Dans la vie comme au théâtre
Qui ne s’est jamais projeté dans la pièce d’un appartement ou d’une maison comme s’il se trouvait dans une pièce de théâtre ? Qui n’a jamais observé un repas auquel il participait d’un point de vue de spectateur ? Qui n’a jamais joué dans la vie comme il le ferait sur les planches ? Qui n’est pas habité par une pièce de chevet au point d’y calquer ses travaux et ses jours, inconsciemment ou pas, telles les trois héroïnes des Heures sur Mrs Dalloway ? Que celui ou celle qui n’a jamais…
Place Colette (320 pages, 20 euros, Léo Scheer) annonce le programme dès la couverture. Le titre est l’adresse de la Comédie-Française. Le « Nemours », bistro qui lui fait face, en est le centre névralgique. Nathalie Rheims y noue une double révélation : la découverte de l’amour et celle du théâtre. La narratrice de ce roman, qui ne lui est pas vraiment étrangère, passe trois années de son adolescence clouée dans un lit d’hôpital, enfermée dans une coquille de plâtre, à la suite d’un mauvais diagnostic. Des années au cours desquelles elle lit avidement, s’enivre de littérature classique, s’étourdit dans les grands textes. Grâce à un autre médecin qui reprend son dossier, elle est à nouveau opérée et parvient à en sortir. A se décarcasser au sens premier du terme. Se défaire de l’étau.
Sa résurrection, vécue comme une renaissance plus encore que comme un retour à la vie, coïncide avec la découverte du théâtre non plus seulement dans les textes mais sur les planches même. Un coup de foudre pour un comédien dans sa loge catalyse cette double révélation. A la seule vision de la forteresse du Français elle est prise de vertiges. Une folle passion clandestine l’unit au sociétaire. Lequel ? Aucune idée, et quelle importance… Disons qu’il devait être Cléante quand Robert Hirsch et Jacques Charon jouaient le Tartuffe, et à nouveau à leurs côtés dans le Malade imaginaire. Elle a 13 ans, il en a 43.
Sa vocation ? Comédienne, on s’en doute. Jean Périmony à l’Athénée guide ses premier pas ; Jean-Pierre Bacri est à côté ; Isabelle Adjani annonce la mort du petit chat et on croit l’entendre pour la première fois. A l’école des planches, et plus encore rue Blanche où elle entre avec le monologue de la Folle de Chaillot, on fait comprendre à la débutante que le théâtre, si ce n’est pas quelque chose de vital, une question de vie ou de mort pour employer les grands mots, ce n’est pas la peine. Marcelle Tassencourt, qui dirige le théâtre de Versailles, la remarque et lui propose de se joindre à troupe autour de Roger « Tartuffe » Hanin, qui deviendra son « chaperon attentif ». Là, ce sera Jean Le Poulain qui la remarquera et lui proposera d’être sa Columba dans Volpone. Et après Lavelli… La voilà happée. Une troupe, c’est une famille de cœur, dont son premier homme ne sera pas.
Autofiction, roman vrai, mensonge qui dit la vérité, peu importe. De la vérité, celle dont les accents ne trompent pas plus l’auteur que le lecteur, il en a la puissance. Pas de pathos ni d’autocomplaisance. Nul n’est épargné à commencer par le milieu dans lequel elle grandit : des grands bourgeois lettrés en villégiature perpétuelle à Saint-Florent (Haute-Corse) même quand ils n’y sont pas, pour lesquels elle manifeste une indifférence réciproque. La maison de famille est pleine d’écrivains et d’académiciens, des Michel Mohrt, François Nourrissier, Jean d’Ormesson dont les spectres passent.
La narratrice ne ménage pas non plus l’auteur qui avoue, très tôt, très jeune, son penchant pour les vieux, la séduction des visages creusés par les rides, les stigmates du passage du temps. Dans un récit fluide et plein d’humour, Nathalie Rheims laisse affleurer une sensibilité plus ferme que dans ses précédents romans. Place Colette porte la marque de cette réjouissante maturité. Et puis quoi, une narratrice qui éprouve une telle passion pour la cantate 51 de Bach « Jauchzet Gott in allen Landen! “ ne saurait être entièrement mauvaise… Il suffit de l’imaginer s’effondrant à l’écoute du récitatif pour se sentir à l’unisson.
De même s’imagine-t-on l’héroïne d’Une Antigone à Kandahar (The Watch, traduit de l’anglais par Antoine Bargel, 355 pages, 21,50 euros, Gallimard) descendant de sa montagne en fauteuil roulant après que ses jambes eurent été arrachées par une explosion : elle vient réclamer à l’état-major de cette base américaine en Afghanistan le corps de son frère, chef d’une tribu pachtoune mort au combat. Mais qui est-elle au juste : une terroriste envoyée par les Talibans ou une sœur qui porte le noir de son deuil ? Le doute s’installe, puis la peur. Joydeep Roy-Bhattacharya, un romancier indien qui vit dans l’Etat de New York, ne parle pas d’Antigone dans le titre original de son roman ; mais il l’a encadré, au début et à la fin, de deux substantiels extraits de la pièce de Sophocle (dans la traduction française de Paul Mazon) sur la « vraie » souffrance d’une soeur : non la perspective de sa propre mort mais l’idée que mort, le fils de sa mère n’ait pas de tombeau.
N’en ayant pas lu beaucoup, j’ignore si cette histoire est, comme le dit le Wall Street Journal, « le premier grand roman sur la guerre d’Afghanistan ». Mais pour qui a suivi et suit en cours la chronique des événements courants dans cette partie du monde, la manière dont cet écrivain revisite Antigone à travers Kandahar donne une vision assurément inédite, puissante et saisissante de la tragédie à l’œuvre.
Avec Titus n’aimait pas Bérénice (312 pages, 17,90 euros, P.O.L.), on change de registre. Nathalie Azoulai annonce également le programme dès le titre, quoique de manière plus elliptique. Ici aussi, une histoire personnelle se noue à une histoire de théâtre. Mais une seule pièce et un seul auteur sont privilégiés. Bérénice et Racine. Comment lui a-t-il pu écrire ça ? Entendez : un homme comme lui, avec tout ce que l’on sait du courtisan et du janséniste, écartelé entre l’immensité de Versailles et le vallon de Port-Royal, une pièce comme celle-ci ?Dans sa Vie de Titus, Suétone remarquait :
« Titus reginam Berenicen statim ab Urbe dimisit invitus invitam
Aussitôt, Titus éloigna la reine Bérénice de Rome malgré lui et malgré elle »
Que de mystère et que d’énigme dans ce « malgré lui » et ce « malgré elle » ! Depuis, on en dispute à l’infini. Titus, empereur de Rome, aime-t-il vraiment Bérénice, reine de Palestine ? Si c’est le cas, pourquoi la quitte-t-il ? A-t-il le choix ? Si Titus la quitte, c’est qu’il ne l’aime pas comme elle l’aime.
C’est un roman de la souffrance amoureuse, d’un auteur qui a certainement lu et apprécié les livres de Pascal Quignard. L’esprit y est sinon la lettre. Non pas une nouvelle biographie de Racine, ce qui serait présomptueux après celles de François Mauriac, Georges Forestier, Alain Viala. Ni même un portrait, ce qui serait risqué après l’inoubliable Racine en majesté de Jean-Michel Delacomptée. Encore moins une exploration de la querelle Barthes/Picard ! Plutôt une intense célébration de la beauté, de la féminité, de l’actualité, du style raciniens à partir d’un point de vue original et rafraichissant. A peine pédagogique mais pas trop. Sans dédaigner le sens de la formule (« Racine, c’est le supermarché du chagrin d’amour ») mais juste assez. Avec un sacré goût du risque car il y en aura toujours pour juger que ce qu’elle écrit là ne souffre pas la comparaison avec ce qu’elle cite là.
Et si Nathalie Azoulai avait donné encore davantage de place à l’autre histoire de Titus et Bérénice, la plus contemporaine, si elle avait encore plus noué Port-Royal et le téléphone dans une même phrase, l’annonce de la mort de Titus et les nécrologies dans le journal, on ne le lui aurait pas reproché ; car cette Bérénice d’aujourd’hui, quittée par son Titus d’aujourd’hui revenu vers sa femme légitime, a le désarroi contagieux lorsqu’elle essaie de comprendre en interrogeant la tragédie de Racine. Plus que jamais, le chef d’œuvre en art, c’est ce qui nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire. Les vingt lignes finales sur la suppression de l’abbaye de Port-Royal et l’assassinat des morts du cimetière sont magnifiques. L’excipit, inoubliable :
« On dit qu’il faut un an pour se remettre d’un chagrin d’amour. On dit aussi des tas d’autres choses dont la banalité finit par émousser la vérité ».
En filigrane de la passion amoureuse, au cœur du laboratoire d’écriture de Racine, ce roman se lit aussi comme celui d’une passion de la langue, de l’alexandrin et de la grammaire. On en ressort convaincu, si ce n’était déjà le cas, que Racine, c’est la France, et qu’aimer Racine, ici mis en abîme dans l’une de ses douze pièces, c’est aimer la France :
« Quand elle cite Racine, elle est soudain une amoureuse de France… »
A-t-on jamais écrit des vers plus poignants sur l’amour des femmes ? Pour toute explication, on dira qu’il l’a fait malgré lui et malgré elles…
(Photos Passou, Saul Leiter et Passou)
623 Réponses pour Dans la vie comme au théâtre
Je vais remettre les liens pour les gens de Port- Royal.
http://www.regietheatrale.com/index/index/thematiques/Severine-Mabille-theatre/Berenice-de-Racine.html
Y a des fois où le contenu manifeste des rêves se suffit à lui-même, pas besoin d’interprétation. Exemple, l’enfant privé de dessert qui rêve qu’il mange un gâteau au chocolat. Toi avec ton camion, c’est pareil.
Et puis, aussi, Louis Racine à propos de Jean Racine.
http://www.jeuverbal.fr/memoires.pdf
Pour miss choucroute, c’est quand même désolant, de ne pas pouvoir dire, d’une manière ou d’une autre, que sa littérature c’est de la daube, selon l’opinion que j’ai pu m’en faire.
C’est quelle maison d’édition pour Miss choucroute, déplorons ensemble la sévère censure qui sévit sans son sien,
J’ai laissé un message à 21h37, dont j’avoue la précipitation assez désastreuse, pour la langue française.
Polémikoeur. dit: 27 août 2015 à 19 h 58 min
la pratique du calcul mental
Je me demande s’il y a des tables de Bouvart et Ratinet pour les Nuls…
– je mets une majuscule à Nuls c’est un pays non ?
Zoon dit: 27 août 2015 à 21 h 19 min
leur faire passer la frontière austro-hongroise dans un camion.
Faut faire gaffe y a les ruchers à Schicklgruber ça pique énormément !
vani dit: 27 août 2015 à 23 h 20 min
Stane est sereine.
I paraît que il faut renflouer sinon mergitur ! On a des découverts depuis les Habsbourg-Lorraine… Même peut-être avant Louis XV ! Les Guise… Le duc Ferry III… Lothaire II !
Sergio, c’est pour ça qu’on a inventé Rennes le Château: Un trésor d’autant plus colossal et introuvable qu’il n’existe pas,cela fait toujours patienter les créanciers.
Je serais Sapin, je m’en servirais à Bruxelles, tiens!
« Angela c’est nous qui avons le trésor des Wisigoths! Tu nous aides à creuser le déficit? On te cède quelques hectares dans l’Aude! »
Nous n’en sommes plus à ça près…
In an unprecedented gesture of repentance, Monaco’s Prince Albert II apologised on Thursday for his country’s role in deporting Jews to Nazi camps — seven decades after police rounded up scores of people from the seaside principality, including those who had sought refuge from the Holocaust in what they thought was a safe and neutral land.
“To say this today is to recognise a fact. To say it today, on this day, before you, is to ask forgiveness,” Albert said in a poignant speech recounting actions by Monegasque police during the war.
He spoke in front of Monaco’s chief rabbi and other Jewish figures including Serge and Beate Klarsfeld, renowned Nazi hunters as well as Holocaust researchers who had encouraged Albert’s father, Prince Rainier III, to examine Monaco’s role during World War II.
The Guardian
L’actualité est pour nous largement plus intéressante que le théâtre de marionnettes racinien, tiré du passé comme linge sale de la corbeille.
Nous revenons hilares (le but de toute vie honnête) sur le look des héros de l’Etat français et du Royaume marocain : le Petit Bedonnant et le Petit Bouffi, s’agitant sur nos écrans comme pantins de leur peuple souverain ….
Dur, d’être un grand homme, quant on est si disgracieux !
Un passage éclair dans notre bonne cité phocéenne, hier, nous porte à remercier vivement les FEMINISTES françaises pour leur souci du vivre-ensemble, tout à fait proche du « laisser-faire » …
Quels efforts elles déploient dans nos riantes cités !
Voir de nos yeux l’enchantement régressif que constitue le spectacle du barbu en polo/short sous le soleil d’été, cool, suivi d’un sac poubelle entièrement noir, ganté, yeux baissés, marchant derrière lui, au NOIR en plein mois d’aout sous le soleil, enfermée dans sa maternité …
Joie, joie, pleurs de joie !
Cela témoigne de la lutte féministe constante contre l’EGALITE entre homme et femme de cette grande nation, la France des LUMIERES, lumières qui s’éteignent peu à peu
VIVE LE FEMINISME et son théâtre de marionnettes !
Le théâtre a t il encore quelque utilité ?
Malgré l’affection que l’on peut porter aux servants et servantes de cet art (cf CP et descendance), je crois qu’il faut le ranger sur l’étagère où se trouve déjà le Zoo à l’ancienne et ses bêtes mornes …
Tout passe.
Le théâtre a t il encore quelque utilité ?
—
Aucune, c’est pourquoi il est indispensable.
Un bon mot peut-il remplacer une bonne idée…?
Malgré l’affection que l’on peut porter aux servants et servantes de cet art (cf CP et descendance), je crois qu’il faut le ranger sur l’étagère où se trouve déjà le Zoo à l’ancienne et ses bêtes mornes … (Résumons…)
Ce genre d’argument nous est généralement servi par les gens qui ne mettent jamais les pieds dans une salle de théâtre. Tant pis pour eux. On ne va pas non plus user ses ressources de bonne volonté pour tenter de convertir ceux qui n’ont jamais compris rien à rien.
Soyons logique, Zoon ! qu’aller foutre dans un théâtre si on juge cet art dépassé, inutile, profondément ennuyeux ?
Vous me rappelez cet âne bâté de Jambrun ! un pro-palestinien, islamiste, sûr de lui et dominateur new look …
Zoon dit: 27 août 2015 à 21 h 26 min
je lisais les plus récentes élucubrations antisémites des trois intéressés
involontairement antisémites
—
Rien d’involontaire chez Jambrun, même & surtout le brun.
Un bon mot peut-il remplacer une bonne idée…?
c’est un peu comme clopine..le mot et l’idée sont elles vraiment bonnes ?
..j’ai du mettre elles bicoz y’a clopine + l’idée..ou alors on fait de la proportionnelle
Aucune, c’est pourquoi il est indispensable
l’probloc kabloom c’est que ceux qui le font sprennent pour son hypostase..un peu comme dans l’art contemporain..un bon mot..enfin si j’en crois les journaliste..remplace une idée
Résumons ….. dit: 28 août 2015 à 8 h 46 min
Soyons logique, Zoon ! qu’aller foutre dans un théâtre si on juge cet art dépassé, inutile, profondément ennuyeux ?
Mon cher ami, vous mettez, ce me semble, la charrue avant les boeufs. Allez d’abord y voir, ensuite vous jugerez.
leur souci du vivre-ensemble, tout à fait proche du « laisser-faire »
« un plan quinquennal peut remplacer le vivre ensemble » est ce un mot qu’il est bon jicé?
Allez d’abord y voir, ensuite vous jugerez
est ce que payer un rhaïnarte c’est s’accorder le droit de maltraiter lassouline ?
Monaco’s Prince Albert II
l’a eu peur qu’amis disent « pardon mi seur en 1930 j’ aurais plutot parié sur monaco »..
Dur, d’être un grand homme, quant on est si disgracieux !
est ce qu’une grosse teub peu remplacer un grantomme ?
Toi, t’es au fond du verre.
Tu as de la chance qu’il y ait D.!
http://images.delcampe.com/img_large/auction/000/225/570/492_001.jpg?v=1
…
…à 8 h 48 min,…censurer,!…
…& replay,…
…des fonds de commerces des religions à rayez de la carte du monde,!…
…
…quoi encore,…
…
…juste un petit pipi, de commentaires,…allez de la grâce,…of course,!…
…
…dures réalités, des églises,!…
…leurs commerces, pour des positions dominantes à dogmes pour soumettre,…les peuples,!…tous des Bouddhas vivants,!…
…
…déjà à nos saints empires germaniques,!…
…la touche,…toujours Plus-profond à l’avenir rapide en touche,!…
…à part çà,!…à nos gorilles attachés-cases,!…
…bientôt du lard fumé de mammouth,!…
…de là, à parler de peaux d’ours mal lécher,!…
…faut voir les règlements de la corporation des tanneurs,!…
…des options maisons,!…pour des zibelines vernies en l’air,!…et à ses retombées économiques,!…les clients, luxes ou nécessités,…les habitudes partagées, sursoir à ses biens,!…
…quelle colle,…cette diversion des religions,!…etc,!…
…apprêter,!…aux misères des donations littéraires à lire,!…en chaises,!…
…
…quoi encore,!…un strip-tease des religions,…çà doit pas être beau à voir,!…
…tout ces miniaturistes à glands encore illuminés de la flamme du saint des seins,!…
…encore des espagnoles à viva la morte,!…etc,!…mon café est monté,…
…c’est déjà çà de pris,…
…( texte photo Replay ) of course,!…Go,!…
…
Aucune, c’est pourquoi il est indispensable. 6h50.
Devinant votre intention en traversant cette courte intervention, il semblerait que ce type de revendication pour le luxe inutile ne puisse s’insérer dans les impératifs actuels. Le théâtre et tout le reste Bloom! il vous faudra opter pour un ascétisme sans religion car même dans la vacance de la foi, nous soupçonnons une perte de temps, une corruption du sens, une déperdition énergétique importante qui confrontée aux conditions d’urgence auxquelles l’HHHHomme doit faire face ne pourra qu’occasionner une perte supplémentaire.
bouguereau hors-concours ? : plutôt hors d’âge… uhuhuhuhu
Ceci étant je ne comprends pas trop pourquoi l’excommunication des comédiens qui complétait le lien LDVB, hier soir, a été ôté. C’était une explication et une suite cohérente .
http://www.dramaction.qc.ca/fr/wp-content/uploads/kalins-pdf/singles/excommunication-des-comediens.pdf
A propos des critiques de Macron sur les 35 heures:
« « Ce sont des mots d’un homme politique de droite », a opiné le député (PS) Yann Galut. Il y voit « une provocation insupportable » de la part « d’un ministre ringard qui insulte, là, avec des propos irresponsables, à la fois Jean Jaurès, Léon Blum, François Mitterrand, Lionel Jospin et Martine Aubry ». « Macron se gargarise de sa pseudo-modernité. Ça devient pathétique », dégaine même Laurent Baumel. »
Ah les c.ns! La co..erie des socialistes est vraiment inusable et illimitée. Un motif de profonde satisfaction s’ils n’étaient pas malheureusement au pouvoir.
obs dit: 28 août 2015 à 10 h 10 min
« « Ce sont des mots d’un homme politique de droite », a opiné le député (PS) Yann Galut. Il y voit « une provocation insupportable »
Le socialisme, c’est la gestion des mots et l’oubli des choses.
puisque ueda relance les débats intelligents…
http://images.huffingtonpost.com/2015-08-27-1440708498-3733858-150828_delucq_debat_pt-thumb.jpg
Le plus fascinant avec Juan Rulfo est qu’il a écrit très peu d’oeuvres, et des oeuvres brèves (« Pedro Paramo » fait à peine 200 pages). Puis, il s’est dévolu au silence (en travaillant à la TV). Cela étonne tous les commentateurs… cette nécessité du silence dont ses romans sont pleins.
Ueda 20h 05
Vous me faites beaucoup de peine.
J’espère que vous ne pensez pas vraiment ce que vous écrivez, que vous êtes sur le ton de la plaisanterie. En tous les cas, moi je vous ai toujours beaucoup apprécié et l’ai exprimé sans ambiguïté à maintes reprises. Mais ici j’ai fini par m’habituer à l’extrême ingratitude des commentateurs et à leur manque de jugement manifeste. Seule Christiane me comprend ici, là dessus vous avez raison, Christiane c’est la crème de ce blog.
De toutes façons,et comme vous l’avez constaté, je me suis beaucoup effacé ces dernières semaines. Au fond, je suis un être d’une grande humilité. Je reconnais que je n’ai pas grand chose d’intéressant à dire en matière Dr littérature et mes connaissances du domaine -ou des domaines, sont bien faibles.
D. ou la vie de Rancé, à la trappe !
Attila dit: 28 août 2015 à 11 h 26 min
à la trappe
Miroir, mon beau miroir dit: 28 août 2015 à 11 h 27 min
Ah ben non !
Mettre une concierge à la trappe c’est une hérésie, un peu comme mettre un Montrachet au frigo.
bouguereau dit: 26 août 2015 à 18 h 38 min
« l’ostralie te fait perde le sens commun : « action de recevoir chez soi l’étranger qui se présente » en un mot..ça se dit comment ? »
– L’hospitalité?
C’est une notion morale, pas politique.
Recevoir des individus chez soi, c’est du plaisir ou de la morale.
Recevoir des centaines de milliers d’individus dans un pays, c’est de la politique.
Ce midi je vais me faire un goulash, tiens, j’ai encore le temps de m’y mettre, le temps de passer à la boucherie d’en bas et de sortir la cocotte minute du fond du placard. Il y a un sujet polémique avec le goulash, c’est l’accompagnement : riz ou pommes de terres ? Ou meme pourquoi pas de ces grosses nouilles épaisses qu’on trouve en Autriche-Hongrie ?
Le Montrachet (celui servi dans Matchpoint) et Mme Rheims (sa littérature en Hairdo), deux sujets qui faisaient le bonheur d’expressions de TKT.
En fait, D. C’est plutôt la vie de ranci ?
ces grosses nouilles épaisses qu’on trouve en Autriche-Hongrie
doc dre y’é toujours a discréminem
les wouaït boille savent funquer dédé
– L’hospitalité?
C’est une notion morale, pas politique. (Ueda)
C’est plus compliqué que ça, à mon avis. Il peut être de bonne politique d’accorder son hospitalité.
un bon mot a ses dépends ça vaut presque un bon plan quinquenal jicé..avoue!
Le socialisme, c’est la gestion des mots et l’oubli des choses
si les socialis s’mettent a critiquer les 35 heures restera pu a la droite qule tri des émigrée à la gare..zouz t’es méchant et désespéré
Puis, il s’est dévolu au silence (en travaillant à la TV). Cela étonne tous les commentateurs… cette nécessité du silence dont ses romans sont pleins
..ici ça vaut un reich de mille an
– L’hospitalité?
C’est une notion morale, pas politique. (Ueda)
bref surtout pas dmorale..
hach les mots c’est plus dur à gérer qu’un plan quinquénal..
Toute la pensée de gauche au sens large (d’Alain Juppé à Jean-Luc Mélanchon) me semble frappée d’impuissance.
Ce qui reste n’est pas mieux.
Comme au théâtre, c’était l’bon temps!
Histoire d’un salafiste qui baisse culotte
Le socialisme, c’est la gestion des mots et l’oubli des choses.
Ueda je trouve belle la formule cependant qu’écrirez-vous pour la gestion de droite, du moins celle qui se revendique ouvertement de droite, je suis curieuse de lire votre avis. En tout les cas des mots sortent souvent des équations acceptables, du terrain poussent de drôles de conditions. Disons que ce ministre n’a pas envie de ménager le choux et privilégie la chèvre.
D les pâtes alsaciennes ne sont pas mal non plus, un peu plus larges et épaisses que les tagliatelles elles s’accordent avec les plats en sauce.
Ueda dit: 28 août 2015 à 12 h 04 min
Toute la pensée de gauche au sens large (d’Alain Juppé à Jean-Luc Mélanchon)
Quand on veut faire commentateur politique on essaie au moins d’apprendre le nom des compétiteurs, sinon ça fait dame météo sur TF1.
– L’hospitalité?
C’est une notion morale, pas politique. (Ueda)
C’est plus compliqué que ça, à mon avis. Il peut être de bonne politique d’accorder son hospitalité.
Ou de ne pas l’accorder. C’est même le cas le plus fréquent. Le grand Pompée en sut quelque chose.
Le fait d’être en République condamné au « vivre-ensemble-haineux » égalitaire impose un gouvernement de gauche : de la Terreur, à la mollesse, le choix reste de gauche.
La droite libérale, c’est à dire le Paradis, c’est le plus fort qui gagne, l’esclavage est rétabli, le racisme du bon goût se développe, les maîtres sont réservés à l’éducation des enfants de l’élite, les déviants sont enfermés en prison ou en asile psychiatrique. On vit peinard.
Les variantes républicaines, Juppé ou Mélenchon, sont Charybde ou Scylla gauchiste, et donc sont bonnet blanc et blanc bonnet !
Soyons honnêtes avec nous même : supprimons les 35 heures, rétablissons la féodalité (de façon visible…)
Résumons ….. dit: 28 août 2015 à 13 h 10 min
La dame pipi de TF1 a parlé.
Adepte d’une nomenklatura avec tous les pouvoirs on se demande pourquoi JC joue à l’anti-communiste primaire.
Ah oui c’est vrai, il vénère Poutine, celui qui rétablit le système avec un petit bricolage de surface.
La cellule de Porquerolles sort de la clandestinité.
Plaisantons dignement, même avec la mort….
Surtout celle d’autrui.
« On ne met pas des migrants venus du désert brûlant dans un camion réfrigéré : c’est mortel. »
supprimons les 35 heures, rétablissons la féodalité
Le grand Canyon, d’un autre côté tout reste envisageable, voyez ces merveilles dont l’homme est capable. Je ne suis pas particulièrement informée par paresse mais il me semble que non loin de notre pays des travailleurs ne sont particulièrement bien traités quand bien même le terme de féodalité paraît excessif, le rapport de vassalité existe que ce soit entre des individus ou des états.
radioscopie dit: 26 août 2015 à 13 h 46 min
La lecture des commentaires (la plupart) c’est un voyage entre le 80 Rue des Suisses, 92000 Nanterre et le 238 rue de Vaugirard, 75015 Paris. 10 bornes à vol d’oiseau. Avec arrêt au Bois de Boulogne pour reprendre sa respiration.
Surtout celle d’autrui.
..ça m’fait penser à jean marron qui un jour a écrit quelquechose comme « je voudrais bien voir la tête de ceux qui s’apercevront qu’il n’y a rien aprés la mort »..ça donne envie de se resservir de rosette de lyon pas vrai zouz?
..ça m’fait penser à jean marron qui un jour a écrit quelquechose comme « je voudrais bien voir la tête de ceux qui s’apercevront qu’il n’y a rien aprés la mort »
Bouguereau a la mémoire qui flanche. C’est dans « Le Père Goriot ». Balzac fait dire à Vautrin : » Je vois d’ici la grimace de ces braves gens si Dieu nous faisait la mauvaise plaisanterie de s’absenter au Jugement Dernier . »
C’est dans « Le Père Goriot »
tu vois jean marron..mes compliments c’est pas du mou de veau
nya lee son blaze jicé..mais j’ai pas son phone
https://40.media.tumblr.com/fed24bc39ea574f4c95fbe465eb37112/tumblr_ncf1gtNtnA1rjp688o1_1280.jpg
Résumons : J’ai toujours accordé la plus grande hospitalité aux jolies blondes aux yeux bleus. Jamais aux vilaines négresses à gros poponetz !
Et aux négresses blondes ?
En cette chambre où m’isola
la nuit je lis au lit Zola
Blondes, blondes ….
Pourquoi pas vertes ?
https://www.youtube.com/watch?v=Q3tk2Atn2vE&list=PLF8A194AFEC4F7751
t’es comme moi, le boug’, viré de chez Popaul, tu reviens chez lassouline pour dégoiser comme moi tes sonneries pochtronnées… courage l’ami, on les aura
Mme Rheims pourrait prêter sa coiffeuse à Houellebecq.
Les Spätzle, nouilles alsaco-wurtembergeoises, ne doivent rien à l’Autriche-Hongrie dont le goulash s’accompagne de pommes de terre, hiver comme été.
bouguereau dit: 28 août 2015 à 13 h 43 min
ça donne envie de se resservir de rosette de lyon pas vrai zouz?
Toujours prêt à me battre pour la rosette, le pinard et le libre commerce avec les femmes.
En négatif, tu as le profil de mon ennemi.
Ueda dit: 28 août 2015 à 14 h 28 min
Depuis qu’il s’affiche ouvertement de droite Ueda se voit des ennemis partout.
Son côté sarko chez les juges.
En direct du berceau de JC….. dit: 28 août 2015 à 14 h 20 min
Erreur
je ne « vire » pas de mon blog, j’efface des crachats ,mais on peut revenir, pour parler littérature, d’ailleurs JC est revenu tres recemment
viré de chez Popaul
..quand j’ai vu qu’il avait marqué la bonne clopine sur la fesse du signe de l’infamie j’ai fui..par solidarité attation..y nous prend pour du cheptel..j’ai sauté la cloture..meusieu courte c’est la plus grosse pièce..y peut pas..un peu comme dracul ici..lassouline l’engraisse pour le tuer à l’anouka..
Père…. à droite dit: 28 août 2015 à 14 h 38 min
Ueda se voit des ennemis partout.
-> Ueda reconnaît être désigné par un autre comme son ennemi.
Pas pareil.
quoi ? moi parler de littérature ?, vous voulez rire…
uhuhuhuhuh
catherine crachat, seule bienvenue chez pauledel
j’efface des crachats
je cite rarement de livres polo..et un si mignon sur napo le petit tu l’a viré..ainsi qu’un lien l’afférant..hé oui..crachats? tu t’autorizes comme tout tolier aproximatif polo..
Phil, je viens d’entendre mme Rheims on radio faire de la sociologie. Elle a indiqué que ses parents lui ont inculqué une certaine éducation , très répandue selon elle dans les années 70. À savoir, son père a couché avec ttes les copines de mme sa mère, sauf une, moche; mme mère qui de son côté, n’était pas en reste. Elle juge tres conventionnelle, j’ai compris: coincée, l’éducation donnée ensuite et actuellement aux pré-ados. Une précision, monsieur son père n’à jamais su où elle était scolarisée. Alors le nom du coiffeur…
http://www.liberation.fr/livres/2015/08/27/tintin-et-p-tits-loups_1370604
Où il est fait, entre autres, l’éloge de notre hôte.
(Il est fait mention de la très pointilleuse maison Rodwell, heu, Moulinsart. Il serait intéressant de connaître le montant du pointillisme que le Musée a dû verser aux Thénardiers)
dame Christiane n’a rien compris à ce qu’écrit Pauledel, ça c’est une nouvelle !
Paul Edel dit: 28 août 2015 à 14 h 41 min
Heu… c’est au cracheur (et pas de feu) que vous avez répondu !
Si JC et Bouguereau se marient, on noiera les petits.
-> Ueda reconnaît être désigné par un autre comme son ennemi
pas du tout zouz..sinon tu penses que j’aurais fait un mot à la kommandantur..et que j’aurais demandé à jean marron et ses copins d’aller avec leur cagoule d’escadron de la mort sonner a ta lourde..tu te tâtrais en rosette de lyon à l’heure qu’il est..ça te frait un drole d’effet
Dear lavie, ça va décoiffer quand vous saurez qui était le Stammgast à la table familiale des Rheims.
Les Spätzle, nouilles alsaco-wurtembergeoises, ne doivent rien à l’Autriche-Hongrie dont le goulash s’accompagne de pommes de terre, hiver comme été.
Ne m’en veuillez pas Phil, je ne contreviens pas aux règlements, je suggérai une variation à l’itinéraire culinaire et non une infraction.
C’est quoi le stammgast, Phil ? Et donc c’était qui ?
L’invité habituel, baroz, tous les jours quoi…à la stammtisch.
Celui-là s’est occupé de la formation de miss Rheims, avant sa période coiffures. on peut pas tout révéler d’un coup, faut faire dérouiller wikipédé.
« quand vous saurez qui était le Stammgast à la table familiale des Rheims. »
qui donc? (les Français veulent savoir)
Rosette de Lyon is the most famous of Lyon’s sausages.(wikipedia)
boug, as-tu seulement jamais vu la joie de l’étranger en villégiature dans la capitale des Gaules quand une accorte charcutière lui remet ,avec une solennité de bon aloi, la rosette qu’il vient d’acheter? Cette rosette, fière turgescence porcine, emblème de la cochonnaille lyonnaise, traverse les océans, franchit les frontières, défie la géopolitique! et partout illustre la grandeur de notre terroir, partout où l’Homme utilise la fourchette, et même là où il la dédaigne, j’ai vu, je le jure! des chinois acheter de la rosette. J’en frisonne encore.
Phil pr tout vous dire les popotins prandriaux de miss choucroute ne me sont d’aucun interet. Son goût des ridés non plus. La lire, par curiosité, n’est pas une expérience que j’ai renouvelee. Même bien présentée, de la daube, vous savez…
Court dit: 28 août 2015 à 0 h 17 min
c’est pour ça qu’on a inventé Rennes le Château
Ha mais déjà c’est splendide ! Pour la 3D un véritable appel au peuple… Mais quand on a déjà à aimer les grilles de Jean Lamour… Surtout que si j’étais parti prendre des photos à Rennes… Enfin bon, sans vouloir réveiller des vieux démons trop tôt dans l’après-midi, nous au moins on a des curés qui nous font rigoler !
On dit prandiaux, non?
« Toute la pensée de gauche au sens large (d’Alain Juppé à Jean-Luc Mélanchon) »
large au sens de grand écart alors, surtout que juju a le même programme que fiffi et nab ! (quant à mélmél, c’est du cinéma ou du théâtre)
Il s’agit de Morand, of course. Prisé du paternel comme un meuble louis XV.
Pochtronné, pochtronné… Du moment qu’il y a pas d’éthanol ! Sinon on peut boire la même chose que son véhicule…
Est-ce que ce site à été piraté hier ?
Ueda dit: 28 août 2015 à 14 h 28 min
En négatif, tu as le profil de mon ennemi.
bouguereau dit: 28 août 2015 à 15 h 04 min
— L’islamisme, bien sûr.
gerard dit: 28 août 2015 à 15 h 52 min
large au sens de grand écart alors
Pas du tout.
Sur la question du nouveau totalitarisme, ces gens-là partagent une même bienveillance et une même douceur…
Leurs pieds trébuchent au présent mais leurs têtes restent dans le siècle passé.
remet ,avec une solennité de bon aloi, la rosette
c’est qu’une bonne présentation compte énormément dirait la bonne clopine
Des pommes de terre ? Mais avant l’importation de la pomme de terre en Europe, quest-ce qui pouvait acccompagner le goulash, sinon des préparations à base de blé, et notamment les nouilles épaisses austro-hongroises?
le poivron vient aussi du mexique dédré
gerard dit: 28 août 2015 à 15 h 52 min
(quant à mélmél, c’est du cinéma ou du théâtre)
Ben houi, mais c’est ça qui est bien ! Sinon la France s’ennuie… Et l’autre avec sa godasse ! Heureusement que c’était pas une Berluti…
16 h 11 min
je me suis posé la même question
Mais quel intérêt (de le pirater) ?
grilles de Jean Lamour
voilà et ta place stan c’était l’halebardière sans son halebardier
« le poivron vient aussi du mexique dédré »
er les nouilles de Chine
Je vais vous donner la solution parce que je la connais depuis le début : le goulash est à la base une sorte de soupe viande / légumes, paprika pratique parce que on pouvait en préparer beaucoup d’avance dans un chaudron et on y mettait ce qu’on voulait comme viandes et légumes (carottes, choux etc…). Et on mangeait du pain avec ou bien des pâtes en billes ou emiettees, encore plus facile à faire que le pain. Les pommes de terre,la tomate et le poivron sont arrivés bien plus tard.
Mais quel intérêt (de le pirater) ?
aucun..donc ça peut être que keupu
..qu’on passe les pinces à gérard
c’est quoi l’paprika dédé ?
Ueda dit: 28 août 2015 à 16 h 59 min
rien de plus moderne que les ultracons. Ah au moins maggie uvoyait loin et elle en avait elle au moins, elle saurait quoi faire
le paprika aussi vient d’Amérique
bouguereau dit: 28 août 2015 à 17 h 42 min
grilles de Jean Lamour
l’halebardière sans son halebardier
Tiens c’est vrai… Mais j’en ai, et depuis le début, même ; je vais en mettre, alors… Mais dans cent ans ! Je raconterai mes histoires de shaders…
15h45: Ce qui étonne chez vous est l’absence totale de honte ou de mise en question. De loin vous rejoignez par l’extrême quelqu’un qui se perd dans une multitude de positionnements et qui perdu mais vraiment enfoncé éprouve ce sentiment à peine dicible, d’ailleurs je ne sais toujours pas s’il existe d’autres dépositaires que mon hasardeuse et malheureuse oreille pour l’entendre, ce qui de plus ne modifie strictement rien à ses inlassables circonvolutions, progressions et lamentations. Je suis son mur, au moins vous n’y inscrirez rien qui vaille la peine d’être publié.
Ce qui m’étonne de moins en moins, c’est l’érotomanie baveuse de la hairdresser pour pitbulls…
J’ai lu N. Rheims, pour ce qui me concerne. Sans sentiment aucun. Comme on prend une histoire; qui ne tient pas la route.Quand on est people et qu’on s’expose pour telle ou telle raison, on peut s’attendre à être lu/e Y compris dans des magazines que l’on trouve dans le salon de coiffure.
Pour dames.
Et je lui préfère M. Farmer, – allez savoir pourquoi il faut la citer- qui en terme de feminité est quand même dans un autre registre.
Cela dit, cela fait quelques billets où nous sont présentées des portraits de femmes. De là à dire que c’est l’élément manquant sur ce site, est une gageure.
ps: piraté ou sous surveillance. Et dans ce cas pourquoi Polé, pourquoi le Doc’
J’ajoute que le lien donné où Louis Racine fait le portrait de son père Jean est assez édifiant, sur le métier de gérant du supermarché du chagrin d’amour.
papi zinzin dit: 28 août 2015 à 17 h 46 min
Ah au moins maggie voyait loin et elle en avait elle au moins, elle saurait quoi faire
C’est possible, mais ce n’est pas certain.
Elle avait su faire preuve d’une admirable fermeté lors de la guerre des Falklands.
Mais je ne crois pas que son libéralisme conservateur aurait été suffisant pour affronter la difficulté présente, qui est autrement complexe puisqu’elle est à la fois interne et externe.
De plus, la solution ne peut être seulement nationale mais aussi européenne.
–De dieu, acheté chez le producteur, le Minervois recèle des trésors.
À votre santé, grand-père (« papi », je ne me permettrais pas), et oubliez la vieille hémiplégie gauche-droite.
Il me semble… Savez-vous… Je me demande… Et si je me mettais à vivre une « vie philosophique » ?
Bien entendu, cela voudrait dire que j’arrête de suite de venir ici. Ici, point ou si peu de philosophie, certes, mais surtout que peut bien dire « vie » là-dedans ?
Vivre ici… J’en ai le coeur serré. Je sais que certain ne peut finalement vivre ailleurs, dans la « vraie vie ». Qu’il est obligé, par la circonvolution dérangée de son cerveau, de venir ici. De s’y inscruster. De s’y répandre et de l’infiltrer, comme l’eau stagnante tente toujours de s’infiltrer sous la mousse, au risque de la pourrir…
D’un autre côté, suis-je capable de calmement faire face… ?
Ahahah.
Les yeux de plus en plus fatigués de Clo. dit: 28 août 2015 à 19 h 14 min
Il me semble… Savez-vous… Je me demande… Et si je me mettais à vivre une « vie philosophique » ?
Influence indirecte du père Hadot?
Buona serata
Les yeux de plus en plus fatigués de Clo. dit: 28 août 2015 à 19 h 14 min
D’un autre côté, suis-je capable de calmement faire face… ?
Comment dit-on « on s’en fout » en bas-normand ?
Le pays de Bray est HAUT-normand. L’arrogance devrait s’appuyer sur l’élégance d’une connaissance exacte, sinon elle risque fort d’être prise pour ce qu’elle est : l’outrecuidance.
Ueda, un peut d’honnêteté, s’il vous plaît. Sans Onfray, aujourd’hui, auriez-vous eu connaissance d’Hadot ?
Ueda dit: 28 août 2015 à 19 h 10 min
la guerre des Falklands.
Ce qui m’impressionnait c’étaient les hidalgos sur leurs Etendard qui partaient à fond de pétrole essayer de couler ce qu’ils pouvaient et qui rentraient quasi en vol plané fallait pas avoir froid aux yeux quand même… Ni lire la carte à l’envers !
Bouguereau, à quel moment ai-je écrit le mot « paprika » ? A aucun moment, sauf maintenant.
Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.
Je vous vouvoie pour conserver une certaine distance d’entre vous et moi, que cela ne vous offense pas.
Bat l’oeil ? dit: 28 août 2015 à 19 h 19 min
Comment dit-on « on s’en fout » en bas-normand ?
Bé non c’est comme dans les Trois mousquetaires toussepourhin…
Les yeux de plus en plus fatigués de Clo. dit: 28 août 2015 à 19 h 26 min
Je l’attendais,
mais c’est vous qui êtes basse ma chère Clopine.
« Ueda, un peut d’honnêteté, s’il vous plaît. Sans Onfray, aujourd’hui, auriez-vous eu connaissance d’Hadot ? »
Clopine, vous avez bien peu d’estime pour zouzou.
La vie est le seul théâtre vivant. Vivons la ensemble !
J’ai pris ma carte au PCF : des cons
J’ai pris ma carte au PS : des cons
J’ai pris ma carte au RPR : des cons
J’ai pris ma carte à l’UDF : des cons
J’ai pris ma carte à l’UMP : des cons
J’ai pris ma carte au FG : des cons
J’ai pris ma carte au FN : des cons…
Et si j’essayais l’EELV ?
Parait qu’on se marre, là bas… loin du réel…. dans les rêves couleur pastèque ! ….
C’est fou le nombre de commentaires qu’on peut voir sur ce site! à croire que les articles ne sont que prétexte pour discuter entre habitués, comme sur le zinc, un verre dans le nez!
Paprika est un livre-scénario écrit par Stroheim, un des plus brillants Selbsthasser que l’Autriche-Hongrie ait donné au vaste monde.
Le gens du FN sont loin d’être cons, je peux vous le certifier.
si jamais j’ai écrit la mot « paprika », c’était soit entre guillemets, soit involontairement.
J’aimerais qu’on arrête de me chercher, maintenant. C’est agaçant.
Les yeux de plus en plus fatigués de Clo. dit: 28 août 2015 à 19 h 27 min
Ueda, un peut d’honnêteté, s’il vous plaît. Sans Onfray, aujourd’hui, auriez-vous eu connaissance d’Hadot ?
Chère Clopine,
Je ne suis pas un érudit comme M. Court.
Mes connaissances sont toujours appliquées.
Dans les années 80, le travail d’Hadot a été reçu avec gratitude par des universitaires sino-américains soucieux de donner à une philosophie chinoise une nouvelle légitimité.
Ils s’entendaient dire: vous les Extrême-orientaux, vous avez une
pensée, certes, pas une philosophie, car celle-ci implique une certaine systématicité, réflexivité, etc. etc.
Hadot a été connu par ces sino-américains grâce à la médiation de Foucault qui, aux Etats-Unis, avait parlé des travaux de son collègue au CdF. (Le dernier Foucault, celui du souci de soi, etc.)
Ç’avait été pour ces Célestes une révélation qui dure encore: la philosophie n’est donc pas une théorie mais une « Way of Life » (titre donné à la première traduction américaine d’essais de PH).
Ayant par pur hasard été impliqué dans ces échanges je me suis alors naturellement plongé dans les études d’Hadot (il a plus tard rendu les choses plus faciles en publiant un livre excellent en Folio).
Pure contingence.
Je suis sûr qu’Onfray en a correctement parlé: je salue son projet didactique.
–Seul son ton (atrocement égocentré et démagogique) m’interdit de l’écouter.
Bartleby dit: 28 août 2015 à 20 h 09 min
prétexte pour discuter entre habitués, comme sur le zinc, un verre dans le nez!
Ce site EST un zinc, mon ami.
Vous préfèreriez ne pas?
Vous auriez tort.
Vous en percevrez l’intérêt lorsque, complètement pété, votre crâne chauve se sera brisé sur le comptoir d’étain.
Ueda dit: 28 août 2015 à 20 h 23 min
Les yeux de plus en plus fatigués de Clo. dit: 28 août 2015 à 19 h 27 min
Votre outrecuidance sera mise sur le compte d’une fatigue extrême ma chère Clopine.
Malheureusement innée est votre bêtise.
Les yeux de plus en plus fatigués de Clo. dit: 28 août 2015 à 19 h 14 min
J’en ai le coeur serré. Je sais que certain ne peut finalement vivre ailleurs, dans la « vraie vie ». Qu’il est obligé, par la circonvolution dérangée de son cerveau, de venir ici.
C’est mon cas.
Bouguereau me donne la béquée, et John Brown change mes couches culotte.
WGG me fait la lecture en allemand, et Bloom me chante ces mélopées orientales qui me vont droit au coeur…
My favorite water hole.
ouk elabon klopin ;
Elpis éphè kaka.
Ousa;
Alla gar.
Je ne dispose malheureusement pas d’un logiciel de grec ancien.
» D. dit: 28 août 2015 à 20 h 15 min
Le gens du FN sont loin d’être cons, je peux vous le certifier. »
Pourquoi? Vous en êtes? 😉
Comme c’est un salon littéraire où il est (entre autres) question de littérature, j’en profite pour faire la promo de mon blog
http://bartlebylescribe.over-blog.com/
J’espère que Pierre Assouline ne m’en voudra pas trop. Certes, je n’ai pas le délié rock ‘n roll de Houellebecq. Peut-être serais-je toutefois un Pessoa sans postérité… c’est mieux que rien, n’est-ce pas? 🙂
Ουκ ἐλαβον Κλοπιν; Ελπις εφη κακα. Όυσα: Αλλα γαρ.
…si jamais j’ai écrit la mot « paprika », c’était soit entre guillemets…
« guillemets » vient de l’imprimeur Guillaume
20 h 17 min
« …si jamais j’ai écrit la mot « paprika », c’était soit entre guillemets… »
« guillemets » vient de l’imprimeur Guillaume
Bartleby dit: 28 août 2015 à 21 h 27 min
Si votre blog est plein de ridicules petits ronds jaunes comme votre post je pense pouvoir l’éviter et il est possible que je ne sois pas le seul.
« Souriez dit: 28 août 2015 à 21 h 40 min
Si votre blog est plein de ridicules petits ronds jaunes comme votre post je pense pouvoir l’éviter et il est possible que je ne sois pas le seul. »
Il est aussi possible de dire des saloperies avec le sourire (Prends ta mouche Merteuil!) 🙂
Il est en outre possible d’ajouter que l’habit ne fait pas le moine sauf pour les amateurs d’uniforme 🙂
Il est enfin possible que j’ai moins de 60 ans et possible que vous en ayez plus de 65 🙂
Bonne soirée, Souriez, vous êtes filmé!
Avec deux ou trois possibles, il est plausible d’être un sarkosyste de moins de trente ans depuis deux baux
C’est prenant cette présentation:
« Joydeep Roy-Bhattacharya, un romancier indien qui vit dans l’Etat de New York, ne parle pas d’Antigone dans le titre original de son roman ; mais il l’a encadré, au début et à la fin, de deux substantiels extraits de la pièce de Sophocle (dans la traduction française de Paul Mazon) sur la « vraie » souffrance d’une soeur : non la perspective de sa propre mort mais l’idée que mort, le fils de sa mère n’ait pas de tombeau. »
C’est prenant, car l’actualité, le réel, est au-delà de la fiction, et autrement tragique.
Je ne sais pas si ces chiffres sont justes.
Sur une population de 10 millions d’habitants, la Syrie va compter 4 millions de personnes qui fuient la guerre; la Turquie et le Liban autrement concernés que la hollandie.
Depuis le début d’année, 300000 personnes ont traversé la Méditerranée pour gagner l’Europe- où des réseaux de grand banditisme prennent le relais, comme en Autriche, ou en Hongrie-
43% viennent d’Afghanistan. Il me semble que j’ai entendu: source ONU.
Désolé, Clopine, de jouer les donneurs de leçon, mais quiconque s’est intéressé à la philosophie antique connaît Pierre Hadot.
Zoon dit: 28 août 2015 à 21 h 32 min
Ουκ ἐλαβον Κλοπιν; Ελπις εφη κακα. Όυσα: Αλλα γαρ.
Très très très fort, comme on disait dans un club d’échecs que je fréquentai eines Tages…
Les smileys c’est des coups à faire une jaunisse ! Comme le général Alcazar…
Sans sentiment aucun. LDVB .
C’est une histoire de correspondance, de coïncidence, de sensibilité aussi, de je ne sais quoi, mais j’ai toujours eu quelques difficultés avec les critiques négatives surtout d’ailleurs en plus quand elles s’échangent entre femmes. Plutôt ne rien dire que se salir la bouche ou l’esprit avec des mots tels que ceux que vous employez régulièrement à propos d’untel ou d’unetelle néanmoins vous êtes libre de vous commettre ainsi.
fin magnifique, sur la belle religiosité des athées, ou l’art de tourner la philosophie en ridicule.
quand la religiosité philosophique confine à l’idiotie, la crucifixion de Socrate par l’ingrate République athénienne, l’invention de la fiction de Saint Socrate, l’invention du mythe Socrate, le chemin de croix de Saint Socrate, le pauvre Pierre Hadot a bon dos :
L’Europe assiégée c’est vrai qu’on se croirait dans un Christin et Bilal… C’est futuriste mais le futur s’est ramené !
La hairdresser pour pitbulls me colle aux basques. Il doit y avoir des forums pour lesbiaans, qui lui iraient mieux !
Si miss choucroute doit prendre des cours de filo, elle pourrait commencer par Onfray, c’est un début. On a appris ici même, qu’il était bon- extraordinaire- pédagogue.
sans sentiment » d’amitié » cela allait sans dire. Je ne suis pas critique littéraire.
Bartleby dit: 28 août 2015 à 21 h 50 min
l’habit ne fait pas le moine sauf pour les amateurs d’uniforme
Tiens c’est vrai ça on n’en parle jamais le Capitaine de Köpenick : grand classique !
…
…pour un Oui, pour un Non,…il est facile de dire d’écrire d’être anti-clérical,!…
…
…encore faut il,…être convainquant,…
…s’expliquer, et en rester clair, précis et net,…dans ses dossiers, sans incriminer les partis-pris,!…
…
…on sait de quoi on cause, sans en rajouter de l’écume à jasez,!…etc,…
…
…un blanc sur papier, et carte blanche,!…un bond of course,!…
…
…déjà huit mois, dans le sel,…pour un jambonneau caramélisé,…
…timbré du sceau à Vatican S.A.,…les collaborateurs des pouvoirs,!…
…à nos 40 voleurs d’Ali-Baba,!…
…la » bonne » lèche, médiatique,!…au pieu rôtis en diable,!…tourner les sectes,…caramélisées,!…en second empire d’états,!…
…etc,!…le fond de l’air est frais,!…
…vanille et crème fraiche,!…encore,!…
…
…
…
« Je ne dispose malheureusement pas d’un logiciel de grec ancien. »
c’est pas grave JB. D’avoir traduit Κλοπιν est déjà un exploit. Merci de ce rire.
Onfray reviendra hebdomadairement sur FC pour faire part de sa vision du monde, qu’il connait si bien. Il faut s’attendre à de palpitantes réflexions sur le bocage normand. Heureusement, cela ne durera que quelques minutes. FC, c’est tout de même plus prestigieux que Corse Matin, où il tenait autrefois une rubrique politico-philosopho-café du commerce.
Cela dit, si ses « cours » permettent aux auditeurs de lire feu Pierre Hadot, c’est un moindre mal. Ils découvriront la différence entre un philosophe et un « prof » de philosophie. (A-t-il mentionné Michel Henry?)
Sur les matérialistes antiques, atomistes, épicuriens et tutti quanti, je conseille les ouvrages de Jean Salem, le fils de Henri Alleg (La Question). Avec la préface du De Rerum Natura de Elisabeth de Fontenay (Belles Lettres poche), c’est ce que j’ai lu de plus lumineux depuis longtemps (Frédéric Worms aussi).
On est très loin du business éditorial pratiqué par le néo-Pontifant obsédé par la vie privée de Grands, dont il ne parvient à se hisser fort péniblement que jusqu’à la cheville.
(A-t-il mentionné Michel Henry?)
Un lien pour, peut-être, découvrir le parcours de ce philosophe,d’autre part, les éditions Sulliver ont publié un volume d’entretiens passionnants avec Michel Henry.
Il y a de bon que parfois, quelqu’un, parle de produits alimentaires…
« Je ne dispose malheureusement pas d’un logiciel de grec ancien. »
Voyez chez Lexilogos.
Ils ont tous commencé « petit », dear Bloom. Que faisait donc M. Erner il y a 10 ans, qui va mainteant animer la prestigieuse matinale de Franceculture ?
Ce qui gêne chez Onfray sont plutôt les rires de connivence de son auditoire lorsqu’il dénonce le mensonge médiatique et ceux qui « mobilisent le micro et le poste ».
renato dit: 29 août 2015 à 8 h 15 min
Il suffit de juxtaposer les deux post de 21:25 et 21:32, où l’art de remplacer Pauline par un autre prénom… D’où le rire de Sergio ! Ah, ce zoon, quel polisson !
OK, Ueda, je vous crois et vous prie d’accepter mes excuses. Mais encore une fois, moi, sans Onfray, je n’aurai JAMAIS entendu parler d’Hadot. C’est toute la différence entre vous et moi : Onfray n’a rien à VOUS dire, et il a TOUT à m’apprendre…
JB, ce vers de Xenophon, il est extrait de l’histoire de Cyrus et des dix mille.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anabase_%28X%C3%A9nophon%29
Merci encore de cette blague de potache; elle permet de toucher au Choeur de la tragédie grecque: l’action.
« il a TOUT à m’apprendre… »
La philosophie ce n’ est pas l’ acceptation des idées (ou de l’ itinéraire) d’ un gourou Totalitaire.
Croyez-vous vraiment que M. Onfray a raison sur tout, Clopine?
Lisez Hadot pour ce qu’ il représente dans ses réflexions philosophiques, évacuez les filtres ( surtout d’ amour excessif ), demeurez critique face à vos lectures.
On vous l’ a déjà dit ici, mais le répéter n’ est pas inutile vous concernant.
( Pas de seconde main…le texte corps à corps!)
Esppoir de la philosophie : Onfray gourou totalitaire ? Mais alors, vous, vous êtes quoi, avec la suffisance qui déborde de vos « conseils », et l’arrogance de votre « savoir » ? Le KIm jong-un de ce petit blog, rassis sur les années universitaires où vous avez péniblement avalé la soupe mitonnée par vos maîtres… Onfray, lui, au moins, ne méprise pas ceux à qui il s’adresse. Vous, vous puez la sottise de l' »entre-soi »…
D’autant qu’Onfray a tort sur plein de points (sans même parler de Giono, n’est-ce pas). Mais en tout cas, sortir la philosophie des carcans universitaires pour tenter de la mettre au service de tous ? Onfray en fait déjà là plus que VOUS n’en ferez jamais pour quelqu’un comme moi.
L’image que vous donnez de vous ressemble tant à ces bouffons bouffis de suffisance, en cortège grotesque, comme savait en peindre Ensor.
le Socrate dont parle Onfray n’a jamais existé, ce super héros tiré d’une bd de Marvel est une pure invention
le procès de Socrate tel qu’Onfray le décrit est un mensonge, l’occasion de faire ressurgir cette vieille haine française de la démocratie.
Athènes qui sortait de la Tyrannie des Trente a vu dans Socrate (à raison) un défenseur de l’oligarchie, un habitué des hautes sphères de la société athénienne qui regrettait le temps de l’oligarchie, époque où Socrate (par lâcheté et par haine de la démocratie athénienne) s’est allié et a pactisé avec les oligarques.
Socrate était une traitre, il a été jugé comme tel.
Onfray ne fait rien d’autre que faire ressurgir aujourd’hui, dans le contexte politique actuel, ce désir de faire advenir un régime d’oligarque, autocrate et autoritaire en France, son « devenez tous des Socrate » sonne un appel à un désengagement politique, c’est un « devenez tous des lâches », c’est un « comme Socrate devenez tous des traitres à la République ».
Clopine Trouillefou dit: 29 août 2015 à 10 h 12 min
Onfray, lui, au moins, ne méprise pas ceux à qui il s’adresse. Vous, vous puez la sottise de l’ »entre-soi »
Wwwwwoooouuuuaaarrrffff ! La c….
Clopine a besoin d’un chef qui lui explique ce qui est bien et ce qui est mal.
Très sarko compatible finalement la normande.
Onfray fait un contresens en faisant du tribunal qui a condamné Socrate une Inquisition, c’est le signe d’une ignorance totale du contexte politique et social de l’époque où la religion civile était le support essentiel de démocratie et de la République athénienne.
Onfray fait de l’université populaire un lieu de religiosité débile à sa seule gloire, un lieu où sont transmis mythes, croyances et mensonges.
…
…à nos cerf-volants,…à nos drones, déjà les slogans en l’air,!…
… » je t’aime, moi non plus « ,…
…
…encore, encore d’en être exploiter,!…
…les méninges bien polies, mais c’est que çà rentre bien profond, jusqu’aux racines des fondateurs,!…à leurs projections,…
…
…les tourments aux positions,!…tout en prises,!…les taxes aux progrès,…
…mais, c’est bien sur,!…etc,…
…
…même en logiciels et jeux Just For Gamers,…gagner,…et surtout aucune taxe imposée dans le jeux,!…
…les taxes, pour quand les joueurs, sont débiles, ou franchement de très bas niveaux, comme joueurs,!…ou cadres, habitudes de l’état dans l’état, of course à mes églises de voyeurs à caméra,…sur nos privés du cul,!…
…
…moutardes, mayonnaises,!…easy,!…
…les frittes, et les courgettes à l’espagnole,!…etc,…
…l’amirauté paysanne,!…les secrétaires anoblis, aux leurres,!…la listes des ordres en l’air,!…les bonds et rebonds des » baals « ,…façons diversions aux beurres,!…
…à nos entremets,!…les taxes d’initiations subornées,…etc,…aux théâtres, des » c’est mieux ainsi,!…à nos cools en jambes en l’air,!…
…les choix tout-risques,!…Ah,!Ah,!…etc,…
…jamais sans châteaux en l’air, & milliardaires à foutres,!…suivants,!…
…toutes ces con-serves,…etc,…
…
In fine, « la tragédie Onfray » réside dans l’élaboration d’une réalité à 2 vitesses: d’une part une fausse philosophie servie à ceux qui d’habitude n’y ont pas accès & d’autre part, la vraie philosophie, disponible en poche, Kindle, dans des éditions savantes, ou dans un mensuel vendu en kiosque, accessible à quiconque sait lire et a 10 euros à dépenser dans un livre/magazine.
Le pire est que ceux à qui Onfray sert de la philo frelatée ont l’impression d’avoir accès au produit authentique, alors que ce qu’ils ingurgitent les éloigne toujours davantage de la philo.
Onfray creuse l’écart entre ceux qui ont accès à la philo et les autres. Il dispense un contre-savoir qui est un non-savoir. Il produit de l’inégalité.
Onfray fait un contresens en faisant du tribunal qui a condamné Socrate une Inquisition( Socrate superstar)
Il y a, certes, à boire et à manger dans ce que dit Onfray, mais, de grâce, si vous avez quelque chose à lui reprocher, citez ses propos avec exactitude. Lui-même cite exactement les propos qu’il lui arrive de critiquer (comme, récemment, ceux de Robert Misrahi). Ainsi, on peut juger.
en faisant le procès de la justice républicaine athénienne Onfray fait le procès de la justice de la République française, en la tournant en ridicule comme l’a fait Socrate, en justifiant son ironie et ses moqueries, le vichyste Onfray tourne en ridicule la justice de la République française.
Onfray ne fait rien d’autre que faire ressurgir aujourd’hui, dans le contexte politique actuel, ce désir de faire advenir un régime d’oligarque, autocrate et autoritaire en France, son « devenez tous des Socrate » sonne un appel à un désengagement politique, c’est un « devenez tous des lâches », c’est un « comme Socrate devenez tous des traitres à la République ». (Socrate superstar)
Simplicissimus ….
Zoon dit: 29 août 2015 à 10 h 58 min
Il y a, certes, à boire et à manger dans ce que dit Onfray, mais, de grâce, si vous avez quelque chose à lui reprocher, citez ses propos avec exactitude :
lavez-vous les oreilles et écoutez :
Zoon dit: 29 août 2015 à 11 h 01 min
Simplicissimus ….
qu’est-ce qui est simplicime ?
de dire que Socrate n’était qu’un traitre à la République athénienne qui méritait sa condamnation ?
si c’est simple de le dire alors pourquoi Onfray ne le dit-il pas ?????????????
pourquoi ne dit-il pas que Socrate avait été un allié des oligarques de la tyrannie des Trentes ?
pourquoi ne dit-il pas qu’en se moquant des institutions républicaines athéniennes fragiles le but de Socrate était de revenir à ce régime autocratique ?
pourquoi ? si c’est si simple de le dire ?
le vichyste Onfray tourne en ridicule la justice de la République française. (Socrate etc…)
Rien que ça. Là, voyez-vous, il faudrait citer, sous peine d’être pris (à tort peut-être) pour un clown.
homelette a raison Socrate le père de l’accouchement sans douleur, c’est contre nature épicétout
Socrate était nietzschéen
Quand une pauvrette* est née d’une c…, dans une famille de C…, elle se croit c…. et fait des efforts démesurés pour échapper à son sort de c…., c’est à dire mourir c…. !
* le pseudo est disponible en RdL pour la modique somme d’un euro, couvrant (à peine)les frais.
pourquoi Onfray en fait-il un sage alors qu’il n’était qu’un traitre ?
c’est ça la sagesse philosophique ? la haine des institutions démocratiques ?
faire de Socrate un Christ mort à la gloire du Dieu philosophie ?
en faire le fondateur d’une nouvelle religion qui a pour nom Philosophie ?
en faire l’agneau sacrifié, l’agnus dei, par des esprits barbares qui ne supportaient pas son intelligence et son immense sagesse : ce n’est pas se foutre de la gueule des gens ?
n’est-ce pas là le comble d’une bêtise qui fait le jeu de ceux qui aujourd’hui ressentent la même haine que celle de Socrate pour nos institutions républicaines ?
…
…le moteur de la république french; tourne t’il donc à vide,…l’automatique sur le point Zéro,!…faire du sur-place,!…
…pour l’économie aveugle,!…les gens aux yeux » bandés « ,!…voyager sur Google street,!…déjà masqué les têtes,…etc,…
…les city – drones, une fois, de trop,!…
…
…les valeurs défaillantes en directs, la valeur de » cocus » en bandes,!…pour finir ses fins de moi,!…les familles aux rôles sur drones,!…itinéraires d’une bleue en l’air,…aux fromages, & à la cuisine,!…
…les emplois vacants,!…la vaiselle,!…
…etc,…façons les con-fesses brouillons,!…alors ces poudres de cornes d’animaux,!… » je t’aime moi, non plus « ,…
…à la réduction économique, le tyran à ses gueux,…etc,…
Socrate, c’est le Macron athénien, cong ! un type réaliste….
En général, le réalisme en politique est condamnable ! Qu’il meure.
Résumons, qui traite Clopine de conne, c’est celui-là même qui lui a envoyé ses manuscrits pour avis !
Est-il con ?
pourquoi ne dit-il pas que Socrate avait été un allié des oligarques de la tyrannie des Trentes ? (Socrate etc.)
Socrate ne fut pas un « allié » de la tyrannie des Trente (avec une majuscule et sans « s »). Il semble qu’il ait eu des relations amicales avec certains d’entre eux. Que Socrate ait été la victime d’un règlement de comptes politiques ne semble guère faire de doute. Mais la liberté de pensée du philosophe, les distances qu’il prenait et invitait à prendre à l’égard de la « doxa » en tous domaines, faisaient peur à beaucoup. Lisez d’urgence « l’Apologie de Socrate » de Platon. Quant à Onfray, ne sachant toujours pas ce qu’il a dit au juste de cette affaire, je réserve mon jugement.
Résumons, qui traite Clopine de c…, c’est celui-là même qui lui a envoyé ses manuscrits pour avis !
Est-il c.. ?
Zoon dit: 29 août 2015 à 11 h 10 min
il faudrait citer, sous peine d’être pris (à tort peut-être) pour un clown :
désolé de me répétez mais comme vous êtes un peu dur de la feuille lavez-vous les oreilles et écoutez, il n’y a rien à citer, tout y est dit, il suffit d’écouter :
Attila dit: 29 août 2015 à 11 h 19 min
Résumons, qui traite Clopine de c…, c’est celui-là même…
Barrozzi c’est comme pour le cinéma : une fois que vous avez un avis personnel, prenez l’avis contraire et vous serez proche de la vérité.
Attila dit: 29 août 2015 à 11 h 19 min
Résumons, qui traite Clopine de c…
je n’ai jamais traitée Clopine de conne et je ne la traiterai jamais de conne, quad je lui ai envoyé mes textes je ne savais pas qu’elle était timbrée, j’aurais dû mieux entendre Paul Edel.
mais j’ai toujours défendu Clopine sur ce blog et ailleurs contre tous ceux qui l’insultaient, et je continuerai de la défendre ici et ailleurs.
et maintenant que je sais qu’elle est timbrée je la défendrai encore plus qu’avant.
« la même haine que celle de Socrate pour nos institutions républicaines ? »
quoi ?! il haïssait nos institutions ? Quel manque absolu d’immmmmanence!
pis que nietzche ! pis que la p de clèves !
DJC, il met toujours deux R a mon nom….
Ecouté une bonne partie du séminaire d’Onfray. Pas de quoi, me semble-t-il, y trouver matière à scandale. On a affaire à un bon cours de philosophie, disons niveau licence. Onfray possède les talents d’un bon vulgarisateur. Quant à la valeur de ses travaux de philosophe, je ne l’ai pas suffisamment lu pour en juger.
« sortir la philosophie des carcans universitaires pour tenter de la mettre au service de tous ? »
(Désolé d’ avoir déclenché tout ce ramdam.)
Hé ben non, Clopine, la philosophie peut difficilement être mise au service de tous.
C’ est comme si un guide de haute montagne vous disait que tout le monde peut grimper l’ Himalaya, ce serait démagogique Clopine, Tout à fait démagogique.
On peut être philosophe sans être un universitaire, un enseignant n’ est pas forcément un chercheur en philosophie. Le monde de la philosophie est bien plus vaste et plus complexe que le pour et le contre la philosophie d’ Onfray.
La question est de savoir si on va onfrayser la pensée ( la réduire à une histoire de la philosophie du pour et du contre)comme on l’a heideggerianisée à une certaine époque.
Et la Bergsonite, vous connaissez, Clopine?
Le tout Paris, les jolie femmes couraient l’ écouter. C’ était comme pour Onfray de nos jours.Et y avait pas France Culture!
Et la Sartrite, ça n’ a pas fait grand mal à personne et ça a fonctionné dur.
« la philosophie peut difficilement être mise au service de tous. »
« Le tout Paris, les jolie femmes couraient l’ écouter. C’ était comme pour Onfray de nos jours.Et y avait pas France Culture! »
« Et la Sartrite, ça n’ a pas fait grand mal à personne et ça a fonctionné dur. »
Il serait temps de reconnaître le grand talent de hamlet de la rdl
Beaucoup d’experts philosophes sur le prestigieux blog à passou et pas un pour dire si Socrate a couché avec Platon. En attendant tous d’accord pour liquider l’Onfray. M’est avis dans cette affaire que « vichyste » est le gros schmilblick.
Socrate était sacrément culotté face à ses juges.
Je ne comprends pas l’interprétation sans-culotte qui vient d’être faite de cet événement.
Zoon dit: 29 août 2015 à 10 h 58 min
Il y a, certes, à boire et à manger dans ce que dit Onfray,
Pas terrible le buffet, on est au chips orangeade.
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