De la folie en Syrie
C’est un livre sur la mémoire, le souvenir et le traumatisme qu’ils ressuscitent. Pour son premier roman Fils de Sham (125 pages, 10 euros, Diabase), Justine Bo a choisi le fragment, avançant par éclats longs de une à quelques pages, forme la plus adéquate pour exprimer la fulgurance du rappel. Sham veut dire « la Syrie » (As-Sham) ou « Damas » en arabe ; il fait également écho à la « malédiction de Cham », épisode de la Genèse (9, 20-27) dans lequel Canaan est voué au pire par son grand-père, Noé, pour une faute commise par son père, Cham.
La narratrice, que l’on devine jeune, française, hypocondriaque, s’adresse au père de son enfant. Jamais nommé, tout ce qu’on sait de lui, c’est qu’il est jeune, syrien et « opposant provocateur ». Résistant qui ne sait pas comment résister, il s’est fait ambulancier pour la Croix-Rouge. Volontairement retirée du monde après avoir vécu quelques temps en Syrie, jusqu’à être se vouloir recluse dans une maison en France, elle vient de commettre un crime. Le meurtre de son enfant qui vient de naître. En contemplant le cadavre, elle se souvient des premiers temps du soulèvement. Il n’était alors pas question de politique ou de main mise islamiste mais d’adolescents torturés puis assassinés par la police du régime. Elle garde auprès d’elle l’enfant qu’elle a tué. Une horreur intime dans un pays qui vit dans l’horreur à ciel ouvert. A force d’isolement, elle finit par se rendre sourde. Masochiste, elle s’impose des souffrances pour rester dans l’isolement. Ses tympans sont pleins de la « rumeur rampante de non-dits à venir ». La ville elle-même est traitée en cadavre : elle n’a plus de sous-sol depuis que les agents du mukhabarat, qui y torturent jour et nuit, les ont transformés en entrailles. Ce sont les viscères de la cité.
La révolution, si toutefois le terme est toujours approprié, est un grand chaos où les repères s’épuisent. Les hommes aussi ; celui auquel s’adresse la narratrice est déjà à bout de forces et d’espoir, exténué quand les événements s’emballent et que la révolte gagne la capitale. La guerre est vue comme une bataille d’histoires :
« une rixe perpétuelle que chacun oriente selon ses fantômes. Le langage se substitue aux corps pour détruire ce qu’il leur reste d’intégrité, et ruiner leurs âmes en vue de nouveaux affrontements. »`
Rien d’autobiographique dans ce roman bref (la bonne distance pour tenir jusqu’au bout sur ce ton-là) et sec, bien que cette jeune femme, qui termine ses études de relations internationales à Sciences Po, ait passé un an en stage au service politique de l’ambassade de France à Damas dans les premiers temps de la révolution. Rien d’autre que le ressenti de l’atmosphère, du fond de l’air, de l’ambiance ; et aussi certaines répliques captées au hasard des rues ou des cafés dans la bouche des opposants, telle celle d’un vieux militant communiste : « L’Etat n’a pas de sagesse et j’ai peur qu’il ait aussi perdu la raison ».
Justine Bo a choisi de paraître sous pseudonyme. Un raccourcissement de son nom. Comme tout livre est une construction, alors autant se construire aussi son identité d’écrivain. Ses « Injustes » lui ont été vraisemblablement inspirés en réaction aux Justes de Camus. Il y est question de l’odeur de la Syrie, du souk Hammidiyyeh, des rues de Salamiyyeh. Sauf que ces pages puent la mort. Quant aux titres de ses courts chapitres, on les croirait chus d’un recueil de poèmes de Paul Celan : « Dépouille de taule », « Reliques de sable »…
L’écriture est remarquablement tenue de bout en bout, ce qui donne d’autant plus de force aux violentes échappées telles que « la gueule d’Assad ». C’est un récit dénué de la moindre complaisance, nerveux, cru, ancré dans le réel absolu, sans guère de référence historique à l’exception de l’assabiya (cohésion sociale) chère au grand Ibn Khaldoun. En le refermant, on s’aperçoit qu’un sous-titre apparaît sur sur la page de titre : « éloge de la déchéance »… Il est tendu par l’acte millimétré de l’infanticide, qui ne dit rien de la géopolitique de cette guerre civile mais une bonne part de sa folie. Ce qui est précisément la vocation de la littérature.
(Photo Cerwann Aziz)
602 Réponses pour De la folie en Syrie
Et dire qu’Onan avait trouvé la parade !!! !! !.
Il est vrai que le chemin de Damas est semé d’embuche !.
De la rose à la rosse :
quel programme !!! !! !.
Damasquinée fut l’épée,
avant d’arriver en Andalousie !.
La femme chez laquelle deux bébés congelés ont été découverts congelés, dimanche dans l’Ain, a avoué avoir tué ses deux nouveau-nés en les noyant,…
« elle vient de commettre un crime. Le meurtre de son enfant qui vient de naître.
Elle garde auprès d’elle l’enfant qu’elle a tué. Une horreur intime dans un pays qui vit dans l’horreur à ciel ouvert. »
Ah que la littérature m’amuse quelque fois,…
Serait-ce un problème d’électricité pour congélateur Syrien qui força cette jeune femme
à n’écrire que (125 pages, 10 euros, Diabase)??? ?? ?.
Conrad et sa Shadow-Line …
vraiment petit !.
« Ce qui est précisément la vocation de la littérature. »
soit !
à seul fin d’éclairer les possibles approches de la question de la folie ayant partie liée à la littérature , je prie les distingués contributeurs de ce blog de prendre en considération le lien que l’envoie de l’epace Blanchot dont nul , parmi eux, n’ignore « la folie du jour »,
il s’agit d’une page
Antoine Philippe, La folie du psy
LA FOLIE DU PSY
http://www.blanchot.fr/fr/index.php?option=com_content&task=view&id=264&Itemid=41
que j’envoie de l’espace Balnchot, auteur ….
Modern Art,
le fait d’une femme oubliant son arrière train ???.
Histoire de fous…Histoire de folle… Pas sur mes étagères, déjà si lourdes.
Justine ou les infortunes de la vertu?…
j’ai pas compris c’est quoi exactement la vocation de la litérature ? de ne rien dire de la politique en disant tout de la folie ?
WS ? Macbeth? le roi Lear?… à l’époque il ne séparait pas folie et politque, même que le roi Lear avait toujours son fou sous la main pour lui sortir ses quatre vérités.
WS nous dit sans politique on ne comprend rien à une certaine folie et sans cette folie on ne comprend rien à la politque.
mais les temps ont changé.
il faut choisir son camp ? entre les salfistes et le hezbollah ? entre les révolutionnaires chiites et les sunnites ?
on a droit à un joker ?
on comprend que cette pauvre préfère faire dans le poétique et l’épuré pour éviter de parler de politique et de géopolitique c’est un coup à plomber ses lecteurs.
une génération d’écrivains ayant vécu sous le joug du journalisme et du jt de 20h?
le problème est qu’un témoignage ou une opinion ne vaut pas plus qu’une autre au seul motif qu’il est mieux dit, sous une forme plus épurée ou poétique.
une génération d’écrivains rousseauistes ayant tenté d’ignorer Hobbes, faites le sortir par la porte il revient pas la fenêtre.
la littérature ne nous sert plus à rien à part organiser des salons, elle est inutile.
éditer ce livre est une décision comptable guidée par le calcul des marges et de la rentabilité ? j’imagine tout à fait le public pour ce genre de livres: pour Gaza ils sortent dans les rues avec des banderolles ! sionisme = nazisme, pour la Syrie ils préfèrent l’évocation poétique.
aujourd’hui aucun éditeur ne publierait le roi Lear, pas assez épuré comme style.
je ne sais pas jusqu’où écrivains, éditeurs et lecteurs sont capables d’aller dans l’hypocrisie et le cynisme ?
Un bouquin aussi puant, putassier, probablement, que la situation en Syrie ! Que va faire Assouline dans cette galère empestée ? … Figure imposée ?
Un « récit (…) ancré dans le réel absolu » ? On croyait qu’il s’agissait d’un roman – rien d’autobiographique, en tout cas. Ce doit être une sorte de Scud littéraire. Dangereux pour le moral du lecteur…
Il est bien de voir que les stagiaires de Science po qui ont la responsabilité de de dossiers assez pointus sous la responsabilité directe des ambassadeurs ou des premiers secrétaires, mettent à profit leur stage de façon aussi créative et impliquée.
Les minables débineurs qui n’ont jamais travaillé à l’étranger peuvent toujours persifler, comme il est de mise au pays du ricanement généralisé. Ces encroutés sont pareils aux Assis de Rimbaud, leur corps ne faisant qu’un avec la paille de la chaise d’où ils s’imaginent voir le monde. Les ânes.
Seigneur Dieu ! Quel horrible destin ! Combien je plains les millions de compatriotes qui n’ont jamais « travaillé à l’étranger » !
Oh ! les « minables débineurs » ! Oh ! les encroutés ! Oh les ânes … !
Quelle joie que l’expatrié intelligent, le culturiste de la littérature, la perle de nos services, ait échappé à ce morne destin …!
Loué sois le Seigneur ! S’il n’eut existé, quelle perte pour l’humanité !
« la gueule d’Assad »
Justine, un peu de retenue s’il te plaît. La vocation de la littérature est-elle d’épouser les haines du moment ?
dear passou, vos chroniques littéraires ressemblent au festival de cannes qui confond le cinéma avec l’actualité…les niouzes, quoi. ppda enfonce losey.
y’a sûrement du formidable. faut pas tortiller. mais loin, loin.. des reliures pleine peau sur volutes de cigares. Sortez-nous les livres écrits pendant le protectorat français en syrie liban, de ces voyageurs de la métropole en route vers le krak, qui n’était pas encore un pétard mouillé nouillorquet.
Spectateur peiné, je sens le tremblement sismique intense de mon ami Bloom sur l’Echelle de valeur. Qu’il ne lui arrive rien, surtout : on a toujours besoin d’un plus….
Est-ce que le printemps de la Rdl
ne serait pas en train de s’échauffer ?
Prosepectivement.
pourquoi n’a-t-on pas envoyé BHL en Syrie ?
pourrait-on dire que ce livre est à Assad ce que le livre de Iacub est à dsk ?
pas moralement bien sûr mais juste d’un point de vue comptable et commercial.
les voies de la comptabilité sont impénétrables.
« pourquoi n’a-t-on pas envoyé BHL en Syrie ? »
et JC aussi…(avec dans la foulée saint chouchou l’innocent)
« le protectorat français en syrie liban »
Tout allait si bien alors
il parait que d’un point de vue technique de torture la spécialité syrienne consiste en l’arrachage des ongles., surtout utilisée pour les enfants.
je me demande la nécessitié d’avoir hebergé autant d’anciens digintaires nazis (dont certains resteront célèbres dans l’Hisoitre pour leur imagination en terme d’invention de nouvelles techniques de torture notamment sur les enfants) si c’est pour arriver à des usages aussi rudimentaires qu’arracher des ongles, c’est sans doute efficace mais cela manque cruellement d’imaginiation.
sérieux je ne vois vraiment pas l’intérêt, les argentins eux au moins ils n’ont jamais hébergés des nazis pour des prunes.
à se demander ce que les nazis ffaisaient en Syrie, peut-être des savons d’alep ?
Jusqu’à preuve du contraire,
le billet du Patron n’est pas
l’ordonnance du Docteur Assouline
qu’il faut obligatoirement observer.
Impassethèquement.
L’ingérence étrangère actuelle en Syrie est condamnable, au même titre que celle en cours au Mali, ou celle en Lybie qui fut désastreuse malgré les belles chemises échancrées de BHL. Pour les protectorats Syrie/Liban, il me semble qu’ils venaient de décision de la SDN dans les années 20.
n’empêche que quand on voit les images de ce qu’il se passe en Syrie on comprend que l’armée israélienne soit une des plus puissantes du monde.
suffit d’imaginer le tableau si tous ces allumés envahissent Israel, même quand on est pas juif c’est hyper flipant.
pourquoi ils n’ont pas penser à mettre au départ Israel au Canada ou en Australie ?
Reconnaissons qu’il manque dans nos Universités des cours pratiques* de torture, ouverts à tous (et toutes) : que sont devenues nos compétences anciennes, reconnues dans le monde entier ?
*des conceptions théoriques peuvent être observées en réunion rectorales ou syndicales
@hamlet 27 mars 2013 à 10 h 01
Tiens là-bas ils ne sont pas volés spour adoption par les assassins des parents disparus/balancés dans la flotte pour plus de discrétion?
« que sont devenues nos compétences anciennes, reconnues dans le monde entier ? »
les spécialistes se sont planqués en argentine et au paraguay (le pape en sait quelque chose – faudrait lui écrire, il répondra sûrement charitable comme il est comem chacun sait)
La bonne méthode, avec l’opposition malhonnête -et toutes les oppositions le sont-c’eut été d’organiser sous Brice des baptêmes du ciel pour les camarades, façon sud-américaine ! On aurait pas les compétences négatives d’aujourd’hui sur ce pauvre pédalo … Et pourtant, je me sens démocrate dans l’âme !
alors jc c’est vrai tu t’engages pour la syrie? (ou lemali?)
Sweet Charity, réglons nos problèmes chez nous, il y a moins de frais de déplacement que faire du colonial exotique.
Je n’ai rien compris à cette note de Passou, Camille Claudel est externée en Syrie et ce salop de Paul s’en lave les mains ?
Pour un jeune sans rien, en Syrie ou en furie, faire Sciences Po sans conscience du sens du beau dans le laid de la guerre qui brûle dans l’essence de Bo n’est que ruine de l’âme de Sham qui n’a plus que la peau sur les os. Alors il pose pour la photo ; ses sandales fument, son chandail en flammes est short et sa Kalash n’a plus de feu, les drones dorment et l’argent du Qatar roupille encore ou est en retard (sauf dans les poches en mousselines des brosseurs d’une guerre civile en or). Il repose des deux pieds sur les eaux de son présomptif père Noé, qui a une longue barbe blanche et plein de cadeaux en Semtex dans la hotte qu’il porte dans le dos, et marche sur la nappe liquide d’une terre tremblante, en guettant le passage d’une nouvelle arche, d’un nouveau bateau, avec en cale un zoo tout neuf. Et c’est ainsi que l’on devient tueur en Syrie, on multiplie les cartons sur les intrigues des romans en série. Même Malko Linge est battu sur son propre terrain. Faire Sciences Bo, quand on est apprenti-romancier, finalement c’est un peu moins frivole que de siffler des vodka-orange ou des Leffe au Basile, rue Saint-Guillaume, comme un vulgaire futur bobo.
A quand un roman pour la Centrafrique actuelle ?
xlew.m, ce qui prédomine chez les manifestants qui ne s’avouent pas homophobes chez nous, c’est le rose, ici, sur la photo, c’est le vert.
Après le Rouge et le Noir, Parlons couleurs !
« …qui ne dit rien de la géopolitique de cette guerre civile mais une bonne part de sa folie » :
la proposition vise-telle les compétence
ici-même exercées ?
Etat-majorriblement.
Le vert est dans le fruit et le rose dans vos lits…
Pendant ce temps, je me roule dans l’or.
Prochainement sur vos écrans !
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_de_Versailles-9782715227729-1-1-0-1.html
La couleur de la guerre, civile ou pas,
est sang et boue, et pas curative, la boue.
La couleur de la trêve est cendre et poussière.
Il n’y a que la paix pour diluer la sienne
dans l’herbe, le ciel et non les larmes.
Peintritement.
Jicé à 9h23, toujours à fond sur le fond, illustration du syricanement perpétuel en question.
Ca aura été adulte, ce truc? Usurpation.
Un diplomate italien vient de m’apprendre que le pouvoir du pape était fondé sur un faux, la Donation de Constantin, dénoncé comme tel dès le 15e siècle par un certain Lorenzo Valla. J’ai vérifié aux meilleures sources: le texte qui figure dans les Décrétales est bien reconnu comme un faux grossier.
Le règne du faux et du toc, c’est très Vatican, ça.
Les ânes.
Intéressant le rêve d’ueda, qui clôt la note précédente. On comprend mieux que pour lui, le livre de Marcela soit avant tout métaphysique !
Jacques Barozzi, vous qui avez aussi le goût des Incipits, comment comprenez-vous la première phrase du billet ? Elle semble limpide et non biscornue lorsqu’on la parcoure, mais quelque chose semble clocher dans la construction de l’accord du verbe, lorsqu’on revient sur elle pour un second passage. Qu’en pensez-vous ?
« Faire Sciences Bo, quand on est apprenti-romancier, finalement c’est un peu moins frivole que de siffler des vodka-orange ou des Leffe au Basile, rue Saint-Guillaume, comme un vulgaire futur bobo. »
Comme si… Enfin, les habituels préjugés. Jamais qu’ils se rappellent du « Pour Marcel Proust » d’Adorno.
« Le règne du faux et du toc, c’est très Vatican, ça. Les ânes. »
C’est très socialiste aussi, ne trouvez-vous pas cher ami ? Et chez nos amis musulmans, vous avez enquêté sur les légitimités ?
les frères tharaud, morand, massignon..ça fait du monde autour d’alep dans les années 20. avec des livres bien écrits, force déliés et subjonctifs imparfait, de quoi rêver d’une colonisation à rebours. c’est pas les Chinois qui laisseront une telle littérature après la vampirisation de l’Afrique.
« C’est un livre sur la mémoire, le souvenir et le traumatisme qu’ils ressuscitent. »
Confus, très confus comme tout ce qui suit, xlew.m !
Jacques B
Rien à voir avec la folie perverse (chère aux jc) des années de dictature en argentine ?
La folie collective d’une guerre civile
se nourrit-elle de folies individuelles ?
L’infanticide à domicile est-il en creux
l’ombre du massacre répressif de sa population
par un dirigeant totalitaire ?
Moyengrenâgeusement.
« Le règne du faux et du toc, c’est très Vatican, ça. »
le V a d’ailleurs élu celui d’entre ces clowns en robe qui correspond le mieux à ces nobles critères
Où est la folie « perverse » dans le fait de buter des opposants depuis des hélicoptères ? c’est au contraire très simpliste. Un peu dans le style de l’attentat franc mais loupé des sbires de Valls contre la Madone Boutin lors de la dernière manif contre les noces inverties …
Et ça économise le Polonium 210, qui est très cher et délicieusement pervers, lui.
De Valla on connaît surtout le « De falso credita et ementita Constantini donatione », cité par le collègue de Bloom ; mais on oublie volontiers que par sa lecture comparée il ridiculisa le latin de la « Vulgate » et par conséquence saint Jérôme traducteur ; qu’il accusa saint Augustin d’hérésie ; et que dans « De professione religiosorum » il mit en lumière l’hypocrisie de la vie monastique et son inutilité. Valla arrivait à concilier l’érudition et la provocation, et par là il critiqua sans pitié les mœurs de l’Église, il fut, en un sens, le précurseur de Luther.
Toujours rose, le scooter, JC ?
Et il n’a pas été brûlé, De Valla ?!
Valla sans De
Jacques, suite au « De professione religiosorum » il fut appelé à s’expliquer, mais il échappa aux rigueurs de l’inquisition grâce à l’intervention d’Alphonse d’Aragon.
…
…un bon conseil, c’est de vivre en paix,…et accorder tout le monde,…
…pourquoi les belligérants ne le font pas,…
…quels en sont les enjeux,…quels compromis possibles,…
…la lutte acharnée pour un » clito « , de la mondialisation,…
…la Syrie,…la nouvelle Guerre de Troie,…pour un homard ou une langouste,…ou une roulette russe de la stratégie des intérêts mondialistes,…
…la colonie des conquérants à rebrousse-poils de l’homogénéité des victimes de la démocratie des oppresseurs » rouge et noir « ,…le paradis pour s’envoyer en l’air,…
…
…Dieu reconnaîtra les sien,…à pertes et profits,…tous cons-vaincus du bon-choix des disciples de la pagaille des doctrines,…à mûrir,…
…au fond,…à première vue,…et à vol d’oiseau,…le destin d’une poubelle à moitié vide et à moitié pleine,…c’est large d’esprit,…pour se faire rétrécir dans un trou noir à combler,…
…des choix comme des gérants banquiers,…avec la paix je ne gagne rien,…avec la guerre je perd rien,…question de » stock-options « ,…
…pas de quoi faire un tour aux Sotte-Y-Fêllé,…pour y déchargé son vade-mécum,…à trois millions le coup,…pour faire diversion de justice » démocratique « ,…pour enfoirés,…toujours,…la plume au cul des parfums de faiblesse,…
…etc,…la croisade pour se foutre du monde,…y en à rien à cirer,…
…
Après avoir lu les tweets:
Au premier groupe de lecture auquel je me joignis en marge de l’université qui se passionnait pour la folie, des lacaiens avient réussi à intégrer les mémoires du président Schreber , et la fille d’une avocate dit que cette prose était pour elle de la pure poésie, les yeux irradiant d’exaltation .(J’ai quitté assez vite ce groupe, où je découvris que la fumée m’incommodait , alors que je faisais « de ma propre autorité » une tentative de désintoxication de tabac (.J’ai arrêté alors de fumer , pour la première fois, assez longtemps )
11h34
Il fut parfois amusant, il n’est plus que vieux con
J’ai apprécié, Passou, l’humour de l’énumération dans une note si grave : « jeune, française, hypocondriaque »…
Quoi dire devant une telle tragédie ? En ne faisant rien, l’Occident enfonce le clou, il est en train de se suicider lui aussi avec toutes les valeurs qui ont fait l’universalité de l’Occident et sa grandeur. C’est notre tragédie à nous aussi. Sans parler du Vatican qui soutient le régime d’Assad parce que les rebelles islamistes assassinent les chrétiens parce qu’ils sont chrétiens comme les nazis faisaient dans le ghetto de Varsovie avec les Juifs, en les balançant du haut des immeubles dans le vide. L’Europe impuissante, l’Europe éternel spectateur de l’horreur qui lave sa bonne conscience dans les ricanements. Misère de l’Europe.
des lacaniens
En outre, Dickens est le bien aimé de mes lectures d’enfance,( en français) l’auteur auquel j’attribue d’avoir survécu (aux violences physiques aussi qui me furent prodiguées avec une in-conscience éducative sans pareille .
« En ne faisant rien, l’Occident enfonce le clou, il est en train de se suicider lui aussi avec toutes les valeurs qui ont fait l’universalité de l’Occident et sa grandeur » (rédigé par LML)
Agir, agir, agir… Il n’est question que d’agir. Comme si, dans cette affaire, tant de gens n’agissaient pas déjà sans que l’Occident, en plus, s’en mêle et en rajoute.
Le sage dit :
» On régit un grand Etat
comme on fait frire un petit poisson »
L’imbroglio syrien invite à y regarder à deux fois avant de s’en mêler. Le précédent libyen devrait servir de leçon à notre gouvernement, dangereusement tenté d’imiter le tandem d’agités Sarko / BHL.
« toutes les valeurs qui ont fait l’universalité de l’Occident et sa grandeur »
Lesquelles, le christianisme, les croisades, le colonialisme ? Quand l’Occident au lieu d’être spectateur fut acteur, ça a donné les deux dernières guerres mondiales. C’est ce que vous rappellez de vos voeux, ML ?
toujours sur les questions de traduction, translittération, et révision des fondements de nos cultures
j’ signale qu’il n’y a rien de pédant, ni de solipsiste comme le dit un de mes professeurs de fac très amoureux de foucault et qui ignorait même le nom de Cioran ! à parler d’alliance noachique , en français où par ailleurs il est plus habituel de parler de Chamitique , avec un C un nom un S , pour ce fils de Noé !
Les Hamites, Hamitiques ou Chamitiques sont, selon la Table des peuples de l’Ancien Testament, les descendants de Ham (ou Cham) fils de Noé. Ils constituent donc une lignée parallèle aux Sémites (descendants de Sem) et aux Japhétiques (descendants de Japhet).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hamites
Le taon de PQ, avec ses rêves de tortures, viols, assassinats, massacres, regrette de n’avoir pas participé aux coups d’Etat et tortures viols assassinats massacres de dizaines de milliers de jeunes (qu’il appelle négligemment des opposants) et vols de bébés en argentine ou autre pays , c’est pourquoi à défaut de faire son sac pour aller en Syrie ou au Mali il s’amuse à insuffler ses frustrations comme autant de signes d’humour à longueur de journée sur un blog , il est content
john brown
il serait plus sage d’essayer de causer avec les autorités russes..
Si vous saviez comme c’est bon de la fermer…
Ben oui, ML, que faire? Pour moi, la seule vraie solution est la partition de la Syrie avec la re-création d’un refuge pour les alaouites et les autres minorités non sunnites sur la côte (un petit état alaouite existait avant guerre). Il n’y a pas de cohabitation possible avec les islamistes et je ne crois pas une seconde à la fable de l’islam tolérant. Il n’y a que des degrés dans son intolérance. Aujourd’hui les gentils albanais du Kosovo s’attaquent aux cimetières serbes pour éradiquer toute trace de leur présence multi séculaire…
Savez-vous Chaloux, je la ferme mais tout le monde s’en fout!
Certes, Chaloux, mais ce n’est pas toujours la bonne solution. Parfois, la fermer c’est comme s’en laver les mains, non ?
Sauras-tu dire la différence qu’il y a entre de la folie en Syrie et de la Syrie en folie ?
à tous ceux qui viennet parler de la vérité qu’ils détiennent sur la biographie des commentateurs, ce qu’ils entendirent dans leurs études, firent , où, et apprirent, je signale une parge élémentaire :
Rencontre avec le professeur Henri Atlan, un esprit libre, un homme engagé et inclassable, qui porte un regard sans concession sur la place de l’éthique dans notre monde moderne, mais aussi sur nos leaders, notre élite intellectuelle et scientifique, trop souvent adeptes de la fraude verbale et de la dénaturation du langage pour imposer leur volonté ou leurs idées.
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2010/11/26/2319232_entretien-avec-le-professeur-henri-atlan-il-faut-se-mefier-non-seulement-du-mensonge-mais-aussi-des-puristes.html
Se laver les mains de quoi, Jacques?
De ce qui se passe autour de nous, Chaloux : comment fermer la bouche sans fermer les yeux et les oreilles ?
Et chez nos amis musulmans, vous avez enquêté sur les légitimités ?
—
L’âne est bien bâté, et au contraire du Coran, il n’est pas incréé, malheureusement. Comme si sa propre vacuité était rachetée par celle des autres.
Que l’adolescent attardo-retardé balaie devant la sacristie en récitant dix fois la chahada et le Shema Israel, et laisse les grandes personnes parler des choses sérieuses.
Si, malgré une grande clarté, comme le faisait remarquer xlew.m à propos de l’incise, la note de Passou m’apparait confuse, c’est sans doute que le malaise vient de cette recension critique où il n’est fait mention que de la forme (fragmentée, concise…) et non du fond du problème que soulève le récit ou roman en question, trop brûlant et à chaud ? Il est vrai qu’ici il s’agit de choisir entre la peste et le choléra.
Mais à quoi renvoie le « ils » de la première phrase ?
Se laver les mains de quoi, Jacques?
si c’était l’cul tu srais dans un sale état disais je
De ce qui se passe autour de nous, Chaloux
sans nous jicé mettrait l’monde dans le totalitaire à soron..heureusement qu’on est là..
Savez-vous Chaloux, je la ferme mais tout le monde s’en fout!
non tu ne la ferme pas keupu..ta gueule keupu
Si vous saviez comme c’est bon de la fermer…
et puis c’est con cque tu dis chaloux..causer bêtement a haute voix a sa volvo c’est bien pire qu’a un vieux céléron
Mais à quoi renvoie le « ils » de la première phrase ?
Au très célèbre opuscule de J.B., le goût des « ils » chez Mercrevure de Rance.
Nos âmes sont des « ils », ou l’ intersexualité expliquée par la grammaire de base.
il serait plus sage d’essayer de causer avec les autorités russes..
elle est drolatique cette phrase..
Mais qui connait les éditions Diabase.
Et Gérard Bessière un de leur auteur phare?
« Le règne du faux et du toc, c’est très Vatican, ça. »
le matos israelien ça s’enraye moins, faut reconnaitre..
Mais qui connait les éditions Diabase.
Et Gérard Bessière un de leur auteur phare?
nous on empêche l’monde de sombrer et lui y nous cause de sa baraque a frite..retourne a néchin, inconscient !
ce « ils » est effectivement très étrange et donne l’impression qu’il s’agit d’une suite d’un disours, dialogue qui a précédé .
soit dit en passant, justement la presse se fait l’écho de questions de mémoire , comme si, ainsi que le souligne si justement Bloom .
on parle beaucoup de
« Although racism is widely believed to be a learned behavior, findings from an Oxford University team suggest that taking a heart disease medication may also help mute subconscious racist attitudes in individuals. Researchers gave the drug propranolol to 18 subjects, and placebos to a control group of the same size. Those that received the drug scored markedly lower on a standard test that measures subconscious racial bias. Does this mean we could one day see a pill to counter racist tendencies?
Pendant ce temps, je me roule dans l’or.
Prochainement sur vos écrans !
..j’espère baroz que tu fais des rapports sur tous les chiottes et les taillis sous futaie que t’as expériementés..bref que tu t’en laves pas les mains
c’ est très Vatican, ça!
Mais Gérard Bessière, il a excommunié Benoît XVI, malheureux!
http://www.ladepeche.fr/article/2009/03/14/573161-luzech-le-pere-bessiere-a-excommunie-le-pape.html
Those that received the drug scored markedly lower on a standard test that measures subconscious racial bias. Does this mean we could one day see a pill to counter racist tendencies?
vdqs !
« bref que tu t’en laves pas les mains »
Tu peux compter sur moi, le boug, derrière les dorures je cherche d’où provient cette douceureuse odeur de merde persistante à Versailles…
Mais Gérard Bessière
..en effet, il ne s’en lave pas les mains lui chaloux ! il ne dit pas que ça fait du bien de la fermer..ouvre bien bien grand chaloux..tu verras..tu verras : ça fait du bien
d’où provient cette douceureuse odeur de merde persistante à Versailles…
..et t’as trouvé ?..en tout ças ça doit avoir un sale gout je te crois
Je n’allais pas si loin, Jacques.
Sur l’odeur persistante de Versailles, il y a cette histoire d’une femme qu’on ramène à Versailles pour une visite, des années après qu’elle ait quitté le palais et bien après la fin de la révolution. La dame ne reconnait rien. Puis elle femme les yeux et dit:
« Je reconnais l’odeur ».
trente ans après, ça puait encore.
Elle ferme les yeux, lapsus…
Elle était au bout du rouleau :
http://resume.bible.free.fr/torah.jpg
Rien d’autre ne peut expliquer un geste pareil.
..ça fait du bien
Jacques, Il y a « Derrière la façade » vivre au château de Versailles au XVIIIe siècle de William Ritchey Newton chez Perrin. Assez édifiant en ce qui concerne les fosses etc…
« ..ça fait du bien »
Plus exactement ça soulage, le boug !
« ça doit avoir un sale gout »
J’aime pas les andouillette, mais je suis sûr que toi tu les apprécies !
les andouillettes à la ficelle ! ..un grand homme a dit que c’était comme la politique « que ça devait sentir la merde..mais pas trop »
Assez édifiant en ce qui concerne les fosses etc…
quand même recevoir sur sa chaise d’affaire..c’est byzance..
la merde était partout cheuloux, on la croit tenace mais en vérité elle est fugace comme la vie, elle a disparut, pour rester éternel dans les esprit la merde est le parengon du vraie..le conceptuel vaut pas un pet de lapin
Le Boug « le plaisir et la douleur sont la limite de ce qui est utile ou non. » Démocrite.
Quant aux titres de ses courts chapitres, on les croirait chus d’un recueil de poèmes de Paul Celan : « Dépouille de taule », « Reliques de sable »…
—-
Les lettres et la mode. On fait grand cas en France, à juste titre, de l’écrivain juif roumain Paul Antschel alias Paul Celan, mais on y ignore un autre poète tout aussi génial, son compatriote Benjamin Wechsler, connu sous le nom de Benjamin Fondane. Luii aussi avait choisi la France pour y vivre et créer, parfois même en français, comme c’est le cas dans le poème suivant, tiré de « Poèmes retrouvés », ouvrage entièrement écrit en français:
« Que suis-je à présent, si ce n’est un vieux bric-à-brac de fortune
De forces gaspillées, d’hommes tués dans l’œuf
De destins singuliers, de vies inemployées
Tant de paroles qui n’ont jamais été prononcées
Tant de rires qui n’ont pas ri
Qui suis-je
Sinon la rancune des morts qui ont manqué leur vie. »
Las, la France d’alors fut une bien mauvaise patrie adoptive (il avait été naturalisé en 38). En mai 44, arrêté par la police française, il fut envoyé à Drancy, avant d’être déporté à Auschwitz.
Il faut lire Benjamin Fondane, poète français d’origine roumaine.
« le plaisir et la douleur sont la limite de ce qui est utile ou non. » Démocrite
l’probloc c’est que ce sont les mêmes « choses » qui sont objet de plaisir et de douleur, évidemment, dailleurs c’est bien de cette même origine que vient la confusion des sentiments, démocrite c’est l’gars des atomes mecanique à la renato
Beau poème de Fondane, Bloom, qui a le mérite de la clarté, Celan étant un peu trop souvent abscon à mon goût…
C’est trop con d’avoir été arrêté quelques semaines avant la Libération de Paris !
Il faut lire Benjamin Fondane, poète français d’origine roumaine
lire n’est pas un acte de piété kabloom..et heureusment
Pas sûr, le Boug, mais un acte de re-connaissance, toujours.
« … atomes mecaniques… »
Il y a un chat dans une boîte. La boîte étant fermée, bouguereau, nous ne savons pas si le chat est vivant ou mort, nous savons seulement qu’il y a un chat dans la boîte. C’est un peu comme le rubidium n’est-ce pas…
Rien d’autobiographique dans ce roman bref
affirmation que je trouve d’autant plus étonnante qu’elle est suvie de consécutives (bien que)
comme su P.Assouline était assez ami de l’auteur pour pouvoir affirmer qu’elle n’a rien là métaphorisé et que c’en est d’autant plus réussi .
mais est-ce si important comme question ? Et si oui, pourqui ?
ho on sait bien que toute la littérature avait cette exclusivité d’être une extensions ou un alinéas selon sa modestie..ou d’être franchement un péché d’orgueil sans alibi..bref c’était l’un des premiers fleurons de la technique des hommes kabloom, de l’ontologie a roulette, du véhicule..mais là t’en parle comme d’un grimoire kabloom, un grimoire c’est vintage
mais est-ce si important comme question ? Et si oui, pourqui ?
porqué..hr..porqué!
et porqué porqué..et ben parceque..cte question bête
il doit être important pour P.Assouline d’écrire qu’il n’y a rien là d’autobiographique ….;
mais je n’aime pas le jeu des devinettes sur la toile … et je les laisse aux devins de blogs
souvenir d’un médecin qui se penasit devin et griffait ainsi ses lieux et ses gens : mauvais souvenirs qui faillit coûter la vie à deux enfants .
se pensait
En contemplant le cadavre,
contempler ?
elle ne le regardait pas prostrée sans réaliser donc le crime comme crime, mais en proie à des souvenirs incontrôlables ? le crime comme oeuvre d ‘art ou l’oeuvre d’art comme crime ?
étrange récit assoulinien !
Bonne journée
denier texte du mag philo
intitulé après coup par le mag « la folie de vivre » du premier homme de Camus avec un entretien de Imre Kertesz
et j’ai cherché sur C.N.R.T.L. déchoir et déchéance , parce que les bons points de blog d’un professeur de perfection comme misère de misère ne me semblent pas justifier l’éloge des récipiendaires
Alors, nouvelles considérations et nouveaux regards sur l’Oedipe ?
Après avoir participé au bordel local sans succès, laissons ces « pays » moyen-orientaux ou africains (jusque là tenus par des tyrans désormais disparus ou presque) s’organiser en « régions » sur des critères ethniques, religieux, économiques mais certainement pas démocratiques.
Les occidentaux, fiers de leur goût pour l’universalité démocratique exportable -une utopie imbécile- devraient dégager de ces pratiques néocolonialistes d’ingérence. Que le Mali se débrouille seul…
Le commentaire lu sur la partition souhaitable de la Syrie est dans le vrai : c’est ce qui se passe en Libye, de fait.
La RdL, c’est Versailles : quand on y revient, on retrouve la douceureuse petite odeur si agréable … Quel bonheur !
il n’est malheureusement pas faux qu’il y a quelquechose de « versilles » dans les jeux de commentaires de la RdL : ce n’est pas pour le meilleur .
« quand on y revient, »
Versailles : excuses !
voici un tapis de folie douce spécial bloolatrique :
An Ornate Rug Made of Discarded Computer Parts and Other Electrical Objects
http://www.thisiscolossal.com/2013/03/an-ornate-rug-made-entirely-of-computer-parts/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+colossal+%28Colossal%29
La Syrie d’aujourd’hui, c’est comme l’Espagne de Guernica des années 30. La lâcheté de l’Europe occidentale n’a pas changé avec tous les aveugles d’aujourd’hui, les mêmes qu’hier, sauf qu’ils postent aujourd’hui chez Passou.
Il y a eu une exposition Fondane au Mémorial de la Shoah à l’automne 2009. Je l’avais découvert à cette occasion. Poésie fort différente de celle de Celan. Fontane ne parle pas de la Shoah vu qu’il publiait avant la guerre. Paul Celan n’est pas abscon comme dit ce crétin de Barozzi, il est hermétique.
Barozzi, les valeurs qu’a mis au monde l’Europe occidentale ont envahi le monde entier. Elle ont été adopté par l' »univers », comme disait de Gaulle. C’est grâce à elle que la barbarie nazie a pu être vaincue. Ne l’oubliez jamais ! C’est grâce à elles que vous pouvez tranquillement baiser votre copain alors que dans certains pays musulmans vous seriez pendu pour ça ! Le pauvre homme !
je vouslais écrire blogolatrique
Justine Bo a choisi de paraître sous pseudonyme. Un raccourcissement de son nom. Comme tout livre est une construction, alors autant se construire aussi son identité d’écrivain
une aggada dit qu’il suffit de deux lettres .
cela me semble une grande sagesse de ne pas exposer publiquement son patronyme, surtout pour une première exposition publique de soi.
on ne devrait jamais accepter de gens qu’ils vous forcent .
ajoutons que cette auteure est une femme , et que la question du patronyme est encore plus complexe pour une femme, alors que les hommes ont une tendance à vouloir faire connaître/voir/ entendre et rechercher ce qui en porte la marque …c’est pénible , souvent .
le-s leur-s
La lâcheté des Européens qui se drapent dans les grands mots ! C’est minable.
Bo comme le miroir Bo. Bo, pour montrer la laideur du monde à tous les lâches occidentaux. Bo comme Bobo, tous les Bobos qu’on peut lire ici même avec leurs commentaires ignobles. C’est ça l’Europe d’aujourd’hui !
La barbarie napoléonienne a suscité, elle aussi, une large coalition qui l’a vaincue.
Pour WWII, ce sont les intérêts communs des pays de la coalition qui ont vaincu la barbarie nazie, agréementés en appui il est vrai d’une pincée d’idéologie démocratique.
« y a quelquechose de « versilles »
dès que jc réapparaît..
la barbarie nazie est pas apparue en europe occidenrale?
La barbarie napoléonienne, pauvre imbécile !
Ah ! on est bien dans une époque de trous du cul !
Napoléon a exporté les valeurs de la Révolution en Europe à coups de canons. Le code civile français en Pologne ! Le rétablissement de la Pologne dans ses droits politiques et et sur son territoire. Ma grand-mère qui était devenue Polonaise, avant d’être assassinée à Auschwitz était régi par le code civile polonais. Ignare !
Comme Mauvaise langue me paraît jeune de désir , et c’est tant mieux pour lui .
bien sûr qu’il est presque coupable aujourd’hui …. pour qui a des prétentions en « littérature » et en poésie de dire de Celan « abcons » . couverture du mag philo « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » Braozzi s’est situé par ce mot abscons lui et ses prétentions à faire le psy sur ce blog . mais la psychanalyse vit aussi des heures de guerre pour ces raisons
Calme-toi, Michel !
Ton point de vue est respectable…respecte le mien.
Prétentions ! Pauvre connard. La littérature, des prétentions ! C’est un crime d’avoir des prétentions en littérature ! Un crime contre l’esprit. Une époque de trous du cul, cette sinistre Europe ! Voilà ce qu’on a fai de vous !
Une époque où l’édition consiste à faire un coup qui se vend dans le monde entier comme Jean-Marc Roberts avec Marcella Iacub, édité par un enfant immature, un livre monstrueux à vomir, qui dit la monstruosité de notre époque.
A défaut d’être un bon écrivain, Marcella c’est peut être un bon coup. Faudra demander à l’ex-Président potentiel.
(le niveau monte….)
Non, JC, il n’y a pas de symétrie entre ton point de vue et le mien ! Ton point de vue, c’est de la merde ! Une grosse merde !
…
…Versailles c’est de la » merde « ,…pour plusieurs raisons,…
…
…mais, pour parer au plus presser,…
…c’est parce que c’est » Aristocratique et de la pure débilité sans pareille « ,…
…c’est d’ailleurs ce qui à fait tomber la tête de Louis XVI,…
…mais, quand on est « con »,…comme un vrais Aristocraque de souche sûre,…on avale tout,…vraiment tout,…du moment que c’est pour la vanité des grandeurs même les trous noirs de l’espace ne sont rien à côté des trous de l’esprit des courtisans de connivences faisant autorité et fonctions accorte,…
…et la meilleur c’est que dans toute l’€urope tout les autres états on copier ce style seigneurial plutôt » désarmant »,…
…et le goût de pastiche du roi soleil,…même les trous noirs de l’espace,…n’ont pas imaginer voir éclore une telle merveilles de cloaque et conneries,…
…on n’a pas écrit les dix-versions de » Tartufes « ,…pour rien,…sous son règne,…
…la Syrie d’aujourd’hui,…une pale imitation du pouvoir despotique en somme,…à la Louis XV,…
…quelle famille quand même,…et puis on nous reproche de ne pas être né de la cuisse de Jupiter,…
…à la recherche de la graine pour imiter les animaux à diviniser,…
…Paris tenu,…etc,…Stop ou encore,…
Et notre gouvernement est tellement merdeux et lâche qu’il est prêt à armer les islamistes ! Les pires ennemis de l’Europe occidentale ! On n’arrive pas à y croire quand on entend des saloperies pareilles. C’est un Munich énorme !
Calmons l’echange !
Qui parle de symétrie ?
On parle de tolérance à l’expression différente !
(en plus je ne veux pas devenir le seul responsable de ces mauvaises odeurs en RdL)
il n’est certainement pas à la gloire de notre temps d’avoir amené Angot et Jacoub, les deux ! à publier leurs derniers livres .alors qu’elles avaient peut-être d’autres rêves.Mais la question me semble que , depuis des décennies où les hommes répètent qu’il n’y a plus de femmes ,l’on a construit, dans les guerres de la psychanalyse et les traductions de Freud , des femmes à désirer dans le « sens des flèches » :
ici la citation du billet prend son relif
« une rixe perpétuelle que chacun oriente selon ses fantômes. Le langage se substitue aux corps pour détruire ce qu’il leur reste d’intégrité, et ruiner leurs âmes en vue de nouveaux affrontements. »` »Elle a dû toucher P.Assouline au vif , et l’on sait que « le vif saisit le mort »
J’accepte volontiers l’hypothèse que ce gouvernement de merde empile conneries sur conneries.
(on va bien voir ce que les juges de Taubira vont dire sur les trois attaques de RER : remontrances ? taule ? félicitations pour la redistribution des portables…)
je voulais écrire « saisit le morS http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/jds_0021-8103_1984_num_3_1_1482
voici un lien sur l’adage avec lequel je jouais, car ce n’est pas que le monde s’est féminisé, comme certains le déplorent, mais que les femmes ont été ubervirilisées
Il n’y a pas de tolérance avec des propos minables et lêches comme les tiennes, JC ! Aucune tolérance ! Ton point de vue est celui des lâches européens. Je le méprise et le combats. Tu es un munichois, la peste à l’état absolu.
Allons ! Allons !
Pourquoi intervenir dans des pays indépendants depuis des décennies ?
Voilà où on en est en Europe :
Allemagne : les médias turcs écartés d’un procès de néo-nazis
Les médias turcs risquent de ne pouvoir assister le mois prochain au procès de cinq militants néo-nazis accusés du meurtre de dix personnes, dont huit immigrés turcs, entre 2000 et 2007 en Allemagne. En vue du procès qui s’ouvrira le 17 avril à Munich, le tribunal a réservé cinquante places à la presse et les premiers arrivés ont été les premiers servis. « Par respect pour les victimes et leurs familles, et pour rétablir la confiance, il est absolument nécessaire que les médias turcs et grecs soient dans la salle », a déclaré Maria Böhmer, ministre d’Etat (CDU) pour les Migrations et l’Intégration. Le tribunal de Munich a défendu sa procédure, affirmant qu’il ne pouvait allouer les places qu’au fur et à mesure des demandes. Diffuser les débats dans une autre salle, par un système de télévision interne, n’est pas légalement possible, a-t-il ajouté. L’Association de la presse étrangère a demandé aux magistrats de revenir sur leur décision. Le journal Bild a offert sa place dans la salle à l’envoyé du quotidien turc Hurriyet mais le tribunal a affirmé que les places ne pouvaient être échangées. Ertugrul Ozkok, ancien rédacteur en chef d’Hurriyet, parle de « scandale » et un autre journal turc, Milliyet, dénonce « la justice à l’allemande ».
Parce que c’est le devoir de l’Occident. Si les Etats-Unis n’étaient pas si lâches eux aussi, l’ONU aurait dû depuis longtemps voter la guerre contre Assad et envoyé des troupes pour foutre en l’air ce régime de merde avant que les islamistes ne s’en emparent et foutent une gigantesque merde au Proche-Orient.
Mais, rassure-toi, JC, les lâches comme toi font le travail des islamistes ! Tu ne viendras pas pleurer après.
Mon ami, tes accusations de lâcheté me laissent froid. Pardonne-moi, mais j’ai à faire. Un conseil : ne confond pas tes amis avec tes ennemis, tu y perds.
L’agité du bocal y va à fond la caisse.
La mauvaise langue dit: 27 mars 2013 à 18 h 35 min
Non, JC, il n’y a pas de symétrie entre ton point de vue et le mien ! Ton point de vue, c’est de la merde ! Une grosse merde !
Ben si, la France moisie, l’Europe pourrie, les politiques corrompus, les Français cons, leurs dirigeants à chiller.
Même constat, solutions différentes.
Je me demande si ce n’est pas le constat qui pose problème
celui auquel s’adresse la narratrice est déjà à bout de forces et d’espoir, exténué quand les événements s’emballent et que la révolte gagne la capitale. La guerre est vue comme une bataille d’histoires :
c’est quand même la narratrice qui est exténuéE
« Il est tendu par l’acte millimétré de l’infanticide, qui ne dit rien de la géopolitique de cette guerre civile mais une bonne part de sa folie. Ce qui est précisément la vocation de la littérature »
Mais bon dieu, RDL, pourquoi encenser tout ce qui bouge en se référant à une actualité trop douloureuse, dont ne comprend pas encore le moindre tenant ni aboutissant ?…
Ce « roman » (?) arrive trop tôt, reconnaissez-le… Il pourrait parler de n’importe quel infanticide dans n’importe quel conflit du monde ? Et quoi, guatémaltèque, serait-il moins ou plus légitime?
Je suis toujours tourneboulé que la RDL prenne fait et cause pour n’importe quelle daube du moment pourvu qu’elle s’interface à une actualité politiquement correcte.
Mais enfin, RDL, réveillez-vous, quoi !… Pourquoi cette gonzesse dont vous nous parlez, Justine Bo, vous émeut-elle ? Que remue-t-elle en vous ? C’est cela qu’on n’arrive jamais à comprendre. On ne croit pas une seule minute à ce prétendu masochisme dans l’éloge de la déchéance. Ce lyrisme parisien face à au mal d’un peuple qui crève !… Je sais, je sais, personne n’oblige personne à lire les posts de la RDL et encore moins ce qui les suit… Mais ce n’est pas là du masochisme, non point, tout au plus de la curiosité déçue les quatre quarts du temps, mais que jamais ne tue l’espérance de tomber quelque jour sur une pépite.
On ne croit pas une seule minute à ce prétendu masochisme dans l’éloge de la déchéance.
Diagonal 20h00
Mais que fait la police ?
Mais non je déconne, il est génial.
Quand je pense à son passé je suis obligé de réfléchir.
C’est con la vie, et pas simple.
les commentateurs de ce blog commencent à me choquer grave , comme on dirait sans doute aujourd’hui . parce qu’enfin il n’y a pas si longtemps qu’il y a eu ces affieres de « dénis de grossesses » où l’on a découvert que même dans ces couples bien intégrés socialement avec belles familles (après mariage entre homme et femme selon les usages) nul ne savait rien de la vie des femmes épouses et mères , alors que tout le monde s’imaginait tout comprendre et être de parfaits éducateurs qui avaient bien lu Freud . or ce qui se révélait, à travers des faaires, c’était une part de folie .
et voilà que sur ce blog on se plaint qu’une femme tente de s’emparer de cette histoire de maternité impossible , de la mettre en situation,posant la question de la paternité, sur ce blog où la rengaine , c’est » je suis prof , éducateur, lecteur de psy , votre psy, ce que vous dites n’est pas vrai , et du reste, on s’en fout , (3 fois)
Peut-être ce livre n’est -il pas une merveille , je ‘lignore, mais une probématique est reprise que P.Assouline arrive à dégager.
Si la rengaine n’a d’autre fin que des auto promotions de commentateurs, face à des questions qui traversent toute la société (je lisais avec émotion, oui, émotion, l’enquête avec Tobie Nathan « enfances en errance » , alors les commentateurs sont d’une telle hypocrisie que c’est vraiment ce qu’on appelle communément du masochisme de participer à ce blog, alors que tout le travail de P.Assouline à travers ses billets est une démarche de déconditionnement des lecteurs et d’éveil
ce que j’arrive à croire, c’est que P.Assouline , lui, a voulu au moins essayé de comprendre et peut-être compri bien plus qu’il n’en dit , dans tous les cas suffisamment pour y voir la possibilité d’un billet .
je n’en demande pas plus à la RdL .
ce que j’arrive à croire
HR
Un abîme s’ouvre sous nos pieds.
Est-ce imaginable par le commun des mortels ?
a voulu essayer et compris =>je sais aussi me relire et corriger mes fautes de frappe de fatigue .
elle sait aussi me relire et corriger ses fautes de frappe de fatigue: c’est quelque chose
d’ailleurs peut-être que P.Assouline a compris d’autres choses qu’il ne saurait bien dire sur ce blog et réserve pour une autre circonstance .
Après tout , il est assez banal , maintenant de suggérer que les hommes ne comprennent vraiment pas les femmes, et il n’y a aucune raison de supposer que P.Assouline , par delà sa volonté s’en percer l’énigme, et les piques qu’il distribue ça là avec les actes de reconnaissance y réussise mieux .
Syrie : Assad demande l’aide des Brics
mercredi 27 mars 2013 – 12h52
Le président syrien Bachar Al-Assad a demandé au sommet du Brics réuni à Durban, en Afrique du sud, d’agir pour « arrêter la violence » dans son pays et mettre un terme à la « souffrance » de son peuple causée par les sanctions internationales. « J’appelle les leaders du Brics à travailler ensemble pour arrêter immédiatement la violence en Syrie afin de garantir le succès de la solution politique. Cela nécessite une volonté internationale claire d’assécher les sources du terrorisme, l’arrêt de son financement et de son armement », écrit-il dans sa lettre envoyée mercredi à son homologue sud-africain Jacob Zuma, qui préside le sommet.
« Vous qui cherchez à apporter la paix, la sécurité et la justice dans le monde troublé d’aujourd’hui, mettez tous vos efforts pour faire cesser la souffrance du peuple syrien, causée par les sanctions économiques injustes, contraires aux lois internationales et qui affectent directement la vie et les besoins quotidiens de nos citoyens », ajoute-t-il selon le texte publié par l’agence officielle Sana. « Je vous exprime l’aspiration du peuple syrien à travailler avec les pays du Brics comme une force juste qui essaie d’apporter la paix, la sécurité et la coopération entre les pays, loin de l’hégémonie et de l’injustice imposées à nos peuples et à nos nations depuis des décennies », ajoute Bachar Al-Assad. (Europe1).
je n’ai pas lu le billet, reprenant le fil sur la queue du train il semblerait que nous soyons invités à commenter la guerre des sexes! Chouette! Je n’avais pas idée de l’armement et des dégâts occasionnés mais ça m’a l’air sérieux… Faut-il appeler le GIGN?
« mais que jamais ne tue l’espérance de tomber quelque jour sur une pépite. »
Vous avez grandement raison.
sur la distance, les tenants et les aboutissants et la pépite en devenir (aujourd’hui nous avons eu un moment calme, comme une accalmie sous les bombes c’était vraiment bien).
Il suffit que le temps soit venu -ou propice – ou béni des dieux – et ce ne peut être un temps de guerre.
Bonne soirée à tous,
Je commence à en avoir assez de ce pseudonyme 14341. Je vais bientôt en changer.
14341 dit « des femmes à désirer dans le sens des flèches » et des hommes, rien , alors que la photo nous les montre sur un sens giratoire après un feu nourri à moins que ce ne soit le carnaval de Rio? On ne comprend pas.
on se fout du métier de l’autre ou de l’autre ; ceux qui s’y réfèrent se définissent par la fonction qu’ils remplissent.
Moi, j’ai l’ado. torturé dans Synghé Sabour déjà dans la tête et les mères et les pères partout qui disjonctent bcp (est-ce parce qu’on le dit plus, ou bien qu’on le dit tout simplement ?) et la souffrance qui s’exprime haut et crue.
Non, donc, pas possible de parler à chaud de cela -l’infanticide- crûment : non. C’est une douleur insupportable qui ne se traite pas avec légèreté.
On a le droit aussi, de refuser de débattre de choses sanguinolentes si ce n’est sanguinaires !
Salut.
…
…à,…Gorge profonde,…à 21 h 15 mn,…
…
…est-ce imaginable un abîme s’ouvre sous nos pieds par le commun des mortels,…
…
…utiliser les chaussures CAT,…de Caterpillard,…
…pour revenir de vos prestations profondes du personnel habilité en crise profonde de vade mecum,…serrer les bourses pour l’attrait de dégager les intérêts » optionnels »,…
…les finances,…l’amour des jambes en l’air,…pour se faire plumer,///,…pour rester positif,…respecter le maquillage,…
…etc,…Stop ou encore,…des » châteaux « ,…Bon je me remet à » Age of Empire II « ,…de Microsoft,…des familles sérieuses qui restent,…pour tenir les chandelles,…
…the age of kings,…en Cat,…et impôts,…pour têtes de lards,…
…
Rose comment dites vous propyce en anglais?
Une simple interrogation… Comment est-il possible de disserter sur un ouvrage et son auteure sans en avoir encore caressé les pages ? Que vous disputiez au sujet de l’article est une chose concevable, pour le reste cela ne semble guère être que des élucubrations de pouetpouet en mal de bavardages…
Rose a encore pété un pétale.
lou dit: 27 mars 2013 à 22 h 13 min
« Comment est-il possible de disserter sur un ouvrage et son auteure sans en avoir encore caressé les pages »
En quoi le fait de « caresser des pages » informerait sur le contenu d’un livre…
Les deux mots les plus inutiles de la langue française sont « auteure » et « écrivaine ».
il est étonnant que certains commentateurs disent ne pas avoir été inquiétés par les infanticides avant la lecture de ce billet : cela ne va pas sans question sur leurs lectures et leur expérience d’une manière plus générale .
je signale parce que la question est souvent formulée sur ce blog un définition proposée par Tobie Nathan :
« L’identité d’une personne est constituée des réponses aux questions ONTOLOGIQUES posées par un collectif intéressé ; en d’autre mots, l’identité d’une personne est son destin.L’expliciter n’est jamais une information sur sa nature, mais une sorte de divination, pas l’établissement de son passé, mais le dessin de son devenir » ..
bonsoir messieurs mesdames .
construisez-vous bien .
22h19 dans un pluriel la marque du féminin se perd je ne capte seulement pas si vous tendez à signifier qu’aucune femme n’écrit.
en disant « premier roman » P.Assouline donne à penser que cette jeune femme selon lui devrait encore écrire, n’ayant pas épuisé toute sa capacité à dire la folie ,( ni le monde toute la sienne à en engendrer , comme on peut s’en douter)
ce qu’écrit encore T.Nathan
Il est inutile de rechercher l’identité d’une personne dans les classifications objectives.Les question, l’établissement des faits, la recherche de la « vérité »ne parviennent qu’à la déstabiliser.
Autrement dit, même des proclamations comme celles qu’il y a sur la RdL je suis le père ou l’ami ne présentent aucun caractère d’urgence sur ce blog de la part des commentateurs ,- et même je suis homo ou hétéro – surtout quand on ne le leur demande pas !(sauf pour eux , peut-être)
hé saint beau de ruche!
ton vol fait le bruit d’un bourre donc …
faux !!!
Ce qui semble urgent pour vous, 14341, c’est de vous trouver une identité vraie ! Vous avez une facheuse tendance à tourner à l’ersatz !
monsier,barozzi, je ne veux pas vous faire de la peine en vous disant que mon identié personnele a déjà été inscrite du fait de mon travail . et que je ne vous demande pas de rendez-vous pour que vous me racontiez encore votre plus que judéité à la mode erdélienne .
cela devrait vous suffire amplement !
il est d’ailleurs intéressant que dans ce billet, les protagonistes de l’histoire restent innommés alors que les pays et leurs langues sont nommés .
et de même pour la photo toute anonymisée
personnelle
je ne me recommande d’ailleurs pas non plus comme personne familère de P.Assouline !
M. Passouline, z’avez bon quand vous dites :… Sham veut dire « la Syrie » (As-Sham)…’ mais pas pour ‘ « Damas » en arabe’ …autant que je sache, Damas en arabe c’est Damash’k…sinon, j’étais au British Museum récemment, pour voir l’expo ‘Life and Death: Pompei & Herculaneum’ qui est absolument époustouflante…entre autres merveilles, une statue de Pan en train de sauter une chèvre…et j’ai de suite pensé a MaC, le centaure du 9 3, et a notre bien-aimé garde-champêtre, qui braconne sur le blog de notre gracieux hôte, et qui se trouve marrant…la chèvre avait l’air a l’aise et habituée a se faire prendre en levrette…tain, braves gens, pensez-y avant de prendre du fromage de chèvre de Porquerolles…
ma tendance est de dire ce que je veux bien dire , et d’avoir assez apprécié jusqu’à quel point des hommes admirés pour leurs oeuvres se méprennent sur les choses et les gens pour ne pas les accabler de mon opinion sur eux , pour ce que je crois pouvoir en juger .
Ce n’est plus de l’ersatz mais carrément du radotage, HR-14341 !
Et la chèvre, cher Abdel, elle ne vous a fait songer à personne ?
Barozzi, épousez la chèvre si ça vous amuse, et foutez moi la paix ! je ne suis pas non plus une bonne soeur à la manière de vos chères clop amies disparues de la Rdl .allez au diable, il vous aidera peut-être à devenir un peu plus fou et inspiré sans être abscons .
@Barozzi: euh…oui, effectivement…et vous?
La chèvre a dit : « Paul Celan n’est pas abscon comme dit ce crétin de Barozzi, il est hermétique. »
Vous pinaillez dans la choucroute (expression-valise inventée par votre serviteur), ML, quand vous opposez hermétique à abscon : hermétique est une étiquette de prof, abscon est un mot de poète.
Voulez-vous m’épouser, chère HR-14341 ?
(vous voyez bien, Abdel, que ce blog ne manque pas de chèvres !)
Hermétique donne à entendre le nom d’Hermès !
pour absconS, il n’est pas interdit d’ouvrir un
dico
Eh ben dites donc, angoisse de l’enfantement, bientôt on va faire problématique de la gémellité, et puis si ça se trouve angoisse de la paternité et plus encore de la non paternité. Ça n’en a pas l’apparence mais c’est du sérieux en fin de soirée. Matière à réflexion.
Tiens, encore une psychose
bien que P.Assouline ait porté à lattention de ses lecteurs ce livre : son billet aurait pu, ou pourrait encore,permettre des échanges difficiles , au lieu des grimaces habituelles – ceux qui (se) traitent de crétin ou d’ignare par exemple , et de petites provocations .. qui retombent vite … et finissent par décevoir même ceux qui acceptent de faire un tour de table avec, surtout eu égard à la conclusion qui lie aussi intimement folie et littérature , sans distinguer « vraiment » entre lecteurs et auteurs pour lesquels elle est présentée comme un-le ?-mode de construction de soi (comme si on était aveugle à un « paradoxe »).je ne désire même pas que ce billet dure un peu ,après les lectures que j’ai faites et les souvenirs qui les ont accompagnées .
il y a déjà comme de la provocation dans l’expression d' »éloge de la déchéance » qui ne me titile pas , non plus . C’est un peu trop,un peu « jeune » ,comme les protagonistes du récit qui ne me laissent certes pas insensibles, ou moi, décidément un peu trop , aussi , ou pas assez . bref ça ne passe plus .
mes excuses à P.Assouline d’être si mauvais public (je n’ai même pas cherché d’autres photos ) et de penser qu’il me faut laisser la place à d’autres.
Non que cela me coupe le souffle, comme les critiques aiment l’écrire comme argument ,( et ce n’est pas non plus ce que je « cherche » mais je ne me sens plus dans ce régime de rencontres .
CP, si vous passez par là, je vous ai répondu sur Claudelau fil précédent
Bien à vous.
MC
« La barbarie napoléonienne, pauvre imbécile !
Ah ! on est bien dans une époque de trous du cul !
Napoléon a exporté les valeurs de la Révolution en Europe à coups de canons »
Les canons, c’était pour leur bien
L’aigle impérial a parlé…
Puisque nous sommes dans la folie syrienne, soyons fous ce soir à 20 heures : soyons marxistes ! Regardons « Monkey Business » avec Groucho, à l’heure même où le Tartarin de Bamako devrait nous indiquer lors de son bêbête show télévisuel le chemin du renouveau impossible.
Evitons la langue de bois la plus innapropriée qui soit, celle qui lui servira à expliquer cette folie malienne dans laquelle nous sommes engagé seuls : se porter au secours d’un Etat qui n’existe pas !
Alors, c’est compris : Groucho, oui ; Grouchy, non !
Eloge de la déchéance après éloge de l’amour éloge de la lenteur, de quoi ne fera-t-on pas l’éloge? Tout reste à écrire de ce monde paradoxal qui déroule son tapis au jour, éloge de l’infamie,éloge de l’impuissance, éloge de la diplomatie qui comme la littérature pour la Syrie n’atteint pas l’étage de l’efficacité, éloge des ententes, éloge des intérêts qui préfèrent maintenir un pouvoir assassin à la sauvegarde d’un peuple, éloge de la diversité de traitement donnée aux affaires courantes et aux affaires privées, éloge de la flagrance, éloge du discours qui ne courre qu’après lui comme un chien après sa queue pour ne pas sortir d’un cercle vertueux et encore à choisir les mots qui ne veulent rien dire pour créer l’illusion rassurante qu’une partie du monde à cheval sur ses mulets s’en va défendre la veuve et l’orphelin.
En fait jc est la plume de raymond
23h42 A votre avis ces gens se plantent et vous détiendriez la vérité sur des choses et des faits alors qu’eux ne trouveraient pas? Surprenant ce pas de coté qui vous confère un statut d’objecteur et qu’autant vous envient, de telles qualités recherchées par toutes les polices de France offriraient un réel avantage à ne pas rester au placard sous-estimées et inemployées, ils recrutent…
« …défendre la veuve et l’orphelin ? »
Où on va, là ? Où on va ?
Les veuves, en partage ; les orphelins en esclavage !
7h48 ne pas attendre Bloom, grève au pied levé? a’t-il raté l’avion? Sa vision bilingue va manquer.
http://bit.ly/YAhyTo
Bloom, ne fais pas semblant de ne pas voir l’appel lancé (en haut à droite), c’est pour la bonne cause : la langue anglaise. On compte sur toi pour desserrer les cordons de ton escarcelle.
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