celle que vous vous octroyez abusivement. Comme tous les crétins qu’on rencontrent ici et qui veulent péter plus haut qu’ils n’ont le cul perché… »
WGG, le « Sardanapale » de la RDL.
bérénice prenez le temps de lire avant de commettre des commentaires de plus en plus indigestes. Il vous a fallu une semaine pour découvrir la légende de la photo et maintenant vous attribuez à WGG un commentaire signé « et alii »…
et alii dit: 25 juin 2017 à 8 h 16 min
C’est qui cette philosophe ? Vous ne donnez pas son nom.
« la Bibli Medicis, c’est fini »
Comme dit: ça m’fait quelque chose.
Ce n’est pas tant le décor et l’animateur qui disparaissent de l’agenda, du moins d’un agenda de spectateur, si peu régulier fut-il.
Rien de comparable avec ce plateau télé, dont le décor peut se disperser comme peuvent se disperser les éclats de voix des invités de Môssieu Pivot. Et qui ne resteront pas pour des signes extérieurs de richesse intellectuelle et/ou littéraire. Une prise de tête, trop souvent, comme les émissions de télé-réalité « culturelle » qui ont pris le relais, ou celle par exemple qui reste un bel exemple de passage de pommade (salut Monsieur Ultrabright ?).
Non. Avec le départ annoncé d’ Elkabbach, c’est comme si « le génie des lieux » (copyright RDL) laissait de nouveau inhabité à la conscience populaire, ce très beau lieu. L’Annexe de la Bibliothèque.
De nouveau inhabitée à la conscience populaire, comme elle l’a été dans des périodes de vacance, entre le moment où cette galerie Est du Palais du Luxembourg cesse d’être un appartement royal, pour devenir le premier musée de peinture d’ Europe, puis l’Annexe de la Bibli, 1887.
Période interrompue brièvement depuis, pendant laquelle les livres en furent déménagés,afin d’établir un QHS pour Déroulède.
Une Annexe.
Du Droit, d’Histoire politique beaucoup, des recueil de journaux, pas mal aussi. Avec des « voisinages » pas toujours évidents : Un Bergson et son » énergie spirituelle » qui côtoie une histoire des Sans-culottes.
C’est donc sous les auspices du « lever de l’Aurore » de Antoine-François Callet, que le fantôme d’Anatole France, son buste, continuera, seul rescapé de la littérature à la télé pour tous 😉 , de hanter ces murs de livres.
renato dit: 25 juin 2017 à 8 h 19 min
Pfff ! en attente de modération !
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Moi aussi j’ai souvent ce problème en ce moment et je ne comprends absolument pas pourquoi. Ke ne suis pas sûr que ce soit de la volonté de Pierre Assouline, à mon avis il subit cela comme nous mais je n’en suis pas certain non plus.
D, comme disait ma grand-mère, on n’est jamais sûr de rien sauf peut-être de sa place au cimetière si on a la chance de pouvoir en décider et bien que la mode de l’enfouissement des corps risque fort de connaître une fin étant donnée la trop grande place qu’ils occupent, il n’y aura bientôt plus que des columbariums.
La bibliothèque Médicis se remettra de la disparition d’Elkabbach, LVDLB. Elle en a vu passer d’autres, notamment les Allemands sous l’Occupation…
C noté deux coms plus haut Wgg
Bérénice
Et asseoir son autorité
Et abus d’autorité (comme de confiance)
Argument d’autorité(je ne sais si cela a été dit)
Oui, l’autorité est un vaste problème aujourd’hui dans l’enseignement. Mais on aurait tort de l’isoler du reste de la société et de la crise profonde que traverse l’autorité du savoir.
Les caricatures que sont à cet égard des gens de peu comme chaloux ou Delaporte, qui consteste systématiquement l’autorité de ceux que leur savoir institut dans une forme d’autorité en dit long sur la perte d’autorité des gens de savoir, mais on pourrait dire la même chose ou peu s’en faut des magistrat, des journalistes, des hommes politiques.
Les professeurs d’aujourd’hui se retrouvent souvent dans la position du martyr dans un système qui en a fait la proie facile de la calomnie en tout genre, celle des élèves, celle des parents et celle même de la direction des établissements. Les coups peuvent venir de n’importe où, c’est une dimension à penser dans la perte d’autorité : une dégradation générale du lien social et de la confiance envers les institutions et ceux qui l’incarnent.
Les raisons d’une telle catastrophe sont diverses : laxisme de l’éducation des enfants, course effrénée à la réussite et pression sur les acteurs de l’éducation de toutes part en conséquence, pertes des repères et des hiérarchies qui devraient s’imposer à tous et qui ne s’imposent plus à grand monde, chômage, difficultés des familles monoparentales et des enfants laissés à eux-mêmes, même dans les milieux aisés, etc..
Bérénice
Est ce la même bibliothèque que celle à côté du canal avec la fontaine dont vous avez parlé récemmemt ?
@La bibliothèque Médicis se remettra de la disparition d’Elkabbach, LVDLB. Elle en a vu passer d’autres, notamment les Allemands sous l’Occupation…
c’est juste Barozzi. Vos points de suspension sont une mise en abîme pour crétins, certainement, dont vous me permettrez de m’exclure, étant donné ce que j’ai vu.
Là-bas ils tuent le taureau. Ici on n’effleure même pas le verrat, ce qui ne l’empêche pas de brailler à longueur de journée.
@Est ce la même bibliothèque que celle à côté du canal avec la fontaine dont vous avez parlé récemmemt ?
la rosse et ses confusions mentales.
Si cette question m’est adressée, la réponse ne vous regarde pas.
Jacquot, le génie de la rue reste un des plaisirs de Paris.
Que l’on passe à une autre génération n’est en rien choquant. Par contre, la manière d’agir l’est elle.
Ma métaphore de la violence terrible faite aux femmes qui avaient pactisé avec l’ennemi recouvrait cette violence là à laquelle nous assistons dorénavant quotidiennement.
Il y a d’autres manières de faire.
de voix des invités de Môssieu Pivot.
depuis a-t-on réussi mieux en matière d’émission littéraire? Il y eut le regretté Bernard Rapp et son assiette anglaise, Frédéric Tadei en clone de Michel Polac pour l’ambiance et qui a été relégué je ne sais trop où dans la grille, Guillaume Durand s’y est essayé aussi crois-je me souvenir et reste en place la Grande librairie, émission sage comme d’ailleurs le BM. D’autres en mémoire?
Bon dimanche Et Al.
Bérénice, la crémation est une pratique dont je décourage vivement le pratique. Elle libère très rapidement le lien reliant l’âme aux différentes enveloppes « corporelles », ce qui créée une grande souffrance (morale) et a pour résultat de libérer dans l’Astral une âme complètement démunie.
Il est très important d’inhumer et de favoriser la décomposition très lente du corps. Ce que les Égyptiens avaient parfaitement compris.
Donc il est loin d’être inutile de demander une sépulture à perpétuité, une maçonnerie de qualité située dans un endroit sec, bien drainé, de se faire choisir un beau cercueil de chêne, et si possible un cercueil situé dans un autre, voire des cercueils-gigogne que vous pouvez faire fabriquer sur mesure.
Et l’accompagnement du défunt dans l’au-delà n’est pas non plus une fumisterie (comme l’est la crémation), il est loin d’être inutile de lui procurer à portée de corps talismans, armes spirituelle, symboles et textes sacrés.
Notre Occident est en train de perdre tout cela depuis plusieurs années et c’est grave.
« des gens de peu comme chaloux ou Delaporte, qui consteste systématiquement l’autorité de ceux que leur savoir institut dans une forme d’autorité en dit long sur la perte d’autorité des gens de savoir, ».
En tout cas, pauvre Blabla, il ne s’agit pas de savoir orthographique et grammatical. C’est tout de même une curiosité qu’un prof de lettres ne soit pas foutu d’écrire une phrase simple sans la truffer de fautes.
Tu fais partie des gens de savoir comme je suis garde-barrière.
Après en avoir discuté, tous ensemble, afin de ne pas prendre position à la légère sur une de nos « traditions », l’excision, nous recommandons d’en faire bénéficier le sieur Tariq Ramadan.
Ce soir ou jamais, l’émission où l’on crie se moquait canal+ dans le petit journal, Taddeï en déficit d’autorité naturelle mais je le soupçonne tout de même d’aimer la cacophonie et les plateaux en mouvements .
Un exemple bête et absolument banal de perte d’autorité.
Les classes sont aujourd’hui équipées de projecteurs branchés sur l’ordinateur de la classe lui-même relié si besoin est à Internet.
Or il existe des applications qui permettent à partir d’un téléphone portable d’allumer ou d’éteindre un tel projecteur. Le prof peut se retrouver dans la situation suivante, ce qui m’est arrivé à plusieurs reprises : il est en train de faire son cours tranquillement avec ses élèves et d’un seul coup le projecteur s’allume. Le prof innocent qui ne comprend pas la blague stupide que vient de faire un élève, éteint gentiment le projecteur sans s’interroger davantage sur l’événement. Trois minutes plus tard, à nouveau le même cirque. Le prof commence alors à s’énerver et soupçonne autre chose qu’un dysfonctionnement. Il arrête son cours, demande à un élève de se rendre dans le bureau de la direction pour signaler le problème, la direction, plus avisée que le prof, se pointe dans la classe, fait sortir les téléphones portables de tous les élèves en cherchant celui qui a cette p… d’application qui fait chiller tout le monde. La perturbation a bien duré 20 minutes et l’autorité du prof est fichue en l’air avec un simple téléphone portable. Voilà où en est la société dans laquelle on vit.
rose, à propos de bibliothèques parisiennes, un sujet que j’ai proposé à mon éditeur de livres sur Paris et pour lequel je n’ai pas eu son accord !
Richesses des bibliothèques parisiennes
« J’ai toujours imaginé le paradis comme étant une sorte de bibliothèque »
Jorge Luis Borges
« Que de livres, que de livres ! Il passe plus de livres dans les boîtes des quais qu’il ne coule d’eau sous les ponts de Paris. »
Blaise Cendrars
Dans le chapitre consacré à Paris de Bourlinguer, l’ancêtre des écrivains voyageurs, Blaise Cendrars, affirme d’amblée, toutes comparaisons faites, que Paris est la plus belle bibliothèque du monde. Outre ses bouquinistes et ses librairies, la capitale française possède un patrimoine exceptionnel de bibliothèques. Publiques ou privées, nationales ou municipales, généralistes ou spécialisées, depuis les plus anciennes aux plus récentes, celles-ci mettent à la disposition des lecteurs, gratuitement et quelquefois sous certaines conditions, des millions de livres concentrant l’ensemble du savoir et de l’imaginaire de l’Humanité. A Paris, capitale de la culture, la connaissance et l’esthétique vont généralement de pair. Chaque bibliothèque a son histoire et son style architectural : depuis La Mazarine du quai Conti (6e), la plus vieille bibliothèque publique de France, jusqu’à la toute nouvelle médiathèque La Canopée du Forum des Halles (1er). En passant par l’ancienne et l’actuelle Bibliothèques Nationales de France, voulues respectivement par Richelieu (2e) et François Mitterrand (13e). Ou encore les bibliothèques spécialisées : la bibliothèque de l’Arsenal (théâtre), la bibliothèque Fornay (Beaux-arts et arts graphiques), la bibliothèque de l’Hôtel Lamoignon (Paris), située toutes trois dans le 4e arrondissement, et les bibliothèques consacrées exclusivement au cinéma (1er), à la musique (19e), ou au polar (5e)… Sans oublier les principales bibliothèques et médiathèques municipales : médiathèque Françoise Sagan (10e), médiathèque Marguerite Yourcenar (15e), médiathèque Marguerite Duras (20e)… ; les bibliothèques universitaires de la Sorbonne et de Sainte-Geneviève (5e) et les bibliothèques institutionnelles : bibliothèque Médicis au Sénat (5e) ou bibliothèque d’Orsay au ministère des Affaires étrangères (6e). L’ouvrage répertoriera une centaine de lieux, classés par arrondissement, où, petits et grands, peuvent venir lire, emprunter des livres, films, DVD, participer à des animations culturelles et, parfois, jouir de beaux points de vue sur la capitale, se désaltérer ou se restaurer, comme à la Bibliothèque Publique d’Information (BPI) du Centre Pompidou (1er).
l’excision, nous recommandons d’en faire bénéficier le sieur Tariq Ramadan.
on pourrait pratiquer l’ablation de l’hypothalamus puisqu’il ne sert à rien, il prendrait quelques kilos , on s’en fiche!
Widergänger dit: 25 juin 2017 à 10 h 32 min
Bref, le pauvre Blabla n’est pas seulement ridicule ici. Il l’est partout. Il confond son ridicule congénital avec la notion d’autorité, tout comme il confond la notion de savoir avec sa logorrhée décérébrée.
Nous nous en doutions déjà.
Notre Occident est en train de perdre tout cela depuis plusieurs années et c’est grave.
Pensez vous que tous ces gens qui se noient aient une âme?
Quant à l’autorité du maître, il suffit de relire les correspondances de jeunesse de Flaubert et Baudelaire, Vallès, ou Le Grand Meaulnes, pour voir qu’elle fut de tout temps brutalement contestée. Blabla, l’homme de savoir, ne possède tout simplement pas les références qui lui permettraient de le penser. Et ce sont les autres qui ne pensent pas, évidemment.
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