De la folie en Syrie
C’est un livre sur la mémoire, le souvenir et le traumatisme qu’ils ressuscitent. Pour son premier roman Fils de Sham (125 pages, 10 euros, Diabase), Justine Bo a choisi le fragment, avançant par éclats longs de une à quelques pages, forme la plus adéquate pour exprimer la fulgurance du rappel. Sham veut dire « la Syrie » (As-Sham) ou « Damas » en arabe ; il fait également écho à la « malédiction de Cham », épisode de la Genèse (9, 20-27) dans lequel Canaan est voué au pire par son grand-père, Noé, pour une faute commise par son père, Cham.
La narratrice, que l’on devine jeune, française, hypocondriaque, s’adresse au père de son enfant. Jamais nommé, tout ce qu’on sait de lui, c’est qu’il est jeune, syrien et « opposant provocateur ». Résistant qui ne sait pas comment résister, il s’est fait ambulancier pour la Croix-Rouge. Volontairement retirée du monde après avoir vécu quelques temps en Syrie, jusqu’à être se vouloir recluse dans une maison en France, elle vient de commettre un crime. Le meurtre de son enfant qui vient de naître. En contemplant le cadavre, elle se souvient des premiers temps du soulèvement. Il n’était alors pas question de politique ou de main mise islamiste mais d’adolescents torturés puis assassinés par la police du régime. Elle garde auprès d’elle l’enfant qu’elle a tué. Une horreur intime dans un pays qui vit dans l’horreur à ciel ouvert. A force d’isolement, elle finit par se rendre sourde. Masochiste, elle s’impose des souffrances pour rester dans l’isolement. Ses tympans sont pleins de la « rumeur rampante de non-dits à venir ». La ville elle-même est traitée en cadavre : elle n’a plus de sous-sol depuis que les agents du mukhabarat, qui y torturent jour et nuit, les ont transformés en entrailles. Ce sont les viscères de la cité.
La révolution, si toutefois le terme est toujours approprié, est un grand chaos où les repères s’épuisent. Les hommes aussi ; celui auquel s’adresse la narratrice est déjà à bout de forces et d’espoir, exténué quand les événements s’emballent et que la révolte gagne la capitale. La guerre est vue comme une bataille d’histoires :
« une rixe perpétuelle que chacun oriente selon ses fantômes. Le langage se substitue aux corps pour détruire ce qu’il leur reste d’intégrité, et ruiner leurs âmes en vue de nouveaux affrontements. »`
Rien d’autobiographique dans ce roman bref (la bonne distance pour tenir jusqu’au bout sur ce ton-là) et sec, bien que cette jeune femme, qui termine ses études de relations internationales à Sciences Po, ait passé un an en stage au service politique de l’ambassade de France à Damas dans les premiers temps de la révolution. Rien d’autre que le ressenti de l’atmosphère, du fond de l’air, de l’ambiance ; et aussi certaines répliques captées au hasard des rues ou des cafés dans la bouche des opposants, telle celle d’un vieux militant communiste : « L’Etat n’a pas de sagesse et j’ai peur qu’il ait aussi perdu la raison ».
Justine Bo a choisi de paraître sous pseudonyme. Un raccourcissement de son nom. Comme tout livre est une construction, alors autant se construire aussi son identité d’écrivain. Ses « Injustes » lui ont été vraisemblablement inspirés en réaction aux Justes de Camus. Il y est question de l’odeur de la Syrie, du souk Hammidiyyeh, des rues de Salamiyyeh. Sauf que ces pages puent la mort. Quant aux titres de ses courts chapitres, on les croirait chus d’un recueil de poèmes de Paul Celan : « Dépouille de taule », « Reliques de sable »…
L’écriture est remarquablement tenue de bout en bout, ce qui donne d’autant plus de force aux violentes échappées telles que « la gueule d’Assad ». C’est un récit dénué de la moindre complaisance, nerveux, cru, ancré dans le réel absolu, sans guère de référence historique à l’exception de l’assabiya (cohésion sociale) chère au grand Ibn Khaldoun. En le refermant, on s’aperçoit qu’un sous-titre apparaît sur sur la page de titre : « éloge de la déchéance »… Il est tendu par l’acte millimétré de l’infanticide, qui ne dit rien de la géopolitique de cette guerre civile mais une bonne part de sa folie. Ce qui est précisément la vocation de la littérature.
(Photo Cerwann Aziz)
602 Réponses pour De la folie en Syrie
Jean-Claude, il faut maintenant aller faire un gros dodo. (Rose s’appelle Jean-Claude).
alors comme ça rencontrer passou, ce n’est pas mourir ..de rire , les vraies choses , rencontres se perdent, il n’y a plus d’après, plus de post après la RdL !
à -la- samar, samar, samarkand !
Pour ce qui est de bac qui serait payé, vous semblez oublier que l’examen se passe dans un lycée non privé.
—
Que nenni,TKT, je l’ai fait passer pendant plus d’une dizaine d’années, y compris comme président de jury (très intéressant), à Charleville Mézières, à Levallois-Perret, Neuilly, à Nogent-sur-Marne, dans le 13e, le 6e, le 17e, à Versailles… Grand moment, ce bac, et avec ses classes, on le repasse à chaque fois. Rien de plus gratifiant que le petit mot de reconnaissance de ses anciens élèves.
Sur la question d’acheter son bac, c’était une métonymie: je parlais des parents qui ont de quoi payer des cours supplémentaires le samedi, le dimanche dans des institutions ouvertes à cet effet pour que leurs enfants cartonnent. Certains sont plus égaux que d’autres.
Précision utile: ne jamais oublier que le privé ne l’est qu’en partie puisque subventionné grassement par l’argent public.
Malgré ces bons moments, je n’ai aucune, mais vraiment aucune nostalgie de l’EN, pas plus sinistrée que les affaires étranges, mais sans le dé-paysement si salutaire…Ubi bene, ibi patria.
Des espoirs à céder. Peu Chers. Pas grave.
« Pour tout dire, Roch était plutôt le genre de type à omoplates saillantes ; pas tellement grand, il avait un squelette qu’on voyait partout sous la peau, spécialement au niveau du thorax où les côtes dessinaient une série d’arcs de cercle. Des épaules, des coudes et des genoux pointus, quelques muscles qui ressemblaient à des tendons, et surtout une longue face famélique, au nez crochu, aux yeux enfoncés et aux joues creuses, accentuaient cet air général de caricature. Il n’était pas laid pourtant, on pouvait même à la rigueur le trouver beau en dépit de sa maigreur singulière. Quand il marchait, Roch balançait ses bras, à contretemps, ce qui disloquait le rythme de ses jambes. Il ne riait jamais, sauf un léger sourire qui était là en permanence sur ses lèvres, comme s’il y avait une plaisanterie qu’il n’arrivait pas à oublier. Il parlait vraiment peu, de sorte qu’on ne pouvait rien dire de sûr à ce sujet. Il ne buvait pas, et fumait de temps à autre une cigarette américaine. Personne ne le connaissait vraiment, pas même sa femme Elisabeth, et on ne lui trouvait pas d’amis. Il travaillait chaque après-midi et chaque soirée dans un bureau de renseignements pour le compte de la compagnie de voyage Transtourisme. Cela lui laissait la matinée de libre, et il en profitait de diverses manières suivant la saison. L’hiver, en dormant, l’été en allant à la mer. »
*trouvé contre un pur dans une librairie, sous un tourniquet de cartes postales
Si rose, c’est Jean-Claude, ergo, JC, c’est rose, la radasse du chemin des douaniers, aussi connue sous le sobriquet de « sous-mâle ».
Toshward Ho!
Bon, ce n’est pas bien grave.
C’est un billet qui encourage la jeunesse, salue une jeune femme, signale un nouveau roman, rappelle une situation politique.
Bravo.
Mais l’extrait donné par de nota a jeté un froid.
« L’écriture est remarquablement tenue de bout en bout, ce qui donne d’autant plus de force aux violentes échappées telles que « la gueule d’Assad » (PA).
C’est quand même excessivement gentil.
Les deux phrases suivantes sont extravagantes:
« J’ai reluqué le réduit de peau qui gisait là »
« J’ai scruté le marteau qui me matait en coin, du côté de sa lame torve, »
Reluquer…
C’est un parler-peuple d’agrégative.
La personne qui écrit ça n’a jamais dit « reluquer », ni probablement son grand père.
Même le vieux Sartre, quand il se mettait en salopette… Et pourtant, il en lisait, des Séries Noires!
Mais j’y pense, le personnage principal est peut-être une agrégative.
Dans ce cas, chapeau.
C’est criant.
Bloom dit: 28 mars 2013 à 17 h 01 min
Si rose, c’est Jean-Claude, ergo, JC, c’est rose, la radasse du chemin des douaniers, aussi connue sous le sobriquet de « sous-mâle ».
Toshward Ho!
à votre niveau slash ! 20000 lieues sous les mers.
IL ne faut pas parler de Bo à JC.
Il pense à Bo Derek.
>Bloom sous-marin avec ballasts.
Salut en fait c’est même pas vrai c’était Sabine. Extra ball ?
Oui juste songer à après, et qu’il s’agira de se racheter une santé et le reste. Comme Caligula ds la même de Camus « j’ai peur » face à son miroir, puis clamant « je suis vivant, je suis vivant ».
Sûr dans l’Histoire il est vivant comme un beau salopard. Belle Thrace. Telle la bave de la limace, juteuse et glissante à souhait =>patins à glace.
Y’aura pas de ter, quel soulagement.
IL : on peut pas l’écrire plus gros encore ? ERn gras en souligné ? En Gothique ? Eût-il aimé être écrasé ainsi d’un coup, un seul de marteau ? Cela aurait-il mieux valu ?
Rencontrer Passou c’est bien. Jacques B. Paul Edel aussi et diagonal l’ont rencontré.
Maintenant ceux qui évitent soigneusement la rencontre avec Passou, il y a de quoi, ah oui.
Bah !….
J’ai l’impression que la Rose a pris un coup de marteau sur la tête, du « côté de sa lame* torve ».
* cette Justine Bo bricole question littérature
C’est très bac à sable cette rdl, jardinerie pour enfants gâtés.
» puisque subventionné grassement par l’argent public. »
Bloom raffole du maigre.
« Rencontrer PA » semble avoir eu pour Jean-Claude un caractère nettement mystique. Ne le suivons pas sur cette voie. Jean-Claude a un côté Saint-Paul tombé de cheval qui fait froid dans le dos.
Baroz toujours aussi bête à ce que je lis. C’est comme si on allait confondre les valeurs idéales de la cour à la Renaissance et ce que dit de la cour J. du Bellay dans les Regrets, un petit rappel pour Baroz bêtifiant neu neu :
Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil
Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil
Ces vieux singes de cour, qui ne savent rien faire,
Sinon en leur marcher les princes contrefaire,
Et se vêtir, comme eux, d’un pompeux appareil.
Si leur maître se moque, ils feront le pareil,
S’il ment, ce ne sont eux qui diront du contraire,
Plutôt auront-ils vu, afin de lui complaire,
La lune en plein midi, à minuit le soleil.
Si quelqu’un devant eux reçoit un bon visage,
Es le vont caresser, bien qu’ils crèvent de rage
S’il le reçoit mauvais, ils le montrent au doigt.
Mais ce qui plus contre eux quelquefois me dépite,
C’est quand devant le roi, d’un visage hypocrite,
Ils se prennent à rire, et ne savent pourquoi.
Pour Tkt, je n’en parlerais pas. Il vieillit mal, il radote et s’invente ses propres arguments en les plaçant dans ma bouche, le pauvre vieux schnock. Affligeant ! Mais bien ordinaire.
Oui, la Rdl, c’est souvent bac +sable…
Il n’est pas impensable que Rose ait été engouroutisée à Marseille par le Christ de Drouant, le magnétique Passou.
(A votre disposition pour un désenvoutement d’une semaine dans l’île, 1.000 euros par jour. Succès garanti. Boissons non-comprises.)
On m’apprend à l’instant des choses qui confirment mon terrible pressentiment. « A Marseille », HR-Rose-Jean-Claude s’étant glissé(e)- on ignore dans quel appareil – dans la chambre d’hôtel de Pierre Assouline, lui a dérobé sa sortie de bain. Puis jean-claude s’est offert une vitrine réfrigérée (sic) pour la conserver, et la sortie de bain figure maintenant dans sa collection privée (très privée, personne n’est entré chez HR-Jean-Claude-Rose depuis le 7 février 1974 vers 14H45, -un plombier prénommé Fernando pour un problème de robinet, très fréquent chez Jean-Claude) sous le nom de « Tunique de Marseille », ou « Saint-Suaire de la Canebière ». Il faut noter que de nombreux miracles ont été observés par Jean-Claude depuis qu’il possède cet objet merveilleux. le 8 juin 1993, des nouilles trop cuites sont devenues al-dente. Le 7 octobre de cette même année un bouton de sa camisole s’est recousu tout seul, et le 20 septembre 2002 Jean-claude a réussi une crêpe. Gageons qu’il y aura bien d’autres miracles.
mais quand un psycho se fait analyser, le mot psychoanalyse tient la route. (Tkt)
Faut voir aussi l’état de la route…
Pauvre Tkt, je plains ses pieds…
Rose, pourquoi vous mettre martel en tête pour un roman que pas un d’entre-nous ne lira probablement jamais ! Vous prenez la littérature trop au sérieux. Vous croyez tout ce que vous lisez ? Il faut bien que notre fantasmagorie imaginative trouve à s’exprimer. L’écrivain n’est-il pas le reporter de la noirceur de l’âme humaine ainsi que de sa suprême beauté ? Relax, prenez un petit verre et souriez aux divagations de cette jeune auteure ! Nos larmes, en revanche, nous pouvons les réserver au drame qui se joue sous nos yeux volontairement fermés et réduit en cendres un pays de légende… Le sphinx de la grande Syrie renaitra-t-il à nouveau ?
On dirait que sur le pourtour de l’autre côté de la Méditerranée, la Bible, qui y est née, réactive les épisodes qu’elle nous contait, revus et corrigés par l’apport ultérieur de l’Islam. On s’y massacre allégrement, mais toujours au nom de Dieu.
Je trouve normal que Baroz ait eu une note minable en philo au bac. Il ne sait pas penser, et l’année de Terminale ne le lui a pas appris.
Moi, j’étais bon en maths (1er au bac) mais bon en philo aussi (15/20 avec le sujet suivant d’épistémologie qui me passionnait à l’époque : « Qu’est-ce qui est vrai ? »). Ah bah oui, y’en a qui étaient bons en philo aussi, et au bac français idem 15/20. Ah bah oui, mes petits chéris, c’est ça la classe. En math sup j’étais dans la première math sup à Chaptal, la plus forte. Ah bah oui, c’est comme ça. C’est quand même autre chose que Baroz et Tkt qui cause bcp mais de somptueux tombeaux moisis dans les cimetières n’ont hélas jamais fait les génies…
…apport ultérieur de l’Islam, qu’il gueule Baroz…! Il est drôle, Baroz ! L’Islam a apporté la guerre, autrement je ne vois pas.
Arrête de frimer, ML, moi aussi j’ai eu 15 en philo (lycée La Fontaine, avec un texte de Leibnitz qui reprenait la 1ère médidation métaphysique que je savais par coeur). J’en fais pas une histoire. Ce qu’il aurait fallu, c’est que ton examinateur lise ce que tu écris maintenant…
Méditation…
Bah, ça vaut rien, votre explication de Leibniz, vous la connaissiez par cœur ! Vous n’avez fait que réciter bêtement. Ça ne vaut rien. Tandis que moi, c’était pure création originale ! Ah bah oui, mon petit chéri ! Tu fais pas le poids, t’affoles pas.
C’est pas le Leibnitz mais la 1ère méditation de Descartes que je connaissais par coeur. Et sans l’avoir apprise, mon petit bouchon…
Bonne soirée,
Toi, on peut dire que tu le fais, le poids… Barozzi vaut cent fois mieux que toi.
Il avait les traits taillés à la serpe et le nez en lame de couteau.
Quand il l’a vit dans ce simple appareil, son sang ne fit qu’un tour.
Il avança vers elle des mains d’étrangleur.
Sa crinière blonde bouclait sur des épaules laiteuses.
Soudain, le téléphone retentit et l’instant devint une éternité.
Boudeuse, elle lui tournait le dos, et elle jouait avec le fil tout en repoussant les avances de l’inconnu avec une coquetterie féminine.
Elle lui évoquait Gertrude avec la cambrure de ses fesses et son port altier.
Les paumes de ses mains devenaient moites.
Il se sentait exclu, tout d’un coup, de cette conversation.
Il savait qu’il n’aurait pas trouvé les mots.
Elle jeta négligemment la serviette éponge qui lui ceignait les reins, et il sentit son coeur battre la chamade.
Comment ça, « on vous écrira »?
Il a dû faire math stup notre Ml!
A Sainte Anne Université…Comme Cobaye…
C’ est toujours l’ heure du bac à table.
Car tout élève moyen qui travaille en tant soit peu passe son bac à l’ aise et de tomber sur un texte récemment étudié, ça le fait aussi.
Passer un examen n’ a jamais rien prouvé pour la suite!
Chacun ses goûts, Ô bi tuaire !
Et ML, ne me corrige pas, c’ est intentionnel mon pseudo, il y a toujours un peu de cheval dans le plat préparé du boeufbac…
C’ est vrai qu’obituaire c’ est vilain phonétiquement!
Oui, la Rdl, c’est souvent bac +sable…
et dracul d’y enfouir ses colombins pour le faire plus vrai..
Barozzi vaut cent fois mieux que toi.
C’est pas parce que ML dit des conneries qu’il faut grandir baroz, il en dit aussi et des grosses.
Ah, si vous m’attaquez avec du Du Bellay, ML, j’en redemande !
Je pourrais vous répondre avec du François Villon :
« Ayez pitié, ayez pitié de moi,
A tout le moins, s’il vous plaît, mes amis !
En fosse gis, non pas sous houx ne mai,
En cet exil ouquel je suis transmis
Par Fortune, comme Dieu l’a permis.
Filles aimant jeunes gens et nouveaux,
Danseurs, sauteurs, faisant les pieds de veaux,
Vifs comme dards, aigus comme aiguilli,
Gousiers tintant clair comme cascaveaux,
Le laisserez là, le bon Barozzi ? »
De toute façon, le Président va parler.
Reluquer…
C’est un parler-peuple d’agrégative.
..si on se carre des marteaux de maçon dans lfion..aprés y’a contamination sémantique forcément
AVERTISSEMENT
Vous aimez François le Changement ?
Ne le regardez pas sur France 2, ce soir, il vous fera encore plus mal, bien chers cocus.
Vous haïssez François le Nul ?
Ne crachez pas sur votre écran, il est foutu, lui, sa clique ministérielle et ses pantins roses !
Bonne soirée en ville…
« Ce qu’il aurait fallu, c’est que ton examinateur lise ce que tu écris maintenant… »
Morte de rire !
Pauvres examinateurs !
c’est arrivée a une amie transilvanienne de reinfield qu’il a connute.. »oui oui tu es le marteau je suis l’enclume »..c’est là que le maçon a compris qu’il était fait cocu par le forgeron
Tu l’as dit bouffi, mais c’est un peu petit…
ben oui, comme le permis à points y’aurait un bac à points : jusqu’à 75 piges faudrait pas dire de conneries, sinon chaque fois on t’enlèverait des points. Alors t’aurais plus le bac alors que tu l’avais eu. A 75 berges tu te retrouverais tout nu, même pas le bac. Tu t’regardes dans la glace comme Caligula et d’un coup, t’as froid, t’as peur aussi. Je suis tout nu et j’ai pas le bac.
C’est pas une bonne idée ça ?
il est foutu, lui, sa clique ministérielle et ses pantins roses !
tu vas pas nous faire peur avec ton troisième tour social..la politique ça se fait pas dans la rue jicé
Bloom, l’argent dépensé par les nantis, pour l’éducation de leurs enfants, est un bon investissement.
tant qu’il est pas cocu par l’électricien qui lui met le feu (et fait itou des r »flexions très pertinentes). Je connais un mec cocu, tout le monde le savait sauf lui : il me l’a dit, j’ai pas compris. Pas cocu une fois, cocu moult fois et lui que nib que dalle. C’est pas comme le mec cocu qui te le dit mais qui est d’accord (c de + en + ça d’ailleurs, surprenant !).
Je suis tout nu et j’ai pas le bac
toute nue rose..t’aimes le strip poquère
La mauvaise langue dit: 28 mars 2013 à 17 h 54 min
[…] mais de somptueux tombeaux moisis dans les cimetières n’ont hélas jamais fait les génies…
pas du tout : sous les tombeaux, pas moisis mais vermoulus il y a de très nbreux génies (et ce n’est pas fini).
C’est pour cela que vous retournez à Chaptal, pour faire la boucle ?
Rose tout(e) nu(e) c’est les chutes du Niais Gars Ras !
Non, une pierre n’est jamais vermoulue c’est le bois qui l’est. Comment dire alors le vert qui envahit la pierre, ce n’est pas du moisi c’est de la mousse chlorophylle etc. Fougères and so on.
Moisi ça va pas. Vermoulu c’est pas mieux. Érodé ce n’est pas terrible. Peut mieux faire.
>Ô bite, hue, erre
Ô je vous ai copié ML pardon
– Vous pensez que c’est faisab’
– Oh la la ! On va avoir du mal à décoller les sous-vêtements !
Pauvre forgeron !
Il a tout gagné.
Avant il était bien tranquille le forgeron dans sa forge, c’est foutu pour lui. Toujours des marrons au feu et toujours à ahaner.
Enfin, il l’a voulue, il l’a eue.
– C’est quoi ce bruit ?
– Tout est tombé !
TKT dit: 28 mars 2013 à 18 h 40 min
Bloom, l’argent dépensé par les nantis, pour l’éducation de leurs enfants, est un bon investissement.
_______________________
Tout à fait d’accord quand l’objectif est atteint.
Bloom, l’argent dépensé par les nantis, pour l’éducation de leurs enfants, est un bon investissement
un bon ultralibéral doit préfèrer se souler la gueule et aller a pute..les mômes c’est chiants..ça casse ta ferrari et te pique tes bimbos vontraube
3615codecivil dit: 28 mars 2013 à 7 h 25 min
….intéreçant vote massage….sens hironni (puissque jle dis, croillez-moi)….é tré bien écri pou mon cerfo d’interlocutré qui passe fassilement du préfrontal à la goche à la droite….
….pou « la lenteur », en revenche, cé lparadocse, moin çur: on pert en lenteur, leureaupe pert en lenteur, la litérature pert en lenteur, tou pert en lenteur….ce qui été une cokèterie dan les anés80 peut tré bien ètre une rézistence jourdui….en touka, pou ce qui est dla lenteur….puisseque jle dis….
…..au k par k versayé, j’aplodis à tou rompre….
….é çan hironni….
(geai pa dmachoare, pa charétable dse moko-quai)
Le mot, c’était pas « effarant », c’était « sinistre ».
Pas tout rose… dit: 28 mars 2013 à 17 h 46 min
cela me fait éminemment penser au type seul dans sa cuisine qui dit « je tiens sept ans oh oui je tiens sept ans oh oui je vais tenir sept ans.
cela me fait éminemment penser à la meuf seule dans sa cuisine qui dit « je tiens sept ans oh oui je tiens sept ans oh oui je vais tenir sept ans.
Eh oui.
Si ce n’est que le mec, lui, ne tient pas sept ans : son cul c du poulet. Si c’eût été du cheval j’eus été moins contrariée.
Toujours des marrons au feu et toujours à ahaner
il est moche et cocu mais sa femme c’est vénus rose.. »quand t’es cocu ta femme est belle et t’as beaucoup d’amis » il étoye pas con celui qui a dit ça
D. dit: 28 mars 2013 à 18 h 51 min
Tout à fait d’accord quand l’objectif est Tatin.
quelle tarte, ce D…
TKT dit: 28 mars 2013 à 13 h 58 min
Rater un examen ou un concours, ne veut quand même pas rien dire.
Le contraire non plus.
_____________________________
vous avez tout à fait raison, une fois encore.
rose dit: 28 mars 2013 à 18 h 54 min
Jean-Claude Rose, tu me fais bien marrer, encore que je ne comprenne pas un traître-mot de ce que tu te racontes.
Mais ne suis pas ton médicament…
Bonsoir.
son cul c du poulet. Si c’eût été du cheval j’eus été moins contrariée
tlé joli..mais montaigne eut préféré du poulet..ça lui aurait fait moins mal au cul
quelle tarte, ce D…
_______________________________
Je vous conseille de faire très attention à vous parce que je peux facilement demander à faire sauter vos messages et vous blacklister.
Donc continuez et vous verrez.
A moins bien entendu que vous ne présentiez dès maintenant des excuses.
Mais c’est une vraie roue de paonne que nous fait D. autour de TKT !
Que d’accords… avant les désaccords…
Bon…
Le mot psychoanalyse ne tient pas la route, mais on comprend de quoi il est question.
Ce n’est pas la peine d’essayer de se justifier à chaque fois. Est-ce que j’essaye de me justifier, moi ? Et pourtant je reconnais ne pas être absolument parfait.
Mon pauvre Barozzi…
bouguereau dit: 28 mars 2013 à 18 h 39 min
il lui (à jicé) tarde de balancer des cadavres à la flotte ça lui rappelera l’époque qu’il crapahutait dans le djebel
> A moins bien entendu que vous ne présentiez dès maintenant des excuses.
désolé j’ai pas gardé les photos d’excuses.
Demain vendredi saint, tête de veau (pas de très belle image avec du persil dans les narines) ; recette :
« Plat principal
Moyennement difficile :
Moyen :
Préparation : 30 mn + 2 h de trempage
Cuisson : 5 h 15 mn
Ingrédients (pour 6 personnes) :
– 1 tête de veau
– 20 cl de vinaigre
– 2 cuillères à soupe de farine
– 1 oignon piqué de 2 clous de girofle
– 1 bouquet de persil (C’est cousincrétin qu’y est) parti
Pour la sauce:
– 6 échalotes
– 10 cl de vinaigre
– 1 branchette de thym
– 1 feuille laurier pilée
– 1 cuillère à soupe de cerfeuil et d’estragon haché
– 3 jaunes d’oeuf
– 60 g de beurre
Préparation :
1 – faites dégorger la tête de veau pendant 2 heures dans de l’eau froide additionnée de 10 cl de vinaigre (y va être heureux mon René). Egouttez-la et lavez sous le jet du robinet en faisant passer l’eau dans les narines et les oreilles. Enveloppez-la dans un linge fin (style foulard) et nouez aux quatre coins.
2 – plongez la tête de veau dans une grande marmite remplie d’eau froide et de 10 cl de vinaigre, ajoutez l’oignon piqué, le persil, le sel, le poivre, et la farine délayée dans un peu d’eau.
Portez à ébullition pendant 5 heures.
3 -lorsque la tête est presque cuite, préparez la sauce:
* pelez et hachez les échalotes, mettez les dans une casserole moyenne avec le vinaigre et faites réduire à feu vif pendant 5 à 6 mn.
*ajoutez le cerfeuil et l’estragon hachés, le laurier pilé et le thym.
* mouillez avec une bonne tasse de bouillon de cuisson de la tête et laissez cuire 2 à 3 mn.
* retirez du feu, et incorporez les jaunes d’oeuf dilués dans un peu de bouillon, ajoutez le beurre en remuant doucement.
* tenez la sauce ravigote au chaud (au bain-marie).
4 – égouttez et épongez la tête de veau, désossez-la et coupez en morceaux.
Servez chaud avec la sauce à part
J’avais oublié le Persil dans les narines ça fait plus chic…C’est cousin CrétinHubert qui est parti le chercher, mais comme vous le savez, il a des petites Jambes…(remarquez, y a pas que ça…..)
Je dis ça, je dis rien…. »
blog de cousine blette on gougueule
Amusez-vous, Rose, mais ce sera un jour à votre tour de cuire en Enfer.
– Bas les pattes, Chuck. Tu crois que je n’te vois pas, passer ton temps à m’reluquer ?
– Il faut m’comprendre, Marge. J’ai trop attendu. J’n’ai qu’toi, tu l’sais.
– C’est ça, avec ta bande de bons à rien, qui passent leur saint’ journée à mater les filles.
– Si tu voulais, Marge, si tu voulais.
– Des pwoblèmes, Mamzelle Mawge ?
– Ca ira, Sam. Et toi Chuck, laisse tomber.
– Vous dewiez pawtir, M’sieur Chuck.
– Te mêle pas d’ça, toi. Renvoie-le, Marge. Tu sais qu’je suis à cran.
– Si t’avais voulu, Marge, si t’avais voulu. On l’aurait eu, not’ place au soleil…
– Non mais voyez moi ça, cette dégaine. Pour s’occuper d’une femme, il faudrait d’abord être un homme.
– Ne m’pousse pas à bout, Marge. Ne m’pousse pas à bout…
C’est du Audiard !
C’est un sacré match qui se prépare sur A2 ! Notre président ne pourra en sortir que vivant ou mort ! Les anti-homos attaquent…
Hollande fait son intervention le Jeudi Saint, jour de célébration de la Sainte Cène.
Ce n’est aucunement un hasard. Je l’ai toujours senti christique.
Jacques Barozzi dit: 28 mars 2013 à 19 h 05 min
Et il s’y connait en roue le baroz, passou, popol, nous.
Il fait son paon, au goût du jour
D, vous sentez la muraille humide. Et le coing.
Rose n’aura pas à chercher la tête de veau bien loin. Demain, elle se cuisine lui-même… Tout un programme.
D, je vous sens diminué.
* tenez la sauce ravigote au chaud
le dictateur de blumenfeld
Jacques Barozzi est resté du temps d’Antenne deux. Ce fut son époque glorieuse.
C’est exact, je sens la muraille humide, mais pas le coing.
‘ 1 oignon piqué de 2 clous de girofle ‘
Les fins palais se contentent volontiers d’un seul.
D, je vous assure que vous sentez le coing. C’est une odeur très tenace. Vous devriez passer votre camisole en machine.
Excusez-moi, je voulais dire : votre liseuse.
Barrose vous êtes sauvé, Hollande prévoit un plan pour le bâtiment !
Quant à la muraille humide, c’est parce que j’aime me frotter contre elles. Je rentre souvent chez moi avec des trainées de salpêtre d’ailleurs.
Ne me dites pas que je suis le seul à ne pas regarder Hollande en ce moment. Ne me le dites pas !
Notez bien, Jacques, que je ne suis aucunement anti-homo. Je n’ai pas le droit. Mais ce n’est pas parce que je suis pas anti que je suis pour une expression d’iceux débridée, libérée et exacerbée. Vous saisissez la nuance ?
En réalité, vous m’avez toujours été sympathique. Je vous trouve un peu susceptible parfois mais qui ne l’est pas ?
Il y a toujours eu des plans dans le bâtiment. On ne peut pas en faire sans, ou alors c’est de l’improvisation dangereuse.
Rien de nouveau en somme.
J’ai l’impression de parler seul ici, c’est désagréable au bout d’un moment.
Non, tu n’ es pas seul dédé!
Je ne regarde pas, j’ ai trop peur!
Dites-moi D,ça fait plus de 45 minutes et y cause toujours?
Le Président a parlé à JC.
Il a voulu donner un cap à JC.
Il a voulu rassembler, car JC est dispersé.
Il demande à être jugé sur les résultats par JC.
Donner un cap.
Rassembler.
Maintenir l’espérance.
« Donner un cap.
Rassembler.
Maintenir l’espérance. »
C’est christique, c’est un sermon de curé d’ église!
Ses écrits me manquent terriblement.
Aujourd’hui j’ai cependant été comblé, de façon toute à fait inattendue.
vous en êtes où ?
personne n’a trouvé son vrai nom qui commence par Bo : Bodelaire, Bojolais, Bopopotin… ?
personne n’a fait une lecture comparative entre ce livre et celui de Bayard : aurais je été bourreau ou bien bourreau ou encore bourreau ?
ni avec les bienveillantes de Littell, pourtant en syrie des max aue c’est comme les feuilles mortes on les rammase à la pelle.
autant dire que nous en sommes toujours au même point.
à se demander à quoi servent les articles Assouline.
quand on pense tout le mal que se donnent les gens à s’entretuer et torturer leur prochain juste (dans leur immense bonté naturelle) pour permettre à des écrivians d’écrire des livre, des éditeurs de les publier, des critiques de les critiquer on se dit qu’au lieu de se mettre sur la tronche ils feraient mieux de regarder le foot à la télé.
l’historien a besoin de l’écrivain pour rentrer dans le détails de l’intime de la coonscience de la singularité…
le journaliste a aussi besoin de l’écrivain.
l’écrivain quant à lui a besoin de l’historien mais aussi du journaliste qui de sont côté à aussi besoin de l’historien.
preuce que dans nos sociétés, il existe encore des niches d’entraide et de solidarité.
Moi, D, c’est ta prose qui m’envoûte : aussi parfaitement vide qu’une cloche sans battant, plate comme la Beauce, molle comme une gelée anglaise, fade, désheurée, décervelée, un vrai trou noir.
Excusez-moi, D, je vous ai tutoyé par mégarde. Et de plus, j’ai oublié la clausule : la perfection !
je vous promets, je ne recommencerai pas.
si les journalistes, les historiens, les écrivains et les philosophes ont besoin des autres !
qui, dans ses conditions a encore besoin d’un plombier ou d’un serrurier ?
l’historien ! quand il a perdu ses clés, pour rentrer chez lui il se retrouve dans une situation où il a plus besoin d’un serrurieur que d’un écrivain.
à moins bien sûr de tomber sur un serrurier écrivain, c’est rare mais ça existe.
D, vous sortirez de cette nuit obscure.
Hamlet, tout ce que vous écrivez, c’est vraiment de la grande pensée. Vous êtes le pénix des hôtes de ces bois (un coup pour la route).
Le pHénix, vous aurez corrigé de vous-même.
Est-ce que vous seriez fâché, Hamlet, si je vous disais : « Vous mouillez le maillot »?
grâce au travail conjuqué de l’écrivain, de l’histoirien, du journaliste et du philosophe nous n’imaginons pas les progrés accomplis, sur la compréhension des massacres, des guerres et tous les autres catastrophes qui s’abattent sur ce monde.
on se demade comment les gens faisaient avant, il y a cent ans.
Hamlet, vous mouillez tellement le maillot que je vous conseillerais volontiers de vous mettre une couche sous chaque aisselle.
Oui, c’est vrai, Hamlet, on se le demade vraiment !
Sans compter, comme le rappelez si justement, Hamlet, l’histoirien.
Comme tout cela est juste !
Si juste d’ailleurs, qu’on se demande si vous ne vous sentez pas un peu à l’étroit.
Moi aussi, D, je peux vous faire mettre à l’index !
C’est vrai, Hamlet, c’est tellement vrai. Un homme qui a un problème avec une serrure a besoin d’un serrurier. Un homme qui a un problème avec un tuyau a besoin d’un plombier. Un homme qui a un problème avec ses impôts a besoin d’un expert-comptable. Et celui qui a un problème avec une vitre a besoin d’un vitrier. Tout ce que vous écrivez coule tellement de source qu’on en est presque troublé.
les pages de ce livre puent la mort ?
comme il n’est pas le seul quand on entre dans une libraire elle pue aussi la mort.
la littérature actuelle pue la malheur et la mort.
pourquoi? parce que nos écrivains sont tous des humanistes.
être humaniste est une lourde responsabilité, quand il y a une guerre, quand quelqu’un souffre, un humaniste se doit d’en parler.
parler d’autre chose serait une faute professionelle.
les feuilles mortes on les rammase à la pelle.
Vous avez raison, Hamlet. Je dis souvent à Rose: « Rose, quelle rammaseuse vous faites ! ».
D., tout cela était une plaisanterie. Je vous adore et vous demande de continuer car sans vous que serait ce blog : une morne plaine vide parsemée de morts sous un ciel de grisaille.
Il neige de l’humanisme sur des aisselles en coton.
D’ailleurs j’ai choisi cette astérisque parce vous êtes véritablement, D., une étoile splendide qui irradie gaieté et chaleur partout autour de vous.
Peu vous arrivent à la cheville D., c’est le constat que je fais depuis longtemps.
…
…d’ou qu’elle vienne la » démagogie « ,…doit rester sur ses terres,…or,…en arriver à faire des lois,…par un vécu personnel,…
…
…que ce soit de gauche, de droite ou du centre,…c’est abscons,…
…
…une question qui me vient à l’esprit,…en parallèle inversé comme sur une balance,…
…
…si, on est arrivé avec la technologie de la photographie à remplacé avantageusement l’artiste du portrait et du paysage dans l’exactitude des traits et dessins en couleurs,…Oui,…
…Oui,…
…quand auront nous des appareils sophistiqués genre scanner et infrarouge, pour pouvoir remplacer avantageusement toute les spécialités des artistes » médecins « ,…
…
…déjà,…qu’en 1975,…je disait à mon dentiste,…tiens pourquoi on ne galvanise pas toute les dents séparément par un procédé sein,…comme on restaure des objets précieux,…
…
…le client qui cherche son indépendance thérapeutique n’est plus » roi « ,…C.Q.F.D.
…
…déjà que l’état devrait payer des contributions pour l’installation des panneaux solaires » privé » et racheter l’électricité des particuliers,…
…
…on n’arrête pas le progrès,…le futur,…une zone de convivialité très privé,…les Dieux en devenir,…avec de beaux cas par cas,…à ressourcer,…de bonheur éternel,…
…le billet,…un sujet d’apparat,…une plume de paon pour couvre-chef,…
…etc,…envoyer,…
D* dit: 28 mars 2013 à 23 h 06 min
D* dit: 28 mars 2013 à 23 h 09 min
D* dit: 28 mars 2013 à 23 h 10 min
D, vous vous encensez vous-même, vous vous faites l’imposteur de votre ange gardien. Ce n’est pas une plaisanterie ! Cessez immédiatement.
D, c’est vrai, peu de gens vous arrivent à la cheville, depuis que vous habitez un cinquième étage, mais c’est la seule vérité !
Oui, il m’arrive de converser avec moi-même. Ce sont de doux entretiens, une manière d’entretien avec les muses. Peu peuvent comprendre. Je m’apprécie et je ne m’en suis jamais caché.
Ce soir j’ai manché du choux cuit en cocotte. Je n’ai pas jeté la première eau de cuisson, on verra bien ce qu’on verra. Maintenant je vais me coucher. Il n’y aura aucune intervention de moi demain, de D., d, d* ou ‘d. S’il y en a une vous serez assuré que ce ne sera pas moi, au contraire de ce soir.
…
…Mr,…D*,…
…
…vous jouer à imiter le genre schizophrène,…c’est à dire le dédoublement de la personnalité,…
…c’est un bon début pour devenir un grand écrivain,…de la réalité fiction,…
…etc,…
à l’instant , je lis , en ayant suivi le twwet « Gerassi, ventriloque de Sartre »
merci !
De toute la soirée , je n’arrivais pas à me connectet aavec la RdL, et j’ai commencé à en souffrir cruellement : non que j’aie eu envie d’écrire , mais il me semblait qu’une condamnation avait décidé de me rejeter pour laconisme identitaire, et amnésies partielles .
quel soulagement donc pour moi :merci P.Asssouline.
à tous , bonnes dé/re:constructions thérapeutiques
qu’il me soit permis d’jouter qu’il y a des commentaires sur le blog de Tobie Natahn sous le titre:
Nouvelle publication sur Le blog de Tobie Nathan
Expertiser les experts
qui risque décourager certains commentateurs de répéter scientifique
« … plus ou moins si, pisque c’est la référence..tu vas pas nous mettre l’intelligence dans les étoiles… »
Hé, bouguereau ! tu n’as jamais rencontré des gens qui se sont enrichi et ils ont changé de classe toit en étant moins que moyennement intelligents ? Inutile de mettre l’intelligence dans les étoles…
Critique patenté,le Passou,
à soutenir un texte qui n’est qu’accumulation de mots grossiers,
sans souffle ni rythme,
qu’un slameur du 9.3 n’oserait même pas chuchoter de peur de se faire rire au nez !!!.
Merci à De Nota, ou autre,
de nous en avoir mis un extrait.
La qualité du critique n’est certes pas mis en valeur,
lors, complaisamment, il nous demanderai de cette Bo dans sa B.O, la lire !!! !! !.
« Pour elle, d’une douzaine de lapereaux,
Un sizain, je fis…
Rouge, restent la pierre et le marteau. »
Bonux.
23 septembre 2011 à 00:01
barani
Petite phase détente
L’institutrice présente à la classe un nouvel élève arrivant du Japon:
– les enfants voici un nouvel élève qui s’appelle Sakiro Suzuki.
Le cours commence. L’institutrice :
– Bon, voyons qui maîtrise l’histoire de la culture franco-américaine.
Qui a dit : DONNEZ-MOI LA LIBERTE OU LA MORT?
Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main : »Patrick Henry, en 1775 à Philadelphie. »
L’institutrice : « Très bien Suzuki ! »
Et qui a dit : L’ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER
Suzuki lève la main : « Abraham Lincoln, en 1863 à Washington . »
L’institutrice : « Excellent, Suzuki ! »
Maintenant, qui a dit : « JE VOUS AI COMPRIS »
Suzuki lève la main et dit : » Charles DE GAULLE ! »
L’institutrice regarde les élèves et dit : « Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l’histoire française et américaine mieux que vous ! »
On entend alors une petite voix au fond de la classe : » Allez tous vous faire enculer , connards de Japonais ! »
« Qui a dit ça ? » S’insurge l’institutrice.
Suzuki lève la main et, sans attendre, dit : » Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982,lors de l’assemblée générale de General Motors. »
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret : « Y’m’fait vomir… »
L’institutrice hurle : » Qui a dit ça ? »
Et Suzuki répond : « George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991. »
Un des élèves se lève alors et crie : » Pomp’moi l’gland !!! »
Et Suzuki, sans sourciller : » Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington et DSK à une femme de chambre du Sofitel de New-York 2011″
Un autre élève lui hurle alors : » Suzuki, espèce de grosse merde ! »
Suzuki : » Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002… »
Un autre élève crie plus fort : – Casse toi pov’con
Et Suzuki répond : »Trop facile celle-là, Nicolas SARKOZY au Salon de l’Agriculture 23 février 2008 à Paris à un visiteur peu doué en grammaire
La salle tombe littéralement dans l’hystérie, l’institutrice perd connaissance, la porte s’ouvre et le directeur de l’école apparaît .
» MERDE, je n’ai encore jamais vu un bordel pareil ! »
Et Suzuki : »Martine Aubry en arrivant à la tête du Parti Socialiste
Nonne Notte !.
…
…l’âge de l’art de beurré la tartine,…avec la » marmalade « ,…se sucré les fruits en gelée,… écrasés,…cerises,…fraises,…framboises,…poires,…myrtilles,…abricots,…les confitures de textes et d’histoires pour en faire des bleus à l’eau de rose,…etc,…
…etc,…et fermé hermétiquement le récipient,…
…
Pour oeuvrer à l’équilibre du monde, un petit pan de ce je ne sais quoi qui rend la littérature aussi essentielle que l’air et l’eau (l’un et l’autre étant irrémédiablement pollués ces temps ci, il s’en suit que etc….)
ADA OR ARDOR, de Vladimir Nabokov:
« One afternoon in the spring of 1871, [Dan] proposed to Marina in the Up elevator of Manhattan’s first ten-floor building, was rejected at the seventh stop (Toys), came down alone and, to air his feelings, set off in a counter-Fogg direction on a triple trip round the globe, adopting, like an animated parallel, the same itinerary every time. In November 1871, as he was in the act of making his evening plans with the same smelly but nice cicerone in a café-au-lait suit whom he had already hired twice at the same Genoese hotel, an aerocable form Marina (forwarded with a whole week’s delay via his Manhattan office which had filed it through a new girl’s oversight in a dove hole marked RE AMOR) arrived on a silver salver telling him she would marry him upon his return to America ». (p.11)
Jubilation pure à l’union du son et du sens (O for a triple trip on a sliver salver…)
Passou ligne d’ombre dit: 29 mars 2013 à 3 h 06 min
Nonne Notte !.
….jla connessais….ta nan pa une qué dtoi? une improvizée, just pou moa?
….toa té simpa, jssan que tu va chaircher lontan pou mfère plézir….méssi….
….é copi pas! lainpuiçansse, lgaude et lé sérafins cé dégea fé par ton coché…
…. une ôte, une ôte!
….é çan fote….toa qui rekopi….messie pière qui roulle! bizous!
….pière qui roulle dé mékaniques mousse pa des masses….cé pa ton coché korait trouvé….
….aufét, chuis entrin dpanser, tu parlé àqui? chuis pa bonux ou barani, mé tu lsais dégeai, hain….
…. »déjà »….hérathum….pa « dégeai » qui veut rien dire….
De la Folie en Syrie, à la Folie en France
ANNONCE ILLEGALE
Vous êtes instruit
Vous êtes blanc
Vous êtes ambitieux
Vous n’avez jamais travaillé
Vous n’avez aucune compétence
Vous n’êtes qu’un rouage politique partisan
Vous n’êtes qu’un privilégié
Vous ne savez pas où vous allez
Vous n’avez aucun charisme
Vous voulez devenir un homme d’Etat admiré
Tentez votre chance !
Inscrivez vous à notre cours sur Internet :
DEVENEZ PRESIDENT en dix leçons !
Pourquoi pas vous ….?
JC, on reste tout de même assez soulagé que ce ne soit pas un autre…
» tête de veau (pas de très belle image avec du persil dans les narines »
Le persil va bien à jc
Charles, vous avez le profil !
Je vous inscris ?
Examinateur des présidents, vous avez raison : restons optimiste ! Nous aurions pu avoir un Raymond Domenech et nous avons un Didier Deschamps… Sauvés !
G->(D->)V?
Certes !
D’autant que le premier nombre premier à dix chiffres dans les décimales de e est 7.427.466.391, qui commence à la 99e décimale…
Le persil dans les oreilles aussi ça lui va bien à JC de PQ
« Examinateur des présidents » 29 mars 2013 à 6 h 57
Prions pour cet autre, crucifié dans son honneur, souillé dans son innocence, martyrisé dans son intégrité
Merci mon Guano, îl y que toît qi me conprant…
Je dit sa, je dy riain ! (tu troufe pa qe phais de rudde preaugrêts en ortaugrafe?).
Meintenant que j’ai du tant à moua, je fais aussi du pino, du vilon, de la harde, du golph, je prent des court de cuysyne, de couture et de maintient.
J’y ai songé ce matin elle doit être une élève de Passou, Bo =>le soutien. C’est du prosélytisme. Pourtant je l’/vous estime bcp Passou. (j’ai aussi mes faiblesses). N’insistez pas : c’est Pâques après demain. Soyez généreux (pour une fois).
Pourquoi tant de Y? y’a pas que la moussaka dans la vie essayez les soufflacquis.
« D. dit: 28 mars 2013 à 20 h 58 min
Ne me dites pas que je suis le seul à ne pas regarder Hollande en ce moment. Ne me le dites pas »
Si je te le dis D : tu as été tout seul à regarder Hollande à la télé. Ce n’est pas une tare. Un jour, toujours, faut qqu’un qui dise courageusement les choses à celui/celle qui veut pas les entendre. A Yom Kippour c mieux passk’on s’y attend, c’est – choquant.
Les phrases habillent et c’est miraculeux tout le monde et n’importe qui, je projette de poursuivre ma grève de vous Rose entre autres éléments du tableau, grande fresque picaresque qui rassemble pas mal de monde, il aurait été bien que le peintre pense à pousser les bords pour en mettre plus encore, pas eu le temps vraisemblablement ou peut-être n’a-t-il pas eu le temps d’embrasser le monde dans toute sa splendeur atténuée par modestie.
« D. dit: 28 mars 2013 à 19 h 49 min
Amusez-vous, Rose, mais ce sera un jour à votre tour de cuire en Enfer. »
Merci D. je m’en doute bien : mais
1/ je ne serai pas seule.
2/ je crains terriblement le froua
3/ il y aura de la bonne compagnie
Bonne journée.
Être avec saint Pierre toute la sainte journée pour savoir qui entre qui n’entre pas c’est lassant ; je les laisserai bien tous entrer et saint pierre me morigène ce que je déteste tout particulièrement.
Quand reparlera-t-on des rejets responsables de la prolifération des algues vertes sur nos cotes océaniques? Le fait politique ou son absence génère des tas d’inconvénients il s’attaque à l’arbre en unique métaphore du temps transformable et matérialisé, rien à y faire, les tronçonneuses ont remplacé les cognées et se sont emballées pour un grand massacre et c’est encore des mots qui tombent en pluies acides ou amères je sais pas j’ai pas goûté.
Rose le diable s’est arrangé pour choisir ses préférés et chez St Pierre c’est tous les jours portes grandes ouvertes pour accueillir à flux tendu les recalés de l’enfer c’est les autres, c’est pas moi, c’est lui…
Pâques : trêve ?
Reparler alors des algues vertes ?
« N’ayez pas peur ! ». Le sujet est marronnier.
Saisonnier aussi, et pas seulement touristique
mais photosynthétique, dépendant de la quantité
de lumière quotidienne. Patience donc !
Chloroplastement.
c’est pas moi, c’est lui…
t’as un abonnement?
J’ai pas fait Francais ou philo mais ebenesterie…pour mon brevet, j’ai fait une superbe triangle qui m’a sauve cho a l’oral..la prof semblait impressionee, en tous cas…
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NEWS
« Le magasin en ligne américain Amazon.com a annoncé jeudi 28 mars qu’il rachetait le réseau social littéraire Goodreads pour un montant non divulgué,
Lancé début 2007, Goodreads revendique aujourd’hui plus de 16 millions de membres et 30 000 clubs de lectures. La plate-forme permet notamment de voir ce que ses membres lisent en temps réel, de découvrir de nouveaux titres et d’entrer en connexion avec des auteurs. »
Passou ! Vous n’allez pas vendre la RdL, réseau social littéraire de prestige, sans nous en parler, hein ?
Euler a raison !
Si vous vendez, Passou, laissez-moi négocier un meilleur prix. Juste une petite commission.
On est entre amis, non ?
Abdel, ta tringle d’ébéniste en forme de « superbe triangle », c’est justement ce qui a dû impressionner la prof. En fait, c’est la peur qui t’a permis de réussir ton certificat d’études primaires ….
Goodreads revendique aujourd’hui plus de 16 millions de membres et 30 000 clubs de lectures
la rdl c’est 3 pelés et 4 épilées..trés prestigieux et elitiss..bref c’est trop cher pour djef baizosse
j’allais mettre 3 collabos et 4 tondues..mais dracul aurait dit qu’il faisait double compte
..bah oui mes ptis chéris
Bougboug, tu pars toujours battu ! la RdL c’est une pépinière de vertus, un vivier de génies frétillants, un musée d’universitaires lettrés, un cloaque d’enfilés au gode-ceinture ! C’est vendable !
Après le mariage pour tous, le gouvernement va s’attaquer à l’indifférenciation des sexes.
« INÉGALITÉS – Comptines, jouets, jeux… Les stéréotypes garçons-filles se forment « très tôt », bien avant l’entrée à l’école, si l’on en croit un rapport remis jeudi 28 mars à la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem. Dans les lieux d’accueil des jeunes enfants par exemple, les activités choisies contribuent fortement à une différenciation des sexes. »
les activités choisies contribuent fortement à une différenciation des sexes
j’allais dire « on est égaux devant la sodomie » mais « devant » ça fait con..enfin..
C’est vendable !
déjà vendu aux forces du mal..individuellement et à pas cher..ils appartiennent tous a satan
sauf moi..vu que j’ai pas d’âme
« Les stéréotypes garçons-filles se forment « très tôt », bien avant l’entrée à l’école, si l’on en croit un rapport remis jeudi 28 mars à la ministre des Droits des femmes »
Et ils ont du attendre un rapport pour nous faire cette découverte extraordinaire ?
Bon, ça doit être scientifique… et j’imagine important l’apport des experts : scientifique, important, apport, experts entre guillemets… naturellement…
Maintien des différences dans le cadre du maintien des inégalités, cornecul !
Il faut, à tout prix, lutter contre cette volonté de ne pas différencier les sexes ! Pour cela, organiser la distribution en maternelle de :
-garçons, petites armes distribuant des bonbons, uniformes militaires, outils, gants de boxe légers, ballons ovales, petits verres à bière en plastique
-filles, trousse pour make-up, poupées, casseroles, tricots, crochets, petit piano et partition de Chopin, corset de maintien pour affiner la taille, petits bébés roses
Cela devrait diminuer le nombre d’indécis sexuels et renforcer solidement les frustrations qui contribuent à structurer toute société réussie…
10h22 on se connait? si oui pourquoi cette question? si non même question?
Pour une bonne parité, la solution serait de prélever un testicule aux nouveau-nés mâles et le greffer sur les femelles ? A charge pour elles dans faire autant plus tard avec l’un de leurs seins !
vaut mieux être pédé suisse que swissgay en pianotant sur une french touch
mais les anglo-saxons auraient-ils le même effet? on se le demande… mais keskonrigole…
d’en, enfer !
Je peux me tromper mais Justine Bo ne doit pas être madame Bouguereau à la ville. Bien que cela reste possible ; tout dans les thèmes du roman l’indiquerait presque pourtant (non pas tant la reprise du mythe de Médée déchiquetant ses enfants qui donne un côté très shakespeasyrien au livre mais sait-on jamais mes petits chérifs), ainsi que dans l’expression (le style n’est pas sans rappeler une Virginie Despentes laconique en train de faire du tricot dans les traboules de Lyon sous les bombes lancés depuis les avions du monde masculiniste francawi.)
Jacky,
je suis personnellement pour un hermaphrodisme généralisé : tous identiques, égaux, indistincts. Enfin, le bonheur identitaire !
(chute des ventes de gode-ceinture, evidemment, et faillite du Boug Shop ! On ne fait pas d’….)
Il ne suffit pas de coucher sur le papier un infanticide pour avoir une Médée… c’est vrai que quand on a entendu comparer Callas à une chanteuse de variété à deux balles on peut tout entendre…
Deux balles, c’est beaucoup pour cette star du showbiz …
Si on croit possible une comparaison entre Justine et Médée, ça me rapproche illico de l’épileptique Jules César !
Ça c’est vrai, si on pouvait être enfin débarrassés de cette polarité sexuelle qui nous divisent inutilement.
Je serais d’accord avec la mutation.
A condition qu’on ne me traite pas de baveux et que la coquille soit fabriquée en tenant compte du principe de précaution.
L’était bien, le discours du président.
Il a compris qu’avec le peuple, il faut en faire usage de ce foutu principe de précaution.
C’est un sensible le peuple.
Des mauvaises statistiques, ça lui fait passer le goût de sa tartine.
Il faut avant tout apaiser, dorloter, pouponner.
Le rassurer contre tous ces mythes qui lui font tant de mal, depuis le soi-disant déclin industriel (car le monde nous envie et nous imite) et ce grotesque ressenti d’islamitude (alors que c’est une richesse, une caverne d’Ali Baba).
L’était bien, le discours.
La caverne d’Ali Gaga ?
Un raccourcissement de son nom.
Justine Bo et Jacques Ba ont l’honneur de vous faire part de leurs fiançailles.
Ce serait mignon.
En refermant son poste, on s’aperçoit qu’un sous-titre apparaît sur l’écran : « éloge de la déchéance »… Le discours est tendu par l’acte millimétré de l’auto-suggestion, qui ne dit rien de la géopolitique de cette guerre civile mais une bonne part de sa folie. Ce qui est précisément la vocation de la politique.
C’est vrais que dire « Ce qui est précisément la vocation de la littérature » c’est vachement gonflé…
Je rejoins tard encore, et n’ai lu que l’extrait donné par de nota. Peut-être le reste est-il un témoignage intéressant, si Justine Bo a résidé en Syrie.
Cet extrait m’a fait sourire. ueda le compare, pour le ton, -et la première personne sans doute-, aux polars américains des années 50. Mais je n’ai jamais lu en un de ceux-ci l’écrabouillage d’un nouveau-né (d’ailleurs, même pour un magazine de pull-fiction, les ligues l’auraient fait interdire). Je dirais que le style ressemble plutôt à leurs parodies françaises, mais Vernon Sullivan / Boris Vian est au-dessus de ça.
« gore », « trash » ? Il y a plus simplement duraille dans la littérature : rose, lisez donc « Le Mort » de Georges Bataille.
aucune construction solide n’est envisageable par la promotion de l’idéologie chien-chien pour traité de maçonnerie à venir.
J’ai toujours pensé que le Paradis devait être chillant, alors si D. y allait se deviendrait un enfer… Sauf pour ceux qui y attendent 80 vierges en récompense. D et 79 autres de ses pseudos comme vierge comme cadeau d’entrée au Paradis avec en supplément le confort des paradis de théâtre de grands boulevards.
« pulp-fiction »…
TKT en Paradis, D. en Enfer … Va pour le Purgatoire !
si t’as affaire à des faux Q, tu ne feras que t’user
pas certain qu’une roquette tape dans l’oeil…
(alors que c’est une richesse, une caverne d’Ali Baba)
Inexploitée, comme le gaz de shit?
« pas certain qu’une roquette tape dans l’oeil… »
Parfaitement inulite qu’elle tape dans l’œil, la roquette ; avec des copeaux de parmesan, un filet d’huile, quelque goutte de jus de citron, un chouia de poivre, c’est le meilleur sort que l’on peut lui souhaiter… (pas de sel, celui de parmesan suffit).
va las las
tout dans les thèmes du roman l’indiquerait presque pourtant
et oui mes ptits chéris..je ne drague que dl’agrégative et ne reluque que leur sciencepot..la prolote plombée à mort au front bas et au cul aproximatif c’est bon pour jicé
Mais je n’ai jamais lu en un de ceux-ci l’écrabouillage d’un nouveau-né (d’ailleurs, même pour un magazine de pull-fiction, les ligues l’auraient fait interdire)
toutafé cépé..c’est même étonnant cette confusion avec feu la sousculture codé et recodé à mort..le cca, le code hays..qui interdisait même les scènes de beuveries je crois..avec cette litanie freefight de ce qu’interdisait ces codes justement (on croirait les relire comme dans une galerie d’art con)..ça me stupéfie un peu
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