de Pierre Assouline

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La République des livres
De la lecture angoissée à la correction névrotique

De la lecture angoissée à la correction névrotique

Il faudra être indulgent pour les fautes, erreurs, bourdons, doublons et coquilles de ce billet. l’émotion, probablement ; la compassion, certainement. C’est que les correcteurs ont le blues : le blues des correcteurs. Cela dure depuis quelques années déjà et cela ne s’arrange pas. Le métier tend à disparaître, les conditions de son exercice sont de plus en plus précaires (11 euros net de l’heure à domicile), on leur demande de travailler de plus en plus vite au détriment de la qualité…

Un article paru dans la dernière livraison de la Revue des deux mondes s’en fait l’écho sous le titre « Névrose d’un correcteur ». Son auteur Jacques Goulet a longtemps œuvré au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales, la Gazette de l’hôtel Drouot, avant la réédition de La Mort sara de Robert Jaulin, Le Monde, L’Auvergnat de Paris, l’Encyclopaedia Universalis surtout (on s’en doute, Wikipédia n’est pas son cousin). Ah, l’Encyclope et ses paperolles, qu’est-ce qu’il a pu y repatiner comme textes sous l’œil implacable de Jacques Bersani ! Combien en a-t-il décoquillés dans des caves enfumées qui n’avaient rien à envier à La Cave de Thomas Bernhard ! Il eut même à corriger Présent, quotidien d’extrême-droite, ce qui n’alla pas sans cas de conscience vis-à-vis de rédacteurs qui ne pouvaient s’empêcher de mentionner avec des guillemets la qualité d’« israélite » de nombre de personnalités, ou de préciser entre parenthèses à chaque fois qu’ils évoquaient Jack Lang qu’il était « le frère d’un assassin ». Deux années durant, le correcteur et ses camarades cégétistes s’en accommodèrent à condition de n’avoir aucun contact direct avec les rédacteurs de Présent. Question de conscience professionnelle. François Brigneau, qui signait Mathilde Cruz ses chroniques sur la télévision, n’a jamais su que, lorsqu’il oubliait de se féminiser dans ses philippiques contre la vulgarité de la petite lucarne, le correcteur, dans l’ombre, rectifiait et accordait…

Pourquoi une névrose, docteur, quand il ne s’agit manifestement que de pinailleries (souvenons-nous d’Antoine Doinel dans L’Amour en fuite) ? Parce que la relecture des textes des autres avant impression relèverait de la « lecture angoissée » qui n’est pas celle du tout venant. D’après les spécialistes, notamment Sophie Brissaud, elle se manifeste par divers symptômes : folie de persécution, fatalisme, ironie désabusée, souci maniaque du détail… Ce dernier surtout semble le plus répandu. Encore qu’il faut distinguer entre les correcteurs des journaux et ceux des livres. Ceux qui travaillent pour des rédacteurs en chef et ceux qui suent le burnous pour les éditeurs. Pour les uns comme pour les autres, la grammaire, alliée à un minimum de logique, doit se mettre au service du sens, même si l’on appartient à la fameuse tendance anarchiste du syndicat des correcteurs.

De tous les galériens de la chaîne du livre (ah, l’horrible expression !), ils sont les plus discrets, les anonymes, les plus invisibles. Plus encore que les traducteurs. Ils se posent des questions métaphysiques que l’homme de la rue ne soupçonne même pas. Surtout celui qui ignore que « quelque » demeure au singulier malgré les milliers qu’il désigne lorsqu’il est synonyme d’ « environ ».

« Est-il préférable de laisser une faute qui, pour la plupart des lecteurs, n’en serait pas une ou vaut-il mieux demander une correction qui serait perçue à tort par beaucoup comme fautive ? »

Grandeur et servitudes du corrigeage (mais oui, c’est correct, bien que mon ordinateur le souligne en rouge : il s’agit de la réalisation de la modification). Selon les cas, ils préparent la copie et corrigent les épreuves. Ils sont en prise directe avec le manuscrit, puis avec son auteur. Pour faire la part entre les incorrections qui enrichissent la langue, la licence poétique et le reste, il leur faut déployer un grand art de la négociation car l’auteur est doté généralement des mêmes troubles psychiques qu’eux (cf supra) avec en prime une susceptibilité proportionnelle à son ego. On en connaît que l’oubli d’une espace insécable réveille la nuit. Cela dit, les conditions sont devenues telles que nombre de livres paraissent bourrés de fautes ou de coquilles ; ce laxisme, dont les seules raisons sont d’ordre économique, pourrait même passer pour la signature de certains éditeurs, y compris dans de grandes maisons… (mais pas Gallimard qui, j’en atteste, est sur ce plan irréprochable). Même s’il est inévitable qu’après maintes relectures, il en subsiste encore. Le galeriste Daniel-Henri Kahnweiler, marchand historique des cubistes, avait monté une petite maison d’édition dans sa galerie avant la Première Guerre mondiale. Il y publia les premiers textes de Max Jacob, Apollinaire, Malraux… Des petits livres à la fabrication extrêmement soignée. Lorsque vint le moment de définir les couvertures, il dessina deux coquilles de coquillages : « Parce que tout bon livre en contient au moins deux : alors autant les mettre tout de suite en couverture pour ne plus y penser ! » disait-il.

Au passage, on retrouve dans l’article un brin nostalgique de Jacques Goulet des mots oubliés, ceux du jargon d’un métier qui ne sera peut-être un jour qu’un souvenir, quand l’algorithme sera suffisamment sophistiqué pour rendre plus fin et plus aigu le correcteur automatique de notre ordinateur. Beaucoup se contentent déjà du logiciel ProLexis. Des jolis mots comme « cassetin » pour signaler le bureau des correcteurs dans une imprimerie (on se croirait chez Balzac), ou « enchouter » pour dire qu’il faut accélérer les cadences quand le travail s’entasse dans les corbeilles. Sans oublier les morasses qui, elles, ne distinguaient pas le pays légal du pays réel…

Autant l’avouer : le correcteur est celui sur lequel on se repose en se disant qu’il saura pourvoir plus tard à nos ignorances. En ce sens, il nous aide involontairement au cours du processus d’écriture même en nous allégeant de nos doutes immédiats, en nous permettant de transférer sur lui notre angoisse. Alors névrosé, le correcteur ? Certainement. Mais, parole d’écrivain et de journaliste, sans lui, ses manies et ses travers, on se ridiculiserait dix fois plutôt qu’une. Et parole de blogueur aussi : je m’aperçois que j’ai oublié de rendre hommage à PMB, professionnel de la correction à la retraite qui, pendant des années, m’a gentiment et spontanément adressé par courriel ses corrections de mes billets. Merci !

(« La correctrice et l’écrivain chez l’éditeur » photo passou ; Illustration Leo Jung)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

449 Réponses pour De la lecture angoissée à la correction névrotique

Art Zoïle dit: à

ce laxisme, dont les seules raisons sont d’ordre économique, pourrait même la signature de certains éditeurs, y compris dans de grandes maisons…

pourrait même (déprécier?) : coquille par oubli d’un mot ou lettre surnuméraire ?

Bloom dit: à

En France, les traducteurs n’ont pas droit au service des correcteurs, ils font eux-même le pénible boulot de relecture et de correction. Les vrais dindons de la farce, c’est eux/nous.

Autre sujet, plus intéressant et essentiel, la leçon inaugurale des rencontres de Pétrarque de Gilles Képel sur « Guerre, père de toute chose ». Magistrale et pleine d’humour.
Les 3 zones des révolutions arabes et le Super U de Maguelonne – lumineux. Disponible en podcast sur FC.

JC .... dit: à

Cela me semble anormal qu’un écrit soit corrigé par un correcteur humain, aujourd’hui !

Toute la responsabilité de l’écrit doit pouvoir être imputée à l’auteur. Tant pis pour lui ! Les « incorrections », ce n’est rien que la partie négligeable de son travail, mais c’est de lui ! Ce n’est pas si important qu’un correcteur se défonce sur un texte, si l’auteur n’est pas un cancre… Le cerveau du lecteur fera ce qui lui est naturel : corriger !

Sens. Grammaire. Orthographe. Erreurs diverses. Tout doit être du même à l’autre. Impossible de corriger la perspective d’un tableau, le nombre de mesures dans une partition, etc, etc… Charme perdu ! Un monde parfait, inhumain !

Vous imaginez un texte de Paul Edel sans ses popaulinades ….?

Georges dit: à

« l’oubli d’un espace insécable »
une espace.

bernard dit: à

« En France, les traducteurs n’ont pas droit au service des correcteurs,ils font eux-même le pénible boulot de relecture et de correction »

vous plaisantez?
c’est la moindre des choses pour un traducteur de se relire et se corriger

ilve dit: à

coquilles de ce billet.
Et qu’on le lise bien: ce billet !
les autres ? Autres billets(précédents et à venir?)autres textes? Merci pour euxxxxxxxxxxxxxxxxx et bonnes décorrections

ilve dit: à

Parce que la relecture des textes des autres avant impression relèverait de la « lecture angoissée » qui n’est pas celle du tout venant.
C’est à se demander s’il ne faut pas avoir quelque compassion pour les personnes qui ne sont pas angoissées à la lecture de leur propre texte,une fois celui-ci écrit dans sa totalité .

JC .... dit: à

Je sais que c’est un hors sujet brûlant, que cela vient trop tôt, que c’est inintéressant, mais je dois le dire pour soulager ma conscience dépravée. Le faire savoir par correction névrotique.

Quand je vois Catherine Ashton, je pense à l’Europe ….

passou dit: à

Mais Georges, c’est corrigé (sans angoisse)

ilve dit: à

et ceux qui suent le burnous pour les éditeurs.
j’avais appris l’expression « faire suer le burnous « , mais suer le burnous est-il un erdélisme?un passoulinisme ?

Diagonal dit: à

Très bel hommage au travail artisanal des correcteurs qui restent et s’éteignent, des gens restés sains face à tous les névrosés des blogs. Savez-vous, cher monsieur Passoul, que beaucoup d’interautes de la RDL vous ont déserté définitivement pour aller chez Martine Rousseau et Olivier Houdard, n’en pouvant plus de constater d’année en année la croissance exponentielle des erreurs non expurgées de vos billets.

JC .... dit: à

« n’en pouvant plus de constater d’année en année la croissance exponentielle des erreurs non expurgées de vos billets. »

Que sont ces erreurs de billets ? Exemples… ?

carlota dit: à

« Savez-vous que »

Diagonal en sait des choses!

christiane dit: à

@JC …. 30 juillet 2013 à 6 h 28
parfois vous êtes surréaliste ! j’aime le final de votre envolée.

Marcel P dit: à

@JC (Quand je vois Catherine Ashton, je pense à l’Europe ….)

tu sublimes et élargis ton champ d’action (des chèvres )

renato dit: à

Martine Rousseau et Olivier Houdard, c’est-à-dire « Langue sauce piquante »…

un traducteur dit: à

Bloom dit: 30 juillet 2013 à 3 h 09 min
En France, les traducteurs n’ont pas droit au service des correcteurs, ils font eux-même le pénible boulot de relecture et de correction.

?????!!!!!
Vous voulez rire ! C’est une guerre permanente, au contraire. Notamment parce que maints correcteurs ont la manie de remettre en soi-disant bon français des phrases qu’on s’est appliqué à rendre fautives pour respecter le niveau de langue du narrateur, par exemple, ou dans certains dialogues.
Quant à la relecture des épreuves, elle sert justement (entre autres choses) à vérifier qu’un correcteur n’a pas tout chamboulé. Un éditeur digne de ce nom n’envoie pas un texte à l’imprimeur sans le bon à tirer du traducteur.

un traducteur dit: à

JC …. dit: 30 juillet 2013 à 8 h 48 min
Que sont ces erreurs de billets ? Exemples… ?

Voyons, JC, elles sont assez souvent relevées par des commentateurs indélicats. Les exemples portent surtout sur les conjugaisons. Mais Diagonal exagère. Je crois qu’on s’en fout.

joël dit: à

@9 h 56 min
il arrive que le correcteur (réviseur)introduise des erreurs voire des contresens – ailleurs que dans l’édition, le traducteur n’a pas son mot à dire sur ces soi disant corrections (certains correcteurs réviseurs se voyant investi d’une autorité absolue (vive la mentalité de petit chef!!))

joël dit: à

@un traducteur
oui on s’en fout surtout que sur internet les blogs etc, les gens écrivent à la va-vite, font des fautes de frappe, ne se relisent souvent pas
Les interventions de « Diagonal » ressemblent à des règlements de compte de mémère acariâtre, mégère trompée, râté dépassé…

JC .... dit: à

« Je crois qu’on s’en fout. »

Un Traducteur,
Il me semble que c’est faire preuve de sagesse …! Changer d’agora parce qu’il y a des provinciaux qui conjuguent à voix haute et avé l’assent boiteux ?

Sacré Diagonal, il nous la joue Frigide Diago !!!

joël dit: à

(10h04) investiS!! (quand on se relit pas..)

Correction dit: à

« Le Paraïs, maison de Jean Giono à Manosque où il écrivit son oeuvre, est à vendre. Son héritière n’y arrive plus. »

Les droits d’auteur de Giono ne permettent plus d’entretenir ladite maison ?
Les éditions Gallimard devrait y pourvoir !

Correction dit: à

Devraient, pardon !

Florence Trocmé dit: à

Le métier de correcteur est un très beau métier, très exigeant et très difficile. Ils sont femmes ou hommes de l’ombre, souvent détestés de tous, parfois un peu pinailleurs et pas toujours assez au fait de la chose littéraire pour apprécier les subtilités d’une écriture. Et je pense qu’ils abritent tous une pointe de frustration et de jalousie, très humaine et très « normale ». J’ai souvent remarqué un goût parfois excessif du détail qui pointe une petite erreur portant sur une espace mal calibrée et qui leur fait laisser juste à côté une grosse faute de français ou de grammaire. Mais je crois que la nuance et l’indulgence sont nécessaires : aucun texte ne sera jamais parfait, même après dix relectures compétentes (merci pour la superbe anecdote de Kahnweiler). L’exigence doit être grande et les éditeurs ne devraient pas par mesure d’économie oublier qu’éditer c’est aussi donner à lire un texte relu et travaillé tant par l’auteur que par des gens dont c’est le métier (métier qui demande une vraie formation, et/ou une très grande expérience). Nous avons la chance d’avoir une langue extraordinairement riche, souple, en perpétuelle évolution. Les correctrices et correcteurs sont au service de cette langue et il faut leur rendre grâces. Quant aux petites erreurs que nous laissons tous inévitablement dans nos billets, qu’elles soient aussi mesurées à l’aune de ce que nous offrons et de l’engagement qui est le nôtre. Je préfère un papier passionnant et documenté comme ceux qu’on lit ici, avec une ou deux minuscules erreurs, qu’une soupe soporifique, pédante ou au contraire un billet superficiel, bourré de clichés, de lieux communs et de copier/coller.

JC .... dit: à

« Le métier de correcteur est un très beau métier, très exigeant et très difficile. »

Bon, d’accord !
Quelques autres exemples :

Le métier de médecin est un très beau métier, très exigeant et très difficile.
Le métier de policier est un très beau métier, très exigeant et très difficile.
Le métier de pédagogue est un très beau métier, très exigeant et très difficile.
Le métier de chômeur, en France, est un très beau métier, très exigeant et très difficile.

Par contre :
Le métier de magistrat est un très vilain métier, trop exigeant et trop facile.

Pascale Bilger dit: à

Cher Passou, pourriez-vous, s’il vous plaît, mettre dans votre texte des traits d’union à vis-à-vis et les bonnes majuscules à Seconde Guerre mondiale ? Je vous propose mes services, mais je suis chère. Je plaisante, merci pour votre blog et cordialement.

JC .... dit: à

Si la Région, le Conseil Général, et la Ville de Manosque ne se portent pas acquéreur de la maison de Giono … ça mérite une bonne correction.

MORASSE dit: à

Pour une fois qu’on parle de moi… « morasse »… je vais pas me fâcher.
Merci Passou pour ce joli texte sur le métier le plus ingrat qui soit.

Chaloux dit: à

Juste avant de partir, je dois avouer que mon souvenir des amours de Michelet était très partial. En lisant la très belle préface de Paul Viallaneix au tome II du Journal, rédigée comme une lettre à l’historien, je vois que Michelet s’est beaucoup plus intéressé à ses servantes-maîtresses (il y en avait deux) que je ne m’en souvenais. Ensuite, feuilletant le premier tome du Journal, je lis quelques pages très vivantes et d’une intuition vraiment fulgurante, sur l’Angleterre de 1834, route de Londres, découverte de la ville, qui rappellent beaucoup Dickens, rencontres avec Talleyrand qui pense que la France doit rester un pays agricole etc.
Alexandre Vialatte écrit à peu près dans une de ses chroniques : « Je viens de relire tout Michelet. C’est le plus grand poète du XIXe siècle ». Un jugement à creuser.

Pour ce qui est des correcteurs, je me demande si certains écrivains n’abusent pas de leur talent (du talent des correcteurs) en leur laissant en fait une partie de leur travail.
Je serais assez curieux de lire la correspondance croisée Yourcenar-Jeanne Carayon, dont le principal fait malheureusement partie de ce qui est interdit de publication pour encore 24 ans. Espérons que les exécuteurs testamentaires réduiront ce laps de temps qui ne signifie plus rien. 25 années suffisaient largement. Ensuite, temps perdu.

Attendons maintenant patiemment la publication de la Correspondance Morand-Chardonne dont le premier volume sera accueilli chez moi avec une
bouteille de très bon Champagne, – tout en priant pour qu’elle ne soit pas trop caviardée. L’éviction de certaines lettres pour cause de répétition m’inquiète un peu. Quant à Morand, il n’est jamais si bon que lorsqu’il est totalement libre, c’est à dire tout à fait odieux, Le Journal Inutile l’a prouvé,- ceci dit en dépit de pages idiotes publiées dans La Quinzaine Littéraire. Il faut l’accepter (même problème au fond qu’avec Céline) ou ne pas le lire.

Jacques Barozzi dit: à

« Pour Sylvie Giono-Durbet, fille de Giono , son entretien est devenu trop lourd »

Cette maison, qui a vue passer Christiane, et où Giono vécut de 1930 jusqu’à sa mort en 1970 est restée dans son jus, avec la bibliothèque et les manuscrits de l’auteur. Occasionnellement ouverte aux chercheurs et aux amateurs, elle est plutôt destinée à un usage public que privée. L’héritière pourrait la léguer à la ville ou à la région, à charge pour elles de l’entretenir et de créer un ou deux emplois ?

Panier perçant dit: à

« L’héritière pourrait la léguer à la ville ou à la région »

Autrement dit renoncer à quelques centaines de milliers d’euros. T’es marrant, toi.

Ben madoudoudidon dit: à

renato dit: 30 juillet 2013 à 9 h 34 min
Martine Rousseau et Olivier Houdard, c’est-à-dire « Langue sauce piquante »…

Toujours aussi niaiseux le toto.
Ah gougueule quand tu nous tiens.

Me Pouf, notaire dit: à

Belle vue, beau terrain piscinable. A saisir !

Jacques Barozzi dit: à

Chaloux, à propos de sa seconde femme, très jeune et à usage entre autre de correctrice privée, qui a elle-même publié sous son nom marital un excellent livre sur les chats en grande partie plagié par Morand, Michelet n’a-t-il pas écrit : «La mer, le con de ma femme : mes deux infinis» ? Les bonnes c’était avant, du temps de sa première femme souffreuteuse et plus âgée, non ?

Jacques Barozzi dit: à

L’héritière Giono, est une bonne fille, Me Pouf. Toute sa vie elle aura profité des droits d’auteur (plus les traductions et droits d’adaptations cinématographiques) de son père et de la maison familiale. En sa mémoire, elle peut bien la léguer à la collectivité locale ou régionale pour une destination nationale et internationale…
(Un bon jardinier s’avère nécessaire, si l’on en croit la photo actuelle !)

Barbarin dit: à

Il y en a sur ce blog qui méritent de bonnes corrections… hein JC ?, n’est-ce pas boudegras ?, d’accord LML ?… quant à Jaques Barozzi, son côté pipelet de la bande est du pur ravissement

Jacques Barozzi dit: à

Au fait, Passou, le copiright de « regarde les hommes tomber » (note précédente), appartient au fils Audiard !

Jacques Barozzi dit: à

Barbarin, Correction, c’était moi. Et toi, t’es quoi ? Rien, même pas un correcteur anonyme !

Jacques Barozzi dit: à

Mettre la maison de Giono aux normes, y attirer des visiteurs étrangers et des touristes, créer des emplois locaux, voilà de l’argent public utilement et intelligemment dépensé, non ?

John Brown dit: à

de préciser entre parenthèses à chaque fois qu’ils évoquaient Jack Lang qu’il était « le frère d’un assassin »

Non, c’est vrai ? Eh ben c’est bon à savoir. Ce serait pas plutôt Jean-Jacques Goldman ? Il est vrai que nous sommes tous des assassins (sans compter que nous sommes aussi tous des Israélites allemands ! Mamine ! ça commence à faire beaucoup !

Jacques Barozzi dit: à

Que Napoléon III ait légué les bois de Boulogne et Vincennes (anciennes chasses royales ceintes de murs), à la ville de Paris, contre un franc symbolique, à charge pour elle, la Ville, de les aménager en promenades publiques, on ne peut que le remercier aujourd’hui encore !

Chaloux dit: à

Non, Jacques, les bonnes (en fait apparemment la cuisinière et la bonne) c’est après la mort de sa première femme, qui ne parait pas tellement souffreteuse, puisque P. Viallaneix laisse entendre que l’entente du couple au lit était excellente. C’est la seconde femme, Athénaïs, qui semble avoir peiné à satisfaire son faune conjugal. Viallaneix laisse entendre qu’Athénaïs est de ces femmes qui n’aiment que leur père, d’où peut-être ces complications physiologiques qui empêchèrent souvent « l’éclair » de se produire. (J’en ai connu une de ce genre, certainement bien pire qu’Athénaïs. Pas du gâteau.)
Il y a longtemps que je tourne autour de Michelet (lu en partie L’Histoire de France, complètement sa Révolution Française, et pas mal d’autres petits livres). En prévision du jour où je m’y plongerais, j’avais il y a six ou sept ans fait l’acquisition des deux premiers volumes du Journal. Le moment approche, je le lirai cet automne, mais je voudrais commencer par le volume des écrits de jeunesse qui est épuisé mais que je viens de commander d’occasion. Et peut-être aussi par le gros livre de P. Viallaneix, Michelet Les Travaux et les Jours qui est dans ma bibliothèque mais que je n’ai pas encore lu.
C’est amusant de voir comme les bibliothèques se construisent en prévision de périodes à venir, comme si elles savaient par avance ce que nous ignorons encore. Je ne croyais pas que Michelet aurait un jour autant de choses à me dire.
(Je dois Michelet à José Cabanis, -Michelet, Le Prêtre et la Femme. Les vrais prescripteurs en matière de lecture sont les écrivains. Il faut savoir les suivre).

Intéressantes aussi, quelques pages sur les renaissances de la 45e année, pas si éloignées de ce qu’en dit Quignard. Malheureusement, pas noté la page. Elles se retrouveront.

Reste le problème de la publication des œuvres complètes de Michelet entreprises puis abandonnées par Flammarion.

Curieux comme certains grands écrivains restent peu lus alors qu’ils ont tant à nous dire. On bute sur Hugo (« écho sonore », dit magnifiquement René Pomeau dans la préface à sa Religion de Voltaire) dans tous les coins et Michelet demeure finalement peu accessible.

John Brown dit: à

Des jolis mots comme « cassetin » pour signaler le bureau des correcteurs dans une imprimerie (on se croirait chez Balzac), ou « enchouter » pour dire qu’il faut accélérer les cadences quand le travail s’entasse dans les corbeilles. Sans oublier les morasses qui, elles, ne distinguaient pas le pays légal du pays réel…

Ma Josette est une sacrée morasse, ça ne m’empêche pas de lui enchouter le cassetin que je te dis pas.

Jacques Barozzi dit: à

Le frère de Jack Lang a tué un type au cours d’une querelle de comptoir, JB…

christiane dit: à

@Florence Trocmé -30 juillet 2013 à 10 h 22 min
Oui, vous êtes réaliste et généreuse.

John Brown dit: à

Mettre la maison de Giono aux normes, y attirer des visiteurs étrangers et des touristes, créer des emplois locaux, voilà de l’argent public utilement et intelligemment dépensé, non ? (rédigé par Jacques barozzi)

A condition qu’il reste de l’argent public pour ce genre de fantaisies.

Passouline dit: à

Diagonal, quitter la RDL pour la langue sauce piquante à cause d’une faute et d’une coquille est aussi pertinent que d’en faire autant en passant d’un blog sur l’automobile à un blog sur les chevaux

Chaloux dit: à

J’aurais eu grand besoin d’un correcteur… Répétitions, fautes d’accord etc… Je me corrigerai mieux à l’avenir…

John Brown dit: à

les conditions de son exercice sont de plus en plus précaires (11 euros net de l’heure à domicile)

Normal. Correctrices et correcteurs sont après tout les techniciennes et techniciens de surface de l’imprimé. Quoique, 11 euros de l’heure, ça doit être nettement en-dessous de l’heure de femme de ménage.

Polémikoeur. dit: à

La parution en cette saison
d’une réflexion sur la correction
n’évoque-t-elle pas le moins du monde
l’art de tailler les marronniers ?
Horticoltement.

passou dit: à

Merci Pascale Bilger. C’est corrigé !

Kama sous Chachal dit: à

Chaloux dit: 30 juillet 2013 à 12 h 17 min
(J’en ai connu une de ce genre, certainement bien pire qu’Athénaïs. Pas du gâteau.)

Mais quelle burne !
Il se croit aussi grand baiseur qu’il se croit intelligent, c’est dire la désespérance vécue par cette pauvre femme.

Jacques Barozzi dit: à

« A condition qu’il reste de l’argent public pour ce genre de fantaisies. »

C’est tout un art que celui de la dépense publique, JB, et la France est riche et son patrimoine, cultuel ou culturel, l’une de ses principales ressources : ne sommes-nous pas le premier pays touristique mondial ?!

Chaloux dit: à

Où lis-tu, crétin des Alpes, que je l’ai b…?
Quant à ton « intelligence », si elle doit se mesurer à ton 12H41, tu es effectivement très loin en arrière.

Si Chaloux se relisait jamais il ne commenterait dit: à

Chaloux dit: 30 juillet 2013 à 12 h 25 min
J’aurais eu grand besoin d’un correcteur… Répétitions, fautes d’accord etc… Je me corrigerai mieux à l’avenir…

Peur d’être matté ?

Chaloux dit: à

Quoiqu’il en soit de mon intelligence, elle chauffe au rouge ton petit pois.

Hotel de ville dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 juillet 2013 à 12 h 45 min
C’est tout un art que celui de la dépense publique,

Nous rappellerons que baroz fut un actif de la chiraquie parisienne, un connaisseur donc.

ilve dit: à

faire autant en passant d’un blog sur l’automobile à un blog sur les chevaux
ce matin j’ai lu des articles dans plusieurs magazines anciens dont Transfuge et Okapi
je persiste sur mon impression que ce blog était un blog sur les chevaux pour prépubères de toutes névroses et psychose hip hip hippologiquement identifiées.

test dit: à

« un actif de la chiraquie parisienne »

Oui, mais c’est sous la delanoïnastie parisienne que je disposais du plus gros budget des services de la communication, Hôtel de Ville à la mémoire courte et ingrate !

test dit: à

Faut dire aussi que dans l’art de la dépense publique, personne n’égalera François Mitterrand et Jack Lang !

Test ou pas dit: à

Kama sous Chachal dit: 30 juillet 2013 à 12 h 41 min
Si Chaloux se relisait jamais il ne commenterait dit: 30 juillet 2013 à 12 h 51 min

A pris ses baffes. Prend son panard.
Bonne sieste.

HLouM dit: à

Faut dire aussi que dans l’art de la dépense publique, personne n’égalera François Mitterrand et Jack Lang
Jacques Barozzi

Au moins il en reste quelquechose alors que les dépenses de Chichi ont fait ventre(s)

ilve dit: à

Hotel de ville dit: 30 juillet 2013 à 12 h 55 min
mais ce qu’il écrit ne convvaic pas qu’il pourrait juger du tact nécessaire et du talent souhaitable d’un correcteur Gallimard certifié par Assouline !!!(HN : humour nécessaire )

ilve dit: à

ne convainc pas
bonnes convictions

des journées entières dans les arbres dit: à

Watson: « tadgallimard », va !

discret dit: à

dépenses de Chichi ont fait ventre(s)

c’est qu’elle a des goûts de luxe la vieille aux petites pièces avec sa choucroute sur la tête

tibur dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 juillet 2013 à 12 h 56 min
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j’aurais pas cru ça de toi, baroz.

tibur dit: à

et, comme dit ilve : est-il dupe ou laid, mon Q.I. ?

Pour les nuances du bleu dit: à

JC …. dit: 30 juillet 2013 à 10 h 47 min

Si la Région, le Conseil Général, et la Ville de Manosque ne se portent pas acquéreur de la maison de Giono … ça mérite une bonne correction.
C’est normal, Giono était un faf nous dirons les Gérard staliniens et autres monolithes du blog!

Jacques Barozzi dit: à

En France, il reste encore des hommes de bonne volonté !

« Christian Bourquin se dit attaché au pluralisme démocratique et veut aider l’UMP à « sortir d’une situation financière désastreuse ». Il a donc adressé un chèque de 150 euros pour aider l’UMP à rembourser avant l’échéance 11 millions d’euros, après l’invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy par le Conseil constitutionnel. Rien de plus banal, si ce n’est que l’homme appartient au parti rival : il est président socialiste de la région Languedoc-Roussillon. »

Jacques Barozzi dit: à

Et puis il y a ceux qui jettent de l’huile sur le feu et seront les premiers à se lamenter quand l’extrême droite arrivera au pouvoir…

Jacques Barozzi dit: à

Le bilan de Chirac maire de Paris fut globalement positif.
Celui de Delanoë est plus mitigé.
Les Parisiens se prononceront prochainement…

Jacques Barozzi dit: à

ilve, j’entretiens de très bons rapports avec les correcteurs, Gallimard ou autres. Total respect et solidarité, car pour moi aussi le salaire doit tourner autour de 11 euros l’heure, peut-être moins…

Jacques Barozzi dit: à

(ce qui ne m’empêche pas de donner plus à la femme de ménage !)

ilve dit: à

tibur dit: 30 juillet 2013 à 13 h 33 min
un correcteur vous répondra sous son nom féminin incessamment… sous peu ollé!

Pour les nuances du bleu blanc rouge dit: à

des hommes de bonne volonté !Barozzi 30 juillet 2013 à 13 h 37 min
Tu parles!
Poulain de Frêche, le provincialiste de la romanitude se bat pour garder son électorat FN à gauche!
( L’attitude du PS de ne pas donner un fifrelin est autrement plus juste et digne du respect des oppositions.)
Pas très digne cependant une journaliste de la radio nationale socialiste ( France inter)aux infos de 13 heures qui nous a parlé d’un « Sarkothon ». Info, intox ou propagande déontologiquement répréhensible?

JC .... dit: à

« Barbarin dit: 30 juillet 2013 à 12 h 00 min
Il y en a sur ce blog qui méritent de bonnes corrections… hein JC ? »

Exact….sadique !

ilve dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 juillet 2013 à 13 h 49 min
avec toute vos bourdes vous justifiez leur profession:ils devraient vous bénir : vous progresseriez peut-être ? Qui sait ?

ilve dit: à

Pour les nuances du bleu blanc rouge dit: 30 juillet 2013 à 13 h 54 min
la nuance beurre noir est plus cocardière, effectivement

JC .... dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 juillet 2013 à 13 h 50 min
(ce qui ne m’empêche pas de donne!r plus à la femme de ménage !)

Elle attend de toi le meilleur de toi-même … pas de l’argent, Cannois perverti !

adrien dit: à

@Baroz

si les emplois fictifs et les fortunes claquées en frais de bouches sont des éléments positifs, alors…

Et Giono était fasciste, vous croyez?

Un ciel sans nuage dit: à

ilve dit: 30 juillet 2013 à 14 h 01 min
Vous avez l’œil, ça se voit!

JC .... dit: à

D. dit: 30 juillet 2013 à 13 h 57 min

Tu as de la chance d’être protégé par la CGT, Confédération Galactique des Ténèbres … !

JC .... dit: à

Tous ces cons qui imaginent le pouvoir pauvre ….

tibur dit: à

Quelle différence vois-tu au juste entre l’UMP et l’extrême-droite, baroz ?

tibur dit: à

tu penses que, parce qu’on aura filé un ministère à Marine Le Pen, l’extrême-droite sera morte ?

JC .... dit: à

Il y a une énorme différence entre le RPR/UMP qui a exercé le pouvoir, et l’extrême droite qui ne l’a pas fait (sauf dans des pays frontaliers) : la pratique du gouvernement !

Avantage, pour les caciques;
Inconvénient pour les innocents, porteur d’espoir désespéré.

ça alors dit: à

Critiquer l’extreme-droite, les fascistes, et leurs sympathisants, c’est être néostalinien? on en apprend tous les jours

ilve dit: à

mon oeil fut cocardé avant que P.Assouline ne se sente écrivain , et pour ses beaux yeux !
ceci étant , je n’arrive pas à comprendre de
« Il faudra être indulgent pour les fautes, erreurs, bourdons, doublons et coquilles de ce billet. l’émotion, probablement ; la compassion, certainement. C’est que les correcteurs ont le blues  »
si le billet a été lu avant d’être envoyé .
de la conclusion, je me demande si P.Assouline passera aussi en revue ses lecteurs de G comme Gallimard à L comme Lutetia avec des remerciements névrotiques ou inchoatifs

le compte n'est pas bon dit: à

parce qu’on aura filé un ministère à Marine Le Pen

2 ou 3 au moins au FN. C’est ce que prévoit l’UMP (si elle existe encore aux prochaines présidentielles).

Jacques Barozzi dit: à

« avec toute vos bourdes »

ilve, c’est l’hôpital qui se fout de la charité ?

bérénice dit: à

Surement devrais-je me donner la peine de chercher mais quelqu’un a-t-il une idée minimale du menu de la prochaine rentrée littéraire revue et corrigée, les mêmes auteurs captivant ont-ils récidivé (trois lus sur cette déferlante) les critiques affûtent leur plume les gourmands se pourlèchent d’avance les babines les lents désespèrent déjà de pouvoir y tremper qu’un doigt, alors alors?

JC .... dit: à

« La France demande qu’on libère Morsi »

1/ Excellent : cela ne me déplait pas, on assure ainsi une activité médiatique aussi durable que l’Irak ou l’Afghanistan
2/ Débile : la meilleure formule est de le suicider en cellule, et de de tirer dans la foule rebelle pour un retour aux normes internationales, tourisme compris.

réponse dit: à

bérénice dit: 30 juillet 2013 à 14 h 23 min
quelqu’un a-t-il une idée minimale du menu de la prochaine rentrée littéraire ?

Oui.
Le Diable en maraude, Marcel Floch (Gallimard)
Le temps étiré, Julie Prime (Seuil)
Reviens, tu sauras tout (Elisabeth Raloda, Denoël)
Mon frère que j’aimais (Pierre Fumerol, Gallimard)
Revoir Tunis (Ahmed Balbhiles, Grasset)
L’espoir des chiens (Amélie Capdeville-Johnson, Actes-Sud)

Jacques Barozzi dit: à

Les amours virtuelles de D. et bérénice pompent grave l’espace erdélien !

Jacques Barozzi dit: à

Quelle indifférence vois-tu au juste entre l’UMP et l’extrême-droite, tibur ?

JC .... dit: à

Réponse,
vous oubliez :
Jim, tu me fais honte !, Bécassine de Ségur (éditions Duflot du Placé)

recension critique dit: à

Le Diable en maraude est un roman poignant qui raconte comment la sœur aînée de l’auteur (qu’il n’a pas connue) a succombé à la drogue.

Le Temps étiré est une remarquable méditation sur l’enfance. Julie Prime est incontestablement une « voix ».

Reviens, tu sauras tout est une autofiction dans laquelle l’auteure relate minutieusement les circonstances qui ont présidé à son divorce.

Mon frère que j’aimais est un roman poignant qui raconte comment le frère aîné de l’auteur (qu’il n’a connu que brièvement) a succombé au cancer.

Revoir Tunis est un formidable témoignage sur l’envers du Printemps arabe.

L’espoir des chiens est une remarquable méditation sur la vieillesse. Amélie Capdeville-Johnson est incontestablement une « voix ».

ilve dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 juillet 2013 à 14 h 22 min
ne dites pas que vous voulez que l’on corrige vos fautes d’orthographe sur ce fil , cher monsieur ! allez demander à ces bonnes soeurs que vous avez la bêtise de croire que vous amusez et demandez à P.Assouline si les pères de Jerusalem étaient aussi naïfs sur le séjour
qu’il s’est offert parmi eux : (il n’en a d’ailleurs pas introduit un mot en hébreu dans le livre qu’il s’est « ramené » de là-bas, pour ne pas faire trop mauvais genre aux yeux de ses correcteurs à ménager !

ilve dit: à

la vitesse à laquelle on écrit un « supposé » commentaire ne devait pas empêcher une relecture
un exemple
« Cette maison, qui a vue passer Christiane »,
seigneur !

Diagonal dit: à

Pourquoi monsieur Passoul ne pourrait-il pas trouver enfin une solution capable de limiter considérablement la somme des ratés d’écriture parmi ses admirateurs ?
Cela consisterait par exemple à laisser un écran plus large pour l’internaute désireux de s’ébattre ou de s’ébrouer à loisir, en lui laissant surtout la possibilité d’un message de validation préalable, après une relecture obligatoire de sa première oraison jaculatoire ou autre…
Peut-être éviterions-nous ainsi bien des malentendus, équivoques et autres lapsus calami ; peut-être finirions-nous par nous comprendre mieux avec « le boss » (i.e. = le patron) ; peut-être diminuerions-nous drastiquement nos propensions aux invectives célestes souvent cruelles mais parfois fort compréhensibles ?… Peut-être aurions-nous même tellement honte de relire le contenu et traces de nos semences précoces que nous hésiterions trois fois avant de les répandre sous le couvert d’un anonymat bien confortable, qui sait ?
Peut-être précipiterions-nous alors la fin des correcteurs Frigides du genre de Diago Barjot, prompts à passer trop précipitamment de l’agora des blogs de l’automobile à ceux du cheval vapeur, bien qu’ils ne s’y résolvent apparemment point. Mais au moins, peut-être aurait-on amélioré le niveau de la qualité générale des interventions, sans aucunement perdre du piment de la personnalité appréciée de chacun. Non, vraiment, j’essaie de trouver des solutions, les filles, car « on s’en fout pas » !

(NB : J’ai beau relire 10 fois ce message avant de l’expédier sans rien détecter d’anormalement farouche à travers la petite lunette, je suis sûr qu’à l’écran, une grosse mouche noire va me sauter aux yeux, quand je vais le revoir !… Arrgh !)

bérénice dit: à

10h22 Possible aussi d’écrire qu’éditer c’est transmettre un texte élu, sans problème entrevoir les tonnes de choses qui ne seront jamais publiées et encombrent l’espace réel ou virtuel des directeurs de collections et collaborateurs, enfin je ne sais si ces 31 degrés sans nuances de grey auxquels nous sommes soumis accordent à votre communiqué un coté sexuel peut-être aussi à cause des « pointe » répétitifs qui aiguillonnent ma lecture en vacances ou à la connaissance du milieu dont vous semblez comme pénétrée familière et dont vous témoignez avec un discernement assuré.

10h22 dit: à

bérénice Commencez par me parler sur un autre ton, on verra après si on peut discuter.

Hubert Rate-Plouf dit: à

Tout ça me rappelle un truc que disait renato, mais je ne sais plus quoi au juste, il en dit tellement.

Hubert Rate-Plouf dit: à

Euh, non, pardon, pas renato. C’était bouguereau qui disait ça. Ça commençait par « allez tous vous faire », ensuite j’ai oublié. Une histoire de lavement, je crois.

bérénice dit: à

10h22 assez rapidement je laisse tomber quand ce n’est pas drôle, faites un effort SVP.

10h22 dit: à

Non, mais oh, bérénice ! Vous vous prenez pour qui ? Faites un effort vous-même, ma donzelle !

bérénice dit: à

Une histoire de lavement… Nous évoquions juste avant le lavement les qualités de notre belle langue, sa souplesse sa richesse les possibilités infinies qu’elle offre à tous de se régénérer et vous avec votre irruption scato vous faites bouchon! Non! non et non!

D. dit: à

10h22, je vous interdis de parler ainsi à bérénice !

bérénice dit: à

10h22 vieille commode je ne prétends à rien de plus jeune

D. dit: à

bérénice, je vous ai déjà demandé de ponctuer vos phrases. Vous devenez illisible parfois, et cela me chagrine.

bérénice dit: à

Où un voyage à Cracovie je mourrais ainsi en paix.

ilve dit: à

ne devrait pas !
un tweet sans le rappel du baclofène mais le recours qui semble inévitable à la « haine de soi »
 » All were tormented by self-hatred and a sense of inadequacy. »

D. dit: à

ilve, êtes-vous tombé(e) sur la tête ?

D. dit: à

J’aime beaucoup Cracovie, Bérénice, mais il faut y être bien couvert.

Correctrice Betsie L, 10,5 € de l'heure. dit: à

Je sais pas vous, mais moi, à Mort sara… j’aurais mis une S majuscule comme Jaulin le faisait au Tchad où, de son temps, l’on respectait encore cette ethnie. Et même si aujourd’hui, elle fait partie du ‘tout-venant’ africain, au moins ce tout-venant prend-il toujours un tiret 6, il serait quand même mieux d’en tenir compte, je pense.

ilve dit: à

en français supplément àl’article en anglais avec les noms connus de tous lecommentateurs
François Nourissier raconte dans Eau-de-feu la plongée de sa compagne dans l’alcoolisme. Le psychanalyste François Perrier, disparu en 1990, en a expliqué les mécanismes.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/eau-de-feu-la-chaussee-d-antin-oeuvre-psychanalytique_814267.html#8Jgb5Yi7AdHxbuqg.99
http://www.lexpress.fr/culture/livre/eau-de-feu-la-chaussee-d-antin-oeuvre-psychanalytique_814267.html

Ilsebild à Béréncie@recension a-critique dit: à

Bravo pour le festival des adjectifs censés décrire la rentrée littéraire ! de quoi vous donner la nausée débandante jusqu’aux vacances de la Toussaint : roman poignant ; remarquable méditation ; autofiction minutieuse ; roman poignant ; formidable témoignage ; remarquable méditation
Non mais vraiment, dans quelle steppe herbeuse erre-t-on ici ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…sujet,…hors-jeux,…Esope,…

…dans le sens, que comme les émissions d’informations,…les clivages et disparités sociales ne sont pas à expliquer par une radioscopie générales des systèmes électroniques qui permettent leurs diffusions,…

…parler des correcteurs, un savoir-faire de précisions pour une  » certaine objectivité « ,…du floue au précis-net,…du sens des détails,…
…des équidensités chromatiques du verbe des langages,…pour quel âge-mental,…ou vécu,…pour quels  » auxiliaires « , du labour,…du livre,…( administration ou boîte aux lettres & B.D.,…caricatures politiciennes atroces,…
…( comme Berlusconi ,…slogan,…tous des communistes bien pressés pour son Chianti à Médiaset et son Empire de presse ),…pour une Italie de cancres et de débiles mentaux de morales de débauches-populistes,…avant, pendant et après le crise,…tous  » malins et libres « , les poches vides sans métiers et crédits,…avec aucune notions du bien public les canards des Casinos,…etc,…
…les cigales et les fourmis,…la barre trop haute,…pour des lendemains qui chantent,…Esope,…qui c’est,…Esope,…
…l’angoisse des corrections – névrotiques,…ou l’édulcoration des vendanges par des poly-techniciens de la viticulture sinon rien,…
…le  » cru « ,…de la littérature,…par les ingrédients ou les praticiens sophistiqués,…
…Ô mon français – ancien,…un peu la grappe,…suis le sillon,…grain à grain,…après en être presser par ma gueule,…etc,…la confiture de cul-ture,…

ilve dit: à

effectivement on peut apprendre beaucoup à comparer le lexique de la critique littéraire

hôpital + charité dit: à

Correctrice Betsie L, 10,5 € de l’heure. dit: 30 juillet 2013 à 15 h 35 min
au moins ce tout-venant prend-il toujours un tiret.

Vous voulez dire un trait d’union, sans doute ? Un tiret est un signe de ponctuation utilisé pour les incises ou les dialogues. 10,5 € de l’heure, c’est cher payé pour autant d’incompétence.

D. dit: à

Je ne sais pas si j’ai eu raison à 15h 24 de mettre une virgule juste avant « non seulement de vous lire »; qu’en pensez vous ?

D. dit: à

Whaaaaaa les boules, Betsie. Vous auriez mieux de la fermer.

D. dit: à

gode-ceinture, c’est avec un trait d’union, pas un tiret. Je préfère vous avertir, Bouguereau, compte-tenu de votre laissez-aller habituel.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…enfin,…apprenez à  » cracher  » le morceau, mon ami, pas comme çà,…venez plus près,…
…que je vous montre,…Oui, je vais faire un exemple,…Ouai!,…Oh !,la langue,…
…Alors, qu’est ce que tu dis de cela,…Oh,…la polytechnicienne de la péripapétécie,…
…Alors, j’engobe bien la coquille,…quel  » art « ,…french à Louis XV,…la classe, aux torticolis,…adjugé,…aux secours,…la pieuvre marine,…etc,…

ilve dit: à

D, si vous pouviez souffrir de manière moins bavarde et trouver la correctrice qualifiée pour vos élucubrations sur la RdL, même les egos banalement assassins des langues passées et à venir vous en seraient reconnaissants .

D. dit: à

D’accord, vous avez raison. Je vais désormais souffrir en silence.

Irina Stolichnaya dit: à

On a pas beaucoup entendu renato sur ce coup-là.

Irina Stolichnaya dit: à

« Nous avons la chance d’avoir une langue extraordinairement riche, souple, en perpétuelle évolution. »

Ça ne veut rien dire. En connaissez-vous qui soient pauvres, rigides et figées ?

JC .... dit: à

« Mais au moins, peut-être aurait-on amélioré le niveau de la qualité générale des interventions »

Je passe….!
Objectif sans intérêt.

renato dit: à

« On a pas beaucoup entendu renato sur ce coup-là. »

Tout le monde fait des erreurs — d’ailleurs : « finiti gli errori è finito tutto ».

D’un autre côté : « La plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse, c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’adversaire. » S’y accrocher sans controverse est tout simplement con…

Clopine Trouillefou dit: à

On peut à la fois aller se piquer la langue et fréquenter la république des Livres, me semble-t-il, non ?

Clopine Trouillefou dit: à

Dites, je vois dans les tweets à côté que la maison de Giono à Manosque est à vendre. Or, elle est ornée de fresques (hélas en train de s’abîmer) qui représentent l’écrivain et sa famille. Et Frédérick Back, l’auteur canadien qui a réalisé les dessins au fusain de « l’homme qui plantait des arbres » s’est fidèlement inspiré de ces fresques. L’idée qu’elles puissent disparaître est insupportable, non ?

Irina Stolichnaya dit: à

D. ne peut pas répondre, il souffre en silence, et encore davantage maintenant.

ilve dit: à

professionnel de la correction à la retraite qui, pendant des années, m’a gentiment et spontanément adressé par courriel ses corrections de mes billets.
tout le monde n’a pas la chance de P.Assouline !

Clopine Trouillefou dit: à

Si le jeu consiste à corriger le texte de notre hôte, j’apporte ma contribution : je crois qu’une formule comme « Encore qu’il faut distinguer entre… » serait plus finement dessinée comme suit : « Encore faudrait-il distinguer entre… » La première n’est pas une faute, non, pas vraiment, mais peu euphonique et surtout l’emploi de l’impératif « il faut » cadre mal avec le choix qui suit. Le conditionnel sied mieux, à mon sens. Enfin, si j’étais Betsie, j’essaierai d’en toucher deux mots à notre hôte. C’est bien entendu la langue verte de la jalousie qui me fait parler, ahaha.

I Robot dit: à

> En connaissez-vous qui soient pauvres, rigides et figées ?

Basic : IF AB<10 THEN GOTO 1050 ELSE GOSUB 20

My god, I didn't think I would type once again a line of code.

Anonyme pas pour tout le monde dit: à

Il faut dire, D, que c’est SOUVENT le cas, non ?

JC .... dit: à

« L’idée qu’elles puissent disparaître est insupportable, non ? »

Tout à fait habitué à l’absence physique de Giono, je me sens absolument capable de « supporter » la vente de la maison de Manosque à un volailler chinois ou un trader suisse.

Que la Région PACA, le CG et la Ville fasse une offre, cornecul ! on ne va pas y passer la journée… ?!

Chaloux dit: à

Moi j’aurais plutôt écrit : »encore qu’il faille distinguer ».

Concours de pets dit: à

Chaloux dit: 30 juillet 2013 à 17 h 19 min
Moi j’aurais plutôt écrit : »encore qu’il faille distinguer »

Ok, mais toi t’es con.

Chaloux dit: à

Bien vu, encore que : »Encore que, qui requiert normalement le subjonctif, a pu s’employer à l’indicatif au XVIIe. Le subjonctif se justifie comme après bien que : encore qu’il soit jeune, il ne laisse pas d’être sérieux. L’indicatif, assez courant, ou le conditionnel peuvent s’expliquer par le sens particulier d’encore et sont certainement plus acceptables qu’après bien que. »
Joseph Hanse.

Chaloux dit: à

Le tiens était foireux. Vois plus haut, tête de c…. D’une manière générale, d’ailleurs, essaie de voir plus haut.

Clopine Trouillefou dit: à

Chaloux, certes, Maître Hans a raison, mais qu’en pense Maître Grévisse, mmhhh ? Bon, il me semble avoir commis au moins deux fautes dans ce message. Mais c’est la solidarité du crime. Et j’en tiens pour ma formule « encore faudrait-il », qui a le mérite de contourner l’obstacle.

Betsie dit: à

@ Clopine, « Enfin, si j’étais Betsie, j’essaierai d’en toucher deux mots à notre hôte »

« J’essaierai »… C’est un conditionnel Clopine, un conditionnel ! Vous avez beau être un peu jalouse, hein, vous restez trop chère, je pense ! Enfin bon, je vais voir ce que je peux faire avec notre hôte…

Chaloux dit: à

Clopine, je comprends votre point de vue, mais en la matière, je préfère toujours conserver la forme de base. J’emploierais donc le subjonctif, aucune raison de le laisser disparaître de la circulation. Il faut le faire vivre.

Même chose pour le terrifiant pour moi « ce qu’il se passe », manie récente de tous les illettrés médiatiques. Les deux se disent, mais j’ai toujours entendu dire « ce qui se passe », et je le conserve aussi.

ilve dit: à

la remarque de Clopine soulève de questions que je ne trouve pas , pour ma part sans intérêt mais je ne vois aucune nécessité d’épiloguer sur le blog , où parfois certaines fautes d’orthographe au regard de l’orthogaphe qui était requise au lycée et même avant d’entrer au lycée, das ma jeunesse.
je me souveins aussi tu temps où les dictées sur table ét

Chaloux dit: à

Concours de p…, c’était « tête de c.l », pas l’autre, bien entendu, qui te convient si bien.

Clopine Trouillefou dit: à

Et moi, j’essaierais de faire mieux, Betsie ! Je l’ai vue trop tard, celle-là. Toujours cette sale habitude de cliquer sans relire !

Chaloux, moi ce qui m’insupporte en ce moment c’est « impacter », mis à toutes les sauces. Je suis sûre que le Robert va craquer et annoncer sa naissance, trop heureux ! Et puis vous avez raison sur les subjonctifs. Les imparfaits vous font démarrer une journée en un rien de temps, mais ils sont rares et chers. Encore faudrait-il que nous nous en souvinssions…. (euh, là, Betsie : au secours !)

JC dit: à

La nouvelle photo est ravissante : on croit reconnaître Françoise Hardy corrigée par Yvette Horner, au musée des instruments de musique de Bruxelles.

Clopine Trouillefou dit: à

Et puis parfois un commentaire sombre, comme ça, sans prévenir, pas vrai ilve de 17 h 36 ? On a envie de sortir l’orchestre et de jouer « ce n’est qu’un au revoir », en lisant votre dernière phrase, parfaitement naufragée. Allez, une dernière tasse ?

C'est Toto qui le dit... dit: à

 » La plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse, c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’adversaire. »

Admissible jusqu’à un certain point.
Pas au-delà.

Par exemple,
souvent que ce raconte le seigneur Toto est
tellement embrouillé
qu’on
n’y comprend
goutte.

Une certaine exigence
de lisibilité
n’est pas toujours
illégitime.

bérénice dit: à

Voyelles qu’on sonne, je sors tout juste du visionnage du presque célèbre traducteur auteur conférencier Claro, je lui trouve un gros nez et alors que ma machine rechigne à donner du son en continu il à l’air en état d’ébriété c’est, déplorable attristant pour le contenu et en même temps si amusant de constater une fois de plus combien la technique se joue de nous pauvres internautes.

ilve dit: à

je me souviens aussi du temps où le dictées sur table étaient préparées(même si je n’ai pas connu cette pratique comme élève)aussi bien au lycée qu’à la maison.
Au fond, il arrive que cela me gêne que P.Assouline laisse parfois certaines « fautes », peut-être aussi parce qu’il a fait valoir qu’il a fait valoir qu’il s’était orienté vers la littérature du fait de ses facilités et qu’il a rappelé a panoplie de dictionnaires , manuels et usuels outre ses amis .
il arrive que cel me soit

Clopine Trouillefou dit: à

Las, Ilve, vous risquez de lasser. Surtout que je ne comprends pas bien le sens de votre message. Vous reprochez quoi à qui, exactement ?

JC .... dit: à

Je sentais confusément que ce billet allait titiller mon amour, respectueux, des mouches, menacées, entourées de toutes parts…

Je les vois, je les entends, je les déteste, ces enculeurs et enculeuses de diptères, perdant leur temps en disputes aussi inutiles que celle du sexe des anges…

Pauvres bêtes !

Chaloux dit: à

Clopine, »impacter » me fait toujours penser à « compacter ».
Je suis passé pendant des années en souriant à chaque fois devant un panneau sur lequel était punaisé une annonce indiquant  » merci de contacter Lucie ».
Une bonne âme, sans doute peu satisfaite des services de « Lucie », avait remplacé « contacter » par « compacter ».
« Merci de compacter Lucie ».

bérénice dit: à

Chaloux je ne vous savez pas si irritable je me demande à ce propos comment pourquoi alors que vos livres et votre façon de vivre requièrent une volonté qui s’applique à tant d’épreuves d’exercices de travail pourquoi se fâcher même à l’écrit quand on possède tout l’attirail dont vous disposez outre la force l’intelligence colmatez votre faille laissez tomber la neige pour plus de bruit .

JC .... dit: à

Et pendant ce temps, tout le monde se fout de ce que vont devenir les femmes égyptiennes. notre Abruti en Chef meugle : « Liberez Morsi ! »

France pourrie…

Betsie dit: à

@ Clopine 17.38 « Et moi, j’essaierais de faire mieux, Betsie ! Je l’ai vue trop tard, celle-là. Toujours cette sale habitude de cliquer sans relire ! »
M’enfin, Clopine !… « J’essaierai »…, c’est un futur cette fois-ci, pas un conditionnel, voyons donc ! Du calme, prenez votre temps avant de cliquer… Je crois que sans cela, votre cas va devenir ‘implaidable’ auprès du boss, il a pas l’air commode en ce moment et trop décidé à vouloir embaucher une deuxième recrue ‘conjugante’, même à 8 euros/h… Faut être inattaquable sur le clavier et sans le secours du correcteur orthographique, m’a-t-il expliqué.

ilve dit: à

il arrive que cela me soit absolument égal .
Il n’a aucun besoin de ces commentaires, et chacun peut faire un travail personnel en cherchant à apprécier ce qui relève d’internet y compris dans la manière de jouer du féminin et du masculin :
ce blog n’a pour moi d’intérêt que « comparativement » , avec d’autres blogs, avec le papier, et c que certaines personnes racontent de leur apprentissage d’une langue, et pas forcément du français.
il m’a semblé que P.Assouline avait souvent dans la pensée des lecteurs qui seraient

ilve dit: à

JC, laissez les mouches égyptiennes tranquilles, elles ne vous ont rien fait.

Bihoreau de Bellerente dit: à

Un ami québécois traduisait des textes juridiques de l’anglais au français; deux langues mais surtout deux systèmes juridiques et peut-être encore plus important deux styles de rédaction. Il adaptait le texte anglais, le rendant plus court et plus clair en français. Parfois,
on lui demandait de laisser le texte flou et sujet à interprétation car
c’était-là l’intention du rédacteur. Les lois québécoises étant mieux rédigées qu’elles ne l’étaient il y a cinquante ans, lorsque la forme anglaise dominait, c’est le contraire qui se produit désormais: leur traduction anglaise pue souvent le gallicisme, les rendant incompréhensibles.

JC .... dit: à

ilve,
auculpez-vous de vos manies et foutez-moi la paix !

ilve dit: à

dans la pensée des lecteurs qui seraient avides d’apprendre et trouvait(sujet P.A) souvent l’occasion de proposer une manière agréable d’apprendre avec les questions, et le méthodes les plus propres à découvrir le secret des bonnes questions pour profiter le mieux d’un texte, même avec des images .

Chaloux dit: à

Bérénice, vous avez surement raison, j’essaie de me corriger mais sans toujours y parvenir. Je dois avoir ce goût, c’est la seule explication. Et encore, je me suis beaucoup assagi. Une de mes amies très lettrée m’a dit un jour : « tu pourrais tuer avec des mots ». Ce qui m’a vivement calmé.
Vous remarquerez pourtant (et j’y tiens)que sauf en ce qui concerne quelques cas particuliers qui nécessitent une certaine vigilance (Toto, Bouguereau, ML), je commence rarement.
Mais je suis en partie d’origine corse, de Balagne…alors…

ilve dit: à

pour le coup, je regrette avec la photo chez l’éditeur, qu’il n’apparaisse pas das la légende laquelle des deux femmes est la correctrice-maison

ilve dit: à

ah bon, Chaloux vous ne saviez pas que les mots peuvent tuer ?
et peut-être pas non plus qu’on peut tuer les gens avec un secret , vous ne l’aviez jamais inféré de vos lectures ?ni des précipités d’interprétations présentés sur la toile ?

roselyne dit: à

@JC »que vont devenir les femmes égyptiennes…
France pourrie… »

Une seule solution allez en Egypte les sauver

Chaloux dit: à

On m’a dit ça il y a plus de vingt ans. Pas d’internet, moins de lectures, et une parfaite innocence. J’ai ouvert très lentement les yeux.

ilve dit: à

Pourquoi, une névrose, docteur,
quelle heureuse réaction, P.Assouline, même si , même si !
il serait amplement temps de poser la question plus cruellement de ces interprétations de « névroses »
je n’ai pas réussi à accéder à l’article – sans beaucoup insister, je l’admets.
et au-delà de la galère du livre !

des journées entières dans les arbres dit: à

« je n’ai pas réussi à accéder à l’article »
Moi non plus.

http://www.revuedesdeuxmondes.fr/user/details.php?code=72351&show=picture

Sophie Brissaud, elle connait la cuisine.
C’est tout ce que je sais.

« Une cuisine qui a du tempérament par une journaliste gastronomique, passionnée de saveurs du monde. Cuisinière émérite, créatrice de recettes, photographe et styliste, écrivain, Sophie Brissaud est intarissable sur l’histoire et la géographie de la cuisine et des produits. Elle adore plonger dans des univers différents et se consacre en particulier au thé sous tous ses aspects : culture, récolte, préparation, dégustation, vertus… »

Ilve, il est très bien votre lien sur gnôle de drame.

renato dit: à

@17 h 41 min

Et rien sur les niaiseries que ton inanité sécrète ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Et si S. Brissaud est psy quelque chose, alors j’assume ce transfert.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je tiens à saluer ici les instituteurs/trices, laïcs, « très croyant(e) »s, ou anti-curés par conviction, enfin tous ( je pense à deux) ces administrateurs de corrections.

Avec une pensée émue, quand même, pour le mien en fin de primaire, que j’imagine sans peine désolé, quand même.

John Brown dit: à

La rousse de la photo me plaît bien. Qui c’est ?

D. dit: à

Vous noterez au passage l’importance du ;

laurent dit: à

« La rousse de la photo me plaît bien. Qui c’est ? »

c’est pas Josette?

des journées entières dans les arbres dit: à

Sophie Brissaud est correctrice :

« Sur le correcteur circulent un grand nombre d’idées très fausses. Il est faux, par exemple, de croire que le correcteur soit un expert de la langue. Il peut l’être, au sens de ses mécanismes et de son fonctionnement,mais même cela n’est pas essentiel.Le correcteur est défini non par son savoir mais par sa psychologie.La correction est plus qu’un métier: c’est une névrose. Cette névrose est un sacrifice librement consenti par le correcteur,un don qu’il fait de son âme à la santé del’édition.Il s’est offert pour toujours à la déesse Langue française, et une fois qu’il possédera son métier il ne sera plus jamais normal »

la modération voudrait que l’on statue sur la liberté de droit ou non du lien suivant, liberté que je ne connais pas, mais tentons:

http://fr.scribd.com/doc/14988952/La-lecture-angoissee-ou-la-mort-du-correcteur

D. dit: à

Vous aurez bien entendu noté qu’en ligne 10 deux parenthèses doivent être remplacées par des virgules.

Hos Malec dit: à

John Brown, je SAIS ce que vous avez fait. Ce n’est pas bien joli. (Je n’en dirai pas plus.)

ilve dit: à

pour infoy chouette article de P.Bayard , le psy qui pense au lecteur : j’ignore quel professeur il fait, l’ayant entendu se taire brillamment : et j’ai plaisir à le lire : mais là sur l’ennui!
bien des commentateurs à 36 sourires , 22 chéris, quelques pets et de leur goût et leurs égouts n’ont rien à apprendre de son new how to pour leurs posts sur ce blog !?
mais qui sait : j’en ai aussi tellement marre de cet humour ibizoologiste !

Ne sois pas trop Totoritaire dit: à

Le néant qui suit Toto, c’est encore du Toto.

Clopine Trouillefou dit: à

Euh, comment dire, Betsie ? Je crois que j’ai essayé de faire une « private joke », comme dirait Bloom. Bon, un coup dans l’eau. J’essayerait de faire mieux la prochaine fois. Promis. Bise à vous !

JC .... dit: à

roselyne dit: 30 juillet 2013 à 18 h 50 min
@JC »que vont devenir les femmes égyptiennes…
France pourrie… »

Une seule solution allez en Egypte les sauver

Il est possible d’être plus stupide que Roselyne…mais ce n’est pas gagné.

Betsie dit: à

Je me disait’aussi, Clopine, non bis in idem, c’est pas dieu possible !… Ravie d’avoir trouvé une ‘soeur sourire’…

renato dit: à

Et voilà que l’accroché-au-tablier-de-sa-maman se satisfait des niaiseries que son inanité sécrète. Bonne soirée…

Backus & Naur dit: à

On voit qu’on n’est pas précisément dans un groupe de programmeurs, y’en a un qui ecrit une ligne correcte qui ne f

Backus & Naur dit: à

un qui écrit une ligne correcte qui ne fait rien et l’autre qui écrit une ligne qui pourrait faire quelque chose si la somme des parenthèses était respectée mais c’est un créatif, il joue avec le langage.

John Brown dit: à

« La rousse de la photo me plaît bien. Qui c’est ? »

c’est pas Josette? (rédigé par Laurent)

Hélas non. Josette est une vraie brune. Seules les rousses m’auront vraiment ému, surtout avec des taches de rousseur. Même fausses.

John Brown dit: à

John Brown, je SAIS ce que vous avez fait. Ce n’est pas bien joli. (Je n’en dirai pas plus.)(rédigé par Hos Malec)

Ce n’était pas bien joli mais c’était nécessaire. Ce qui fut fait fut fait. Fe qui sut ces sut cette. Pas de regrets, et encore moins de remords.

John Brown dit: à

John Brown, je SAIS ce que vous avez fait. Ce n’est pas bien joli. (Je n’en dirai pas plus.)(rédigé par Hos Malec)

Oh, et puis Lang a bien un frère assassin et Goldman aussi. Alors, hein, pouèt pouèt lariflette

ilve dit: à

Je n’ai toujours pas bien compris cet exercice de commentaires:il révèle par ce billet des complexités qui étaient prévisibles .
Comme je n’ai aucune vocation à appeler quiconque mon petit ni mon gros ni mon canard ni ma bonne ni ma cocotte , que ce n’est pas mon actualité, bonsoir les métaphysiciens copinaillant subintensivement (mecs)

Certaines limites... dit: à

…renato, ne devrait-on pas s’imposer?
Laisser les morts tranquilles, par exemple…
C’est vrai que sur ce coup-là, renato, vous ne faites pas preuve d’une délicatesse exagérée. Cela vous précipite très très bas. Mais c’est peut-être là que vous vous sentez le mieux?

Justes proportions... dit: à

Laissez tomber.
L’indélicatesse de renato est à la mesure de ses frustrations.
Presque infinie.

ilve dit: à

quoi qu’il en soit , il devient clair que ceux qui pour leurs histoires recherches des « correcteurs » ou correctrices avant de proposer leur « oeuvre » P.Assouline ne serait pas en peine de le faire savoir à d’éventuel-le-s « intéressé-e-s expérimenté-e-s:aptes à remplir la tâche proposée.

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